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Refondation de l'école de la République

(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 165

17 mai 2013


 

Question préalable

Motion présentée par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


TENDANT À OPPOSER LA QUESTION PRÉALABLE


En application de l'article 44, alinéa 3, du Réglement, le Sénat décide qu'il n'y a pas lieu de poursuivre la délibération sur le projet de loi d'orientation et de programmation pour la refondation de l'école de la République (n° 569, 2012-2013).

Objet

Les auteurs de cette motion estiment que le projet de loi présenté n'a pas la nature d'une grande loi de refondation de l'Ecole.

Outre qu'il ne traite pas du système éducatif dans son ensemble, il ne présente aucune grande réforme, à part celle de la formation des enseignants, dont on ne sait quel sera le contenu. L'autre grande mesure étant la création de 60 000 postes dans un contexte budgétaire pourtant particulièrement difficile, et alors même que la France est l'un des pays consacrant le plus de moyens à son système éducatif.

Le projet de loi proclame même comme des avancées des mesures qui figuraient déjà dans le code de l'éducation, en les entourant d'un verbage inadapté à une grande loi. 

Il revient sur d'importantes dispositions de la loi Fillon, notamment en modifiant la nature du socle commun ou en imposant le collège unique par seul souci idéologique.

Notre groupe estime donc qu'il n'y a pas lieu d'étudier le présent texte.



NB :En application de l'article 44, alinéa 3, du Règlement, cette motion est soumise au Sénat avant la discussion des articles.





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Refondation de l'école de la République

(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 166

17 mai 2013


 

Renvoi en commission

Motion présentée par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


TENDANT AU RENVOI EN COMMISSION


En application de l'article 44, alinéa 5, du Règlement, le Sénat décide qu'il y a lieu de renvoyer à la commission de la culture, de l'éducation et de la communication le projet de loi d'orientation et de programmation pour la refondation de l’école de la République (n° 569, 2012-2013).

Objet

Il y a lieu de renvoyer le présent projet de loi à la commission de la culture, celui-ci n'ayant pas été présenté dans de bonnes conditions, et ne répondant aux nécessités de réforme de notre système éducatif.

Outre les délais très courts imposés après une période de vacances parlementaires, les auteurs de cette motion regrettent que le projet de loi n'accomplisse pas la grande réforme annoncée, et ne traite pas de l'ensemble de notre système éducatif.



NB :En application de l'article 44, alinéa 5, du Règlement, cette motion est soumise au Sénat avant la discussion des articles.





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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 35 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. CARLE, Mme PRIMAS, MM. HUMBERT et Bernard FOURNIER, Mmes MÉLOT et DUCHÊNE et M. DUVERNOIS


ARTICLE ADDITIONNEL AVANT ARTICLE 3 A


Avant l’article 3 A

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Avant l’article L. 111-1 du code de l’éducation, il est inséré un article L. 111 ainsi rédigé :

« Art. L. 111. – Le Gouvernement présente, tous les ans, un rapport sur l’évolution du système éducatif national et sur les orientations de la politique éducative.

« Ce rapport donne lieu à un débat d’orientation de la politique éducative devant le Parlement. »

Objet

A l’instar de ce que prévoit l’article 48 de la LOLF en matière de finances publiques, cet amendement vise à instaurer annuellement un débat d’orientation de la politique éducative au Parlement.

L’augmentation du nombre d’élèves en grande difficulté, la persistance d’un nombre trop important d’élèves sortant sans diplôme du système éducatif, l’accroissement des inégalités scolaires, l’incapacité à atteindre l’objectif de 80% d’une génération diplômée du baccalauréat, l’incapacité à atteindre l’objectif de 50% d’une génération diplômé du supérieur, la constante dégradation des résultats en lecture mesurés par PIRLS depuis deux décennies, la constante dégradation du classement de la France aux enquêtes PISA mesurant les compétences en lecture, mathématiques et science des élèves de 15 ans ainsi que la diminution du nombre d’élèves performants justifient l’adoption de cet amendement.

Le rapport remis au Parlement devra notamment comprendre l’ensemble des indicateurs (taux de scolarisation préélémentaire, taux de redoublement en CE1, taux de redoublement au primaire, taux de réussite au baccalauréat par filière, taux de sortie sans diplôme du système éducatif, taux de réussite et taux de poursuite dans le supérieur etc.) par académie, permettant à chaque parlementaire d’avoir un regard éclairé sur la situation éducative de sa circonscription.

Le rapport devra faire état des objectifs fixés l’année passée devant la représentation nationale et des indicateurs mis en place pour mesurer les évolutions.

Le rapport devra également faire état du lancement des expérimentations et des résultats que produisent les expérimentations en cours. Il devra contenir l’ensemble des renseignements relatifs aux acteurs  partie prenante des projets (évaluateurs, initiateur etc.).



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 288 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


ARTICLE 3 A


Alinéa 3

Après le mot :

sociales

insérer les mots :

et territoriales

Objet

Cet amendement est un amendement de coordination avec l'alinéa 28 du rapport annexé. Notre pays doit rompre avec les années passées qui ont conduit à ce que notre système éducatif régresse dans les classements internationaux en termes d'aggravation des inégalités tant sociales que territoriales. Il est impératif que la formation scolaire des enfants de notre pays retrouve son rôle d'ascenseur social. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 54 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Non soutenu

MM. GUERRIAU, MERCERON et Jean-Léonce DUPONT


ARTICLE 3 A


Alinéa 5, deuxième phrase

Remplacer le mot :

enfants

par les mots :

élèves, notamment ceux en situation de handicap

Objet

Cette modification permet d’impliquer davantage le service public de l’éducation dans le processus d’inclusion scolaire en en faisant un acteur actif. Ainsi, celui-ci contribue à l’inclusion scolaire de tous les élèves et ne vise pas seulement à cette inclusion scolaire.

Le service public de l’éducation devient ainsi un acteur de cette inclusion de la même façon qu’il est un acteur qui contribue à l’égalité des chances. De plus, l’inclusion scolaire devient un principe et non plus une intention.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 81

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

Mme GONTHIER-MAURIN et MM. LE SCOUARNEC et Pierre LAURENT


ARTICLE 3 A


Après l'alinéa 7

Insérer deux alinéas ainsi rédigés :

... ° Après le deuxième alinéa, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :

« Les moyens humains et financiers affectés aux écoles et aux établissements d’enseignement sont modulés en fonction de la composition sociale du public qu’ils scolarisent. »

Objet

Cet amendement vise à affecter les moyens dans un objectif de mixité sociale.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 381

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Le Gouvernement


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 3 BIS (SUPPRIMÉ)


Après l'article 3 bis

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Après l’article L. 111-1, il est inséré un article L. 111-1-1 ainsi rédigé :

« Art. L. 111-1-1. - La devise de la République et le drapeau tricolore sont apposés sur la façade des écoles et des établissements d’enseignement du second degré publics et privés sous contrat. La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789 est affichée de manière visible dans les locaux des mêmes écoles et établissements. »

Objet

Cet amendement permet d’introduire dans le code de l’éducation une disposition introduite par l’Assemblée nationale dans le rapport annexé.

L'article 2 de la Constitution de 1958 rappelle que le drapeau tricolore est l'emblème national de la République et que sa devise est « Liberté, Egalité, Fraternité ».

Toutefois, aucune disposition législative ou réglementaire ne détermine les conditions de pavoisement des écoles, des collèges et des lycées.

Afin de réaffirmer l’attachement de la Nation à son école et de contribuer à l’appropriation par les élèves des fondements de la Constitution, il est proposé d’imposer que le drapeau et la devise de la République soient apposés au fronton de toutes les écoles et établissements d’enseignement du second degré qu’ils soient publics ou privés sous contrat. De même, la déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 devra être affichée de manière visible à l’intérieur des locaux de ces écoles et établissements.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 4

16 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Non soutenu

M. GORCE


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 3 BIS (SUPPRIMÉ)


Après l'article 3 bis

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le septième alinéa de l'article L. 111-1 du code l'éducation est complété par deux phrases ainsi rédigées :

« Dans les écoles, les communes sont encouragées à développer les dispositifs de réussite scolaire, en particulier ceux visant à faciliter l'apprentissage de la lecture et de l'écriture en cours préparatoire. Le représentant de l'État veille à ce que l'action de l'État soit menée à travers ces différents outils en cohérence avec ces objectifs. »

Objet

Conformément aux objectifs affichés par le Président de la République visant a faire de la réussite scolaire une priorité nationale, il est possible de faire bénéficier 60.000 enfants de CP par an de dispositifs  ( comme par exemple le " Coup de Pouce Clé) visant à leur permettre de maîtriser convenablement la lecture et l'écriture. On sait qu'il s'agit là d'une condition nécessaire pour permettre aux enfants de poursuivre de manière satisfaisante leur parcours scolaire jusqu'au baccalauréat .

L'Etat veille enfin à mettre ses interventions en cohérence avec ces objectifs, en particulier dans les zones urbaines les plus fragiles.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 289 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


ARTICLE 4


Alinéa 5, seconde phrase

Après le mot :

favorise

insérer les mots :

l'esprit critique et 

Objet

Cet amendement est un amendement de coordination avec l'article 9 du présent projet de loi. Il est en effet essentiel de développer le sens critique des futurs citoyens qui évoluent dans un monde en perpétuelle mutation, tant au niveau technologique, scientifique, économique qu'au niveau éthique. Notre société contemporaine de l'information et de la communication est aussi celle de la consommation, dont les futurs citoyens doivent maîtriser les codes pour mieux s'en émanciper au profit de leurs libertés individuelles. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 144 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme DUCHÊNE, M. CARLE, Mmes PRIMAS et MÉLOT et MM. Bernard FOURNIER et CHAUVEAU


ARTICLE 4


Alinéa 5, dernière phrase

Compléter cette phrase par les mots :

et d'entreprise

Objet

Le mot "entreprise" complète et précise le mot "initiative".

En effet, dans leur vie professionnelle future, les élèves devront faire preuve d'esprit d'entreprise. Il est donc souhaitable que l'école les prépare au mieux à acquérir cet esprit indispensable à la vie professionnelle. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 325

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Demande de retrait
Retiré

Mme Dominique GILLOT


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 4 BIS A


Après l'article 4 bis A

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’article L. 111-4 du code de l’éducation est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« Ils contribuent à l’élaboration et à la mise en œuvre du projet éducatif territorial. »

Objet

Les parents d'élèves faisant pleinement partie de la communauté éducative, cet amendement vise à renforcer leur contribution au projet éducatif territorial.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 188

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS et MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU et LENOIR


ARTICLE 4 BIS


Alinéa 3, première à quatrième phrases

Remplacer ces phrases par deux phrases ainsi rédigées :

« Les élèves bénéficient, au cours de leur scolarité, d’actions de prévention et d’information, de visites médicales et de dépistages obligatoires, qui constituent leur parcours de santé dans le système scolaire. Ces actions, assurées en priorité par les médecins et infirmiers de l’éducation nationale, favorisent notamment leur réussite scolaire et la réduction des inégalités en matière de santé » ;

Objet

L'éducation nationale n'a pas pour mission de mener des "actions de promotion de la santé des élèves". L'expression de "promotion" de la santé est d'ailleurs incorrecte.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 83

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mme GONTHIER-MAURIN et MM. LE SCOUARNEC et Pierre LAURENT


ARTICLE 4 BIS


Alinéa 3, dernière phrase

Supprimer cette phrase.

Objet

Cette phrase affirme que l’éducation nationale concourt au dépistage précoce des difficultés cognitives et physiques des élèves, alors que le dépistage obligatoire est déjà prévu par la loi. Cette précision de dépistage précoce limitative tendrait à une hiérarchisation des différents dépistages. En outre, la notion de « difficultés physiques » est extrêmement floue.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 355 rect. bis

22 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mme BLONDIN, M. MAGNER, Mmes Danielle MICHEL, Dominique GILLOT, LAURENT-PERRIGOT, LEPAGE et KHIARI, MM. LOZACH, ASSOULINE, CHIRON, Dominique BAILLY, ANTISTE, EBLÉ, DOMEIZEL, VINCENT, MADRELLE, ANTOINETTE, PERCHERON, ANDREONI, RAINAUD, GERMAIN

et les membres du Groupe socialiste et apparentés


ARTICLE 4 BIS


I. - Après l'alinéa 3

Insérer deux alinéas ainsi rédigés :

...° Le premier alinéa est ainsi rédigé :

« Les visites médicales et de dépistages obligatoires ne donnent pas lieu à contribution pécuniaire de la part des familles. »

II. – Après l’alinéa 4

Insérer deux alinéas ainsi rédigés :

…° Le quatrième alinéa est ainsi rédigé :

« Les ministres chargés de l’éducation nationale et de la santé déterminent conjointement, par voie réglementaire, pour chacune des visites médicales et de dépistages obligatoires, la périodicité et le contenu de l’examen médical de prévention et de dépistage. »

III. – Après l’alinéa 5

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

…° Le sixième alinéa est supprimé.

IV. – Après l’alinéa 8

Insérer deux alinéas ainsi rédigés :

…° Le deuxième alinéa est ainsi rédigé :

« Les visites médicales et de dépistages obligatoires ne donnent pas lieu à contribution pécuniaire de la part des familles. »

V. – Après l’alinéa 9

Insérer deux alinéas ainsi rédigés :

…° Le cinquième alinéa est ainsi rédigé :

« Les ministres chargés de l’éducation nationale et de la santé déterminent conjointement, par voie réglementaire, pour chacune des visites médicales et de dépistages obligatoires, la périodicité, le contenu de l’examen médical de prévention et de dépistage, ainsi que les éventuelles populations prioritaires. »

VI. – Alinéa 10

Remplacer le mot :

cinquième

par le mot :

sixième

VII. – Compléter cet article par un alinéa ainsi rédigé :

…° Le septième alinéa est supprimé.

Objet

Parmi les insuffisances du système éducatif français en matière de santé, l’IGEN, l’IGAEN et l’IGAS ont pointé les dépistages systématiques comme un objectif inaccessible.

Ainsi, depuis 2007, l’objectif de faire bénéficier, en 3 ans, la moitié d’une classe d’âge des visites des 9ème, 12ème et 15ème années, puis toute une classe d’âge en 2013, n’a pas été atteint.

Seule est actuellement effectuée, bon an mal an, la visite de la sixième année. Or il conviendrait que cette visite puisse intervenir plus tôt dans la scolarité préélémentaire notamment pour, dans le cadre du dépistage des troubles du langage, mieux s’adapter au cadre de référence des bilans standards de langage.

Plutôt que de garder le principe d’une couverture totale de la population scolaire selon une périodicité inatteignable, et pas forcément efficiente en termes de santé publique, mieux vaut s’orienter vers des examens médicaux adaptés en contenu et en rythmicité aux besoins réels de la population scolaire et aux priorités de la politique éducative de santé.

Pour une cohérence renforcée entre les objectifs de santé publique et ceux de la politique éducative de santé, cet amendement prévoit une définition conjointe de la périodicité et du contenu des visites médicales par les ministères de l’éducation nationale et de la santé.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 528

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Retiré

Mme CARTRON

au nom de la commission de la culture


ARTICLE 4 BIS


Alinéa 10

Remplacer le mot :

cinquième

par le mot :

sixième

Objet

Correction d'une erreur d'imputation dans le code de la santé publique.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 354

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mme BLONDIN, M. MAGNER, Mmes Danielle MICHEL, Dominique GILLOT, LAURENT-PERRIGOT, LEPAGE et KHIARI, MM. LOZACH, ASSOULINE, CHIRON, Dominique BAILLY, ANTISTE, EBLÉ, DOMEIZEL, VINCENT, MADRELLE, ANTOINETTE, PERCHERON, ANDREONI, RAINAUD, GERMAIN

et les membres du Groupe socialiste et apparentés


ARTICLE 4 BIS


I. - Alinéa 4

Remplacer cet alinéa par quatre alinéas ainsi rédigés :

2° Le deuxième alinéa est ainsi modifié :

a) Les mots : « que le bilan mentionné au premier alinéa » sont remplacés par les mots : « qu’un bilan de leur état de santé physique et psychologique » ;

b) Il est ajouté une phrase ainsi rédigée :

« La rémunération versée par l’employeur aux parents ou tuteurs qui accompagnent les enfants à ces visites peut être maintenue pendant la durée consacrée à cet accompagnement. » ;

II. - Alinéa 9

Remplacer cet alinéa par quatre alinéas ainsi rédigés :

2° Le troisième alinéa est ainsi modifié :

a) Les mots : « que le bilan mentionné au premier alinéa » sont remplacés par les mots : « qu’un bilan de leur état de santé physique et psychologique » ;

b) Il est ajouté une phrase ainsi rédigée :

« La rémunération versée par l’employeur aux parents ou tuteurs qui accompagnent les enfants à ces visites peut être maintenue pendant la durée consacrée à cet accompagnement. » ;

Objet

Cet amendement tire les conséquences rédactionnelles de l’introduction d’un nouvel alinéa  au début de l’article L.541-1 du code de l’éducation, définissant les actions de promotion de la santé.

En outre, il prévoit surtout, sur le modèle de ce qui existe pour le don du sang, que les parents qui accompagnent, pendant leur temps de travail, leur(s) enfant(s) aux visites médicales et de dépistages obligatoires dans le cadre de la santé scolaire, ne se voient pas appliquer des retenues sur salaire.

Cette disposition est particulièrement importante pour le suivi médical des enfants fragiles et / ou en difficultés, dont l’efficacité est très corrélée à l’implication de leurs parents.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 376

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Le Gouvernement


ARTICLE 4 BIS


Alinéas 5 et 10

Remplacer les mots :

d’un service social

par les mots :

d’un assistant de service social

Objet

Amendement de précision :

Il n’existe pas de service social au niveau d’un établissement scolaire mais au niveau du département. Les assistants de service social ont un secteur d’intervention comprenant un ou plusieurs établissements du second degré.

Il est donc plus juste d’indiquer que, dans les établissements du second degré, le suivi sanitaire des élèves est exercé avec le concours d’un assistant de service social.

 






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 189

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS et MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU et LENOIR


ARTICLE 4 BIS


Alinéa 8

Rédiger ainsi cet alinéa :

« Les élèves bénéficient, au cours de leur scolarité, d'actions de prévention et d'information, de visites médicales et de dépistages obligatoires, qui constituent leur parcours de santé dans le système scolaire. Ces actions, assurées en priorité par les médecins et infirmiers de l'éducation nationale, favorisent notamment leur réussite scolaire et la réduction des inégalités en matière de santé. L'éducation nationale concourt au dépistage précoce des difficultés cognitives et physiques des élèves. » ;

Objet

Amendement de coordination avec l'amendement précédent. Il est en particulier important d'ajouter la précision introduite en commission pour l'article L.541-1, concernant le dépistage précoce des difficultés cognitives et physiques des élèves.






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N° 323 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Sagesse du Sénat
G Demande de retrait
Retiré

Mme Dominique GILLOT


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 4 TER (SUPPRIMÉ)


Après l'article 4 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Après la première phrase de l’article L. 112-3 du code de l’éducation, sont insérés deux alinéas ainsi rédigés :

« Dans le cas du choix d’une communication bilingue, les mesures dérogatoires prévues au troisième alinéa de l’article L. 112-1 s’appliquent de plein droit sur le seul choix des parents.

« Le projet personnalisé de scolarisation des jeunes sourds prend en compte l’évaluation mentionnée à l’article L. 112-2 du présent code et le choix de communication de leur famille. »

Objet

Cet amendement vise à permettre aux familles de déroger à l’obligation de scolarisation dans l’école du quartier pour permettre à leurs enfants sourds de s’inscrire dans une autre école ou un autre établissement. Il prévoit en outre que les décisions d’orientation ne s’appuient pas uniquement sur des critères physiologiques mais prennent aussi en compte le choix linguistique des familles.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 324 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Demande de retrait
Retiré

Mme Dominique GILLOT


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 4 TER (SUPPRIMÉ)


Après l'article 4 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’article L. 112-4 du code de l’éducation est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« Pour les jeunes sourds, ces aménagements peuvent prévoir, en tant que de besoin, la reformulation en langue des signes française des intitulés de ces épreuves. »

Objet

Cet amendement vise à adapter les conditions de passation des épreuves écrites des examens et concours aux élèves sourds. La reformulation, si nécessaire, en langue des signes française peut permettre de dépasser certains contre-sens inhérents à la rareté, la spécificité ou l'hyper-technicité du vocabulaire employé.






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Refondation de l'école de la République

(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 12

16 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Sagesse du Sénat
G Favorable
Adopté

Mme CAMPION

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 4 TER (SUPPRIMÉ)


Après l'article 4 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Après l’article L. 351-1 du code de l’éducation, il est inséré un article L. 351-1-... ainsi rédigé :

« Art. L. 351-1-... – La coopération entre les établissements mentionnés à l’article L. 351-1 du présent code et les établissements et services mentionnés aux 2° et 3° du I de l’article L. 312-1 du code de l’action sociale et des familles est organisée par des conventions passées entre ces établissements et services afin d’assurer la continuité du parcours de scolarisation des élèves en situation de handicap.

« Les modalités d’application du présent article sont déterminées par décret. »

Objet

L’une des conditions de réussite de la loi du 11 février 2005 en matière de scolarisation des enfants en situation de handicap résidait dans la coopération renforcée entre l’éducation nationale et le secteur médico-social pour rompre la logique de filières, permettre la fluidité des parcours de ces enfants et, ainsi, améliorer la qualité de leur prise en charge.

Le cadre de cette coopération a été défini par le décret n° 2009-378 du 2 avril 2009 qui prévoit notamment la signature de conventions entre les établissements scolaires et spécialisés, ainsi que les modalités d’intervention des personnels médico-sociaux en milieu ordinaire.

Or, ainsi que le constate le rapport sur l’application de la loi du 11 février 2005, fait au nom de la commission sénatoriale pour le contrôle de l’application des lois par Claire-Lise Campion et Isabelle Debré, le bilan de cette coopération « est très négatif » : une part importante des acteurs locaux, notamment dans les établissements, n’a pas connaissance de ce texte ; très peu de conventions ont été signées ; lorsqu’elles l’ont été, celles-ci ne couvrent qu’une partie du champ de la coopération prévu par le décret.

Il importe donc de relancer ce chantier en inscrivant dans la loi le principe de la coopération entre les établissements scolaires et les établissements et services médico-sociaux.

Tel est l’objet de cet amendement.






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Refondation de l'école de la République

(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 190

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS et MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU et LENOIR


ARTICLE 5


Alinéa 3

Rédiger ainsi cet alinéa :

« L'accueil des enfants de deux ans révolus est organisé en priorité dans les écoles situées dans un environnement social défavorisé, que ce soit dans les zones urbaines, rurales ou de montagne, et dans les collectivités et territoires ultramarins. Cet accueil donne lieu à un dialogue avec les familles. » ;

 

 

Objet

La scolarisation des enfants de deux ans est déjà prévue par le code de l'éducation, celui-ci énonçant également une priorité pour les écoles situées dans un environnement social défavorisé, que ce soit dans les zones urbaines, rurales ou de montagne, ou dans les régions outremer.

Le présent article n'a donc rien de novateur. De plus, il présente l'intérêt de cette scolarisation par un verbiage hors de propos.

La scolarisation des enfants de deux ans est certainement souhaitée par les familles qui rencontrent des problèmes pour obtenir un moyen de garde de leurs enfants. En cela, il faut supprimer les disparités territoriales existantes, sources d'inégalité. Cependant, l'utilité de cette scolarisation précoce n'a jamais été démontrée pour l'enfant.

Un rapport sénatorial de Mme Papon et de M. Martin en 2008 sur « l’accueil des jeunes enfants : pour un nouveau service public », a mis en doute l'intérêt de cet apprentissage, l'enfant étant peu capable d'une attention prolongée à cet âge, et pointait surtout les difficultés prévisibles de cette scolarisation : coût pour les communes, formation des enseignants, inadaptation des locaux et du matériel disponible, non acquisition de la propreté...

Il a en outre été indiqué au groupe de travail que le milieu scolaire ne favorisait pas l’acquisition du langage pour les tout-petits qui ont besoin d’une relation privilégiée avec un adulte pour entrer dans ce champ d’apprentissage, indispensable à une réussite scolaire ultérieure.

Le rapport notait que les enquêtes les plus récentes, conduites par les services du ministère de l’éducation nationale, tendaient à montrer que les effets positifs d’une scolarisation avant trois ans sont en fait "limités et peu durables, puisqu’ils s’estompent au cours de la scolarité élémentaire et à l’entrée en sixième". Selon ces études, "la scolarisation précoce ne compense pas les écarts de réussite liés à l’appartenance sociale. Une scolarité maternelle en trois ou quatre ans est équivalente pour le parcours scolaire ultérieur de l’élève".

La conclusion de ce rapport était que l’école n’a pas vocation à accueillir les enfants de deux ans. Mme Papon et M. Martin, qui avaient auditionné une cinquantaine d’acteurs de la petite enfance, plaidaient pour une suppression progressive de l’école maternelle pour les 2-3 ans au profit de « jardins d’éveil », mieux adaptés à leurs besoins.

Telle est la voie que devrait suivre le gouvernement.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 22 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. SAVIN, Mme PRIMAS, MM. BORDIER, CARLE et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT et MM. NACHBAR, SOILIHI et VENDEGOU


ARTICLE 5


Alinéa 3, dernière phrase

Supprimer les mots :

en priorité

Objet

Il faut recentrer cette mesure dans les écoles situées dans un environnement social défavorisé, que ce soit dans les zones urbaines, rurales ou de montagne et dans les départements, collectivités et territoires ultramarins car sinon elle pourrait être utilisée dans des zones moins touchées socialement et servirait essentiellement de garde d’enfants.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 377

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Le Gouvernement


ARTICLE 5


Alinéa 3, dernière phrase

Remplacer les mots :

dans les départements, collectivités et territoires ultramarins

par les mots :

dans les régions d’outre-mer

Objet

 

Cet amendement vise à modifier la rédaction de l’article 5 du projet de loi adopté par l’Assemblée nationale, afin de revenir à la rédaction prévue par le projet de loi initial.

En effet, les termes « départements, collectivités et territoires ultramarins » ne correspondent à aucune catégorie juridique existante et ne peuvent donc être retenus dans une loi.

Surtout, l’ensemble des collectivités d’outre-mer ne peut se voir appliquer le troisième alinéa de l’article L. 113-1 de la même manière, ne serait-ce que parce que certaines d’entre elles sont pleinement compétentes en matière d’enseignement.

Ainsi, la répartition des compétences en matière d’éducation entre l’Etat et les collectivités régies par l’article 74 de la Constitution est fixée par des lois organiques et des textes spécifiques. Dans les collectivités où l’Etat n’est pas compétent en matière d’éducation préscolaire, la référence aux « collectivités et territoires ultramarins » prévue par l’article 5 dans sa rédaction adoptée par l’Assemblée nationale est une intervention du législateur dans un domaine qui relève de la loi organique et encourt à ce titre la censure du Conseil constitutionnel pour méconnaissance de l’article 74 de la Constitution.

Il convient également de noter qu’actuellement seul le premier alinéa de l’article L. 113-1 est applicable à Wallis-et-Futuna (article L. 161-1), en Polynésie française (article L. 163-1) et en Nouvelle-Calédonie (article L. 164-1). Le troisième alinéa relatif à l’accueil des enfants de moins de 3 ans n’y est donc pas applicable. Par ailleurs, le dernier alinéa de l’article L. 113-1 du code de l’éducation, modifié par le projet de loi, n’est applicable à Mayotte qu’à compter de la rentrée 2014 (cf. article L. 162-2-1 du code).

Telles sont les raisons pour lesquelles la question de l’application de cet article aux situations de Mayotte, de la Polynésie française, de Wallis et Futuna et de la Nouvelle-Calédonie fait l’objet des articles 58 et 59, qui renvoient à des ordonnances le soin de déterminer les articles applicables à ces territoires sous réserve, le cas échéant, des adaptations nécessaires.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 85

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. LE SCOUARNEC, Pierre LAURENT

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 5


Alinéa 4

Remplacer cet alinéa par deux alinéas ainsi rédigés :

2° Sont ajoutés deux alinéas ainsi rédigés :

« Des compléments spécifiques de formation sont dispensés aux enseignants qui prennent en charge les enfants accueillis dès deux ans.

Objet

La spécificité des enfants de deux trois ans par rapport à ceux de trois ans et plus doit être prise en compte dans la formation des enseignants. Des modules spécifiques doivent ainsi être prévus, en plus de la formation initiale et continue qui a lieu au sein des ESPE et qui concerne tous les enseignants de maternelle.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 340

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Le Gouvernement


ARTICLE 5


Alinéa 5

Remplacer les mots :

Dans les écoles qui les scolarisent

par les mots :

Dans ces écoles

Objet

La commission de la culture du Sénat a souhaité préciser dans cet article dédié à la scolarisation des enfants de moins de trois ans que ceux-ci puissent être comptabilisés dans les prévisions d’effectifs de toutes les écoles qui les scolarisent.

La scolarisation des enfants de moins de trois ans dans les environnements défavorisés constitue un axe essentiel de la politique éducative du Gouvernement. Quantitativement, 3 000 postes d’enseignants vont être spécifiquement créés à cet effet pendant le quinquennat. Qualitativement, une circulaire du 18 décembre 2012 parue dès le mois de janvier, a précisé les conditions à réunir pour que cet accueil porte tous ses fruits.

Or, parce que c’est très tôt que écarts prennent racine, il est essentiel de « concentrer les moyens sur les premières années de l’enseignement et dans les zones scolaires les plus en difficulté » (al. 120 du rapport annexé).

Au cours du débat à l’Assemblée nationale, le Gouvernement s’est donc engagé à ce que les « enfants de moins de trois ans soient comptabilisés dans les effectifs des écoles situées dans un environnement social défavorisé » (al. 121 du rapport annexé) : il tient à conserver cette priorité, afin d’être en mesure de lutter au mieux contre les inégalités en matière de réussite éducative.

L’objet de l’amendement est de faire correspondre la rédaction de la disposition avec le texte de la circulaire publiée par le Gouvernement pour favoriser la scolarisation des enfants de moins de trois ans.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 84

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. LE SCOUARNEC, Pierre LAURENT

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 5


Compléter cet article par un alinéa ainsi rédigé :

« Le maire établit une liste des demandes de scolarisation des enfants de moins de trois ans effectuées sur leur territoire qui n’ont pas abouti à une scolarisation effective. Cette liste est transmise à l’autorité académique. »

Objet

Afin que les postes d’enseignants soient attribués en fonction des besoins réels, il faut prendre en compte dans ce calcul les demandes de scolarisation des enfants de moins de trois ans qui n’ont pu aboutir faute de places suffisantes.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 181

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. DANTEC, Mmes BOUCHOUX et BLANDIN, M. GATTOLIN

et les membres du groupe écologiste


ARTICLE 5


Compléter cet article par un alinéa ainsi rédigé :

« Si la famille souhaite inscrire l'enfant dans une classe qui propose un enseignement en langue régionale, il est accueilli dans l'établissement le plus proche proposant ce type d'enseignement. »

Objet

Lorsqu'il existe une demande d'inscrire un enfant dans une classe qui propose un enseignement en langue régionale, celle-ci doit être satisfaite de manière appropriée, dans le respect des principes de proximité.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 191 rect.

22 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS et MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU et LENOIR


ARTICLE 5


Compléter cet article par un alinéa ainsi rédigé :

« La scolarisation à partir de l’âge de deux ans révolus fait l’objet d’une étude nationale approfondie soumise au Parlement pour débat. »

Objet

En cohérence avec l’amendement précédent citant les conclusions du rapport sénatorial de Mme Papon et de M. Martin sur la scolarisation précoce des enfants, qui évoquait les études démontrant l’absence d’amélioration du niveau des enfants du fait de leur scolarisation à deux ans, il serait utile que le ministère publie une nouvelle étude qui serait soumise au Parlement pour débat.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 532

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mme CARTRON

au nom de la commission de la culture


ARTICLE 5


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

… – À l’article L. 162-2-1 du même code, les mots : « Le dernier » sont remplacés par les mots : « L’avant-dernier ».

Objet

Coordination






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 266 rect. bis

22 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BARBIER, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 5


Après l'article 5

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’article L. 121-2 du code de l’éducation est ainsi rédigé :

« La lutte contre l’illettrisme et l’innumérisme constitue une priorité nationale. Cette priorité est prise en compte par le service public de l’éducation ainsi que par les personnes publiques et privées qui assurent une mission de formation ou d’action sociale. Tous les services publics contribuent de manière coordonnée à la lutte contre l’illettrisme et l’innumérisme dans leurs domaines d’action respectifs. »

Objet

L’innumérisme désigne pour l’Académie des sciences le phénomène d’inculture mathématique qui s’étend. De la même manière que l’État lutte contre l’illettrisme, il doit aussi combattre l’innumérisme.  






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 454

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Tombé

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 5


Après l’article 5

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Après l'article L. 121-2 du code de l’éducation, il est inséré un article L. 121-2-... ainsi rédigé :

« Art. L. 121-2-... – La lutte contre l’illettrisme à l’école est la priorité nationale. Tous les élèves doivent avoir la maîtrise de la lecture avant leur entrée au collège afin de réduire l’échec scolaire. »

Objet

Un élève sur six entre en classe de sixième sans savoir lire couramment. La maîtrise de la lecture si elle n’est pas obtenue à l’âge 7 ans, ne sera jamais rattrapée. C’est pourquoi il est urgent de prendre de vraies mesures dans nos établissements et d'inscrire dans la loi la priorité de lutte contre l'illettrisme. Dans une société comme la nôtre, où la lecture est à la base de la vie sociale, l’illettrisme a de graves conséquences. L’illettrisme est un obstacle à l’insertion de l’individu dans la vie sociale et est à l’origine de la création de situations de fragilité, de vulnérabilité, d’isolement ou de rupture.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 306 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Rejeté

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


ARTICLE 6


Alinéa 4

Après le mot :

contribue

insérer les mots :

sur le temps scolaire

Objet

Cet amendement a pour objet de préciser que l'éducation artistique et culturelle se déroule sur le temps scolaire car elle doit être intégrée dans la formation scolaire afin que tous les élèves en bénéficient réellement.  L'élargissement de la notion proposée par le projet de loi ne doit pas laisser entrendre qu'elle est facultative.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 57

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes MORIN-DESAILLY, FÉRAT

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


ARTICLE 6


Alinéa 6, première phrase

Remplacer le mot :

favorise

par les mots :

vise à

Objet

L'éducation artistique et culturelle doit être ambitieuse pour être réussie. Cet amendement a donc pour objectif de viser à l'acquisition de la connaissance du patrimoine artistique culturel et de la création contemporaine, et non pas seulement de la favoriser.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 86

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Sagesse du Sénat
Adopté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. LE SCOUARNEC, Pierre LAURENT

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 6


Alinéa 6

1° Après la première phrase

Insérer une phrase ainsi rédigée :

L’éducation artistique et culturelle est principalement fondée sur les enseignements artistiques.

2° Deuxième phrase

a) Remplacer les mots :

L’éducation artistique et culturelle

par le mot :

Elle

b) Après le mot :

comprend

insérer le mot :

également 

Objet

Les auteurs de cet amendement souhaitent que les enseignements artistiques soient au cœur de l’éducation artistique et culturelle, et qu’ils puissent être renforcés par les parcours prévus par cet article.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 59

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes MORIN-DESAILLY, FÉRAT

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


ARTICLE 6


Alinéa 6, dernière phrase

Après le mot :

localement

insérer les mots :

et s'appuie sur les expérimentations menées par les contrats locaux d'éducation artistique

Objet

Les contrats locaux d'éducation artistique ont permis d'acquérir une expérience riche et importante dans la mise en place de temps de rencontre et d'action artistique au sein des établissements scolaires, périscolaires et des structures à vocation sociale, éducative ou culturelle. Cet amendement a pour objet d'en utiliser toutes les bonnes pratiques dans la mise en place du parcours d'éducation artistique et culturelle.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 58

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes MORIN-DESAILLY, FÉRAT

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


ARTICLE 6


Alinéa 6

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Les collectivités territoriales concernées doivent être associées à la mise en oeuvre de ce parcours.

Objet

Le parcours d'éducation artistique et culturelle sera mis en oeuvre localement et dépendra des acteurs et des structures existantes sur les territoires où se trouvent les écoles. Ainsi, les collectivités territoriales représenteront un acteur majeur de la mise en place de ce parcours.

Cet amendement a pour objet de bien prendre en compte les collectivités dans le processus de construction du parcours. Les élus ne doivent pas être que les financeurs de l'école, mais aussi des acteurs à part entière.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 395

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Sagesse du Sénat
Rejeté

Mmes MORIN-DESAILLY, FÉRAT

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


ARTICLE 6


Alinéa 6

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Il est mis en place dans les différents temps éducatifs, scolaire, périscolaire et extrascolaire.

Objet

Une réforme des rythmes scolaires est en cours. Elle doit permettre de libérer une partie du temps scolaire pour que les élèves abordent notamment une éducation artistique et culturelle plus fournie. Le parcours créé par cette loi ne doit pas se limiter à une organisation au sein du temps scolaire, mais aussi prendre en compte les activités qui seront développées dans les temps périscolaires et extrascolaires.






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N° 169

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mmes BOUCHOUX et BLANDIN, M. GATTOLIN

et les membres du groupe écologiste


ARTICLE 6


Compléter cet article par un alinéa ainsi rédigé :

° Au deuxième alinéa, après le mot : « plastiques », sont insérés les mots : « et visuels, ».

Objet

L’objectif de cet amendement est de mieux spécifier les objets sur lesquels portent l’éducation artistique et culturelle et le parcours qui la compose. Ainsi, il convient notamment d’ajouter les arts visuels en complément des arts plastiques.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 192 rect.

23 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS et MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU et LENOIR


ARTICLE 6 BIS


Rédiger ainsi cet article :

L'article L. 121-5 du code de l'éducation est ainsi rédigé :

« Art. L. 121-5. -L'éducation physique et sportive et le sport scolaire et universitaire contribuent à la rénovation du système éducatif, à la lutte contre l'échec scolaire, à la réduction des inégalités sociales et culturelles, et à l'éducation à la santé. »

Objet

Amendement rédactionnel.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 356 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

MM. LOZACH, MAGNER, ASSOULINE, CHIRON, Dominique BAILLY, ANTISTE, EBLÉ, DOMEIZEL, VINCENT, MADRELLE, ANTOINETTE, PERCHERON, ANDREONI, RAINAUD et GERMAIN, Mmes BLONDIN, Dominique GILLOT, Danielle MICHEL, LAURENT-PERRIGOT, LEPAGE, KHIARI

et les membres du Groupe socialiste et apparentés


ARTICLE 6 BIS


Rédiger ainsi cet article :

L'article L. 121-5 du code de l'éducation est ainsi modifié :

1° Les mots : « et le sport scolaire et universitaire » sont remplacés par les mots : « le sport scolaire et universitaire, et la contribution apportée par le sport aux apprentissages » ;

2° Après les mots : « l’échec scolaire », sont insérés les mots : « , à l’éducation à la santé et à la citoyenneté » ;

3° Il est ajouté une phrase ainsi rédigée :

« Leur mise en œuvre vise la complémentarité entre les pratiques sportives scolaires, périscolaires et extrascolaires, dans le cadre des projets éducatifs territoriaux et de partenariats avec le mouvement sportif associatif. »

Objet

Cet amendement vise à la fois à intégrer la dimension de l’éducation par le sport : le sport peut en effet être utilisé comme support ou vecteur d’apprentissage pour les autres matières d’enseignement, et à reconnaître le rôle du sport dans l’apprentissage de la vie en société et dans la construction de la citoyenneté.

Il entend fixer en outre un objectif de cohérence des pratiques sportives dans les différents temps de l’enfant : scolaire, périscolaire et extrascolaire.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 60 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Tombé

Mmes MORIN-DESAILLY, FÉRAT

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


ARTICLE 6 BIS


I. - Rédiger ainsi cet article :

L'article L. 121-5 du code de l'éducation est ainsi modifié :

1° Après les mots : « l'échec scolaire », sont insérés les mots : « , à l'éducation à la santé » ;

2° Il est complété par deux alinéas ainsi rédigés :

« Le sport scolaire joue un rôle fondamental dans l'accès des jeunes aux sports et à la vie associative, créant une dynamique et une cohésion au sein des communautés éducatives et entre les écoles et les établissements. Il contribue à l'éducation à la citoyenneté.

« L'éducation physique et sportive contribue également à promouvoir le respect de l'éthique et des valeurs éducatives et humanistes du sport. Elle favorise l'égalité des chances des jeunes. »

II. - En conséquence, faire précéder cet article d'une division additionnelle et son intitulé ainsi rédigés :

Section 2 bis A

L'éducation physique et sportive

Objet

L'éducation sportive n'est pas présente dans le projet de loi, alors qu'elle figure dans le rapport annexé, dans un paragraphe sur le développement du sport scolaire.

Au même titre que l'éducation artistique et culturelle, il paraît important de mettre en avant le sport scolaire et d'affirmer son rôle dans le développement de l'élève et dans sa sociabilisation.

Cet amendement crée donc un nouvel article visant à compléter l'article L. 121-5 du code de l'éducation qui traite déjà de l'éducation physique et sportive et du sport scolaire et universitaire, en reprenant une partie des objectifs fixés par le rapport. Il crée également une nouvelle section spécifique, par parallélisme des formes avec l'éducation artistique et culturelle.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 337

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Le Gouvernement


ARTICLE 6 TER


Alinéa 6

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cette disposition introduite en Commission est déjà satisfaite par une section du code l’éducation intitulée « l’éducation à la santé et à la sexualité » dans le livre III.

En effet, l’article L. 312-16 dispose qu’une « information et une éducation à la sexualité sont dispensées dans les écoles les collèges et les lycées à raison d’au moins trois séances annuelles (…)».

En outre, il précise que cette éducation à la sexualité est assurée par les personnels contribuant à la mission de santé scolaire ainsi que d’autres intervenants extérieurs.

Toutefois, pour marquer sa préoccupation relative à la mise en place effective de séances d’éducation à la sexualité, le Gouvernement propose également un amendement en ce sens à l’article 1er (alinéa 242).






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 529

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Tombé

Mme CARTRON

au nom de la commission de la culture


ARTICLE 6 TER


Alinéa 6

Supprimer les mots :

est assurée

Objet

Rédactionnel


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 357

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mme BLONDIN, M. MAGNER, Mmes Danielle MICHEL, Dominique GILLOT, LAURENT-PERRIGOT, LEPAGE et KHIARI, MM. LOZACH, ASSOULINE, CHIRON, Dominique BAILLY, ANTISTE, EBLÉ, DOMEIZEL, VINCENT, MADRELLE, ANTOINETTE, PERCHERON, ANDREONI, RAINAUD, GERMAIN

et les membres du Groupe socialiste et apparentés


ARTICLE 6 TER


Alinéa 7

Remplacer les mots :

et régional

par les mots :

, régional et départemental

Objet

Les conseils généraux sont partie prenante de la politique de prévention, notamment au travers de l’éducation sanitaire et du dépistage, pour éviter l’apparition, le développement ou l’aggravation des maladies et pour favoriser les comportements individuels et collectifs de prévention.  Ils sont particulièrement attentifs aux populations plus exposées que d’autres à certains risques : maladies à prévention vaccinale, tuberculose, état bucco-dentaire. Ils assurent en outre la promotion et réalisent la vaccination par le BCG selon les recommandations nationales chez les enfants à risque. Il convient donc de ne pas omettre ce niveau d’intervention de la politique de prévention sanitaire.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 358

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Sagesse du Sénat
Adopté

Mme BLONDIN, M. MAGNER, Mmes Danielle MICHEL, Dominique GILLOT, LAURENT-PERRIGOT, LEPAGE et KHIARI, MM. LOZACH, ASSOULINE, CHIRON, Dominique BAILLY, ANTISTE, EBLÉ, DOMEIZEL, VINCENT, MADRELLE, ANTOINETTE, PERCHERON, ANDREONI, RAINAUD, GERMAIN

et les membres du Groupe socialiste et apparentés


ARTICLE 6 TER


I. - Après l'alinéa 8

Insérer trois alinéas ainsi rédigés :

« 5° La détection précoce des problèmes de santé ou des carences de soins pouvant entraver la scolarité ;

« 6° L’accueil, l’écoute, l’accompagnement et le suivi individualisé des élèves ;

« 7° La participation à la veille épidémiologique par le recueil et l’exploitation de données statistiques. »

II. - Alinéa 9

Remplacer la référence :

par la référence :

Objet

Alors que le projet de loi propose d’inscrire la promotion de la santé à l’Ecole dans le code de l’éducation et de déterminer le champ de ses missions, il ne faudrait pas en donner une définition restrictive par rapport à l’existant.

Aussi convient-il d’intégrer :

La notion de détection précoce : qu’il s’agisse de troubles psychomoteurs, sensoriels, des apprentissages ou autres, la détection précoce constitue une mission déterminante pour assurer les conditions d’un parcours scolaire réussi,

La dimension individuelle à travers l’accueil et le suivi des élèves  dans les établissements scolaires, notamment dans les infirmeries des collèges et lycées ;

Le rôle des personnels de santé en matière d’observation et de surveillance épidémiologique, via entre autres les données recueilles par les infirmières dans Sagesse et par les médecins dans Medsi.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 61

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes MORIN-DESAILLY, FÉRAT

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Bien qu’enrichissant l’intitulé du « socle », le présent article en supprime l’exposé du contenu, qui de ce fait voit sa valeur législative initiale rétrogradée au rang réglementaire.

Autrement dit, on dégrade de fait le socle, qui ne fixe plus de cadre général aux objectifs de l’enseignement général et aux programmes.

En même temps, on dénie au Parlement sa compétence première de définir des cadres et des caps, ce qui revient finalement à des déclarations de principes.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 87

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. LE SCOUARNEC, Pierre LAURENT

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 7


Rédiger ainsi cet article :

I. – Le code de l'éducation est ainsi modifié :

1° L’article L. 122-1-1 est abrogé ;

2° À l'article L. 161-1, la référence : « L. 122-1-1 » est supprimée ;

3° Au deuxième alinéa de l’article L. 332-6, les mots : « atteste la maîtrise des connaissances et compétences définies à l’article L. 122-1-1, » sont supprimés ;

4° Au quatrième alinéa de l’article L. 337-3, les mots : « concourt à l’acquisition du socle commun de connaissances et de compétences mentionné à l’article L. 121-1-1 et » sont supprimés.

II. – Le premier alinéa de l’article L. 6111-2 du code du travail est supprimé.

Objet

Les auteurs de cet amendement sont opposés au socle commun tel qu’instauré par la loi Fillon de 2005. Nous pensons que l’éducation nationale doit faire réussir tous les élèves, s’appuyant sur le principe que tous les élèves sont capables d’apprendre. Le principe du socle est en contradiction avec cette vision.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 55 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. GUERRIAU, MERCERON et Jean-Léonce DUPONT


ARTICLE 7


Alinéa 3

Rédiger ainsi cet alinéa :

« La scolarité obligatoire doit au moins garantir à chaque élève les moyens nécessaires à l’acquisition d’un socle commun de connaissances, de compétences et de culture, auquel contribuent l’ensemble des enseignements dispensés au cours de la scolarité. La maîtrise du socle est indispensable pour accomplir avec succès sa scolarité, poursuivre sa formation, construire son avenir personnel et professionnel et se préparer à l’exercice de la citoyenneté. Les éléments de ce socle commun et les modalités de son acquisition progressive sont fixés par décret, après avis du Conseil supérieur des programmes. Les élèves qui éprouvent des difficultés dans cette acquisition reçoivent des aides et bénéficient des adaptations nécessaires à la poursuite de leur formation. » ;

Objet

Cette modification permet une prise en compte des difficultés d’apprentissage des élèves, qu’ils soient en situation de handicap ou non. Elle permet également d’intégrer la notion d’adaptation et donc la prise en compte des élèves ayant des besoins particuliers. Par là même, elle permet la poursuite, en établissement scolaire ordinaire, de la scolarisation des élèves en situation de handicap ayant des besoins particuliers.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 193

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


ARTICLE 7


Alinéa 3, première phrase

Rédiger ainsi cette phrase :

La scolarité obligatoire garantit à chaque élève les moyens nécessaires à l'acquisition d'une socle commun de connaissances et de compétences auquel contribue l'ensemble des enseignements dispensés au cours de la scolarité.

