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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 162

23 février 2023


 

Exception d'irrecevabilité

Motion présentée par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


TENDANT À OPPOSER L'EXCEPTION D'IRRECEVABILITÉ


En application de l'article 44, alinéa 2, du Règlement, le Sénat déclare irrecevable le projet de loi de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 (n° 368, 2022-2023).

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE du Sénat estiment le projet de loi contraire à la Constitution.

Ils l’estiment contraire sur le fond, du fait d’une remise en cause frontale du droit à la retraite placé au rang de principe constitutionnel par le préambule de la Constitution de 1946, partie intégrante du bloc de constitutionnalité actuel.

Le recul de l’âge de départ à la retraite, qui constitue la mesure clef de ce projet, porte en lui la remise en cause du régime par répartition qui seul assure un droit universel à la retraite au profit du régime par capitalisation qui promeut la démarche individuelle au détriment de la solidarité.

Les auteurs estiment également que ce texte ne respecte pas la procédure législative.

L’utilisation de l’article 47-1 de la Constitution comme véhicule pour l’examen de ce projet est abusif et relève du détournement de procédure.

Cet article de la Constitution est prévu pour l’examen de textes financiers relevant de l’urgence dont la non-adoption pourrait causer par exemple un péril budgétaire au pays.

Cet article 47-1 limite outrageusement le temps de débat, s’apparentant à un super 49-3 puisque le Sénat voit également son temps contraint, pour un texte sur les retraites qui de toute évidence ne relève pas de son champ. Il limite également le droit d’amendement en renforçant les irrecevabilités.

Enfin il apparaît que des articles du projet de loi ne relèvent pas d’un caractère financier pourtant imposé par l’article 47-1.

Pour cet ensemble de raisons, les auteurs proposent cette motion d’irrecevabilité pour l’inconstitutionnalité manifeste de ce projet de loi.



NB :En application de l'article 44, alinéa 2, du Règlement, cette motion est soumise au Sénat avant les orateurs des groupes.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4764

8 mars 2023


 

Exception d'irrecevabilité

Motion présentée par

C
G Favorable
Adopté

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


TENDANT À OPPOSER L'EXCEPTION D'IRRECEVABILITÉ


Constatant que les sous-amendements déposés sur l'amendement n° 4762 créant des dérogations par type de profession, par pathologies ou par catégories de la population sont contraires au principe d'égalité devant la loi des citoyens, consacré par l'article 6 de la Déclaration des droits de l'Homme de 1789, le Sénat les déclare irrecevables en application de l’article 44 bis, alinéa 10, du Règlement du Sénat.

Objet

Réunie le 7 mars 2023, la commission des affaires sociales a décidé de proposer au Sénat d’opposer l'exception d'irrecevabilité aux sous-amendements mentionnés ci-dessus.



NB :En application de l'article 44, alinéa 2, du Règlement, cette motion est soumise au Sénat avant la discussion des articles.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4766

8 mars 2023


 

Exception d'irrecevabilité

Motion présentée par

C Favorable
G Sagesse du Sénat
Adopté

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


TENDANT À OPPOSER L'EXCEPTION D'IRRECEVABILITÉ


Constatant que les amendements n° 2378 et n° 4322 sont contraires au principe d'égalité devant la loi des citoyens, consacré par l'article 6 de la Déclaration des droits de l'Homme de 1789, le Sénat les déclare irrecevables en application de l’article 44 bis, alinéa 10, du Règlement du Sénat.

Objet

Réunie le 8 mars 2023, la commission des affaires sociales a décidé de proposer au Sénat d’opposer l'exception d'irrecevabilité aux amendements mentionnés ci-dessus.



NB :En application de l'article 44, alinéa 2, du Règlement, cette motion est soumise au Sénat avant la discussion des articles.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5392

9 mars 2023


 

Renvoi en commission

Motion présentée par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes POUMIROL et LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


TENDANT AU RENVOI EN COMMISSION


En application de l’article 44, alinéa 5, du Règlement, le Sénat décide qu’il y a lieu de renvoyer à la commission l’article 9 du projet de loi de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023

Objet

Les sénatrices et les sénateurs du groupe Socialiste écologiste et républicain demandent le renvoi en commission de cet article 9 portant sur l'usure professionnelle.

En effet les dispositions contenues dans cet article ne sont pas à la hauteur des besoins des salariés en matière de reconnaissance et de compensation de la pénibilité. Cet article constitue en outre, l’approfondissement du détricotage massif de la prise en compte de la pénibilité engagé par le Président de la République, Emmanuel Macron dès son premier quinquennat, en 2017.

Les 4 facteurs de pénibilité supprimés en 2017 ne seront pas réintégrés ici (postures pénibles, vibrations mécaniques, manutention de charges lourdes, agents chimiques dangereux), mais les travailleurs usés par ce type de pénibilité auraient droit à une visite médicale à 61 ans, soit quelques mois avant une hypothétique retraite anticipée… et si tant est que la médecine du travail soit en mesure de l'appliquer.

La cotisation spécifique visant à inciter les employeurs à réduire l’exposition de leurs salariés à des facteurs de risques a été définitivement abandonnée.

Plutôt que de prévenir activement les mécanismes de pénibilité au travail, le Gouvernement préfère les constater en fin de carrière, quand il est déjà trop tard et qu’un travailleur subi la pénibilité durant toute sa carrière.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4738

3 mars 2023


 

Renvoi en commission

Motion présentée par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


TENDANT AU RENVOI EN COMMISSION


En application de l’article 44, alinéa 5, du Règlement, le Sénat décide qu’il y a lieu de renvoyer à la commission l’article 1er du projet de loi de financement rectificatif de la sécurité sociale pour 2023 (n°368, 2022-2023).

Objet

L'article 1er supprime, pour les agents recrutés à compter du 1er septembre 2023, les régimes spéciaux de retraite de plusieurs entités :

-  Les industries électriques et gazières (IEG) telle qu’EDF ;

-  La Régie autonome des transports parisiens (RATP) ;

-  Les clercs et employés de notaire (CRPCEN) ;

-  La banque de France ;

-  Les Membres du Conseil économique social et environnemental (CESE).

En réalité, les régimes spéciaux ne concernent pas l’ensemble des salariés du secteur, mais uniquement ceux qui ont les conditions de travail les plus dures. Pour la RATP, les conducteurs et “mainteneurs” représentent 31 000 personnes sur 45 000. Pour l’ensemble du pays, en 2019, les retraités recevant une pension des “régimes spéciaux" étaient 6 % environ de l’ensemble de nos retraités.

Mettre fin aux régimes spéciaux sous prétexte d’équité et de supposée universalité est une diversion pour faire oublier, qu'à l'échelle de la société, tout le monde va pâtir du report de l’âge légal. Les régimes d’EDF et de la RATP par exemple, prévoient de meilleures anticipations de départ et une meilleure prise en compte de la pénibilité car ces travailleurs subissent une espérance de vie inférieure ou des incapacités importantes.

La « justice sociale et l'équité » serait justement d'appliquer de telles mesures sérieuses de prise en compte de la pénibilité à tous et toutes les travailleur.ses accomplissant des travaux pénibles, plutôt que de niveler par le bas !

Les membres de notre groupe écologiste, solidarité et territoires estiment que, plutôt que de niveler par le bas aveuglément, le sujet, son impact sur la vie de milliers de travailleur.ses, méritent d’être au préalable à minima débattus en commission.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4751

5 mars 2023


 

Renvoi en commission

Motion présentée par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


TENDANT AU RENVOI EN COMMISSION


En application de l’article 44, alinéa 5, du Règlement, le Sénat décide qu’il y a lieu de renvoyer à la commission l’article 10 du projet de loi de financement rectificatif de la sécurité sociale pour 2023 (n°368, 2022-2023).

Objet

Les sénatrices et les sénateurs du groupe Communiste Républicain Citoyen et Ecologiste demandent le renvoi en commission de cet article 10 prévoyant une revalorisation des pensions minimales.

Après les mensonges, les imprécisions, les mauvais calculs, les montants inexacts, le groupe CRCE estime nécessaire d'examiner cet article de manière approfondie.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4750

5 mars 2023


 

Renvoi en commission

Motion présentée par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


TENDANT AU RENVOI EN COMMISSION


En application de l’article 44, alinéa 5, du Règlement, le Sénat décide qu’il y a lieu de renvoyer à la commission l’article 7 du projet de loi de financement rectificatif de la sécurité sociale pour 2023 (n°368, 2022-2023).

Objet

Par cet amendement, les sénatrices et sénateurs du groupe Communiste Républicain Citoyen et Ecologiste demandent le renvoie en commission de l'article 7 qui prévoit le relèvement de l’âge légal de départ à 64 ans et à l'augmentation de la durée de cotisation à 43 ans.

Cette réforme impopulaire est rejetée par plus de 80% des français·es et par l'intersyndicale.

Cette réforme injuste amplifiera les inégalités pour les plus pauvres, les femmes, celles et ceux exerçant les métiers les plus durs, et va encore plus précariser les seniors.

Cette réforme est inefficace car le déficit des retraites est temporairement et partiellement résorbé par la réduction des pensions versées et l'accroissement des cotisations salariales.

Contrairement au Gouvernement nous portons un projet de société qui garantisse le droit à la retraite à 60 ans à taux plein avec 37,5 annuités de cotisation en mettant à contribution les employeurs, les revenus financiers, et l'Etat.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4740

4 mars 2023


 

Renvoi en commission

Motion présentée par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes POUMIROL et LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


TENDANT AU RENVOI EN COMMISSION


En application de l’article 44, alinéa 5, du Règlement, le Sénat décide qu’il y a lieu de renvoyer à la commission l’article 2 du projet de loi de financement rectificatif de la sécurité sociale pour 2023 (n°368, 2022-2023).

Objet

La note du Conseil d'Etat à l'attention du gouvernement sur ce PLFRSS, selon un grand quotidien, mentionnait un risque élevé d'inconstitutionnalité de cet article 2, risque auquel le gouvernement souscrit totalement puisqu'il a indiqué dans ce même article envisager d'ores et déjà son redépôt dans un autre véhicule législatif.

C'est pourquoi le Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain souhaite que la commission des affaires sociales puisse approfondir cet aspect spécifique de l'article 2, d'autant que celui-ci est sans effet sur l'amélioration de l'emploi des salariés âgés.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4734

2 mars 2023


 

Renvoi en commission

Motion présentée par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes FÉRET et LUBIN, M. KANNER, Mme CONCONNE, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


TENDANT AU RENVOI EN COMMISSION


En application de l’article 44, alinéa 5, du Règlement, le Sénat décide qu’il y a lieu de renvoyer à la commission l’article liminaire du projet de loi de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 (n° 368, 2022-2023).

Objet

La réforme des retraites examinée répond selon le Gouvernement à un impératif d'équilibre des comptes publics.

Or, en utilisant l’article 47-1 de la Constitution et en privilégiant une loi de financement plutôt qu’un projet de loi ordinaire, les sénatrices et sénateurs n’ont pas eu l’occasion d’examiner et de débattre au stade de la commission des autres alternatives. Pourtant, celles-ci supposent de poser la question des recettes du système, et par exemple de celle des exonérations de cotisations sociales, dont certaines sans aucun effet notable sur notre économie, mais coûteront à la branche vieillesse 18,9 milliards € en 2023, soit un peu plus que les 17,7 milliards € que le gouvernement dit chercher d'ici 2030 à travers sa réforme.

Ainsi, le travail en commission permanente aurait probablement permis d’examiner ces exonérations de cotisations sociales, dans un objectif d’optimisation et d’efficacité de la dépense publique à laquelle le Gouvernement affirme être attaché. Nul doute que ce travail dégagerait les dispositifs permettant d'abonder les 17 milliards d‘euros que le Gouvernement cherche et qui consistent en la première justification du Gouvernement de la réforme des retraites présentée.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4758

6 mars 2023


 

Renvoi en commission

Motion présentée par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes MEUNIER et LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


TENDANT AU RENVOI EN COMMISSION


En application de l’article 44, alinéa 5, du Règlement, le Sénat décide qu’il y a lieu de renvoyer à la commission l’article 5 du projet de loi de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023

Objet

Les sénatrices et les sénateurs du groupe Socialiste Écologiste et Républicain  demandent le renvoi en commission de cet article 5 confirmant l'objectif d'amortissement de la dette sociale par la CADES à hauteur de 17,7 milliards d'euros.

Le gouvernement a fait le choix de faire porter le coût de la pandémie de covid-19 à la sécurité sociale, à hauteur de 136 milliards d'euros. Une partie de la "dette covid" a été transférée à la CADES, venant gonfler le montant de la dette que cette caisse est censée rembourser. Ainsi, la CRDS a été prolongée après 2024 pour poursuivre l'amortissement stérile de cette dette.


Le remboursement de la dette sociale par la CADES est loin d'être anodin : En 2022, la CADES a perçu 19,9 milliards d'euros de ressources et a payé 1,2 milliards d’intérêts aux investisseurs. Depuis sa création, la CADES a ainsi versé plus de 70 milliards d'euros d’intérêts. C’est autant d’argent qui aurait pu être investi ailleurs, ce d’autant que le recours à la CADES est plus onéreux qu’un financement direct par l’État.

Le groupe SER estime nécessaire d'examiner cet article de manière approfondie afin notamment d'évaluer les possibilités de reprise de la dette sociale par l’État.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4752

5 mars 2023


 

Renvoi en commission

Motion présentée par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


TENDANT AU RENVOI EN COMMISSION


En application de l’article 44, alinéa 5, du Règlement, le Sénat décide qu’il y a lieu de renvoyer à la commission l’article 12 du projet de loi de financement rectificatif de la sécurité sociale pour 2023 (n°368, 2022-2023).

Objet

Les sénatrices et les sénateurs du groupe Communiste républicain citoyen et écologiste demandent le renvoi en commission de l'article 12 qui prévoit l'amélioration de la situation des aidants pour la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 125

23 février 2023


 

Question préalable

Motion présentée par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. GONTARD, BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, LABBÉ, PARIGI et SALMON


TENDANT À OPPOSER LA QUESTION PRÉALABLE


En application de l’article 44, alinéa 3, du Règlement, le Sénat décide qu’il n’y a pas lieu de poursuivre la délibération sur le projet de loi de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 (n° 368, 2022-2023).

Objet

Par ce texte le gouvernement s’apprête, main dans la main avec la majorité de droite et centriste du Sénat, à porter atteinte aux droits à la retraite de millions de nos concitoyen.nes et à notre système de retraite par répartition.

Par cette question préalable nous nous opposons à un projet de loi, qui contrairement aux annonces de l’exécutif, ne permettra :

-       ni d’équilibrer financièrement le système ;

-       ni de préserver le système par répartition ;

-       ni de garantir une retraite minimum de 1 200 € par mois ;

-       … mais aura pour effets : tout le contraire !

En repoussant de deux ans l’âge d’ouverture des droits à la retraite, l’objet de ce texte n’est en effet ni plus ni moins de faire peser l’équilibre du système de retraite sur le dos des travailleur.ses, plutôt que sur le capital.

Ne parvenant pas à défendre son projet, le gouvernement a souhaité museler et tronquer le débat par le recours à un texte de financement, avec le PLFRSS. Cet usage, pour ce qui aurait dû être un projet de loi ordinaire relatif à notre système de retraite, constitue un véritable dévoiement de l’article 47-1 de la Constitution française.

Alors même que le budget de la sécurité sociale et des retraites sera excédentaire sur l’année 2023, rien ne peut justifier le recours à un examen accéléré, à marche forcée, qui contraint les débats de notre chambre à 15 jours. Passé ce délai, le gouvernement pourra ensuite, sans légitimité démocratique, appliquer les mesures de son texte par voie d’ordonnances, sans pour autant se justifier quant à une éventuelle nécessité d’assurer la continuité de la vie nationale.

Ainsi, après les alertes du Conseil d’Etat et du Président du Conseil constitutionnel, les articles non financiers relatifs à « l'index des seniors » ou à la modification « des critères de pénibilité » devraient être supprimés pour raison d’inconstitutionnalité. Le texte se verra ainsi amputé des rares mesures d’atténuation de la brutalité de la réforme, renforçant le déséquilibre du texte en défaveur du monde du travail et portant atteinte à la sincérité des débats.

En raison d’un texte qui impactera négativement la vie de la grande majorité de nos concitoyen.nes, d’une méthode qui vise à empêcher le débat et du manque de sincérité du texte qui nous est présenté, il paraît inutile de procéder à toute délibération au fond.

En conséquence, les sénateurs et sénatrices du groupe écologiste, solidarité et territoires considèrent, par le dépôt de cette question préalable, qu’il n’y a pas lieu d’engager la discussion du texte soumis à l’examen du Sénat.



NB :En application de l'article 44, alinéa 3, du Règlement, cette motion est soumise au Sénat avant les orateurs des groupes.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme ASSASSI


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Avec cet amendement de suppression, nous souhaitons dénoncer le caractère financier de cette réforme, qui n'a pour objectif que de contenir un peu plus la hausse des dépenses de retraites afin de se conformer à l'objectif de croissance de dépenses à 0,6% fixé dans le programme de stabilité et dans le projet de loi de programmation des finances publiques. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 126

23 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Au cours du premier mandat d’Emmanuel Macron, les baisses d’impôts, essentiellement au profit des grandes entreprises et des contribuables les plus fortunés - telles que la suppression de l’ISF ou la Flat Tax -, ont amputé le budget général de l’État de 50 milliards d’euros par an, selon Bercy même.

Le choix de procéder à une nouvelle suppression de recettes pour les comptes publics que représente la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) - dont les recettes annuelles s’élèvent à plus de 12 milliards d’euros en moyenne - illustre le choix du gouvernement de creuser le déficit, et justifiera ensuite l’austérité des dépenses publiques auprès de la commission européenne.

Il en va de même pour le faible  déficit du système de retraites, sur le budget de la Sécurité sociale. Les déficits prévus pour 2023 ne résultent pas d’un déséquilibre démographique, mais du démantèlement depuis 2010 du fonds de réserve pour les retraites, du tarissement délibéré des ressources et des politiques austéritaires, à commencer par la fonction publique, du nombre de fonctionnaires et du gel du point d’indice.

C’est pourquoi par cet amendement nous proposons la suppression de cet article liminaire, symbole de la vision étriquée et des objectifs financiers du gouvernement de sa contre-réforme des retraites.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 127

23 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. GONTARD


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Au cours du premier mandat d’Emmanuel Macron, les baisses d’impôts, essentiellement au profit des grandes entreprises et des contribuables les plus fortunés - telles que la suppression de l’ISF ou la Flat Tax -, ont amputé le budget général de l’État de 50 milliards d’euros par an, selon Bercy même.

Le choix de procéder à une nouvelle suppression de recettes pour les comptes publics que représente la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) - dont les recettes annuelles s’élèvent à plus de 12 milliards d’euros en moyenne - illustre le choix du gouvernement de creuser le déficit, et justifiera ensuite l’austérité des dépenses publiques auprès de la commission européenne.

Il en va de même pour le faible  déficit du système de retraites, sur le budget de la Sécurité sociale. Les déficits prévus pour 2023 ne résultent pas d’un déséquilibre démographique, mais du démantèlement depuis 2010 du fonds de réserve pour les retraites, du tarissement délibéré des ressources et des politiques austéritaires, à commencer par la fonction publique, du nombre de fonctionnaires et du gel du point d’indice.

C’est pourquoi par cet amendement nous proposons la suppression de cet article liminaire, symbole de la vision étriquée et des objectifs financiers du gouvernement de sa contre-réforme des retraites.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 128

23 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Au cours du premier mandat d’Emmanuel Macron, les baisses d’impôts, essentiellement au profit des grandes entreprises et des contribuables les plus fortunés - telles que la suppression de l’ISF ou la Flat Tax -, ont amputé le budget général de l’État de 50 milliards d’euros par an, selon Bercy même.

Le choix de procéder à une nouvelle suppression de recettes pour les comptes publics que représente la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) - dont les recettes annuelles s’élèvent à plus de 12 milliards d’euros en moyenne - illustre le choix du gouvernement de creuser le déficit, et justifiera ensuite l’austérité des dépenses publiques auprès de la commission européenne.

Il en va de même pour le faible  déficit du système de retraites, sur le budget de la Sécurité sociale. Les déficits prévus pour 2023 ne résultent pas d’un déséquilibre démographique, mais du démantèlement depuis 2010 du fonds de réserve pour les retraites, du tarissement délibéré des ressources et des politiques austéritaires, à commencer par la fonction publique, du nombre de fonctionnaires et du gel du point d’indice.

C’est pourquoi par cet amendement nous proposons la suppression de cet article liminaire, symbole de la vision étriquée et des objectifs financiers du gouvernement de sa contre-réforme des retraites.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 279

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. FÉRAUD


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’article liminaire car il entérine financièrement une réforme paramétrique des retraites injustifiée et injuste.

Celle-ci répond à un impératif d’équilibre des comptes publics à la suite d’une politique intensive de cadeaux fiscaux aux grandes entreprises (fin de la CVAE) et aux ménages les plus riches (suppression de l’ISF, création de la flat tax...), mais aussi d’un transfert de la dette covid-19 sur les comptes de la protection sociale.

Or d’autres solutions existent : elles exigent de poser la question des recettes du système, question absolument tabou pour le gouvernement. Pourtant les exonérations de cotisations sociales, dont certaines sans aucun effet notable sur notre économie, coûteront à la branche vieillesse 18,9 milliards € en 2023, soit un peu plus que les 17,7 milliards € que le gouvernement cherche d’ici 2030 à travers sa réforme.

D’autant que ces 17,7 milliards escomptés ne tiennent pas compte des coûts induits du report à 64 ans de l’âge légal du départ à la retraite, pour l’assurance chômage et les minima sociaux.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 311

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. PLA


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’article liminaire car il entérine financièrement une réforme paramétrique des retraites injustifiée et injuste.

Celle-ci répond à un impératif d’équilibre des comptes publics à la suite d’une politique intensive de cadeaux fiscaux aux grandes entreprises (fin de la CVAE) et aux ménages les plus riches (suppression de l’ISF, création de la flat tax...), mais aussi d’un transfert de la dette covid-19 sur les comptes de la protection sociale.

Or d’autres solutions existent : elles exigent de poser la question des recettes du système, question absolument tabou pour le gouvernement. Pourtant les exonérations de cotisations sociales, dont certaines sans aucun effet notable sur notre économie, coûteront à la branche vieillesse 18,9 milliards € en 2023, soit un peu plus que les 17,7 milliards € que le gouvernement cherche d’ici 2030 à travers sa réforme.

D’autant que ces 17,7 milliards escomptés ne tiennent pas compte des coûts induits du report à 64 ans de l’âge légal du départ à la retraite, pour l’assurance chômage et les minima sociaux.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 341

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme BRIQUET


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’article liminaire car il entérine financièrement une réforme paramétrique des retraites injustifiée et injuste.
Celle-ci répond à un impératif d’équilibre des comptes publics à la suite d’une politique intensive de cadeaux fiscaux aux grandes entreprises (fin de la CVAE) et aux ménages les plus riches (suppression de l’ISF, création de la flat tax...), mais aussi d’un transfert de la dette covid-19 sur les comptes de la protection sociale.
Or d’autres solutions existent : elles exigent de poser la question des recettes du système, question absolument tabou pour le gouvernement. Pourtant les exonérations de cotisations sociales, dont certaines sans aucun effet notable sur notre économie, coûteront à la branche vieillesse 18,9 milliards € en 2023, soit un peu plus que les 17,7 milliards € que le gouvernement cherche d’ici 2030 à travers sa réforme.
D’autant que ces 17,7 milliards escomptés ne tiennent pas compte des coûts induits du report à 64 ans de l’âge légal du départ à la retraite, pour l’assurance chômage et les minima sociaux.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 365

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme FÉRET


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’article liminaire car il entérine financièrement une réforme paramétrique des retraites injustifiée et injuste.

Celle-ci répond à un impératif d’équilibre des comptes publics à la suite d’une politique intensive de cadeaux fiscaux aux grandes entreprises (fin de la CVAE) et aux ménages les plus riches (suppression de l’ISF, création de la flat tax...), mais aussi d’un transfert de la dette Covid-19 sur les comptes de la protection sociale.

Or d’autres solutions existent : elles exigent de poser la question des recettes du système, question absolument tabou pour le Gouvernement. Pourtant les exonérations de cotisations sociales, dont certaines sans aucun effet notable sur notre économie, coûteront à la branche vieillesse 18,9 milliards € en 2023, soit un peu plus que les 17,7 milliards € que le Gouvernement cherche d’ici 2030 à travers sa réforme.

D’autant que ces 17,7 milliards escomptés ne tiennent pas compte des coûts induits du report à 64 ans de l’âge légal de départ à la retraite, pour l’assurance chômage et les minima sociaux.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 448

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. FICHET


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’article liminaire car il entérine financièrement une réforme paramétrique des retraites injustifiée et injuste.

Celle-ci répond à un impératif d’équilibre des comptes publics à la suite d’une politique intensive de cadeaux fiscaux aux grandes entreprises (fin de la CVAE) et aux ménages les plus riches (suppression de l’ISF, création de la flat tax...), mais aussi d’un transfert de la dette covid-19 sur les comptes de la protection sociale.

Or d’autres solutions existent : elles exigent de poser la question des recettes du système, question absolument tabou pour le gouvernement. Pourtant les exonérations de cotisations sociales, dont certaines sans aucun effet notable sur notre économie, coûteront à la branche vieillesse 18,9 milliards € en 2023, soit un peu plus que les 17,7 milliards € que le gouvernement cherche d’ici 2030 à travers sa réforme.

D’autant que ces 17,7 milliards escomptés ne tiennent pas compte des coûts induits du report à 64 ans de l’âge légal du départ à la retraite, pour l’assurance chômage et les minima sociaux.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 483

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. CHANTREL


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’article liminaire car il entérine financièrement une réforme paramétrique des retraites injustifiée et injuste.

Celle-ci répond à un impératif d’équilibre des comptes publics à la suite d’une politique intensive de cadeaux fiscaux aux grandes entreprises (fin de la CVAE) et aux ménages les plus riches (suppression de l’ISF, création de la flat tax...), mais aussi d’un transfert de la dette covid-19 sur les comptes de la protection sociale.

Or d’autres solutions existent : elles exigent de poser la question des recettes du système, question absolument tabou pour le gouvernement. Pourtant les exonérations de cotisations sociales, dont certaines sans aucun effet notable sur notre économie, coûteront à la branche vieillesse 18,9 milliards € en 2023, soit un peu plus que les 17,7 milliards € que le gouvernement cherche d’ici 2030 à travers sa réforme.

D’autant que ces 17,7 milliards escomptés ne tiennent pas compte des coûts induits du report à 64 ans de l’âge légal du départ à la retraite, pour l’assurance chômage et les minima sociaux.






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N° 517

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. GILLÉ


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’article liminaire car il entérine financièrement une réforme paramétrique des retraites injustifiée et injuste.

Celle-ci répond à un impératif d’équilibre des comptes publics à la suite d’une politique intensive de cadeaux fiscaux aux grandes entreprises (fin de la CVAE) et aux ménages les plus riches (suppression de l’ISF, création de la flat tax...), mais aussi d’un transfert de la dette covid-19 sur les comptes de la protection sociale.

Or d’autres solutions existent : elles exigent de poser la question des recettes du système, question absolument tabou pour le gouvernement. Pourtant les exonérations de cotisations sociales, dont certaines sans aucun effet notable sur notre économie, coûteront à la branche vieillesse 18,9 milliards € en 2023, soit un peu plus que les 17,7 milliards € que le gouvernement cherche d’ici 2030 à travers sa réforme.

D’autant que ces 17,7 milliards escomptés ne tiennent pas compte des coûts induits du report à 64 ans de l’âge légal du départ à la retraite, pour l’assurance chômage et les minima sociaux.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 566

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme de LA GONTRIE


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’article liminaire car il entérine financièrement une réforme paramétrique des retraites injustifiée et injuste.

Celle-ci répond à un impératif d’équilibre des comptes publics à la suite d’une politique intensive de cadeaux fiscaux aux grandes entreprises (fin de la CVAE) et aux ménages les plus riches (suppression de l’ISF, création de la flat tax...), mais aussi d’un transfert de la dette covid-19 sur les comptes de la protection sociale.

Or d’autres solutions existent : elles exigent de poser la question des recettes du système, question absolument tabou pour le gouvernement. Pourtant les exonérations de cotisations sociales, dont certaines sans aucun effet notable sur notre économie, coûteront à la branche vieillesse 18,9 milliards € en 2023, soit un peu plus que les 17,7 milliards € que le gouvernement cherche d’ici 2030 à travers sa réforme.

D’autant que ces 17,7 milliards escomptés ne tiennent pas compte des coûts induits du report à 64 ans de l’âge légal du départ à la retraite, pour l’assurance chômage et les minima sociaux.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 578

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. REDON-SARRAZY


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’article liminaire car il entérine financièrement une réforme paramétrique des retraites injustifiée et injuste.

Celle-ci répond à un impératif d’équilibre des comptes publics à la suite d’une politique intensive de cadeaux fiscaux aux grandes entreprises (fin de la CVAE) et aux ménages les plus riches (suppression de l’ISF, création de la flat tax...), mais aussi d’un transfert de la dette covid-19 sur les comptes de la protection sociale.

Or d’autres solutions existent : elles exigent de poser la question des recettes du système, question absolument tabou pour le gouvernement. Pourtant les exonérations de cotisations sociales, dont certaines sans aucun effet notable sur notre économie, coûteront à la branche vieillesse 18,9 milliards € en 2023, soit un peu plus que les 17,7 milliards € que le gouvernement cherche d’ici 2030 à travers sa réforme.

D’autant que ces 17,7 milliards escomptés ne tiennent pas compte des coûts induits du report à 64 ans de l’âge légal du départ à la retraite, pour l’assurance chômage et les minima sociaux.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 665

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LE HOUEROU


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’article liminaire car il entérine financièrement une réforme paramétrique des retraites injustifiée et injuste.

Celle-ci répond à un impératif d’équilibre des comptes publics à la suite d’une politique intensive de cadeaux fiscaux aux grandes entreprises (fin de la CVAE) et aux ménages les plus riches (suppression de l’ISF, création de la flat tax...), mais aussi d’un transfert de la dette covid-19 sur les comptes de la protection sociale.

Or d’autres solutions existent : elles exigent de poser la question des recettes du système, question absolument tabou pour le gouvernement. Pourtant les exonérations de cotisations sociales, dont certaines sans aucun effet notable sur notre économie, coûteront à la branche vieillesse 18,9 milliards € en 2023, soit un peu plus que les 17,7 milliards € que le gouvernement cherche d’ici 2030 à travers sa réforme.

D’autant que ces 17,7 milliards escomptés ne tiennent pas compte des coûts induits du report à 64 ans de l’âge légal du départ à la retraite, pour l’assurance chômage et les minima sociaux.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 695

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme BLATRIX CONTAT


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’article liminaire car il entérine financièrement une réforme paramétrique des retraites injustifiée et injuste.

Celle-ci répond à un impératif d’équilibre des comptes publics à la suite d’une politique intensive de cadeaux fiscaux aux grandes entreprises (fin de la CVAE) et aux ménages les plus riches (suppression de l’ISF, création de la flat tax...), mais aussi d’un transfert de la dette covid-19 sur les comptes de la protection sociale.

Or d’autres solutions existent : elles exigent de poser la question des recettes du système, question absolument tabou pour le gouvernement. Pourtant les exonérations de cotisations sociales, dont certaines sans aucun effet notable sur notre économie, coûteront à la branche vieillesse 18,9 milliards € en 2023, soit un peu plus que les 17,7 milliards € que le gouvernement cherche d’ici 2030 à travers sa réforme.

D’autant que ces 17,7 milliards escomptés ne tiennent pas compte des coûts induits du report à 64 ans de l’âge légal du départ à la retraite, pour l’assurance chômage et les minima sociaux.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 725

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. Mickaël VALLET


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’article liminaire car il entérine financièrement une réforme paramétrique des retraites injustifiée et injuste.

Celle-ci répond à un impératif d’équilibre des comptes publics à la suite d’une politique intensive de cadeaux fiscaux aux grandes entreprises (fin de la CVAE) et aux ménages les plus riches (suppression de l’ISF, création de la flat tax...), mais aussi d’un transfert de la dette covid-19 sur les comptes de la protection sociale.

Or d’autres solutions existent : elles exigent de poser la question des recettes du système, question absolument tabou pour le gouvernement. Pourtant les exonérations de cotisations sociales, dont certaines sans aucun effet notable sur notre économie, coûteront à la branche vieillesse 18,9 milliards € en 2023, soit un peu plus que les 17,7 milliards € que le gouvernement cherche d’ici 2030 à travers sa réforme.

D’autant que ces 17,7 milliards escomptés ne tiennent pas compte des coûts induits du report à 64 ans de l’âge légal du départ à la retraite, pour l’assurance chômage et les minima sociaux.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 807

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. JACQUIN


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

La réforme des retraites ne devrait pas passer par une loi de finances rectificatives de la sécurité sociale tant elle engage la vie de toutes Françaises et de tous les Français.

Elle est inopportune et rejetée par l'immense majorité de nos concitoyennes et de nos concitoyens, par toutes les travailleuses et tous les travailleurs du pays. Dès lors cet article liminaire, obligatoire dans une loi de finances de la sécurité sociale, qui entérine financièrement cette réforme des retraites injuste et injustifiée doit être supprimé.

Loin d'être une véritable réforme du fonctionnement global de notre système de retraites, cette réforme est purement paramétrique, conservatrice, injustifiée et injuste.

Elle ne répond qu'au seul impératif d’équilibre des comptes publics à la suite d’une politique intensive de cadeaux fiscaux aux grandes entreprises (fin de la CVAE) et aux ménages les plus riches (suppression de l’ISF, création de la flat tax...), mais aussi d’un transfert de la dette covid-19 sur les comptes de la protection sociale.

Or d’autres solutions existent : elles exigent de poser la question des recettes du système, question absolument tabou pour le gouvernement. Pourtant les exonérations de cotisations sociales, dont certaines sans aucun effet notable sur notre économie, coûteront à la branche vieillesse 18,9 milliards € en 2023, soit un peu plus que les 17,7 milliards € que le gouvernement cherche d’ici 2030 à travers sa réforme.

D’autant que ces 17,7 milliards escomptés ne tiennent pas compte des coûts induits du report à 64 ans de l’âge légal du départ à la retraite, pour l’assurance chômage et les minima sociaux.

Le gouvernement crie à l'urgence, il est démenti par le Conseil d'orientation des retraites, par de nombreux économistes, par l'intégralité des syndicats et même certaines organisations patronales.

Il est urgent de retirer ce texte, de reprendre de véritables discussions et d'envisager une véritable réforme qui alliera sauvegarde de la répartition et progrès social.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 820

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. LOZACH


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’article liminaire car il entérine financièrement une réforme paramétrique des retraites injustifiée et injuste.

Celle-ci répond à un impératif d’équilibre des comptes publics à la suite d’une politique intensive de cadeaux fiscaux aux grandes entreprises (fin de la CVAE) et aux ménages les plus riches (suppression de l’ISF, création de la flat tax...), mais aussi d’un transfert de la dette covid-19 sur les comptes de la protection sociale.

Or d’autres solutions existent : elles exigent de poser la question des recettes du système, question absolument tabou pour le gouvernement. Pourtant les exonérations de cotisations sociales, dont certaines sans aucun effet notable sur notre économie, coûteront à la branche vieillesse 18,9 milliards € en 2023, soit un peu plus que les 17,7 milliards € que le gouvernement cherche d’ici 2030 à travers sa réforme.

D’autant que ces 17,7 milliards escomptés ne tiennent pas compte des coûts induits du report à 64 ans de l’âge légal du départ à la retraite, pour l’assurance chômage et les minima sociaux.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 860

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. DURAIN


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’article liminaire car il entérine financièrement une réforme paramétrique des retraites injustifiée et injuste.

Celle-ci répond à un impératif d’équilibre des comptes publics à la suite d’une politique intensive de cadeaux fiscaux aux grandes entreprises (fin de la CVAE) et aux ménages les plus riches (suppression de l’ISF, création de la flat tax...), mais aussi d’un transfert de la dette covid-19 sur les comptes de la protection sociale.

Or d’autres solutions existent : elles exigent de poser la question des recettes du système, question absolument tabou pour le gouvernement. Pourtant les exonérations de cotisations sociales, dont certaines sans aucun effet notable sur notre économie, coûteront à la branche vieillesse 18,9 milliards € en 2023, soit un peu plus que les 17,7 milliards € que le gouvernement cherche d’ici 2030 à travers sa réforme.

D’autant que ces 17,7 milliards escomptés ne tiennent pas compte des coûts induits du report à 64 ans de l’âge légal du départ à la retraite, pour l’assurance chômage et les minima sociaux.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 895

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. LUREL


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’article liminaire car il entérine financièrement une réforme paramétrique des retraites injustifiée et injuste.

Celle-ci répond à un impératif d’équilibre des comptes publics à la suite d’une politique intensive de cadeaux fiscaux aux grandes entreprises (fin de la CVAE) et aux ménages les plus riches (suppression de l’ISF, création de la flat tax...), mais aussi d’un transfert de la dette covid-19 sur les comptes de la protection sociale.

Or d’autres solutions existent : elles exigent de poser la question des recettes du système, question absolument tabou pour le gouvernement. Pourtant les exonérations de cotisations sociales, dont certaines sans aucun effet notable sur notre économie, coûteront à la branche vieillesse 18,9 milliards € en 2023, soit un peu plus que les 17,7 milliards € que le gouvernement cherche d’ici 2030 à travers sa réforme.

D’autant que ces 17,7 milliards escomptés ne tiennent pas compte des coûts induits du report à 64 ans de l’âge légal du départ à la retraite, pour l’assurance chômage et les minima sociaux.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 929

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme ARTIGALAS


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’article liminaire car il entérine financièrement une réforme paramétrique des retraites injustifiée et injuste.

Celle-ci répond à un impératif d’équilibre des comptes publics à la suite d’une politique intensive de cadeaux fiscaux aux grandes entreprises (fin de la CVAE) et aux ménages les plus riches (suppression de l’ISF, création de la flat tax...), mais aussi d’un transfert de la dette covid-19 sur les comptes de la protection sociale.

Or d’autres solutions existent : elles exigent de poser la question des recettes du système, question absolument tabou pour le gouvernement. Pourtant les exonérations de cotisations sociales, dont certaines sans aucun effet notable sur notre économie, coûteront à la branche vieillesse 18,9 milliards € en 2023, soit un peu plus que les 17,7 milliards € que le gouvernement cherche d’ici 2030 à travers sa réforme.

D’autant que ces 17,7 milliards escomptés ne tiennent pas compte des coûts induits du report à 64 ans de l’âge légal du départ à la retraite, pour l’assurance chômage et les minima sociaux.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 940

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. CARDON


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’article liminaire car il entérine financièrement une réforme paramétrique des retraites injustifiée et injuste.
Celle-ci répond à un impératif d’équilibre des comptes publics à la suite d’une politique intensive de cadeaux fiscaux aux grandes entreprises (fin de la CVAE) et aux ménages les plus riches (suppression de l’ISF, création de la flat tax...), mais aussi d’un transfert de la dette covid-19 sur les comptes de la protection sociale.
Or d’autres solutions existent : elles exigent de poser la question des recettes du système, question absolument tabou pour le gouvernement. Pourtant les exonérations de cotisations sociales, dont certaines sans aucun effet notable sur notre économie, coûteront à la branche vieillesse 18,9 milliards € en 2023, soit un peu plus que les 17,7 milliards € que le gouvernement cherche d’ici 2030 à travers sa réforme.
D’autant que ces 17,7 milliards escomptés ne tiennent pas compte des coûts induits du report à 64 ans de l’âge légal du départ à la retraite, pour l’assurance chômage et les minima sociaux.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 979

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. RAYNAL


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’article liminaire car il entérine financièrement une réforme paramétrique des retraites injustifiée et injuste.

Celle-ci répond à un impératif d’équilibre des comptes publics à la suite d’une politique intensive de cadeaux fiscaux aux grandes entreprises (fin de la CVAE) et aux ménages les plus riches (suppression de l’ISF, création de la flat tax...), mais aussi d’un transfert de la dette covid-19 sur les comptes de la protection sociale.

Or d’autres solutions existent : elles exigent de poser la question des recettes du système, question absolument tabou pour le gouvernement. Pourtant les exonérations de cotisations sociales, dont certaines sans aucun effet notable sur notre économie, coûteront à la branche vieillesse 18,9 milliards € en 2023, soit un peu plus que les 17,7 milliards € que le gouvernement cherche d’ici 2030 à travers sa réforme.

D’autant que ces 17,7 milliards escomptés ne tiennent pas compte des coûts induits du report à 64 ans de l’âge légal du départ à la retraite, pour l’assurance chômage et les minima sociaux.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1007

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. STANZIONE


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’article liminaire car il entérine financièrement une réforme paramétrique des retraites injustifiée et injuste.

Encore une fois, l’effort est demandé aux classes moyennes, aux travailleurs, à ceux qui doivent déjà faire face à l’augmentation du coût de la vie. Cette situation est difficilement acceptable d’autant que d’autres solutions existent.

Les grandes entreprises qui ont fait des bénéfices considérables peuvent contribuer à la solidarité nationale pour la retraite, épargnant ainsi les petites entreprises et les artisans.

Mr Macron a mené une politique intensive de cadeaux fiscaux aux grandes entreprises (fin de la CVAE) et aux ménages les plus riches (suppression de l’ISF, création de la flat tax...), et de transfert de la dette covid-19 sur les comptes de la protection sociale.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1028

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme Gisèle JOURDA


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

L’article liminaire entérine financièrement une réforme paramétrique des retraites injuste.

Celle-ci répond à un impératif d’équilibre des comptes publics à la suite d’une politique intensive de cadeaux fiscaux aux grandes entreprises (fin de la CVAE) et aux ménages les plus riches (suppression de l’ISF, création de la flat tax...), mais aussi d’un transfert de la dette covid-19 sur les comptes de la protection sociale, ce qui a conduit à un appauvrissement durable des comptes sociaux. L'occasion pour le gouvernement de justifier sa réforme des retraites. 

Or d’autres solutions existent : elles exigent de poser la question des recettes du système, question absolument tabou pour le gouvernement. Alors que nous devrions collectivement augmenter la part du revenu et de la production consacrée à notre système de retraites et plus largement à notre protection sociale, le gouvernement fait le choix des exonérations de cotisations sociales, dont certaines, sans aucun effet notable sur notre économie, coûteront à la branche vieillesse 18,9 milliards € en 2023, soit un peu plus que les 17,7 milliards € escomptés d’ici 2030.

D’autant que ces 17,7 milliards escomptés ne tiennent pas compte des coûts induits du report à 64 ans de l’âge légal du départ à la retraite, pour l’assurance chômage et les minima sociaux.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1058

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. HOULLEGATTE


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’article liminaire car il entérine financièrement une réforme paramétrique des retraites injustifiée et injuste.
Celle-ci répond à un impératif d’équilibre des comptes publics à la suite d’une politique intensive de cadeaux fiscaux aux grandes entreprises (fin de la CVAE) et aux ménages les plus riches (suppression de l’ISF, création de la flat tax...), mais aussi d’un transfert de la dette covid-19 sur les comptes de la protection sociale.
Or d’autres solutions existent : elles exigent de poser la question des recettes du système, question absolument tabou pour le gouvernement. Pourtant les exonérations de cotisations sociales, dont certaines sans aucun effet notable sur notre économie, coûteront à la branche vieillesse 18,9 milliards € en 2023, soit un peu plus que les 17,7 milliards € que le gouvernement cherche d’ici 2030 à travers sa réforme.
D’autant que ces 17,7 milliards escomptés ne tiennent pas compte des coûts induits du report à 64 ans de l’âge légal du départ à la retraite, pour l’assurance chômage et les minima sociaux.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1074

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. TISSOT


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’article liminaire car il entérine financièrement une réforme paramétrique des retraites injustifiée et injuste.

Celle-ci répond à un impératif d’équilibre des comptes publics à la suite d’une politique intensive de cadeaux fiscaux aux grandes entreprises (fin de la CVAE) et aux ménages les plus riches (suppression de l’ISF, création de la flat tax...), mais aussi d’un transfert de la dette covid-19 sur les comptes de la protection sociale.

Or d’autres solutions existent : elles exigent de poser la question des recettes du système, question absolument tabou pour le gouvernement. Pourtant les exonérations de cotisations sociales, dont certaines sans aucun effet notable sur notre économie, coûteront à la branche vieillesse 18,9 milliards € en 2023, soit un peu plus que les 17,7 milliards € que le gouvernement cherche d’ici 2030 à travers sa réforme.

D’autant que ces 17,7 milliards escomptés ne tiennent pas compte des coûts induits du report à 64 ans de l’âge légal du départ à la retraite, pour l’assurance chômage et les minima sociaux.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1095

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. ÉBLÉ


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’article liminaire car il entérine financièrement une réforme paramétrique des retraites injustifiée et injuste.

Celle-ci répond à un impératif d’équilibre des comptes publics à la suite d’une politique intensive de cadeaux fiscaux aux grandes entreprises (fin de la CVAE) et aux ménages les plus riches (suppression de l’ISF, création de la flat tax...), mais aussi d’un transfert de la dette covid-19 sur les comptes de la protection sociale.

Or d’autres solutions existent : elles exigent de poser la question des recettes du système, question absolument tabou pour le gouvernement. Pourtant les exonérations de cotisations sociales, dont certaines sans aucun effet notable sur notre économie, coûteront à la branche vieillesse 18,9 milliards € en 2023, soit un peu plus que les 17,7 milliards € que le gouvernement cherche d’ici 2030 à travers sa réforme.

D’autant que ces 17,7 milliards escomptés ne tiennent pas compte des coûts induits du report à 64 ans de l’âge légal du départ à la retraite, pour l’assurance chômage et les minima sociaux.

 






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1145 rect. bis

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’article liminaire car il entérine financièrement une réforme paramétrique des retraites injustifiée et injuste.

Celle-ci répond à un impératif d'équilibre des comptes publics à la suite d'une politique intensive de cadeaux fiscaux aux grandes entreprises (fin de la CVAE) et aux ménages les plus riches (suppression de l'ISF, création de la flat tax...), mais aussi d'un transfert de la dette covid-19 sur les comptes de la protection sociale.

Or d'autres solutions existent : elles exigent de poser la question des recettes du système, question absolument tabou pour le gouvernement. Pourtant les exonérations de cotisations sociales, dont certaines sans aucun effet notable sur notre économie, coûteront à la branche vieillesse 18,9 milliards € en 2023, soit un peu plus que les 17,7 milliards € que le gouvernement cherche d'ici 2030 à travers sa réforme.

D'autant que ces 17,7 milliards escomptés ne tiennent pas compte des coûts induits du report à 64 ans de l'âge légal du départ à la retraite, pour l'assurance chômage et les minima sociaux.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1204

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. MÉRILLOU


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’article liminaire car il entérine financièrement une réforme paramétrique des retraites injustifiée et injuste.

Celle-ci ne vise en effet qu’à répondre à un impératif d’équilibre des comptes publics. Depuis son arrivée aux responsabilités, le Président de la République mène une politique intensive de cadeaux fiscaux aux grandes entreprises (fin de la CVAE) et aux ménages les plus riches (suppression de l’ISF, création de la flat tax...), mais aussi d’un transfert de la dette covid-19 sur les comptes de la protection sociale.

Cependant, cette réforme injuste et rejetée par la majorité des Français n’est pas l’unique solution : il faut poser la question des recettes du système, question que le gouvernement ne semble pas vouloir aborder. Pourtant les exonérations de cotisations sociales, dont certaines sans aucun effet notable sur notre économie, coûteront à la branche vieillesse 18,9 milliards € en 2023, soit un peu plus que les 17,7 milliards € que le gouvernement cherche d’ici 2030 à travers sa réforme.

D’autant que ces 17,7 milliards escomptés ne tiennent pas compte des coûts induits du report à 64 ans de l’âge légal du départ à la retraite, pour l’assurance chômage et les minima sociaux.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1237

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme JASMIN


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

L’article liminaire de ce projet de loi, établit une prévision des soldes structurels et du solde effectif, des recettes et des dépenses de l’ensemble des administrations publiques pour 2023 .

Ces prévisions reprennent pour la plupart celles qui figuraient déjà dans la loi de programmation des finances publiques (LPFP) pour les années 2023 à 2027, soulignant d’ailleurs le peu d’impact de votre réforme des retraites sur les agrégats budgétaires nationaux en 2023.

Pour rappel, cette loi de programmation a été rejetée en première lecture, à l'Assemblée nationale, et nous , socialistes du Sénat, à l’époque déjà, avions refusé de la soutenir .

En effet, pour reprendre les termes de mon collègue Rémi Feraud, adressé au Gouvernement, lors de l’examen du texte « Votre projet de loi est trop fragile dans ses hypothèses, contestable, de notre point de vue, dans ses orientations idéologiques, déséquilibré dans la répartition de l’effort demandé aux français, inapte à répondre aux besoins du pays en matière sociale et écologique dans les prochaines années et risqué aussi – il faut le dire – quand on connaît le mécontentement social qui couve dans notre pays face aux injustices. »

En cohérence avec nos prises de positions antérieures, cet amendement vise donc à supprimer cet article liminaire qui porte en son sein, la caution d’une réforme des retraites commandée uniquement par un impératif budgétaire, et rejetée par une large majorité des français.

En effet, les français savent que cette réforme n’est pas motivée par des raisons inhérentes au système des retraites lui-même, mais plus pour permettre au Gouvernement d’afficher une réduction globale du déficit structurel, qu’il a lui-même aggravé (notamment par la baisse de la CVAE ou suite aux nombreux cadeaux fiscaux accordés aux ménages les plus riches (suppression de l’ISF, introduction de la flat-tax).

Il suffit donc de réintroduire dans les recettes de l’Etat, ces manques à gagner, discutables en terme d’équité sociale et couteux  fiscalement et rendant ainsi inutile, votre réforme des retraites injuste et mal préparée.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1267

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. MONTAUGÉ


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’article liminaire car il entérine financièrement une réforme paramétrique des retraites injustifiée et injuste.

Celle-ci répond à un impératif d’équilibre des comptes publics à la suite d’une politique intensive de cadeaux fiscaux aux grandes entreprises (fin de la CVAE) et aux ménages les plus riches (suppression de l’ISF, création de la flat tax...), mais aussi d’un transfert de la dette covid-19 sur les comptes de la protection sociale.

Or d’autres solutions existent : elles exigent de poser la question des recettes du système, question absolument tabou pour le gouvernement. Pourtant les exonérations de cotisations sociales, dont certaines sans aucun effet notable sur notre économie, coûteront à la branche vieillesse 18,9 milliards € en 2023, soit un peu plus que les 17,7 milliards € que le gouvernement cherche d’ici 2030 à travers sa réforme.

D’autant que ces 17,7 milliards escomptés ne tiennent pas compte des coûts induits du report à 64 ans de l’âge légal du départ à la retraite, pour l’assurance chômage et les minima sociaux.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1313

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme PRÉVILLE


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’article liminaire car il entérine financièrement une réforme paramétrique des retraites injustifiée et injuste.

Celle-ci répond à un impératif d’équilibre des comptes publics à la suite d’une politique intensive de cadeaux fiscaux aux grandes entreprises (fin de la CVAE) et aux ménages les plus riches (suppression de l’ISF, création de la flat tax...), mais aussi d’un transfert de la dette covid-19 sur les comptes de la protection sociale.

Or d’autres solutions existent : elles exigent de poser la question des recettes du système, question absolument tabou pour le gouvernement. Pourtant les exonérations de cotisations sociales, dont certaines sans aucun effet notable sur notre économie, coûteront à la branche vieillesse 18,9 milliards € en 2023, soit un peu plus que les 17,7 milliards € que le gouvernement cherche d’ici 2030 à travers sa réforme.

D’autant que ces 17,7 milliards escomptés ne tiennent pas compte des coûts induits du report à 64 ans de l’âge légal du départ à la retraite, pour l’assurance chômage et les minima sociaux.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1337

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. MARIE


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Cet article liminaire entérine financièrement une réforme paramétrique des retraites injustifiée et injuste.

Celle-ci répond à un impératif d’équilibre des comptes publics à la suite d’une politique intensive de cadeaux fiscaux aux grandes entreprises (fin de la CVAE) et aux ménages les plus riches (suppression de l’ISF, création de la flat tax...), mais aussi d’un transfert de la dette covid-19 sur les comptes de la protection sociale.

Or d’autres solutions existent : elles exigent de poser la question des recettes du système, question absolument tabou pour le gouvernement. Pourtant les exonérations de cotisations sociales, dont certaines sans aucun effet notable sur notre économie, coûteront à la branche vieillesse 18,9 milliards € en 2023, soit un peu plus que les 17,7 milliards € que le gouvernement cherche d’ici 2030 à travers sa réforme.

D’autant que ces 17,7 milliards escomptés ne tiennent pas compte des coûts induits du report à 64 ans de l’âge légal du départ à la retraite, pour l’assurance chômage et les minima sociaux.

Aussi, cet amendement vise à supprimer cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1370

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. BOURGI


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’article liminaire car il entérine financièrement une réforme paramétrique des retraites injustifiée et injuste.

Celle-ci répond à un impératif d’équilibre des comptes publics à la suite d’une politique intensive de cadeaux fiscaux aux grandes entreprises (fin de la CVAE) et aux ménages les plus riches (suppression de l’ISF, création de la flat tax...), mais aussi d’un transfert de la dette covid-19 sur les comptes de la protection sociale.

Or d’autres solutions existent : elles exigent de poser la question des recettes du système, question absolument tabou pour le gouvernement. Pourtant les exonérations de cotisations sociales, dont certaines sans aucun effet notable sur notre économie, coûteront à la branche vieillesse 18,9 milliards € en 2023, soit un peu plus que les 17,7 milliards € que le gouvernement cherche d’ici 2030 à travers sa réforme.

D’autant que ces 17,7 milliards escomptés ne tiennent pas compte des coûts induits du report à 64 ans de l’âge légal du départ à la retraite, pour l’assurance chômage et les minima sociaux.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1403

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. SUEUR


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’article liminaire car il entérine financièrement une réforme paramétrique des retraites injustifiée et injuste.

Celle-ci répond à un impératif d’équilibre des comptes publics à la suite d’une politique intensive de cadeaux fiscaux aux grandes entreprises (fin de la CVAE) et aux ménages les plus riches (suppression de l’ISF, création de la flat tax...), mais aussi d’un transfert de la dette covid-19 sur les comptes de la protection sociale.

Or d’autres solutions existent : elles exigent de poser la question des recettes du système, question absolument tabou pour le gouvernement. Pourtant les exonérations de cotisations sociales, dont certaines sans aucun effet notable sur notre économie, coûteront à la branche vieillesse 18,9 milliards € en 2023, soit un peu plus que les 17,7 milliards € que le gouvernement cherche d’ici 2030 à travers sa réforme.

D’autant que ces 17,7 milliards escomptés ne tiennent pas compte des coûts induits du report à 64 ans de l’âge légal du départ à la retraite, pour l’assurance chômage et les minima sociaux.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1433

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. KERROUCHE


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’article liminaire car il entérine financièrement une réforme paramétrique des retraites injustifiée et injuste.

Celle-ci répond à un impératif d’équilibre des comptes publics à la suite d’une politique intensive de cadeaux fiscaux aux grandes entreprises (fin de la CVAE) et aux ménages les plus riches (suppression de l’ISF, création de la flat tax...), mais aussi d’un transfert de la dette covid-19 sur les comptes de la protection sociale.

Or d’autres solutions existent : elles exigent de poser la question des recettes du système, question absolument taboue pour le Gouvernement.

Pourtant les exonérations de cotisations sociales, dont certaines sans aucun effet notable sur notre économie, coûteront à la branche vieillesse 18,9 milliards € en 2023, soit un peu plus que les 17,7 milliards € que le Gouvernement recherche d’ici 2030 à travers sa réforme.

D’autant que ces 17,7 milliards escomptés ne tiennent pas compte des coûts induits du report à 64 ans de l’âge légal du départ à la retraite, pour l’assurance chômage et les minimas sociaux.






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N° 1501

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme Martine FILLEUL


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’article liminaire car il entérine financièrement une réforme paramétrique des retraites injustifiée et injuste.

Celle-ci répond à un impératif d’équilibre des comptes publics à la suite d’une politique intensive de cadeaux fiscaux aux grandes entreprises (fin de la CVAE) et aux ménages les plus riches (suppression de l’ISF, création de la flat tax...), mais aussi d’un transfert de la dette covid-19 sur les comptes de la protection sociale.

Or d’autres solutions existent : elles exigent de poser la question des recettes du système, question absolument tabou pour le gouvernement. Pourtant les exonérations de cotisations sociales, dont certaines sans aucun effet notable sur notre économie, coûteront à la branche vieillesse 18,9 milliards € en 2023, soit un peu plus que les 17,7 milliards € que le gouvernement cherche d’ici 2030 à travers sa réforme.

D’autant que ces 17,7 milliards escomptés ne tiennent pas compte des coûts induits du report à 64 ans de l’âge légal du départ à la retraite, pour l’assurance chômage et les minima sociaux.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1540

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme MONIER


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’article liminaire car il entérine financièrement une réforme paramétrique des retraites injustifiée et injuste.

Celle-ci répond à un impératif d’équilibre des comptes publics à la suite d’une politique intensive de cadeaux fiscaux aux grandes entreprises (fin de la CVAE) et aux ménages les plus riches (suppression de l’ISF, création de la flat tax...), mais aussi d’un transfert de la dette covid-19 sur les comptes de la protection sociale.

Or d’autres solutions existent : elles exigent de poser la question des recettes du système, question absolument tabou pour le gouvernement. Pourtant les exonérations de cotisations sociales, dont certaines sans aucun effet notable sur notre économie, coûteront à la branche vieillesse 18,9 milliards € en 2023, soit un peu plus que les 17,7 milliards € que le gouvernement cherche d’ici 2030 à travers sa réforme.

D’autant que ces 17,7 milliards escomptés ne tiennent pas compte des coûts induits du report à 64 ans de l’âge légal du départ à la retraite, pour l’assurance chômage et les minima sociaux.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1578

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. ASSOULINE


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’article liminaire car il entérine financièrement une réforme paramétrique des retraites injustifiée et injuste.

Celle-ci répond à un impératif d’équilibre des comptes publics à la suite d’une politique intensive de cadeaux fiscaux aux grandes entreprises (fin de la CVAE) et aux ménages les plus riches (suppression de l’ISF, création de la flat tax...), mais aussi d’un transfert de la dette covid-19 sur les comptes de la protection sociale.

Or d’autres solutions existent : elles exigent de poser la question des recettes du système, question absolument tabou pour le gouvernement. Pourtant les exonérations de cotisations sociales, dont certaines sans aucun effet notable sur notre économie, coûteront à la branche vieillesse 18,9 milliards € en 2023, soit un peu plus que les 17,7 milliards € que le gouvernement cherche d’ici 2030 à travers sa réforme.

D’autant que ces 17,7 milliards escomptés ne tiennent pas compte des coûts induits du report à 64 ans de l’âge légal du départ à la retraite, pour l’assurance chômage et les minima sociaux.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1589

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. Joël BIGOT


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’article liminaire car il entérine financièrement une réforme paramétrique des retraites injuste alors que d'autres solutions existent et ne sont guère envisagées.






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N° 1619

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme POUMIROL


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’article liminaire car il entérine financièrement une réforme paramétrique des retraites injustifiée et injuste.

Celle-ci répond à un impératif d’équilibre des comptes publics à la suite d’une politique intensive de cadeaux fiscaux aux grandes entreprises (fin de la CVAE) et aux ménages les plus riches (suppression de l’ISF, création de la flat tax...), mais aussi d’un transfert de la dette covid-19 sur les comptes de la protection sociale.

Or d’autres solutions existent : elles exigent de poser la question des recettes du système, question absolument tabou pour le gouvernement. Pourtant les exonérations de cotisations sociales, dont certaines sans aucun effet notable sur notre économie, coûteront à la branche vieillesse 18,9 milliards € en 2023, soit un peu plus que les 17,7 milliards € que le gouvernement cherche d’ici 2030 à travers sa réforme.

D’autant que ces 17,7 milliards escomptés ne tiennent pas compte des coûts induits du report à 64 ans de l’âge légal du départ à la retraite, pour l’assurance chômage et les minima sociaux.






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N° 1649

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme MEUNIER


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’article liminaire car il entérine financièrement une réforme paramétrique des retraites injustifiée et injuste.

Celle-ci répond à un impératif d’équilibre des comptes publics à la suite d’une politique intensive de cadeaux fiscaux aux grandes entreprises (fin de la CVAE) et aux ménages les plus riches (suppression de l’ISF, création de la flat tax...), mais aussi d’un transfert de la dette covid-19 sur les comptes de la protection sociale.

Or d’autres solutions existent : elles exigent de poser la question des recettes du système, question absolument tabou pour le gouvernement. Pourtant les exonérations de cotisations sociales, dont certaines sans aucun effet notable sur notre économie, coûteront à la branche vieillesse 18,9 milliards € en 2023, soit un peu plus que les 17,7 milliards € que le gouvernement cherche d’ici 2030 à travers sa réforme.

D’autant que ces 17,7 milliards escomptés ne tiennent pas compte des coûts induits du report à 64 ans de l’âge légal du départ à la retraite, pour l’assurance chômage et les minima sociaux.







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N° 1661

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme BONNEFOY


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’article liminaire car il entérine financièrement une réforme paramétrique des retraites injuste alors que d'autres solutions existent et ne sont guère envisagées.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1690

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. LECONTE


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’article liminaire car il entérine financièrement une réforme paramétrique des retraites injustifiée et injuste.


Celle-ci répond à un impératif d’équilibre des comptes publics à la suite d’une politique intensive de cadeaux fiscaux aux grandes entreprises (fin de la CVAE) et aux ménages les plus riches (suppression de l’ISF, création de la flat tax...), mais aussi d’un transfert de la dette covid-19 sur les comptes de la protection sociale.


Or d’autres solutions existent : elles exigent de poser la question des recettes du système, question absolument tabou pour le gouvernement. Pourtant les exonérations de cotisations sociales, dont certaines sans aucun effet notable sur notre économie, coûteront à la branche vieillesse 18,9 milliards € en 2023, soit un peu plus que les 17,7 milliards € que le gouvernement cherche d’ici 2030 à travers sa réforme.


D’autant que ces 17,7 milliards escomptés ne tiennent pas compte des coûts induits du report à 64 ans de l’âge légal du départ à la retraite, pour l’assurance chômage et les minima sociaux.






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N° 1746

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. TODESCHINI


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’article liminaire car il entérine financièrement une réforme paramétrique des retraites injustifiée et injuste.

Celle-ci répond à un impératif d’équilibre des comptes publics à la suite d’une politique intensive de cadeaux fiscaux aux grandes entreprises (fin de la CVAE) et aux ménages les plus riches (suppression de l’ISF, création de la flat tax...), mais aussi d’un transfert de la dette covid-19 sur les comptes de la protection sociale.

Or d’autres solutions existent : elles exigent de poser la question des recettes du système, question absolument tabou pour le gouvernement. Pourtant les exonérations de cotisations sociales, dont certaines sans aucun effet notable sur notre économie, coûteront à la branche vieillesse 18,9 milliards € en 2023, soit un peu plus que les 17,7 milliards € que le gouvernement cherche d’ici 2030 à travers sa réforme.

D’autant que ces 17,7 milliards escomptés ne tiennent pas compte des coûts induits du report à 64 ans de l’âge légal du départ à la retraite, pour l’assurance chômage et les minima sociaux.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1816

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. KANNER


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’article liminaire car il entérine financièrement une réforme paramétrique des retraites injustifiée et injuste.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1868

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. COZIC


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’article liminaire car il entérine financièrement une réforme paramétrique des retraites injustifiée et injuste.

Celle-ci répond à un impératif d’équilibre des comptes publics à la suite d’une politique intensive de cadeaux fiscaux aux grandes entreprises (fin de la CVAE) et aux ménages les plus riches (suppression de l’ISF, création de la flat tax...), mais aussi d’un transfert de la dette covid-19 sur les comptes de la protection sociale.

Or d’autres solutions existent : elles exigent de poser la question des recettes du système, question absolument tabou pour le gouvernement. Pourtant les exonérations de cotisations sociales, dont certaines sans aucun effet notable sur notre économie, coûteront à la branche vieillesse 18,9 milliards € en 2023, soit un peu plus que les 17,7 milliards € que le gouvernement cherche d’ici 2030 à travers sa réforme.
D’autant que ces 17,7 milliards escomptés ne tiennent pas compte des coûts induits du report à 64 ans de l’âge légal du départ à la retraite, pour l’assurance chômage et les minima sociaux.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1898

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. Patrice JOLY


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’article liminaire car il entérine financièrement une réforme des retraites injustifiée et injuste.

Celle-ci répond à un impératif d’équilibre des comptes publics à la suite d’une politique intensive de cadeaux fiscaux aux grandes entreprises (fin de la CVAE) et aux ménages les plus riches (suppression de l’ISF, création de la flat tax...), mais aussi d’un transfert de la dette covid-19 sur les comptes de la protection sociale.

Grâce à la réforme, le Gouvernement prétend à une économie de 18 milliards d’euros, or d’autres ressources existent. Rien que sur l’année 2023, ce sont 30 à 50 milliards d’euros qui ont été gaspillé dans l’énergie car le Gouvernement n’a pas renégocié le prix de l’électricité.

Il faut aussi avoir le courage de poser la question des recettes du système :  les exonérations de cotisations sociales, dont certaines sans aucun effet notable sur notre économie, coûteront à la branche vieillesse 18,9 milliards € en 2023, soit un peu plus que les 17,7 milliards € que le gouvernement cherche d’ici 2030 à travers sa réforme.

D’autant que ces 17,7 milliards escomptés ne tiennent pas compte des coûts induits du report à 64 ans de l’âge légal du départ à la retraite, pour l’assurance chômage et les minima sociaux.

Enfin, cette réforme est inopportune :  notre pays est structurellement abîmé, qu’il s’agisse de son industrie ou des investissements. En effet, selon les prévisions de la Commission européenne publiées récemment, sur les vingt pays de la zone euro, la France est celui où l’investissement reculera le plus en 2023. C’est pourquoi, au lieu d’engager une réforme injuste et inutile des retraites, il aurait été préférable de s’attaquer à l’état de la France, de son industrie et des investissements à entreprendre.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1944 rect. ter

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. Étienne BLANC, Mme GOY-CHAVENT, MM. MANDELLI et SAURY, Mmes Valérie BOYER et BELRHITI, MM. GENET, PELLEVAT, FRASSA, BASCHER, HOUPERT et SEGOUIN, Mme de CIDRAC, MM. BONNE et SAUTAREL, Mme ESTROSI SASSONE, MM. CUYPERS, ROJOUAN et PIEDNOIR et Mmes BOULAY-ESPÉRONNIER et BONFANTI-DOSSAT


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

L’article liminaire établit les soldes structurels et le solde effectif de l’ensemble des administrations publiques, entérinant le déficit structurel de notre système de retraites en raison de l’inversion du rapport démographique.

Si un excédent de 900 millions d’euros en 2021 a été mesuré du fait de la création d’emplois salariés qui a augmenté les recettes, le déficit va rapidement se creuser, et ce de façon importante. Il s'établirait à 12 milliards d'euros en 2027, 14 milliards en 2030, et 21 milliards à l'horizon 2035 (0,5 à 0,8 point de PIB). Les déficits seraient persistants sur les vingt-cinq prochaines années, même si la situation s'améliorerait sur le long terme. 

Le présent amendement conteste ainsi le fait que la dette devienne une modalité normale et pérenne du financement des retraites qui ressemble à une pyramide de Ponzi et nous paupérise un peu plus chaque année.

Le rapport du Conseil d’orientation des retraites (COR) a montré que le système actuel conduit à une inéluctable érosion des pensions. Alors même que le COR sous-estime le déficit en ignorant les subventions d’équilibre versées par l’Etat et les collectivités territoriales pour financer les retraites de leurs agents, il écrit sans ambiguïté que la situation financière se détériorera de 2022 à 2032 (et, dans certains scénarios, jusqu’en… 2070) avec un déficit de –0,5 % à – 0,8 % du PIB.

Considérant les limites d’un système de retraites par répartition et le vieillissement de la population, les cotisants ne sont plus assez nombreux pour assurer aux retraités un niveau de pension constant tout en maintenant des comptes équilibrés. Dans un régime par répartition, les actifs paient la pension des retraités. Le système était viable en 1960, quand on comptait 4 actifs pour 1 retraité. Mais, en 2022, avec 1,4 cotisant pour 1 retraité dans le privé et 0,9 cotisant pour 1 retraité dans le public, il faudrait taxer les salaires à 28 % dans le privé et à 89 % dans le public pour atteindre l’équilibre.

Reculer l’âge de la retraite ne fera que repousser les échéances. Tant que le vieillissement de la population s’accentuera, on se condamne à devoir régulièrement reculer le départ à la retraite, à perpétuité. D’autres proposent que l’Etat compense. Avec une dette de 129 % du PIB, cela n’arrivera évidemment pas.

Une première étape utile de réforme serait d’imposer à l’Etat de provisionner les retraites des fonctionnaires. Aujourd’hui, il ne le fait pas, et leurs pensions ne sont pas garanties. Un agent de catégorie C né après 1980 touchera une pension de retraite inférieure au seuil de pauvreté.

Mais la vraie réforme consisterait à compléter le régime par répartition, rendu insuffisant en raison de la démographie, par de l’épargne obligatoire. Les pharmaciens l’ont fait : ils ont introduit en 2009 un modèle de capitalisation collective qui finance aujourd’hui 50 % de leurs retraites. Pareil pour le Sénat et la Banque de France, qui, protégés par leur indépendance, ont développé leurs capitalisations collectives depuis plus d’un siècle. Même si cela est largement ignoré, les fonctionnaires disposent aussi d’un tel fonds, efficace bien que trop modeste, car pas abondé, l’Établissement de retraite additionnelle de la fonction publique, qui leur verse 2 milliards chaque année en complément de leur répartition.

Dans les pays où ils existent pour tous, ces fonds ont une double utilité. Ils complètent les retraites par répartition et ils investissent à long terme les sommes collectées dans l’économie. Ils créent de la richesse pour le pays, ce que ne peut faire un système par répartition pur, qui dépense immédiatement l’argent ponctionné. Les actifs collectés représentent en moyenne 64 % de la valeur du PIB dans les pays de l’OCDE dotés de ces fonds. En Norvège, le fonds de pension souverain pèse 280 % du PIB… Dans le passé, c’est grâce à de tels capitaux longs que le rail et les canaux de la révolution industrielle, et, plus récemment, l’industrie numérique américaine, ont pu se développer.

C’est pourquoi, il est urgent d’introduire – sur le modèle du fonds de pension des fonctionnaires (ERAFP) – une capitalisation collective. Cette épargne collective épaulera la répartition et donnera accès à tous les salariés de France aux rendements des marchés financiers, ce qui permettra de généraliser le partage des profits par le haut.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1989

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme ROSSIGNOL


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’article liminaire car il entérine financièrement une réforme paramétrique des retraites injustifiée et injuste.

Celle-ci répond à un impératif d’équilibre des comptes publics à la suite d’une politique intensive de cadeaux fiscaux aux grandes entreprises (fin de la CVAE) et aux ménages les plus riches (suppression de l’ISF, création de la flat tax...), mais aussi d’un transfert de la dette covid-19 sur les comptes de la protection sociale.

Or d’autres solutions existent : elles exigent de poser la question des recettes du système, question absolument tabou pour le gouvernement. Pourtant les exonérations de cotisations sociales, dont certaines sans aucun effet notable sur notre économie, coûteront à la branche vieillesse 18,9 milliards € en 2023, soit un peu plus que les 17,7 milliards € que le gouvernement cherche d’ici 2030 à travers sa réforme.

D’autant que ces 17,7 milliards escomptés ne tiennent pas compte des coûts induits du report à 64 ans de l’âge légal du départ à la retraite, pour l’assurance chômage et les minima sociaux.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2030 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. BILHAC, ARTANO, CABANEL et CORBISEZ, Mme Nathalie DELATTRE, MM. GUÉRINI et GUIOL, Mme PANTEL et M. ROUX


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement propose de supprimer l’article liminaire qui entérine une réforme des retraites commandée par le nécessaire rétablissement des comptes publics. Il y a d’autres solutions que celles proposées qui ne répondent pas à l’objectif de manière pérenne.

En effet, si les mesures proposées permettent d’assainir les comptes durant 8 ans, en 2031, nous en serons au même point. Faut il prévoir 66 ans en 2031, 68 ans en 2039, 70 ans en 2047 pour terminer à 76 ans en 2070 ?



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2068

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. JEANSANNETAS


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’article liminaire car il entérine financièrement une réforme paramétrique des retraites injustifiée et injuste.

Celle-ci répond à un impératif d’équilibre des comptes publics à la suite d’une politique intensive de cadeaux fiscaux aux grandes entreprises (fin de la CVAE) et aux ménages les plus riches (suppression de l’ISF, création de la flat tax...), mais aussi d’un transfert de la dette covid-19 sur les comptes de la protection sociale.

Or d’autres solutions existent : elles exigent de poser la question des recettes du système, question absolument tabou pour le gouvernement. Pourtant les exonérations de cotisations sociales, dont certaines sans aucun effet notable sur notre économie, coûteront à la branche vieillesse 18,9 milliards € en 2023, soit un peu plus que les 17,7 milliards € que le gouvernement cherche d’ici 2030 à travers sa réforme.

D’autant que ces 17,7 milliards escomptés ne tiennent pas compte des coûts induits du report à 64 ans de l’âge légal du départ à la retraite, pour l’assurance chômage et les minima sociaux.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2232 rect.

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme APOURCEAU-POLY


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Avec cet amendement de suppression, nous souhaitons dénoncer le caractère financier de cette réforme, qui n'a pour objectif que de contenir un peu plus la hausse des dépenses de retraite afin de se conformer à l'objectif de croissance de dépenses à 0,6% fixé dans le programme de stabilité et dans le projet de loi de programmation des finances publiques.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2234

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. BOCQUET


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Avec cet amendement de suppression, nous souhaitons dénoncer le caractère financier de cette réforme, qui n'a pour objectif que de contenir un peu plus la hausse des dépenses de retraite afin de se conformer à l'objectif de croissance de dépenses à 0,6% fixé dans le programme de stabilité et dans le projet de loi de programmation des finances publiques.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2235

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme BRULIN


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Avec cet amendement de suppression, nous souhaitons dénoncer le caractère financier de cette réforme, qui n'a pour objectif que de contenir un peu plus la hausse des dépenses de retraite afin de se conformer à l'objectif de croissance de dépenses à 0,6% fixé dans le programme de stabilité et dans le projet de loi de programmation des finances publiques.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2236

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme COHEN


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Avec cet amendement de suppression, nous souhaitons dénoncer le caractère financier de cette réforme, qui n'a pour objectif que de contenir un peu plus la hausse des dépenses de retraite afin de se conformer à l'objectif de croissance de dépenses à 0,6% fixé dans le programme de stabilité et dans le projet de loi de programmation des finances publiques.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2238

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. GAY


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Avec cet amendement de suppression, nous souhaitons dénoncer le caractère financier de cette réforme, qui n'a pour objectif que de contenir un peu plus la hausse des dépenses de retraite afin de se conformer à l'objectif de croissance de dépenses à 0,6% fixé dans le programme de stabilité et dans le projet de loi de programmation des finances publiques.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2239

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. LAHELLEC


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Avec cet amendement de suppression, nous souhaitons dénoncer le caractère financier de cette réforme, qui n'a pour objectif que de contenir un peu plus la hausse des dépenses de retraite afin de se conformer à l'objectif de croissance de dépenses à 0,6% fixé dans le programme de stabilité et dans le projet de loi de programmation des finances publiques.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2240

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. Pierre LAURENT


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Avec cet amendement de suppression, nous souhaitons dénoncer le caractère financier de cette réforme, qui n'a pour objectif que de contenir un peu plus la hausse des dépenses de retraite afin de se conformer à l'objectif de croissance de dépenses à 0,6% fixé dans le programme de stabilité et dans le projet de loi de programmation des finances publiques.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2243

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. SAVOLDELLI


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Avec cet amendement de suppression, nous souhaitons dénoncer le caractère financier de cette réforme, qui n'a pour objectif que de contenir un peu plus la hausse des dépenses de retraite afin de se conformer à l'objectif de croissance de dépenses à 0,6% fixé dans le programme de stabilité et dans le projet de loi de programmation des finances publiques.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2256

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme ESPAGNAC


ARTICLE LIMINAIRE


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’article liminaire car il entérine financièrement une réforme paramétrique des retraites injustifiée et injuste.

Celle-ci répond à un impératif d’équilibre des comptes publics à la suite d’une politique intensive de cadeaux fiscaux aux grandes entreprises (fin de la CVAE) et aux ménages les plus riches (suppression de l’ISF, création de la flat tax...), mais aussi d’un transfert de la dette covid-19 sur les comptes de la protection sociale.

Or d’autres solutions existent : elles exigent de poser la question des recettes du système, question absolument tabou pour le gouvernement. Pourtant les exonérations de cotisations sociales, dont certaines sans aucun effet notable sur notre économie, coûteront à la branche vieillesse 18,9 milliards € en 2023, soit un peu plus que les 17,7 milliards € que le gouvernement cherche d’ici 2030 à travers sa réforme.

D’autant que ces 17,7 milliards escomptés ne tiennent pas compte des coûts induits du report à 64 ans de l’âge légal du départ à la retraite, pour l’assurance chômage et les minima sociaux.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2625 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE LIMINAIRE


I. – Alinéa 1

Supprimer les mots :

telles qu’elles figurent dans le projet de loi de programmation des finances publiques pour les années 2023 à 2027,

II. – Alinéa 2, tableau, dernière colonne

Supprimer cette colonne.

Objet

Cet amendement du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à supprimer toute référence au projet de loi de programmation des finances publiques pour les années 2023 à 2027 dans ce PLFSSR, car il n'a pas été adopté et promulgué.

Pour rappel, le projet de loi de programmation des finances publiques pour les années 2023 à 2027 a été rejeté en première lecture, à l'Assemblée nationale.

Aussi, il parait peu judicieux, voire même insincère, de se référer à ce projet de loi dans cet article liminaire.

Il est donc proposé de supprimer la référence à ce projet de loi.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3402

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE LIMINAIRE


I. – Alinéa 1

Supprimer les mots :

telles qu’elles figurent dans le projet de loi de programmation des finances publiques pour les années 2023 à 2027,

II. – Alinéa 2, tableau, dernière colonne

Supprimer cette colonne.

Objet

Fin 2022, l'Assemblée nationale a rejeté le projet de loi de programmation des finances publiques pour les années 2023 à 2027 en première lecture.

Il est tout à fait surprenant de retrouver ici cité ce projet de texte non adopté et donc dépourvu d'existence légale.

Cet amendement supprime donc cette référence à ce qui reste un projet de loi.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3813

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE LIMINAIRE


I. – Alinéa 1

Supprimer les mots :

telles qu’elles figurent dans le projet de loi de programmation des finances publiques pour les années 2023 à 2027,

II. –Alinéa 2, tableau, dernière colonne

Supprimer cette colonne.

Objet

Cet amendement vise à supprimer toute référence au projet de loi de programmation des finances publiques pour les années 2023 à 2027 dans ce PLFSSR, car il n'a pas été adopté et promulgué.

Pour rappel, le projet de loi de programmation des finances publiques pour les années 2023 à 2027 a été rejeté en première lecture, à l'Assemblée nationale.

Aussi, il parait peu judicieux, voire même insincère, de se référer à ce projet de loi dans cet article liminaire.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2627 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE LIMINAIRE


Alinéa 2, tableau, dernière colonne

Supprimer cette colonne.

Objet

Cet amendement de repli du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à supprimer la référence dans le tableau au projet de loi de programmation des finances publiques qui n'a pas été adopté par le Parlement.

Il n'est pas opportun de prendre en référence, dans cet article liminaire, un projet de loi rejeté par le Parlement  : c'est une entorse à la sincérité budgétaire.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2626 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE LIMINAIRE


Alinéa 2, tableau

1° Quatrième ligne

a) Deuxième colonne

Remplacer le nombre :

- 4,1

par le nombre :

- 4,9

b) Dernière colonne

Remplacer le nombre :

- 4,0

par le nombre :

- 4,9

2° Cinquième ligne

a) Deuxième colonne

Remplacer le nombre :

- 0,8

par le nombre :

- 0,2

b) Dernière colonne

Remplacer le nombre :

- 0,8

par le nombre :

- 0,2

3° Septième ligne

a) Deuxième colonne

Remplacer le nombre :

- 5,0

par le nombre :

- 5,3

b) Dernière colonne

Remplacer le nombre :

- 5,0

par le nombre :

- 5,3 

4° Quinzième ligne

a) Deuxième colonne

Remplacer le nombre :

- 5,8

par le nombre :

- 6,1

b) Dernière colonne

Remplacer le nombre :

- 5,6

par le nombre :

- 5,9

Objet

L’article liminaire du présent projet de loi de financement rectificative de la sécurité sociale établit la prévision dé déficit public à 5% du PIB en 2023, dont 4% pour le seul déficit structurel. 

Le déficit structurel correspond au solde public corrigé des effets directs du cycle économique ainsi que des événements exceptionnels et temporaires.

La notion de déficit structurel donne lieu à de nombreux débats méthodologiques puisqu’elle repose sur le concept de croissance potentielle qui est par définition non observable, donc non mesurable. En effet, la croissance potentielle est celle qu’aurait l’économie si tous les facteurs de production pouvaient être pleinement activés. 

De ce point de vue, l’utilisation d’une méthode de calcul constante au fil du temps permet d’établir des comparaisons d’une année sur l’autre.

C’est le calcul auquel procède chaque année la Commission européenne, qui recalcule les 2 composantes – structurelle et conjoncturelle – du déficit de chaque pays, et ce avec la même méthode appliquée pour tous les pays. 

Dans ses dernières prévisions publiées en octobre 2022 (prévisions économiques de l’automne 2022), la Commission européenne prévoit des hypothèses supérieures à celles du Gouvernement, avec un déficit public de 5,3% du PIB, dont 4,9% de déficit structurel. 

Le présent amendement vise donc à corriger le niveau du déficit public ainsi que la part structurelle de ce déficit, pour les rendre conformes à ceux calculés par la Commission européenne.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3806

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE LIMINAIRE


Alinéa 2, tableau

1° Quatrième ligne, dernière colonne

Remplacer le montant :

–4,0

par le montant :

–4,9

2° Cinquième ligne, deuxième et dernière colonnes

Remplacer le montant :

–0,8

par le montant :

–0,2

3° Septième ligne, deuxième et dernière colonnes

Remplacer le montant :

–5,0

par le montant :

–5,3

4° Quinzième ligne

a) Deuxième colonne

Remplacer le montant :

–5,8

par le montant :

–6,1

b) Dernière colonne

Remplacer le montant :

–5,6

par le montant :

–5,9

Objet

L’article liminaire du présent projet de loi de financement rectificative de la sécurité sociale établit la prévision déficit public à 5 % du PIB en 2023, dont 4 % pour le seul déficit structurel.

Le déficit structurel correspond au solde public corrigé des effets directs du cycle économique ainsi que des événements exceptionnels et temporaires.

La notion de déficit structurel donne lieu à de nombreux débats méthodologiques puisqu’elle repose sur le concept de croissance potentielle qui est par définition non observable, donc non mesurable.

En effet, la croissance potentielle est celle qu’aurait l’économie si tous les facteurs de production pouvaient être pleinement activés.

De ce point de vue, l’utilisation d’une méthode de calcul constante au fil du temps permet d’établir des comparaisons d’une année sur l’autre.

C’est le calcul auquel procède chaque année la Commission européenne, qui recalcule les 2 composantes – structurelle et conjoncturelle – du déficit de chaque pays, et ce avec la même méthode appliquée pour tous les pays.

Dans ses dernières prévisions publiées en octobre 2022 (prévisions économiques de l’automne 2022), la Commission européenne prévoit des hypothèses supérieures à celles du Gouvernement, avec un déficit public de 5,3 % du PIB, dont 4,9 % de déficit structurel.

Le présent amendement vise donc à corriger le niveau du déficit public ainsi que la part structurelle de ce déficit, pour les rendre conformes à ceux calculés par la Commission européenne.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4478 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE LIMINAIRE


Alinéa 2, tableau, huitième ligne, première colonne

Remplacer les mots :

de Maastricht

par les mots :

du traité de Maastricht

Objet

Les membres du groupe CRCE constatent que l’expression « dette au sens de Maastricht » tend à invisibilisé le caractère contraignant d’un traité européen en l’occurrence celui de Maastricht qui par la coordination des politiques économiques (art.121) et la formule lapidaire de l’article 126 : « les Etats membres évitent les déficits publics excessifs » consacrent le joug des institutions européennes à l’instar des décisions nationales en matière de dépenses publiques.

Cette réforme des retraites, il convient de la rappeler, émanent d’une volonté européenne de réduction de la dépense publique dont cet amendement permet de ne pas omettre la genèse.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3793

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE LIMINAIRE


Alinéa 2, tableau

Compléter ce tableau par une colonne ainsi rédigée :

2027

Programme de stabilité (PSTAB) 2022-2027

NC

NC

NC

NC

NC

NC

NC

NC

0,6

NC

NC

NC

NC

NC

NC

NC

NC

NC

0,6

 

Objet

Avec cet amendement, nous proposons de préciser dans l’article liminaire les intentions du gouvernement concernant cette réforme.

En effet, l’article liminaire portant sur l’année 2023 n’est que peu explicite.

Il est ainsi proposé d’insérer une ligne précisant les objectifs réels de cette réforme, à savoir contenir la croissance des dépenses de sécurité sociale et retraite à 0,6 % afin de se conformer aux engagements pris auprès de la Commission Européenne de maintenir une croissance des dépenses publiques à 0,6 %.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3394

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


PREMIÈRE PARTIE : DISPOSITIONS RELATIVES AUX RECETTES ET À L'ÉQUILIBRE DE LA SÉCURITÉ SOCIALE POUR L'EXERCICE 2023


Rédiger ainsi cet intitulé :

Dispositions relatives aux recettes et illustrant l'incapacité du gouvernement à équilibrer le budget, autrement qu'au détriment des travailleuses et travailleurs

Objet

Cet amendement a pour objet de rédiger la Première partie de ce texte de loi de sorte à ce qu'elle reflète la réalité de cette contre-réforme, à la fois, injuste et injustifiable.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3531

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


PREMIÈRE PARTIE : DISPOSITIONS RELATIVES AUX RECETTES ET À L'ÉQUILIBRE DE LA SÉCURITÉ SOCIALE POUR L'EXERCICE 2023


Rédiger ainsi cet intitulé :

Dispositions relatives aux recettes et illustrant l'incapacité du Gouvernement à équilibrer le budget, autrement que par une contre-réforme injuste et brutale

Objet

Cette réforme, n'en est pas une. Elle est injuste aux yeux de nos concitoyen. Elle est brutale tant par les impacts qu'elle aura sur la vie des travailleur.ses de ce pays, que par la méthode employée par la gouvernement pour museler le débat.

Par souci de transparence les auteur.es de cet amendement du groupe écologiste souhaitent que le texte explicite clairement la nature du présent projet de loi.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2188 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Retiré

Mmes Valérie BOYER, THOMAS et BELRHITI, MM. LE RUDULIER, SIDO et FRASSA, Mme BORCHIO FONTIMP, M. CHATILLON, Mmes GOY-CHAVENT et GARNIER, M. HINGRAY, Mmes DUMONT, LOPEZ et MICOULEAU et MM. CALVET, GREMILLET et de NICOLAY


PREMIÈRE PARTIE : DISPOSITIONS RELATIVES AUX RECETTES ET À L'ÉQUILIBRE DE LA SÉCURITÉ SOCIALE POUR L'EXERCICE 2023


Compléter cet intitulé par les mots :

afin de tenir compte de la situation démographique

Objet

La réforme des retraites qui nous est proposée ne va pas résoudre la question du financement de notre système de retraite par répartition, ni à moyen terme, ni à long terme.

Il pose un regard comptable sur la situation sans se poser les bonnes questions notamment en termes de démographie.

Les enfants d’aujourd’hui sont les cotisants et les actifs de demain qui financeront notre système de retraite. Or, la France a encore battu le record de sa plus faible natalité l’an dernier avec 723 000 naissances en 2022.

La réforme qui nous est proposée fait l’impasse sur la question de la démographie et décourage les femmes qui veulent travailler et avoir des enfants.

Rien n’est proposé pour encourager la natalité, ni allocations familiales universelles, ni révision du quotient familial, ni mesures en faveur des mères de familles.

Si la France s’enfonce dans l’hiver démographique, nous devrons faire des réformes des retraites tous les cinq ans et quand nous ne pourrons plus repousser l’âge légal de la retraite, devrons nous nous attaquer aux montants de pensions ?

Cet amendement vise à attirer l’attention du Gouvernement et de la majorité sur l’absence de mesures d’encouragement des naissances dans ce texte.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4473 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL AVANT ARTICLE 1ER


Avant l’article 1er

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Dans un délai de six mois à compter de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport comparant les différents systèmes de retraite au sein de l’Union européenne. Il étudie les différents âges légaux, la durée et les taux de cotisation ainsi que les éléments paramétriques permettant d’y déroger. Il décrit précisément les sources de financement entre les revenus du travail et les revenus du capital. Il établit le degré de capitalisation de chacun des systèmes. Il formule enfin le cas échéant sur le modèle des autres systèmes de retraites des pistes pour améliorer notre système de retraite par répartition.

Objet

Les membres du groupe CRCE demandent un rapport au Gouvernement permettant de souligner la singularité de notre modèle de retraite tout en évaporant les fantasmes quant à son caractère extrêmement généreux ou coûteux.

 Ce rapport aurait pu être déposé en amont du présent projet de loi de sorte à éviter de biaiser le débat sur la réforme des retraites que nous menons à l’appui d’exemples européens erratiques ou trompeurs.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2 rect.

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

Les auteurs de cet amendement s'opposent à la fin des régimes spéciaux prévue par cet article.

Déjà largement réformés dans une logique d’harmonisation avec les autres régimes de retraite, les « régimes spéciaux » sont une fois de plus stigmatisés afin de procéder à un nivellement par le bas des droits de toutes et tous à la retraite. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 129

23 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

L’article premier de ce projet de loi prévoit la suppression pour les agents recrutés à compter du 1er septembre 2023, des régimes spéciaux de retraite des entités suivantes : les industries électriques et gazières (IEG) telle EDF, la Régie autonome des transports parisiens (RATP), les clercs et employés de notaire (CRPCEN), la Banque de France et les Membres du Conseil économique social et environnemental (CESE).

Ne sachant pas comment justifier sa réforme, le gouvernement a tenté d’invoquer l’argument de la justice sociale. Ainsi dans l’exposé des motifs, il y indique même que « l’existence de ces régimes spéciaux de retraite n'apparaît plus justifiée au regard des principes d’équité et d’universalité au cœur de notre modèle social ».

Procéder à une politique de « justice sociale et d’équité » serait justement d'appliquer des mesures ambitieuses et sérieuses de prise en compte de la pénibilité à toutes et tous les travailleur-ses accomplissant des travaux pénibles ou exposés à des facteurs de pénibilité, plutôt que de niveler les droits sociaux par le bas tel que le prévoit cet article et le projet de loi dans lequel il s’inscrit.

En conséquence, cet amendement des sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires a pour objet la suppression de cet article.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 130

23 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. GONTARD


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

L’article premier de ce projet de loi prévoit la suppression pour les agents recrutés à compter du 1er septembre 2023, des régimes spéciaux de retraite des entités suivantes : les industries électriques et gazières (IEG) telle EDF, la Régie autonome des transports parisiens (RATP), les clercs et employés de notaire (CRPCEN), la Banque de France et les Membres du Conseil économique social et environnemental (CESE).

Ne sachant pas comment justifier sa réforme, le gouvernement a tenté d’invoquer l’argument de la justice sociale. Ainsi dans l’exposé des motifs, il y indique même que « l’existence de ces régimes spéciaux de retraite n'apparaît plus justifiée au regard des principes d’équité et d’universalité au cœur de notre modèle social ».

Procéder à une politique de « justice sociale et d’équité » serait justement d'appliquer des mesures ambitieuses et sérieuses de prise en compte de la pénibilité à toutes et tous les travailleur-ses accomplissant des travaux pénibles ou exposés à des facteurs de pénibilité, plutôt que de niveler les droits sociaux par le bas tel que le prévoit cet article et le projet de loi dans lequel il s’inscrit.

En conséquence, cet amendement des sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires a pour objet la suppression de cet article.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 131

23 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

L’article premier de ce projet de loi prévoit la suppression pour les agents recrutés à compter du 1er septembre 2023, des régimes spéciaux de retraite des entités suivantes : les industries électriques et gazières (IEG) telle EDF, la Régie autonome des transports parisiens (RATP), les clercs et employés de notaire (CRPCEN), la Banque de France et les Membres du Conseil économique social et environnemental (CESE).

Ne sachant pas comment justifier sa réforme, le gouvernement a tenté d’invoquer l’argument de la justice sociale. Ainsi dans l’exposé des motifs, il y indique même que « l’existence de ces régimes spéciaux de retraite n'apparaît plus justifiée au regard des principes d’équité et d’universalité au cœur de notre modèle social ».

Procéder à une politique de « justice sociale et d’équité » serait justement d'appliquer des mesures ambitieuses et sérieuses de prise en compte de la pénibilité à toutes et tous les travailleur-ses accomplissant des travaux pénibles ou exposés à des facteurs de pénibilité, plutôt que de niveler les droits sociaux par le bas tel que le prévoit cet article et le projet de loi dans lequel il s’inscrit.

En conséquence, cet amendement des sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires a pour objet la suppression de cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 200

23 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme BLATRIX CONTAT


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

Les régimes dits spéciaux sont le résultat de luttes et de conquêtes sociales obtenues par les salariés et leurs organisations syndicales représentatives dans certains secteurs d'activité pour faire valoir des conditions particulières d'exercice, souvent difficiles voire pénibles.

A l'heure où les secteurs concernés sont, pour plusieurs d'entre eux, en forte tension par manque d'agents ou de salariés, la mise en cause des régimes spécifiques de retraites renforcera cette tension et cette carence.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 280

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. FÉRAUD


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

Les régimes dits spéciaux sont le résultat de luttes et de conquêtes sociales obtenues par les salariés dans certains secteurs d’activité et leurs organisations syndicales représentatives pour faire valoir des conditions particulières, mais difficiles voire pénibles, d’exercice.

A l’heure où les secteurs concernés sont, pour plusieurs d’entre eux, en manque d’agents ou de salariés, la mise en cause des régimes spécifiques de retraite renforcera cette carence.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 312

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. PLA


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

Les régimes dits spéciaux sont le résultat de luttes et de conquêtes sociales obtenues par les salariés dans certains secteurs d’activité et leurs organisations syndicales représentatives pour faire valoir des conditions particulières, mais difficiles voire pénibles, d’exercice.
A l’heure où les secteurs concernés sont, pour plusieurs d’entre eux, en manque d’agents ou de salariés, la mise en cause des régimes spécifiques de retraite renforcera cette carence.  






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 342

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme BRIQUET


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

Les régimes dits spéciaux sont le résultat de luttes et de conquêtes sociales obtenues par les salariés dans certains secteurs d’activité et leurs organisations syndicales représentatives pour faire valoir des conditions particulières, mais difficiles voire pénibles, d’exercice.
A l’heure où les secteurs concernés sont, pour plusieurs d’entre eux, en manque d’agents ou de salariés, la mise en cause des régimes spécifiques de retraite renforcera cette carence. 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 366

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme FÉRET


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

Les régimes dits spéciaux sont le résultat de luttes et de conquêtes sociales obtenues par les salariés et leurs organisations syndicales représentatives dans certains secteurs d’activité pour faire valoir des conditions particulières, mais difficiles voire pénibles, d’exercice.

A l’heure où les secteurs concernés sont, pour plusieurs d’entre eux, en manque d’agents ou de salariés, la mise en cause des régimes spécifiques de retraite renforcera cette carence.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 449

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. FICHET


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

Les régimes dits spéciaux sont le résultat de luttes et de conquêtes sociales obtenues par les salariés dans certains secteurs d’activité et leurs organisations syndicales représentatives pour faire valoir des conditions particulières, mais difficiles voire pénibles, d’exercice.

A l’heure où les secteurs concernés sont, pour plusieurs d’entre eux, en manque d’agents ou de salariés, la mise en cause des régimes spécifiques de retraite renforcera cette carence. 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 484

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. CHANTREL


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

Les régimes dits spéciaux sont le résultat de luttes et de conquêtes sociales obtenues par les salariés dans certains secteurs d’activité et leurs organisations syndicales représentatives pour faire valoir des conditions particulières, mais difficiles voire pénibles, d’exercice.

A l’heure où les secteurs concernés sont, pour plusieurs d’entre eux, en manque d’agents ou de salariés, la mise en cause des régimes spécifiques de retraite renforcera cette carence.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 518

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. GILLÉ


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

Les régimes dits spéciaux sont le résultat de luttes et de conquêtes sociales obtenues par les salariés dans certains secteurs d’activité et leurs organisations syndicales représentatives pour faire valoir des conditions particulières, mais difficiles voire pénibles, d’exercice.

A l’heure où les secteurs concernés sont, pour plusieurs d’entre eux, en manque d’agents ou de salariés, la mise en cause des régimes spécifiques de retraite renforcera cette carence. 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 567

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme de LA GONTRIE


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

Les régimes dits spéciaux sont le résultat de luttes et de conquêtes sociales obtenues par les salariés dans certains secteurs d’activité et leurs organisations syndicales représentatives pour faire valoir des conditions particulières, mais difficiles voire pénibles, d’exercice.

A l’heure où les secteurs concernés sont, pour plusieurs d’entre eux, en manque d’agents ou de salariés, la mise en cause des régimes spécifiques de retraite renforcera cette carence. 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 579

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. REDON-SARRAZY


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

Les régimes dits spéciaux sont le résultat de luttes et de conquêtes sociales obtenues par les salariés dans certains secteurs d’activité et leurs organisations syndicales représentatives pour faire valoir des conditions particulières, mais difficiles voire pénibles, d’exercice.