Objet

Il s'agit de supprimer la formulation initiale prévoyant que le socle commun doit "au moins garantir" les moyens nécessaires à l'acquisition du socle. Le socle commun représente les acquis essentiels, définis précisément, qu'un élève doit maîtriser à l'issue de sa scolarité.  La rédaction proposée met davantage en relief l'exigence absolue de maîtriser ces acquis à l'issue de la scolarité.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 89

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. LE SCOUARNEC, Pierre LAURENT

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 7


Alinéa 3, première phrase

Supprimer les mots :

au moins

Objet

Les auteurs de cet amendement ne souhaitent pas que le socle soit un minimum.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 88

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. LE SCOUARNEC, Pierre LAURENT

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 7


Alinéa 3

I. - Première phrase

Remplacer les mots :

un socle commun de connaissance, de compétences et de culture, auquel

par les mots :

une culture commune, à laquelle

II. - En conséquence :

1° Deuxième phrase

Remplacer les mots :

Le socle

par les mots :

cette culture commune

2° Troisième phrase

Remplacer les mots :

ce socle commun

par les mots :

cette culture commune

Objet

Amendement de repli visant à défendre l’idée d’une culture commune de haut niveau au lieu d’un socle commun.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 194

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


ARTICLE 7


Alinéa 3, première phrase

Remplacer les mots :

socle commun de connaissances, de compétences et de culture

par les mots :

socle commun de connaissances et de compétences

Objet

Il n’y a pas lieu d’introduire systématiquement le terme de "culture" dans les acquis des élèves, comme cela est prévu à divers endroits du texte.

Le socle commun représente les acquis essentiels, définis précisément, qu'un élève doit maîtriser à l'issue de sa scolarité. L'ajout du terme de "culture", flou et décalé par rapport à cette réalité, nuit à la pertinence de la rédaction proposée, alors qu'une loi sur l'Education se doit d'être précise.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 388

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Retiré

Le Gouvernement


ARTICLE 7


Alinéa 3, deuxième phrase

Rédiger ainsi cette phrase :

La maîtrise du socle permet de poursuivre avec succès sa scolarité et ses études, de construire son avenir personnel et professionnel et de se préparer à l’exercice de la citoyenneté.

Objet

Amendement rédactionnel.

La commission a amendé cette phrase, afin de lever tout risque d’interprétation du socle comme un dispositif minimaliste. Le gouvernement partage entièrement cet objectif : le socle commun de connaissances, de compétences et de culture n’est nullement un minimum, mais doit viser la plus grande ambition pour tous les élèves.

Cependant le socle n’étant ni un examen ni un diplôme, mais bien plutôt un référentiel, c’est sa « maîtrise » qui doit être recherchée, car de la sorte, les élèves seront outillés, tant pour poursuivre leur scolarité puis leurs études que pour réussir leur insertion dans la communauté des citoyens.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 290 rect. bis

22 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


ARTICLE 7


Alinéa 3, deuxième phrase

Après le mot :

poursuite d'études,

insérer les mots :

la maîtrise d'un parcours d'orientation choisie, tout au long de la scolarité à l'école, au collège et au lycée, qui constitue un véritable passeport orientation, 

Objet

Cet amendement est un amendement de coordination avec les alinéas 30 et 192 de l'annexe au présent projet de loi.

Il pérennise l'orientation comme une connaissance dont bénéficient les élèves dès leur plus jeune âge et  tout au long de leur scolarité. L'élève doit redevenir acteur de son orientation en étant informé tout au long de l'environnement dans lequel il évolue et pas seulement au collège, alors qu'il est trop tard pour lui donner tout son sens. Trop souvent l'orientation des élèves est subie et participe de l'échec scolaire ou éducatif. De nombreuses études l'ont démontré. Notre dispositif d'orientation doit retrouver ses lettres de noblesse, au cœur du système éducatif en y associant tous les acteurs du monde éducatif : les parents, les enseignants, les personnels éducatifs, les élèves, le monde professionnel. L'orientation doit prendre une nouvelle dimension, exhaustive, afin d'assurer la connaissance des élèves de l'ensemble des branches professionnelles existantes, qui leur ouvrent autant de perspectives pour leur avenir professionnel. Cette orientation, envisagée comme une connaissance, doit être pragmatique et systématique. A cette condition, elle deviendra un véritable outil pour lutter contre les inégalités sociales et contribuer à ouvrir davantage de perspectives aux élèves. Donner accès au plus large éventail des possibles, c'est en effet contribuer efficacement à lutter contre les inégalités sociales. Cette nouvelle dynamique permettra de revaloriser les filières d'orientation professionnelle et d'apprentissage.

Ce parcours d'orientation choisie doit être mis en œuvre par les conseillers d'orientation en coordination avec l'ensemble des acteurs éducatifs : personnel enseignant, élèves, parents, personnel éducatif. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 90

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. LE SCOUARNEC, Pierre LAURENT

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 7


Alinéa 3, dernière phrase

Supprimer cette phrase.

Objet

Les auteurs de cet amendement ne souhaitent pas se référer aux recommandations du parlement européen, qui sont bien trop restrictives. Elles ne font références qu’à des compétences, et amoindrissent ainsi la portée de la réforme opérée par le texte sur le socle commun censé être « de connaissances, de compétences » mais aussi « de culture. »






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N° 195

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Adopté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


ARTICLE 7


Alinéa 3, dernière phrase

Supprimer cette phrase.

Objet

La notion de socle commun de connaissances et de compétences est une innovation majeure de la loi Fillon de 2005 qui a permis de définir dans la loi le bagage minimum que garantit l'Etat à chaque élève à l'issue de sa scolarité. Or, la nouvelle rédaction proposée de l'article L.122-1-1 renvoie à un décret la définition des éléments de ce socle commun.

La conception et les composantes du socle commun relèvent du Parlement et non du pouvoir réglementaire. Il est en effet essentiel que le socle commun donne lieu à débat et soit inscrit dans la loi.

Il appartient en effet au Parlement d'exprimer clairement et concrètement les objectifs que la Nation fixe à son système éducatif.








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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 62

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes FÉRAT, MORIN-DESAILLY

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


ARTICLE 7


Alinéa 3, dernière phrase

Remplacer cette phrase par deux phrases ainsi rédigées :

Le socle s’organise en quatre grandes catégories : la maîtrise de la langue française, les principaux éléments de culture scientifique et de mathématiques, les humanités, la pratique d'au moins une langue vivante étrangère. Ses contenus et ses modalités d’acquisition progressive sont fixés par décret.

Objet

Le socle commun est un acquis fondamental qui nécessite aujourd’hui la simplification et la stabilisation de ses contenus. Etabli autour de 5 piliers par la loi n° 2005-380 du 23 avril 2005 d’orientation et de programme pour l’avenir de l’école, il a été enrichi de deux nouveaux piliers par un décret du 11 juillet 2006 – les « compétences sociales et civiques », ainsi que « l’autonomie et l’initiative ».

Cette simplification ne justifie pas pour autant de faire disparaître les éléments du nouveau socle, comme se propose de le faire le présent texte de loi, au risque de l’imprécision du texte législatif et de difficultés dans sa mise en œuvre ultérieure.

Aussi, le présent amendement vise, d’une part, à citer les piliers du socle, tout en réduisant leur nombre de 5 à 4.






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N° 197

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


ARTICLE 7


Après l'alinéa 3

Insérer huit alinéas ainsi rédigés :

« Ce socle comprend :

« - la maîtrise de la langue française ;

« - la maîtrise des principaux éléments de mathématiques ;

« - une culture humaniste et scientifique permettant le libre exercice de la citoyenneté ;

« - la pratique d'au moins une langue vivante étrangère ;

« - la maîtrise des techniques usuelles de l'information et de la communication.

« Les modalités d'acquisition progressive de ce socle commun sont fixées par décret après avis du Conseil supérieur des programmes.

« Le Gouvernement présente tous les trois ans au Parlement un rapport sur la manière dont les programmes prennent en compte le socle commun et sur la maîtrise de celui-ci par les élèves au cours de leur scolarité. » ;

Objet

Amendement de cohérence avec l'amendement précédent.

Il s'agit de revenir à l'esprit de la loi Fillon : il appartient à la loi et non au domaine réglementaire de définir l'ensemble des connaissances et de compétences constituant le socle commun des acquis de l'élève.

D'autre part, un contrôle de la mise en oeuvre du socle commun et de son efficacité doit être opéré au moyen de la remise d'un rapport du Gouvernement au Parlement tous les trois ans.






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N° 196

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


ARTICLE 8


Alinéa 3

Après les mots :

niveau V

insérer les mots :

ou un titre professionnel enregistré et classé au premier niveau

Objet

Cet amendement rétablit la rédaction initiale du texte et respecte la double mission du répertoire national des certifications professionnelles : élaborer l’inventaire de toutes les formes de certification tel que prescrit à l’article L. 335-6 du code de l'éducation et élaborer une nouvelle nomenclature des niveaux de certification en rapport avec les emplois occupés, et susceptible de permettre des comparaisons européennes et internationales.






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N° 314 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


ARTICLE 8


Alinéa 5, première phrase

Remplacer le mot :

éducatif

par le mot :

scolaire

Objet

Amendement rédactionnel.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 63

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes MORIN-DESAILLY, FÉRAT

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


ARTICLE 10


Alinéa 2

Rédiger ainsi cet alinéa :

« L'État confie, à sa charge, à l'éducation nationale, une mission de service public du numérique éducatif et de l'enseignement à distance, dont les objectifs sont de :

Objet

Cet article vise à ne pas circonscrire à la création d’un service public du numérique la prise en compte du numérique à l’école, tant les développements permanents des pratiques et des outils associent largement différents acteurs de la société toute entière.






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Refondation de l'école de la République

(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 386

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Favorable
Adopté

Le Gouvernement


ARTICLE 10


Alinéa 2

Rédiger ainsi cet alinéa :

« Dans le cadre du service public de l’enseignement et afin de contribuer à ses missions, un service public du numérique éducatif et de l’enseignement à distance est organisé pour notamment :

Objet

L’amendement vise à revenir à la rédaction adoptée par l’Assemblée nationale, afin de lever une ambiguïté introduite par la version proposée en Commission.

L’organisation du service public du numérique éducatif et de l’enseignement à distance au sein du service public de l’enseignement mobilise l’ensemble des acteurs du numérique éducatif, sans préjuger des multiples modalités de financement et de mise en œuvre de leurs missions.

 






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 385 rect.

23 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Le Gouvernement


ARTICLE 10


I. – Alinéas 3 et 4

Rédiger ainsi ces alinéas :

«  1° Mettre à disposition des écoles et des établissements scolaires des services numériques permettant de prolonger l’offre des enseignements qui y sont dispensés, d’enrichir les modalités d’enseignement et de faciliter la mise en œuvre d’une aide personnalisée à tous les élèves ;

«  2° Proposer aux enseignants une offre diversifiée de ressources pédagogiques, des contenus et des services, contribuant à leur formation ainsi que des outils de suivi de leurs élèves et de communication avec les familles ;

II. – Alinéa 6

Rédiger ainsi cet alinéa

« 4° Contribue au développement de projets innovants et à des expérimentations pédagogiques favorisant les usages du numérique à l’école et la coopération.

Objet

 

L’amendement est rédactionnel.

Il vise d’une part à éviter les répétitions, trop nombreuses dans l’actuelle version des alinéas 3 et 4.

Pour davantage de cohérence, il déplace d’autre part l’insertion sur l’innovation et les expérimentations pédagogiques à l’alinéa 6, consacré au développement de projets innovants.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 64

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes MORIN-DESAILLY, FÉRAT

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


ARTICLE 10


Alinéa 4

Remplacer les mots :

Proposer aux enseignants

par les mots :

Inciter les enseignants à avoir recours à

Objet

Cet amendement vise à inciter les enseignants, dans le cadre de la communication avec les familles, à mettre en place, si ce n’est un site internet de l’école, au moins un carnet de correspondance numérique en remplacement du carnet de correspondance papier traditionnel pour les familles qui le souhaitent. Ce n’est pas contraignant puisque très concrètement les informations inscrites dans ces carnets sont rédigées numériquement, imprimées puis collées dans les cahiers.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 198

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Tombé

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


ARTICLE 10


Alinéa 4

Après le mot :

pédagogiques

insérer les mots :

, respectant leur liberté de choix,

Objet

La promotion du numérique éducatif va conduire à proposer aux enseignants une offre diversifiée de ressources pédagogiques.

Cela ne doit pas remettre en cause la liberté pédagogique des enseignants. Cet amendement a pour objectif de rappeler ce point essentiel, car le principe de liberté pédagogique des enseignants face au développement du numérique n'est rappelé nulle part dans le texte gouvernemental.




NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 65 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes MORIN-DESAILLY, FÉRAT

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


ARTICLE 10


Alinéa 5

Compléter cet alinéa par les mots et une phrase ainsi rédigée :

, notamment ceux à besoins éducatifs particuliers. Des supports numériques adaptés peuvent être fournis en fonction des besoins spécifiques de l’élève ;

Objet

L’objectif de mobiliser l’outil numérique pour l’éducation est tout naturellement plus impérieux pour les enfants éloignés des bancs de l’école, qui connaissent en outre des difficultés d’apprentissage.

Cet amendement vise à garantir à ces enfants une mobilisation optimale de l’outil numérique.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 91

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. LE SCOUARNEC, Pierre LAURENT

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 10


Après l’article 10

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Les articles L. 133-1, L. 133-2, L. 133-3, L. 133-4, L. 133-5, L. 133-6, L. 133-7, L. 133-8, L. 133-9, L. 133-10, L. 133-11 et L. 133-12 du code de l’éducation sont abrogés.

Objet

Les auteurs de cet amendement souhaitent supprimer les dispositions introduites par la loi n° 2008-790 instituant un service minimum à l’école.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 92 rect.

23 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Défavorable
Adopté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. LE SCOUARNEC, Pierre LAURENT

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 10


Après l'article 10

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le Gouvernement établit un rapport évaluant l’impact des dispositions de la loi n° 2008-790 instituant un droit d'accueil pour les élèves des écoles maternelles et élémentaires pendant le temps scolaire. Ce rapport est remis au plus tard le 31 décembre 2014 aux commissions compétentes de l’Assemblée nationale et du Sénat.

Objet

Amendement de repli. Les auteurs de cet amendement souhaitent, qu’à défaut de suppression, une évaluation des dispositions introduites par la loi n° 2008-790 instituant un service minimum à l’école soit opéré.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 36 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

M. CARLE, Mme PRIMAS, MM. HUMBERT et Bernard FOURNIER, Mmes MÉLOT et DUCHÊNE et M. DUVERNOIS


ARTICLE ADDITIONNEL AVANT ARTICLE 11


Avant l’article 11

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Après l’article L. 912-1-3 du code de l’éducation, il est inséré un article L. 912-1-… ainsi rédigé :

« Art. L. 912-1-… – L’organisation de l’enseignement scolaire vise à ce que les enseignants les plus performants soient en priorité affectés dans les zones d’éducation prioritaire. Sa réalisation est mise en œuvre sous la forme notamment de dispositions réglementaires, d’incitations financières ou d’accords négociés ».

« Les outils permettant le calcul économétrique de la valeur ajoutée des enseignants sont déterminés par décret. »

Objet

Cet amendement vise à inciter les enseignants les plus efficaces à exercer leur métier là où la concentration de la grande difficulté scolaire est la plus importante.

Depuis plus de 20 ans, nous savons que le déterminant le plus important de l’apprentissage et de la réussite des élèves résulte du travail de l’enseignant. C’est ce que les chercheurs en éducation ont appelé l’effet-maître. L’effet maître, qui peut être vulgarisé comme la pratique pédagogique de l’enseignant, peut venir contrebalancer l’ensemble des autres effets exogènes (milieu socio-économique de l’élève notamment). Cet effet maître affecte la performance scolaire de tous les élèves et, parmi ceux-ci, ce sont les élèves en difficulté qui en sont les plus grands bénéficiaires potentiels. Ainsi, si les élèves les plus faibles étaient confiés aux meilleurs enseignants, ils obtiendraient presque les mêmes résultats que les meilleurs élèves.

Aujourd’hui, l’effet maître est subi puisque l’affectation des enseignants est déterminée par leur ancienneté et non par les besoins des élèves. 

Il importe par conséquent, dans un souci de pilotage plus efficient du système éducatif, d’identifier les enseignants les plus efficaces et d’en faire bénéficier les élèves qui en ont le plus besoin. C’est là un objectif d’équité sociale mais c’est aussi ce qui permettra d’améliorer significativement la performance de notre système éducatif.

Il est donc nécessaire de créer au sein du système éducatif un instrument permettant de mesurer l’impact du travail des enseignants sur la progression des élèves, au moment les plus déterminants de leur scolarité (cycles des apprentissages fondamentaux).

Un tel instrument, au-delà du fait qu’il permettrait, si l’incitation proposée à l’enseignant est suffisante, d’orienter très rapidement les enseignants les plus efficaces vers les élèves qui en ont le plus besoin, permettrait de pouvoir diagnostiquer les déterminants des pratiques pédagogiques les plus efficaces. Or, aujourd’hui les pratiques pédagogiques ne sont pas observées. Par conséquent, les bonnes pratiques pédagogiques ne peuvent être diffusées puisqu’elles ne sont pas connues.

Le vote de cet amendement porte en germe un pilotage plus efficace du système éducatif.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 66

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes FÉRAT, MORIN-DESAILLY

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


ARTICLE ADDITIONNEL AVANT ARTICLE 11


Avant l'article 11

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Les collectivités territoriales sont associées à la définition des grandes orientations et des expérimentations menées par l’éducation nationale ainsi qu’à leurs déclinaisons territoriales, notamment dans le cadre du Conseil territorial de l’éducation nationale, dont les attributions sont précisées à l’article L. 239-1 du code de l'éducation.

Objet

Si l’État a vocation à définir et à impulser les politiques nationales liées à l’éducation, la déclinaison de ces programmes ou de ces expérimentations en territoires doit faire l’objet d’un partenariat constant, avec les collectivités territoriales concernées.

Tel est l’objet du présent amendement.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 93

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. LE SCOUARNEC, Pierre LAURENT

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 11


Supprimer cet article.

Objet

Les auteurs de cet amendement sont opposés à la régionalisation de la formation professionnelle que porte cet article.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 95

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. LE SCOUARNEC, Pierre LAURENT

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 11


Alinéa 2, seconde phrase

Supprimer cette phrase.

Objet

Les auteurs de cet amendement ne souhaitent pas conforter davantage le rôle de la région en matière de formation. L’Etat doit pouvoir arrêter la structure pédagogique générale des établissements d’enseignement du second degré sans avoir pour autant besoin de consulter et de recueillir l’avis de la région.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 94

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. LE SCOUARNEC, Pierre LAURENT

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 11


Alinéa 2, seconde phrase

Compléter cette phrase par les mots :

, dans le respect du principe de continuité du service public de l’éducation en matière de formation professionnelle

Objet

Les auteurs de cet amendement souhaitent que les décisions prises se fassent dans le respect de la continuité du service public de l’éducation.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 199

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


ARTICLE 12


Supprimer cet article.

Objet

Cet article réécrit l'article L.211-8 du code de l'éducation qui énonce que l'Etat prend en charge les dépenses pédagogiques des collèges, des lycées et des établissements d'éducation spéciale dont la liste est arrêtée par décret.

Le fait que ces dépenses pourront viser des outils numériques ne doit pas entraîner une modification de rédaction de cet article, qui supprimerait sans aucun fondement l'écriture de cette liste par décret.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 353

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Le Gouvernement


ARTICLE 12 BIS


Alinéa 2

Au début de cet alinéa, insérer les mots :

Lorsque cela favorise la mixité sociale,

Objet

Le Gouvernement se félicite de cette disposition, introduite par la Commission.

Il s'agit en effet d'un levier important pour favoriser la mixité sociale au sein des établissements, comme le montrent des expériences françaises (Ville de Saint-Etienne) ou internationales (Nimègue).

Il propose cependant de préciser la rédaction pour que cette possibilité nouvelle serve bien à des fins de mixité sociale et non de mise en concurrence des établissements.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 13

16 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

Mme CAMPION

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 13


Alinéa 2, deuxième phrase

Remplacer les mots :

et le fonctionnement

par les mots :

, le fonctionnement et l’accessibilité

Objet

Depuis les lois de décentralisation de 1982 et 1983, les départements sont chargés de la construction, de l’équipement et du fonctionnement des collèges.

Comme tous les établissements recevant du public (ERP), les collèges sont soumis à l’obligation d’accessibilité définie à l’article 41 de la loi n° 2005-102 du 11 février 2005.

Les travaux de mise en accessibilité incombent aux départements en tant que collectivités gestionnaires de ces établissements scolaires.

Cet amendement entend le rappeler à l’occasion de l’article 13 du présent projet de loi qui énumère les compétences des départements s’agissant des collèges.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 48 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Non soutenu

MM. GUERRIAU, Jean-Léonce DUPONT et MERCERON


ARTICLE 13


Alinéa 2, deuxième phrase

Compléter cette phrase par les mots :

, dans une logique d’accessibilité universelle

Objet

Cette modification constitue un rappel de la responsabilité des régions pour la mise en accessibilité, mais aussi le maintien de cette accessibilité, des lycées.

En outre, elle permet de penser l’accessibilité de tout pour tous en intégrant le principe de conception universelle, c'est-à-dire « la conception de produits, d’équipements, de programmes et de services qui puissent être utilisés par tous, dans toute la mesure possible, sans nécessiter ni adaptation ni conception spéciale » (Article 2 de la convention de l’ONU).

Ainsi, la 3ème phrase de ce premier alinéa précise que la région a la charge, à ce titre, de l’acquisition des équipements, dont les matériels informatiques et des logiciels nécessaires à l’enseignement. Il importe donc que le choix de ces équipements, matériels et logiciels se fasse dans cette logique.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 14

16 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

Mme CAMPION

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 14


Alinéa 2, deuxième phrase

Remplacer les mots :

et le fonctionnement

par les mots :

, le fonctionnement et l’accessibilité

Objet

Depuis les lois de décentralisation de 1982 et 1983, les régions sont chargées de la construction, de l’équipement et du fonctionnement des lycées.

Comme tous les établissements recevant du public (ERP), les lycées sont soumis à l’obligation d’accessibilité définie à l’article 41 de la loi n° 2005-102 du 11 février 2005.

Les travaux de mise en accessibilité incombent aux régions en tant que collectivités gestionnaires de ces établissements scolaires.

Cet amendement entend le rappeler à l’occasion de l’article 14 du présent projet de loi qui énumère les compétences des régions s’agissant des lycées.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 49 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Non soutenu

MM. GUERRIAU, MERCERON et Jean-Léonce DUPONT


ARTICLE 14


Alinéa 2, deuxième phrase

Compléter cette phrase par les mots :

dans une logique d’accessibilité universelle

Objet

Cette modification constitue un rappel de la responsabilité des régions pour la mise en accessibilité, mais aussi le maintien de cette accessibilité, des lycées.

En outre, elle permet de penser l’accessibilité de tout pour tous en intégrant le principe de conception universelle, c’est-à-dire « la conception de produits, d’équipements, de programmes et de services qui puissent être utilisés par tous, dans toute la mesure possible, sans nécessiter ni adaptation ni conception spéciale » (Article 2 de la convention de l’ONU).

Ainsi, la 3ème phrase de ce premier alinéa précise que la région a la charge, à ce titre, de l’acquisition des équipements, dont les matériels informatiques et des logiciels nécessaires à l’enseignement. Il importe donc que le choix de ces équipements, matériels et logiciels se fasse dans cette logique.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 396

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mmes FÉRAT, MORIN-DESAILLY

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


ARTICLE 14


Alinéa 2

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Pour le fonctionnement des établissements d’enseignement agricole mentionnés à l’article L. 811-8 du code rural et de la pêche maritime, la région a la charge du transport pédagogique des élèves assuré dans le cadre des enseignements réguliers.

Objet

Cet amendement vise à clarifier juridiquement l’hétérogénéité des situations rencontrées d’une région à l’autre quant à leur compétence en matière de déplacement pédagogique des élèves de l’enseignement agricole.

La loi n° 2004-809 relative aux libertés et responsabilités locales du 13 août 2004 a transféré aux collectivités territoriales les missions liées au fonctionnement des EPLE (Établissements Publics Locaux d’Enseignement). Le recrutement et la gestion des agents – TOS (Technicien Ouvrier Service) exerçant ces missions ont également été transférés aux collectivités territoriales, ainsi que les services.

La loi de 2004 ne mentionne pas explicitement l’une des spécificités liée au fonctionnement des lycées agricoles, à savoir la mission « de transport pédagogique des élèves ». Mission qui était assurée par les personnels TOS et qui relève du fonctionnement de ces établissements.

Malgré plusieurs réponses du ministère de l’agriculture, précisant que cette mission avait bien été transférée aux régions, ainsi que les personnels, l’application n’est pas la même d’une région à l’autre.

Cet amendement vise donc à clarifier la loi et non pas à créer une nouvelle charge pour les Conseils régionaux.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 96

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Tombé

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. LE SCOUARNEC, Pierre LAURENT

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 14


Après l'alinéa 2

Compléter cet article par trois alinéas ainsi rédigés :

(nouveau) Après le premier alinéa du même article L. 214-6, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :

« Pour les établissements d’enseignement agricole mentionnés à l’article L. 811-8 du code rural et de la pêche maritime, le fonctionnement comprend le transport pédagogique des élèves nécessaire aux enseignements réguliers. »

II (nouveau) . -  Le second alinéa de l’article L. 913-1 du même code est complété par les mots : « et, dans les lycées agricoles, ils contribuent au transport pédagogique des élèves nécessaire aux enseignements réguliers ».

Objet

Cet amendement a pour objet d’apporter une clarification juridique suite à la décentralisation des personnels TOS au Régions, conformément à la loi de 2004.

Dans les lycées d’enseignement agricole public, ces personnels assuraient plusieurs missions durant leur service, dont celle de transport dit pédagogique des élèves dans le cadre des enseignements réguliers. En raisons de divergence d’interprétation sur les conséquences du transfert de ces personnels, certaines régions refusent de continuer à mettre à disposition des établissements ces personnels pour assurer cette mission de transport pédagogique ce qui nuit au bon fonctionnement de ces établissements.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 32

16 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G  
Retiré

M. HAUT

au nom de la commission des finances


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 14 BIS A


Après l’article 14 bis A

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’article L. 212-15 du code de l’éducation est ainsi modifié :

1° À la première phrase du premier alinéa, les mots : « et après avis du conseil d’administration ou d’école et, le cas échéant, accord » sont remplacés par les mots : « et après accord, le cas échéant, » ;

2° Après le premier alinéa, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :

« Le maire informe le directeur d’établissement de l’utilisation des locaux et équipements. Le conseil d’administration ou d’école est consulté une fois par an sur les utilisations envisagées. »

Objet

L’évolution des normes engendre des dépenses importantes pour les collectivités territoriales. Comme André Laignel, président du comité des finances locales (CFL), l’a observé lors de son audition par la commission des finances le 10 avril dernier, « pour les premiers mois de l’année [2013], la commission consultative d’évaluation des normes a d’ores et déjà pris acte d’environ 800 millions d’euros de charges nouvelles, qui ne comprennent ni la réforme des rythmes scolaires, ni l’impact de l’augmentation de la taxe sur la valeur ajoutée ».

Cet amendement vise à simplifier la procédure de mise à disposition des locaux et équipements scolaires pour les activités périscolaires, en prévoyant, pour les écoles maternelles et primaires, une consultation annuelle du conseil d’administration ou d’école sur les utilisations envisagées, et non plus des consultations multiples, au cas par cas.

Cet amendement reprend ainsi une proposition du « rapport Doligé » de 2011 (proposition n° 209).






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 33

16 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Retiré

M. HAUT

au nom de la commission des finances


ARTICLE 14 BIS


I. – Alinéa 2, première phrase

Remplacer les mots :

, après avis du conseil d’administration et, le cas échéant, accord

par les mots :

et après accord, le cas échéant,

II. – Après l’alinéa 2

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« Le président du conseil général informe le directeur d’établissement de l’utilisation des locaux et équipements. Le conseil d’administration est consulté une fois par an sur les utilisations envisagées.  

Objet

Dans un souci de simplification des normes applicables aux collectivités territoriales, dont l’évolution entraîne des dépenses importantes pour les collectivités territoriales, cet amendement reprend la logique de l’amendement précédent portant article additionnel après l’article 14, en prévoyant une consultation annuelle du conseil d’administration sur les utilisations envisagées, et non plus des consultations multiples, au cas par cas. Le présent amendement vise les collèges.






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Refondation de l'école de la République

(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 97

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. LE SCOUARNEC, Pierre LAURENT

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 14 BIS


Alinéa 2, première phrase

Remplacer le mot :

avis

par le mot :

accord

Objet

Cet amendement s’attache à ce que cette utilisation, moyennant finance, des établissements ne puisse intervenir sans l’accord du conseil d’administration.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 200

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


ARTICLE 14 BIS


Alinéa 2, première phrase

Après le mot :

citoyenne

insérer les mots :

, à l'exclusion des réunions à caractère politique, sauf en période électorale,

Objet

Cet article prévoit l'utilisation de locaux et d'équipements scolaires par des entreprises, des organismes de formation ou des associations. Concernant les associations, il précise que celles-ci pourront utiliser les locaux pour les besoins "de la vie citoyenne", expression particulièrement floue. Par cet amendement, il s'agit d'éviter une interprétation de cette interprétation qui pourrait donner lieu à la présence de réunions à caractère politique dans des établissements de l'Education nationale.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 34

16 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Retiré

M. HAUT

au nom de la commission des finances


ARTICLE 15


I. – Alinéa 2, première phrase

Remplacer les mots :

, après avis du conseil d’administration de l’établissement et, le cas échéant, accord

par les mots :

et après accord, le cas échéant,

II. – Après l’alinéa 2

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« Le président du conseil régional ou le président du conseil exécutif de Corse informe le directeur d’établissement de l’utilisation des locaux et équipements. Le conseil d’administration de l’établissement est consulté une fois par an sur les utilisations envisagées.  

Objet

Dans un souci de simplification des normes applicables aux collectivités territoriales, dont l’évolution entraîne des dépenses importantes pour les collectivités territoriales, cet amendement reprend la logique de deux amendements précédents de la commission des finances, en prévoyant une consultation annuelle du conseil d’administration sur les utilisations envisagées, et non plus des consultations multiples, au cas par cas. Le présent amendement vise les lycées.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 98

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. LE SCOUARNEC, Pierre LAURENT

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 15


Alinéa 2, première phrase

Remplacer le mot :

avis

par le mot :

accord

Objet

Cet amendement s’attache à ce que cette utilisation, moyennant finances, des établissements ne puisse intervenir sans l’accord du conseil d’administration.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 201

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Retiré

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


ARTICLE 15


Alinéa 2, première phrase

Après le mot :

citoyenne

insérer les mots :

, à l'exclusion des réunions à caractère politique, sauf en période électorale,

Objet

Cet article prévoit l'utilisation de locaux et d'équipements scolaires par des entreprises, des organismes de formation ou des associations. Concernant les associations, il précise que celles-ci pourront utiliser les locaux pour les besoins "de la vie citoyenne", expression particulièrement floue. Par cet amendement, il s'agit d'éviter une interprétation de cette interprétation qui pourrait donner lieu à la présence de réunions à caractère politique dans des établissements de l'Education nationale.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 99

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. LE SCOUARNEC, Pierre LAURENT

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

Les auteurs de cet amendement sont opposés à la régionalisation de la formation professionnelle que porte cet article.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 100

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. Pierre LAURENT, LE SCOUARNEC

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 16


Alinéa 2, première phrase

Compléter cette phrase par les mots :

dans le respect des décisions des autorités de l'État qui peuvent s'y opposer en cas d'atteinte à la continuité du service public de l'éducation

Objet

Amendement de repli. Si la région a un pouvoir accru en matière de formation professionnelle puisqu’elle élabore le contrat de plan régional de développement des formations professionnelles et arrête la carte des formations professionnelles, les auteurs de cet amendement souhaitent à minima que l’Etat, seul à même de garantir la continuité du service public de l’éducation sur l’ensemble du territoire national, puisse s’opposer aux décisions régionales qui contreviendraient à ce principe.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 101

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. Pierre LAURENT, LE SCOUARNEC

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 16


Alinéa 2, seconde phrase

Après les mots :

L. 214-13 et

insérer les mots :

, après accord du recteur,

Objet

Amendement de coordination avec la réécriture de l’article 18.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 102

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. Pierre LAURENT, LE SCOUARNEC

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Les auteurs de cet amendement sont opposés à ce que les régions prennent une place prépondérante par rapport aux services de l’Etat en matière de détermination de la carte des formations professionnelles. Ils plaident pour qu’un équilibre soit maintenu entre ces deux niveaux d’administration.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 103

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. Pierre LAURENT, LE SCOUARNEC

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 17


Remplacer le mot :

trois

par le mot :

deux

Objet

Amendement de repli : les auteurs de cet amendement sont opposés à la régionalisation de la formation professionnelle que porte cet article et souhaitent a minima conserver la phrase suivante : « A défaut d’accord, les autorités de l’Etat prennent, pour ce qui les concerne, les décisions nécessaires à la continuité du service public de l’éducation ».






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 104

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. Pierre LAURENT, LE SCOUARNEC

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Les auteurs de cet amendement sont opposés à la régionalisation de la formation professionnelle que porte cet article.

L’article 18 reprend une partie des dispositions supprimées à l’article L214-13 et ménage une place prépondérante aux régions dans la définition des cartes régionales des formations professionnelles. Les auteurs de cet amendement craignent que les priorités d’ordre économique prennent le pas sur la nécessaire continuité du service public de l’éducation, au détriment notamment des souhaits de formation des personnes formées.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 316 rect. bis

22 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


ARTICLE 18


Alinéa 2, seconde phrase

Rédiger ainsi cette phrase :

Parallèlement, la région, après concertation avec toutes les branches professionnelles et leurs organisations syndicales professionnelles des employeurs et des salariés, procède au même classement. 

Objet

L'ensemble des branches professionnelles et leurs organisations syndicales doivent pouvoir participer à la concertation permettant d'établir l'état des lieux des besoins régionaux puisqu'elles ont toutes des besoins de formation professionnelle et peuvent développer de l'emploi non délocalisable (comme les branches de l'économie sociale et solidaire). Certaines branches ne doivent pas être oubliées du fait que leurs syndicats d'employeurs ne sont pas représentatifs.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 68 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes MORIN-DESAILLY, FÉRAT

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


ARTICLE 18


Alinéa 2, seconde phrase

Remplacer les mots :

et les organisations syndicales représentatives des employeurs et des salariés concernés,

par les mots :

, les organisations syndicales représentatives des employeurs et des salariés concernés et Pôle Emploi,

Objet

L'objet du présent amendement est d'instaurer un lien entre la carte des formations et l’offre concrète d’emplois, d’où l’intégration de Pôle Emploi dans le dispositif prévu par la loi. Les faits montrent qu’il peut y avoir un décalage trop important entre les deux.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 105

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. LE SCOUARNEC, Pierre LAURENT

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 18


Alinéa 3

1° Supprimer les mots :

, signée par

et le mot :

celles-ci

2° Compléter cet alinéa par les mots et une phrase ainsi rédigée :

dans le respect du principe de continuité du service public de l’éducation. À défaut d’accord, les autorités de l’État prennent, pour ce qui les concerne, les décisions nécessaires à la continuité du service public de l’éducation.

Objet

Les auteurs de cet amendement sont opposés à la régionalisation de la formation professionnelle que porte cet article.

Le 1° supprime des termes superflus au regard du deuxième alinéa du IV de l’article L214-13 du code de l’éducation qui dispose que les conventions sont signées « par le président du conseil régional, le représentant de l’Etat […] »

Le 2° précise que le classement opéré par les autorités académiques et la région respectent le principe de continuité du service public, et réintroduit une formulation supprimée par l’article 17 qui dispose qu’en cas de désaccord entre les signataires de la convention, les autorités de l’Etat prennent pour ce qui les concerne les décisions nécessaires à la continuité du service public de l’éducation.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 106

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. LE SCOUARNEC, Pierre LAURENT

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 18


Alinéa 4

Rédiger ainsi cet alinéa :

« Chaque année, l’État arrête la carte régionale des formations professionnelles initiales, conformément aux choix retenus par la convention mentionnée au deuxième alinéa du présent article. »

Objet

Les auteurs de cet amendement sont opposés à la régionalisation de la formation professionnelle que porte cet article. Il revient à l’Etat d’arrêter les cartes régionales des formations professionnelles initiales conformément à la convention signée entre les autorités académiques et la région et qui seront mises en œuvre dans l’exercice de leurs compétences respectives, par l’Etat et la région.

C’est le sens du présent amendement.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 107

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. LE SCOUARNEC, Pierre LAURENT

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 18


Alinéa 4

Rédiger ainsi cet alinéa :

«  Chaque année, la région propose une carte régionale des formations professionnelles initiales, conformément aux chois retenus par la convention mentionnée au deuxième alinéa du présent article. L’État arrête la carte régionale des formations professionnelles initiales. »

Objet

Amendement de repli. Les auteurs de cet amendement sont opposés à la régionalisation de la formation professionnelle que porte cet article. C’est l’Etat, après un dialogue avec la région, que doit continuer à arrêter la carte des formations professionnelles initiales.






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N° 526

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Retiré

Le Gouvernement


ARTICLE 18


Alinéa 4

Rédiger ainsi cet alinéa :

« Chaque année, la région arrête la carte régionale des formations professionnelles initiales, conformément, d’une part, aux choix retenus par la convention signée par les autorités académiques et la région et mentionnée au deuxième alinéa du présent article et, d’autre part,  aux décisions d’ouverture et de fermeture de formations par l’apprentissage que la région aura prises.

Objet

Le Gouvernement souhaite préciser que la région arrête la carte des formations professionnelles initiales conformément aux choix retenus par la convention annuelle signée conjointement par les autorités académiques et par la région. Cette convention fixe le classement par ordre de priorité des ouvertures et fermetures de sections de formation professionnelle initiale, en fonction des moyens disponibles.

La signature conjointe de cette convention est un préalable nécessaire à l’élaboration de la carte régionale des formations.

 






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 211

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


ARTICLE 18


Alinéa 4

Après le mot :

arrête

insérer les mots :

, après avis du comité de coordination régional de l’emploi et de la formation professionnelle,

Objet

Il est nécessaire que le comité de coordination régional de l’emploi et de la formation professionnelle donne un avis sur la carte régionale des formations professionnelles avant que celle-ci soit arrêtée par la région. La représentation du comité de coordination régional de l’emploi et de la formation professionnelle (CCREFP), notamment par la présence des partenaires sociaux  et des représentants des chambres consulaires, garantit que la carte est conforme aux besoins économiques et sociaux du territoire et aux souhaits exprimés par les secteurs professionnels. Cette compétence renforce également le rôle du CCREFP, comme acteur majeur de la gouvernance régionale.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 212

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


ARTICLE 18


Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

En cas d’avis négatif, du comité de coordination régional de l’emploi et de la formation professionnelle, la région arrête la carte régionale des formations professionnelles initiales à la majorité des deux tiers des votes exprimés.

Objet

Cet amendement prévoit une règle de délibération spécifique en cas d’avis négatif du CCREFP. Ce mode de fonctionnement a pour objet de contraindre le conseil régional à tenir compte de l’avis des partenaires sociaux sans pour autant bloquer le processus de décision régionale. C’est donc dans le cadre de politiques partenariales renforcées que doivent être prises les décisions concernant l’ouverture et la fermeture des formations en lycées professionnels et en centres de formations d’apprentis.






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N° 108

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. LE SCOUARNEC, Pierre LAURENT

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Amendement de conséquence. Dans la mesure où cet article étend les dispositions de l’article 17 à la collectivité de Corse, les auteurs de cet amendement, opposés à la régionalisation de la formation professionnelle, en demandent la suppression.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 109

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. LE SCOUARNEC, Pierre LAURENT

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 19


Compléter cet article par un alinéa ainsi rédigé :

Le cinquième alinéa de l’article L. 4424-1 du code général des collectivités territoriales est complété par une phrase ainsi rédigée :

« À défaut d’accord, les autorités de l’État tranchent et prennent les décisions nécessaires à la continuité du service public de l’éducation. »

Objet

Amendement de repli.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 378

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Favorable
Retiré

Le Gouvernement


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 19


Après l’article 19

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le code du travail est ainsi modifié :

1° L’article L. 6111-3 est ainsi modifié :

a) Au second alinéa, les mots : « est organisé pour garantir » sont remplacés par le mot : « garantit » ;

b) Après le second alinéa, sont insérés cinq alinéas ainsi rédigés :

« L’État et les régions ont la charge du service public de l'orientation tout au long de la vie.

« L’État définit, au niveau national, la politique d’orientation des élèves et des étudiants dans les établissements scolaires et les établissements d’enseignement supérieur. Il met en œuvre cette politique dans ces établissements et délivre à cet effet l’information nécessaire aux élèves et aux étudiants.

« La région coordonne les actions des autres organismes participant au service public de l’orientation.

« Les organismes paritaires agréés au titre du congé individuel de formation et les organismes consulaires contribuent à ce service public.

« Une convention annuelle conclue entre l’État et la région définit les conditions dans lesquelles l’État et la région coordonnent l’exercice de leurs compétences respectives dans la région. » ;

2° Au premier alinéa de l’article L. 6111-4, les mots : « , sous l’autorité du délégué à l’information et à l’orientation visé à l’article L. 6123-3, » sont supprimés ;

3° Le premier alinéa de l’article L. 6111-5 est ainsi rédigé :

« Sur le fondement de normes de qualité élaborées par la région à partir d’un cahier des charges qu’elle arrête, peuvent être reconnus comme participant au service public de l'orientation tout au long de la vie les organismes qui proposent à toute personne un ensemble de services lui permettant : ».

Objet

La ministre chargée de la réforme de l’Etat, de la décentralisation et de la fonction publique a présenté au Conseil des ministres du 10 avril 2013 les trois volets de l’action III de la décentralisation. Le projet de loi de mobilisation des régions pour la croissance et l’emploi et la promotion de l’égalité des territoires, deuxième volet de cet acte III, ne devrait être inscrit à l’ordre du jour des Assemblées qu’à l’automne. Or, ce projet de loi comporte deux articles, les articles 14 et 15, qui précisent la répartition des compétences entre l’État et les régions. C’est ainsi qu’il est prévu que l’État définit au niveau national la politique d’orientation et que la région coordonne et met en réseau sur son territoire les actions de tous les organismes participant au service public de l’orientation (en dehors des établissements scolaires), y compris le dispositif dit « anti-décrochage » actuellement prévu aux articles L. 313-7 et L. 313-8 pour apporter des solutions de formation, d’accompagnement et d’accès à l’emploi aux jeunes qui sont sortis sans diplôme qualifiant du système de formation initiale.

Compte tenu de leur importance pour les jeunes, il est proposé d’avancer l’adoption de ces dispositions en les insérant dans le projet de loi de refondation de l’école de la République. Tel est l’objet du présent amendement qui ajoute le présent article additionnel dans la section I du chapitre II de titre Ier du projet de loi consacré aux relations avec les collectivités territoriales et que complète un autre amendement du Gouvernement ajoutant un autre article additionnel à la même section du projet de loi.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 379

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Favorable
Retiré

Le Gouvernement


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 19


Après l’article 19

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le code de l’éducation est ainsi modifié :

1° Le chapitre IV du titre Ier du livre II de la première partie est complété par une section 5 ainsi rédigée :

« Section 5

« Orientation tout au long de la vie

« Art. L. 214-18. – La région définit et met en œuvre le service public de l’orientation tout au long de la vie dans le cadre fixé à l’article L. 6111-3 du code du travail. Elle organise ce service public en assurant notamment la mise en réseau de tous les services, structures et dispositifs qui concourent sur son territoire à la mise en œuvre du service public d’orientation tout au long de la vie.

« Art. L. 214-19. – Le représentant de l’État dans la région et le président du conseil régional déterminent par convention les services de l’État concourant à la mise en œuvre de la compétence prévue à l’article L. 214-18. » ;

2° Au dernier alinéa de l’article L. 313-6, les mots : « et des étudiants » sont remplacés par les mots : « , des étudiants, ainsi que des représentants des régions. » ;

3° L’article L. 313-7 est ainsi modifié :

a) Au premier alinéa, les mots : « sans diplôme » sont remplacés par les mots : « sans un diplôme national ou un titre professionnel enregistré au répertoire national des certifications professionnelles » et les mots : « désignés par le représentant de l’État dans le département » sont remplacés par les mots : « désignés par le président du conseil régional » ;

b) Le second alinéa est ainsi rédigé :

« Le dispositif de collecte et de transmission des données prévu au présent article est mis en œuvre et coordonné au niveau national par l'État. Les actions de prise en charge des jeunes sortant du système de formation initiale sans diplôme national ou titre professionnel enregistré au répertoire national des certifications professionnelles sont mises en œuvre et coordonnées au niveau local par la région en lien avec les autorités académiques. » ;

4° Le premier alinéa de l’article L. 313-8 est ainsi modifié :

a) Au début, sont ajoutés les mots : « Sous l’autorité de la région » ;

b) Les mots : « sans diplôme » sont remplacés par les mots : « sans un diplôme national ou un titre professionnel enregistré et classé au répertoire national des certifications professionnelles ».

Objet

La ministre de la réforme de l’Etat, de la décentralisation et de la fonction publique a présenté au Conseil des ministres du 10 avril 2013 les trois volets de l’action III de la décentralisation. Le projet de loi de mobilisation des régions pour la croissance et l’emploi et la promotion de l’égalité des territoires, deuxième volet de cet acte III, ne devrait être inscrit à l’ordre du jour des Assemblées qu’à l’automne. Or, ce projet de loi comporte deux articles, les articles 14 et 15, qui précisent la répartition des compétences entre l’Etat et les régions. C’est ainsi qu’il est prévu que l’Etat définit au niveau national la politique d’orientation et que la région coordonne et met en réseau sur son territoire les actions de tous les organismes participant au service public de l’orientation (en dehors des établissements scolaires), y compris le dispositif dit « anti-décrochage » actuellement prévu aux articles L. 313-7 et L. 313-8 pour apporter des solutions de formation, d’accompagnement et d’accès à l’emploi aux jeunes qui sont sortis sans diplôme qualifiant du système de formation initiale.

Compte tenu de leur importance pour les jeunes, il est proposé d’avancer l’adoption de ces dispositions en les insérant dans le projet de loi de refondation de l’école de la République. Tel est l’objet du présent amendement qui ajoute un article 19 ter dans la section I du chapitre II de titre Ier du projet de loi consacré aux relations avec les collectivités territoriales. Il complète un précédent amendement du Gouvernement ajoutant un article 19 bis dans la même section du projet de loi.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 429 rect. bis

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G  
Retiré

M. REICHARDT

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 19


Après l’article 19

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Compte tenu de leurs compétences en matière de formation ainsi qu’en matière de développement économique, les régions se voient confier l’animation du service public régional de l’orientation dont elles déterminent les grandes lignes stratégiques, dans le cadre d’un conseil régional de l’orientation réunissant le préfet de région, le rectorat, les directions régionales compétentes, les chambres consulaires, les partenaires sociaux et les acteurs de la formation sur leur territoire, dans le respect de l’objectif de renforcement de la cohérence régionale. Les décisions de ce conseil régional de l’orientation seront soumises au futur Comité de coordination régionale de l’orientation de l’éducation et de la formation professionnelle (CCROEFP).

Objet

Quelles que soient les réformes de l'école de la République entreprises, elles ne seront véritablement efficaces en termes d’insertion sociale et professionnelle des jeunes que si une réflexion  approfondie a lieu simultanément sur les mécanismes de l’orientation.

Le présent amendement a pour objectif de confier aux régions le soin de déterminer les grands axes d’un dispositif régional en la matière.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 202

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

Moins de 10 ans après sa création dans la loi Fillon de 2005, le projet de loi vient supprimer le Haut Conseil de l’Education pour créer deux nouvelles instances : le Conseil supérieur des programmes et le Conseil National d’évaluation du système éducatif regroupant en grande partie les mêmes attributions et toutes les deux placées auprès du Ministre de l’Education nationale.