A l’heure où les secteurs concernés sont, pour plusieurs d’entre eux, en manque d’agents ou de salariés, la mise en cause des régimes spécifiques de retraite renforcera cette carence.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 666

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LE HOUEROU


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

Les régimes dits spéciaux sont le résultat de luttes et de conquêtes sociales obtenues par les salariés dans certains secteurs d’activité et leurs organisations syndicales représentatives pour faire valoir des conditions particulières, mais difficiles voire pénibles, d’exercice.

A l’heure où les secteurs concernés sont, pour plusieurs d’entre eux, en manque d’agents ou de salariés, la mise en cause des régimes spécifiques de retraite renforcera cette carence.  






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 726

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. Mickaël VALLET


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

Les régimes dits spéciaux sont le résultat de luttes et de conquêtes sociales obtenues par les salariés dans certains secteurs d’activité et leurs organisations syndicales représentatives pour faire valoir des conditions particulières, mais difficiles voire pénibles, d’exercice.

A l’heure où les secteurs concernés sont, pour plusieurs d’entre eux, en manque d’agents ou de salariés, la mise en cause des régimes spécifiques de retraite renforcera cette carence. 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 808

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. JACQUIN


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

Cette réforme des retraites est injuste, injustifiée et inopportune. Elle rencontre l'opposition de la majorité des Françaises et Français. La suppression des régimes spéciaux n'est en aucun cas une mesure à même de résorber les problématiques de financement du système de retraites dont le COR a démontré qu'il n'était pas au bord du gouffre comme voudrait le faire croire le gouvernement.

Cet article 1 entend supprimer les régimes dits spéciaux qui sont le résultat de luttes et de conquêtes sociales obtenues par les salariés et leurs organisations syndicales représentatives dans certains secteurs d’activité pour faire valoir des conditions particulières, mais difficiles voire pénibles, d’exercice.

A l’heure où les secteurs concernés sont, pour plusieurs d’entre eux, en manque d’agents ou de salariés, la mise en cause des régimes spécifiques de retraite renforcera cette carence.  Cela est particulièrement le cas dans le domaine des transports qui rencontre des problèmes de recrutement très important qui contribuent à l'embolie de nombre de réseaux, et particulièrement en Ile de France.

Ainsi, plutôt que de démagogiquement tout supprimer, le gouvernement serait mieux inspirer de retirer sa réforme, reprendre de véritables négociations avec les partenaires sociaux, étudier profession par profession l'opportunité de revenir intégralement ou en partie sur certains régimes dits spéciaux.

Une bonne réforme des retraites est une réforme qui allie sauvegarde de la répartition et progrès social, pas qui stigmatise certains et qui montent les Français les uns contre les autres.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 821

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. LOZACH


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

Les régimes dits spéciaux sont le résultat de luttes et de conquêtes sociales obtenues par les salariés dans certains secteurs d’activité et leurs organisations syndicales représentatives pour faire valoir des conditions particulières, mais difficiles voire pénibles, d’exercice.

A l’heure où les secteurs concernés sont, pour plusieurs d’entre eux, en manque d’agents ou de salariés, la mise en cause des régimes spécifiques de retraite renforcera cette carence.  






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N° 861

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. DURAIN


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

Les régimes dits spéciaux sont le résultat de luttes et de conquêtes sociales obtenues par les salariés dans certains secteurs d’activité et leurs organisations syndicales représentatives pour faire valoir des conditions particulières, mais difficiles voire pénibles, d’exercice.

A l’heure où les secteurs concernés sont, pour plusieurs d’entre eux, en manque d’agents ou de salariés, la mise en cause des régimes spécifiques de retraite renforcera cette carence.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 896

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. LUREL


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

Les régimes dits spéciaux sont le résultat de luttes et de conquêtes sociales obtenues par les salariés dans certains secteurs d’activité et leurs organisations syndicales représentatives pour faire valoir des conditions particulières, mais difficiles voire pénibles, d’exercice.

A l’heure où les secteurs concernés sont, pour plusieurs d’entre eux, en manque d’agents ou de salariés, la mise en cause des régimes spécifiques de retraite renforcera cette carence.  






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 941

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. CARDON


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

Les régimes dits spéciaux sont le résultat de luttes et de conquêtes sociales obtenues par les salariés dans certains secteurs d’activité et leurs organisations syndicales représentatives pour faire valoir des conditions particulières, mais difficiles voire pénibles, d’exercice.
A l’heure où les secteurs concernés sont, pour plusieurs d’entre eux, en manque d’agents ou de salariés, la mise en cause des régimes spécifiques de retraite renforcera cette carence. 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 980

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. RAYNAL


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

Les régimes dits spéciaux sont le résultat de luttes et de conquêtes sociales obtenues par les salariés dans certains secteurs d’activité et leurs organisations syndicales représentatives pour faire valoir des conditions particulières, mais difficiles voire pénibles, d’exercice.

A l’heure où les secteurs concernés sont, pour plusieurs d’entre eux, en manque d’agents ou de salariés, la mise en cause des régimes spécifiques de retraite renforcera cette carence. 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1008

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. STANZIONE


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article relatif aux régimes dits spéciaux.

Ils sont la résultante de luttes et de conquêtes sociales justes, obtenues par les salariés dans certains secteurs d’activités et leurs organisations syndicales représentatives, compte-tenu des sujétions particulières qui s’y attachent, des conditions difficiles voire pénibles ou bien dangereuses d’exercice.

A l’heure où les secteurs concernés sont, pour la plupart d’entre eux, en tension sur le marché du travail, la remise en cause des régimes spécifiques de retraite renforcera le manque d’agents ou de salariés dans ces secteurs et donc leur attractivité.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1029

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme Gisèle JOURDA


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

Les régimes dits spéciaux sont le résultat de luttes et de conquêtes sociales obtenues par les salariés dans certains secteurs d’activité et leurs organisations syndicales représentatives pour faire valoir des conditions particulières, mais difficiles voire pénibles, d’exercice.
A l’heure où les secteurs concernés sont, pour plusieurs d’entre eux, en manque d’agents ou de salariés, la mise en cause des régimes spécifiques de retraite renforcera cette carence.  






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1059

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. HOULLEGATTE


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

Les régimes dits spéciaux sont le résultat de luttes et de conquêtes sociales obtenues par les salariés dans certains secteurs d’activité et leurs organisations syndicales représentatives pour faire valoir des conditions particulières, mais difficiles voire pénibles, d’exercice.
A l’heure où les secteurs concernés sont, pour plusieurs d’entre eux, en manque d’agents ou de salariés, la mise en cause des régimes spécifiques de retraite renforcera cette carence.  






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1075

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. TISSOT


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

Les régimes dits spéciaux sont le résultat de luttes et de conquêtes sociales obtenues par les salariés dans certains secteurs d’activité et leurs organisations syndicales représentatives pour faire valoir des conditions particulières, mais difficiles voire pénibles, d’exercice.

A l’heure où les secteurs concernés sont, pour plusieurs d’entre eux, en manque d’agents ou de salariés, la mise en cause des régimes spécifiques de retraite renforcera cette carence.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1096

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. ÉBLÉ


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

Les régimes dits spéciaux sont le résultat de luttes et de conquêtes sociales obtenues par les salariés dans certains secteurs d’activité et leurs organisations syndicales représentatives pour faire valoir des conditions particulières, mais difficiles voire pénibles, d’exercice.

A l’heure où les secteurs concernés sont, pour plusieurs d’entre eux, en manque d’agents ou de salariés, la mise en cause des régimes spécifiques de retraite renforcera cette carence. 






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1151 rect. bis

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

Si les régimes dits "spéciaux"sont « spéciaux », ce n’est pas parce qu’ils seraient le lieu de privilèges, mais parce qu’ils fonctionnent sur la base d’une solidarité restreinte à une profession (les marins, les militaires) ou à une entreprise (comme la SNCF ou la RATP) qui ont pris en compte une certaine forme de pénibilité de ces travailleurs (horaires atypiques, fréquence des astreintes et usure physique notamment).

Doit-on en conclure que ces travailleurs ont été choyés, privilégiés ? Non. Ce sont les travailleurs du régime général qui sont depuis trop longtemps délaissés au regard de l’évolution des modes de production toujours plus astreignants et des conditions de travail toujours plus exigeantes voire pénibles.

Pour preuve, la sous-déclaration croissante des accidents du travail et des maladies professionnelles.

En novembre 2022, le ministère du travail a publié une étude statistique qui recense 783 600 accidents du travail en 2019, soit plus de 2 500 accidents du travail par jour ouvrable. 780 salariés en sont morts.
Si l'on reporte le nombre de décès au nombre de travailleurs, nous obtenons un ratio de 3,5 accidents mortels pour 100 000 salariés. En comparant aux résultats des autres pays européens, nous dépassons le double de la moyenne européenne (1,7) alors que le taux d'incidence est par exemple de 0,5 aux Pays-Bas, de 0,7 en Suède et de 0,8 en Allemagne. Cela fait de la France, le pays européen ayant le plus fort ratio de décès du travail d'Europe !

Or ces statiques sont en dessous de la réalité : les chiffres que le ministère a publiés sont sous-estimés. En effet, ni les accidents du travail dans la fonction publique d'État ni chez les travailleurs soumis aux régimes spéciaux (marins, cheminots, énergie…) n'y sont comptabilisés. Il faut ajouter aussi les accidents du travail non déclarés du fait des pressions patronales, évalués par certains chercheurs à 750 000 par an.
Les causes de cette accidentologie sont pourtant connues : pression des cadences de travail, urgence des délais, intensification de la demande de productivité. Il faut y ajouter la précarisation des statuts des travailleurs et le recours à la sous-traitance qui accentue le premier phénomène et exclue les travailleurs des mesures de formation et de prévention.

Le danger et la pénibilité du travail conduisent à ce que l'espérance de vie en bonne santé après 65 ans n'augmente que peu en France. Il y a 40 000 accidents conduisant à une reconnaissance d'incapacité. Les inégalités face à la mort sont aussi trop fortes. Et ce sont les ouvriers et les employés qui en paient le prix. C'est pourquoi nous refusons l'impôt sur la vie que constitue cette réforme des retraites : les gains d'espérance de vie ont déjà été pris en compte par les réformes antérieures. Y compris pour les régimes spéciaux qui ont déjà été réformés dans une logique d'alignement avec les autres régimes de retraite, en 2008, 2010 et 2014.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1205

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. MÉRILLOU


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

Les régimes dits spéciaux résultent de luttes et de conquêtes sociales obtenues par les salariés dans certains secteurs d’activité et leurs organisations syndicales représentatives pour faire valoir des conditions particulières, mais difficiles voire pénibles, d’exercice.

A l’heure où les secteurs concernés sont, pour plusieurs d’entre eux, en manque d’agents ou de salariés, la mise en cause des régimes spécifiques de retraite entrainera une baisse d’attractivité qui freinera mécaniquement les embauches.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1238

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme JASMIN


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

Les régimes spéciaux constituent le quatrième bloc de régimes de sécurité sociale (à côté du Régime général, du Régime agricole et du Régime des travailleurs non-salariés et non agricoles).

Ces régimes fonctionnent sur la base d’une solidarité restreinte à une profession ou à une entreprise et ils disposent pour certains régimes spéciaux de réserves financières excédentaires.

Antérieurs à la création de la Sécurité sociale, les règles en matière d'assurance maladie ou d’accidents du travail, mais principalement de retraite ne sont pas les mêmes pour les personnes qui dépendent de ces régimes spéciaux, en raison des spécificités de leurs professions ou de leurs entreprises.

Mais avec le temps, le bénéfice de ces acquis sociaux s'estompe progressivement, soit en raison de la disparition des derniers bénéficiaires, soit parce que certains de ces régimes spéciaux ont déjà entamé un rapprochement avec le régime général.

La suppression donc « à la carte » de ces cinq régimes spéciaux dans le cadre de cet article du projet de loi de finances de la sécurité sociale, interroge, pour le moins, beaucoup de français.

D’ailleurs, si la fusion, bien que discutable, de toutes les caisses de retraite (base et complémentaires) avec les différents régimes spéciaux, pourrait sembler à certains, comme souhaitable.

Il apparaît pour autant indispensable que l’alignement des prestations ne peut se faire que par le haut et  surtout après négociation avec les salariés et les syndicats.

C’est un préalable pour maintenir la cohésion sociale au sein des professions et des entreprises concernées par cette réforme de leurs régimes spéciaux.

Ceci explique certainement, la décision du Gouvernement de proposer, que les salariés déjà en poste conservent leurs régimes de retraites et leurs acquis au nom de la « clause du grand-père ».

Ce sont donc les générations futures qui seront concernées, alors même que l’existence des régimes spéciaux est toujours justifiée par des contraintes particulières (horaires de nuit, astreintes) et constitue un avantage non négligeable pour attirer de nouveaux salariés vers des secteurs difficiles.

Aussi, par équité et afin de ne pas déstabiliser plus encore, les professions et les entreprises concernées, il convient de supprimer cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1268

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. MONTAUGÉ


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

Les régimes dits spéciaux sont le résultat de luttes et de conquêtes sociales obtenues par les salariés dans certains secteurs d’activité et leurs organisations syndicales représentatives pour faire valoir des conditions particulières, mais difficiles voire pénibles, d’exercice.

A l’heure où les secteurs concernés sont, pour plusieurs d’entre eux, en manque d’agents ou de salariés, la mise en cause des régimes spécifiques de retraite renforcera cette carence. 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1314

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme PRÉVILLE


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

Les régimes dits spéciaux sont le résultat de luttes et de conquêtes sociales obtenues par les salariés dans certains secteurs d’activité et leurs organisations syndicales représentatives pour faire valoir des conditions particulières, mais difficiles voire pénibles, d’exercice.

A l’heure où les secteurs concernés sont, pour plusieurs d’entre eux, en manque d’agents ou de salariés, la mise en cause des régimes spécifiques de retraite renforcera cette carence.








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N° 1338

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. MARIE


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

Les régimes dits spéciaux sont le résultat de luttes et de conquêtes sociales obtenues par les salariés dans certains secteurs d’activité et leurs organisations syndicales représentatives afin de faire valoir des conditions particulières, mais difficiles voire pénibles, d’exercice.

A l’heure où les secteurs concernés sont, pour plusieurs d’entre eux, en manque d’agents ou de salariés, la mise en cause des régimes spécifiques de retraite renforcera cette carence. 

 

 






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N° 1371

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. BOURGI


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

Les régimes dits spéciaux sont le résultat de luttes et de conquêtes sociales obtenues par les salariés dans certains secteurs d’activité et leurs organisations syndicales représentatives pour faire valoir des conditions particulières, mais difficiles voire pénibles, d’exercice.

A l’heure où les secteurs concernés sont, pour plusieurs d’entre eux, en manque d’agents ou de salariés, la mise en cause des régimes spécifiques de retraite renforcera cette carence. 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1404

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. SUEUR


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

Les régimes dits spéciaux sont le résultat de luttes et de conquêtes sociales obtenues par les salariés dans certains secteurs d’activité et leurs organisations syndicales représentatives pour faire valoir des conditions particulières, mais difficiles voire pénibles, d’exercice.

A l’heure où les secteurs concernés sont, pour plusieurs d’entre eux, en manque d’agents ou de salariés, la mise en cause des régimes spécifiques de retraite renforcera cette carence. 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1434

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. KERROUCHE


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

Les régimes dits spéciaux sont le résultat de luttes et de conquêtes sociales obtenues par les salariés de certains secteurs d’activités et leurs organisations syndicales représentatives pour faire valoir des conditions particulières, mais difficiles voire pénibles, d’exercice.

A l’heure où les secteurs concernés sont, pour plusieurs d’entre eux, en manque d’agents ou de salariés, la remise en cause des régimes spécifiques de retraite renforcera cette carence. 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1502

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme Martine FILLEUL


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

Les régimes dits spéciaux sont le résultat de luttes et de conquêtes sociales obtenues par les salariés dans certains secteurs d’activité et leurs organisations syndicales représentatives pour faire valoir des conditions particulières, mais difficiles voire pénibles, d’exercice.

A l’heure où les secteurs concernés sont, pour plusieurs d’entre eux, en manque d’agents ou de salariés, la mise en cause des régimes spécifiques de retraite renforcera cette carence. 






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N° 1541

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme MONIER


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

Les régimes dits spéciaux sont le résultat de luttes et de conquêtes sociales obtenues par les salariés dans certains secteurs d’activité et leurs organisations syndicales représentatives pour faire valoir des conditions particulières, mais difficiles voire pénibles, d’exercice.

A l’heure où les secteurs concernés sont, pour plusieurs d’entre eux, en manque d’agents ou de salariés, la mise en cause des régimes spécifiques de retraite renforcera cette carence. 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1579

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. ASSOULINE


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

Les régimes dits spéciaux sont le résultat de luttes et de conquêtes sociales obtenues par les salariés dans certains secteurs d’activité et leurs organisations syndicales représentatives pour faire valoir des conditions particulières, mais difficiles voire pénibles, d’exercice.

A l’heure où les secteurs concernés sont, pour plusieurs d’entre eux, en manque d’agents ou de salariés, la mise en cause des régimes spécifiques de retraite renforcera cette carence. 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1590

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. Joël BIGOT


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

Les régimes dits spéciaux sont le résultat de luttes et de conquêtes sociales obtenues par les salariés dans certains secteurs d’activité et leurs organisations syndicales représentatives pour faire valoir des conditions particulières, mais difficiles voire pénibles, d’exercice.


A l’heure où les secteurs concernés sont, pour plusieurs d’entre eux, en manque d’agents ou de salariés, la mise en cause des régimes spécifiques de retraite renforcera cette carence. 






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N° 1620

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme POUMIROL


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

Les régimes dits spéciaux sont le résultat de luttes et de conquêtes sociales obtenues par les salariés dans certains secteurs d’activité et leurs organisations syndicales représentatives pour faire valoir des conditions particulières, mais difficiles voire pénibles, d’exercice.

A l’heure où les secteurs concernés sont, pour plusieurs d’entre eux, en manque d’agents ou de salariés, la mise en cause des régimes spécifiques de retraite renforcera cette carence. 






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N° 1650

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme MEUNIER


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

Les régimes dits spéciaux sont le résultat de luttes et de conquêtes sociales obtenues par les salariés dans certains secteurs d’activité et leurs organisations syndicales représentatives pour faire valoir des conditions particulières, mais difficiles voire pénibles, d’exercice.

À l’heure où les secteurs concernés sont, pour plusieurs d’entre eux, en manque d’agents ou de salariés, la mise en cause des régimes spécifiques de retraite renforcera cette carence.

Par ailleurs, la plupart des régimes dit spéciaux ont été créés avant même la mise en place du régime général d'assurance-vieillesse et doivent leur persistance à des prestations servies plus favorables, la plupart du temps financés de manière autonome par les cotisations de leurs ayants droit. Il conviendrait donc, plutôt que de proposer leur suppression, de les examanir comme un objectif mieux disant pour le régime général.






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N° 1662

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme BONNEFOY


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

Les régimes dits spéciaux sont le résultat de luttes et de conquêtes sociales obtenues par les salariés dans certains secteurs d’activité et leurs organisations syndicales représentatives pour faire valoir des conditions particulières, mais difficiles voire pénibles, d’exercice.

A l’heure où les secteurs concernés sont, pour plusieurs d’entre eux, en manque d’agents ou de salariés, la mise en cause des régimes spécifiques de retraite renforcera cette carence. 






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N° 1691

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. LECONTE


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

Les régimes dits spéciaux sont le résultat de luttes et de conquêtes sociales obtenues par les salariés dans certains secteurs d’activité et leurs organisations syndicales représentatives pour faire valoir des conditions particulières, mais difficiles voire pénibles, d’exercice.

A l’heure où les secteurs concernés sont, pour plusieurs d’entre eux, en manque d’agents ou de salariés, la mise en cause des régimes spécifiques de retraite renforcera cette carence.






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N° 1748

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. TODESCHINI


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.




Objet


Les régimes dits spéciaux sont le résultat de luttes et de conquêtes sociales obtenues par les salariés dans certains secteurs d’activité et leurs organisations syndicales représentatives pour faire valoir des conditions particulières, mais difficiles voire pénibles, d’exercice.

A l’heure où les secteurs concernés sont, pour plusieurs d’entre eux, en manque d’agents ou de salariés, la mise en cause des régimes spécifiques de retraite renforcera cette carence.  






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N° 1789

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. JOMIER


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

Les régimes dits spéciaux sont le résultat de luttes et de conquêtes sociales obtenues par les salariés dans certains secteurs d’activité et leurs organisations syndicales représentatives pour faire valoir des conditions particulières, mais difficiles voire pénibles, d’exercice.

A l’heure où les secteurs concernés sont, pour plusieurs d’entre eux, en manque d’agents ou de salariés, la mise en cause des régimes spécifiques de retraite renforcera cette carence.






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N° 1817

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. KANNER


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

Les régimes dits spéciaux sont le résultat de luttes et de conquêtes sociales obtenues par les salariés dans certains secteurs d’activité et leurs organisations syndicales représentatives pour faire valoir des conditions particulières, mais difficiles voire pénibles, d’exercice.

A l’heure où les secteurs concernés sont, pour plusieurs d’entre eux, en manque d’agents ou de salariés, la mise en cause des régimes spécifiques de retraite renforcera cette carence






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1990

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme ROSSIGNOL


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

Les régimes dits spéciaux sont le résultat de luttes et de conquêtes sociales obtenues par les salariés dans certains secteurs d’activité et leurs organisations syndicales représentatives pour faire valoir des conditions particulières, mais difficiles voire pénibles, d’exercice.

A l’heure où les secteurs concernés sont, pour plusieurs d’entre eux, en manque d’agents ou de salariés, la mise en cause des régimes spécifiques de retraite renforcera cette carence. 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2069

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. JEANSANNETAS


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

Les régimes dits spéciaux sont le résultat de luttes et de conquêtes sociales obtenues par les salariés dans certains secteurs d’activité et leurs organisations syndicales représentatives pour faire valoir des conditions particulières, mais difficiles voire pénibles, d’exercice.

A l’heure où les secteurs concernés sont, pour plusieurs d’entre eux, en manque d’agents ou de salariés, la mise en cause des régimes spécifiques de retraite renforcera cette carence.  






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2257

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme ESPAGNAC


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

Les régimes dits spéciaux sont le résultat de luttes et de conquêtes sociales obtenues par les salariés dans certains secteurs d’activité et leurs organisations syndicales représentatives pour faire valoir des conditions particulières, mais difficiles voire pénibles, d’exercice.

A l’heure où les secteurs concernés sont, pour plusieurs d’entre eux, en manque d’agents ou de salariés, la mise en cause des régimes spécifiques de retraite renforcera cette carence. 






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N° 3871

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme APOURCEAU-POLY


ARTICLE 1ER


Supprimer cet article.

Objet

Les auteurs de cet amendement s'opposent à la fin des régimes spéciaux prévue par cet article.

Déjà largement réformés dans une logique d’harmonisation avec les autres régimes de retraite, les « régimes spéciaux » sont une fois de plus stigmatisés afin de procéder à un nivellement par le bas des droits de tous à la retraite.






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N° 281

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. FÉRAUD


ARTICLE 1ER


Alinéas 1 et 2

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la RATP.

Les horaires atypiques, la fréquence des astreintes ou encore l’usure physique affectent la condition physique et mentale des travailleurs. Ce n’est pas un luxe que de prendre en compte divers critères de pénibilité : c’est avant tout une mesure de justice sociale. Ainsi, plutôt que de niveler les droits des salariés par le bas en supprimant les régimes spéciaux, nous estimons au contraire que l’ensemble des salariés exposés à la pénibilité doivent partir plus tôt à la retraite.

Le transports franciliens, métro, RER comme bus, connaissent des sous-effectifs de conducteurs qui ont largement dégradé les conditions de transports ces derniers mois pour les habitants de la région parisienne.

Comment recruter quand on réduit encore l’attractivité des métiers ?






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N° 313

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. PLA


ARTICLE 1ER


Alinéas 1 et 2

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la RATP.
Les horaires atypiques, la fréquence des astreintes ou encore l’usure physique affectent la condition physique et mentale des travailleurs. Ce n’est pas un luxe que de prendre en compte divers critères de pénibilité : c’est avant tout une mesure de justice sociale. Ainsi, plutôt que de niveler les droits des salariés par le bas en supprimant les régimes spéciaux, nous estimons au contraire que l’ensemble des salariés exposés à la pénibilité doivent partir plus tôt à la retraite.
Le transports franciliens, métro, RER comme bus, connaissent des sous-effectifs de conducteurs qui ont largement dégradé les conditions de transports ces derniers mois pour les habitants de la région parisienne.
Comment recruter quand on réduit encore l’attractivité des métiers ?






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N° 367

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme FÉRET


ARTICLE 1ER


Alinéas 1 et 2

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la RATP.

Les horaires atypiques, la fréquence des astreintes ou encore l’usure physique affectent la condition physique et mentale des travailleurs. Ce n’est pas un luxe que de prendre en compte divers critères de pénibilité : c’est avant tout une mesure de justice sociale. Ainsi, plutôt que de niveler les droits des salariés par le bas en supprimant les régimes spéciaux, nous estimons au contraire que l’ensemble des salariés exposés à la pénibilité doivent partir plus tôt à la retraite.

Le transports franciliens, métro, RER comme bus, connaissent des sous-effectifs de conducteurs qui ont largement dégradé les conditions de transports ces derniers mois pour les habitants de la région parisienne.

Comment recruter quand on réduit encore l’attractivité des métiers ?






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N° 450

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. FICHET


ARTICLE 1ER


Alinéas 1 et 2

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la RATP.

Les horaires atypiques, la fréquence des astreintes ou encore l’usure physique affectent la condition physique et mentale des travailleurs. Ce n’est pas un luxe que de prendre en compte divers critères de pénibilité : c’est avant tout une mesure de justice sociale. Ainsi, plutôt que de niveler les droits des salariés par le bas en supprimant les régimes spéciaux, nous estimons au contraire que l’ensemble des salariés exposés à la pénibilité doivent partir plus tôt à la retraite.

Le transports franciliens, métro, RER comme bus, connaissent des sous-effectifs de conducteurs qui ont largement dégradé les conditions de transports ces derniers mois pour les habitants de la région parisienne.

Comment recruter quand on réduit encore l’attractivité des métiers ?






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N° 505

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. CHANTREL


ARTICLE 1ER


Alinéas 1 et 2

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la RATP.

Les horaires atypiques, la fréquence des astreintes ou encore l’usure physique affectent la condition physique et mentale des travailleurs. Ce n’est pas un luxe que de prendre en compte divers critères de pénibilité : c’est avant tout une mesure de justice sociale. Ainsi, plutôt que de niveler les droits des salariés par le bas en supprimant les régimes spéciaux, nous estimons au contraire que l’ensemble des salariés exposés à la pénibilité doivent partir plus tôt à la retraite.

Le transports franciliens, métro, RER comme bus, connaissent des sous-effectifs de conducteurs qui ont largement dégradé les conditions de transports ces derniers mois pour les habitants de la région parisienne.

Comment recruter quand on réduit encore l’attractivité des métiers ?






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N° 519

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. GILLÉ


ARTICLE 1ER


Alinéas 1 et 2

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la RATP.

Les horaires atypiques, la fréquence des astreintes ou encore l’usure physique affectent la condition physique et mentale des travailleurs. Ce n’est pas un luxe que de prendre en compte divers critères de pénibilité : c’est avant tout une mesure de justice sociale. Ainsi, plutôt que de niveler les droits des salariés par le bas en supprimant les régimes spéciaux, nous estimons au contraire que l’ensemble des salariés exposés à la pénibilité doivent partir plus tôt à la retraite.

Le transports franciliens, métro, RER comme bus, connaissent des sous-effectifs de conducteurs qui ont largement dégradé les conditions de transports ces derniers mois pour les habitants de la région parisienne.

Comment recruter quand on réduit encore l’attractivité des métiers ?

 






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N° 568

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme de LA GONTRIE


ARTICLE 1ER


Alinéas 1 et 2

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la RATP.

Les horaires atypiques, la fréquence des astreintes ou encore l’usure physique affectent la condition physique et mentale des travailleurs. Ce n’est pas un luxe que de prendre en compte divers critères de pénibilité : c’est avant tout une mesure de justice sociale. Ainsi, plutôt que de niveler les droits des salariés par le bas en supprimant les régimes spéciaux, nous estimons au contraire que l’ensemble des salariés exposés à la pénibilité doivent partir plus tôt à la retraite.

Le transports franciliens, métro, RER comme bus, connaissent des sous-effectifs de conducteurs qui ont largement dégradé les conditions de transports ces derniers mois pour les habitants de la région parisienne.

Comment recruter quand on réduit encore l’attractivité des métiers ?






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N° 580

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. REDON-SARRAZY


ARTICLE 1ER


Alinéas 1 et 2

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la RATP.

Les horaires atypiques, la fréquence des astreintes ou encore l’usure physique affectent la condition physique et mentale des travailleurs. Ce n’est pas un luxe que de prendre en compte divers critères de pénibilité : c’est avant tout une mesure de justice sociale. Ainsi, plutôt que de niveler les droits des salariés par le bas en supprimant les régimes spéciaux, nous estimons au contraire que l’ensemble des salariés exposés à la pénibilité doivent partir plus tôt à la retraite.

Le transports franciliens, métro, RER comme bus, connaissent des sous-effectifs de conducteurs qui ont largement dégradé les conditions de transports ces derniers mois pour les habitants de la région parisienne.

Comment recruter quand on réduit encore l’attractivité des métiers ?






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N° 667

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LE HOUEROU


ARTICLE 1ER


Alinéas 1 et 2

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la RATP.

Les horaires atypiques, la fréquence des astreintes ou encore l’usure physique affectent la condition physique et mentale des travailleurs. Ce n’est pas un luxe que de prendre en compte divers critères de pénibilité : c’est avant tout une mesure de justice sociale. Ainsi, plutôt que de niveler les droits des salariés par le bas en supprimant les régimes spéciaux, nous estimons au contraire que l’ensemble des salariés exposés à la pénibilité doivent partir plus tôt à la retraite.

Le transports franciliens, métro, RER comme bus, connaissent des sous-effectifs de conducteurs qui ont largement dégradé les conditions de transports ces derniers mois pour les habitants de la région parisienne.

Comment recruter quand on réduit encore l’attractivité des métiers ?






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N° 696

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme BLATRIX CONTAT


ARTICLE 1ER


Alinéas 1 et 2

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la RATP.

Les horaires atypiques, la fréquence des astreintes ou encore l’usure physique affectent la condition physique et mentale des travailleurs. Ce n’est pas un luxe que de prendre en compte divers critères de pénibilité : c’est avant tout une mesure de justice sociale. Ainsi, plutôt que de niveler les droits des salariés par le bas en supprimant les régimes spéciaux, nous estimons au contraire que l’ensemble des salariés exposés à la pénibilité doivent partir plus tôt à la retraite.

Le transports franciliens, métro, RER comme bus, connaissent des sous-effectifs de conducteurs qui ont largement dégradé les conditions de transports ces derniers mois pour les habitants de la région parisienne.

Comment recruter quand on réduit encore l’attractivité des métiers ?






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N° 727

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. Mickaël VALLET


ARTICLE 1ER


Alinéas 1 et 2

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la RATP.

Les horaires atypiques, la fréquence des astreintes ou encore l’usure physique affectent la condition physique et mentale des travailleurs. Ce n’est pas un luxe que de prendre en compte divers critères de pénibilité : c’est avant tout une mesure de justice sociale. Ainsi, plutôt que de niveler les droits des salariés par le bas en supprimant les régimes spéciaux, nous estimons au contraire que l’ensemble des salariés exposés à la pénibilité doivent partir plus tôt à la retraite.

Le transports franciliens, métro, RER comme bus, connaissent des sous-effectifs de conducteurs qui ont largement dégradé les conditions de transports ces derniers mois pour les habitants de la région parisienne.

Comment recruter quand on réduit encore l’attractivité des métiers ?






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N° 809

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. JACQUIN


ARTICLE 1ER


Alinéas 1 et 2

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la RATP.

Les horaires atypiques, la fréquence des astreintes ou encore l’usure physique affectent la condition physique et mentale des travailleurs. Ce n’est pas un luxe que de prendre en compte divers critères de pénibilité : c’est avant tout une mesure de justice sociale. Ainsi, plutôt que de niveler les droits des salariés par le bas en supprimant les régimes spéciaux, nous estimons au contraire que l’ensemble des salariés exposés à la pénibilité doivent partir plus tôt à la retraite.

Le transports franciliens, métro, RER comme bus, en plus de la désorganisation totale du fait de l'ouverture à la concurrence que les le groupe socialiste, écologiste et républicain a combattu lors de l'examen de la loi d’orientation des mobilités en 2019, subissent une crise de ressources humaines. Le réseau francilien subit une immense crise des vocations et le malêtre des conducteurs, notamment de bus, est immense comme le prouvent les mouvements sociaux, particulièrement en grande couronne.

Dès lors, comment penser arriver à palier aux problèmes de recrutement si l'on réduit encore davantage l’attractivité des métiers ?

C'est tout le sens du mouvement "Stop Galère" lancé par les associations d'usagers et partis de gauche d'Ile-de-France cet hiver face à la triple ineptie : attaque sociale contre les travailleurs de la RATP, hausse du pass navigo, baisse des financements. Ce n'est pas aux travailleurs et aux usagers de payer les peaux cassées d'une mauvaise réforme des retraites et d'une mauvaise compensation par l'État des pertes de recettes d'IDFM du fait de la crise sanitaire comme des mauvais calculs en vue du Grand Paris Express.

Enfin, le gouvernement et la majorité sénatoriale n'ont de cesse de crier à l'injustice entre la situation qui prévaut en Ile-de-France et dans les autres réseaux de transports en commun dans le pays. Mais pourquoi donc toujours vouloir niveler les régimes vers le bas ?

Ainsi, plutôt que de démagogiquement tout supprimer, le gouvernement serait mieux inspirer de retirer sa réforme, reprendre de véritables négociations avec les partenaires sociaux, étudier profession par profession l'opportunité de revenir intégralement ou en partie sur certains régimes dits spéciaux.

Une bonne réforme des retraites est une réforme qui allie sauvegarde de la répartition et progrès social, pas qui stigmatise certains et qui montent les Français les uns contre les autres.






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N° 822

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. LOZACH


ARTICLE 1ER


Alinéas 1 et 2

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la RATP.

Les horaires atypiques, la fréquence des astreintes ou encore l’usure physique affectent la condition physique et mentale des travailleurs. Ce n’est pas un luxe que de prendre en compte divers critères de pénibilité : c’est avant tout une mesure de justice sociale. Ainsi, plutôt que de niveler les droits des salariés par le bas en supprimant les régimes spéciaux, nous estimons au contraire que l’ensemble des salariés exposés à la pénibilité doivent partir plus tôt à la retraite.

Le transports franciliens, métro, RER comme bus, connaissent des sous-effectifs de conducteurs qui ont largement dégradé les conditions de transports ces derniers mois pour les habitants de la région parisienne.

Comment recruter quand on réduit encore l’attractivité des métiers ?






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N° 862

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. DURAIN


ARTICLE 1ER


Alinéas 1 et 2

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la RATP.

Les horaires atypiques, la fréquence des astreintes ou encore l’usure physique affectent la condition physique et mentale des travailleurs. Ce n’est pas un luxe que de prendre en compte divers critères de pénibilité : c’est avant tout une mesure de justice sociale. Ainsi, plutôt que de niveler les droits des salariés par le bas en supprimant les régimes spéciaux, nous estimons au contraire que l’ensemble des salariés exposés à la pénibilité doivent partir plus tôt à la retraite.

Le transports franciliens, métro, RER comme bus, connaissent des sous-effectifs de conducteurs qui ont largement dégradé les conditions de transports ces derniers mois pour les habitants de la région parisienne.

Comment recruter quand on réduit encore l’attractivité des métiers ?






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N° 897

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. LUREL


ARTICLE 1ER


Alinéas 1 et 2

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la RATP.

Les horaires atypiques, la fréquence des astreintes ou encore l’usure physique affectent la condition physique et mentale des travailleurs. Ce n’est pas un luxe que de prendre en compte divers critères de pénibilité : c’est avant tout une mesure de justice sociale. Ainsi, plutôt que de niveler les droits des salariés par le bas en supprimant les régimes spéciaux, nous estimons au contraire que l’ensemble des salariés exposés à la pénibilité doivent partir plus tôt à la retraite.

Le transports franciliens, métro, RER comme bus, connaissent des sous-effectifs de conducteurs qui ont largement dégradé les conditions de transports ces derniers mois pour les habitants de la région parisienne.

Comment recruter quand on réduit encore l’attractivité des métiers ?






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N° 942

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. CARDON


ARTICLE 1ER


Alinéas 1 et 2

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la RATP.
Les horaires atypiques, la fréquence des astreintes ou encore l’usure physique affectent la condition physique et mentale des travailleurs. Ce n’est pas un luxe que de prendre en compte divers critères de pénibilité : c’est avant tout une mesure de justice sociale. Ainsi, plutôt que de niveler les droits des salariés par le bas en supprimant les régimes spéciaux, nous estimons au contraire que l’ensemble des salariés exposés à la pénibilité doivent partir plus tôt à la retraite.
Le transports franciliens, métro, RER comme bus, connaissent des sous-effectifs de conducteurs qui ont largement dégradé les conditions de transports ces derniers mois pour les habitants de la région parisienne.
Comment recruter quand on réduit encore l’attractivité des métiers ?






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N° 981

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. RAYNAL


ARTICLE 1ER


Alinéas 1 et 2

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la RATP.

Les horaires atypiques, la fréquence des astreintes ou encore l’usure physique affectent la condition physique et mentale des travailleurs. Ce n’est pas un luxe que de prendre en compte divers critères de pénibilité : c’est avant tout une mesure de justice sociale. Ainsi, plutôt que de niveler les droits des salariés par le bas en supprimant les régimes spéciaux, nous estimons au contraire que l’ensemble des salariés exposés à la pénibilité doivent partir plus tôt à la retraite.

Le transports franciliens, métro, RER comme bus, connaissent des sous-effectifs de conducteurs qui ont largement dégradé les conditions de transports ces derniers mois pour les habitants de la région parisienne.

 






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N° 1009

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. STANZIONE


ARTICLE 1ER


Alinéas 1 et 2

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas supprimer le régime spécial de retraite de la RATP.

Prendre en compte les sujétions des métiers qui s’y attachent (horaires atypiques, fréquence des astreintes ou encore usure physique affectant la condition physique et mentale des travailleurs) n’est pas un luxe. Prendre en compte ces divers critères de pénibilité est avant tout une mesure de justice sociale. Ainsi, plutôt que de niveler les droits des salariés par le bas en supprimant les régimes spéciaux, j’estime au contraire que l’ensemble des salariés exposés à la pénibilité doivent partir plus tôt à la retraite.

Le transports franciliens, métro, RER comme bus, connaissent des sous-effectifs de conducteurs qui ont largement dégradé les conditions de transports ces derniers mois pour les habitants de la région parisienne.

Comment recruter quand on réduit encore l’attractivité des métiers ?

 






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N° 1030

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme Gisèle JOURDA


ARTICLE 1ER


Alinéas 1 et 2

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la RATP.

Les horaires atypiques, la fréquence des astreintes ou encore l’usure physique affectent la condition physique et mentale des travailleurs. Ce n’est pas un luxe que de prendre en compte divers critères de pénibilité : c’est avant tout une mesure de justice sociale. Ainsi, plutôt que de niveler les droits des salariés par le bas en supprimant les régimes spéciaux, nous estimons au contraire que l’ensemble des salariés exposés à la pénibilité doivent partir plus tôt à la retraite.

Le transports franciliens, métro, RER comme bus, connaissent des sous-effectifs de conducteurs qui ont largement dégradé les conditions de transports ces derniers mois pour les habitants de la région parisienne.

Comment recruter quand on réduit encore l’attractivité des métiers ?






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N° 1061

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. HOULLEGATTE


ARTICLE 1ER


Alinéas 1 et 2

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la RATP.
Les horaires atypiques, la fréquence des astreintes ou encore l’usure physique affectent la condition physique et mentale des travailleurs. Ce n’est pas un luxe que de prendre en compte divers critères de pénibilité : c’est avant tout une mesure de justice sociale. Ainsi, plutôt que de niveler les droits des salariés par le bas en supprimant les régimes spéciaux, nous estimons au contraire que l’ensemble des salariés exposés à la pénibilité doivent partir plus tôt à la retraite.
Le transports franciliens, métro, RER comme bus, connaissent des sous-effectifs de conducteurs qui ont largement dégradé les conditions de transports ces derniers mois pour les habitants de la région parisienne.
Comment recruter quand on réduit encore l’attractivité des métiers ?






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N° 1076

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. TISSOT


ARTICLE 1ER


Alinéas 1 et 2

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la RATP.

Les horaires atypiques, la fréquence des astreintes ou encore l’usure physique affectent la condition physique et mentale des travailleurs. Ce n’est pas un luxe que de prendre en compte divers critères de pénibilité : c’est avant tout une mesure de justice sociale. Ainsi, plutôt que de niveler les droits des salariés par le bas en supprimant les régimes spéciaux, nous estimons au contraire que l’ensemble des salariés exposés à la pénibilité doivent partir plus tôt à la retraite.

Le transports franciliens, métro, RER comme bus, connaissent des sous-effectifs de conducteurs qui ont largement dégradé les conditions de transports ces derniers mois pour les habitants de la région parisienne.

Comment recruter quand on réduit encore l’attractivité des métiers ?






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1097

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. ÉBLÉ


ARTICLE 1ER


Alinéas 1 et 2

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la RATP.

Les horaires atypiques, la fréquence des astreintes ou encore l’usure physique affectent la condition physique et mentale des travailleurs. Ce n’est pas un luxe que de prendre en compte divers critères de pénibilité : c’est avant tout une mesure de justice sociale. Ainsi, plutôt que de niveler les droits des salariés par le bas en supprimant les régimes spéciaux, nous estimons au contraire que l’ensemble des salariés exposés à la pénibilité doivent partir plus tôt à la retraite.

Le transports franciliens, métro, RER comme bus, connaissent des sous-effectifs de conducteurs qui ont largement dégradé les conditions de transports ces derniers mois pour les habitants de la région parisienne.

Comment recruter quand on réduit encore l’attractivité des métiers ?






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1146 rect. bis

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN


ARTICLE 1ER


Alinéas 1 et 2

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la RATP.

M. Patrick Pouyanné", PDG de TotalEnergies, super-profiteur, qui perçoit un salaire de 6 millions, pourra percevoir une retraite annuelle de 750 000 €. Mais les nantis, les privilégiés, ce sont les conducteurs de la RATP !

Les horaires atypiques, la fréquence des astreintes ou encore l’usure physique affectent la condition physique et mentale des travailleurs. Ce n’est pas un luxe que de prendre en compte divers critères de pénibilité : c’est avant tout une mesure de justice sociale. Ainsi, plutôt que de niveler les droits des salariés par le bas en supprimant les régimes spéciaux, nous estimons au contraire que l’ensemble des salariés exposés à la pénibilité doivent partir plus tôt à la retraite.

Le transports franciliens, métro, RER comme bus, connaissent des sous-effectifs de conducteurs qui ont largement dégradé les conditions de transports ces derniers mois pour les habitants de la région parisienne.

Pyramide des âges assez défavorables, conditions de travail dégradées (horaires décalés, problèmes de circulation, incivilités, insécurité...), absentéisme qui a progressé dans un métier déjà en tension, concurrence entre les métiers notamment avec ceux de la logistique, image peu attrayante des métiers... tous ces facteurs de difficultés de recrutement vont être largement accentuées par la fin du régime spécial de la RATP, alors que 6600 embauches sont prévues cette année pour répondre aux besoins des transports publics franciliens.

Comment recruter quand on réduit encore l’attractivité des métiers ?



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1206

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. MÉRILLOU


ARTICLE 1ER


Alinéas 1 et 2

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la RATP.

Les personnels de la RATP exercent des métiers difficiles et pénibles qui affectent leur condition physique et mentale : horaires atypiques, fréquence des astreintes ou encore usure physique…

Prendre en compte ces critères de pénibilité est avant tout une mesure de justice sociale.

Avec la suppression des régimes spéciaux, le gouvernement procède à un nivellement vers le bas des droits des salariés.  Cette réforme va à contre-sens de l’histoire, à contre sens du progrès. Plutôt que de supprimer ces régimes, il apparaît au contraire davantage pertinent de permettre à l’ensemble des salariés exposés à la pénibilité de partir plus tôt à la retraite.

A l’heure où les conditions de transport en Ile de France font l’objet de polémiques suite à la dégradation des services, ou les transports franciliens, métro, RER comme bus, connaissent des sous-effectifs de conducteurs, supprimer le régime spécial de la RATP entrainerait une baisse de l’attractivité des métiers et rendrait les recrutements plus difficiles.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1239

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme JASMIN


ARTICLE 1ER


Alinéas 1 et 2

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la RATP.

En effet, l’existence des régimes spéciaux est justifiée par des contraintes particulières (horaires de nuit, astreintes) et constitue un avantage non négligeable pour attirer de nouveaux salariés vers des secteurs difficiles. Et c’est particulièrement le cas de la RATP.

Le secteur des transports en Ile de France comme ailleurs est un secteur en forte tension et qui rencontre d’importantes difficultés d’attractivité, car ce sont des métiers pénibles et pas assez valorisés . 

C’est la raison pour laquelle, après un automne catastrophique suite, à forte la dégradation du service rendu aux usagers et afin de préparer les échéances sportives de 2024, la RATP, dirigée par Jean Castex depuis trois mois , vient d’annoncer une grande campagne de communication afin de recruter 6 600 agents cette année.

Il s’agit de 4 900 en CDI, des conducteurs de métro en passant par la maintenance mais aussi des ingénieurs et des informaticiens.

Ces annonces de la RATP sont une manière de répondre à la pénurie de main-d’œuvre qui a été mise en lumière depuis septembre 2022, mais aussi d’anticiper les prochains grands événements sportifs dans les dix-huit mois à venir.

Comment y parvenir surtout au regard des conditions de travail, sans l’avantage des régimes spéciaux ?

Il apparaît donc judicieux pour cet entreprise, et pour ces salariés de supprimer ces alinéas. Tel est l’objet de cet amendement.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1269

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. MONTAUGÉ


ARTICLE 1ER


Alinéas 1 et 2

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la RATP.

Les horaires atypiques, la fréquence des astreintes ou encore l’usure physique affectent la condition physique et mentale des travailleurs. Ce n’est pas un luxe que de prendre en compte divers critères de pénibilité : c’est avant tout une mesure de justice sociale. Ainsi, plutôt que de niveler les droits des salariés par le bas en supprimant les régimes spéciaux, nous estimons au contraire que l’ensemble des salariés exposés à la pénibilité doivent partir plus tôt à la retraite.

Le transports franciliens, métro, RER comme bus, connaissent des sous-effectifs de conducteurs qui ont largement dégradé les conditions de transports ces derniers mois pour les habitants de la région parisienne.

Comment recruter quand on réduit encore l’attractivité des métiers ?






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N° 1315

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme PRÉVILLE


ARTICLE 1ER


Alinéas 1 et 2

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la RATP.

Les horaires atypiques, la fréquence des astreintes ou encore l’usure physique affectent la condition physique et mentale des travailleurs. Ce n’est pas un luxe que de prendre en compte divers critères de pénibilité : c’est avant tout une mesure de justice sociale. Ainsi, plutôt que de niveler les droits des salariés par le bas en supprimant les régimes spéciaux, nous estimons au contraire que l’ensemble des salariés exposés à la pénibilité doivent partir plus tôt à la retraite.

Le transports franciliens, métro, RER comme bus, connaissent des sous-effectifs de conducteurs qui ont largement dégradé les conditions de transports ces derniers mois pour les habitants de la région parisienne.

Comment recruter quand on réduit encore l’attractivité des métiers ?






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1339

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. MARIE


ARTICLE 1ER


Alinéas 1 et 2

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la RATP.

Les horaires atypiques, la fréquence des astreintes ou encore l’usure physique affectent la condition physique et mentale des travailleurs. Ce n’est pas un luxe que de prendre en compte divers critères de pénibilité, il s'agit avant tout d'une mesure de justice sociale. Ainsi, plutôt que de niveler les droits des salariés par le bas en supprimant les régimes spéciaux, nous estimons au contraire que l’ensemble des salariés exposés à la pénibilité doivent partir plus tôt à la retraite.

Le transports franciliens, métro, RER comme bus, connaissent des sous-effectifs de conducteurs qui ont largement dégradé les conditions de transports ces derniers mois pour les habitants de la région parisienne.

Comment recruter quand on réduit encore l’attractivité des métiers ?

 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1372

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. BOURGI


ARTICLE 1ER


Alinéas 1 et 2

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la RATP.

Les horaires atypiques, la fréquence des astreintes ou encore l’usure physique affectent la condition physique et mentale des travailleurs. Ce n’est pas un luxe que de prendre en compte divers critères de pénibilité : c’est avant tout une mesure de justice sociale. Ainsi, plutôt que de niveler les droits des salariés par le bas en supprimant les régimes spéciaux, nous estimons au contraire que l’ensemble des salariés exposés à la pénibilité doivent partir plus tôt à la retraite.

Le transports franciliens, métro, RER comme bus, connaissent des sous-effectifs de conducteurs qui ont largement dégradé les conditions de transports ces derniers mois pour les habitants de la région parisienne.

Comment recruter quand on réduit encore l’attractivité des métiers ?






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1405

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. SUEUR


ARTICLE 1ER


Alinéas 1 et 2

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la RATP.

Les horaires atypiques, la fréquence des astreintes ou encore l’usure physique affectent la condition physique et mentale des travailleurs. Il est indispensable de prendre en compte divers critères de pénibilité : c’est avant tout une mesure de justice sociale. Ainsi, plutôt que de niveler les droits des salariés par le bas en supprimant les régimes spéciaux, nous estimons au contraire que l’ensemble des salariés exposés à la pénibilité doit partir plus tôt à la retraite.

Le transports franciliens, métro, RER comme bus, connaissent des sous-effectifs de conducteurs, ce qui a largement dégradé les conditions de transports ces derniers mois pour les habitants de la région parisienne.

Comment recruter quand on réduit encore l’attractivité des métiers ?






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1435

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. KERROUCHE


ARTICLE 1ER


Alinéas 1 et 2

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la RATP.

Les horaires atypiques, la fréquence des astreintes ou encore l’usure physique affectent la condition physique et mentale des travailleurs. Ce n’est pas un luxe que de prendre en compte divers critères de pénibilité : c’est avant tout une mesure de justice sociale. Ainsi, plutôt que de niveler les droits des salariés par le bas en supprimant les régimes spéciaux, nous estimons au contraire que l’ensemble des salariés exposés à la pénibilité doivent partir plus tôt à la retraite.

Le transports franciliens, métro, RER et bus, en plus de la désorganisation totale du fait de l'ouverture à la concurrence que les le groupe socialiste, écologiste et républicain a combattu lors de l'examen de la loi d’orientation des mobilités en 2019, subissent une crise de ressources humaines. Le réseau francilien subit une immense crise des vocations et le mal-être des conducteurs, notamment de bus, est immense comme le prouvent les mouvements sociaux, particulièrement en grande couronne.

Dès lors, comment palier les problèmes de recrutement si l'on réduit encore davantage l’attractivité des métiers ?

C'est tout le sens du mouvement "Stop Galère" lancé par les associations d'usagers et partis de gauche d'Ile-de-France cet hiver face à la triple ineptie : attaque sociale contre les travailleurs de la RATP, hausse du pass navigo, baisse des financements. Ce n'est pas aux travailleurs et aux usagers de payer les peaux cassées d'une mauvaise réforme des retraites et d'une mauvaise compensation par l'État des pertes de recettes d'IDFM du fait de la crise sanitaire comme des mauvais calculs en vue du Grand Paris Express.

Enfin, le Gouvernement et la majorité sénatoriale n'ont de cesse de crier à l'injustice entre la situation qui prévaut en Ile-de-France et dans les autres réseaux de transports en commun dans le pays.

Ainsi, plutôt que de démagogiquement tout supprimer, le gouvernement serait mieux inspirer de retirer sa réforme, reprendre de véritables négociations avec les partenaires sociaux, étudier profession par profession l'opportunité de revenir intégralement ou en partie sur certains régimes dits spéciaux.

Une bonne réforme des retraites est une réforme qui allie sauvegarde de la répartition et progrès social, pas qui stigmatise certains et qui montent les Français les uns contre les autres.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1503

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme Martine FILLEUL


ARTICLE 1ER


Alinéas 1 et 2

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la RATP.

Les horaires atypiques, la fréquence des astreintes ou encore l’usure physique affectent la condition physique et mentale des travailleurs. Ce n’est pas un luxe que de prendre en compte divers critères de pénibilité : c’est avant tout une mesure de justice sociale. Ainsi, plutôt que de niveler les droits des salariés par le bas en supprimant les régimes spéciaux, nous estimons au contraire que l’ensemble des salariés exposés à la pénibilité doivent partir plus tôt à la retraite.

Le transports franciliens, métro, RER comme bus, connaissent des sous-effectifs de conducteurs qui ont largement dégradé les conditions de transports ces derniers mois pour les habitants de la région parisienne.

Comment recruter quand on réduit encore l’attractivité des métiers ?






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1542

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme MONIER


ARTICLE 1ER


Alinéas 1 et 2

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la RATP.

Les horaires atypiques, la fréquence des astreintes ou encore l’usure physique affectent la condition physique et mentale des travailleurs. Ce n’est pas un luxe que de prendre en compte divers critères de pénibilité : c’est avant tout une mesure de justice sociale. Ainsi, plutôt que de niveler les droits des salariés par le bas en supprimant les régimes spéciaux, nous estimons au contraire que l’ensemble des salariés exposés à la pénibilité doivent partir plus tôt à la retraite.

Le transports franciliens, métro, RER comme bus, connaissent des sous-effectifs de conducteurs qui ont largement dégradé les conditions de transports ces derniers mois pour les habitants de la région parisienne.

Comment recruter quand on réduit encore l’attractivité des métiers ?






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1591

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. Joël BIGOT


ARTICLE 1ER


Alinéas 1 et 2

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la RATP.


Le transports franciliens, métro, RER comme bus, connaissent des sous-effectifs de conducteurs qui ont largement dégradé les conditions de transports ces derniers mois pour les habitants de la région parisienne.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1621

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme POUMIROL


ARTICLE 1ER


Alinéas 1 et 2

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la RATP.

Les horaires atypiques, la fréquence des astreintes ou encore l’usure physique affectent la condition physique et mentale des travailleurs. Ce n’est pas un luxe que de prendre en compte divers critères de pénibilité : c’est avant tout une mesure de justice sociale. Ainsi, plutôt que de niveler les droits des salariés par le bas en supprimant les régimes spéciaux, nous estimons au contraire que l’ensemble des salariés exposés à la pénibilité doivent partir plus tôt à la retraite.

Le transports franciliens, métro, RER comme bus, connaissent des sous-effectifs de conducteurs qui ont largement dégradé les conditions de transports ces derniers mois pour les habitants de la région parisienne.

Comment recruter quand on réduit encore l’attractivité des métiers ?






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1651

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme MEUNIER


ARTICLE 1ER


Alinéas 1 et 2

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la RATP.

Les horaires atypiques, la fréquence des astreintes ou encore l’usure physique affectent la condition physique et mentale des travailleurs. Ce n’est pas un luxe que de prendre en compte divers critères de pénibilité : c’est avant tout une mesure de justice sociale. Ainsi, plutôt que de niveler les droits des salariés par le bas en supprimant les régimes spéciaux, nous estimons au contraire que l’ensemble des salariés exposés à la pénibilité doivent partir plus tôt à la retraite.

Le transports franciliens, métro, RER comme bus, connaissent des sous-effectifs de conducteurs qui ont largement dégradé les conditions de transports ces derniers mois pour les habitants de la région parisienne.

Comment recruter quand on réduit encore l’attractivité des métiers ?

L'économiste Michaël Zemmour analyse ainsi la pertinence de conserver ces régimes spéciaux : « on peut considérer que des métiers différents et des statuts différents peuvent justifier d’avoir des modes de calcul différents si les écarts ne sont pas trop importants. C'est la situation actuelle. »






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N° 1663

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme BONNEFOY


ARTICLE 1ER


Alinéas 1 et 2

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la RATP.

Les horaires atypiques, la fréquence des astreintes ou encore l’usure physique affectent la condition physique et mentale des travailleurs. Ce n’est pas un luxe que de prendre en compte divers critères de pénibilité : c’est avant tout une mesure de justice sociale. Ainsi, plutôt que de niveler les droits des salariés par le bas en supprimant les régimes spéciaux, nous estimons au contraire que l’ensemble des salariés exposés à la pénibilité doivent partir plus tôt à la retraite.

Les transports franciliens, métro, RER comme bus, connaissent des sous-effectifs de conducteurs qui ont largement dégradé les conditions de transports ces derniers mois pour les habitants de la région parisienne.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1692

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. LECONTE


ARTICLE 1ER


Alinéas 1 et 2

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la RATP.


Les horaires atypiques, la fréquence des astreintes ou encore l’usure physique affectent la condition physique et mentale des travailleurs. Ce n’est pas un luxe que de prendre en compte divers critères de pénibilité : c’est avant tout une mesure de justice sociale. Ainsi, plutôt que de niveler les droits des salariés par le bas en supprimant les régimes spéciaux, nous estimons au contraire que l’ensemble des salariés exposés à la pénibilité doivent partir plus tôt à la retraite.


Le transports franciliens, métro, RER comme bus, connaissent des sous-effectifs de conducteurs qui ont largement dégradé les conditions de transports ces derniers mois pour les habitants de la région parisienne.


Comment recruter quand on réduit encore l’attractivité des métiers ?






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1747

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. TODESCHINI


ARTICLE 1ER


Alinéas 1 et 2

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la RATP.

Les horaires atypiques, la fréquence des astreintes ou encore l’usure physique affectent la condition physique et mentale des travailleurs. Ce n’est pas un luxe que de prendre en compte divers critères de pénibilité : c’est avant tout une mesure de justice sociale. Ainsi, plutôt que de niveler les droits des salariés par le bas en supprimant les régimes spéciaux, nous estimons au contraire que l’ensemble des salariés exposés à la pénibilité doivent partir plus tôt à la retraite.

Le transports franciliens, métro, RER comme bus, connaissent des sous-effectifs de conducteurs qui ont largement dégradé les conditions de transports ces derniers mois pour les habitants de la région parisienne.

Comment recruter quand on réduit encore l’attractivité des métiers ?






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1790

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. JOMIER


ARTICLE 1ER


Alinéas 1 et 2

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à maintenir le régime spécial de retraite de la RATP.

Les horaires atypiques, la fréquence des astreintes ou encore l’usure physique affectent la condition physique et mentale des travailleurs. Ce n’est pas un luxe que de prendre en compte divers critères de pénibilité : c’est avant tout une mesure de justice sociale. Ainsi, plutôt que de niveler les droits des salariés par le bas en supprimant les régimes spéciaux, nous estimons au contraire que l’ensemble des salariés exposés à la pénibilité doivent partir plus tôt à la retraite.

Le transports franciliens, métro, RER comme bus, connaissent des sous-effectifs de conducteurs qui ont largement dégradé les conditions de transports ces derniers mois pour les habitants de la région parisienne.

Réduire encore davantage l’attractivité des métiers aggravera les difficultés de recrutement.






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N° 1818

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. KANNER


ARTICLE 1ER


Alinéas 1 et 2

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la RATP.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1846

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. ASSOULINE


ARTICLE 1ER


Alinéas 1 et 2

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la RATP.

Les horaires atypiques, la fréquence des astreintes ou encore l’usure physique affectent la condition physique et mentale des travailleurs. Ce n’est pas un luxe que de prendre en compte divers critères de pénibilité : c’est avant tout une mesure de justice sociale. Ainsi, plutôt que de niveler les droits des salariés par le bas en supprimant les régimes spéciaux, nous estimons au contraire que l’ensemble des salariés exposés à la pénibilité doivent partir plus tôt à la retraite.

Le transports franciliens, métro, RER comme bus, connaissent des sous-effectifs de conducteurs qui ont largement dégradé les conditions de transports ces derniers mois pour les habitants de la région parisienne.

Comment recruter quand on réduit encore l’attractivité des métiers ?






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1991

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme ROSSIGNOL


ARTICLE 1ER


Alinéas 1 et 2

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la RATP.

Les horaires atypiques, la fréquence des astreintes ou encore l’usure physique affectent la condition physique et mentale des travailleurs. Ce n’est pas un luxe que de prendre en compte divers critères de pénibilité : c’est avant tout une mesure de justice sociale. Ainsi, plutôt que de niveler les droits des salariés par le bas en supprimant les régimes spéciaux, nous estimons au contraire que l’ensemble des salariés exposés à la pénibilité doivent partir plus tôt à la retraite.

Le transports franciliens, métro, RER comme bus, connaissent des sous-effectifs de conducteurs qui ont largement dégradé les conditions de transports ces derniers mois pour les habitants de la région parisienne.

Comment recruter quand on réduit encore l’attractivité des métiers ?






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2070

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. JEANSANNETAS


ARTICLE 1ER


Alinéas 1 et 2

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la RATP.

Les horaires atypiques, la fréquence des astreintes ou encore l’usure physique affectent la condition physique et mentale des travailleurs. Ce n’est pas un luxe que de prendre en compte divers critères de pénibilité : c’est avant tout une mesure de justice sociale. Ainsi, plutôt que de niveler les droits des salariés par le bas en supprimant les régimes spéciaux, nous estimons au contraire que l’ensemble des salariés exposés à la pénibilité doivent partir plus tôt à la retraite.

Le transports franciliens, métro, RER comme bus, connaissent des sous-effectifs de conducteurs qui ont largement dégradé les conditions de transports ces derniers mois pour les habitants de la région parisienne.

Comment recruter quand on réduit encore l’attractivité des métiers ?






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N° 2258

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme ESPAGNAC


ARTICLE 1ER


Alinéas 1 et 2

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la RATP.

Les horaires atypiques, la fréquence des astreintes ou encore l’usure physique affectent la condition physique et mentale des travailleurs. Il est indispensable de prendre en compte divers critères de pénibilité : c’est avant tout une mesure de justice sociale. Ainsi, plutôt que de niveler les droits des salariés par le bas en supprimant les régimes spéciaux, nous estimons au contraire que l’ensemble des salariés exposés à la pénibilité doit partir plus tôt à la retraite.

Le transports franciliens, métro, RER comme bus, connaissent des sous-effectifs de conducteurs, ce qui a largement dégradé les conditions de transports ces derniers mois pour les habitants de la région parisienne.

Comment recruter quand on réduit encore l’attractivité des métiers ?






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3193

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 1ER


Alinéas 1 et 2

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 1er de la présente loi vise à supprimer un certain nombre de régimes spéciaux ou autonomes.  Les alinéas 1 et 2 de l’article visent la suppression du régime spécial des agents de la Régie autonome des transports parisiens (RATP).

Auditionné par la commission des affaires sociales du Sénat, Christophe Rolin, le directeur général de la caisse de retraite des personnels de la RATP, explique qu’on compte aujourd’hui « 42.000 salariés sous statut ». Suite à la réforme du gouvernement, les nouveaux embauchés le seront selon le régime général de retraite, entraînant, petit à petit, l’extinction du régime spécial de la RATP.

En cas de recul de l’âge de départ à la retraite à 64 ans, comme le prévoit le présent projet de loi de finance de la sécurité sociale, leur âge de départ sera décalé à 54 ans au lieu de 52 ans pour la catégorie B (soit les conducteurs, sous réserve d’avoir effectué 27 ans dans ce tableau) et de 57 ans à 59 ans pour la catégorie A (soit les opérateurs -– machinistes, agents de maintenance notamment -– sous réserve d’avoir effectué 27 ans dans ce tableau).

Si, en réalité, très peu de salariés de la RATP partent à ces âges du fait du mécanisme de la décote, en revanche, selon le Directeur général de la caisse de retraite des personnels de la RATP, « il pourra y avoir un impact sur les montants de pensions, car demain, pour calculer le taux plein, au lieu de prendre 168 trimestres, on prendra 172 trimestres. » ce qui accroitra le départ décalé par rapport aux âges théoriques des départs anticipés.

Le régime spécial de la RATP se caractérise par une prise en compte fine et pertinente de la pénibilité, et ce depuis 1945. Il prend en compte la pénibilité de certains métiers, selon deux catégories. Elle est jugée « assez importante dans le tableau A », comme « la maintenance », où les agents peuvent partir à 57 ans, et « plus importante dans le tableau B », comme « les conducteurs », qui peuvent partir à 52 ans. Selon le Directeur général de la caisse de retraite des personnels de la RATP, « de nombreux mécanismes ont été mis en place, depuis longtemps, pour faire bénéficier les agents, de droits spécifiques, qui trouvent leur expression dans des abaissements d'’âge de départ ou des majorations de durées de service, à due proportion de la pénibilité de leur métier. Ces calculs se font de manière assez fine  : un agent peut changer de catégorie ou de sous-catégorie de pénibilité à l'’échelle d'’un mois, voire d'’une semaine  : chaque période est prise en compte spécifiquement dans le calcul des droits »[1], le calcul est donc individualisé à partir de 2 tableaux aux nombreuses subdivisions qui eux sont collectifs.

In fine, la suppression du régime spécial apparaît comme inopportune en considérant les conditions de travail particulières autant que les risques sanitaires. L’utilité sociale des agents de la RATP ne peut souffrir d’un nouveau recul sur leurs conquêtes sociales dont la prise en compte de la pénibilité qui devrait plutôt être le modèle pour les branches comportant les mêmes métiers exposés aux mêmes facteurs de pénibilité.

C’est pourquoi, cet amendement demande la suppression des alinéas 1 et 2.


[1] Commission des affaires sociales : compte rendu de la semaine du 30 janvier 2023 (senat.fr)






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3885 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 1ER


Alinéas 1 et 2

Supprimer ces alinéas.

Objet

Avec cet amendement, nous souhaitons que le régime spécial de la Régie autonome des transports parisiens (RATP) soit maintenu.

En effet, une telle réforme revient à remettre en cause les dispositifs conquis par les salarié·es du secteur du fait de la pénibilité de leurs emplois.

Sous prétexte d'équité et de justice sociale, cette réforme vise à diviser les Français·es sur la réforme des retraites.

L'extinction des régimes spéciaux a pour but de supprimer tous les dispositifs de départs anticipés pour les remplacer par le compte de prévention (C2P).

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2715 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 1ER


Alinéa 2

Remplacer les mots : 

avant le 1er septembre 2023

les mots :

jusqu’à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2050

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à repousser la date d'entrée en vigueur de la fermeture du régime spécial de retraite de la RATP à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales, au plus tard au 1er janvier 2050.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3018 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 1ER


Alinéa 2

Remplacer les mots :

avant le 1er septembre 2023

par les mots :

jusqu'à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2049

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à repousser la date d'entrée en vigueur de la fermeture du régime spécial de retraite de la RATP à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales, au plus tard au 1er janvier 2049.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3019 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 1ER


Alinéa 2

Remplacer les mots :

avant le 1er septembre 2023

par les mots :

jusqu'à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2048

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à repousser la date d'entrée en vigueur de la fermeture du régime spécial de retraite de la RATP à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales, au plus tard au 1er janvier 2048.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3020 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 1ER


Alinéa 2

Remplacer les mots :

avant le 1er septembre 2023

par les mots :

jusqu'à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2047

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à repousser la date d'entrée en vigueur de la fermeture du régime spécial de retraite de la RATP à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales, au plus tard au 1er janvier 2047.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3021 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 1ER


Alinéa 2

Remplacer les mots :

avant le 1er septembre 2023

par les mots :

jusqu'à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2046

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à repousser la date d'entrée en vigueur de la fermeture du régime spécial de retraite de la RATP à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales, au plus tard au 1er janvier 2046.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3022 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 1ER


Alinéa 2

Remplacer les mots :

avant le 1er septembre 2023

par les mots :

jusqu'à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2045

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à repousser la date d'entrée en vigueur de la fermeture du régime spécial de retraite de la RATP à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales, au plus tard au 1er janvier 2045.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3023 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 1ER


Alinéa 2

Remplacer les mots :

avant le 1er septembre 2023

par les mots :

jusqu'à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2044

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à repousser la date d'entrée en vigueur de la fermeture du régime spécial de retraite de la RATP à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales, au plus tard au 1er janvier 2044.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3024 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 1ER


Alinéa 2

Remplacer les mots :

avant le 1er septembre 2023

par les mots :

jusqu'à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2043

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à repousser la date d'entrée en vigueur de la fermeture du régime spécial de retraite de la RATP à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales, au plus tard au 1er janvier 2043.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3025 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 1ER


Alinéa 2

Remplacer les mots :

avant le 1er septembre 2023

par les mots :

jusqu'à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2042

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à repousser la date d'entrée en vigueur de la fermeture du régime spécial de retraite de la RATP à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales, au plus tard au 1er janvier 2042.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3026 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 1ER


Alinéa 2

Remplacer les mots :

avant le 1er septembre 2023

par les mots :

jusqu'à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2041

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à repousser la date d'entrée en vigueur de la fermeture du régime spécial de retraite de la RATP à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales, au plus tard au 1er janvier 2041.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3027 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 1ER


Alinéa 2

Remplacer les mots :

avant le 1er septembre 2023

par les mots :

jusqu'à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2040

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à repousser la date d'entrée en vigueur de la fermeture du régime spécial de retraite de la RATP à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales, au plus tard au 1er janvier 2040.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3028 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 1ER


Alinéa 2

Remplacer les mots :

avant le 1er septembre 2023

par les mots :

jusqu'à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2039

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à repousser la date d'entrée en vigueur de la fermeture du régime spécial de retraite de la RATP à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales, au plus tard au 1er janvier 2039.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3029 rect.

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AMENDEMENT

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C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 1ER


Alinéa 2

Remplacer les mots :

avant le 1er septembre 2023

par les mots :

jusqu'à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2038

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à repousser la date d'entrée en vigueur de la fermeture du régime spécial de retraite de la RATP à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales, au plus tard au 1er janvier 2038.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3030 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 1ER


Alinéa 2

Remplacer les mots :

avant le 1er septembre 2023

par les mots :

jusqu'à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2037

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à repousser la date d'entrée en vigueur de la fermeture du régime spécial de retraite de la RATP à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales, au plus tard au 1er janvier 2037.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3031 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 1ER


Alinéa 2

Remplacer les mots :

avant le 1er septembre 2023

par les mots :

jusqu'à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2036

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à repousser la date d'entrée en vigueur de la fermeture du régime spécial de retraite de la RATP à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales, au plus tard au 1er janvier 2036.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3032 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 1ER


Alinéa 2

Remplacer les mots :

avant le 1er septembre 2023

par les mots :

jusqu'à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2035

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à repousser la date d'entrée en vigueur de la fermeture du régime spécial de retraite de la RATP à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales, au plus tard au 1er janvier 2035.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3033 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 1ER


Alinéa 2

Remplacer les mots :

avant le 1er septembre 2023

par les mots :

jusqu'à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2034

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à repousser la date d'entrée en vigueur de la fermeture du régime spécial de retraite de la RATP à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales, au plus tard au 1er janvier 2034.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3034 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 1ER


Alinéa 2

Remplacer les mots :

avant le 1er septembre 2023

par les mots :

jusqu'à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2033

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à repousser la date d'entrée en vigueur de la fermeture du régime spécial de retraite de la RATP à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales, au plus tard au 1er janvier 2033.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3035 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 1ER


Alinéa 2

Remplacer les mots :

avant le 1er septembre 2023

par les mots :

jusqu'à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2032

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à repousser la date d'entrée en vigueur de la fermeture du régime spécial de retraite de la RATP à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales, au plus tard au 1er janvier 2032.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3036 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 1ER


Alinéa 2

Remplacer les mots :

avant le 1er septembre 2023

par les mots :

jusqu'à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2031

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à repousser la date d'entrée en vigueur de la fermeture du régime spécial de retraite de la RATP à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales, au plus tard au 1er janvier 2031.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3037 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 1ER


Alinéa 2

Remplacer les mots :

avant le 1er septembre 2023

par les mots :

jusqu'à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2030

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à repousser la date d'entrée en vigueur de la fermeture du régime spécial de retraite de la RATP à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales, au plus tard au 1er janvier 2030.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3043 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 1ER


Alinéa 2

Remplacer les mots :

avant le 1er septembre 2023

par les mots :

jusqu’à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2029

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à repousser la date d'entrée en vigueur de la fermeture du régime spécial de retraite de la RATP à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales, au plus tard au 1er janvier 2029.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3045 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 1ER


Alinéa 2

Remplacer les mots :

avant le 1er septembre 2023

par les mots :

avant une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2028

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à repousser la date d'entrée en vigueur de la fermeture du régime spécial de retraite de la RATP à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales, au plus tard au 1er janvier 2028.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3913 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 1ER


Alinéa 2

Remplacer les mots :

avant le 1er septembre 2023

par les mots :

avant une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2028

Objet

Cet amendement vise à repousser la date d'entrée en vigueur de la fermeture du régime spécial de retraite de la RATP à une date déterminée par décret pris en Conseil d'Etat après concertation des organisations syndicales et patronales, au plus tard au 1er janvier 2028.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 282

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. FÉRAUD


ARTICLE 1ER


Alinéas 3 et 4

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la Banque de France.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 314

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. PLA


ARTICLE 1ER


Alinéas 3 et 4

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la Banque de France.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 343

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme BRIQUET


ARTICLE 1ER


Alinéas 3 et 4

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la Banque de France.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 368

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme FÉRET


ARTICLE 1ER


Alinéas 3 et 4

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la Banque de France.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 451

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. FICHET


ARTICLE 1ER


Alinéas 3 et 4

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la Banque de France.

 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 506

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. CHANTREL


ARTICLE 1ER


Alinéas 3 et 4

Supprimer ces alinéas.

 

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la Banque de France.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 520

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. GILLÉ


ARTICLE 1ER


Alinéas 3 et 4

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la Banque de France.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 569

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme de LA GONTRIE


ARTICLE 1ER


Alinéas 3 et 4

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la Banque de France.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 581

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. REDON-SARRAZY


ARTICLE 1ER


Alinéas 3 et 4

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la Banque de France.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 668

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme LE HOUEROU


ARTICLE 1ER


Alinéas 3 et 4

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la Banque de France.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 697

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme BLATRIX CONTAT


ARTICLE 1ER


Alinéas 3 et 4

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la Banque de France.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 728

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. Mickaël VALLET


ARTICLE 1ER


Alinéas 3 et 4

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la Banque de France.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 810

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. JACQUIN


ARTICLE 1ER


Alinéas 3 et 4

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la Banque de France.

Plutôt que de démagogiquement tout supprimer, le gouvernement serait mieux inspirer de retirer sa réforme, reprendre de véritables négociations avec les partenaires sociaux, étudier profession par profession l'opportunité de revenir intégralement ou en partie sur certains régimes dits spéciaux.

Une bonne réforme des retraites est une réforme qui allie sauvegarde de la répartition et progrès social, pas qui stigmatise certains et qui montent les Français les uns contre les autres.






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N° 823

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. LOZACH


ARTICLE 1ER


Alinéas 3 et 4

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la Banque de France.






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N° 863

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. DURAIN


ARTICLE 1ER


Alinéas 3 et 4

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la Banque de France.






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N° 898

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. LUREL


ARTICLE 1ER


Alinéas 3 et 4

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la Banque de France.






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N° 943

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. CARDON


ARTICLE 1ER


Alinéas 3 et 4

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime de retraite de la Banque de France.






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N° 991

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. RAYNAL


ARTICLE 1ER


Alinéas 3 et 4

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la Banque de France.






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N° 1010

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. STANZIONE


ARTICLE 1ER


Alinéas 3 et 4

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas supprimer le régime spécial de retraite de la Banque de France.






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N° 1062

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. HOULLEGATTE


ARTICLE 1ER


Alinéas 3 et 4

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la Banque de France.






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N° 1077

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. TISSOT


ARTICLE 1ER


Alinéas 3 et 4

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la Banque de France.






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N° 1098

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. ÉBLÉ


ARTICLE 1ER


Alinéas 3 et 4

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la Banque de France.

 






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N° 1152 rect. bis

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN


ARTICLE 1ER


Alinéas 3 et 4

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la Banque de France.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 1207

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. MÉRILLOU


ARTICLE 1ER


Alinéas 3 et 4

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la Banque de France.






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N° 1247

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme JASMIN


ARTICLE 1ER


Alinéas 3 et 4

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la Banque de France.

Créé il y a deux siècles par Napoléon, le régime de retraites des salariés de la Banque de France, qui fonctionnait jusqu’alors comme un régime par capitalisation, s’aligne peu à peu sur celui de la fonction publique.

Le régime de la Banque de France, dont la suppression était déjà prévue pour les nouveaux entrants à compter du 1er janvier 2025, comptait environ 7.850 cotisants en 2021, pour 17.000 pensionnés, selon un rapport de l’Assemblée nationale.

Bien que structurellement déficitaire, avec 36 millions de recettes, pour 508 millions de dépenses, ce régime selon le Gouverneur de la Banque de France, M. François Villeroy de Galhau. «est provisionné dans nos comptes. Donc en fait c’est un régime autonome plutôt vertueux ».

En effet, contrairement à la plupart des régimes spéciaux, le fonctionnement des retraites de la Banque de France ne nécessite pas de contribution de l’État. Pour cause, la réserve de l’institution s’élève à plus de 14 milliards d’euros, et permet d’assurer le paiement de la retraite des 16 000 pensionnés.

Face à la mobilisation des agents, très attachés à leur régime de retraite, pour lequel l’impact financier est neutre pour la collectivité, il convient de supprimer ces alinéas.






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N° 1270

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. MONTAUGÉ


ARTICLE 1ER


Alinéas 3 et 4

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la Banque de France.






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N° 1316

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme PRÉVILLE


ARTICLE 1ER


Alinéas 3 et 4

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la Banque de France.






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N° 1340

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. MARIE


ARTICLE 1ER


Alinéas 3 et 4

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement propose de supprimer les dispositions visant à fermer le régime spécial de retraite de la Banque de France.






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N° 1373

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. BOURGI


ARTICLE 1ER


Alinéas 3 et 4

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la Banque de France.






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N° 1406

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. SUEUR


ARTICLE 1ER


Alinéas 3 et 4

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la Banque de France.






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N° 1436

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. KERROUCHE


ARTICLE 1ER


Alinéas 3 et 4

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la Banque de France.






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N° 1504

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme Martine FILLEUL


ARTICLE 1ER


Alinéas 3 et 4

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la Banque de France.






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N° 1543

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme MONIER


ARTICLE 1ER


Alinéas 3 et 4

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la Banque de France.






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N° 1592

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. Joël BIGOT


ARTICLE 1ER


Alinéas 3 et 4

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la Banque de France.






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N° 1622

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme POUMIROL


ARTICLE 1ER


Alinéas 3 et 4

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la Banque de France.

 






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N° 1652

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme MEUNIER


ARTICLE 1ER


Alinéas 3 et 4

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la Banque de France.

Ce régime qui ne contient aucun droit spécial, les salariés partant à 62 ans, a pour seule particularité d’avoir des engagements intégralement provisionnés tant pour les actifs que pour les retraités.

La perspective de sa suppression soulève l’incompréhension des organisations syndicales, d'autant plus que ce régime verse des excédents, à hauteur de 1,8 milliard depuis 2020.






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N° 1693

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. LECONTE


ARTICLE 1ER


Alinéas 3 et 4

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la Banque de France.






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N° 1749

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. TODESCHINI


ARTICLE 1ER


Alinéas 3 et 4

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la Banque de France.






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N° 1791

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. JOMIER


ARTICLE 1ER


Alinéas 3 et 4

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à maintenir le régime spécial de retraite de la Banque de France.

Ce régime spécial, l'un des plus anciens de France, provisionné dans les comptes de l'institution, est de l'avis même du Gouverneur de la Banque de France, "plutôt vertueux" et "ne correspond à aucun privilège".






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N° 1819

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. KANNER


ARTICLE 1ER


Alinéas 3 et 4

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la Banque de France.






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N° 1850

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. ASSOULINE


ARTICLE 1ER


Alinéas 3 et 4

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la Banque de France.






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N° 1945 rect. ter

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. Étienne BLANC, Mme GOY-CHAVENT, MM. MANDELLI et SAURY, Mmes Valérie BOYER et BELRHITI, MM. GENET, PELLEVAT, FRASSA, BASCHER, HOUPERT, SEGOUIN, SAUTAREL et BONNE, Mme ESTROSI SASSONE, MM. ROJOUAN et PIEDNOIR et Mme BONFANTI-DOSSAT


ARTICLE 1ER


Alinéas 3 et 4

Supprimer ces alinéas.

Objet

Les alinéas 3 et 4 du présent article visent à fermer le régime spécial de retraite de la Banque de France.

Créé il y a deux siècles sous Napoléon, le régime de retraite des salariés de la Banque de France fonctionne par capitalisation. La Banque dispose d’une Caisse de réserve des employés (CRE) dont les capitaux sont placés. Cette caisse est alimentée par les cotisations des agents (11,1 %). La Banque se contente de verser, si besoin, un complément afin d’assurer l’équilibre financier du régime. Les promesses faites aux agents et aux retraités sont provisionnées à 100 % depuis 2019 avec des provisions comptables représentant 12 milliards d’euros fin 2020. Cette façon de faire permet de distribuer des pensions, essentiellement financées par les marchés financiers, sans faire appel aux contribuables. 

Force est ainsi de constater que ce régime spécial, qu’il est apparemment urgent de supprimer, s’autofinance avec les gains liés aux placements, ce qui lui permet de verser des retraites sans faire appel au contribuable. 

Responsable, ce régime ne constitue ainsi pas un risque pour les finances publiques. Bien au contraire, c’est un modèle de bonne gestion.

Ajoutons que, lorsque les capitaux placés rapportent davantage que les retraites à payer, la Banque de France rend le surplus au Trésor public, ce qui représentait pas moins de 690 millions d’euros en 2021 !

Si l’État avait géré les retraites de ses fonctionnaires de façon aussi responsable que la Banque de France, il aurait économisé plus de 50 milliards d’euros en 2021. Il ne se retrouverait pas non plus dans la situation actuelle où les pensions des anciens fonctionnaires représentent jusqu’à 28 % des dépenses de ministères comme l’Éducation nationale.

Pour l’ensemble de ces raisons, le présent amendement propose de revenir sur cette suppression injuste - voire même néfaste pour nos finances publiques.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 1992

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme ROSSIGNOL


ARTICLE 1ER


Alinéas 3 et 4

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la Banque de France.

 






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N° 2071

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. JEANSANNETAS


ARTICLE 1ER


Alinéas 3 et 4

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la Banque de France.






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N° 2259

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme ESPAGNAC


ARTICLE 1ER


Alinéas 3 et 4

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite de la Banque de France.






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N° 3906 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 1ER


Alinéas 3 et 4

Supprimer ces alinéas.

Objet

Les auteurs de cet amendement s’opposent à la fin du régime spécial de la Banque de France.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 283

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. FÉRAUD


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 à 13

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des notaires et clercs de notaires.






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N° 315

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. PLA


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 à 13

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des notaires et clercs de notaires.






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N° 344

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme BRIQUET


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 à 13

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des notaires et clercs de notaires.






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N° 369

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme FÉRET


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 à 13

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des notaires et clercs de notaires.






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N° 452

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. FICHET


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 à 13

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des notaires et clercs de notaires.






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N° 507

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. CHANTREL


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 à 13

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des notaires et clercs de notaires.






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N° 521

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. GILLÉ


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 à 13

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des notaires et clercs de notaires.

 






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27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme de LA GONTRIE


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 à 13

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des notaires et clercs de notaires.






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27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. REDON-SARRAZY


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 à 13

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des notaires et clercs de notaires.






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27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LE HOUEROU


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 à 13

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des notaires et clercs de notaires.






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AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme BLATRIX CONTAT


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 à 13

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des notaires et clercs de notaires.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 729

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. Mickaël VALLET


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 à 13

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des notaires et clercs de notaires.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 811

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. JACQUIN


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 à 13

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des notaires et clercs de notaires.

Plutôt que de démagogiquement tout supprimer, le gouvernement serait mieux inspirer de retirer sa réforme, reprendre de véritables négociations avec les partenaires sociaux, étudier profession par profession l'opportunité de revenir intégralement ou en partie sur certains régimes dits spéciaux.

Une bonne réforme des retraites est une réforme qui allie sauvegarde de la répartition et progrès social, pas qui stigmatise certains et qui montent les Français les uns contre les autres.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 824

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. LOZACH


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 à 13

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des notaires et clercs de notaires.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 864

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. DURAIN


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 à 13

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des notaires et clercs de notaires.






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N° 899

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. LUREL


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 à 13

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des notaires et clercs de notaires.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 944

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. CARDON


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 à 13

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des notaires et clercs de notaires.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 982

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. RAYNAL


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 à 13

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des notaires et clercs de notaires.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1011

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. STANZIONE


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 à 13

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas supprimer le régime spécial de retraite des notaires et clercs de notaires.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1031

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme Gisèle JOURDA


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 à 13

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des notaires et clercs de notaires.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1063

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. HOULLEGATTE


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 à 13

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des notaires et clercs de notaires.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1078

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. TISSOT


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 à 13

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des notaires et clercs de notaires.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1099

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. ÉBLÉ


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 à 13

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des notaires et clercs de notaires.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1153 rect. bis

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 à 13

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des notaires et clercs de notaires.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1208

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. MÉRILLOU


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 à 13

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des notaires et clercs de notaires.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1248

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme JASMIN


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 à 13

Supprimer ces alinéas.

Objet

 

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des notaires et clercs de notaires.

Ces alinéas prévoient la disparition de la CRPCEN - Caisse de retraite et de prévoyance des salariés et retraités du Notariat créée par la loi organique du 12 juillet 1937.

Les salariés du Notariat, sont fermement opposés à cette réforme qui aura pour conséquence la baisse du montant des pensions car celles-ci seront calculées sur toute la carrière soit une diminution très nette de ces dernières, de l'ordre de 25 %.

Actuellement, le montant des pensions à venir des salariés du notariat se base sur le salaire annuel moyen des 10 meilleures années avec un taux maximum de pension fixé à 75 % (pour une carrière complète).

En plus de la baisse de nos pensions, repousser l'âge de départ à la retraite de 62 à 64 ans ne va pas améliorer les conditions de travail au sein des études et va pénaliser les femmes lesquelles représentent 88 % de l'effectif dans la branche.

Les femmes vont devoir travailler plus longtemps et plus durement sans avoir une meilleure retraite, car tous les scénarios démontrent que les femmes seront les plus grandes perdantes de cette réforme !

Par ailleurs, ce régime n’est pas déficitaire et ne fait l'objet d'aucune subvention d'équilibre provenant, soit du Régime général de Sécurité sociale, soit du budget de l'Etat.

A l’inverse, les deux régimes complémentaires des notaires (CPRN), dont les dépenses futures sont fortement provisionnées, disposent de 144 mois de réserves, soit près de 12 ans de prestations.

Il apparaît donc judicieux pour ces entreprises, et pour les salariés de ce secteur, de supprimer ces alinéas. Tel est l’objet de cet amendement.

 






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N° 1271

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. MONTAUGÉ


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 à 13

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des notaires et clercs de notaires.






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N° 1317

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme PRÉVILLE


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 à 13

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des notaires et clercs de notaires.






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N° 1341

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. MARIE


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 à 13

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des notaires et clercs de notaires.






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N° 1374

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. BOURGI


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 à 13

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des notaires et clercs de notaires.






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N° 1407

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. SUEUR


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 à 13

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des notaires et clercs de notaires.






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N° 1437

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. KERROUCHE


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 à 13

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des notaires et clercs de notaires.






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N° 1505

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme Martine FILLEUL


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 à 13

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des notaires et clercs de notaires.






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N° 1544

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme MONIER


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 à 13

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des notaires et clercs de notaires.






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N° 1593

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. Joël BIGOT


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 à 13

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des notaires et clercs de notaires.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1623

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme POUMIROL


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 à 13

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des notaires et clercs de notaires.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1653

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme MEUNIER


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 à 13

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des notaires et clercs de notaires.

Comme d'autres régimes dit spéciaux, ce régime est calqué sur les bornes d'âge du régime général : départ à 62 ans, durée de cotisation de 167 trimestres. Il est excédentaire et n’a jamais fait appel à des subventions d’équilibre depuis sa création ; il a participé largement à la solidarité nationale par le biais des diverses compensations.

La fermeture de ce régime autofinancé entrainerait une disparité de droits entre salariés d’une même étude notariale avec une diminution de l’ordre de 25 % du revenu de remplacement.

Cette régression concernerait en grande partie des femmes, la profession de clerc de notaire étant très fortement occupée par des femmes (88 %).






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N° 1694

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. LECONTE


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 à 13

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des notaires et clercs de notaires.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1750

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. TODESCHINI


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 à 13

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des notaires et clercs de notaires.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1792

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. JOMIER


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 à 13

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à maintenir le régime spécial de retraite des notaires et clercs de notaires.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1820

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. KANNER


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 à 13

Supprimer ces alinéas.

Objet

Objet

 Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des notaires et clercs de notaires.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1848

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. ASSOULINE


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 à 13

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des notaires et clercs de notaires.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1993

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme ROSSIGNOL


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 à 13

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des notaires et clercs de notaires.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2072

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. JEANSANNETAS


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 et 13

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des notaires et clercs de notaires.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2260

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme ESPAGNAC


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 à 13

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des notaires et clercs de notaires.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2286

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme BONNEFOY


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 à 13

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des notaires et clercs de notaires.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1946 rect. ter

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. Étienne BLANC, Mme GOY-CHAVENT, MM. MANDELLI et SAURY, Mmes Valérie BOYER et BELRHITI, MM. GENET, PELLEVAT, FRASSA, BASCHER, HOUPERT, SEGOUIN et SAUTAREL, Mme ESTROSI SASSONE, MM. Daniel LAURENT, TABAROT, ROJOUAN et PIEDNOIR et Mme BONFANTI-DOSSAT


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 à 8

Supprimer ces alinéas.

Objet

Le présent article prévoit la fermeture des régimes spéciaux et notamment du régime des clercs et employés de notaire (CRPCEN).

Ce régime compte 76 000 clercs de notaire et employés de notaires, et 80 000 retraités.

Instauré par la loi du 12 juillet 1937, le régime de Sécurité sociale du secteur notarial a pour spécificité d’être doté de l’autonomie financière, d’être multi branches (maladie, retraite et recouvrement) et de servir une action sociale pour les personnes en situation de fragilité.

Cette caisse est un régime excédentaire, pérenne et financé par des cotisations supérieures des employés et abondé par la contribution de 4 % des employeurs qui accorde aucun avantage au niveau de l’âge de départ en retraite.

La CRPCEN a de plus toujours su puiser les mauvaises années dans ses réserves et ce, depuis sa création. La CRPCEN est excédentaire depuis plusieurs années car il y a d’une part, les cotisants qui cotisent à plein et d’autre part, les retraités poly-pensionnés et les retraités n’ayant pas une retraite à taux plein.

Alors que la suppression du régime spécial ne ferait que renforcer les difficultés de recrutement que rencontre la profession, le présent amendement propose de revenir sur cette suppression qui apparait ici injustifiée et néfaste pour l’attractivité de la profession.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2224 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. ARTANO, BILHAC et CABANEL, Mmes Maryse CARRÈRE et Nathalie DELATTRE, MM. GOLD, GUÉRINI et GUIOL, Mme PANTEL et MM. REQUIER et ROUX


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 à 8

Supprimer ces alinéas.

Objet

Le régime spécial de la Caisse de Retraites et de Prévoyance des Clercs et Employés de Notaires (CRPCEN) est menacé de suppression par la rédaction de l’article 1er du présent projet de loi. Il concerne les actifs et retraités du secteur du notariat et gère aussi la partie maladie de la profession.

Cet amendement vise à pérenniser le CRPCEN. Ce régime, excédentaire depuis sa création il y a déjà 85 ans, ne bénéficie d’aucune subvention d’équilibre provenant du budget de l’État. Il est financé par des cotisations supérieures des employés à hauteur de 29,73% pour la part salariale et par une contribution des employeurs à hauteur de 4% du chiffre d’affaires constitué des émoluments et honoraires des notaires. C’est un régime intégré servant à la fois la retraite de base et la retraite complémentaire.

Rien ne justifie donc de supprimer ce régime spécial.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 2351

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

MM. CANÉVET, DUFFOURG, PRINCE et LEVI, Mme SAINT-PÉ, M. DÉTRAIGNE, Mme de LA PROVÔTÉ, M. LE NAY et Mmes MORIN-DESAILLY et DEVÉSA


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 à 8

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 1er prévoit la fermeture du régime des clercs et employés de notaire (CRPCEN).

Or, ce régime est excédentaire, pérenne et financé par des cotisations supérieures des employés et abondé par la contribution de 4 % des employeurs. Depuis sa création en 1937, il n’est pas déficitaire et ne fait l’objet d’aucune subvention d’équilibre provenant, soit du Régime général de Sécurité sociale, soit du budget de l’État. Ce régime a prouvé sa fiabilité et sa résilience face aux nombreuses crises économiques et immobilières que le notariat a traversées.

De plus, la suppression du régime spécial ne ferait que renforcer les difficultés de recrutement que rencontre déjà la profession. 

Le présent amendement vise donc à sauvegarder le régime spécial de la Caisse de retraite et de prévoyance des clercs et employés de notaires (CRPCEN).






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N° 3920 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 1ER


Alinéas 5 à 8

Supprimer ces alinéas.

Objet

Par cet amendement, nous demandons le maintien du régime spécial des clercs et employés de notaire (CRPCEN). En effet, nous refusons le nivellement par le bas prôné par le Gouvernement.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 3946 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 1ER


Alinéa 13

Supprimer cet alinéa.

Objet

Les auteurs de cet amendement réaffirment leur opposition à la disparition des régimes spéciaux prévue par cet article.

Déjà largement réformés dans une logique d’harmonisation avec les autres régimes de retraite, les « régimes spéciaux » sont une fois de plus stigmatisés afin de procéder à un nivellement par le bas des droits de tous à la retraite.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 284

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. FÉRAUD


ARTICLE 1ER


Alinéas 14 à 16

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain  vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des industries électriques et gazières EDF, ENGIE, ERDF, RTE, GRT gaz, GRDF, ENEDIS, etc.).






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 316

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. PLA


ARTICLE 1ER


Alinéas 14 à 16

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des industries électriques et gazières EDF, ENGIE, ERDF, RTE, GRT gaz, GRDF, ENEDIS, etc.).






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N° 345

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme BRIQUET


ARTICLE 1ER


Alinéas 14 à 16

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des industries électriques et gazières EDF, ENGIE, ERDF, RTE, GRT gaz, GRDF, ENEDIS, etc.).






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N° 370

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme FÉRET


ARTICLE 1ER


Alinéas 14 à 16

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des industries électriques et gazières (EDF, ENGIE, ERDF, RTE, GRT gaz, GRDF, ENEDIS, etc.).






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N° 453

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. FICHET


ARTICLE 1ER


Alinéas 14 à 16

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain  vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des industries électriques et gazières EDF, ENGIE, ERDF, RTE, GRT gaz, GRDF, ENEDIS, etc.).






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N° 508

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. CHANTREL


ARTICLE 1ER


Alinéas 14 à 16

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain  vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des industries électriques et gazières EDF, ENGIE, ERDF, RTE, GRT gaz, GRDF, ENEDIS, etc.).






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N° 522

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. GILLÉ


ARTICLE 1ER


Alinéas 14 à 16

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain  vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des industries électriques et gazières EDF, ENGIE, ERDF, RTE, GRT gaz, GRDF, ENEDIS, etc.).






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N° 571

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme de LA GONTRIE


ARTICLE 1ER


Alinéas 14 à 16

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des industries électriques et gazières EDF, ENGIE, ERDF, RTE, GRT gaz, GRDF, ENEDIS, etc.).






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N° 583

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. REDON-SARRAZY


ARTICLE 1ER


Alinéas 14 à 16

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain  vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des industries électriques et gazières EDF, ENGIE, ERDF, RTE, GRT gaz, GRDF, ENEDIS, etc.).






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N° 670

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LE HOUEROU


ARTICLE 1ER


Alinéas 14 à 16

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des industries électriques et gazières EDF, ENGIE, ERDF, RTE, GRT gaz, GRDF, ENEDIS, etc.).






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N° 699

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme BLATRIX CONTAT


ARTICLE 1ER


Alinéas 14 à 16

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain  vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des industries électriques et gazières EDF, ENGIE, ERDF, RTE, GRT gaz, GRDF, ENEDIS, etc.).






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N° 730

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. Mickaël VALLET


ARTICLE 1ER


Alinéas 14 à 16

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain  vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des industries électriques et gazières EDF, ENGIE, ERDF, RTE, GRT gaz, GRDF, ENEDIS, etc.).






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N° 812

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. JACQUIN


ARTICLE 1ER


Alinéas 14 à 16

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des industries électriques et gazières EDF, ENGIE, ERDF, RTE, GRT gaz, GRDF, ENEDIS, etc.).

Alors que nous venons d'examiner un texte sur le développement des énergies renouvelables et un autre sur la filière nucléaire démontrant le besoin fort de recrutements, alors que nous devons faire face au dérèglement climatique qui a pour conséquence directe l'augmentation des évènements météorologiques aux conséquences toujours plus fortes pour les réseau, alors que nous faisons face à une crise énergétique très forte du fait de la guerre en Ukraine nous obligeant à réinterroger notre souveraineté énergétique, supprimer brutalement les régimes dits spéciaux ne donne aucun signal favorable envers ces secteurs pour des professions souvent très difficiles.

Plutôt que de démagogiquement tout supprimer, le gouvernement serait mieux inspirer de retirer sa réforme, reprendre de véritables négociations avec les partenaires sociaux, étudier profession par profession l'opportunité de revenir intégralement ou en partie sur certains régimes dits spéciaux.

Une bonne réforme des retraites est une réforme qui allie sauvegarde de la répartition et progrès social, pas qui stigmatise certains et qui montent les Français les uns contre les autres.






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N° 825

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. LOZACH


ARTICLE 1ER


Alinéas 14 à 16

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain  vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des industries électriques et gazières EDF, ENGIE, ERDF, RTE, GRT gaz, GRDF, ENEDIS, etc.).






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N° 865

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. DURAIN


ARTICLE 1ER


Alinéas 14 à 16

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain  vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des industries électriques et gazières EDF, ENGIE, ERDF, RTE, GRT gaz, GRDF, ENEDIS, etc.).






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N° 900

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. LUREL


ARTICLE 1ER


Alinéas 14 à 16

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des industries électriques et gazières EDF, ENGIE, ERDF, RTE, GRT gaz, GRDF, ENEDIS, etc..






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 945

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. CARDON


ARTICLE 1ER


Alinéas 14 à 16

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain  vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des industries électriques et gazières EDF, ENGIE, ERDF, RTE, GRT gaz, GRDF, ENEDIS, etc.).






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N° 983

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. RAYNAL


ARTICLE 1ER


Alinéas 14 à 16

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des industries électriques et gazières EDF, ENGIE, ERDF, RTE, GRT gaz, GRDF, ENEDIS, etc.).






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1013

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. STANZIONE


ARTICLE 1ER


Alinéas 14 à 16

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas supprimer le régime spécial de retraite des industries électriques et gazières EDF, ENGIE, ERDF, RTE, GRT gaz, GRDF, ENEDIS,…






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1032

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme Gisèle JOURDA


ARTICLE 1ER


Alinéas 14 à 16

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des industries électriques et gazières EDF, ENGIE, ERDF, RTE, GRT gaz, GRDF, ENEDIS, etc.).






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1064

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. HOULLEGATTE


ARTICLE 1ER


Alinéas 14 à 16

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain  vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des industries électriques et gazières EDF, ENGIE, ERDF, RTE, GRT gaz, GRDF, ENEDIS, etc.).






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1079

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. TISSOT


ARTICLE 1ER


Alinéas 14 à 16

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des industries électriques et gazières (EDF, ENGIE, ERDF, RTE, GRT gaz, GRDF, ENEDIS, etc.).






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1100

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. ÉBLÉ


ARTICLE 1ER


Alinéas 14 et 16

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des industries électriques et gazières EDF, ENGIE, ERDF, RTE, GRT gaz, GRDF, ENEDIS, etc.).

 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1154 rect. bis

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN


ARTICLE 1ER


Alinéas 14 à 16

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain  vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des industries électriques et gazières EDF, ENGIE, ERDF, RTE, GRT gaz, GRDF, ENEDIS, etc.).



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1209

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. MÉRILLOU


ARTICLE 1ER


Alinéas 14 à 16

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des industries électriques et gazières EDF, ENGIE, ERDF, RTE, GRT gaz, GRDF, ENEDIS, etc.).






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1240

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme JASMIN


ARTICLE 1ER


Alinéas 14 à 16

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des industries électriques et gazières EDF, ENGIE, ERDF, RTE, GRT gaz, GRDF, ENEDIS, etc.).

En raison de la la « clause du grand-père », ce sont donc les générations futures qui seront concernées, alors même que l’existence des régimes spéciaux est justifiée par des contraintes particulières (horaires de nuit, astreintes) et constitue un avantage non négligeable pour attirer de nouveaux salariés vers des secteurs difficiles.

Cet amendement vise à préserver le régime spécial des salariés des industries électriques et gazières.

Nous savons désormais avec la crise énergétique induite par la guerre en Ukraine , combien ce secteur est stratégique pour le pays et pour son autonomie énergétique.

C’est aussi le cas en Guadeloupe, en raison d’un mouvement social qui a paralysé par des longues coupures d’électricité, toute l’ile, depuis le 19 décembre 2022, pendant plus de deux mois.

Le fonctionnement de la centrale thermique d’EDF Production électrique insulaire (PEI), le plus gros producteur d’électricité de l’île, était perturbé par 61 jours d’une grève menée par la CGT-Guadeloupe, en raison du « refus de l’employeur d’appliquer dans l’entreprise le code du travail et donc d’assurer les conditions de travail minimales prévues par la loi », selon le syndicat.

Les quatorze premiers articles de l’accord de douze pages, signé entre les parties prenantes sous la médiation de l’État, reprennent d’ailleurs des dispositifs d’application en matière de santé, astreintes, primes, sécurité, repos, en lien avec les conditions de travail.

Il apparaît donc judicieux pour ces entreprises, et pour les salariés de ce secteur notamment en Guadeloupe qui sont attachés à leurs acquis sociaux, de supprimer ces alinéas. Tel est l’objet de cet amendement.






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N° 1272

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. MONTAUGÉ


ARTICLE 1ER


Alinéas 14 à 16

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain  vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des industries électriques et gazières EDF, ENGIE, ERDF, RTE, GRT gaz, GRDF, ENEDIS, etc.).






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N° 1318

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme PRÉVILLE


ARTICLE 1ER


Alinéas 14 à 16

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des industries électriques et gazières EDF, ENGIE, ERDF, RTE, GRT gaz, GRDF, ENEDIS, etc.).






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N° 1342

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. MARIE


ARTICLE 1ER


Alinéas 14 à 16

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des industries électriques et gazières (EDF, ENGIE, ERDF, RTE, GRT gaz, GRDF, ENEDIS etc).






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N° 1375

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. BOURGI


ARTICLE 1ER


Alinéas 14 à 16

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain  vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des industries électriques et gazières EDF, ENGIE, ERDF, RTE, GRT gaz, GRDF, ENEDIS, etc.).






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N° 1408

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. SUEUR


ARTICLE 1ER


Alinéas 14 à 16

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des industries électriques et gazières (EDF, ENGIE, ERDF, RTE, GRT gaz, GRDF, ENEDIS, etc.).






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1438

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. KERROUCHE


ARTICLE 1ER


Alinéas 14 à 16

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des industries électriques et gazières EDF, ENGIE, ERDF, RTE, GRT gaz, GRDF, ENEDIS, etc.).






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N° 1506

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme Martine FILLEUL


ARTICLE 1ER


Alinéas 14 à 16

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des industries électriques et gazières EDF, ENGIE, ERDF, RTE, GRT gaz, GRDF, ENEDIS, etc.).






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N° 1545

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme MONIER


ARTICLE 1ER


Alinéas 14 à 16

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain  vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des industries électriques et gazières EDF, ENGIE, ERDF, RTE, GRT gaz, GRDF, ENEDIS, etc.).






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N° 1594

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. Joël BIGOT


ARTICLE 1ER


Alinéas 14 à 16

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des industries électriques et gazières (EDF, ENGIE, ERDF, RTE, GRT gaz, GRDF, ENEDIS, etc.).






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N° 1624

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme POUMIROL


ARTICLE 1ER


Alinéas 14 à 16

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des industries électriques et gazières EDF, ENGIE, ERDF, RTE, GRT gaz, GRDF, ENEDIS, etc.).






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N° 1654

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme MEUNIER


ARTICLE 1ER


Alinéas 14 à 16

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des industries électriques et gazières EDF, ENGIE, ERDF, RTE, GRT gaz, GRDF, ENEDIS, etc.).

Comme le rappellent les fédérations syndicales du secteur, la suppression, au nom de l’équité et de la justice sociale, de certains régimes spéciaux bien ciblés, en particulier dans des secteurs pourtant stratégiques pour la Nation et qui reposent sur la pleine mobilisation des salariés dans l’exercice de leurs missions de service public, s’apparente davantage à de la provocation qu’à une quelconque volonté de justice entre les salariés du régime général et ceux des services publics.

Le régime de retraite des industries électriques et gazières est adossé au régime général depuis 2008 ; il ne doit rien à la solidarité nationale. Au contraire, il y contribue en lui apportant des recettes.

Sous le slogan « On meurt plus tôt, on part plus tôt », ce régime est présenté comme un régime pionnier par ses bénéficiaires, prenant en compte la pénibilité au travail liée à une espérance de vie entachée et au bouleversement des conditions de vie.






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N° 1664

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme BONNEFOY


ARTICLE 1ER


Alinéas 14 à 16

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des industries électriques et gazières EDF, ENGIE, ERDF, RTE, GRT gaz, GRDF, ENEDIS, etc.).






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N° 1695

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. LECONTE


ARTICLE 1ER


Alinéas 14 à 16

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain  vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des industries électriques et gazières EDF, ENGIE, ERDF, RTE, GRT gaz, GRDF, ENEDIS, etc.).






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1751

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. TODESCHINI


ARTICLE 1ER


Alinéas 14 à 16

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain  vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des industries électriques et gazières (EDF, ENGIE, ERDF, RTE, GRT gaz, GRDF, ENEDIS, etc.).






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1793

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. JOMIER


ARTICLE 1ER


Alinéas 14 à 16

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne maintenir les régimes spéciaux de retraite des industries électriques et gazières EDF, ENGIE, ERDF, RTE, GRT gaz, GRDF, ENEDIS, etc.

Le maintien de ces régimes spéciaux répond à un besoin de prise en compte de la pénibilité des métiers du secteur des IEG. Le principe d'égalité ne doit pas servir d'appui à un nivellement par le bas.

En outre, supprimer les quelques conditions favorables qui demeurent pour les salariés de ce secteur stratégique pour la transition énergétique n'est pas cohérent.






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N° 1821

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. KANNER


ARTICLE 1ER


Alinéas 14 à 16

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des industries électriques et gazières.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1847

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. ASSOULINE


ARTICLE 1ER


Alinéas 14 à 16

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas supprimer le régime spécial de retraite des industries électriques et gazières EDF, ENGIE, ERDF, RTE, GRT gaz, GRDF, ENEDIS,…






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1994

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme ROSSIGNOL


ARTICLE 1ER


Alinéas 14 à 16

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain  vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des industries électriques et gazières EDF, ENGIE, ERDF, RTE, GRT gaz, GRDF, ENEDIS, etc.).






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2073

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. JEANSANNETAS


ARTICLE 1ER


Alinéas 14 à 16

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain  vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des industries électriques et gazières EDF, ENGIE, ERDF, RTE, GRT gaz, GRDF, ENEDIS, etc.).






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2261

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme ESPAGNAC


ARTICLE 1ER


Alinéas 14 à 16

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des industries électriques et gazières (EDF, ENGIE, ERDF, RTE, GRT gaz, GRDF, ENEDIS, etc.).






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3197

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 1ER


Alinéas 14 à 16

Supprimer ces alinéas.

Objet

Par cet amendement, nous souhaitons que le régime spécial des industries électriques et gazières (IEG) soit maintenu.

En application de la loi du 8 avril 1946, le personnel actif ou retraité de la branche des Industries Electriques et Gazières (IEG) relève d’un système spécifique de protection sociale.

En 2021, on comptait ainsi 135 427 cotisants et 179 890 pensionnés dans le régime des IEG.

Pour le régime des IEG comme pour le régime de la RATP, les âges d’annulation de la décote demeurent sensiblement inférieurs à ceux qui s’appliquent dans les autres régimes, y compris au sein de la fonction publique.

Par contre, la condition d’une période minimale en service actif a bien augmenté suite à la loi de 2010 comme l’âge d’ouverture du droit à la retraite, ainsi en deux réformes, il fallait avant 15 ans de service actif pour partir à 55 ans, il faudrait avec cette loi, 17 ans de service actif pour partir à 59 ans.

59 ans soit un âge très proche après prise en compte de la pénibilité des métiers de la norme de 60 ans qui reste l’objectif pour les écologistes.

Par conséquent, actuellement, un ensemble de paramètres aboutit au maintien d’un départ moyen effectif à la retraite plus précoce qu’au régime général, en dépit d’une augmentation sensible au cours des dernières années. L’âge de départ moyen de départ à la retraite s’établit à 58 ans pour les assurés de la CNIEG (Rapport fait au nom de la commission des affaires sociales de l’Assemblée Nationale).

Par ailleurs, revenir sur le régime spécial des IEG ne répond à aucune « rationalité économique » puisque le régime est excédentaire. En effet, ainsi que l’a présenté le directeur de la CNIEG en audition à l’Assemblée nationale, le régime est structurellement équilibré, voire en léger excédent. Le régime des IEG, compte tenu de ses ressources spécifiques, serait en 2023 en excédent de 216 millions d’euros (Rapport fait au nom de la commission des affaires sociales de l’Assemblée Nationale).

In fine, la suppression du régime spécial des IEG apparaît comme inopportune et uniquement démagogique dans le but de diviser les salariés en prétendant que l’équité passe par la suppression des régimes qui prennent en compte la pénibilité et l’alignement par le bas.

C’est pourquoi, cet amendement demande la suppression des alinéas 14 à 16.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3932 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 1ER


Alinéas 14 à 16

Supprimer ces alinéas.

Objet

Par cet amendement, nous souhaitons que le régime spécial des industries électriques et gazières soit maintenu.

Ce régime spécial prend en compte les métiers dont la pénibilité est la plus importante et présente une excellente gestion financière puisque le régime est excédentaire.

Dès lors nous refusons sa suppression.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 3964 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 1ER


Alinéas 15 et 16

Supprimer ces alinéas.

Objet

Les auteurs de cet amendement s'opposent à la fin des régimes spéciaux prévue par cet article.

Déjà largement réformés dans une logique d’harmonisation avec les autres régimes de retraite, les « régimes spéciaux » sont une fois de plus stigmatisés afin de procéder à un nivellement par le bas des droits de tous à la retraite.

Ainsi, la reconnaissance et la compensation de la pénibilité en vigueur dans les régimes spéciaux méritent, non pas d’être supprimées, mais d'être généralisées à l’ensemble du système de retraite.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 3937 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 1ER


Alinéa 16

Remplacer les mots :

avant le 1er septembre 2023

par les mots :

avant une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après accord des organisations syndicales et patronales

Objet

Cet amendement vise à conditionner la suppression du régime spécial de retraite des industries électriques et gazières à l'accord des organisations syndicales et patronales.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 3016 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 1ER


Alinéa 16

Remplacer les mots :

avant le 1er septembre 2023

par les mots :

jusqu'à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2050

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à repousser la date d'entrée en vigueur de la fermeture du régime spécial de retraite des industries électriques et gazières à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales, au plus tard au 1er janvier 2050.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3015 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 1ER


Alinéa 16

Remplacer les mots :

avant le 1er septembre 2023

par les mots :

jusqu'à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2049

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à repousser la date d'entrée en vigueur de la fermeture du régime spécial de retraite des industries électriques et gazières à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales, au plus tard au 1er janvier 2049.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3014 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 1ER


Alinéa 16

Remplacer les mots :

avant le 1er septembre 2023

par les mots :

jusqu'à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2048

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à repousser la date d'entrée en vigueur de la fermeture du régime spécial de retraite des industries électriques et gazières à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales, au plus tard au 1er janvier 2048.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 3013 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 1ER


Alinéa 16

Remplacer les mots :

avant le 1er septembre 2023

par les mots :

jusqu'à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2047

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à repousser la date d'entrée en vigueur de la fermeture du régime spécial de retraite des industries électriques et gazières à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales, au plus tard au 1er janvier 2047.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3012 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 1ER


Alinéa 16

Remplacer les mots :

avant le 1er septembre 2023

par les mots :

jusqu'à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2046

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à repousser la date d'entrée en vigueur de la fermeture du régime spécial de retraite des industries électriques et gazières à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales, au plus tard au 1er janvier 2046.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 3011 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 1ER


Alinéa 16

Remplacer les mots :

avant le 1er septembre 2023

par les mots :

jusqu'à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2045

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à repousser la date d'entrée en vigueur de la fermeture du régime spécial de retraite des industries électriques et gazières à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales, au plus tard au 1er janvier 2045.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3010 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 1ER


Alinéa 16

Remplacer les mots :

avant le 1er septembre 2023

par les mots :

jusqu'à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2044

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à repousser la date d'entrée en vigueur de la fermeture du régime spécial de retraite des industries électriques et gazières à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales, au plus tard au 1er janvier 2044.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3009 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 1ER


Alinéa 16

Remplacer les mots :

avant le 1er septembre 2023

par les mots :

jusqu'à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2043

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à repousser la date d'entrée en vigueur de la fermeture du régime spécial de retraite des industries électriques et gazières à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales, au plus tard au 1er janvier 2043.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 1ER


Alinéa 16

Remplacer les mots :

avant le 1er septembre 2023

par les mots :

jusqu'à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2042

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à repousser la date d'entrée en vigueur de la fermeture du régime spécial de retraite des industries électriques et gazières à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales, au plus tard au 1er janvier 2042.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3007 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 1ER


Alinéa 16

Remplacer les mots :

avant le 1er septembre 2023

par les mots :

jusqu'à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2041

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à repousser la date d'entrée en vigueur de la fermeture du régime spécial de retraite des industries électriques et gazières à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales, au plus tard au 1er janvier 2041.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3006 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 1ER


Alinéa 16

Remplacer les mots :

avant le 1er septembre 2023

par les mots :

jusqu'à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2040

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à repousser la date d'entrée en vigueur de la fermeture du régime spécial de retraite des industries électriques et gazières à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales, au plus tard au 1er janvier 2040.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3005 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 1ER


Alinéa 16

Remplacer les mots :

avant le 1er septembre 2023

par les mots :

jusqu'à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2039

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à repousser la date d'entrée en vigueur de la fermeture du régime spécial de retraite des industries électriques et gazières à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales, au plus tard au 1er janvier 2039.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3004 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 1ER


Alinéa 16

Remplacer les mots :

avant le 1er septembre 2023

par les mots :

jusqu'à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2038

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à repousser la date d'entrée en vigueur de la fermeture du régime spécial de retraite des industries électriques et gazières à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales, au plus tard au 1er janvier 2038.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3003 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 1ER


Alinéa 16

Remplacer les mots :

avant le 1er septembre 2023

par les mots :

jusqu'à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2037

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à repousser la date d'entrée en vigueur de la fermeture du régime spécial de retraite des industries électriques et gazières à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales, au plus tard au 1er janvier 2037.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3002 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 1ER


Alinéa 16

Remplacer les mots :

avant le 1er septembre 2023

par les mots :

jusqu'à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2036

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à repousser la date d'entrée en vigueur de la fermeture du régime spécial de retraite des industries électriques et gazières à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales, au plus tard au 1er janvier 2036.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3001 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 1ER


Alinéa 16

Remplacer les mots :

avant le 1er septembre 2023

par les mots :

jusqu'à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2035

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à repousser la date d'entrée en vigueur de la fermeture du régime spécial de retraite des industries électriques et gazières à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales, au plus tard au 1er janvier 2035.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3000 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 1ER


Alinéa 16

Remplacer les mots :

avant le 1er septembre 2023

par les mots :

jusqu'à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2034

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à repousser la date d'entrée en vigueur de la fermeture du régime spécial de retraite des industries électriques et gazières à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales, au plus tard au 1er janvier 2034.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2999 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 1ER


Alinéa 16

Remplacer les mots :

avant le 1er septembre 2023

par les mots :

jusqu'à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2033

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à repousser la date d'entrée en vigueur de la fermeture du régime spécial de retraite des industries électriques et gazières à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales, au plus tard au 1er janvier 2033.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2998 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 1ER


Alinéa 16

Remplacer les mots :

avant le 1er septembre 2023

par les mots :

jusqu'à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2032

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à repousser la date d'entrée en vigueur de la fermeture du régime spécial de retraite des industries électriques et gazières à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales, au plus tard au 1er janvier 2032.

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2997 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 1ER


Alinéa 16

Remplacer les mots :

avant le 1er septembre 2023

par les mots :

jusqu'à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2031

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à repousser la date d'entrée en vigueur de la fermeture du régime spécial de retraite des industries électriques et gazières à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales, au plus tard au 1er janvier 2031.

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2996 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 1ER


Alinéa 16

Remplacer les mots :

avant le 1er septembre 2023

par les mots :

jusqu'à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2030

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à repousser la date d'entrée en vigueur de la fermeture du régime spécial de retraite des industries électriques et gazières à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales, au plus tard au 1er janvier 2030.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2995 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 1ER


Alinéa 16

Remplacer les mots :

avant le 1er septembre 2023

par les mots:

jusqu'à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2029

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à repousser la date d'entrée en vigueur de la fermeture du régime spécial de retraite des industries électriques et gazières à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales, au plus tard au 1er janvier 2029.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2734 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 1ER


Alinéa 16

Remplacer les mots :

avant le 1er septembre 2023

par les mots :

jusqu’à une date déterminée par décret en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales, qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2028

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à repousser la date d'entrée en vigueur de la fermeture du régime spécial de retraite des industries électriques et gazières à une date déterminée par décret pris en Conseil d'Etat après concertation des organisations syndicales et patronales, au plus tard au 1er janvier 2028.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3998 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Retiré

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 1ER


Alinéas 19 à 22

Supprimer ces alinéas.

Objet

Les auteurs de cet amendement s'opposent à la fin des régimes spéciaux prévue par cet article.

Déjà largement réformés dans une logique d’harmonisation avec les autres régimes de retraite, les « régimes spéciaux » sont une fois de plus stigmatisés afin de procéder à un nivellement par le bas des droits de tous à la retraite. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
    Retiré à la demande de l'auteur





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4004 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 1ER


Alinéa 23

Supprimer cet alinéa.

Objet

La suppression de certains régimes spéciaux constitue un réel nivellement par le bas des droits sociaux puisque que ces régimes protègent les salarié·es de différentes branches, en prévoyant de meilleures anticipations de départ en retraite et une meilleure prise en compte de la pénibilité.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4013 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 1ER


Alinéas 24 à 41

Supprimer ces alinéas.

Objet

Par cet amendement, nous demandons le maintien du régime spécial des membres du Conseil économique, social et environnemental (CESE).

Nous refusons le nivellement par le bas prôné par le Gouvernement et sa tentative d'opposer les Français·es les un·es aux autres.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 285

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. FÉRAUD


ARTICLE 1ER


Alinéas 24 à 27 et 41

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite du Conseil économique, social et environnemental.






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N° 317

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. PLA


ARTICLE 1ER


Alinéas 24 à 27 et 41

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite du Conseil économique, social et environnemental.






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N° 346

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme BRIQUET


ARTICLE 1ER


Alinéas 24 à 27 et 41

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite du Conseil économique, social et environnemental.






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N° 371

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme FÉRET


ARTICLE 1ER


Alinéas 24 à 27 et 41

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite du Conseil économique, social et environnemental.






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N° 454

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. FICHET


ARTICLE 1ER


Alinéas 24 à 27 et 41

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite du Conseil économique, social et environnemental.






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N° 509

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. CHANTREL


ARTICLE 1ER


Alinéas 24 à 27 et 41

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite du Conseil économique, social et environnemental.






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N° 523

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. GILLÉ


ARTICLE 1ER


Alinéas 24 à 27 et 41

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite du Conseil économique, social et environnemental.






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N° 572

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme de LA GONTRIE


ARTICLE 1ER


Alinéas 24 à 27 et 41

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite du Conseil économique, social et environnemental.






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N° 584

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. REDON-SARRAZY


ARTICLE 1ER


Alinéas 24 à 27 et 41

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite du Conseil économique, social et environnemental.






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N° 671

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LE HOUEROU


ARTICLE 1ER


Alinéas 24 à 27 et 41

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite du Conseil économique, social et environnemental.






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N° 700

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme BLATRIX CONTAT


ARTICLE 1ER


Alinéas 24 à 27 et 41

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite du Conseil économique, social et environnemental.






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N° 731

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. Mickaël VALLET


ARTICLE 1ER


Alinéas 24 à 27 et 41

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite du Conseil économique, social et environnemental.






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N° 813

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. JACQUIN


ARTICLE 1ER


Alinéas 24 à 27 et 41

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite du Conseil économique, social et environnemental.

Plutôt que de démagogiquement tout supprimer, le gouvernement serait mieux inspirer de retirer sa réforme, reprendre de véritables négociations avec les partenaires sociaux, étudier profession par profession l'opportunité de revenir intégralement ou en partie sur certains régimes dits spéciaux.

Une bonne réforme des retraites est une réforme qui allie sauvegarde de la répartition et progrès social, pas qui stigmatise certains et qui montent les Français les uns contre les autres.






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N° 826

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. LOZACH


ARTICLE 1ER


Alinéas 24 à 27 et 41

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite du Conseil économique, social et environnemental.






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N° 866

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. DURAIN


ARTICLE 1ER


Alinéas 24 à 27 et 41

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite du Conseil économique, social et environnemental.






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N° 901

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. LUREL


ARTICLE 1ER


Alinéas 24 à 27 et 41

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite du Conseil économique, social et environnemental.






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N° 946

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. CARDON


ARTICLE 1ER


Alinéas 24 à 27 et 41

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite du Conseil Économique, Social et Environnemental.






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N° 984

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. RAYNAL


ARTICLE 1ER


Alinéas 24 à 27 et 41

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite du Conseil économique, social et environnemental.






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N° 1019

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. STANZIONE


ARTICLE 1ER


Alinéas 24 à 27 et 41

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas supprimer le régime spécial de retraite du Conseil économique, social et environnemental.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1065

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. HOULLEGATTE


ARTICLE 1ER


Alinéas 24 à 27 et 41

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite du Conseil économique, social et environnemental.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1080

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. TISSOT


ARTICLE 1ER


Alinéas 24 à 27 et 41

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite du Conseil économique, social et environnemental.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1101

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. ÉBLÉ


ARTICLE 1ER


Alinéas 24 à 27 et 41

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite du Conseil économique, social et environnemental.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1155 rect. bis

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN


ARTICLE 1ER


Alinéas 24 à 27 et 41

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite du Conseil économique, social et environnemental.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1210

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. MÉRILLOU


ARTICLE 1ER


Alinéas 24 à 27 et 41

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite du Conseil économique, social et environnemental.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1249

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme JASMIN


ARTICLE 1ER


Alinéas 24 à 27 et 41

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite du Conseil économique, social et environnemental.


La « Caisse des anciens membres du Conseil économique et social, de leurs veuves et orphelins mineurs », a été instituée par la loi du 10 juillet 1957 puis confirmée par l’article 8 du décret n° 59-601 du 5 mai 1959.


Elle est destinée à assurer des pensions aux anciens membres du l’ancien Conseil économique et du Conseil économique, social et environnemental, à leurs conjoints et enfants mineurs.


Dans la mesure où les membres du Conseil économique, social et environnemental (CESE) ont exercé ou exercent par ailleurs une activité professionnelle qui les rend éligibles à un régime de retraite obligatoire, certains peuvent considérer qu’il s’agit d’un régime complémentaire.


Aussi, il importe de souligner que le régime de retraite du CESE est bien un régime de retraite principal et non un régime de retraite complémentaire.


Cette retraite est d’ailleurs pour plusieurs catégories de membres l’unique retraite ou dans d’autres cas, la part la plus importante de leur revenu après qu’ils ont cessé leur activité. Cette remarque est d’autant plus importante que nombre de conseillers ont fait de réels sacrifices de leurs revenus professionnels durant et après leur mandat au CESE, en particulier les agriculteurs et les artisans.






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N° 1273

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. MONTAUGÉ


ARTICLE 1ER


Alinéas 24 à 27 et 41

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite du Conseil économique, social et environnemental.






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N° 1319

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme PRÉVILLE


ARTICLE 1ER


Alinéas 24 à 27 et 41

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite du Conseil économique, social et environnemental.






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N° 1343

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. MARIE


ARTICLE 1ER


Alinéas 24 à 27 et 41

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement a pour objectif de ne pas fermer le régime spécial de retraite du Conseil économique, social et environnemental.






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N° 1376

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. BOURGI


ARTICLE 1ER


Alinéas 24 à 27 et 41

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite du Conseil économique, social et environnemental.






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N° 1409

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. SUEUR


ARTICLE 1ER


Alinéas 24 à 27 et 41

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite du Conseil économique, social et environnemental.






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N° 1439

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. KERROUCHE


ARTICLE 1ER


Alinéas 24 à 27 et 41

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite du Conseil économique, social et environnemental.






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N° 1507

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme Martine FILLEUL


ARTICLE 1ER


Alinéas 24 à 27 et 41

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite du Conseil économique, social et environnemental.






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N° 1546

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme MONIER


ARTICLE 1ER


Alinéas 24 à 27 et 41

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite du Conseil économique, social et environnemental.






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N° 1595

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. Joël BIGOT


ARTICLE 1ER


Alinéas 24 à 27 et 41


Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite du Conseil économique, social et environnemental.






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N° 1625

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme POUMIROL


ARTICLE 1ER


Alinéas 24 à 27 et 41

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite des industries électriques et gazières EDF, ENGIE, ERDF, RTE, GRT gaz, GRDF, ENEDIS, etc.).






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N° 1655

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme MEUNIER


ARTICLE 1ER


Alinéas 24 à 27 et 41

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite du Conseil économique, social et environnemental.






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N° 1696

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. LECONTE


ARTICLE 1ER


Alinéas 24 à 27 et 41


Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite du Conseil économique, social et environnemental.






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N° 1752

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. TODESCHINI


ARTICLE 1ER


Alinéas 24 à 27 et 41

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite du Conseil économique, social et environnemental.






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N° 1794

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. JOMIER


ARTICLE 1ER


Alinéas 24 à 27 et 41

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à maintenir le régime spécial de retraite du Conseil économique, social et environnemental.






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N° 1822

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. KANNER


ARTICLE 1ER


Alinéas 24 à 27 et 41

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite du Conseil économique, social et environnemental.






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N° 1849

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. ASSOULINE


ARTICLE 1ER


Alinéas 24 à 27 et 41

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas supprimer le régime spécial de retraite du Conseil économique, social et environnemental.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1995

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme ROSSIGNOL


ARTICLE 1ER


Alinéas 24 à 27 et 41

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite du Conseil économique, social et environnemental.






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N° 2074

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. JEANSANNETAS


ARTICLE 1ER


Alinéas 24 à 27 et 41

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite du Conseil économique, social et environnemental.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2262

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme ESPAGNAC


ARTICLE 1ER


Alinéas 24 à 27 et 41

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas fermer le régime spécial de retraite du Conseil économique, social et environnemental.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4019 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 1ER


Alinéa 30

Supprimer cet alinéa.

Objet

Les auteurs de cet amendement s'opposent à la fin des régimes spéciaux prévue par cet article.

Déjà largement réformés dans une logique d’harmonisation avec les autres régimes de retraite, les « régimes spéciaux » sont une fois de plus stigmatisés afin de procéder à un nivellement par le bas des droits de tous à la retraite.

Ainsi, la reconnaissance et la compensation de la pénibilité en vigueur dans les régimes spéciaux méritent, non pas d’être supprimées, mais d'être généralisées à l’ensemble du système de retraite.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4100 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 1ER


Alinéa 31

Supprimer cet alinéa.

Objet

La suppression de certains régimes spéciaux constitue un réel nivellement par le bas des droits sociaux puisque que ces régimes protègent les salarié·es de différentes branches, en prévoyant de meilleures anticipations de départ en retraite et une meilleure prise en compte de la pénibilité.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4025 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 1ER


Alinéa 33

Supprimer cet alinéa.

Objet

Les auteurs de cet amendement s'opposent à la suppression des régimes spéciaux prévue par cet article. Déjà largement réformés dans une logique d’harmonisation avec les autres régimes de retraite, les « régimes spéciaux » sont une fois de plus stigmatisés afin de procéder à un nivellement par le bas des droits de tous à la retraite.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4104 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 1ER


Alinéa 34

Supprimer cet alinéa.

Objet

La suppression de certains régimes spéciaux constitue un réel nivellement par le bas des droits sociaux puisque que ces régimes protègent les salarié·es de différentes branches, en prévoyant de meilleures anticipations de départ en retraite et une meilleure prise en compte de la pénibilité.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4106 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 1ER


Alinéa 35

Supprimer cet alinéa.

Objet

La suppression de certains régimes spéciaux constitue un réel nivellement par le bas des droits sociaux puisque que ces régimes protègent les salarié·es de différentes branches, en prévoyant de meilleures anticipations de départ en retraite et une meilleure prise en compte de la pénibilité.

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2746 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 1ER


Alinéa 37

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Socialiste, Écologiste et républicain vise à ne pas affilier des populations étant très éloignées du salariat (loueurs de meublés, vendeurs de biens sur des plateformes) au régime complémentaire AGIRC-ARRCO

Cet article 1er du projet de loi modifie l’article L. 921-1 du code de la sécurité sociale relatif au champ d’application des institutions de retraite complémentaire pour tenir compte de l’affiliation des salariés des régimes spéciaux au régime général et complémentaire de retraite pour les personnes embauchées à compter du 1er septembre 2023.

La rédaction proposée par le projet de loi aboutit à affilier à ces institutions toutes les personnes relevant de l’article L. 311-2 du code de la sécurité sociale et notamment, par renvoi, toutes les populations visées à l’article L. 311-3 du même code.

Or certaines de ces populations étant très éloignées du salariat (loueurs de meublés, vendeurs de biens sur des plateformes type « le bon coin » …) ne relèvent pas du régime Agirc-Arrco sur décision des partenaires sociaux, gestionnaires de ce régime.

La rédaction du projet de loi aboutirait à faire adhérer obligatoirement ces populations au régime Agirc-Arrco.

Le présent amendement propose de ne pas modifier l’article L. 921-1, sa rédaction actuelle permettant de viser tous les salariés y compris ceux relevant aujourd’hui des régimes spéciaux.Cet amendement a. été travaillé avec l’AGIRC-ARRCO.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2749 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 1ER


Alinéa 41

Remplacer les mots :

du 1er septembre 2023

par les mots :

d’une date déterminée par décret en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales

Objet

Cet amendement du groupe Socialiste, écologiste et républicain vise à repousser la date d'entrée en vigueur de la fermeture des régimes spéciaux de retraite du CESE à une date déterminée par décret pris en Conseil d'Etat après concertation des organisations syndicales et patronales.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2107

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Favorable
Adopté

Mme DOINEAU et M. SAVARY

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 1ER


Après l'alinéa 35

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

...° À l’article L. 712-13, les mots : « assurés mentionnés à l’article L. 712-1 » sont remplacés par les mots : « fonctionnaires de l’État, à l’exception de ceux relevant de la Caisse nationale militaire de sécurité sociale, » ;

Objet

Amendement de coordination.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4469 rect. bis

4 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 1ER


Après l'article 1er

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’année suivant la promulgation de la loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport visant à établir l’implication des cabinets de conseil dans la détermination des modalités de la présente réforme des retraites (report de l’âge légal, accélération de l’application de l’allongement de la durée de cotisation, rehaussement des cotisations des employeurs hospitaliers et des collectivités territoriales, suppression des régimes spéciaux, création d’un fonds d’usure professionnel…). Il indique également si la mission de conseil réalisée par le cabinet McKinsey entre novembre 2019 et mars 2020 pour le compte de la Caisse nationale d’assurance vieillesse (Cnav) a permis à cette dernière de mieux assurer ses missions pour le compte des assurés sociaux. Il établit par des indicateurs chiffrés, si parmi les 31 chantiers du programme de transformation dont « l’information des assurés », « l’évolution de l'offre de services », « l’évolution des applications » informatiques de la CNAV, l’offre de l’institution s’est améliorée. Il mesure enfin, les effets attendus sur ces mêmes indicateurs à l’issue de la mise en œuvre de la présente réforme des retraites.

Objet

Les membres du groupe CRCE, par cet amendement, demandent au Gouvernement d’établir une quelconque implication des cabinets de conseil dans les orientations de ce projet de loi de financement de la sécurité sociale rectificative, dans lequel est détaillée la réforme des retraites. Sans culture excessive de la suspicion à l’endroit du Gouvernement et de son appétence au recours des cabinets de conseil, il apparait déterminant de connaitre l’éventuelle implication de l’un deux dans ce projet de société.

Les auteurs de cet amendement, entendent également obtenir une évaluation du précédent recours à un cabinet de conseil, à savoir McKinsey, censée aidée la Caisse nationale d’assurance vieillesse à mettre en œuvre la réforme des retraites abandonnée lors du quinquennat précédent d’E. Macron.

Il convient dès lors, faute de publication des livrables de ce cabinet, de déterminer les apports de cette mission pour les assurés sociaux. Plus encore, il s’agit, conformément à la loi organique relative aux loi de financement de la sécurité sociale d’« améliorer l’information et le contrôle du Parlement sur l’application des lois de financement de la sécurité sociale » en mettant au jour d’éventuels apports de ce cabinet permettant d’anticiper et de faciliter l’application de la présente réforme des retraites.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel avant l'article 1er à un article additionnel après l'article 1er).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 174 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

MM. LE RUDULIER, BABARY et BASCHER, Mmes BELLUROT et BELRHITI, M. BOUCHET, Mmes BOULAY-ESPÉRONNIER et Valérie BOYER, MM. CADEC, CHARON, CHASSEING, CUYPERS et DECOOL, Mmes Nathalie DELATTRE et de CIDRAC, MM. Philippe DOMINATI et de LEGGE, Mmes DREXLER et DUMONT, MM. FAVREAU et FRASSA, Mmes GACQUERRE, GARNIER et GOY-CHAVENT, MM. GROSPERRIN, GUERRIAU et HAYE, Mmes JOSEPH et Muriel JOURDA, M. KLINGER, Mmes LASSARADE et LOPEZ, M. MEURANT, Mme MULLER-BRONN, MM. PACCAUD, PANUNZI, PELLEVAT et POINTEREAU, Mmes PRIMAS et PUISSAT, M. RAVIER, Mme RENAUD-GARABEDIAN et MM. RIETMANN, ROJOUAN, SAURY, SAVIN, SIDO, SOMON, VERZELEN et WATTEBLED


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 1ER


Après l'article 1er

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le Gouvernement remet au Parlement avant le 1er octobre 2023 un rapport sur l'application de l'article L. 242-1 du code de la sécurité sociale et de l'article 4 de la présente loi de financement rectificative de la sécurité sociale. Ce rapport compare les conséquences pour les assurés et les pensionnés d'une affiliation à un régime par répartition et à un régime par capitalisation, à l'image de la Caisse d'assurance vieillesse des pharmaciens ou du régime additionnel de la fonction publique. Il étudie les modalités d’instauration d’un nouveau régime social applicable à des cotisations versées à un régime obligatoire d’assurance vieillesse par capitalisation pour tous les assurés et les pensionnés, du secteur privé comme du secteur public. À partir des conséquences susmentionnées, il s’attache à établir notamment le coût, les sources et les origines de financement, la faisabilité, les avantages, les conditions et les échéances nécessaires à la mise en place d’une telle réforme.
Ce rapport étudie la création d’un établissement public placé sous la tutelle de l’État qui serait responsable de ce nouveau régime obligatoire, la composition de son conseil d’administration et les conditions d’utilisation des cotisations versées à ce nouveau régime par capitalisation.
Le rapport prend notamment en compte la mise en place de régimes transitoires qui seraient nécessaires à une telle réforme, d’une part, pour ceux qui bénéficient déjà des systèmes par capitalisation facultatifs, et d’autre part, pour ceux qui ont déjà commencé à cotiser sans pouvoir compter jusque-là sur une quelconque forme de capitalisation. Il sera notamment pris en compte l’hypothèse d’une cohabitation entre le système de retraite ainsi réformé et les systèmes par capitalisation facultatifs déjà existants.

Objet

Avec l’évolution démographique, la France est passée de six actifs pour un retraité en 1945 à 1,7 aujourd’hui, et ce sera à 1,2 dans quinze ans. En 2030, un français sur trois aura plus de 60 ans. En 2040 la France aura atteint le pic démographique de sa population active et perdra des actifs (-30% en 2045).
Le totem des 64 ans est lui aussi trop juste mais là encore indispensable. Comme seul horizon de réforme il reste néanmoins fragile et insuffisant. Si cette réforme est votée en l’état par le Parlement, elle replacera à peine la France au niveau des réformes mises en place par nos voisins européens dans les années 2000. Depuis trente ans la France voit se succéder les réformes des retraites, cette lassitude explique la colère des français.
Pour autant cette réforme ne va pas nécessairement garantir à elle seule la pérennité infaillible de notre système par répartition, il est donc fort à parier que nous reviendrons devant les français dans les prochaines années pour leur annoncer un nouveau report de l’âge légal en retraites. Ce qu’il faut c’est avancer un changement de paradigme, comme l’introduction d’une part de capitalisation dans notre système de retraite.
Nous pouvons imaginer une fusée à deux étages dont le socle serait la retraite « universelle » garantie par notre système de répartition, auquel viendrait s’adosser une retraite par capitalisation. Nous préserverons un système par répartition et une pension minimale de 1200 euros en l’adossant à une capitalisation minoritaire. La condition essentielle à sa mise en oeuvre serait qu’elle soit collective car la capitalisation par l’épargne retraite est impossible pour les français les plus modestes.
Introduire la capitalisation dans notre système de façon collective c’est garantir un cercle vertueux et plus de justice sociale. Aujourd’hui la capitalisation facultative bénéficie seulement à certaines professions, excluant la masse des millions de salariés des bénéfices d’un tel système. 8 millions de français cotisent déjà à une retraite par capitalisation, 3,5 millions dans le public et 4,5 millions dans le privé, soit 1 actif sur 4. Finalement, l’enjeu n’est pas seulement financier mais aussi social. Passer d’une capitalisation privée qui ne bénéficie qu’à quelques-uns à une capitalisation collective permettra de limiter les inégalités patrimoniales et faire bénéficier à tous des plus-values du capital. Un meilleur partage de la valeur est ici en jeu.
Conscient néanmoins de la complexité, notamment financière d’une telle réforme, le Parlement ne dispose pas aujourd’hui des informations, et encore moins des outils nécessaires pour en apprécier la portée réelle, il ne peut donc, en l’état des choses, adopter une réforme pertinente. Par conséquent, le présent amendement demande de manière exceptionnelle au Gouvernement de rendre un rapport qui permettra au Législateur d’avoir un premier retour sur l’introduction d’une dose de capitalisation, notamment au regard de la situation de 2023, en vue d’entamer le cas échéant des travaux parlementaires adéquats.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1968 rect. quater

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Adopté

MM. HUSSON et RETAILLEAU, Mme PRIMAS, M. CADEC, Mme BELRHITI, MM. PANUNZI et KAROUTCHI, Mmes de CIDRAC et Marie MERCIER, MM. BONNUS, BACCI et REICHARDT, Mme PLUCHET, MM. CAMBON et DAUBRESSE, Mmes BELLUROT, CHAUVIN, PUISSAT et MICOULEAU, MM. BONNE, PIEDNOIR, MIZZON, de LEGGE, BURGOA, GENET, LE RUDULIER et SAUTAREL, Mmes Laure DARCOS, DUMONT, ESTROSI SASSONE, MALET, DI FOLCO, DESEYNE, JOSEPH, IMBERT et CHAIN-LARCHÉ, MM. PERRIN, RIETMANN, WATTEBLED, Étienne BLANC, FAVREAU, Jean Pierre VOGEL, BABARY et LAMÉNIE, Mme CANAYER, MM. Daniel LAURENT et FRASSA, Mme DUMAS, M. BAZIN, Mme LAVARDE, M. BONHOMME, Mme EUSTACHE-BRINIO, M. BRISSON, Mme GRUNY, MM. BASCHER et RAPIN, Mme GOY-CHAVENT, MM. SIDO et BOULOUX, Mmes LOPEZ, Muriel JOURDA, DREXLER et DEMAS, M. MOUILLER, Mmes GARNIER et RAIMOND-PAVERO, MM. VERZELEN, KLINGER et MALHURET, Mme PAOLI-GAGIN, MM. Philippe DOMINATI et POINTEREAU, Mme RENAUD-GARABEDIAN, MM. SEGOUIN, CARDOUX, ROJOUAN, BOUCHET, MEIGNEN et CAPUS, Mme SCHALCK, M. CUYPERS, Mme BOULAY-ESPÉRONNIER, M. GUENÉ, Mmes DEL FABRO, JACQUES et BERTHET, M. Henri LEROY, Mme BONFANTI-DOSSAT et MM. LONGUET, CHEVROLLIER, MANDELLI et GREMILLET


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 1ER


Après l'article 1er

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le Gouvernement remet au Parlement avant le 1er octobre 2023 un rapport sur l'application de l'article L. 242-1 du code de la sécurité sociale et de l'article 4 de la présente loi de financement rectificative de la sécurité sociale. Ce rapport compare les conséquences pour les assurés et les pensionnés d'une affiliation à un régime par répartition et à un régime par capitalisation, à l'image de la Caisse d'assurance vieillesse des pharmaciens ou du régime additionnel de la fonction publique. Il étudie les modalités d’instauration d’un nouveau régime social applicable à des cotisations versées à un régime obligatoire d’assurance vieillesse par capitalisation, destiné aux salariés et aux indépendants, qui serait intégré dans le système des retraites. Il s’attache également à définir la structure administrative qui pourrait être retenue pour piloter ce nouveau régime obligatoire, ses modalités de financement, la composition de son conseil d’administration ainsi que les règles entourant les placements de ses actifs.

Objet

La réforme paramétrique contenue dans le présent projet de loi de financement rectificative devrait, en principe, permettre au système des retraites d’être à l’équilibre en 2030. Le Gouvernement n’a, cependant, pas indiqué quelle serait la trajectoire financière du système au-delà de cette date, alors que devrait se poursuivre la dégradation du ratio cotisant/retraité. La question du financement des retraites devrait donc être très rapidement posée, suscitant de nouveaux débats sur l’opportunité d’un allongement de la durée d’activité, d’une progression des cotisations et donc du coût du travail ou d’une baisse du niveau des pensions. 

Une alternative pourrait consister en le développement de nouvelles ressources financières, par l’intermédiaire du placement d’une partie des cotisations des salariés et des indépendants, quelle que soit leur catégorie d’emploi. Le régime additionnel de la fonction publique, mis en place en 2003, peut à cet égard constituer un modèle à suivre. Ses engagements étaient estimés à 29,7 milliards d’euros au 31 décembre 2021 et apparaissaient largement couvert par ses actifs financiers, dont la valeur atteignait 41,9 milliards d’euros. Sur les cinq dernières années, le taux de croissance annuel des pensions servies (1,97 %) par le régime est, par ailleurs, supérieur à celui observé au sein de la CNAV (1,25 %) ou de l’AGIRC-ARRCO (1,27 %). 

La capitalisation collective pourrait donc être envisagée comme une opportunité en vue de garantir un avenir à notre régime de retraites. L’objet de cet amendement est de permettre au législateur de pouvoir disposer des informations nécessaires pour envisager la mise en place d’un tel fonds. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4735

3 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 1968 rect. quater de M. HUSSON

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 1ER


Amendement n° 1968, alinéa 3, deuxième à quatrième phrases

Supprimer ces phrases.

Objet

Ce sous-amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à supprimer toute référence à la capitalisation.

Non, la pérennité de notre système de retraite n'est pas en danger ! Le COR a montré que les dépenses de retraites sont globalement stabilisées, et ce, même à très long terme.

Elles ne sont juste pas compatibles avec les objectifs de politique économique et de finances publiques du gouvernement qui favorisent les privilégiés.

Avec 85 milliards € d'exonération de cotisations à la sécurité sociale par an, des marges de manœuvres existent pour en trouver 17.

Nul besoin d'agiter le chiffon rouge de la capitalisation sauf à tendre le tapis rouge aux banquiers et assureurs qui n'attendent que ça !

En réalité, les sénatrices et sénateurs LR qui réclament une étude de préfiguration d'un système mixte avec une "dose" de capitalisation ne croient plus au système par répartition, à rebours des Français !






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4748

4 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 1968 rect. quater de M. HUSSON

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 1ER


Amendement n° 1968, alinéa 3, deuxième phrase

Après les mots :

à un régime de capitalisation

insérer les mots :

comme au Chili

Objet

Ce sous-amendement du groupe Communiste républicain citoyen et écologiste vise à comparer le régime actuel de répartition des retraites avec le régime par capitalisation développé historiquement au Chili.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4745

4 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 1968 rect. quater de M. HUSSON

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes Mélanie VOGEL et PONCET MONGE, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 1ER


Amendement n° 1968, alinéa 3

Après les mots :

et à un régime par capitalisation

Rédiger ainsi la fin de cet alinéa :

et analyse l’utilisation des fonds dédiés à la capitalisation, au regard des engagements climatiques de la France, y compris l’objectif de neutralité carbone nécessitant une sortie des énergies fossiles, et des impératifs de la protection environnementale. Il dressera une évaluation des impacts négatifs sur le climat et l’environnement des investissements réalisés par les fonds privés sur les marchés financiers.

Objet

Le projet de contre-réforme des retraites tel qu’il est proposé par le Gouvernement forcera déjà les Français.es à mettre eux-mêmes de l’argent de côté pour leur retraite, car on ne pourra plus être sûr de pouvoir vivre de sa pension, voire même d’atteindre l’âge légal de départ. Cela dirigera déjà les économies des Français.es vers des gestionnaires d’actifs et assureurs qui continuent à soutenir le développement des énergies fossiles, et donc l’aggravation du dérèglement climatique, en contradiction avec l’impératif de limiter le réchauffement à 1.5 °C. Ce projet est un appel à la capitalisation.

Il est plus que rare d’observer les fonds privés prendre des engagements en faveur de la transition écologique, en adaptant des stratégies de sortie du charbon, encore moins des engagements mettant fin au développement des projets de production et de transport du pétrole et du gaz, ou permettant une sortie progressive du secteur.

Les auteurs de l’amendement 1968 « envisagent la capitalisation collective comme une opportunité en vue de garantir un avenir à notre régime de retraites ».

Il semble donc primordial, plutôt que de foncer aveuglément dans l’impasse écologique que représente le système par capitalisation, que le rapport proposé par l’amendement de notre collègue Jean-François Husson comporte une analyse sur l’utilisation des fonds dédiés à la capitalisation, au regard des impératifs de transition écologique et de sortie des énergies fossiles et des impacts délétères que ces investissements auront sur le climat et l’environnement.

Tel est l’objet de ce sous-amendement.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4746

4 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 1968 rect. quater de M. HUSSON

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 1ER


Amendement n° 1968, alinéa 3

Après les mots :

et à un régime par capitalisation

Rédiger ainsi la fin de cet alinéa :

et évalue la perte de pension que représentera pour les assurés le recours à un système par capitalisation, notamment dans l'hypothèse d'une crise sociale, sanitaire, économique ou écologique.

Objet

Dans le système par répartition, les cotisations versées par les salariés en activité servent immédiatement à payer les pensions des retraités, tout en ouvrant aux cotisants des droits pour leur retraite future. C'est ce système qui assure une solidarité intergénérationnelle.

Avec le principe de la capitalisation, une vision plus individualiste s'applique : c'est le salarié qui épargne en vue de sa propre retraite.

Les auteurs de l’amendement 1968 « envisagent la capitalisation collective comme une opportunité en vue de garantir un avenir à notre régime de retraites ».

Au-delà du passage d'un modèle solidariste à un modèle individualiste, il convient de se pencher sur les conséquences, ou plutôt les risques que ce bouleversement de notre système ferait peser sur le montant des pensions des assurés.

Ce sous-amendement complète l'amendement 1968 et demande donc plus de précisions au rapport demandé par ses auteurs.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4747

4 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 1968 rect. quater de M. HUSSON

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 1ER


Amendement n° 1968, alinéa 3, troisième et quatrième phrases

Supprimer ces phrases.

Objet

Ce sous-amendement du Groupe Communiste citoyen républicain et écologiste vise à supprimer toute référence à la capitalisation.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4749

4 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 1968 rect. quater de M. HUSSON

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 1ER


Amendement n° 1968, alinéa 3, troisième phrase

Après les mots :

Il étudie

insérer les mots :

les risques sociaux économiques et

Objet

Ce sous-amendement du groupe Communiste républicain citoyen et écologiste vise à étudier les risques sociaux économiques de la retraite par capitalisation.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1959 rect. quater

4 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Tombé

M. Étienne BLANC, Mme GOY-CHAVENT, MM. MANDELLI et SAURY, Mmes Valérie BOYER et BELRHITI, MM. GENET, PELLEVAT, FRASSA, BASCHER, HOUPERT, SEGOUIN et SAUTAREL, Mme MULLER-BRONN, MM. CUYPERS, ROJOUAN et PIEDNOIR et Mmes BOULAY-ESPÉRONNIER et BONFANTI-DOSSAT


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 1ER


Après l'article 1er

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Avant le 31 décembre 2023, le Gouvernement remet au Parlement un rapport faisant le bilan de l’application de l’article 15 de la loi n° 2017-1836 du 30 décembre 2017 de financement de la sécurité sociale pour 2018. Sur le modèle du Fonds de réserve des retraites, le rapport étudie l’introduction d’une dose de capitalisation collective dans le système de retraite par la création d’un fonds public d’épargne retraite souverain et obligatoire pour les assurés du secteur privé. Ce rapport s’attache à établir le coût, la faisabilité, les avantage, les conditions et les échéances de la mise en place d’une telle réforme. Il étudie la création d’un établissement public placé sous la tutelle de l’État et responsable de ce fonds, la composition de son conseil d’administration et la mise en place d’un règlement intérieur fixant les conditions d’utilisation du fonds et les modalités de placement de celui-ci.

Objet

Considérant les limites d’un système de retraites par répartition et le vieillissement de la population, les cotisants ne sont plus assez nombreux pour assurer aux retraités un niveau de pension constant tout en maintenant des comptes équilibrés.

Les Français peuvent certes déjà compléter leur future retraite par des mécanismes d’épargne. Mais ceux-ci sont individuels (par exemple l’assurance-vie), donc réservés à ceux qui peuvent cotiser, et coûtent cher en frais de gestion (à titre d’exemple, la gestion du Fonds de réserve pour les retraites est de l’ordre de 0,15 % là où les frais d’assurance-vie s’élèvent de 1 % à 3 %). Seul le caractère collectif et obligatoire permettra à tous d’en bénéficier.

Dans les pays où ils existent, ces fonds ont une double utilité. Ils complètent les retraites par répartition et ils investissent à long terme les sommes collectées dans l’économie. Ils créent de la richesse pour le pays, ce que ne peut faire un système par répartition pur, qui dépense immédiatement l’argent ponctionné. Les actifs collectés représentent en moyenne 64 % de la valeur du PIB dans les pays de l’OCDE dotés de ces fonds. En Norvège, le fonds de pension souverain pèse 280 % du PIB… Dans le passé, c’est grâce à de tels capitaux longs que le rail et les canaux de la révolution industrielle, et, plus récemment, l’industrie numérique américaine, ont pu se développer.

C’est pourquoi, il est urgent d’introduire – sur le modèle du fonds de pension des fonctionnaires (ERAFP) – une capitalisation collective. Cette épargne collective épaulera la répartition et donnera accès à tous les salariés de France aux rendements des marchés financiers, ce qui permettra de généraliser le partage des profits par le haut.

Tel est par exemple aussi le modèle des pharmaciens qui ont introduit en 2009 une capitalisation collective qui finance aujourd’hui 50 % de leurs retraites. Pareil pour le Sénat et la Banque de France, qui, protégés par leur indépendance, ont développé leurs capitalisations collectives depuis plus d’un siècle.

L’objet du présent amendement de repli est ainsi de proposer d’évaluer à travers un rapport remis au Parlement sur le fonctionnement du Fonds de réserve des retraites.

Le Fonds de réserve pour les retraites (FRR) est un établissement public administratif créé par la loi n°2001-624 du 17 juillet 2001 dont la mission est d’investir au nom de la collectivité les sommes que lui confient les pouvoirs publics en vue de participer au financement des retraites. Sa politique d’investissement doit viser à optimiser le rendement des placements effectués dans les meilleures conditions de sécurité possibles. 

Sur ce modèle, le présent rapport étudie l’introduction d’une dose de capitalisation collective dans le système de retraite par la création d’un fonds public d’épargne retraite souverain et obligatoire pour les assurés du secteur privé. Au-delà de la pertinence de la mise en place d’une capitalisation collective pour les salariés du privé, ce rapport s’attache à établir l’organisation de la mise en place d’un tel fonds et ses perspectives d’application.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 13 à un additionnel après l'article 1er).
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2102 rect. quater

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Tombé

M. Étienne BLANC, Mme GOY-CHAVENT, MM. MANDELLI et SAURY, Mmes Valérie BOYER et BELRHITI, MM. GENET, PELLEVAT, FRASSA, BASCHER, HOUPERT, SEGOUIN, CUYPERS, ROJOUAN et PIEDNOIR et Mmes BOULAY-ESPÉRONNIER et BONFANTI-DOSSAT


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 1ER


Après l'article 1er

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le Gouvernement remet au Parlement avant le 31 décembre 2023 un rapport sur l'application de l'article L. 242-1 du code de la sécurité sociale et de l'article 4 de la présente loi de financement rectificative de la sécurité sociale. Ce rapport envisage les conséquences de la création d’un fonds public d’épargne retraite souverain collectif et obligatoire pour les assurés du secteur privé. Ce rapport s’attache à établir le coût, la faisabilité, les avantages, les conditions et les échéances de la mise en place d’une telle réforme. Il étudie la création d’un établissement public placé sous la tutelle de l’État et responsable de ce fonds, la composition de son conseil d’administration et la mise en place d’un règlement intérieur fixant les conditions d’utilisation du fonds et les modalités de placement de celui-ci.

Objet

Le présent amendement d'appel vise à permettre au législateur - dans les limites d'examen du véhicule législatif choisi par le Gouvernement -, de débattre sur l'opportunité d'instaurer une dose de capitalisation dans notre système de retraites pour en garantir la pérennité.

Considérant les limites d’un système de retraites par répartition et le vieillissement de la population, les cotisants ne sont plus assez nombreux pour assurer aux retraités un niveau de pension constant tout en maintenant des comptes équilibrés.

Les Français peuvent certes déjà compléter leur future retraite par des mécanismes d’épargne. Mais ceux-ci sont individuels (par exemple l’assurance-vie), donc réservés à ceux qui peuvent cotiser, et coûtent cher en frais de gestion (à titre d’exemple, la gestion du Fonds de réserve pour les retraites est de l’ordre de 0,15 % là où les frais d’assurance-vie s’élèvent de 1 % à 3 %). Seul le caractère collectif et obligatoire permettra à tous d’en bénéficier.

Dans les pays où ils existent, ces fonds ont une double utilité. Ils complètent les retraites par répartition et ils investissent à long terme les sommes collectées dans l’économie. Ils créent de la richesse pour le pays, ce que ne peut faire un système par répartition pur, qui dépense immédiatement l’argent ponctionné. Les actifs collectés représentent en moyenne 64 % de la valeur du PIB dans les pays de l’OCDE dotés de ces fonds. En Norvège, le fonds de pension souverain pèse 280 % du PIB… Dans le passé, c’est grâce à de tels capitaux longs que le rail et les canaux de la révolution industrielle, et, plus récemment, l’industrie numérique américaine, ont pu se développer.

C’est pourquoi, il est urgent d’introduire – sur le modèle du fonds de pension des fonctionnaires (ERAFP) – une capitalisation collective. Cette épargne collective épaulera la répartition et donnera accès à tous les salariés de France aux rendements des marchés financiers, ce qui permettra de généraliser le partage des profits par le haut.

Tel est par exemple aussi le modèle des pharmaciens qui ont introduit en 2009 une capitalisation collective qui finance aujourd’hui 50 % de leurs retraites. Pareil pour le Sénat et la Banque de France, qui, protégés par leur indépendance, ont développé leurs capitalisations collectives depuis plus d’un siècle.

L’objet du présent amendement est ainsi de proposer d’évaluer à travers un rapport remis au Parlement l’introduction d’une dose de capitalisation collective dans le système de retraite par la création d’un fonds public d’épargne retraite souverain et obligatoire pour les assurés du secteur privé. Au-delà de la pertinence de la mise en place d’une capitalisation collective pour les salariés du privé, ce rapport s’attachera à établir l’organisation de la mise en place d’un tel fonds et ses perspectives d’application.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3168

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 1ER


Après l’article 1er

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Des décrets, après négociation avec les organisations syndicales et les branches, déterminent les conditions d’un départ anticipé à la retraite du personnel de chaque corps de métiers dits de la deuxième ligne.

Sont concernés les métiers dits de la deuxième ligne, à savoir :

1. Conducteurs de véhicules ;

2. Agents d’entretien ;

3. Caissiers, employés de libre-service ;

4. Ouvriers qualifiés de la manutention ;

5. Ouvriers qualifiés du second œuvre du bâtiment ;

6. Ouvriers non qualifiés de la manutention ;

7. Agents de gardiennage et de sécurité ;

8. Ouvriers qualifiés du gros œuvre du bâtiment ;

9. Vendeurs en produits alimentaires ;

10. Bouchers, charcutiers, boulangers ;

11. Maraîchers, jardiniers, viticulteurs ;

12. Ouvriers qualifiés des travaux publics, du béton et de l’extraction ;

13. Agriculteurs, éleveurs, sylviculteurs, bûcherons ;

14. Ouvriers non qualifiés du gros œuvre du bâtiment, des travaux publics, du béton et de l’extraction ;

15. Ouvriers non qualifiés du second œuvre du bâtiment ;

16. Ouvriers non qualifiés des industries agro-alimentaires ;

Objet

Par cet amendement, nous souhaitons que des régimes spéciaux soient créés pour l'ensemble des travailleurs de la deuxième ligne.

Pendant les 8 semaines du confinement, ce sont ces travailleurs qui ont continué à se rendre quotidiennement sur leurs lieux de travail. Parce que leur activité n’est pas télétravaillable, et que, sans eux, la société toute entière aurait été à l’arrêt : pas de nourriture, pas de soins, pas de transports essentiels…Les métiers invisibles étaient alors devenus…visible.

En effet, ces travailleurs sont les piliers sur lesquels la société se fonde et sont souvent les plus précaires ou les plus pénibles. C'est pourquoi des régimes spéciaux doivent être mis en place, dans la lignée des propos, tenus le 13 avril 2020, par le Président Emmanuel Macron : “Il nous faudra nous rappeler aussi que notre pays, aujourd'hui, tient tout entier sur des femmes et des hommes que nos économies reconnaissent et rémunèrent si mal. « Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune ». Ces mots, les Français les ont écrits il y a plus de 200 ans. Nous devons aujourd'hui reprendre le flambeau et donner toute sa force à ce principe.

Selon les chiffres de l'Insee de 2017, près de 4,5 millions de salariés du privé seraient concernés par les métiers dits de deuxième ligne, avec notamment les agents d'entretien, les caissiers, employés de libre-service, les ouvriers qualifiés des travaux publics, du béton et de l'extraction ou encore les agriculteurs, éleveurs. Ces métiers sont très physiques et peuvent impliquer différents facteurs de pénibilité, comme le fait de porter des charges pour les travailleurs du BTP ; des gestes répétitifs toute la journée pour les caissiers et caissières ; des postures difficiles pour les agents d'entretien ou les agriculteurs.

Dans le document d'études “Les métiers “de deuxième ligne” de la crise Covid-19 : quelles conditions de travail et d'emploi dans le secteur ?” de la Dares dresse des constats alarmants, en particulier le fait que “les fréquences d’accidents et de maladies professionnelles des métiers de la deuxième ligne sont majoritairement supérieures à la moyenne des autres familles professionnelles.”, et ce malgré une faible rémunération.

Aux travailleurs invisibles, la société peu reconnaissante. Il est temps d’étendre les régimes spéciaux à ces professions de la deuxième ligne, en juste reconnaissance de la société à ces travailleurs essentiels.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2611 rect.

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Demande de retrait
Retiré

M. LEMOYNE


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 1ER


Après l’article 1er

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Au plus tard le 1er septembre 2027, le Gouvernement remet au Parlement un rapport sur l’impact de la présente loi sur l’équilibre du système des retraites aux échéances 2035, 2040 et 2050.

Ce rapport examinera les voies et moyens de maintenir à l’équilibre le système des retraites à ces échéances sans que l’âge légal puisse être porté au-delà des soixante-quatre ans, ni que la durée de cotisation puisse excéder les quarante-trois annuités et sans que soient dégradés le niveau des pensions ni celui des prélèvements obligatoires.

Ce rapport peut donner lieu à un débat à l’Assemblée nationale et au Sénat.

Objet

Toute réforme des retraites doit être porteuse de confiance et d’espérance puisque les efforts demandés à nos compatriotes doivent trouver une juste contrepartie avec la préservation dans la durée de notre système de retraite.

En effet, les Français ont consenti à de tels efforts à plusieurs reprises depuis 1993, puisque les réformes conduites par les gouvernements successifs ont modifié les conditions de départ en retraite, pour tout ou partie des actifs, passant ainsi progressivement la durée d’assurance requise de 37,5 annuités à 43 annuités et décalant l’âge légal de 60 ans à 62 ans.

Après la présente réforme, qui porte l’âge légal à 64 ans et accélère le calendrier pour atteindre les 43 ans de durée d’assurance, il est nécessaire de stabiliser ces curseurs afin de maintenir la confiance dans le contrat passé entre chaque Français et la Nation.

Le dernier rapport du COR de septembre 2022 montre, avant la présente réforme, que le solde prévisionnel du système de retraite à horizon 2040 et 2050 devrait être déficitaire dans la plupart des scénarii. Cela s’explique par la poursuite de la baisse du rapport démographique entre les actifs cotisants et les retraités.

C’est pourquoi, à l'occasion de la clause de revoyure de 2027, il est important d’anticiper, sur ces bases révisées de l’impact de la présente réforme, les voies et moyens de maintenir l’équilibre au-delà de 2030 sans avoir recours aux paramètres qui ont déjà été sollicités à de nombreuses reprises et, bien sûr, sans augmenter le niveau de prélèvements obligatoires ni baisser le niveau des pensions.

Cela impose une réflexion qui allie à la fois la rigueur dans la recherche de l’équilibre des régimes et la créativité dans la recherche des leviers à mobiliser. C’est parce que la situation de moyen et long terme sera anticipée, que des scenarii seront exposés et débattus devant les Français au Parlement, sur la base de ce rapport du Gouvernement, que nous pourrons ainsi redonner confiance et espérance dans la durée dans un système de retraite consolidé.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 286

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G  
Non soutenu

M. FÉRAUD


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Le régime de retraite à points dit "universel" a été rejeté massivement par les Français, lors du premier quinquennat Macron, obligeant le Président  de la République et son gouvernement d’alors à abandonner son texte.

De surcroit, le 10 janvier dernier, en présentant une nouvelle réforme des retraites, cette fois-ci paramétrique, E. Borne a signé elle-même l’arrêt de mort définitif de la retraite par points.

Il n’y a donc pas lieu d’agiter de nouveau le spectre d’une future mise en œuvre d’un système universel de retraite intégrant qui plus est "les paramètres de la réforme prévue par la présente loi".

Les Français ont clairement exprimé qu’ils ne veulent aucune des deux !

Non seulement le gouvernement ne veut rien entendre et s’entête à ponctionner un impôt de deux ans sur la vie des Français avec la retraite à 64 ans, mais il leur dit en plus, qu’au lieu d’une réforme, ils vont en avoir deux ! C’est de la provocation.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 310 rect.

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Sagesse du Sénat
Adopté

MM. MILON et ARTANO


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

La suppression de cet article  parait s’imposer pour trois raisons :

I. Il constitue un cavalier social qui n'a pas sa place dans la loi de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023.

En l’espèce, le rapport prévu sur la mise en œuvre d’un système universel de retraite n’a pas  pour objet d'améliorer l'information et le contrôle du Parlement sur l'application des lois de financement de la sécurité sociale.

Or, le Conseil constitutionnel a déjà invalidé un article prévoyant la remise d'un rapport au Parlement sur les conditions de mise en place d'un dispositif parafiscal cohérent sur l'ensemble des boissons alcoolisées et un article prévoyant la remise au Parlement d'un rapport présentant les résultats d'un audit sur le pilotage du dossier médical personnel et sa gestion par l’ Agence des systèmes d'information partagés de santé n'avaient pas leur place dans une loi de financement de la sécurité sociale, dans la mesure où « ces dispositions n’ont pas pour objet d'améliorer l'information et le contrôle du Parlement sur l'application des lois de financement de la sécurité sociale » (décision n° 2012–659 du 13 décembre 2012).

2. Cette disposition est une tentative de revenir à une réforme systémique du système de retraite, fondée sur un régime universel par points, en pleine contradiction avec tout le reste du projet de loi qui met en œuvre une réforme paramétrique portant sur l’âge d’admission à la retraite et le nombre d’annuités nécessaires. Le Gouvernement avait proposé un tel système en 2019 et avait été contraint de le retirer . Le rapport proposé par l'article 1er bis cherche à faire revenir par la fenêtre un système qui a été chassé par la porte.

3. Cet amendement cherche à rétablir l'unification du recouvrement social, qui s'inscrivait dans le cadre du système universel de retraite. Or, ce transfert aux URSSAF de l'activité de recouvrement de l'Agirc–Arrco, repoussé à plusieurs reprises, que les URSSAF ne sont pas en mesure d'assurer, se heurte à une opposition des partenaires sociaux et des organismes concernés et a été abandonnée dans le cadre de la LFSS pour 2023.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 318

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G  
Non soutenu

M. PLA


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Le régime de retraite à points dit "universel" a été rejeté massivement par les Français, lors du premier quinquennat Macron, obligeant le Président  de la République et son gouvernement d’alors à abandonner son texte.
De surcroit, le 10 janvier dernier, en présentant une nouvelle réforme des retraites, cette fois-ci paramétrique, E. Borne a signé elle-même l’arrêt de mort définitif de la retraite par points.
Il n’y a donc pas lieu d’agiter de nouveau le spectre d’une future mise en œuvre d’un système universel de retraite intégrant qui plus est "les paramètres de la réforme prévue par la présente loi".
Les Français ont clairement exprimé qu’ils ne veulent aucune des deux !
Non seulement le gouvernement ne veut rien entendre et s’entête à ponctionner un impôt de deux ans sur la vie des Français avec la retraite à 64 ans, mais il leur dit en plus, qu’au lieu d’une réforme, ils vont en avoir deux ! C’est de la provocation.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 347

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Sagesse du Sénat
Adopté

Mme BRIQUET


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Le régime de retraite à points dit "universel" a été rejeté massivement par les Français, lors du premier quinquennat Macron, obligeant le Président  de la République et son gouvernement d’alors à abandonner son texte.
De surcroit, le 10 janvier dernier, en présentant une nouvelle réforme des retraites, cette fois-ci paramétrique, E. Borne a signé elle-même l’arrêt de mort définitif de la retraite par points.
Il n’y a donc pas lieu d’agiter de nouveau le spectre d’une future mise en œuvre d’un système universel de retraite intégrant qui plus est "les paramètres de la réforme prévue par la présente loi".
Les Français ont clairement exprimé qu’ils ne veulent aucune des deux !
Non seulement le gouvernement ne veut rien entendre et s’entête à ponctionner un impôt de deux ans sur la vie des Français avec la retraite à 64 ans, mais il leur dit en plus, qu’au lieu d’une réforme, ils vont en avoir deux ! C’est de la provocation.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 372

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Sagesse du Sénat
Adopté

Mme FÉRET


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Le régime de retraite à points dit "universel" a été rejeté massivement par les Français, lors du premier quinquennat Macron, obligeant le Président de la République et son Gouvernement d’alors à abandonner son texte.

De surcroit, le 10 janvier dernier, en présentant une nouvelle réforme des retraites, cette fois-ci paramétrique, E. Borne a signé elle-même l’arrêt de mort définitif de la retraite par points.

Il n’y a donc pas lieu d’agiter de nouveau le spectre d’une future mise en œuvre d’un système universel de retraite intégrant qui plus est "les paramètres de la réforme prévue par la présente loi".

Les Français ont clairement exprimé qu’ils ne veulent aucune des deux réformes !

Non seulement le Gouvernement ne veut rien entendre et s’entête à ponctionner un impôt de deux ans sur la vie des Français avec la retraite à 64 ans, mais il leur dit en plus, qu’au lieu d’une réforme, ils vont en avoir deux ! Ce n'est pas acceptable. 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 455

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Sagesse du Sénat
Adopté

M. FICHET


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Le régime de retraite à points dit "universel" a été rejeté massivement par les Français, lors du premier quinquennat Macron, obligeant le Président  de la République et son gouvernement d’alors à abandonner son texte.

De surcroit, le 10 janvier dernier, en présentant une nouvelle réforme des retraites, cette fois-ci paramétrique, E. Borne a signé elle-même l’arrêt de mort définitif de la retraite par points.

Il n’y a donc pas lieu d’agiter de nouveau le spectre d’une future mise en œuvre d’un système universel de retraite intégrant qui plus est "les paramètres de la réforme prévue par la présente loi".

Les Français ont clairement exprimé qu’ils ne veulent aucune des deux !

Non seulement le gouvernement ne veut rien entendre et s’entête à ponctionner un impôt de deux ans sur la vie des Français avec la retraite à 64 ans, mais il leur dit en plus, qu’au lieu d’une réforme, ils vont en avoir deux ! C’est de la provocation.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 510

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Sagesse du Sénat
Adopté

M. CHANTREL


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Le régime de retraite à points dit "universel" a été rejeté massivement par les Français, lors du premier quinquennat Macron, obligeant le Président  de la République et son gouvernement d’alors à abandonner son texte.

De surcroit, le 10 janvier dernier, en présentant une nouvelle réforme des retraites, cette fois-ci paramétrique, E. Borne a signé elle-même l’arrêt de mort définitif de la retraite par points.

Il n’y a donc pas lieu d’agiter de nouveau le spectre d’une future mise en œuvre d’un système universel de retraite intégrant qui plus est "les paramètres de la réforme prévue par la présente loi".

Les Français ont clairement exprimé qu’ils ne veulent aucune des deux !

Non seulement le gouvernement ne veut rien entendre et s’entête à ponctionner un impôt de deux ans sur la vie des Français avec la retraite à 64 ans, mais il leur dit en plus, qu’au lieu d’une réforme, ils vont en avoir deux ! C’est de la provocation.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 524

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G  
Non soutenu

M. GILLÉ


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Le régime de retraite à points dit "universel" a été rejeté massivement par les Français, lors du premier quinquennat Macron, obligeant le Président  de la République et son gouvernement d’alors à abandonner son texte.

De surcroit, le 10 janvier dernier, en présentant une nouvelle réforme des retraites, cette fois-ci paramétrique, E. Borne a signé elle-même l’arrêt de mort définitif de la retraite par points.

Il n’y a donc pas lieu d’agiter de nouveau le spectre d’une future mise en œuvre d’un système universel de retraite intégrant qui plus est "les paramètres de la réforme prévue par la présente loi".

Les Français ont clairement exprimé qu’ils ne veulent aucune des deux !

Non seulement le gouvernement ne veut rien entendre et s’entête à ponctionner un impôt de deux ans sur la vie des Français avec la retraite à 64 ans, mais il leur dit en plus, qu’au lieu d’une réforme, ils vont en avoir deux ! C’est de la provocation.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 573

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Sagesse du Sénat
Adopté

Mme de LA GONTRIE


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Le régime de retraite à points dit "universel" a été rejeté massivement par les Français, lors du premier quinquennat Macron, obligeant le Président  de la République et son gouvernement d’alors à abandonner son texte.

De surcroit, le 10 janvier dernier, en présentant une nouvelle réforme des retraites, cette fois-ci paramétrique, E. Borne a signé elle-même l’arrêt de mort définitif de la retraite par points.

Il n’y a donc pas lieu d’agiter de nouveau le spectre d’une future mise en œuvre d’un système universel de retraite intégrant qui plus est "les paramètres de la réforme prévue par la présente loi".

Les Français ont clairement exprimé qu’ils ne veulent aucune des deux !

Non seulement le gouvernement ne veut rien entendre et s’entête à ponctionner un impôt de deux ans sur la vie des Français avec la retraite à 64 ans, mais il leur dit en plus, qu’au lieu d’une réforme, ils vont en avoir deux ! C’est de la provocation.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 585

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G  
Non soutenu

M. REDON-SARRAZY


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Le régime de retraite à points dit "universel" a été rejeté massivement par les Français, lors du premier quinquennat Macron, obligeant le Président  de la République et son gouvernement d’alors à abandonner son texte.

De surcroit, le 10 janvier dernier, en présentant une nouvelle réforme des retraites, cette fois-ci paramétrique, Elizabeth Borne a signé elle-même l’arrêt de mort définitif de la retraite par points.

Il n’y a donc pas lieu d’agiter de nouveau le spectre d’une future mise en œuvre d’un système universel de retraite intégrant qui plus est "les paramètres de la réforme prévue par la présente loi".

Les Français ont clairement exprimé qu’ils ne veulent aucune des deux !

Non seulement le gouvernement ne veut rien entendre et s’entête à ponctionner un impôt de deux ans sur la vie des Français avec la retraite à 64 ans, mais il leur dit en plus, qu’au lieu d’une réforme, ils vont en avoir deux ! C’est de la provocation.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 672

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Sagesse du Sénat
Adopté

Mme LE HOUEROU


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Le régime de retraite à points dit "universel" a été rejeté massivement par les Français, lors du premier quinquennat Macron, obligeant le Président  de la République et son gouvernement d’alors à abandonner son texte.

De surcroit, le 10 janvier dernier, en présentant une nouvelle réforme des retraites, cette fois-ci paramétrique, E. Borne a signé elle-même l’arrêt de mort définitif de la retraite par points.

Il n’y a donc pas lieu d’agiter de nouveau le spectre d’une future mise en œuvre d’un système universel de retraite intégrant qui plus est "les paramètres de la réforme prévue par la présente loi".

Les Français ont clairement exprimé qu’ils ne veulent aucune des deux !

Non seulement le gouvernement ne veut rien entendre et s’entête à ponctionner un impôt de deux ans sur la vie des Français avec la retraite à 64 ans, mais il leur dit en plus, qu’au lieu d’une réforme, ils vont en avoir deux ! C’est de la provocation.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 701

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Sagesse du Sénat
Adopté

Mme BLATRIX CONTAT


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Le régime de retraite à points dit "universel" a été rejeté massivement par les Français, lors du premier quinquennat d'Emmanuel Macron, obligeant le Président  de la République et son gouvernement d’alors à abandonner son texte.

De surcroit, le 10 janvier 2023, en présentant une nouvelle réforme des retraites, cette fois-ci paramétrique, Elisabeth Borne a signé elle-même l’arrêt de mort définitif de la retraite par points.

Il n’y a donc pas lieu d’agiter de nouveau le spectre d’une future mise en œuvre d’un système universel de retraite intégrant qui plus est "les paramètres de la réforme prévue par la présente loi".

Les Français ont clairement exprimé qu’ils ne veulent aucune des deux !

Non seulement le gouvernement ne veut rien entendre et s’entête à ponctionner un impôt de deux ans sur la vie des Français avec la retraite à 64 ans, mais il leur dit en plus, qu’au lieu d’une réforme, ils vont en avoir deux ! C’est de la provocation.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 732

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G  
Non soutenu

M. Mickaël VALLET


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Le régime de retraite à points dit "universel" a été rejeté massivement par les Français, lors du premier quinquennat Macron, obligeant le Président  de la République et son gouvernement d’alors à abandonner son texte.

De surcroit, le 10 janvier dernier, en présentant une nouvelle réforme des retraites, cette fois-ci paramétrique, E. Borne a signé elle-même l’arrêt de mort définitif de la retraite par points.

Il n’y a donc pas lieu d’agiter de nouveau le spectre d’une future mise en œuvre d’un système universel de retraite intégrant qui plus est "les paramètres de la réforme prévue par la présente loi".

Les Français ont clairement exprimé qu’ils ne veulent aucune des deux !

Non seulement le gouvernement ne veut rien entendre et s’entête à ponctionner un impôt de deux ans sur la vie des Français avec la retraite à 64 ans, mais il leur dit en plus, qu’au lieu d’une réforme, ils vont en avoir deux ! C’est de la provocation.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 758 rect.

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Sagesse du Sénat
Adopté

MM. FAVREAU et CALVET, Mme BELRHITI, MM. KLINGER, Daniel LAURENT et FRASSA, Mme CANAYER, MM. GENET et BASCHER, Mme DUMONT, M. BONNEAU et Mmes RENAUD-GARABEDIAN et PERROT


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement a pour objet de supprimer l’article 1 bis dont l’objectif est de prévoir une étude, un an après la promulgation de la loi, de la convergence des régimes de retraites vers un régime universel de retraite.

Dans le dossier de presse portant sur le projet de loi actuel, il était indiqué que « Les régimes autonomes (professions libérales et avocats) et ceux répondant à des sujétions spécifiques (marins, Opéra de Paris, Comédie Française) ne seront pas concernés par cette fermeture ».



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 805 rect. bis

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Sagesse du Sénat
Adopté

MM. Jean-Baptiste BLANC et CHATILLON, Mme DELMONT-KOROPOULIS, MM. ANGLARS, CHAIZE et CAMBON, Mme Valérie BOYER et MM. BURGOA, SAUTAREL et POINTEREAU


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement a pour objet de supprimer l'article 1 bis dont l'objectif est de prévoir une étude, un an après la promulgation de la loi, de la convergence des régimes de retraites vers un régime universel de retraite.

En effet, il conviendrait de préserver l'autonomie du système de retraites des avocats.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 814

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G  
Non soutenu

M. JACQUIN


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Le régime de retraite à points dit "universel" a été rejeté massivement par les Français, lors du premier quinquennat Macron, obligeant le Président  de la République et son gouvernement d’alors à abandonner son texte.

De surcroit, le 10 janvier dernier, en présentant une nouvelle réforme des retraites, cette fois-ci paramétrique, la Première ministre a signé elle-même l’arrêt de mort définitif de la retraite par points.

Il n’y a donc pas lieu d’agiter de nouveau le spectre d’une future mise en œuvre d’un système universel de retraite intégrant qui plus est "les paramètres de la réforme prévue par la présente loi".

Les Français ont clairement exprimé qu’ils ne veulent aucune des deux !

Non seulement le gouvernement ne veut rien entendre et s’entête à ponctionner un impôt de deux ans sur la vie des Français avec la retraite à 64 ans, mais il leur dit en plus, qu’au lieu d’une réforme, ils vont en avoir deux ! C’est de la provocation.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 827

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G  
Non soutenu

M. LOZACH


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Le régime de retraite à points dit "universel" a été rejeté massivement par les Français, lors du premier quinquennat Macron, obligeant le Président  de la République et son gouvernement d’alors à abandonner son texte.

De surcroit, le 10 janvier dernier, en présentant une nouvelle réforme des retraites, cette fois-ci paramétrique, E. Borne a signé elle-même l’arrêt de mort définitif de la retraite par points.

Il n’y a donc pas lieu d’agiter de nouveau le spectre d’une future mise en œuvre d’un système universel de retraite intégrant qui plus est "les paramètres de la réforme prévue par la présente loi".

Les Français ont clairement exprimé qu’ils ne veulent aucune des deux !

Non seulement le gouvernement ne veut rien entendre et s’entête à ponctionner un impôt de deux ans sur la vie des Français avec la retraite à 64 ans, mais il leur dit en plus, qu’au lieu d’une réforme, ils vont en avoir deux ! C’est de la provocation.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 867

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G  
Non soutenu

M. DURAIN


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Le régime de retraite à points dit "universel" a été rejeté massivement par les Français, lors du premier quinquennat Macron, obligeant le Président  de la République et son gouvernement d’alors à abandonner son texte.

De surcroit, le 10 janvier dernier, en présentant une nouvelle réforme des retraites, cette fois-ci paramétrique, E. Borne a signé elle-même l’arrêt de mort définitif de la retraite par points.

Il n’y a donc pas lieu d’agiter de nouveau le spectre d’une future mise en œuvre d’un système universel de retraite intégrant qui plus est "les paramètres de la réforme prévue par la présente loi".

Les Français ont clairement exprimé qu’ils ne veulent aucune des deux !

Non seulement le gouvernement ne veut rien entendre et s’entête à ponctionner un impôt de deux ans sur la vie des Français avec la retraite à 64 ans, mais il leur dit en plus, qu’au lieu d’une réforme, ils vont en avoir deux ! C’est de la provocation.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 902

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G  
Non soutenu

M. LUREL


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Le régime de retraite à points dit "universel" a été rejeté massivement par les Français, lors du premier quinquennat Macron, obligeant le Président  de la République et son gouvernement d’alors à abandonner son texte.

De surcroit, le 10 janvier dernier, en présentant une nouvelle réforme des retraites, cette fois-ci paramétrique, E. Borne a signé elle-même l’arrêt de mort définitif de la retraite par points.

Il n’y a donc pas lieu d’agiter de nouveau le spectre d’une future mise en œuvre d’un système universel de retraite intégrant qui plus est "les paramètres de la réforme prévue par la présente loi".

Les Français ont clairement exprimé qu’ils ne veulent aucune des deux !

Non seulement le gouvernement ne veut rien entendre et s’entête à ponctionner un impôt de deux ans sur la vie des Français avec la retraite à 64 ans, mais il leur dit en plus, qu’au lieu d’une réforme, ils vont en avoir deux ! C’est de la provocation.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 930

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G  
Non soutenu

Mme ARTIGALAS


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Le régime de retraite à points dit "universel" a été rejeté massivement par les Français, lors du premier quinquennat Macron, obligeant le Président  de la République et son gouvernement d’alors à abandonner son texte.

De surcroit, le 10 janvier dernier, en présentant une nouvelle réforme des retraites, cette fois-ci paramétrique, E. Borne a signé elle-même l’arrêt de mort définitif de la retraite par points.

Il n’y a donc pas lieu d’agiter de nouveau le spectre d’une future mise en œuvre d’un système universel de retraite intégrant qui plus est "les paramètres de la réforme prévue par la présente loi".

Les Français ont clairement exprimé qu’ils ne veulent aucune des deux !

Non seulement le gouvernement ne veut rien entendre et s’entête à ponctionner un impôt de deux ans sur la vie des Français avec la retraite à 64 ans, mais il leur dit en plus, qu’au lieu d’une réforme, ils vont en avoir deux ! C’est de la provocation.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 947

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G  
Non soutenu

M. CARDON


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Le régime de retraite à points dit "universel" a été rejeté massivement par les Français, lors du premier quinquennat Macron, obligeant le Président  de la République et son gouvernement d’alors à abandonner son texte.
De surcroit, le 10 janvier dernier, en présentant une nouvelle réforme des retraites, cette fois-ci paramétrique, E. Borne a signé elle-même l’arrêt de mort définitif de la retraite par points.
Il n’y a donc pas lieu d’agiter de nouveau le spectre d’une future mise en œuvre d’un système universel de retraite intégrant qui plus est "les paramètres de la réforme prévue par la présente loi".
Les Français ont clairement exprimé qu’ils ne veulent aucune des deux !
Non seulement le gouvernement ne veut rien entendre et s’entête à ponctionner un impôt de deux ans sur la vie des Français avec la retraite à 64 ans, mais il leur dit en plus, qu’au lieu d’une réforme, ils vont en avoir deux ! C’est de la provocation.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 985

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Sagesse du Sénat
Adopté

M. RAYNAL


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Le régime de retraite à points dit "universel" a été rejeté massivement par les Français, lors du premier quinquennat Macron, obligeant le Président de la République et son gouvernement d’alors à abandonner son texte.

De surcroit, le 10 janvier dernier, en présentant une nouvelle réforme des retraites, cette fois-ci paramétrique, E. Borne a signé elle-même l’arrêt de mort définitif de la retraite par points.

Il n’y a donc pas lieu d’agiter de nouveau le spectre d’une future mise en œuvre d’un système universel de retraite intégrant qui plus est "les paramètres de la réforme prévue par la présente loi".






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1020

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G  
Non soutenu

M. STANZIONE


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Lors du premier quinquennat de Mr Macron, les Français ont rejeté massivement le régime de retraite à points dit "universel", obligeant le Président de la République et son gouvernement d’alors à abandonner son texte.

Le 10 janvier dernier, en présentant une nouvelle réforme des retraites, cette fois-ci paramétrique, Madame E. Borne a signé elle-même l’arrêt de mort définitif de la retraite par points.

Point n’est besoin d’agiter de nouveau le spectre d’une future mise en œuvre d’un système universel de retraite intégrant qui plus est "les paramètres de la réforme prévue par la présente loi", les Français ont clairement exprimé qu’ils ne veulent aucune des deux !

Non seulement le gouvernement ne veut rien entendre et s’entête à ponctionner un impôt de deux ans sur la vie des Français avec la retraite à 64 ans, mais il leur dit en plus, qu’au lieu d’une réforme, ils vont en avoir deux ! Il s’agit de provocation !






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1033

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Sagesse du Sénat
Adopté

Mme Gisèle JOURDA


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Le régime de retraite à points dit "universel" a été rejeté massivement par les Français, lors du premier quinquennat Macron, obligeant le Président  de la République et son gouvernement d’alors à abandonner son texte.

De surcroit, le 10 janvier dernier, en présentant une nouvelle réforme des retraites, cette fois-ci paramétrique, la première ministre a signé elle-même l’arrêt de mort définitif de la retraite par points.

Il n’y a donc pas lieu d’agiter de nouveau le spectre d’une future mise en œuvre d’un système universel de retraite intégrant qui plus est "les paramètres de la réforme prévue par la présente loi".

Les Français ont clairement exprimé qu’ils ne veulent aucune des deux !

Non seulement le gouvernement ne veut rien entendre et s’entête à ponctionner un impôt de deux ans sur la vie des Français avec la retraite à 64 ans, mais il leur dit en plus, qu’au lieu d’une réforme, ils vont en avoir deux ! C’est de la provocation.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1066

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G  
Non soutenu

M. HOULLEGATTE


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Le régime de retraite à points dit "universel" a été rejeté massivement par les Français, lors du premier quinquennat Macron, obligeant le Président  de la République et son gouvernement d’alors à abandonner son texte.
De surcroit, le 10 janvier dernier, en présentant une nouvelle réforme des retraites, cette fois-ci paramétrique, E. Borne a signé elle-même l’arrêt de mort définitif de la retraite par points.
Il n’y a donc pas lieu d’agiter de nouveau le spectre d’une future mise en œuvre d’un système universel de retraite intégrant qui plus est "les paramètres de la réforme prévue par la présente loi".
Les Français ont clairement exprimé qu’ils ne veulent aucune des deux !
Non seulement le gouvernement ne veut rien entendre et s’entête à ponctionner un impôt de deux ans sur la vie des Français avec la retraite à 64 ans, mais il leur dit en plus, qu’au lieu d’une réforme, ils vont en avoir deux ! C’est de la provocation.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1102

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Sagesse du Sénat
Adopté

M. ÉBLÉ


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Le régime de retraite à points dit "universel" a été rejeté massivement par les Français, lors du premier quinquennat Macron, obligeant le Président de la République et son gouvernement d’alors à abandonner son texte.

De surcroit, le 10 janvier dernier, en présentant une nouvelle réforme des retraites, cette fois-ci paramétrique, E. Borne a signé elle-même l’arrêt de mort définitif de la retraite par points.

Il n’y a donc pas lieu d’agiter de nouveau le spectre d’une future mise en œuvre d’un système universel de retraite intégrant qui plus est "les paramètres de la réforme prévue par la présente loi".

Les Français ont clairement exprimé qu’ils ne veulent aucune des deux !

Non seulement le gouvernement ne veut rien entendre et s’entête à ponctionner un impôt de deux ans sur la vie des Français avec la retraite à 64 ans, mais il leur dit en plus, qu’au lieu d’une réforme, ils vont en avoir deux ! C’est de la provocation.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1173 rect. bis

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Sagesse du Sénat
Adopté

Mme LUBIN


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Le régime de retraite à points dit "universel" a été rejeté massivement par les Français, lors du premier quinquennat Macron, obligeant le Président  de la République et son gouvernement d'alors à abandonner son texte.

De surcroit, le 10 janvier dernier, en présentant une nouvelle réforme des retraites, cette fois-ci paramétrique, E. Borne a signé elle-même l'arrêt de mort définitif de la retraite par points.

Il n'y a donc pas lieu d'agiter de nouveau le spectre d'une future mise en œuvre d'un système universel de retraite intégrant qui plus est "les paramètres de la réforme prévue par la présente loi".

Les Français ont clairement exprimé qu'ils ne veulent aucune des deux !

Non seulement le gouvernement ne veut rien entendre et s'entête à ponctionner un impôt de deux ans sur la vie des Français avec la retraite à 64 ans, mais il leur dit en plus, qu'au lieu d'une réforme, ils vont en avoir deux ! C'est de la provocation.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1211

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G  
Non soutenu

M. MÉRILLOU


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Le régime de retraite à points dit "universel" a été rejeté massivement par les Français, lors du premier quinquennat Macron, obligeant le Président de la République et son gouvernement d’alors à abandonner son texte.

De surcroit, le 10 janvier dernier, en présentant une nouvelle réforme des retraites, cette fois-ci paramétrique, E. Borne a signé elle-même l’arrêt de mort définitif de la retraite par points.

Il n’y a donc pas lieu d’agiter de nouveau le spectre d’une future mise en œuvre d’un système universel de retraite intégrant qui plus est "les paramètres de la réforme prévue par la présente loi".

Les Français ont clairement exprimé qu’ils ne veulent aucune des deux !

Le gouvernement reste sourd face à l’opposition claire des Français à cette réforme injuste. Il persiste à vouloir ponctionner un impôt de deux ans sur la vie des Français avec la retraite à 64 ans. Pire, avec cet article, il leur dit en plus, qu’au lieu d’une réforme, ils vont en avoir deux.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1241

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Sagesse du Sénat
Adopté

Mme JASMIN


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Réformer les retraites est  l’obsession sociale d’Emmanuel Macron depuis son arrivée à l’Elysée en 2017. Lors de son premier quinquennat, son projet de créer un système universel à points en remplacement du celui par répartition était bien avancé lorsque son parcours parlementaire a été stoppé net par l’épidémie de Covid.

En effet, dans son programme électoral de 2017, le président de la République, Emmanuel Macron proposait une réforme des retraites visant à la mise en place d’un système universel de retraites à points. Dans ce système, chaque actif devait payer la même cotisation sur les revenus. Les euros cotisés devaient ensuite être transformés en points. La valeur du point était garantie par les partenaires sociaux et indexée sur les salaires.

Avec son projet de réforme des retraites et l’instauration d’un « régime universel par points », le gouvernement poursuivait déjà un double objectif : baisser le « poids » des retraites dans la richesse nationale et détruire une des principales conquêtes du mouvement ouvrier en 1945.

La « retraite universelle par points »  était un système permettant de modifier à tout moment les paramètres de calcul pour baisser les pensions

Sorte de droits individualisés à la retraite, il marquait la fin de la solidarité et à terme du système par répartition.

Ce précédent projet de réforme des retraites qui était contesté par les partenaires sociaux a heureusement, finalement été abandonné dans le contexte de la crise sanitaire liée au Covid-19, et revient par un amendent de la république en marche, au détour de ce projet de loi.

Le présent amendement vise donc à supprimer cet article qui ne correspond à aucune demande du corps social.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1274

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Sagesse du Sénat
Adopté

M. MONTAUGÉ


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Le régime de retraite à points dit "universel" a été rejeté massivement par les Français, lors du premier quinquennat Macron, obligeant le Président  de la République et son gouvernement d’alors à abandonner son texte.

De surcroit, le 10 janvier dernier, en présentant une nouvelle réforme des retraites, cette fois-ci paramétrique, E. Borne a signé elle-même l’arrêt de mort définitif de la retraite par points.

Il n’y a donc pas lieu d’agiter de nouveau le spectre d’une future mise en œuvre d’un système universel de retraite intégrant qui plus est "les paramètres de la réforme prévue par la présente loi".

Les Français ont clairement exprimé qu’ils ne veulent aucune des deux !

Non seulement le gouvernement ne veut rien entendre et s’entête à ponctionner un impôt de deux ans sur la vie des Français avec la retraite à 64 ans, mais il leur dit en plus, qu’au lieu d’une réforme, ils vont en avoir deux ! C’est de la provocation.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1320

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Sagesse du Sénat
Adopté

Mme PRÉVILLE


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Le régime de retraite à points dit "universel" a été rejeté massivement par les Français, lors du premier quinquennat Macron, obligeant le Président  de la République et son gouvernement d’alors à abandonner son texte.

De surcroit, le 10 janvier dernier, en présentant une nouvelle réforme des retraites, cette fois-ci paramétrique, E. Borne a signé elle-même l’arrêt de mort définitif de la retraite par points.

Il n’y a donc pas lieu d’agiter de nouveau le spectre d’une future mise en œuvre d’un système universel de retraite intégrant qui plus est "les paramètres de la réforme prévue par la présente loi".

Les Français ont clairement exprimé qu’ils ne veulent aucune des deux !

Non seulement le gouvernement ne veut rien entendre et s’entête à ponctionner un impôt de deux ans sur la vie des Français avec la retraite à 64 ans, mais il leur dit en plus, qu’au lieu d’une réforme, ils vont en avoir deux ! C’est de la provocation.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1344

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G  
Non soutenu

M. MARIE


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Le régime de retraite à points dit "universel" a été rejeté massivement par les Français, lors du premier quinquennat Macron, obligeant le Président  de la République et son gouvernement d’alors à abandonner son texte.

De surcroit, le 10 janvier dernier, en présentant une nouvelle réforme des retraites, cette fois-ci paramétrique, E. Borne a signé elle-même l’arrêt de mort définitif de la retraite par points.

Il n’y a donc pas lieu d’agiter de nouveau le spectre d’une future mise en œuvre d’un système universel de retraite intégrant qui plus est "les paramètres de la réforme prévue par la présente loi".

Les Français ont clairement exprimé qu’ils ne veulent aucune des deux !

Non seulement le gouvernement ne veut rien entendre et s’entête à ponctionner un impôt de deux ans sur la vie des Français avec la retraite à 64 ans. Mais en plus, il leur dit qu’au lieu d’une réforme, ils vont en avoir deux ! Ceci est de la provocation.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1377

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G  
Non soutenu

M. BOURGI


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Le régime de retraite à points dit "universel" a été rejeté massivement par les Français, lors du premier quinquennat Macron, obligeant le Président  de la République et son gouvernement d’alors à abandonner son texte.