La nomination des membres du Conseil Supérieur des programmes assure une représentation bien moins équilibrée que celle du HCE puisque, outre les 2 députés, 2 sénateurs et 2 membres du Conseil économique, social et environnemental, les 10 personnalités qualifiées qui y sont nommées, le sont toutes par le Ministre de l’Education nationale.

Le HCE est déjà compétent pour formuler des propositions à propos des programmes. Il aurait été plus judicieux et moins couteux pour les finances publiques, d’élargir ses attributions, d’améliorer la publicité de ses avis, et d’en permettre la saisine par le Président de l’Assemblée nationale ou du Sénat, plutôt que de créer deux nouvelles agences…






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 111

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. LE SCOUARNEC, Pierre LAURENT

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 20


Alinéa 6, première et deuxième phrases

1° Remplacer le mot :

seize

par le mot :

vingt-six

et le mot :

dix

par le mot :

vingt

2° Après le mot :

qualifiées

insérer les mots :

choisies pour leurs compétences, dont au moins la moitié des personnalités représentent les différents niveaux d’enseignants de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur,

Objet

Les auteurs de cet amendement sont favorables à la création d’un conseil supérieur des programmes. Ils souhaitent néanmoins élargir sa composition, en se rapprochant du nombre prévu en 1990 par le Conseil national des programmes (22 membres choisis) et réaffirmer la nécessaire association des enseignants à la réflexion sur les programmes et le besoin de temps dans cette élaboration.

La réflexion sur les programmes doit tenir compte de la pratique, de la réflexion sur la pratique et du temps nécessaire à l’appropriation pédagogique par les enseignants qui doivent les mettre en œuvre.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 248 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Adopté

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


ARTICLE 20


I.- Alinéa 6, deuxième phrase

Remplacer les mots :

deux députés, deux sénateurs

par les mots :

trois députés, trois sénateurs

II. – En conséquence, remplacer le mot :

dix

par le mot :

huit

Objet

Afin d’assurer une meilleure indépendance du Conseil Supérieur des Programmes, il est proposé de désigner un député et un sénateur supplémentaires et de réduire de deux le nombre de personnalités qualifiées nommées par le Ministre de l’Éducation nationale.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 203

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Tombé

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


ARTICLE 20


Alinéa 6, deuxième phrase

Après les mots :

deux sénateurs, désignés

insérer les mots :

à parité entre la majorité et l'opposition

Objet

Le Conseil supérieur des programmes comprendra deux députés et deux sénateurs désignés par les commissions compétentes en matière d'éducation de l'Assemblée nationale et du Sénat.

Il est utile à cette occasion de prévoir une représentation politique équilibrée du Parlement, respectueuse des droits de l'opposition, en précisant que ces parlementaires seront désignés à parité entre la majorité et l'opposition.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 204

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Tombé

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


ARTICLE 20


Alinéa 6, deuxième phrase

Remplacer le mot :

dix

par le mot :

six

Objet

Il s'agit d'un amendement de repli.

A défaut de la suppression de l'article créant le Conseil supérieur des programmes, il faut revoir sa composition afin de mieux garantir son indépendance.

La nomination des membres du Conseil Supérieur des programmes assure en effet une représentation bien moins équilibrée que celle du HCE puisque, outre les 2 députés, 2 sénateurs et 2 membres du Conseil économique, social et environnemental, les 10 personnalités qualifiées qui y sont nommées, le sont toutes par le Ministre de l’Education nationale.

Afficher en début d'article que le Conseil supérieur des programmes "travaille en toute indépendance" est donc une affirmation gratuite.

Afin de mieux garantir l'indépendance du Conseil, il faut respecter une parité entre les membres désignés par le Gouvernement et ceux qui ne le sont pas. Il est donc nécessaire de prévoir six membres du Parlement et du Conseil économique, social et environnemental, et six personnalités qualifiées nommées par le ministre chargé de l'éducation nationale.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 112

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. LE SCOUARNEC, Pierre LAURENT

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 20


Alinéa 6

Après le mot :

qualifiées

insérer les mots :

choisies pour leurs compétences, dont au moins la moitié des personnalités représentent les différents niveaux d’enseignants de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur,

Objet

Amendement de repli visant à réaffirmer la nécessaire association des enseignants à la réflexion sur les programmes et le besoin de temps dans cette élaboration.

La réflexion sur les programmes doit tenir compte de la pratique, de la réflexion sur la pratique et du temps nécessaire à l’appropriation pédagogique par les enseignants qui doivent les mettre en œuvre.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 393

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Favorable
Adopté

Le Gouvernement


ARTICLE 20


Alinéa 6, deuxième phrase

Après les mots :

de l'éducation nationale

supprimer la fin de cette phrase.

Objet

La création du Conseil supérieur des programmes répond à une demande de transparence du processus d’élaboration des programmes d’enseignement. Pour garantir cette transparence, l’impartialité des membres du CSP est requise et c’est certainement dans cet esprit que les sénateurs ont fait évoluer le projet.

Toutefois, un avis préalable des commissions rend trop complexe la procédure de désignation des personnalités qualifiées. Celles-ci doivent être choisies pour leurs qualités scientifiques, leur expérience et leur connaissance du système éducatif. Le Gouvernement s’engage en outre à ce que différents courants de pensée soient représentés de manière équilibrée dans le collège de ces personnalités.

De surcroît, la présence au sein du CSP de quatre membres de la représentation nationale, la communication au Parlement de son rapport annuel ainsi que la rédaction actuelle de l’article qui fait mention de la totale indépendance dont doit disposer l’instance apportent des garanties suffisantes.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 249 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Tombé

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


ARTICLE 20


Alinéa 6, deuxième phrase

Après le mot :

avis

insérer le mot :

conforme

Objet

La consultation des commissions compétentes en matière d’éducation de l’Assemblée nationale et du Sénat avant la désignation des personnalités extérieures siégeant au Conseil supérieur des programmes garantit une meilleure indépendance de ce dernier. Afin qu’il soit tenu compte de cet avis, il est proposé de le rendre conforme.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 170

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes BOUCHOUX et BLANDIN, M. GATTOLIN

et les membres du groupe écologiste


ARTICLE 20


Alinéa 6

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Le collège des personnalités qualifiées doit être composé au moins pour moitié d’enseignants en activité représentant l’ensemble des degrés de l’enseignement.

Objet

Pour que le Conseil supérieur des programmes ne soit pas jugé partial dans ses propositions et réflexions, sa composition doit être plurielle. Le présent amendement propose donc que ce collège soit composé pour moitié d’enseignants en activité représentant l’ensemble des degrés de l’enseignement afin que ces derniers puissent apporter un regard de terrain aux réflexions du conseil.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 110

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. LE SCOUARNEC, Pierre LAURENT

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 20


Alinéa 7

Rédiger ainsi le début de cet alinéa :

« Art. L. 231-15. – À la demande du ministre chargé de l’éducation nationale, du ministre chargé de l’agriculture, ou de sa propre initiative, le conseil supérieur des programmes…

Objet

Le Conseil supérieur des programmes doit pouvoir s’autosaisir.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 113

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. LE SCOUARNEC, Pierre LAURENT

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 20


Alinéa 9

Remplacer les mots :

du socle commun de connaissances, de compétences et de culture et

par les mots :

d'une culture commune et

Objet

Les auteurs de cet amendement ne sont pas favorables à l’école du socle.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 46 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Non soutenu

MM. GUERRIAU, Jean-Léonce DUPONT et MERCERON


ARTICLE 20


I. – Alinéa 9

Supprimer les mots :

ainsi que les modalités de validation de son acquisition

II. – Après l’alinéa 10

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« …° Les possibilités d’adaptation et d’aménagement pour les élèves à besoin éducatif particulier, notamment les élèves en situation de handicap ;

Objet

Cette modification permet une prise en compte par le conseil supérieur des programmes des adaptations et aménagements dès le début de la réflexion. Sachant qu’une école inclusive est une école qui s’adapte aux besoins des élèves et pas une école qui demande aux élèves de s’adapter à elle, seule cette prise en compte dès le départ des élèves à besoins éducatifs particuliers permettra la réussite de tous dans une école inclusive.

En outre, ceci impliquera également la présence d’au moins une personne qualifiée en la matière parmi les dix personnes qualifiées nommées par le ministre de l’éducation nationale,ce qui là aussi sera un facteur primordial de la prise en compte des élèves en situation de handicap, et donc de la réussite de tous



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 15 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Sagesse du Sénat
Adopté

Mme CAMPION

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 20


Alinéa 10

Compléter cet alinéa par les mots :

, ainsi que les possibilités d’adaptation et d’aménagement de ces épreuves pour les élèves présentant un handicap ou un trouble de la santé invalidant

Objet

Afin de garantir l’égalité de leurs chances avec les autres candidats, les candidats aux examens de l’enseignement du second degré en situation de handicap doivent pouvoir bénéficier d’adaptation d’épreuves (adaptation dans la présentation des sujets, adaptation du poste de travail) et/ou d’aménagement des conditions de déroulement de celles-ci (majoration du temps imparti, aides techniques, aides humaines, etc.).

Le Conseil supérieur des programmes étant chargé d’émettre des avis et de formuler des propositions sur la nature et le contenu des épreuves des examens conduisant aux diplômes nationaux de l’enseignement du second degré et du baccalauréat, il importe qu’il puisse aussi se prononcer sur l’adaptation et l’aménagement de ces épreuves pour les élèves en situation de handicap.

Tel est l’objet de cet amendement.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 16 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Sagesse du Sénat
Adopté

Mme CAMPION

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 20


Alinéa 11

Après le mot :

degrés,

insérer les mots :

les possibilités d’adaptation et d’aménagement de ces épreuves pour les candidats présentant un handicap ou un trouble de la santé invalidant, ainsi que

Objet

Afin de garantir l’égalité de leurs chances avec les autres candidats, les candidats en situation de handicap aux concours de recrutement des enseignants des premier et second degrés doivent pouvoir bénéficier d’adaptation d’épreuves (adaptation dans la présentation des sujets, adaptation du poste de travail) et/ou d’aménagement des conditions de déroulement de celles-ci (majoration du temps imparti, aides techniques, aides humaines, etc.).

Le Conseil supérieur des programmes étant chargé d’émettre des avis et de formuler des propositions sur la nature et le contenu des épreuves des concours de recrutement des enseignants des premier et second degrés, il importe qu’il puisse aussi se prononcer sur l’adaptation et l’aménagement de ces épreuves pour les candidats en situation de handicap.

Tel est l’objet de cet amendement






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 6

16 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Non soutenu

Mme GIUDICELLI


ARTICLE 20


Après l’alinéa 11

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« ...°  Les possibilités d’adaptation et d’aménagement pour les élèves à besoin éducatif particulier, notamment les élèves en situation de handicap.

Objet

Cette modification permet une prise en compte par le conseil supérieur des programmes des adaptations et aménagements dès le début de la réflexion. Sachant qu’une école inclusive est une école qui s’adapte aux besoins des élèves et pas une école qui demande aux élèves de s’adapter à elle, seule cette prise en compte dès le départ des élèves à besoins éducatifs particuliers permettra la réussite de tous dans une école inclusive. En outre, ceci impliquera également la présence d’au moins une personne qualifiée en la matière parmi les dix personnes qualifiées nommées par le ministre de l’éducation nationale, ce qui là aussi sera un facteur primordial de la prise en compte et donc de la réussite de tous.
 






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N° 205

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


ARTICLE 20


Alinéa 12, deuxième phrase

Après le mot :

Parlement

insérer les mots :

au cours du dernier trimestre de la session ordinaire, afin d'éclairer le débat budgétaire,

Objet

Il est essentiel que le rapport rendu annuellement par le Conseil supérieur des programmes puisse être examiné par les parlementaires au moment du débat budgétaire. Cet examen devra permettre d'étudier en profondeur les résultats de la politique éducative au niveau national et dans chaque circonscription, afin que des objectifs précis soient fixés.

 






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N° 268 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Défavorable
Retiré

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


ARTICLE 21


Alinéa 4

Remplacer les mots :

de l'enseignement scolaire

par les mots :

du système éducatif

Objet

Comme son nom l'indique, l'entité nouvellement créée sera chargée de l'évaluation du système éducatif, terme plus large que l'enseignement scolaire. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 380

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Le Gouvernement


ARTICLE 21


Alinéa 5

Après le mot :

agricole

insérer les mots :

, d’autres ministres disposant de compétences en matière d’éducation,

Objet

La précision introduite par la commission de la culture et de l’éducation, avec l’accord du gouvernement, dans cet alinéa, afin de citer explicitement le ministre chargé de l’enseignement agricole, a eu comme conséquence, sans doute involontaire, de supprimer la mention des autres ministres disposant de compétences en matière d’éducation.

Or, il est important que le CNE puisse travailler pour l’ensemble des ministres ayant des compétences en matière d’éducation (ministre en charge de la mer pour les lycées maritimes, ministre chargé de la formation professionnelle par exemple).

L’amendement vise simplement à rétablir cette mention.






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N° 70 rect.

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes MORIN-DESAILLY, FÉRAT

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


ARTICLE 21


Après l'alinéa 5

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« ...° Il doit pouvoir recueillir la synthèse des évaluations pédagogiques réalisées dans les établissements du premier et du second degrés ;

Objet

Cette nouvelle instance d’évaluation doit avoir pour objet non seulement d’évaluer des outils, mais aussi des pratiques concrètes.

Son utilité réelle dépend donc de la capacité du Ministère de l’éducation nationale de faire remonter vers lui les évaluations réalisées au sein même des établissements, notamment dans le premier degré en fin de CE1 et en fin de CM1.






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N° 114

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Retiré

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. LE SCOUARNEC, Pierre LAURENT

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 21


Alinéa 6

Après les mots :

éducation nationale

insérer les mots :

et le ministère chargé de l'agriculture

Objet

Le conseil national d’évaluation doit pouvoir se prononcer sur les évaluations du ministère chargé de l’agriculture.






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N° 115

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. LE SCOUARNEC, Pierre LAURENT

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 21


Alinéa 7

Après le mot :

avis

insérer les mots :

sur les méthodologies, les outils et

Objet

De la même manière que cela est prévu pour les évaluations nationales, le conseil national d’évaluation doit pouvoir rendre des avis et recommandations sur les méthodologues d’évaluation internationales.






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N° 257 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BARBIER, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


ARTICLE 21


Après l’alinéa 8

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« ...° Il accorde une attention particulière aux moyens alloués à l’acquisition de ressources pédagogiques numériques ainsi qu’au respect de l’équité entre les élèves dans l’accès à des contenus pédagogiques de qualité et de l’égalité de territoires ».

Objet

Dans sa rédaction adoptée par l’Assemblée nationale, le projet de loi disposait que le Conseil national d’évaluation du système éducatif devait accorder une attention particulière au développement du numérique à l’école. Le suivi de ce dernier est indispensable afin de mesurer les progrès réalisés ainsi que pour déterminer les mesures nécessaires pour assurer le déploiement du numérique dans tous les établissements scolaires.

Cet amendement rétablit cette disposition et précise, en outre, que ce suivi sera également effectué sur les moyens accordés à l’acquisition des ressources pédagogiques numériques, afin de veiller au respect de l’égalité des territoires.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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Refondation de l'école de la République

(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 206

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


ARTICLE 21


Alinéa 10

Après les mots :

deux sénateurs, désignés

insérer les mots :

à parité entre la majorité et l’opposition

Objet

Le Conseil national d'évaluation du système éducatif comprendra deux députés et deux sénateurs désignés par les commissions compétentes en matière d’éducation de l’Assemblée nationale et du Sénat.

Il est utile à cette occasion de prévoir une représentation politique équilibrée du Parlement, respectueuse des droits de l’opposition, en précisant que ces parlementaires seront désignés à parité entre la majorité et l’opposition.








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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 207

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Sagesse du Sénat
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


ARTICLE 21


I. – Après l’alinéa 11

Insérer quatre alinéas ainsi rédigés :

« … Trois représentants des collectivités territoriales :

« - un représentant de l’association des régions de France,

« - un représentant de l’association des départements de France,

« - un représentant de l’association des maires de France.

II. – En conséquence, alinéa 12

Remplacer le mot :

Huit

par le mot :

Cinq

Objet

La nomination des membres du Conseil national d’évaluation assure une représentation bien moins équilibrée que celle du Haut conseil de l’Éducation qu’il a vocation à remplacer. En effet, outre les 2 députés, 2 sénateurs et 2 membres du Conseil économique, social et environnemental, les 8 personnalités qualifiées qui y sont nommées semblent l’être par le Ministre de l’Éducation nationale.

Afficher en début d’article que le Conseil supérieur des programmes "travaille en toute indépendance" est donc une affirmation gratuite.

De plus, l’éducation est une priorité nationale, le Conseil national d’évaluation doit associer à ses travaux les représentants des collectivités territoriales. Au plus proche du terrain, ces représentants pourront utilement l’assister dans son évaluation des résultats des réformes sur l’ensemble du territoire et faire valoir les orientations qui s’imposent aux politiques publiques pour assurer l’égalité entre les territoires. De nouvelles dispositions présentes dans le projet de loi les concernent d’ailleurs directement : réforme des rythmes scolaires, développement du numérique...






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 71

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Sagesse du Sénat
G Défavorable
Rejeté

Mmes FÉRAT, MORIN-DESAILLY

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


ARTICLE 21


I. - Alinéa 12

1° Remplacer le mot :

Huit

par le mot :

Dix

2° Compléter cet alinéa par les mots :

, dont trois d'entre elles représentent les différents niveaux de collectivités territoriales

II. - En conséquence, alinéa 9

Remplacer le mot :

quatorze

par le mot :

seize

Objet

Cet amendement a pour objet d'imposer la présence de représentants des collectivités territoriales au sein du Conseil national d'évaluation du système éducatif. Chaque niveau de collectivités est impliqué dans le système éducatif, tant sur le fonctionnement des établissements que dans l'organisation de la vie scolaire. Leur avis est donc nécessaire.

Les élus ne doivent pas être contournés de l'évaluation du système éducatif.

Pour ne pas trop diminuer la présence d'autres personnalités au sein du Conseil, le nombre de membres est également augmenté de quatorze à seize.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 116

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. LE SCOUARNEC, Pierre LAURENT

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 21


I. - Alinéa 12

Remplacer le mot :

huit

par le mot :

neuf

II. - Après l’alinéa 12

Insérer trois alinéas ainsi rédigés :

« 4° Deux représentants des parents d’élèves désignés sur proposition des associations les plus représentatives ;

« 5° Un représentant des élèves de lycée désigné sur proposition de l’organisation la plus représentative ;

« 6° Six représentants des personnels des différents secteurs de l’enseignement public, désignés sur proposition des fédérations ou confédérations syndicales, compte-tenu du nombre de voies obtenues lors de l’élection des représentants du personnel dans les commissions administratives paritaires. »

III. – En conséquence, alinéa 9

Remplacer le mot :

quatorze

par le mot :

vingt-quatre

Objet

Amendement tendant à modifier la composition du conseil national d’évaluation.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 299 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Sagesse du Sénat
G Défavorable
Rejeté

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


ARTICLE 21


I. - Après l'alinéa 12

Insérer trois alinéas ainsi rédigés :

« 4° Un représentant des communes, désigné par une association représentative de l'ensemble des communes ;

« 5° Un représentant des départements, désigné par une association représentative de l'ensemble des départements ;

« 6° Un représentant des régions, désigné par une association représentative de l'ensemble des régions. » 

II. - En conséquence, alinéa 9

Remplacer le mot :

quatorze

par le mot :

dix-sept

 

Objet

Cet amendement vise à associer des représentants des collectivités territoriales aux travaux du Conseil national de l'évaluation du système éducatif. En effet, les collectivités territoriales, proches du terrain, pourront apporter leurs compétences et expériences et inspirer des recommandations visant à assurer l'égalité des territoires.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 414 rect.

22 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Favorable
Rejeté

Le Gouvernement


ARTICLE 21


Alinéa 12

Supprimer les mots :

, après avis des commissions compétentes en matière d'éducation de l'Assemblée nationale et du Sénat

Objet

 

Le 12ème alinéa concerne les huit membres, personnalités qualifiées choisies pour leurs compétences en matière d’évaluation ou dans le domaine éducatif qui doivent être désignées par les ministres compétents en matière d’éducation.

Le gouvernement comprend l’intérêt que pourrait revêtir un avis préalable des commissions compétentes des deux chambres pour garantir l’indépendance et la qualité des personnes nommées.

Cependant, le gouvernement estime que la rédaction actuelle du texte de loi (al. 4 : « évaluer en toute indépendance »), la durée des mandats (6 ans), ainsi que la présence de deux députés, deux sénateurs et deux représentants du Conseil économique, social et environnemental, apportent des garanties et un équilibre suffisants en la matière, sans nécessiter une disposition qui rendrait trop complexe la procédure de nomination.

Par ailleurs, le gouvernement s’engage solennellement à veiller à la représentation au sein du collège des PQ de la diversité des champs d’analyse et des points de vue, nécessaires à un travail de qualité.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 250 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


ARTICLE 21


Alinéa 12

Après le mot :

avis

insérer le mot :

conforme 

Objet

La consultation des commissions compétentes en matière d'éducation de l'Assemblée nationale et du Sénat avant la désignation des personnalités extérieures siégeant au Conseil national d'évaluation du système éducatif garantit une meilleure indépendance de ce dernier. Afin qu'il soit tenu compte de cet avis, il est proposé de le rendre conforme. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 17 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mme CAMPION

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 21


Alinéa 14, après la première phrase

Insérer une phrase ainsi rédigée :

Il évalue notamment les politiques publiques mises en œuvre pour scolariser en milieu ordinaire les élèves présentant un handicap ou un trouble de la santé invalidant.

Objet

L’inclusion scolaire des élèves en situation de handicap figure désormais explicitement au rang des missions du service public de l’éducation (article 3 bis).

Il est donc logique que le Conseil national d’évaluation du système éducatif, créé au présent article, soit chargé d’évaluer les politiques publiques mises en œuvre pour scolariser les élèves en situation de handicap en milieu ordinaire.

Tel est l’objet de cet amendement.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 208

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


ARTICLE 21


Alinéa 14, seconde phrase

Compléter cette phrase par les mots :

, simultanément avec celui du Conseil national des programmes, afin d'éclairer l'examen de la loi de finances

Objet

Il est essentiel que le rapport rendu annuellement par le Conseil supérieur des programmes puisse être examiné par les parlementaires au moment du débat budgétaire. 






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 267 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


ARTICLE 21


Alinéa 14

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Il évalue notamment les politiques publiques mises en œuvre pour lutter contre l’illettrisme et l’innumérisme.

Objet

Dans sa version issue des travaux de l’Assemblée nationale, le rapport remis au gouvernement et transmis au Parlement chaque année par le Conseil national d’évaluation du système éducatif, devait notamment évaluer les politiques mises en œuvre pour lutter contre l’illettrisme. En raison du nombre de personnes concernées par l’illettrisme et de la gravité de ses effets, il est indispensable d’évaluer les mesures prises pour améliorer la situation. De même, ce travail doit être réalisé en matière d’innumérisme, terme qui désigne, pour l’Académie des sciences, le phénomène d’inculture mathématique.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 269 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


ARTICLE 21


Après l’alinéa 14

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« Il évalue également les politiques mises en œuvre pour réduire les inégalités scolaires. 

Objet

Les enquêtes et évaluations de notre système éducatif, qu'elles soient nationales ou internationales, démontrent que le système éducatif français reproduit les inégalités sociales et culturelles. Ainsi, le rapport produit chaque année par le Conseil national d'évaluation du système éducatif devrait évaluer les politiques mises en œuvre pour réduire les inégalités scolaires. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 317 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Défavorable
Retiré

MM. ANTOINETTE, ANTISTE, DESPLAN, Jacques GILLOT, Serge LARCHER, PATIENT et TUHEIAVA


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 21


I. - Après l'article 21

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

À la seconde phrase du dernier alinéa de l'article L. 234-1 du code de l'éducation, après les mots : « d'outre-mer », sont insérés les mots : « , en particulier la constitution d'un conseil de la culture, de l'éducation et de l'environnement, ».

II. - En conséquence, faire précéder cet article d'une division additionnelle et son intitulé ainsi rédigé :

Section 4

Le Conseil académique de l'éducation nationale

Objet

Cet amendement propose de permettre au Conseil de la culture, de l'éducation et de l'environnement de participer au travail des Conseils de l'éducation nationale dans les académies d'outre-mer.

La composition des CAEN des académies métropolitaines (article R. 234-2), celle de Corse (article R. 234-22), celle d'Ile-de-France (article R. 234-28) et celles d'outre-mer (article R. 234-27) comprend la présence du président du conseil économique et sociale régional.

Or, les régions d'outre-mer sont assistés de deux conseils : le conseil économique et social et le conseil de la culture, de l'éducation et de l'environnement (Article L. 4432-9). La consultation de ce dernier est obligatoire avant l'action de la région dans le domaine de l'éducation. Il paraît donc incohérent que le conseil économique et social régional soit présent au sein du CAEN alors qu'il n'a pas de compétence obligatoire en la matière et que le conseil de la culture, de l'éducation et de l'environnement – spécificité ultra-marine – ne l'est pas.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 37 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. CARLE, Mme PRIMAS, MM. HUMBERT et Bernard FOURNIER, Mmes MÉLOT et DUCHÊNE et M. DUVERNOIS


ARTICLE 23


Rédiger ainsi cet article :

L’article L. 311-1 du code de l’éducation est ainsi rédigé :

« Art. L. 311-1. – La scolarité de l’école maternelle à la fin de l’école élémentaire est organisée en trois cycles pédagogiques :

« 1° Le cycle des apprentissages premiers, qui se déroule sur les deux années constituant l’école maternelle ;

« Le cours des apprentissages premier 1.

« Le cours des apprentissages premier 2.

« 2° Le cycle des apprentissages fondamentaux, qui se déroule sur les trois premières années de l’école élémentaire ;

« Le cours des apprentissages fondamentaux 1.

« Le cours des apprentissages fondamentaux 2.

« Le cours des apprentissages fondamentaux 3.

« 3° Le cycle des approfondissements, qui correspond aux trois dernières années de l’école élémentaire et débouche sur le collège ;

« Le cours des approfondissements 1.

« Le cours des approfondissements 2.

« Le cours des approfondissements 3. »

Objet

Le principe de l’organisation de l’école primaire en cycle a été introduit par la loi du 10 juillet 1989 (loi Jospin), puis réaffirmé lors du vote de la loi du 23 avril 2005 (loi Fillon). L’objectif assigné à l’organisation de l’enseignement primaire en cycle est de permettre à chaque élève de pouvoir progresser à son rythme. Ainsi, la loi du 10 juillet 1989 dispose que « l’enseignement est adapté à la diversité des élèves par une continuité éducative au cours de chaque cycle permettant d’assurer l’égalité et la réussite des élèves ». Plus de 20 ans après le vote de la loi Jospin le principe d’organisation de l’école primaire en cycle n’est toujours pas assimilé.

L’une des raisons de l’échec de la politique des cycles relève de l’incohérence entre la nomenclature traditionnelle des classes et l’organisation des cycles.

Ainsi, le cycle des apprentissages fondamentaux (GS, CP, CE1) est à cheval sur l’école maternelle et l’école primaire et sa première année n’est pas obligatoire. Il est évident que cette organisation ne facilite ni la compréhension des parents, ni la coordination pédagogique du travail des enseignants, ni le respect de la volonté du législateur de permettre à l’élève de pouvoir progresser à son rythme au sein d’un cycle pédagogiquement cohérent.

Il est proposé dans cet amendement d’intégrer la grande section de maternelle à l’école primaire afin de permettre une meilleure cohérence du cycle des apprentissages fondamentaux.

Le choix d’intégrer la grande section de maternelle à l’école primaire plutôt que de reconstruire un cycle comprenant la petite section, la moyenne section et la grande section de maternelle est conforme à la volonté initiale du législateur qui souhaitait faire de cette classe le premier lieu d’apprentissage des savoirs fondamentaux.

L’intensité et la qualité de l’enseignement précoce est  le premier vecteur de réduction de la grande difficulté scolaire et des inégalités scolaires. Cet amendement procède également à une nouvelle appellation des classes de l’école primaire. Au-delà du symbole d’une véritable refondation de l’école primaire que le ministre de l’éducation nationale appelle de ses vœux, c’est par souci de cohérence que cet amendement est proposé.

Ainsi depuis plusieurs années le système scolaire s’accommode d’un cours élémentaire 1ère (CE1) année qui est en réalité la troisième année du cycle des approfondissements fondamentaux et d’un cours élémentaire 2 (CE2) qui est en réalité la première année du cycle des approfondissements.

Il semble que l’efficience d’une véritable organisation de l’école primaire en cycle aurait dû se traduire depuis longtemps par une dénomination claire des classes composant les cycles.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 209

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


ARTICLE 23


Alinéa 2

Supprimer cet alinéa.

Objet

Il s'agit par cet amendement de supprimer la modification apportée à l'article L.311-1 du code de l'éducation, dans la logique du principe de cadre annuel structurant la progression des enseignements.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 252 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


ARTICLE 23


Après l’alinéa 2

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

...° Après le premier alinéa, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :

« À l’école primaire, au collège et au lycée, les programmes scolaires sont établis en cohérence avec le socle commun des connaissances, de compétences et de culture. » ;

Objet

Afin d’améliorer l’articulation entre le socle commun et les programmes scolaires, il est proposé que ces derniers soient élaborés en cohérence avec le premier.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 411

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Favorable
Adopté

Le Gouvernement


ARTICLE 23


Alinéa 4

Rédiger ainsi cet alinéa :

« Le nombre des cycles et leur durée sont fixés par décret.

Objet

 

La Commission a souhaité apporter dans le code de l’éducation des précisions relatives à deux cycles, déjà faites dans le rapport annexé. Bien que saluant l’importance qu’accordent ainsi les sénateurs à deux dispositifs essentiels de la Refondation de l’école de la République (reconnaissance de la spécificité de l’école maternelle ; transition école-collège), le Gouvernement souhaite préserver la cohérence de démarche de renvoi de la définition des cycles au règlement sous le contrôle du Conseil supérieur des programmes qui veille à l’articulation du cycle et des programmes (art. 23, 29 et 32 du projet de loi). Par conséquent, le Gouvernement ne souhaite pas que deux cycles soient partiellement déterminés par la loi.

Le nombre et la durée des cycles relèvent en effet davantage du domaine réglementaire que législatif. Cela permettra de relancer les cycles en donnant plus de souplesse au dispositif et en assurant une plus grande cohérence entre les programmes, le socle commun et l’organisation des enseignements, de l’école maternelle au collège.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 213

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Tombé

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


ARTICLE 23


Alinéa 4, première et deuxième phrases

Remplacer ces phrases par une phrase ainsi rédigée :

La dernière année d'école maternelle est couplée avec l'année de cours préparatoire en un cycle commun, ainsi que la dernière année de l'école élémentaire avec la première année de collège.

Objet

Il s'agit de renforcer l'acquisition de la lecture et de l'écriture en créant une meilleure continuité pédagogique entre la grande section de l'école maternelle et le CP.

Le projet de loi referme au contraire l'école maternelle sur elle-même en créant un cycle unique regroupant ses trois années.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 117

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Tombé

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. LE SCOUARNEC, Pierre LAURENT

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 23


Alinéa 4, deuxième phrase

Supprimer cette phrase.

Objet

Les auteurs de cet amendement considèrent que la réflexion sur les cycles doit être envisagée de manière globale et non isolément.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 214

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 23


Après l'article 23

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L'article L. 131-1 du code de l'éducation est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« Tous les parents sont incités à mettre leur enfant à l'école à partir de cinq ans. »

Objet

Il est souhaitable et cohérent avec l'amendement précédent, qui crée un cycle unique couplant la dernière année de maternelle avec la première année d'école élémentaire, de généraliser la scolarisation à cinq ans.

Le taux de scolarisation à cet âge atteignant les 99,99 %, il faudrait enfin consacrer cette scolarisation à cinq ans en principe.

Il serait d'ailleurs bien plus souhaitable que l'Etat, au lieu de financer la scolarisation à deux ans, consacre ces moyens à intégrer la totalité des enfants dans le système éducatif, à l'âge où ils acquierent plus facilement les fondamentaux.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 398

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes MORIN-DESAILLY, FÉRAT

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


ARTICLE 24


Alinéa 2

Rédiger ainsi cet alinéa :

« Les programmes sont définis, en cohérence avec le socle commun de connaissances, de compétences et de culture, en vue d'assimiler les connaissances, les compétences et les méthodes prévues pour chaque cycle. »

Objet

Cet amendement réécrit les objectifs assignés aux programmes. Ceux-ci doivent être définis en fonction des connaissances, des compétences et des méthodes à acquérir, prévues par les socle commun.

Il prévoit par ailleurs que ces programmes sont naturellement préparés en cohérence avec le socle commun.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 72 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes MORIN-DESAILLY, FÉRAT

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


ARTICLE 24


Alinéa 2

Après le mot :

définissent,

insérer les mots :

en cohérence avec le socle commun de connaissances, de compétences et de culture,

Objet

Cet amendement a pour objet d’affirmer la prééminence du « socle » sur les programmes.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 210

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


ARTICLE 24


Alinéa 2

Après le mot :

pour

insérer les mots :

chaque année et

Objet

Même objet que l'amendement précédent.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 245 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BARBIER, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


ARTICLE 25


Rédiger ainsi cet article :

L'article L. 311-3-1 du code de l'éducation est ainsi modifié :

1° Après les mots : « de mettre conjointement en place », sont insérés les mots : « des dispositifs d’aide qui peuvent prendre la forme d’ » ;

2° Il est complété par une phrase ainsi rédigée :

« Le programme personnalisé de réussite éducative est intégré au sein du projet personnalisé de scolarisation élaboré par l’équipe de suivi de la scolarisation. »

Objet

Afin d’améliorer la cohérence des deux instruments, il est proposé d’intégrer, pour les élèves en situation de handicap, le programme personnalisé de réussite éducative (PPRE) au sein de leur projet personnalisé de scolarisation (PPS).



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 38 rect. ter

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. CARLE, Mme PRIMAS, MM. HUMBERT et Bernard FOURNIER, Mmes MÉLOT et DUCHÊNE et M. DUVERNOIS


ARTICLE 25 BIS


Alinéa 5

Remplacer cet alinéa par cinq alinéas ainsi rédigés :

...° Sont ajoutés quatre alinéas ainsi rédigés :

 « Le redoublement est impossible durant le cycle des apprentissages premiers, durant les deux premières années du cycle des apprentissages fondamentaux et durant les deux premières années du cycle des approfondissements.

« Durant sa scolarité primaire, un élève ne peut redoubler ou sauter qu’une seule classe.

« Les élèves présentant d’importantes difficultés scolaires en milieu de cycle, font l’objet d’un enseignement personnalisé, dispensé préalablement à la rentrée scolaire par les professeurs de l’éducation nationale.

« Un décret fixe les conditions d’organisation de ces enseignements. »

Objet

Corollaire de l’organisation de l’école primaire en cycle, l’interdiction du redoublement lors des deux premières années du cycle des apprentissages fondamentaux et des deux premières années du cycle des approfondissements doit enfin être effective.

La représentation nationale doit également réaffirmer sa volonté de ne pas voir un élève redoubler plus d’une fois durant sa scolarité primaire en instaurant dans un article de loi l’interdiction édictée à l’article D 321-6 du code de l’éducation.

Malgré le souhait du législateur lors du vote de la loi du 10 juillet 1989 (loi Jospin) et du vote de la loi du 23 avril 2005 (loi Fillon) d’interdire le redoublement en milieu de cycle et d’interdire le double redoublement à l’école primaire, le redoublement en CP concerne plus de 3 % des élèves et le double redoublement concerne encore 1 % des élèves.

La corrélation entre redoublement précoce et échec de la scolarité est aujourd’hui avérée. Près d’un élève sur deux qui redouble son CP sortira du système éducatif sans diplôme ou avec le seul brevet des collèges. Apparaissant comme une sanction pour l’élève, le redoublement à un effet démobilisateur pour l’élève et son entourage.

L’analyse des travaux de recherche en éducation démontre que le redoublement du CP est moins efficace, en termes de progressions d’acquis fondamentaux pour un élève faible, que le passage en CE 1, qui a un effet dynamisant pour l’élève. S’ajoute à l’absence de progression pédagogique à court terme et à l’impact que le redoublement aura sur la réussite de l’élève à long terme l’injustice de la décision de redoublement. Il apparait que le redoublement est d’autant moins accepté que la famille est culturellement favorisée et consciente du poids d’un redoublement dans l’orientation future de son enfant. Il apparait également que certains élèves soumis à une décision de redoublement ne l’aurait pas été dans une autre classe de niveau plus faible. Il apparait enfin que l’intensité du redoublement peut être différente selon que l’inspecteur de circonscription y est plus ou moins favorable.

Si les défenseurs du redoublement précoce (parents, enseignants, syndicats) sont nombreux, la représentation nationale doit dans l’intérêt de l’élève et dans l’esprit des lois votées en 1989 et 2005 réaffirmer sa volonté de limiter les redoublements précoces en l’inscrivant littéralement dans la loi.

Il est également proposé que l’économie réalisé grâce à l’interdiction du redoublement soit réorientée vers la prise en charge individualisée des élèves éprouvant le plus de difficultés, grâce à l’instauration de cours de pré rentrée, dispensé par des professeurs de l’éducation national.






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N° 39 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. CARLE, Mme PRIMAS, MM. HUMBERT et Bernard FOURNIER, Mmes MÉLOT et DUCHÊNE et M. DUVERNOIS


ARTICLE 25 BIS


Alinéa 5

Remplacer cet alinéa par quatre alinéas ainsi rédigés :

...° Sont ajoutés trois alinéas ainsi rédigés :

« Le redoublement ne peut être qu'exceptionnel et il est impossible au cours préparatoire.

« Les élèves présentant d’importantes difficultés scolaires au cours préparatoire, font l’objet d’un enseignement personnalisé, dispensé préalablement à la rentrée scolaire par les professeurs de l’éducation nationale.

« Un décret fixe les conditions d’organisation de ces enseignements. »

Objet

L’interdiction stricte du redoublement au CP obligera à trouver des solutions pour réellement lutter contre la grande difficulté scolaire.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 281 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Défavorable
Retiré

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


ARTICLE 25 BIS


Alinéa 5

Remplacer les mots:

ne peut être qu'exceptionnel

par les mots :

ne doit être envisagé que si l’élève peut en tirer bénéfice

Objet

La France a un taux de redoublement parmi les plus importants des pays de l’OCDE. L’amélioration de la réussite des élèves ne peut passer par une vision purement comptable de l’utilisation du redoublement pour pallier aux difficultés scolaires. C’est pourquoi, le redoublement doit être apprécié au cas par cas, en fonction des lacunes et de la personnalité de l’élève.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 118

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. LE SCOUARNEC, Pierre LAURENT

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 26


Alinéas 3 et 4

Rédiger ainsi ces alinéas :

« L’enseignement de l’informatique et des sciences du numérique

« Art. L. 312-9. – L’enseignement de l’informatique et des sciences du numérique est dispensé progressivement à l’école, au collège et au lycée à tous les élèves. Il porte sur les grands domaines de la science et de la technique informatique. Il comporte aussi notamment la formation à l’utilisation des outils et des ressources numériques et une sensibilisation aux droits et devoirs et à l’usage de l’internet et des réseaux, dont la protection de la vie privée et au respect de la propriété intellectuelle. »

Objet

Les auteurs de cet amendement partagent l’objectif énoncé dans l’article 26 qui créé une « formation à l'utilisation des outils et des ressources numériques » et considèrent qu’il faut l’accompagner d’un enseignement de l’informatique et des sciences du numérique afin que les élèves, au-delà de la maîtrise technique de ces outils, soient formés pour comprendre et maîtriser les concepts qui la sous-tendent. Cet enseignement doit porter sur les grands domaines des sciences et techniques informatiques : algorithmique, programmation et langages, théorie de l’information, matériels (ordinateurs et réseaux).






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 47 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Non soutenu

MM. GUERRIAU, Jean-Léonce DUPONT et MERCERON


ARTICLE 26


Alinéa 4

Rédiger ainsi cet alinéa :

« Art. L. 312-9. – La formation à l’utilisation des outils et des ressources numériques est dispensée progressivement à l’école, au collège et au lycée dans tout établissement scolaire ou dispositif d’enseignement. Elle comporte en particulier une sensibilisation aux droits et aux devoirs liés à l’usage de l’internet et des réseaux, notamment à la protection de la vie privée et au respect de la propriété intellectuelle. »

Objet

Cet article ne fait référence qu’aux écoles, collèges, et lycées. Cette modification permet un accès de tous les élèves, quel que soit leur lieu de scolarisation, à cette formation, ce qui inclut les élèves en situation de handicap scolarisés en unité d’enseignement dans un établissement médico-social.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 18

16 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mme CAMPION

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 26


Alinéa 4, première phrase

Compléter cette phrase par les mots :

, ainsi que dans les unités d’enseignement des établissements et services médico-sociaux et des établissements de santé

Objet

Afin d’assurer la scolarisation et la continuité des parcours de formation des élèves en situation de handicap ou présentant un trouble de la santé invalidant, qui nécessitent un séjour dans un établissement médico-social ou un établissement de santé, des unités d’enseignement peuvent être créées au sein de ces structures. 

Il est donc proposé que la formation à l’utilisation des outils et ressources numériques, prévue au présent article pour les écoles et les établissements d’enseignement soit aussi dispensée au sein des unités d’enseignement des établissements médico-sociaux et de santé.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 394 rect.

23 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Le Gouvernement


ARTICLE 26


Alinéa 4, seconde phrase

Rédiger ainsi cette phrase :

Elle comporte une sensibilisation aux droits et aux devoirs liés à l’usage de l’internet et des réseaux, dont la protection de la vie privée et le respect de la propriété intellectuelle.

Objet

 

Le retour à la rédaction antérieure permet une proposition moins restrictive :

- une sensibilisation s’inscrit davantage dans un processus progressif d’apprentissage qu’une simple information et introduit l’idée de jalons ou de parcours dans les apprentissages dans les usages du numérique à l’école, au collège et au lycée ;

- la formulation proposée attire l’attention sur le respect de la vie privée et de la propriété intellectuelle sans se limiter à ce seul champ parmi les usages de l’internet et des réseaux (gestion de base de données, utilisation d’outils collaboratifs, etc.), sans exclure de nouveaux usages possibles.

 






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 399 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes MORIN-DESAILLY, FÉRAT

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


ARTICLE 26


Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Le développement d'un comportement responsable dans l'utilisation des outils interactifs tel qu'il est défini au dernier alinéa de l'article L. 312-15 du même code participe à cette formation.

Objet

La section 8 du code de l'éducation prévoit que l'enseignement d'éducation civique soit le cadre de la formation des élèves à "développer une attitude critique et réfléchie vis-à-vis de l'information disponible et à acquérir un comportement responsable dans l'utilisation des outils interactifs lors de leur usage des services de communication au public en ligne". L'article L. 312-15 du même code fait aussi référence à la loi relative à l'informatique, aux fichiers et libertés, ainsi qu'aux missions de la CNIL en la matière.

Cet amendement a pour objet de faire le lien entre ce nouvel article L. 312-9 et celui consacré à l'éducation civique. Etre un utilisateur des outils numériques, c'est aussi être un citoyen éclairé. Les élèves doivent prendre conscience de toutes les réalités de l'utilisation des outils et des ressources numériques dès leur formation.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 400

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes MORIN-DESAILLY, FÉRAT

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


ARTICLE 27


Alinéa 4

Compléter cet alinéa par les mots :

par des personnels spécifiquement formés pour cela

Objet

Cet amendement a pour objet de s'assurer que les personnels qui dispenseront l'apprentissage d'une langue vivante étrangère auront bien été formés pour cela et qu'ils maitriseront la matière qu'il leur sera demandé d'enseigner. En effet, s'il est louable d'obliger chaque élève à suivre un enseignement d'une langue vivante étrangère dès le début de sa scolarité, il est nécessaire qu'ils le fassent dans les meilleures conditions. L'apprentissage d'une langue vivante nécessite d'acquérir des bases solides et justes dès le début de son enseignement, et cela dépend naturellement aussi du niveau des personnes qui dispensent les cours.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 167 rect. bis

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

Mme MÉLOT, MM. HOUEL et CAMBON, Mme DEROCHE, MM. BÉCOT, GRIGNON et CHAUVEAU, Mmes TROENDLE et LAMURE, M. LEFÈVRE, Mme SITTLER, MM. SAVIN, CARDOUX et MAGRAS, Mme DUCHÊNE, M. COUDERC, Mme BRUGUIÈRE, M. HURÉ, Mmes PRIMAS et GIUDICELLI, MM. BUFFET, CÉSAR et Philippe LEROY, Mme CAYEUX et MM. SIDO, DELATTRE, GROSDIDIER, BEAUMONT, DOLIGÉ et REVET


ARTICLE 27


Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

L'apprentissage de l'anglais est favorisé.

Objet

L'instauration d'une langue étrangère, dès le cours préparatoire, doit être une réelle avancée.

En effet, il n'est pas acceptable, dans un monde globalisé, que les élèves français aient autant de mal à maitriser une langue vivante étrangère.

Ces lacunes sont préjudiciables particulièrement en anglais, qui est la langue vivante la plus parlée dans le monde.

Proposer dès le cours préparatoire, l'apprentissage de l'anglais, s'avère une option intéressante afin que l'enfant assimile, à un âge précoce, les rudiments de celle-ci.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 168 rect. ter

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

Mme MÉLOT, MM. REICHARDT, HOUEL et CAMBON, Mme DEROCHE, MM. BÉCOT, GRIGNON et CHAUVEAU, Mme TROENDLE, M. Gérard BAILLY, Mme LAMURE, M. LEFÈVRE, Mme SITTLER, MM. SAVIN, CARDOUX, MAGRAS et COUDERC, Mmes DUCHÊNE et BRUGUIÈRE, M. HURÉ, Mmes PRIMAS et GIUDICELLI, MM. BUFFET, CÉSAR et Philippe LEROY, Mme CAYEUX, M. SIDO, Mme PROCACCIA et MM. DELATTRE, GROSDIDIER, BEAUMONT, DOLIGÉ et REVET


ARTICLE 27


Après l'alinéa 4

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« Dans les académies frontalières d'un pays étranger, l'apprentissage de la langue de ce pays est favorisé.

Objet

Dans les académies frontalières d'un pays étranger, proposer l'apprentissage de la langue de ce pays, dès le cours préparatoire, constituerait une option intéressante pour que l'enfant puisse s'intéresser, voire assimiler les rudiments de celle-ci.

Par ailleurs, ce partenariat avec les pays frontalier favoriserait à terme l'intégration et la collaboration culturelle et économique avec ces territoires.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 391

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Le Gouvernement


ARTICLE 27


I.- Alinéa 5

Remplacer le mot :

est favorisé

par les mots :

peut être favorisé

II.- Alinéa 6

Remplacer le mot :

bénéficient

par les mots :

peuvent bénéficier

Objet

La modification de l’alinéa 5, et l’ajout de l’alinéa 6 par la Commission enrichissent l’article 27 du projet de loi, d’une part en mettant en perspective apprentissage des langues et accords de coopération régionale, d’autre part en introduisant la notion d’initiation à la diversité linguistique. Ces deux aspects de la découverte des langues sont importants.

Ils ne sauraient cependant faire l’objet de dispositions systématiques – c’est le sens de l’amendement proposé par le Gouvernement.

Les accords de coopération régionale sont en effet un cadre parmi d’autres dans lequel peut s’inscrire le développement de l’apprentissage d’une langue vivante sur un territoire.

Par ailleurs, c’est dans le cadre de leur liberté pédagogique et en s’appuyant sur les possibilités offertes par la diversité des langues parlées dans les familles de leurs élèves que  les enseignants peuvent initier leurs élèves la diversité linguistique.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 318 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

MM. ANTOINETTE, ANTISTE, DESPLAN, Jacques GILLOT, Serge LARCHER, PATIENT et TUHEIAVA


ARTICLE 27


Alinéa 5

Après les mots :

sont en vigueur

supprimer la fin de cet alinéa.

Objet

Cet amendement propose de supprimer la condition de réciprocité prévue pour la mise en œuvre des accords de coopération régionale dans le domaine de l'apprentissage des langues étrangères.