De surcroit, le 10 janvier dernier, en présentant une nouvelle réforme des retraites, cette fois-ci paramétrique, E. Borne a signé elle-même l’arrêt de mort définitif de la retraite par points.

Il n’y a donc pas lieu d’agiter de nouveau le spectre d’une future mise en œuvre d’un système universel de retraite intégrant qui plus est "les paramètres de la réforme prévue par la présente loi".

Les Français ont clairement exprimé qu’ils ne veulent aucune des deux !

Non seulement le gouvernement ne veut rien entendre et s’entête à ponctionner un impôt de deux ans sur la vie des Français avec la retraite à 64 ans, mais il leur dit en plus, qu’au lieu d’une réforme, ils vont en avoir deux ! C’est de la provocation.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1410

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G  
Non soutenu

M. SUEUR


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Le régime de retraite à points dit "universel" a été rejeté massivement par les Français, lors du premier quinquennat Macron, obligeant le Président de la République et son Gouvernement d’alors à abandonner son texte.

De surcroit, le 10 janvier dernier, en présentant une nouvelle réforme des retraites, cette fois-ci paramétrique, la Première Ministre a signé elle-même l'abandon du projet de la retraite par points.

Il n’y a donc pas lieu d’agiter de nouveau le spectre d’une future mise en œuvre d’un système universel de retraite intégrant qui plus est "les paramètres de la réforme prévue par la présente loi".

Les Français ont clairement exprimé qu’ils ne veulent aucune des deux.

Non seulement le Gouvernement ne veut rien entendre et s’entête à ponctionner un impôt de deux ans sur la vie des Français avec la retraite à 64 ans, mais il leur dit en plus, qu’au lieu d’une réforme, ils vont en avoir deux.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1440

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G  
Non soutenu

M. KERROUCHE


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Le régime de retraite à points dit "universel" a été rejeté massivement par les Français, lors du premier quinquennat Macron, obligeant le Président de la République et son gouvernement d’alors à abandonner son texte.

De surcroit, le 10 janvier dernier, en présentant une nouvelle réforme des retraites, cette fois-ci paramétrique, E. Borne a signé elle-même l’arrêt de mort définitif de la retraite par point.

Il n’y a donc pas lieu d’agiter de nouveau le spectre d’une future mise en œuvre d’un système universel de retraite intégrant qui plus est "les paramètres de la réforme prévue par la présente loi".

Les Français ont clairement exprimé qu’ils ne veulent aucune des deux !

Non seulement le gouvernement ne veut rien entendre et s’entête à ponctionner un impôt de deux ans sur la vie des Français avec la retraite à 64 ans, mais il leur dit en plus, qu’au lieu d’une réforme, ils vont en avoir deux !






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1508

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G  
Non soutenu

Mme Martine FILLEUL


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Le régime de retraite à points dit "universel" a été rejeté massivement par les Français, lors du premier quinquennat Macron, obligeant le Président  de la République et son gouvernement d’alors à abandonner son texte.

De surcroit, le 10 janvier dernier, en présentant une nouvelle réforme des retraites, cette fois-ci paramétrique, E. Borne a signé elle-même l’arrêt de mort définitif de la retraite par points.

Il n’y a donc pas lieu d’agiter de nouveau le spectre d’une future mise en œuvre d’un système universel de retraite intégrant qui plus est "les paramètres de la réforme prévue par la présente loi".

Les Français ont clairement exprimé qu’ils ne veulent aucune des deux !

Non seulement le gouvernement ne veut rien entendre et s’entête à ponctionner un impôt de deux ans sur la vie des Français avec la retraite à 64 ans, mais il leur dit en plus, qu’au lieu d’une réforme, ils vont en avoir deux ! C’est de la provocation.






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N° 1547

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Sagesse du Sénat
Adopté

Mme MONIER


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Le régime de retraite à points dit "universel" a été rejeté massivement par les Français, lors du premier quinquennat Macron, obligeant le Président  de la République et son gouvernement d’alors à abandonner son texte.

De surcroit, le 10 janvier dernier, en présentant une nouvelle réforme des retraites, cette fois-ci paramétrique, E. Borne a signé elle-même l’arrêt de mort définitif de la retraite par points.

Il n’y a donc pas lieu d’agiter de nouveau le spectre d’une future mise en œuvre d’un système universel de retraite intégrant qui plus est "les paramètres de la réforme prévue par la présente loi".

Les Français ont clairement exprimé qu’ils ne veulent aucune des deux !

Non seulement le gouvernement ne veut rien entendre et s’entête à ponctionner un impôt de deux ans sur la vie des Français avec la retraite à 64 ans, mais il leur dit en plus, qu’au lieu d’une réforme, ils vont en avoir deux ! C’est de la provocation.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1580

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G  
Non soutenu

M. ASSOULINE


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Le régime de retraite à points dit "universel" a été rejeté massivement par les Français, lors du premier quinquennat Macron, obligeant le Président  de la République et son gouvernement d’alors à abandonner son texte.

De surcroit, le 10 janvier dernier, en présentant une nouvelle réforme des retraites, cette fois-ci paramétrique, E. Borne a signé elle-même l’arrêt de mort définitif de la retraite par points.

Il n’y a donc pas lieu d’agiter de nouveau le spectre d’une future mise en œuvre d’un système universel de retraite intégrant qui plus est "les paramètres de la réforme prévue par la présente loi".

Les Français ont clairement exprimé qu’ils ne veulent aucune des deux !

Non seulement le gouvernement ne veut rien entendre et s’entête à ponctionner un impôt de deux ans sur la vie des Français avec la retraite à 64 ans, mais il leur dit en plus, qu’au lieu d’une réforme, ils vont en avoir deux ! C’est de la provocation.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1596

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Sagesse du Sénat
Adopté

M. Joël BIGOT


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Le régime de retraite à points dit "universel" a été rejeté massivement par les Français lors du précédent quinquennat, obligeant le Président de la République et son gouvernement d’alors à abandonner son texte. Il n’y a donc pas lieu d’évoquer une future mise en œuvre d’un système universel de retraite intégrant "les paramètres de la réforme prévue par la présente loi".






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1626

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Sagesse du Sénat
Adopté

Mme POUMIROL


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Le régime de retraite à points dit "universel" a été rejeté massivement par les Français, lors du premier quinquennat Macron, obligeant le Président  de la République et son gouvernement d’alors à abandonner son texte.

De surcroit, le 10 janvier dernier, en présentant une nouvelle réforme des retraites, cette fois-ci paramétrique, E. Borne a signé elle-même l’arrêt de mort définitif de la retraite par points.

Il n’y a donc pas lieu d’agiter de nouveau le spectre d’une future mise en œuvre d’un système universel de retraite intégrant qui plus est "les paramètres de la réforme prévue par la présente loi".

Les Français ont clairement exprimé qu’ils ne veulent aucune des deux !

Non seulement le gouvernement ne veut rien entendre et s’entête à ponctionner un impôt de deux ans sur la vie des Français avec la retraite à 64 ans, mais il leur dit en plus, qu’au lieu d’une réforme, ils vont en avoir deux ! C’est de la provocation.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1656

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G  
Adopté

Mme MEUNIER


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Le régime de retraite à points dit "universel" a été rejeté massivement par les Français, lors du premier quinquennat Macron, obligeant le Président de la République et son gouvernement d’alors à abandonner son texte.

De surcroit, le 10 janvier dernier, en présentant une nouvelle réforme des retraites, cette fois-ci paramétrique, E. Borne a signé elle-même l’arrêt de mort définitif de la retraite par points.

Il n’y a donc pas lieu d’agiter de nouveau le spectre d’une future mise en œuvre d’un système universel de retraite intégrant qui plus est "les paramètres de la réforme prévue par la présente loi".

Les Français ont clairement exprimé qu’ils ne veulent aucune des deux !

Non seulement le gouvernement ne veut rien entendre et s’entête à ponctionner un impôt de deux ans sur la vie des Français avec la retraite à 64 ans, mais il leur dit en plus, qu’au lieu d’une réforme, ils vont en avoir deux ! C’est de la provocation.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1665

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G  
Non soutenu

Mme BONNEFOY


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Le régime de retraite à points dit "universel" a été rejeté massivement par les Français lors du précédent quinquennat, obligeant le Président de la République et son gouvernement d’alors à abandonner son texte. Il n’y a donc pas lieu d’évoquer une future mise en œuvre d’un système universel de retraite intégrant "les paramètres de la réforme prévue par la présente loi".






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1697

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Sagesse du Sénat
Adopté

M. LECONTE


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Le régime de retraite à points dit "universel" a été rejeté massivement par les Français, lors du premier quinquennat Macron, obligeant le Président  de la République et son gouvernement d’alors à abandonner son texte.


De surcroit, le 10 janvier dernier, en présentant une nouvelle réforme des retraites, cette fois-ci paramétrique, E. Borne a signé elle-même l’arrêt de mort définitif de la retraite par points.


Il n’y a donc pas lieu d’agiter de nouveau le spectre d’une future mise en œuvre d’un système universel de retraite intégrant qui plus est "les paramètres de la réforme prévue par la présente loi".


Les Français ont clairement exprimé qu’ils ne veulent aucune des deux !


Non seulement le gouvernement ne veut rien entendre et s’entête à ponctionner un impôt de deux ans sur la vie des Français avec la retraite à 64 ans, mais il leur dit en plus, qu’au lieu d’une réforme, ils vont en avoir deux ! C’est de la provocation.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1753

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G  
Non soutenu

M. TODESCHINI


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Le régime de retraite à points dit "universel" a été rejeté massivement par les Français, lors du premier quinquennat Macron, obligeant le Président de la République et son gouvernement d’alors à abandonner son texte.

De surcroit, le 10 janvier dernier, en présentant une nouvelle réforme des retraites, cette fois-ci paramétrique, Elisabeth Borne a signé elle-même l’arrêt de mort définitif de la retraite par points.

Il n’y a donc pas lieu d’agiter de nouveau le spectre d’une future mise en œuvre d’un système universel de retraite intégrant qui plus est "les paramètres de la réforme prévue par la présente loi".

Les Français ont clairement exprimé qu’ils ne veulent aucune des deux !

Non seulement le gouvernement ne veut rien entendre et s’entête à ponctionner un impôt de deux ans sur la vie des Français avec la retraite à 64 ans, mais il leur dit en plus, qu’au lieu d’une réforme, ils vont en avoir deux ! C’est de la provocation.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1795

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G  
Non soutenu

M. JOMIER


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Insérer une demande de rapport au Gouvernement sur la mise en oeuvre d'une réforme systémique des retraites - qui avait été massivement rejetée par les français lors du premier quinquennat d'Emmanuel Macron - dans le texte portant une réforme paramétrique des retraites faisant elle-même l'objet d'une adhésion chimérique de la population constitue une provocation superfétatoire.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1823

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Sagesse du Sénat
Adopté

M. KANNER


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Le régime de retraite à points dit "universel" a été rejeté massivement par les Français, lors du premier quinquennat Macron, obligeant le Président  de la République et son gouvernement d’alors à abandonner son texte.

De surcroit, le 10 janvier dernier, en présentant une nouvelle réforme des retraites, cette fois-ci paramétrique, E. Borne a signé elle-même l’arrêt de mort définitif de la retraite par points.

Il n’y a donc pas lieu d’agiter de nouveau le spectre d’une future mise en œuvre d’un système universel de retraite intégrant qui plus est "les paramètres de la réforme prévue par la présente loi".

Les Français ont clairement exprimé qu’ils ne veulent aucune des deux !

Non seulement le gouvernement ne veut rien entendre et s’entête à ponctionner un impôt de deux ans sur la vie des Français avec la retraite à 64 ans, mais il leur dit en plus, qu’au lieu d’une réforme, ils vont en avoir deux ! C’est de la provocation.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1899

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G  
Non soutenu

M. Patrice JOLY


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Le régime de retraite à points dit "universel" a été rejeté massivement par les Français, lors du premier quinquennat Macron, obligeant le Président de la République et son gouvernement d’alors à abandonner son texte.

De surcroit, le 10 janvier dernier, en présentant une nouvelle réforme des retraites, cette fois-ci paramétrique, E. Borne a signé elle-même l’arrêt de mort définitif de la retraite par points.

Il n’y a donc pas lieu d’agiter de nouveau le spectre d’une future mise en œuvre d’un système universel de retraite intégrant qui plus est "les paramètres de la réforme prévue par la présente loi".

Les Français ont clairement exprimé qu’ils ne veulent aucune des deux !

On ne peut donc pas soutenir cette demande de rapport qui est l’opposé d’une réforme véritablement juste et égalitaire. Surtout que le Gouvernement possède amplement les moyens de produire les études qui lui permettront de pousser plus loin cette logique libérale aboutissant à la casse du droit à la retraite.

Car, non seulement le gouvernement ne veut rien entendre et s’entête à ponctionner un impôt de deux ans sur la vie des Français avec la retraite à 64 ans, mais il leur dit en plus, qu’au lieu d’une réforme, ils vont en avoir deux ! C’est de la provocation.

 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1996

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Sagesse du Sénat
Adopté

Mme ROSSIGNOL


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Le régime de retraite à points dit "universel" a été rejeté massivement par les Français, lors du premier quinquennat Macron, obligeant le Président  de la République et son gouvernement d’alors à abandonner son texte.

De surcroit, le 10 janvier dernier, en présentant une nouvelle réforme des retraites, cette fois-ci paramétrique, E. Borne a signé elle-même l’arrêt de mort définitif de la retraite par points.

Il n’y a donc pas lieu d’agiter de nouveau le spectre d’une future mise en œuvre d’un système universel de retraite intégrant qui plus est "les paramètres de la réforme prévue par la présente loi".

Les Français ont clairement exprimé qu’ils ne veulent aucune des deux !

Non seulement le gouvernement ne veut rien entendre et s’entête à ponctionner un impôt de deux ans sur la vie des Français avec la retraite à 64 ans, mais il leur dit en plus, qu’au lieu d’une réforme, ils vont en avoir deux ! C’est de la provocation.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2027 rect. bis

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Sagesse du Sénat
Adopté

MM. DUFFOURG, LEVI et MIZZON, Mmes SOLLOGOUB et SAINT-PÉ, M. LE NAY, Mme de LA PROVÔTÉ et M. HINGRAY


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement a pour objet de supprimer l’article 1 bis dont l’objectif est de prévoir une étude, un an après la promulgation de la loi, de la convergence des régimes de retraites vers un régime universel de retraite.
Un système universel méconnaîtrait les spécificités des régimes autonomes de retraites, notamment celui des avocats, dont la Première ministre a publiquement pris en compte cette revendication de la profession.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2075

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G  
Non soutenu

M. JEANSANNETAS


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Le régime de retraite à points dit "universel" a été rejeté massivement par les Français, lors du premier quinquennat Macron, obligeant le Président  de la République et son gouvernement d’alors à abandonner son texte.

De surcroit, le 10 janvier dernier, en présentant une nouvelle réforme des retraites, cette fois-ci paramétrique, E. Borne a signé elle-même l’arrêt de mort définitif de la retraite par points.

Il n’y a donc pas lieu d’agiter de nouveau le spectre d’une future mise en œuvre d’un système universel de retraite intégrant qui plus est "les paramètres de la réforme prévue par la présente loi".

Les Français ont clairement exprimé qu’ils ne veulent aucune des deux !

Non seulement le gouvernement ne veut rien entendre et s’entête à ponctionner un impôt de deux ans sur la vie des Français avec la retraite à 64 ans, mais il leur dit en plus, qu’au lieu d’une réforme, ils vont en avoir deux ! C’est de la provocation.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2108

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Sagesse du Sénat
Adopté

Mme DOINEAU et M. SAVARY

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement propose de supprimer l'article 1er bis, qui demande au Gouvernement le dépôt d'un rapport sur l'établissement d'un système universel de retraites.

En effet, on voit mal quel éclairage nouveau un tel rapport pourrait apporter sur cette question, déjà abondamment documentée il y a trois ans.

En outre, une telle demande peut sembler décalée sur le fond au sein d'un PLFRSS qui a pour objet d'apporter une réponse paramétrique dans le cadre du système de retraites existant.






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N° 2263

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Sagesse du Sénat
Adopté

Mme ESPAGNAC


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Le régime de retraite à points dit "universel" a été rejeté massivement par les Français, lors du premier quinquennat Macron, obligeant le Président de la République et son Gouvernement d’alors à abandonner son texte.

De surcroit, le 10 janvier dernier, en présentant une nouvelle réforme des retraites, cette fois-ci paramétrique, la Première Ministre a signé elle-même l'abandon du projet de la retraite par points.

Il n’y a donc pas lieu d’agiter de nouveau le spectre d’une future mise en œuvre d’un système universel de retraite intégrant qui plus est "les paramètres de la réforme prévue par la présente loi".

Les Français ont clairement exprimé qu’ils ne veulent aucune des deux.

Non seulement le Gouvernement ne veut rien entendre et s’entête à ponctionner un impôt de deux ans sur la vie des Français avec la retraite à 64 ans, mais il leur dit en plus, qu’au lieu d’une réforme, ils vont en avoir deux






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2371 rect. bis

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Sagesse du Sénat
Adopté

M. CANÉVET, Mmes MORIN-DESAILLY, GUIDEZ et BILLON et MM. DÉTRAIGNE et DELCROS


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

L’objet de cet amendement est de supprimer l'article 1er bis prévoyant, dans un délai d’un an après le vote de l’actuelle réforme, un rapport du gouvernement au parlement sur la possibilité, les conditions et le calendrier de mise en œuvre d’un système universel de retraite faisant converger les différents régimes et intégrant les paramètres de la réforme prévue par la présente loi.

Sur le fond, les organisations représentatives au niveau national et interprofessionnel se sont félicitées que la présente réforme, indispensable pour assurer la pérennité des régimes de retraite par répartition, ne porte que sur les régimes de base obligatoires et ne remette pas en cause les régimes complémentaires de retraite à gestion paritaire ou professionnelle, tel l’AGIRC-ARRCO.

En s’appliquant à l’ensemble des régimes de base, du privé, de la fonction publique et des nouveaux entrants des régimes spéciaux, la présente réforme contribue déjà à un alignement progressif de l’ensemble des régimes.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2493 rect. ter

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Sagesse du Sénat
Adopté

MM. HOUPERT, MEURANT, CADEC et PANUNZI et Mmes MULLER-BRONN et BONFANTI-DOSSAT


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

La création d’un système universel de retraite apparaît extrêmement complexe, comme on l’a vu lors de l’examen du projet de loi examiné en 2019 et abandonné en 2020, en raison notamment de la difficulté de fusionner des régimes de base, gérés par l’Etat ou par des organismes sous sa tutelle, et des régimes complémentaires, gérés par les partenaires sociaux pour les salariés et par les professionnels pour les indépendants et les professions libérales.

Ajouter cette complexité à la réforme prévue par le projet de loi actuel, surtout dans des délais très brefs, risquerait de bloquer le fonctionnement de l’ensemble du système de retraite français. Il est impossible de faire en même temps une réforme paramétrique et une réforme systémique.

C’est pourquoi, il est prématuré d’envisager la création d’un système universel de retraite avant l’achèvement de la réforme en cours de discussion et le rétablissement des équilibres financiers du système actuel.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2588 rect. ter

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Sagesse du Sénat
Adopté

Mmes GRUNY et IMBERT, MM. SOMON et SIDO et Mme RAIMOND-PAVERO


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement a pour objet de supprimer l'article 1er bis dont l'objectif est de prévoir une étude, un an après la promulgation de la loi, de la convergence des régimes de retraites vers un régime universel de retraite. En effet, il conviendrait de préserver les spécificités du système de retraites des artistes-auteurs rémunérés en droits d’auteur.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3384

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Sagesse du Sénat
Adopté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

L’ombre de la réforme d’un système de retraite universel plane toujours au-dessus de cette nouvelle réforme des retraites.

L’uniformisation des régimes de retraites semble destructrice de nombreux acquis sociaux. Cet alignement des régimes sera obligatoirement un nivellement par le bas, privant de millions de salariés de nombreux avantages. Ce casse-tête, en alignant le public sur le privé par exemple, priverait la fonction publique du minimum de retraite garanti et abaisserait leurs pensions en calculant ces dernières sur les 25 meilleures années.

Derrière un discours d’universalité et d’équité entre tous les travailleurs, cette volonté d’uniformiser les régimes vise à détruire notre système de retraite basé sur la solidarité et à faire disparaître les compensations pour les métiers pénibles. Cette réforme suit la logique toujours plus grande d’individualisation du travail, en transformant la retraite comme un droit individuel, et non plus un droit attaché au travail.

Les différents régimes répondent à des pénibilités particulières de métiers. Ils ont été créés pour compenser la difficulté physique de certains emplois. Un régime unique va dans le sens de la volonté du gouvernement de faire reposer la responsabilité de la pénibilité - de l’usure pour le gouvernement - sur les travailleurs et non pas sur les métiers qui seraient pénibles, dans la continuité du compte de pénibilité et de prévention (C2P) à l’échelle individuelle

Un système de retraite universel pour tous les travailleurs serait une régression totale pour les droits des travailleurs derrière un vernis d’équité.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4403 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Sagesse du Sénat
Adopté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise la suppression de l’article 1er bis qui ouvre la porte au retour de la contre-réforme des retraites de 2019 visant la disparition de notre système de retraite par répartition.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4725 rect. bis

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Sagesse du Sénat
Adopté

Mme SCHALCK et MM. KERN, LE RUDULIER, BACCI, TABAROT et BONHOMME


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement a pour objet de supprimer l'article 1er bis dont l'objectif est de prévoir une étude, un an après la promulgation de la loi, de la convergence des régimes de retraite vers un régime universel de retraite. 

Un système universel méconnaitrait en effet les spécificités des régimes autonomes de retraites, notamment celui des avocats. Ces derniers se sont toujours opposés à toute remise en cause de l'autonomie de leur régime de retraite, qui est un régime équilibré et auto financé. Il ne coute rien à l'Etat. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4729 rect. ter

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Sagesse du Sénat
Adopté

Mme EUSTACHE-BRINIO, M. Jean Pierre VOGEL et Mmes ESTROSI SASSONE et JOSEPH


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement a pour objet de supprimer l'article 1 bis dont l'objectif est de prévoir une étude, un an après la promulgation de la loi, de la convergence des régimes de retraites vers un régime universel de retraite.

La mise en place d'un régime universel de retraite méconnaîtrait notamment les spécificités réelles des régimes autonomes de retraites tout comme ceux répondant à des sujétions spécifiques.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4404 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 1ER BIS


Après le mot :

converger

insérer les mots :

par le bas

 

Objet

Amendement rédactionnel de précision.

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4405 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 1ER BIS


Supprimer les mots :

et intégrant les paramètres de la réforme prévue par la présente loi

Objet

Cet amendement vise à s’opposer à l’application de la présente loi.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 759 rect.

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

MM. FAVREAU, CALVET, BONNEAU et BASCHER, Mme BELRHITI, MM. Daniel LAURENT, FRASSA et KLINGER, Mme CANAYER, M. GENET, Mme DUMONT, M. RAPIN et Mme RENAUD-GARABEDIAN


ARTICLE 1ER BIS


Compléter cet article par les mots :

, à l’exception du régime autonome des avocats

Objet

Cet amendement a pour objet de prévoir que le régime autonome des avocats ne sera pas concerné par la possible mise en œuvre d’un système universel de retraite.

Dans le dossier de presse portant sur le projet de loi actuel, il est indiqué que « Les régimes autonomes (professions libérales et avocats) et ceux répondant à des sujétions spécifiques (marins, Opéra de Paris, Comédie Française) ne seront pas concernés par cette fermeture ».



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 806 rect. bis

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

MM. Jean-Baptiste BLANC et CHATILLON, Mmes DELMONT-KOROPOULIS et RAIMOND-PAVERO, MM. TABAROT, ANGLARS, CHAIZE et CAMBON, Mme Valérie BOYER et MM. BURGOA, SAUTAREL et POINTEREAU


ARTICLE 1ER BIS


Compléter cet article par les mots :

, à l’exception du régime autonome des avocats

Objet

Cet amendement vise à préciser, à l'article 1 bis, qu'en tout état de cause, le régime autonome des avocats ne sera pas concerné par cette possible mise en œuvre d'un système universel de retraite, aujourd'hui comme demain.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3108 rect. bis

5 mars 2023


 

AMENDEMENT

de M. RIETMANN

repris par

C Avis du gouvernement
G  
Retiré

Mme BLATRIX CONTAT


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 1ER BIS


Après l’article 1er bis

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

À l’article 14 de la loi n° 91-715 du 26 juillet 1991 portant diverses dispositions relatives à la fonction publique, les mots : « et dans des conditions fixées par décret en Conseil d’État » sont supprimés .

Objet

L’article 14 de la loi n° 91-715 du 26 juillet 1991 portant diverses dispositions relatives à la fonction publique prévoit la prise en compte des allocations d’enseignement dans la constitution et la liquidation du droit à pension de retraite des enseignants.

Ces allocations ne sont toutefois à l'heure actuelle pas comptabilisées pour les droits à la retraite de ces enseignants, car le décret d’application prévu par l’article 14 n’a jamais été publié. 

Le présent amendement vise à concrétiser la comptabilisation des allocations d'enseignement dans la constitution et la liquidation du droit à pension de retraite des enseignants concernés par l'article 14 de la loi de 1991.







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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 287

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. FÉRAUD


ARTICLE 2


Supprimer cet article.

Objet

L’article 2 instaurant un index dit "senior" constitue un cavalier social : il ne relève pas du financement de la sécurité sociale mais d’une loi "travail" en faveur de l’emploi des salariés âgés.

Selon un grand quotidien du soir, ce serait également l’analyse du Conseil d’Etat : celui-ci estimerait "que cette mesure a un effet trop indirect sur les comptes de la "Sécu" pour être intégrée dans un PLFRSS". Tout ceci au conditionnel puisque d’avis public du Conseil d’État il n’est point question, mais seulement d’une note confidentielle !

En outre, un index sans objectif ni sanction du non-respect de l’objectif n’aura aucun effet sur la culture des entreprises qui considèrent les salariés de plus de 55 ans, voire de plus de 50 ans, comme une variable d’ajustement. Les deux tiers des licenciements et des plans sociaux sont en effet subis par ces salariés.

C’est pourquoi cet amendement entend supprimer cet article 2.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 319

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. PLA


ARTICLE 2


Supprimer cet article.

Objet

L’article 2 instaurant un index dit "senior" constitue un cavalier social : il ne relève pas du financement de la sécurité sociale mais d’une loi "travail" en faveur de l’emploi des salariés âgés.
Selon un grand quotidien du soir, ce serait également l’analyse du Conseil d’Etat : celui-ci estimerait "que cette mesure a un effet trop indirect sur les comptes de la "Sécu" pour être intégrée dans un PLFRSS". Tout ceci au conditionnel puisque d’avis public du Conseil d’État il n’est point question, mais seulement d’une note confidentielle !
En outre, un index sans objectif ni sanction du non-respect de l’objectif n’aura aucun effet sur la culture des entreprises qui considèrent les salariés de plus de 55 ans, voire de plus de 50 ans, comme une variable d’ajustement. Les deux tiers des licenciements et des plans sociaux sont en effet subis par ces salariés.
C’est pourquoi cet amendement entend supprimer cet article 2.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 348

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme BRIQUET


ARTICLE 2


Supprimer cet article.

Objet

L’article 2 instaurant un index dit "senior" constitue un cavalier social : il ne relève pas du financement de la sécurité sociale mais d’une loi "travail" en faveur de l’emploi des salariés âgés.
Selon un grand quotidien du soir, ce serait également l’analyse du Conseil d’État : celui-ci estimerait "que cette mesure a un effet trop indirect sur les comptes de la "Sécu" pour être intégrée dans un PLFRSS". Tout ceci au conditionnel puisque d’avis public du Conseil d’État il n’est point question, mais seulement d’une note confidentielle !
En outre, un index sans objectif ni sanction du non-respect de l’objectif n’aura aucun effet sur la culture des entreprises qui considèrent les salariés de plus de 55 ans, voire de plus de 50 ans, comme une variable d’ajustement. Les deux tiers des licenciements et des plans sociaux sont en effet subis par ces salariés.
C’est pourquoi cet amendement entend supprimer cet article 2.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 373

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme FÉRET


ARTICLE 2


Supprimer cet article.

Objet

L’article 2 instaurant un index dit "senior" constitue un cavalier social : il ne relève pas du financement de la Sécurité sociale mais d’une loi "travail" en faveur de l’emploi des salariés âgés.

C'est également l’analyse du Conseil d’Etat : celui-ci estimerait que cette mesure a un effet trop indirect sur les comptes de la Sécurité sociale pour être intégrée dans un PLFRSS. Tout ceci au conditionnel puisque d’avis public du Conseil d’État il n’est point question, mais seulement d’une note confidentielle. 

En outre, un index sans objectif ni sanction du non-respect de l’objectif n’aura aucun effet sur la culture des entreprises qui considèrent souvent les salariés de plus de 55 ans, voire de plus de 50 ans, comme une variable d’ajustement. Les deux tiers des licenciements et des plans sociaux sont en effet subis par ces salariés.

C’est pourquoi cet amendement entend supprimer l'article 2.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 456

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. FICHET


ARTICLE 2


Supprimer cet article.

Objet

L’article 2 instaurant un index dit "senior" constitue un cavalier social : il ne relève pas du financement de la sécurité sociale mais d’une loi "travail" en faveur de l’emploi des salariés âgés.

Selon un grand quotidien du soir, ce serait également l’analyse du Conseil d’État : celui-ci estimerait "que cette mesure a un effet trop indirect sur les comptes de la "Sécu" pour être intégrée dans un PLFRSS". Tout ceci au conditionnel puisque d’avis public du Conseil d’État il n’est point question, mais seulement d’une note confidentielle !

En outre, un index sans objectif ni sanction du non-respect de l’objectif n’aura aucun effet sur la culture des entreprises qui considèrent les salariés de plus de 55 ans, voire de plus de 50 ans, comme une variable d’ajustement. Les deux tiers des licenciements et des plans sociaux sont en effet subis par ces salariés.

C’est pourquoi cet amendement entend supprimer cet article 2.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 511

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. CHANTREL


ARTICLE 2


Supprimer cet article.

Objet

L’article 2 instaurant un index dit "senior" constitue un cavalier social : il ne relève pas du financement de la sécurité sociale mais d’une loi "travail" en faveur de l’emploi des salariés âgés.

Selon un grand quotidien du soir, ce serait également l’analyse du Conseil d’Etat : celui-ci estimerait "que cette mesure a un effet trop indirect sur les comptes de la "Sécu" pour être intégrée dans un PLFRSS". Tout ceci au conditionnel puisque d’avis public du Conseil d’État il n’est point question, mais seulement d’une note confidentielle !

En outre, un index sans objectif ni sanction du non-respect de l’objectif n’aura aucun effet sur la culture des entreprises qui considèrent les salariés de plus de 55 ans, voire de plus de 50 ans, comme une variable d’ajustement. Les deux tiers des licenciements et des plans sociaux sont en effet subis par ces salariés.

C’est pourquoi cet amendement entend supprimer cet article 2.






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N° 525

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. GILLÉ


ARTICLE 2


Supprimer cet article.

Objet

L’article 2 instaurant un index dit "senior" constitue un cavalier social : il ne relève pas du financement de la sécurité sociale mais d’une loi "travail" en faveur de l’emploi des salariés âgés.

Selon un grand quotidien du soir, ce serait également l’analyse du Conseil d’Etat : celui-ci estimerait "que cette mesure a un effet trop indirect sur les comptes de la "Sécu" pour être intégrée dans un PLFRSS". Tout ceci au conditionnel puisque d’avis public du Conseil d’État il n’est point question, mais seulement d’une note confidentielle !

En outre, un index sans objectif ni sanction du non-respect de l’objectif n’aura aucun effet sur la culture des entreprises qui considèrent les salariés de plus de 55 ans, voire de plus de 50 ans, comme une variable d’ajustement. Les deux tiers des licenciements et des plans sociaux sont en effet subis par ces salariés.

C’est pourquoi cet amendement entend supprimer cet article 2






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 574

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme de LA GONTRIE


ARTICLE 2


Supprimer cet article.

Objet

L’article 2 instaurant un index dit "senior" constitue un cavalier social : il ne relève pas du financement de la sécurité sociale mais d’une loi "travail" en faveur de l’emploi des salariés âgés.

Selon un grand quotidien du soir, ce serait également l’analyse du Conseil d’État : celui-ci estimerait "que cette mesure a un effet trop indirect sur les comptes de la "Sécu" pour être intégrée dans un PLFRSS". Tout ceci au conditionnel puisque d’avis public du Conseil d’État il n’est point question, mais seulement d’une note confidentielle !

En outre, un index sans objectif ni sanction du non-respect de l’objectif n’aura aucun effet sur la culture des entreprises qui considèrent les salariés de plus de 55 ans, voire de plus de 50 ans, comme une variable d’ajustement. Les deux tiers des licenciements et des plans sociaux sont en effet subis par ces salariés.

C’est pourquoi cet amendement entend supprimer cet article 2.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 586

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. REDON-SARRAZY


ARTICLE 2


Supprimer cet article.

Objet

L’article 2 instaurant un index dit "senior" constitue un cavalier social : il ne relève pas du financement de la sécurité sociale mais d’une loi "travail" en faveur de l’emploi des salariés âgés.

Selon un grand quotidien du soir, ce serait également l’analyse du Conseil d’Etat : celui-ci estimerait "que cette mesure a un effet trop indirect sur les comptes de la "Sécu" pour être intégrée dans un PLFRSS". Tout ceci au conditionnel puisque d’avis public du Conseil d’État il n’est point question, mais seulement d’une note confidentielle !

En outre, un index sans objectif ni sanction du non-respect de l’objectif n’aura aucun effet sur la culture des entreprises qui considèrent les salariés de plus de 55 ans, voire de plus de 50 ans, comme une variable d’ajustement. Les deux tiers des licenciements et des plans sociaux sont en effet subis par ces salariés.

C’est pourquoi cet amendement entend supprimer cet article 2.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 673

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LE HOUEROU


ARTICLE 2


Supprimer cet article.

Objet

L’article 2 instaurant un index dit "senior" constitue un cavalier social : il ne relève pas du financement de la sécurité sociale mais d’une loi "travail" en faveur de l’emploi des salariés âgés.

Selon un grand quotidien du soir, ce serait également l’analyse du Conseil d’Etat : celui-ci estimerait "que cette mesure a un effet trop indirect sur les comptes de la "Sécu" pour être intégrée dans un PLFRSS". Tout ceci au conditionnel puisque d’avis public du Conseil d’État il n’est point question, mais seulement d’une note confidentielle !

En outre, un index sans objectif ni sanction du non-respect de l’objectif n’aura aucun effet sur la culture des entreprises qui considèrent les salariés de plus de 55 ans, voire de plus de 50 ans, comme une variable d’ajustement. Les deux tiers des licenciements et des plans sociaux sont en effet subis par ces salariés.

C’est pourquoi cet amendement entend supprimer cet article 2.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 702

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme BLATRIX CONTAT


ARTICLE 2


Supprimer cet article.

Objet

L’article 2 instaurant un index dit "senior" constitue un cavalier social : il ne relève pas du financement de la sécurité sociale mais d’une loi "travail" en faveur de l’emploi des salariés âgés.

Selon un grand quotidien du soir, ce serait également l’analyse du Conseil d’Etat : celui-ci estimerait "que cette mesure a un effet trop indirect sur les comptes de la "Sécu" pour être intégrée dans un PLFRSS". Tout ceci au conditionnel puisque d’avis public du Conseil d’État il n’est point question, mais seulement d’une note confidentielle !

En outre, un index sans objectif ni sanction du non-respect de l’objectif n’aura aucun effet sur la culture des entreprises qui considèrent les salariés de plus de 55 ans, voire de plus de 50 ans, comme une variable d’ajustement. Les deux tiers des licenciements et des plans sociaux sont en effet subis par ces salariés.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 733

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. Mickaël VALLET


ARTICLE 2


Supprimer cet article.

Objet

L’article 2 instaurant un index dit "senior" constitue un cavalier social : il ne relève pas du financement de la sécurité sociale mais d’une loi "travail" en faveur de l’emploi des salariés âgés.

Selon un grand quotidien du soir, ce serait également l’analyse du Conseil d’Etat : celui-ci estimerait "que cette mesure a un effet trop indirect sur les comptes de la "Sécu" pour être intégrée dans un PLFRSS". Tout ceci au conditionnel puisque d’avis public du Conseil d’État il n’est point question, mais seulement d’une note confidentielle !

En outre, un index sans objectif ni sanction du non-respect de l’objectif n’aura aucun effet sur la culture des entreprises qui considèrent les salariés de plus de 55 ans, voire de plus de 50 ans, comme une variable d’ajustement. Les deux tiers des licenciements et des plans sociaux sont en effet subis par ces salariés.

C’est pourquoi cet amendement entend supprimer cet article 2.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 815

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. JACQUIN


ARTICLE 2


Supprimer cet article.

Objet

L’article 2 instaurant un index dit "senior" constitue un cavalier social : il ne relève pas du financement de la sécurité sociale mais d’une loi "travail" en faveur de l’emploi des salariés âgés.

Selon un grand quotidien du soir, ce serait également l’analyse du Conseil d’État : celui-ci estimerait "que cette mesure a un effet trop indirect sur les comptes de la "Sécu" pour être intégrée dans un PLFRSS". Tout ceci au conditionnel puisque d’avis public du Conseil d’État il n’est point question, mais seulement d’une note confidentielle !

Le gouvernement confirme ainsi que cette réforme des retraites n'aurait jamais dû passer par un PLFSSR. Ce n'est que de la petite manœuvre politique.

En outre, un index sans objectif ni sanction du non-respect de l’objectif n’aura aucun effet sur la culture des entreprises qui considèrent les salariés de plus de 55 ans, voire de plus de 50 ans, comme une variable d’ajustement. Les deux tiers des licenciements et des plans sociaux sont en effet subis par ces salariés.

C’est pourquoi cet amendement entend de nouveau supprimer cet article 2 et confirmer ainsi le vote de l'Assemblée nationale il y a quelques jours.

Le fait que le gouvernement, par le truchement de la procédure de l'article 47-1 de la Constitution, présente cet article devant le Sénat est une nouvelle preuve du peu de considération qu'il donne à la représentation nationale.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 828

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. LOZACH


ARTICLE 2


Supprimer cet article.

Objet

L’article 2 instaurant un index dit "senior" constitue un cavalier social : il ne relève pas du financement de la sécurité sociale mais d’une loi "travail" en faveur de l’emploi des salariés âgés.

Selon un grand quotidien du soir, ce serait également l’analyse du Conseil d’Etat : celui-ci estimerait "que cette mesure a un effet trop indirect sur les comptes de la "Sécu" pour être intégrée dans un PLFRSS". Tout ceci au conditionnel puisque d’avis public du Conseil d’État il n’est point question, mais seulement d’une note confidentielle !

En outre, un index sans objectif ni sanction du non-respect de l’objectif n’aura aucun effet sur la culture des entreprises qui considèrent les salariés de plus de 55 ans, voire de plus de 50 ans, comme une variable d’ajustement. Les deux tiers des licenciements et des plans sociaux sont en effet subis par ces salariés.

C’est pourquoi cet amendement entend supprimer cet article 2.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 868

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. DURAIN


ARTICLE 2


Supprimer cet article.

Objet

L’article 2 instaurant un index dit "senior" constitue un cavalier social : il ne relève pas du financement de la sécurité sociale mais d’une loi "travail" en faveur de l’emploi des salariés âgés.

Selon un grand quotidien du soir, ce serait également l’analyse du Conseil d’Etat : celui-ci estimerait "que cette mesure a un effet trop indirect sur les comptes de la "Sécu" pour être intégrée dans un PLFRSS". Tout ceci au conditionnel puisque d’avis public du Conseil d’État il n’est point question, mais seulement d’une note confidentielle !

En outre, un index sans objectif ni sanction du non-respect de l’objectif n’aura aucun effet sur la culture des entreprises qui considèrent les salariés de plus de 55 ans, voire de plus de 50 ans, comme une variable d’ajustement. Les deux tiers des licenciements et des plans sociaux sont en effet subis par ces salariés.

C’est pourquoi cet amendement entend supprimer cet article 2.








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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 903

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. LUREL


ARTICLE 2


Supprimer cet article.

Objet

L’article 2 instaurant un index dit "senior" constitue un cavalier social : il ne relève pas du financement de la sécurité sociale mais d’une loi "travail" en faveur de l’emploi des salariés âgés.

Selon un grand quotidien du soir, ce serait également l’analyse du Conseil d’Etat : celui-ci estimerait "que cette mesure a un effet trop indirect sur les comptes de la "Sécu" pour être intégrée dans un PLFRSS". Tout ceci au conditionnel puisque d’avis public du Conseil d’État il n’est point question, mais seulement d’une note confidentielle !

En outre, un index sans objectif ni sanction du non-respect de l’objectif n’aura aucun effet sur la culture des entreprises qui considèrent les salariés de plus de 55 ans, voire de plus de 50 ans, comme une variable d’ajustement. Les deux tiers des licenciements et des plans sociaux sont en effet subis par ces salariés.

C’est pourquoi cet amendement entend supprimer cet article 2.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 931

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme ARTIGALAS


ARTICLE 2


Supprimer cet article.

Objet

L’article 2 instaurant un index dit "senior" constitue un cavalier social : il ne relève pas du financement de la sécurité sociale mais d’une loi "travail" en faveur de l’emploi des salariés âgés.

Selon un grand quotidien du soir, ce serait également l’analyse du Conseil d’Etat : celui-ci estimerait "que cette mesure a un effet trop indirect sur les comptes de la "Sécu" pour être intégrée dans un PLFRSS". Tout ceci au conditionnel puisque d’avis public du Conseil d’État il n’est point question, mais seulement d’une note confidentielle !

En outre, un index sans objectif ni sanction du non-respect de l’objectif n’aura aucun effet sur la culture des entreprises qui considèrent les salariés de plus de 55 ans, voire de plus de 50 ans, comme une variable d’ajustement. Les deux tiers des licenciements et des plans sociaux sont en effet subis par ces salariés.

C’est pourquoi cet amendement entend supprimer cet article 2.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 948

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. CARDON


ARTICLE 2


Supprimer cet article.

Objet

L’article 2 instaurant un index dit "senior" constitue un cavalier social : il ne relève pas du financement de la sécurité sociale mais d’une loi "travail" en faveur de l’emploi des salariés âgés.
Selon un grand quotidien du soir, ce serait également l’analyse du Conseil d’Etat : celui-ci estimerait "que cette mesure a un effet trop indirect sur les comptes de la "Sécu" pour être intégrée dans un PLFRSS". Tout ceci au conditionnel puisque d’avis public du Conseil d’État il n’est point question, mais seulement d’une note confidentielle !
En outre, un index sans objectif ni sanction du non-respect de l’objectif n’aura aucun effet sur la culture des entreprises qui considèrent les salariés de plus de 55 ans, voire de plus de 50 ans, comme une variable d’ajustement. Les deux tiers des licenciements et des plans sociaux sont en effet subis par ces salariés.
C’est pourquoi cet amendement entend supprimer cet article 2.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 986

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. RAYNAL


ARTICLE 2


Supprimer cet article.

Objet

L’article 2 instaurant un index dit "senior" constitue un cavalier social : il ne relève pas du financement de la sécurité sociale mais d’une loi "travail" en faveur de l’emploi des salariés âgés.

Selon un grand quotidien du soir, ce serait également l’analyse du Conseil d’Etat : celui-ci estimerait "que cette mesure a un effet trop indirect sur les comptes de la "Sécu" pour être intégrée dans un PLFRSS". Tout ceci au conditionnel puisque d’avis public du Conseil d’État il n’est point question, mais seulement d’une note confidentielle !

En outre, un index sans objectif ni sanction du non-respect de l’objectif n’aura aucun effet sur la culture des entreprises qui considèrent les salariés de plus de 55 ans, voire de plus de 50 ans, comme une variable d’ajustement. Les deux tiers des licenciements et des plans sociaux sont en effet subis par ces salariés.

C’est pourquoi cet amendement entend supprimer cet article 2.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1021

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. STANZIONE


ARTICLE 2


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’article 2 qui en instituant un index dit "senior" constitue un cavalier social : il ne relève pas du financement de la sécurité sociale mais d’une loi "travail" en faveur de l’emploi des salariés âgés.

De surcroît, un index sans objectif ni sanction du non-respect de l’objectif, n’aura aucun effet sur la culture des entreprises qui considèrent les salariés de plus de 55 ans, voire de plus de 50 ans, comme une variable d’ajustement. Les deux tiers des licenciements et des plans sociaux sont en effet subis par ces salariés.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1034

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme Gisèle JOURDA


ARTICLE 2


Supprimer cet article.

Objet

L’article 2 instaurant un index dit "senior" constitue un cavalier social : il ne relève pas du financement de la sécurité sociale mais d’une loi "travail" en faveur de l’emploi des salariés âgés.

Selon un grand quotidien du soir, ce serait également l’analyse du Conseil d’Etat : celui-ci estimerait "que cette mesure a un effet trop indirect sur les comptes de la "Sécu" pour être intégrée dans un PLFRSS". Tout ceci au conditionnel puisque d’avis public du Conseil d’État il n’est point question, mais seulement d’une note confidentielle !

En outre, un index sans objectif ni sanction du non-respect de l’objectif n’aura aucun effet sur la culture des entreprises qui considèrent les salariés de plus de 55 ans, voire de plus de 50 ans, comme une variable d’ajustement. Les deux tiers des licenciements et des plans sociaux sont en effet subis par ces salariés.

C’est pourquoi cet amendement vise à supprimer cet article 2.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1067

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. HOULLEGATTE


ARTICLE 2


Supprimer cet article.

Objet

L’article 2 instaurant un index dit "senior" constitue un cavalier social : il ne relève pas du financement de la sécurité sociale mais d’une loi "travail" en faveur de l’emploi des salariés âgés.
Selon un grand quotidien du soir, ce serait également l’analyse du Conseil d’Etat : celui-ci estimerait "que cette mesure a un effet trop indirect sur les comptes de la "Sécu" pour être intégrée dans un PLFRSS". Tout ceci au conditionnel puisque d’avis public du Conseil d’État il n’est point question, mais seulement d’une note confidentielle !
En outre, un index sans objectif ni sanction du non-respect de l’objectif n’aura aucun effet sur la culture des entreprises qui considèrent les salariés de plus de 55 ans, voire de plus de 50 ans, comme une variable d’ajustement. Les deux tiers des licenciements et des plans sociaux sont en effet subis par ces salariés.
C’est pourquoi cet amendement entend supprimer cet article 2.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1103

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. ÉBLÉ


ARTICLE 2


Supprimer cet article.

Objet

L’article 2 instaurant un index dit "senior" constitue un cavalier social : il ne relève pas du financement de la sécurité sociale mais d’une loi "travail" en faveur de l’emploi des salariés âgés.

Selon un grand quotidien du soir, ce serait également l’analyse du Conseil d’Etat : celui-ci estimerait "que cette mesure a un effet trop indirect sur les comptes de la "Sécu" pour être intégrée dans un PLFRSS". Tout ceci au conditionnel puisque d’avis public du Conseil d’État il n’est point question, mais seulement d’une note confidentielle !

En outre, un index sans objectif ni sanction du non-respect de l’objectif n’aura aucun effet sur la culture des entreprises qui considèrent les salariés de plus de 55 ans, voire de plus de 50 ans, comme une variable d’ajustement. Les deux tiers des licenciements et des plans sociaux sont en effet subis par ces salariés.

C’est pourquoi cet amendement entend supprimer cet article 2.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1168 rect. bis

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN


ARTICLE 2


Supprimer cet article.

Objet

L'article 2 instaurant un index dit "senior" constitue un cavalier social : il ne relève pas du financement de la sécurité sociale mais d'une loi  "travail"en faveur de l'emploi des salariés âgés.

Selon un grand quotidien du soir, ce serait également l’analyse du Conseil d'Etat : celui-ci estimerait "que cette mesure a un effet trop indirect sur les comptes de la "Sécu" pour être intégrée dans un PLFRSS". Tout ceci au conditionnel puisque d'avis public du Conseil d’État il n'est point question, mais seulement d'une note confidentielle !

En outre, un index sans objectif ni sanction du non-respect de l'objectif n'aura aucun effet sur la culture des entreprises qui considèrent les salariés de plus de 55 ans, voire de plus de 50 ans, comme une variable d'ajustement. Les deux tiers des licenciements et des plans sociaux sont en effet subis par ces salariés.

C'est pourquoi cet amendement entend supprimer cet article 2.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1212

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. MÉRILLOU


ARTICLE 2


Supprimer cet article.

Objet

L’article 2 instaurant un index dit "senior" constitue un cavalier social : il ne relève pas du financement de la sécurité sociale mais d’une loi "travail" en faveur de l’emploi des salariés âgés.

Selon un grand quotidien du soir, ce serait également l’analyse du Conseil d’Etat : celui-ci estimerait "que cette mesure a un effet trop indirect sur les comptes de la "Sécu" pour être intégrée dans un PLFRSS". Tout ceci au conditionnel puisque d’avis public du Conseil d’État il n’est point question, mais seulement d’une note confidentielle !

En outre, un index sans objectif ni sanction du non-respect de l’objectif n’aura aucun effet sur la culture des entreprises qui considèrent les salariés de plus de 55 ans, voire de plus de 50 ans, comme une variable d’ajustement. Les deux tiers des licenciements et des plans sociaux sont en effet subis par ces salariés.

C’est pourquoi cet amendement entend supprimer cet article 2.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1242

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme JASMIN


ARTICLE 2


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article.

En effet, la mise en place d’un index seniors dans les entreprises, avait déjà été rejetée par l’Assemblée nationale car elle n’est assortie d’aucune obligation autre que celle de rendre l’index public. Elle n’aura aucun effet concret sur les conditions d’emploi des salariés âgés.

Alors que les chiffres sont explicites. Environ 40% des personnes qui ne sont pas à la retraite à 62 ans ne travaillent déjà pas.

Le taux de pauvreté des seniors ni en emploi ni en retraite est de 32% contre 7% pour les autres tandis que les seniors sont particulièrement touchés par le chômage de longue durée : il y a 60% de chômeurs de longue durée chez les chômeurs de plus de 60 ans, contre 42% pour l’ensemble de la population.

De plus, cette réforme va évidemment plonger de nouvelles personnes dans la précarité : le recul de l’âge légal de départ à 62 ans a déjà augmenté de 16 points le taux de personnes ni en emploi ni en retraite de 60 et 61 ans.

Le maintien des salariés âgés en emploi est donc fondamental.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1285

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. MONTAUGÉ


ARTICLE 2


Supprimer cet article.

Objet

L’article 2 instaurant un index dit "senior" constitue un cavalier social : il ne relève pas du financement de la sécurité sociale mais d’une loi "travail" en faveur de l’emploi des salariés âgés.

Selon un grand quotidien du soir, ce serait également l’analyse du Conseil d’Etat : celui-ci estimerait "que cette mesure a un effet trop indirect sur les comptes de la "Sécu" pour être intégrée dans un PLFRSS". Tout ceci au conditionnel puisque d’avis public du Conseil d’État il n’est point question, mais seulement d’une note confidentielle !

En outre, un index sans objectif ni sanction du non-respect de l’objectif n’aura aucun effet sur la culture des entreprises qui considèrent les salariés de plus de 55 ans, voire de plus de 50 ans, comme une variable d’ajustement. Les deux tiers des licenciements et des plans sociaux sont en effet subis par ces salariés.

C’est pourquoi cet amendement entend supprimer cet article 2.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1321

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme PRÉVILLE


ARTICLE 2


Supprimer cet article.

Objet

L’article 2 instaurant un index dit "senior" constitue un cavalier social : il ne relève pas du financement de la sécurité sociale mais d’une loi "travail" en faveur de l’emploi des salariés âgés.

Selon un grand quotidien du soir, ce serait également l’analyse du Conseil d’Etat : celui-ci estimerait "que cette mesure a un effet trop indirect sur les comptes de la "Sécu" pour être intégrée dans un PLFRSS". Tout ceci au conditionnel puisque d’avis public du Conseil d’État il n’est point question, mais seulement d’une note confidentielle !

En outre, un index sans objectif ni sanction du non-respect de l’objectif n’aura aucun effet sur la culture des entreprises qui considèrent les salariés de plus de 55 ans, voire de plus de 50 ans, comme une variable d’ajustement. Les deux tiers des licenciements et des plans sociaux sont en effet subis par ces salariés.

C’est pourquoi cet amendement entend supprimer cet article 2.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1345

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. MARIE


ARTICLE 2


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’article 2 qui instaure un index dit "senior" et constitue un cavalier social. Il ne relève pas du financement de la sécurité sociale mais d’une loi "travail" en faveur de l’emploi des salariés âgés.

Selon un grand quotidien du soir, ce serait également l’analyse du Conseil d’Etat : celui-ci estimerait "que cette mesure a un effet trop indirect sur les comptes de la "Sécu" pour être intégrée dans un PLFRSS". Tout ceci au conditionnel puisque d’avis public du Conseil d’État il n’est point question, mais seulement d’une note confidentielle !

En outre, un index sans objectif ni sanction du non-respect de l’objectif n’aura aucun effet sur la culture des entreprises qui considèrent les salariés de plus de 55 ans, voire de plus de 50 ans, comme une variable d’ajustement. Les deux tiers des licenciements et des plans sociaux sont en effet subis par ces salariés.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1378

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. BOURGI


ARTICLE 2


Supprimer cet article.

Objet

L’article 2 instaurant un index dit "senior" constitue un cavalier social : il ne relève pas du financement de la sécurité sociale mais d’une loi "travail" en faveur de l’emploi des salariés âgés.

Selon un grand quotidien du soir, ce serait également l’analyse du Conseil d’Etat : celui-ci estimerait "que cette mesure a un effet trop indirect sur les comptes de la "Sécu" pour être intégrée dans un PLFRSS". Tout ceci au conditionnel puisque d’avis public du Conseil d’État il n’est point question, mais seulement d’une note confidentielle !

En outre, un index sans objectif ni sanction du non-respect de l’objectif n’aura aucun effet sur la culture des entreprises qui considèrent les salariés de plus de 55 ans, voire de plus de 50 ans, comme une variable d’ajustement. Les deux tiers des licenciements et des plans sociaux sont en effet subis par ces salariés.

C’est pourquoi cet amendement entend supprimer cet article 2.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1411

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. SUEUR


ARTICLE 2


Supprimer cet article.

Objet

L’article 2 instaurant un index dit "senior" constitue un cavalier social : il ne relève pas du financement de la sécurité sociale mais d’une loi "travail" en faveur de l’emploi des salariés âgés.

Selon le journal Le Monde, ce serait également l’analyse du Conseil d’Etat : celui-ci estimerait dans une note "que cette mesure a un effet trop indirect sur les comptes de la "Sécu" pour être intégrée dans un PLFRSS". Tout ceci au conditionnel puisque d’avis public du Conseil d’État il n’est point question, mais seulement d’une note confidentielle !

En outre, un index sans objectif ni sanction du non-respect de l’objectif n’aura aucun effet sur la culture des entreprises qui considèrent les salariés de plus de 55 ans, voire de plus de 50 ans, comme une variable d’ajustement. Les deux tiers des licenciements et des plans sociaux sont en effet subis par ces salariés.

C’est pourquoi cet amendement entend supprimer cet article 2.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1441

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. KERROUCHE


ARTICLE 2


Supprimer cet article.

Objet

L’article 2 instaurant un index dit "senior" constitue un cavalier social : il ne relève pas du financement de la sécurité sociale mais d’une loi "travail" en faveur de l’emploi des salariés âgés.

Selon un grand quotidien du soir, ce serait également l’analyse du Conseil d’État : celui-ci estimerait "que cette mesure a un effet trop indirect sur les comptes de la "Sécu" pour être intégrée dans un PLFRSS". Tout ceci au conditionnel puisque d’avis public du Conseil d’État il n’est point question, mais seulement d’une note confidentielle !

En outre, un index sans objectif ni sanction du non-respect de l’objectif n’aura aucun effet sur la culture des entreprises qui considèrent les salariés de plus de 55 ans, voire de plus de 50 ans, comme une variable d’ajustement. Les deux tiers des licenciements et des plans sociaux sont en effet subis par ces salariés.

C’est pourquoi cet amendement entend supprimer cet article 2.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1509

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme Martine FILLEUL


ARTICLE 2


Supprimer cet article.

Objet

L’article 2 instaurant un index dit "senior" constitue un cavalier social : il ne relève pas du financement de la sécurité sociale mais d’une loi "travail" en faveur de l’emploi des salariés âgés.

Selon un grand quotidien du soir, ce serait également l’analyse du Conseil d’Etat : celui-ci estimerait "que cette mesure a un effet trop indirect sur les comptes de la "Sécu" pour être intégrée dans un PLFRSS". Tout ceci au conditionnel puisque d’avis public du Conseil d’État il n’est point question, mais seulement d’une note confidentielle !

En outre, un index sans objectif ni sanction du non-respect de l’objectif n’aura aucun effet sur la culture des entreprises qui considèrent les salariés de plus de 55 ans, voire de plus de 50 ans, comme une variable d’ajustement. Les deux tiers des licenciements et des plans sociaux sont en effet subis par ces salariés.

C’est pourquoi cet amendement entend supprimer cet article 2.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1597

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. Joël BIGOT


ARTICLE 2


Supprimer cet article.

Objet

L’article 2 instaurant un index dit "senior" constitue un cavalier social : il ne relève pas du financement de la sécurité sociale mais d’une loi "travail" en faveur de l’emploi des salariés âgés.


Selon un grand quotidien du soir, ce serait également l’analyse du Conseil d’Etat encore confidentielle. En outre, un index sans objectif ni sanction du non-respect de l’objectif n’aura aucun effet sur la culture des entreprises qui considèrent les salariés de plus de 55 ans, voire de plus de 50 ans, comme une variable d’ajustement. Les deux tiers des licenciements et des plans sociaux sont en effet subis par ces salariés.

C’est pourquoi cet amendement entend supprimer cet article 2.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1627

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme POUMIROL


ARTICLE 2


Supprimer cet article.

Objet

L’article 2 instaurant un index dit "senior" constitue un cavalier social : il ne relève pas du financement de la sécurité sociale mais d’une loi "travail" en faveur de l’emploi des salariés âgés.

Selon un grand quotidien du soir, ce serait également l’analyse du Conseil d’Etat : celui-ci estimerait "que cette mesure a un effet trop indirect sur les comptes de la "Sécu" pour être intégrée dans un PLFRSS". Tout ceci au conditionnel puisque d’avis public du Conseil d’État il n’est point question, mais seulement d’une note confidentielle !

En outre, un index sans objectif ni sanction du non-respect de l’objectif n’aura aucun effet sur la culture des entreprises qui considèrent les salariés de plus de 55 ans, voire de plus de 50 ans, comme une variable d’ajustement. Les deux tiers des licenciements et des plans sociaux sont en effet subis par ces salariés.

C’est pourquoi cet amendement entend supprimer cet article 2.

 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1657

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme MEUNIER


ARTICLE 2


Supprimer cet article.

Objet

L’article 2 instaurant un index dit "senior" constitue un cavalier social : il ne relève pas du financement de la sécurité sociale mais d’une loi "travail" en faveur de l’emploi des salariés âgés.

Selon un grand quotidien du soir, ce serait également l’analyse du Conseil d’État : celui-ci estimerait « que cette mesure a un effet trop indirect sur les comptes de la "Sécu" pour être intégrée dans un PLFRSS ». Tout ceci au conditionnel puisque d’avis public du Conseil d’État il n’est point question, mais seulement d’une note confidentielle !

En outre, un index sans objectif ni sanction du non-respect de l’objectif n’aura aucun effet sur la culture des entreprises qui considèrent les salariés de plus de 55 ans, voire de plus de 50 ans, comme une variable d’ajustement. Les deux tiers des licenciements et des plans sociaux sont en effet subis par ces salariés.

Pour la mise en place de cet index sénior, le gouvernement est bien mal inspiré de prendre pour exemple l'index sur l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes. Sa mise en place en 2018 n'a pas fait évoluer l'écart salarial, et pour cause, la plupart des grandes entreprises échappent aux sanctions en raison de critères trop peu ambitieux.

C’est pourquoi cet amendement entend supprimer cet article 2.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1666

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme BONNEFOY


ARTICLE 2


Supprimer cet article.

Objet

L’article 2 instaurant un index dit "senior" constitue un cavalier social : il ne relève pas du financement de la sécurité sociale mais d’une loi "travail" en faveur de l’emploi des salariés âgés.

Selon un grand quotidien du soir, ce serait également l’analyse du Conseil d’Etat encore confidentielle. En outre, un index sans objectif ni sanction du non-respect de l’objectif n’aura aucun effet sur la culture des entreprises qui considèrent les salariés de plus de 55 ans, voire de plus de 50 ans, comme une variable d’ajustement. Les deux tiers des licenciements et des plans sociaux sont en effet subis par ces salariés.

C’est pourquoi cet amendement entend supprimer cet article 2.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1698

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. LECONTE


ARTICLE 2


Supprimer cet article.

Objet

L’article 2 instaurant un index dit "senior" constitue un cavalier social : il ne relève pas du financement de la sécurité sociale mais d’une loi "travail" en faveur de l’emploi des salariés âgés.


Selon un grand quotidien du soir, ce serait également l’analyse du Conseil d’Etat : celui-ci estimerait "que cette mesure a un effet trop indirect sur les comptes de la "Sécu" pour être intégrée dans un PLFRSS". Tout ceci au conditionnel puisque d’avis public du Conseil d’État il n’est point question, mais seulement d’une note confidentielle !


En outre, un index sans objectif ni sanction du non-respect de l’objectif n’aura aucun effet sur la culture des entreprises qui considèrent les salariés de plus de 55 ans, voire de plus de 50 ans, comme une variable d’ajustement. Les deux tiers des licenciements et des plans sociaux sont en effet subis par ces salariés.

C’est pourquoi cet amendement entend supprimer cet article 2.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1754

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. TODESCHINI


ARTICLE 2


Supprimer cet article.

Objet

L’article 2 instaurant un index dit "senior" constitue un cavalier social : il ne relève pas du financement de la sécurité sociale mais d’une loi "travail" en faveur de l’emploi des salariés âgés.


Selon un grand quotidien du soir, ce serait également l’analyse du Conseil d’Etat : celui-ci estimerait "que cette mesure a un effet trop indirect sur les comptes de la "Sécu" pour être intégrée dans un PLFRSS". Tout ceci au conditionnel puisque d’avis public du Conseil d’État il n’est point question, mais seulement d’une note confidentielle !

En outre, un index sans objectif ni sanction du non-respect de l’objectif n’aura aucun effet sur la culture des entreprises qui considèrent les salariés de plus de 55 ans, voire de plus de 50 ans, comme une variable d’ajustement. Les deux tiers des licenciements et des plans sociaux sont en effet subis par ces salariés.

C’est pourquoi cet amendement entend supprimer cet article 2.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1796

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. JOMIER


ARTICLE 2


Supprimer cet article.

Objet

L’article 2 instaurant un index dit "senior" constitue un cavalier social : il ne relève pas du financement de la sécurité sociale mais d’une loi "travail" en faveur de l’emploi des salariés âgés - qui devrait mobiliser toute notre énergie.

Selon un grand quotidien du soir, ce serait également l’analyse du Conseil d’Etat : celui-ci estimerait "que cette mesure a un effet trop indirect sur les comptes de la "Sécu" pour être intégrée dans un PLFRSS". Tout ceci au conditionnel puisque d’avis public du Conseil d’État il n’est point question, mais seulement d’une note confidentielle.

En outre, un index sans objectif ni sanction du non-respect de l’objectif n’aura aucun effet sur la culture des entreprises qui considèrent les salariés de plus de 55 ans, voire de plus de 50 ans, comme une variable d’ajustement. Les deux tiers des licenciements et des plans sociaux sont en effet subis par ces salariés.

C’est pourquoi cet amendement entend supprimer cet article 2.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1824

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. KANNER


ARTICLE 2


Supprimer cet article.

Objet

L’article 2 instaurant un index dit "senior" constitue un cavalier social : il ne relève pas du financement de la sécurité sociale mais d’une loi "travail" en faveur de l’emploi des salariés âgés.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1851

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. ASSOULINE


ARTICLE 2


Supprimer cet article.

Objet

L’article 2 instaurant un index dit "senior" constitue un cavalier social : il ne relève pas du financement de la sécurité sociale mais d’une loi "travail" en faveur de l’emploi des salariés âgés.

Selon un grand quotidien du soir, ce serait également l’analyse du Conseil d’Etat : celui-ci estimerait "que cette mesure a un effet trop indirect sur les comptes de la "Sécu" pour être intégrée dans un PLFRSS". Tout ceci au conditionnel puisque d’avis public du Conseil d’État il n’est point question, mais seulement d’une note confidentielle !

En outre, un index sans objectif ni sanction du non-respect de l’objectif n’aura aucun effet sur la culture des entreprises qui considèrent les salariés de plus de 55 ans, voire de plus de 50 ans, comme une variable d’ajustement. Les deux tiers des licenciements et des plans sociaux sont en effet subis par ces salariés.

C’est pourquoi cet amendement entend supprimer cet article 2.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1869

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. COZIC


ARTICLE 2


Supprimer cet article.

Objet

Si cet index est bienvenu, notamment pour lutter contre les discriminations que vivent les travailleurs séniors, le Gouvernement fixe ici une obligation de publication d’indicateurs aux entreprises, et non une obligation de résultats.

De plus cet article instaurant un index dit "senior" constitue un cavalier social en ce qu'il ne relève pas du financement de la sécurité sociale mais d’une loi "travail" en faveur de l’emploi des salariés âgés.

En l’état du texte, cette obligation ne serait applicable à terme qu’aux entreprises de plus de 300 salariés, soit seulement 1 actif sur 5.

Cette obligation risque par ailleurs de ne pas enrichir les données déjà publiées dans le bilan social défini à l’article R. 2312-8 du code du travail, et notamment l’évolution des effectifs par âge.

Pour toutes ces raisons, cet index seniors risque donc d’être inefficace dans l’amélioration de l’emploi des séniors, c'est pour cela que le présent amendement entend supprimer l'article 2.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1900

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. Patrice JOLY


ARTICLE 2


Supprimer cet article.

Objet

L’article 2 instaurant un index dit "senior" constitue un cavalier social : il ne relève pas du financement de la sécurité sociale mais d’une loi "travail" en faveur de l’emploi des salariés âgés.

Actuellement, à peine 60 % des seniors passent directement de l’emploi à la retraite. A 61 ans, un travailleur sur deux ne travaille plus ; à 62 ans, le taux monte à 58 %. Certains sont en invalidité ou en congé maladie, mais la plupart d’entre eux ont été licenciés et subissent un sas de précarité – le chômage, le RSA – avant de toucher leur pension. Selon l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), cette réforme aggravera encore la situation en créant mécaniquement, d’ici à dix ans, 277 000 chômeurs de plus, auxquels s’ajouteront 400 000 personnes supplémentaires arrêtées après avoir contracté une maladie professionnelle et 110 000 nouveaux bénéficiaires des minima sociaux.

En Italie et en Allemagne – parmi d’autres exemples –, le recul de l’âge légal de départ à la retraite a eu pour effet d’augmenter le chômage des seniors. Les chiffres montrent que partout où cet âge recule, le chômage augmente, donc le niveau des pensions baisse

En outre, un index sans objectif ni sanction du non-respect de l’objectif n’aura aucun effet sur la culture des entreprises qui considèrent les salariés de plus de 55 ans, voire de plus de 50 ans, comme une variable d’ajustement. Les deux tiers des licenciements et des plans sociaux sont en effet subis par ces salariés.

A titre d’exemple, le groupe Michelin,  a bénéficié d’exonérations de cotisations sociales et d’aides publiques pour lutter contre le chômage. Ce groupe a pourtant licencié plus de 1 000 salariés l’an dernier. Airbus et TotalEnergies ont placé respectivement 1 500 et 1 000 salariés en préretraite.

Alors que 65 % des personnes âgées de 44 à 55 ans à la recherche d’un emploi n’ont pas été sollicitées depuis au moins six mois – contre 26 % pour les 18-34 ans –, cet amendement entend donc supprimer cet article 2 qui ne permettra pas d’atteindre le but  affiché par le Gouvernement. Il s’agit d’une simple mesure de façade, qui n’est assortie d’aucune sanction en cas de manquement.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1997

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme ROSSIGNOL


ARTICLE 2


Supprimer cet article.

Objet

L’article 2 instaurant un index dit "senior" constitue un cavalier social : il ne relève pas du financement de la sécurité sociale mais d’une loi "travail" en faveur de l’emploi des salariés âgés.

Selon un grand quotidien du soir, ce serait également l’analyse du Conseil d’Etat : celui-ci estimerait "que cette mesure a un effet trop indirect sur les comptes de la "Sécu" pour être intégrée dans un PLFRSS". Tout ceci au conditionnel puisque d’avis public du Conseil d’État il n’est point question, mais seulement d’une note confidentielle !

En outre, un index sans objectif ni sanction du non-respect de l’objectif n’aura aucun effet sur la culture des entreprises qui considèrent les salariés de plus de 55 ans, voire de plus de 50 ans, comme une variable d’ajustement. Les deux tiers des licenciements et des plans sociaux sont en effet subis par ces salariés.

C’est pourquoi cet amendement entend supprimer cet article 2.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2076

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. JEANSANNETAS


ARTICLE 2


Supprimer cet article.

Objet

L’article 2 instaurant un index dit "senior" constitue un cavalier social : il ne relève pas du financement de la sécurité sociale mais d’une loi "travail" en faveur de l’emploi des salariés âgés.

Selon un grand quotidien du soir, ce serait également l’analyse du Conseil d’Etat : celui-ci estimerait "que cette mesure a un effet trop indirect sur les comptes de la "Sécu" pour être intégrée dans un PLFRSS". Tout ceci au conditionnel puisque d’avis public du Conseil d’État il n’est point question, mais seulement d’une note confidentielle !

En outre, un index sans objectif ni sanction du non-respect de l’objectif n’aura aucun effet sur la culture des entreprises qui considèrent les salariés de plus de 55 ans, voire de plus de 50 ans, comme une variable d’ajustement. Les deux tiers des licenciements et des plans sociaux sont en effet subis par ces salariés.

C’est pourquoi cet amendement entend supprimer cet article 2.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2264

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme ESPAGNAC


ARTICLE 2


Supprimer cet article.

Objet

L’article 2 instaurant un index dit "senior" constitue un cavalier social : il ne relève pas du financement de la sécurité sociale mais d’une loi "travail" en faveur de l’emploi des salariés âgés.

Selon le journal Le Monde, ce serait également l’analyse du Conseil d’Etat : celui-ci estimerait dans une note "que cette mesure a un effet trop indirect sur les comptes de la "Sécu" pour être intégrée dans un PLFRSS". Tout ceci au conditionnel puisque d’avis public du Conseil d’État il n’est point question, mais seulement d’une note confidentielle !

En outre, un index sans objectif ni sanction du non-respect de l’objectif n’aura aucun effet sur la culture des entreprises qui considèrent les salariés de plus de 55 ans, voire de plus de 50 ans, comme une variable d’ajustement. Les deux tiers des licenciements et des plans sociaux sont en effet subis par ces salariés.

C’est pourquoi cet amendement entend supprimer cet article 2.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3170

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


Supprimer cet article.

Objet

L'article 2 prévoit que toutes les entreprises de plus de 50 salariés auront l’obligation, d’ici à juillet 2024, de publier des indicateurs relatifs à leur taux d’emploi de salariés de plus de 55 ans. Le présent amendement vise à supprimer ce dispositif uniquement déclaratif qui n'incitera aucunement les entreprises à employer plus de salariés plus âgés ou à cesser de les discriminer dans l’accès à la formation notamment ou de les licencier.

Les salariés âgés de 50 ans et plus sont dans leur grande majorité aujourd’hui victimes de discrimination et se trouvent de fait marginalisé sur le marché du travail. Ces derniers sont perçus, dès 45 ans, comme moins agiles, moins à l’aise avec le numérique, présentant un plus grand risque de maladie ou d’arrêt de travail.

Le taux d’emploi des 55-64 ans est en France en deçà de la moyenne européenne. Rien dans l'étude d'impact présentée par le gouvernement ne permet de penser que l'index permettrait - ne serait-ce qu'un peu - d'améliorer ce taux d'emploi pour ce qui est des 61 et 62 ans.

En 2021, moins de la moitié des 61 ans sont en emploi et un quart ne sont ni en retraite (ou en préretraite) ni en emploi. À 61 ans, 45,7 % des personnes seulement ont un emploi (dont 3,5 % cumulant la retraite), et à 62 ans, c’est seulement 32,8 % des personnes qui ont un emploi (dont 4,5 % cumulant la retraite).

30 % de ces « ni en emplois ni en retraite » sont sous le seuil de pauvreté.

Et ce, avec de fortes inégalités de catégories socio-professionnelle ou de genre puisque toujours à 61 ans, 35 % des ouvriers ne sont ni en emploi, ni en retraite (contre 13 % chez les cadres) et 33 % des femmes.

La majorité sont en situation d'invalidité, de chômage de ASS, de RSA, d’inactivité – hors retraite - ou sans aucune ressource et dans une grande précarité.

Le recul de l’âge de la retraite ne fera qu'accentuer cet effet, et rendra encore plus difficile la vie des seniors précaires, sans emploi, qui verront s’allonger ce sas de précarité.

L’emploi des séniors est donc un problème majeur (11 % des nouveaux retraités étaient au chômage l’année précédant leur retraite), mais l’index proposé est inutile car il n’est aucunement contraignant pour les entreprises pourtant en grande partie responsable du faible emploi des seniors. L’index d’égalité professionnelle a par ailleurs montré son faible impact pour répondre au problème structurel d’inégalité salariale entre les femmes et les hommes alors qu’il comportait un aspect un peu contraignant.

Le groupe GEST présentera dans un autre amendement, une proposition d’index permettant de vraiment relever le taux d’emploi des seniors.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3165

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


Rédiger ainsi cet article :

I. – La section 4 du chapitre Ier du titre II du livre Ier de la cinquième partie du code du travail est ainsi rétablie :

« Section 4

« Indicateurs relatifs à l’emploi des salariés âgés

« Art. L. 5121-6. – L’employeur prend en compte un objectif d’amélioration de l’embauche, du maintien en activité, de la formation, de la qualité de vie au travail et de l’adaptation du poste et du temps de travail des salariés âgés.

« Art. L. 5121-7. – Dans les entreprises d’au moins cinquante salariés, l’employeur publie chaque année des indicateurs relatifs à l’emploi et à la qualité de l’emploi des salariés âgés ainsi qu’aux actions mises en œuvre pour favoriser leur emploi au sein de l’entreprise.

« Ces indicateurs évaluent notamment les perspectives d’évolution professionnelle, les discriminations en matière de maintien en emploi, les besoins spécifiques concernant l’accès à la formation, l’acquisition de nouvelles compétences, la transmission des savoirs, l’amélioration de la qualité de vie au travail et l’aménagement du poste et du temps de travail. Ils prennent également en compte les spécificités et les besoins des seniors en situation de handicap et des femmes seniors.

« La liste des indicateurs, leur méthode de calcul ainsi que le barème d’évaluation, comprenant une note minimale à atteindre, sont fixées par décret.

« Une convention ou un accord de branche étendue peut, dans des conditions définies par voie réglementaire, déterminer la liste des indicateurs mentionnés au premier alinéa et leur méthode de calcul, qui se substituent alors à celles fixées par le décret mentionné au troisième alinéa pour les entreprises de la branche concernée. Cette convention ou cet accord de branche ne peuvent être moins disant que la voie réglementaire.

« Un décret fixe les conditions d’application du présent article, notamment les modalités de mise en œuvre du même troisième alinéa, les modalités de contrôle, ainsi que la date et les modalités de publication des indicateurs et de leur transmission à l’autorité administrative.

« Art. L. 5121-8. – Dans les entreprises qui, d’une part, occupent moins de 250 personnes et, d’autre part, ont un chiffre d’affaires annuel n’excédant pas 50 millions d’euros ou un total de bilan n’excédant pas 43 millions d’euros, lorsque les résultats obtenus par l’entreprise, au regard des indicateurs mentionnés à l’article L. 5121-7, se situent en-deçà d’un niveau minimal défini par décret, cette dernière dispose d’un délai de six mois pour se mettre en conformité. À l’expiration de ce délai, si les résultats obtenus sont toujours en deçà du niveau minimal défini par décret, l’employeur peut se voir appliquer une pénalité financière. Ce montant est fixé à minimum 3 % des rémunérations et gains au sens du premier alinéa de l’article L. 242-1 du code de la sécurité sociale et du premier alinéa de l’article L. 741-10 du code rural et de la pêche maritime versés aux travailleurs salariés ou assimilés au cours de l’année civile précédant l’expiration du délai mentionné au présent alinéa.

« Dans les entreprises qui, d’une part, occupent moins de 5 000 personnes et, d’autre part, ont un chiffre d’affaires annuel n’excédant pas 1 500 millions d’euros ou un total de bilan n’excédant pas 2 000 millions d’euros, lorsque les résultats obtenus par l’entreprise, au regard des indicateurs mentionnés à l’article L. 5121-7, se situent en-deçà d’un niveau minimal défini par décret, l’entreprise dispose d’un délai de trois mois pour se mettre en conformité. À l’expiration de ce délai, si les résultats obtenus sont toujours en-deçà du niveau minimal défini par décret, l’employeur peut se voir appliquer une pénalité financière. Ce montant est fixé à minimum 10 % des rémunérations et gains au sens du premier alinéa de l’article L. 242-1 du code de la sécurité sociale et du premier alinéa de l’article L. 741-10 du code rural et de la pêche maritime versés aux travailleurs salariés ou assimilés au cours de l’année civile précédant l’expiration du délai mentionné au premier alinéa du présent article. »

« Dans les entreprises qui, d’une part, occupent plus de 5000 personnes et, d’autre part, ont un chiffre d’affaires annuel excédant 1 500 millions d’euros ou un total de bilan excédant 2 000 millions d’euros, lorsque les résultats obtenus par l’entreprise, au regard des indicateurs mentionnés à l’article L. 5121-7, se situent en-deçà d’un niveau minimal défini par décret, l’employeur peut se voir appliquer une pénalité financière. Ce montant est fixé à minimum 17 % des rémunérations et gains au sens du premier alinéa de l’article L. 242-1 du code de la sécurité sociale et du premier alinéa de l’article L. 741-10 du code rural et de la pêche maritime versés aux travailleurs salariés ou assimilés au cours de l’année civile précédant l’expiration du délai mentionné au premier alinéa du présent article.

« La pénalité et les conditions d’application du présent article sont fixés par décret en Conseil d’État.

« Le produit de cette pénalité est affecté à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du code de la sécurité sociale. »

II. – La sous-section 4 de la section 3 du chapitre II du titre IV du livre II de la deuxième partie du code du travail est ainsi modifiée :

1° Après le 6° de l’article L. 2242-20, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :

« …° L’emploi des salariés âgés, notamment l’amélioration des perspectives d’évolution professionnelle, des opportunités de formation, de la qualité de vie au travail, des conditions de travail, de l’emploi et du maintien en emploi des seniors, en s’appuyant sur les indicateurs publiés par l’entreprise en application de l’article L. 5121-7. » ;

2° Au 6° de l’article L. 2242-21, les mots : « l’emploi des salariés âgés et » et, à la fin, les mots : « et l’amélioration des conditions de travail des salariés âgés » sont supprimés.

III. – Les I et II du présent article entrent en vigueur à compter du 1er mars 2024.

Par dérogation, elles s’appliquent à compter du 1er novembre 2023 pour les entreprises d’au moins cinq-cents salariés.

Objet

Par cet amendement, le Groupe Écologiste, Solidarité et Territoires propose de faire de l’index seniors un outil réellement ambitieux et opérant capable d’avoir un impact sur l’emploi, la qualité de l’emploi et la formation des seniors.

Le projet de loi s’est manifestement inspiré de l’index égalité professionnelle femmes-hommes pour concevoir le dispositif de l’index seniors. Toutefois, les retours dont nous disposons sur l’index d’égalité professionnelle ont révélé son faible impact sur les pratiques et comportements des entreprises en matière de lutte contre les inégalités femmes-hommes dans le monde du travail.

Dans cet optique, il est crucial de tirer leçon du passé et de mettre en place un index seniors à la hauteur des enjeux. En effet, nous rappelons que 63% des salariés âgés de 44 à 55 ans en recherche d’emploi n’ont pas été sollicités par des recruteurs au cours des six derniers mois, contre 26% chez les 18-34 ans.

De plus, fin 2021, la proportion des 55-64 ans qui occupaient un poste s’élevait à 56 %.

Le Gouvernement s’étant déclaré prêt à des améliorations du dispositif, le Groupe Ecologiste propose ainsi de revoir à la hausse l’étendue du dispositif et de préciser le contenu des indicateurs. Car c’est bien l’imprécision des indicateurs qui, dans le cas de l’index égalité professionnelle, permet à de nombreuses entreprises de contourner les critères à leur avantage et d’obtenir des notes satisfaisantes quelle que soit la réalité des faits.

L’index proposé par le gouvernement aurait un impact d’autant plus faible que l’obligation ne portait initialement que sur la publication de l’index et non sur l’obtention de résultats satisfaisants. Il suffira, ainsi, pour une entreprise « mauvaise élève » en matière d’emploi des seniors, de simplement publier l’index pour échapper à une sanction. Il est donc évident qu’un tel index aura un impact nul, si un dispositif d’évaluation chiffrée qui inclut un score minimum à atteindre sous peine de sanction, n’est pas intégré. Ces sanctions financières doivent également être adaptées à la taille des entreprises, qui ne disposent pas des mêmes ressources pour mettre en place la mesure.

Afin de palier d’éventuels contournements du dispositif, nous proposons également une définition plus claire et plus précise non seulement du contenu des négociations en entreprise mais aussi des thèmes abordés par l’index.

Enfin, compte tenu de l’urgence pour les seniors d’avoir non seulement un travail décent mais aussi une fin de carrière digne, dans un contexte de menace sur l’allongement de l’âge de départ à la retraite, nous proposons que l’application de l’index débute à partir du 1er mars 2024, à l’exception des entreprises de plus de 500 salariés, pour lesquels l’index sera en vigueur dès le 1er novembre 2023.

Tel est l’objet du présent amendement.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2613 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 2


Alinéas 3, 4, 5, 10 seconde phrase, 14 et 18

Remplacer le mot :

seniors

par les mots :

salariés âgés de plus de cinquante ans

Objet

Comme l'a très bien démontré le rapport de Monique Lubin et René-Paul Savary sur l'emploi des "seniors", la première difficulté consiste à définir ce terme. Issu du latin, il renvoie à une notion relative puisqu'il signifie "plus âgé"et selon les points de vue les bornes varient fortement.

Dans le monde sportif, la catégorie « senior » regroupe, selon les fédérations, les pratiquants âgés de 19 ans à 40 ans environ, plus âgés que les juniors et moins que les vétérans. Dans certaines entreprises, un cadre ou un consultant débute sa carrière en tant que junior et devient senior au bout de quelques années d’expérience. La notion de « marché des seniors », ou de silver économie, renvoie davantage aux retraités, voire aux personnes qui commencent à connaître une perte de leur autonomie.
Lorsqu’il est question, comme dans le présent rapport, d’emploi des seniors, la focale porte tantôt sur des personnes approchant de l’âge de la retraite tantôt sur les personnes ayant entamé leur « seconde partie de carrière ».
Dans cette dernière acception, les bornes d’âge sont difficiles à fixer, notamment parce qu’elles sont fortement subjectives. L’âge auquel un employeur ou un recruteur potentiel considèrent une personne comme âgée ne coïncide pas nécessairement avec la perception de cette dernière. L’âge n’est en outre pas vécu de la même façon selon qu’on exerce un métier.

Dans certains secteurs professionnels, l’âge à partir duquel les salariés sont souvent renvoyés à leur séniorité et disent ressentir leurs premières difficultés dans les entreprises peut descendre à 45 ans.

La définition du « senior » n’est pas plus uniformément arrêtée dans les politiques publiques. Les règles d’assurance chômage fixent par exemple des bornes à 53 ou 55 ans pour les durées maximales d’indemnisation tandis que la non-dégressivité des indemnités chômage s’appliquerait pour les plus de 57 ans. L’envoi des documents du droit à l’information retraite devient annuel à partir de 55 ans mais lorsqu’une entreprise signe un contrat de professionnalisation, elle bénéficie d’une aide de l’État si le salarié a plus de 45 ans.

C'est pourquoi il convient pour la bonne intelligibilité et clarté de la loi de définir un âge plancher à partir duquel un actif sera considéré comme "senior". Tel est l'objet de cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain, en le fixant à 50 ans.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2614 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 2


Alinéas 3, 4, 5, 10 seconde phrase, 14 et 18

Remplacer le mot :

seniors

par les mots :

salariés âgés de plus de cinquante-cinq ans

Objet

Comme l'a très bien démontré le rapport de Monique Lubin et René-Paul Savary sur l'emploi des "seniors", la première difficulté consiste à définir ce terme. Issu du latin, il renvoie à une notion relative puisqu'il signifie "plus âgé"et selon les points de vue les bornes varient fortement.

Dans le monde sportif, la catégorie « senior » regroupe, selon les fédérations, les pratiquants âgés de 19 ans à 40 ans environ, plus âgés que les juniors et moins que les vétérans. Dans certaines entreprises, un cadre ou un consultant débute sa carrière en tant que junior et devient senior au bout de quelques années d’expérience. La notion de « marché des seniors », ou de silver économie, renvoie davantage aux retraités, voire aux personnes qui commencent à connaître une perte de leur autonomie.
Lorsqu’il est question, comme dans le présent rapport, d’emploi des seniors, la focale porte tantôt sur des personnes approchant de l’âge de la retraite tantôt sur les personnes ayant entamé leur « seconde partie de carrière ».
Dans cette dernière acception, les bornes d’âge sont difficiles à fixer, notamment parce qu’elles sont fortement subjectives. L’âge auquel un employeur ou un recruteur potentiel considèrent une personne comme âgée ne coïncide pas nécessairement avec la perception de cette dernière. L’âge n’est en outre pas vécu de la même façon selon qu’on exerce un métier.

Dans certains secteurs professionnels, l’âge à partir duquel les salariés sont souvent renvoyés à leur séniorité et disent ressentir leurs premières difficultés dans les entreprises peut descendre à 45 ans.

La définition du « senior » n’est pas plus uniformément arrêtée dans les politiques publiques. Les règles d’assurance chômage fixent par exemple des bornes à 53 ou 55 ans pour les durées maximales d’indemnisation tandis que la non-dégressivité des indemnités chômage s’appliquerait pour les plus de 57 ans. L’envoi des documents du droit à l’information retraite devient annuel à partir de 55 ans mais lorsqu’une entreprise signe un contrat de professionnalisation, elle bénéficie d’une aide de l’État si le salarié a plus de 45 ans.

C'est pourquoi il convient pour la bonne intelligibilité et clarté de la loi de définir un âge plancher à partir duquel un actif sera considéré comme "senior". Tel est l'objet de cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain, en le fixant à 55 ans.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2751 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 2


I. – Alinéas 4 à 10

 Remplacer ces alinéas par dix alinéas ainsi rédigés :

« Art. L. 5121-6. – L’employeur prend en compte un objectif d’amélioration de l’embauche, du maintien en activité, de la formation, de la qualité de vie au travail et de l’adaptation du poste et du temps de travail des salariés âgés d’au moins cinquante ans.

« Art. L. 5121-7. – Dans les entreprises d’au moins cinquante salariés, l’employeur publie chaque année des indicateurs relatifs à l’emploi et la qualité de l’emploi des salariés âgés d’au moins cinquante ans ainsi qu’aux actions mises en œuvre pour favoriser leur emploi au sein de l’entreprise.

« Ces indicateurs évaluent notamment les perspectives d’évolution professionnelle, les discriminations en matière de maintien en emploi, les besoins spécifiques concernant l’accès à la formation, l’acquisition de nouvelles compétences, la transmission des savoirs, l’amélioration de la qualité de vie au travail et l’aménagement du poste et du temps de travail. Ils prennent également en compte les spécificités et besoins des salariés âgés d’au moins cinquante ans en situation de handicap et des femmes âgées d’au moins cinquante ans.

« La liste des indicateurs, leur méthode de calcul ainsi que le barème d’évaluation, comprenant une note minimale à atteindre, sont fixées par décret.

« Une convention ou un accord de branche étendue peut, dans des conditions définies par voie réglementaire, enrichir la liste des indicateurs mentionnés au premier alinéa et leur méthode de calcul.

« Un décret fixe les conditions d’application du présent article, notamment les modalités de mise en œuvre du troisième alinéa, les modalités de contrôle, ainsi que la date et les modalités de publication des indicateurs et de leur transmission à l’autorité administrative.

« Art. L. 5121-8. – Dans les entreprises qui, d’une part occupent moins de 250 personnes, et d’autre part, ont un chiffre d’affaires annuel n’excédant pas 50 millions d’euros ou un total de bilan n’excédant pas 43 millions d’euros, lorsque les résultats obtenus par l’entreprise, au regard des indicateurs mentionnés au troisième alinéa de l’article L. 5121-7, se situent en deçà d’un niveau minimal défini par décret, l’entreprise dispose d’un délai de sept mois pour se mettre en conformité. À l’expiration de ce délai, si les résultats obtenus sont toujours en deçà du niveau minimal défini par décret, l’employeur peut se voir appliquer une pénalité financière. Ce montant est fixé à minimum 3 % des rémunérations et gains au sens du premier alinéa de l’article L. 242-1 du code de la sécurité sociale et du premier alinéa de l’article L. 741-10 du code rural et de la pêche maritime versés aux travailleurs salariés ou assimilés au cours de l’année civile précédant l’expiration du délai mentionné au premier alinéa du présent article.

« Dans les entreprises, qui, d’une part occupent moins de 5 000 personnes, et d’autre part, ont un chiffre d’affaires annuel n’excédant pas 1 500 millions d’euros ou un total de bilan n’excédant pas 2 000 millions d’euros, lorsque les résultats obtenus par l’entreprise, au regard des indicateurs mentionnés au troisième alinéa de l’article L. 5121-7, se situent en deçà d’un niveau minimal défini par décret, l’entreprise dispose d’un délai de quatre mois pour se mettre en conformité. À l’expiration de ce délai, si les résultats obtenus sont toujours en deçà du niveau minimal défini par décret, l’employeur peut se voir appliquer une pénalité financière. Ce montant est fixé à minimum 7 % des rémunérations et gains au sens du premier alinéa de l’article L. 242-1 du code de la sécurité sociale et du premier alinéa de l’article L. 741-10 du code rural et de la pêche maritime versés aux travailleurs salariés ou assimilés au cours de l’année civile précédant l’expiration du délai mentionné au premier alinéa du présent article.

« Dans les entreprises, qui, d’une part occupent plus de 5 000 personnes, et d’autre part, ont un chiffre d’affaires annuel excédant 1 500 millions d’euros ou un total de bilan excédant 2 000 millions d’euros, lorsque les résultats obtenus par l’entreprise, au regard des indicateurs mentionnés à l’alinéa 6 du I du présent article, se situent en deçà d’un niveau minimal défini par décret, l’employeur peut se voir appliquer une pénalité financière. Ce montant est fixé à minimum 10 % des rémunérations et gains au sens du premier alinéa de l’article L. 242-1 du code de la sécurité sociale et du premier alinéa de l’article L. 741-10 du code rural et de la pêche maritime versés aux travailleurs salariés ou assimilés au cours de l’année civile précédant l’expiration du délai mentionné au premier alinéa du présent article.

« La pénalité et les conditions d’application du présent article sont fixés par décret en Conseil d’État.

II. – Alinéa 14

Compléter cet alinéa par les mots :

notamment l’amélioration des perspectives d’évolution professionnelle, des opportunités de formation, de la qualité de vie au travail, des conditions de travail, de l’emploi et du maintien en emploi des seniors, en s’appuyant sur les indicateurs publiés par l’entreprise en application de l’article L. 5121-7

III. – Alinéa 16

1° Remplacer le mot :

concertation

par le mot :

négociation

2° Remplacer le mot :

deuxième

par le mot :

troisième

IV. – Alinéa 17

Remplacer le mot :

juillet

par le mot :

mars

Objet

Cet amendement du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à remplacer l'index sénior tel que proposé par le Gouvernement par un index qualitatif négocié paritairement avec des sanctions différenciées en cas de la taille des entreprises.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4126 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 2


Alinéa 4

Remplacer le mot :

poursuit

par les mots :

met en œuvre

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent que l’index améliore concrètement les conditions d’emploi des salariés de plus de cinquante ans, il convient que l’employeur ne se contente pas de « prendre en compte » un objectif d'amélioration de l'embauche et du maintien en activité des salariés considérés mais qu’il le mette effectivement en œuvre.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4655

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes Mélanie VOGEL et PONCET MONGE, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


I. – Alinéa 4

1° Remplacer le mot :

et

par le signe :

,

2° Après le mot :

activité

insérer les mots :

, de la formation, de la qualité de vie au travail et de l’adaptation du poste et du temps de travail

II. – Alinéa 5

Après la première occurrence du mot :

emploi

insérer les mots :

et la qualité de l’emploi

III. – Après l'alinéa 5

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« Ces indicateurs évaluent notamment les perspectives d’évolution professionnelle, les discriminations en matière de maintien en emploi, les besoins spécifiques concernant l’accès à la formation, l’acquisition de nouvelles compétences, la transmission des savoirs, l’amélioration de la qualité de vie au travail et l’aménagement du poste et du temps de travail. Ils prennent également en compte les spécificités et besoins des seniors en situation de handicap et des femmes seniors.

IV. – Alinéa 6

1° Après le mot :

indicateurs

insérer les mots :

de contrôle

2° Remplacer le mot :

et

par le signe :

,

3° Après le mot :

calcul

insérer les mots :

ainsi que le barème d’évaluation, comprenant une note minimale à atteindre,

4° Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Cette convention ou cet accord de branche ne peut être moins disant que la voie réglementaire.

V. – Alinéas 9 et 10

Remplacer ces alinéas par quatre alinéas ainsi rédigés :

« Art. L. 5121-8. – Dans les entreprises qui, d’une part, emploient moins de 250 personnes et, d’autre part, ont un chiffre d’affaires annuel n’excédant pas 50 millions d’euros ou un total de bilan n’excédant pas 43 millions d’euros, lorsque les résultats obtenus par l’entreprise, au regard des indicateurs mentionnés au troisième alinéa de l’article L. 5121-7, se situent en deçà d’un niveau minimal défini par décret, l’entreprise dispose d’un délai de sept mois pour se mettre en conformité. À l’expiration de ce délai, si les résultats obtenus sont toujours en deçà du niveau minimal défini par décret, l’employeur peut se voir appliquer une pénalité financière. Ce montant est fixé au minimum à 3 % des rémunérations et gains au sens du premier alinéa de l’article.

« Dans les entreprises qui, d’une part, emploient moins de 5 000 personnes et, d’autre part, ont un chiffre d’affaires annuel n’excédant pas 1 500 millions d’euros ou un total de bilan n’excédant pas 2 000 millions d’euros, lorsque les résultats obtenus par l’entreprise, au regard des indicateurs mentionnés au troisième alinéa de l’article L. 5121-7, se situent en deçà d’un niveau minimal défini par décret, l’entreprise dispose d’un délai de quatre mois pour se mettre en conformité. À l’expiration de ce délai, si les résultats obtenus sont toujours en deçà du niveau minimal défini par décret, l’employeur peut se voir appliquer une pénalité financière. Ce montant est fixé au minimum à 7 % des rémunérations et gains au sens du premier alinéa de l’article L. 242-1 du code de la sécurité sociale et du premier alinéa de l’article L. 741-10 du code rural et de la pêche maritime versés aux travailleurs salariés ou assimilés au cours de l’année civile précédant l’expiration du délai mentionné au présent alinéa.

« Dans les entreprises qui, d’une part, emploient plus de 5 000 personnes et, d’autre part, ont un chiffre d’affaires annuel excédant 1 500 millions d’euros ou un total de bilan excédant 2 000 millions d’euros, lorsque les résultats obtenus par l’entreprise, au regard des indicateurs mentionnés au troisième alinéa de l’article L. 5121-7 du présent code, se situent en deçà d’un niveau minimal défini par décret, l’employeur peut se voir appliquer une pénalité financière. Ce montant est fixé au minimum à 10 % des rémunérations et gains au sens du premier alinéa de l’article L. 242-1 du code de la sécurité sociale et du premier alinéa de l’article L. 741-10 du code rural et de la pêche maritime versés aux travailleurs salariés ou assimilés au cours de l’année civile précédant l’expiration du délai mentionné au premier alinéa du présent article.

« La pénalité et les conditions d’application du présent article sont fixées par décret en Conseil d’État.

VI. – Alinéa 14

Après le mot :

seniors,

rédiger ainsi la fin de cet alinéa :

notamment l’amélioration des perspectives d’évolution professionnelle, des opportunités de formation, de la qualité de vie au travail, des conditions de travail, de l’emploi et du maintien en emploi des seniors, en s’appuyant sur les indicateurs publiés par l’entreprise en application de l’article L. 5121-7.

VII. – Alinéa 16

1° Remplacer le mot :

concertation

par le mot :

négociation

2° Remplacer le mot :

deuxième

par le mot :

troisième

VIII. – Alinéa 17

1° Remplacer le mot :

juillet 2024

par le mot :

janvier 2024

2° Remplacer l'année :

2025

par l'année :

2024

Objet

Par cet amendement, le Groupe Ecologiste - Solidarité et Territoires propose de faire de l’index seniors un outil réellement ambitieux capable d’avoir un impact sur l’emploi, la qualité de l’emploi et la formation des seniors.

Le projet de loi s’est manifestement appuyé de l’index égalité professionnelle femmes-hommes pour concevoir le dispositif de l’index seniors. Toutefois, la mise en place de cet index à partir de 2019 n’a pas réellement changé la donne, car les pratiques des entreprises en matière de lutte contre les inégalités femmes-hommes n’ont guère évolué.

Dans ce contexte, vouloir concevoir un index sur le modèle de l’index égalité professionnelle femmes-hommes peut se révéler peu efficace, si l’outil n’est pas révisé. Il est crucial de tirer leçon du passé et de mettre en place un index seniors suffisamment à la hauteur des enjeux afin de répondre à la problématique. En effet, nous rappelons que 63 pourcents des salariés âgés de 44 à 55 ans en recherche d’emploi n’ont pas été sollicités par des recruteurs au cours des six derniers mois, contre 26 pourcents chez les 18-34 ans. De plus, fin 2021, la proportion des 55-64 ans qui occupaient un poste s’élevait à 56 pourcents. Le taux d’occupation était encore plus bas pour la tranche d’âge de 60 à 64 ans avec un taux d’emploi de seulement 35,5 pourcents, contre 46,4 pourcents pour la moyenne des 27 membres de l’Union européenne.

Le Gouvernement s’étant déclaré prêt à des améliorations du dispositif, le Groupe Ecologiste - Solidarité et Territoires propose ainsi de revoir à la hausse l’étendue du dispositif et de préciser davantage le contenu des indicateurs. Car c’est bien l’imprécision des indicateurs qui, dans le cas de l’index égalité professionnelle, permet à de nombreuses entreprises de contourner les critères à leur avantage et d’obtenir des notes satisfaisantes, qu’importe la réalité des faits.

Cet index aura un impact d’autant plus faible que l’obligation ne portait initialement que sur la publication de l’index et non sur l’obtention de résultats satisfaisants. Il suffira, ainsi, pour une entreprise qui n'emploie guère de seniors et qui fait ainsi figure de « mauvaise élève », de simplement publier l’index pour échapper à une sanction. Or, cette « sanction » apparaît largement insuffisante pour aboutir à un réel changement des pratiques. Il est donc évident que cet index est loin d’être à la hauteur des enjeux.

A la place, il convient de compléter l’index par un seuil minimal à atteindre et de prévoir des sanctions pour les entreprises qui ne l’atteignent pas. Ces sanctions financières doivent également être adaptées à la taille des entreprises, qui ne disposent pas des mêmes ressources pour mettre en place une telle mesure.

De plus, le Gouvernement fait comme si un acteur essentiel du monde de travail n’existait pas : il a oublié les syndicats. Il les mentionne seulement une fois, mais prévoit une simple concertation. Or, une concertation est trop peu contraignante, surtout compte tenu du fait que le Gouvernement ne se gêne plus de passer outre l’opposition des syndicats. Afin d’y remédier, cet amendement prévoit de renforcer l’inclusion des partenaires sociaux dans la conception de l’index en passant d’une concertation à une négociation. Ces négociations permettront également de mieux prendre en compte les réalités de terrain et les problèmes auxquels les seniors sont confrontés. Afin de pallier d’éventuels contournements du dispositif, nous proposons une définition plus claire et plus précise non seulement du contenu des négociations en entreprise, mais aussi des thèmes abordés par l’index.

Enfin, nous saluons le choix du Gouvernement d’élargir certaines mesures de l’index aux entreprises employant entre 300 et 999 salariés, ainsi qu’aux entreprises employant entre 50 et 299 salariés. Cependant, les mesures devraient s’appliquer beaucoup plus rapidement que ce que prévoit le Gouvernement, car il y a urgence.

Du fait de la persistance de discrimination des employeurs basées sur l’âge, les seniors au chômage le restent plus longtemps que les autres catégories de la population et ils le restent durablement, vivant pour beaucoup une longue période de précarité, entre chômage, RSA, ou invalidité, jusqu’à l’âge légal de la retraite.

Ces inégalités basées sur l’âge qui plongent bon nombre de seniors, considérés comme des salariés jetables, dans un tunnel de précarité sont amenées à s’accroître alors que le présent projet de loi entend prolonger le calvaire des seniors précaires deux ans de plus. En plus des risques pour les parcours individuels des personnes concernées, ce report de l’âge légal risque d’entraîner par ricochet une montée en flèche des dépenses pour les minimas sociaux.

Afin d’assurer une fin de carrière digne et afin d’amortir les conséquences néfastes que la menace d’un report de l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pourrait entraîner, il convient de mettre au plus vite un terme à la discrimination des seniors sur le marché du travail. Pour cela, nous proposons de ramener l’application de l’index pour les entreprises employant entre 300 et 999 salariés du 1er juillet 2024 au 1er janvier 2024 et celui des entreprises employant entre 50 et 299 salariés du 1er juillet 2025 au 1er juillet 2024.

Tel est l’objet du présent amendement.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2753 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 2


Après l’alinéa 4

Insérer sept alinéas ainsi rédigés :

« L’objectif d’amélioration de l’embauche et du maintien en activité des salariés âgés prend en considération les thèmes suivants :

« 1° Le recrutement des salariés âgés dans l’entreprise ;

« 2° L’anticipation de l’évolution des carrières professionnelles ;

«3° L’amélioration des conditions de travail et prévention des situations de pénibilité ;

« 4° Le développement des compétences et des qualifications et accès à la formation ;

« 5° L’aménagement des fins de carrière et de la transition entre activité et retraite ;

« 6° La transmission des savoirs et des compétences et développement du tutorat.

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et républicain vise à préciser le contenu de l'objectif d’amélioration de l’embauche et du maintien en activité des salariés âgés, qui traitera des thèmes suivants : le recrutement des salariés âgés dans l’entreprise, l’anticipation de l’évolution des carrières professionnelles, l’amélioration des conditions de travail et prévention des situations de pénibilité, le développement des compétences et des qualifications et accès à la formation, l’aménagement des fins de carrière et de la transition entre activité et retraite et la transmission des savoirs et des compétences et développement du tutorat.

En 2019, 55 % des nouveaux retraités du régime général avaient validé des trimestres dans le cadre d’un emploi durant les mois précédant la liquidation de leurs droits à la retraite, selon le COR. Un quart avait validé leurs trimestre tout en étant soit au chômage, en invalidité ou en maladie. Les 25 % restants, selon le COR, n’avaient validé aucun trimestre dans l’année précédant leur retraite ».

En 2019, un rapport sénatorial de René-Paul Savary (LR) et Monique Lubin (PS) s’était penché sur le « défi des fins de carrière ». Les deux sénateurs avaient mis en évidence un « marché du travail plus dur pour les travailleurs les plus âgés », avec une prévalence du chômage de longue durée plus importante chez les plus de 50 ans que dans la moyenne des demandeurs d’emploi.

L'enjeu pour notre système de retraite se jour dans la construction d'une politique ambitieuse et volontariste en faveur de l'emploi des travailleurs de plus de 50 ans, pas dans une réforme des retraites injustifiée et injuste.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 4129 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 2


Après l’alinéa 4

Insérer sept alinéas ainsi rédigés :

« L’objectif d’amélioration de l’embauche et du maintien en activité des salariés âgés prend en considération les thèmes suivants :

« 1° Le recrutement des salariés âgés dans l’entreprise ;

« 2° L’anticipation de l’évolution des carrières professionnelles ;

« 3° L’amélioration des conditions de travail et prévention des situations de pénibilité ;

« 4° Le développement des compétences et des qualifications et accès à la formation ;

« 5° L’aménagement des fins de carrière et de la transition entre activité et retraite ;

« 6° La transmission des savoirs et des compétences et développement du tutorat.

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent par cet amendement ne pas simplement renvoyer à un décret dont les conditions sont extrêmement incertaines la détermination des critères retenus. Dans l’optique de donner une base de négociation pour les organisations syndicales et patronales, il convient de fixer dans la loi les critères sur lesquels l’index des séniors sera amené à être appliqué en entreprise.

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 3465

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


I. – Alinéa 5

Remplacer le mot :

cinquante

par le mot :

onze

II. – Alinéas 9 et 10

Remplacer ces alinéas par quatre alinéas ainsi rédigés :

« Art. L. 5121-8. – Dans les entreprises qui, d’une part, occupent moins de 250 personnes, et d’autre part, ont un chiffre d’affaires annuel n’excédant pas 50 millions d’euros ou un total de bilan n’excédant pas 43 millions d’euros, lorsque les résultats obtenus par l’entreprise, au regard des indicateurs mentionnés au deuxième alinéa de l’article L. 5121-7, se situent en-deçà d’un niveau minimal défini par décret, l’entreprise dispose d’un délai d’un an pour se mettre en conformité. À l’expiration de ce délai, si les résultats obtenus sont toujours en deçà du niveau minimal défini par décret, l’employeur peut se voir appliquer une pénalité financière. Ce montant est fixé à minimum 4 % des rémunérations et gains au sens du premier alinéa de l’article L. 242-1 du code de la sécurité sociale et du premier alinéa de l’article L. 741-10 du code rural et de la pêche maritime versés aux travailleurs salariés ou assimilés au cours de l’année civile précédant l’expiration du délai mentionné au premier alinéa du présent article.

« Dans les entreprises, qui d’une part, occupent moins de 5 000 personnes et d’autre part, ont un chiffre d’affaires annuel n’excédant pas 1 500 millions d’euros ou un total de bilan n’excédant pas 2 000 millions d’euros, lorsque les résultats obtenus par l’entreprise, au regard des indicateurs mentionnés au deuxième alinéa de l’article L. 5121-7, se situent en-deçà d’un niveau minimal défini par décret, l’entreprise dispose d’un délai de huit mois pour se mettre en conformité. À l’expiration de ce délai, si les résultats obtenus sont toujours en-deçà du niveau minimal défini par décret, l’employeur peut se voir appliquer une pénalité financière. Ce montant est fixé à minimum 10 % des rémunérations et gains au sens du premier alinéa de l’article L. 242-1 du code de la sécurité sociale et du premier alinéa de l’article L. 741-10 du code rural et de la pêche maritime versés aux travailleurs salariés ou assimilés au cours de l’année civile précédant l’expiration du délai mentionné au premier alinéa du présent article.

« Dans les entreprises qui d’une part, occupent plus de 5 000 personnes et, d’autre part, ont un chiffre d’affaires annuel excédant 1 500 millions d’euros ou un total de bilan excédant 2 000 millions d’euros, lorsque les résultats obtenus par l’entreprise, au regard des indicateurs mentionnés au deuxième alinéa de l’article L. 5121-7, se situent en deçà d’un niveau minimal défini par décret, l’employeur peut se voir appliquer une pénalité financière. Ce montant est fixé à minimum 20 % des rémunérations et gains au sens du premier alinéa de l’article L. 242-1 du code de la sécurité sociale et du premier alinéa de l’article L. 741-10 du code rural et de la pêche maritime versés aux travailleurs salariés ou assimilés au cours de l’année civile précédant l’expiration du délai mentionné au premier alinéa du présent article.

« La pénalité et les conditions d’application du présent article sont fixés par décret en Conseil d’État. »

Objet

Par cet amendement, le Groupe Écologiste - Solidarité et Territoire propose d’établir un barème d’évaluation des indicateurs, et d’établir des sanctions pour résultats insuffisants, différenciées selon la taille de l’entreprise.

A titre d’exemple, dans les entreprises qui, d’une part occupent moins de 250 personnes, et d’autre part, ont un chiffre d’affaires annuel n’excédant pas 50 millions d’euros ou un total de bilan n’excédant pas 43 millions d’euros, lorsque les résultats obtenus par l’entreprise se situent en deçà d’un niveau minimal défini par décret, l’entreprise dispose d’un délai d’un an pour se mettre en conformité

Le projet de loi s’est manifestement appuyé de l’index égalité professionnelle femmes-hommes pour concevoir le dispositif de l’index seniors. Toutefois, les retours dont nous disposons sur l’index d’égalité professionnelle ont révélé son incapacité à impacter les pratiques des entreprises en matière de lutte contre les inégalités de genre dans le monde du travail.

Cet index aura un impact d’autant plus faible que l’obligation ne porte ici que sur la publication de l’index et non sur l’obtention de résultats satisfaisants. Il suffira, ainsi, pour une entreprise « mauvaise élève » en matière d’emploi des seniors, de simplement publier l’index pour échapper à une sanction. Il est donc évident que cet index aura un impact nul, si un dispositif d’évaluation chiffrée qui inclut un score minimum à atteindre, sous peine de sanction, n’est pas mis en place. Ces sanctions financières doivent également être adaptées à la taille des entreprises, qui ne disposent pas des mêmes ressources pour mettre en place une telle mesure.

Tel est l’objet du présent amendement.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4656

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes Mélanie VOGEL et PONCET MONGE, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


Alinéa 5

Remplacer le mot :

cinquante

par le mot :

onze

Objet

Le présent projet de loi entend améliorer l’emploi des seniors par le biais de la publication d’indicateurs sur l’embauche et le maintien en activité des salariés âgés.

D’une part, le recul que nous avons sur l’index égalité professionnelle femmes-hommes nous a montré l’inefficacité de ce type d’outils pour résorber effectivement les inégalités de genre ou d’âge, en particulier lorsqu’ils sont soumis à des critères flous et des sanctions insuffisamment dissuasives.

D’autre part, il nous semble évident qu’avoir des perspectives ambitieuses en matière d’amélioration de l’emploi pour les seniors, pour celles et ceux ayant encore la force de travailler, passe nécessairement par étendre l’index aux entreprises de plus de 11 salariés.

Nous rappelons que la moitié des salariés français travaillent dans des petites et moyennes entreprises. Ne pas les inclure dans l’index seniors, aussi peu ambitieux soit-il en l’état actuel, revient à les priver de potentielles mesures en faveur d’un meilleur accompagnement des seniors.

Tel est l’objet du présent amendement.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1970 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

MM. SEGOUIN, PIEDNOIR, SIDO et KLINGER, Mme DUMAS, MM. BASCHER, BABARY, BRISSON, Étienne BLANC et RIETMANN, Mme THOMAS et MM. CHARON et SAURY


ARTICLE 2


I. – Alinéa 5

Remplacer le mot

cinquante

par les mots :

trois cents

II. – Alinéa 17

Supprimer les mots :

et à compter du 1er juillet 2025 aux entreprises d’au moins cinquante salariés et de moins de trois cents salariés

 

Objet

Afin de ne pas ajouter de charge administrative aux petites et moyennes entreprises de nos territoires, qui sont de plus de vrais acteurs de l’emploi des seniors, le présent amendement vise à exclure les entreprises allant de cinquante à trois cents salariés du dispositif relatif à l’index senior.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2015

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Sagesse du Sénat
Adopté

M. HENNO

et les membres du groupe Union Centriste


ARTICLE 2


Alinéa 5

Remplacer le mot :

cinquante

par les mots :

trois cents

Objet

Cet amendement propose de relever de 50 à 300 le nombre minimum de salariés à partir duquel les entreprises seront soumises à l'index senior.

Tel est l'objet de cet amendement.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2109

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Sagesse du Sénat
Adopté

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 2


Alinéa 5

Remplacer le mot :

cinquante

par les mots :

trois cents

Objet

Le seuil des entreprises concernées par la publication d’indicateurs sur l’emploi des seniors a été abaissé à l’Assemblée nationale de 300 à 50 salariés. Si la publication d’indicateurs permettra d’évaluer la situation de l’emploi des seniors, les entreprises doivent être à même de les produire. Or, les entreprises de 50 à 300 salariés ne sont pas toutes dotées de services de ressources humaines capables de publier de telles données.

Les indicateurs ne seront pertinents que pour de grandes entreprises, les petites et moyennes entreprises ne disposant pas d’effectifs suffisants pour établir des statistiques reflétant leur engagement en faveur des seniors. Au sein d’une entreprise de 50 salariés, le départ de quelques salariés seniors pourrait dégrader fortement ses indicateurs, alors même qu’elle déploie des mesures pour le maintien en emploi et le recrutement de seniors.

L’article 2 prévoyant que les entreprises d’au moins 300 salariés devront aborder le thème de l’emploi des seniors lorsqu’elles négocient sur la gestion des emplois et des parcours professionnels, il est cohérent de retenir ce seuil pour l’obligation de publier des indicateurs, qui serviront également à alimenter la négociation.

Il est donc proposé de revenir à la rédaction initiale de cet article, en fixant à 300 salariés le seuil des entreprises concernées par la publication de ces indicateurs.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2754 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 2


Alinéa 5

Après le mot :

employeur

insérer les mots : 

communique au ministère du travail, à Pôle emploi et

Objet

Cet amendement du groupe SER vise à préciser que les indicateurs sur les travailleurs séniors devront être envoyés par l'entreprise au Ministère du Travail ainsi qu'à Pôle Emploi.

Transmettre ces indicateurs est un préalable pour que Pôle Emploi puisse œuvrer au changement de culture des employeurs envers les salariés âgés ou en fin de carrière et déployer des actions spécifiques, adaptées d'adressage des candidatures de salariés de plus de 50 ans vers les entreprises qui se doivent de développer l'embauche de ces profils.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4159 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 2


Alinéa 5

Après le mot :

employeur

insérer les mots :

communique au ministère du travail, à Pôle emploi et

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent par cet amendement simplement s’assurer que les indicateurs sur les travailleuses et travailleurs séniors soient transmis au ministère du travail et à Pôle emploi de sorte à ce que ceux-ci puissent être plus simplement informés qu’en devant agréger des publications électroniques.

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2945 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes JASMIN et LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, MM. FICHET et JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mmes BLATRIX CONTAT et ASSASSI, M. MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 2


Alinéas 5, 6 et 7

Après le mot :

indicateurs

insérer les mots :

et des objectifs à atteindre

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à inclure dans le champ de l’ensemble de cet article des objectifs à atteindre, faute de quoi les indicateurs ne pourront permettre d’œuvrer à une amélioration concrète des conditions d’emploi et d’embauche des salariés âgés de cinquante ans et plus.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4654

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes Mélanie VOGEL et PONCET MONGE, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


Alinéa 5

Après le mot :

sexe,

insérer les mots :

notamment pour évaluer les écarts salariaux entre hommes et femmes,

Objet

Cet amendement vise à garantir que les indicateurs publiés par les employeurs employant plus de 50 salariés contiennent des informations sur l’écart salarial entre hommes et femmes.

Alors qu’il est salué que le Gouvernement ait intégré une disposition demandant aux employeurs de ventiler les données par le sexe, ainsi rendant compte des débats en première lecture du texte à l’Assemblée nationale, cet amendement vise à concrétiser l’obligation dans un souci de renforcer la transparence sur l’écart salarial entre hommes et femmes.

Cet écart peut être important, notamment car les hommes et les femmes seniors connaissent des évolutions de fin de carrière différentes, avec des écarts de rémunération importants. Une étude de la Dares de 2021 sur l’emploi des seniors montre notamment que les femmes de cette catégorie sont plus souvent en situation d’un temps partiel dit « contraint ». À l’approche de la retraite, le nombre important de femmes au chômage est préoccupant, tout comme le risque accru pour les femmes seniors de tomber dans la précarité.

Ces évolutions en fin de carrière contribuent à l’écart entre les femmes et les hommes qui était de 39 % en 2019, selon l’Insee. 

La précision de cet indicateur permettrait de rendre visibles ces différences entre les femmes et les hommes afin de les supprimer.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4136 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 2


Alinéa 5

Remplacer le mot :

favoriser

par le mot :

garantir

Objet

Le membres du groupe CRCE veulent rappeler qu'en matière d'amélioration de l'embauche et de maintien en activité des salariés de cinquante ans et plus l'employeur doit être soumis à une obligation de résultat.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3466

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


Alinéa 5

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ces indicateurs comprennent des mesures du recours des entreprises aux temps partiels.

Objet

Le présent amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires vise à inclure le temps partiel parmi les indicateurs de l’index senior.

Il y a plus de temps partiel chez les seniors que dans n’importe quelle autre classe d’âge. Si une partie du recours au temps partiel s’explique par le cumul emploi-retraite, les situations de seniors à temps partiel pour raison de santé ou pour sous-emploi (temps partiel dit « contraint ») sont également importantes et risquent de s’accentuer avec le recul de l’âge de la retraite. Afin que ces situations qui conduisent souvent à une hausse de la précarité des seniors ne soient pas invisibilisées, le groupe Écologiste - Solidarité et Territoires demande que l’examen du recours au temps partiel soit systématiquement inclus dans les indicateurs de l’index.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4145 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 2


Après l’alinéa 5

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« Ces indicateurs évaluent notamment les perspectives d’évolution des carrières professionnelles, l’amélioration des conditions de travail et la prévention des situations de pénibilité, le développement des compétences et des qualifications et accès à la formation, l’aménagement des fins de carrière et de la transition entre activité et retraite, la transmission des savoirs et des compétences et développement du tutorat.

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent préciser le contenu des indicateurs relatifs à l’index séniors créé par l’article 2.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4151 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 2


Après l’alinéa 5

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« Ces indicateurs évaluent notamment les perspectives d’évolution professionnelle, les discriminations en matière de maintien en emploi, les besoins spécifiques concernant l’accès à la formation, l’acquisition de nouvelles compétences, la transmission des savoirs, l’amélioration de la qualité de vie au travail et l’aménagement du poste et du temps de travail des salariés de cinquante ans et plus. Ils prennent également en compte les spécificités et besoins des salariés en situation de handicap et des femmes de plus de cinquante ans.

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent préciser le contenu des indicateurs relatifs à l’index séniors créé par l’article 2.

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4142 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 2


Après l’alinéa 5

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« Par dérogation au premier alinéa, l’employeur dont le siège social de l’entreprise est situé au sein d’un territoire en dépression démographique et qui emploie au moins cent cinquante salariés, publie chaque année des indicateurs relatifs à l’emploi des salariés âgés ainsi qu’aux actions mises en œuvre pour favoriser leur emploi au sein de l’entreprise.

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent distinguer les obligations relatives à l’index séniors selon que l’entreprise se situe dans un territoire à la démographie stable à des territoires en proie à des situations démographiques complexes. Ainsi, cet amendement aurait notamment pour effet d’alléger les obligations relatives à l’index séniors que nous souhaitons par ailleurs renforcer pour territoires ultra-marins.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3467

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


Après l’alinéa 5

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« Dans les entreprises d’au moins onze salariés, lorsque les résultats obtenus par l’entreprise, au regard des indicateurs mentionnés au présent article, se situent en-deçà d’un niveau défini par décret, l’entreprise dispose d’un délai d’un an pour se mettre en conformité. À l’expiration de ce délai, si les résultats obtenus sont toujours en-deçà du niveau défini par décret, l’employeur peut se voir appliquer une pénalité financière. Dès lors qu’une pénalité lui est appliquée sur le fondement du présent alinéa, l’employeur ne peut se voir appliquer la pénalité financière prévue à l’article L. 2242-8 du code du travail.

Objet

De la même manière que les entreprises ayant des résultats insuffisants à l’indicateur d’égalité professionnelle sont sanctionnées financièrement, le groupe Écologiste - Solidarité et Territoires propose de sanctionner les entreprises ayant des résultats insatisfaisants au regard des critères de l’index sénior, et pas uniquement celles ne publiant pas l’indicateur sur l’emploi des séniors.

Cette sanction, issue d’une proposition de l’UNSA, permettrait de créer une incitation financière mais aussi réputationnelle afin que les entreprises mettent en place des politiques d’emploi réellement efficaces en faveur des salariés âgés.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3177

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


Alinéa 6

Remplacer cet alinéa par neuf alinéas ainsi rédigés :

« La liste des indicateurs ainsi que la méthodologie applicable, leur méthode de calcul et les modalités de publication et de transmission à l’administration compétente sont fixées par décret. Les indicateurs, qui concernent l’emploi et les conditions de travail des séniors dans l’entreprise en vue de leur permettre d’accéder à une retraite à taux plein, sont notamment :

« – le recrutement et les fins de contrats, le taux d’emploi, l’employabilité et la qualification professionnelle, notamment par la formation et la gestion des emplois et des compétences ;

« – la prévention des effets défavorables et risques inhérents aux carrières longues ou à la pénibilité des professions notamment en matière de santé et sécurité des travailleurs ;

« – l’organisation des conditions d’emploi et de travail, tels que la durée des contrats de travail, le temps de travail, la mobilité et la pénibilité ;

« – le maintien des niveaux de rémunérations et les dispositifs d’entreprise de financement des retraites ;

« – les cumuls « emploi – retraite », la reconversion professionnelle des seniors ou les retraites progressives dans l’entreprise.

« Ces indicateurs prennent également en compte les spécificités et besoins des seniors en situation de handicap et des femmes seniors.

« L’ensemble de ces champs et domaines pour lesquels sont définis et s’appliquent des indicateurs et leur pondération est pris en compte pour la mise en œuvre de l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes.

« Une convention de branche étendue ou un accord de branche peut adapter et élargir la liste des indicateurs mentionnés au premier alinéa. Cette liste se substitue à celle fixée par le décret mentionné au deuxième alinéa pour les entreprises de la branche concernée. Cette convention ou cet accord de branche ne peuvent être moins disant que la voie réglementaire. »

Objet

Par cet amendement, le Groupe Ecologie, Solidarité et Territoire propose d’encadrer l’étendue et les modalités de l’index seniors, afin de s’assurer que cet outil ait réellement un impact sur les entreprises en matière d’emploi des seniors et d’amélioration de leurs conditions de travail.

Il est ainsi proposé d’entourer la mise en place des critères le composant par décret, d’un cadre législatif. Ce cadre permet de garantir la prise en compte des politiques d’emplois, des conditions de travail et de rémunération des salariés proches de la retraite, afin que l’index soit l’outil de mesure le plus efficace possible au service de la négociation en branche et en entreprise.

Par ailleurs, l’inégalité entre femmes et hommes quant au niveau des pensions de retraite et à l’âge effectif de départ à la retraite nécessite une déclinaison des indicateurs dans le champ de la mise en œuvre de l’égalité professionnelle.

Malgré le fait que l’ambition affichée de cet index n’est pas à la hauteur dans sa volonté d'améliorer l’embauche des séniors en n’associant pas cet index à des sanctions si l'entreprise n’emploie pas ou peu des séniors, cet outil pourrait cependant devenir un outil pertinent de renforcement et de contrôle des mesures des entreprises en faveur de l’emploi – d’un emploi de qualité - des seniors à condition que le contenu des indicateurs soit précisé.
Ces données précisées, comme les politiques de l’emploi de l’entreprise, des conditions de travail des salariés, des rémunérations des salariés proches de la retraite et d’un indice de mesures des inégalités de genre, permettront d’analyser avec justesse et rigueur les carences et les freins à l’embauche des séniors.

Par cet amendement, proposé par l’UNSA, le Groupe Écologiste - Solidarité et Territoires souhaite affiner cet index, par la clarté, la précision et la transparence dans la définition des indicateurs






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4163 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 2


Alinéa 6

Remplacer cet alinéa par huit alinéas ainsi rédigés :

« La liste des indicateurs ainsi que la méthodologie applicable et les modalités de publication et de transmission à l’administration compétente sont fixées par décret. Les indicateurs, qui concernent l’emploi et les conditions de travail des séniors dans l’entreprise en vue de leur permettre d’accéder à une retraite à taux plein, sont notamment :

« – le recrutement et les fins de contrats, le taux d’emploi, l’employabilité et la qualification professionnelle, notamment par la formation et la gestion des emplois et des compétences ;

« – la prévention des effets défavorables et risques inhérents aux carrières longues ou à la pénibilité des professions notamment en matière de santé et sécurité des travailleurs ;

« – l’organisation des conditions d’emploi et de travail, tels que la durée des contrats de travail, le temps de travail, la mobilité et la pénibilité ;

« – le maintien des niveaux de rémunérations et les dispositifs d’entreprise de financement des retraites ;

« – les cumuls "emploi – retraite", la reconversion professionnelle des seniors ou les retraites progressives dans l’entreprise.

« L’ensemble de ces champs et domaines pour lesquels sont définis et s’appliquent des indicateurs et leur pondération est pris en compte pour la mise en œuvre de l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes.

« Une convention de branche étendue peut enrichir la liste des indicateurs mentionnés au premier alinéa. Cette liste se substitue à celle fixée par le décret mentionné au deuxième alinéa pour les entreprises de la branche concernée. »

Objet

Les membres du groupe CRCE entendent toujours par cette série d’amendements mieux définir les indicateurs de l'index séniors, afin de s’assurer de son efficacité.

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2759 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 2


I. – Alinéa 6

Remplacer les mots :

et leur méthode de calcul sont fixées par décret

par les mots :

ainsi que la méthodologie applicable et les modalités de publication et de transmission à l’administration compétente sont fixées par décret, dans les périmètres de l’emploi et des conditions de travail des seniors dans l’entreprise, en vue de leur permettre d’accéder à une retraite à taux plein et notamment, mais non limitativement sont :

II. – Après l’alinéa 6

Insérer cinq alinéas ainsi rédigés :

« – la prévention des effets défavorables et risques inhérents aux carrières longues ou à la pénibilité des professions notamment en matière de santé et sécurité des travailleurs ;

« – l’organisation des conditions d’emploi et de travail (durée des contrats de travail, temps de travail, mobilité, pénibilité, etc.) ;

« – le maintien des niveaux de rémunérations et les dispositifs d’entreprise de financement des retraites ;

« – les cumuls « emploi – retraite », la reconversion professionnelle des seniors ou les retraites progressives dans l’entreprise.

« L’ensemble de ces champs et domaines pour lesquels sont définis et s’appliquent des indicateurs et leur pondération est pris en compte pour la mise en œuvre de l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes.

III. – Alinéa 7

Rédiger ainsi cet alinéa :

« Une convention de branche étendue peut enrichir la liste des indicateurs mentionnés au premier alinéa. Cette liste se substitue à celle fixée par le décret mentionné au deuxième alinéa pour les entreprises de la branche concernée. »

Objet

Cet amendement du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à mieux définir les indicateurs de l'index séniors, afin de s’assurer de son efficacité.

Ce cadre permet de garantir la prise en compte des politiques d’emplois, des conditions de travail et de rémunération des salariés proches de la retraite, afin que l’index soit l’outil de mesure le plus efficace possible au service de la négociation en branche et en entreprise.

Par ailleurs, l’inégalité entre femmes et hommes quant au niveau des pensions de retraite et à l’âge effectif de départ à la retraite nécessite une déclinaison des indicateurs dans le champ de la mise en œuvre de l’égalité professionnelle.

Cet amendement a été travaillé avec l'UNSA.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3731

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. FERNIQUE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


Alinéa 6

Remplacer les mots :

et leur méthode de calcul

par les mots :

, leur méthode de calcul et le barème d’évaluation, comprenant une note minimale à atteindre, 

Objet

L’index senior proposé dans le texte du Gouvernement vise à inciter certaines entreprises à publier chaque année des indicateurs de suivi relatifs à l’emploi des salariés seniors dans l’entreprise ainsi qu’aux actions mises en œuvre pour favoriser cet emploi.

Alors que le taux d’emploi des 55-64 ans est en France en deçà de la moyenne européenne, il doit permettre à terme de fournir des clés de lecture pour améliorer l’emploi des seniors et en suivre la progression.

Néanmoins, on peut douter de l’efficacité de cet index qui n’est accompagné d’aucun barème d’évaluation, ce qui empêche donc de procéder de façon objective et harmonisée au contrôle des efforts réalisés en matière d’emploi des seniors.

En l’état actuel, seule une obligation de publication par les employeurs est prévue, quel que soit le niveau d’emploi de seniors qu’elle détient. Il suffit donc aux entreprises entrant dans le champ d’application du dispositif, de publier l’index pour échapper à toute sanction. Il est certain qu’une telle disposition aura un impact nul sur les pratiques des entreprises si aucune évaluation, incluant un score minimal à atteindre, n’est incluse.

Cet amendement du Groupe Écologiste - Solidarité & Territoires vise donc à renforcer l’ambition de l’index senior en incluant dans ce dispositif des modalités d’évaluation des indicateurs.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4171 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 2


Alinéa 6

Remplacer les mots :

et leur méthode de calcul

par les mots :

, leur méthode de calcul et le barème d’évaluation, comprenant une note minimale à atteindre, 

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent intégrer aux indicateurs des modalités d’évaluation de ceux-ci.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2758 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 2


Alinéa 6

Remplacer le mot :

décret

par les mots : 

un accord national interprofessionnel

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, écologiste et républicain vise à confier à un accord national interprofessionnel le soin de construire les indicateurs de l'index séniors.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4176 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 2


Alinéa 6

Remplacer le mot :

décret

par les mots :

un accord national interprofessionnel en application de la section 1 du chapitre II du titre III du livre II de la deuxième partie du code du travail

Objet

Les membres du groupe CRCE estiment important de s’en remettre à un accord national interprofessionnel pour construire les indicateurs et non seulement de manière dérogatoire comme le prévoit l’alinéa 7 à un accord de branche étendu.

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2756 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 2


Alinéa 6

Compléter cet alinéa par les mots : 

en Conseil d’État

Objet

Cet amendement du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à prendre le décret qui définira la liste des indicateurs de l'index séniors en Conseil d’État, et non par un décret simple.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2479

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. DOSSUS, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


Alinéa 6

Compléter cet alinéa par les mots :

pris après avis de l’Agence nationale pour l’amélioration des conditions de travail

Objet

Cet amendement proposé par le groupe Écologiste - Solidarité et Territoires vise à prendre le décret qui définira la liste des indicateurs de l’index séniors après consultation de l’agence nationale pour l’amélioration des conditions de travail (ANACT).

L’index séniors proposé dans ce texte est la principale (et bien maigre) mesure prévue par le gouvernement pour mettre fin au chômage des séniors. Cette mesure se base sur l’idée qu’un index que les entreprises de plus de 50 salariés devraient publier tous les ans suffirait à résoudre les difficultés auxquelles font face les séniors en recherche d’emploi. 

Olivier Mériaux, ancien directeur technique et scientifique de l’ANACT, a jugé hypocrite et dangereuse la proposition du report de l’âge légal de départ à la retraite dans une tribune parue dans Le Monde fin janvier. Il précise qu’aucune mesure "ne pourra contrebalancer les impacts d’un recul de la borne d’âge pour une large partie du corps social, déjà fragilisée." Selon lui, l’index séniors n’échappe pas à ce constat. 

L’index séniors est une mesure plus qu’insuffisante qui ne comporte de surcroît aucune garantie, renvoyant à un décret le soin de fixer la liste des indicateurs de cet index ainsi que leurs méthodes de calcul.

Établir de tels indicateurs ne peut se faire sans la consultation d’acteurs concernés par la thématique du travail et de l’emploi comme l’Agence nationale pour l’amélioration des conditions de travail. L’ANACT a plusieurs domaines de compétences, notamment l’accès et le maintien en emploi durable des travailleuses et des travailleurs et l’amélioration de la qualité des conditions de travail.

À ce titre, nous proposons cet amendement de repli afin d’obliger le gouvernement à consulter l’agence nationale pour l’amélioration des conditions de travail avant de fixer par décret la liste des indicateurs de l’index séniors.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2480

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. DOSSUS, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


Alinéa 6

Compléter cet alinéa par les mots : 

pris après avis du Conseil économique, social et environnemental

Objet

Le présent amendement porté par le groupe Écologiste - Solidarité et Territoires vise à prendre le décret qui définira la liste des indicateurs de l’index séniors après consultation du Conseil économique, social et environnemental (CESE).

Si l’on en croit l’étude d’impact fournie par le gouvernement, l’index séniors prévu à l’article 2 de ce texte a notamment pour objectifs d’ "objectiver la place des séniors en entreprise",  d’ "assurer la transparence en matière de gestion des âges" et de "mettre en œuvre une logique d'amélioration continue des pratiques des entreprises en mobilisant le dialogue social dans l'entreprise". 

L’emploi des séniors est un sujet qui mérite d’être traité avec sérieux. D’après l’OCDE, le taux d'emploi des 55-64 ans atteint 56,8% en France, contre 62,6 % dans la zone euro. Les salariés de plus de 50 ans sont souvent victimes de pratiques délétères de la part de leurs entreprises, qui préfèrent les placardiser ou les licencier. Les discriminations ont la vie dure : ces salariés en fin de carrière sont nombreux à être jugés trop coûteux ou encore trop susceptibles de tomber malades. Ils subissent une double peine : une fois licenciés, il leur est encore plus difficile de trouver du travail. 

Si le gouvernement assure qu'il veut prendre à bras-le-corps le problème du chômage des séniors, l’index séniors paraît être une solution bien maigre pour y parvenir. Ce ne sont pas les résultats de l’index de l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes, "modèle" sur lequel est basé l'index séniors, qui contredisent ce constat.

Il est prévu à l’alinéa 6 de l’article 2 de renvoyer à un décret le soin de fixer la liste des indicateurs de cet index ainsi que leurs méthodes de calcul. Parce que la détermination de tels indicateurs ne peut se faire à la légère, nous proposons cet amendement de repli afin d’obliger le gouvernement à consulter le CESE avant de fixer par décret la liste des indicateurs de l’index séniors. 

Le CESE représente une partie de la société civile et il est compétent pour examiner un dispositif sur des thématiques comme le chômage, l'emploi, les conditions de travail des séniors et le dialogue social au sein des entreprises. Cela justifie qu’il soit consulté sur les modalités de l’index séniors.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2757 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 2


Alinéa 6

Compléter cet alinéa par les mots : 

pris après avis du Conseil économique, social et environnemental

Objet

Cet amendement du groupe Socialiste, écologiste et républicain vise à prendre le décret qui définira la liste des indicateurs de l'index séniors après consultation du Conseil économique, social et environnemental.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4179 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 2


Alinéa 6

Compléter cet alinéa par les mots :

pris après avis du Conseil économique, social et environnemental

Objet

Cet amendement de repli du groupe CRCE entend soumettre à avis préalable du Conseil économique, social et environnemental, le décret fixant les indicateurs de l’index séniors.

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 46 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. CABANEL, ARTANO et BILHAC, Mme Maryse CARRÈRE, MM. CORBISEZ, FIALAIRE, GOLD et GUÉRINI, Mme GUILLOTIN, M. GUIOL, Mme PANTEL et MM. REQUIER et ROUX


ARTICLE 2


Alinéa 6

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Cette liste comporte des indicateurs relatifs au bien-être au travail.

Objet

Cet amendement vise à garantir que l’index seniors prenne en compte des indicateurs relatifs au bien-être au travail.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3423

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


I – Alinéa 6

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Parmi ces indicateurs figurent le nombre de licenciements pour inaptitude et le nombre de reclassement pour inaptitude des salariés de plus de quarante-cinq ans.

II – Alinéa 9

a) Après le mot :

entreprises

insérer les mots :

d’au moins trois cents salariés

b) Remplacer le taux :

1 %

par le taux :

5 %

III. – Après l’alinéa 9

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« Les entreprises d’au moins cinquante salariés qui méconnaissent l’obligation de publication prévue à l’article L. 5121-7 peuvent se voir appliquer par l’autorité administrative une pénalité, dans la limite de 1 % des rémunérations et gains, au sens du premier alinéa de l’article L. 242-1 du code de la sécurité sociale et du premier alinéa de l’article L. 741-10 du code rural et de la pêche maritime, versés aux travailleurs salariés ou assimilés au cours de l’année civile précédant celle au titre de laquelle l’obligation est méconnue.

Objet

Ce projet de loi se caractérise par un silence absolu sur la question des licenciements pour inaptitude des salariés vieillissants ou usés évalués pourtant à plusieurs dizaines de milliers par an, une véritable épidémie silencieuse.

Cet amendement a pour objet, qu’à minima l’index seniors permette de disposer d’une information fiable et transparente sur ce fait social majeur.

Par ailleurs, il faut absolument différencier les PME et les grandes entreprises, en ce que ces dernières disposent des moyens conséquents pour mettre en œuvre l’index senior. C’est pourquoi la sanction doit être différenciée et notamment plus dissuasive pour les entreprises de 300 salariés au moins. A défaut, rien ne sera installé dans des temps raisonnables.

Cet amendement est issu d’une proposition de l’Association des accidentés de la vie (FNATH).   






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 178

23 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Demande de retrait
Retiré

M. MILON


ARTICLE 2


Alinéa 6

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Parmi ces indicateurs figurent le nombre de licenciements pour inaptitude et le nombre de reclassement pour inaptitude des salariés de plus de quarante-cinq ans.

Objet

Ce projet de loi se caractérise par un silence absolu sur la question des licenciements pour inaptitude des salariés vieillissants ou usés.

Pour être pertinent,l’index seniors doit  permettre de disposer d’une information fiable et transparente .






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2947 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Demande de retrait
Rejeté

Mmes MONIER et LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL, FÉRAUD, MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 2


Alinéa 6

Compléter cet alinéa une phrase ainsi rédigée :

Parmi ces indicateurs figurent le nombre de licenciements pour inaptitude et le nombre de reclassement pour inaptitude des salariés de plus de quarante-cinq ans.

Objet

Ce projet de loi élude la question des licenciements et du reclassement pour inaptitude des salariés vieillissants, évalués pourtant à plusieurs dizaines de milliers par an.

Il est proposé de faire figurer a minima ce fait social majeur parmi les indicateurs de l’index seniors.

Cet amendement est issu d’une proposition de la FNATH - Association des accidentés de la vie.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3184

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


Alinéa 6

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Parmi ces indicateurs figurent nécessairement le nombre de licenciements pour inaptitude et le nombre de reclassement pour inaptitude des salariés âgés de plus de cinquante ans.

Objet

Ce projet de loi qui recule l'âge de la retraite tout en prétendant veiller sur les conditions d'emploi des "seniors" passe sous silence les licenciements pour inaptitude et les reclassements pour inaptitude de ces salariés. Cet amendement vise à intégrer ces données parmi les indicateurs de l'index seniors."

Pour beaucoup de salariés, la solution, c’est « marche ou crève. » Une inquiétude justifiée : 95% des salariés déclarés inaptes sont licenciés, détaille un rapport de 2019 de la Haute Autorité de santé sur la désinsertion professionnelle, et ce, malgré l’obligation de reclassement à la charge de l’employeur. Il s'ensuit alors pour le salarié une perte durable d’emploi, qui est d’autant plus grande pour les séniors.

Malgré le fait que l’ambition affichée de cet index n’est pas suffisante dans la volonté d'améliorer l’embauche des séniors en n’associant pas cet index à des sanctions si l'entreprise n’emploie pas ou peu des séniors, cet outil mérite d’être amélioré afin de devenir un outil pertinent et complet de renforcement et de contrôle des mesures des entreprises en faveur de l’emploi des séniors.

Afin d’englober tous les paramètres pouvant affecter la qualité et l’effectivité des emplois, ainsi que les conditions de maintien dans l’emploi des séniors, le groupe Ecologiste - Solidarité et Territoires demande de faire figurer parmi les indicateurs le nombre de licenciements pour inaptitude et le nombre de reclassement pour inaptitude des salariés âgés de plus de cinquante ans.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 258 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

MM. CHASSEING, GUERRIAU et DECOOL, Mme MÉLOT, MM. LAGOURGUE, WATTEBLED, GRAND, MENONVILLE, Alain MARC et CAPUS et Mmes PAOLI-GAGIN et RENAUD-GARABEDIAN


ARTICLE 2


Alinéa 6

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ces indicateurs comprennent, notamment, le taux de licenciement et de ruptures conventionnelles parmi les salariés seniors ainsi que le taux de formations proposées aux seniors parmi l’ensemble des salariés.

Objet

Le présent amendement propose que les indicateurs de l’index seniors comprennent, entre autres, le taux de licenciement et de ruptures conventionnelles parmi les salariés seniors ainsi que le nombre de formations proposées aux seniors par rapport à l’ensemble des salariés.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 259 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

MM. CHASSEING, GUERRIAU et DECOOL, Mme MÉLOT, MM. LAGOURGUE, WATTEBLED, GRAND, MENONVILLE, Alain MARC et CAPUS et Mme PAOLI-GAGIN


ARTICLE 2


Alinéa 6

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ces indicateurs comprennent, notamment, le taux de licenciement et de ruptures conventionnelles parmi les salariés seniors, en distinguant leur sexe, ainsi que le taux de formations proposées aux seniors parmi l’ensemble des salariés.

 

Objet

Amendement de repli

Le présent amendement propose que les indicateurs de l’index seniors comprennent, entre autres, le taux de licenciement et de ruptures conventionnelles parmi les salariés seniors, en distinguant leur sexe, ainsi que le nombre de formations proposées aux seniors par rapport à l’ensemble des salariés.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3732

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. FERNIQUE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


Alinéa 6

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Cette liste contient au moins un indicateur spécifique sur l’emploi des femmes âgées d’au moins cinquante ans.

Objet

Cet amendement du Groupe Écologiste - Solidarité & Territoires vise à introduire un indicateur sur le genre dans l’index senior.

Un tel indicateur permettrait ainsi d’inciter les entreprises à publier de manière distincte les chiffres relatifs à l’emploi des femmes seniors et des hommes seniors, afin de constater plus nettement les inégalités de genre en fin de carrière.

Selon une étude de l'Observatoire français des conjonctures économiques datant de janvier 2020 : "Pour les femmes seniors précaires en sous-emploi durable, l’évolution spontanée du marché du travail (structures sectorielles, normes d’emploi...) ne permet pas d’anticiper une amélioration de la situation. C’est donc d’une part du côté de la sécurisation générale des parcours des emplois précaires, d’autre part de la levée des freins qui s’exercent sur les femmes seniors et de façon plus générale du combat contre les inégalités entre les femmes et les hommes tout au long de la carrière que se situent les perspectives d’amélioration."

On observe de façon générale que les femmes seniors sont pénalisées par un niveau de formation initiale moins élevé en moyenne, une moindre valorisation des diplômes et une reconnaissance des qualifications et compétences plus difficile à obtenir. Les emplois des femmes seniors sont majoritairement dans le tertiaire et moins qualifiés. 

La répartition socio-professionnelle reflète les qualifications acquises lors des décennies précédentes. Contrairement aux hommes dont la qualification s’accroît avec l’âge, ce qui compense le moindre niveau de formation initiale des générations anciennes, les femmes de plus de 50 ans ont des postes moins qualifiés que leurs cadettes.

Le moindre niveau de formation initiale des seniors pèse donc davantage car le déroulement de carrière est plus discriminant. Lorsqu’elles se sont interrompues ou qu’elles ont perdu leur emploi, les femmes peinent à retrouver du travail et acceptent plus souvent un poste moins qualifié, faute de mieux. Celles qui n’ont pas connu d’interruption ont également un parcours moins favorable que les hommes. L’élévation du niveau de formation des jeunes femmes ne suffira donc pas, à lui seul, à surmonter les inégalités, compte tenu des freins et des discriminations qui s’exercent.

La part des contrats temporaires dans l’emploi des femmes seniors est aussi plus élevée que celle des hommes. Enfin, les écarts des salaires moyens entre les femmes et les hommes croissent avec l’âge.

Aux fondements généraux des inégalités entre les femmes et les hommes s’ajoutent donc des discriminations spécifiques à l’encontre des seniors. Quel que soit le niveau de diplôme, les inégalités se forment dès l’entrée dans la vie active et s’amplifient avec l’âge. Pour les salariés à temps complet, la progression est beaucoup plus marquée chez les hommes, en particulier pour les plus diplômés, alors que pour les femmes, les carrières sont plus plates, qu’elles soient diplômées ou non, sans progression au fil des générations.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2481

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. DOSSUS, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


Alinéa 6

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Cette liste contient au moins des indicateurs spécifiques aux travailleurs séniors occupant un emploi d’employé.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires vise à garantir le fait que l’index séniors contienne des indicateurs spécifiques aux travailleuses et travailleurs séniors occupant un emploi d'employé.

La situation des séniors sur le marché du travail est déplorable. À 60 ans, près d'une personne sur trois n'est ni en emploi, ni à la retraite. La majorité d'entre elles sont en situation d'invalidité, de RSA ou de chômage, et donc dans une grande précarité. Plus généralement, en France, le taux d’emploi des 55-64 ans est de seulement 56 %, en dessous de la moyenne européenne qui se situe à 60,5 %. Ces chiffres s'expliquent notamment par la persistance d’une forme d’âgisme : les personnes de plus de 45 ans sont perçues comme étant moins à l’aise avec le numérique et présentant un plus grand risque de maladie ou d’arrêt de travail. 

Outre les difficultés des séniors à trouver ou à garder un emploi, il ne faut pas non plus oublier de parler des conditions de travail des séniors employés qui peuvent être désastreuses. Aussi, durer dans l’emploi est encore plus difficile pour les personnes les plus précaires exerçant des emplois à forte pénibilité. A titre d’exemple, au moins 20 % des infirmières finissent en invalidité à la fin de leur carrière à cause de la pression psychologique ou du rythme imposé par leur travail, ce qui les empêche d’avoir une carrière complète.

L’index séniors tel que présenté dans ce texte ne résout pas les problèmes inhérents à l’emploi des séniors et à leurs conditions de travail. C’est un pansement sur une jambe de bois. À défaut d’un dispositif ambitieux, les écologistes souhaitent améliorer cet index, notamment en ce qui concerne ses indicateurs. 

Il est précisé dans le texte que la liste des indicateurs de l’index séniors ainsi que leur méthode de calcul seront fixées par décret, ce qui n’offre que peu de garanties quant à ce que cet index mesurera effectivement. Parce qu’il est fondamental que cet index examine les conditions de travail des séniors, nous proposons par cet amendement que l’index contienne des indicateurs spécifiques aux travailleuses et travailleurs séniors occupant un emploi d'employé.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2755 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 2


Alinéa 6

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Cette liste contient au moins des indicateurs spécifiques aux travailleurs séniors occupant un emploi d’ouvriers.

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et républicain vise à garantir que l'index séniors contienne au moins des indicateurs spécifiques aux travailleurs séniors occupant un emploi d'ouvriers.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3205

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


Alinéa 6

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Cette liste contient des indicateurs spécifiques aux travailleurs séniors occupant un emploi d’ouvrier.

Objet

Cet amendement vise à garantir que l’index séniors contienne des indicateurs spécifiques aux travailleurs séniors occupant un emploi d’ouvrier.

Les ouvriers seront les premiers touchés par cette réforme brutale et inégalitaire. Il est nécessaire de rappeler que, selon l’Insee, 11 ans d’écart d’espérance de vie sans incapacité séparent, pour les hommes, les ouvriers et cadres, comme dans une moindre mesure chez les femmes.

Selon la dernière étude de la Dares, le service statistique du ministère du Travail, parue en avril 2022, le taux d’emploi des séniors après 60 ans s’effondre : seulement 35,5 % pour les 60-64 ans. Un constat encore aggravé lorsqu’on le détaille par catégorie sociale : à 61 ans, 61 % des cadres sont en activité, contre seulement 28 % des ouvriers.

Les ouvriers sont soumis à de plus grands risques professionnels (accidents, maladies, exposition à des produits toxiques). Selon la Dares, l’exposition à des facteurs de pénibilité est fortement corrélée à la catégorie socioprofessionnelle : ce sont 0,6 % des cadres qui sont exposés à la manutention de charges lourdes, alors que ce facteur de pénibilité concerne 18 % des ouvriers. Les ouvriers concentrent également la quasi-totalité des maladies professionnelles, avec une proportion atteignant les 71 % selon les “Chiffres clés sur les conditions de travail et la santé au travail” de la Dares en 2021.

Ainsi, les ouvriers (71 %) et les employés (23 %) concentrent la quasi-totalité des maladies professionnelles reconnues en 2016 pour les salariés hors régime agricole. Les maladies les plus graves concernent quasi exclusivement les ouvriers, avec respectivement 92 % et 95 % des affections liées à l’amiante et des surdités reconnues en 2016

Les conditions de travail des ouvriers sont déjà fortement altérées, elles seront alors d’autant plus dégradées avec l’allongement de l’âge de départ à la retraite. Au vu des conditions spécifiques des ouvriers en termes de conditions de travail, d’intensification et de rythme de travail, de risques professionnels, un indicateur spécifique ouvriers est nécessaire.

Cet indicateur permettra ainsi d’ajuster les politiques afin de favoriser l’emploi et le maintien des ouvriers séniors.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3109 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. ASSOULINE, Mme de LA GONTRIE, MM. CHANTREL, MAGNER, FÉRAUD, CARDON et MARIE, Mmes MONIER et Sylvie ROBERT, MM. PLA et STANZIONE et Mmes LE HOUEROU, MEUNIER et BRIQUET


ARTICLE 2


Alinéa 6

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Cette liste contient des indicateurs relatifs aux personnes en situation de handicap.

Objet

Cet amendement vise à garantir que l’index séniors contienne au moins des indicateurs spécifiques aux travailleurs en situation de handicap.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4183 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 2


Alinéa 6

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Cette liste contient des indicateurs spécifiques aux différentes catégories socio-professionnelles.

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent préciser que les indicateurs de l’index séniors seront spécifiques aux différentes catégories socio-professionnelles.

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3123

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


Après l’alinéa 6

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« La liste des indicateurs fixé par décret comprend le nombre de rupture de contrats prononcée pour inaptitude impliquant les salariés de plus de cinquante ans employés dans l’entreprise par genre et sur les cinq dernières années.

Objet

Les contraintes et les risques physiques se sont fortement accrus depuis plus de 30 ans.

Selon la DARES, l’exposition à au moins trois contraintes physiques concerne 34 % des salariés en 2016 alors qu’ils n’étaient que 12,1% en 1984. Les ouvriers et les employés sont particulièrement concernés, qu’ils soient qualifiés ou non. En 1984, 21,2% des ouvriers non qualifiés étaient exposés à au moins 3 contraintes physiques, ils sont 63,4% en 2016 ; 23,5% des ouvriers qualifiés étaient exposés à au moins 3 contraintes physiques en 1984, ils sont 60,8% en 2016 ; 13,2% des employés en 1984 étaient exposés à au moins 3 contraintes physiques, ils sont 46,9% en 2016 …

L’intensification du travail touche particulièrement les salariés les plus âgés. Selon une étude menée par l’observatoire Evrest, spécialisé dans l’étude des évolutions et santé au travail, après 60 ans, la moitié des ouvriers et des employés doutent que leur état de santé leur permette, à horizon de deux ans, de poursuivre leur travail actuel. Et l’on sait par d’autres travaux scientifiques que ces doutes sont souvent fondés et laissent présager la survenue d’incapacités. Avec des risques sérieux de perte d’emploi et d’une longue période de chômage.

En parallèle, et alors que selon la loi, le salarié reconnu inapte par le médecin du travail doit être reclassé, 95 % des salariés déclarés inaptes sont licenciés, selon un rapport de 2019 de la Haute Autorité de santé.

Pour un employé senior, un licenciement rime avec chômage longue durée jusqu’à la retraite car ses chances d’être embauché à nouveau sont extrêmement minces. Ainsi, si la volonté du gouvernement est réellement de renforcer le maintien en emploi des séniors à travers la création de cet index, les indicateurs qu’il comporte doivent être pertinents et, en l’occurrence, comprendre les licenciements pour inaptitude des salariés séniors. C’est ce que nous proposons par cet amendement.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3124

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


Après l’alinéa 6

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« La liste des indicateurs fixé par décret comprend le nombre de rupture de contrats prononcée pour inaptitude impliquant les salariés de plus de soixante ans employés dans l’entreprise par genre sur les cinq dernières années.

Objet

Le travail s’est très fortement intensifié depuis plus de 30 ans. Selon la DARES, tous les indicateurs d’intensité du travail et de pression temporaire se sont aggravés et touchent toutes les catégories socio-professionnelles et les hommes comme les femmes :

Avoir au moins trois contraintes de rythme concernent désormais plus du tiers des salariés contre moins de 6 % en 1984, désormais plus de 53 % des ouvriers qualifiés soit 6 fois plus qu’en 1984, près d’un cadre sur cinq et pour ces derniers une multiplication par presque 7

Ne pas pouvoir quitter son emploi des yeux concernent 43 % des salariés

Avoir un rythme de travail imposé par un contrôle ou un suivi informatisé plus d’un tiers

Et c’est ainsi de tous les indicateurs d’intensité comme s’envolent les contraintes sur le rythme de travail comme l’imposition de normes de production à satisfaire en une journée de 21 % en 1978 à 48 % en 2016 & même en une heure de 5 % en 1984 à 29 % en 2016.

L’intensification du travail et des rythmes rend particulièrement difficile l’adaptation des salariés les plus âgés qui ont besoin de temps d’anticipation pour mobiliser leurs compétences acquises par l’expérience.

Enfin, même si les seniors ne sont pas plus touchés par le chômage que les autres groupes d’âges, les seniors sont beaucoup plus touchés par le chômage de longue durée, que la réforme de l’assurance chômage a fortement réduite car le taux de retour à l’emploi à 24 mois est de 33% pour les 59 ans et + contre 70% pour l’ensemble des indemnisés.

Ainsi, si la volonté du gouvernement est réellement de renforcer le maintien en emploi des séniors à travers la création de cet index, les indicateurs qu’il comporte doivent être pertinents et tracer les sorties par licenciement, ici par inaptitude, des salariés les plus âgés pour qui la réforme va être la plus brutale.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3152

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


Après l'alinéa 6

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« Dans les entreprises d’au moins cinquante salariés, lorsque les résultats obtenus par l’entreprise, au regard des indicateurs mentionnés au présent article, se situent en-deçà d’un niveau défini par décret, l’entreprise dispose d’un délai d’un an pour se mettre en conformité. À l’expiration de ce délai, si les résultats obtenus sont toujours en-deçà du niveau défini par décret, l’employeur peut se voir appliquer une pénalité financière. Dès lors qu’une pénalité lui est appliquée sur le fondement du présent alinéa, l’employeur ne peut se voir appliquer la pénalité financière prévue à l’article L. 2242-8.

Objet

Cet article prévoit, chaque année, la publication par les entreprises d’au moins cinquante salariés, « des indicateurs relatifs à l’emploi des seniors, en distinguant leur sexe, ainsi qu’aux actions mises en œuvre pour favoriser leur emploi au sein de l’entreprise ».

De la même manière que les entreprises ayant des résultats insuffisants à l’indicateur d’égalité professionnelle sont sanctionnées financièrement, cet amendement se propose de sanctionner les entreprises ayant des résultats insatisfaisants au regard des critères de l’index sénior, et pas uniquement celles ne publiant pas l’indicateur sur l’emploi des séniors.

Cette sanction permettrait de créer une motivation financière au-delà de celle recherchée en termes d’image afin que les entreprises mettent en place des politiques d’emploi réellement efficaces en faveur des salarié.e.s âgé.e.s.

Nous notons que le Gouvernement recule face au MEDEF en refusant d’associer l’index séniors à des sanctions, initialement envisagées. Sans sanction, cet index n’aura aucun pouvoir de contrainte. Alors que la direction de la Recherche, des Études, de l’Évaluation et des Statistiques (DREES) relevait en 2020 que le taux de pauvreté des personnes « ni en emploi ni en retraite » de 53 à 69 ans était de 32 % (D’Isanto, Hananel et Musiedlak 2020).

Selon une étude de la Dares, le service statistique du ministère du Travail, parue en avril 2022, seulement 56,1 % des 55-64 ans étaient en emploi en France au 4 ème trimestre 2021. Pire : s’il se maintient autour de 75 % pour les 50-59 ans, le taux d’emploi s’effondre après 60 ans. Un constat encore aggravé lorsqu’on le détaille par catégorie sociale : à 61 ans, 61 % des cadres sont en activité, contre 28 % des ouvriers[1].

Par cet amendement, nous demandons que les entreprises aient des obligations de résultats quant à l’emploi des séniors.

[1] <https ://www.alternatives-economiques.fr/travailler-plus-francais-deja-4-autres-infographies-a-ne-pa/00106047>

 

 






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3178

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


Alinéa 7

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement supprime la possibilité laissée à un accord de branche de déroger aux indicateurs et méthodes de calcul déterminés par décret et relatifs à l’emploi des séniors. En effet, cette mesure reviendrait à pouvoir vider de substance cette disposition déjà très peu contraignante.

Des indicateurs définis, clairs, comme des méthodes de calculs permettant des analyses précises et complètes en matière d’emploi des séniors risquent de disparaître lors des discussions de branches. Ces données précieuses, communes à toutes les branches permettront une analyse globale, sur des critères communs à l’échelle de la société toute entière.

Rien n’interdit par contre de rajouter des indicateurs.

Par cet amendement, le groupe Écologistes - Solidarité et Territoires souhaite faire de cet outil qu’est l’index sénior, un outil performant afin de lutter contre le non-emploi des seniors, dans une optique globale, et qui risque de perdre de son efficacité si les indicateurs et les méthodes sont déterminés par un accord de branche.

 






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4186 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 2


Alinéa 7

Supprimer cet alinéa.

Objet

Les membres du groupe CRCE estiment fondamentalement que la loi doit prévoir les indicateurs de l’index séniors et que des conventions ou les accords de branche étendus n’ont pas vocation à se substituer mais à moduler ou préciser l’application d’indicateurs, une nouvelle fois, fixés dans la loi.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2784 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 2


Alinéa 7

Remplacer le mot :

déterminer

par le mot :

enrichir

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à ne pas laisser la possibilité à la branche d'établir des indicateurs sur l'emploi des séniors moins-disants que le décret qui sera pris à cet effet.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4189 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 2


Alinéa 7

Compléter cet alinéa par les mots :

sans que la liste déterminée par convention ou un accord de branche ne puisse contenir moins d’indicateurs que celle fixée par décret

Objet

Cet amendement de repli du groupe CRCE entend s’assurer que par convention ou lors d’un accord de branche étendu, les indicateurs retenus ne puissent être inférieurs à ceux de la norme nationale, le cas échéant et même si nous le regrettons, défini par la voie règlementaire.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2483

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. DOSSUS, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


Alinéa 7

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Cette convention ou cet accord de branche ne peuvent être moins-disant que la voie réglementaire.

Objet

Le présent amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires envisage de sécuriser l’adaptation par accord de branche ou convention de la liste des indicateurs en s’assurant que ces indicateurs ne soient pas revus à la baisse en cas de rapport de force défavorable aux salariés séniors.

La réforme proposée par le gouvernement va grandement affecter les séniors. Le gouvernement fait le pari qu'un recul de l'âge légal augmentera mécaniquement le taux d'emploi des seniors. Or, les séniors les plus éloignés de l'emploi ne seront pas miraculeusement embauchés après la réforme. Chaque réforme de décalage de l’âge légal de départ à la retraite a provoqué un pic de ruptures de contrats des travailleuses et des travailleurs séniors. Des séniors sont ainsi licenciés ou placardisés sans raison, basculant le plus souvent dans la précarité. Pour ceux qui ont pu conserver leur emploi, les conditions de travail ne sont pas toujours au beau fixe et ils finissent fréquemment leur carrière usés et épuisés.

L’index séniors proposé dans ce texte est la principale mesure prévue par le gouvernement pour résoudre les difficultés auxquelles sont confrontés les séniors sur le marché du travail. Cette mesure se base sur l’idée qu’un index que les entreprises de plus de 50 salariés devraient publier tous les ans suffirait à résoudre les problèmes du chômage et des conditions de travail des séniors. 

À l’heure actuelle, l'index séniors ne comporte aucune garantie attestant de son efficacité. Aucune sanction n'est prévue à l'encontre des entreprises qui ne respecteraient pas les « bonnes pratiques » édictées en matière d'emploi des séniors.

Le texte de l’article 2 renvoie à un décret le soin de fixer la liste des indicateurs de cet index ainsi que leurs méthodes de calcul. L'article laisse également la possibilité à la négociation collective de branche d'adapter ces indicateurs. Si l’adaptation de l’index peut permettre une meilleure prise en compte de chaque milieu professionnel, la rédaction actuelle de l’article pourrait être dommageable : il y a un risque de dégradation des mesures de l’emploi des séniors qu’il convient d’encadrer.

Ainsi, cet amendement demande à ce que toute nouvelle modification des indicateurs par accord de branche ou convention n’entraîne pas une dévalorisation des indicateurs déterminés par décret.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3734

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. FERNIQUE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


Alinéa 7

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Dans le cas où une convention ou un accord de branche a été conclu, le bénéfice des réductions de cotisations prévues à l’article L. 241-2-1 du code de la sécurité sociale est conditionné au respect, par les entreprises concernées, des indicateurs qui y sont mentionnés.

Objet

Le dispositif de l’index senior proposé par le Gouvernement est trop peu ambitieux pour permettre un réel changement de comportement des entreprises qui font preuve d'une discrimination dans l’emploi des seniors.

Les employeurs qui ne se plieraient pas à cette obligation de publication se verraient imposer une sanction financière : verser une contribution assise sur un pourcentage de la masse salariale, dans une limite fixée à 1%, et dont le produit serait reversé à Caisse nationale d’assurance-vieillesse (CNAV).

A terme, les entreprises où l’emploi des seniors ne progresse pas feraient aussi l’objet d’une « obligation renforcée de négociation d’un accord social » afin d’améliorer la situation sur l’emploi des seniors en leur sein.

Au-delà de ces sanctions trop peu dissuasives, le présent amendement propose que, pour les entreprises qui ont conclu un accord de branche ou une convention relatifs à la définition des indicateurs mentionnés, le bénéfice des dispositifs généraux de réduction ou d'exonération de cotisations sociales soit conditionné à une mise en place effective et au respect des indicateurs de l’index senior.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3735

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. FERNIQUE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


Après l'alinéa 7

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« Pour les entreprises de plus de trois cents salariés, le bénéfice des réductions de cotisations prévues à l’article L. 241-2-1 du code de la sécurité sociale est conditionné à la conclusion d’une convention ou d’un accord de branche relatif à la formation et au maintien en emploi des seniors.

Objet

Le dispositif de l’index senior proposé par le Gouvernement est trop peu ambitieux pour permettre un réel changement de comportement des entreprises qui font preuve d'une discrimination dans l’emploi des seniors.

Les employeurs qui ne se plieraient pas à cette obligation de publication se verraient imposer une sanction financière : verser une contribution assise sur un pourcentage de la masse salariale, dans une limite fixée à 1%, et dont le produit serait reversé à Caisse nationale d’assurance-vieillesse (CNAV).

A terme, les entreprises où l’emploi des seniors ne progresse pas feraient aussi l’objet d’une « obligation renforcée de négociation d’un accord social » afin d’améliorer la situation sur l’emploi des seniors en leur sein.

Au-delà de ces sanctions trop peu dissuasives, il est proposé que le bénéfice des dispositifs généraux d'exonérations de cotisations soient soumis à la conclusion d’une convention ou d’un accord de branche relatifs à la formation et au maintien en emploi des seniors.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3736

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. FERNIQUE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


Après l’alinéa 7

Insérer deux alinéas ainsi rédigés :

« Pour les entreprises de plus de trois cents salariés, le bénéfice des réductions de cotisations prévues à l’article L. 241-2-1 du code de la sécurité sociale est conditionné à la réalisation d’un entretien professionnel à destination des salariés ayant atteint l’âge de 55 ans et travaillant au sein de l’entreprise depuis trois ans. Cet entretien aborde, en plus des dispositions précédentes, les mesures concernant l’aménagement du poste de travail, la qualité de vie au travail et la transition entre l’emploi et la retraite. Cet entretien répond à un cahier des charges spécifique et des opérateurs labellisés. 

« Les modalités d’application de la présente disposition sont définies par décret en Conseil d’État.

Objet

L’emploi des seniors en France est une problématique majeure. Pour rappel, à 60 ans, plus d'une personne sur quatre n'est ni en emploi, ni à la retraite. La majorité d'entre elles sont en situation d'invalidité, de RSA ou de chômage, et dans une grande précarité (+ 25 %).

Cette situation s'explique notamment par la persistance d’une forme d’âgisme : les « seniors », dès 45 ans, sont perçus comme moins agiles, moins à l’aise avec le numérique, présentant un plus grand risque de maladie ou d’arrêt de travail. Selon une enquête d’Indeed, malgré la crise du recrutement, 4 chefs d’entreprise sur 10 disent qu’ils ne prévoient pas d’embaucher un candidat de plus de 45 ans dans un proche avenir. 

L’amélioration de l’emploi des seniors passe donc par la mise en place d’un index senior ambitieux, mais la mise en place de ce dispositif seul sera loin d’être suffisante. Il est essentiel d’instaurer des procédures au sein de l’entreprise pour permettre de garantir les bonnes conditions d’emploi des seniors.

Cela peut se matérialiser par le déploiement de diverses procédures visant à favoriser l’acquisition de compétences, la formation, la qualité de vie au travail et l’aménagement au travail des seniors. C’est une condition essentielle pour favoriser l’emploi, le maintien en emploi et l’emploi de qualité pour les seniors.

Afin d’y parvenir, le Groupe Écologiste - Solidarité & Territoires propose de conditionner les exonérations fiscales des entreprises prévues à l’article L. 241-2-1 du code de la sécurité sociale, à la réalisation d’entretiens avec tous les salariés de plus de 55 ans et travaillant au sein de l’entreprise depuis plus de trois ans. Ces entretiens doivent notamment aborder les questions de la pénibilité du travail, de la formation, de la qualité de vie au travail et de l’aménagement du poste de travail.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3737

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. FERNIQUE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


Alinéa 8

1° Supprimer les mots :

la date et

2° Compléter cet alinéa par deux phrases ainsi rédigées :

Chaque année, au plus tard le 1er février, les entreprises concernées par le présent article publient et transmettent à l’autorité administrative les indicateurs relatifs à l’année précédente. Par dérogation aux présentes dispositions, les indicateurs portant sur l’année 2022 sont publiés au plus tard le 1er janvier 2024.

Objet

Cet amendement vise à prévoir une date limite pour la publication des indicateurs liés à l’index senior ainsi que leur transmission auprès de l'autorité administrative.

Les auteurs de cet amendement souhaitent faciliter la mise en place de ce dispositif en prévoyant notamment une échéance claire et réalisable.

La fixation d'un délai précis de publication et de transmission - au maximum le 1er février pour l'année civile précédente - permettra en outre de rendre cet index un peu plus effectif.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2484

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. DOSSUS, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


Alinéa 8

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

L’Inspection du travail se voit immédiatement communiquer sur sa demande les données ayant permis la construction des indicateurs lors de ses contrôles sur pièces et sur place.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires vise à prévoir la possibilité pour l’Inspection du travail de contrôler les entreprises grâce à un accès aux données ayant permis la construction des indicateurs de l’index séniors. 

L’index séniors proposé dans ce texte est la principale mesure prévue par le gouvernement pour mettre fin au chômage des séniors. Cette mesure se base sur l’idée qu’un index que les entreprises de plus de 50 salariés devraient publier tous les ans suffirait à résoudre comme par magie les difficultés auxquelles font face les séniors en recherche d’emploi. 

L’index séniors est une mesure plus qu’insuffisante qui ne comporte de surcroît aucune garantie. Comment s’assurer que cela incitera les entreprises à mieux traiter les séniors sur le marché de l’emploi ? Comme l’a rappelé il y a quelques jours sur le plateau de BFMTV Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT, « sur le fond, cet index ne sert à rien. La question, c’est quelle sanction on applique à ces entreprises qui dégagent des milliers de salariés avec des fonds publics ».

Le gouvernement propose des mécanismes incitatifs inefficaces, sans demander de réelles contreparties aux entreprises. Cet index séniors est à l’instar de l’index d’égalité hommes-femmes, dispositif créé en 2018 qui n’a guère favorisé l’application de la loi sur l’égalité salariale. 

Qui plus est, le texte de l’article 2 renvoie à un décret le soin de fixer la liste des indicateurs de cet index ainsi que leurs méthodes de calcul, tout en laissant également la possibilité à la négociation collective de branche d'adapter ces indicateurs. La liberté totale de détermination des indicateurs interroge. Comment vérifier la pertinence des indicateurs et la fiabilité des chiffres remontés ?

À ce titre, nous proposons cet amendement de repli afin de prévoir un accès aux indicateurs de l’index séniors à l’inspection du travail lors de contrôles sur pièces et sur place. À défaut d’une mesure réellement ambitieuse, les écologistes proposent de revaloriser au moins le contrôle de l’index séniors.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2785 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 2


Alinéa 8

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

L’inspection du travail se voit immédiatement communiquer sur sa demande les données ayant permis la construction des indicateurs lors de ses contrôles sur pièces et sur place.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à ce que l'Inspection du travail ait un droit de regard sur la construction des indicateurs par les entreprises soumises à publication de l'index dit "seniors".



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4198 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 2


Alinéa 8

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

L’inspection du travail se voit immédiatement communiquer, sur sa demande, les données ayant permis la construction des indicateurs lors de ses contrôles sur pièce et sur place.

Objet

Les membres du groupe CRCE prévoient par cet amendement que l’Inspection du travail puisse en particulier contrôler les entreprises n’ayant pas publié l’index séniors.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3738

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. FERNIQUE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


Après l’alinéa 8

Insérer deux alinéas ainsi rédigés :

« La mise en place, la conformité et la transmission des indicateurs ainsi que les actions mises en œuvre pour favoriser l’emploi des seniors font l’objet d’un contrôle dans l’année suivant la date de sa mise en application.

« Les modalités d’application de la présente disposition sont définies par décret au plus tard six mois après l’entrée en vigueur de la loi n° du de financement rectificative pour 2023.

Objet

L’absence de cadre juridique précis et défini sur l’étendue et les modalités des indicateurs de l’index senior pourrait entraîner des risques de contournement du dispositif par les entreprises. 

Ceci, à l’instar de l’index d’égalité hommes-femmes, créé en 2018 et qui n’a guère favorisé l’application de la loi sur l’égalité salariale. On constate que ces mécanismes incitatifs sont inefficaces, et n’imposent pas de réelles contreparties aux entreprises. Ainsi, en 2021, encore 53 entreprises de 250 à 1000 salariés enregistraient une note inférieure à 75 points pour la troisième année consécutive pour cet index d’égalité hommes-femmes.

Afin de rendre l’index senior plus contraignant pour les entreprises, il est donc indispensable de pouvoir contrôler de façon stricte la mise en place et la conformité des indicateurs et des actions mises en œuvre pour favoriser l’emploi des seniors.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2485

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. DOSSUS, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


Après l’alinéa 8

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« La mise en place, la conformité et la transmission des indicateurs ainsi que les actions mises en œuvre pour favoriser l’emploi des séniors font l’objet d’un contrôle dans l’année suivant la date de sa mise en application.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires vise à instaurer un contrôle l’année suivant la mise en application de l’index séniors.

L’emploi des séniors est aujourd’hui en situation critique. D’après l’OCDE, le taux d'emploi des 55-64 ans atteint 56,8% en France, contre 62,6 % dans la zone euro. Les salariés de plus de 50 ans sont souvent victimes de pratiques délétères de la part de leurs entreprises, qui préfèrent les placardiser ou les licencier. Les discriminations ont la vie dure : ces salariés en fin de carrière sont nombreux à être jugés trop coûteux ou encore trop susceptibles de tomber malades.

L’index séniors proposé dans ce texte est la principale mesure prévue par le gouvernement pour résoudre les difficultés auxquelles sont confrontés les séniors sur le marché du travail. Cette mesure se base sur l’idée qu’un index que les entreprises de plus de 50 salariés devraient publier tous les ans suffirait à résoudre les problèmes du chômage et des conditions de travail des séniors.

À l’heure actuelle, l'index séniors ne comporte aucune garantie attestant de son efficacité. Aucune sanction n'est prévue à l'encontre des entreprises qui ne respecteraient pas les « bonnes pratiques » édictées en matière d'emploi des séniors. Le texte de l’article 2 renvoie à un décret le soin de fixer la liste des indicateurs de cet index ainsi que leurs méthodes de calcul. L'article laisse également la possibilité à la négociation collective de branche d'adapter ces indicateurs.

Compte tenu du manque de précisions sur l’étendue et les modalités des indicateurs, les risques de contournement du dispositif par les entreprises sont réels. Cela a d’ailleurs été le cas en ce qui concerne l’index d’égalité professionnelle femmes-hommes.

Dans l’optique de faire de l’index séniors un outil réellement contraignant pour les entreprises, il convient donc de mettre en place des contrôles stricts de son application, de l’élaboration des réponses aux indicateurs et des mesures mises en œuvre pour remédier aux manquements en matière d’emploi des seniors. Tel est l’objet du présent amendement.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4201 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 2


Après l’alinéa 8

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« La mise en place, la conformité et la transmission des indicateurs ainsi que les actions mises en œuvre pour garantir l’emploi des seniors font l’objet d’un contrôle dans l’année suivant la date de sa mise en application.

Objet

Les membres du groupe CRCE inscrivent cet amendement dans la liste de ceux souhaitant faire de l’index séniors un outil réellement contraignant pour les entreprises. Pour ce faire, il convient donc de mettre en place des contrôles, d’élaboration des réponses aux indicateurs et des mesures prises pour remédier aux manquements en matière d’emploi des seniors.

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 197 rect. bis

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. SAVIN, Mmes JOSEPH, ESTROSI SASSONE, DEMAS et BELLUROT, MM. Daniel LAURENT, PIEDNOIR et DAUBRESSE, Mmes de CIDRAC et DI FOLCO, MM. PANUNZI, BRISSON et GROSPERRIN, Mmes BELRHITI et IMBERT, MM. PELLEVAT et KLINGER, Mme DUMONT, MM. LAMÉNIE et Bernard FOURNIER, Mme GARNIER, MM. MOUILLER et BELIN, Mmes BOURRAT, LASSARADE, Laure DARCOS et VENTALON et MM. Cédric VIAL, HUGONET, FAVREAU, SIDO, Étienne BLANC et RAPIN


ARTICLE 2


Après l’alinéa 8

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« Dans le cas des structures sportives professionnelles, le présent article n’est applicable qu’à la population dite administrative. L’index ne s’applique pas aux salariés mentionnés aux 1° et 2° de l’article L. 222-2 du code du sport.

Objet

Amendement de précision visant à prendre en compte les particularités du sport professionnel. L’index senior poursuit l’objectif d’améliorer l’insertion de cette population sur le marché du travail, mais il présente un écueil majeur concernant son application aux clubs professionnels.

Les carrières sportives professionnelles sont particulièrement courtes - en moyenne inférieures à sept ans, et pouvant également être stoppées brutalement suite à une blessure - au regard de l’âge légal de départ à la retraite. Par ailleurs, afin d’assurer les meilleures performances, les sportifs professionnels effectuent leur carrière en moyenne entre 18 et 30 ans, et les contrats sont par définition à durée déterminée. A la fin de leur contrat, les sportifs, joueurs et entraineurs ne peuvent pas tous bénéficier d’un reclassement sur des postes administratifs internes.

Aussi, à la lumière de ces éléments, la mise en place d’un index senior n’est pas adapté aux spécificités du sport professionnel et si les entreprises sont redevables d’une pénalité, c’est tout un secteur d’activités qui serait menacé. Enfin, le souhait du gouvernement de laisser la possibilité aux branches d’organiser la mise en place de l’index senior ne permettrait pas de le limiter aux fonctions administratives.

Cet amendement propose donc d’inscrire dans la loi l’application de cet index aux structures sportives uniquement sur la population dite administrative, en excluant les sportifs, joueurs et entraineurs de son périmètre.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 233 rect.

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. KERN, LEVI et PRINCE, Mmes de LA PROVÔTÉ et PERROT, M. CANÉVET, Mme BILLON, M. DUFFOURG et Mme GACQUERRE


ARTICLE 2


Après l’alinéa 8

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« Dans le cas des structures sportives professionnelles, le présent article n’est applicable qu’à la population dite administrative. L’index ne s’applique pas aux salariés mentionnés aux 1° et 2° de l’article L. 222-2 du code du sport.

Objet

Cet amendement de précision vise à prendre en compte les particularités suivantes du sport professionnel :

- Les contrats de travail sont, dans le sport professionnel, des contrats à durée déterminée spécifiques ;

- Les carrières sportives professionnelles sont particulièrement courtes – en moyenne inférieures à sept ans, et pouvant également être stoppées brutalement suite à une blessure – au regard de l’âge légal de départ à la retraite ;

- Les sportifs, joueurs et entraineurs, ne peuvent pas tous bénéficier d’un reclassement sur des postes administratifs internes.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1012 rect.

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LOZACH, KANNER, BOURGI, MAGNER, GILLÉ, DEVINAZ, DURAIN et MONTAUGÉ, Mme PRÉVILLE, MM. Patrice JOLY, LUREL, TEMAL et CHANTREL, Mmes POUMIROL et HARRIBEY et MM. CARDON et STANZIONE


ARTICLE 2


Après l’alinéa 8

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« Dans le cas des structures sportives professionnelles, le présent article n’est applicable qu’à la population dite administrative. L’index ne s’applique pas aux salariés mentionnés aux 1° et 2° de l’article L. 222-2 du code du sport.

Objet

Amendement de précision ayant pour objet la prise en compte les particularités suivantes du sport professionnel : 

- Les contrats de travail sont, dans le sport professionnel, des contrats à durée déterminée spécifiques ; 

- Les carrières sportives professionnelles sont particulièrement courtes - en moyenne inférieures à sept ans, et pouvant également être stoppées brutalement suite à une blessure - au regard de l’âge légal de départ à la retraite ;

- Les sportifs, joueurs et entraineurs, ne peuvent pas tous bénéficier d’un reclassement sur des postes administratifs internes.

Cet amendement vise donc à ce que cet Index dit "senior" s’applique aux structures sportives professionnelles uniquement sur la population administrative, en excluant expressément les sportifs, joueurs et entraineurs, de son périmètre d’appréciation.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2787 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 2


Après l’alinéa 8

Insérer deux alinéas ainsi rédigés :

« Art. L. 5121-7-… – Les taux de cotisations « accidents du travail – maladies professionnelles » des entreprises d’au moins cinquante salariés peuvent être majorés en fonction de leur classement à l’index seniors.

« Les modalités de mise en œuvre du premier alinéa sont définies par voie réglementaire, après consultation des organisations syndicales représentatives des salariés et des employeurs

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à majorer le taux de cotisation à l'assurance AT-MP des employeurs ne respectant pas l'index séniors, ce dès 50 salariés.

D’après la DARES, seulement 33 % des personnes âgées de 60 à 63 ans sont en emploi en France en 2022, contre 45 % dans l’ensemble de l’Union européenne (70 % en Suède).

Le taux d’emploi de la tranche d’âge 55-64 ans s’élève lui à 56 %, mais reste inférieur de près de 5 points à la moyenne des pays de l’Union européenne.

Or d’après la Chaire Transitions démographiques, augmenter de 10 points le taux d’emploi des seniors d’ici à 2030 permettrait de résorber le déficit des retraites d'ici 2030, quel que soit le scénario du COR.

A l’heure actuelle, les taux de cotisation des entreprises pour les accidents du travail et les maladies professionnelles varient déjà en fonction de leur taille et de leur sinistralité.

Dès lors, une modulation à la hausse selon leurs résultats à l’index, peut s’avérer particulièrement incitative.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4205 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 2


Après l’alinéa 8

Insérer deux alinéas ainsi rédigés :

« Art. L. 5121-7-…. – Les taux de cotisations « accidents du travail – maladies professionnelles » des entreprises d’au moins cinquante salariés peuvent être majorées en fonction de leur classement à l’index seniors.

« Les modalités de mise en œuvre du premier alinéa sont définies par voie réglementaire, après consultation des organisations syndicales représentatives des salariés et des employeurs.

Objet

Les membres du groupe CRCE estiment qu’il serait légitime de majorer les cotisations AT-MP des entreprises d’au moins 50 salariés si les résultats de leur index séniors ne sont pas satisfaisants.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3740

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. FERNIQUE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


Alinéas 9 et 10

Remplacer ces alinéas par quatre alinéas ainsi rédigés :

« Art. L. 5121-8. - Le bénéfice des réductions de cotisations prévues à l’article L. 241-2-1 du code de la sécurité sociale sont conditionnées à l’obtention de résultats au-delà d’un niveau minimal est défini par décret, au regard des indicateurs mentionnés au deuxième alinéa de l’article L. 5121­7 du présent code.

« Les entreprises qui, d’une part occupent moins de 5 000 personnes, et d’autre part, ont un chiffre d’affaires annuel n’excédant pas 1 500 millions d’euros ou un total de bilan n’excédant pas 2 000 millions d’euros disposent d’un délai de trois mois pour se mettre en conformité.

« Les entreprises qui, d’une part occupent moins de 250 personnes, et d’autre part, ont un chiffre d’affaires annuel n’excédant pas 50 millions d’euros ou un total de bilan n’excédant pas 43 millions d’euros disposent d’un délai de six mois pour se mettre en conformité.

« Les modalités d’application de la présente disposition sont définies par décret en Conseil d’État.

Objet

Cet amendement propose d’une part, d’établir un barème et un score minimum à atteindre et, d’autre part, de conditionner les exonérations de cotisations prévues à l’article L. 241-2-1 du code de la sécurité sociale à l’obtention de résultats satisfaisants, au dessus d’un seuil minimal qui sera défini par décret.

Dans la mesure où les sanctions financières appliquées dans le cadre de l’index égalité professionnelle femmes-hommes n’ont pas été suffisamment dissuasives pour avoir un impact substantiel sur les pratiques des entreprises en matière d’inégalités de femmes-hommes, il apparaît essentiel de prévoir un dispositif plus coercitif pour l’index senior.

Tandis que les dispositifs d’exonération de cotisations à l’assurance maladie dont bénéficient les employeurs se sont multipliés sans pour autant démontrer leur efficacité, il paraît raisonnable de conditionner de telles exonérations à des efforts quantifiables permettant de parvenir à une amélioration de l’emploi des seniors.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4213 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 2


Alinéas 9 et 10

Remplacer ces alinéas par quatre alinéas ainsi rédigés :

« Art. L. 5121-8. - Le bénéfice des réductions de cotisations prévues à l’article L. 241-2-1 du code de la sécurité sociale sont conditionnées à l’obtention de résultats au-delà d’un niveau minimal est défini par décret, au regard des indicateurs mentionnés au deuxième alinéa de l’article L. 5121­7 du présent code.

« Les entreprises qui, d’une part occupent moins de 5 000 personnes, et d’autre part, ont un chiffre d’affaires annuel n’excédant pas 1 500 millions d’euros ou un total de bilan n’excédant pas 2 000 millions d’euros disposent d’un délai de trois mois pour se mettre en conformité.

« Les entreprises qui, d’une part occupent moins de 250 personnes, et d’autre part, ont un chiffre d’affaires annuel n’excédant pas 50 millions d’euros ou un total de bilan n’excédant pas 43 millions d’euros disposent d’un délai de six mois pour se mettre en conformité.

« Les modalités d’application de la présente disposition sont définies par décret en Conseil d’État.

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent établir un barème et un score minimal à atteindre ainsi que conditionner la réduction de cotisations d’assurance maladie de 6 points pour les salaires inférieurs à 2,5 SMIC à l’obtention d’une note satisfaisante.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3739

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. FERNIQUE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


Alinéas 9 et 10

Remplacer ces alinéas par quatre alinéas ainsi rédigés :

« Art. L. 5121-8. – Dans les entreprises qui, d’une part occupent moins de 250 personnes, et d’autre part, ont un chiffre d’affaires annuel n’excédant pas 50 millions d’euros ou un total de bilan n’excédant pas 43 millions d’euros, lorsque les résultats obtenus par l’entreprise, au regard des indicateurs mentionnés à l’article L. 5121-7, se situent en deçà d’un niveau minimal défini par décret, l’entreprise dispose d’un délai d’un an pour se mettre en conformité. À l’expiration de ce délai, si les résultats obtenus sont toujours en deçà du niveau minimal défini par décret, l’employeur peut se voir appliquer une pénalité financière. Ce montant est fixé à minimum 3 % des rémunérations et gains au sens du premier alinéa de l’article L. 242-1 du code de la sécurité sociale et du premier alinéa de l’article L. 741-10 du code rural et de la pêche maritime versés aux travailleurs salariés ou assimilés au cours de l’année civile précédant l’expiration du délai mentionné au présent alinéa du présent article.

« Dans les entreprises, qui, d’une part occupent moins de 5 000 personnes, et d’autre part, ont un chiffre d’affaires annuel n’excédant pas 1 500 millions d’euros ou un total de bilan n’excédant pas 2 000 millions d’euros, lorsque les résultats obtenus par l’entreprise, au regard des indicateurs mentionnés à l’article L. 5121-7 du présent code, se situent en deçà d’un niveau minimal défini par décret, l’entreprise dispose d’un délai de 8 mois pour se mettre en conformité. À l’expiration de ce délai, si les résultats obtenus sont toujours en deçà du niveau minimal défini par décret, l’employeur peut se voir appliquer une pénalité financière. Ce montant est fixé à minimum 7 % des rémunérations et gains au sens du premier alinéa de l’article L. 242-1 du code de la sécurité sociale et du premier alinéa de l’article L. 741-10 du code rural et de la pêche maritime versés aux travailleurs salariés ou assimilés au cours de l’année civile précédant l’expiration du délai mentionné au présent alinéa.

« Dans les entreprises, qui, d’une part occupent plus de 5 000 personnes, et d’autre part, ont un chiffre d’affaires annuel excédant 1 500 millions d’euros ou un total de bilan excédant 2 000 millions d’euros, lorsque les résultats obtenus par l’entreprise, au regard des indicateurs mentionnés à l’article L. 5121-7 du présent code, se situent en deçà d’un niveau minimal défini par décret, l’employeur peut se voir appliquer une pénalité financière. Ce montant est fixé à minimum 10 % des rémunérations et gains au sens du premier alinéa de l’article L. 242-1 du code de la sécurité sociale et du premier alinéa de l’article L. 741-10 du code rural et de la pêche maritime versés aux travailleurs salariés ou assimilés au cours de l’année civile précédant l’expiration du délai mentionné au premier alinéa du présent article.

« Les conditions d’application et les sanctions en cas de non-respect des présentes dispositions sont fixées par décret en Conseil d’État.

Objet

Cet amendement du Groupe Écologiste - Solidarité & Territoires propose d’établir un barème d’évaluation des indicateurs et d’établir des sanctions en cas de résultats insuffisants, différenciées selon la taille et le chiffre d’affaires de l’entreprise.

Le texte du Gouvernement prévoit que la publication de l’index senior sera rendue obligatoire à compter du 1er novembre 2023, pour les entreprises de plus de mille salariés, et dès le 1er juillet 2024 pour celles comptant plus de cinquante salariés.

En cas de mise en œuvre du dispositif, les employeurs qui ne se plieraient pas à cette obligation de publication se verraient imposer une sanction financière, consistant à verser une « contribution assise sur un pourcentage de la masse salariale », dans une limite fixée à 1 %, et dont le produit serait reversé à Caisse nationale d’assurance-vieillesse (CNAV).

A terme, les entreprises où l’emploi des seniors ne progresse pas feraient aussi l’objet d’une « obligation renforcée de négociation d’un accord social » afin d’améliorer la situation sur l’emploi des seniors en leur sein.

Mais l’absence de mesures plus coercitives pour les entreprises ne donne guère de crédit à cet outil. En l’état, cet index aurait un impact d’autant plus faible que l’obligation ne porte que sur sa publication et non sur l’obtention de résultats satisfaisants. Sans la mise en place d’un dispositif d’évaluation chiffrée qui inclut un score minimum à atteindre, cet index sera donc sans influence sur l’emploi des seniors. Il est nécessaire de prévoir des sanctions financières basées sur les résultats, et bien entendu adaptées à la taille et aux ressources des entreprises concernées.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4217 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 2


Alinéas 9 et 10

Remplacer ces alinéas par quatre alinéas ainsi rédigés :

« Art. L. 5121-8. – Dans les entreprises qui, d’une part occupent moins de 250 personnes, et d’autre part, ont un chiffre d’affaires annuel n’excédant pas 50 millions d’euros ou un total de bilan n’excédant pas 43 millions d’euros, lorsque les résultats obtenus par l’entreprise, au regard des indicateurs mentionnés au deuxième alinéa de l’article L. 5121-7, se situent en deçà d’un niveau minimal défini par décret, l’entreprise dispose d’un délai d’un an pour se mettre en conformité. A l’expiration de ce délai, si les résultats obtenus sont toujours en deçà du niveau minimal défini par décret, l’employeur peut se voir appliquer une pénalité financière. Ce montant est fixé au moins à 3 % des rémunérations et gains au sens du premier alinéa de l’article L. 242-1 du code de la sécurité sociale et du premier alinéa de l’article L. 741-10 du code rural et de la pêche maritime versés aux travailleurs salariés ou assimilés au cours de l’année civile précédant l’expiration du délai mentionné au premier alinéa du présent article.

« Dans les entreprises, qui, d’une part occupent moins de 5 000 personnes, et d’autre part, ont un chiffre d’affaires annuel n’excédant pas 1 500 millions d’euros ou un total de bilan n’excédant pas 2000 millions d’euros, lorsque les résultats obtenus par l’entreprise, au regard des indicateurs mentionnés au deuxième alinéa de l’article L. 5121-7 du présent code, se situent en deçà d’un niveau minimal défini par décret, l’entreprise dispose d’un délai de huit mois pour se mettre en conformité. A l’expiration de ce délai, si les résultats obtenus sont toujours en deçà du niveau minimal défini par décret, l’employeur peut se voir appliquer une pénalité financière. Ce montant est fixé à minimum 7 % des rémunérations et gains au sens du premier alinéa de l’article L. 242-1 du code de la sécurité sociale et du premier alinéa de l’article L. 741-10 du code rural et de la pêche maritime versés aux travailleurs salariés ou assimilés au cours de l’année civile précédant l’expiration du délai mentionné au premier alinéa du présent article.

« Dans les entreprises, qui, d’une part occupent plus de 5 000 personnes, et d’autre part, ont un chiffre d’affaires annuel excédant 1 500 millions d’euros ou un total de bilan excédant 2 000 millions d’euros, lorsque les résultats obtenus par l’entreprise, au regard des indicateurs mentionnés au deuxième alinéa de l’article L. 5121-7 du présent code, se situent en deçà d’un niveau minimal défini par décret, l’employeur peut se voir appliquer une pénalité financière. Ce montant est fixé à minimum 13 % des rémunérations et gains au sens du premier alinéa de l’article L. 242-1 du code de la sécurité sociale et du premier alinéa de l’article L. 741-10 du code rural et de la pêche maritime versés aux travailleurs salariés ou assimilés au cours de l’année civile précédant l’expiration du délai mentionné au premier alinéa du présent article.

« La pénalité et les conditions d’application du présent article sont fixées par décret en Conseil d’État.

Objet

Les membres du groupe CRCE insistent sur l’intérêt de moduler les délais de mises en conformité et le montant des sanctions, via leurs taux, selon la taille de l’entreprise concernée. L’intention des élus du groupe est claire : la responsabilité du maintien dans l’emploi des séniors est proportionnelle à la taille de l’entreprise.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4657

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes Mélanie VOGEL et PONCET MONGE, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


Alinéas 9 et 10

Remplacer ces alinéas par quatre alinéas ainsi rédigés :

« Art. L. 5121-8. – Dans les entreprises qui, d’une part occupent moins de 250 personnes, et d’autre part, ont un chiffre d’affaires annuel n’excédant pas 50 millions d’euros ou un total de bilan n’excédant pas 43 millions d’euros, lorsque les résultats obtenus par l’entreprise, au regard des indicateurs mentionnés au deuxième alinéa de l’article L. 5121-7, se situent en deçà d’un niveau minimal défini par décret, l’entreprise dispose d’un délai d’un an pour se mettre en conformité. A l’expiration de ce délai, si les résultats obtenus sont toujours en deçà du niveau minimal défini par décret, l’employeur peut se voir appliquer une pénalité financière. Ce montant est fixé au moins à 3 % des rémunérations et gains au sens du premier alinéa de l’article L. 242-1 du code de la sécurité sociale et du premier alinéa de l’article L. 741-10 du code rural et de la pêche maritime versés aux travailleurs salariés ou assimilés au cours de l’année civile précédant l’expiration du délai mentionné au premier alinéa du présent article.

« Dans les entreprises, qui, d’une part occupent moins de 5 000 personnes, et d’autre part, ont un chiffre d’affaires annuel n’excédant pas 1 500 millions d’euros ou un total de bilan n’excédant pas 2000 millions d’euros, lorsque les résultats obtenus par l’entreprise, au regard des indicateurs mentionnés au deuxième alinéa de l’article L. 5121-7 du présent code, se situent en deçà d’un niveau minimal défini par décret, l’entreprise dispose d’un délai de huit mois pour se mettre en conformité. A l’expiration de ce délai, si les résultats obtenus sont toujours en deçà du niveau minimal défini par décret, l’employeur peut se voir appliquer une pénalité financière. Ce montant est fixé à minimum 7 % des rémunérations et gains au sens du premier alinéa de l’article L. 242-1 du code de la sécurité sociale et du premier alinéa de l’article L. 741-10 du code rural et de la pêche maritime versés aux travailleurs salariés ou assimilés au cours de l’année civile précédant l’expiration du délai mentionné au premier alinéa du présent article.

« Dans les entreprises, qui, d’une part occupent plus de 5 000 personnes, et d’autre part, ont un chiffre d’affaires annuel excédant 1 500 millions d’euros ou un total de bilan excédant 2 000 millions d’euros, lorsque les résultats obtenus par l’entreprise, au regard des indicateurs mentionnés au deuxième alinéa de l’article L. 5121-7 du présent code, se situent en deçà d’un niveau minimal défini par décret, l’employeur peut se voir appliquer une pénalité financière. Ce montant est fixé à minimum 13 % des rémunérations et gains au sens du premier alinéa de l’article L. 242-1 du code de la sécurité sociale et du premier alinéa de l’article L. 741-10 du code rural et de la pêche maritime versés aux travailleurs salariés ou assimilés au cours de l’année civile précédant l’expiration du délai mentionné au premier alinéa du présent article.

« La pénalité et les conditions d’application du présent article sont fixées par décret en Conseil d’État.

Objet

Le présent amendement propose de faire de l’index seniors un outil réellement ambitieux capable d’avoir un impact sur l’emploi et la qualité de l’emploi des seniors.

Le projet de loi s’est manifestement inspiré de l’index égalité professionnelle femmes-hommes pour concevoir le dispositif de l’index seniors. Toutefois, les retours dont nous disposons sur l’index d’égalité professionnelle ont révélé son incapacité à impacter les pratiques des entreprises en matière de lutte contre les inégalités de genre dans le monde du travail.

Dans cette optique, il est crucial de tirer leçon du passé et de mettre en place un index seniors suffisamment à la hauteur des enjeux. En effet, nous rappelons que 63 % des salariés âgés de 44 à 55 ans en recherche d’emploi n’ont pas été sollicités par des recruteurs au cours des six derniers mois, contre 26 % chez les 18-34 ans. De plus, fin 2021, la proportion des 55-64 ans qui occupaient un poste s’élevait à 56 %.