La valorisation du plurilinguisme dans l'enseignement à laquelle la commission est très attachée possède, comme l'a rappelée madame la rapporteur, une importance à la fois pour l'insertion professionnelle et pour le développement cognitif des élèves. Avec raison, la commission a donc étendue une disposition réservée initialement aux académies frontalières à l'ensemble des académies.

Toutefois, en introduisant une condition de réciprocité, il est possible que le texte retarde, empêche ou complique la mise en œuvre de ces accords. La condition de réciprocité n'est pas prévue pour le cas des accords de coopération régionale, elle ne concerne qu'une partie seulement des traités internationaux ayant une valeur supérieure aux lois conclus par la France et elle sera particulièrement difficile à mettre en œuvre. S'agit-il d'une condition de réciprocité formelle comme l'alinéa 15 du préambule de 1946, de la conception retenue par l'article 60 de la Convention de Vienne de 1969 demandant une violation substantielle ou celle de l'article 55 qui traite de la réciprocité comme de l'application matérielle par l'autre partie ? Dans le dernier cas, un contentieux administratif difficile pourrait naitre de cette obligation et la force de l'accord régional inutilement mise en défaut.

L'objet de cet article est de favoriser l'apprentissage des langues. Tant que l'académie ne considère pas que l'accord est caduque, cette valorisation si importante du plurilinguisme doit primer, au profit des élèves des académies françaises, même si les élèves des académies partenaires n'ont pas cette chance dans les mêmes conditions ou les mêmes délais.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 183

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

M. DANTEC, Mmes BOUCHOUX et BLANDIN, M. GATTOLIN

et les membres du groupe écologiste


ARTICLE 27


Alinéa 6

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Les langues régionales pratiquées sur le territoire participent à cette initiation. Cette activité peut être prolongée et approfondie dans le cadre du projet éducatif de territoire.

Objet

Les langues régionales doivent être comprises dans l'initiation à la diversité linguistique. Elles pourront également être intégrées aux activités éducatives et culturelles complémentaires proposées par les collectivités territoriales.






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N° 270 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G  
Retiré

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


ARTICLE 27


Alinéa 7

Remplacer les années :

2015-2016

par les années :

2014-2015 

Objet

L'apprentissage des langues étrangères dès le cours préparatoire constitue l'une des mesures phares en faveur de l'école primaire et devrait être appliqué au plus tôt. Cet amendement vise à avancer d'une année l'application de ce dispositif. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 215

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS et MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR et REICHARDT


ARTICLE 27


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

... - Après le troisième alinéa de l’article L. 111-1 du code de l’éducation, sont insérés deux alinéas ainsi rédigés :

« Dans le cadre du volume horaire existant, un enseignement de langues et cultures régionales peut être dispensé aux enfants des familles intéressées dans les collectivités territoriales où ces langues sont en usage. L'enseignement de la civilisation et de l'histoire régionales est intégrée dans les programmes des disciplines aux différents niveaux scolaires.

« À cet effet, les pouvoirs publics sont tenus d’organiser l’information des familles sur ces formes d’enseignement, leur intérêt et leurs enjeux. »

Objet

La reconnaissance constitutionnelle des langues régionales à l’initiative des auteurs du présent amendement, opérée par la récente révision constitutionnelle du 23 juillet 2008, implique que leur soit donné un cadre législatif et que soient créés les outils juridiques nécessaires à leur sauvegarde.

Par le nouvel article 75-1, le Constituant a reconnu que la sauvegarde des langues régionales n’était pas seulement l’affaire de leurs locuteurs, mais concerne la collectivité nationale dans son ensemble car ces langues constituent un patrimoine commun à l’ensemble de la France.

Avec cette avancée constitutionnelle notre Nation a enfin reconnu que l’unité n’est pas l’uniformité, que l’égalité est non pas la confusion, mais la possibilité pour chacun d’être soi-même. Pour bon nombre de nos concitoyens, les langues régionales signifient quelque chose d’important, même pour ceux qui ne les maîtrisent pas totalement, ou qui ne sont pas des locuteurs habituels.

Il n’existe actuellement aucun cadre législatif consistant sur l’usage des langues régionales.

Ainsi, le code de l’éducation comporte seulement une faculté pour les autorités académiques d’inclure les langues régionales dans l’enseignement, les modalités de cette inclusion étant laissées à son appréciation et précisées par de simples circulaires.

Par ailleurs, la loi du 4 août 1994 sur l’emploi de la langue française a été interprétée par le Conseil d’État dans le sens d’une restriction de l’utilisation de la méthode immersive.

Il arrive même que, dans le cadre du service public de l’enseignement, les langues régionales de France soient moins bien traitées que les langues étrangères.

C’est pourquoi, il convient de déterminer le régime de l’enseignement des langues régionales et préciser les règles de protection et de promotion de l’enseignement de ces langues dans les secteurs de l’enseignement primaire, secondaire et supérieur.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 217 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS et MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR et REICHARDT


ARTICLE 27 BIS


Rédiger ainsi cet article :

La section 4 du chapitre II du titre Ier du livre III de la deuxième partie du code de l’éducation est ainsi rédigée :

« Section 4

« L’enseignement des langues régionales

« Art. L. 312-10. – Dans les académies des collectivités territoriales où ces langues sont en usage, un enseignement de langue et culture régionales peut être dispensé à tous les niveaux aux enfants des familles intéressées. En fonction de la demande des parents, cet enseignement peut prendre les formes suivantes :

« – un enseignement de la langue régionale ;

« – un enseignement en langue française et régionale à parité horaire ;

« – un enseignement immersif en langue régionale, sans préjudice de l’objectif d’une pleine maîtrise de la langue française.

« Art. L. 312-11. – Les professeurs sont invités à intégrer les langues et cultures régionales dans leur enseignement afin d’en favoriser la transmission et de les mettre à profit pour l’acquisition du socle commun de connaissances et de compétences et de culture, notamment pour l’étude de la langue française.

« Art. L. 312-11-1. – La langue régionale est une matière enseignée dans le cadre de l’horaire normal des écoles maternelles, élémentaires et secondaires ».

« Art. L. 312-11-2. – Les parents qui ont exprimé le souhait que leurs enfants reçoivent un enseignement tel que mentionné à l’article L. 312-10 et qui ne peuvent trouver celui-ci dans un établissement public suffisamment proche de leur domicile peuvent saisir le Conservatoire national des langues et cultures régionales. »

Objet

La reconnaissance constitutionnelle des langues régionales à l’initiative des auteurs du présent amendement, opérée par la récente révision constitutionnelle du 23 juillet 2008, implique que leur soit donné un cadre législatif et que soient créés les outils juridiques nécessaires à leur sauvegarde.

Par le nouvel article 75-1, le Constituant a reconnu que la sauvegarde des langues régionales n’était pas seulement l’affaire de leurs locuteurs, mais concerne la collectivité nationale dans son ensemble car ces langues constituent un patrimoine commun à l’ensemble de la France.

Avec cette avancée constitutionnelle notre Nation a enfin reconnu que l’unité n’est pas l’uniformité, que l’égalité est non pas la confusion, mais la possibilité pour chacun d’être soi-même. Pour bon nombre de nos concitoyens, les langues régionales signifient quelque chose d’important, même pour ceux qui ne les maîtrisent pas totalement, ou qui ne sont pas des locuteurs habituels.

Il n’existe actuellement aucun cadre législatif consistant sur l’usage des langues régionales.

Ainsi, le code de l’éducation comporte seulement une faculté pour les autorités académiques d’inclure les langues régionales dans l’enseignement, les modalités de cette inclusion étant laissées à son appréciation et précisées par de simples circulaires. 

Par ailleurs, la loi du 4 août 1994 sur l’emploi de la langue française a été interprétée par le Conseil d’État dans le sens d’une restriction de l’utilisation de la méthode immersive.

Il arrive même que, dans le cadre du service public de l’enseignement, les langues régionales de France soient moins bien traitées que les langues étrangères.

C’est pourquoi, il convient de déterminer le régime de l’enseignement des langues régionales et préciser les règles de protection et de promotion de l’enseignement de ces langues dans les secteurs de l’enseignement primaire, secondaire et supérieur.

Le présent amendement vise, dans cette perspective à insérer dans le chapitre II du titre Ier du livre III du code de l’éducation une section 4 intitulée « L’enseignement des langues régionales » précisant que dans les académies concernées par des langues régionales, un enseignement de langues et cultures régionales peut être dispensé tout au long de la scolarité aux enfants des familles intéressé.



NB :La rectification consiste en un changement de place de l’article 27 vers l’article 27 bis.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 186 rect. quater

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mme BLONDIN, MM. NAVARRO, LABAZÉE, MARC et FICHET, Mme HERVIAUX, MM. KERDRAON, BOTREL et HERVÉ, Mme KLÈS, MM. LE MENN, RIES, BÉRIT-DÉBAT, COURTEAU, PATIENT et ANDREONI, Mme BOURZAI, M. GUILLAUME, Mme SCHILLINGER, MM. MIRASSOU, DELEBARRE, MIQUEL, CHASTAN, SUTOUR, RAINAUD et ANTISTE, Mme MEUNIER, MM. VAUGRENARD, DESPLAN et FAUCONNIER et Mme PRINTZ


ARTICLE 27 BIS


Avant l'alinéa 1

Insérer un paragraphe ainsi rédigé :

...- L’article L. 312-10 du code de l’éducation est ainsi rédigé :

« Art. L. 312-10. – Les langues et cultures régionales appartenant au patrimoine de la France, leur enseignement est favorisé prioritairement dans les régions où elles sont en usage.

« Cet enseignement peut être dispensé tout au long de la scolarité selon des modalités définies par voie de convention entre l’État et les collectivités territoriales où ces langues sont en usage.

« Le Conseil supérieur de l'éducation est consulté, conformément aux attributions qui lui sont conférées à l'article L. 231-1, sur les moyens de favoriser l'étude des langues et cultures régionales dans les régions où ces langues sont en usage.

« L’enseignement facultatif de langue et culture régionales est proposé dans l'une des deux formes suivantes :

« 1° Un enseignement de la langue et de la culture régionales ;

« 2° Un enseignement bilingue en langue française et en langue régionale.

« Les familles sont informées des différentes offres d’apprentissage des langues et cultures régionales. »

Objet

La révision constitutionnelle de 2008 a permis la reconnaissance des langues régionales comme éléments du patrimoine de la France. Cet amendement vise donc à réécrire l’article L. 312-10 du code de l’éducation pour tenir compte de ce changement.

Il détaille ainsi les différentes formes que peut revêtir l’enseignement de et en langues régionales et inscrit tout particulièrement dans la loi l’enseignement bilingue.

Il prévoit également que les familles seront informées de ces différentes offres d’enseignement.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 335 rect. bis

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Retiré

M. DANTEC, Mmes BOUCHOUX et BLANDIN, M. GATTOLIN

et les membres du groupe écologiste


ARTICLE 27 BIS


Avant l'alinéa 1

Insérer un paragraphe ainsi rédigé :

... - L’article L. 312-10 du code de l’éducation est ainsi rédigé :

« Art. L. 312-10. – L'enseignement des langues et des cultures régionales de la France est favorisé en priorité dans les territoires où elles sont en usage.

« Cet enseignement peut être dispensé tout au long de la scolarité selon des modalités définies par voie de convention entre l’État et les collectivités territoriales où ces langues sont en usage.

« Le Conseil supérieur de l'éducation est consulté, conformément aux attributions qui lui sont conférées par l'article L. 231-1, sur les moyens de favoriser l'étude des langues et cultures régionales dans les régions où ces langues sont en usage.

« L’enseignement facultatif de langue et culture régionales est proposé sous l'une des deux formes suivantes :

« 1° Un enseignement de la langue et de la culture régionales ;

« 2° Un enseignement en langues française et régionale.

« Les familles sont informées des différentes offres d’apprentissage des langues et cultures régionales, des formes d'enseignement, leur intérêt et leurs enjeux. »

Objet

Cet amendement vise à préciser les différentes formes que peuvent prendre l'enseignement en langue régionale. Il met également en place une obligation d'information des familles sur ces formes d'enseignement.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 73

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

M. LASSERRE

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


ARTICLE 27 BIS


Alinéa 2

Rédiger ainsi cet alinéa :

« Art L. 312-11. -Dans les territoires où les langues régionales sont en usage, leur apprentissage, pour les familles qui le souhaitent, est favorisé. Dans ces cas-ci, les professeurs peuvent recourir aux langues régionales au cours de leur enseignement. »

Objet

L'objet de cet amendement est de mettre directement dans la loi les orientations fixées par le rapport annexé, en l’espèce celles de l’alinéa 96. En effet, l'article 27 bis (nouveau) tel qu’il est rédigé constitue une véritable régression de la place accordée à l’enseignement des langues régionales. Leur enseignement est réduit à un rôle d’auxiliaire de la langue française. Je propose donc de redonner toute leur place aux langues régionales, lorsque leur enseignement est souhaité par les familles.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 185 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mme BLONDIN, MM. NAVARRO et LABAZÉE, Mme ESPAGNAC, MM. MARC et FICHET, Mme HERVIAUX, MM. KERDRAON, BOTREL et HERVÉ, Mme KLÈS, MM. LE MENN, RIES, BÉRIT-DÉBAT, COURTEAU, PATIENT et ANDREONI, Mme BOURZAI, M. GUILLAUME, Mme SCHILLINGER, MM. MIRASSOU, DELEBARRE, MIQUEL, CHASTAN, SUTOUR, RAINAUD et ANTISTE, Mme MEUNIER, MM. VAUGRENARD, DESPLAN et FAUCONNIER et Mme PRINTZ


ARTICLE 27 BIS


Alinéa 2

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ils peuvent également s’appuyer sur des éléments de la culture régionale pour favoriser l’acquisition du socle commun de connaissances, de compétences et de culture et des programmes scolaires.

Objet

Il est important que les professeurs puissent avoir recours et tirer profit de l’apport que représentent les cultures régionales dans leur enseignement, en plus des langues régionales.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 216

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE et REICHARDT


ARTICLE 27 BIS


Alinéa 2

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

L'accord des représentants légaux des élèves ou des élèves eux-mêmes s'ils sont majeurs est nécessaire pour que leur professeur dispense l'enseignement d'une langue régionale ou donne des éléments de cours en langue régionale intégrale.

Objet

Si le développement de l'enseignement des langues régionales est souhaitable, il faut veiller à ce que les parents ou le représentant légal de l'enfant donnent leur accord à un enseignement que le professeur pourrait juger utile mais qui impliquerait un véritable enseignement ou recours à la langue régionale.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 119

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. LE SCOUARNEC, Pierre LAURENT

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 28


I. - Alinéa 2

Remplacer les mots :

enseignement moral et civique

par les mots :

enseignement d’éducation civique

II. – Alinéa 3

Supprimer cet alinéa.

III. – Alinéas 4 à 6

Remplacer ces alinéas par un paragraphe ainsi rédigé :

III. – À la première phrase du premier alinéa de l’article L. 312-15, après les mots : « l’enseignement d’éducation civique », sont insérés les mots : « vise notamment à amener les élèves à devenir des citoyens libres et responsables, à se forger un sens critique. Cet enseignement ».

Objet

Les auteurs de cet amendement ne sont pas favorables à l’introduction de la notion de morale dans le code de l’éducation. Ils lui préfèrent celle d’enseignement d’éducation civique.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 50 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Non soutenu

MM. GUERRIAU, Jean-Léonce DUPONT et MERCERON


ARTICLE 28


I. - Alinéa 2

Après le mot :

hommes

insérer les mots :

, du principe de non discrimination

II. - Après l'alinéa 5

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

...° Au troisième alinéa, les mots : « d’éducation » sont remplacés par les mots : « moral et » et le mot : « intégration » est remplacé par le mot : « inclusion » ;

III. - En conséquence, alinéa 6

Supprimer les mots :

Au troisième alinéa

Objet

Parce que, être citoyen, c’est vivre ensemble, la non discrimination est un principe fondamental, proclamé par toutes les normes internationales relatives aux droits humains.

Ainsi, pour que l’école constitue bien, comme souligné dans le rapport issu de la concertation, un espace pré-civique, un lieu où l’on se prépare, activement, à devenir des citoyens, il est indispensable d’y introduire également le principe de non discrimination.

En outre, toujours dans le même objectif de poursuivre le mouvement amorcé par la loi du 11 février 2005 en s’attachant à l’amélioration de la qualité de la scolarisation de ces élèves dans une école réellement inclusive, il est important de remplacer le mot « intégration » par celui d’ « inclusion ».



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 178 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mmes BOUCHOUX et BLANDIN, M. GATTOLIN

et les membres du groupe écologiste


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 28


Après l’article 28

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre II du titre Ier du livre III de la deuxième partie du code de l'éducation est complété par une section ainsi rédigée :

«  Section … - L'éducation à l'environnement et au développement durable

« Art. L. 312-…. - L'éducation à l'environnement et au développement durable débute dès l'école primaire. Elle a pour objectif d'éveiller les enfants aux enjeux environnementaux.

« Elle comporte une sensibilisation à la nature et à la compréhension et à l'évaluation de l'impact des activités humaines sur les ressources naturelles. »

Objet

L’éducation à l’environnement dans une perspective de développement durable place au premier plan les valeurs de solidarité et de responsabilisation. Les séquences éducatives mises en place doivent tendre à faire prendre conscience que notre planète et les ressources naturelles sont des biens communs dont nous devons prendre soin.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 179

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

Mmes BOUCHOUX et BLANDIN, M. GATTOLIN

et les membres du groupe écologiste


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 28


Après l’article 28

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre II du titre Ier du livre III de la deuxième partie du code de l'éducation est complété par une section ainsi rédigée :  

« Section … - L'éducation à l'environnement et au développement durable

« Art. L. 312-…. - L'éducation à l'environnement et au développement durable fait percevoir et comprendre la dépendance de la qualité de vie au bon état des écosystèmes. »

Objet

Cet amendement vise à inscrire a minima dans la loi que l'éducation à l'environnement et au développement durable a pour objectif de faire comprendre le lien de dépendance existant entre qualité de vie et bon état des ecosystèmes ou de la biosphère.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 120

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. LE SCOUARNEC, Pierre LAURENT

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 28


Après l’article 28

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

« Le titre Ier du livre III de la deuxième partie du code de l’éducation est complété par un chapitre ainsi rédigé :

« Chapitre … : De la psychologie dans l’éducation nationale

« Art. L. 315 – Les psychologues de l’éducation nationale, psychologue du premier degré et conseiller d’orientation-psychologue, contribuent au fonctionnement du système éducatif de la maternelle à l’université.

« Ils prennent en compte les difficultés des élèves et mettent en œuvre les conditions pour faciliter leur apprentissage et leur développement. »

Objet

Cet amendement a pour objet de consacrer dans la partie législative du code de l’éducation les missions des personnels psychologues de l’éducation nationale.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 174

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G  
Retiré

Mmes BOUCHOUX et BLANDIN, M. GATTOLIN

et les membres du groupe écologiste


ARTICLE ADDITIONNEL AVANT ARTICLE 29


Avant l'article 29

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le code de l’éducation est ainsi modifié :

1° Au deuxième alinéa de l’article L. 113-1, à l’article L. 133-3, aux premier et quatrième alinéas de l’article L. 133-4, à la première phrase du deuxième alinéa de l’article L. 133-12, au premier alinéa de l’article L. 321-1, à la dernière phrase du premier alinéa de l’article L. 321-2, aux première et deuxième phrases de l’article L. 411-1 et au premier alinéa des articles  L. 914-4 et L. 921-1, le mot : « maternelle » est remplacé par le mot : « initiale » ;

2° Aux intitulés du titre III du livre Ier de la première partie, du chapitre III du titre III du livre Ier de la première partie, de la section 1 du chapitre III du titre III du livre Ier de la première partie, de la section 2 du chapitre III du titre III du livre Ier de la première partie, de la section 1 du chapitre II du titre Ier du livre II de la première partie, du chapitre Ier du titre Ier du livre IV de la deuxième partie, les mots : « maternelles » sont remplacés par les mots : « initiales » ;

3°Au premier alinéa de l’article L. 113-1, à l’article L. 132-1, au III de l’article L. 133-2, à l’article L. 133-6, au premier alinéa des articles  L. 133-11 et L. 133-12, au second alinéa des articles L. 161-3, L. 162-4, L. 163-4 et L. 164-3, aux 1° et 7° de l’article L. 211-8, aux premier et second alinéas de l’article L. 212-1, au premier alinéa de l’article L. 212-8, au dernier alinéa de l’article L. 213-11, au premier alinéa et au 1° de l’article L. 312-3, aux articles L. 312-5, L. 312-11 et L. 321-11-1, à la première phrase du premier alinéa des articles L. 312-2 et L. 351-1, et à l’article L. 511-5, les mots : « maternelles » sont remplacés par les mots : « initiales ».

Objet

le projet de loi a notamment pour ambition de refonder les missions de l'école maternelle. Or, le terme d'« école maternelle » renvoie à une vision obsolète de cette école puisqu'elle implique que cette institution relèverait d'abord des mères, dans une sorte de prolongation de l'éducation familiale.

Aussi, il est nécessaire d'accorder à cette école un statut de véritable école, et non un jardin d'enfants « pré-scolaire », voire même un statut de véritable école fondatrice de la scolarité. Les écologistes proposent donc de la nommer dorénavant « école initiale ».






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 253 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


ARTICLE 30


Alinéa 3, après la deuxième phrase

Insérer une phrase ainsi rédigée :

Elle prépare progressivement les enfants à l’acquisition du socle commun de connaissances, de compétences et de culture.

Objet

Si le socle commun de connaissances, de compétences et de culture ne s’applique pas à l’école maternelle, il est nécessaire de préparer de manière progressive les enfants à son acquisition afin de prévenir d’éventuelles difficultés scolaires.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 370

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. Pierre LAURENT, LE SCOUARNEC

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 30


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Elle veille à favoriser l’égalité entre les filles et les garçons.

Objet

L’école maternelle doit être considérée comme un acteur majeur dans la lutte contre les stéréotypes de genre.






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N° 121

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. LE SCOUARNEC, Pierre LAURENT

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 30


Alinéa 5

I. Après le mot :

formation

insérer les mots :

initiale et continue

II. (Rejeté lors d'un vote par division) Supprimer les mots :

à ce personnel

Objet

Amendement de précision sur la formation des personnels affectés en classe maternelle : elle doit être initiale et continue, et ne doit pas être réservée à la seule formation continue.



NB :Le II ayant reçu un avis défavorable de la commission et du Gouvernement, il a été rejeté lors d'un vote par division.





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N° 40 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. CARLE, Mme PRIMAS, MM. HUMBERT et Bernard FOURNIER, Mmes MÉLOT et DUCHÊNE et M. DUVERNOIS


ARTICLE 30


Compléter cet article par trois alinéas ainsi rédigés :

…° Sont ajoutés deux alinéas ainsi rédigés :

« Les enseignements dispensés durant le cycle des apprentissages fondamentaux sont individualisés et adaptés au niveau de progression de chaque élève.

« Un décret fixe les conditions dans lesquelles l’individualisation des enseignements est organisée. »

Objet

L’organisation du travail en groupes restreints dans les petites classes augmente l’intensité de travail avec chaque élève permettant ainsi d’obtenir de meilleurs résultats.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 122

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. LE SCOUARNEC, Pierre LAURENT

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 30


Après l'article 30

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Après l’article L. 321-2 du code de l'éducation, il est inséré un article L. 321-2-... ainsi rédigé :

« Art. L. 321-2-... – Le Gouvernement, en lien avec les autorités académiques, effectue un état des lieux annuel de la situation des écoles maternelles. Cet état des lieux est communiqué sous forme de rapport annuel aux commissions compétentes de l’Assemblée nationale et du Sénat. Le Gouvernement remet également aux commissions compétentes de l’Assemblée nationale et du Sénat un rapport annuel spécifique sur la scolarisation des enfants de deux ans à trois ans, faisant notamment état des demandes de scolarisation et de la prise en compte de celles-ci dans les effectifs. »

Objet

L’école maternelle et la scolarisation des moins de trois ans, particulièrement mises à mal ces dernières années, et aujourd’hui priorité du gouvernement, doivent faire l’objet de rapports sur son évolution et prenant en compte toutes les demandes de scolarisation dans la prévision des effectifs enseignants affectés.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 150 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. CARLE, Mme PRIMAS, MM. HUMBERT et Bernard FOURNIER, Mmes MÉLOT et DUCHÊNE et M. DUVERNOIS


ARTICLE 31


Rédiger ainsi cet article :

L'article L. 321-3 du code de l'éducation est ainsi rédigé :

« Art. L. 321-3. - La formation primaire dispensée dans les écoles élémentaires suit un programme unique réparti sur les cycles mentionnés à l'article L. 311-1 ; la période initiale peut être organisée sur une durée variable.

« Cette formation assure l'acquisition des instruments fondamentaux de la connaissance : expression orale ou écrite, lecture, calcul et résolution de problème. Elle assure conjointement avec la famille l'éducation morale et offre un enseignement d'éducation civique qui comporte obligatoirement l'apprentissage de l'hymne national et de son histoire. »

Objet

En lecture, la France voit continuement ses résultats baisser depuis plus de deux décennies. Aujourd’hui ce sont 40 % des élèves français qui ne savent pas bien lire ou bien compter lors de leur entrée au collège. Ainsi, ce sont 20 % des élèves français qui, faute de maîtriser les savoirs fondamentaux, sortent du système éducatif sans aucun diplôme.

Constatant la dégradation du niveau des élèves français en lecture et l’augmentation du nombre d’élèves en grande difficulté scolaire, nous souhaitons que la représentation nationale tire la sonnette d’alarme en instaurant dans la loi que l’enseignement du premier degré doit être tout entier dédié à l’apprentissage des savoirs fondamentaux. La représentation nationale doit affirmer que la maîtrise des savoirs fondamentaux (lecture, écriture, calcul) est « la base de tout » comme l’écrivait Charles Péguy et qu’ il ne peut y avoir d’épanouissement personnel ou d’intégration sociale réussie sans maîtrise des savoirs fondamentaux.

La représentation nationale ne saurait ignorer que la réussite d’une scolarité est très fortement conditionnée par les compétences en lecture, écriture et calcul que se forgeront les élèves durant le cycle des apprentissages fondamentaux (GS, CP et CE1). La représentation nationale ne saurait donc que trop insister sur l’importance que revêt pour l’élève l’acquisition des savoirs fondamentaux en début de scolarité.

Nous n’ignorons pas l’importance que peuvent revêtir la pratique du sport, l’initiation aux arts plastiques et à la musique pour le développement personnel de l’enfant et le rôle essentiel que ces activités peuvent avoir sur la confiance de l’élève. Cependant, nous n’ignorons pas non plus que le cycle des apprentissages fondamentaux est le terreau de la construction des inégalités scolaires et que l’école élémentaire - et donc a fortiori le collège - ne permettent pas de réduire les difficultés repérées au début de la scolarité.

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 123 rect.

24 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. LE SCOUARNEC, Pierre LAURENT

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 31


Alinéa 6, deuxième phrase

Remplacer les mots :

plastiques et musicaux

par les mots :

visuels et arts musicaux

Objet

Cet amendement propose d’actualiser le code de l’éducation conformément aux pratiques des enseignants en préférant la notion d’arts visuels, qui englobe les arts plastiques et permet en outre de ne pas exclure les arts de l’image.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 534

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mme CARTRON

au nom de la commission de la culture


ARTICLE 31


Alinéa 6, troisième phrase

Après le mot :

et

insérer les mots :

elle peut comporter

Objet

Précision que l'initiation à la diversité linguistique est facultative.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 180

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

M. DANTEC, Mmes BOUCHOUX et BLANDIN, M. GATTOLIN

et les membres du groupe écologiste


ARTICLE 31


Alinéa 6, troisième phrase

Compléter cette phrase par les mots :

, dont les langues régionales

Objet

La France est riche de nombreuses langues et cultures originales issues de son histoire, sources de sa diversité culturelle. Les langues régionales ont un poids culturel important qui se retrouve dans la langue française dont de nombreux mots sont issus de cette histoire. La connaissance des langues régionales permet de mieux comprendre et appréhender son environnement immédiat, sa culture, son identité et de tisser un lien intergénérationnel, cela est source d’intégration, quelle que soit son origine. De plus la diffusion de ces langues, dont certaines sont transfrontalières, permettra à l’élève d’avoir une ouverture sur les valeurs qui fondent notre République en y retrouvant bon nombre de valeurs, de formes, qui font la richesse culturelle de la France.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 176

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

Mmes BOUCHOUX et BLANDIN, M. GATTOLIN

et les membres du groupe écologiste


ARTICLE 31


Alinéa 6, cinquième phrase

Remplacer les mots :

, mais aussi de l'égalité entre les femmes et les hommes

par une phrase ainsi rédigée :

. Elle assure les conditions de l'éducation à l'égalité de genre.

Objet

L’amendement présenté vient compléter l’article 31 en proposant que les enseignements dispensés dans le premier degré intègrent une éducation à l’égalité de genre, c’est à dire une éducation à l’égalité entre les femmes et les hommes et à la déconstruction des stéréotypes. Cette véritable avancée dans notre système éducatif permet aux enfants dès le plus jeune âge de s'interroger sur la construction sociale des inégalités et ainsi de leur ouvrir le champs des possibles en terme de développement personnel et d'orientation scolaire, quelque soit leur sexe.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 219 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Non soutenu

MM. LENOIR et LELEUX, Mme PRIMAS et M. CHAUVEAU


ARTICLE 31


Alinéa 6

1° Dernière phrase

Supprimer les mots :

, notamment de l’hymne national et de son histoire

2° Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Elle assure obligatoirement l’apprentissage de l’hymne national et de son histoire.

Objet

L'article L.321-3 initial du code de l'éducation énonce clairement que l'hymne national doit être appris par tous les élèves dans le primaire.

En modifiant la rédaction de cet article par un "notamment" et en ôtant le terme "obligatoirement", le projet de loi donne moins de force à cette disposition et n'incite pas à son application.

Il est utile de distinguer cette disposition importante en la séparant du texte présentant les autres missions de l'école primaire, cette nouvelle rédaction ne modifiant en rien le contenu et l'équilibre de l'article 31.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 387

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Non soutenu

MM. PATIENT, ANTISTE, ANTOINETTE et CORNANO, Mme CLAIREAUX et MM. DESPLAN, Jacques GILLOT, Serge LARCHER, MOHAMED SOILIHI et TUHEIAVA


ARTICLE 31 BIS


Alinéa 2

Compléter cet alinéa par les mots :

et plus spécifiquement pour l'académie de Guyane, des milieux amérindiens, bushinengue et hmong

Objet

Cet amendement vise également à prendre en compte en sus du milieu créolophone, les autres langues de Guyane qui utilisées sur tout le territoire peuvent bénéficier du statut de langue régionale.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 319 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

MM. ANTOINETTE, ANTISTE, DESPLAN, Jacques GILLOT, Serge LARCHER, PATIENT et TUHEIAVA


ARTICLE 31 BIS


Alinéa 2

Compléter cet alinéa par les mots :

ou amérindien

Objet

Cet amendement propose d'ajouter au milieu créolophone présent en outre-mer les milieux amérindiens qui font la spécificité de l'Académie de Guyane.

Madame la rapporteur relève très justement que le français n'est souvent qu'une langue seconde qui, pour la scolarisation, nécessite un effort supplémentaire pour les élèves issus de milieux principalement créolophones. Il leur faut à la fois progresser dans la maîtrise de la langue d'enseignement qu'est le français et acquérir les connaissances et les compétences fixées dans les programmes. Or, la pédagogie standard est conçue dans le primaire pour des élèves de langue maternelle française. Elle n'est donc pas adaptée aux élèves créolophones.

Dans l'académie de Guyane, les populations bushinenguées, arawaks, wayampis, palikours emerillons ou wayana pratiquent pas le créole mais les langues d'affiliation arawaks et tupi-guarani. Dans l'intérêt de ces populations, il paraît important que des outils pédagogiques, prévus pour les créolophones, soient également prévus pour les populations amérindiennes



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 218

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


ARTICLE 32 A


Alinéa 3, seconde phrase

Supprimer cette phrase.

Objet

La rédaction de cet article laisse entendre que l'orientation sera un outil permettant d'assurer l'égale représentation des hommes et des femmes dans les filières de formation.

Certes, il faut indiquer aux jeunes que certaines filières ne sont pas exclusivement réservées aux hommes ou aux femmes afin qu'ils ne s'auto-limitent pas dans leur choix, mais il serait inacceptable de leur conseiller une voie professionnelle afin d'assurer la mixité de celle-ci.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 162 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

MM. ANTISTE, ANTOINETTE, CORNANO, Serge LARCHER, DESPLAN et PATIENT


ARTICLE 32 A


I. - Après l'alinéa 3

Insérer un alinéa ainsi rédigé : 

« Il est créé dans chaque établissement scolaire du second degré un conseil d’orientation présidé par le chef d’établissement dont la composition est fixée par décret. Le conseil d’orientation est chargé de fournir l’ensemble des informations destinées à faciliter le choix d’un avenir professionnel, de la voie et de la méthode d’éducation qui y conduisent. »

II. - Alinéa 5

1° Seconde phrase

Compléter cette phrase par le mot :

individualisé

2° Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Chaque élève dispose d’un dossier individualisé spécifique qui mentionne son projet de formation ainsi que les résultats scolaires accordés à ce projet.

Objet

Par la création d’un Conseil d’orientation dans chaque établissement scolaire du second degré, le présent amendement vise à faciliter le choix, par chaque élève, d’un avenir professionnel, de la voie et de la méthode d’éducation qui y conduisent. La création d’un nouveau dossier scolaire individualisé présentant le projet de formation de l’élève ainsi que ses résultats scolaires ordonnés autour de ce projet devrait, au même titre que le partenariat avec les collectivités territoriales, les organisations professionnelles, les entreprises et les associations, contribuer au succès de la mise en œuvre d’un parcours individuel de formation organisé autour du choix professionnel de l’élève.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 124

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. Pierre LAURENT, LE SCOUARNEC

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 32 A


Alinéa 5

Rédiger ainsi cet alinéa :

« Ce parcours est défini sous la responsabilité du chef d’établissement et avec l’aide des parents par les conseillers d’orientation-psychologues, les enseignants et les autres membres de la communauté éducative qui peuvent s’appuyer sur les centres d’information et d’orientation. Ces personnels en assurent la mise en œuvre à laquelle peuvent contribuer les administrations concernées, les collectivités territoriales, les organisations professionnelles, les entreprises et les associations. » ;

Objet

Cet amendement vise à préciser et clarifier la mise en œuvre du parcours individuel d’information, d’orientation et de découverte du monde économique et professionnel proposé aux élèves au cours de leur scolarité du second degré.






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N° 271 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Rejeté

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BARBIER, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


ARTICLE 32 A


Alinéa 5, première phrase

Remplacer les mots :

des parents

par les mots :

de l'élève et de ses parents ou de son responsable légal 

Objet

Il est important de faire participer l'élève à la définition de son parcours individuel d'information, d'orientation et de découverte du monde économique et professionnel qui va lui être proposé. En effet, l'échec scolaire résulte souvent d'une orientation subie, et non pas choisie. L'élève doit pouvoir participer de manière active à l'élaboration de son projet d'orientation scolaire et professionnelle. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 163 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

MM. ANTISTE, ANTOINETTE, CORNANO, DESPLAN, Serge LARCHER et PATIENT


ARTICLE 32 B


Première phrase

Après le mot :

classe

insérer les mots :

formulée après avoir recueilli l’avis du conseil d’orientation 

 

 

 

Objet

Cet amendement se comprend par son dispositif.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 220

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


ARTICLE 33


Supprimer cet article.

Objet

Il est préférable de revenir à la rédaction initiale de l'article L.332-3 du code de l'éducation.

La rédaction proposée limite en effet dangereusement le recours aux stages.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 74 rect.

23 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

Mmes FÉRAT, MORIN-DESAILLY

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


ARTICLE 33


Rédiger ainsi cet article :

L’article L. 332-3 du code de l'éducation est ainsi rédigé :

« Art. L. 332-3. - Les collèges dispensent un enseignement commun, réparti sur quatre niveaux successifs. À chacun d'entre eux, des enseignements complémentaires peuvent être proposés afin de favoriser l'acquisition du socle commun de connaissances, de compétences et de culture. Au cours des deux dernières années de scolarité au collège, ceux-ci peuvent préparer les élèves à une formation professionnelle et, dans ce cas, comporter éventuellement des stages contrôlés par l'État et accomplis auprès de professionnels agréés. Les lycées professionnels et les établissements d'enseignement agricole peuvent être associés à cette préparation. »

Objet

Cet amendement réécrit l’article 33, du présent projet de loi, afin de remettre sa cohérence à l’article L. 332-3 du code de l’éducation. Il confirme l’acquisition du socle commun comme un objectif de ces enseignements complémentaires. Il vise également à ce que les enseignements complémentaires, qui préparent les élèves à des formations professionnelles, puissent être proposés dès la classe de 4ème. La formation professionnelle ne doit pas être stigmatisée et évitée. Garder à tout prix un élève en section générale peut l’amener à décrocher. Alors qu’il pourrait s’épanouir dans une section professionnelle, lui permettant d’avoir une approche et une meilleure connaissance du monde de l’entreprise. Et enfin, il permet d’associer l’enseignement agricole en lui redonnant la place qui lui convient. C’est, en effet, un enseignement qui connaît d’excellents résultats en termes d’insertion professionnelle.






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N° 125

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Rejeté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. Pierre LAURENT, LE SCOUARNEC

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 33


Alinéa 3, seconde phrase

1° Remplacer les mots :

au cours de la dernière année de scolarité au collège, ceux-ci

par le mot :

ils

2° Supprimer les mots :

préparer les élèves à une formation professionnelle et, dans ce cas

Objet

Cet amendement renforce le collège unique en supprimant la mention de la dernière année de scolarité et en écartant la possibilité d’une formation professionnelle.

Les stages sont conservés et peuvent être effectués par tous les élèves et ne correspondent plus à une orientation précoce.






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N° 435

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Le Gouvernement


ARTICLE 33


Alinéa 6

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Dans les établissements d’enseignement agricole, ces enseignements complémentaires peuvent comporter des stages contrôlés par l’Etat et accomplis auprès de professionnels agréés, au cours des deux dernières années de scolarité du collège.

Objet

 

 

Cet amendement de précision permet l’application de l’article 33 à l’enseignement agricole. En effet, dans les établissements d’enseignement agricole, les élèves sont amenés à suivre des stages au cours de deux dernières années du collège.

 






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N° 75

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes FÉRAT, MORIN-DESAILLY

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


ARTICLE 34


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à maintenir la rédaction actuelle de l’alinéa 4 de l’article L. 332-4 du code de l’éducation qui permet une meilleure orientation des élèves du collège et une valorisation des métiers :

"Des aménagements particuliers permettent, durant les deux derniers niveaux de l'enseignement des collèges et dans le cadre de dispositifs d'alternance personnalisés, une découverte approfondie des métiers et des formations ainsi qu'une première formation professionnelle. Ces aménagements comprennent notamment le suivi de stages dans les conditions définies à l'article L. 332-3, ainsi que de stages dans des centres de formation d'apprentis et des sections d'apprentissage."






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N° 221

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


ARTICLE 34


Supprimer cet article.

Objet

Même objet que l'amendement précédent.

Il est surprenant que le gouvernement se montre hostile au recours à l'alternance qu'il s'est pourtant engagé à développer, et limite la possibilité pour le jeune d'effectuer des stages qui vont lui permettre d'acquérir une expérience, et surtout de pouvoir s'orienter en connaissance de cause dans une voie professionnelle qu'il aura appréciée concrètement.






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N° 126

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. Pierre LAURENT, LE SCOUARNEC

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 36


Supprimer cet article.

Objet

Amendement de coordination en opposition au principe du socle commun.






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N° 419

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Le Gouvernement


ARTICLE 36


Alinéa 2

Supprimer cet alinéa.

Objet

L’alinéa 2 de l’article 36 du projet de loi, introduit en Commission, fixerait de façon bien trop rigide dans la loi les modalités d’organisation et d’attribution du diplôme national du brevet. L’organisation des examens et concours relève du domaine réglementaire pour autoriser des ajustements et des possibilités d’évolution. 

Par ailleurs cet ajout anticipe  la réflexion actuellement en cours pour repenser le brevet. Il infléchit très nettement les composantes de l’évaluation vers des projets transdisciplinaires alors qu’il appartiendra d’une part au Conseil supérieur des programmes de proposer une redéfinition des contenus et des programmes d’enseignement, et que d’autre part cette orientation n’a pas été soumise à l’avis des différents membres de la communauté éducative (parents, enseignants…).

En revanche, l’idée de prendre en compte des projets et des compétences transdisciplinaires alimentera utilement la réflexion du conseil supérieur des programmes.

 






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N° 171

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes BOUCHOUX et BLANDIN, M. GATTOLIN

et les membres du groupe écologiste


ARTICLE 36


Après l'alinéa 3

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

...°  Le troisième alinéa est supprimé ;

Objet

Le diplôme national du brevet doit être totalement repensé. Son rôle doit être de certifier l’acquisition du socle commun de connaissances, de compétences et de culture car il participe de la fin symbolique de la scolarité obligatoire en tant que fin du collège unique.

Dans le cadre de cette réforme, les mentions devraient être supprimées car, tout comme les classements ou la notation, elles ne servent qu’à stigmatiser les différences entre les élèves. Elles n’ont donc pas lieu d’être dans une école de la République refondée, qui prône l’égalité des droits pour chaque élève.






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N° 145 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme DUCHÊNE, M. CARLE, Mmes PRIMAS et MÉLOT et MM. Bernard FOURNIER et CHAUVEAU


ARTICLE 36


Alinéa 5

Remplacer les mots :

la maîtrise

par les mots :

du niveau requis pour la maîtrise

Objet

La maîtrise des connaissances, des compétences et de la culture est rarement atteinte. Le concept de niveau requis paraît plus approprié et suffisant pour l'examen du Brevet. Il est par ailleurs plus en adéquation avec "la vérification d'un niveau de connaissance" évoqué à l'article 37 pour l'examen du baccalauréat.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 127

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. Pierre LAURENT, LE SCOUARNEC

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 37


Alinéa 2, seconde phrase

Remplacer cette phrase par deux phrases ainsi rédigées :

Il comporte la vérification d’un niveau de culture défini par les programmes du lycée, ainsi que le contrôle des connaissances et des compétences dans des enseignements suivis par l’élève en dernière année. Ce contrôle est effectué indépendamment dans chacun de ces enseignements.

Objet

La nouvelle formulation de l’article 37, dont les détails sont renvoyés au décret ouvre la porte à une réforme du baccalauréat qui pourrait passer en partie ou en totalité en contrôle en cours de formation (CCF) sur les années du cycle terminale, voire des trois années pour la filière professionnelle. Les auteurs de cet amendement souhaitent donc revenir à la version initiale du projet de loi.






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N° 371

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. Pierre LAURENT, LE SCOUARNEC

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 37


Après l’article 37

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le deuxième alinéa de l’article L. 335-1 du code de l'éducation est ainsi rédigé :

« Les formations sous statut scolaire ou étudiant permettent une entrée dans la vie professionnelle aux différents niveaux de qualification exigés par l’évolution des métiers. Elles permettent également la poursuite d’études autorisant des réorientations par le développement de passerelles au sein et entre les trois voies. »

Objet

Les formations professionnelles et technologiques sont aujourd’hui proposées dans de nombreuses spécialités sous statut scolaire et sous statut salarié. Ces deux possibilités, contribuent à la réussite des jeunes chacune offrant un cadre différent à la formation suivie. Les formations sous statut d’apprenti obéissant aux contraintes classiques du recrutement des salariés avec une sélection du candidat par l’entreprise sur les critères répondant aux besoins de l’entreprise, elles ne peuvent garantir une égalité d’accès.

Afin de développer la complémentarité entre les deux voies et de lutter contre les effets de concurrence, il apparait important de rappeler dans le code de l’éducation les spécificités et missions de l’enseignement professionnel sous statut scolaire qui accueille notamment les élèves les plus fragiles scolairement et socialement. C’est d’autant plus nécessaire que le projet de loi de mobilisation des régions pour la croissance et l’emploi et de promotion de l’égalité des territoires prévoit d’élargir les compétences des régions en matière d’apprentissage et que l’article 18 du présent projet de loi donne à la région le pouvoir d’arrêter la carte des formations professionnelles initiales.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 76

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes FÉRAT, MORIN-DESAILLY

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


ARTICLE 38


Supprimer cet article.

Objet

Cet article abroge les dispositifs de la loi du 28 juillet 2011 pour le développement de l’alternance et la sécurisation des parcours professionnels, qui introduisent le dispositif d’initiation aux métiers de l’alternance (DIMA) pour les jeunes de 15 ans, sous statut scolaire.

Ce dispositif répondait à un besoin spécifique de jeunes de moins de 16 ans, ayant terminé leur collège et ayant déjà une idée claire de leur projet professionnel.

Il convient de maintenir ce dispositif qui est ancrée dans la réalité des besoins des élèves. L’apprentissage est une voie d’excellence qui permet à 8 jeunes sur 10 de trouver un emploi à la suite de leur formation.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 222

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS et MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU et LENOIR


ARTICLE 38


Supprimer cet article.

Objet

La suppression de cet article est primordiale pour ne pas abroger la loi dite « CHERPION » qui a introduit un dispositif d’initiation aux métiers en alternance pour les jeunes de 15 ans. Ce dispositif doit être mis en œuvre car il répond à une véritable demande de diversification des parcours à partir de la 4ème. Ce dispositif n’est pas du tout en opposition avec la maitrise du socle commun de connaissance et de compétence dont l’acquisition peut continuer jusqu’à la fin de la scolarité obligatoire de même que l’apprentissage d’une langue vivante peut continuer durant le DIMA. Ce dispositif qui permet à des élèves sous statut scolaire d’entrer dans la voie professionnelle est souhaité par de nombreuses familles. L’apprentissage de la « main » est aussi une filière d’excellence.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 128

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. Pierre LAURENT, LE SCOUARNEC

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 38


A. - Alinéas 2 à 4

Remplacer ces alinéas par un alinéa ainsi rédigé :

II. - L’article L. 337-3-1 du code de l’éducation est abrogé.

B. - Alinéa 5

Rédiger ainsi cet alinéa :

III. - Le second alinéa de l’article L. 6222-1 du code du travail est supprimé.

Objet

Les auteurs de cet amendement ne souhaitent pas le maintien du DIMA.






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N° 1 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Non soutenu

MM. RETAILLEAU, DOUBLET, Daniel LAURENT, LENOIR et BIZET, Mme GARRIAUD-MAYLAM, M. CARLE, Mmes PROCACCIA et SITTLER, MM. MILON, DULAIT, CAMBON, CARDOUX, ADNOT, CHATILLON, HUSSON, HOUEL, GILLES, Bernard FOURNIER et BEAUMONT, Mme DUCHÊNE, M. REVET, Mme MÉLOT, Mlle JOISSAINS, M. FLEMING, Mmes DEBRÉ, DEROCHE et CAYEUX, MM. Gérard LARCHER, Pierre ANDRÉ, DUFAUT, PORTELLI, BÉCOT, LEFÈVRE, BUFFET, CLÉACH, GAILLARD et du LUART, Mme PRIMAS, MM. HURÉ, DARNICHE, COUDERC, PINTON et CORNU, Mme BRUGUIÈRE, MM. DOLIGÉ, DELATTRE, Philippe LEROY et GRIGNON, Mmes LAMURE et TROENDLE et MM. LAMÉNIE, Jean-Paul FOURNIER, MAYET, PIERRE, BÉCHU, REICHARDT et CHAUVEAU


ARTICLE 38


Alinéa 3

Supprimer cet alinéa.

Objet

L’article L.337-3-1 du code de l’éducation prévoit que les jeunes ayant au moins 15 ans ou justifiant avoir accompli leur scolarité du premier cycle de l’enseignement secondaire peuvent suivre une formation en alternance sous statut scolaire.

L’alinéa 3 propose de faire de la condition de l’âge, la seule condition pour suivre une formation en alternance, en supprimant la référence à l’accomplissement de la scolarité du premier cycle de l’enseignement secondaire.

Indépendamment du débat sur l’apprentissage junior, l’auteur de cet amendement considère que cette mesure va en définitive pénaliser les jeunes qui auront 15 ans en cours d'année et qui souhaitent poursuivre une formation en alternance.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 77

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes FÉRAT et MORIN-DESAILLY, M. MERCERON

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


ARTICLE 38


Alinéa 3

Supprimer cet alinéa.

Objet

La loi n° 2011-893 du 28 juillet 2011 permet actuellement aux jeunes âgés d'au moins quinze ans, au cours de l'année civile, de souscrire un contrat d'apprentissage s'ils justifient avoir accompli la scolarité du premier cycle (à la sortie de 3ème du collège).

L’article 38 du présent projet de loi supprime la possibilité de devenir apprenti pour les jeunes atteignant l'âge de 15 ans « au cours de l'année civile » ou « ayant suivi une formation prévue à l'article L 337-3-1 du code de l'éducation »,  soit le premier cycle.

Un jeune qui sort de 3ème, même ayant acquis le socle commun, ne pourra plus entrer en formation par apprentissage avant la date anniversaire de ses 15 ans, ce qui peut leur faire perdre une année.

Cet amendement vise à ce que ne soit pas supprimée la possibilité de devenir apprenti pour les jeunes ayant acquis le socle commun, atteignant l’âge de quinze ans au cours de l’année civile.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 2 rect. bis

23 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. RETAILLEAU, LEGENDRE, DOUBLET, Daniel LAURENT, LENOIR et BIZET, Mmes GARRIAUD-MAYLAM, PROCACCIA et SITTLER, MM. MILON, DULAIT, CAMBON, CARDOUX, ADNOT, CHATILLON, HUSSON, HOUEL, GILLES, BEAUMONT et REVET, Mlle JOISSAINS, M. FLEMING, Mmes DEBRÉ, DEROCHE et CAYEUX, MM. Gérard LARCHER, Pierre ANDRÉ, DUFAUT, PORTELLI, BÉCOT, LEFÈVRE, BUFFET, CLÉACH, GAILLARD, du LUART, HURÉ, DARNICHE, COUDERC, PINTON et CORNU, Mme BRUGUIÈRE, MM. DELATTRE, DOLIGÉ, Philippe LEROY et GRIGNON, Mmes LAMURE et TROENDLE et MM. LAMÉNIE, Jean-Paul FOURNIER, MAYET, PIERRE, BÉCHU et REICHARDT


ARTICLE 38


Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

L’article L.6222-1 du code de travail permet à un jeune ayant 15 ans au cours de l’année civile d’avoir la qualité d’apprenti, s'il justifie avoir accompli la scolarité du premier cycle de l'enseignement secondaire.

L’alinéa 5 propose de supprimer la mention « au cours de l’année civile » pour revenir à la notion stricte de 15 ans révolus.

L’auteur de cet amendement estime que faire de la condition de l’âge, qui plus est, dans une acception stricte, le cœur du dispositif va porter préjudice aux jeunes souhaitant poursuivre une formation en alternance.

Tous les acteurs s’accordent sur la nécessité de revaloriser tant auprès des jeunes que de leurs parents l’apprentissage. Témoigner d’autant de prévenance et de suspicion à l’égard de cet enseignement parait quelque peu contradictoire.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 146 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Non soutenu

Mme DUCHÊNE, M. CARLE, Mmes PRIMAS et MÉLOT et MM. Bernard FOURNIER et CHAUVEAU


ARTICLE 38


Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

 

Objet

Cet amendement a pour objet de maintenir la rédaction actuelle de l’article L. 6222-1 du code du travail qui permet de devenir apprenti à quatorze ans pour les jeunes atteignant l’âge de quinze ans au cours de l’année civile s’ils remplissent l’une ou l’autre condition suivante : avoir accompli la scolarité du premier cycle de l’enseignement secondaire ou avoir suivi une formation prévue à l’article L. 337-3-1 du code de l’éducation.

 

Cette disposition introduite par la loi du 28 juillet 2011 pour le développement de l’alternance et la sécurisation des parcours professionnels a eu pour objet de donner une base légale à une disposition déjà prévue par une circulaire du ministère de l’éducation nationale du 30 mai 1997 et non remise en cause jusqu’à cette date. Supprimer cette possibilité aura pour effet d’empêcher un jeune sorti de la classe de troisième de signer un contrat d’apprentissage parce qu’il est à un, deux, trois ou quatre mois de sa date d’anniversaire.

Au moment où les pouvoirs publics et les partenaires sociaux ont l’ambition de conforter et développer l’apprentissage, il est indispensable de conserver de la souplesse au dispositif pour permettre aux jeunes concernés d’entrer en apprentissage. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 78

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes FÉRAT et MORIN-DESAILLY, M. MERCERON

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


ARTICLE 38


Alinéa 5

Supprimer les mots :

les mots : « au cours de l’année civile » et

Objet

La loi n° 2011-893 du 28 juillet 2011 permet actuellement aux jeunes âgés d'au moins quinze ans, au cours de l'année civile, de souscrire un contrat d'apprentissage s'ils justifient avoir accompli la scolarité du premier cycle (à la sortie de 3ème du collège).

L’article 38 du présent projet de loi supprime la possibilité de devenir apprenti pour les jeunes atteignant l'âge de 15 ans « au cours de l'année civile » ou « ayant suivi une formation prévue à l'article L 337-3-1 du code de l'éducation »,  soit le premier cycle.

Un jeune qui sort de 3ème, même ayant acquis le socle commun, ne pourra plus entrer en formation par apprentissage avant la date anniversaire de ses 15 ans, ce qui peut leur faire perdre une année.

Cet amendement vise à ce que ne soit pas supprimée la possibilité de devenir apprenti pour les jeunes ayant acquis le socle commun, atteignant l’âge de quinze ans au cours de l’année civile.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 530

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mme CARTRON

au nom de la commission de la culture


ARTICLE 38


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

... - Le 4° du I et le IV de l'article 244 quater G du code général des impôts sont abrogés.

Objet

Coordination.






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N° 177

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

Mmes LIPIETZ, BOUCHOUX et BLANDIN, M. GATTOLIN

et les membres du groupe écologiste


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 38


Après l’article 38

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Après le 5° du II de l’article L. 313-7 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile, il est inséré un 6° ainsi rédigé :

« 6° À l’étranger, âgé de seize à dix-huit ans qui a signé un contrat d’apprentissage conformément à l’article L. 6221-1 du code du travail sans que la condition prévue à l’article L. 311-7 du présent code soit exigée. »

Objet

Les jeunes étrangers mineurs quel que soit leur mode d'entrée sur le territoire français doivent pouvoir disposer de plein droit d'un titre de séjour étudiant, en effet alors que les tribunaux et le conseil d'Etat reconnaissent le droit à l’instruction quelle que soit la situation administrative du mineur (entré dans le cadre regroupement familial ou non), cette avancée pour des élèves qui n'ont pas fait le choix de leur arrivée en France n'a pas été étendue à l'apprentissage.

Cela interdit donc aux mineurs étrangers de choisir dans le panel des formations éducatives proposées dont fait partie l'apprentissage et constitue un frein à leur intégration.

Le présent amendement permet ainsi de mettre fin à cette discrimination qui n'a aucune justification d'autant que les mineurs n'ont pas, en principe, à détenir un titre de séjour.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 241

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 39 (SUPPRIMÉ)


Après l’article 39

Insérer un article additionnel ainsi rédigé : 

Après l’article L. 401-2 du code de l’éducation, il est inséré un article ainsi rédigé :

 « Art. L... - Les établissements d’enseignement scolaire rendent publiques des statistiques comportant des indicateurs de réussite aux examens et aux diplômes qu’ils délivrent, de poursuite d'études et d'insertion professionnelle. Chaque élève ou apprenti en dispose en amont de son orientation dans un nouveau cycle ou une formation supérieure. »

Objet

Cet amendement rend systématique l’évaluation de l’insertion professionnelle des diplômés pour toutes les formations. Ainsi, les statistiques doivent être publiques et leur accès facilité.

 Les débouchés en termes d’emplois et de métiers des formations sont des critères importants pour les jeunes et leur famille lors du processus d’orientation. A cet égard, les établissements d’enseignement scolaire doivent faire connaitre, comme cela est prévu à l’article L 612-1 du code de l’éducation pour les établissements d’enseignement supérieur, des statistiques comportant des indicateurs de réussite aux examens et aux diplômes qu’ils délivrent, de poursuite d’études et d’insertion professionnelle.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 29 rect.

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Non soutenu

Mlle JOISSAINS


ARTICLE ADDITIONNEL AVANT ARTICLE 40


Avant l'article 40

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Dès la rentrée 2015, l'ensemble des élèves des écoles primaires et des collèges portent une blouse ou un uniforme identique pour tous, au sein de chaque établissement.

Objet

Aujourd'hui on observe en France une recrudescence de l'échec scolaire, une étude publiée dans le Monde, concernant des établissements en zone prioritaire et performants nous interroge sur les paramètres les plus efficaces auprès des populations défavorisées sur le plan culturel et financier. Il apparaîtrait que les règles, obligations, récompenses,sanctions , en un mot la culture de l'effort et du respect de la règle soient plus efficaces et propices à l'apprentissage des matières enseignées mais aussi des codes Sociaux utiles à la vie en société et au processus "d'ascenseur social". Sans être évidemment une panacée, le port de l'uniforme ou de la blouse est un outil qu'il ne faut pas négliger. Sur le plan de l'égalité des chances il permet symboliquement de gommer les différences sociales entre les élèves. Il envoie le message que tous sont sur un pied d'égalité au sein de la classe mais aussi permet de marquer et d'accentuer le sens de la position de l'élève par rapport à celle de l'enseignant, du sachant. Cette proposition n'a pas l'ambition de régler l'ensemble des problématiques de dispersion, de confusion que peuvent connaître les élèves mais de réinjecter de la clarté, du sens, une certaine discipline dans l'appréhension de la position, du rôle qui doivent être ceux de l'élève au sein de l'établissement scolaire et face aux enseignants. Sous Jules Ferry, toute une génération a appris à lire et écrire, l'uniforme à fait partie des outils utilisés, en Angleterre, en Inde, en Afrique, au Japon le port de l'uniforme est systématique. Il est aussi dans ces pays un fréquent motif de fierté pour les élèves et les établissements, le sentiment d'appartenance qui s'en dégage peut aussi être un facteur d'émulation et de solidarité ce qui n'est pas négligeable.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 328

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mme Dominique GILLOT


ARTICLE 40


Alinéa 2, deuxième phrase

Rédiger ainsi le début de cette phrase :

En cohérence avec le projet éducatif territorial, celui-ci propose…

Objet

La création du conseil école-collège est une avancée majeure de la loi. L’article 40 visant à favoriser les « actions de coopérations, des enseignements et des projets pédagogiques communs » entre écoles et collèges, il apparaît pertinent d’inscrire ce travail dans le cadre du projet éducatif territorial.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 223

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


ARTICLE 40


Alinéa 2, deuxième phrase

Après le mot :

coopérations

rédiger ainsi la fin de cette phrase :

et des projets pédagogiques communs visant à l'acquisition par les élèves du socle commun de connaissances et de compétences prévu à l'article L. 122-1-1.

Objet

L'article tel qu'il est rédigé actuellement donne au conseil école-collège la capacité de proposer des "enseignements" visant à l'acquisition du socle commun.

Or, les enseignements relèvent du cadre national des programmes et ne peuvent procéder d'une initiative locale. Par ailleurs, le statut des personnels enseignant dans le premier et le second degré suppose la même distinction des enseignements.






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N° 129

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. Pierre LAURENT, LE SCOUARNEC

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 40


Alinéa 2, deuxième phrase

Supprimer les mots :

, des enseignements

Objet

Les auteurs de cet amendement ne sont pas favorables à la mutualisation des enseignements et des enseignants entre le primaire et le collège.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 130

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. Pierre LAURENT, LE SCOUARNEC

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 40


Alinéa 2, deuxième phrase

Remplacer les mots :

du socle commun de connaissances, de compétences et de culture prévu

par les mots :

d'une culture commune prévue

Objet

Amendement de coordination.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 254 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Défavorable
Retiré

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BARBIER, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


ARTICLE 40


Alinéa 2, deuxième phrase

Compléter cette phrase par les mots :

, notamment pendant le cycle cours moyen-sixième

Objet

La mise en place de conseils école-collège répond à la nécessité d’assurer une continuité entre l’école primaire et le secondaire afin que les élèves n’éprouvent pas de difficultés au cours de cette transition. Ainsi, le projet de loi prévoit que ces conseils pourront proposer au collège et aux écoles du secteur, des actions de coopération, des enseignements et des projets pédagogiques communs visant à l’acquisition du socle. Cet amendement a pour objet de favoriser de tels projets pendant le cycle cours moyen-sixième.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 172 rect. bis

24 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mmes BOUCHOUX et BLANDIN, M. GATTOLIN

et les membres du groupe écologiste


ARTICLE 40


Alinéa 2, après la deuxième phrase

Insérer une phrase ainsi rédigée :

Parmi ces propositions, des échanges de pratiques et d’enseignants entre les établissements peuvent être expérimentés sur la base du volontariat, dans le respect du statut de l'enseignant.

Objet

Le renforcement des relations entre les écoles primaires et le collège est un apport important de la loi.

Le présent amendement propose de garantir le travail commun entre les équipes des différents établissements en indiquant que, sur la base du volontariat de chacun, sur décision du conseil et dans la limite de 3 journées par année scolaire, des expérimentations peuvent être réalisées impliquant des échanges de pratiques voire d’enseignants entre les deux niveaux. Cela permettrait en effet de mutualiser les pratiques, de trouver des passerelles et de renforcer la continuité pédagogique.






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N° 224

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


ARTICLE 41


Alinéa 1

Rédiger ainsi cet alinéa :

La troisième phrase de l'article L. 411-1 du code de l'éducation est remplacée par trois phrases ainsi rédigées :

Objet

La nouvelle rédaction de l'article L.411-1 supprime la mention de la présence d'un représentant de la commune ou de l'établissement public de coopération intercommunale lors des réunions avec les parents d'élèves.

Le présent amendement a pour objet de rétablir sa présence.






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N° 225

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


ARTICLE 41


Alinéa 2, première phrase

Après le mot :

éducative

insérer les mots :

, dont au moins un tiers de représentants élus de la commune ou de l'établissement public de coopération intercommunale compétent pour le fonctionnement de l'école, dont le maire ou le président de l'établissement public de coopération intercommunale,

Objet

De nombreux élus considèrent que leur place au sein du conseil d'école mérite d'être revue afin que leurs avis dans les décisions soient davantage pris en compte. A leur sens, l'accord du maire doit être obtenu pour toutes les propositions ayant une incidence financière pour la commune.

Etant actuellement très minoritaires dans ces conseils, les élus peuvent, en effet, difficilement influer sur les décisions alors que celles-ci sont susceptibles d'avoir des incidences non négligeables, par exemple sur l'organisation et le financement des services périscolaires.






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N° 342

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

Mmes FÉRAT, MORIN-DESAILLY, LÉTARD

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


ARTICLE 41


Alinéa 2, première phrase

Après le mot :

éducative

insérer les mots :

, dont au moins un tiers de représentants élus de la commune ou de l'établissement public de coopération intercommunale compétent pour le fonctionnement de l'école, dont le maire ou le président de l'établissement public de coopération intercommunale,

Objet

De nombreux élus considèrent que leur place au sein du conseil d'école mérite d'être revue afin que leurs avis dans les décisions soient davantage pris en compte. A leur sens, l'accord du maire doit être obtenu pour toutes les propositions ayant une incidence financière pour la commune.

Etant actuellement très minoritaires dans ces conseils, les élus peuvent, en effet, difficilement influer sur les décisions alors que celles-ci sont susceptibles d'avoir des incidences non négligeables, par exemple sur l'organisation et le financement des services périscolaires.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 417

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Le Gouvernement


ARTICLE 42


Alinéa 5

Rédiger ainsi cet alinéa :

« Lorsque les représentants d’une même collectivité territoriale sont au nombre de deux, l’un d’entre eux peut ne pas être membre de l’assemblée délibérante.

Objet

 

L’objectif de faciliter la présence des représentants de la collectivité de rattachement au sein des conseils d’administration des EPLE est partagée par le Gouvernement puisque l’article 42 vise à augmenter le nombre de ces représentants.

Cependant, la rédaction votée en Commission pourrait conduire, dans le cas d’un EPLE n’ayant que 24 membres au conseil d’administration et lorsqu’il existe un EPCI, à ce que l’unique représentant de la collectivité de rattachement ne soit pas un élu. En outre, une personnalité qualifiée désignée par le président de la collectivité de rattachement pourrait ne pas être un membre de cette collectivité.

La rédaction proposée permet de résoudre cette difficulté.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 264 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


ARTICLE 42


Alinéa 6

Supprimer cet alinéa.

Objet

Le projet de loi modifie la représentation des collectivités territoriales de rattachement au conseil d’administration des établissements publics locaux d’enseignement. L’alinéa 6 prévoit qu’un représentant de la métropole siège en lieu et place de l’un des représentants de la collectivité territoriale de rattachement lorsque la métropole exerce des compétences du département ou de la région en matière de construction, d’aménagement, d’entretien ou de fonctionnement des collèges ou des lycées.

Dans l’attente des projets de loi « décentralisation », il est proposé de supprimer cet alinéa.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 131

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. LE SCOUARNEC, Pierre LAURENT

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 44


I. - Après l'article 44

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Les articles L. 442-5-1 et L. 442-5-2 du code de l’éducation sont abrogés.

II. - En conséquence, faire précéder cet article d'une division additionnelle et son intitulé ainsi rédigés :

Section 4 bis

Financement des écoles privées sous contrat d’association des communes voisines

Objet

Les auteurs de cet amendement souhaitent abroger les dispositions tendant à garantir la parité de financement entre les écoles élémentaires publiques et privées sous contrat d'association lorsqu'elles accueillent des élèves scolarisés hors de leur commune de résidence introduites dans la loi n° 2004-809 du 13 aout 2004 relative aux libertés et responsabilités locales.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 286 rect. bis

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Défavorable
Rejeté

M. COLLOMBAT, Mme LABORDE et MM. MÉZARD, ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, FORTASSIN, HUE, MAZARS, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 44


Après l'article 44

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le deuxième alinéa de l'article L. 442-5-1 du code de l'éducation est ainsi rédigé :

« En conséquence, cette contribution revêt le caractère d'une dépense obligatoire lorsque la commune de résidence, le regroupement pédagogique intercommunal auquel elle participe, organisé dans le cadre d'un établissement public de coopération intercommunale ou d'une entente au sens de l'article L. 5221-1 du code général des collectivités territoriales, ne dispose pas des capacités d'accueil nécessaires à la scolarisation de l'élève concerné dans son école publique ou lorsque la fréquentation par celui-ci d'une école située sur le territoire d'une autre commune que celle où il est réputé résider trouve son origine dans des contraintes liées : » 

Objet

La loi du 28 octobre 2009, dite « loi Carle », rend obligatoire la participation financière de la commune de résidence dès lors que celle-ci ne dispose pas des capacités d’accueil nécessaires à la scolarisation des élèves concernés dans son – ou ses – écoles publiques.

Lors de la discussion de ce texte au Sénat, la question des regroupements pédagogiques intercommunaux, les RPI, liée à celle de la capacité d’accueil, a naturellement été soulevée.

En effet, de nombreuses communes appartiennent à un RPI, concentré ou dispersé, créé, soit sur l’initiative des communes elles-mêmes, soit de manière obligatoire, conformément à l’article L. 212-2 du code de l’éducation, soit du fait de l’attitude du ministère de l’éducation nationale, qui impose fréquemment aux communes de constituer un RPI sous peine de suppressions de classes ou de fermetures d’écoles.

Le Sénat avait alors adopté à une large majorité un amendement tendant à apprécier la capacité d’accueil d’une commune appartenant à un RPI à l’échelle de celui-ci.

Afin de sécuriser la mise en place de ce dispositif au regard de la diversité de statut des RPI, un sous-amendement avait également été adopté, qui visait à préciser qu’un décret fixerait les conditions de prise en compte des regroupements pédagogiques intercommunaux.

Or ce décret d’application, pris le 9 novembre 2010, méconnaissant la volonté du législateur et le compromis difficilement trouvé avec l’adoption de la loi Carle, aboutit à exclure du dispositif la moitié des RPI.

Il prévoit, en effet, que la capacité d’accueil sera appréciée uniquement sur le territoire de la commune de résidence de l’élève, et non pas par rapport à l’ensemble des écoles du RPI, dès lors que celui-ci n’est pas adossé à un EPCI en charge de la compétence scolaire.

Ainsi une commune, membre d’un RPI dont l’école intercommunale est située sur une autre commune du périmètre, sera obligée de contribuer au financement de l’enseignement privé, puisque sa capacité d’accueil sera appréciée sur son seul territoire.

L’effet concret de ce décret est donc d’exclure de l’application de la loi Carle quelque 2 000 RPI, soit la moitié d’entre eux.

Il pénalise les petites communes qui n’ont pas choisi de se regrouper en RPI et qui ne sont pas membres d’un EPCI.

L’objet de cet amendement est d’étendre le régime de la loi Carle, non seulement aux RPI adossés à un EPCI, mais aussi à une entente, au sens de l’article L. 5221-1 du code général des collectivités territoriales, c’est-à-dire à une forme souple d’association nécessitant simplement des délibérations concordantes des conseils municipaux.

De nombreuses communes sont, du fait de ce décret, dans une situation d’inégalité par rapport à la loi. L’objet de cet amendement est d’y remédier.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 132 rect.

24 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. LE SCOUARNEC, Pierre LAURENT

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 44


Après l'article 44

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le Gouvernement remet un rapport évaluant l’impact des dispositions tendant à garantir la parité de financement entre les écoles élémentaires publiques et privées sous contrat d'association lorsqu'elles accueillent des élèves scolarisés hors de leur commune de résidence introduites dans la loi n° 2004-809 du 13 aout 2004 relative aux libertés et responsabilités locales. Ce rapport est remis aux commissions compétentes du Sénat et de l’Assemblée nationale avant le 31 décembre 2014.

Objet

Cet amendement se justifie par son texte même.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 418

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Retiré

Le Gouvernement


ARTICLE 45 BIS


Alinéa 4

Rédiger ainsi cet alinéa :

« Dans les établissements scolaires, des espaces permettent de favoriser les rencontres individuelles ou collectives avec les parents d’élèves et leurs représentants. »

Objet

Amendement de précision rédactionnelle:

Le Gouvernement partage la préoccupation de la commission de prévoir, dans les établissements scolaires, un espace pour les parents et leurs représentants.

La rédaction proposée précise que cet espace doit permettre de favoriser les rencontres individuelles ou collectives afin que des relations de confiance puissent se tisser avec l’ensemble de l’équipe pédagogique.

 






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 359 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Retiré

Mme BLONDIN, M. MAGNER, Mmes Danielle MICHEL, Dominique GILLOT, LAURENT-PERRIGOT, LEPAGE et KHIARI, MM. LOZACH, ASSOULINE, CHIRON, Dominique BAILLY, ANTISTE, EBLÉ, DOMEIZEL, VINCENT, MADRELLE, ANTOINETTE, PERCHERON, ANDREONI, RAINAUD, GERMAIN

et les membres du Groupe socialiste et apparentés


ARTICLE 45 BIS


Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Il peut être utilisé pour des entretiens avec des personnels sociaux et de santé.

Objet

Nombre d’établissements ne disposent pas de lieu identifié permettant aux médecins, infirmiers, psychologues scolaires ou assistants sociaux d’effectuer leurs entretiens et de recevoir les parents dans des conditions satisfaisantes. Cet amendement vise à y remédier, en élargissant les bénéficiaires de l’espace déjà prévu dans le texte.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 226

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


ARTICLE 46


Alinéas 2 à 5

Remplacer ces alinéas par deux alinéas ainsi rédigés :

1° Le premier alinéa est ainsi rédigé :

« La commune, ou l’établissement public de coopération intercommunale compétent pour l’organisation des activités périscolaires, peut élaborer un projet éducatif territorial pour organiser des activités périscolaires distinctes du temps scolaire, en concertation avec les services des administrations concernées et les autres acteurs éducatifs locaux. L'élaboration et la mise en application de ce projet sont suivies par un comité de pilotage. » ;

Objet

Cet amendement vise à inscrire que le projet éducatif territorial relève de l'initiative de la commune ou de l'EPCI compétent, pour l'organisation partenariale d'activités périscolaires, qui suivent ou précèdent le temps scolaire, mais n'en sont pas nécessairement le complément.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 148 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

Mme DUCHÊNE, M. CARLE, Mmes PRIMAS et MÉLOT et MM. Bernard FOURNIER et CHAUVEAU


ARTICLE 46


Alinéas 2 à 5

Remplacer ces alinéas par deux alinéas ainsi rédigés :

1° Le premier alinéa est ainsi rédigé :

« Des activités périscolaire prolongeant le service public de l’éducation peuvent être organisées dans le cadre d’un projet éducatif territorial. Les collectivités territoriales ou les associations qui y participent le font en étroite collaboration avec le service public de l’éducation et veillent à ce que les activités périscolaires complémentaires prolongeant ce même service, soient organisées sans toutefois se substituer aux activités d’enseignement et de formation fixées par l’État. L’élaboration et la mise en application de ce projet sont suivies par un comité de pilotage.

 

Objet

Il est nécessaire d'affirmer le rôle des collectivités locales dans les activités périscolaires facultatives puisqu'elles en ont l'organisation et la charge financière. Néanmoins une collaboration étroite et sans rivalité est souhaitable.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 329

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

Mme Dominique GILLOT


ARTICLE 46


I. - Alinéa 3

Rédiger ainsi cet alinéa :

a) Le début est ainsi rédigé : « Des activités éducatives complémentaires prolongeant le service public de l’éducation peuvent être organisées, au-delà du temps scolaire, dans le cadre d’un projet éducatif territorial associant notamment aux services et établissements relevant du ministre chargé de l’éducation nationale, d’autres administrations, des collectivités territoriales, des associations, notamment d’éducation populaire, des intervenants spécialisés (arts, sport…) dans le cadre de conventions avec la collectivité territoriale et des fondations… (le reste sans changement). » ;

II. - Alinéa 6

Remplacer cet alinéa par deux alinéas ainsi rédigés :

2° Le second alinéa est ainsi rédigé :

« Le projet éducatif territorial vise à favoriser, pendant le temps libre des élèves, leur égal accès aux pratiques culturelles et sportives et aux nouvelles technologies de l’information et de la communication. La mise en œuvre du projet éducatif territorial veille à ce que ces activités éducatives complémentaires, à caractère facultatif, soient ouvertes à tous les élèves inscrits à l’école, sans discrimination, leur conférant un caractère universel. »

Objet

Les activités périscolaires sont organisées par les collectivités territoriales pour rendre un service aux familles qui n’ont pas les mêmes horaires que leurs enfants. Elles sont tarifées. Les activités périscolaires ont un statut juridique particulier sous arbitrage de la DDJS et de la CAF. Pour obtenir l’agrément qui déclenche la participation financière, il faut entre autres une contribution financière des familles. Certaines de ces activités périscolaires sont de simples garderies, d’autres, suivant des projets éducatifs locaux, ont un caractère ludique, éducatif. Dans ce cas seulement, elles peuvent prolonger le service public de l’éducation.

Dans la loi de refondation de l’école, l’ambition est d’offrir aux enfants un complément aux activités purement scolaires (dispensées par les enseignants suivant un programme scolaire opposable) qui leur ouvrent l’esprit et développent leur curiosité, leur goût d’apprendre.

Il convient donc de distinguer ce nouveau temps éducatif défini dans la semaine de quatre jours et demi qui répartit les 24 heures d’enseignement obligatoires pour tous les enfants scolarisés.

Ce nouveau temps définit dans le cadre du projet éducatif territorial a une ambition éducative complémentaire du service d’enseignement. Il est organisé par la collectivité territoriale ou l’EPCC compétent pour la scolarisation des enfants du territoire.

Coordonné par le maire ou président de l’EPCI, et l’IEN sous le contrôle de légalité du préfet (ou DASEN) dans l’esprit de la loi, c’est le projet éducatif territorial qui doit veiller, prévoir, malgré le caractère facultatif de ces activités, à ce que les ressources des familles ne constituent pas un facteur discriminant entre les élèves.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 51 rect. bis

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Non soutenu

MM. GUERRIAU, Jean-Léonce DUPONT et MERCERON


ARTICLE 46


I. – Alinéas 4 et 5

Rédiger ainsi ces alinéas :

b) Sont ajoutées deux phrases ainsi rédigées :

« L’organisation de ces activités prend en compte les besoins spécifiques des élèves en situation de handicap et en particulier les besoins d’accompagnement. L’élaboration et la mise en application de ce projet éducatif territorial sont suivies par un comité de pilotage. » ;

II. – Compléter cet article par un alinéa ainsi rédigé :

…° À la seconde phrase du second alinéa, après les mots : « les ressources des familles », sont insérés les mots : « ou la situation de handicap ou de trouble de la santé invalidant de l’élève ».

Objet

Ces modifications posent clairement le principe de l’accessibilité des élèves présentant un handicap ou un trouble de la santé invalidant, aux activités périscolaires et mettent ainsi en application le principe d’égalité de traitement affirmé dans la Convention internationale relative aux droits des personnes handicapées.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 7 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. DALLIER et CARLE et Mmes DUCHÊNE, MÉLOT et PRIMAS


ARTICLE 46


Alinéa 5

Compléter cet alinéa par les mots :

présidé par le maire ou le représentant de l’établissement public de coopération intercommunale

Objet

La réforme des rythmes scolaires reportera largement sur les collectivités territoriales la charge de mettre en œuvre la semaine de 4 jours et demi, et d’organiser le temps périscolaire.

Le présent amendement prévoit en conséquence que celles-ci puissent piloter l’élaboration et la mise en œuvre des projets éducatifs territoriaux.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 173

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

Mmes BOUCHOUX et BLANDIN, M. GATTOLIN

et les membres du groupe écologiste


ARTICLE 46


Compléter cet article par un alinéa ainsi rédigé :

...° À la première phrase du second alinéa, après le mot : « sportives », sont insérés les mots : «, à la sensibilisation à l'environnement, aux questions de santé et de prévention des risques ».

Objet

Les PEDT ont pour objectif, sur un territoire donné, de définir une ambition éducatrice avec de grandes priorités communes en matière d’éducation scolaire et extra-scolaire.

L’objectif du présent amendement est d’apporter plus de précisions quant aux pratiques et activités visées par les projets éducatifs territoriaux.






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N° 8 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. DALLIER et CARLE et Mmes DUCHÊNE, MÉLOT et PRIMAS


ARTICLE 46


Compléter cet article par deux alinéas ainsi rédigés :

…° Après la première phrase du second alinéa, il est inséré une phrase ainsi rédigée :

« L’État est le garant de cette égalité. »

Objet

La réforme des rythmes scolaires reportera largement sur les collectivités territoriales la charge de mettre en œuvre la semaine de 4 jours et demi, et d’organiser le temps périscolaire.

C’est donc l’égalité Républicaine à l’école qui est en jeu car il existe déjà aujourd’hui un écart très grand entre les communes plus aisées et celles plus modestes, les crédits pédagogiques mis à disposition des écoles pouvant varier de 1 à 10 selon les communes.

Cette réforme ne doit pas aggraver les inégalités : l’égalité Républicaine commande au contraire que chaque enfant puisse bénéficier de moyens et de chances identiques, quel que soit son lieu de résidence.

Le présent amendement vise donc à consacrer le rôle de l’Etat comme garant de l’égalité Républicaine à l’école, sur l’ensemble du territoire.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 9 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Sagesse du Sénat
G Sagesse du Sénat
Rejeté

MM. DALLIER et CARLE et Mmes DUCHÊNE, MÉLOT et PRIMAS


ARTICLE 46


Compléter cet article par un alinéa ainsi rédigé :

…° À la seconde phrase du second alinéa, après les mots : « les établissements scolaires », sont insérés les mots : « et les collectivités territoriales ».

Objet

Dans les faits, ce sont bel et bien les collectivités territoriales qui organisent et financent les activités périscolaires, dont elles fixent les tarifs. 

Le présent amendement propose donc de préciser qu’elles doivent elles aussi veiller, tout comme les établissements scolaires, à ce que les ressources des familles ne constituent pas un facteur discriminant entre les élèves.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 227

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


ARTICLE 46


Compléter cet article par un alinéa ainsi rédigé :

...° À la seconde phrase du second alinéa, après le mot : « facultatif, » sont insérés les mots : « à ce qu'elles soient accessibles à tous les élèves, y compris handicapés, et »

Objet

Le projet éducatif doit veiller à l'accessibilité des élèves en situation de handicap aux activités périscolaires créées.






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N° 343 rect.

22 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes FÉRAT, MORIN-DESAILLY, LÉTARD

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


ARTICLE 46


Alinéas 2 à 5

Remplacer ces alinéas par deux alinéas ainsi rédigés :

1° Le premier alinéa est ainsi rédigé :

« La commune, ou l’établissement public de coopération intercommunale compétent pour l’organisation des activités périscolaires, peut élaborer un projet éducatif territorial pour organiser des activités périscolaires distinctes du temps scolaire, en concertation avec les services des administrations concernées et les autres acteurs éducatifs locaux. L'élaboration et la mise en application de ce projet sont suivies par un comité de pilotage. » ;

Objet

Cet amendement vise à inscrire que le projet éducatif territorial relève de l'initiative de la commune ou de l'EPCI compétent, pour l'organisation partenariale d'activités périscolaires, qui suivent ou précèdent le temps scolaire, mais n'en sont pas nécessairement le complément.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 41 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

M. CARLE, Mme PRIMAS, MM. HUMBERT et Bernard FOURNIER, Mmes MÉLOT et DUCHÊNE et M. DUVERNOIS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 46


Après l'article 46

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

La première phrase de l’article L. 521-1 du code de l’éducation est ainsi rédigée :

« L’année scolaire comporte trente-six semaines au moins qui peuvent être réparties en cinq périodes de travail, séparées par quatre périodes de vacance des classes pour tenir compte des contingences calendaires et des jours fériés. »

Objet

La réforme des rythmes scolaires vise à mieux répartir les heures de classe afin de pouvoir programmer les enseignements à des moments où la faculté de concentration des élèves est la plus grande. Si les répartitions quotidienne et hebdomadaire des heures d’enseignement sont essentielles, l’organisation annuelle l’est tout autant et doit garantir, autant faire se peut, un équilibre entre les périodes de travail et les périodes de vacances. Or, le troisième trimestre peut compter aujourd’hui jusqu’à 11 semaines selon les zones et selon le positionnement des jours fériés.

Depuis 2010 est menée une grande concertation sur les rythmes scolaires qui associe des chronobiologistes, l’Académie nationale de pharmacie et de l’Académie de médecine. Cette dernière a rendu, sous son timbre, un rapport qui relance la question du rythme « 7-2 » initiée depuis 1980 puis abandonnée en raison de la mise en œuvre des zonages.

Cet amendement a pour objet de faciliter la mise en œuvre de l’organisation calendaire pour permettre de programmer une véritable alternance entre au plus 7 semaines de cours et 2 semaines de vacances tout au long de l'année, tout en maintenant des zonages respectant les intérêts économiques et sociaux de notre pays.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 228 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


ARTICLE 47


Supprimer cet article.

Objet

La réforme des rythmes scolaires telle que prévue par le Gouvernement n'est pas applicable en 2013 et doit être reportée à une date ultérieure.

Le Gouvernement a publié un décret portant cette réforme sans concertation préalable, ce qui a suscité un rejet tant des représentants des collectivités locales que de la communauté éducative.

Cette situation est d'autant plus regrettable que la nécessité de réformer les rythmes scolaires fait l'ojet d'un consensus. Un rapport d'orientation élaboré sous la précédente législature, en juillet 2011, faisant suite à une conférence nationale sur le sujet, proposait dix mesures à cet effet.

Il est particulièrement déraisonnable d'imposer une réforme du ryhme scolaire créant une demi-journée d'enseignement supplémentaire alors qu'il faudrait repenser les rythmes de la journée à l'année.

En outre, en demandant aux communes d'appliquer la réforme dès 2013, faute de quoi elles ne bénéficieront pas de la même aide financière, le Gouvernement n'a pas hésité à désorganiser les services des collectivités. Il faut rappeler que celles-ci devront supporter un coût de 3 milliards d'euros en 5 ans pour appliquer la réforme.

Il convient donc d'en repousser l'application jusqu'à ce qu'un nouveau projet pris en concertation soit proposé.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 432

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Le Gouvernement


ARTICLE 47


Après l'alinéa 4

Insérer deux alinéas ainsi rédigés :

Les communes qui ont transféré la compétence en matière de dépenses de fonctionnement des écoles à un établissement public de coopération intercommunale reversent à cet établissement les aides qu’elles ont perçues au titre des 1° et 2°. 

Les aides sont versées aux communes, à charge pour ces dernières de reverser le cas échéant la part calculée au titre des élèves scolarisés dans les écoles privées sous contrat aux organismes de gestion de ces écoles privées. Toutefois, lorsque la commune le demande aux autorités académiques, ces aides sont versées directement aux organismes de gestion de ces écoles.

Objet

Cet amendement apporte une précision rédactionnelle en prévoyant que, si les établissements publics de coopération intercommunale sont éligibles au fonds d’amorçage lorsqu’ils sont compétents en matière de dépenses de fonctionnement des écoles, l’aide est versée aux communes à qui il appartient ensuite de procéder au reversement des sommes perçues à l’EPCI.

Cet amendement permet par ailleurs de préciser le circuit par lequel les aides seront versées aux écoles privées sous contrat lorsque celles-ci sont éligibles au fonds d’amorçage.

En effet, certaines communes peuvent demander à ce que la part du fonds calculée au profit des élèves scolarisés dans les écoles privées sous contrat soit versée directement à ces écoles par l’agence des services et de paiement.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 401

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes MORIN-DESAILLY, FÉRAT

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


ARTICLE 47


Après l'alinéa 5

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

Les sommes non-utilisées par le fonds en faveur des communes pour l'année scolaire 2013-1014 sont conservées en vue de leur utilisation pour l'année scolaire 2014-2015.

Objet

La réforme des rythmes scolaires hebdomadaires ne sera appliquée que pour 20 à 25% des élèves à la rentrée 2013. Le nombre des communes ayant choisi la semaine de quatre jours et demi pour la prochaine rentrée est nettement inférieur aux prévisions annoncées par le ministre de l'Education nationale. En conséquence, les sommes prévues par le ministère pour alimenter le fonds en faveur des communes pour l'année scolaire 2013-2014 ne seront pas totalement épuisées.

Cet amendement propose de reporter ces sommes pour l'année scolaire 2014-2015, afin d'accompagner au mieux les communes dans cette réforme qui a de lourdes conséquences en terme d'organisation et de financement.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 230

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 47


Après l’article 47

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L'État remet un rapport au Parlement en fin d'année scolaire 2013-2014 puis en fin d'année scolaire 2014-2015 sur l'impact de la réforme des rythmes scolaires sur les collectivités territoriales, précisant notamment le niveau de consommation des crédits du fonds d'aide prévu à l'article 47 de la présente loi, le coût de la réforme pour les communes et les établissements publics de coopération intercommunale compétents, notamment pour les activités périscolaires induites ainsi que les difficultés constatées en termes d'organisation et de financement du nouveau temps périscolaire.

Objet

Amendement de repli.

Cet amendement vise à demander à l'Etat d'adresser un rapport au parlement pour tirer les conséquences de la mise en œuvre de la réforme des rythmes scolaires sur les collectivités territoriales et mesurer le niveau de consommation du fonds d'aide.








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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 345

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes MORIN-DESAILLY, FÉRAT, LÉTARD

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 47


Après l’article 47

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’État remet un rapport au Parlement en fin d’année scolaire 2013-2014, puis en fin d’année scolaire 2014-2015 sur l’impact de la réforme des rythmes scolaires sur les collectivités territoriales, précisant notamment le niveau de consommation des crédits du fonds d’aide prévu à l’article 47 de la présente loi, le coût de la réforme pour les communes et les établissements publics de coopération intercommunale compétents, notamment pour les activités périscolaires induites ainsi que les difficultés constatées en termes d’organisation et de financement du nouveau temps périscolaire.

Objet

Cet amendement vise à demander à l'Etat d'adresser un rapport au parlement pour tirer les conséquences de la mise en œuvre de la réforme des rythmes scolaires sur les collectivités territoriales et mesurer le niveau de consommation du fonds d'aide.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 43 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

MM. LEFÈVRE, del PICCHIA, de LEGGE et CARDOUX, Mme CAYEUX, MM. GILLES et BÉCOT, Mmes DUCHÊNE et MÉLOT, MM. HÉRISSON et PINTON, Mme BRUGUIÈRE, MM. CORNU, POINTEREAU, MILON, Philippe LEROY, GRIGNON et DOLIGÉ, Mme PRIMAS, MM. Pierre ANDRÉ, CLÉACH, LELEUX, HOUEL et DULAIT, Mme DEROCHE, M. Gérard BAILLY et Mme GIUDICELLI


ARTICLE 49


Alinéa 4, seconde phrase

Rédiger ainsi le début de cette phrase :

Elles accueillent aussi des étudiants en formation initiale et des personnels exerçant...

Objet

C’est un problème de cohérence interne du texte : si les ESPE « accueillent aussi » les personnels de formation continue, c’est qu’elles accueillent d’abord des étudiants en formation initiale.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 291 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G  
Retiré

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


ARTICLE 49


I. - Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ces dernières s'assurent que les personnels enseignants qui suivent une formation continue sont effectivement remplacés pendant toute la durée de leur formation.

II. – Pour compenser la perte de recettes résultant du I ci-dessus, compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

... – La perte de recettes résultant pour l’État du présent article est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle aux droits prévus aux articles 575 et 575 A du code général des impôts.

Objet

Cet amendement de bon sens met en place les conditions pour que les élèves ne pâtissent pas des absences des personnels enseignants mais au contraire bénéficient de la continuité d'un enseignement de qualité. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 184

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

Mmes BOUCHOUX et BLANDIN, M. GATTOLIN

et les membres du groupe écologiste


ARTICLE 49


Alinéa 5, dernière phrase

Après le mot :

métiers

rédiger ainsi la fin de cette phrase :

, un ou plusieurs stages et des temps d'échanges de la pratique.

Objet

L'objectif de cet amendement est d'intégrer dans la formation organisée par les écoles supérieures du professorat et de l'éducation des temps d'échanges de la pratique entre les enseignants et les futurs enseignants.

Cet aspect de la formation consiste à favoriser l'échange entre les acteurs de terrain et partager les apprentissages pour permettre aussi à ses participants de développer une posture réflexive sur ce qu'ils font.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 272 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


ARTICLE 49


Alinéa 5, seconde phrase

Remplacer les mots :

un ou plusieurs stages

par les mots :

au moins deux stages dès la licence

Objet

La professionnalisation du métier d’enseignant est garantie par la création des écoles supérieures du professorat et de l’éducation (ESPE) et par le rétablissement d’une formation spécifique. La pratique pédagogique au sein d’une classe est essentielle et l’organisation d’au moins deux stages dès la licence pourrait permettre aux étudiants se destinant à ce métier de l’appréhender et, d’éventuellement se réorienter à temps.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 147 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

Mme DUCHÊNE, M. CARLE, Mmes PRIMAS et MÉLOT et MM. Bernard FOURNIER et CHAUVEAU


ARTICLE 49


Alinéa 5, dernière phrase

Supprimer les mots :

un ou

Objet

Un seul stage n'est pas suffisant. Face à une classe, la théorie s'oublie vite et la pratique acquise au cours de plusieurs stages sera particulièrement efficace vis à vis des élèves qui seront les premiers bénéficiaires de cette maîtrise.

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 246 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Retiré

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BARBIER, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


ARTICLE 49


Après l'alinéa 5

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« Elle inclut également une formation comportant des modules consacrés à la détection et à la prise en charge des élèves intellectuellement précoces. »

Objet

Les enfants intellectuellement précoces connaissent pour un tiers des résultats médiocres ou moyens et pour un autre tiers, l’échec scolaire. L’absence de formation des enseignants quant à cette problématique ne permet pas de détecter  et de prendre en charge correctement ces enfants. Pourtant ce problème n’est pas marginal puisque ces enfants âgés entre 6 et 16 ans, dont l’âge mental est en avance de 2 à 7 ans sur leur âge réel sont au nombre de 400 000.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 231

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS et MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU et LENOIR


ARTICLE 50


Alinéa 2

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

« Les écoles supérieures du professorat et de l'éducation sont rattachées à une ou plusieurs universités. »

Objet

Cet amendement se justifie par son texte même. Il s'agit de préciser clairement que le rattachement des ESPE aux universités.








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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 134

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Demande de retrait
Rejeté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. Pierre LAURENT, LE SCOUARNEC

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 51


Alinéas 6 à 10

Remplacer ces alinéas par un alinéa ainsi rédigé :

« Ces écoles sont créées sur proposition du conseil d’administration de l’établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel, après obtention de l’habilitation à délivrer le diplôme national de master dans les domaines des métiers de l’enseignement, de l’éducation et de la formation par l’établissement public.

Objet

Les auteurs de cet amendement souhaitent que la procédure d’habilitation à délivrer des diplômes, dont le processus est connu, soit respectée, et qu’elle ne soit pas remplacée par une accréditation globale des établissements valant habilitation à délivrer les diplômes et dont on ne connait pas les modalités. Il s’agit ainsi de s’assurer d’un contrôle du contenu de la formation, garantissant sa qualité.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 415 rect.

24 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Le Gouvernement


ARTICLE 51


Alinéa 12, première phrase

après le mot :

assurent

insérer les mots :

en collaboration avec l'ensemble de leurs partenaires

Objet

 

Les ESPE sont des composantes universitaires. Elles fédèrent les actions en matière de formation des enseignants et des métiers de l’éducation. Ces formations sont ainsi organisées par les ESPE avec des personnels de l’école elle-même, avec les personnels des autres composantes des universités, avec des professionnels de l’enseignement scolaire. La formation est ainsi assurée par des personnels de l’école mais aussi par d’autres personnels et dans le cadre de l’alternance.

Ce sont bien les ESPE qui animent, impulsent coordonnent et contribuent à assurer la formation initiale des étudiants se destinant aux métiers du professorat et de l’éducation et des personnels enseignants et d’éducation stagiaires, c’est bien le sens du verbe « organisent » dans l’article 51 de la loi. Elles sont les seules à avoir la capacité de le faire.

 






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 135

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. Pierre LAURENT, LE SCOUARNEC

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 51


Alinéa 15

Remplacer les mots :

peuvent conduire

par les mots :

conduisent

Objet

Il s’agit de clarifier le rôle des ESPE en matière de conduite des actions de formation des autres personnels.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 136

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. Pierre LAURENT, LE SCOUARNEC

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 51


Alinéa 16

I. - Après le mot :

elles

insérer les mots :

assurent des activités de recherche et

II. - Compléter cet alinéa par les mots :

, notamment en sciences de l’éducation ;

Objet

Il s’agit de préciser le rôle des ESPE en matière de recherche, et de s’assurer que cette recherche porte sur les sciences de l’éducation.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 242

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


ARTICLE 51


Après l'alinéa 16

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« ...° Elles organisent des actions de sensibilisation et de formation permettant aux enseignants d’améliorer leurs connaissances du monde économique et professionnel, du marché du travail, des professions et des métiers, du rôle et du fonctionnement, des entreprises ainsi que des modalités et des perspectives d’insertion professionnelle et ainsi les préparer à exercer leur mission d’orientation auprès des élèves. »

Objet

Cet amendement tend à sensibiliser les enseignants au monde économique et professionnel dans le cadre de leur mission d’orientation.

En effet, le projet d’orientation scolaire et professionnelle de l’élève doit permettre à l’élève de découvrir progressivement le monde économique et professionnel, notamment par une première connaissance du marché du travail, des professions et des métiers, du rôle et du fonctionnement des entreprises ainsi que des modalités et des perspectives d’insertion professionnelle.

Il est donc indispensable que les enseignants qui interviennent dans le processus d’orientation conformément soient préparés, dès leur formation initiale, à cette mission d’orientation et bénéficient eux-mêmes d’actions de sensibilisation et de formation en la matière.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 28

16 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

M. VAIRETTO


ARTICLE 51


Après l'alinéa 17

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« …° Elles sensibilisent les enseignants aux bienfaits pédagogiques des classes de découverte et leur assurent les compétences nécessaires à l’organisation de ce type d’activités.