Le Groupe Ecologiste - Solidarité et Territoires souhaite préciser davantage le contenu des indicateurs et souhaite prévoir des sanctions réellement dissuasives, en particulier pour les grandes entreprises. Car c’est bien l’imprécision des indicateurs qui, dans le cas de l’index d'égalité professionnelle, permet à de nombreuses entreprises de contourner les critères à leur avantage et obtenir des notes satisfaisantes, qu’importe la réalité des faits.

L'index prévu dans le projet de loi aura un impact d’autant plus faible que l’obligation ne porte ici que sur la publication de l’index et non sur l’obtention de résultats satisfaisants. Il suffira, ainsi, pour une entreprise « mauvaise élève » en matière d’emploi des seniors, de simplement publier l’index pour échapper à une sanction. Il est donc évident que cet index aura un impact nul, si un dispositif d’évaluation chiffrée qui inclut un score minimum à atteindre, sous peine de sanction, n’est pas mis en place. Ces sanctions financières doivent également être adaptées à la taille des entreprises, qui ne disposent pas des mêmes ressources pour mettre en place une telle mesure.

Tel est l’objet du présent amendement.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2014

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Favorable
Rejeté

M. HENNO

et les membres du groupe Union Centriste


ARTICLE 2


Alinéas 9 et 10

Remplacer ces alinéas par sept alinéas ainsi rédigés :

« Art. L. 5121-8 – Dans les entreprises qui, pour le troisième exercice consécutif de publication des indicateurs dans les conditions fixées à l’article L. 5121-7, constatent l’absence de progression ou la détérioration d’une part des indicateurs déterminée par décret, l’employeur doit engager des négociations portant sur les mesures de progression et sur l’embauche et le maintien en emploi des seniors dans un délai de six mois. À défaut d’accord, les entreprises concernées par l’absence de progression ou par une détérioration de leurs indicateurs doivent établir un plan d’action. L’accord ou le plan d’action est rendu public.

« Les entreprises pour lesquelles les indicateurs ont atteint une valeur maximale ou minimale démontrant que l’objectif d’amélioration de l’embauche et du maintien en activité des seniors est atteint ne sont pas soumises à l’obligation de couverture par un accord ou un plan d’action mentionnée au premier alinéa du présent article.

« L’accord mentionné au premier alinéa peut être conclu dans le cadre de la négociation obligatoire prévue à l’article L. 2242-2.

« Un décret fixe les conditions d’application du présent article, notamment les conditions permettant de déterminer les modalités de progression ou de détérioration des indicateurs conduisant à l’obligation d’engager une négociation ainsi que les modalités de publication de l’accord ou du plan d’action et de sa transmission à l’autorité administrative.

« Art. L. 5121-9. – Les entreprises qui méconnaissent l’obligation de publication prévue à l’article L. 5121-7 ou l’obligation de couverture par un accord ou un plan d’action mentionnée à l’article L. 5121-8 peuvent se voir appliquer par l’autorité administrative une pénalité dans la limite de 1 % des rémunérations et gains au sens du premier alinéa de l’article L. 242-1 du code de la sécurité sociale et du premier alinéa de l’article L. 741-10 du code rural et de la pêche maritime versés aux travailleurs salariés ou assimilés au cours de l’année civile précédant celle au titre de laquelle l’obligation est méconnue.

« La pénalité est prononcée dans des conditions prévues par décret en Conseil d’État. Son montant tient compte des efforts constatés dans l’entreprise en matière d’emploi des seniors ainsi que des motifs de méconnaissance de l’obligation de publication ou de l’obligation de couverture par un accord ou plan d’action.

Objet

Cet amendement introduit une obligation de négociation d’un accord ou d’adoption d’un plan d’action par l’entreprise en cas d’absence de progression ou de détérioration des résultats obtenus sur au moins une partie des indicateurs relatifs à l’emploi des seniors que l’entreprise doit publier comme prévu par l’article 2.

Ainsi, si pour le troisième exercice consécutif de publication des indicateurs, l’entreprise n’a pas amélioré une partie de ses indicateurs ou a observé une détérioration de ses indicateurs, elle devra négocier un accord sur les mesures de progression et sur l’embauche et le maintien en emploi des seniors dans un délai de six mois. A défaut d’accord, l’entreprise devra prendre un plan d’action avec des mesures de correction.

Il est précisé que les entreprises d’au moins 300 salariés, d’ores et déjà concernées par la négociation quadriennale obligatoire sur la gestion des emplois et des parcours professionnels prévue à l’article L. 2242-2 du code du travail, pourront conduire la négociation sur les mesures de correction dans ce cadre. Cet amendement est cohérent avec les dispositions de l’article 2 du présent projet de LFRSS qui modifient les dispositions supplétives relatives à la négociation obligatoire sur la gestion des emplois et des parcours professionnels de l’article L. 2242-20 pour inclure dans ce thème de négociation l’emploi des seniors et l’amélioration de leurs conditions de travail.

Si l’entreprise n’a pas respecté cette obligation, alors une pénalité de même nature que celle déjà prévue en l’absence de publication des indicateurs pourra lui être appliquée.

Un décret devra déterminer les conditions d’application de cette obligation, en particulier les modalités d’évaluation de l’absence de progression ou de la détérioration.

Tel est l'objet de cet amendement.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3390

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Favorable
Rejeté

MM. LÉVRIER, IACOVELLI, HASSANI, PATRIAT, BARGETON et BUIS, Mme CAZEBONNE, MM. DAGBERT et DENNEMONT, Mme DURANTON, M. GATTOLIN, Mme HAVET, MM. HAYE, KULIMOETOKE, LEMOYNE, MARCHAND, MOHAMED SOILIHI et PATIENT, Mme PHINERA-HORTH, MM. RAMBAUD, RICHARD et ROHFRITSCH, Mme SCHILLINGER, M. THÉOPHILE

et les membres du groupe Rassemblement des démocrates, progressistes et indépendants


ARTICLE 2


Alinéas 9 et 10

Remplacer ces alinéas par sept alinéas ainsi rédigés :

« Art. L. 5121-8 – Dans les entreprises qui, pour le troisième exercice consécutif de publication des indicateurs dans les conditions fixées à l’article L. 5121-7, constatent l’absence de progression ou la détérioration d’une part des indicateurs déterminée par décret, l’employeur doit engager des négociations portant sur les mesures de progression et sur l’embauche et le maintien en emploi des seniors dans un délai de six mois. À défaut d’accord, les entreprises concernées par l’absence de progression ou par une détérioration de leurs indicateurs doivent établir un plan d’action. L’accord ou le plan d’action est rendu public.

« Les entreprises pour lesquelles les indicateurs ont atteint une valeur maximale ou minimale démontrant que l’objectif d’amélioration de l’embauche et du maintien en activité des seniors est atteint ne sont pas soumises à l’obligation de couverture par un accord ou un plan d’action mentionnée au premier alinéa du présent article.

« L’accord mentionné au premier alinéa peut être conclu dans le cadre de la négociation obligatoire prévue à l’article L. 2242-2.

« Un décret fixe les conditions d’application du présent article, notamment les conditions permettant de déterminer les modalités de progression ou de détérioration des indicateurs conduisant à l’obligation d’engager une négociation ainsi que les modalités de publication de l’accord ou du plan d’action et de sa transmission à l’autorité administrative.

« Art. L. 5121-9. – Les entreprises qui méconnaissent l’obligation de publication prévue à l’article L. 5121-7 ou l’obligation de couverture par un accord ou un plan d’action mentionnée à l’article L. 5121-8 peuvent se voir appliquer par l’autorité administrative une pénalité dans la limite de 1 % des rémunérations et gains au sens du premier alinéa de l’article L. 242-1 du code de la sécurité sociale et du premier alinéa de l’article L. 741-10 du code rural et de la pêche maritime versés aux travailleurs salariés ou assimilés au cours de l’année civile précédant celle au titre de laquelle l’obligation est méconnue.

« La pénalité est prononcée dans des conditions prévues par décret en Conseil d’État. Son montant tient compte des efforts constatés dans l’entreprise en matière d’emploi des seniors ainsi que des motifs de méconnaissance de l’obligation de publication ou de l’obligation de couverture par un accord ou plan d’action.

Objet

Le présent amendement vise à introduire une obligation de négociation d’un accord ou d’adoption d’un plan d’action par l’entreprise en cas d’absence de progression ou de détérioration des résultats obtenus sur au moins une partie des indicateurs relatifs à l’emploi des seniors que l’entreprise doit publier comme prévu par l’article 2.
Ainsi, si pour le troisième exercice consécutif de publication des indicateurs, l’entreprise n’a pas amélioré une partie de ses indicateurs ou a observé une détérioration de ses indicateurs, elle devra négocier un accord sur les mesures de progression et sur l’embauche et le maintien en emploi des seniors dans un délai de six mois. A défaut d’accord, l’entreprise devra prendre un plan d’action avec des mesures de correction.
Il est précisé que les entreprises, d’ores et déjà concernées par la négociation quadriennale obligatoire sur la gestion des emplois et des parcours professionnels prévue à l’article L. 2242-2 du code du travail, pourront conduire la négociation sur les mesures de correction dans ce cadre. Cet amendement est cohérent avec les dispositions de l’article 2 du présent projet de LFRSS qui modifient les dispositions supplétives relatives à la négociation obligatoire sur la gestion des emplois et des parcours professionnels de l’article L. 2242-20 pour inclure dans ce thème de négociation l’emploi des seniors et l’amélioration de leurs conditions de travail.
Si l’entreprise n’a pas respecté cette obligation, alors une pénalité de même nature que celle déjà prévue en l’absence de publication des indicateurs pourra lui être appliquée.
Un décret devra déterminer les conditions d’application de cette obligation, en particulier les modalités d’évaluation de l’absence de progression ou de la détérioration.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2793 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 2


Alinéas 9 et 10

Remplacer ces alinéas par quatre alinéas ainsi rédigés :

« Art. L. 5121-8. – Dans les entreprises qui, d’une part comptent moins de 250 salariés, et d’autre part, ont un chiffre d’affaires annuel n’excédant pas 50 millions d’euros ou un total de bilan n’excédant pas 43 millions d’euros, lorsque les résultats obtenus par l’entreprise, au regard des indicateurs mentionnés au deuxième alinéa de l’article L. 5121-7, se situent en deçà d’un niveau minimal défini par décret, l’entreprise dispose d’un délai d’un an pour se mettre en conformité. À l’expiration de ce délai, si les résultats obtenus sont toujours en deçà du niveau minimal défini par décret, l’employeur peut se voir appliquer une pénalité financière. Ce montant est fixé à minimum 3 % des rémunérations et gains au sens du premier alinéa de l’article L. 242-1 du code de la sécurité sociale et du premier alinéa de l’article L. 741-10 du code rural et de la pêche maritime versés aux travailleurs salariés ou assimilés au cours de l’année civile précédant l’expiration du délai mentionné au premier alinéa du présent article.

« Dans les entreprises, qui, d’une part occupent moins de 5 000 salariés, et d’autre part, ont un chiffre d’affaires annuel n’excédant pas 1 500 millions d’euros ou un total de bilan n’excédant pas 2 000 millions d’euros, lorsque les résultats obtenus par l’entreprise, au regard des indicateurs mentionnés au deuxième alinéa de l’article L. 5121-7 du présent code, se situent en deçà d’un niveau minimal défini par décret, l’entreprise dispose d’un délai d’un an pour se mettre en conformité. À l’expiration de ce délai, si les résultats obtenus sont toujours en deçà du niveau minimal défini par décret, l’employeur peut se voir appliquer une pénalité financière. Ce montant est fixé à minimum 4 % des rémunérations et gains au sens du premier alinéa de l’article L. 242-1 du code de la sécurité sociale et du premier alinéa de l’article L. 741-10 du code rural et de la pêche maritime versés aux travailleurs salariés ou assimilés au cours de l’année civile précédant l’expiration du délai mentionné au premier alinéa du présent article.

« Dans les entreprises, qui, d’une part occupent plus de 5 000 salariés, et d’autre part, ont un chiffre d’affaires annuel excédant 1 500 millions d’euros ou un total de bilan excédant 2 000 millions d’euros, lorsque les résultats obtenus par l’entreprise, au regard des indicateurs mentionnés au deuxième alinéa de l’article L. 5121-7 du présent code, se situent en deçà d’un niveau minimal défini par décret, l’entreprise dispose d’un délai d’un an pour se mettre en conformité. À l’expiration de ce délai, si les résultats obtenus sont toujours en deçà du niveau minimal défini par décret, l’employeur peut se voir appliquer une pénalité financière. Ce montant est fixé à minimum 5 % des rémunérations et gains au sens du premier alinéa de l’article L. 242-1 du code de la sécurité sociale et du premier alinéa de l’article L. 741-10 du code rural et de la pêche maritime versés aux travailleurs salariés ou assimilés au cours de l’année civile précédant l’expiration du délai mentionné au premier alinéa du présent article.

« La pénalité et les conditions d’application du présent article sont fixées par décret en Conseil d’État.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à créer des sanctions financières assises sur la masse salariale si l'employeur présente des indicateurs sur l'emploi des séniors en-dessous de seuils qualitatifs.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4224 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 2


Alinéa 9

Rédiger ainsi cet alinéa :

« Art. L. 5121-8. – Les entreprises qui méconnaissent l’obligation de publication prévues à l’article L. 5121-7 sont redevables d’une contribution d’un montant fixé par l’autorité administrative au moins égale à 5 % des rémunérations et gains au sens du premier alinéa de l’article L. 242-1 du code de la sécurité sociale et du premier alinéa de l’article L. 741-10 du code rural et de la pêche maritime versés aux travailleurs salariés ou assimilés au cours de l’année civile précédant l’obligation prévue au présent alinéa. Ce montant est fixé par l’autorité administrative, dans des conditions prévues par décret en Conseil d’État. Les entreprises qui ne répondent pas aux objectifs chiffrés à atteindre en matière d’amélioration des conditions d’emploi et d’embauche des salariés âgés de cinquante ans et plus sont redevables d’une contribution supplémentaire d’un montant fixé par l’autorité administrative au moins égale à 5 % des rémunérations et gains au sens du premier alinéa de l’article L. 242-1 du code de la sécurité sociale et du premier alinéa de l’article L. 741-10 du code rural et de la pêche maritime versés aux travailleurs salariés ou assimilés au cours de l’année civile précédant l’obligation prévue au présent article.

Objet

Les membres du groupe CRCE entendent par cet amendement de repli sanctionner les entreprises pour non-publication du registre comme le prévoit l’article 2 mais également pour non-respect des indicateurs du fait de l’obtention d’un score inférieur à un certain niveau.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 179

23 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. MILON


ARTICLE 2


I. – Alinéa 9

1° Après le mot :

entreprises

insérer les mots :

d’au moins trois cents salariés

2° Remplacer le taux :

1 %

par le taux :

5 %

II. – Après l’article 9

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« Les entreprises d’au moins cinquante salariés qui méconnaissent l’obligation de publication prévue à l’article L. 5121-7 peuvent se voir appliquer par l’autorité administrative une pénalité, dans la limite de 1 % des rémunérations et gains, au sens du premier alinéa de l’article L. 242-1 du code de la sécurité sociale et du premier alinéa de l’article L. 741-10 du code rural et de la pêche maritime, versés aux travailleurs salariés ou assimilés au cours de l’année civile précédant celle au titre de laquelle l’obligation est méconnue.

Objet

Il s'agit de différencier les PME et les grandes entreprises qui  disposent des moyens conséquents pour mettre en œuvre l’index senior.

C’est pourquoi, il est proposé que  la sanction soit plus dissuasive pour les entreprises de 300 salariés au moins.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2792 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 2


Alinéa 9

Après le mot :

méconnaissent

insérer les mots :

l’insertion professionnelle, la formation tout au long de la vie des travailleurs mentionnés à l’article L. 5121-6 ou

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à appliquer une amende en cas de non-respect d'indicateurs sur la qualité de l'emploi des séniors.

En effet ce n'est pas à partir de cinquante ans que se construit une politique de maintien dans l'emploi des salariés âgés mais celle-ci doit s'inscrire dans un continuum tout au long de la carrière professionnelle dans une logique de formation tout au long de la vie, d'adaptation à l'emploi et d'adaptation des conditions de travail.

Cet amendement vise donc à amorcer une culture et une politique patronales du vieillissement en emploi.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4228 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 2


Alinéa 9

Après le mot :

méconnaissent

insérer les mots :

l’insertion professionnelle, la formation tout au long de la vie des travailleurs mentionnés à l’article L. 5121-6 et

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent appliquer une amende en cas de non-respect d’indicateurs sur la qualité de l’emploi des séniors.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2486

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. DOSSUS, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


Alinéa 9

Remplacer les mots :

peuvent se voir appliquer par l’autorité administrative

par le mot :

encourent

Objet

Cet amendement proposé par le groupe Écologiste – Solidarité et Territoires vise à rendre effective la sanction administrative en matière de non-respect de la publication des indicateurs relatifs à l’emploi des séniors.

Sans mesure forte pour l’emploi des séniors, la réforme des retraites condamne les salariés de plus de 50 ans à sombrer dans la précarité. À 60 ans, près d’une personne sur trois n’est ni en emploi, ni à la retraite. La majorité d’entre elles sont en situation d’invalidité, de RSA ou de chômage, et donc dans une grande précarité. Or, ces chiffres risquent fortement de s’aggraver au vu de la brutalité sociale de la réforme des retraites. Chaque réforme de décalage de l’âge légal de départ à la retraite a provoqué un pic de ruptures de contrats des séniors. En France, cela a par exemple été le cas après la réforme Woerth de 2010.

Pour compenser, le Gouvernement propose un « index séniors », une mesure largement insuffisante. Pourquoi ne pas proposer un dispositif ambitieux et à la hauteur des enjeux, plutôt qu’un index non-contraignant ? La réponse est simple. Si le Gouvernement refuse d’associer l’index séniors à de réelles sanctions, pourtant initialement envisagées, c’est pour répondre aux demandes du MEDEF et des grands patrons. À l’instar de l’index d’égalité femmes-hommes, dispositif créé en 2018 qui n’a guère favorisé l’application de la loi sur l’égalité salariale, le Gouvernement propose ici un mécanisme incitatif inefficace sans demander de réelles contreparties aux entreprises. Le Gouvernement lui-même reconnaît son manque d’ambition sur ce point. Olivier Véran avait indiqué avant le passage du texte en Conseil des ministres que « c’est justement un des aspects de la loi sur lequel nous disons : nous sommes ouverts aux propositions que les parlementaires pourraient faire ».

À l’heure actuelle, le texte prévoit qu’une sanction pour non-publication des indicateurs de l’index séniors pourrait être appliquée par une autorité administrative. Nous proposons de faire de cette sanction une réalité plutôt qu’une possibilité en cas de faute de la part de l’entreprise. Tel est l’objet du présent amendement.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3741

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. FERNIQUE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


Alinéa 9

Remplacer les mots :

peuvent se voir

par les mots :

se voient

Objet

Cet amendement du Groupe Écologiste - Solidarité & Territoires vise à rendre la sanction en cas de manquement à l’obligation de publication des indicateurs de l’index senior automatique.

A ce stade, le projet de réforme indique simplement que les entreprises « peuvent se voir appliquer » une pénalité. Sachant que la sanction prévue par le texte ne vise que le défaut de publication par l’entreprise, il faut s’assurer qu’elle soit au minimum automatique et non pas optionnelle.

Car ce dispositif non contraignant doit pourtant faire face à un problème majeur. Pour rappel, à 60 ans, près d'une personne sur trois n'est ni en emploi, ni à la retraite. La majorité d'entre elles sont en situation d'invalidité, de RSA ou de chômage, et dans une grande précarité (29 %). Sans sanction, cet index n’aura donc aucun pouvoir de contrainte.

Le manque d'ambition en matière d’emploi des seniors cumulé à l’augmentation du temps de travail risquerait d’entraîner l'allongement et l’aggravation du sas de précarité dans lesquels les seniors sans emploi se trouvent, ce qui aura des conséquences désastreuses pour de nombreuses personnes qui devront attendre, sans emploi ni retraite, de pouvoir accéder à une pension.

Il est donc essentiel qu’à minima, la sanction prévue en cas de non-respect de la mesure soit automatique.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4209 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 2


Alinéa 9

Remplacer les mots :

peuvent se voir

par les mots :

se voient

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent par cet amendement de repli, rendre obligatoire les sanctions financières en cas de manquement à l’obligation de publication de l’index séniors. Une obligation de publication, et non de résultat, ce que les auteurs de cet amendement contestent également.

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2791 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 2


I. – Alinéa 9

1° Remplacer le taux :

1 %

par le taux :

10 %

2° Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Le taux de cette pénalité est fixé à :

II. – Après l’alinéa 9

Insérer trois alinéas ainsi rédigés :

« – 10 % pour les entreprises d’au moins mille salariés,

« – 5 % pour les entreprises d’au moins trois cents salariés et de moins de mille salariés,

« – 1 % pour les entreprises d’au moins cinquante salariés et de moins trois cents salariés. » 

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à relever le plafond de l'amende en cas de non-publication de l'indicateur à 10% de la masse salariale tel que proposé dans l'article 2, tout en fixant dans la loi un taux évolutif proportionnellement à la taille de l'entreprise.

L'objectif est que les grandes entreprises qui gardent beaucoup moins leurs salariés âgés en emploi que les TPE / PME se voient appliquer un taux majoré en cas de non publication.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2788 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 2


Alinéa 9

1° Remplacer le taux : 

1 %

par le taux :

10 %

2° Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Le taux de cette pénalité varie en fonction de la taille de l’entreprise, selon des modalités fixées par décret en Conseil d’État

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à relever le plafond de l'amende en cas de non-publication de l'indicateur à 10% de la masse salariale tel que proposé dans l'article 2 et à le faire varier proportionnellement à la taille de l'entreprise.

L'objectif est que les grandes entreprises qui gardent beaucoup moins leurs salariés âgés en emploi que les TPE / PME se voient appliquer un taux majoré en cas de non publication.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2790 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 2


I. – Alinéa 9

1° Remplacer le taux :

1 %

par le taux :

5 %

2°  Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Le taux de cette pénalité est fixé à :

II. – Après l’alinéa 9

Insérer trois alinéas ainsi rédigés :

« - 5 % pour les entreprises d'au moins mille salariés,

« - 3% pour les entreprises d'au moins trois cents salariés et de moins de mille salariés,

« - 1% pour les entreprises d'au moins cinquante salariés et de moins trois cents salariés.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à relever le plafond de l'amende en cas de non-publication de l'indicateur à 5% de la masse salariale tel que proposé dans l'article 2, tout en fixant dans la loi un taux évolutif proportionnellement à la taille de l'entreprise.

L'objectif est que les grandes entreprises qui gardent beaucoup moins leurs salariés âgés en emploi que les TPE / PME se voient appliquer un taux majoré en cas de non publication.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2789 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 2


Alinéa 9

1° Remplacer le taux : 

1 %        

par le taux :

5 %

2° Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Le taux de cette pénalité varie en fonction de la taille de l’entreprise, selon des modalités fixées par décret en Conseil d’État

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à relever le plafond de l'amende en cas de non-publication de l'indicateur à 5% de la masse salariale tel que proposé dans l'article 2 et à le faire varier proportionnellement à la taille de l'entreprise.

L'objectif est que les grandes entreprises qui gardent beaucoup moins leurs salariés âgés en emploi que les TPE / PME se voient appliquer un taux majoré en cas de non publication.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3745

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. FERNIQUE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


Alinéa 9

Remplacer le taux :

1 %

par le taux :

3 %

Objet

Au regard de l’enjeu crucial du taux d’emploi des seniors et de l’objectif affiché du Gouvernement d’en faire une priorité, il semble indispensable de pouvoir disposer de chiffres précis, au niveau de chaque entreprise, mais également à un niveau agrégé.

Pour le Groupe Écologiste - Solidarité & Territoires, la nécessité de disposer de chiffres fiables et exhaustifs par le biais de l’index, justifie que les entreprises ne respectant pas l’obligation de publication de l’index senior, reçoivent une pénalité plus importante.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3744

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. FERNIQUE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


Alinéa 9

Remplacer le taux :

1 %

par le taux :

2,5 %

Objet

Au regard de l’enjeu crucial du taux d’emploi des seniors et de l’objectif affiché du Gouvernement d’en faire une priorité, il semble indispensable de pouvoir disposer de chiffres précis, au niveau de chaque entreprise, mais également à un niveau agrégé.

Pour le Groupe Écologiste - Solidarité & Territoires, la nécessité de disposer de chiffres fiables et exhaustifs par le biais de l’index, justifie que les entreprises ne respectant pas l’obligation de publication de l’index senior, reçoivent une pénalité plus importante.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3743

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. FERNIQUE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


Alinéa 9

Remplacer le taux :

1 %

par le taux :

2 %

Objet

Au regard de l’enjeu crucial du taux d’emploi des seniors et de l’objectif affiché du Gouvernement d’en faire une priorité, il semble indispensable de pouvoir disposer de chiffres précis, au niveau de chaque entreprise, mais également à un niveau agrégé.

Pour le Groupe Écologiste - Solidarité & Territoires, la nécessité de disposer de chiffres fiables et exhaustifs par le biais de l’index, justifie que les entreprises ne respectant pas l’obligation de publication de l’index senior, reçoivent une pénalité plus importante.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3742

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. FERNIQUE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


Alinéa 9

Remplacer le taux :

1 %

par le taux :

1,5 %

Objet

Au regard de l’enjeu crucial du taux d’emploi des seniors et de l’objectif affiché du Gouvernement d’en faire une priorité, il semble indispensable de pouvoir disposer de chiffres précis, au niveau de chaque entreprise, mais également à un niveau agrégé.

Pour le Groupe Écologiste - Solidarité & Territoires, la nécessité de disposer de chiffres fiables et exhaustifs par le biais de l’index, justifie que les entreprises ne respectant pas l’obligation de publication de l’index senior, reçoivent une pénalité plus importante. 






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2948 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes MONIER et LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL, FÉRAUD, MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 2


Alinéa 9

Après le mot :

gains

insérer les mots :

pour les entreprises d’au moins cinquante salariés, et de 5 % pour les entreprises d’au moins trois cent salariés

Objet

Cet amendement vise à différencier et rendre la sanction plus dissuasive pour les entreprises de 300 salariés au moins ne respectant pas l’obligation de mise en œuvre de l’index sur les salariés âgés dit seniors instauré par le présent article. 

Cet amendement est issu d’une proposition de la FNATH - Association des accidentés de la vie.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2222

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. BONNEAU


ARTICLE 2


Alinéa 9

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Il est tenu compte dans l’application de la pénalité de la nature des activités exercées par l’entreprise et de la possibilité pour elle de satisfaire à ces exigences.

Objet

Le présent alinéa prévoit d'appliquer une pénalité pour les entreprises  qui ne faciliteraient pas l'emploi des séniors. Cet index ne prend pas en compte la nature de l'entreprise qui par nature peut être amenée à recruter différentes catégories d'âge. En ce sens nous pouvons prendre l'exemple des Start-up qui par nature recrutent plus souvent des populations jeunes selon leur domaine d'activité. Il convient donc d'apprécier les capacités des entreprises à mettre en oeuvre l'emploi des séniors. 






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2794 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 2


Alinéa 10, première phrase

Compléter cette phrase par les mots :

pris après accord des organisations syndicales et patronales

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain entend assurer le rôle des partenaires sociaux dans la définition des sanctions applicables aux entreprises sur l'index des salariés âgés dit "seniors".

Il vise ainsi à ce que le décret sur les sanctions soit pris après accord des organisations syndicales et patronales.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4551 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. DECOOL, Mme MÉLOT, MM. CAPUS, WATTEBLED, LAGOURGUE, CHASSEING et MENONVILLE et Mme PAOLI-GAGIN


ARTICLE 2


Alinéa 10, première phrase

Compléter cette phrase par les mots :

et après respect de la procédure contradictoire

Objet

Précision technique.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4243 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 2


Alinéa 10, seconde phrase

Supprimer cette phrase.

Objet

Les membres du groupe CRCE, par cet amendement de repli, souhaitent limiter les effets d’aubaines quant au niveau des sanctions encourues du fait de la non-publication de l’index séniors. Il apparait par exemple que la notion « d’efforts constatés » est bien trop floue pour garantir une sanction juste et dissuasive. Notons d’ailleurs qu’il n’y a absolument aucun rapport entre les efforts mis en œuvre pour l’emploi des séniors et la non-publication de l’index.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2795 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 2


Alinéa 10, seconde phrase

Rédiger ainsi cette phrase :

Son montant est fonction de l’écart constaté entre la situation d’emploi et d’embauche des salariés âgés de cinquante ans et plus et l’objectif chiffré d’amélioration des conditions d’emploi et d’embauche de ces salariés.

Objet

 Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain entend fixer la pénalité sur des critères directement liés à la situation de l'emploi des salariés de plus de 50 ans dans les entreprises et non à la publication d'une mesure.

Il vise, pour ce faire, à fixer le montant de la sanction en fonction de l’écart constaté entre la situation d’emploi et d’embauche des salariés âgés de cinquante ans et plus et l’objectif chiffré d’amélioration des conditions d’emploi et d’embauche de ces salariés.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4229 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 2


Alinéa 10, seconde phrase

Rédiger ainsi cette phrase :

Son montant est fonction de l’écart constaté entre la situation d’emploi et d’embauche des salariés âgés de cinquante ans et plus et l’objectif chiffré d’amélioration des conditions d’emploi et d’embauche de ces salariés.

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent clarifier la rédaction du Gouvernement fort imprécise. En effet, outre le fait qu’il convienne de ne pas réserver la sanction aux cas de non-publication, il est impératif que les entreprises soient sanctionnées selon les objectifs chiffrés de maintien dans l’emploi et, le cas échéant, d’embauche de personnes relevant de l’index.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2322 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

M. BABARY, Mmes PUISSAT et BELRHITI, MM. BURGOA, BOULOUX et PELLEVAT, Mmes MALET et Laure DARCOS, M. SIDO, Mme RAIMOND-PAVERO, MM. BELIN, PACCAUD, FRASSA, CHARON, BOUCHET et SOMON, Mme DEMAS, MM. SAURY, RIETMANN, PERRIN, MANDELLI et PANUNZI, Mme BERTHET et MM. Daniel LAURENT, HINGRAY, CHATILLON et GREMILLET


ARTICLE 2


Alinéa 10, seconde phrase

Supprimer les mots :

des efforts constatés dans l’entreprise en matière d’emploi des seniors ainsi que

Objet

L'article 2 du projet de loi impose aux entreprises de publier chaque année des indicateurs relatifs à l'emploi des séniors, en distinguant leur sexe, ainsi qu'aux actions mises en œuvre pour favoriser l'emploi au sein de l'entreprise.

En application de cette disposition, cette obligation serait applicable aux entreprises de plus de 1 000 salariés dès le mois de novembre prochain et aux entreprises de plus de 300 salariés à compter du 1er juillet 2024.

Le défaut de publication de l’index est assorti d’une sanction pouvant atteindre 1 % de la masse salariale. Cette sanction est modulable en fonction des motifs de méconnaissance de l’obligation de publication mais aussi, plus étonnamment, des efforts constatés dans l’entreprise en matière d’emploi des seniors. Alors que le fait générateur de la sanction serait le défaut de publication, le montant pourrait donc varier en fonction d’une appréciation « qualitative » de l’administration…

Cette construction baroque résulte du décalque de l’index égalité professionnelle, inapproprié à plusieurs égards. D’une part, alors que la distinction femmes/hommes est objectivable, il n’existe pas de définition juridique des seniors, qualifiés ici de « salariés âgés », sans autre précision. D’autre part, il existe une obligation légale en matière d’égalité femmes/hommes, qui permet d’observer le respect « qualitatif » de l’index, alors que ce n’est pas le cas en matière d’emploi des seniors.

Il ne saurait d’ailleurs en être autrement, tant la différence de situation est grande entre secteurs d’activité et entre entreprises. Peut-on sérieusement envisager d’exiger d’une start-up de codage informatique d’avoir le même taux de salariés seniors, ou la même politique de formation à leur égard, qu’une grande entreprise de service dans un secteur plus « traditionnel » de l’économie ?

L’approche retenue par le Gouvernement  n’est pas adaptée à l’enjeu majeur qu’est celui de l’emploi des seniors.

Le présent amendement propose en conséquence de limiter le dispositif de sanction au seul défaut de publication de l’emploi des seniors, à l’exclusion de toute appréciation qualitative des efforts de l’entreprise en la matière.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4155 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 2


Alinéa 10

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« Dans les entreprises d’au moins onze salariés, lorsque les résultats obtenus par l’entreprise, au regard des indicateurs mentionnés au présent article, se situent en deçà d’un niveau défini par décret, l’entreprise dispose d’un délai d’un an pour se mettre en conformité. À l’expiration de ce délai, si les résultats obtenus sont toujours en deçà du niveau défini par décret, l’employeur se voit appliquer une pénalité financière fixée à un minimum de 1 % des rémunérations et gains au sens du premier alinéa de l’article L. 242-1 du code de la sécurité sociale et du premier alinéa de l’article L. 741-10 du code rural et de la pêche maritime versés aux travailleurs salariés ou assimilés. Le montant est fixé par l’autorité administrative, dans des conditions prévues par décret en Conseil d’État.

Objet

Les membres du groupe CRCE entendent prévoir une sanction non plus seulement relative à la non-publication de l’index sénior mais aussi au non-respect par les entreprises des indicateurs que nous souhaitons par ailleurs préciser.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2797 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 2


Alinéa 11

Remplacer cet alinéa par trois alinéas ainsi rédigés :

« En cas de pratiques discriminatoires en matière d’emploi des seniors, les entreprises sont redevables d’une pénalité financière dans la limite de 5 % des rémunérations et gains au sens du premier alinéa de l’article L. 242-1 du code de la sécurité sociale et du premier alinéa de l’article L. 741-10 du code rural et de la pêche maritime versés aux travailleurs salariés ou assimilés au cours de l’année civile précédant l’obligation prévue au premier alinéa du présent article.

« Le taux de cette pénalité varie proportionnellement à la taille de l’entreprise selon des modalités fixées par décret en Conseil d’État.

« Le produit de la pénalité financière mentionnée à l’avant-dernier alinéa du présent article est affectée à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du code de la sécurité sociale. »

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à introduire des pénalités financières envers les entreprises qui ont des pratiques discriminatoires en matière d'emplois des seniors et de faire varier son montant en fonction de la taille des entreprises concernées.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2796 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 2


Alinéa 11

Remplacer cet alinéa par deux alinéas ainsi rédigés :

« En cas de pratiques discriminatoires en matière d’emploi des seniors, les entreprises sont redevables d’une pénalité financière de 5 % des rémunérations et gains au sens du premier alinéa de l’article L. 242-1 du code de la sécurité sociale et du premier alinéa de l’article L. 741-10 du code rural et de la pêche maritime versés aux travailleurs salariés ou assimilés au cours de l’année civile précédant l’obligation prévues au premier alinéa du présent article.

« Le produit de la pénalité financière mentionnée à l’avant-dernier alinéa du présent article est affectée à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du code de la sécurité sociale. »

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à introduire une pénalité financière pour les entreprises qui ont des pratiques discriminatoires en matière d'emplois des seniors.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4244 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 2


Après l’alinéa 11

Insérer deux alinéas ainsi rédigés :

« En cas de pratiques discriminatoires en matière d’emploi des seniors, les entreprises sont redevables d’une pénalité financière de 5 % des rémunérations et gains au sens du premier alinéa de l’article L. 242-1 du code de la sécurité sociale et du premier alinéa de l’article L. 741-10 du code rural et de la pêche maritime versés aux travailleurs salariés ou assimilés au cours de l’année civile précédant l’obligation prévue au premier alinéa du présent article.

« Le produit de la pénalité financière mentionnée à l’avant-dernier alinéa du présent article est affectée à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du code de la sécurité sociale. »

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent prévoir une sanction en cas de pratiques discriminatoires des entreprises à l’endroit des séniors.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3126

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


Alinéa 11

Remplacer les mots :

mentionnée à l’article L. 222-1 du code de la sécurité sociale

par les mots :

au Fonds de réserve pour les retraites tel que mentionné à l’article L. 135-6 du code de la sécurité sociale

Objet

Le présent amendement propose de réaffecter le produit de la sanction en cas de non-publication de l’index au FRR (Fonds de réserve pour les retraites).

Créé en 1999, le Fonds de réserve pour les retraites (FRR) est un établissement public d’État ayant pour mission principale de gérer les sommes qui lui sont affectées afin de constituer des réserves destinées à contribuer à la pérennité des régimes de retraite. Il avait vocation à faire fructifier ses ressources en vue d’assurer le financement de la « bosse démographique » à partir de 2020.

Depuis 2011, et comme corrélée à la loi allongeant l’âge légal qui en reprend indirectement l’objet, la loi a disposé que jusqu’en 2024, le fonds verse chaque année, 2,1 milliards d'euros à la Caisse d'amortissement de la dette sociale (Cades) et dans le même temps a tari son alimentation.

La suppression de la plupart des sources d’abondement du FRR a mis à l’arrêt l’augmentation de ses fonds propres qui avant que la loi « Woerth » n’intervienne, auraient dû atteindre entre 65 Mds€ et auraient ainsi permis de rembourser les déficits successifs de la décennie actuelle dus à la « bosse démographique », ce à quoi cette réserve était initialement destinée, puisqu’il était prévu d’être doté de 150 milliards d’euros en 2020, il n’en a aujourd’hui que 36 et un nouvel allongement de l’âge légal est programmé.

Par cet amendement, le Groupe Écologiste - Solidarité et Territoires propose donc d’affecter le produit exceptionnel des sanctions pour non-publication de l’index au Fonds de réserve pour les retraites.

 






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2297 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme BOULAY-ESPÉRONNIER, M. PELLEVAT, Mmes DUMONT et BELRHITI, MM. GENET et RAPIN et Mme THOMAS


ARTICLE 2


Après l’alinéa 11

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« Les indicateurs relatifs à l’amélioration de l’emploi des seniors ne concernent pas, au sein des structures sportives professionnelles, les sportifs, joueurs et entraineurs. »

Objet

Le PLFSSR Retraites prévoit, dans sa rédaction actuelle, la création d’un Index seniors « qui a pour objectif d’objectiver la place des seniors en entreprise, d’assurer la transparence en matière de gestion des âges et de valoriser les bonnes pratiques en la matière ».

Cet Index reposera sur des indicateurs restant à définir par décret, après concertation avec les organisations syndicales de salariés et d'employeurs représentatives. Les entreprises concernées devront le publier chaque année, à défaut, elles seront redevables d’une pénalité assise sur un pourcentage de la masse salariale.

Il entrera en vigueur au 1er novembre 2023 pour les entreprises d’au moins 1000 salariés avant d’être généralisé aux entreprises d’au moins 300 salariés à compter du 1er juillet 2024. Si nous partageons l’objectif d’amélioration du taux d’emploi des seniors, la mise en place de cet Index
présente, dans le secteur sportif professionnel, un écueil majeur.

Tout d’abord, en raison de la spécificité même des contrats de travail qui, dans le sport professionnel, sont des contrats à durée déterminée spécifiques. Puis, en raison des carrières sportives professionnelles, particulièrement courtes - en moyenne inférieures à sept ans, et pouvant également être stoppée brutalement suite à une blessure - au regard de l’âge légal de départ à la retraite.

Il convient par ailleurs de rappeler que les sportifs, joueurs et entraineurs, ne peuvent pas tous bénéficier d’un reclassement sur des postes administratifs internes. Pour pallier cet état de fait, il existe dans les différentes disciplines professionnelles des mécanismes d’indemnisation et d’accompagnement à la formation en vue d’une reconversion professionnelle.

A la lumière de ces éléments, et en dépit des efforts déployés par les structures sportives professionnelles, la mise en place d’un Index Seniors n’est pas adaptée à la spécificité du sport professionnel. Par ailleurs, si cet Index devait évoluer dans les mêmes conditions que l’Index Egalité salariale avec une note minimale à atteindre et une pénalité afférente, les structures sportives professionnelles seraient inévitablement redevables de cette pénalité.

En conséquence, le présent amendement propose que cet Index s’applique aux structures sportives professionnelles uniquement sur la population dite administrative, en excluant expressément les sportifs, joueurs et entraineurs, de son périmètre d’appréciation.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2798 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 2


Après l'alinéa 11

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« Art. L. 5121-9. – Le bénéfice des réductions de cotisations prévues à l’article L. 241-2-1 du code de la sécurité sociale est conditionné au respect de l’obligation de publication prévue à l’article L. 5121-7 du présent code. »

Objet

Cet amendement du groupe SER vise à conditionner les dispositifs généraux d’exonération de cotisation au respect de l’obligation de publication de l’index senior tel que prévu par ce PLFSSR.

Ce n'est pas le tout de créer un outil de mesure, si celui-ci ne sert qu'à un constat sans conséquence.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3746

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. FERNIQUE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


Après l’alinéa 11

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« Art. L. 5121-9. – Le bénéfice des réductions de cotisations prévues à l’article L. 241-2-1 du code de la sécurité sociale est conditionné au respect de l’obligation de publication prévue à l’article L. 5121-7 du présent code. »

Objet

Cet amendement du groupe  Écologiste - Solidarité & Territoires vise à conditionner les dispositifs généraux d’exonération de cotisation au respect de l’obligation de publication de l’index senior tel que prévu par le texte.

En effet, sans réelle mesure dissuasive pour changer le comportement des entreprises, les seniors seront une fois de plus les plus impactés.

A ce stade, seule une sanction en cas de non publication, pouvant aller jusqu'à 1 % de la masse salariale est prévue. Le groupe Écologiste souhaite donc durcir le dispositif proposé et assurer une sanction plus forte et dissuasive pour les entreprises en cas de non-respect de ces dispositions.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2799 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 2


Après l’alinéa 11

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« Art. L. 5121-9. – Les entreprises dont l’indicateur prévu au premier alinéa de l’article L. 5121-7 du présent code est inférieur à l’indicateur moyen de la branche ne sont plus éligibles à la réduction, prévue à l’article L. 241-6-1 du code de la sécurité sociale, des cotisations mentionnées au 1° de l’article L. 241-6 du même code pour les rémunérations supérieures à 2,5 fois le salaire minimum de croissance. »

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à supprimer la réduction d’1,8 point du taux de cotisations d’allocations familiales aux rémunérations comprises entre 2,5 et 3,5 SMIC pour les entreprises qui ne joueraient pas le jeu de l’emploi des seniors.

Cette disposition est d'autant plus juste que l'efficience de telles réductions de cotisations à ces niveaux de salaires est loin d'être avérées et grèvent les comptes de notre protection sociale.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2802 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 2


I. – Alinéas 13 et 14

Supprimer ces alinéas.

II. – Après l’alinéa 15

Insérer un paragraphe ainsi rédigé :

…. – Le chapitre II du titre IV du livre II de la deuxième partie du code du travail est ainsi modifié :

1° Au 2° de l’article L. 2242-1, après le mot : « rémunération, », sont insérés les mots : « l’emploi des salariés âgés » ;

2° Après l’article L. 2242-3, il est inséré un article L. 2242-3-… ainsi rédigé :

« Art. L. 2242-3-…. – En l’absence d’accord relatif à l’emploi des salariés âgés à l’issue de la négociation mentionnée au 2° de l’article L. 2242-1, l’employeur établit un plan d’action annuel destiné à favoriser l’emploi des salariés âgés au sein de l’entreprise. Après avoir évalué les objectifs fixés et les mesures prises au cours de l’année écoulée, ce plan d’action, fondé sur des critères clairs, précis et opérationnels, détermine les objectifs de progression prévus pour l’année à venir, définit les actions qualitatives et quantitatives permettant de les atteindre et évalue leur coût. Ce plan d’action est déposé auprès de l’autorité administrative. » ;

3° L’article L. 2242-17 est ainsi modifié :

a) Au premier alinéa, après le mot : « hommes », sont insérés les mots : « , l’emploi des salariés âgés » ;

b) Il est ajouté un alinéa ainsi rédigé :

« …° Les mesures visant à améliorer l’emploi des salariés âgés, en s’appuyant sur les indicateurs publiés par l’entreprise en application de l’article L. 5121-7, et leurs conditions de travail. »

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à faire de l’emploi des seniors et de l’amélioration de leurs conditions de travail un sujet de dialogue social dans les négociations annuelles obligatoires qui s’appliquent à toutes les entreprises quelle que soit leur taille à l’instar de l’égalité professionnelle.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3175

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


I. - Alinéa 14

Rédiger ainsi cet alinéa :

« 7° L’emploi et les conditions de travail des salariés âgés et la transmission des savoirs et compétences, en s’appuyant sur les indicateurs publiés par l’entreprise en application de l’article L. 5121-7. » ;

II. - Après l'alinéa 15

Insérer six alinéas ainsi rédigés :

...° L’article L. 2242-3 est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« En l’absence d’accord relatif à l’emploi et aux conditions de travail des salariés âgés et à la transmission des savoirs et compétences à l’issue de la négociation mentionnée à l’article L. 2242-1, l’employeur établit un plan d’action annuel destiné à assurer l’emploi et les bonnes conditions de travail des salariés âgés ainsi que la transmission des savoirs et compétences. Après avoir évalué les objectifs fixés et les mesures prises au cours de l’année écoulée, ce plan d’action, fondé sur des critères clairs, précis et opérationnels, détermine les objectifs de progression prévus pour l’année à venir, définit les actions qualitatives et quantitatives et les moyens permettant de les atteindre et évalue leur coût. Ce plan d’action est déposé auprès de l’autorité administrative. »

...° L’article L. 2242-8 est ainsi modifié :

a) Après le premier alinéa, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :

« Les entreprises d’au moins cinquante salariés sont soumises à une pénalité à la charge de l’employeur en l’absence d’accord relatif à l’emploi et aux conditions de travail des salariés âgés et à la transmission des savoirs et compétences à l’issue de la négociation mentionnée à l’article L. 2242-1 ou, à défaut d’accord, par un plan d’action mentionné au troisième alinéa de l’article L. 2242-3. Les modalités de suivi de la réalisation des objectifs et des mesures de l’accord et du plan d’action sont fixées par décret. Dans les entreprises d’au moins 300 salariés, ce défaut d’accord est attesté par un procès-verbal de désaccord. »

b) À la première phrase du troisième alinéa, les mots : « au premier alinéa » sont remplacés par les mots : « aux premier et deuxième alinéas ».

Objet

Afin d’agir pour le maintien et le retour en emploi des séniors, il est nécessaire de renforcer le dialogue social dans les entreprises et les branches professionnelles. Cet amendement, proposé par l’UNSA, a vocation à rendre obligatoire la négociation au moins une fois tous les trois ans dans les entreprises où sont constituées une ou plusieurs sections syndicales d’organisations représentatives.

En cas d’échec de la négociation, l’employeur est alors tenu de mettre en place un plan d’action destiné à assurer l’emploi et les bonnes conditions de travail des salariés âgés ainsi que la transmission des savoirs et compétences, afin de favoriser l’emploi des travailleurs âgés. Dans le cas où aucun accord n’est signé et où l’employeur n’a pas rédigé de plan d’action, l’entreprise pourra être sanctionnée financièrement.

Ainsi, les entreprises ne participant pas à l’effort en embauchant des séniors doivent proposer un plan d’action afin de permettre et de favoriser l’embauche de travailleurs âgés. L’entreprise doit en effet rectifier la trajectoire qui est la sienne en taux d’emploi des séniors si elle ne répond pas à l’objectif donné.

C’est ainsi tout le sens de cet amendement, qui doit permettre de faciliter dans le futur une meilleure embauche des séniors dans les entreprises ainsi que des meilleures conditions de travail pour ces derniers.

Il est fait application de la pénalité de l’article L. 2242-8 du code du travail.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3469

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


Alinéa 14

Rédiger ainsi cet alinéa :

« 7° L’emploi des salariés âgés, notamment l’amélioration des perspectives d’évolution professionnelle, des opportunités de formation, de la qualité de vie au travail, des conditions de travail, de l’emploi et du maintien en emploi des seniors, en s’appuyant sur les indicateurs publiés par l’entreprise en application de l’article L. 5121-7. » ;

Objet

Il est aujourd’hui crucial d’actionner tous les leviers nécessaires pour améliorer l’emploi et les conditions de travail des seniors. Et une telle ambition ne peut faire l’impasse sur les processus de négociation en vigueur sur la gestion des emplois et des parcours professionnels et la mixité des métiers.

Il existe en effet de fortes discriminations à l’encontre des salariés âgés, dont beaucoup, de fait, sont aujourd’hui exclus du marché du travail et dans un tunnel de précarité jusqu’à l’âge légal de la retraite. Ainsi, 63 % des salariés âgés de 44 à 55 ans en recherche d’emploi n’ont pas été sollicités par des recruteurs au cours des six derniers mois, contre 26 % chez les 18-34 ans.

Ces disparités fortes impliquent donc nécessairement un renforcement des dispositifs de négociation internes aux entreprises afin de lutter contre l’âgisme dans le monde du travail.

Le présent amendement envisage ainsi d’inclure pleinement les questions de l’amélioration des perspectives d’évolution professionnelle, des opportunités de formation, de la qualité de vie au travail, des conditions de travail, de l’emploi et du maintien en emploi des seniors, dans le cadre de négociations.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2800 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 2


Alinéa 14

Rédiger ainsi cet alinéa :

« 7° L’emploi des salariés âgés de plus de cinquante ans, notamment l’amélioration des perspectives d’évolution professionnelle, des opportunités de formation, de la qualité de vie au travail, des conditions de travail, de l’emploi et du maintien en emploi de ces salariés ; »

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à inclure la question de l’emploi des salariés de plus de 50 ans, son maintien ainsi que sa qualité, dans le cadre de négociation au niveau de l’entreprise.

Il est aujourd’hui crucial d’actionner tous les leviers nécessaires pour améliorer l’emploi et les conditions de travail des salariés âgés. Et une telle ambition ne peut faire l’impasse sur les processus de négociation en vigueur sur la gestion des emplois et des parcours professionnels et la mixité des métiers.

Il existe en effet de fortes discriminations à l’encontre des salariés âgés, dont beaucoup, de fait, sont aujourd’hui exclus du marché du travail et dans un tunnel de précarité jusqu’à l’âge légal de la retraite. Ainsi, 63 % des salariés âgés de 44 à 55 ans en recherche d’emploi n’ont pas été sollicités par des recruteurs au cours des six derniers mois, contre 26 % chez les 18-34 ans.

Ces disparités fortes impliquent donc nécessairement un renforcement des dispositifs de négociation internes aux entreprises afin de lutter contre l’âgisme dans le monde du travail.

Le présent amendement envisage ainsi d’inclure pleinement la question de l’emploi des seniors, son maintien ainsi que sa qualité, dans ce cadre de négociation.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2801 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 2


Alinéa 14

Rédiger ainsi cet alinéa :

« 7° L’emploi des salariés âgés de cinquante ans et plus, en s’appuyant sur les indicateurs rendus publics par l’entreprise et les objectifs chiffrés d’amélioration des conditions de travail et d’embauche de ces salariés en application de l’article L. 5121-7. »

Objet

 Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à faire de l'emploi des salariés âgés de plus de 50 ans un sujet obligatoire de négociation sur la gestion des emplois et des parcours professionnels et sur la mixité des métiers dans les entreprises d'au moins 50 salariés.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2803 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 2


Alinéa 16

Rédiger ainsi cet alinéa :

« III. – Une négociation est conduite avec les organisations syndicales de salariés et d’employeurs représentatives au niveau national et interprofessionnel en vue de la définition des indicateurs et des objectifs chiffrés d’amélioration des conditions d’emploi et d’embauche des salariés âgés de cinquante ans et plus dans le cadre des différents décrets mentionnés au présent article.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à associer étroitement les organisations syndicales et patronales dans le cadre de l’ensemble des dispositions que le Gouvernement prévoit de prendre par décret, dans un objectif de revitalisation de la démocratie sociale largement malmenée tout au long du premier quinquennat d'E. Macron, et encore maintenant malgré les promesses d'ouverture et de dialogue qui devaient voir advenir un marcionisme nouveau.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4248 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 2


Alinéa 16

Rédiger ainsi cet alinéa :

« III. – Une négociation est conduite avec les organisations syndicales de salariés et d’employeurs représentatives au niveau national et interprofessionnel en vue de la définition des indicateurs et des objectifs chiffrés d’amélioration des conditions d’emploi et d’embauche des salariés âgés de cinquante ans et plus dans le cadre des différents décrets mentionnés au présent article.

Objet

Cet amendement vise à associer étroitement les organisations syndicales et patronales dans le cadre de l’ensemble des dispositions que le Gouvernement prévoit de prendre par décret.

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2804 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 2


Alinéa 16

Remplacer le mot :

concertation

par le mot :

négociation

Objet

Le terme "concertation" a tellement été dévoyée depuis 2017 qu'il convient de revenir aux fondamentaux du dialogue social, à savoir la négociation.

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise donc à remplacer la concertation prévue à l'alinéa 16 négociation sur la préparation du décret fixant la liste des indicateurs de l'index dit "seniors" et leur méthode de calcul par une concertation avec les partenaires sociaux.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2805 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 2


Alinéas 17 et 18

Remplacer ces alinéas un paragraphe ainsi rédigé :

IV. – Les I et II entrent en vigueur à compter du 1er novembre 2023.

Objet

 Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à faire entrer en vigueur l'index séniors dès le 1er octobre 2023 pour toutes les entreprises, soit 6 mois environ après la date prévisionnelle de promulgation de la réforme et non au 1er novembre 2023 pour pour les entreprises d’au moins 1 000 salariés puis au 1er juillet 2024 pour les entreprises comptant entre 300 et 1000 salariés, et enfin au 1er juillet 2025 pour celles entre 50 et 300 salariés.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3470

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


Alinéa 17

Rédiger ainsi cet alinéa : 

IV. – Les I et II du présent article s’appliquent à compter du 1er novembre 2023.

Objet

Cet amendement du groupe Ecologiste - Solidarité et Territoires, issu d'une proposition de l'UNSA, propose que la publication de l’index séniors soit effective dès le 1er novembre 2023 pour toutes les entreprises soumises à l’obligation de publication. En effet, l’index séniors doit avoir vocation à se mettre en œuvre rapidement en raison de l’urgence d’agir pour l’amélioration du maintien et du retour à l’emploi des salariés âgés.

Pour rappel, la DARES comptabilise 1,4 millions de chômeurs de plus de 50 ans au dernier trimestre 2022, dont 865 000 depuis plus d’un an. A 61 ans, au porte de la retraite, seulement 42,3 % des séniors sont en emploi à temps plein. Cette situation risque de s’aggraver avec la mesure de report de l’âge légal en retraite à 64 ans. En effet, selon l’INSEE, si la réforme de 2010 a bien augmenté le taux d’activité des seniors, elle a aussi augmenté le chômage des séniors de 7% pour les hommes et 6% pour les femmes (+ 3% d’inactivité). 

Au final, la réforme aura eu pour effet de figer les situations en prolongeant la durée d’emploi pour les seniors déjà en emploi (majoritairement les cadres) et la durée d’inactivité ou de chômage des seniors sans emploi (ouvriers, employés…).

Il est donc impératif d'accélérer les mesures permettant d’améliorer l’emploi des seniors, fûssent-elles insuffisantes. Tel est l'objet de cet amendement.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3471

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


Alinéa 17

Rédiger ainsi cet alinéa : 

IV. – Les I et II du présent article s’appliquent à compter du 1er novembre 2023 aux entreprises d’au moins trois cents salariés et à compter du 1er juillet 2024 aux entreprises d’au moins cinquante salariés et de moins de trois cents salariés.

Objet

Cet amendement de replis vise à accélérer la mise en œuvre de l’obligation de publication de l’index seniors, en distinguant cette fois-ci les entreprises d’au moins trois cents salariés, qui verront cette obligation s’appliquer dès cette année, des entreprises d’au moins cinquante salariés, qui disposeront d’un délai supplémentaire, jusqu’en juillet 2024 pour mettre en place cet outil. 

Le Groupe Écologiste, Solidarité et Territoires propose de faire de l’index seniors un outil réellement ambitieux capable d’avoir un impact sur l’emploi, et la qualité de l’emploi, des seniors.

Le projet de loi s’est manifestement appuyé de l’index égalité professionnelle femmes-hommes pour concevoir le dispositif de l’index seniors. Toutefois, les retours dont nous disposons sur l’index d’égalité professionnelle ont révélé son incapacité à impacter les pratiques des entreprises en matière de lutte contre les inégalités de genre dans le monde du travail.

Dans cette optique, il est crucial de tirer leçon du passé et de mettre en place un index seniors suffisamment à la hauteur des enjeux. Cela passe d’abord par avancer la date d’application dudit index. 

Cet amendement opère toutefois la distinction entre les entreprises de taille moyenne et les petites entreprises, en conférant à ces dernières un temps supplémentaire d’adaptation, jusqu’au 1 juillet 2024.

Tel est l’objet du présent amendement.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2110

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Sagesse du Sénat
Adopté

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 2


Alinéa 17

Rédiger ainsi cet alinéa :

IV. – Les I et II du présent article entrent en vigueur à compter du 1er juillet 2024. Par dérogation, ils s’appliquent à compter du 1er novembre 2023 aux entreprises d’au moins mille salariés.

Objet

Par coordination avec le rehaussement à 300 salariés du seuil des entreprises concernées par la publication des indicateurs sur l’emploi de seniors, il est proposé de modifier les modalités d’entrée en vigueur de l’article 2, pour supprimer la référence aux entreprises d’au moins 50 salariés. Ainsi que le prévoyait sa version initiale, l’article 2 serait donc applicable aux entreprises d’au moins 1 000 salariés à compter du 1er novembre 2023 puis à celles d’au moins 300 salariés à partir du 1er juillet 2024.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2018

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Tombé

M. HENNO

et les membres du groupe Union Centriste


ARTICLE 2


Alinéa 17 :

1° Remplacer la première occurrence du mot :

mille

par les mots :

cinq mille

2° Supprimer les mots :

trois cents salariés et de moins de

3° Remplacer les mots :

1er juillet 2025 aux entreprises d’au moins cinquante salariés et de moins de

par les mots :

1er janvier 2026 aux entreprises d’au moins

Objet

Les auteurs du présent amendement proposent plus de progressivité pour la mise en œuvre de l'index.

Cet amendement propose d'appliquer l'article 2 dès le premier novembre prochain aux entreprises d'au moins 5000 salariés plutôt qu'à celles d'au moins 1000 salariés.

L'article s'appliquerait aux entreprises d'au moins de 1000 salariés à partir du 1er juillet 2024 et à partir du 1er janvier 2026 pour les entreprises d'au moins 300 salariés.

Tel est l'objet de cet amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3472

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


Alinéa 17

Remplacer les deux occurrences du mot : 

mille

par les mots :

cinq cents

Objet

Par cet amendement, considérant qu’il y a urgence et que les entreprises d’au moins 500 salariés disposent d’ores et déjà des outils nécessaires pour mettre en place l’index, le groupe Ecologiste - Solidarité et Territoires propose d’appliquer l’obligation de publication de l’index seniors à ces entreprises dès cette année, au 1er novembre 2023.

Fin 2021, la proportion des 55-64 ans qui occupaient un poste s’élevait à 56 %, soit trois points au-dessus de la moyenne de l’Union européenne. L’écart était encore plus marqué s’agissant des 60-64 ans, avec un taux d’emploi de 33,1 % en France. Du fait de la persistance de discriminations des employeurs basées sur l’âge, les seniors au chômage le restent plus longtemps que les autres catégories de la population et ils le restent durablement, vivant pour beaucoup une longue période de précarité, entre chômage, RSA, ou invalidité, jusqu’à l’âge légal de la retraite.

Cette proportion élevée de seniors au chômage s’explique notamment par le risque important de discriminations de la part des employeurs. En effet, 63 % des salariés âgés de 44 à 55 ans en recherche n’ont pas été sollicités par des recruteurs au cours des six derniers mois, contre 26 % chez les 18-34 ans.

Ces inégalités basées sur l’âge qui plongent bon nombre de seniors, considérés comme des salariés jetables, dans un tunnel de précarité sont amenées à s’accroître alors que le présent projet de loi entend prolonger le calvaire des seniors précaires 2 ans de plus.

Aussi, le présent amendement vise à accélérer l’application de la seule disposition du texte visant à améliorer l'emploi des seniors à toutes les entreprises qui disposent déjà des outils permettant de la mettre rapidement en œuvre. 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4249 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 2


Alinéa 17

Remplacer les deux occurrences du mot :

mille

par les mots :

cinq cents

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent avancer au 1er novembre 2023 les obligations relatives à cet article 2 aux entreprises de moins de plus de 500 salariés et non plus seulement à celles supérieures à 1 000 salariés.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2359 rect.

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Tombé

M. CANÉVET, Mmes MORIN-DESAILLY et BILLON, MM. Pascal MARTIN, DUFFOURG, DELCROS et DÉTRAIGNE et Mme SAINT-PÉ


ARTICLE 2


Alinéa 17

Remplacer les deux occurrences des mots :

trois cents

par les mots :

deux cents cinquante

Objet

Cet amendement vise à étendre les mesures de l'index aux entreprises d'au moins 250 salariés et non de 300. Ainsi, le seuil établi par ce projet de loi est fixé à 250, en cohérence avec les seuils définis lors de la Loi Pacte de 2019. Cette loi instituait 3 seuils pour l'effectif salarié d'une entreprise: 11, 50 et 250 salariés.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2946 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Tombé

Mmes JASMIN et LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, MM. FICHET et JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mmes BLATRIX CONTAT et ASSASSI, M. MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 2


Alinéa 17

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Un décret fixe les conditions d’application du présent article aux entreprises de moins de 50 salariés, dans le cadre d’actions de sensibilisation, sur l’emploi des salariés âgés, notamment les perspectives d’évolution professionnelle, de formation, de la qualité de vie au travail et du maintien en emploi des salariés âgés.

Objet

Il s’agit par cet amendement de ne pas exclure les entreprises de moins de 50 salariés des préoccupations portées par cet article, en faveur de l’emploi des salariés âgés .

En 2020, la France comptait plus 146 000 petites et moyennes entreprises. Ces PME employaient 3,9 millions de salariés et réalisent près de 24 % de la valeur ajoutée de l’ensemble des entreprises.

En outre-mer, ces entreprises représentent un part majoritaire du tissu économique de ces territoires. D’ailleurs, une des particularités de l’emploi ultramarin est la très large prédominance des très petites entreprises, employant peu (et très souvent pas) de salariés.

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2111

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Sagesse du Sénat
Adopté

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 2


Alinéa 18

Supprimer cet alinéa.

Objet

Le présent amendement propose de supprimer la demande faite au Gouvernement de remettre chaque année au Parlement un « point d’étape » sur l’application du présent article.

Les indicateurs des entreprises seront rendus publics et les services statistiques du ministère du travail, qui publient déjà des analyses sur l’emploi des seniors, pourront en tenir compte pour compléter leurs travaux. Demander un rapport chaque année semble donc peu utile.

Enfin, rappelons que le Parlement tire de la Constitution des prérogatives de contrôle de l’action du Gouvernement et d’évaluation des politiques publiques et qu'il assure déjà chaque année le contrôle de l’application des lois.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2616 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 2


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

…. – Le chapitre II du titre IV du livre II de la deuxième partie du code du travail est complété par une sous-section ainsi rédigée :

« Sous-section …

« Négociation sur l’emploi des séniors

« Art. L. 2242-... – La négociation annuelle sur l’emploi des séniors porte sur :

« 1° Un état des lieux de l’emploi des salariés âgés et l’analyse des causes entravant leur maintien dans l’emploi ;

« 2° Les mesures permettant de lutter contre toute discrimination en matière de recrutement, d’emploi et d’accès à la formation professionnelle, en favorisant notamment les conditions d’accès aux actions mentionnées aux deuxième et quatrième alinéas de l’article L. 6313-1 ;

« 3° Les mesures d’aménagement des fins de carrière, en favorisant notamment le recours au dispositif prévu à l’article L. 3123-4 ;

« 4° Les mesures relatives à la qualité des conditions de travail notamment sur l’aménagement du temps de travail, la santé et la sécurité au travail et la prévention des risques professionnels, notamment ceux mentionnés à l’article L. 4161-1 ;

« 5° Les modalités de suivi de l’accord.

« La base de données économiques, sociales et environnementales prévue à l’article L. 2312-36 comprend les informations nécessaires à cette négociation. Celle-ci s’appuie également sur les indicateurs publiés par l’entreprise en application de l’article L. 5121-7.

« Les mesures mentionnées au présent article peuvent, le cas échéant, être établies en lien avec l’accord mentionné à l’article L. 2242-2. »

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à instaurer une négociation annuelle sur l'emploi des salariés de plus de 50 ans dans les entreprises d'au moins 50 salariés.

Bien souvent la négociation collective se cantonne aux thèmes obligatoires dans les entreprises et aborde surtout très peu les enjeux des conditions de travail, et plus largement de santé au travail. Or ces sujets sont essentiels en matière de maintien dans l'emploi des salariés âgés et/ou en fin de carrière.

Si l'on se réfère au   bilan de la Direction g&_233;nérale du travail sur la négociation collective en 2021, nous constatons que sur l’ensemble des accords conclus, le thème des conditions de travail concerne seulement 7% des accords, sachant que la moitié d’entre eux traite du télétravail. Ces dernières années, les négociations collectives ont été dominées par les thématiques liées à la crise du covid-19.

Alors que le gouvernement a déjà été contraint d'abandonner une première réforme des retraites, on aurait pu s'attendre à ce qu'en toute logique il actionne des leviers, y compris en matière de dialogue social, en faveur de l’emploi des salariés âgés avant toute nouvelle réforme des retraites. Tel n'a pas été le cas.

Pour œuvrer en ce sens, la négociation collective sur l'emploi des salariés âgés et des fins de carrières doivent désormais devenir des thèmes récurrents dans les entreprises.

C'est l'objet de cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3181

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

…. – Le Gouvernement remet un rapport au Parlement dans l’année suivant la promulgation de la présente loi sur l’application du présent article. Ce rapport dresse notamment un bilan des mesures de contrôles d’application du présent dispositif et des démarches réalisées par les entreprises pour améliorer effectivement l’emploi, le maintien en emploi et la qualité de vie au travail des seniors.

Objet

Le présent article souhaite mettre en place un index qui concerne les entreprises de plus de 50 salariés. Toutefois, aucune disposition n’est prévue concernant le contrôle de l’application dudit index. Le présent amendement propose donc d’envisager un renforcement des contrôles de la mise en place de l’index et des efforts réalisés par les entreprises pour améliorer substantiellement l’emploi, et la qualité de l'emploi des seniors.

Le Groupe Écologiste - Solidarité et Territoires rappelle également que mettre en place des contrôles de l’index, et plus largement des pratiques des entreprises en matière des conditions de travail et de l’égal traitement des salariés seniors, implique nécessairement de renforcer les moyens de l’inspection du travail. Selon le dernier rapport de la Cour des comptes de 2020, l’organisme manque d’effectifs dédiés aux contrôles, ce qui entrave sa mission. La France devrait compter 2 000 inspecteurs du travail soit un inspecteur pour 10 000 salariés. Il en manque actuellement plus de 300, avec une baisse de 9 % au global entre 2014 et 2018 (dont une baisse des effectifs à compter de 2017 selon le rapport).

L’index d’égalité professionnelle avait été voté à budget constant, et n’avait donc prévu aucun déploiement de moyens supplémentaires pour contrôler la mise en place et le bon remplissage de l’index. Très peu de contrôles ont été effectués depuis et, de fait, les syndicats et associations dénoncent une mainmise totale des entreprises sur la réalisation de l’index, avec des méthodes de calcul opaques qui permettent curieusement, à la majorité des entreprises d’avoir une note égale à 90/100 alors que les inégalités sont encore grandes.

Afin d’éviter une telle situation, nous appelons donc à la mise en place de contrôles solides de l’application de l’index seniors pour que cet outil ne soit pas une simple formalité sans réel impact.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3482

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

.... - Le Gouvernement remet un rapport au Parlement, dans un délai de six mois à compter de la promulgation de la présente loi, sur l’application du présent article. Ce rapport étudie notamment la possibilité d’appliquer des sanctions financières en cas de résultats insuffisants.

Objet

Le présent amendement propose d’envisager le renforcement des sanctions financières en cas de résultats insuffisants.

L’index actuel ne propose, en effet, de sanctions financières qu’en cas de non publication de l’index, ce qui ne force nullement les entreprises à avoir des résultats satisfaisants en matière d’emploi des seniors.

S’il y a de sérieux doutes quant à l’impact de cet index seniors, compte tenu du flou sur la définition des indicateurs et de l’obligation se restreignant à la publication, il est donc, a minima nécessaire de mettre en place des sanctions en cas de résultats négatifs, sans quoi l’index aura une portée nulle.

Tel est l’objet du présent amendement.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3474

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

.... – Le Gouvernement remet au Parlement, dans un délai de douze mois à compter de la promulgation de la présente loi, un rapport sur la pertinence des indicateurs, de la méthodologie applicable et des modalités d’évaluation desdits indicateurs pour mesurer efficacement l’évolution de l’emploi, du maintien en emploi et de la qualité de vie au travail des seniors.

Objet

Le modèle de l’index sur l’égalité professionnelle femmes/hommes nous a démontré son inefficacité à corriger effectivement les inégalités de genre. Du fait de l’imprécision des indicateurs lors de la conception du dispositif, les entreprises peuvent aujourd’hui passer entre les mailles du filet et obtenir une note favorable, bien que la situation ne se soit pas singulièrement améliorée au sein de l’entreprise.

De cet échec nous devons tirer des leçons et s’interroger sur la pertinence d’un index seniors dont les modalités en termes d’évaluation des indicateurs et de la méthodologie ne sont même pas définies clairement.

 Tel est l’objet du présent amendement.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3477

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

…. – Le Gouvernement remet au Parlement, dans un délai d’un an à compter de la promulgation de la présente loi, un rapport sur la pertinence du choix de la concertation entre les organisations syndicales de salariés et d’employeurs pour définir des indicateurs objectivant au mieux l’emploi des seniors. Ce rapport étudie également l’éventualité d’un passage à une définition par négociation, au lieu de la concertation, avec les partenaires sociaux.

Objet

L’alinéa III du présent article envisage de soumettre l’adoption du décret mentionné au deuxième alinéa de l’article L. 5121-7 du code du travail à la concertation entre le Gouvernement et les organisations syndicales de salariés et d’employeurs représentatives au niveau national et interprofessionnel.

Toutefois, la concertation sous-entend, en effet, un affaiblissement du rôle des partenaires sociaux dans la définition des politiques concernant directement les salariés.

De fait, il est indispensable de connaître les effets d’un tel choix sur le rapport de force opérant à l’heure de définir les indicateurs de l’index.

Tel est l’objet du présent amendement.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3475

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 2


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

.... – Le Gouvernement remet au Parlement, dans un délai d’un an à compter de la promulgation de la présente loi, un rapport sur l’impact de la possibilité d’adaptation des indicateurs du présent index par les branches professionnelles.

Objet

Le présent dispositif propose d’adapter par convention ou accord de branche la liste initiale des indicateurs et de leur méthode de calcul établie par décret. Si cela peut permettre une meilleure prise en compte des spécificités de chaque milieu professionnel, il y a aussi un risque, qu’en cas d’accord défavorable aux intérêts des salariés, ces indicateurs soient revus à la baisse.

Le Groupe Écologiste - Solidarité et Territoires propose donc une évaluation de cette modalité d’adaptation de l’index par accord de branche.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2112 rect.

4 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Défavorable
Adopté

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l’article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – Le chapitre III du titre II du livre II de la première partie du code du travail est complété par une section… ainsi rédigée :

« Section…

« Contrat de fin de carrière

« Art. L. 1223-10. – Un salarié âgé d’au moins soixante ans peut conclure avec un employeur un contrat pour la fin de sa carrière.

« Le contrat est conclu pour une durée indéterminée. Par dérogation à l’article L. 1237-5, l’employeur peut mettre à la retraite le salarié qui remplit les conditions pour bénéficier d’une pension de retraite au taux plein mentionné au deuxième alinéa de l’article L. 351-1 du code de la sécurité sociale.

« Le contrat est établi par écrit. Les activités concernées, les mesures d’information du salarié sur la nature de son contrat et les contreparties en termes de rémunération et d’indemnité de mise à la retraite accordées au salarié sont fixées par une convention de branche ou un accord de branche étendu. À défaut d’accord, ces modalités sont fixées par décret.

« La contribution mentionnée à l’article L. 137-12 du code de la sécurité sociale n’est pas due par l’employeur qui met à la retraite le salarié dans les conditions prévues au deuxième alinéa du présent article.

« Les modalités d’application du présent article sont déterminées par décret. »

II. – La section 4 du chapitre Ier du titre IV du livre II du code de la sécurité sociale est complétée par un article L. 241-… ainsi rédigé :

« Art. L. 241-…. – Les rémunérations versées au salarié employé dans le cadre du contrat prévu à l’article L. 1223-10 du code du travail sont exonérées des cotisations dues au titre du 1° de l’article L. 241-6 du présent code. »

III. – Le présent article entre en vigueur le 1er septembre 2023.

Le Gouvernement engage, dès la publication de la présente loi, une concertation avec les organisations syndicales de salariés et d’employeurs représentatives au niveau national et interprofessionnel en vue de l’élaboration du décret mentionné au dernier alinéa de l’article L. 1223-10 du code du travail.

IV. – La perte de recettes résultant pour les organismes de sécurité sociale des I et II est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

Objet

Afin de favoriser l’emploi des seniors, le présent amendement propose de créer un contrat de fin de carrière pour le recrutement de salariés âgés d’au moins 60 ans.

Dans le cadre de ce contrat à durée indéterminée, l’employeur sera exonéré de cotisations famille, afin de compenser le coût d’un salarié senior qui, compte tenu de son expérience, peut prétendre à une rémunération plus élevée qu’un jeune actif.

L’employeur pourra mettre un terme au contrat en procédant à la mise à la retraite du salarié s’il remplit les conditions pour bénéficier d’une retraite à taux plein. Ainsi, l’employeur ne sera pas tenu de conserver le salarié jusqu’à ses 70 ans, âge butoir qui représente aujourd’hui un frein à l’embauche de seniors. Il sera en outre exonéré de contribution sociale sur les indemnités versées au salarié en cas de mise à la retraite, afin de l’inciter à maintenir le senior en emploi jusqu’à ce qu’il puisse liquider sa pension. Pouvant bénéficier d’une retraite à taux plein au terme de son contrat, le salarié ne sera pas contraint de basculer dans le chômage avant de pouvoir liquider sa retraite.

Afin d’adapter le contrat aux besoins des entreprises, les partenaires sociaux seront consultés avant la prise du décret d'application du dispositif. Ils pourront ensuite déterminer, par accord de branche, les activités concernées, les mesures d’information du salarié sur la nature de son contrat et les contreparties dont il peut bénéficier en termes de rémunération et d’indemnité de mise à la retraite.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4741

4 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2112 rect. de la commission des affaires sociales

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Amendement n° 2112, alinéa 5

Remplacer les mots :

de fin de carrière

par les mots

dernière embauche

Objet

Le Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain est opposé à la création d'un contrat spécifique pour les vieux salariés, véritable "contrat dernière embauche".

Ce sous-contrat "âgiste" est en réalité un CDD de 5 ans discriminatoire envers les salariés en fin de carrière.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3387 rect.

2 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2112 rect. de la commission des affaires sociales

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

Mme LOISIER, MM. HINGRAY, Stéphane DEMILLY et MIZZON, Mmes VÉRIEN, SOLLOGOUB et DINDAR, MM. CANÉVET et LE NAY, Mme GACQUERRE, M. MAUREY, Mme GUIDEZ et M. DUFFOURG


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Amendement n° 2112, alinéa 6

Remplacer le mot :

soixante

par le mot :

cinquante-cinq

Objet

Les difficultés d'accès à l'emploi sont significatives dès l'âge de cinquante-cinq ans par conséquent, il est proposé d'ouvrir le contrat pour fin de carrière dès cet âge plutôt que soixante ans comme le propose la commission de affaires sociales.

Tel est l'objet de cet amendement.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2343

28 février 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2112 rect. de la commission des affaires sociales

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

M. HENNO

et les membres du groupe Union Centriste


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Amendement n° 2112

I. – Alinéa 6

Remplacer le mot :

soixante

par le mot :

cinquante-sept

II. – Alinéa 12

1° Remplacer les mots :

sont exonérées des cotisations

par les mots :

font l’objet d’une exonération des cotisations

2° Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Cette exonération est de 25 % pour les salariés âgés de 57 ans, de 50 % pour les salariés âgés de 58 ans, de 75 % pour les salariés âgés de 59 ans et de 100 % pour les salariés âgés d’au moins 60 ans.

III. – Après l’alinéa 12

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« Les modalités d’application du présent article sont déterminées par décret. »

Objet

Les difficultés d'accès à l'emploi sont significatives dès l'âge de cinquante-sept ans par conséquent, les auteurs de l'amendement proposent d'ouvrir le contrat pour fin de carrière dès cet âge plutôt que soixante ans comme le propose la commission des affaires sociales.

Par ailleurs, afin de lisser l'effet de seuil crée par l'amendement de la commission qui prévoit une exonération intégrale des cotisations familles dès l'âge d'ouverture du contrat crée, les auteurs de l'amendement préfèrent conserver l'exonération totale pour les salariés d'au moins 60 ans tout en rendant déjà intéressant le recrutement d'un salarié entre 57 ans et 60 ans.

Tel est l'objet de cet amendement.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2342

28 février 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2112 rect. de la commission des affaires sociales

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

M. HENNO

et les membres du groupe Union Centriste


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Amendement n° 2112, alinéa 6

Remplacer le mot :

soixante

par le mot :

cinquante-sept

Objet

Les difficultés d'accès à l'emploi sont significatives dès l'âge de cinquante-sept ans par conséquent, les auteurs de l'amendement proposent d'ouvrir le contrat pour fin de carrière dès cet âge plutôt que soixante ans comme le propose la commission de affaires sociales.

Tel est l'objet de cet amendement.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4742

4 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2112 rect. de la commission des affaires sociales

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Amendement n° 2112, alinéa 7, seconde phrase

Supprimer cette phrase.

Objet

Le Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain est opposé à ce que le "contrat dernière embauche" puisse donner lieu à la mise à la retraite d'office avant l'âge de 70 ans, comme pour le reste des salariés.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4743

4 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2112 rect. de la commission des affaires sociales

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Amendement n° 2112, alinéa 9

Supprimer cet alinéa.

Objet

Le Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain est opposé au "contrat dernière embauche" et à ce que celui-ci soit l'occasion de créer une énième exonération de cotisation sociale.

En continuant à assécher les ressources de notre protection sociale, la majorité sénatoriale intensifie la politique des caisses vides, à l'origine du recul des droits à la retraite de tous les Français portée par cette réforme d'injustice sociale.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4744

4 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2112 rect. de la commission des affaires sociales

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Amendement n° 2112, alinéas 11 et 12

Supprimer ces alinéas.

Objet

Le Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain est opposé au "contrat dernière embauche" et à ce que celui-ci soit l'occasion de créer une énième exonération de cotisation sociale.

Et ce, d'autant que cette exonération de cotisation porte sur les cotisations familiales.

La droite sénatoriale défend une politique nataliste mais assèche les ressources de la branche famille : quelle cohérence !






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2598 rect. bis

6 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Avis du Gouvernement
G Défavorable
Retiré

Mme LIENEMANN


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l’article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – Le chapitre III du titre II du livre II de la première partie du code du travail est complété par une section ainsi rédigée :

« Section …

« Contrat de mentorat

« Art. L. 1223-10. – Un employeur peut conclure un contrat de mentorat, avec d’une part un salarié âgé d’au moins soixante ans, d’autre part un salarié âgé de moins de vingt-six ans ou un salarié en contrat d’apprentissage prévus dans les conditions prévus aux articles L. 6221-1 et L. 6221-2 du présent code.

« Le contrat signé dans les conditions prévues au premier alinéa de cet article constitue un avenant au contrat de travail de chaque salarié. Il est établi par écrit. Il précise les modalités de la transmission intergénérationnelle qui lie l’entreprise et les deux salariés.

« Les modalités d’application du présent article sont déterminées par décret. »

II. – La section 4 du chapitre Ier du titre IV du livre II du code de la sécurité sociale est complétée par un article L. 241-… ainsi rédigé :

« Art. L. 241-…. – Les rémunérations versées aux salariés ayant signé l’avenant au contrat prévu à l’article L. 1223-10 du code du travail sont exonérées des cotisations dues au titre du 1° de l’article L. 241-6 du présent code. »

III. – La perte de recettes résultant pour les organismes de sécurité sociale du I est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

Objet

Ce « contrat de mentorat » poursuit un triple objectif :

-         Inciter à l’embauche des jeunes, et au développement de l’apprentissage

-         Inciter à l’embauche ou au maintien dans l’emploi des seniors

-         Favoriser la transmission intergénérationnelle des savoirs

 Ce contrat de mentorat donnant droit à une exonération de cotisations sociales à la branche « famille » obéit à une logique gagnant-gagnant, en permettant à la fois, directement ou indirectement, un allégement du coût du travail pour l’employeur et un gain de pouvoir d’achat pour le salarié.

Par conséquent il constitue une incitation pour les entreprises à recruter ou à conserver des salariés plus seniors, mais aussi à contribuer à l’insertion professionnelle des jeunes. Il répond ainsi aux enjeux collectifs de plein-emploi via l’augmentation du taux d’emploi, de réforme du système des retraites via l’augmentation du taux d’emploi des seniors, et de développement de l’apprentissage initié par le plan « 1 Jeune, 1 Solution ».

En outre, il s’inscrit en parfaite cohérence avec l’ambition collective de reconquête industrielle et de transition environnementale, dont la transmission intergénérationnelle est un levier d’accélération, si ce n’est une condition. En effet, les plus jeunes sont ainsi invités à transmettre les compétences nécessaires à la transformation (numériques, environnementales), et les plus seniors les compétences techniques et souvent industrielles, que notre pays a déjà trop perdues.  

De façon générale, il constitue un outil supplémentaire à disposition des acteurs économiques dans le contexte de la réforme des retraites pour créer les conditions d’opérationnalisation avec la réforme des retraites.



NB :Amendement repris par Mme Lienemann, à la suite du retrait de Mme Deseyne





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4260 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l’article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Après l’article L. 1142-10 du code du travail, il est inséré un article L. 1142-... ainsi rédigé :

« Art. L. 1142-.... – Lorsque les résultats obtenus par l’entreprise au regard des indicateurs mentionnés à l’article L. 1142-8 se situent en deçà d’un niveau défini par décret, l’entreprise dispose d’un délai d’un an pour se mettre en conformité. A l’expiration de ce délai, si les résultats obtenus sont toujours en deçà du niveau défini par décret, l’employeur se voit appliquer une pénalité financière.

« Le montant de la pénalité prévue au premier alinéa du présent article est une majoration du taux net de cotisations définies à l’article L. 241-3 du code de la sécurité sociale, applicable aux entreprises dont l’effectif est au moins égal à 50 salariés et soumises à la tarification individuelle ou mixte. Les conditions d’application de cette mesure sont fixées par décret. Le produit de cette pénalité est affecté au fonds mentionné à l’article L. 135-1 du code de la sécurité sociale.

« En fonction des efforts constatés dans l’entreprise en matière d’égalité salariale entre les femmes et les hommes ainsi que des motifs de sa défaillance, un délai supplémentaire d’un an peut lui être accordé pour se mettre en conformité. »

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent augmenter la pénalité financière des entreprises qui ne respectent pas leurs obligations en matière d’égalité professionnelle, notamment en ce qui concerne les écarts de rémunérations.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3219

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l’article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

La section 4 du chapitre Ier du titre II du livre Ier de la cinquième partie du code du travail est rétablie dans la rédaction suivante :

« Section 4

« Indicateurs relatifs aux carrières hachées

« Art. L. 5121-6. – L’employeur prend en compte un objectif de continuité de carrière.

« Art. L. 5121-7. – Dans les entreprises d’au moins cinquante salariés, l’employeur publie chaque année des indicateurs relatifs à la continuité des carrières, le recours préférentiel aux temps complets et à la poursuite des parcours professionnels.

« La liste des indicateurs et leur méthode de calcul sont fixées par décret.

« Une convention ou un accord de branche étendue peut, dans des conditions définies par voie réglementaire, déterminer la liste des indicateurs mentionnés au premier alinéa et leur méthode de calcul, qui se substituent alors à celles fixées par le décret mentionné au précédent alinéa pour les entreprises de la branche concernée.

« Un décret fixe les conditions d’application du présent article, notamment les modalités de mise en œuvre du troisième alinéa, ainsi que la date et les modalités de publication des indicateurs et de leur transmission à l’autorité administrative.

« Art. L. 5121-8. – Les entreprises qui méconnaissent l’obligation de publication prévue à l’article L. 5121-9 peuvent se voir appliquer par l’autorité administrative une pénalité dans la limite de 2 % des rémunérations et gains au sens du premier alinéa de l’article L. 242-1 du code de la sécurité sociale et du premier alinéa de l’article L. 741-10 du code rural et de la pêche maritime versés aux travailleurs salariés ou assimilés au cours de l’année civile précédant celle au titre de laquelle l’obligation est méconnue.

« La pénalité est prononcée dans des conditions prévues par décret en Conseil d’État. Son montant tient compte des efforts constatés dans l’entreprise en matière d’emploi des seniors ainsi que des motifs de méconnaissance de l’obligation de publication.

« Le produit de cette pénalité est affecté à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du code la sécurité sociale. »

Objet

Cet amendement vise, dans les entreprises d’au moins cinquante salariés, à ce que l’employeur publie chaque année des indicateurs relatifs à la continuité des carrières, le recours préférentiel aux temps complets et à la poursuite des parcours professionnels. Les entreprises qui méconnaissent l’obligation de publication peuvent se voir appliquer par l’autorité administrative une pénalité dans la limite de 2 % des rémunérations et gains versés aux travailleurs salariés ou assimilés au cours de l’année civile précédant celle au titre de laquelle l’obligation est méconnue.

Les personnes ayant des carrières hachées sont pénalisées notamment lors de leur départ à la retraite, et la présente loi aggrave ce phénomène.

Selon la Drees, 32 % des retraités de la génération 1950 ont une carrière incomplète.

Les personnes ayant des carrières hachées perçoivent des retraites plus faibles. En 2016, les carrières incomplètes représentent 60 % des personnes bénéficiant d’un minimum de pension dans le régime principal (DRESS, 2022). Fin 2016, 18 % des personnes ayant une carrière complète perçoivent une pension de droit direct inférieure ou égale à 1 000 euros bruts par mois, contre 37 % pour l’ensemble des retraités. Ces éléments montrent une forte surreprésentation des carrières incomplètes parmi les retraites les plus faibles (DRESS, 2022).

Les carrières hachées obligent de nombreuses femmes à liquider tardivement leurs droits à la retraite et les obligent à poursuivre jusqu’à 67 ans (20 %) âge de la fin de l’application de la décote.

Selon la direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees), en 2020, les femmes partent plus tardivement à la retraite, en moyenne 7 mois après les hommes, à 62 ans et 7 mois, contre 62 ans pour les hommes. Les femmes cumulent des salaires plus faibles que les hommes et des carrières plus incomplètes en plus de leur surreprésentation en  temps partiels, qui concernent 28 % des femmes en 2021, contre 8,3 % des hommes (Rapport du COR, 2022).

Pour toutes ces raisons, nous demandons, à travers cet amendement, à ce que les entreprises de plus de cinquante salariés publient des indicateurs relatifs à la continuité des carrières, le recours préférentiel aux temps complets et à la poursuite des parcours professionnels.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2523

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. GONTARD, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l’article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Après la section 3 du chapitre Ier du titre II du livre Ier de la cinquième partie du code du travail, il est inséré une section… ainsi rédigée :

« Section …

« Indicateurs relatifs à la continuité des carrières

« Art. L. 5121-6. – L’employeur prend en compte un objectif de continuité de carrière.

« Art. L. 5121-7. – Dans les entreprises d’au moins trois cents salariés, l’employeur publie chaque année des indicateurs relatifs à la continuité des carrières, le recours préférentiel aux temps complets et à la poursuite des parcours professionnels.

« La liste des indicateurs et leur méthode de calcul sont fixées par décret.

« Une convention ou un accord de branche étendue peut, dans des conditions définies par voie réglementaire, déterminer la liste des indicateurs mentionnés au premier alinéa et leur méthode de calcul, qui se substituent alors à celles fixées par le décret mentionné au précédent alinéa pour les entreprises de la branche concernée.

« Un décret fixe les conditions d’application du présent article, notamment les modalités de mise en œuvre du troisième alinéa, ainsi que la date et les modalités de publication des indicateurs et de leur transmission à l’autorité administrative.

« Art. L. 5121-8. – Les entreprises qui méconnaissent l’obligation de publication prévue à l’article L. 5121-7 peuvent se voir appliquer par l’autorité administrative une pénalité dans la limite de 20 % des rémunérations et gains au sens du premier alinéa de l’article L. 242-1 du code de la sécurité sociale et du premier alinéa de l’article L. 741-10 du code rural et de la pêche maritime, versés aux travailleurs salariés ou assimilés au cours de l’année civile précédant celle au titre de laquelle l’obligation est méconnue.

« La pénalité est prononcée dans des conditions prévues par décret en Conseil d’État. Son montant tient compte des efforts constatés dans l’entreprise en matière d’emploi des seniors ainsi que des motifs de méconnaissance de l’obligation de publication.

« Le produit de cette pénalité est affecté à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du code la sécurité sociale. »

Objet

Cet amendement des groupes parlementaires écologistes instaure dans, toutes les entreprises de plus de 300 salariés, « des indicateurs de continuité de carrières. « Ces indicateurs et leur méthode de calcul sont définis par décret et peuvent être complétés par convention ou par accord de branche.

L’amendement prévoit enfin des pénalités financières pour les entreprises qui ne respecteraient pas ces obligations.

Ces indicateurs remplissent plusieurs objectifs :

- renforcer la prise conscience des entreprises sur le fléau que représentent les carrières hachées subies et les inciter à faire des efforts,

- assurer la transparence des pratiques de chaque entreprise auprès des partenaires sociaux, des administrations d’État et du public,

- octroyer aux pouvoirs publics des données précieuses lui permettant d’agir en conséquence.

Les carrières hachées touchent majoritairement des femmes exerçant dans des métiers pénibles. Les temps partiels sont souvent imposés aux femmes dans des métiers précaires et le texte ne s’attaque absolument pas à ce phénomène.

Or notre système de retraite est pensé sur le modèle des carrières des hommes. Les retraites sont calculées selon deux facteurs : salaire et durée de carrière. Or, les femmes ont des carrières plus courtes ou des salaires plus faibles que ceux des hommes.

Parce que socialisée au travail du « care » , les femmes se retirent souvent de l’emploi pour prendre en charge les enfants ou pour prendre soin d’un parent malade ou dépendant. Une femme sur deux réduit ou arrête complètement son activité professionnelle à l’arrivée d’un enfant. C’est le cas d’un homme sur neuf. Résultat : les femmes entre 25 et 54 ans ont un taux d’activité de 8 points inférieur à celui des hommes (84 % contre 92 %).

Cumulé aux inégalité de salaires, la conséquence des carrières hachées est triple :

- Des pensions plus faibles : Le montant des pensions de droit direct est inférieur de 40 % à celui versé aux hommes (elle est en moyenne de 1 065 euros bruts par mois tandis que celle des hommes est de 1 739 euros bruts). Même après le versement de la pension de réversion, les femmes perçoivent une pension inférieure de 28 % à celle des hommes. Par ailleurs, 37 % des femmes retraitées touchent moins de 1000 € de pension brute (909 € nets), contre 15 % des hommes seulement.

- Un taux plein difficilement atteint : Seules 60 % des femmes partent à la retraite à taux plein, contre 68 % des hommes. Par ailleurs, 20 % des femmes doivent attendre 67 ans pour partir à taux plein, sans que ce ne soit lié à un travail plus intellectuel, soit une femme sur 5, contre seulement 10 % des hommes.

- Des départs plus tardifs à la retraite (en moyenne 6 mois plus tard) : Les femmes partent en moyenne plus tard à la retraite : en 2020, 62 ans et 6 mois pour les femmes et 62 ans pour les hommes.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3503 rect.

4 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l’article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

La section 4 du chapitre Ier du titre II du livre Ier de la cinquième partie du code du travail est ainsi rétablie :

« Section 4 

« Indicateurs relatifs aux carrières hachées

« Art. L. 5121-6. – L’employeur prend en compte un objectif de continuité de carrière.

« Art. L. 5121-7. – Dans les entreprises d’au moins trois cents salariés, l’employeur publie chaque année des indicateurs relatifs à la continuité des carrières, le recours préférentiel aux temps complets et à la poursuite des parcours professionnels.

« La liste des indicateurs et leur méthode de calcul sont fixées par décret.

« Une convention ou un accord de branche étendue peut, dans des conditions définies par voie réglementaire, déterminer la liste des indicateurs mentionnés au premier alinéa et leur méthode de calcul, qui se substituent alors à celles fixées par le décret mentionné au deuxième alinéa pour les entreprises de la branche concernée.

« Un décret fixe les conditions d’application du présent article, notamment les modalités de mise en œuvre du troisième alinéa, ainsi que la date et les modalités de publication des indicateurs et de leur transmission à l’autorité administrative.

« Art. L. 5121-8. – Les entreprises qui méconnaissent l’obligation de publication prévue à l’article L. 5121-9 peuvent se voir appliquer par l’autorité administrative une pénalité dans la limite de 20 % des rémunérations et gains au sens du premier alinéa de l’article L. 242-1 du code de la sécurité sociale et du premier alinéa de l’article L. 741-10 du code rural et de la pêche maritime versés aux travailleurs salariés ou assimilés au cours de l’année civile précédant celle au titre de laquelle l’obligation est méconnue.

« La pénalité est prononcée dans des conditions prévues par décret. Son montant tient compte des efforts constatés dans l’entreprise en matière d’emploi des seniors ainsi que des motifs de méconnaissance de l’obligation de publication.

« Le produit de cette pénalité est affecté à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du code la sécurité sociale. »

Objet

Le présent amendement d’appel du groupe Ecologiste - Solidarité et Territoire vise à instaurer un indicateur relatif à la continuité des carrières, afin de prendre toute la mesure des carrières hachées en France. Les entreprises de plus de trois cents salariés seraient contraintes de publier cet index. Celles qui méconnaissent l’obligation de publication peuvent se voir appliquer par l’autorité administrative une pénalité

Les carrières hachées touchent majoritairement les femmes : parce que socialisée au travail du care, les femmes se retirent souvent de l’emploi pour prendre en charge les enfants ou pour prendre soin d’un parent malade ou dépendant. Une femme sur deux réduit ou arrête complètement son activité professionnelle à l’arrivée d’un enfant. C’est le cas d’un homme sur neuf. 

Conséquence : les femmes entre 25 et 54 ans ont un taux d’activité de 8 points inférieur à celui des hommes (84 % contre 92 %). Cette situation est l’une des raisons pour lesquelles les femmes sont largement pénalisées face aux retraites. Ces inégalités sont au moins au nombre de trois.

D’abord, elles perçoivent des pensions plus faibles. Le montant des pensions de droit direct est inférieur de 40% à celui versé aux hommes. Même après le versement de la pension de réversion, les femmes perçoivent une pension inférieure de 28% à celle des hommes, ce qui est considérable

Ensuite, elles atteignent plus difficilement le taux plein.  Seules 60% des femmes partent à la retraite à taux plein, contre 68% des hommes. Par ailleurs, 20% des femmes doivent attendre 67 ans pour partir à taux plein, contre seulement 10% des hommes.

Enfin, elle partent plus tardivement à la retraite, en moyenne 6 mois plus tard que les hommes.

Il importe que cette situation puisse être chiffrée et mesurée afin que la puissance publique prenne l’entière mesure de cette source d’inégalité de genre majeure, et agisse.

Tel est l’objet de cet amendement.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2443

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. DOSSUS, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l’article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Après la section du 3 du chapitre Ier du titre II du livre Ier de la cinquième partie du code du travail, est insérée une section … ainsi rédigée :

« Section ...

« Indicateurs relatifs aux carrières hachées

« Art. L. 5121-6. – L’employeur prend en compte un objectif de continuité de carrière.

« Art. L. 5121-7. – Dans les entreprises d’au moins trois cents salariés, l’employeur publie chaque année des indicateurs relatifs à la continuité des carrières, le recours préférentiel aux temps complets et à la poursuite des parcours professionnels.

« La liste des indicateurs et leur méthode de calcul sont fixées par décret.

« Une convention ou un accord de branche étendu peut, dans des conditions définies par voie réglementaire, déterminer la liste des indicateurs mentionnés au premier alinéa et leur méthode de calcul, qui se substituent alors à celles fixées par le décret mentionné au précédent alinéa pour les entreprises de la branche concernée.

« Un décret fixe les conditions d’application du présent article, notamment les modalités de mise en œuvre du troisième alinéa, ainsi que la date et les modalités de publication des indicateurs et de leur transmission à l’autorité administrative.

« Art. L. 5121-8. – Les entreprises qui méconnaissent l’obligation de publication prévue à l’article L. 5121-7 peuvent se voir appliquer par l’autorité administrative une pénalité dans la limite de 10 % des rémunérations et gains au sens du premier alinéa de l’article L. 242-1 du code de la sécurité sociale et du premier alinéa de l’article L. 741-10 du code rural et de la pêche maritime versés aux travailleurs salariés ou assimilés au cours de l’année civile précédant celle au titre de laquelle l’obligation est méconnue.

« La pénalité est prononcée dans des conditions prévues par décret en Conseil d’État. Son montant tient compte des efforts constatés dans l’entreprise en matière d’emploi des seniors ainsi que des motifs de méconnaissance de l’obligation de publication.

« Le produit de cette pénalité est affecté à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du code de la sécurité sociale. »

Objet

Le présent amendement est un amendement d’appel du groupe Ecologiste – Solidarité et Territoires pour évoquer les carrières hachées qui touchent majoritairement des femmes exerçant des métiers pénibles. 