Objet

Les classes de découvertes sont une formule dont les bienfaits pour les jeunes et les enfants sont unanimement reconnus. Elles sont de formidables opportunités de découvrir un nouvel environnement pendant le temps scolaire. Elles favorisent l’acquisition de connaissances et contribuent à l’apprentissage du « vivre  ensemble ». Elles constituent une expérience exceptionnelle et structurante du projet pédagogique.

Or, depuis quelques années, le nombre de départs en classe de découvertes diminue. De nombreux enseignants renoncent à organiser des classes de découverte en raison notamment des questions de sécurité et des risques pénaux.

Dans ce contexte, la redynamisation des classes de découverte passe par le soutien aux équipes enseignantes. L’intégration dans la formation initiale ou continue des enseignants d’un module dédié à la préparation de classes de découvertes doit permettre de sensibiliser l’enseignant aux enjeux et à l’intérêt de ce type d’activités. Conduire une classe de découvertes requiert des compétences particulières que des temps de formation permettent d’acquérir.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 330

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Non soutenu

Mme Dominique GILLOT


ARTICLE 51


Alinéa 18, première phrase

Compléter cette phrase par les mots :

, actives et participatives

Objet

Cet amendement vise à encourager le développement de méthodes pédagogiques tendant à mieux impliquer les enfants et s’adressant à toutes les formes d’intelligence.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 19

16 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

Mme CAMPION

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 51


Alinéa 18, première phrase

Compléter cette phrase par les mots :

et de méthodes pédagogiques adaptées aux besoins des élèves en situation de handicap

Objet

Depuis la loi du 11 février 2005, tout enseignant peut être amené à accueillir dans sa classe un élève en situation de handicap.

Or, ainsi que le constate le rapport sur l’application de la loi du 11 février 2005, fait au nom de la commission sénatoriale pour le contrôle de l’application des lois par Claire-Lise Campion et Isabelle Debré, « dans les faits, lorsqu’un enseignant est confronté au handicap d’un élève, il se sent démuni et ne sait pas comment agir de façon appropriée pour répondre aux besoins spécifiques de l’enfant ».

L’un des principaux enjeux en matière de scolarisation des enfants en situation de handicap est donc celui de la formation des enseignants et des personnels d’éducation.

En conséquence, cet amendement vise à ce que, dans le cadre de leurs missions, les écoles supérieures du professorat et de l’éducation assurent le développement et la promotion de méthodes pédagogiques adaptées aux besoins des élèves en situation de handicap.






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N° 137

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. Pierre LAURENT, LE SCOUARNEC

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 51


Alinéa 19, première phrase

Remplacer les mots :

du socle commun de connaissances, de compétences et de culture et

par les mots :

de la culture commune et

Objet

Amendement de coordination avec l’amendement de réécriture de l’article 122-1-1 du code de l’éducation tel que proposé à l’article 7 du projet de loi.






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N° 232

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


ARTICLE 51


Alinéa 19, première phrase

Remplacer les mots :

, de compétences et de culture

par les mots :

et de compétences

Objet

Amendement de coordination.






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N° 273 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


ARTICLE 51


Alinéa 19, première phrase

Remplacer les mots :

et à ceux de la formation tout au long de la vie

par les mots :

, à ceux de la formation tout au long de la vie et à ceux de l'orientation des élèves tout au long de la scolarité

Objet

La formation des futurs enseignants et des personnels d’éducation aux enjeux de l’orientation des élèves tout au long de la scolarité est essentielle. La formation à l’orientation doit intervenir dès leur formation initiale puisqu’ils sont les interlocuteurs quotidiens des élèves.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 233

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


ARTICLE 51


Alinéa 19, deuxième phrase

Remplacer les mots :

Elles organisent des formations de sensibilisation

par les mots :

Elles les sensibilisent

Objet

On voit mal ce que serait un module de "formation" à l'égalité des femmes et des hommes au sein des ESPE. Il ne s'agit pas de formation mais de sensibilisation.








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N° 20

16 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

Mme CAMPION

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 51


Alinéa 19, deuxième phrase

Remplacer les mots :

et à la lutte contre les discriminations

par les mots :

, à la lutte contre les discriminations et à l’inclusion scolaire des élèves en situation de handicap

Objet

Comme le constate le rapport sur l’application de la loi du 11 février 2005, fait au nom de la commission sénatoriale pour le contrôle de l’application des lois par Claire-Lise Campion et Isabelle Debré, l’un des principaux enjeux en matière de scolarisation des enfants en situation de handicap est celui de la formation des enseignants et des personnels d’éducation.

En conséquence, cet amendement prévoit que, dans le cadre de leurs missions, les écoles supérieures du professorat et de l’éducation organisent des formations de sensibilisation à l’inclusion scolaire des élèves en situation de handicap.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 261 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Demande de retrait
Retiré

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


ARTICLE 51


I. - Après l’alinéa 19

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« Elles assurent au personnel enseignant en école préélémentaire une formation initiale et continue spécifique, adaptée aux enjeux de la scolarisation des enfants de deux à six ans. »

II. – Pour compenser la perte de recettes résultant du I ci-dessus, compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

... – La perte de recettes résultant pour l’État du présent article est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle aux droits prévus aux articles 575 et 575 A du code général des impôts.

Objet

La scolarisation des enfants de deux à six ans implique une formation des enseignants adaptée à leur spécificité afin de favoriser leur développement moteur, sensoriel, cognitif et social.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 360

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Demande de retrait
Retiré

M. MAGNER, Mmes BLONDIN, Danielle MICHEL, Dominique GILLOT, LAURENT-PERRIGOT, LEPAGE et KHIARI, MM. LOZACH, ASSOULINE, CHIRON, Dominique BAILLY, ANTISTE, EBLÉ, DOMEIZEL, VINCENT, MADRELLE, ANTOINETTE, PERCHERON, ANDREONI, RAINAUD, GERMAIN

et les membres du Groupe socialiste et apparentés


ARTICLE 51


Alinéa 20, après la première phrase

Insérer deux phrases ainsi rédigées :

Dans le cadre de ces conventions, elles veillent à renforcer la coordination et la continuité entre leurs formations et les diplômes conférant le grade de licence dans des domaines compatibles avec l’enseignement et l’éducation. À ce titre, elles peuvent mettre en œuvre, en coopération avec les composantes de l’établissement public et les autres établissements et organismes partenaires, des actions de découverte des métiers du professorat et de l’éducation auprès des étudiants inscrits en premier cycle, et des dispositifs d’accompagnement pédagogique et professionnel au bénéfice des étudiants intéressés par ces carrières.

Objet

Le groupe de travail sur le prérecrutement dans l’Education nationale mené par J.B. Magner a insisté dans ses conclusions sur la nécessité de mettre en œuvre un continuum de formation dès la licence, dans lequel le parcours de formation est pensé sur 5 ans et la sensibilisation aux métiers de l’enseignement et de l’éducation commence dès le début de la licence. L’objectif de cet amendement est donc de déterminer le cadre de mis en œuvre de ce parcours continu de formation.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 331

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Non soutenu

Mme Dominique GILLOT


ARTICLE 51


Alinéa 20, seconde phrase

Remplacer les mots :

intègrent des professionnels intervenant dans le milieu scolaire

par les mots :

comprennent des professionnels en activité dans le milieu scolaire du premier et du second degrés

Objet

Les ESPE ayant vocation à former les enseignants du primaire comme du secondaire, l’objectif de cet amendement est d’assurer que la composition des équipes pédagogiques prendra en compte la diversité des besoins de formation.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 413 rect. bis

24 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Le Gouvernement


ARTICLE 51


Alinéa 20, seconde phrase

Après le mot :

scolaire

rédiger ainsi la fin de la phrase :

, comprenant notamment des personnels enseignants, d'inspection et de direction en exercice dans le premier et le second degrés, ainsi que des acteurs de l'éducation populaire, de l'éducation culturelle et artistique et de l'éducation à la citoyenneté.

Objet

 

L’article 51 dispose que les ESPE, au-delà des personnels intervenant habituellement dans les composantes universitaires, intègrent dans leurs équipes pédagogiques des « professionnels intervenant en milieu scolaire. ».

Le but de cette phrase est d'insister sur l'intervention de professionnels intervenant en milieu scolaire dans les ESPE. Il n'y a donc pas de raison particulière d'y mentionner les universitaires, précédemment visés dans l'alinéa par la formulation "[Les ESPE] assurent leurs missions avec les autres composantes de l'établissement public, les établissements publics partenaires et d'autres organismes". En revanche, les personnels enseignants, d'inspection et de direction en exercice font partie de ces professionnels, au même titre que les acteurs de l'éducation populaire, de l'éducation artistique et culturelle et de l'éducation à la citoyenneté, qui ont été introduites par la Commission.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 402

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

Mmes FÉRAT, MORIN-DESAILLY

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


ARTICLE 51


Alinéa 20

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Elles permettent également une sensibilisation des futurs enseignants et personnels d'éducation aux différentes sphères du monde professionnel.

Objet

Les futurs enseignants et personnels d'éducation représentent pour les élèves leur premier contact avec le monde professionnel. Il est important que les enseignants et personnels soient sensibilisés aux différentes sphères du monde professionnel, notamment au monde de l'entreprise. Au-delà de leurs enseignements, ils peuvent être amenés à parler d'orientation avec les élèves, ils ont également pour mission de leur fournir des méthodes de travail qui seront utiles aux élèves dans leur vie professionnelle à venir.

Ainsi, cet amendement propose que les futures écoles supérieures du professorat prévoient cette sensibilisation.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 361

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Demande de retrait
Retiré

M. MAGNER, Mmes BLONDIN, Danielle MICHEL, Dominique GILLOT, LAURENT-PERRIGOT, LEPAGE et KHIARI, MM. LOZACH, ASSOULINE, CHIRON, Dominique BAILLY, ANTISTE, EBLÉ, DOMEIZEL, VINCENT, MADRELLE, ANTOINETTE, PERCHERON, ANDREONI, RAINAUD, GERMAIN

et les membres du Groupe socialiste et apparentés


ARTICLE 51


Après l'alinéa 20

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« En lien avec les collectivités territoriales, les services académiques, les établissements publics d’enseignement supérieur partenaires et les établissements scolaires, elles concourent à la politique d’aménagement du territoire en veillant à l’unité et à la cohérence du service public de la formation initiale et continue des personnels enseignants et de l’éducation.

Objet

Le maillage territorial des ESPE et de leurs antennes est une des conditions de leur réussite, non seulement parce que leur facilité d’accès est un gage de démocratisation et donc d’élargissement du vivier des futurs enseignants mais aussi du fait de leur mission de formation continue des personnels enseignants et de l’éducation.  C’est pourquoi la loi doit offrir des garanties en termes d’aménagement du territoire.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 362

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

M. MAGNER, Mmes BLONDIN, Danielle MICHEL, Dominique GILLOT, LAURENT-PERRIGOT, LEPAGE et KHIARI, MM. LOZACH, ASSOULINE, CHIRON, Dominique BAILLY, ANTISTE, EBLÉ, DOMEIZEL, VINCENT, MADRELLE, ANTOINETTE, PERCHERON, ANDREONI, RAINAUD, GERMAIN

et les membres du Groupe socialiste et apparentés


ARTICLE 51


Après l'alinéa 20

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« Elles effectuent l’inscription pédagogique de leurs étudiants.

Objet

Si l’ESPE est une composante de l’université elle est aussi une école à part entière et doit être à même de développer un esprit d’école. La responsabilité de l’inscription pédagogique des étudiants y participe. C’est pourquoi il est proposé que celle-ci s’effectue au sein des ESPE.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 372 rect.

24 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. Pierre LAURENT, LE SCOUARNEC

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 51


I.-Alinéa 21,

Après le mot :

administrées

insérer les mots :

à parité de femmes et d'hommes

II.- Alinéa 22, première phrase

Après le mot :

désignés

insérer à deux reprises, les mots :

à parité de femmes et d'hommes

Objet

Les auteurs de cet amendement souhaitent que les conseils des ESPE soit composés à parité.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 421 rect.

24 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Le Gouvernement


ARTICLE 51


Alinéas 23 à 31

Remplacer ces alinéas par un alinéa ainsi rédigé :

« Le conseil de l’école, dont l’effectif ne peut dépasser trente membres, comprend des représentants des enseignants, qui sont en nombre au moins égal à celui des représentants des autres personnels et des usagers, un ou plusieurs représentants de l’établissement mentionné au premier alinéa de l’article L. 721-1 et au moins 30 % de personnalités extérieures dont au moins un représentant des collectivités territoriales. Au moins la moitié des représentants des enseignants sont des représentants des enseignants chercheurs ; le recteur de l’académie désigne une partie des personnalités extérieures.

Objet

Le gouvernement est favorable à l’introduction dans le conseil d’école de représentants des collectivités territoriales proposé en commission par les sénateurs mais souhaite repréciser certains équilibres et ne pas confier au seul recteur la compétence de nommer les personnalités extérieures.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 234

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


ARTICLE 51


Alinéa 24

Supprimer les mots :

, dont au moins la moitié sont des représentants des enseignants-chercheurs

Objet

Cet amendement vise à introduire une certaine souplesse dans la composition du conseil de l'école.

En effet les précisions indiquées dans l'article sont trop strictes, elles ne laissent pas suffisamment de marges de manoeuvre.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 332

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Non soutenu

Mme Dominique GILLOT


ARTICLE 51


Alinéa 24

Compléter cet alinéa par les mots :

et dont au moins deux sont des représentants des professionnels en activité dans le milieu scolaire du premier et du second degrés

Objet

L’objet de cet amendement est d’assurer, au sein du conseil de l’ESPE, la représentation des enseignants du premier et du second degrés dont l’expertise et l’expérience seront utiles à la bonne marche de l’établissement.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 235

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


ARTICLE 51


Alinéa 26

Remplacer le mot :

usagers

par le mot :

étudiants

Objet

Le terme "usagers" est flou. Il est nécessaire pour éviter des erreurs d'interprétation de viser clairement les étudiants, qui vont suivre les cours de ces nouvelles ESPE et ont leur mot à dire sur leur futur fonctionnement.






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N° 44 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEFÈVRE, del PICCHIA, de LEGGE et CARDOUX, Mme CAYEUX, MM. GILLES et BÉCOT, Mmes DUCHÊNE et MÉLOT, MM. HÉRISSON et PINTON, Mme BRUGUIÈRE, MM. CORNU, POINTEREAU, MILON, Philippe LEROY, GRIGNON et DOLIGÉ, Mme PRIMAS, MM. MAYET, Pierre ANDRÉ, CLÉACH, LELEUX, HOUEL et DULAIT, Mme DEROCHE, M. Gérard BAILLY et Mme GIUDICELLI


ARTICLE 51


Alinéa 28

Remplacer les mots :

dont au moins un représentant des collectivités territoriales

par les mots :

dont un ou plusieurs représentants des acteurs économiques et des collectivités territoriales

Objet

Les enseignants doivent aussi avoir la  connaissance de l’entreprise et des réalités du marché du travail pour transmettre au mieux les réalités du monde économique aux élèves qui leur sont confiés.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 236

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


ARTICLE 51


Alinéa 28

Remplacer le mot :

un

par le mot :

trois

Objet

Dans la rédaction actuelle du projet de loi, le conseil d'école des ESPE pourrait ne comprendre qu'un représentant des collectivités territoriales. Cette représentation est trop faible au regard de l'importance du rôle de celles-ci. D'autre part, il faut pouvoir assurer au moins la représentation de la commune, du département et de la région.






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N° 403

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes MORIN-DESAILLY, FÉRAT

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


ARTICLE 51


Alinéa 28

Compléter cet alinéa par les mots :

et au moins un représentant du monde professionnel

Objet

Notre service public d’éducation nationale ne doit pas être coupé du monde professionnel. En effet, le formation doit conduire les élèves dans le monde du travail. Les enseignants devraient avoir cette connaissance de l’entreprise pour transmettre au mieux les réalités du monde économique aux élèves qui leur sont confiés.

Le présent amendement vise, dans cette perspective, à permettre à des représentants du monde professionnel, par exemple des chefs d’entreprise, des artisans, etc, de siéger au sein des instances de direction des écoles supérieures du professorat et de l’éducation afin d’éclairer les enseignements sur les réalités du marché du travail.






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N° 139

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. Pierre LAURENT, LE SCOUARNEC

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 51


Alinéa 32

Remplacer les mots :

personnalités extérieures désignées par le recteur

par les mots :

ses membres

Objet

Les auteurs de cet amendement souhaitent revenir sur la désignation de la présidence du conseil d’école.






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N° 45 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

MM. LEFÈVRE, del PICCHIA, de LEGGE et CARDOUX, Mme CAYEUX, MM. GILLES et BÉCOT, Mmes DUCHÊNE et MÉLOT, M. HÉRISSON, Mme BRUGUIÈRE, MM. CORNU, POINTEREAU, MILON, Philippe LEROY, GRIGNON et DOLIGÉ, Mme PRIMAS, MM. MAYET, Pierre ANDRÉ, CLÉACH, LELEUX, HOUEL et DULAIT, Mme DEROCHE, M. Gérard BAILLY et Mme GIUDICELLI


ARTICLE 51


Alinéa 34, deuxième phrase

Après les mots :

le budget de l’école et

insérer les mots :

arrête la carte des formations et leurs implantations après consultation des collectivités territoriales et avis de l’employeur. Il (le reste sans changement)

Objet

C’est un problème de maillage territorial et de moyens : ne pas mentionner cet aspect de proximité avec les territoires et les lieux d’exercice affaiblit la portée de la loi. Le mentionner n’oblige pas à conserver les petits sites IUFM, mais oblige à prendre en compte cet aspect s’ils doivent être supprimés. Gérées par les logiques universitaires, les ESPE risquent en effet d’appliquer des critères de viabilité propres aux universités en général. A ce compte, très peu de sites en dehors des capitales régionales seraient conservés. Mentionner les collectivités territoriales conduit à envisager des moyens complémentaires pour faire exister ce maillage territorial. Il ne peut être laissé à la seule charge des universités. Ces appuis sur les collectivités territoriales existent souvent déjà (par le biais de subventions notamment).



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 237

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


ARTICLE 51


Alinéa 37, première phrase

Remplacer les mots :

politique et budgétaire

par les mots :

et de programmation

Objet

Le terme "d'orientation politique" est maladroit.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 531

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mme CARTRON

au nom de la commission de la culture


ARTICLE 51


Alinéa 37, dernière phrase

Supprimer cette phrase.

Objet

Correction d'une erreur matérielle (disposition non présentée en commission).






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N° 138

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. Pierre LAURENT, LE SCOUARNEC

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 51


Après l'alinéa 39

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« Il ne peut comporter plus de quarante membres. Il est composé de représentants des formateurs, de représentants des étudiants, élèves-professeurs, stagiaires et de personnels titulaires en formation pour la moitié de ces membres ; de représentants du conseil scientifique du ou des établissements de rattachement ; et de personnalités qualifiées nommées pour leurs compétences dans le domaine de la formation et de la recherche par le recteur d’académie, après avis du conseil d’administration de l’école supérieure du professorat et de l’éducation. Le directeur de l’école est membre de droit de ce conseil. Le président du conseil est élu par le conseil parmi ses membres. »

Objet

Les auteurs de cet amendement souhaitent préciser la composition du conseil d’orientation scientifique et pédagogique de la même manière que le projet de loi le fait pour le conseil d’école.






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N° 140

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. Pierre LAURENT, LE SCOUARNEC

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 51


Alinéa 40

I. - Première phrase

Après les mots : 

budget propre

supprimer les mots :

intégré au budget de l’établissement public dont elle fait partie

II. - Deuxième phrase

Rédiger ainsi cette phrase :

Les ministres compétents lui affectent directement les crédits et les emplois nécessaires à son fonctionnement.

Objet

Les ESPE doivent disposer d’un budget autonome directement affecté à son propre fonctionnement.






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N° 238

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


ARTICLE 52 BIS


Après l'alinéa 1

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

...° À la deuxième phrase du premier alinéa, le membre de phrase : « Ils travaillent au sein d'équipes pédagogiques » est remplacé par le membre de phrase : « Dans le respect de la liberté pédagogique des enseignants, ils constituent des équipes pédagogiques » ;

Objet

Cette rédaction permet d'assurer la liberté pédagogique des enseignants lors de la constitution d'équipes pédagogiques.






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N° 373 rect.

24 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. Pierre LAURENT, LE SCOUARNEC

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 52 BIS


Après l'alinéa 3

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

...° La troisième phrase du deuxième alinéa est complétée par les mots : « qui veillent à favoriser la mixité entre les femmes et les hommes dans l’accès aux filières de formation » ;

Objet

Cet amendement est un amendement de cohérence avec l’article 32A qui prévoit que l’orientation et les formations proposées aux élèves « favorisent la représentation équilibrée entre les femmes et les hommes parmi les filières de formation ».






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N° 412

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Retiré

Le Gouvernement


ARTICLE 52 BIS


Alinéa 5

Rédiger ainsi cet alinéa :

« Afin de favoriser l’implication des parents d’élèves dans la scolarité de leurs enfants, les enseignants les tiennent informés du déroulement de celle-ci. »

Objet

Amendement rédactionnel et de précision.

La Commission a souhaité inscrire les relations avec les parents parmi les missions des enseignants, et le Gouvernement ne peut que saluer cette initiative. L’implication des parents est en effet un élément déterminant pour la réussite des élèves.

Le présent amendement vise simplement à préciser la rédaction de cet ajout.

 






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N° 175 rect.

24 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mmes BOUCHOUX et BLANDIN, M. GATTOLIN

et les membres du groupe écologiste


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 52 BIS


Après l'article 52 bis

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’article L. 912-1-2 du code de l'éducation est ainsi modifié :

1° Les mots : « s’accomplit en priorité » sont remplacés par les mots : « peut s’accomplir » ;

2° Il est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« Chaque enseignant doit être encouragé à se former régulièrement. Une offre de formation continue adaptée aux besoins des personnels d’éducation est proposée, notamment par le biais des écoles supérieures du professorat et de l’éducation. »

Objet

Le présent amendement vise à garantir le droit à la formation continue pour la totalité des enseignants : ces derniers doivent pouvoir utiliser pleinement leur droit individuel à la formation offert par le décret n° 2007-1470 du 15 octobre 2007 relatif à la formation professionnelle tout au long de la vie des fonctionnaires de l’État et le décret n° 2007-1942 du 26 décembre 2007 relatif à la formation professionnelle des agents non titulaires de l’État et de ses établissements publics et des ouvriers affiliés au régime des pensions résultant du décret n° 2004-1056 du 5 octobre 2004.

La création des écoles supérieures du professorat et de l’éducation est l’occasion de renforcer cette offre qui reste aujourd’hui bien trop parcellaire.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 533 rect.

22 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Sagesse du Sénat
Adopté

Mme CARTRON

au nom de la commission de la culture


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 54


Après l’article 54

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – Le code général des collectivités territoriales est ainsi modifié :

1° À la fin du 8° de l’article L. 3321-1, les mots : « instituts universitaires de formation des maîtres » sont remplacés par les mots : « écoles supérieures du professorat et de l’éducation » ;

2° À la fin du 9° des articles L. 71-113-3 et L. 72-103-2, dans leur rédaction résultant de la loi n° 2011-884 du 27 juillet 2011 relative aux collectivités territoriales de Guyane et de Martinique, les mots : « instituts universitaires de formation des maîtres » sont remplacés par les mots : « écoles supérieures du professorat et de l’éducation ».

II. – Le code de l’éducation est ainsi modifié :

1° À l’intitulé du chapitre II du titre II du livre VII de la troisième partie, les mots : « instituts universitaires de formation des maîtres » sont remplacés par les mots : « écoles supérieures du professorat et de l’éducation » ;

2° À l'article L. 722-1 et à la première phrase de l'article L. 722-17, les mots : « instituts universitaires de formation des maîtres » sont remplacés par les mots : « écoles supérieures du professorat et de l’éducation » ;

3° À la première phrase du premier alinéa des articles  L. 722-4 et L. 722-5 , au deuxième alinéa des articles L. 722-6 et L. 722-10, au premier alinéa de l’article L. 722-11 et à l’article L. 722-16, les mots : « institut universitaire de formation des maîtres » sont remplacés par les mots : « école supérieure du professorat et de l’éducation ».

Objet

Cet amendement de coordination tient compte, dans différents codes, de la création des écoles supérieures du professorat et de l’éducation en lieu et place des instituts universitaires de formation des maîtres, notamment en ce qui concerne les conditions de participation des départements au financement des dépenses de fonctionnement de ces établissements.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 416

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Sagesse du Sénat
G Favorable
Adopté

Le Gouvernement


ARTICLE 54 BIS


Supprimer cet article.

Objet

 

Les missions des inspecteurs d’académie-inspecteurs pédagogiques régionaux et des inspecteurs de l’éducation nationale sont déjà codifiées, de manière plus précise et exhaustive que ce qui figure dans la proposition d’amendement, dans les dispositions règlementaires du code de l’éducation.

Le statut de ces personnels prévoit d’ores et déjà qu’ils bénéficient d’une formation pendant l’année de stage précédant leur titularisation. Le contenu de cette formation est conçu de manière à leur permettre d’aborder l’ensemble des compétences professionnelles nécessaires à l’exercice de leurs fonctions.

Le Gouvernement propose de reprendre la préoccupation de formation des personnels d’encadrement dans l’article 1 à l’alinéa 67.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 424

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Le Gouvernement


ARTICLE 54 TER


Supprimer cet article.

Objet

 

Les dispositions statutaires concernant les personnels de direction prévoient d’ores et déjà qu’ils bénéficient d’une formation statutaire initiale qui se déroule pendant l’année de stage et se poursuit au cours des deux années qui suivent la titularisation.

Les formations portent sur l’ensemble des compétences métiers requises pour exercer les fonctions de personnel de direction, soit un champ plus large que celui correspondant aux articles L 421-3 et L 421-5 qui ne concernent qu’une partie des attributions des personnels de direction.

Le Gouvernement propose de reprendre la préoccupation de formation des personnels d’encadrement dans l’article 1 à l’alinéa 67.

 






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 298 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Sagesse du Sénat
G Favorable
Adopté

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


ARTICLE 55


Rédiger ainsi cet article :

Le e du 3° de l'article L. 122-5 du code de la propriété intellectuelle est ainsi modifié :

1° Les mots : « et des œuvres réalisées pour une édition numérique de l'écrit » sont supprimés ;

2° Le mot : « pédagogiques, » est remplacé par les mots : « pédagogiques et » ;

3° Après le mot : « recherche », sont insérés les mots : « , y compris pour l'élaboration et la diffusion de sujets d'examens ou de concours organisés dans la prolongation des enseignements » ;

4° Les mots : « dès lors que le public auquel cette représentation ou cette reproduction est destinée est composé majoritairement d'élèves, d'étudiants, d'enseignants ou de chercheurs directement concernés » sont remplacés par les mots : « dès lors que cette représentation ou cette reproduction est destinée, notamment au moyen d'un espace numérique de travail, à un public composé majoritairement d'élèves, d'étudiants, d'enseignants ou de chercheurs directement concernés par l'acte d'enseignement, de formation ou l'activité de recherche nécessitant cette représentation ou cette reproduction, qu'elle ne fait l'objet d'aucune publication ou diffusion à un tiers au public ainsi constitué ». 

Objet

Dans le cadre de l'élargissement de l'exception pédagogique aux supports numériques, il est nécessaire de préciser que son champ d'application reste limité aux actes pédagogiques et activités de recherche à destination des élèves, étudiants, enseignants ou chercheurs directement concernés par cet acte d’enseignement, de formation ou cette activité de recherche. La représentation ou la reproduction d’extraits d’œuvres qu’elle autorise ne saurait, en effet, faire l’objet d’une publication ou d’une diffusion élargie en dehors du cadre spécifique de l’enseignement ou de la recherche concernés.

L’amendement précise également que l’acte d’enseignement ou l’activité de recherche peuvent être réalisés via un espace numérique de travail sans faire obstacle à la mise en œuvre de l’exception pédagogique, ce qui permet un usage à distance sans entraîner de dissémination incontrôlée d’œuvres protégées.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 423

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Retiré

Le Gouvernement


ARTICLE 55


I. – Alinéas 2 à 4

Remplacer ces trois alinéas par deux alinéas ainsi rédigés :

1° Le mot : « pédagogiques, » est remplacé par les mots : « pédagogiques et » ;

2° Les mots : « et des œuvres réalisées pour une édition numérique de l’écrit » sont supprimés ;

II. – Alinéas 6 et 7

Remplacer ces alinéas par un alinéa ainsi rédigé :

4° Les mots : « dès lors que le public auquel cette représentation ou cette reproduction est destinée est composé majoritairement d’élèves, d’étudiants, d’enseignants ou de chercheurs directement concernés » sont remplacés par les mots : « dès lors que cette représentation ou cette reproduction est destinée, notamment au moyen d’un espace numérique de travail, à un public composé majoritairement d’élèves, d’étudiants, d’enseignants ou de chercheurs directement concernés par l’acte d’enseignement ou de formation ou par l’activité de recherche nécessitant cette représentation ou cette reproduction, qu’elle ne fait l’objet d’aucune publication ou diffusion à un tiers au public ainsi constitué ou en dehors du cadre de l’enseignement ou de la recherche concernés. »

Objet

Cet amendement tend, d’abord, à rétablir la version initialement proposée par le Gouvernement dont l’objet est de mettre fin à la pratique qui, au regard de l’exception pédagogique, traite différemment les œuvres écrites selon leur support de publication et à étendre l’exception pédagogique à l’élaboration et la mise en ligne des sujets d’examens et de concours organisés dans la prolongation des enseignements.

Il apporte par ailleurs une modification rédactionnelle à cette version initiale de l’article 55, qui vise à préciser que l’activité d’enseignement et de recherche peut être réalisée via un espace numérique de travail sans faire obstacle à la mise en œuvre de l’exception pédagogique, dès lors que la représentation ou reproduction d’extraits d’œuvres qui figure dans les documents pédagogiques est destinée à un public majoritairement constitué d’élèves, d’étudiants, d’enseignants ou de chercheurs dans le cadre d’actes d’enseignement ou de formation ou d’activités de recherche et ne fait pas l’objet d’une publication ou d’une diffusion à des tiers à ce public.

Enfin, cet amendement a pour effet de revenir sur le projet de la commission d’étendre l’exception pédagogique aux partitions de musique, au champ des activités ludiques ou récréatives et à la représentation, l’interprétation ou l’adaptation d’œuvres dans leur intégralité.

En effet, une telle extension de l’exception pédagogique apparaît prématurée.

Il convient en effet de rappeler que Pierre Lescure, chargé par le Gouvernement de mener une mission sur "l’acte II de l’exception culturelle" face aux enjeux du numérique, vient juste de rendre son rapport (le 13 mai).

Une réflexion doit désormais être conduite dans un cadre nécessairement interministériel (culture, éducation nationale, enseignement supérieur et recherche, agriculture, budget), pour définir une stratégie Gouvernementale globale, qui devra être éclairée par une évaluation précise des incidences budgétaires et économiques des choix qui seront faits.

Il est donc nécessaire d’attendre les décisions qui seront prises par le Gouvernement et qui ne pourront en tout état de cause l’être qu’après une concertation et des échanges approfondis avec les représentants des auteurs et des acteurs économiques qui interviennent dans les secteurs culturels, pour revoir, le cas échéant, le champ des activités couvertes par l’exception pédagogique. 

Par exemple, il n’est pas inutile de signaler qu’inclure les partitions de musique dans le champ de l’exception pédagogique serait susceptible de causer de graves difficultés aux éditeurs spécialisés dans ce domaine.

Pour l’ensemble de ces raisons, le Gouvernement ne peut que rejeter le projet de rédaction de l’article 55 du projet de loi proposé par la commission.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 243

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Sagesse du Sénat
G Sagesse du Sénat
Tombé

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


ARTICLE 55


Alinéa 3

Supprimer les mots :

des partitions de musique

Objet

En commission, un amendement a été adopté, incluant les partitions de musique dans le cadre de l'exception pédagogique, ce qui n'était pas prévu par le projet de loi initial.

Or, l'édition musicale graphique est un secteur fragile et quasi artisanal qui fait vivre un nombre non négligeable d'auteurs, de compositeurs et d'éditeurs de musique. Le législateur a prévu en 2006 une exception pédagogique partielle mais afin de préserver certaines oeuvres, il a décidé que cette exception ne s'appliquait notamment ni aux partitions de musique, ni aux oeuvres conçues à des fins pédagogiques.

Cette exclusion n'a pourtant pas entravé le travail pédagogique de l'enseignement musical, ni fait peser des contraintes sur l'apprentissage de la musique à l'école, car un accord a été signé en 2006 entre la SEAM, société des éditeurs et auteurs de musique, et le ministère de l'éducation nationale, pour l'utilisation des oeuvres musicales graphiques à des fins d'illustration des activités d'enseignement et de recherche. Cet accord est le produit d'une concertation entre les signataires. Il serait anormal de remettre en cause cette procédure contractuelle à l'occasion de l'examen du présent texte, au risque de porter atteinte à l'économie fragile du secteur.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 287 rect. bis

22 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Sagesse du Sénat
G Sagesse du Sénat
Tombé

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BARBIER, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


ARTICLE 55


Alinéa 3

Supprimer les mots :

des partitions de musique

Objet

L'extension de l'exception pédagogique à des partitions de musique complètes constitue un réel danger pour les œuvres protégées et pour la création alors que le secteur de l'édition musicale graphique reste fragile. Cet amendement a donc pour objet d'exclure les partitions de musique de l'exception pédagogique prévue à l'article 55. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 338

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Tombé

Mmes BOUCHOUX et BLANDIN, M. GATTOLIN

et les membres du groupe écologiste


ARTICLE 55


Compléter cet article par deux alinéas ainsi rédigés :

...° Il est complété par une phrase ainsi rédigée :

« Dans les douze mois à compter de la publication de la loi n°..... du ..... d'orientation et de programmation pour la refondation de l'école de la République et en l'absence d'accord sectoriel déterminant le montant de la rémunération à verser aux titulaires des droits, la rémunération forfaitaire est fixée par décret. »

Objet

La complexité des dispositions des accords sectoriels rend en difficile l’application de l’exception pédagogique dans les établissements d’enseignement. Par ailleurs, il est arrivé que les négociations mettent si longtemps à aboutir que l’exception s’en est trouvée « neutralisée » pendant de longs mois, laissant les communautés éducatives dans un flou juridique préoccupant. Aussi, cet amendement prévoit en cas d'absence d'accord sectoriel 12 mois après la publication de la présente loi que la rémunération forfaitaire au bénéfice des titulaires de droits soit fixée par décret.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 363

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Retiré

Mme BLONDIN, M. MAGNER, Mmes Danielle MICHEL, Dominique GILLOT, LAURENT-PERRIGOT, LEPAGE et KHIARI, MM. LOZACH, ASSOULINE, CHIRON, Dominique BAILLY, ANTISTE, EBLÉ, DOMEIZEL, VINCENT, MADRELLE, ANTOINETTE, PERCHERON, ANDREONI, RAINAUD, GERMAIN

et les membres du Groupe socialiste et apparentés


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 55 BIS B


Après l’article 55 bis B

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Après l’article L. 912-1-3 du code de l’éducation, il est inséré un article L. 912-1-... ainsi rédigé :

« Art. L. 912-1-... . – Les psychologues de l’Éducation nationale participent au fonctionnement des écoles maternelles et élémentaires, à l’inclusion scolaire et à la réussite de tous les élèves.

« Leurs interventions visent à prévenir les difficultés scolaires, rechercher les conditions facilitant les apprentissages et le développement harmonieux des enfants, analyser ce qui peut y faire obstacle, élaborer et mettre en œuvre des solutions adaptées. »

Objet

Les psychologues de l’éducation nationale sont des acteurs incontournables dans la promotion d’une école inclusive. Par leur expertise, ils contribuent à l’intégration scolaire et à la réussite de tous les élèves. Actuellement, ils ne sont mentionnés, dans le code de l’éducation, que comme personnels spécialisés, membres de l’équipe éducative, à l’article L. 912-1 et ce, sans mention de la spécificité de leur missions. Cet amendement vise donc à inscrire leurs missions dans le code de l’éducation.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 141

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. Pierre LAURENT, LE SCOUARNEC

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


ARTICLE 57


Alinéa 4, seconde phrase

Supprimer cette phrase.

Objet

Les auteurs de cet amendement sont opposés à la mise en place d’ESPE sans conseils valablement élus.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 382

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mme LEPAGE et M. YUNG


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 58


Après l'article 58

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le premier alinéa de l'article L. 452-2 du code de l'éducation est complété par les mots :  « en tenant compte des capacités d’accueil des établissements ».

Objet

L’une des missions de l’AEFE est la scolarisation des enfants français mais celle-ci n’est pas exclusive. En effet, l’article L 452-2 du Code de l’éducation dispose qu’elle contribue également au renforcement des relations de coopération entre les systèmes éducatifs français et étrangers ainsi qu’à l’accueil d’élèves étrangers dans une perspective de rayonnement de la langue et de la culture françaises.

L’objet du présent amendement est de garantir l’équilibre entre ces différentes missions.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 427

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Sagesse du Sénat
G Favorable
Adopté

Le Gouvernement


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 59


Après l’article 59

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Au premier alinéa de l’article 9 de la loi n° 2009-1436 du 24 novembre 2009 pénitentiaire, les mots : « quatre ans » sont remplacés par les mots : « cinq ans ».

Objet

L’article 9 de la loi n° 2009-1436 pénitentiaire du 24 novembre 2009 dispose que :

« L’Etat peut, à titre expérimental pour une durée maximale de quatre ans à compter du 1er janvier suivant la promulgation de la présente loi, confier par convention aux régions ou à la collectivité territoriale de Corse, sur leur demande, l’organisation et le financement des actions de formation professionnelle continue des personnes détenues dans les établissements pénitentiaires situés sur leur territoire.

« L’Etat participe au financement des charges supplémentaires en crédits et en personnel supportées par chaque région expérimentatrice du fait de l’expérimentation. A ce titre, les services ou parties des services qui participent à l’exercice de la compétence faisant l’objet de cette expérimentation peuvent être mis à disposition de la région expérimentatrice, à titre gratuit et pour une quotité de travail à déterminer, dans les conditions prévues à l’article 112 de la loi no 2004-809 du 13 août 2004 relative aux libertés et responsabilités locales.

« Six mois avant le terme de la période prévue au premier alinéa, le Gouvernement adresse au Parlement un rapport sur la mise en œuvre de cette expérimentation. »

Le libellé de l’article 9 de la loi n°2009-1436 du 24 novembre 2009 pénitentiaire a été modifié par l’article 68 de la loi Warsmann no 2011-525 du 17 mai 2011 portant simplification et amélioration de la qualité du droit, afin de permettre de conduire l’expérimentation du transfert de la formation professionnelle aux Régions pour une durée effective de quatre ans à compter du 1er janvier 2010.

Dans l’attente du vote de la loi sur la mobilisation des régions pour la croissance et l’emploi et de promotion de l’égalité des territoires, et pour permettre aux Régions participant à l’expérimentation de poursuivre dans les meilleures conditions les missions confiées par l’Etat, il est nécessaire de modifier la rédaction de l’article 9 de la loi n°2009-1436 du 24 novembre 2009 pénitentiaire modifié par l’article 68 de la loi Warsmann no 2011-525 du 17 mai 2011 en allongeant la durée de l’expérimentation.

Cette durée peut donc être portée à 5 ans (1er janvier 2010-31 décembre 2014).






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 239

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


ARTICLE 60


Deuxième phrase

Après les mots :

quatre députés et quatre sénateurs, désignés

insérer les mots :

à parité entre la majorité et l'opposition

Objet

Le Conseil supérieur des programmes comprendra quatre députés et quatre sénateurs désignés par les commissions compétentes en matière d'éducation de l'Assemblée nationale et du Sénat.

Il est utile à cette occasion de prévoir une représentation politique équilibrée du Parlement, respectueuse des droits de l'opposition, en précisant que ces parlementaires seront désignés à parité entre la majorité et l'opposition.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 300 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


ARTICLE 60


Compléter cet article par une phrase ainsi rédigée :

En liaison avec le Conseil national d’évaluation du système éducatif, il veille à l’équité des moyens alloués aux dépenses pédagogiques numériques pour l’ensemble des élèves du territoire.

 

Objet

Le comité de suivi de l'application du présent projet de loi devrait également veiller, en liaison avec le Conseil national de l'évaluation du système éducatif, à l'égal accès des élèves aux ressources pédagogiques sur l'ensemble du territoire. Tel est l'objet de cet amendement.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 258 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Retiré

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BARBIER, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


ARTICLE 60


Compléter cet article par un alinéa ainsi rédigé :

Il évalue également le fonctionnement du service public du numérique éducatif ainsi que le développement économique de la filière numérique pédagogique.

Objet

La mise en place du service public du numérique en matière d’éducation permettra de développer un large éventail de possibilités pédagogiques en faveur de la réussite des élèves. Il conviendra notamment de s’assurer que les nouvelles ressources créées répondent à certains critères de qualité et que la filière numérique pédagogique se développe correctement. L’objet de cet amendement est de confier cette mission au comité de suivi chargé d’évaluer l’application de la loi.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 428

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

Mmes BOUCHOUX et BLANDIN, M. GATTOLIN

et les membres du groupe écologiste


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 60


Après l'article 60

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre unique du titre Ier du livre V de la deuxième partie du code de l'éducation est complété par un article ainsi rédigé :

« Art. L. 511...- Avant de procéder à l'inscription d'un enfant dans un traitement de données à caractère personnel relevant de l'éducation nationale, le directeur académique des services de l'éducation nationale s'assure que les responsables légaux ont, d'une part, été dûment informés de l'existence de tels traitements, de leur contenu, de leurs finalités, de leurs durées de conservation, des catégories de personnes habilitées à les visualiser ou à les modifier et, d'autre part, que les mêmes responsables légaux aient donné leur accord préalable à l'inscription de leur enfant.

« Le directeur d'école est tenu de respecter la volonté des responsables légaux qui font la demande expresse de s'opposer à l'inscription de leur enfant dans les traitements susmentionnés.

« Aucune sanction disciplinaire n'est prise à l'encontre d'un enseignant du premier degré assumant les fonctions de directeur d'école sur le seul fondement du refus de l'enseignant assurant la fonction de direction, à la demande expresse des responsables légaux, de renseigner l'un des traitements de données à caractère personnel dont il aurait la charge dans le cadre de ses missions. »

Objet

Cet amendement vise à renforcer l'effectivité du droit des parents à s'opposer à l'inscription dans le fichier Base-élèves par le renforcement des obligations d'information et à encadrer le principe de sanctions disciplinaires pour les enseignants ayant refusé de renseigner le fichier.

En effet depuis 2007, les traitements des données numériques à caractère personnel se sont multipliés au sein de l'Education Nationale.

Chaque enfant inscrit dans la Base Elèves, dès son entrée en première année de maternelle, se voit attribuer un numéro national d'identifiant (INE), stocké dans le Répertoire National des Identifiants Elèves (RNIE). C’est ce numéro qui permet le lien explicite entre les fichiers du primaire et ceux du secondaire (via le fichier AFFELNET), c'est ce numéro qu'on retrouve dans le Livret Personnel de Compétences (LPC) numérique, qui doit suivre chaque enfant tout au long de sa scolarité et de sa formation et participer au Passeport orientation et formation. Ce livret permet de centraliser des renseignements extrêmement sensibles sur les enfants puis sur les adultes, dans des serveurs académiques, nationaux et même européens (Europass) : les compétences et incompétences, les rythmes d’acquisition, et par là-même les difficultés.

Au regard du respect des libertés individuelles, le Comité des Droits de l'Enfant des Nations Unies a recommandé à la France « que seules des données anonymes soient entrées dans des bases de données et que l’utilisation des données collectées soit régulée par la loi de manière à en prévenir un usage abusif. »

Certains enseignants, respectant la Convention Internationale des Droits de l'Enfant, ratifiée par la France, ont refusé de renseigner le fichier Base Elèves encourant de ce fait des sanctions. Plusieurs tribunaux administratifs tels, par exemple, celui de Montpellier, et tout récemment ceux d'Orléans et Grenoble, ont annulé des décisions administratives sanctionnant – par des retraits de poste, des diminutions de salaire, des mutations d'office ou autres – des enseignants ayant refusé de renseigner la Base Elèves.






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Refondation de l'école de la République

(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 164

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Retiré

M. RIES, Mmes SCHILLINGER, LEPAGE et BLONDIN, MM. LECONTE, SUTOUR et YUNG et Mme KHIARI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 60


Après l’article 60

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

« Dans les conditions prévues à l’article 38 de la Constitution, le Gouvernement est autorisé à prendre par ordonnance, dans un délai de huit mois à compter de la promulgation de la présente loi, les mesures législatives nécessaires à la création d’un établissement public local d’enseignement, intitulé « école européenne de Strasbourg », qui est constitué de classes maternelles, élémentaires et du second degré et dispense un enseignement qui prend en compte les principes de l’organisation pédagogique figurant à l’article 4 de la convention portant statut des écoles européennes signée à Luxembourg le 21 juin 1994.

« Un projet de loi de ratification est déposé devant le Parlement au plus tard six mois après la publication de cette ordonnance. »

Objet

Cet amendement a pour objet de permettre la création de l’école européenne de Strasbourg (EES) sous la forme d’un établissement public local d’enseignement dérogatoire au droit commun, puisqu’il regroupera dans une même personne morale les niveaux correspondant à une école maternelle, une école élémentaire, un collège et un lycée et qui a vocation à dispenser un enseignement adapté pour correspondre à celui des écoles européennes au sens de la convention de Luxembourg signée le 21 juin 1994.

L’EES résulte d’une initiative française. Si l’Union européenne contribue à son financement au prorata du nombre d’enfants de fonctionnaires européens inscrits, l’EES est à la charge de la République française.

Actuellement, les cycles de l’école maternelle et de l’école élémentaire de l'école européenne de Strasbourg sont organisés dans le cadre d'une école de droit commun, créée par la ville de Strasbourg sur le fondement de l'article L. 212-1 du code de l'éducation. Le cycle secondaire est hébergé par un collège existant, le collège Vauban de Strasbourg. L'offre de formation y est actuellement limitée aux six premières années du secondaire mais devrait s'étendre jusqu'à la terminale en 2013.

L'Etat, la ville de Strasbourg, la communauté urbaine de Strasbourg, le département du Bas-Rhin et la région Alsace ont inscrit de manière conjointe, le 17 septembre 2009, dans le cadre du contrat triennal soutenant la vocation de Strasbourg comme capitale européenne, le projet de construction d'une cité scolaire regroupant sur un même site les cycles de formation de la maternelle au lycée.

Aucune disposition législative existante ne permet de créer une personne morale rassemblant les cycles du premier et du second degrés et dirigée par un seul chef d’établissement et un unique conseil d’administration. Les charges de fonctionnement et d’investissement de ce nouvel établissement seront partagées entre les trois collectivités territoriales compétentes pour chaque niveau scolaire (ville de Strasbourg pour les classes maternelles et élémentaires, conseil général du Bas-Rhin pour les classes du premier cycle du second degré -  collège - et région Alsace pour les classes du second cycle du second degré – lycée).

Cet établissement sera en principe régi par les dispositions du livre IV de la partie législative du code de l’éducation. Compte tenu des nombreuses adaptations nécessaires du code de l’éducation pour régler les questions relatives aux compétences des organes de cet établissement, à son fonctionnement, à son financement, à son budget et aux programmes dispensés, le recours à une autorisation de prendre une ordonnance est justifié.

Doivent notamment être adaptées les dispositions codifiées dans les chapitres suivants :

- chapitre III du titre III du livre I relatif à l’accueil des élèves des écoles maternelles et élémentaires

- chapitre II du titre I du livre II relatif aux compétences des communes

- chapitre III du titre I du livre II relatif aux compétences des départements

- chapitre IV du titre I du livre II relatif aux compétences des régions

- chapitre VI, titre I du livre II relatif aux compétences communes aux collectivités territoriales

- chapitre I du titre I du livre IV relatif aux écoles

- chapitre I du titre II du livre IV relatif aux collèges et lycées.

- chapitre I du titre I du livre III relatif à l’organisation des enseignements scolaires en vue d’adapter les dispositions relatives aux programmes.






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Refondation de l'école de la République

(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 536

23 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Le Gouvernement


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 60


Après l’article 60

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

« Dans les conditions prévues à l’article 38 de la Constitution, le Gouvernement est autorisé à prendre par ordonnance, dans un délai de huit mois à compter de la promulgation de la présente loi, les mesures législatives nécessaires à la création d’un établissement public local d’enseignement, intitulé « école européenne de Strasbourg », qui est constitué de classes maternelles, élémentaires et du second degré et dispense un enseignement qui prend en compte les principes de l’organisation pédagogique figurant à l’article 4 de la convention portant statut des écoles européennes signée à Luxembourg le 21 juin 1994.

« Un projet de loi de ratification est déposé devant le Parlement au plus tard six mois après la publication de cette ordonnance. »

Objet

Cet amendement a pour objet de permettre la création de l’école européenne de Strasbourg (EES) sous la forme d’un établissement public local d’enseignement dérogatoire au droit commun, puisqu’il regroupera dans une même personne morale les niveaux correspondant à une école maternelle, une école élémentaire, un collège et un lycée et qui a vocation à dispenser un enseignement adapté pour correspondre à celui des écoles européennes au sens de la convention de Luxembourg signée le 21 juin 1994.

L’EES résulte d’une initiative française. Si l’Union européenne contribue à son financement au prorata du nombre d’enfants de fonctionnaires européens inscrits, l’EES est à la charge de la République française.

Actuellement, les cycles de l’école maternelle et de l’école élémentaire de l'école européenne de Strasbourg sont organisés dans le cadre d'une école de droit commun, créée par la ville de Strasbourg sur le fondement de l'article L. 212-1 du code de l'éducation. Le cycle secondaire est hébergé par un collège existant, le collège Vauban de Strasbourg. L'offre de formation y est actuellement limitée aux six premières années du secondaire mais devrait s'étendre jusqu'à la terminale en 2013.

L'Etat, la ville de Strasbourg, la communauté urbaine de Strasbourg, le département du Bas-Rhin et la région Alsace ont inscrit de manière conjointe, le 17 septembre 2009, dans le cadre du contrat triennal soutenant la vocation de Strasbourg comme capitale européenne, le projet de construction d'une cité scolaire regroupant sur un même site les cycles de formation de la maternelle au lycée.

Aucune disposition législative existante ne permet de créer une personne morale rassemblant les cycles du premier et du second degrés et dirigée par un seul chef d’établissement et un unique conseil d’administration. Les charges de fonctionnement et d’investissement de ce nouvel établissement seront partagées entre les trois collectivités territoriales compétentes pour chaque niveau scolaire (ville de Strasbourg pour les classes maternelles et élémentaires, conseil général du Bas-Rhin pour les classes du premier cycle du second degré -  collège - et région Alsace pour les classes du second cycle du second degré – lycée).

Cet établissement sera en principe régi par les dispositions du livre IV de la partie législative du code de l’éducation. Compte tenu des nombreuses adaptations nécessaires du code de l’éducation pour régler les questions relatives aux compétences des organes de cet établissement, à son fonctionnement, à son financement, à son budget et aux programmes dispensés, le recours à une autorisation de prendre une ordonnance est justifié.

Doivent notamment être adaptées les dispositions codifiées dans les chapitres suivants :

- chapitre III du titre III du livre I relatif à l’accueil des élèves des écoles maternelles et élémentaires

- chapitre II du titre I du livre II relatif aux compétences des communes

- chapitre III du titre I du livre II relatif aux compétences des départements

- chapitre IV du titre I du livre II relatif aux compétences des régions

- chapitre VI, titre I du livre II relatif aux compétences communes aux collectivités territoriales

- chapitre I du titre I du livre IV relatif aux écoles

- chapitre I du titre II du livre IV relatif aux collèges et lycées.

- chapitre I du titre I du livre III relatif à l’organisation des enseignements scolaires en vue d’adapter les dispositions relatives aux programmes.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 240

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 60


Après l'article 60

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Les rapports prévus par la présente loi sont transmis au Parlement avant le début de l'examen de la loi de finances devant celui-ci, de manière à éclairer ses débats.

Objet

Il est primordial que les rapports prévus par le projet de loi puissent être examiné par les parlementaires au moment du débat budgétaire. Cet examen permettra d'étudier en profondeur les résultats de la politique éducative au niveau national et dans chaque circonscription, afin que des objectifs précis soient ensuite fixés.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 292 rect. bis

22 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Retiré

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 60


Après l'article 60

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Un décret institue une mission d’information et d’audit global de l’ensemble des systèmes d’insertion des jeunes dont les conclusions sont rendues dans les six mois suivant la promulgation de la présente loi. Ces conclusions sont prises en compte dans la future réforme du lycée.

Objet

La réforme des lycées demeure également essentielle afin d’améliorer l’insertion professionnelle des jeunes quel que le parcours scolaire choisi. Cependant, il convient avant tout d’évaluer les systèmes d’insertion des jeunes et de confier ce travail à une mission d’information et d’audit global.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 452

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

Annoncé comme un texte d'ampleur, ce projet de loi ne porte aucune réforme importante du système éducatif.

La rédaction du rapport annexé est à l'image de la rédaction des articles : il se réduit à des déclarations d'intention, présente comme des nouveautés des dispositions déjà existantes, et introduit dans le texte de loi un verbiage stérile incompatible avec sa fonction d'accompagnement et d'éclairage des dispositions législatives.

Il s'appuie sur des affirmations, des chiffres et des données dont l'exactitude n'est pas démontrée, et traduit davantage un positionnement idéologique sur des sujets clivants qu'une véritable volonté de réforme.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 453

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Intitulé de l'annexe

Remplacer les mots :

la refondation

par les mots :

l'action en faveur

Objet

Le terme de "refondation" employé dans le projet de loi est inapproprié. La réforme n'a en effet de refondation que le nom.






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Refondation de l'école de la République

(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 456

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 1

Après le mot :

programmation

rédiger ainsi la fin de cet alinéa :

a pour objectif d’ériger l’école en priorité de la Nation.

Objet

Amendement de coordination avec la suppression du terme "refondation".

De plus, il est inutile de préciser que la loi sera complétée par "de nombreuses autres actions qui relèvent de réformes de dispositions non législatives", ce qui est une évidence.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 457

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 3

Rédiger ainsi cet alinéa :

Objectifs et moyens de la réforme

Objet

Amendement de coordination avec la suppression du terme "refondation".






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 458

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 4

Remplacer les mots :

refonder l'école de la République

par les mots :

assurer à tous les jeunes une formation générale suffisante leur permettant d'assumer leurs responsabilités de citoyens et d'acquérir une qualification professionnelle attestée

Objet

Amendement de coordination avec la suppression du terme "refondation".

Plutôt qu'une phrase creuse, il est utile de rappeler vers quels objectifs notre politique éducative doit tendre.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 274 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Adopté

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 5

Après le mot :

résultats

insérer les mots :

et renforcer l'équité 

Objet

Outre l'amélioration des résultats, la refondation de l'école de la République doit tendre à instaurer un système éducatif plus équitable afin de réduire les inégalités scolaires pointées par de nombreux rapports et études. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 459

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 6

Remplacer les mots :

près de vingt ans

par les mots :

plus de trente ans

Objet

Le rapport annexé, au lieu de dresser un bilan impartial de la situation du système éducatif français, semble mettre en cause systématiquement l'ancienne majorité.

Il n'est pas inutile de rappeler que les difficultés du système scolaire sont apparues et ont été reconnues bien avant l'alternance politique ici visée.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 152

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes FÉRAT, MORIN-DESAILLY

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 6, seconde phrase

Remplacer les mots :

parvenir à davantage de justice dans

par le mot :

permettre

Objet

La réussite scolaire doit être un objectif clairement revendiqué du service public de l’Education nationale.

Cet amendement vise, dans cette perspective, à rappeler clairement cette priorité indispensable à la formation d’une Nation.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 153

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes MORIN-DESAILLY, FÉRAT

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 7, première phrase

Remplacer le mot :

dizaine

par le mot :

vingtaine

Objet

La plus récente enquête PISA remonte à 2009 et concerne des enfants entrés en Cours Préparatoire en 1999 et 2000. Autrement dit, ces évaluations ne portent pas sur le parcours des enfants au cours de la précédente décennie, mais de celle qui l’a précédée.

Cet amendement vise donc à lever une ambiguïté qui tendrait a faire croire que les résultats scolaires français se sont particulièrement dégradés ces dix dernières années, ce que les enquêtes concernées ne peuvent permettre d’affirmer. Si ce rapport annexé prétend réalisé un bilan objectif de notre système éducatif, il est préférable de ne pas stigmatiser des périodes politiques comme il est tenté de le faire.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 275 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 13, troisième phrase

Après le mot :

sociales

insérer les mots :

et territoriales 

Objet

En matière d’éducation, les inégalités constatées par les différentes enquêtes et rapports sont également territoriales car l’offre de formation est elle-même inégale selon la zone géographique.  



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 369

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. Pierre LAURENT, LE SCOUARNEC

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 16, après la première phrase

Insérer une phrase ainsi rédigée :

Pour répondre à cette ambition, une réflexion doit s’engager sur la mise en œuvre d’un allongement de la scolarité obligatoire de trois à dix-huit ans.

Objet

Cet amendement se justifie par son texte.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 341

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Le Gouvernement


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 19

Rédiger ainsi cet alinéa :

– réduire par deux la proportion des élèves qui sortent du système scolaire sans qualification et amener tous les élèves à maîtriser le socle commun de connaissances, de compétences et de culture à l’issue de la scolarité obligatoire ;

Objet

 

L’amendement vise à revenir à la rédaction de l’Assemblée nationale.

Il est bien évident qu’il serait souhaitable de faire disparaître toute sortie du système scolaire sans qualification mais, sous couvert de réparer un « manque d’ambition particulièrement dommageable », l’amendement proposé par l’UMP transforme ce qui était un objectif opérationnel fixé par le Président de la République en une déclaration d’intention dépourvue de toute crédibilité.

Par ailleurs la modification adoptée reprend l’ancien intitulé du socle commun, en y supprimant la notion de « culture ».

 

 






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N° 142

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Tombé

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. Pierre LAURENT, LE SCOUARNEC

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 19

Remplacer les mots :

de connaissances et de compétences

par les mots :

de connaissances, de compétences et de culture

Objet

Le projet de loi affirme vouloir réformer le socle commun de connaissance et de compétences mis en place pas la loi Fillon. A cette fin il introduit la notion de « culture » à l’article 7 du projet de loi.

L’annexe ne fait pourtant référence qu’au socle commun de connaissances et de compétences, tel que mis en place par Fillon, ce qui ne nous satisfait pas.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 313 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Demande de retrait
Retiré

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 22, première phrase

Après le mot :

académiques

insérer les mots :

, centres de loisirs éducatifs, structures socio-éducatives, sportives et culturelles 

Objet

Amendement rédactionnel. L'enseignement du premier, du second degré et du supérieur, enseignement général, technologique et professionnel, enseignement technique agricole, enseignement public et privé, universités et écoles supérieures du professorat et de l’éducation, administrations centrales et académiques citées par le projet de loi font partie du système scolaire, et non pas du système éducatif qui intègre plus largement l’ensemble des espaces éducatifs organisés relevant du service public de l’Éducation nationale comme des services publics locaux d’éducation mis en œuvre ou soutenus par les collectivités territoriales. Il convient donc de mentionner le centre de loisir éducatif (deuxième structure d'accueil de l'enfance en France) et les structures socio-éducatives, sportives et culturelles.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 461

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 22, dernière phrase

Supprimer cette phrase.

Objet

Amendement de coordination concernant l’expression de « refondation de l’école ».






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 462

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 23

Rédiger ainsi cet alinéa :

La présente loi a pour objet de faire de l’école un lieu de réussite, d’autonomie et d’épanouissement pour tous ; un lieu d’éveil à l’envie d’apprendre, à la curiosité intellectuelle, à l’ouverture d’esprit.

Objet

Cette rédaction vise à :

- Supprimer le terme de plaisir laissant à penser aux jeunes qu’apprendre doit toujours être un plaisir. Apprendre peut être contraignant et nécessiter des efforts ;

- Supprimer le développement qui suit, inutile et représentatif du verbiage systématique figurant dans le rapport annexé.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 255 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Demande de retrait
Retiré

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 23

Après les mots :

bonnes conditions ;

insérer le membre de phrase :

un lieu permettant le développement de nouvelles pratiques pédagogiques, à l’initiative de la liberté pédagogique des enseignants ;  

Objet

La liberté pédagogique reconnue à l’article L. 912-1-1 du code de l’éducation n’est mentionnée qu’une fois, lorsque le projet de loi fait référence au service public du numérique. Pourtant, elle permet de développer des pratiques pédagogiques innovantes d’une manière générale. Il convient donc de rappeler dans le rapport annexé que l’école doit être un lieu où ce type de pratiques peut être développé conformément à la liberté pédagogique des enseignants.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 463

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 24

Rédiger ainsi cet alinéa :

La réussite de la politique éducative nécessite de définir des orientations selon une stratégie d’ensemble :

Objet

Amendement de coordination.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 464

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 25

Supprimer cet alinéa.

Objet

Les créations de postes envisagées ont une visée purement électoraliste et ne tiennent aucunement compte du contexte budgétaire actuel.

Par ailleurs, le rapport annexé anticipe sur la création des ESPE qui n’a pas encore été votée.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 276 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 25

Après le mot :

qualitative

rédiger ainsi la fin de cet alinéa :

(par la mise en place d'une formation initiale professionnalisante pour les personnels avec les écoles supérieures du professorat et de l'éducation ainsi que d'une formation continue) ; 

Objet

La formation continue des enseignants et du personnel éducatif à laquelle contribueront les écoles supérieures du professorat et de l’éducation est un élément essentiel du projet de loi qu’il convient de souligner.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 277 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 28, première phrase

Après le mot :

prioritaire

insérer les mots :

, l'aide aux enfants en difficulté

Objet

Parmi les politiques de réussite éducative, l'aide aux enfants en difficulté doit être également réformée pour être plus efficace et éviter ainsi de transférer cette compétence à des entreprises privées spécialisées dans le soutien scolaire. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 465

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 30

Compléter cet alinéa par les mots :

des politiques éducatives, des enseignants et des élèves

Objet

Il est nécessaire de préciser sur quoi portera le développement de l’évaluation. Seule une évaluation des politiques éducatives, des enseignants et des élèves est susceptible de permettre l’amélioration de notre système éducatif. L’absence de ces mentions pourrait faire douter de l’intention réelle du gouvernement de mener une vraie politique d’évaluation.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 154 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes MORIN-DESAILLY, FÉRAT

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 31

Remplacer les mots :

permettre et améliorer

par les mots :

rendre effectif

Objet

L'accès à une scolarité ordinaire pour les élèves en situation de handicap doit être une priorité forte pour l'école. Elle doit avoir une fonction inclusive pour tous les enfants. Ainsi, cet amendement propose de se fixer des objectifs plus volontaristes en terme d'accessibilité.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 466

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 32

Rédiger ainsi cet alinéa :

– prévenir et traiter les problèmes de violence et d’insécurité afin de rendre à l’école sa sérénité ;

Objet

Le vocabulaire employé dans cet alinéa est inapproprié, ce qui est surprenant pour une grande loi censée réformer notre système éducatif : que signifie "redynamiser la vie scolaire" ?






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N° 278 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 33

Après le mot :

organisation

insérer les mots :

et le contenu 

Objet

Parmi les différentes orientations qui doivent concourir aux « objectifs pédagogiques assignés par la Nation à son école », outre la modification de l’organisation et de l’évaluation des enseignements, doit figurer celle de leur contenu.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 468

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéas 34 à 52

Supprimer ces alinéas.

Objet

Au regard de la situation des finances publiques, la création de 60 000 postes dans l'Education nationale semble irréaliste. L'Education nationale doit faire partie des secteurs prioritaires en matière de financement public. Cependant, elle ne peut être totalement épargnée de l'effort demandé à l'ensemble des ministères.

De plus, la plupart des experts, notamment ceux qui font des comparaisons internationales, estiment qu’il n’y a pas de corrélation entre augmentation des moyens et amélioration d’un système éducatif. Les moyens financiers de notre pays en matière d’éducation sont d'ailleurs considérables.

En outre, si un effort doit être fait, ce serait plutôt pour améliorer le statut des enseignants. La France a un niveau de salaire des enseignants nettement inférieur à la moyenne des pays de l’OCDE en début et milieu de carrière.

Le gouvernement précédent s'était engagé à améliorer cette situation. Entre 2007 et 2012, un milliard d’euros a été consacré à la revalorisation des salaires des enseignants. La moitié des économies réalisées grâce au non-remplacement d’un fonctionnaire sur deux partant à la retraite dans l’Education était reversée en salaire, jusqu’à l’équivalent d’un 13ème mois pour les jeunes enseignants.

Il faudrait aller plus loin, mais le Gouvernement n’aura plus aucune marge de manœuvre s’il choisit de recruter 60 000 postes.






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N° 467

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 34

Rédiger ainsi cet alinéa :

Affecter chaque année des moyens humains en rapport avec les objectifs poursuivis

Objet

Il n’est pas normal de prévoir des moyens humains en se limitant à la durée de la législature, dans une loi censée porter une vaste réforme. De plus, les créations de postes doivent correspondre aux besoins et être conformes à la situation budgétaire de l’Etat, ce qui doit être apprécié chaque année au moment de la loi de finances, sous contrôle parlementaire.






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N° 155

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes FÉRAT, MORIN-DESAILLY

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 40, première phrase

Supprimer le mot :

isolés

Objet

Le qualificatif d'"isolés" pour les territoires ruraux est particulièrement péjoratif et n'a pas de définition juridique. Par ailleurs, à l'article 5 de cette même loi, qui concerne également la scolarisation des enfants de moins de trois ans, les zones rurales concernées ne sont pas qualifiées d'isolées.

Cet amendement a donc pour objet de ne pas dévaloriser les zones rurales et de rendre cohérentes les différentes parties du projet de loi.






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N° 30

16 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Retiré

M. HAUT

au nom de la commission des finances


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 40, première phrase

Remplacer les mots :

départements et régions d’outre-mer

par les mots :

collectivités, départements et territoires ultra-marins

Objet

Amendement de précision, visant à inclure tous les territoires ultra-marins dans les zones prioritaires pour la création de 3 000 postes pour l’accueil des enfants de moins de trois ans.






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N° 487

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 41

Après le mot :

innovantes

insérer les mots :

et efficaces

Objet

La plus-value d’une organisation pédagogique ne dépend pas seulement de son caractère innovant mais aussi de son efficacité.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 279 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 41

Remplacer les mots :

ou de renforcer

par les mots :

et de renforcer 

Objet

Le renforcement des réseaux d'aides spécialisées aux RASED est une priorité. Il doit être obligatoire, et non pas facultatif. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 469

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 41

Après le mot :

(RASED)

insérer les mots :

, après une redéfinition de leur positionnement et de leur pilotage,

Objet

Le renforcement des RASED ne peut se faire sans avoir fait l’objet d’une véritable évaluation.

En effet, la dernière évaluation des RASED date de 1996/1997. Réalisée par l’inspection générale de l’éducation nationale, cette évaluation dressait un bilan mitigé et montrait que le positionnement et le pilotage des RASED étaient problématiques.

Aucune autre évaluation des RASED n’a été effectuée depuis. Par conséquent, il est difficile d’apprécier, à sa juste valeur, l’action menée par les RASED, et de décider leur renforcement.






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N° 31

16 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Sagesse du Sénat
G Sagesse du Sénat
Adopté

M. HAUT

au nom de la commission des finances


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 45

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ils serviront également à améliorer le remplacement dans les zones ayant le plus souffert des suppressions d’emplois entre 2007 et 2012.

 

Objet

Le rapport annexé au projet de loi prévoit la création de 3 000 postes dans le second degré pour assurer un meilleur équilibre territorial.

En effet, les suppressions de postes pendant cinq ans ont tout particulièrement pesé sur le remplacement. Pourtant, l’objectif d’amélioration du remplacement des professeurs absents figure dans le rapport annexé pour le premier degré, mais pas pour le second degré.

Le présent amendement vise donc à mentionner explicitement cette amélioration du remplacement des professeurs absents parmi les objectifs poursuivis par la création de 3 000 postes supplémentaires dans le second degré pour assurer un meilleur équilibre territorial.






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N° 143

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme GONTHIER-MAURIN, MM. Pierre LAURENT, LE SCOUARNEC

et les membres du groupe communiste républicain et citoyen


Article 1er

(ANNEXE)


Après l'alinéa 49

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

À cette fin, il est impératif de créer un statut pour les auxiliaires et les emplois de vie scolaire, appuyé sur une formation débouchant sur un véritable métier, afin de mettre fin à la situation de précarité dans laquelle se trouvent ces personnels et permettre une prise en charge pérenne du handicap à l’école.

Objet

La situation des AVS et des EVS est particulièrement problématique et doit impérativement être réglée. 






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N° 247 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BARBIER, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


Article 1er

(ANNEXE)


Après l’alinéa 49

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

Dans un délai de six mois après la publication de la présente loi, le Gouvernement remet un rapport au Parlement sur les évolutions nécessaires du statut et du recrutement des personnels qui accompagnent les élèves en situation de handicap, notamment les auxiliaires de vie scolaire, afin d’améliorer leur formation et leur statut professionnel. Ces évolutions entrent en vigueur au plus tard un an après la date de remise dudit rapport. Elles contribuent à pérenniser la qualité de cet accompagnement dans l’intérêt des élèves et des personnels concernés.

Objet

Les auxiliaires de la vie scolaire et les personnels qui accompagnent les élèves en situation de handicap sont recrutés sur des contrats précaires et à temps partiel. En l’absence de réelle formation et de perspectives d’évolution de leur carrière, la pérennisation de cet accompagnement n’est pas assurée.

Ainsi, cet amendement prévoit qu’un rapport du Gouvernement sera remis au Parlement sur les évolutions possibles de leur statut et de leur recrutement.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 470

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 53

Rédiger ainsi cet alinéa :

Orientations

Objet

Amendement de coordination






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N° 471

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 54

Rédiger ainsi cet alinéa :

I. – Orientations pédagogiques

Objet

Amendement de coordination






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N° 472

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 55

Remplacer le mot :

Refonder

par le mot :

Améliorer

Objet

Amendement de coordination.






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17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 56, troisième phrase

Compléter cette phrase par les mots :

et bien payés

Objet

S’il est essentiel que les professeurs soient bien formés, il est également indispensable que leurs mérites soient reconnus par une rémunération appropriée.

En augmentant le nombre de postes dans l’Education nationale, le gouvernement marque un point d’arrêt regrettable sur la question de l’évolution de la rémunération des enseignants.






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17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 56, quatrième et dernières phrases

Supprimer ces phrases.

Objet

Suppression pour répétition, car figure déjà dans le même alinéa. Le rapport annexé est inutilement bavard.






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17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 64

Supprimer cet alinéa.

Objet

Le terme de « culture commune » qui serait à développer est inapproprié.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 284 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

M. VALL, Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO et VENDASI


Article 1er

(ANNEXE)


I. - Alinéa 65

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

En vue de contribuer à la formation continue des professeurs, le développement des maisons régionales pour la science et la technologie sera favorisé.

II. - La perte de recettes résultant pour l'État du I ci-dessus est compensée, à due concurrence, par la création d'une taxe additionnelle aux droits prévus aux articles 575 et 575 A du code général des impôts. 

Objet

L’Académie des sciences, en partenariat avec l’Ecole normale supérieure de Lyon et l’Ecole normale supérieure de Paris ont créé la Fondation pour l’éducation à la science en 2011 qui a permis de créer les maisons régionales pour la science et la technologie au service des professeurs. Aujourd’hui, il en existe quatre en Alsace, Auvergne, Lorraine, Midi-Pyrénées avec un Centre national en Ile-de-France, grâce au soutien financier des Investissements d’avenir. Ce projet permet de faire évoluer les pratiques d’enseignement en sciences de la maternelle jusqu’à la classe de troisième, d’assurer leur formation continue et de favoriser les échanges. Les maisons régionales pour la science et la technologie  travaillent actuellement en collaboration avec les rectorats, les IUFM, les IREM et les organismes de recherche.

Cet amendement vise à favoriser leur développement et à pérenniser leur financement.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 476

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 65

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Les enseignements transversaux ne peuvent pas être assurés au détriment des enseignements disciplinaires.

Objet

Amendement de précision important pour éviter des excès.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 477

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 67

Compléter cet alinéa par les mots :

, après avis du président d’université

Objet

Il est essentiel que le directeur des ESPE puisse travailler de façon harmonieuse avec le président de l'université, raison pour laquelle sa nomination ne devrait intervenir qu'après avoir pris l'avis de ce dernier, intéressé au premier chef.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 422

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Le Gouvernement


Article 1er

(ANNEXE)


Après l’alinéa 67

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

Si la formation des enseignants constitue un levier majeur pour améliorer la réussite des élèves, la formation initiale et continue des personnels d’encadrement (personnels de direction, d’inspection et administratifs) est indispensable au bon pilotage du système éducatif. Le renforcement de cette formation doit s’appuyer sur la mise en cohérence des plans académiques de formation et des contenus de formation proposés par l’école supérieure de l’éducation nationale.

 

Objet

Si le projet de loi, comme il le doit, insiste sur la formation des enseignants, il convient de prévoir également un renforcement de la formation des cadres de l’éducation nationale. A défaut, l’impulsion donnée par la loi risque de s’épuiser sur le terrain, faute de relais efficaces.

 






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 478

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 68

Remplacer le mot :

refondation

par le mot :

loi

Objet

Amendement de coordination






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 479

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéas 69 à 74

Supprimer ces alinéas.

Objet

Moins de 10 ans après sa création dans la loi Fillon de 2005, le projet de loi vient supprimer le Haut Conseil de l’Education pour créer deux nouvelles instances : le Conseil supérieur des programmes et le Conseil National d’évaluation du système éducatif regroupant en grande partie les mêmes attributions et toutes les deux placées auprès du Ministre de l’Education nationale.

La nomination des membres du Conseil Supérieur des programmes assure une représentation bien moins équilibrée que celle du HCE puisque, outre les 2 députés, 2 sénateurs et 2 membres du Conseil économique, social et environnemental, les 10 personnalités qualifiées qui y sont nommées, le sont toutes par le Ministre de l’Education nationale.

Le HCE est déjà compétent pour formuler des propositions à propos des programmes. Il aurait été plus judicieux et moins couteux pour les finances publiques, d’élargir ses attributions, d’améliorer la publicité de ses avis, et d’en permettre la saisine par le Président de l’Assemblée nationale ou du Sénat, plutôt que de créer deux nouvelles agences…






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 480

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéas 71 et 72

Supprimer ces alinéas.

Objet

Amendement de repli.

Les missions attribuées par ces alinéas au Conseil supérieur des programmes relèvent du Parlement.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 156

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes MORIN-DESAILLY, FÉRAT

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 71, seconde phrase

Supprimer les mots :

sur le contenu du socle commun de connaissances, de compétences et de culture, ainsi que

Objet

Le socle commun de connaissances, de compétences et de culture doit être défini par le législateur. Le conseil supérieur des programmes doit, quant à lui, au regard de ce socle commun, définir les programmes qui permettront d'aboutir à l'acquisition de ce socle commun.

Cet amendement a donc pour objet de clarifier les compétences de chacun, notamment du conseil supérieur des programmes.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 157

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes MORIN-DESAILLY, FÉRAT

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 72

Remplacer les mots :

non seulement par grand domaine disciplinaire mais aussi par cycle

par les mots :

par connaissance, par compétence et par cycle

Objet

Les logiques disciplinaires dans l'élaboration des programmes ne doivent pas prévaloir, car elles éloignent des compétences transversales à acquérir et définies par le socle commun. Le conseil supérieur des programmes doit donc en priorité articuler ses réflexions par connaissance, par compétence et par cycle.

Cet amendement a donc pour objet de supprimer la réflexion purement disciplinaire pour le conseil supérieur des programmes.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 481

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 76, dernière phrase

Supprimer cette phrase.

Objet

La conception et les composantes du socle commun relèvent du parlement. Il est en effet nécessaire que le socle commun donne lieu à débat et soit inscrit dans la loi.






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N° 482

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 81

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Cette mise en place fera l’objet d’un débat au Parlement.

Objet

La conception et les composantes du socle commun relèvent du parlement. Il est en effet nécessaire que le socle commun donne lieu à débat et soit inscrit dans la loi.






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N° 483

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 87

Rédiger ainsi cet alinéa :

L’éducation artistique et culturelle est un puissant levier d’émancipation et d’intégration sociale. Les initiatives ont été multiples ces dix dernières années. Elles doivent être encore amplifiées en termes d’atteinte des publics d’élèves défavorisés.

Objet

La rédaction initiale formule une critique infondée de l’éducation artistique et culturelle menée par le gouvernement précédent. L’ancienne majorité a au contraire démocratisé l’accès à l’art et la culture : enseignement d'histoire des arts intégré aux programmes scolaires, pratique artistique renforcée lors de l'accompagnement éducatif des élèves après 16 heures, fréquentation des lieux culturels, formation des enseignants avec accès gratuit aux musées...






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 158

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes MORIN-DESAILLY, FÉRAT

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 87, dernière phrase

Supprimer cette phrase.

Objet

Le rapport annexé au projet de loi a pour objet de définir la programmation des moyens et les orientations de la refondation de l'école de la République, tel que cela est rappelé à l'article 1er. Son contenu n'est donc pas de dresser un bilan subjectif des politiques éducatives précédentes. Il convient donc de supprimer les éléments d'appréciation non fondés qui n'ont que pour objet d'être des marqueurs politiques et non de refonder véritablement notre école.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 159

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes MORIN-DESAILLY, FÉRAT

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 88

Supprimer le mot :

personnalisé

Objet

La mise en place d'un parcours d'éducation artistique et culturel tout au long de la scolarité est à encourager. Néanmoins, il paraît irréalisable que ce parcours soit personnalisé. La notion d'enseignement artistique et culturel parait forcément collective et liée à la classe à laquelle appartient l'élève.

C'est pourquoi cet amendement propose de supprimer ce terme.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 404

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes MORIN-DESAILLY, FÉRAT

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 89

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Il doit encourager et faciliter, pour les élèves qui le souhaitent, la poursuite d'une formation plus spécifique au sein d'un établissement d'enseignement spécialisé.

Objet

L'éducation artistique et culturelle a pour objet de sensibiliser le plus largement possible l'enfant aux arts et à la culture dans tous les domaines. Il peut s'avérer que cette sensibilisation conduise certains d'entre eux à vouloir approfondir celle-ci à travers l'apprentissage de l'une ou l'autre des disciplines artisitiques (musique, chant, théâtre, danse,...). L'école doit donc être une passerelle vers des établissements spécialisés dans l'ensignement artisitique que les enfants n'auraient pas d'emblée osé ou pu fréquenter.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 405

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes MORIN-DESAILLY, FÉRAT

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 90

Supprimer le mot :

mieux

Objet

Cet amendement a pour objet d'être beaucoup plus volontariste dans la structuration du partenariat entre les collectivités territoriales, les associations et les institutions culturelles. La mise en oeuvre du parcours d'éducation artistique et culturelle doit vraiment associer tous les acteurs pour être un outil utile aux élèves.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 406

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes MORIN-DESAILLY, FÉRAT

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 90

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Le parcours d'éducation artistique et culturel est mis en oeuvre en cohérence avec la mise en place progressive de la réforme des rythmes scolaires.

Objet

La réforme des rythmes scolaires qui touche aussi bien les rythmes journalier, hebdomadaire et mensuel doit permettre un meilleur accès, dans le temps scolaire, à l'éducation artistique et culturelle. Néanmoins, cette réforme majeure n'est quasiment pas mentionnée dans le projet de loi. Par ailleurs, elle n'est pas du tout mise en regard du parcours d'éducation artistique et culturel, alors même que les deux aspects sont complémentaires.

Cet amendement a donc pour objet de prévoir que ce parcours soit mis en oeuvre en cohérence avec la mise en place progressive de la réforme des rythmes scolaires.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 312 rect. bis

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


Article 1er

(ANNEXE)


I. Alinéa 95

Remplacer les mots :

éducatives et périéducatives

par les mots :

éducatives durant le temps scolaire et les temps périscolaires et extrascolaires

II. Alinéa 273

Remplacer les mots :

activités péri-éducatives

par les mots :

activités durant les temps périscolaires et extrascolaires

III. Alinéa 275

Remplacer les mots :

périéducatives

par les mots :

durant les temps périscolaires et extrascolaires

Objet

Amendement rédactionnel. Le terme d'activité périéducative renvoie aux activités qui se situent à la périphérie de l'éducation. Or toutes les activités qui se déroulent sur le temps périscolaire et le temps extrascolaire contribuent à l'éducation et ne constituent pas de simples accessoires. Elles participent aux apprentissages et à la réussite éducative des élèves.

Conformément aux termes communément utilisés par les acteurs éducatifs, il est proposé de se référer au terme d'activité durant les temps péri et extrascolaires.

 

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 537

24 mai 2013


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 312 rect. bis de Mme LABORDE

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Le Gouvernement


Article 1er

(ANNEXE)


Amendement n° 312 rectifié bis, alinéa 15

Rédiger ainsi cet alinéa :

à caractère culturel, sportif, social ou socio-éducatif

Objet

L’amendement n°312 présenté par Madame LABORDE est un amendement rédactionnel visant à remplacer dans le rapport annexé à la loi le terme « périéducatives » par les termes « périscolaires ou extrascolaires ».

Si le I et le II de cet amendement peuvent être acceptés, le III doit être modifié pour ce qui concerne l’alinéa 275. Celui-ci précise les conditions d’utilisation des locaux et équipements scolaires  « hors temps de formation ». Sa rédaction renvoie donc à l’article L212-15  qui règlemente cette utilisation. Pour rester en  conformité avec cet article, les activités concernées doivent être qualifiées, non pas d’ »activités péri-éducatives » comme actuellement (ni comme le propose le parlementaire), mais d’« activités à caractère culturel, sportif, social ou socio-éducatif ».

Tel est l’objet de ce sous-amendement.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 187 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme BLONDIN, MM. NAVARRO et LABAZÉE, Mme ESPAGNAC, MM. MARC et FICHET, Mme HERVIAUX, MM. KERDRAON, BOTREL et HERVÉ, Mme KLÈS, MM. LE MENN, RIES, BÉRIT-DÉBAT, COURTEAU, PATIENT et ANDREONI, Mme BOURZAI, M. GUILLAUME, Mme SCHILLINGER, MM. MIRASSOU, DELEBARRE, MIQUEL, CHASTAN, SUTOUR, RAINAUD et ANTISTE, Mme MEUNIER, MM. VAUGRENARD, DESPLAN et FAUCONNIER et Mme PRINTZ


Article 1er

(ANNEXE)


Après l’alinéa 96

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

Pour favoriser l’accès aux écoles dispensant un enseignement de langue régionale, les élèves résidant dans une commune dont les écoles ne proposent pas un tel enseignement auront la possibilité d’être inscrits dans une école d’une autre commune dispensant cet enseignement, sous réserve de l’existence de places disponibles.

Objet

Toutes les communes ne disposent pas d’une école dispensant un enseignement de langue régionale. Les élèves résidant dans une commune dont les écoles ne proposent pas un tel enseignement doivent avoir la possibilité d’être inscrits dans une école d’une autre commune dispensant cet enseignement, sous réserve de l’existence de places disponibles.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 455

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS et MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR et REICHARDT


Article 1er

(ANNEXE)


Après l'alinéa 96

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

De plus, dans chaque académie, une commission académique des langues étrangères ou régionales chargée d'établir une carte des langues étrangères ou régionales enseignées dans l'académie sera instaurée, en fonction de ses traditions culturelles, de ses échanges économiques et de sa proximité avec d'autres aires linguistiques. Cette commission pourrait se réunir au moins deux fois par an sous la présidence du recteur et comporter des représentants de la région, des départements, des associations départementales de maires et des organisations économiques.

Objet

La présente loi entend développer l’apprentissage précoce des langues étrangères. Elle se propose aussi de permettre l’apprentissage d’une langue régionale quand elle appartient à la culture et à l’histoire de la région. Le fonctionnement de cette commission académique permettrait de débattre des choix de manière pertinente.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 484

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 98

Rédiger ainsi cet alinéa :

Une éducation à l'environnement est fournie aux élèves sur l'ensemble de leur cursus scolaire. Elle vise à les sensibiliser aux comportements écoresponsables.

Objet

Le développement concernant l'éducation à l'environnement donne une liste de ce que représente la protection de l'environnement, ce qui est inutile et contribue une nouvelle fois à faire de ce rapport un inventaire à la Prévert.






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N° 285 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

M. VALL, Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO et VENDASI


Article 1er

(ANNEXE)


Après l'alinéa 98

Insérer six alinéas ainsi rédigés :

. La promotion de la culture scientifique et technologique

La culture scientifique et technologique prépare le futur citoyen à comprendre le monde qui l'entoure et à appréhender les défis sociétaux et environnementaux.

Sa diffusion doit également permettre à la France de conforter son avance scientifique, son tissu industriel, son potentiel économique, sa capacité d'innovation et sa compétitivité en formant les techniciens, chercheurs, ingénieurs, entrepreneurs de demain.

Il importe donc de développer à l'école une politique de promotion de la science et de la technologie.

Tout au long de la scolarité, seront développées les relations entre le milieu scolaire et les acteurs du monde scientifique et technologique (laboratoires de recherche, ingénieurs,  entreprises,  musées, monde associatif ...).

L'un des objectifs est que de plus en plus d'élèves, et notamment de filles, au cours et à l'issue de leur parcours, souhaitent s'engager dans les carrières scientifiques et techniques. Par l'évolution des pratiques pédagogiques, une attention particulière sera portée au renforcement de l'attractivité des enseignements scientifiques et technologiques pour susciter un plaisir d'apprendre et de pratiquer ces disciplines.

Objet

Le développement de la culture scientifique et technologique est une condition indispensable comme l’a souligné le Rapport Gallois afin de participer au redressement économique du pays. Le goût pour les matières scientifiques doit être favorisé auprès des élèves qui éprouvent parfois un rejet pour celles-ci.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 485

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 101, quatrième et dernière phrases

Remplacer ces phrases par une phrase ainsi rédigée :

Elle sera assurée par la création d’un cycle associant la dernière année de maternelle et le cours préparatoire, et le CM2 et la classe de sixième.

Objet

La mise en place de nouveaux cycles risque de s’effectuer à partir de deux objectifs paradoxaux :

- assurer une meilleure continuité pédagogique entre l’école et le collège avec la création d’un cycle « à cheval » ;

- rétablir une coupure pédagogique entre l’école maternelle et l’école élémentaire, en supprimant le cycle « à cheval » existant.

"L'unité de la maternelle" vient contredire l'idée d'une progressivité des apprentissages. On ne peut laisser ce paradoxe dans une loi d’orientation.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 486

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 103

Supprimer le mot :

coûteuse,

Objet

Cet amendement porte sur la question de la pratique des redoublements.

La question n'est pas de savoir si cette pratique est coûteuse mais si elle est efficace.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 280 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Retiré

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 104

Remplacer les mots :

doit être exceptionnel

par les mots :

ne doit être envisagé que si l'élève peut en tirer bénéfice

Objet

La France a un taux de redoublement parmi les plus importants des pays de l’OCDE. L’amélioration de la réussite des élèves ne peut passer par une vision purement comptable de l’utilisation du redoublement pour pallier aux difficultés scolaires. C’est pourquoi, le redoublement doit être apprécié au cas par cas, en fonction des lacunes et de la personnalité de l’élève.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 488

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 108

Supprimer cet alinéa.

Objet

Le cycle unique pour l'école maternelle n'aura pas pour effet de donner une nouvelle dimension à l'enseignement pré-élémentaire. Bien au contraire, ce cycle unique contribuera à refermer l'école maternelle sur elle-même.






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N° 489

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 112

Supprimer cet alinéa.

Objet

Alinéa purement déclaratif ne reposant sur aucune étude.






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N° 407

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes FÉRAT, MORIN-DESAILLY

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 114

Supprimer le mot :

isolés

Objet

Le qualificatif d'"isolés" pour les territoires ruraux est particulièrement péjoratif et n'a pas de définition juridique. Par ailleurs, à l'article 5 de cette même loi, qui concerne également la scolarisation des enfants de moins de trois ans, les zones rurales concernées ne sont pas qualifiées d'isolées.

Cet amendement a donc pour objet de ne pas dévaloriser les zones rurales et de rendre cohérentes les différentes parties du projet de loi.






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N° 490 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme MÉLOT, MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX, MARTIN et NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 116

Après le mot :

compétentes

insérer les mots :

, dans la limite de leurs moyens

Objet

Le partenariat avec les collectivités évoqué par cet alinéa pour l'accueil des enfants de moins de trois ans ne doit pas être un prétexte à augmenter inconsidérément leurs charges.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 491

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéas 118 et 119

Supprimer ces alinéas.

Objet

Sans être hostiles au principe d'affecter un maître supplémentaire pour aider les élèves en difficulté, les rédacteurs de cet amendement jugent les modalités prévues par l'alinéa trop floues. De plus, il ne s'agit pas d'une décision à définir obligatoirement "en équipe" : on ne sait pas qui pilotera et prendra finalement la décision.






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N° 348 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. MÉZARD, Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 118

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Des mesures de gel du nombre d’enseignants seront prises, pour une durée de trois ans, dans les départements en déprise démographique.

Objet

De nombreux départements ruraux ont subi ces dernières années, en application d’une stricte logique comptable, des mesures de suppression de postes, de classes et d’école qui ont durement affecté la qualité du service public de l’éducation. Ces mesures n’ont pas cessé, malgré le changement de Gouvernement et la volonté annoncée de rompre avec cette logique : un certain nombre de départements verront ainsi le nombre de postes une nouvelle fois diminuer pour la rentrée 2013, comme c’est le cas par exemple dans le Cantal.

Ces suppressions sont d’autant plus inacceptables qu’elles touchent des départements déjà fragilisés par la déprise démographique. L'application de la seule logique comptable en matière de fixation du nombre de postes d'enseignants ne saurait ainsi servir de règle unique, sauf à accentuer les difficultés de ces territoires, et à renforcer une spirale du déclin qui devrait être maîtrisée plutôt qu'aggravée. De ce fait, la réalité des territoires ruraux et l'éloignement géographique des enfants dans les zones de montagne justifient un gel des suppressions de postes, pour permettre aux communes de conserver des éléments de lien social. En conséquence, il apparaît indispensable d’appliquer un gel temporaire pendant trois ans des effectifs d'enseignants dans les départements en déprise démographique, afin d’arrêter la spirale du déclin démographique et favoriser une véritable concertation entre le ministère de l'éducation nationale et les collectivités.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 408

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes MORIN-DESAILLY, FÉRAT

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéas 125 à 133

Remplacer ces alinéas par cinq alinéas ainsi rédigés :

Avant toute décision, la réforme des rythmes scolaires devra :

- faire l’objet d’une concertation préalable ;

- prendre en compte l'ensemble des problématiques liées aux temps scolaires, c'est-à-dire les rythmes quotidien, hebdomadaire et annuel, mais aussi liées à l'âge et au cycle de l'enseignement ;

- prévoir des délais indispensables à la réorganisation des activités et des services concernés ;

- mesurer les implications financières de la réforme envisagée, notamment pour les collectivités territoriales.

Objet

La réforme des rythmes scolaires suscite aujourd’hui beaucoup de réticences et d’hostilité, auprès des enseignants, des parents d’élèves et des collectivités territoriales. Il convient aujourd’hui de redéfinir une nouvelle méthode pour espérer réussir cette réforme nécessaire. Cela passe par une réflexion globale sur les temps scolaires de l'enfant au niveau de la journée, de la semaine et de l'année. Aborder chaque temps de façon indépendante conduira à l'échec. De même, de la concertation et des études précises sur les implications financières, notamment pour les collectivités sont indispensables.






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N° 493

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéas 126 à 133

Remplacer ces alinéas par quatre alinéas ainsi rédigés :

Avant toute décision, la réforme des rythmes scolaires devra :

– faire l’objet d’une concertation préalable ;

– prévoir des délais indispensables à la réorganisation des activités et des services concernés ;

– mesurer les implications financières de la réforme envisagée, notamment pour les collectivités territoriales.

Objet

La réforme des rythmes scolaires suscite aujourd’hui beaucoup de réticences et d’hostilité, auprès des enseignants, des parents d’élèves et des collectivités locales.

Il convient aujourd’hui de redéfinir une nouvelle méthode pour espérer réussir cette réforme.






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N° 492

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 128, première phrase

Rédiger ainsi cette phrase :

La réforme des rythmes pourra être engagée à la rentrée scolaire 2014 dans le premier degré, sur le territoire des collectivités ayant donné leur accord.

Objet

La réforme des rythmes scolaires a été imposée sans concertation, mettant en difficulté les communes. Le financement prévu pour 2013 a pour but de les inciter à engager la réforme dès la rentrée prochaine, ce qui est irréaliste.

Le présent amendement a donc pour objectif de reporter l'application de la réforme à 2014.








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N° 349

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes MORIN-DESAILLY, FÉRAT

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 128

I. - Première phrase

Supprimer les mots :

et achevée à la rentrée 2014

II. - Après la première phrase

Insérer une phrase ainsi rédigée :

Elle devra faire l'objet d'un bilan, afin d'en mesurer l'opportunité de la poursuivre et ses éventuelles adaptations, avant, le cas échéant, un élargissement à tous les territoires.

Objet

La réforme des rythmes scolaires qui vient d'être engagée n'a pas fait l'objet d'une concertation suffisante avec les collectivités locales, les enseignants et les parents d'élèves. En conséquence, son acceptation est difficile et sa mise en oeuvre peine à être satisfaisante. En conséquence, un large bilan devra être réalisé après 2013 auprès des établissements qui l'auront expérimenté lors de la prochaine rentrée. Ce bilan doit permettre de mesurer son opportunité, mais aussi en tirer les conséquences pour décider de sa généralisation à l'ensemble du territoire. Tel est l'objet de cet amendement.






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N° 494

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 130

Supprimer cet alinéa.

Objet

Les devoirs scolaires impliquent les familles : selon une étude de l’INSEE, 95 % des mères aident leurs enfants à faire leurs devoirs jusqu’à l’entrée en sixième.

Enseignante-chercheuse en sciences de l’éducation et auteur d’une enquête sur la mobilisation des familles populaires dans les devoirs à la maison, Séverine Kakpo ajoute que « cette proportion ne varie pas suivant le milieu social. A ce stade, ce sont même les mères les moins diplômées qui consacrent le plus de temps aux devoirs. En primaire, ce temps varie, suivant la classe, de douze heures à presque 16 heures par mois ».

L’interdiction formelle sans autre forme de procès des devoirs écrits à la maison pour les élèves du premier degré aurait deux inconvénients :

1) Un nouveau lien avec l’école et les parents serait rompu ;

2) Le temps passé par les parents dans l’aide aux devoirs ne serait pas compensé par une aide aux devoirs équivalente au sein de l’école.






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17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes MORIN-DESAILLY, FÉRAT

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 131

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet alinéa prétend que la réforme des rythmes scolaires permettra à l'école d'assurer l'aide au travail personnel dans le temps scolaire, entrainant une interdiction effective de tous devoirs écrits à la maison pour le premier degré.

Cet amendement propose de supprimer l'alinéa interdisant ces devoirs. Les auteurs de l'amendement estiment qu'une interdiction absolue du travail écrit à la maison ne rend pas service aux élèves, surtout ceux en difficulté, et ne permet pas aux enseignants d'utiliser une souplesse nécessaire dans la conduite de leur cours.






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N° 527 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 131

Remplacer les mots :

temps éducatifs et les temps périéducatifs

par les mots :

temps scolaires et les temps périscolaires et extrascolaires

Objet

Amendement rédactionnel. Le terme d'activité périéducative renvoie aux activités qui se situent à la périphérie de l'éducation. Or toutes les activités qui se déroulent sur le temps périscolaire et le temps extrascolaire contribuent à l'éducation et ne constituent pas de simples accessoires. Elles participent aux apprentissages et à la réussite éducative des élèves.