Pour les femmes, c’est la triple peine : inégalité salariale, inégalité des pensions, et inégalité du temps de travail. Les chiffres sont dramatiques. À l’heure actuelle, une femme sur 5 est contrainte de travailler jusqu’à 67 ans pour bénéficier d’une retraite à taux plein, contre 1 homme sur 10 ; seules 60 % des femmes partent à la retraite à taux plein, contre 68 % des hommes ; et les pensions des femmes sont 28 % inférieures à celles des hommes. Cela s’explique par le fait que le système des retraites a été pensé sur le modèle des carrières des hommes. Les retraites sont en effet calculées selon deux facteurs : le salaire et la durée de carrière. 

Or, les carrières des femmes sont généralement hachées. Parce qu’elles sont socialisées au travail du care, lorsqu’un de leurs parents devient malade ou dépendant ou lorsqu’elles ont un enfant, les femmes ont tendance à quitter leur emploi ou à travailler à temps partiel. On estime qu’une femme sur deux réduit ou arrête complètement son activité professionnelle à l’arrivée d’un enfant, contre un homme sur 9. 

Force est de constater que la réforme n’améliore pas la situation des femmes. Prenons un exemple. Anne, 55 ans, est née en 1968. Elle a passé 8 ans sans travailler pour élever ses 4 enfants et elle a commencé à travailler à 20 ans. Avant la réforme, ses 8 années sans travailler étaient compensées par les 8 trimestres donnés par enfant et par le congé parental. Elle pouvait donc partir à 62 ans. Après la réforme, elle devra attendre 64 ans pour partir à la retraite, et elle perd la surcote de 7,5 % dont elle aurait bénéficié en travaillant jusqu’à 64 ans.

Autre problème : les temps partiels sont souvent imposés aux femmes dans des métiers précaires et le texte ne s’attaque absolument pas à ce phénomène. 

Pour toutes ces raisons, nous demandons au Gouvernement de revoir sa copie au sujet des carrières hachées et nous proposons notamment par cet amendement d’instaurer un indicateur relatif aux carrières hachées avec un taux de pénalité de 10 %.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3506 rect.

4 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l’article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

La section 4 du chapitre Ier du titre II du livre Ier de la cinquième partie du code du travail est ainsi rétablie :

« Section 4

« Indicateurs relatifs aux carrières hachées

« Art. L. 5121-6. – L’employeur prend en compte un objectif de continuité de carrière.

« Art. L. 5121-7. – Dans les entreprises d’au moins trois cents salariés, l’employeur publie chaque année des indicateurs relatifs à la continuité des carrières, le recours préférentiel aux temps complets et à la poursuite des parcours professionnels.

« La liste des indicateurs et leur méthode de calcul sont fixées par décret.

« Une convention ou un accord de branche étendue peut, dans des conditions définies par voie réglementaire, déterminer la liste des indicateurs mentionnés au premier alinéa et leur méthode de calcul, qui se substituent alors à celles fixées par le décret mentionné au deuxième alinéa pour les entreprises de la branche concernée.

« Un décret fixe les conditions d’application du présent article, notamment les modalités de mise en œuvre du troisième alinéa, ainsi que la date et les modalités de publication des indicateurs et de leur transmission à l’autorité administrative.

« Art. L. 5121-8. – Les entreprises qui méconnaissent l’obligation de publication prévue à l’article L. 5121-9 peuvent se voir appliquer par l’autorité administrative une pénalité dans la limite de 10 % des rémunérations et gains au sens du premier alinéa de l’article L. 242-1 du code de la sécurité sociale et du premier alinéa de l’article L. 741-10 du code rural et de la pêche maritime versés aux travailleurs salariés ou assimilés au cours de l’année civile précédant celle au titre de laquelle l’obligation est méconnue.

« La pénalité est prononcée dans des conditions prévues par décret. Son montant tient compte des efforts constatés dans l’entreprise en matière d’emploi des seniors ainsi que des motifs de méconnaissance de l’obligation de publication.

« Le produit de cette pénalité est affecté à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du code la sécurité sociale. »

Objet

Le présent amendement d’appel du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires vise à instaurer un indicateur relatif à la continuité des carrières, afin de prendre toute la mesure des carrières hachées en France. Les entreprises de plus de trois cents salariés seraient contraintes de publier cet index. Celles qui méconnaissent l’obligation de publication peuvent se voir appliquer par l’autorité administrative une pénalité.

Il s’agit d’un amendement de repli : la pénalité prévue pour les entreprises qui ne publieraient pas l’index est au taux de 10%.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2806 rect. bis

4 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l'article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Après le deuxième alinéa de l’article L. 241-3 du code de la sécurité sociale, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :

« À partir du 1er juillet 2024, le taux de la cotisation d’assurance vieillesse à la charge de l’employeur est majoré pour les entreprises dont les indicateurs mentionnés à l’article L. 5121-7 du code du travail n’ont pas atteint des seuils définis par décret en Conseil d’État pris après concertation avec les organisations syndicales et patronales représentatives. Cette modulation tient compte des mesures mises en place par l’employeur en faveur de l’amélioration de l’embauche et du maintien en activité des salariés âgés de plus de cinquante ans. La majoration n’est pas due par les entreprises qui ont mis en place l’accord collectif ou le plan d’action prévus à l’article L. 2242-10 du même code. »

Objet

 Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à majorer le taux de cotisation à l'assurance vieillesse des employeurs ne respectant pas l'index dit "seniors".



NB :La rectification consiste en un changement de place (de l'article 2 à un additionnel après l'article 2).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 257 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

MM. CHASSEING, GUERRIAU et DECOOL, Mme MÉLOT, MM. LAGOURGUE, WATTEBLED, GRAND, MENONVILLE, Alain MARC et CAPUS et Mmes PAOLI-GAGIN et RENAUD-GARABEDIAN


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l’article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Après le deuxième alinéa de l’article L. 241-3 du code de la sécurité sociale, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :

« La Caisse d’assurance retraite et de la santé au travail peut minorer ou majorer le taux de la cotisation d’assurance vieillesse à la charge de l’employeur dans des conditions fixées par décret pour tenir compte des mesures mises en place par l’employeur en faveur de l’amélioration de l’embauche et du maintien en activité des salariés âgés. »

Objet

Cet amendement vise à inciter à l’embauche et au maintien des salariés seniors en proposant une modulation des cotisations vieillesse à la charge de l’employeur. Cette modulation interviendra, dans des conditions fixées par décret, en fonction du niveau des indicateurs de l’index sénior de l’entreprise.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2599 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

MM. CAPUS, GRAND, GUERRIAU, MÉDEVIELLE, VERZELEN, CHASSEING, DECOOL et LAGOURGUE, Mmes MÉLOT et PAOLI-GAGIN et MM. WATTEBLED et MENONVILLE


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l’article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le troisième alinéa de l’article L. 241-3 du code de la sécurité sociale est complété par trois phrases ainsi rédigées : « Ce taux peut être modulé selon l’âge des travailleurs salariés ou assimilés. Ce décret applique une dégressivité du taux à partir de dix ans avant l’âge légal d’ouverture du droit à une pension de retraite mentionné à l’article L. 161-17-2 du présent code et telle que ce taux devient nul deux ans avant cet âge. Afin d’assurer l’équilibre budgétaire, ce décret veille à compenser cette baisse des cotisations de l’assurance-vieillesse par une éventuelle hausse de ces mêmes cotisations à la charge des autres travailleurs salariés ou assimilés. »

Objet

Cet amendement vise à prendre en compte l’âge des salariés dans le calcul des cotisations patronales vieillesse. L’objectif est de renforcer l’employabilité des seniors en diminuant le coût du travail pour cette catégorie spécifique d’actifs, sans diminuer la rémunération.

Cet amendement propose donc une modulation des cotisations patronales vieillesse en fonction de l’âge des salariés. Il s’agit d’introduire une dégressivité de ce taux pour les plus de 55 ans. Les cotisations patronales vieillesse diminueraient jusqu’à devenir nulles 2 ans avant l’âge légal de départ à la retraite, en l’espèce à partir de 62 ans pour un âge légal de départ repoussé à 64 ans. 

Afin de garantir la neutralité de cette mesure pour les finances publiques, il est proposé que le taux de cotisation applicable pour les travailleurs soit augmenté de façon à compenser la baisse spécifique aux seniors.

Avec cette mesure, les entreprises seraient financièrement incitées à employer des seniors. Elles seraient en outre incitées à conserver les seniors en emploi, étant donné que le coût du travail diminuerait d’année en année.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2620 rect. bis

4 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l'article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Après l’article L. 5127-7 du code du travail, il est inséré un article L. 5121-7-... ainsi rédigé :

« Art. L. 5121-7-.... – Un accord interprofessionnel national mentionné à l’article L. 2232-1 définit les modalités de majoration ou de minoration de cotisations des employeurs en fonction du nombre de salariés de plus de 50 ans présents dans leurs effectifs.

« À défaut de conclusion d’un tel accord avant le 1er septembre 2024, les conditions d’atteinte de cet objectif mentionnées au premier alinéa sont définies par voie réglementaire.

Objet

Cet amendement du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain entend appliquer le principe du bonus / malus existant par exemple en matière d'assurance chômage ou d'AT-MP à l'emploi des salariés de plus de 50 ans, à l'initiative des partenaires sociaux.

Cet amendement concrétise la recommandation n°3 du rapport de Monique Lubin et René-Paul Savary sur l'emploi dits des "seniors" visant à inciter les partenaires sociaux à ouvrir une nouvelle négociation sur ce sujet en vue d'arriver à un accord national interprofessionnel ambitieux.

Hormis celui spécifique de 2012 sur le contrat de génération, le dernier accord national interprofessionnel (ANI) sur la question de l’emploi des seniors date du 13 octobre 2005. Les partenaires sociaux s’accordaient alors sur l’importance de faire évoluer les « représentations socioculturelles » et l’accord stipulait à son article 2 la nécessité de « convaincre chaque entreprise qu’il existe un lien entre sa pratique de gestion des âges et sa performance, de mobiliser sur ce thème non seulement les chefs d’entreprises mais également tout l’encadrement et de montrer qu’il existe en la matière des marges de manœuvre et des solutions au plus près des réalités de chaque entreprise ».

Si les objectifs identifiés alors demeurent valables, un certain nombre des mesures qu’il prévoyait sont aujourd’hui dépourvues d’objet, les dispositifs visés ayant par ailleurs été modifiés par le législateur (c’est le cas par exemple du droit individuel à la formation). Force est en outre de constater que la volonté affirmée par les partenaires sociaux en 2005 n’a pas permis d’améliorer substantiellement les conditions de retour vers l’emploi des seniors.

C'est pourquoi il convient de fixer comme objectif à ce futur ANI de construire un bonus / malus sur l'emploi des plus de 50 ans.



NB :La rectification consiste en un changement de place (de l'article 2 à un additionnel après l'article 2).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 42 rect. bis

4 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. CABANEL, ARTANO et BILHAC, Mme Maryse CARRÈRE, MM. CORBISEZ, FIALAIRE, GOLD et GUÉRINI, Mme GUILLOTIN, M. GUIOL, Mme PANTEL et MM. REQUIER et ROUX


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l'article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – Après l’article L. 5127-7 du code du travail, il est inséré un article L. 5121-7-... ainsi rédigé :

« Art. L. 5121-7-.... – Un accord interprofessionnel national mentionné à l’article L. 2232-1 définit les modalités de majoration ou de minoration de cotisations des employeurs en fonction du nombre de salariés de plus de 55 ans présents dans leurs effectifs.

« À défaut de conclusion d’un tel accord avant le 1er septembre 2024, les conditions d’atteinte de cet objectif mentionnées au premier alinéa sont définies par voie réglementaire.

II. – La perte de recettes résultant pour les organismes de sécurité sociale du I est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

Objet

Cet amendement propose de mettre en place un système de « bonus-malus » afin d'inciter l’embauche et le maintien des seniors dans l'emploi.



NB :La rectification consiste en un changement de place (de l'article 2 à un additionnel après l'article 2).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2975 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. CARDON, Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER, ROSSIGNOL et BLATRIX CONTAT, MM. BOURGI et CHANTREL, Mme CONWAY-MOURET, MM. DURAIN et LECONTE, Mme MONIER, MM. TEMAL, TISSOT, LUREL, FÉRAUD et MARIE, Mme de LA GONTRIE, MM. RAYNAL et STANZIONE, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN, ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mme VAN HEGHE, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l'article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le troisième alinéa de l’article L. 241-3 du code de la sécurité sociale est remplacé par trois alinéas ainsi rédigés :

« Le taux de ces cotisations est fixé à :

« 1° 0,40 % pour les salariés et 1,90 % pour les employeurs sur la part des revenus inférieurs au plafond mentionné au présent article ;

« 2° 2 % pour les salariés et 3,8 % pour les employeurs sur la part des revenus strictement supérieurs au plafond mentionné au présent article. »

Objet

Par cet amendement, le Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain propose d’augmenter le taux de cotisation salariale déplafonnée d'assurance vieillesse sur les revenus supérieurs au plafond de la sécurité sociale.

Une participation plus importante des hauts salaires au système de retraite par répartition est un moyen de garantir les ressources de celui-ci, dans un objectif de justice sociale.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2630 rect. bis

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. FÉRAUD, Mme LUBIN, MM. KANNER et RAYNAL, Mme BRIQUET, MM. COZIC et ÉBLÉ, Mme ESPAGNAC, MM. JEANSANNETAS, Patrice JOLY et LUREL, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l'article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le troisième alinéa de l’article L. 241-3 du code de la sécurité sociale est remplacé par trois alinéas ainsi rédigés :

« Le taux de ces cotisations est fixé à :

« 1° 0,40 % pour les salariés et 1,90 % pour les employeurs sur la part des revenus inférieurs au plafond mentionné au présent article ;

« 2° 1 % pour les salariés et 4,8 % pour les employeurs sur la part des revenus strictement supérieurs au plafond mentionné au présent article. »

Objet

Le présent amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à créer une sur-cotisation au bénéfice de l’assurance vieillesse sur les hauts salaires pour résorber le déficit temporaire du système de retraite lié au papy-boom.

En effet, alors que les inégalités se creusent, la réforme des retraites proposées par le Gouvernement va contribuer à renforcer ces inégalités. Le prétexte financier mis en avant par le Gouvernement n’est pas crédible : il existe de nombreuses sources de financement qui permettraient de ne pas pénaliser à nouveau les travailleuses et les travailleurs tout en renforçant une solidarité largement mise à mal depuis plusieurs années.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 ter à un additionnel après l'article 2).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4284 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l'article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

A la seconde phrase du troisième alinéa de l’article L.241-3 du code de la sécurité sociale, après les mots : « ces cotisations », sont insérés les mots : « , qui ne peut être inférieur à 2,44 % pour les salariés et 4,24 % pour les employeurs , ».

Objet

Les membres du groupe CRCE par cette série d’amendements entendent augmenter la part déplafonnée de la cotisation sociale à l’assurance vieillesse afin de remédier aux déficits temporaires du système de retraite, tout en privilégiant une solution financière ne pénalisant ni les bas salaires des travailleuses et travailleurs en deçà de revenus mensuels de 3666 €, ni les personnes assujetties tant l’effort demandé est modeste.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4283 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l'article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

A la seconde phrase du troisième alinéa de l’article L.241-3 du code de la sécurité sociale, après les mots : « ces cotisations », sont insérés les mots : « , qui ne peut être inférieur à 2,43 % pour les salariés et 4,23 % pour les employeurs , ».

Objet

Les membres du groupe CRCE par cette série d’amendements entendent augmenter la part déplafonnée de la cotisation sociale à l’assurance vieillesse afin de remédier aux déficits temporaires du système de retraite, tout en privilégiant une solution financière ne pénalisant ni les bas salaires des travailleuses et travailleurs en deçà de revenus mensuels de 3666 €, ni les personnes assujetties tant l’effort demandé est modeste.

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4282 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l'article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

A la seconde phrase du troisième alinéa de l’article L.241-3 du code de la sécurité sociale, après les mots : « ces cotisations », sont insérés les mots : « , qui ne peut être inférieur à 2,42 % pour les salariés et 4,22 % pour les employeurs , ».

Objet

Les membres du groupe CRCE par cette série d’amendements entendent augmenter la part déplafonnée de la cotisation sociale à l’assurance vieillesse afin de remédier aux déficits temporaires du système de retraite, tout en privilégiant une solution financière ne pénalisant ni les bas salaires des travailleuses et travailleurs en deçà de revenus mensuels de 3666 €, ni les personnes assujetties tant l’effort demandé est modeste.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4281 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l'article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

A la seconde phrase du troisième alinéa de l’article L.241-3 du code de la sécurité sociale, après les mots : « ces cotisations », sont insérés les mots : « , qui ne peut être inférieur à 2,41 % pour les salariés et 4,21 % pour les employeurs , ».

Objet

Les membres du groupe CRCE par cette série d’amendements entendent augmenter la part déplafonnée de la cotisation sociale à l’assurance vieillesse afin de remédier aux déficits temporaires du système de retraite, tout en privilégiant une solution financière ne pénalisant ni les bas salaires des travailleuses et travailleurs en deçà de revenus mensuels de 3666 €, ni les personnes assujetties tant l’effort demandé est modeste.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4280 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l'article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

A la seconde phrase du troisième alinéa de l’article L.241-3 du code de la sécurité sociale, après les mots : « ces cotisations », sont insérés les mots : « , qui ne peut être inférieur à 2,4 % pour les salariés et 4,2 % pour les employeurs , ».

Objet

Les membres du groupe CRCE par cette série d’amendements entendent augmenter la part déplafonnée de la cotisation sociale à l’assurance vieillesse afin de remédier aux déficits temporaires du système de retraite, tout en privilégiant une solution financière ne pénalisant ni les bas salaires des travailleuses et travailleurs en deçà de revenus mensuels de 3666 €, ni les personnes assujetties tant l’effort demandé est modeste.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4279 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l'article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

A la seconde phrase du troisième alinéa de l’article L. 241-3 du code de la sécurité sociale, après les mots : « ces cotisations », sont insérés les mots : « , qui ne peut être inférieur à 2,39 % pour les salariés et 4,19 % pour les employeurs , ».

Objet

Les membres du groupe CRCE par cette série d’amendements entendent augmenter la part déplafonnée de la cotisation sociale à l’assurance vieillesse afin de remédier aux déficits temporaires du système de retraite, tout en privilégiant une solution financière ne pénalisant ni les bas salaires des travailleuses et travailleurs en deçà de revenus mensuels de 3666 €, ni les personnes assujetties tant l’effort demandé est modeste.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 4278 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l'article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

A la seconde phrase du troisième alinéa de l’article L.241-3 du code de la sécurité sociale, après les mots : « ces cotisations », sont insérés les mots : « , qui ne peut être inférieur à 2,38 % pour les salariés et 4,18 % pour les employeurs , ».

Objet

Les membres du groupe CRCE par cette série d’amendements entendent augmenter la part déplafonnée de la cotisation sociale à l’assurance vieillesse afin de remédier aux déficits temporaires du système de retraite, tout en privilégiant une solution financière ne pénalisant ni les bas salaires des travailleuses et travailleurs en deçà de revenus mensuels de 3666 €, ni les personnes assujetties tant l’effort demandé est modeste.

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 4277 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l'article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

A la seconde phrase du troisième alinéa de l’article L.241-3 du code de la sécurité sociale, après les mots : « ces cotisations », sont insérés les mots : « , qui ne peut être inférieur à 2,37 % pour les salariés et 4,17 % pour les employeurs , ».

Objet

Les membres du groupe CRCE par cette série d’amendements entendent augmenter la part déplafonnée de la cotisation sociale à l’assurance vieillesse afin de remédier aux déficits temporaires du système de retraite, tout en privilégiant une solution financière ne pénalisant ni les bas salaires des travailleuses et travailleurs en deçà de revenus mensuels de 3666 €, ni les personnes assujetties tant l’effort demandé est modeste.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 4276 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l'article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

A la seconde phrase du troisième alinéa de l’article L.241-3 du code de la sécurité sociale, après les mots : « ces cotisations », sont insérés les mots : « , qui ne peut être inférieur à 2,36 % pour les salariés et 4,16 % pour les employeurs , ».

 

Objet

Les membres du groupe CRCE par cette série d’amendements entendent augmenter la part déplafonnée de la cotisation sociale à l’assurance vieillesse afin de remédier aux déficits temporaires du système de retraite, tout en privilégiant une solution financière ne pénalisant ni les bas salaires des travailleuses et travailleurs en deçà de revenus mensuels de 3666 €, ni les personnes assujetties tant l’effort demandé est modeste.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 4275 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l'article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

A la seconde phrase du troisième alinéa de l’article L. 241-3 du code de la sécurité sociale, après les mots : « ces cotisations », sont insérés les mots : « , qui ne peut être inférieur à 2,35 % pour les salariés et 4,15 % pour les employeurs , ».

Objet

Les membres du groupe CRCE par cette série d’amendements entendent augmenter la part déplafonnée de la cotisation sociale à l’assurance vieillesse afin de remédier aux déficits temporaires du système de retraite, tout en privilégiant une solution financière ne pénalisant ni les bas salaires des travailleuses et travailleurs en deçà de revenus mensuels de 3666 €, ni les personnes assujetties tant l’effort demandé est modeste.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 4274 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l'article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

A la seconde phrase du troisième alinéa de l’article L.241-3 du code de la sécurité sociale, après les mots : « ces cotisations », sont insérés les mots : « , qui ne peut être inférieur à 2,34 % pour les salariés et 4,14 % pour les employeurs , ».

Objet

Les membres du groupe CRCE par cette série d’amendements entendent augmenter la part déplafonnée de la cotisation sociale à l’assurance vieillesse afin de remédier aux déficits temporaires du système de retraite, tout en privilégiant une solution financière ne pénalisant ni les bas salaires des travailleuses et travailleurs en deçà de revenus mensuels de 3666 €, ni les personnes assujetties tant l’effort demandé est modeste.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 4273 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l'article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

A la seconde phrase du troisième alinéa de l’article L.241-3 du code de la sécurité sociale, après les mots : « ces cotisations », sont insérés les mots : « , qui ne peut être inférieur à 2,33 % pour les salariés et 4,13 % pour les employeurs , ».

Objet

Les membres du groupe CRCE par cette série d’amendements entendent augmenter la part déplafonnée de la cotisation sociale à l’assurance vieillesse afin de remédier aux déficits temporaires du système de retraite, tout en privilégiant une solution financière ne pénalisant ni les bas salaires des travailleuses et travailleurs en deçà de revenus mensuels de 3666 €, ni les personnes assujetties tant l’effort demandé est modeste.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4272 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l'article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

A la seconde phrase du troisième alinéa de l’article L.241-3 du code de la sécurité sociale, après les mots : «  ces cotisations », sont insérés les mots : « , qui ne peut être inférieur à 2,32 % pour les salariés et 4,12 % pour les employeurs , ».

Objet

Les membres du groupe CRCE par cette série d’amendements entendent augmenter la part déplafonnée de la cotisation sociale à l’assurance vieillesse afin de remédier aux déficits temporaires du système de retraite, tout en privilégiant une solution financière ne pénalisant ni les bas salaires des travailleuses et travailleurs en deçà de revenus mensuels de 3666 €, ni les personnes assujetties tant l’effort demandé est modeste.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4271 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l'article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

A la seconde phrase du troisième alinéa de l’article L.241-3 du code de la sécurité sociale, après les mots : « ces cotisations », sont insérés les mots : « , qui ne peut être inférieur à 2,31 % pour les salariés et 4,11 % pour les employeurs , ».

 

Objet

Les membres du groupe CRCE par cette série d’amendements entendent augmenter la part déplafonnée de la cotisation sociale à l’assurance vieillesse afin de remédier aux déficits temporaires du système de retraite, tout en privilégiant une solution financière ne pénalisant ni les bas salaires des travailleuses et travailleurs en deçà de revenus mensuels de 3666 €, ni les personnes assujetties tant l’effort demandé est modeste.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4270 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l'article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

A la seconde phrase du troisième alinéa de l’article L.241-3 du code de la sécurité sociale, après les mots : « ces cotisations », sont insérés les mots : « , qui ne peut être inférieur à 2,30 % pour les salariés et 4,10 % pour les employeurs , ».

Objet

Les membres du groupe CRCE par cette série d’amendements entendent augmenter la part déplafonnée de la cotisation sociale à l’assurance vieillesse afin de remédier aux déficits temporaires du système de retraite, tout en privilégiant une solution financière ne pénalisant ni les bas salaires des travailleuses et travailleurs en deçà de revenus mensuels de 3666 €, ni les personnes assujetties tant l’effort demandé est modeste.

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4269 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l'article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

A la seconde phrase du troisième alinéa de l’article L.241-3 du code de la sécurité sociale, après les mots : « ces cotisations », sont insérés les mots : « , qui ne peut être inférieur à 2,29 % pour les salariés et 4,09 % pour les employeurs , ».

Objet

Les membres du groupe CRCE par cette série d’amendements entendent augmenter la part déplafonnée de la cotisation sociale à l’assurance vieillesse afin de remédier aux déficits temporaires du système de retraite, tout en privilégiant une solution financière ne pénalisant ni les bas salaires des travailleuses et travailleurs en deçà de revenus mensuels de 3666 €, ni les personnes assujetties tant l’effort demandé est modeste.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4346 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l'article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

À la seconde phrase du troisième alinéa de l’article L. 241-3 du code de la sécurité sociale, après le mot : « cotisations », sont insérés les mots : « , qui ne peut être inférieur à 2 % pour les salariés et 3,8 % pour les employeurs, ».

Objet

Les membres du groupe CRCE par cette série d’amendements entendent augmenter la part déplafonnée de la cotisation sociale à l’assurance vieillesse afin de remédier aux déficits temporaires du système de retraite, tout en privilégiant une solution financière ne pénalisant ni les bas salaires des travailleuses et travailleurs en deçà de revenus mensuels de 3666 €, ni les personnes assujetties tant l’effort demandé est modeste.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4344 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l'article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

À la seconde phrase du troisième alinéa de l’article L. 241-3 du code de la sécurité sociale, après le mot : « cotisations », sont insérés les mots : « , qui ne peut être inférieur à 3 % pour les employeurs , ».

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent créer un taux plancher pour les cotisations patronales déplafonnées affectées à l’assurance vieillesse à 3%, c’est à dire 1,10 point de plus qu’actuellement.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4345 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l'article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

À la seconde phrase du troisième alinéa de l’article L. 241-3 du code de la sécurité sociale, après le mot : « cotisations », sont insérés les mots : « , qui ne peut être inférieur à 2 % pour les employeurs, ».

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent créer un taux plancher pour les cotisations patronales déplafonnées affectées à l’assurance vieillesse à 2%, c’est à dire 0,10 point de plus qu’actuellement.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2882 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l’article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Après l’article L. 241-3-2 du code de la sécurité sociale, il est inséré un article L. 241-3-... ainsi rédigé :

« Art. L. 241-3-.... – Le taux de cotisation d’assurance vieillesse à la charge de l’employeur peut être majoré en fonction :

« 1° Du nombre de fins de contrat de travail à l’exclusion des démissions ;

« 2° De la nature du contrat de travail et de sa durée ;

« 3° De la politique salariale de l’entreprise, notamment au regard de l’objectif d’égalité professionnelle ;

« 4° De la politique de formation de l’entreprise ;

« 5° Du respect par l’entreprise d’engagements écologiques et environnementaux, pris notamment dans le cadre de l’exercice de sa responsabilité sociale ;

« 6° De la taille de l’entreprise ;

« Dans les entreprises d’au moins cinquante salariés, le comité social et économique est consulté sur l’application du présent article au titre de ses attributions consultatives mentionnées à l’article L. 2312-15 du code du travail. Son avis est transmis à une commission spécifique de la caisse nationale d’assurance vieillesse.

« Les modalités de calcul de la majoration de cotisations patronales et de contrôle des représentants du personnel sont déterminées par décret en Conseil d’État. »

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à moduler à la hausse les cotisations patronales d’assurance vieillesse en fonction des politiques salariales, d’emploi, et de formation des entreprises, ainsi que du respect d’objectifs écologiques et environnementaux.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3141

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l’article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’article L. 241-3 du code de la sécurité sociale est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« Le taux de contribution de chaque employeur peut être majoré dans des conditions fixées par décret en fonction du nombre de fins de contrat de travail et de contrats de mise à disposition mentionnés au 1° de l’article L. 1251-1 du code du travail, impliquant des salariés de plus de cinquante ans à l’exclusion des démissions, des contrats de travail et contrats de mise à disposition conclus avec une structure d’insertion par l’activité économique mentionnée à l’article L. 5132-4 du code du travail et des contrats de mission mentionnés au 2° de l’ article L. 1251-1 du même code. Les données nécessaires à la détermination du nombre de fins de contrats et de contrats de mise à disposition peuvent être communiquées à l’employeur par les organismes chargés du recouvrement des contributions de l’assurance vieillesse et de l’assurance veuvage, dans des conditions prévues par décret. »

Objet

Le recul de l’âge d’ouverture des droits prévu dans ce projet de loi se traduira par une prolongation du sas de précarité pour bon nombre de séniors, a fortiori les femmes et ceux appartenant aux catégories populaires, ouvrière et employée faiblement qualifiées.

Selon la DARES, à 61 ans, 42% seulement des seniors sont en emploi à temps plein et quelques pour cent en temps partiel pour moins d’un senior sur deux au total.

C’est seulement 28% des ouvriers. La précédente réforme de report de l’AOD en 2010 avait contribué à amplifier ce phénomène en figeant les situations.

Selon l’INSEE en 2017, le relèvement de 2 ans de l’AOD lors de la réforme de 2010 s’est traduit par une hausse de 14 points du taux d’emploi à 60 ans, de 13 points du taux de chômage, et de 7 points pour l’invalidité/maladie. Notons qu’une partie de cette hausse d’emploi est due à un effet générationnel notamment pour les femmes et non au seul relèvement de l’AOD.

Même les cadres ne sont pas épargnés, les « ni en emploi, ni en retraite » représentent 13 % des 61 ans et selon une étude de l’APEC en 2022 : 81% des 112 000 cadres de plus de 55 ans au chômage ont fait l’objet d’un licenciement.

Actuellement les séniors sont déjà 1,4 millions à être au chômage dont 865 000 le sont depuis plus d’un an. Le nombre des demandeurs d’emploi en catégorie A de plus de 50 ans a nettement augmenté, passant de 312 000 en 2008 à 809 000 fin 2022. De surcroît, il s’agit beaucoup plus fréquemment de chômeurs de longue durée : la durée moyenne de chômage des plus de 50 ans était de 370 jours début 2008. Elle atteint 665 jours fin 2022.

En parallèle, le nombre de seniors passant d’un emploi au chômage est extrêmement élevé et les probabilités de retrouver un emploi après 50 ans sont très faibles. Selon le Défenseur des Droits, l’âge fait partie des trois facteurs les plus discriminants pour la recherche d’emploi. Selon le Baromètre IFOP des discriminations au travail, avoir plus de 55 ans s’avère le critère le plus rédhibitoire aux yeux de 8 salariés sur 10 et 9 demandeurs d’emploi sur 10.

Selon la DARES en 2021, une personne ayant entre 48 et 55 ans à trois fois moins de chance d’être rappelée pour un entretien qu’un 23-30 ans (75 % de réponses positives de moins).

Toutes ces données doivent nous alerter sur l’état de l’emploi des seniors et infirmer l’idée que le seul report de l’âge d’ouverture des droits suffira à résoudre le problème du taux d’emploi des séniors. Le gouvernement tente de renforcer le dispositif du présent texte avec un index senior sans le doter d’outils contraignant permettant de garantir son efficacité. En parallèle, un système de bonus-malus existe pour limiter les ruptures de contrats courts dans certains secteurs.

Cet amendement se propose de reprendre le dispositif du malus et de l’étendre à l’ensemble des secteurs en redirigeant la majoration de cotisation vers la CNAV si une entreprise enregistre un nombre de licenciements des salariés au-dessus d’un certain seuil à fixer par décret en regard de sa branche.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4347 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l'article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le taux net des cotisations définies à l’article L. 241-3 du code de la sécurité sociale, applicable aux entreprises dont l’effectif est au moins égal à 50 salariés et soumises à la tarification individuelle ou mixte, fait l’objet de majorations spécifiques, lorsque ces entreprises n’ont pas conclu d’accord ou de plan relatif à l’égalité professionnelle dans le cadre des obligations définies aux articles L. 2242-1 et L. 2242-3 du code du travail.

Objet

Les membres du groupe CRCE entendent augmenter la contribution financière au système de retraite des entreprises de plus de 50 salariés qui ne respectent pas leurs obligations en matière d’égalité salariale. Cet amendement n’omet en rien le combat légitime pour l’augmentation généralisé des taux de cotisations sociales.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4349 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l’article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le taux net des cotisations définies à l’article L. 241-3 du code de la sécurité sociale, applicable aux entreprises dont l’effectif est au moins égal à 50 salariés et soumises à la tarification individuelle ou mixte, fait l’objet de majorations spécifiques, lorsque ces entreprises ont pratiqué lors de l’exercice précédent des licenciements économiques alors qu’elles sont bénéficiaires ou distribuent des dividendes. Les conditions d’application de la mesure sont fixées par décret.

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent augmenter la contribution financière au système de retraite des entreprises de plus de 50 salariés qui auraient procédé à des licenciements économiques ou à des versements de dividendes. Cet amendement n’omet en rien le combat légitime pour l’augmentation généralisé des taux de cotisations sociales.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2881 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l’article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le taux de cotisations patronales versé au titre du financement de l’assurance vieillesse est augmenté de 1 point.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républcain vise à augmenter d'1 point le taux de cotisation d'assurance vieillesse comme le préconise le COR.

Le montant total des cotisations versées aux régimes des retraites s’élevait en 2021 à 227 milliards d'euros.

D’après le Haut-commissariat au plan, une hausse de l’ordre de 1 point des cotisations patronales retraites les augmenterait de quelque 7,5 milliards, soit environ 15 % du besoin de financement annuel moyen calculé d’ici 2047.

Une telle hausse requerrait de faire passer le taux des cotisations retraite employeurs à 17,5 % du salaire brut, contre 16,5 % actuellement.

Cette recette supplémentaire permettrait donc d’améliorer significativement le financement de la branche retraite.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3166

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l’article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’article L. 241-5 du code de la sécurité sociale est complété par quatre alinéas ainsi rédigés :

« Il est instauré un malus, fixé par voie réglementaire, sur les cotisations des employeurs dues au titre des accidents du travail et des maladies professionnelles pour les entreprises enregistrant un taux de rupture de contrat de salariés âgés de plus de 55 ans anormalement élevé par rapport à la branche d’appartenance.

« Les efforts de l’employeur en matière d’emploi et du maintien en emploi des seniors s’apprécient sur la base de critères définis par décret en Conseil d’État à partir du bilan social de l’entreprise, défini aux articles L. 2312-28 à L. 2312-33 du code du travail.

« Le montant du malus ainsi que les modalités de définition du taux de rupture de contrat sont définis par décret en Conseil d’État.

« Le produit de cette contribution additionnelle est affecté à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du code de la sécurité sociale. »

Objet

Le présent amendement envisage de lutter contre les taux anormalement élevés de rupture de contrat touchant les salariés seniors. En effet, fin 2021, la proportion des 55-64 ans qui occupaient un poste s’élevait à 56 %.

La Première ministre, Élisabeth Borne, l’a d’ailleurs elle-même admis, lors de la présentation du projet de réforme, le 10 janvier dernier : de nombreuses entreprises ont recours à une pratique “abusive”, voire “discriminatoire”, qui consiste à “faire partir les salariés quelques années avant la retraite”.

Lutter contre le chômage et la précarité des seniors ne peut se résumer à un index de simple déclaration.

Les entreprises ont, en effet, une grande responsabilité dans le maintien en emploi des seniors, dans un contexte où beaucoup considèrent les seniors comme des salariés moins productifs et/ou trop coûteux dont il convient soit de licencier soit de ne pas embaucher.

Ainsi, 63 % des salariés âgés de 44 à 55 ans en recherche d’emploi n’ont pas été sollicités par des recruteurs au cours des six derniers mois, contre 26 % chez les 18-34 ans.

Les séniors ne retrouvent guère ou peu d’emploi après une perte de poste, ce qui les plonge dans un sas de précarité, dont la durée va augmenter avec le report de l'âge de départ à la retraite à 64 ans.

Prendre des mesures réellement ambitieuses pour l’emploi, et l’emploi de qualité, des seniors, passe donc nécessairement par sanctionner les entreprises en cas de niveaux anormalement élevés de rupture de contrats de seniors.

Tel est l’objet du présent amendement.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2515

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. GONTARD, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l’article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’article L. 241-5 du code de la sécurité sociale est complété par deux alinéas ainsi rédigés :

« Il est instauré un malus, fixé par voie réglementaire, sur les cotisations des employeurs dues au titre des accidents du travail et des maladies professionnelles pour les entreprises enregistrant un taux de licenciement anormalement élevé.

« La détermination de l’effort de l’employeur en matière de prévention à destination des inaptitudes se fait sur la base de critères définis par voie réglementaire à partir du bilan social de l’entreprise, défini aux articles L. 2312-28 à L. 2312-33 du code du travail. »

Objet

Cet amendement inspiré par notre ancienne collègue Sophie Taillé – Polian et les députés écologistes vise à instaurer un malus sur les cotisations des employeurs dues au titre des accidents du travail et des maladies professionnelles pour les entreprises qui présentent une tendance élevée au licenciement de travailleurs et de travailleuses pour inaptitude.

L’objectif est multiple :

- inciter les entreprises à s’engager sur des politiques opérantes de prévention des accidents et maladies professionnelles et éviter au maximum les déclarations d’inaptitude,

- s’assurer que les hypothèses de reclassement sont bel et bien étudiées et au maximum respectées et ainsi limiter au maximum les licenciements pour inaptitude,

- faire contribuer davantage au financement de la branche AT – MP les entreprises peu responsables qui licencient pour inaptitude des salariés qui seront ensuite pris en charge par la sécurité sociale.

D’après l’Enquête Emploi 2012, en cinq ans, le taux de licenciement pour inaptitude a fortement augmenté et est passé de 4 à 6 licenciements pour 1 000 emplois en CDI.

Si le chiffre de 100 000 salariés déclarés inaptes à leur poste est régulièrement avancé de façon parcellaire, il n’existe aucun chiffre au niveau national qui consolide ce phénomène.

Ainsi, ce dispositif permettrait en outre d’avoir une vision globale et des données sur le nombre d’entreprises qui ont recours à des licenciements pour inaptitude.

Cet amendement renvoie à une définition règlementaire la précision du « taux anormalement élevé de licenciement ».






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3174

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l’article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’article L. 241-5 du code de la sécurité sociale est ainsi modifié :

1° Au début du premier alinéa, est ajoutée la mention : « I. – » ;

2° L’article est complété par deux paragraphes ainsi rédigés :

« II. – Il est instauré un malus, fixé par voie réglementaire, sur les cotisations des employeurs dues au titre des accidents du travail et des maladies professionnelles pour les entreprises enregistrant un taux de licenciement pour inaptitude nettement supérieur à la moyenne de la branche concernée.

« III. – La détermination de l’effort de l’employeur en matière de prévention à destination des inaptitudes se fait sur la base de critères définis par voie réglementaire à partir du bilan social de l’entreprise, défini aux articles L. 2312-28 à L. 2312-33 du code du travail. »

Objet

Cet amendement vise à instaurer un malus pour les entreprises qui présentent une tendance élevée à licencier des travailleurs et des travailleuses pour inaptitude et qui ne présente aucun plan d’actions pour y remédier. Et ce, relativement à la branche concernée

Selon le rapport de 2019 de la Haute Autorité de santé sur la désinsertion professionnelle, 95% des salariés déclarés inaptes sont licenciés, et ce malgré l’obligation de reclassement à la charge de l’employeur. Il s'ensuit alors pour le salarié une perte durable d’emploi, qui est d’autant plus grande pour les séniors.

Pour certains employeurs, le licenciement pour inaptitude s’accompagne de l’inaction à modifier les conditions de travail, licenciement qui dès lors externalise le coût social de l’absence de reclassement, à la différence de la fonction publique.

D’après l’Enquête Emploi 2012, en cinq ans, le taux de licenciement pour inaptitude a fortement augmenté et est passé de 4 à 6 licenciements pour 1 000 emplois en CDI.

Si le chiffre de 100 000 salarié·es déclarés inaptes à leur poste est régulièrement avancé de façon parcellaire, il n’existe aucun chiffre au niveau national qui consolide ce phénomène. Ainsi, cet amendement permettrait d’avoir une vision globale et des données sur le nombre d’entreprises qui ont recours à des licenciements pour inaptitude.

L’objectif est ainsi d’inciter les entreprises à s’engager sur des politiques opérantes de prévention en amont de la déclaration de licenciement pour inaptitude, mais également à s’assurer que les hypothèses de reclassement sont bel et bien respectées.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3488

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l’article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’article L. 241-5 du code de la sécurité sociale est complété par deux alinéas ainsi rédigés :

« Il est instauré un malus, fixé par voie réglementaire, sur les cotisations des employeurs dues au titre des accidents du travail et des maladies professionnelles concernant des salariés de plus de 59 ans pour les entreprises enregistrant un taux de licenciement pour inaptitude anormalement élevé.

« La détermination de l’effort de l’employeur en matière de prévention à destination des inaptitudes se fait sur la base de critères définis par voie réglementaire à partir du bilan social de l’entreprise, défini aux articles L. 2312 28 à L. 2312 33 du code du travail. »

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires vise à instaurer un malus pour les entreprises qui présentent une tendance élevée à licencier des travailleurs et des travailleuses de plus de 59 ans pour inaptitude.

L’objectif est d’inciter les entreprises à s’engager sur des politiques opérantes de prévention en amont de la déclaration de licenciement pour inaptitude, mais également à s’assurer que les hypothèses de reclassement sont bel et bien respectées.

D’après l’Enquête Emploi 2012, en cinq ans, le taux de licenciement pour inaptitude a fortement augmenté et est passé de 4 à 6 licenciements pour 1 000 emplois en CDI.

Si le chiffre de 100 000 salarié·es déclarés inaptes à leur poste est régulièrement avancé de façon parcellaire, il n’existe aucun chiffre au niveau national qui consolide ce phénomène. Ainsi, cela permettrait d’avoir une vision globale et des données sur le nombre d’entreprises qui ont recours à des licenciements pour inaptitude.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2461 rect.

4 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. DOSSUS, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l'article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre 7 du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section ... ainsi rédigée :

« Section ...

« Contribution pour inaptitude

« Art. L. 137 42. – I. – Il est institué une contribution pour « inaptitude » au taux de 3 %, lorsque des entreprises enregistrent un taux de licenciement pour inaptitude supérieur à la moyenne de la branche concernée pour des salariés de plus de 59 ans.

« II. – Le produit de cette contribution additionnelle est affecté à la caisse mentionnée à l’article L. 222 1 du code de la sécurité sociale.

« III. – Le produit de cette contribution additionnelle est affecté à la caisse d’assurance maladie mentionnée à l’article L. 221 1 du code de la sécurité sociale. »

Objet

Le présent amendement proposé par le groupe Écologiste - Solidarité et Territoires vise à créer une contribution exceptionnelle pour les entreprises qui enregistrent un taux de licenciement pour inaptitude supérieur à la moyenne de la branche concernée en ce qui concerne leurs salariés de plus de 59 ans.

La situation professionnelle des séniors est souvent critique. De nombreux salariés de plus de 55 ans sont mis à la porte du jour au lendemain par leurs employeurs respectifs sans raison apparente. La Première ministre Élisabeth Borne l’a d’ailleurs elle-même admis lors de la présentation du projet de réforme le 10 janvier dernier, qualifiant cette pratique qui consiste à "faire partir les salariés quelques années avant la retraite" d’ "abusive" voire de "discriminatoire". 

Ces employés licenciés peinent à retrouver du travail et font face à tout un tas de préjugés. Les employeurs craignent qu’ils aient des problèmes de santé ou qu’ils demandent une rémunération trop importante. Résultat, d’après une récente étude de la Dares, le taux d’emploi des 55-64 ans s’élève à 56% en France, un chiffre bien en dessous de la moyenne européenne à 60,5%.

Selon le gouvernement, la réforme des retraites favoriserait l’emploi des travailleurs séniors, et donc le plein-emploi. En réalité, la réforme exclura du marché du travail ces mêmes travailleurs. C’est le constat qui a été fait à chaque décalage de l’âge légal de départ à la retraite, comme avec la "réforme Woerth" en 2010. Ainsi, en 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans n’étaient ni en emploi, ni à la retraite. Pour ces personnes, décaler l’âge légal, c’est simplement être plus longtemps au chômage ou aux minimas sociaux. La situation des plus de 59 ans va donc s’aggraver, contrairement à ce que le gouvernement essaie de faire croire aux Françaises et aux Français.

Parce que cette situation est insupportable, les auteurs de cet amendement proposent d’instaurer une contribution exceptionnelle dans le but de dissuader les entreprises de licencier leurs employés de plus de 59 ans de manière abusive mais aussi afin de sanctionner celles qui continueraient à s’abaisser à ce genre de pratiques. Une telle contribution serait d’ailleurs une juste manière de contribuer au financement du système de retraite, contrairement au recul de l’âge légal de départ. 



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 ter à un additionnel après l'article 2).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2875 rect. bis

5 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l'article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’article L. 241-5 du code de la sécurité sociale est complété par deux alinéas ainsi rédigés :

« Il est instauré un malus, fixé par voie réglementaire, sur les cotisations des employeurs dues au titre des accidents du travail et des maladies professionnelles pour les entreprises n’ayant pas pris les mesures nécessaires pour éliminer un risque avéré de maladie professionnelle.

« La détermination de l’effort de l’employeur en matière de prévention et de lutte contre les maladies professionnelles se fait sur la base de critères définis par voie réglementaire à partir du bilan social de l’entreprise, défini aux articles L. 2312-28 à L. 2312-33 du code du travail. »

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à financer le fonds pour la prévention de l’usure professionnelle dans les hôpitaux et établissements sociaux et médico-sociaux par un malus de cotisations patronales sur l'accidentologie au travail.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un amendement à l'article 9 à un article additionnel après l'article 2).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3171

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l’article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’article L. 241-5 du code de la sécurité sociale est complété par deux alinéas ainsi rédigés :

« Il est instauré un malus, fixé par voie réglementaire, sur les cotisations des employeurs dues au titre des accidents du travail et des maladies professionnelles pour les entreprises n’ayant pas pris les mesures nécessaires pour éliminer un risque avéré de maladie professionnelle.

« La détermination de l’effort de l’employeur en matière de prévention et de lutte contre les maladies professionnelles se fait sur la base de critères définis par voie réglementaire à partir du bilan social de l’entreprise, défini aux articles L. 2312-28 à L. 2312-33 du code du travail. »

Objet

Malgré une communication intensive sur les mesures d’accompagnement de sa réforme, notamment sur la prévention de l’usure professionnelle, force est de constater l’absence de toute mesure contraignante envers les employeurs alors que la réforme pèse sur le seul monde du travail.

Le rapport de la Cour des comptes sur les politiques de prévention en santé au travail dans les entreprises (décembre 2022) critique le manque d’ambition de la politique publique en matière de santé au travail et de prévention des risques professionnels, et l’absence de contraintes qui pèsent sur les entreprises.

Le travail s’est très fortement intensifié depuis plus de 30 ans. Selon la DARES, l’exposition

à au moins trois contraintes physiques concerne 34% des salariés en 2016 alors qu’ils n’étaient que 12,1% en 1984. Les ouvriers et les employés sont particulièrement concernés.

En 1984, 21,2% des ouvriers non qualifiés étaient exposés à au moins 3 contraintes physiques, ils sont 63,4% en 2016 ; 23,5% des ouvriers qualifiés étaient exposés à au moins 3 contraintes physiques en 1984, ils sont 60,8% en 2016 ; 13,2% des employés en 1984 étaient exposés à au moins 3 contraintes physiques, ils sont 46,9% en 2016.

De plus, l’augmentation de l’âge de départ à la retraite va s’accompagner d’une augmentation des arrêts maladie de longue durée, des maladies professionnelles et des douleurs chroniques au travail. Les seniors sont en effet aujourd’hui déjà particulièrement exposés aux accidents du travail en termes fréquence et de gravité : 58% des morts par accident du travail ont plus de 50 ans. Une surreprésentation que l’on retrouve aussi dans les incapacités permanentes liées au travail, qui concernent à 41% les plus de 50 ans. La fréquence des accidents mortels croît aussi avec l’âge, les salariés âgés de 60 ans ou plus enregistrant le risque le plus élevé (54,2 accidents par milliard d’heures rémunérées).

Cet amendement vise à mieux évaluer et prévenir les risques de maladie professionnelle via l’instauration d’un malus pour les employeurs n’ayant pas pris les mesures nécessaires. Concrètement, il s’agit de relever les taux de cotisations auprès de la branche AT-MP des entreprises présentant une sinistralité anormalement élevée et n’ayant pris aucune mesure d’action. Cette tarification des risques professionnels permettrait de dégager des fonds pour la réparation, l’évaluation et la prévention des risques professionnels et participerait à la promotion de la santé au travail.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2329 rect. ter

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Défavorable
Retiré

MM. HENNO et DÉTRAIGNE, Mmes GUIDEZ et LÉTARD, M. PRINCE, Mmes RACT-MADOUX, SAINT-PÉ et VÉRIEN et MM. CHAUVET et Stéphane DEMILLY


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l'article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. - L'article L. 241-6-1 du code de la sécurité sociale est complété par deux alinéas ainsi rédigés :

« La partie des cotisations à la charge de l'employeur est réduite lorsque le salarié a 57 ans et plus, jusqu'à son départ de l'entreprise dans des conditions prévues par décret.

« Toutefois, en cas de licenciement de ce salarié senior, l'employeur devra rembourser l'équivalent des cotisations dont il a été exonéré. »

II. – La perte de recettes résultant pour l’État du I est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

III. – La perte de recettes résultant pour les organismes de sécurité sociale du I est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

Objet

L'allongement de l'âge de départ à la retraite entraine l'absolue nécessité de se préoccuper du recrutement et du maintien en emploi des seniors.

A cette fin, il conviendrait de prévoir un allègement du coût des cotisations aux prestations familiales pour les seniors que les employeurs embauchent ou maintiennent en emploi et prévoir l'instauration d'avantages compétitifs ciblés sur ces salariés. Dans ce cadre, il pourrait être proposé de baisser de 4.5 points les cotisations patronales « prestations familiales » (qui sont actuellement fixée à 5,25 %) sur la part de la rémunération dans la limite du plafond prévu au premier alinéa de l'article L.241-3 du code de la sécurité sociale.  Cet allègement s'appliquerait durant la période d'emploi du senior, à partir de 57 ans. Cela permettrait de compenser les surcoûts liés à l'ancienneté, et ainsi de créer un contexte favorable tant pour le recrutement que le maintien dans l'emploi de cette population spécifique.

Toutefois et pour limiter les effets d'aubaine, l'employeur se séparant du senior avant sa retraite, aurait l'obligation de rembourser l'équivalent du montant des cotisations « prestations familiales dont il a été dispensé compte tenu de l'âge de l'intéressé.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 124 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

Mme ESTROSI SASSONE, MM. PERRIN, RIETMANN et Daniel LAURENT, Mme Valérie BOYER, MM. MILON et CALVET, Mme JOSEPH, M. MANDELLI, Mmes CHAUVIN et DI FOLCO, M. CAMBON, Mme DUMONT, MM. BURGOA, CHAIZE et SAVIN, Mme BELRHITI, M. DAUBRESSE, Mmes RICHER et Laure DARCOS, M. LE RUDULIER, Mme GOSSELIN, MM. KLINGER, ANGLARS, Jean-Baptiste BLANC et BOUCHET, Mme CANAYER, M. de LEGGE, Mme DEMAS, MM. LEFÈVRE et SIDO, Mmes MALET et BELLUROT, MM. SOL, Jean Pierre VOGEL, BASCHER et MOUILLER, Mme CHAIN-LARCHÉ, M. KAROUTCHI, Mme MULLER-BRONN, MM. CADEC, SOMON et BRISSON, Mmes DREXLER et IMBERT, MM. PIEDNOIR, PELLEVAT et CHATILLON, Mme LOPEZ, MM. PANUNZI et Cédric VIAL, Mme DEL FABRO, MM. CHARON, FRASSA et GENET, Mmes RAIMOND-PAVERO et BOULAY-ESPÉRONNIER, M. RAPIN, Mme RENAUD-GARABEDIAN et M. CUYPERS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l’article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – Après l’article L. 241-14 du code de la sécurité sociale, il est inséré un article L. 241-... ainsi rédigé :

« Art. L 241-.... – Sont exonérées des cotisations d’assurance vieillesse à la charge de l’employeur les rémunérations versées aux salariés ayant atteint l’âge d’ouverture du droit à une pension de retraite prévu à l’article L. 161-17-2 du présent code. »

II. – La perte de recettes résultant pour l’État du I est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

Objet

Cet amendement propose d’exonérer de cotisations vieillesse à la charge de l’employeur les rémunérations versées aux salariés qui font le choix de continuer de travailler dès lors qu’ils sont en droit de liquider leur retraite.

Il est à la fois un outil pour accompagner certaines fins de carrière et une incitation pour les employeurs à recruter des séniors avec une baisse du coût du travail.

Il favorise également la transition entre l’emploi et la retraite pour des salariés qui ne souhaitent pas partir dès lors qu’ils le peuvent.  

Enfin, en exonérant de ces cotisations les salariés séniors, l’emploi sera stimulé au sein des entreprises où ils travaillent permettant de créer d'éventuelles embauches avec les économies réalisées. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4639 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

Mmes SCHILLINGER et HAVET, M. HAYE, Mme DURANTON et MM. MOHAMED SOILIHI, MARCHAND, LEMOYNE, RAMBAUD, BUIS et HASSANI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


I. – Après l’article L. 241-3­2, il est inséré un article L. 241-3-… ainsi rédigé :

« Art. L. 241-3-… – Par dérogation aux dispositions de l’article L. 241-3, en cas d’embauche d’un salarié de plus de 55 ans, le montant de la cotisation relative à la couverture des charges de l’assurance vieillesse et de l’assurance veuvage est réduit pour la partie à la charge de l’employeur et pour la partie à la charge du salarié. Un décret fixe le taux réduit. »

II. – La perte de recettes résultant pour l’État du I est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

Objet

Le report de l’âge légal de départ à la retraite implique un risque de précarisation des salariés de plus de 55 ans.  Ce risque est d’autant plus grand pour les femmes qui subissent le plus les conséquences de parcours alternants vie professionnelle et vie familiale et rencontrent des difficultés à obtenir l’ensemble de leurs droits au moment du départ à la retraite.

Afin d’encourager significativement l’embauche de salariés de plus de 55 ans, il est nécessaire d’adopter des mesures sociales fortes. Pour ce faire, cet amendement propose d’alléger les cotisations sociales relatives à l’assurance vieillesse pour l’embauche d’un salarié de plus de 55 ans. Un décret déterminera le taux allégé des cotisations de façon à assurer l’équilibre du régime d’assurance vieillesse et l’incitation significative en faveur de l’emploi des séniors.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3154 rect.

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l'article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’article 1er de la loi n° 2022-1158 du 16 août 2022 portant mesures d’urgence pour la protection du pouvoir d’achat est ainsi modifié :

1° Les I à V sont abrogés ;

2° Au premier alinéa du VI, les mots : « exonérée dans les conditions prévues au V du présent article, est également » sont remplacés par le mot : « est ».

Objet

Les mesures de la loi sur le partage de la valeur sont exonérées de cotisations et contributions sociales et défiscalisées.

Notamment les primes jusqu’à 6000 euros qui non seulement sont désocialisées mais non compensées par l’état auprès des caisses de la sécurité sociale.

Cela représente une perte de recettes sensible pour les comptes de la sécurité sociale et elles se substituent aux augmentations pérennes des salaires donc à des rentrées tout autant pérennes de la caisse vieillesse.

En effet, au premier trimestre 2019, le salaire moyen par tête (SMPT) a augmenté de 2,7 % sur un an, soit la plus forte augmentation depuis 9 ans selon l’INSEE. En excluant de la masse salariale les 2,2 milliards d’euros perçus par les salariés au titre de la prime PEPA, le SMPT n’aurait progressé que de 1,3 % sur un an. La progression du SMPT serait ainsi inférieure à celles des trimestres précédents ou suivants (supérieures à 1,5 %), ce qui conforte la forte présomption d’importants effets d’aubaine, désincitant les employeurs à augmenter les salaires de leurs employé.es, et qui accordent en substitution des primes évitant impôts et cotisations.

En conséquence, considérant que ce n’est pas aux comptes de la sécurité sociale de financer une mesure qui désincite à l’augmentation des salaires et comportant un manque à gagner durable pour les caisses de la sécurité sociale, cet amendement vise à ce que les mesures de la loi sur le partage de la valeur soient soumises à cotisations sociales.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel avant l'article 2 vers un article additionnel après l'article 2).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4475 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2


Après l’article 2

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le V de l’article 1er de la loi n° 2022-1158 du 16 août 2022 portant mesures d’urgence pour la protection du pouvoir d’achat est ainsi modifié :

1° Au premier alinéa, les mots : « les cotisations sociales d’origine légale ou conventionnelle à la charge du salarié et de l’employeur ainsi que des participations, » sont supprimés ;

2° Le deuxième alinéa est supprimé.

Objet

Les membres du groupe CRCE s’opposent à la prime de partage de la valeur qui crée un effet d’éviction par rapport aux salaires. Une des conséquences de ce phénomène est la désocialisation de cette forme de revenu, dont les auteurs proposent par cet amendement de les soumettre à cotisations sociales.

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3095 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER, ROSSIGNOL et BLATRIX CONTAT, MM. BOURGI, CARDON et CHANTREL, Mme CONWAY-MOURET, MM. DURAIN et LECONTE, Mme MONIER, MM. TEMAL, TISSOT, LUREL, FÉRAUD et MARIE, Mme de LA GONTRIE, MM. RAYNAL et STANZIONE, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN, ASSOULINE, MÉRILLOU, HOULLEGATTE et LOZACH, Mme VAN HEGHE, MM. MAGNER, ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 2 BIS


Alinéa 6

1° Remplacer les mots :

La rupture conventionnelle mentionnée

par les mots :

Les ruptures conventionnelles mentionnées

2° Après la référence :

L. 1237-15

insérer les mots :

et L. 1237-19 à L. 1237-19-12

Objet

Cet article introduit à l’Assemblée nationale tend à harmoniser les règles sociales et fiscales des différents modes de rupture du contrat de travail.

L’objectif poursuivi est d’éviter les effets d’aubaine.

Pourtant les plus gros utilisateurs de ruptures conventionnelles, en particulier celles visant les salariés âgés, en fin de carrière, dits « seniors » et dont le gouvernement prétend vouloir favoriser l’emploi, sont les grands groupes. Le mode de rupture de contrat le plus utilisé à cette fin sont les ruptures conventionnelles collectives. Les ruptures conventionnelles collectives sont presque exclusivement le fait de ces grands groupes.

Or ce mode précis de rupture du contrat de travail est totalement exclu du dispositif de cet article. Pourquoi ?

En excluant les ruptures conventionnelles collectives, cet article passe à côté de son objectif.

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise donc à intégrer les ruptures conventionnelles collectives au nouveau régime social et fiscal introduit à l'article 2 bis.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3096 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes BLATRIX CONTAT et LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. BOURGI, CARDON et CHANTREL, Mme CONWAY-MOURET, MM. DURAIN et LECONTE, Mme MONIER, MM. TEMAL, TISSOT, LUREL, FÉRAUD et MARIE, Mme de LA GONTRIE, MM. RAYNAL et STANZIONE, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN, ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mme VAN HEGHE, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 2 BIS


Alinéa 7

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Il est majoré à 100 % pour les ruptures conventionnelles des salariés âgés de plus de 50 ans.

Objet

Cet amendement du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à renchérir le coût des ruptures conventionnelles concernant les salariés de plus de 50 ans. Les entreprises au cours des dernières décennies ont systématiquement cherché à éliminer de leur effectif les salariés et cadres les plus âgés. Il s'agit concrètement et matériellement de s'opposer à cette tendance avérée par un dispositif dissuasif.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2113

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Favorable
Adopté

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 2 BIS


Alinéa 13

Après le mot :

applicable

rédiger ainsi la fin de cet alinéa :

aux indemnités versées à l’occasion des ruptures de contrat de travail intervenant à compter du 1er septembre 2023.

Objet

Le présent amendement propose de modifier les modalités d’entrée en vigueur de l’article 2 bis qui harmonisera, à compter du 1er octobre 2023, les contributions sociales dues par l’employeur sur les indemnités versées au salarié à l’occasion d’une rupture conventionnelle ou d’une mise à la retraite à l’initiative de l’employeur.

Il est proposé, d’une part, que le dispositif entre en vigueur au 1er septembre 2023, plutôt qu’au 1er octobre 2023, dans un souci de lisibilité de la mesure et de sa bonne articulation avec l’entrée en vigueur au 1er septembre du nouveau « contrat de fin de carrière », proposé par la commission.

D’autre part, serait visée la date de la rupture de contrat, qui déclenchera le versement des indemnités. La contribution étant assise sur ces indemnités, il est plus approprié de faire référence à ce fait générateur plutôt qu’aux périodes d’emploi courant à compter de la date d’entrée en vigueur.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2353

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

MM. CANÉVET, DUFFOURG et PRINCE, Mmes GUIDEZ, de LA PROVÔTÉ et BILLON, M. LE NAY, Mme MORIN-DESAILLY et M. VANLERENBERGHE


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 BIS


Après l’article 2 bis

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – Le code de la sécurité sociale est ainsi modifié :

1° Le chapitre 7 du titre III du livre 1 est abrogé.

2° Le titre IV du livre II est ainsi rédigé :

« Titre 4

« Ressources

« Chapitre unique

« Art. L. 241-1. – I. – La couverture de l’ensemble des dépenses prises en charge par les organismes mentionnées au titre III du présent livre est assurée par une micro-taxe sociale sur les mouvements des paiements scripturaux, collectée et perçue intégralement par ces organismes.

« II. – L’assiette de cette micro-taxe sociale inclut : les paiements scripturaux et électroniques.

« III. – Le taux de la micro-taxe sociale est fixé à 1 %. »

II – La section II du chapitre III du titre premier de la première partie du livre premier du code général des impôts est abrogée. 

IV. – La perte de recettes résultant pour l’État du I est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

V. – La perte de recettes résultant pour les organismes de sécurité sociale du I est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

Objet

En France, les cotisations sociales salariales et patronales prélevées sur les salaires bruts représentent environ 350 Milliards d’Euros. Le taux de cotisations sociales à la charge des employeurs a certes diminué de 1 point de PIB entre 2016 et 2021 mais il demeure un écart de 71 milliards € avec les cotisations employeurs acquittées dans les autres pays de la zone euro. Ces prélèvements sociaux, en plus de réduire le pouvoir d’achat des travailleurs, pèsent sur le coût du travail pour les entreprises françaises expliquant leur faible compétitivité.

Cet amendement vise ainsi à remplacer les cotisations sociales salariales et patronales prélevées sur le salaire brut par une Micro-Taxe Sociale de 1 % sur les seuls paiements scripturaux. La création de cette Micro-Taxe Sociale, sur la base d’un taux de prélèvement de 1 % sur l’ensemble des paiements scripturaux, remplacerait en volume et en valeur les sommes prélevées sur les cotisations sociales salariales et patronales estimées à 350 milliards d’euros. 

Dans son bilan des paiements scripturaux pour l’année 2020, la Banque de France évalue le montant des transactions scripturales à 35 786 milliards d’euros. La Micro-Taxe Sociale de 1 % permettrait donc de récolter 358 milliards d’euros, se substituant ainsi aux 350 milliards d’euros de cotisations sociales salariales et patronales.

Cet amendement préserve notre modèle social de redistribution et le pérennise même sur le long terme, dans la même logique que celle du Conseil National de la Résistance lors de la création de notre Sécurité Sociale.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2362 rect.

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

MM. CANÉVET, DUFFOURG et PRINCE, Mmes GUIDEZ, de LA PROVÔTÉ et BILLON, M. LE NAY, Mme MORIN-DESAILLY et M. BILHAC


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 BIS


Après l’article 2 bis

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – Le code de la sécurité sociale est ainsi modifié :

1° Le cinquième alinéa de l’article L. 131-8 est supprimé ;

2° La section 1 du chapitre 1er du titre IV du livre II est ainsi rédigée :

« Section 1 

« Maladie, maternité, invalidité, décès

«  Art L. 241-2. – I. – La couverture de l’ensemble des dépenses afférentes à la prise en charge des frais de santé mentionnés à l’article L. 160-1, des prestations mentionnées aux titres II à IV et VI du livre III, des frais de gestion et des autres charges de la branche maladie est assurée par une micro-taxe sociale sur les mouvements des paiements scripturaux, collectée et perçue intégralement par ces organismes.

« II. – L’assiette de cette micro-taxe sociale inclut : les paiements scripturaux et électroniques.

« III. – Le taux de la micro-taxe sociale est fixé à 0,5 %. »

III. – La perte de recettes résultant pour l’État du I est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

IV. – La perte de recettes résultant pour les organismes de sécurité sociale du I est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

Objet

Cet amendement vise à remplacer les cotisations sociales salariales et patronales prélevées sur le salaire brut et destinées à la branche « Maladie, maternité, invalidité et décès » du régime général de la sécurité sociale par une Micro-Taxe Sociale de 0,5 % sur les seuls paiements scripturaux. La création de cette Micro-Taxe Sociale, sur la base d’un taux de prélèvement de 0,5 % sur l’ensemble des paiements scripturaux, remplacerait en volume et en valeur les sommes prélevées sur les cotisations sociales salariales et patronales à destination de la branche « Maladie, maternité, invalidité et décès » du régime général. 

Dans son bilan des paiements scripturaux pour l’année 2020, la Banque de France évalue le montant des transactions scripturales à 35 786 milliards d’euros. La Micro-Taxe Sociale de 0,5 % permettrait donc de récolter environ 200 milliards d’euros. 

Cet amendement préserve notre modèle social de redistribution et le pérennise même sur le long terme, dans la même logique que celle du Conseil National de la Résistance lors de la création de notre Sécurité Sociale.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4406 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 2 TER


Supprimer cet article.

Objet

La mutualisation entre les entreprises des coûts liés aux maladies professionnelles vise à déresponsabiliser les employeurs de leurs responsabilités de préservation de la santé au travail de leurs salariés.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 142 rect. ter

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Retiré

M. MOUILLER, Mme Laure DARCOS, MM. Cédric VIAL, FAVREAU et MANDELLI, Mmes LOPEZ, LASSARADE, CANAYER, DREXLER et BELRHITI, M. PANUNZI, Mmes PUISSAT et PETRUS, MM. BRISSON, de LEGGE, SOMON, SOL et CAMBON, Mmes Valérie BOYER et DI FOLCO, MM. PIEDNOIR et CADEC, Mme BOURRAT, MM. BOUCHET et SAVIN, Mmes JACQUES, SCHALCK, RICHER, CHAUVIN et MALET, MM. PACCAUD et Jean-Baptiste BLANC, Mme MICOULEAU, MM. KAROUTCHI et CHARON, Mme Marie MERCIER, MM. BURGOA, KLINGER, DAUBRESSE, PERRIN, RIETMANN, CHATILLON et SIDO, Mme DUMONT, MM. BONHOMME et LEFÈVRE, Mmes IMBERT, GRUNY et ESTROSI SASSONE, M. GENET, Mmes DEMAS et BORCHIO FONTIMP, M. BELIN, Mmes THOMAS, VENTALON et DUMAS, MM. FRASSA, RAPIN, BOULOUX et CUYPERS, Mmes BOULAY-ESPÉRONNIER et BONFANTI-DOSSAT et M. GREMILLET


ARTICLE 2 TER


I. – Alinéa 1

Remplacer le mot :

Ce

par les mots :

À titre expérimental, et pour une durée de deux ans sur des territoires déterminés, ce

II. – Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

.... – Le Gouvernement transmet chaque année au Parlement un point d’étape sur la mise en œuvre du présent article et sur ses répercussions concrètes sur l’emploi des seniors ainsi que sur la sinistralité des maladies professionnelles.

Objet

 Cet amendement a pour objet de prévoir une expérimentation préalable du dispositif de mutualisation entre les entreprises des coûts liés aux maladies professionnelles.

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 181

23 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Retiré

M. MILON


ARTICLE 2 TER


I. – Alinéa 1

Remplacer le mot :

Ce

par les mots :

À titre expérimental, et pour une durée de deux ans sur des territoires déterminés, ce

II. – Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

.... – Le Gouvernement transmet chaque année au Parlement un point d’étape sur la mise en œuvre du présent article et sur ses répercussions concrètes sur l’emploi des seniors ainsi que sur la sinistralité des maladies professionnelles.

Objet

Afin d'évaluer les effets de la mutualisation des coûts sur la politique en matière de prévention des maladies professionnelles,  cet amendement propose une expérimentation préalable ainsi qu'un contrôle annuel par le Parlement des objectifs en matière d'emploi des seniors.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4407 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 2 TER


I. – Alinéa 1

Remplacer le mot :

Ce

par les mots :

À titre expérimental, et pour une durée de deux ans sur des territoires déterminés, ce

II. – Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

.... – Le Gouvernement transmet chaque année au Parlement un point d’étape sur la mise en œuvre du présent article et sur ses répercussions concrètes sur l’emploi des seniors ainsi que sur la sinistralité des maladies professionnelles.

Objet

Cet amendement de repli reprend une proposition de précision de la Fnath extrêmement prudente sur cet article introduit devant l’Assemblée nationale face au risque désincitatif de la prévention des maladies professionnelles.

Cet amendement propose a minima que ce dispositif face l’objet d’une expérimentation préalable.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2114

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 2 TER


I. – Remplacer les mots :

peut prévoir

par le mot :

prévoit

II. – Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

.... – L’article L. 751-15 du code rural et de la pêche maritime est complété par une phrase ainsi rédigée : « Cet arrêté prévoit que les modalités de calcul du taux de cotisation permettent la mutualisation entre les entreprises des coûts liés aux maladies professionnelles dont l’effet est différé dans le temps, dans l’objectif de favoriser l’emploi des salariés âgés. »

Objet

Introduit par l’Assemblée nationale, l’article 2 ter tend à modifier le calcul des cotisations AT-MP afin de permettre la mutualisation entre les entreprises des coûts liés aux maladies professionnelles dont l’effet est différé dans le temps. 

Cette mesure, qui vise à alléger le poids pour le dernier employeur de l’usure accumulée par les salariés âgés au cours de leur carrière, est de nature à lever un frein à l’emploi des seniors.

Toutefois, une telle mesure semble déjà pouvoir être prise par voie réglementaire, si bien que formuler comme une simple faculté le renvoi au décret de ce dispositif n’ouvre aucune possibilité nouvelle par rapport au droit existant.

Cet amendement propose donc que la mutualisation du coût des maladies professionnelles concernées soit impérative. Il prévoit en outre l’extension du dispositif dans le régime des salariés agricoles.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2885 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – Le I de l’article L. 135-6 du code de la sécurité sociale est ainsi modifié :

1° À la deuxième phrase du troisième alinéa, l’année : « 2024 » est remplacée par l’année : « 2022 » ;

2° Le dernier alinéa est supprimé.

II. – L’article 19 de l’ordonnance n° 96-50 du 24 janvier 1996 relative au remboursement de la dette sociale est ainsi modifié :

1° À la première phrase, les mots : « les articles 14 à 17 » sont remplacés par les mots : « l’article 14 » ;

2° Après la même première phrase, est insérée une phrase ainsi rédigée : « Le taux des contributions instituées par les articles 15 à 17 est fixé à 1,2 % pour l’année 2023 et à 0,82 % à compter de l’année 2024. »

III. – La perte de recettes résultant pour les organismes de sécurité sociale du I est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républciain vise à réaffecter la contribution du Fonds de réserve des retraites à la CADES vers le financement du système de retraites.

Depuis 2010, la CADES a amorti 180 milliards d’euros de dette sociale, soit plus que l’endettement cumulé sur dix ans, présenté comme insoutenable par le Gouvernement.

Elle aura également repris 92 milliards d’euros de dette Covid entre 2020 et 2023, et n’aura plus de dette à rembourser en 2033 selon le plan d’amortissement accéléré actuel.

ll nous semble ainsi possible de réaffecter les sommes versées par le FRR à la CADES vers le système de retraites, soit 2,1 milliards d'euros par an."



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3179 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


 Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – Le I de l’article L. 135-6 du code de la sécurité sociale est ainsi modifié :

1° À la deuxième phrase du troisième alinéa, l’année : « 2024 » est remplacée par l’année : « 2022 » ;

2° Le dernier alinéa est supprimé.

II. – L’article 19 de l’ordonnance n° 96-50 du 24 janvier 1996 relative au remboursement de la dette sociale est ainsi modifié :

1° À la première phrase, les mots : « les articles 14 à 17 » sont remplacés par les mots : « l’article 14 » ;

2° Après la même première phrase, est insérée une phrase ainsi rédigée : « Le taux des contributions instituées par les articles 15 à 17 est fixé à 1,2 % pour l’année 2023 et à 0,82 % à compter de l’année 2024. »

III. – La perte de recettes résultant pour les organismes de sécurité sociale du I est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

Objet

Cet amendement propose de réaffecter la contribution du Fonds de réserve des retraites à la CADES vers le financement du système de retraites notamment pour faire face à la bosse démographique en restaurant son objet initial.

Depuis 2010, la CADES a amorti 180 milliards d’euros de dette sociale, soit plus que l’endettement cumulé sur dix ans, présenté comme insoutenable par le gouvernement. Elle aura également repris 92 milliards d’euros de dette Covid entre 2020 et 2023, et n’aura plus de dette à rembourser en 2033 selon le plan d’amortissement accéléré actuel !

Le remboursement de la dette sociale par la CADES est loin d'être anodin : presque 18 milliards d'euros sont immobilisés pour rembourser une dette que l'État pourrait faire rouler s'il l'avait reprise. Cela ne changerait pas le ratio d'endettement du pays puisque selon les définitions européennes, la dette sociale est déjà prise en compte dans le total.

Le Fonds de réserve des retraites contribue depuis 2011 à hauteur de 2,1 milliards d’euros jusqu’en 2024 à la CADES pour amortir cette dette sociale. A partir de 2025, le montant de ce versement annuel sera de 1,45 milliards d’euros.

Il s’agit ici de réaffecter la contribution au financement du système de retraites, afin de permettre de corriger le déséquilibre financier conjoncturel du régime des retraites.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3369

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’article 19 de l’ordonnance n° 96-50 du 24 janvier 1996 relative au remboursement de la dette sociale est ainsi rédigé :

« Le taux des contributions instituées par les articles 14, 16 et 17 est fixé à 0,5 %. Le taux de la contribution instituée au I de l’article 18 est fixé à 2,2 %. Le taux des contributions instituées à l’article 15 et au III de l’article 18 est fixé à 3 %. »

Objet

L’article 19 de l’ordonnance établit trois taux différents de Contribution pour le remboursement de la dette sociale (CRDS).

Actuellement, les revenus du patrimoine mentionnés à l’article L. 136-6 du Code de la sécurité sociale sont soumis à la CRDS à un taux de 0,5 %.

Le présent amendement a pour objet de faire passer ce taux à 3 %, c’est-à-dire le même que celui appliqué au produit brut des jeux réalisé dans les casinos (article 18 de l’ordonnance de 1996).

Cet amendement permet donc d’augmenter le taux de CRDS sur les revenus du capital.

L’auteur de cet amendement souhaite attirer l’attention de la représentation nationale sur le fait que d’autres moyens existent pour éviter le dérapage budgétaire du système des retraites à moyen terme.

En se privant de la possibilité d’augmenter le taux des prélèvements sociaux, le Gouvernement ne permet pas de trouver d’autres solutions que le report de l’âge légal de départ à la retraite. Or il est tout à fait possible de distinguer d’une part, l’augmentation des cotisations sociales sur le travail, qui serait injuste et préjudiciable pour l’économie et, d’autre part, sur le capital.

A cet effet, l’auteur du présent amendement insiste sur le fait qu’une plus ample participation du capital au financement de notre système des retraites permettrait d’éviter le report de l’âge légal du départ à la retraite dans le régime général.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2855 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


 Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – L’article L. 136-8 du code de la sécurité sociale est ainsi modifié :

1° Le I est ainsi rédigé :

« I. – Le taux des contributions sociales mentionnées aux articles L. 136-1, L. 136 -2, L. 136-6, L. 136-7 et L. 136-7-1 est fixé à :

« 1° 0 % pour les revenus bruts annuels inférieurs à 4 907 € ;

« 2° 3,8 % pour les revenus bruts annuels compris entre 4 907 € et 13 324 € ;

« 3° 5,5 % pour les revenus bruts annuels compris entre 13 324 € et 19 287 € ;

« 4° 7,5 % pour les revenus bruts annuels compris entre 19 287 € et 29 817 € ;

« 5° 9,2 % pour les revenus bruts annuels supérieurs à 29 817 € ;

« 6° 11,2 % pour les revenus bruts annuels supérieurs à 59 817 € ;

« 7° 13,2 % pour les revenus bruts annuels supérieurs à 79 817 € ; »

2° Les II et III sont abrogés.

II. – La perte de recettes résultant pour les organismes de sécurité sociale du I est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

III. – L’affectation des produits des contributions prévues aux articles L. 136-1, L. 136 -2, L. 136-6, L. 136-7 et L. 136-7-1 du code de la sécurité sociale n’est pas modifiée par le nouveau calcul de ces contributions prévu au I du présent article.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à instaurer une CSG progressive avec 7 taux différents (de 0% jusqu'à 4 900 euros de revenus jusqu'à 13,2% au-delà de 79 000 euros de revenu) et à fondre les taux réduits différenciés pour les revenus issus des allocations chômage, des pensions de retraite dans ces tranches).



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2856 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


 Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – Le I de l’article L. 136-8 du code de la sécurité sociale est ainsi modifié :

« I. – Le taux des contributions sociales mentionnées aux articles L. 136-1, L. 136 -2, L. 136-6, L. 136-7 et L. 136-7-1 est fixé à :

« 1° 0 % pour les revenus bruts annuels inférieurs à 4 907 € ;

« 2° 3,8 % pour les revenus bruts annuels compris entre 4 907 € et 13 324 € ;

« 3° 5,5 % pour les revenus bruts annuels compris entre 13 324 € et 19 287 € ;

« 4° 7,5 % pour les revenus bruts annuels compris entre 19 287 € et 29 817 € ;

« 5° 9,2 % pour les revenus bruts annuels supérieurs à 29 817 € ;

« 6° 11,2 % pour les revenus bruts annuels supérieurs à 59 817 € ;

« 7° 13,2 % pour les revenus bruts annuels supérieurs à 79 817 € ; ».

II. – La perte de recettes résultant pour les organismes de sécurité sociale du I est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à instaurer une CSG progressive avec 7 taux différents (de 0% jusqu'à 4 900 euros de revenus jusqu'à 13,2% au-delà de 79 000 euros de revenu, tout en maintenant les taux réduits de CSG pour les revenus issus des allocations chômage, et des pensions de retraite).



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 34 rect. septies

6 mars 2023


 

AMENDEMENT

de M. LONGEOT

repris par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le I de l’article L. 136-8 du code de la sécurité sociale est ainsi modifié :

1° Le 2° est ainsi modifié :

a) Le taux : « 9,2 % » est remplacé par le taux : « 12,2 % » ;

b) Les références : « aux articles L. 136-6 et L. 136-7 » sont remplacées par la référence : « à l’article L. 136-6 » ;

2° Il est ajouté un alinéa ainsi rédigé :

«...° À 9,2 % pour les contributions sociales mentionnées à l’article L. 136-7. »

Objet

Cet amendement propose une hausse de la CSG de 3 points sur les revenus du patrimoine car il est anormal de taxer autant les revenus du travail que ceux du capital. Aujourd’hui un travailleur modeste paye autant de CSG sur son revenu qu’un multipropriétaire louant des appartements. Il est important de rappeler que cet amendement n’augmente en aucune manière le taux de CSG sur les revenus de placements, mais uniquement sur les revenus de patrimoine. Il s’agit ainsi d’encourager les investissements dans l’économie réelle.

Il ne s’agit d’accabler personne, juste de faire contribuer chacun à sa juste part, en fonction de ses moyens financier mais surtout de la taille de son patrimoine. La valeur travail doit trouver une signification dans les chiffres et dans notre système de taxation. Considérant par ailleurs que le patrimoine, notamment immobilier, est extrêmement concentré dans les mains de peu de ménages aisés, il n’est pas illogique de faire contribuer ces ménages à l’effort d’équilibre des budgets de la sécurité sociale.

Cet amendement permettrait de collecter 2,34 milliards d’euros par année de CSG supplémentaire (chiffres « les Comptes de la Sécurité Sociale – rapport de septembre 2022), qui viendraient financer les différents dispositifs d’accompagnement et de pénibilité prévus dans la réforme des retraites.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4510 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le I de l’article L. 136-8 du code de la sécurité sociale est ainsi modifié :

1° Le 2° est ainsi modifié :

a) Le taux : « 9,2 % » est remplacé par le taux : « 12,2 % » ;

b) Les références : « aux articles L. 136-6 et L. 136-7 » sont remplacées par la référence : « à l’article L. 136-6 » ;

2° Il est ajouté un alinéa ainsi rédigé :

«...° À 9,2 % pour les contributions sociales mentionnées à l’article L. 136-7. »

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent, par cet amendement de repli, majorer de 3 points le niveau de prélèvement sur les revenus du patrimoine au titre de la CSG. Cet amendement se situe dans une volonté de trouver des recettes alternatives au rallongement de l'âge légal qui n'est absolument pas justifié au regard des besoins de financement, à terme, du système des retraites.

Les auteurs de cet amendement considèrent également que le dogme du Gouvernement qui souhaite pour la première fois lors d'une réforme des retraites pénaliser uniquement le travail, sans aucune contribution du capital, s'inscrit dans un démantèlement de la fiscalité et des cotisations sociales financé par de l'endettement supplémentaire ou, ici, par des efforts supplémentaires sur les travailleuses et les travailleurs.

Ces éléments fondent l'injustice contenue dans cette réforme des retraites.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2203 rect.

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. BREUILLER, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, DANTEC, DOSSUS, GONTARD, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Au 2° du I de l’article L. 136-8 du code de la sécurité sociale, le taux : « 9,2 % » est remplacé par le taux : « 12 % ».

Objet

Cet amendement de repli propose d’augmenter le taux de CSG (contribution sociale généralisée) pour les revenus du capital afin de trouver de nouvelles recettes pour financer en partie le déficit prétendument hors des contrôles des retraites.

On rappellera que les revenus du capital sont soumis au taux de prélèvements sociaux de 17,2 %, dont 9,2 % de CSG ; 0,5 % de CRDS et 7,5 % de prélèvements de solidarité. 

En 2018, la CSG sur les revenus du capital a été augmentée d’un seul point, alors qu’elle a été augmentée de 1,7 point pour les revenus d’activité et de remplacement. Il est donc plus juste de viser ces recettes sur les revenus du capital, qui progressent plus rapidement. 

L’augmentation proposée par cet amendement de la CSG devrait rapporter un rendement supplémentaire de 3 milliards d’euros pour les caisses de sécurité sociale.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après l'article 3 vers un article additionnel après l'article 2 ter).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 35 rect. sexies

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

MM. LONGEOT, DECOOL, GUERRIAU, MENONVILLE et BELIN, Mme BILLON, MM. CHASSEING, CANÉVET, MOGA, DUFFOURG et Jean-Michel ARNAUD, Mmes JACQUEMET, SAINT-PÉ et PERROT, MM. DÉTRAIGNE, VANLERENBERGHE et PARIGI et Mmes MORIN-DESAILLY et HAVET


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le I de l’article L. 136-8 du code de la sécurité sociale est ainsi modifié :

1° Le 2° est ainsi modifié :

a) Le taux : « 9,2 % » est remplacé par le taux : « 11,2 % » ;

b) Les références : « aux articles L. 136-6 et L. 136-7 » sont remplacées par la référence : « à l’article L. 136-6 » ;

2° Il est ajouté un alinéa ainsi rédigé :

«...° À 9,2 % pour les contributions sociales mentionnées à l’article L. 136-7. »

Objet

Amendement de repli prévoyant une hausse de 2 points au lieu de 3.

Cet amendement propose une hausse de la CSG de 2 points sur les revenus du patrimoine car il est anormal de taxer autant les revenus du travail que ceux du capital. Aujourd'hui un travailleur modeste paye autant de CSG sur son revenu qu'un multipropriétaire louant des appartements. Il est important de rappeler que cet amendement n'augmente en aucune manière le taux de CSG sur les revenus de placements, mais uniquement sur les revenus de patrimoine. Il s'agit ainsi d'encourager les investissements dans l'économie réelle.

Il ne s'agit d'accabler personne, juste de faire contribuer chacun à sa juste part, en fonction de ses moyens financier mais surtout de la taille de son patrimoine. La valeur travail doit trouver une signification dans les chiffres et dans notre système de taxation. Considérant par ailleurs que le patrimoine, notamment immobilier, est extrêmement concentré dans les mains de peu de ménages aisés, il n'est pas illogique de faire contribuer ces ménages à l'effort d'équilibre des budgets de la sécurité sociale.

Cet amendement permettrait de collecter 1,56 milliards d'euros par année de CSG supplémentaire (chiffres "les Comptes de la Sécurité Sociale - rapport de septembre 2022), qui viendraient financer les différents dispositifs d'accompagnement et de pénibilité prévus dans la réforme des retraites.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après l'article 2 vers un article additionnel après l'article 2 ter).





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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3366

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Au 2° du I de l’article L. 136-8 du code de la sécurité sociale, le taux : « 9,2 % » est remplacé par le taux : « 11,2 % ».

Objet

Par cet amendement il est proposé d’augmenter de deux points la CSG assise sur le capital afin de dégager des ressources supplémentaires pour financer la branche « vieillesse » du système de sécurité sociale.

L’objectif est d’ouvrir le débat sur les autres pistes de financements à notre disposition pour résorber le déficit, au lieu de focaliser les solutions sur l’âge de départ.

Plutôt que d’imposer une seule mesure – le recul de l’âge – qui s’appliquera de manière injuste à ceux qui ont commencé tôt, qui ont des revenus modestes, ou des carrières hachées, nous appelons à mettre en place une combinaison de solutions, pour répartir les efforts.

Encore une fois, seuls les travailleurs – les plus modestes qui plus est – sont mis à contribution.

Nous estimons que le mode de financement de notre système de protection sociale doit être mis à jour à l’aube des mutations de notre économie : la tendance est clairement à une diminution de la part du travail dans le revenu national total. Et le nombre d’actifs rapporté aux inactifs diminue.

Dans une telle situation, et sans remettre en question notre système par répartition, nous estimons que le financement de notre protection sociale – et en l’occurrence, des retraites – ne peut plus autant reposer sur les revenus du travail. La transition a d’ores et déjà été actée avec la création de la CSG, et les politiques de baisses de cotisations sociales.

Ainsi, si les cotisations restent la source principale de recettes du système de retraite, leur part ne cesse de baisser. En 2004, elles représentaient 82 % des ressources, soit 3 points de plus qu’en 2021. Pour la seule Caisse nationale d’assurance retraite, la baisse est encore plus nette : de 83 % en 2003, elles sont tombées à 67 % en 2021.

Aussi, cet amendement propose d’augmenter le taux de CSG appliqué aux revenus du capital. Pour rappel, cela concerne notamment les produits de placement et de patrimoine.

En augmentant d’un point ce taux, jusqu’à 3 milliards d’euros supplémentaire pourrait ainsi être dégagés.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4350 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Au 2° du I de l’article L. 136-8 du code de la sécurité sociale, le taux : « 9,2 % » est remplacé par le taux : « 10,6 % ».

Objet

Les membres du groupe CRCE veulent augmenter la taxation des revenus du capital (produits de placement et patrimoine) pour répondre aux besoins de financement de la Sécurité sociale.

 



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2100 rect. bis

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

MM. VANLERENBERGHE, LONGEOT et HENNO, Mmes LOISIER et JACQUEMET, M. JANSSENS, Mme RACT-MADOUX, M. DUFFOURG, Mmes BILLON et SAINT-PÉ et MM. MOGA et CAZABONNE


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – Le I de l’article L. 136-8 du code de la sécurité sociale est ainsi modifié :

1° Le 2° est ainsi modifié :

a) Le taux : « 9,2 % » est remplacé par le taux : « 10,2 % » ;

b) Les références : « aux articles L. 136-6 et L. 136-7 » sont remplacées par la référence : « à l’article L. 136-6 » ;

2° Il est ajouté un alinéa ainsi rédigé :

« ...° À 9,2 % pour les contributions sociales mentionnées à l’article L. 136-7. »

II. – Le produit de cette augmentation est affecté à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du code de la sécurité sociale.

Objet

Les auteurs de cet amendement proposent de relever d’un point le taux de CSG sur les revenus du patrimoine (L.136-6 et L.136-6-1). Le rendement de la CSG au titre de ces revenus serait amélioré de presque 800 millions d’euros.

Les auteurs proposent d’attribuer le solde de cette augmentation de CSG à la CNAV.

Tel est l’objet de cet amendement.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 36 rect. sexies

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

MM. LONGEOT, DECOOL, GUERRIAU, MENONVILLE et BELIN, Mme BILLON, MM. CHASSEING, CANÉVET, MOGA, DUFFOURG et Jean-Michel ARNAUD, Mmes JACQUEMET, SAINT-PÉ et PERROT, MM. DÉTRAIGNE, VANLERENBERGHE et PARIGI et Mmes MORIN-DESAILLY et HAVET


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le I de l’article L. 136-8 du code de la sécurité sociale est ainsi modifié :

1° Le 2° est ainsi modifié :

a) Le taux : « 9,2 % » est remplacé par le taux : « 10,2 % » ;

b) Les références : « aux articles L. 136-6 et L. 136-7 » sont remplacées par la référence : « à l’article L. 136-6 » ;

2° Il est ajouté un alinéa ainsi rédigé :

«...° À 9,2 % pour les contributions sociales mentionnées à l’article L. 136-7. »

Objet

Amendement de repli qui propose une hausse de 1 point au lieu de 3.

Cet amendement propose une hausse de la CSG de 1 point sur les revenus du patrimoine car il est anormal de taxer autant les revenus du travail que ceux du capital. Aujourd'hui un travailleur modeste paye autant de CSG sur son revenu qu'un multipropriétaire louant des appartements. Il est important de rappeler que cet amendement n'augmente en aucune manière le taux de CSG sur les revenus de placements, mais uniquement sur les revenus de patrimoine. Il s'agit ainsi d'encourager les investissements dans l'économie réelle.

Il ne s'agit d'accabler personne, juste de faire contribuer chacun à sa juste part, en fonction de ses moyens financier mais surtout de la taille de son patrimoine. La valeur travail doit trouver une signification dans les chiffres et dans notre système de taxation. Considérant par ailleurs que le patrimoine, notamment immobilier, est extrêmement concentré dans les mains de peu de ménages aisés, il n'est pas illogique de faire contribuer ces ménages à l'effort d'équilibre des budgets de la sécurité sociale.

Cet amendement permettrait de collecter 780 millions d'euros par année de CSG supplémentaire, (chiffres "les Comptes de la Sécurité Sociale - rapport de septembre 2022) qui viendraient financer les différents dispositifs d'accompagnement et de pénibilité prévus dans la réforme des retraites.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2854 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. FÉRAUD, Mme LUBIN, MM. KANNER et RAYNAL, Mme BRIQUET, MM. COZIC et ÉBLÉ, Mme ESPAGNAC, MM. JEANSANNETAS, Patrice JOLY et LUREL, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, M. CHANTREL, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mme HARRIBEY, M. LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le 2° du I de l’article L. 136-8 du code de la sécurité sociale est ainsi rédigé :

« 2° À 9,2 % pour les contributions sociales mentionnées aux articles L. 136-6 et L. 136-7 lorsque le revenu imposable est inférieur ou égal à 100 000 € et à 11 % au-delà de ce montant ; ».

Objet

Le Gouvernement explique la réforme des retraites présentée dans le cadre de l’examen du PLFSS-R par le déséquilibre financier du système. Le groupe socialiste, écologiste et républicain dénonce cette vision comptable ne correspondant pas à la réalité. En effet, les auteurs du présent amendement considèrent qu’il n’appartient pas aux travailleurs de compenser les plus de 500 milliards de pertes fiscales provoquées en dix ans par les Gouvernements successifs sous la présidence d’Emmanuel Macron. L’action publique consiste à faire des choix, budgétaires, et il est absolument anormal de faire payer aux travailleuses et travailleurs la politique fiscale libérale mise en œuvre.

Au-delà des débats fiscaux et des propositions que le groupe socialiste, écologiste et républicain porte à chaque débat budgétaire, les auteurs du présent amendement estiment qu’il est possible de générer des recettes supplémentaires substantielles qui permettraient de ne pas reculer l’âge de départ à la retraite où la durée de cotisation sans déséquilibrer les finances sociales.

Alors que l’ensemble des économistes dénoncent le virage pris depuis 2017, qui se traduit par une hausse très conséquente des inégalités de patrimoine, il convient d’appeler à davantage de solidarité et à une participation plus juste des détenteurs de patrimoine.

C’est pourquoi le présent amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à augmenter le taux des composantes patrimoniales de la contribution sociale généralisée (CSG) sans toucher à la CSG relative aux revenus d’activités et de remplacement.

Ainsi, il augmente à 11 %, contre 9,2 % aujourd’hui, le taux de la CSG acquittée d’une part sur certains revenus du patrimoine et d’autre part sur les revenus des produits de placement.

Plus précisément, afin de ne pas pénaliser les épargnants les plus modestes, le présent amendement crée une deuxième tranche, fixée donc à 11 %, pour les revenus imposables supérieurs à 100 000 €, sans hausser le taux pour les revenus situés en-deçà de ce montant.

Les recettes générées permettraient d’asseoir utilement l’équilibre financier de notre système de retraites.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après l'article 2 vers l'article 2 ter).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3364

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le 2° du I de l’article L. 136-8 du code de la sécurité sociale est ainsi rédigé :

« 2° À 9,2 % lorsque les produits des placements et du patrimoine sont inférieurs à 40 800 euros et à 11,2 % au-delà pour les contributions sociales mentionnées aux articles L. 136-6 et L. 136-7 ; »

Objet

Cet amendement vise à rendre la CSG assise sur le capital plus progressive, dans l'objectif d'augmenter les ressources affecter à la Sécurité sociale, et particulièrement au système de retraite.

Actuellement, le taux de la CSG sur le capital (placements, dividendes, patrimoine...) s'élève à 9,2%.

Cet amendement propose de créer une seconde tranche pour la CSG, avec un taux supérieur de 2 points (11,2%), lorsque les revenus du capital sont supérieurs à 2 fois le SMIC annuel brut. Cela portera le prélèvement forfaitaire unique sur cette part des revenus à 32% (contre 30% aujourd'hui).

A noter, selon France Stratégie, en 2018, 700 000 foyers ont perçu des revenus financiers au-dessus de 10 000 euros.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2101 rect. bis

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

MM. VANLERENBERGHE, LONGEOT et HENNO, Mmes LOISIER et JACQUEMET, M. JANSSENS, Mme RACT-MADOUX, M. DUFFOURG, Mmes BILLON et SAINT-PÉ et MM. MOGA et CAZABONNE


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – Le I de l’article L. 136-8 du code de la sécurité sociale est ainsi modifié :

1° Au 2°, les références : « aux articles L. 136-6 et L. 136-7 » sont remplacées par la référence : « à l’article L. 136-6 » ;

2° Il est ajouté un alinéa ainsi rédigé :

«...° À 10,2 % pour les contributions sociales mentionnées à l’article L. 136-7. »

II. – Le produit de cette augmentation est affecté à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du code de la sécurité sociale.

Objet

Les auteurs de cet amendement proposent de relever d’un point le taux de CSG sur les revenus des produits de placement (L.136-7). Le rendement de la CSG au titre des revenus de placement serait amélioré de 700 millions d’euros.

Les auteurs proposent d’attribuer le solde de cette augmentation de CSG à la CNAV.

Tel est l’objet de cet amendement.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2099 rect. bis

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

MM. VANLERENBERGHE, LONGEOT et HENNO, Mmes LOISIER et JACQUEMET, M. DUFFOURG, Mmes BILLON et SAINT-PÉ, MM. MOGA et CAZABONNE, Mme RACT-MADOUX et M. JANSSENS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – Au 2° du I de l’article L. 136-8 du code de la sécurité sociale, le taux : « 9,2 % » est remplacé par le taux : « 10,2 % ».

II. – Le produit de cette augmentation est affecté à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1du code de la sécurité sociale.

Objet

Les auteurs de cet amendement proposent de relever d’un point le taux de CSG sur les revenus du patrimoine (L.136-6 et L.136-6-1) et sur les produits de placement (L.136-7). Le rendement de la CSG au titre des revenus du patrimoine et des produits de placement serait amélioré de presque 1,5 milliard d’euros.

Les auteurs proposent d’attribuer le solde de cette augmentation de CSG à la CNAV.

Tel est l’objet de cet amendement.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3371 rect.

6 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – Au 2° du I de l’article L. 136-8 du code de la sécurité sociale, le taux : « 9,2 % » est remplacé par le taux : « 10,2 % ».

II. – Le produit de cette augmentation est affecté à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1du code de la sécurité sociale.

Objet

Par cet amendement, il est proposé d’augmenter la CSG sur le capital afin de dégager des ressources supplémentaires pour financer la branche « vieillesse » du système de sécurité sociale.

L’objectif est d’ouvrir le débat sur les autres pistes de financements à notre disposition pour résorber le déficit, au lieu de focaliser les solutions sur l’âge de départ.

Plutôt que d’imposer une seule mesure – le recul de l’âge – qui s’appliquera de manière injuste à ceux qui ont commencé tôt, qui ont des revenus modestes, ou des carrières hachées, nous appelons à mettre en place une combinaison de solutions, pour répartir les efforts.

Encore une fois, seuls les travailleurs – les plus modestes qui plus est – sont mis à contribution.