Conformément aux termes communément utilisés par les acteurs éducatifs, il est proposé de se référer au terme d'activité durant les temps péri et extrascolaires.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 495

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 132

Remplacer le mot :

évoluer

par les mots :

être élargie

Objet

Il s'agit par cet amendement de modifier la rédaction proposée par cet article, qui vise à faire "évoluer" au cours des prochaines années le rythme scolaire sur l'année.

Il faut fixer un réel objectif, car cette réforme du rythme scolaire sur l'année est recommandée par l'ensemble des études réalisées sur le sujet, dans l'intérêt des enfants.






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N° 496

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéas 137 et 138

Supprimer ces alinéas.

Objet

Ces alinéas s'appuyant sur des "comparaisons internationales et européennes" dont la source n'est pas précisée, se livrent à une critique infondée des dispositifs d'accompagnement des jeunes en difficulté. Il s'agit d'une rédaction idéologique prônant l'application rigide de la notion de "collège unique", au détriment de l'intérêt de ces élèves.

Cet amendement vise donc à supprimer ces alinéas.






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N° 347

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Favorable
Adopté

Mmes MORIN-DESAILLY, FÉRAT

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 137, dernière phrase

Compléter cette phrase par les mots :

, de manière à ce que le principe du collège unique ne soit pas synonyme d'uniformisation de l'enseignement et des parcours de réussite

Objet

L'autonomie des établissements et la liberté des enseignants dans la conduite de leur cours sont des principes primordiaux et à respecter. Il faut sans cesse les rappeler pour éviter une uniformisation qui entraverait leur travail ainsi que le développement des élèves. Cet amendement a donc pour objet de rappeler que le collège unique ne doit pas impliquer l'uniformisation.

Chaque élève a son parcours de résussite.






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N° 161

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes FÉRAT, MORIN-DESAILLY

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 138

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet alinéa remet en cause les dispositifs de la loi du 28 juillet 2011 pour le développement de l’alternance et la sécurisation des parcours professionnels, qui introduisent le dispositif d’initiation aux métiers de l’alternance (DIMA) pour les jeunes de 15 ans, sous statut scolaire.

Ce dispositif répondait à un besoin spécifique de jeunes de moins de 16 ans, ayant terminé leur collège et ayant déjà une idée claire de leur projet professionnel.

Il convient de maintenir ce dispositif qui est ancrée dans la réalité des besoins des élèves. L’apprentissage est une voie d’excellence qui permet à 8 jeunes sur 10 de trouver un emploi à la suite de leur formation.






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N° 501

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 138

Supprimer cet alinéa.

Objet

La suppression de cet alinéa s'impose pour ne pas abroger la loi dite « CHERPION » qui a introduit un dispositif d’initiation aux métiers en alternance pour les jeunes de 15 ans. Ce dispositif doit être mis en œuvre car il répond à une véritable demande de diversification des parcours à partir de la 4ème. Ce dispositif n’est pas du tout en opposition avec la maitrise du socle commun de connaissance et de compétence dont l’acquisition peut continuer jusqu’à la fin de la scolarité obligatoire de même que l’apprentissage d’une langue vivante peut continuer durant le DIMA. Ce dispositif qui permet à des élèves sous statut scolaire d’entrer dans la voie professionnelle est souhaité par de nombreuses familles. L’apprentissage de la « main » est aussi une filière d’excellence.






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N° 497

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


I. – Alinéa 139, première phrase

Remplacer les mots :

équipes pédagogiques

par le mot :

enseignants

II. – Compléter cette phrase par les mots :

dans le respect des apprentissages disciplinaires

Objet

Amendement de précision.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 498

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 140

Rédiger ainsi cet alinéa :

Il convient de favoriser le lien entre les familles et le collège par des rencontres organisées régulièrement au sein de l'établissement.

Objet

Amendement rédactionnel, afin de supprimer les "activités autour de la parentalité", mentionnées par l'alinéa initial.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 499

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 142, seconde phrase

Supprimer les mots :

et trouvera sa place dans le tronc commun de formation de la sixième à la troisième

Objet

Amendement de cohérence concernant la notion de collège unique.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 500

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 144

Supprimer cet alinéa.

Objet

La marge de manoeuvre pour les équipes pédagogiques, prévue par cet alinéa, risque de nuire à l'acquisition du socle commun et des apprentissages disciplinaires.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 502

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 148

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Tout élève ayant obtenu le baccalauréat professionnel et entrant directement dans la vie professionnelle se voit garantir par l'Etat une possible reprise d'études dans une filière de l'enseignement supérieur.

Objet

Il s'agit d'assurer à tout jeune entrant dans la vie active à la sortie du bac la possibilité de reprendre par la suite des études supérieures.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 503

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 153

Compléter cet alinéa par deux phrases ainsi rédigées :

L'obtention du baccalauréat ouvre l'accès à l'enseignement supérieur. Les universités et établissements d'enseignement supérieur font connaître leurs spécificités afin d'éviter aux bacheliers des erreurs d'orientation.

Objet

Se justifie par son texte même.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 504

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 159, seconde phrase

Remplacer cette phrase par deux phrases ainsi rédigées :

L’orientation et l’articulation avec l’enseignement supérieur sera organisée. Les baccalauréats généraux et technologiques seront rééquilibrés.

Objet

Cette nouvelle rédaction de l'alinéa est plus claire et efficace






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 301 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 166, seconde phrase

Après le mot :

des enfants

insérer les mots :

présentant un handicap ou un trouble de la santé invalidant, ou de ceux

Objet

L’instauration du service public du numérique éducatif permet de dépasser les contraintes traditionnelles de l’enseignement à distance, en déployant la puissance des technologies numériques au service de l’instruction des enfants qui ont des besoins particuliers, comme les élèves en situation de handicap (notamment les élèves dyspraxiques) ou des enfants qui ne peuvent être scolarisés (enfants du voyage, enfants hospitalisés, etc.)…

La production de ressources pédagogiques numériques spécifiques à ces publics doit être une priorité absolue de ce nouveau service public du numérique éducatif, de même que la production de ressources destinées à compléter les offres d’enseignements des établissements dans les disciplines rares ou à caractère locale (langues rares ou langues régionales). En développant une offre de qualité vis-à-vis de ces publics et besoins spécifiques, l’éducation numérique est ainsi au service de tous les élèves.

Assurer l’équité entre tous les élèves et tous les territoires relève de la mission de service public du numérique éducatif : de par leur forte implantation territoriale et leur connaissance de l’enseignement à distance, les opérateurs publics sont à même de satisfaire sans délai ces besoins prioritaires, afin de garantir à tous un accès équitable à la connaissance ; c’est la mission qui leur incombe.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 350

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

Mmes MORIN-DESAILLY, FÉRAT

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


Article 1er

(ANNEXE)


Après l'alinéa 166

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

Les ressources numériques à l'école doivent également permettre d'améliorer la situation des élèves en situation de handicap par l'utilisation de matériels adaptés.

Objet

Le meilleur accès à une scolarité ordinaire pour les élèves en situation de handicap est une priorité pour la refondation de l'école. Pour cela, l'éducation nationale doit se donner des moyens et des outils nouveaux et plus adaptés. Les ressources numériques peuvent représenter une formidable avancée pour les enfants en situation de handicap. L'école ne peut pas se priver de cette solution.

Cet amendement prévoit donc que le numérique permette d'améliorer cette situation.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 256 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


Article 1er

(ANNEXE)


Après l'alinéa 167

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

Les usages relevant du champ de l’exception pédagogique doivent être circonscrits au seul contexte d’enseignement, c’est-à-dire, à la relation exclusive entre les professeurs et les élèves directement concernés par l’enseignement que celui-ci leur délivre. 

Objet

L’article L. 122-5 du code de la propriété intellectuelle encadre le champ de l’exception pédagogique à « la reproduction et la représentation d’extraits d’œuvres à des fins exclusives d’illustration dans le cadre de l’enseignement et de la recherche, à destination d’un public majoritairement composé d’élèves, d’étudiants, d’enseignants ou de chercheurs directement concernés ». Toutefois, il convient préciser les usages visés par l’exception dans l’annexe du projet de loi visant à programmer les orientations de la refondation de l’école afin de préserver la pérennité de la création des œuvres et le développement d’une économie numérique de la connaissance.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 390

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Le Gouvernement


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 169

Rédiger ainsi cet alinéa :

Des ressources et des services numériques seront mis à disposition des écoles et des établissements scolaires pour prolonger les enseignements qui y sont dispensés et leur permettre de mieux communiquer avec les familles.

Objet

La formulation proposée initialement n’entraîne pas d’obligation supplémentaire pour les collectivités territoriales mais elle n’interdit pas non plus aux collectivités qui le souhaitent de contribuer, en lien avec l’État, à la mise à disposition de ressources et de services numériques en faveur des école et des établissements scolaires, en particulier pour abonder l’offre de ressources ou pour mieux communiquer avec les familles.

Par ailleurs, les dépenses de fonctionnement à caractère directement pédagogiques dont celles afférentes aux ressources et services numériques sont précisées dans l’article 12 du projet de loi.

 Enfin, les collectivités territoriales contribuent, par l’équipement, à la mise à disposition des ressources numériques.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 505

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 170

Après les mots :

services pédagogiques de haute qualité

insérer les mots :

, dans le respect des règles de la concurrence,

 

Objet

Il convient de compléter l'annexe de programmation par un rappel aux règles de concurrence afin d'éviter les risques de situation de concurrence déloyale entre l'édition publique et l'édition privée.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 437

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Le Gouvernement


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 171

Remplacer les mots :

de contenus et services numériques dits « libres »

par les mots :

de logiciels libres et de contenus aux formats ouverts

Objet

Amendement rédactionnel.

La nouvelle rédaction précise les attentes et met cet alinéa en cohérence avec l’acceptation de l’ajout de l’alinéa 7 dans l’article 10 du projet de loi (« ce service public utilise en priorité des logiciels libres et des formats ouverts »).






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 302 rect. bis

22 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 172

Compléter cet alinéa par les mots :

des bonnes pratiques pédagogiques

Objet

Il convient de préciser que le réseau social professionnel ouvert aux enseignants dans le cadre du service public du numérique éducatif a pour principal objectif l’échange et la mutualisation de bonnes pratiques pédagogiques et non de ressources pédagogiques autres que celles créées intégralement par les enseignants.

Cet amendement a également pour but de protéger les plateformes mises en place par les opérateurs du service public du numérique éducatif des mises en ligne illicites (involontaires ou intentionnelles) de contenus protégés issus de ressources développées par d’autres acteurs de la filière numérique éducative.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 303 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 173

Rédiger ainsi cet alinéa :

Les ressources numériques éducatives des grands établissements éducatifs, culturels et scientifiques seront gratuitement mises à disposition des enseignants à des fins pédagogiques et à disposition des acteurs de la filière d’édition numérique pédagogique française à des fins de création de ressources pédagogiques.

Objet

La contrepartie de la gratuité des ressources numériques éducatives des grands établissements éducatifs, culturels et scientifiques pour les enseignants est un enchérissement de l’accès à ces ressources pour les acteurs de la filière industrielle française du numérique éducatif, du fait de l’obligation de maintenir des ressources propres pour ces grands établissements.

Cette différence de traitement entre les acteurs de la sphère éducative que sont les enseignants, les opérateurs publics et les acteurs privés conduit à une double absurdité : elle ne facilite que la production de ressources gratuites - que celle-ci soit le fait d’opérateurs publics ou d’acteurs industriels transatlantiques à la politique commerciale agressive, anglo-saxons pour la plupart - et entrave la production visant à développer une économie de ressources numériques éducatives de qualité dans le cadre d’une filière industrielle à la française.

Par ailleurs, les coûts d’acquisition de ces ressources éducatives, culturelles et scientifiques par les acteurs privés sont évidemment répercutés dans le prix de vente des ressources pédagogiques qui les intègrent, ce qui conduit l’État - ou les collectivités - à payer deux fois ces ressources : une première fois lors de leur création dans le cadre des grands établissements éducatifs, culturels et scientifiques, puis une seconde fois lors de l’acquisition des ressources pédagogiques qui ont acquitté les droits afférents à ces ressources.

Cet amendement a donc pour but de favoriser l’émergence d’une filière industrielle du numérique éducatif à la française, grâce à une production de ressources de qualité, disponibles à un coût raisonnable et attractif pour l’ensemble des décideurs.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 506

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 173

Après les mots :

seront mises à disposition gratuitement des enseignants

insérer les mots :

et des éditeurs de ressources pédagogiques numériques, dans les mêmes conditions,

Objet

Les contenus des acteurs publics culturels institutionnels étant mis gratuitement à la disposition des enseignants, il sera difficile d'assurer une concurrence public/privé saine. Le présent amendement vise à ce que les éditeurs puissent bénéficier également de ces ressources numériques gratuitement.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 304 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 173

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Elles seront proposées aux acteurs de la filière d’édition numérique pédagogique française à des tarifs incitatifs.

Objet

La contrepartie de la gratuité des ressources numériques éducatives des grands établissements éducatifs, culturels et scientifiques pour les enseignants est un enchérissement de l’accès à ces ressources pour les acteurs de la filière industrielle française du numérique éducatif, du fait de l’obligation de maintenir des ressources propres pour ces grands établissements.

Cette différence de traitement entre les acteurs de la sphère éducative que sont les enseignants, les opérateurs publics et les acteurs privés conduit à une double incohérence : elle ne facilite que la production de ressources gratuites - que celle-ci soit le fait d’opérateurs publics ou d’acteurs industriels transatlantiques à la politique commerciale agressive (anglo-saxons pour la plupart) - et entrave la production visant à développer une économie de ressources numériques éducatives de qualité dans le cadre d’une filière industrielle à la française.

Cet amendement a donc pour but de favoriser l’émergence d’une filière industrielle du numérique éducatif à la française, en proposant à ses acteurs un accès à des documents et ressources de qualité à des tarifs incitatifs. Ce dispositif aurait le mérite de valoriser des ressources scientifiques et culturelles françaises et de ne pas exagérément enchérir le prix de revient des ressources pédagogiques de qualité ainsi créées en intégrant ces ressources et documents.

Les acteurs de la filière industrielle du numérique éducatif seraient ainsi en mesure de développer des ressources à un coût raisonnable et attractif pour l’ensemble des décideurs de la sphère éducative, puis, à terme d’étendre leur marché à l’international.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 315 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 173

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Les enseignants auront également accès aux ressources numériques éducatives des associations complémentaires de l’enseignement public.

Objet

Les associations parmi lesquelles figurent les associations complémentaires de l’enseignement public peuvent proposer des ressources numériques utiles aux enseignants à des fins pédagogiques puisqu'elles en constituent et les enrichissent régulièrement. Cet amendement vise à permettre aux enseignants l'accès à ces ressources.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 305 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 175

Compléter cet alinéa par les mots :

, dans le respect des principes édictés au premier alinéa de l’article L. 912-1-1 du code de l’éducation

Objet

Le projet de loi pour la refondation de l’école fait peu référence, dans son dispositif, comme dans son annexe, au principe fondateur que constitue la liberté pédagogique de l’enseignant consacrée par l’article L. 912-1-1 du code de l’Education. A l’heure où la formation des professeurs va désormais comporter une composante numérique significative, les auteurs du présent amendement considèrent qu’il est capital de rappeler ce principe de liberté pédagogique qui fait partie de l’essence de notre système éducatif.

Corollaire implicite des responsabilités qui incombent à l’enseignant, le principe de la liberté pédagogique est une composante essentielle d’une acculturation rapide de l’ensemble de la sphère éducative aux usages du numérique. Le succès de cette acculturation repose sur la latitude des enseignants à choisir les ressources qu’ils jugent appropriées à la mise en œuvre des instructions officielles dans leur classe, choix opéré au sein d’un ensemble de ressources diversifiées et de qualité, produites par les opérateurs publics ou les industriels de la filière.

Ainsi, la production de ressources numériques à destination des élèves et des professeurs par le service public du numérique éducatif doit éviter de restreindre le choix des enseignants aux seules ressources présentes dans cette offre, sous réserve d’une remise en cause d’un principe fondamental de l’Ecole de la République, la liberté pédagogique de ses enseignants.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 294 rect. bis

22 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Sagesse du Sénat
G Défavorable
Rejeté

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 195, première phrase

Remplacer le mot :

collège

par les mots :

plus jeune âge, tout au long de leur scolarité à l'école, au collège et au lycée 

Objet

L'orientation à tous les stades de la scolarité est indispensable afin de lutter contre l'orientation subie et combattre les inégalités sociales et territoriales. Cet amendement vise à préciser que les éléments sur l'orientation sont dispensés tout au long de la scolarité, et non pas uniquement au collège. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 507 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR, GILLES, RETAILLEAU

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 195

1° Avant-dernière phrase

Supprimer les mots :

et les stéréotypes de genre

2° Dernière phrase

Supprimer cette phrase.

Objet

Inscrire le terme de "genre" dans la loi renvoie inutilement à une polémique n'ayant rien à voir avec la rédaction d'une loi sur l'école. La théorie qu'il qualifie apparaîtrait, si on l'emploie ici, comme un élément de doctrine acquis par l'institution scolaire.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 295 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 196

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Il lui ouvre ainsi un éventail large de possibilités d’orientation et contribue ainsi à la lutte contre les inégalités sociales et territoriales.

Objet

Le projet d'orientation scolaire et professionnelle doit permettre à l'élève de choisir son orientation parmi un éventail large de possibilités afin de réduire les inégalités scolaires et territoriales. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 508

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 197

Après les mots :

il s'adresse à tous

supprimer les mots :

trouve sa place dans le tronc commun de formation de la sixième à la troisième. Au delà, ce parcours

Objet

Supprime une précision inutile enfermant dans des limites le parcours individuel d'information, d'orientation et de découverte du monde économique et professionnel.






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Refondation de l'école de la République

(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 311 rect. bis

22 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 197, première phrase

Remplacer les mots :

de la sixième à la troisième

par les mots :

à l’école, au collège et au lycée et s’inscrit dans la continuité du passeport d’orientation vers l’apprentissage, la vie professionnelle ou encore le troisième cycle universitaire

Objet

Le parcours individuel d’information, d’orientation et de découverte du monde économique et professionnel prévu par le projet de loi ne doit pas être uniquement réservé aux élèves du second degré. Ce parcours doit débuter dès l'école primaire afin de constituer un véritable passeport d'orientation, que ce soit vers l'apprentissage, vers la vie professionnelle ou encore vers le troisième cycle universitaire.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 296 rect. bis

22 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 198

Rédiger ainsi cet alinéa :

En associant les parents et l’élève, ces parcours sont organisés sous la responsabilité des chefs d'établissement, avec le concours des équipes éducatives, des conseillers d'orientation, des psychologues scolaires, des enseignants et selon une périodicité au moins trimestrielle et par le moyen, notamment, de l’organisation de forum emplois découverte au sein des établissements et de sorties pédagogiques.

Objet

Cet amendement vise à associer également l’élève et les autres psychologues scolaires, autres que les conseillers d’orientation-psychologues à l’élaboration du parcours individuel d’information, d’orientation et de découverte du monde économique et professionnel. La participation active de l’élève concerné permet de s’assurer que l’orientation ne lui est pas imposée.

En outre, cet amendement vise à introduire révision périodique de ces parcours, au moins trimestrielle. Celle-ci devra s’appuyer sur l’organisation de forum emplois découverte au sein des établissements ainsi que de sorties pédagogiques.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 297 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 200

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Chaque année, le Gouvernement rend public un rapport d’évaluation de ce nouveau dispositif redynamisé de l’orientation tout au long de la scolarité.

Objet

Le service public de l’orientation mis en place par la loi n°2009-1437 du 24 novembre 2009 relative à l’orientation et la formation professionnelle tout au long de la vie doit être amélioré. Afin d’assurer un suivi de ses évolutions et des efforts réalisés, cet amendement propose l’élaboration annuelle d’un rapport d’évaluation par le Gouvernement. Ce rapport sera rendu public. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 510

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 203

Supprimer cet alinéa.

Objet

Suppression de cet alinéa sur le pilotage pédagogique du système éducatif, pour verbiage stérile et critique infondée du dispositif actuel.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 512

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 204

Rédiger ainsi cet alinéa :

La liberté des choix pédagogiques des enseignants est imprescriptible. La concertation entre enseignants pour harmoniser leurs actions au service des élèves et utiliser en équipe les moyens de manoeuvre attribués à chaque établissement est souhaitable. Sous l'autorité des personnels de direction, la concertation est au coeur de la vie des établissements.

Objet

Cet amendement propose une réécriture des marges de manoeuvre prévues en matière de pédagogie, en rappelant le principe de liberté pédagogique des enseignants.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 513

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 206, seconde phrase

Remplacer les mots :

, s'appuyant sur les milieux associatifs, souvent à l'origine de la mise en place d'actions innovantes, afin de

par le mot :

pour

Objet

Suppression de l'évocation du recours aux milieux associatifs en matière d'innovation, le ministère de l'éducation nationale ayant seul la responsabilité de proposer des initiatives.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 308 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 208, dernière phrase

Compléter cette phrase par les mots :

et notamment des représentants issus des collectivités territoriales, du milieu universitaire et de la recherche ou du monde de l'entreprise

 

Objet

La création d'un institut des hautes études de l'éducation nationale chargé de  réfléchir aux problématiques de l'école doit pouvoir bénéficier de l'expérience de représentants issus de plusieurs milieux. Les collectivités territoriales, les enseignants-chercheurs ou les chefs d'entreprise doivent pouvoir contribuer aux travaux de l'institut en intégrant, par exemple, les expériences des élus en matière de gestion des établissements publics locaux d'enseignement, les avancées de la recherche en sciences de l'éducation ou les attentes du monde de l'entreprise en matière d'emploi.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 514

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G  
Retiré

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 208, dernière phrase

Compléter cette phrase par les mots :

et des représentants des milieux les plus divers

Objet

L'institut des hautes études de l'éducation nationale fera peu évoluer la réflexion sur les problématiques de l'école s'il reste un lieu fermé. L'évolution de notre société et de l'emploi rend particulièrement important de faire participer des intervenants extérieurs, tels des chefs d'entreprise par exemple.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 293 rect. bis

22 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 211, après la troisième phrase

Insérer trois phrases ainsi rédigées :

Il met en place une plateforme de coordination afin de collecter à l’échelon de chaque académie et de centraliser au niveau national, les informations portant sur l’ensemble des dispositifs expérimentaux qui réussissent sur le terrain. Il informe les services ministériels compétents des initiatives qu’il serait utile de généraliser. Une plateforme numérique d’information dédiée aux personnels et aux acteurs éducatifs (chefs d’établissement, personnel éducatif, acteurs associatif, parents,…) sera mise en place, présentant ces initiatives par thèmes et une base de données des personnes ressources à l’origine de ces initiatives (associations, enseignants, collectivités territoriales,…).

Objet

Un effort de pilotage est essentiel pour contribuer à la réussite éducative et scolaire. Cet amendement vise à confier au Conseil national d’évaluation du système éducatif la mise en œuvre d’une plateforme de coordination chargée de collecter les informations au niveau de l’échelon académique sur les expérimentations qui réussissent afin de les centraliser. Ces informations seront mises à disposition des services ministériels compétents pour leur possible généralisation. En outre, cet amendement permet le partage de ces expérimentations puisque les informations recueillies seront publiées sous forme numérique (par exemple, dans un blog) ainsi que la base de données des personnes ressources et des acteurs de terrain, y compris associatifs, parents, collectivités territoriales, ministères, notamment.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 351

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes MORIN-DESAILLY, FÉRAT

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 216

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Au moins deux langues vivantes devront être étudiées avant la fin du second degré.

Objet

Comme le souligne le rapport annexé, la promotion d'une plus grande ouverture sur l'Europe et le monde passe par l'apprentissage de langues vivantes. L'intégration sociale, mais aussi et surtout professionnelle, nécessite aujourd'hui la connaissance de deux langues vivantes. La concurrence internationale dans le recrutement professionnel impose cette exigence.

Cet amendement propose donc l'apprentissage d'au moins deux langues vivantes avant le fin du second degré.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 383

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mme LEPAGE et MM. LECONTE et YUNG


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 218, après la première phrase

Insérer une phrase ainsi rédigée :

La mobilité des enseignants pourra se réaliser tant dans le réseau d’enseignement français à l’étranger que dans les établissements étrangers.

Objet

Il importe de préciser que la mobilité internationale des enseignants peut, aussi utilement, se développer dans le cadre du réseau d’enseignement français à l’étranger.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 365 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Tombé

Mme LEPAGE, MM. MAGNER et YUNG, Mmes BLONDIN, Danielle MICHEL, Dominique GILLOT, LAURENT-PERRIGOT et KHIARI, MM. LOZACH, ASSOULINE, CHIRON, Dominique BAILLY, ANTISTE, EBLÉ, DOMEIZEL, VINCENT, MADRELLE, ANTOINETTE, PERCHERON, ANDREONI, RAINAUD, GERMAIN, LECONTE

et les membres du Groupe socialiste et apparentés


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 219

Après les mots :

son système de formation

insérer les mots :

dans toutes ses composantes

Objet

Amendement visant à rappeler l’importance de promouvoir, à l’étranger, le développement de notre système de formation tant généraliste que technologique et professionnelle. (Amendement de repli)



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 515

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 219

Supprimer les mots :

et les valeurs républicaines qui lui sont attachées

Objet

Le rapport annexé propose que le ministère de l'éducation nationale promeuve à l'étranger son système de formation et "les valeurs républicaines qui lui sont attachées". Outre la prétention d'une telle formule, on ne voit pas quel rapport cette disposition a avec le sujet de cette loi.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 366 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mme LEPAGE, MM. MAGNER et YUNG, Mmes BLONDIN, Danielle MICHEL, Dominique GILLOT, LAURENT-PERRIGOT et KHIARI, MM. LOZACH, ASSOULINE, CHIRON, Dominique BAILLY, ANTISTE, EBLÉ, DOMEIZEL, VINCENT, MADRELLE, ANTOINETTE, PERCHERON, ANDREONI, RAINAUD, GERMAIN, LECONTE

et les membres du Groupe socialiste et apparentés


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 219

Compléter cet alinéa par les mots :

, notamment à travers le réseau de l'enseignement français à l'étranger

Objet

Une association plus étroite du ministère de l’Education nationale aux missions de service public relatives à l’éducation en faveur des enfants français résidant hors de France dévolues à l’Agence pour l’enseignement français à l’étranger concourra efficacement à la plus grande ouverture de l’école de la République sur l’Europe et le monde.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 364 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mme LEPAGE, MM. MAGNER et YUNG, Mmes BLONDIN, Danielle MICHEL, Dominique GILLOT, LAURENT-PERRIGOT et KHIARI, MM. LOZACH, ASSOULINE, CHIRON, Dominique BAILLY, ANTISTE, EBLÉ, DOMEIZEL, VINCENT, MADRELLE, ANTOINETTE, PERCHERON, ANDREONI, RAINAUD, GERMAIN, LECONTE

et les membres du Groupe socialiste et apparentés


Article 1er

(ANNEXE)


Après l'alinéa 200

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

Le ministère chargé de l’éducation nationale encourage, en association avec le ministère des affaires étrangères, ministère de tutelle de l’agence pour l’enseignement français à l’étranger, les filières technologiques et professionnelles au sein du réseau de l’enseignement français à l’étranger.

Objet

Dans le réseau de l'enseignement français à l'étranger, la « réussite pour tous » est aussi synonyme de la scolarité la plus longue au sein du réseau des établissements d’enseignement français.

Or, en raison du nombre très insuffisant de filières technologiques et professionnelles, le « décrochage scolaire » se transforme, parfois, en réorientation vers le système éducatif local, qui, de surcroit, ne dispose pas toujours de telles filières.

Cette situation n'est pas satisfaisante et notre réseau d'établissements scolaires à l'étranger doit aussi permettre au plus grand nombre d'élèves de trouver sa voie au sein de l'Ecole de la République, en favorisant les filières technologiques et professionnelles.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 384

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mme LEPAGE et MM. LECONTE et YUNG


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 220

Rédiger ainsi cet alinéa :

Le ministère de l’éducation nationale participera, en association avec le ministère des affaires étrangères, à l’enseignement français, au sein de l’Union européenne et dans les pays tiers à l’Union europénne en développant notamment des filières bilingues, des sections binationales et des sections internationales avec les pays partenaires.

Objet

Les partenariats avec les pays tiers doivent permettre de développer, outre des filières bilingues et des sections binationales, des sections internationales.

Ces sections internationales s’inscrivent aussi parfaitement dans la perspective d’une promotion de la langue et la culture françaises et de l’enseignement français et participeront au rayonnement de la France en Europe et dans le monde.

La référence spécifique à l’Union européenne pour le développement de telles filières permet de rappeler le souci d’une plus grande ouverture sur l’Europe, tel qu’évoqué à l’alinéa 213.






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N° 283 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G  
Retiré

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 225

Au début, insérer une phrase ainsi rédigée :

Dans les premières années d'exercice de leur métier, les enseignants ne seront pas affectés dans un établissement scolaire situé en zone d'éducation prioritaire. 

 

Objet

Le métier d’enseignant dans les zones d’éducation prioritaire peut s’avérer particulièrement difficile et décourageant pour les nouveaux arrivants. En outre, les établissements scolaires concernés requièrent des enseignants expérimentés qui pourront plus facilement adapter les méthodes de travail et innover en matière pédagogique.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 282 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G  
Retiré

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 225, deuxième phrase

Rédiger ainsi cette phrase :

La question de la labellisation sera réexaminée et simplifiée car elle est source de rigidité et d'illisibilité et n'a pas su éviter le piège de la stigmatisation. 

Objet

Cet amendement vise à ce que le réexamen de la labellisation en matière d'éducation prioritaire tende vers la simplification et la lisibilité. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 516

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 229, première phrase

Supprimer cettte phrase.

Objet

La critique des dispositifs existants apparait comme une volonté systématique de faire table rase des réformes engagées par le précédent gouvernement, au mépris de la continuité de l'action de l'Etat (pour preuve : suppression du Haut conseil de l'éducation, suppression de la loi visant à lutter contre l'absentéisme scolaire, suppression de l'aide personnalisée).

Le Gouvernement remet en cause les résultats des internats d'excellence alors que ceux-ci ont permis à de nombreux jeunes issus de milieux défavorisés d'effectuer de brillantes études.








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N° 352

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mmes MORIN-DESAILLY, FÉRAT

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 232

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Les ressources et les innovations numériques constituent également des accélérateurs d'intégration pour les élèves en situation de handicap.

Objet

Cet amendement est un amendement miroir à celui déposé à l'alinéa 166 du rapport annexé.

Le meilleur accès à une scolarité ordinaire pour les élèves en situation de handicap est une priorité pour la refondation de l'école. Pour cela, l'éducation nationale doit se donner des moyens et des outils nouveaux et plus adaptés. Les ressources numériques peuvent représenter une formidable avancée pour les enfants en situation de handicap. L'école ne peut pas se priver de cette solution.

Cet amendement prévoit donc que le numérique permette d'améliorer cette situation.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 309 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 233, après la première phrase

Insérer une phrase ainsi rédigée :

Le service public du numérique éducatif favorise la scolarisation de ces élèves.

Objet

La création d'un service public du numérique éducatif doit contribuer à faciliter la scolarisation des élèves en situation de handicap afin de rendre l'école réellement inclusive grâce à des ressources numériques adaptées. Tel est l'objet de cet amendement.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 310 rect. bis

22 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, FORTASSIN, HUE, MAZARS, MÉZARD, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


Article 1er

(ANNEXE)


Après l'alinéa 236

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

Chaque année, le Gouvernement transmet au Parlement un rapport sur la pédagogie mise en œuvre pour les enfants sourds et sur l'usage de langue des signes française dans le système éducatif.

Objet

Les enfants sourds doivent pouvoir bénéficier d'une pédagogie adaptée à leurs besoins. Celle-ci doit évoluer pour favoriser leur scolarisation. Cet amendement a pour objet de produire un rapport annuel sur cette pédagogie afin de suivre les avancées en la matière et d'accompagner de nouvelles mesures.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 409

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes FÉRAT, MORIN-DESAILLY

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


Article 1er

(ANNEXE)


Après l'alinéa 236

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

Le Gouvernement remet chaque année au Parlement un rapport sur la pédagogie mise en œuvre vis-à-vis des enfants sourds et malentendants et sur l'usage dans le système éducatif de la langue des signes française (LSF).

Objet

Les enfants sourds et malentendants et la langue des signes française n’ont pas été pris en compte par le présent projet de loi.

C'est pourquoi cet amendement vise à ce que le gouvernement présente au Parlement, chaque année, un rapport sur la pédagogie mise en œuvre vis à vis des enfants sourds et sur l'usage dans le système éducatif de la langue des signes française (LSF).






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N° 367 rect. bis

25 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mme Dominique GILLOT, M. MAGNER, Mmes BLONDIN, Danielle MICHEL, LAURENT-PERRIGOT, LEPAGE et KHIARI, MM. LOZACH, ASSOULINE, CHIRON, Dominique BAILLY, ANTISTE, EBLÉ, DOMEIZEL, VINCENT, MADRELLE, ANTOINETTE, PERCHERON, ANDREONI, RAINAUD, GERMAIN

et les membres du Groupe socialiste et apparentés


Article 1er

(ANNEXE)


Après l'alinéa 236

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

Les projets linguistiques des élèves sourds et de leurs familles seront pris en compte. Les élèves sourds auront accès à un parcours scolaire en communication bilingue (enseignement en langue des signes et langue française) ou communication en langue française (enseignement en français oral avec langage parlé complété et français écrit). Pour cela, des dispositifs adaptés à cette scolarisation seront développés par le regroupement des élèves dans une même classe ou la mutualisation des moyens nécessaires dans un même établissement à l'échelle académique.

Objet

L’éducation nationale se doit d’optimiser les dispositifs de scolarisation des jeunes sourds en développant les Pôles d’accompagnement à la scolarisation des jeunes sourds  (PASS), dans lesquels certaines unités d'enseignement des établissements médico-sociaux peuvent être prises en compte. Il s’agit notamment de permettre aux enseignants diplômés du secteur médico-social d'enseigner dans des unités d’enseignements positionnées au sein d’établissements scolaires et de créer ainsi le cadre favorable à une mise en synergie des compétences de chacun aux services des élèves. C’est en faisant un inventaire précis de toutes les ressources disponibles sur un territoire, à l’échelle de l’académie par exemple, que l’éducation nationale en lien avec ses partenaires, sera en capacité d’offrir aux jeunes sourds une scolarisation de qualité quel que soit le choix opéré par les familles.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 517

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 240, première phrase

Supprimer les mots :

et les psychologues de l'éducation nationale

Objet

Il s'agit de revenir à la rédaction initiale du Gouvernement, les psychologues étant inclus dans la mention de "l'ensemble des personnels" visés par l'alinéa.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 321 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Non soutenu

M. VAUGRENARD et Mme PRINTZ


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 242

Après les mots :

psychique), 

insérer les mots :

aux risques des dérives thérapeutiques et sectaires,

Objet

La commission d’enquête sénatoriale sur l'influence des mouvements à caractère sectaire dans le domaine de la santé, dans son rapport en date du 3 avril 2013, a adopté 41 propositions dont 4 tendant à renforcer la protection des mineurs contre les risques de dérives thérapeutiques et sectaires.

La n°41 vise à « s’assurer que les programmes de l’enseignement secondaire, tant au collège qu’au lycée, intègrent une sensibilisation aux dérives thérapeutiques et sectaires. »

C’est donc tout naturellement que le présent amendement vise à intégrer cette dimension dans les objectifs de sensibilisation définis dans la programmation des moyens et les orientations de la refondation de l’école de la république, figurant en annexe du présent projet de loi.  



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 333 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

M. MÉZARD, Mme LABORDE et MM. ALFONSI, BAYLET, BERTRAND, Christian BOURQUIN, COLLIN, COLLOMBAT, FORTASSIN, HUE, MAZARS, PLANCADE, REQUIER, TROPEANO, VALL et VENDASI


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 242

Après le mot :

psychique),  

insérer les mots :

aux risques des dérives thérapeutiques et sectaires, 

Objet

La commission d’enquête sénatoriale sur l'influence des mouvements à caractère sectaire dans le domaine de la santé, dans son rapport en date du 3 avril 2013, a adopté 41 propositions dont 4 tendant à renforcer la protection des mineurs contre les risques de dérives thérapeutiques et sectaires.

La n°41 vise à « s’assurer que les programmes de l’enseignement secondaire, tant au collège qu’au lycée, intègrent une sensibilisation aux dérives thérapeutiques et sectaires. »

C’est donc tout naturellement que le présent amendement vise à intégrer cette dimension dans les objectifs de sensibilisation définis dans la programmation des moyens et les orientations de la refondation de l’école de la république, figurant en annexe du présent projet de loi.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 392 rect.

21 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

MM. MILON, SAUGEY et BAS, Mme DEROCHE, M. HOUPERT, Mlle JOISSAINS, Mmes KAMMERMANN, PRIMAS et DINI et M. ROCHE


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 242

Après le mot :

psychique),  

insérer les mots :

aux risques des dérives thérapeutiques et sectaires,

Objet

La commission d’enquête sénatoriale sur l'influence des mouvements à caractère sectaire dans le domaine de la santé, dans son rapport en date du 3 avril 2013, a adopté 41 propositions dont 4 tendant à renforcer la protection des mineurs contre les risques de dérives thérapeutiques et sectaires.

La n°41 vise à « s’assurer que les programmes de l’enseignement secondaire, tant au collège qu’au lycée, intègrent une sensibilisation aux dérives thérapeutiques et sectaires. »

C’est donc tout naturellement que le présent amendement vise à intégrer cette dimension dans les objectifs de sensibilisation définis dans la programmation des moyens et les orientations de la refondation de l’école de la république, figurant en annexe du présent projet de loi.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 336

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Le Gouvernement


Article 1er

(ANNEXE)


Après l'alinéa 242

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

L’éducation à la sexualité fait l’objet d’au moins trois séances annuelles d’information dans les écoles, les collèges et les lycées qui peuvent être assurées par les personnels contribuant à la mission de santé scolaire, par des personnels des établissements ainsi que par d’autres intervenants extérieurs. Ces personnels sont spécifiquement formés dans ce domaine.

Objet

Afin de réaffirmer l’importance de l’éducation à la sexualité au profit de tous les élèves de l’enseignement scolaire, le Gouvernement souhaite indiquer dans l’article 1er que l’information et l’éducation à la sexualité doit faire l’objet d’au moins trois séances annuelles.






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(1ère lecture)

(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 368

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

MM. LOZACH, MAGNER, ASSOULINE, CHIRON, Dominique BAILLY, ANTISTE, EBLÉ, DOMEIZEL, VINCENT, MADRELLE, ANTOINETTE, PERCHERON, ANDREONI, RAINAUD et GERMAIN, Mmes BLONDIN, Dominique GILLOT, Danielle MICHEL, LAURENT-PERRIGOT, LEPAGE, KHIARI

et les membres du Groupe socialiste et apparentés


Article 1er

(ANNEXE)


I. - Alinéa 246

Remplacer les mots :

le sport scolaire

par les mots :

la place du sport à l’école

II. – Après l’alinéa 249

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

Dans un objectif d’éducation par le sport, le recours au sport comme vecteur d’apprentissage pour les autres matières d’enseignement est favorisé.

Objet

Le « sport scolaire » renvoie aux activités proposées hors temps d’enseignement de l’éducation physique et sportive, il convient donc d’opter pour un titre plus large permettant de recouvrir toutes les dimensions du sport à l’école.

Outre, l’éducation physique et sportive et le sport scolaire stricto sensu, le recours au sport comme outil pédagogique pour appréhender l’apprentissage d’autres matières d’enseignement (physique, mathématique biologie…) doit être favorisé.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 339

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Le Gouvernement


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 252

Rédiger ainsi cet alinéa :

L’objectif est de diviser par deux le nombre des sortants sans qualification.

Objet

Il s’agit d’un amendement de cohérence avec le retour à la rédaction initiale de l’alinéa 19.

Il est bien évident qu’il serait souhaitable de faire disparaître toute sortie du système scolaire sans qualification mais, sous couvert de réparer un « manque d’ambition particulièrement dommageable », l’amendement proposé par l’UMP transforme ce qui était un objectif opérationnel fixé par le Président de la République en une déclaration d’intention dépourvue de toute crédibilité.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 518

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Après l'alinéa 256

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

Une étude sera réalisée et présentée au Parlement sur l'efficacité comparée des différentes méthodes d'apprentissage de la lecture.

Objet

Dès le CP, certains élèves se retrouvent en situation d'illettrisme à l'école, d'où des interrogations récurrentes sur les différentes méthodes d'apprentissage de la lecture. Aussi le présent amendement prévoit-il qu'une étude comparée de ces méthodes devra être présentée au Parlement.





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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 346

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes MORIN-DESAILLY, FÉRAT

et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 257

Compléter cet alinéa par deux phrases ainsi rédigées :

L'illettrisme constitue ainsi la cause principale de l'échec scolaire. La lutte contre celui-ci doit être une priorité absolue des pouvoirs publics et de l'école.

Objet

Si le Premier ministre a fait de la lutte contre l'illettrisme la grande cause nationale de l'année 2013, force est de constater que les mesures concrètes de lutte contre l'illettrisme sont inexistantes. Les pouvoirs publics, et en premier lieu de l'école, doivent non seulement prendre la mesure du problème, mais aussi, et surtout, mettre tout en oeuvre pour le faire reculer. Cet amendement rappelle cette priorité et engage le gouvernement à prendre des mesures fortes.

La mission première de l'école, c'est de savoir lire, écrire






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 519

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 262

Supprimer cet alinéa.

Objet

Il est tout à fait incohérent de placer sur un plan d'égalité l'apprentissage de la citoyenneté et la maîtrise des connaissances disciplinaires.

Une telle affirmation fait douter de la façon dont le Gouvernement conçoit la mission de l'Education nationale.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 322

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mme Dominique GILLOT et M. EBLÉ


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 263

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

L’action éducative contribue également à sensibiliser les élèves à la solidarité intergénérationnelle et aux apports réciproques entre les générations, notamment par leur engagement dans la vie associative et par les échanges de savoirs et de compétences. 

Objet

Cet amendement vise à souligner les intérêts éducatifs des échanges intergénérationnels.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 520

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 266

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

La lutte contre l'absentéisme est le devoir commun de l'institution scolaire et des parents d'élèves.

Objet

Cette précision est un rappel nécessaire au moment où le Gouvernement vient de supprimer la loi visant à lutter contre l'absentéisme scolaire.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 521

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 267, dernière phrase

Remplacer cette phrase par deux phrases ainsi rédigées :

Le sentiment d'impunité encourage la violence. Des santions proportionnées sont nécessaires pour éviter ce sentiment.

Objet

La violence existe dans l’école et est devenue un sujet de société. La formulation proposée dans le texte de loi met en cause une approche sécuritaire et propose un "traitement global et une action à long terme". Le traitement du problème de violence en milieu scolaire nécessite certainement une réflexion et une approche globale, mais il nécessite également d'affirmer la nécessité de sanctionner les comportements violents.






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N° 375

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Le Gouvernement


Article 1er

(ANNEXE)


Après l'alinéa 267

Insérer un alinéa ainsi rédigé :  

La lutte contre toutes les formes de harcèlement sera une priorité pour chaque établissement d’enseignement scolaire. Elle fera l'objet d'un programme d'actions élaboré avec l'ensemble de la communauté éducative, adopté par le conseil d’école pour le premier degré et par le conseil d'administration dans les établissements publics locaux d’enseignement (EPLE). Ce programme d’actions sera régulièrement évalué pour être amendé si nécessaire.

Objet

Le harcèlement se caractérise par la soumission dans le temps d’un élève à des comportements agressifs ou humiliants par un ou plusieurs élèves. Ce n’est pas un phénomène mineur : ainsi en France, 10 % des collégiens rencontrent des problèmes avec le harcèlement et 6 % de collégiens subissent un harcèlement qu’on peut qualifier de sévère à très sévère (source : enquête dans le premier degré réalisée par l’Observatoire International de la Violence à l'Ecole (OIVE) et l'UNICEF et enquête de victimation en collège réalisée par le ministère de l’éducation nationale - direction de l’évaluation, des études et de la prospective).

Or les conséquences du harcèlement sont parfois dramatiques pour les élèves victimes comme pour les élèves auteurs, lorsqu’il n’est pas pris en compte. Les pédopsychiatres soulignent que le harcèlement a des conséquences psychologiques, sociales et scolaires chez l’enfant et l’adolescent : perte d’estime de soi, décrochage scolaire, désocialisation, anxiété, dépression, somatisation, conduites suicidaires.

Le harcèlement peut aussi avoir des conséquences importantes sur le développement psychologique et social au-delà de l’enfance.

Par ailleurs le harcèlement est un facteur de détérioration du climat scolaire, nuisant au bien-être et à l’apprentissage des élèves.

La prévention et la lutte contre le harcèlement à l’Ecole doivent constituer l’un des axes des projets académiques et des projets des établissements scolaires et la question des  violences au nombre desquelles figure le harcèlement doit être évoquée explicitement dans les règlements intérieurs des écoles et des établissements d’enseignement du second degré.

Il est important que la lutte contre le harcèlement constitue la priorité dans tous les établissements : elle doit impliquer tous les membres de la communauté éducative y compris les parents et les élèves eux-mêmes. La présentation au conseil d’école et l’adoption d’un programme d’actions  par le conseil d’administration induisent un suivi par les autorités académiques.  Une évaluation régulière amène la communauté éducative à rester vigilante sur le harcèlement.






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N° 522

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 271

Remplacer cet alinéa par deux alinéas ainsi rédigés :

La participation des parents à l’action éducative est un facteur favorable à la réussite de leurs enfants. Il convient de leur reconnaître une place légitime au sein de la communauté éducative. La « co-éducation » doit trouver une expression claire dans le système éducatif comme le souhaitent les parents.

Les familles doivent être mieux associées aux projets éducatifs d’école ou d’établissement. Des actions seront conduites au niveau des établissements pour renforcer les partenariats avec les parents et leurs associations.

Objet

Il convient de revenir à la rédaction initiale de cet alinéa concernant la participation des parents dans le système éducatif, qui ne nécessitait pas de modification.






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N° 523

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 276

Rédiger ainsi cet alinéa :

Le secteur associatif doit être reconnu dans sa diversité et pour la qualité de ses interventions. Le partenariat qui l’associe à l’école doit être développé dans le respect et en fonction des capacités et des compétences et de l’objet des associations qui le constitue.

Objet

Il s'agit par cet amendement de revenir au texte initial du Gouvernement qui avait le mérite d'être rédigé plus simplement.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 524

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéa 277

Supprimer les mots :

tracent la stratégie de refondation de l'école et

Objet

Amendement de coordination.






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(n° 569 , 568 , 537, 570)

N° 525

17 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEGENDRE, CARLE, BORDIER et CHAUVEAU, Mme DUCHÊNE, MM. DUFAUT, Ambroise DUPONT et DUVERNOIS, Mme FARREYROL, MM. Bernard FOURNIER, Jean-Claude GAUDIN, GROSDIDIER, HUMBERT, LELEUX et MARTIN, Mme MÉLOT, M. NACHBAR, Mme PRIMAS, MM. SAVIN, SOILIHI, VENDEGOU, LENOIR

et les membres du Groupe Union pour un Mouvement Populaire


Article 1er

(ANNEXE)


Alinéas 278 à 281

Supprimer ces alinéas.

Objet

La fin du rapport annexé est un assemblage pompeux de déclarations d'intention qui n'a pas sa place dans ce qui devait être une grande loi visant à réformer l'école.






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(n° 569 )

N° A-1

25 mai 2013


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Le Gouvernement


Article 1er

(ANNEXE)


Après l'alinéa 97

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

Pour favoriser l’accès aux écoles dispensant un enseignement de langue régionale, les élèves résidant dans une commune dont les écoles ne proposent pas un tel enseignement auront la possibilité d’être inscrits dans une école d’une autre commune dispensant cet enseignement, sous réserve de l’existence de places disponibles.

Objet

Toutes les communes ne disposent pas d’une école dispensant un enseignement de langue régionale. Les élèves résidant dans une commune dont les écoles ne proposent pas un tel enseignement doivent avoir la possibilité d’être inscrits dans une école d’une autre commune dispensant cet enseignement, sous réserve de l’existence de places disponibles.