Nous estimons que le mode de financement de notre système de protection sociale doit être mis à jour à l’aube des mutations de notre économie : la tendance est clairement à une diminution de la part du travail dans le revenu national total. Et le nombre d’actifs rapporté aux inactifs diminue.

Dans une telle situation, et sans remettre en question notre système par répartition, nous estimons que le financement de notre protection sociale – et en l’occurrence, des retraites – ne peut plus autant reposer sur les revenus du travail. La transition a d’ores et déjà été actée avec la création de la CSG, et les politiques de baisses de cotisations sociales.

Aussi, cet amendement propose d’augmenter le taux de CSG appliqué aux revenus du capital. Pour rappel, cela concerne notamment les produits de placement et de patrimoine.

En augmentant d’un point ce taux, environ 1 milliard d’euros supplémentaire pourrait ainsi être dégagé.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 37 rect. sexies

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

MM. LONGEOT, DECOOL, GUERRIAU, MENONVILLE et BELIN, Mme BILLON, MM. CHASSEING, CANÉVET, MOGA, DUFFOURG et Jean-Michel ARNAUD, Mmes JACQUEMET, SAINT-PÉ et PERROT, MM. DÉTRAIGNE, VANLERENBERGHE et PARIGI et Mmes MORIN-DESAILLY et HAVET


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le I de l’article L. 136-8 du code de la sécurité sociale est ainsi modifié :

1° Le 2° est ainsi modifié :

a) Le taux : « 9,2 % » est remplacé par le taux : « 9,7 % » ;

b) Les références : « aux articles L. 136-6 et L. 136-7 » sont remplacées par la référence : « à l’article L. 136-6 » ;

2° Il est ajouté un alinéa ainsi rédigé :

«...° À 9,2 % pour les contributions sociales mentionnées à l’article L. 136-7. »

Objet

Amendement de repli qui propose une hausse de 0,5 point au lieu de 3.

Cet amendement propose une hausse de la CSG de 0,5 point sur les revenus du patrimoine car il est anormal de taxer autant les revenus du travail que ceux du capital. Aujourd'hui un travailleur modeste paye autant de CSG sur son revenu qu'un multipropriétaire louant des appartements. Il est important de rappeler que cet amendement n'augmente en aucune manière le taux de CSG sur les revenus de placements, mais uniquement sur les revenus de patrimoine. Il s'agit ainsi d'encourager les investissements dans l'économie réelle.

Il ne s'agit d'accabler personne, juste de faire contribuer chacun à sa juste part, en fonction de ses moyens financier mais surtout de la taille de son patrimoine. La valeur travail doit trouver une signification dans les chiffres et dans notre système de taxation. Considérant par ailleurs que le patrimoine, notamment immobilier, est extrêmement concentré dans les mains de peu de ménages aisés, il n'est pas illogique de faire contribuer ces ménages à l'effort d'équilibre des budgets de la sécurité sociale.

Cet amendement permettrait de collecter 390 millions d'euros par année de CSG supplémentaire (chiffres "les Comptes de la Sécurité Sociale - rapport de septembre 2022), qui viendraient financer les différents dispositifs d'accompagnement et de pénibilité prévus dans la réforme des retraites.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2872 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le code de la sécurité sociale est ainsi modifié :

1° L’article L. 135-3 est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« Les recettes du fond de solidarité vieillesse sont par ailleurs constituées d’une fraction du produit de la contribution sociale mentionnée au I de l’article L. 136-7-1 à concurrence d’un montant correspondant à l’application d’un taux de 3 % à l’assiette de cette contribution. » ;

2° Au 3° du I de l’article L. 136-8, le taux : « 6,2 % » est remplacé par le taux : « 9,2 % ».

Objet

"Cet amendement du groupe SER vise à remettre à niveau la contribution sociale généralisée sur les paris sportifs et les jeux de hasard en augmentant les taux et en assurant l’affectation au risque vieillesse et ses institutions pour les nouvelles sommes supplémentaires dégagées.

Le groupe des députés socialistes et apparentés soutient des sources de financement assurant la solidité de notre système de retraite notamment pour les prochaines années, et concernant l’ensemble des acteurs économiques, notamment les plus aisés et les moins prélevés. Nous nous opposons à la politique de rabot et d’allongement de la durée du travail comme prétendu mode de financement de notre système de retraites que le Gouvernement veut de façon indifférenciée imposer, notamment via l’article 7 du présent projet de loi.

Les 3 points de contribution sociale généralisée ajoutés iront donc ici vers le financement et la consolidation des pensions versées à nos ainés."



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3363

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Au 3° du I de l’article L. 136-8 du code de la sécurité sociale, le taux : « 6,2 % » est remplacé par le taux : « 8,2 % ».

Objet

Par cet amendement, il est proposé d'abonder les ressources de la Sécurité sociale, dont celles de la branche vieillesse, dans l'objectif de diversifier les sources de financement, et donc de mieux répartir l'effort demandé pour assurer l'équilibre du système de retraites.

Le dispositif ici privilégié est la CSG assise sur les jeux, via un relèvement de deux points de celle- ci. Cette mesure pourrait rapporter 160 millions d’euros par an.

Encore une fois, les auteurs de cet amendement précisent qu'il s'agit d'une piste parmi d'autres, qu'il conviendrait d'activer pour ne pas faire reposer l'effort sur les seuls travailleurs, qui plus est les plus modestes.

Il convient de rappeler que le système de retraite ne repose d'ores et déjà plus sur les seules cotisations, mais est financé aussi par d'autres contributions, comme la CSG.

Plus largement, il est à déplorer que la réforme proposée par le Gouvernement se concentre sur la seule mesure de recul de l'âge - la mesure la plus injuste - et n'en profite pas pour questionner la nécessité de trouver de nouvelles sources de financement pour notre système de protection sociale.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 399 rect.

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. BENARROCHE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

I. – L’article L. 136-8 du code de la sécurité sociale est ainsi modifié :

1° Au 2° du II, le taux : « 8,3 % » est remplacé par le taux : « 6,6 % » ;

2° Le III bis est abrogé.

II. – La perte de recettes résultant pour les organismes de sécurité sociale du I est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

Objet

Cet amendement vise à supprimer la hausse de CSG sur l’ensemble des pensions de retraite.

Cette mesure instaurée de manière injuste par le Gouvernement au 1er janvier 2018 a pénalisé fortement le pouvoir d’achat de 8 millions de retraités.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après l'article 3 vers un article additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1971 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. SEGOUIN, PIEDNOIR et SIDO, Mme RENAUD-GARABEDIAN, M. KLINGER, Mme DUMAS, MM. BASCHER, FRASSA et Étienne BLANC, Mme THOMAS et MM. CHARON et SAURY


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – Le 2° du II de l’article L. 136-8 du code de la sécurité sociale est ainsi modifié :

1° Le taux : « 8,3 % » est remplacé par le taux : « 7,5 % » à partir du 1er janvier 2025 ;

2° Le taux : « 7,5 % » est remplacé par le taux : « 6,6 % » à partir du 1er janvier 2027.

II. – La perte de recettes résultant pour les organismes de sécurité sociale du I est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

Objet

Depuis sa création, le taux et l’assiette de la CSG n’ont cessé d’augmenter alors même qu’elle était censée être une contribution fiscale temporaire. Par la réforme de 2018, la CSG a augmenté de 1,7 point. Si, en contrepartie, la plupart des salariés ont bénéficié d’une baisse de charges, cela n’a pas été le cas pour de nombreux retraités.

60% d’entre eux ont en effet vu le taux de CSG dont ils doivent s’acquitter passer de 6.6% à 8.3%, sans aucune contrepartie, ce qui a légitimement été vécu comme une injustice.

Le présent amendement propose dès lors de revenir d’ici au 1er janvier 2027 au taux applicable avant 2018 et redonner ainsi de l’espoir et du pouvoir d’achat aux retraités.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3682 rect. bis

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

MM. DUFFOURG, LEVI et MIZZON, Mme SOLLOGOUB et MM. CANÉVET, DÉTRAIGNE, LE NAY et HINGRAY


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I.- Le IV l'article L. 136-8 du code de la sécurité sociale est rétabli dans la rédaction suivante :

« IV.- Par dérogation aux II, III et III bis, sont exonérés de la contribution les pensions de retraites agricoles auxquelles s'applique une majoration en application de l'article L. 732-54-1 du code rural et de la pêche maritime ou un complément différentiel en application de l'article L. 732-63  du même code. » ;

II.- La perte de recettes résultant pour les organismes de sécurité sociale du I est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

Objet

Les retraites agricoles sont très faibles, il a fallu attendre les lois Chassaigne pour qu'elles atteignent 85 % du Smic

Force est de constater qu’elles restent les seules à prendre en compte l’ensemble de la carrière. Dernièrement, le Sénat a adopté la proposition de loi visant à ce que la retraite des agriculteurs soit calculé sur les 25 années les plus avantageuses.

L’intérêt de cet amendement est que le PLFRSS pour 2023, portant réforme du système de retraite, puisse corriger ce problème d’équité et rehausser ainsi le montant net mensuel à la somme de 1 200 €. Cette pension sera acquise dès l’obtention des 43 annuités ; la revalorisation étant appliquée aux retraités percevant déjà leur pension et ce, à compter du
1er septembre 2023.

A travers cet effort, nous portons une véritable politique de prévention de la précarité qui occasionne des dommages socio-économiques plus dévastateurs encore pour les retraités agricoles.


 



NB :La rectification consiste en un changement de place (de l'article 10 à un article additionnel après 2 ter).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2487

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. DOSSUS, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’article L. 137-11-1 du code de la sécurité sociale est ainsi modifié : 

1° Les quatrièmes et cinquièmes alinéas sont ainsi rédigés : 

« - 14 % pour la part de ces rentes supérieure à 1 000 € et inférieure ou égale à 6 000 € ;

« - 21 % pour la part des rentes supérieures à 6 000 € et inférieures à 14 000 €. » ;

2° Les huitièmes et neuvièmes alinéas sont ainsi rédigés : 

« - 14 % pour la part de ces rentes supérieure à 1 000 € et inférieure ou égale à 6 000 € ;

« - 21 % pour la part des rentes supérieures à 6 000 € et inférieures à 14 000 €. »

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires a pour objet d’augmenter significativement la taxation des retraites chapeaux.

Selon des calculs de l’Observatoire des inégalités basés sur des chiffres du ministère des Solidarités, les 10% des ménages aux pensions les plus élevées reçoivent 59,1 milliards d’euros, contre 8,8 milliards d’euros pour les plus faibles pensions. Parmi les ménages qui perçoivent au moins une pension de retraite et qui sont situés dans les 10 % les plus riches, cette pension est en moyenne de 4040€ par mois ; contre 790€ pour les ménages situés dans les 10% les plus pauvres. 

Grâce à des systèmes de retraites chapeaux et des dividendes conséquents, les dirigeants des grandes entreprises qui partent à la retraite coulent des jours heureux. D’après l’Observatoire des multinationales, si le dispositif des retraites chapeaux a été progressivement encadré, jusqu’à disparaître en 2019 sous sa forme traditionnelle, les patrons en fonction avant cette date continuent toutefois à en bénéficier. Jean-Paul Agon, ex-PDG et aujourd’hui président du conseil d’administration de L’Oréal pourrait ainsi prétendre à une retraite chapeau de 1,6 million d’euros par an, soit 88 fois la pension moyenne d’une Française ou d’un Français.

Aujourd’hui, il n’est pas possible d’augmenter la taxation des retraites chapeaux les plus élevées comme celles des millionnaires. Le Conseil constitutionnel avait en effet censuré plusieurs dispositions proposant d’augmenter la taxation des retraites chapeaux en 2012, sous prétexte que ces contributions représentaient une « charge excessive au regard des facultés contributives de certains contribuables » ajoutée aux autres impôts puisque le taux marginal maximal d'imposition des rentes dépasserait 75,34%.

À défaut de pouvoir augmenter la contribution des millionnaires, les auteurs de cet amendement estiment qu’une frange des Français les plus aisés pourrait contribuer davantage au financement du système de retraite. Celles et ceux qui perçoivent une rente entre 1000€  et 14 000€ devraient être en mesure de contribuer au financement du système de retraite par une plus grande taxation, le tout sans être grandement impactés et sans que leur taux marginal maximal d’imposition dépasse les 75,34%.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2884 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Aux quatrième, cinquième, huitième et neuvième alinéas de l’article L. 137-11-1 du code de la sécurité sociale, le montant : « 24 000 € » est remplacé par le montant : « 15 000 € ».

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à augmenter la taxation des retraites chapeaux qui bénéficient aux dirigeants des grandes entreprises (21 % au-delà de 15 000 €/mois, et non plus au-delà de 24 000€/mois).



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3070 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Aux quatrième, cinquième, huitième et neuvième alinéas de l’article L. 137-11-1 du code de la sécurité sociale, le montant : « 24 000 € » est remplacé par le montant : « 16 000 € ».

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à augmenter la taxation des retraites chapeaux qui bénéficient aux dirigeants des grandes entreprises (21 % au-delà de 16 000 €/mois, et non plus au-delà de 24 000€/mois).



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3071 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Aux quatrième, cinquième, huitième et neuvième alinéas de l’article L. 137-11-1 du code de la sécurité sociale, le montant : « 24 000 € » est remplacé par le montant : « 17 000 € ».

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à augmenter la taxation des retraites chapeaux qui bénéficient aux dirigeants des grandes entreprises (21 % au-delà de 17 000 €/mois, et non plus au-delà de 24 000€/mois).



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3072 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Aux quatrième, cinquième, huitième et neuvième alinéas de l’article L. 137-11-1 du code de la sécurité sociale, le montant : « 24 000 € » est remplacé par le montant : « 18 000 € ».

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à augmenter la taxation des retraites chapeaux qui bénéficient aux dirigeants des grandes entreprises (21 % au-delà de 18 000 €/mois, et non plus au-delà de 24 000€/mois).



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3069 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Aux quatrième, cinquième, huitième et neuvième alinéas de l’article L. 137-11-1 du code de la sécurité sociale, le montant : « 24 000 € » est remplacé par le montant : « 19 000 € ».

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à augmenter la taxation des retraites chapeaux qui bénéficient aux dirigeants des grandes entreprises (21 % au-delà de 19 000 €/mois, et non plus au-delà de 24 000€/mois).



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3056 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


 Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Aux quatrième, cinquième, huitième et neuvième alinéas de l’article L. 137-11-1 du code de la sécurité sociale, le montant : « 24 000 € » est remplacé par le montant : « 20 000 € ».

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à augmenter la taxation des retraites chapeaux qui bénéficient aux dirigeants des grandes entreprises (21 % au-delà de 20 000 €/mois, et non plus au-delà de 24 000€/mois).



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3057 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


 Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Aux quatrième, cinquième, huitième et neuvième alinéas de l’article L. 137-11-1 du code de la sécurité sociale, le montant : « 24 000 € » est remplacé par le montant : « 21 000 € ».

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à augmenter la taxation des retraites chapeaux qui bénéficient aux dirigeants des grandes entreprises (21 % au-delà de 21 000 €/mois, et non plus au-delà de 24 000€/mois).



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3068 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Aux quatrième, cinquième, huitième et neuvième alinéas de l’article L. 137-11-1 du code de la sécurité sociale, le montant : « 24 000 € » est remplacé par le montant : « 22 000 € ».

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à augmenter la taxation des retraites chapeaux qui bénéficient aux dirigeants des grandes entreprises (21 % au-delà de 22 000 €/mois, et non plus au-delà de 24 000€/mois).



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3058 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Aux quatrième, cinquième, huitième et neuvième alinéas de l’article L. 137-11-1 du code de la sécurité sociale, le montant : « 24 000 € » est remplacé par le montant : « 23 000 € ».

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à augmenter la taxation des retraites chapeaux qui bénéficient aux dirigeants des grandes entreprises (21 % au-delà de 23 000 €/mois, et non plus au-delà de 24 000€/mois).



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3223 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC et DAGBERT, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Aux cinquième et neuvième alinéas de l’article L. 137-11-1 du code de la sécurité sociale, le taux : « 21 % » est remplacé par le taux : « 30 % ».

Objet

Cet amendement a pour objet d’augmenter significativement la taxation des retraites chapeau les plus importantes. Aujourd’hui, le taux de la contribution due par les bénéficiaires des rentes supérieures à 24 000 € par mois est de 21 %. Cet amendement propose de porter ce taux à 30 %, soit une hausse de 9 points concernant la retraite supplémentaire (troisième étage de la retraite).

Les retraites chapeaux sont des rentes viagères versées par les entreprises à certains salariés, concernant ce niveau (supérieures à 24 000 euros) des cadres dirigeants.

Ce dispositif est actuellement exonéré de cotisations sociales et de la contribution sociale généralisée.

Ce dispositif a notamment fait parler de lui durant la dernière décennie, lorsque les français avaient découvert les montants des rentes de certains patrons de grandes entreprises. À tel point qu’en 2014, le Ministre de l’économie de l’époque, Emmanuel Macron, déclarait vouloir supprimer ces retraites chapeaux.

En attendant, notre amendement vise à revenir sur la fiscalité des montants parfois indécents que perçoivent ses bénéficiaires. En France, en 2020, les 17 millions de français à la retraite percevaient en moyenne 1 500 euros brut de pension par mois (source : Les retraités et les retraites, Drees, 2022), tandis que certains bénéficiaires de retraites chapeaux percevaient plus de 25 000 euros par mois, soit plus de 300 000 euros par an de retraite supplémentaire soit en plus de la retraite obligatoire et complémentaire.

Face à ces écarts, nous proposons de faire davantage participer les très riches à la solidarité nationale.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 6 à un additionnel après l'article 2 ter)





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3838

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Aux cinquième et neuvième alinéas de l’article L. 137-11-1 du code de la sécurité sociale, le taux : « 21 % » est remplacé par le taux : « 30 % ».

Objet

Cet amendement vise à augmenter significativement la taxation des retraites "chapeau" les plus importantes de 21% à 30%.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2936 rect. bis

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Au début de la première phrase du 2° du II de l’article L. 137-13 du code de la sécurité sociale, le taux : « 20 % » est remplacé par le taux : « 30 % ».

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à revenir sur l’allègement de la fiscalité sur les actions gratuites voté lors de la LFSS 2019 par la majorité.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 3 à un additionnel après l'article 2 ter).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3224 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Au début de la première phrase du 2° du II de l’article L. 137-13 du code de la sécurité sociale, le taux : « 20 % » est remplacé par le taux : « 30 % ».

Objet

Cet amendement a pour objet de revenir sur l’allègement de la fiscalité sur les actions gratuites voté lors de la LFSS 2018 et qui visait une baisse du taux de contribution patronale de 30 % à 20 %. Nous proposons donc de revenir sur ce que nous considérons comme une décision inappropriée.

Cet allègement, voté au milieu de la nuit, entraîne une perte de recettes de 120 millions d’euros par an pour la sécurité sociale, de l’aveu même de l’étude d’impact de la LFSS 2018.

Outre ce coût non négligeable pour les finances sociales, cette disposition concerne essentiellement des dirigeants et des salariés très bien rémunérés de grands groupes. Aussi, les effets de cette baisse des recettes de la sécurité sociale représentent, en réalité, un cadeau aux plus aisés, en leur faveur et au détriment des recettes de notre protection sociale.

La distribution de parts gratuites se substitue parfois à une politique salariale classique d’augmentations des salaires soit des rémunérations socialisées et fiscalisées en privant ainsi de façon durable la protection sociale de ressources.

La solidarité et la justice sociale ne peuvent s’accommoder de compléments de rémunérations ne participant pas « selon leur moyen » à la pérennité de notre modèle social, c’est pourquoi notre amendement propose de rétablir la contribution patronale au taux de 30 %.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 6 à un additionnel après l'article 2 ter).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4351 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Au début de la première phrase du 2° du II de l’article L. 137-13 du code de la sécurité sociale, le taux : « 20 % » est remplacé par le taux : « 30 % ».

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent ramener à 30% le taux de cotisation sur les actions gratuites décidées dans la loi dite « Macron » du 6 août 2015 pour la croissance, l'activité et l'égalité des chances économiques, qui parait injustifié.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2857 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


 Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le code de la sécurité sociale est ainsi modifié :

1° Le dernier alinéa de l’article L. 137-15 est supprimé ;

2° Au dernier alinéa de l’article L. 137-16, le taux : « 16 % » est remplacé par le taux : « 20 % ».

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à revenir sur deux mesures en rétablissant d’une part le taux de forfait social normal à 20 % pour les versements réalisés sur des plans d’épargne retraite, et en réintroduisant d’autre part la contribution sociale à la charge des employeurs de moins de 250 salariés au titre de l’intéressement et de la participation.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4474 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’article L. 137-16 du code de la sécurité sociale est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« Par dérogation au premier alinéa du présent article, le taux est fixé à 30 % pour les rémunérations visées aux articles L. 225-44 et L. 225-85 du code de commerce perçues par les administrateurs et membres des conseils de surveillance de sociétés anonymes et des sociétés d’exercice libéral à forme anonyme. »

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent par le présent amendement majorer le forfait social de 10 points pour la rémunération des administrateurs sans fonction au sein de l’entreprise.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4483 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Au premier alinéa de l’article L. 137-32 du code de la sécurité sociale, le taux : « 0,16 % » est remplacé par le taux : « 0,32 % ».

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent majorer le taux de la contribution sociale de solidarité qui est affectée au financement de l’assurance vieillesse. Il est à noter que cette contribution assise sur le chiffre d’affaires n’est due que par 21 000 entreprises et que chaque centième de point d’augmentation des taux pourrait rapporter 230 millions d’euros supplémentaires à notre régime des retraites.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4482 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

À la troisième phrase du premier alinéa de l’article L.137-32 du code de la sécurité sociale, le taux : « 0,16 % » est remplacé par le le taux : « 0,20 % ».

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent majorer le taux de la contribution sociale de solidarité qui est affectée au financement de l’assurance vieillesse. Il est à noter que cette contribution assise sur le chiffre d’affaires n’est due que par 21 000 entreprises et que chaque centième de point d’augmentation des taux pourrait rapporter 230 millions d’euros supplémentaires à notre régime des retraites.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4481 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

À la troisième phrase du premier alinéa de l’article L.137-32 du code de la sécurité sociale, le taux : « 0,16 % » est remplacé par le taux : « 0,19 % ».

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent majorer le taux de la contribution sociale de solidarité qui est affectée au financement de l’assurance vieillesse. Il est à noter que cette contribution assise sur le chiffre d’affaires n’est due que par 21 000 entreprises et que chaque centième de point d’augmentation des taux pourrait rapporter 230 millions d’euros supplémentaires à notre régime des retraites.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4480 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

À la troisième phrase du premier alinéa de l’article L.137-32 du code de la sécurité sociale, le taux : « 0,16 % », est remplacé par le taux : « 0,18 % ».

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent majorer le taux de la contribution sociale de solidarité qui est affectée au financement de l’assurance vieillesse. Il est à noter que cette contribution assise sur le chiffre d’affaires n’est due que par 21 000 entreprises et que chaque centième de point d’augmentation des taux pourrait rapporter 230 millions d’euros supplémentaires à notre régime des retraites.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4479 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

À la troisième phrase du premier alinéa de l’article L. 137-32 du code de la sécurité sociale le taux : « 0,16 % », est remplacé par le taux : « 0,17 % ».

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent majorer le taux de la contribution sociale de solidarité qui est affectée au financement de l’assurance vieillesse. Il est à noter que cette contribution assise sur le chiffre d’affaires n’est due que par 21 000 entreprises et que chaque centième de point d’augmentation des taux pourrait rapporter 230 millions d’euros supplémentaires à notre régime des retraites.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2202 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. BREUILLER, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, DANTEC, DOSSUS, GONTARD, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – Le code de la sécurité sociale est ainsi modifié : 

1° Après le 5° de l’article L. 213-1, il est inséré un alinéa ainsi rédigé : 

« ...° Le recouvrement de la contribution mentionnée à l’article L. 245-13 du présent code ; »

2° Après la section 3 du chapitre 5 du titre IV du livre II, la section 4 est ainsi rétablie :

« Section 4 

« Contribution des revenus financiers des sociétés financières et non financières 

« Art. L. 245-13. – Les revenus financiers des prestataires de service mentionnés au livre V du code monétaire et financier entendus comme la somme des dividendes bruts et des intérêts nets reçus, sont assujettis à une contribution d’assurance vieillesse dont le taux est égal à la somme des taux de cotisation salariale et patronale d’assurance vieillesse assises sur les rémunérations ou gains perçus par les travailleurs salariés ou assimilés mentionnés à l’article L. 241-3 du présent code. 

« Les revenus financiers des sociétés tenues à l’immatriculation au registre du commerce et des sociétés en application de l’article L. 123-1 du code de commerce, à l’exclusion des prestataires mentionnés au premier alinéa du présent article, entendus comme la somme des dividendes bruts et assimilés et des intérêts bruts perçus, sont assujettis à une contribution d’assurance vieillesse dont le taux est égal à la somme des taux de cotisation salariale et patronale d’assurance vieillesse assises sur les rémunérations ou gains perçus par les travailleurs salariés ou assimilés mentionnés à l’article L. 241-3 du présent code. 

« Les contributions prévues au présent article ne sont pas déductibles de l’assiette de l’impôt sur les sociétés. 

« Un décret fixe les taux de répartition de ces ressources entre les différentes caisses d’assurance vieillesse. » 

II. – Un décret en Conseil d’État fixe les modalités d’application du présent article.

Objet

Cet amendement vise à assujettir les revenus financiers des sociétés financières et non financières à une contribution pour l’assurance vieillesse, au même taux que les cotisations patronales et salariales du secteur privé. 

Il a également pour but de financer rapidement les régimes de retraite obligatoires et d’inciter les entreprises à privilégier le facteur travail. 

Le Gouvernement prétend que leur réforme des retraites est nécessaire pour sauver le système de retraite, pour lequel il faudrait trouver 13,5 milliards d’euros d’ici à 2030. 

Le présent amendement a ainsi vocation à proposer au Gouvernement une porte de sortie à sa réforme. En effet, cette nouvelle contribution devrait rapporter environ le double souhaité par le Gouvernement.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 3 à un additionnel après l'article 2 ter).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2871 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – Le code de la sécurité sociale est ainsi modifié :

1° Après le 5° du I de l’article L. 213-1, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :

« ...° Le recouvrement de la contribution mentionnée à l’article L. 245-13 du présent code ; ».

2° Le chapitre 5 du titre IV du livre II est complété par une section ainsi rédigée :

« Section ...

« Contribution des revenus financiers des sociétés financières et non financières

« Art. L. 245-13. – Les revenus financiers des prestataires de service mentionnés au livre V du code monétaire et financier entendus comme la somme des dividendes bruts et des intérêts nets reçus, sont assujettis à une contribution d’assurance vieillesse dont le taux est égal à la somme des taux de cotisation salariale et patronale d’assurance vieillesse assises sur les rémunérations ou gains perçus par les travailleurs salariés ou assimilés mentionnés à l’article L. 241-3 du présent code.

« Les revenus financiers des sociétés tenues à l’immatriculation au registre du commerce et des sociétés en application de l’article L. 123-1 du code de commerce, à l’exclusion des prestataires mentionnés au premier alinéa du présent article, entendus comme la somme des dividendes bruts et assimilés et des intérêts bruts perçus, sont assujettis à une contribution d’assurance vieillesse dont le taux est égal à la somme des taux de cotisation salariale et patronale d’assurance vieillesse assises sur les rémunérations ou gains perçus par les travailleurs salariés ou assimilés mentionnés à l’article L. 241-3 du présent code.

« Les contributions prévues au présent article ne sont pas déductibles de l’assiette de l’impôt sur les sociétés.

« Un décret fixe les taux de répartition de ces ressources entre les différentes caisses d’assurance vieillesse. »

II. – Un décret en Conseil d’État fixe les modalités d’application du présent article.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à assujettir les revenus financiers des sociétés financières et non financières à une contribution pour l’assurance vieillesse, au même taux que les cotisations patronales et salariales du secteur privé.

Le Gouvernement prétend que leur réforme des retraites est nécessaire pour sauver le système de retraite, pour lequel il faudrait trouver 13,5 milliards d’euros d’ici à 2030.

Le présent amendement a ainsi vocation à proposer au Gouvernement une porte de sortie à sa réforme. En effet, cette nouvelle contribution devrait rapporter environ le double souhaité par le Gouvernement.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4498 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

La section 1 bis du chapitre premier du titre IV du livre II du code de la sécurité sociale est ainsi modifiée :

1° Le deuxième alinéa de l’article L. 241-3 est supprimé ;

2° Après l’article L. 241-3, il est inséré un article L. 241-... ainsi rédigé :

« Art. L. 241-.... – Il est institué une contribution additionnelle assise sur l’ensemble des revenus d’activité tels qu’ils sont pris en compte pour la détermination de l’assiette des cotisations définie à l’article L. 242-1 perçus par les travailleurs salariés ou assimilés.

« Le taux de cette contribution est fixé à 1,8 % pour les salariés et à 3,8 % pour les employeurs.

« Le recouvrement de cette contribution additionnelle, mentionnée au présent article, est assuré pour le compte de la caisse nationale d’assurance vieillesse par les unions de recouvrement. Le contrôle et le contentieux du recouvrement sont également exercés par ces unions. »

Objet

Les membres du groupe CRCE par cette série d’amendements entendent créer une contribution additionnelle déplafonnée renouvelée par rapport à celle qui a cours aujourd’hui, afin de remédier aux déficits temporaires du système de retraite, tout en privilégire ne pénalisant ni les bas salaires des travailleuses et travailleurs en deçà de revenus mensuels de 3666 €, ni les personnes assujetties tant l’effort demandé est modeste.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4497 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

La section 1 bis du chapitre premier du titre IV du livre II du code de la sécurité sociale est ainsi modifiée :

1° Le deuxième alinéa de l’article L. 241-3 est supprimé ;

2° Après l’article L. 241-3, il est inséré un article L. 241-... ainsi rédigé :

« Art. L. 241-.... – Il est institué une contribution additionnelle assise sur l’ensemble des revenus d’activité tels qu’ils sont pris en compte pour la détermination de l’assiette des cotisations définie à l’article L. 242-1 perçus par les travailleurs salariés ou assimilés.

« Le taux de cette contribution est fixé à 1,7 % pour les salariés et à 3,7 % pour les employeurs.

« Le recouvrement de cette contribution additionnelle, mentionnée au présent article, est assuré pour le compte de la caisse nationale d’assurance vieillesse par les unions de recouvrement. Le contrôle et le contentieux du recouvrement sont également exercés par ces unions. »

Objet

Les membres du groupe CRCE par cette série d’amendements entendent créer une contribution additionnelle déplafonnée renouvelée par rapport à celle qui a cours aujourd’hui, afin de remédier aux déficits temporaires du système de retraite, tout en privilégire ne pénalisant ni les bas salaires des travailleuses et travailleurs en deçà de revenus mensuels de 3666 €, ni les personnes assujetties tant l’effort demandé est modeste.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4496 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

La section 1 bis du chapitre premier du titre IV du livre II du code de la sécurité sociale est ainsi modifiée :

1° Le deuxième alinéa de l’article L. 241-3 est supprimé ;

2° Après l’article L. 241-3, il est inséré un article L. 241-... ainsi rédigé :

« Art. L. 241-.... – Il est institué une contribution additionnelle assise sur l’ensemble des revenus d’activité tels qu’ils sont pris en compte pour la détermination de l’assiette des cotisations définie à l’article L. 242-1 perçus par les travailleurs salariés ou assimilés.

« Le taux de cette contribution est fixé à 1,6 % pour les salariés et à 3,6 % pour les employeurs.

« Le recouvrement de cette contribution additionnelle, mentionnée au présent article, est assuré pour le compte de la caisse nationale d’assurance vieillesse par les unions de recouvrement. Le contrôle et le contentieux du recouvrement sont également exercés par ces unions. »

Objet

Les membres du groupe CRCE par cette série d’amendements entendent créer une contribution additionnelle déplafonnée renouvelée par rapport à celle qui a cours aujourd’hui, afin de remédier aux déficits temporaires du système de retraite, tout en privilégire ne pénalisant ni les bas salaires des travailleuses et travailleurs en deçà de revenus mensuels de 3666 €, ni les personnes assujetties tant l’effort demandé est modeste.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4495 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

La section 1 bis du chapitre premier du titre IV du livre II du code de la sécurité sociale est ainsi modifiée :

1° Le deuxième alinéa de l’article L. 241-3 est supprimé ;

2° Après l’article L. 241-3, il est inséré un article L. 241-... ainsi rédigé :

« Art. L. 241-.... – Il est institué une contribution additionnelle assise sur l’ensemble des revenus d’activité tels qu’ils sont pris en compte pour la détermination de l’assiette des cotisations définie à l’article L. 242-1 perçus par les travailleurs salariés ou assimilés.

« Le taux de cette contribution est fixé à 1,5 % pour les salariés et à 3,5 % pour les employeurs.

« Le recouvrement de cette contribution additionnelle, mentionnée au présent article, est assuré pour le compte de la caisse nationale d’assurance vieillesse par les unions de recouvrement. Le contrôle et le contentieux du recouvrement sont également exercés par ces unions. »

Objet

Les membres du groupe CRCE par cette série d’amendements entendent créer une contribution additionnelle déplafonnée renouvelée par rapport à celle qui a cours aujourd’hui, afin de remédier aux déficits temporaires du système de retraite, tout en privilégire ne pénalisant ni les bas salaires des travailleuses et travailleurs en deçà de revenus mensuels de 3666 €, ni les personnes assujetties tant l’effort demandé est modeste.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4494 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

La section 1 bis du chapitre premier du titre IV du livre II du code de la sécurité sociale est ainsi modifiée :

1° Le deuxième alinéa de l’article L. 241-3 est supprimé ;

2° Après l’article L. 241-3, il est inséré un article L. 241-... ainsi rédigé :

« Art. L. 241-.... – Il est institué une contribution additionnelle assise sur l’ensemble des revenus d’activité tels qu’ils sont pris en compte pour la détermination de l’assiette des cotisations définie à l’article L. 242-1 perçus par les travailleurs salariés ou assimilés.

« Le taux de cette contribution est fixé à 1,4 % pour les salariés et à 3,4 % pour les employeurs.

« Le recouvrement de cette contribution additionnelle, mentionnée au présent article, est assuré pour le compte de la caisse nationale d’assurance vieillesse par les unions de recouvrement. Le contrôle et le contentieux du recouvrement sont également exercés par ces unions. »

Objet

Les membres du groupe CRCE par cette série d’amendements entendent créer une contribution additionnelle déplafonnée renouvelée par rapport à celle qui a cours aujourd’hui, afin de remédier aux déficits temporaires du système de retraite, tout en privilégire ne pénalisant ni les bas salaires des travailleuses et travailleurs en deçà de revenus mensuels de 3666 €, ni les personnes assujetties tant l’effort demandé est modeste.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4493 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

La section 1 bis du chapitre premier du titre IV du livre II du code de la sécurité sociale est ainsi modifiée :

1° Le deuxième alinéa de l’article L. 241-3 est supprimé ;

2° Après l’article L. 241-3, il est inséré un article L. 241-... ainsi rédigé :

« Art. L. 241-.... – Il est institué une contribution additionnelle assise sur l’ensemble des revenus d’activité tels qu’ils sont pris en compte pour la détermination de l’assiette des cotisations définie à l’article L. 242-1 perçus par les travailleurs salariés ou assimilés.

« Le taux de cette contribution est fixé à 1,3 % pour les salariés et à 3,3 % pour les employeurs.

« Le recouvrement de cette contribution additionnelle, mentionnée au présent article, est assuré pour le compte de la caisse nationale d’assurance vieillesse par les unions de recouvrement. Le contrôle et le contentieux du recouvrement sont également exercés par ces unions. »

Objet

Les membres du groupe CRCE par cette série d’amendements entendent créer une contribution additionnelle déplafonnée renouvelée par rapport à celle qui a cours aujourd’hui, afin de remédier aux déficits temporaires du système de retraite, tout en privilégire ne pénalisant ni les bas salaires des travailleuses et travailleurs en deçà de revenus mensuels de 3666 €, ni les personnes assujetties tant l’effort demandé est modeste.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4492 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

La section 1 bis du chapitre premier du titre IV du livre II du code de la sécurité sociale est ainsi modifiée :

1° Le deuxième alinéa de l’article L. 241-3 est supprimé ;

2° Après l’article L. 241-3, il est inséré un article L. 241-... ainsi rédigé :

« Art. L. 241-.... – Il est institué une contribution additionnelle assise sur l’ensemble des revenus d’activité tels qu’ils sont pris en compte pour la détermination de l’assiette des cotisations définie à l’article L. 242-1 perçus par les travailleurs salariés ou assimilés.

« Le taux de cette contribution est fixé à 1,2 % pour les salariés et à 3,2 % pour les employeurs.

« Le recouvrement de cette contribution additionnelle, mentionnée au présent article, est assuré pour le compte de la caisse nationale d’assurance vieillesse par les unions de recouvrement. Le contrôle et le contentieux du recouvrement sont également exercés par ces unions. »

Objet

Les membres du groupe CRCE par cette série d’amendements entendent créer une contribution additionnelle déplafonnée renouvelée par rapport à celle qui a cours aujourd’hui, afin de remédier aux déficits temporaires du système de retraite, tout en privilégire ne pénalisant ni les bas salaires des travailleuses et travailleurs en deçà de revenus mensuels de 3666 €, ni les personnes assujetties tant l’effort demandé est modeste.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4491 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

La section 1 bis du chapitre premier du titre IV du livre II du code de la sécurité sociale est ainsi modifiée :

1° Le deuxième alinéa de l’article L. 241-3 est supprimé ;

2° Après l’article L. 241-3, il est inséré un article L. 241-... ainsi rédigé :

« Art. L. 241-.... – Il est institué une contribution additionnelle assise sur l’ensemble des revenus d’activité tels qu’ils sont pris en compte pour la détermination de l’assiette des cotisations définie à l’article L. 242-1 perçus par les travailleurs salariés ou assimilés.

« Le taux de cette contribution est fixé à 1,1 % pour les salariés et à 3,1 % pour les employeurs.

« Le recouvrement de cette contribution additionnelle, mentionnée au présent article, est assuré pour le compte de la caisse nationale d’assurance vieillesse par les unions de recouvrement. Le contrôle et le contentieux du recouvrement sont également exercés par ces unions. »

Objet

Les membres du groupe CRCE par cette série d’amendements entendent créer une contribution additionnelle déplafonnée renouvelée par rapport à celle qui a cours aujourd’hui, afin de remédier aux déficits temporaires du système de retraite, tout en ne pénalisant ni les bas salaires des travailleuses et travailleurs en deçà de revenus mensuels de 3666 €, ni les personnes assujetties tant l’effort demandé est modeste.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4487 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

La section 1 bis du chapitre premier du titre IV du livre II du code de la sécurité sociale est ainsi modifiée :

1° Le deuxième alinéa de l’article L. 241-3 est supprimé ;

2° Après l’article L. 241-3, il est inséré un article L. 241-... ainsi rédigé :

« Art. L. 241-.... – Il est institué une contribution additionnelle assise sur l’ensemble des revenus d’activité tels qu’ils sont pris en compte pour la détermination de l’assiette des cotisations définie à l’article L. 242-1 perçus par les travailleurs salariés ou assimilés.

« Le taux de cette contribution est fixé à 1 % pour les salariés et à 3 % pour les employeurs.

« Le recouvrement de cette contribution additionnelle, mentionnée au présent article, est assuré pour le compte de la caisse nationale d’assurance vieillesse par les unions de recouvrement. Le contrôle et le contentieux du recouvrement sont également exercés par ces unions. »

Objet

Les membres du groupe CRCE par cette série d’amendements entendent créer une contribution additionnelle déplafonnée renouvelée par rapport à celle qui a cours aujourd’hui, afin de remédier aux déficits temporaires du système de retraite, tout en ne pénalisant ni les bas salaires des travailleuses et travailleurs en deçà de revenus mensuels de 3666 €, ni les personnes assujetties tant l’effort demandé est modeste.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4263 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – A. – Il est institué une contribution exceptionnelle, assise sur la valeur nette, au 1er janvier de l’année, de l’ensemble des biens, droits et valeurs imposables appartenant aux personnes physiques ayant leur domicile fiscal en France, ainsi qu’à leurs enfants mineurs lorsqu’elles ont l’administration légale des biens de ceux-ci.

B. – La contribution exceptionnelle est calculée en appliquant à l’assiette définie au A un taux de 1,7 % sur la fraction comprise entre 3 et 5 millions d’euros, 2,1 % à la fraction comprise entre 5 et 10 millions d’euros, 3,5 % à la fraction excédant 10 millions d’euros.

C. – La contribution exceptionnelle est reversée aux caisses de retraite du régime de base obligatoire. Les dispositions relatives à la répartition entre caisses de retraite sont déterminées par décret en Conseil d’État.

II. – Les dispositions du présent article entrent en vigueur à compter de la publication de la présente loi et sont applicables jusqu’au 31 décembre 2025.

 

Objet

Les membres du groupe CRCE entendent créer un prélèvement additionnel sur les hauts patrimoines qui permettrait à court-terme d’absorber le léger déficit qui interviendrait en 2024 et 2025, année à laquelle ce dispositif s’éteindrait de lui-même. Le déficit présenté par le COR apparaissant comme conjoncturel, convient de trouver des ressources temporaires affectées à son financement.

 



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2459

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. DOSSUS, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – A. – Il est institué une contribution exceptionnelle, assise sur la valeur nette, au 1er janvier de l’année, de l’ensemble des biens, droits et valeurs imposables appartenant aux personnes physiques ayant leur domicile fiscal en France, ainsi qu’à leurs enfants mineurs lorsqu’elles ont l’administration légale des biens de ceux-ci.

B. – La contribution exceptionnelle est calculée en appliquant à l’assiette définie au A un taux de 2 % sur la fraction excédant 1 milliard d’euros.

C. – La contribution exceptionnelle est reversée au fonds de réserve pour les retraites défini au chapitre 5 bis du titre III du livre I du code de la sécurité sociale.

II. – Les dispositions du présent article entrent en vigueur à compter de la publication de la présente loi et sont applicables jusqu’au 31 décembre 2025.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires vise à mettre en place une contribution exceptionnelle sur le patrimoine des milliardaires que nous proposons d'affecter au financement du fonds de réserve pour les retraites (FRR).

Comme le dénonce l'association Oxfam, depuis 2020, la fortune des milliardaires français a augmenté de plus de 200 milliards d'euros, ce qui représente une hausse de 58%. 

Les 10 milliardaires français les plus fortunés détiennent d’ailleurs 189 milliards d’euros à eux seuls. C’est l'équivalent de 2 ans de factures de gaz, d’électricité et de carburant pour l’ensemble des Françaises et des Français. Avec une fortune de 179 milliards d'euros, Bernard Arnault est désormais l’homme le plus riche de la planète et sa fortune correspond à l’équivalent de celle de près de 20 millions de Françaises et de Français. 

Ces chiffres sont d’autant plus ahurissants que sur les 10 dernières années, en moyenne, pour 100€ de richesses créées en France, 35€ ont été captés par les 1% des Français les plus riches. Les 50% les plus précaires n’en ont capté que 8€.

Il n’est pas acceptable de faire encore une fois payer l’addition aux franges les plus fragiles de la population. 

Une taxe de 2% sur le patrimoine des milliardaires français rapporterait 12 milliards d'euros en 2023. C'est 4 fois plus que les économies attendues de la réforme proposée par le gouvernement d’ici 10 ans, d'après les prévisions de l’Observatoire français des conjonctures économiques qui désavoue celles du gouvernement.

Une telle mesure serait loin d'assécher le patrimoine des milliardaires Français. La taxe telle que proposée dans cet amendement concernerait seulement 42 milliardaires pour qui cela représente une somme dérisoire, tandis que la réforme du gouvernement pénaliserait des dizaines de millions de Françaises et de Français.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4265 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – A. – Il est institué une contribution exceptionnelle, assise sur la valeur nette, au 1er janvier de l’année, de l’ensemble des biens, droits et valeurs imposables appartenant aux personnes physiques ayant leur domicile fiscal en France, ainsi qu’à leurs enfants mineurs lorsqu’elles ont l’administration légale des biens de ceux-ci.

B. – La contribution exceptionnelle est calculée en appliquant à l’assiette définie au A un taux de 2 % sur la fraction excédant 1 milliard d’euros.

C. – La contribution exceptionnelle est reversée aux caisses de retraite du régime de base obligatoire. Les dispositions relatives à la répartition entre caisses de retraite sont déterminées par décret en Conseil d’État.

II. – Les dispositions du présent article entrent en vigueur à compter de la publication de la présente loi et sont applicables jusqu’au 31 décembre 2024.

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent affirmer par cet amendement que le partage des richesses constitue un objectif permettant de surmonter un déficit prévu pour être temporaire. Le récent rapport d’Oxfam met opportunément en regard le déficit du système par répartition et les fortunes des milliardaires pour faire apparaitre le fossé qui existe entre les scénarios du financement du Gouvernement et les possibilités de recouvrer des recettes supplémentaires. De plus, les ordres de grandeurs permettent de nettement relativiser l’enjeu financier qui échoue au Gouvernement et à la représentation nationale pour « sauver notre régime de retraite par répartition » selon les éléments de langages consacrés.

 



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3127 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – A. – Il est institué une contribution additionnelle sur les bénéfices des sociétés redevables de l’impôt sur les sociétés prévu à l’article 205 du code général des impôts qui réalisent un chiffre d’affaires supérieur à 750 000 000 euros.

B. – La contribution additionnelle est due lorsque le résultat imposable de la société pour l’exercice considéré au titre de l’impôt sur les sociétés précitées est supérieur ou égal à 1,25 fois la moyenne de son résultat imposable des exercices 2017, 2018 et 2019.

C. – La contribution additionnelle est assise sur le résultat imposable supplémentaire réalisé par rapport à 1,25 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités. La contribution additionnelle est calculée en appliquant à la fraction de chaque part de résultat imposable supérieur ou égale à 1,25 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités le taux de :

1° 20 % pour la fraction supérieure ou égale à 1,25 fois et inférieure à 1,5 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités ;

2° 25 % pour la fraction supérieure ou égale à 1,5 fois et inférieure à 1,75 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités ;

3° 33 % pour la fraction supérieure ou égale à 1,75 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités.

II. – A. – Pour les redevables qui sont placés sous le régime prévu aux articles 223 A ou 223 A bis du code général des impôts, la contribution additionnelle est due par la société mère. Elle est assise sur le résultat d’ensemble et la plus-value nette d’ensemble définis aux articles 223 B, 223 B bis et 223 D du même code, déterminés avant imputation des réductions et crédits d’impôt et des créances fiscales de toute nature.

B. – Le chiffre d’affaires mentionné au I du présent article s’entend du chiffre d’affaires réalisé par le redevable au cours de l’exercice ou de la période d’imposition, ramené à douze mois le cas échéant et, pour la société mère d’un groupe mentionné aux articles 223 A ou 223 A bis du code général des impôts, de la somme des chiffres d’affaires de chacune des sociétés membres de ce groupe.

C. – Les réductions et crédits d’impôt et les créances fiscales de toute nature ne sont pas imputables sur la contribution additionnelle.

D. – Sont exonérées de la contribution prévue au présent I, les sociétés dont la progression du résultat imposable par rapport à la moyenne des exercices 2017, 2018 et 2019 résulte d’opérations de cession ou d’acquisition d’actifs, pour la fraction du résultat imposable de l’exercice concernée.

E. – La contribution additionnelle est reversée au Fonds de réserve pour les retraites tel que mentionné à l’article L. 135-6 du code de la sécurité sociale. Les dispositions relatives à ce versement sont déterminées par décret en Conseil d’État.

III. – Les dispositions du présent article entrent en vigueur à compter de la publication de la présente loi et sont applicables jusqu’au 31 décembre 2025.

IV. – Le Gouvernement remet au Parlement un rapport d’évaluation provisoire de l’application du I du présent article avant le 31 décembre 2023 et un rapport d’évaluation définitif au plus tard le 31 juillet 2026.

 

Objet

Par cet amendement, nous proposons d'instaurer une cotisation exceptionnelle sur les superprofits au bénéfice du Fonds de réserve pour les retraites (FRR).

En effet, il était dans la logique d’alimentation du FRR d’être abondé par des recettes exceptionnelles pour faire face à la bosse démographique ou à un événement exogène exceptionnel.

A la demande de l’Institut de recherches économiques et sociales (Ires) et de la CGT, des chercheurs du Centre lillois d’études et de recherches sociologiques et économiques (Clersé) se sont attelés à « décomposer, articuler et consolider différentes données émanant de différentes sources administratives et statistiques » afin de calculer les aides publiques aux entreprises. Elles s’élèveraient au minimum à 157 milliards d’euros en 2019, soit près d’un tiers du budget de l’État (31 %). Comme le montre l’étude, alors qu’elles oscillaient en moyenne autour de 30 milliards d’euros par an dans les années 1990, elles représentaient un montant de plus de 100 milliards d’euros par an dès 2008, et culminaient à 157 milliards en 2019, avant même la mise en œuvre du « quoi qu’il en coûte ».

Les chercheuses avancent : « Ces politiques peuvent de surcroît entraîner des effets d’accoutumance et de dépendance pour les entreprises, assorti d’un coût permanent pour les finances publiques et sociales, ceci pour des effets réels mais souvent transitoires. Il en ressort l’idée que notre système économique est de plus en plus « sous perfusion » d’aides publiques aux entreprises ».

Quant au versement des dividendes, il s’élève à 10,4 points de PIB, soit 231 milliards d’euros en 2021 (INSEE, Dividendes versés par les sociétés non financières, 2022).

De plus, les baisses d’impôts aux entreprises creusent le déficit de l’Etat, à l’instar de la suppression de la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE), soit 12 Milliards annuels de recettes en moyenne depuis sa création en 2010.

Le gouvernement a fait le choix de poursuivre sa politique de baisse des impôts de production et d’augmentation des exonérations de cotisations.

Et de tenir ses engagements de maîtrise des déficits en 2027 en ajustant à la baisse les dépenses de la protection sociale.

La répartition des richesses doit revenir au centre des débats. Parmi les pistes permettant de changer de cap vers un horizon plus juste et égalitaire figure celle d’une réforme du système de fiscalité qui jusqu’à présent préserve de tout effort les catégories les plus riches et les grandes entreprises alors qu’elles ont bénéficié d’aides importantes depuis le début de la crise.

Par conséquent, cet amendement vise à instaurer une cotisation exceptionnelle sur les superprofits au bénéfice du Fonds de réserve pour les retraites.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2853 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. FÉRAUD, Mme LUBIN, MM. KANNER et RAYNAL, Mme BRIQUET, MM. COZIC et ÉBLÉ, Mme ESPAGNAC, MM. JEANSANNETAS, Patrice JOLY et LUREL, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, M. CHANTREL, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mme Sylvie ROBERT, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – A. – Il est institué une contribution additionnelle sur les bénéfices des sociétés redevables de l’impôt sur les sociétés prévu à l’article 205 du code général des impôts qui réalisent un chiffre d’affaires supérieur à 750 000 000 euros.

B. – La contribution additionnelle est due lorsque le résultat imposable de la société pour l’exercice considéré au titre de l’impôt sur les sociétés précité est supérieur ou égal à 1,25 fois la moyenne de son résultat imposable des exercices 2017, 2018 et 2019.

C. – La contribution additionnelle est assise sur le résultat imposable supplémentaire réalisé par rapport à 1,25 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités. La contribution additionnelle est calculée en appliquant à la fraction de chaque part de résultat imposable supérieur ou égale à 1,25 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités le taux de :

1° 20 % pour la fraction supérieure ou égale à 1,25 fois et inférieure à 1,5 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités ;

2° 25 % pour la fraction supérieure ou égale à 1,5 fois et inférieure à 1,75 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités ;

3° 33 % pour la fraction supérieure ou égale à 1,75 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités.

II. – A. – Pour les redevables qui sont placés sous le régime prévu aux articles 223 A ou 223 A bis du code général des impôts, la contribution additionnelle est due par la société mère. Elle est assise sur le résultat d’ensemble et la plus-value nette d’ensemble définis aux articles 223 B, 223 B bis et 223 D du même code, déterminés avant imputation des réductions et crédits d’impôt et des créances fiscales de toute nature.

B. – Le chiffre d’affaires mentionné au I du présent article s’entend du chiffre d’affaires réalisé par le redevable au cours de l’exercice ou de la période d’imposition, ramené à douze mois le cas échéant et, pour la société mère d’un groupe mentionné aux articles 223 A ou 223 A bis du code général des impôts, de la somme des chiffres d’affaires de chacune des sociétés membres de ce groupe.

C. – Les réductions et crédits d’impôt et les créances fiscales de toute nature ne sont pas imputables sur la contribution additionnelle.

D. – Sont exonérées de la contribution prévue au I, les sociétés dont la progression du résultat imposable par rapport à la moyenne des exercices 2017, 2018 et 2019 résulte d’opérations de cession ou d’acquisition d’actifs, pour la fraction du résultat imposable de l’exercice concernée.

E. – La contribution additionnelle est reversée aux caisses de retraite du régime de base obligatoire. Les dispositions relatives à la répartition entre caisses de retraite sont déterminées par décret en Conseil d’État.

III. – Les dispositions du présent article entrent en vigueur à compter de la publication de la présente loi et sont applicables jusqu’au 31 décembre 2025.

IV. – Le Gouvernement remet au Parlement un rapport d’évaluation provisoire de l’application du I du présent article avant le 31 décembre 2023 et un rapport d’évaluation définitif au plus tard le 31 juillet 2026.

Objet

Le présent amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain reprend la proposition de loi déposée par l’ensemble des groupes de gauche de l’Assemblée Nationale et du Sénat et visant à introduire dans notre fiscalité une taxe sur les superprofits afin de renforcer la solidarité nationale, face à un désarmement fiscal massif mis en œuvre depuis 2017.

En effet, alors que les inégalités se creusent, la réforme des retraites proposées par le Gouvernement va contribuer à renforcer ces inégalités. Le prétexte financier mis en avant par le Gouvernement n’est pas crédible : il existe de nombreuses sources de financement qui permettraient de ne pas pénaliser à nouveau les travailleuses et les travailleurs tout en renforçant une solidarité largement mise à mal depuis plusieurs années.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4352 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – 1° Il est institué une contribution sur les dividendes des sociétés redevables de l’impôt sur les sociétés prévu à l’article 205 du code général des impôts qui réalisent un chiffre d’affaires supérieur à 750 000 000 euros ;

2° La contribution est due lorsque les dividendes, tels que définis aux articles L. 232-10 à L. 232-20 du code de commerce, versés par une société lors de l’exercice considéré est supérieur ou égal à 1,25 fois la moyenne des dividendes versés lors des exercices 2017, 2018 et 2019 ;

3° La contribution est assise sur la fraction des dividendes versés par la société excédant 1,25 fois la moyenne des dividendes versés durant les trois exercices précités. La taxe est calculée en appliquant à la fraction de chaque part de dividendes versés supérieure ou égale à 1,25 fois la moyenne des dividendes versés durant les trois exercices précités le taux de :

a) 20 % pour la fraction supérieure ou égale à 1,25 fois et inférieure à 1,5 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités ;

b) 25 % pour la fraction supérieure ou égale à 1,5 fois et inférieure à 1,75 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités ;

c) 33 % pour la fraction supérieure ou égale à 1,75 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités.

II. – 1° Pour les redevables qui sont placés sous le régime prévu aux articles 223 A ou 223 A bis du code général des impôts, la contribution additionnelle est due par la société mère. Elle est assise sur le résultat d’ensemble et à la plus-value nette d’ensemble définis aux articles 223 B, 223 B bis et 223 D du même code, déterminé avant imputation des réductions et crédits d’impôt et des créances fiscales de toute nature ;

2° Le chiffre d’affaires mentionné au I du présent article s’entend du chiffre d’affaires réalisé par le redevable au cours de l’exercice ou de la période d’imposition, ramené à douze mois le cas échéant et, pour la société mère d’un groupe mentionné aux articles 223 A ou 223 A bis du code général des impôts, de la somme des chiffres d’affaires de chacune des sociétés membres de ce groupe ;

3° Les réductions et crédits d’impôt et les créances fiscales de toute nature ne sont pas imputables sur la contribution additionnelle ;

4° Sont exonérées de la contribution prévue au présent I, les sociétés dont la progression du résultat imposable par rapport à la moyenne des exercices 2017, 2018 et 2019 résulte d’opérations de cession ou d’acquisition d’actifs, pour la fraction du résultat imposable de l’exercice concernée ;

5° La contribution additionnelle est reversée aux caisses de retraite du régime de base obligatoire. Les dispositions relatives à la répartition entre caisses de retraite sont renvoyées à un décret pris en Conseil d’État ;

III. – Le présent article entre en vigueur à compter de la publication de la présente loi et est applicable jusqu’au 31 décembre 2025.

IV. – Avant le 31 décembre 2023, le Gouvernement remet au Parlement un rapport d’évaluation provisoire de l’application du I du présent article et, au plus tard le 31 juillet 2026, un rapport d’évaluation définitif.

Objet

Les membres du groupe CRCE, après avoir proposé de majorer les prélèvements sociaux sur les dividendes et de les faire contribuer au financement de la caisse nationale d’assurance vieillesse, se bornent par cet amendement de repli à demander une contribution exceptionnelle sur les « super-dividendes », pour éviter que chaque année soit une année record de versements et qu’à minima une partie supplémentaire permette de financer la protection sociale.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2517

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. GONTARD, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – A. – Il est institué une contribution additionnelle sur les bénéfices des sociétés redevables de l’impôt sur les sociétés prévu à l’article 205 du code général des impôts qui réalisent un chiffre d’affaires supérieur à 750 000 000 euros.

B. – La contribution additionnelle est due lorsque le résultat imposable de la société pour l’exercice considéré au titre de l’impôt sur les sociétés précité est supérieur ou égal à 1,25 fois la moyenne de son résultat imposable des exercices 2017, 2018 et 2019.

C. – La contribution additionnelle est assise sur le résultat imposable supplémentaire réalisé par rapport à 1,25 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités. La contribution additionnelle est calculée en appliquant à la fraction de chaque part de résultat imposable supérieur ou égale à 1,25 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités le taux de :

1° 20 % pour la fraction supérieure ou égale à 1,25 fois et inférieure à 1,5 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités ;

2° 25 % pour la fraction supérieure ou égale à 1,5 fois et inférieure à 1,75 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités ;

3° 33 % pour la fraction supérieure ou égale à 1,75 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités.

II. – A. – Pour les redevables qui sont placés sous le régime prévu aux articles 223 A ou 223 A bis du code général des impôts, la contribution additionnelle est due par la société mère. Elle est assise sur le résultat d’ensemble et à la plus-value nette d’ensemble définis aux articles 223 B, 223 B bis et 223 D dudit code, déterminé avant imputation des réductions et crédits d’impôt et des créances fiscales de toute nature.

B. – Le chiffre d’affaires mentionné au I du présent article s’entend du chiffre d’affaires réalisé par le redevable au cours de l’exercice ou de la période d’imposition, ramené à douze mois le cas échéant et, pour la société mère d’un groupe mentionné aux articles 223 A ou 223 A bis du code général des impôts, de la somme des chiffres d’affaires de chacune des sociétés membres de ce groupe.

C. – Les réductions et crédits d’impôt et les créances fiscales de toute nature ne sont pas imputables sur la contribution additionnelle.

D. – Sont exonérées de la contribution prévue au présent I les sociétés dont la progression du résultat imposable par rapport à la moyenne des exercices 2017, 2018 et 2019 résulte d’opérations de cession ou d’acquisition d’actifs, pour la fraction du résultat imposable de l’exercice concernée.

E. – Le produit de cette contribution additionnelle est affecté à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du code de la sécurité sociale.

III. – Les dispositions du présent article entrent en vigueur à compter de la publication de la présente loi et sont applicables jusqu’au 31 décembre 2023.

IV. – Le Gouvernement remet au Parlement un rapport d’évaluation provisoire de l’application du I du présent article avant le 31 décembre 2023 et un rapport d’évaluation définitif au plus tard le 31 juillet 2026.

Objet

Le présent amendement des groupes parlementaires de la NUPES a vocation à mettre en place une cotisation exceptionnelle sur les super-profits des entreprises réalisant plus de 750 millions d'euros de chiffre d'affaires et dont le produit serait affecté à la Caisse Nationale d’Assurance Vieillesse. Ce dispositif est temporaire et se limite à la présente année fiscale.

Un super-profit est ici défini comme un excédent d'au moins 25 % du résultat imposable de l'entreprise par rapport à un référentiel constitué par la moyennes des trois exercices 2017, 2018 et 2019 précédent par pandémie.

Trois tranches de 20, 25 et 33 % sont prévus pour un accroissement du résultat supérieur à 25 %, à 50 % ou 75 %.

Le Gouvernement prétend que sa réforme est nécessaire pour sauver le système de retraite, pour lequel il faudrait trouver 13,5 milliards d’euros d’ici à 2030. Pour cela, l’exécutif explique que seul le décalage de l’âge légal et l’accélération de la durée de cotisation le permettrait.

Selon les estimations, une telle contribution exceptionnelle aurait permis de rapporter entre 5 et 10 milliards d'euros si elle avait été appliquée en 2022. 

Sans remettre en cause l’attachement des écologistes au principe contributif, le présent amendement a vocation à proposer au Gouvernement une porte de sortie à sa réforme qui a pour seule vocation à faire payer aux retraités le pacte de stabilité.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3492 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Ajouter un article additionnel ainsi rédigé : 

I. – A. – Il est institué une contribution additionnelle sur les bénéfices des sociétés redevables de l’impôt sur les sociétés prévu à l’article 205 du code général des impôts qui réalisent un chiffre d’affaires supérieur à 750 000 000 euros.

B. – La contribution additionnelle est due lorsque le résultat imposable de la société pour l’exercice considéré au titre de l’impôt sur les sociétés précité est supérieur ou égal à 1,25 fois la moyenne de son résultat imposable des exercices 2017, 2018 et 2019.

C. – La contribution additionnelle est assise sur le résultat imposable supplémentaire réalisé par rapport à 1,25 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités. La contribution additionnelle est calculée en appliquant à la fraction de chaque part de résultat imposable supérieur ou égale à 1,25 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités le taux de :

1° 20 % pour la fraction supérieure ou égale à 1,25 fois et inférieure à 1,5 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités ;

2° 25 % pour la fraction supérieure ou égale à 1,5 fois et inférieure à 1,75 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités ;

3° 33 % pour la fraction supérieure ou égale à 1,75 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités.

II. – A. – Pour les redevables qui sont placés sous le régime prévu aux articles 223 A ou 223 A bis du code général des impôts, la contribution additionnelle est due par la société mère. Elle est assise sur le résultat d’ensemble et à la plus-value nette d’ensemble définis aux articles 223 B, 223 B bis et 223 D du même code, déterminé avant imputation des réductions et crédits d’impôt et des créances fiscales de toute nature.

B. – Le chiffre d’affaires mentionné au I du présent article s’entend du chiffre d’affaires réalisé par le redevable au cours de l’exercice ou de la période d’imposition, ramené à douze mois le cas échéant et, pour la société mère d’un groupe mentionné aux articles 223 A ou 223 A bis du code général des impôts, de la somme des chiffres d’affaires de chacune des sociétés membres de ce groupe.

C. – Les réductions et crédits d’impôt et les créances fiscales de toute nature ne sont pas imputables sur la contribution additionnelle.

D. – Sont exonérées de la contribution prévue au I les sociétés dont la progression du résultat imposable par rapport à la moyenne des exercices 2017, 2018 et 2019 résulte d’opérations de cession ou d’acquisition d’actifs, pour la fraction du résultat imposable de l’exercice concernée.

E. – Le produit de cette contribution additionnelle est affecté au fonds de réserve pour les retraites tel que mentionné à l’article L. 135-6 du code de la sécurité sociale.

III. – Les dispositions du présent article entrent en vigueur à compter de la publication de la présente loi et sont applicables jusqu’au 31 décembre 2023.

IV. – Le Gouvernement remet au Parlement un rapport d’évaluation provisoire de l’application du I du présent article avant le 31 décembre 2023 et un rapport d’évaluation définitif au plus tard le 31 juillet 2026.

Objet

Le présent amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires a vocation à mettre en place une cotisation exceptionnelle sur les super-profits, dont le produit serait affecté au fonds de réserve pour les retraites (FRR). Ce dispositif est temporaire.

Le Gouvernement prétend que sa réforme est nécessaire pour sauver le système de retraite, pour lequel il faudrait trouver 13,5 milliards d’euros d’ici à 2030. Pour cela, l’exécutif explique que seul le décalage de l’âge légal et l’accélération de la durée de cotisation le permettrait.

Sans remettre en cause l’attachement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires à la cotisation et au principe contributif, le présent amendement a vocation à proposer au Gouvernement une porte de sortie à sa réforme qui a pour seule vocation à faire payer aux retraités le pacte de stabilité.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4266 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – Il est institué en 2023 et 2024 une contribution sur les bénéfices exceptionnels réalisés par les redevables de l’impôt sur les sociétés prévu à l’article 205 du code général des impôts qui réalisent un chiffre d’affaires supérieur à 100 millions d’euros.

Cette contribution exceptionnelle est égale à :

1° 10 % du résultat imposable lorsque le bénéfice réalisé est inférieur à 100 millions d’euros ;

2° 20 % du résultat imposable lorsque le bénéfice réalisé est compris entre 100 millions d’euros et 1 milliard d’euros ;

3° 30 % du résultat imposable lorsque le bénéfice réalisé est supérieur à 1 milliard d’euros.

II. – La contribution prévue au I est assise sur la fraction du résultat net réalisé au titre de la moyenne des exercices 2021, 2022 et 2023 qui excède la moyenne des résultats nets réalisés au titre des exercices 2018, 2019 et 2020.

III. – A. – Pour les redevables qui sont placés sous le régime prévu aux articles 223 A ou 223 A bis du code général des impôts, la contribution exceptionnelle est due par la société mère. Cette contribution est assise sur la fraction du résultat net réalisé au titre des exercices 2021, 2022 et 2023 qui excède le résultat d’ensemble et la plus-value nette d’ensemble définis aux articles 223 B, 223 B bis et 223 D du même code correspondant à la moyenne des résultats des exercices 2018, 2019 et 2020. Ce résultat est déterminé avant imputation des réductions, crédits d’impôt et des créances fiscales de toute nature.

B. – Le chiffre d’affaires mentionné au I du présent article s’entend comme le chiffre d’affaires réalisé par le redevable au cours de l’exercice ou de la période d’imposition, ramené à douze mois le cas échéant et, pour la société mère d’un groupe mentionné aux articles 223 A ou 223 A bis du code général des impôts, de la somme des chiffres d’affaires de chacune des sociétés membres de ce groupe.

C. – Les réductions et crédits d’impôt et les créances fiscales de toute nature ne sont pas imputables sur la contribution exceptionnelle.

D. – La contribution exceptionnelle est établie, contrôlée et recouvrée comme l’impôt sur les sociétés et sous les mêmes garanties et sanctions. Les réclamations sont présentées, instruites et jugées selon les règles applicables à ce même impôt.

E. – La contribution additionnelle est reversée aux caisses de retraite du régime de base obligatoire. Les dispositions relatives à la répartition entre caisses de retraite sont déterminées par décret en Conseil d’État.

F. – L’intérêt de retard prévu à l’article 1727 dudit code et la majoration prévue à l’article 1731 du même code est fixé à 1 % du chiffre d’affaires mondial de la société ou de la société mère tel que constaté lors de l’exercice comptable antérieur.

IV. – La contribution exceptionnelle n’est pas admise dans les charges déductibles pour l’établissement de l’impôt sur les sociétés.

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent affirmer par cet amendement que le partage des richesses constitue un objectif permettant de surmonter un déficit prévu pour être temporaire. Aussi, l’envolée des profits des entreprises sur les deux dernières années nous invite d’abord à les considérer comme injustifiés et injustifiables, ensuite à les récupérer afin de financer ce bien commun qu’est notre système de retraite par répartition.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2450

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. DOSSUS, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – A. – Il est institué une contribution additionnelle sur les bénéfices des sociétés de transport maritime de marchandises redevables de l’impôt sur les sociétés prévu à l’article 205 du code général des impôts qui réalisent un chiffre d’affaires supérieur à 750 000 000 euros.

B. – La contribution additionnelle est due lorsque le résultat imposable de la société pour l’exercice considéré au titre de l’impôt sur les sociétés précité est supérieur ou égal à 1,25 fois la moyenne de son résultat imposable des exercices 2017, 2018 et 2019.

C. – La contribution additionnelle est assise sur le résultat imposable supplémentaire réalisé par rapport à 1,25 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités. La contribution additionnelle est calculée en appliquant à la fraction de chaque part de résultat imposable supérieur ou égale à 1,25 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités le taux de :

1° 20 % pour la fraction supérieure ou égale à 1,25 fois et inférieure à 1,5 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités ;

2° 25 % pour la fraction supérieure ou égale à 1,5 fois et inférieure à 1,75 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités ;

3° 33 % pour la fraction supérieure ou égale à 1,75 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités.

II. – A. – Pour les redevables qui sont placés sous le régime prévu aux articles 223 A ou 223 A bis du code général des impôts, la contribution additionnelle est due par la société mère. Elle est assise sur le résultat d’ensemble et la plus-value nette d’ensemble définis aux articles 223 B, 223 B bis et 223 D dudit code, déterminés avant imputation des réductions et crédits d’impôt et des créances fiscales de toute nature.

B. – Le chiffre d’affaires mentionné au I du présent article s’entend du chiffre d’affaires réalisé par le redevable au cours de l’exercice ou de la période d’imposition, ramené à douze mois le cas échéant et, pour la société mère d’un groupe mentionné aux articles 223 A ou 223 A bis du code général des impôts, de la somme des chiffres d’affaires de chacune des sociétés membres de ce groupe.

C. – Les réductions et crédits d’impôt et les créances fiscales de toute nature ne sont pas imputables sur la contribution additionnelle.

D. – Sont exonérées de la contribution prévue au présent I, les sociétés dont la progression du résultat imposable par rapport à la moyenne des exercices 2017, 2018 et 2019 résulte d’opérations de cession ou d’acquisition d’actifs, pour la fraction du résultat imposable de l’exercice concernée.

E. – La contribution additionnelle est reversée aux caisses de retraite du régime de base obligatoire. Les dispositions relatives à la répartition entre caisses de retraite sont déterminées par décret en Conseil d’État.

III. – Les dispositions du présent article entrent en vigueur à compter de la publication de la présente loi et sont applicables jusqu’au 31 décembre 2025.

IV. – Le Gouvernement remet au Parlement un rapport d’évaluation provisoire de l’application du I du présent article avant le 31 décembre 2023 et un rapport d’évaluation définitif au plus tard le 31 juillet 2026.

Objet

Cet amendement du Groupe Écologiste - Solidarité et Territoires propose d'instaurer une cotisation exceptionnelle sur les superprofits des sociétés de transport de marchandise, au bénéfice du système de retraite.

Notre pays est confronté à une hausse historique des prix. L’inflation dépasse déjà les 6 % alors que les salaires ne progressent que de 3 %, tout comme les pensions de retraite. L’impact est considérable pour des millions de jeunes, de salariés, de chômeurs ou de retraités qui ne parviennent tout simplement plus à vivre, à se nourrir ou à se déplacer. Il y a urgence.

Dans le même temps, de grandes multinationales profitent de cette situation. La hausse des prix leur a permis de générer des profits records depuis plusieurs mois. D’après un article des Échos, les réductions de tarifs de fret accordées par CMA-CGM s’élèveraient en tout à un « effort » d’à peine 300 millions d'euros. Un montant dérisoire alors que l’entreprise doit ses profits records à des tarifs extravagants qui se répercutent sur le prix des produits en rayon. CMA-CGM a ainsi dégagé 17 milliards d'euros de bénéfice net en 2021, alors que ce bénéfice était bien moindre les années précédant la crise. Par ailleurs, le bénéfice net de CMA-CGM pour l’année 2022 (qui n’est pas encore connu) va dépasser le chiffre faramineux de 2021 de plusieurs milliards d’euros au vu des annonces du groupe. Quant au patron de CMA-CGM Rodolphe Saadé, il a vu sa fortune multipliée par 5 en un an, passant de 6 à 36 milliards d'euros.

D’autres sources de financement existent pour le système de retraite. Il s’agit d’un simple choix politique. 

Cet amendement offre donc une alternative au gouvernement : il peut décider de faire peser le poids du système de retraite sur le dos des millions de travailleuses et de travailleurs usés jusqu’à la corde, ou il peut mettre à contribution ceux qui se détournent de leur obligation de solidarité en s’enrichissant grâce à la crise.






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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2460

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. DOSSUS, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – A. – Il est institué une contribution additionnelle sur les bénéfices générés par les activités domestiques d’exploration et d’exploitation de gisements d’hydrocarbures et de raffinage des sociétés productrices de pétrole redevables de l’impôt sur les sociétés prévu à l’article 205 du code général des impôts qui réalisent un chiffre d’affaires supérieur à 750 000 000 euros.

B. – La contribution additionnelle est due lorsque le résultat imposable de la société pour l’exercice considéré au titre de l’impôt sur les sociétés précité est supérieur ou égal à 1,25 fois la moyenne de son résultat imposable des exercices 2017, 2018 et 2019.

C. – La contribution additionnelle est assise sur le résultat imposable supplémentaire réalisé par rapport à 1,25 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités. La contribution additionnelle est calculée en appliquant à la fraction de chaque part de résultat imposable supérieur ou égale à 1,25 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités le taux de :

1° 20 % pour la fraction supérieure ou égale à 1,25 fois et inférieure à 1,5 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités ;

2° 25 % pour la fraction supérieure ou égale à 1,5 fois et inférieure à 1,75 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités ;

3° 33 % pour la fraction supérieure ou égale à 1,75 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités.

II. – A. – Pour les redevables qui sont placés sous le régime prévu aux articles 223 A ou 223 A bis du code général des impôts, la contribution additionnelle est due par la société mère. Elle est assise sur le résultat d’ensemble et la plus-value nette d’ensemble définis aux articles 223 B, 223 B bis et 223 D dudit code, déterminés avant imputation des réductions et crédits d’impôt et des créances fiscales de toute nature.

B. – Le chiffre d’affaires mentionné au I du présent article s’entend du chiffre d’affaires réalisé par le redevable au cours de l’exercice ou de la période d’imposition, ramené à douze mois le cas échéant et, pour la société mère d’un groupe mentionné aux articles 223 A ou 223 A bis du code général des impôts, de la somme des chiffres d’affaires de chacune des sociétés membres de ce groupe.

C. – Les réductions et crédits d’impôt et les créances fiscales de toute nature ne sont pas imputables sur la contribution additionnelle.

D. – Sont exonérées de la contribution prévue au présent I, les sociétés dont la progression du résultat imposable par rapport à la moyenne des exercices 2017, 2018 et 2019 résulte d’opérations de cession ou d’acquisition d’actifs, pour la fraction du résultat imposable de l’exercice concernée.

E. – La contribution additionnelle est reversée aux caisses de retraite du régime de base obligatoire. Les dispositions relatives à la répartition entre caisses de retraite sont déterminées par décret en Conseil d’État.

III. – Les dispositions du présent article entrent en vigueur à compter de la publication de la présente loi et sont applicables jusqu’au 31 décembre 2025.

IV. – Le Gouvernement remet au Parlement un rapport d’évaluation provisoire de l’application du I du présent article avant le 31 décembre 2023 et un rapport d’évaluation définitif au plus tard le 31 juillet 2026.

 

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires propose d'instaurer une cotisation exceptionnelle sur les superprofits des pétroliers au bénéfice du système de retraite.

De nombreuses multinationales bénéficient de la période de crise que nous traversons. La hausse des prix leur a permis de générer des profits records depuis plusieurs mois. C’est d’autant plus le cas pour certaines entreprises dans des secteurs comme le pétrole, l’agro-alimentaire ou le gaz qui ont profité de la guerre pour augmenter leurs marges et réaliser des superprofits. 

C’est ainsi que les 95 plus grandes entreprises de l’énergie et de l’agro-alimentaire ont multiplié leurs profits par 2,5. Ce chiffre est insupportable, surtout quand on sait que 84% de ces profits supplémentaires ont été reversés aux actionnaires des multinationales en question. A titre d’exemple, au premier semestre de l’année 2022, les bénéfices de Total s'élevaient à 18,8 milliards d’euros, alors que cette entreprise n’a payé de surcroît aucun impôt en France en 2019 et en 2020. 

Ces profits tombés du ciel ne sont pas sans conséquences : ils contribuent à tirer le prix de l’énergie vers le haut. D’après le dernier rapport sur les inégalités publié par Oxfam, en France, plus de la moitié de l’augmentation du prix de l’énergie serait due aux marges exceptionnelles de ces quelques entreprises.

Le gouvernement prétend qu’il n’y aurait pas d’alternative à son projet de réforme des retraites. Pourtant, il existe de nombreux leviers moins mortifères qu’un recul de l’âge légal, véritable trappe à précarité. Il n’y a qu’à regarder les profits des multinationales que nous venons de citer. 

À défaut d’une taxe exceptionnelle à la hauteur de l'enjeu, cet amendement vise à instaurer une cotisation exceptionnelle sur les superprofits au bénéfice des régimes de retraite. En mettant à juste contribution les principaux profiteurs de crise, qui pèsent sur le pouvoir d’achat des retraités, le gouvernement pourra se dispenser d’une réforme des retraites injuste. 






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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2877 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – A. – Il est institué une contribution additionnelle sur les bénéfices générés par les activités domestiques d’exploration et d’exploitation de gisements d’hydrocarbures et de raffinage des sociétés productrices de pétrole redevables de l’impôt sur les sociétés prévu à l’article 205 du code général des impôts qui réalisent un chiffre d’affaires supérieur à 750 000 000 euros.

B. – La contribution additionnelle est due lorsque le résultat imposable de la société pour l’exercice considéré au titre de l’impôt sur les sociétés précité est supérieur ou égal à 1,25 fois la moyenne de son résultat imposable des exercices 2017, 2018 et 2019.

C. – La contribution additionnelle est assise sur le résultat imposable supplémentaire réalisé par rapport à 1,25 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités. La contribution additionnelle est calculée en appliquant à la fraction de chaque part de résultat imposable supérieur ou égale à 1,25 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités le taux de :

1° 20 % pour la fraction supérieure ou égale à 1,25 fois et inférieure à 1,5 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités ;

2° 25 % pour la fraction supérieure ou égale à 1,5 fois et inférieure à 1,75 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités ;

3° 33 % pour la fraction supérieure ou égale à 1,75 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités.

II. – A. – Pour les redevables qui sont placés sous le régime prévu aux articles 223 A ou 223 A bis du code général des impôts, la contribution additionnelle est due par la société mère. Elle est assise sur le résultat d’ensemble et la plus-value nette d’ensemble définis aux articles 223 B, 223 B bis et 223 D dudit code, déterminés avant imputation des réductions et crédits d’impôt et des créances fiscales de toute nature.

B. – Le chiffre d’affaires mentionné au I du présent article s’entend du chiffre d’affaires réalisé par le redevable au cours de l’exercice ou de la période d’imposition, ramené à douze mois le cas échéant et, pour la société mère d’un groupe mentionné aux articles 223 A ou 223 A bis du code général des impôts, de la somme des chiffres d’affaires de chacune des sociétés membres de ce groupe.

C. – Les réductions et crédits d’impôt et les créances fiscales de toute nature ne sont pas imputables sur la contribution additionnelle.

D. – Sont exonérées de la contribution prévue au présent I, les sociétés dont la progression du résultat imposable par rapport à la moyenne des exercices 2017, 2018 et 2019 résulte d’opérations de cession ou d’acquisition d’actifs, pour la fraction du résultat imposable de l’exercice concernée.

E. – La contribution additionnelle est reversée aux caisses de retraite du régime de base obligatoire. Les dispositions relatives à la répartition entre caisses de retraite sont déterminées par décret en Conseil d’État.

III. – Les dispositions du présent article entrent en vigueur à compter de la publication de la présente loi et sont applicables jusqu’au 31 décembre 2025.

IV. – Le Gouvernement remet au Parlement un rapport d’évaluation provisoire de l’application du I du présent article avant le 31 décembre 2023 et un rapport d’évaluation définitif au plus tard le 31 juillet 2026.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à mettre en place une contribution exceptionnelle sur les super-profits des compagnies pétrolières, dont les ressources seront reversées du système des retraites.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2878 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – A. – Il est institué une contribution additionnelle sur les bénéfices générés par les activités domestiques d’exploration et d’exploitation de gisements d’hydrocarbures et de raffinage des sociétés productrices de pétrole redevables de l’impôt sur les sociétés prévu à l’article 205 du code général des impôts qui réalisent un chiffre d’affaires supérieur à 750 000 000 euros.

B. – La contribution additionnelle est due lorsque le résultat imposable de la société pour l’exercice considéré au titre de l’impôt sur les sociétés précité est supérieur ou égal à 1,25 fois la moyenne de son résultat imposable des exercices 2017, 2018 et 2019.

C. – La contribution additionnelle est assise sur le résultat imposable supplémentaire réalisé par rapport à 1,25 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités. La contribution additionnelle est calculée en appliquant à la fraction de chaque part de résultat imposable supérieur ou égale à 1,25 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités le taux de :

1° 15 % pour la fraction supérieure ou égale à 1,25 fois et inférieure à 1,5 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités ;

2° 20 % pour la fraction supérieure ou égale à 1,5 fois et inférieure à 1,75 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités ;

3° 30 % pour la fraction supérieure ou égale à 1,75 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités.

II. – A. – Pour les redevables qui sont placés sous le régime prévu aux articles 223 A ou 223 A bis du code général des impôts, la contribution additionnelle est due par la société mère. Elle est assise sur le résultat d’ensemble et la plus-value nette d’ensemble définis aux articles 223 B, 223 B bis et 223 D dudit code, déterminés avant imputation des réductions et crédits d’impôt et des créances fiscales de toute nature.

B. – Le chiffre d’affaires mentionné au I du présent article s’entend du chiffre d’affaires réalisé par le redevable au cours de l’exercice ou de la période d’imposition, ramené à douze mois le cas échéant et, pour la société mère d’un groupe mentionné aux articles 223 A ou 223 A bis du code général des impôts, de la somme des chiffres d’affaires de chacune des sociétés membres de ce groupe.

C. – Les réductions et crédits d’impôt et les créances fiscales de toute nature ne sont pas imputables sur la contribution additionnelle.

D. – Sont exonérées de la contribution prévue au présent I, les sociétés dont la progression du résultat imposable par rapport à la moyenne des exercices 2017, 2018 et 2019 résulte d’opérations de cession ou d’acquisition d’actifs, pour la fraction du résultat imposable de l’exercice concernée.

E. – La contribution additionnelle est reversée aux caisses de retraite du régime de base obligatoire. Les dispositions relatives à la répartition entre caisses de retraite sont déterminées par décret en Conseil d’État.

III. – Les dispositions du présent article entrent en vigueur à compter de la publication de la présente loi et sont applicables jusqu’au 31 décembre 2025.

IV. – Le Gouvernement remet au Parlement un rapport d’évaluation provisoire de l’application du I du présent article avant le 31 décembre 2023 et un rapport d’évaluation définitif au plus tard le 31 juillet 2026.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à mettre en place une contribution exceptionnelle sur les super-profits des compagnies pétrolières, dont les ressources seront reversées du système des retraites (amendement de repli).



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2879 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – A. – Il est institué une contribution additionnelle sur les bénéfices générés par les activités domestiques d’exploration et d’exploitation de gisements d’hydrocarbures et de raffinage des sociétés productrices de pétrole redevables de l’impôt sur les sociétés prévu à l’article 205 du code général des impôts qui réalisent un chiffre d’affaires supérieur à 750 000 000 euros.

B. – La contribution additionnelle est due lorsque le résultat imposable de la société pour l’exercice considéré au titre de l’impôt sur les sociétés précité est supérieur ou égal à 1,25 fois la moyenne de son résultat imposable des exercices 2017, 2018 et 2019.

C. – La contribution additionnelle est assise sur le résultat imposable supplémentaire réalisé par rapport à 1,25 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités. La contribution additionnelle est calculée en appliquant à la fraction de chaque part de résultat imposable supérieur ou égale à 1,25 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités le taux de :

1° 12,5 % pour la fraction supérieure ou égale à 1,25 fois et inférieure à 1,5 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités ;

2° 17,5 % pour la fraction supérieure ou égale à 1,5 fois et inférieure à 1,75 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités ;

3° 27,5 % pour la fraction supérieure ou égale à 1,75 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités.

II. – A. – Pour les redevables qui sont placés sous le régime prévu aux articles 223 A ou 223 A bis du code général des impôts, la contribution additionnelle est due par la société mère. Elle est assise sur le résultat d’ensemble et la plus-value nette d’ensemble définis aux articles 223 B, 223 B bis et 223 D dudit code, déterminés avant imputation des réductions et crédits d’impôt et des créances fiscales de toute nature.

B. – Le chiffre d’affaires mentionné au I du présent article s’entend du chiffre d’affaires réalisé par le redevable au cours de l’exercice ou de la période d’imposition, ramené à douze mois le cas échéant et, pour la société mère d’un groupe mentionné aux articles 223 A ou 223 A bis du code général des impôts, de la somme des chiffres d’affaires de chacune des sociétés membres de ce groupe.

C. – Les réductions et crédits d’impôt et les créances fiscales de toute nature ne sont pas imputables sur la contribution additionnelle.

D. – Sont exonérées de la contribution prévue au présent I, les sociétés dont la progression du résultat imposable par rapport à la moyenne des exercices 2017, 2018 et 2019 résulte d’opérations de cession ou d’acquisition d’actifs, pour la fraction du résultat imposable de l’exercice concernée.

E. – La contribution additionnelle est reversée aux caisses de retraite du régime de base obligatoire. Les dispositions relatives à la répartition entre caisses de retraite sont déterminées par décret en Conseil d’État.

III. – Les dispositions du présent article entrent en vigueur à compter de la publication de la présente loi et sont applicables jusqu’au 31 décembre 2025.

IV. – Le Gouvernement remet au Parlement un rapport d’évaluation provisoire de l’application du I du présent article avant le 31 décembre 2023 et un rapport d’évaluation définitif au plus tard le 31 juillet 2026.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à mettre en place une contribution exceptionnelle sur les super-profits des compagnies pétrolières, dont les ressources seront reversées du système des retraites (amendement de repli).



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2880 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – A. – Il est institué une contribution additionnelle sur les bénéfices générés par les activités domestiques d’exploration et d’exploitation de gisements d’hydrocarbures et de raffinage des sociétés productrices de pétrole redevables de l’impôt sur les sociétés prévu à l’article 205 du code général des impôts qui réalisent un chiffre d’affaires supérieur à 750 000 000 euros.

B. – La contribution additionnelle est due lorsque le résultat imposable de la société pour l’exercice considéré au titre de l’impôt sur les sociétés précité est supérieur ou égal à 1,25 fois la moyenne de son résultat imposable des exercices 2017, 2018 et 2019.

C. – La contribution additionnelle est assise sur le résultat imposable supplémentaire réalisé par rapport à 1,25 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités. La contribution additionnelle est calculée en appliquant à la fraction de chaque part de résultat imposable supérieur ou égale à 1,25 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités le taux de :

1° 10 % pour la fraction supérieure ou égale à 1,25 fois et inférieure à 1,5 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités ;

2° 15 % pour la fraction supérieure ou égale à 1,5 fois et inférieure à 1,75 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités ;

3° 25 % pour la fraction supérieure ou égale à 1,75 fois le résultat imposable moyen des trois exercices précités.

II. – A. – Pour les redevables qui sont placés sous le régime prévu aux articles 223 A ou 223 A bis du code général des impôts, la contribution additionnelle est due par la société mère. Elle est assise sur le résultat d’ensemble et la plus-value nette d’ensemble définis aux articles 223 B, 223 B bis et 223 D dudit code, déterminés avant imputation des réductions et crédits d’impôt et des créances fiscales de toute nature.

B. – Le chiffre d’affaires mentionné au I du présent article s’entend du chiffre d’affaires réalisé par le redevable au cours de l’exercice ou de la période d’imposition, ramené à douze mois le cas échéant et, pour la société mère d’un groupe mentionné aux articles 223 A ou 223 A bis du code général des impôts, de la somme des chiffres d’affaires de chacune des sociétés membres de ce groupe.

C. – Les réductions et crédits d’impôt et les créances fiscales de toute nature ne sont pas imputables sur la contribution additionnelle.

D. – Sont exonérées de la contribution prévue au présent I, les sociétés dont la progression du résultat imposable par rapport à la moyenne des exercices 2017, 2018 et 2019 résulte d’opérations de cession ou d’acquisition d’actifs, pour la fraction du résultat imposable de l’exercice concernée.

E. – La contribution additionnelle est reversée aux caisses de retraite du régime de base obligatoire. Les dispositions relatives à la répartition entre caisses de retraite sont déterminées par décret en Conseil d’État.

III. – Les dispositions du présent article entrent en vigueur à compter de la publication de la présente loi et sont applicables jusqu’au 31 décembre 2025.

IV. – Le Gouvernement remet au Parlement un rapport d’évaluation provisoire de l’application du I du présent article avant le 31 décembre 2023 et un rapport d’évaluation définitif au plus tard le 31 juillet 2026.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à mettre en place une contribution exceptionnelle sur les super-profits des compagnies pétrolières, dont les ressources seront reversées du système des retraites (amendement de repli).



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2200 rect.

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. BREUILLER, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. SALMON et PARIGI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – Après la section 13 du chapitre VII du titre III du livre I du code de la sécurité sociale, il est inséré une section ... ainsi rédigée : 

« Section ...

« Contribution additionnelle à la contribution sociale de solidarité des sociétés 

« Art. L. 137-39-1. – Il est institué au profit de la Caisse nationale de l’assurance vieillesse une contribution additionnelle à la contribution sociale de solidarité des sociétés prévue par les articles L. 137-30 et suivants. Cette contribution additionnelle est assise, recouvrée, exigible et contrôlée dans les mêmes conditions que celles applicables à la contribution sociale de solidarité à la charge des sociétés. 

« Son taux est de 0,32 %. » 

II. – Après le 1° de l’article L. 241-3 du même code, il est inséré un alinéa ainsi rédigé : 

« ...° Le produit de la contribution additionnelle à la contribution sociale de solidarité à la charge des sociétés, prévue par l’article L. 137-39-1. ». 

III. – Les dispositions du I s’appliquent au chiffre d’affaires déclaré au titre de la contribution sociale de solidarité à la charge des sociétés due à compter du 1er janvier 2023. 

IV. – Les modalités du prélèvement visé à l’article L. 137-39-1 du code de la sécurité sociale seront réexaminées sur la base d’un rapport du Gouvernement, remis au Parlement avant le 31 décembre 2026, portant sur le financement de l’assurance vieillesse.

Objet

Cet amendement vise à créer une contribution additionnelle à la C3S (Contribution Sociale de Solidarité des Sociétés), dont le produit serait affecté à la Caisse nationale d’Assurance Vieillesse. 

Cette contribution est d’autant plus réalisable que les entreprises ont bénéficié de 18 milliards d’euros de baisse d’impôts de production, sans contreparties, depuis qu’Emmanuel Macron est président de la République. Le Groupe Écologiste - Solidarité et Territoires rappelle ici sa forte opposition à la dévitalisation de la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE), mise en place et amplifiée en loi de finances 2023. 

Faire contribuer les plus grandes entreprises à notre système de retraite est une mesure plus juste. Dès lors, nous proposons de créer une contribution additionnelle à l’actuelle C3S, en l’affectant exclusivement à la Caisse nationale de l’assurance vieillesse. 

La C3S (Contribution Sociale de Solidarité des Sociétés) concerne les entreprises dont le chiffre d’affaires hors taxes est supérieur à 19 milllions d’€. 21 000 entreprises étaient concernées en 2021. Dès lors, nous proposons de créer une contribution additionnelle à l’actuelle C3S, en l’affectant exclusivement à la Caisse nationale de l’assurance vieillesse.

Cette contribution additionnelle représentera le double de celui de l’actuelle C3S (4,6 milliards de produits projetés en 2023), soit 9,2 milliards d’euros.





NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après l'article 3 vers un article additionnel après l'article 2 ter).





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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2949 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. CARDON, Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – Après la section 13 du chapitre VII du titre III du livre I du code de la sécurité sociale, il est inséré une section ... ainsi rédigée : 

« Section ...

« Contribution additionnelle à la contribution sociale de solidarité des sociétés 

« Art. L. 137-39-1. – Il est institué au profit de la Caisse nationale de l’assurance vieillesse une contribution additionnelle à la contribution sociale de solidarité des sociétés prévue par les articles L. 137-30 et suivants. Cette contribution additionnelle est assise, recouvrée, exigible et contrôlée dans les mêmes conditions que celles applicables à la contribution sociale de solidarité à la charge des sociétés. 

« Son taux est de 0,32 %. » 

II. – Après le 1° de l’article L. 241-3 du même code, il est inséré un alinéa ainsi rédigé : 

« ...° Le produit de la contribution additionnelle à la contribution sociale de solidarité à la charge des sociétés, prévue par l’article L. 137-39-1. ». 

III. – Les dispositions du I s’appliquent au chiffre d’affaires déclaré au titre de la contribution sociale de solidarité à la charge des sociétés due à compter du 1er janvier 2023. 

IV. – Les modalités du prélèvement visé à l’article L. 137-39-1 du code de la sécurité sociale seront réexaminées sur la base d’un rapport du Gouvernement, remis au Parlement avant le 31 décembre 2026, portant sur le financement de l’assurance vieillesse.

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à créer une contribution additionnelle à la C3S (Contribution Sociale de Solidarité des Sociétés), dont le produit serait affecté à la Caisse nationale d’Assurance Vieillesse.

Cette contribution est d’autant plus réalisable que les entreprises ont bénéficié de 18 milliards d’euros de baisse d’impôts de production, sans contreparties, depuis le premier quinquennat Macron est Président de la République. Et tout dernièrement encore avec le dispositif sur la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) voté en loi de finances 2023.
Faire contribuer les plus grandes entreprises à notre système de retraite est une mesure de justice sociale : telle est le sens de cette proposition de  création d'une contribution additionnelle à l’actuelle C3S affectée à la Caisse nationale de l’assurance vieillesse.

Cette contribution additionnelle représentera le double de celui l’actuelle C3S (4,6 milliards de produits projetés en 2023), soit 9,2 milliards d’euros. Cette recette nouvelle pour la CNAV permettra de couvrir une grande partie des fonds recherchés par le gouvernement à travers cette réforme des retraites injustifiées et injuste. Des alternatives existent : cette proposition en fait clairement partie !


NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après l'article 2 vers un article additionnel après l'article 2 ter).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2206 rect.

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. BREUILLER, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, DANTEC, DOSSUS, GONTARD, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. SALMON et PARIGI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – Après la section 13 du chapitre VII du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale, il est inséré une section ... ainsi rédigée : 

« Section ...

« Contribution additionnelle de solidarité à la taxe sur les salaires 

« Art. L. 137-39-1. – Il est institué, au profit de la Caisse nationale d’assurance vieillesse, une contribution additionnelle à la taxe sur les salaires définie aux articles 231 à 231 bis V du code général des impôts. 

« Cette contribution additionnelle est assise, recouvrée, exigible et contrôlée dans les mêmes conditions que celles applicables à la taxe sur les salaires. 

« Le taux de cette contribution additionnelle à la taxe sur les salaires est de 20 % pour la fraction excédant 160 378 € de rémunérations individuelles annuelles telles que mentionnées à l’article 231 du code général des impôts. » 

II. – Après le 1° de l’article L. 241-3 du code de la sécurité sociale, il est inséré un alinéa ainsi rédigé : 

« ...° Le produit de la contribution additionnelle à la taxe sur les salaires, prévue par l’article L. 137-39-1. »

III. – Les dispositions du présent article sont applicables aux rémunérations versées à compter du 1er janvier 2023.

Objet

Cet amendement vise à remettre en place un prélèvement, supprimé au début du premier quinquennat d’Emmanuel Macron, sur les hautes rémunérations, en l’affectant à la Caisse nationale d’Assurance vieillesse. 

Dès lors, la tranche supérieure des salaires excédant les 160 378 euros par an, se trouverait prélevée à hauteur de 20 %. 

Cet amendement s'inspire de l’article 13 de la loi n° 2012-1404 du 17 décembre 2012 de financement de la sécurité sociale pour 2013, qui avait mis en place une contribution supplémentaire pour les hautes rémunérations. 

Ni justice, ni progrès social ne sont présents dans cette réforme. Ce n’est qu’un projet d’équilibre budgétaire, visant à respecter les objectifs du pacte de stabilité adopté en juillet 2022. Ainsi, financer une part de notre système de solidarité intergénérationnelle en faisant davantage contribuer les plus aisés nous apparaît un premier pas de solution financière. 

Toutefois, il convient ici de rappeler que, sans cette réforme des retraites, et d’après le Conseil d’orientation des retraites (COR), le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après l'article 3 vers un article additionnel après l'article 2 ter).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2950 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. CARDON, Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE et BOURGI, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mmes BLATRIX CONTAT, Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – Après la section 13 du chapitre VII du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale, il est inséré une section ... ainsi rédigée : 

« Section ...

« Contribution additionnelle de solidarité à la taxe sur les salaires 

« Art. L. 137-39-1. – Il est institué, au profit de la Caisse nationale d’assurance vieillesse, une contribution additionnelle à la taxe sur les salaires définie aux articles 231 à 231 bis V du code général des impôts. 

« Cette contribution additionnelle est assise, recouvrée, exigible et contrôlée dans les mêmes conditions que celles applicables à la taxe sur les salaires. 

« Le taux de cette contribution additionnelle à la taxe sur les salaires est de 20 % pour la fraction excédant 160 378 € de rémunérations individuelles annuelles telles que mentionnées à l’article 231 du code général des impôts. » 

II. – Après le 1° de l’article L. 241-3 du code de la sécurité sociale, il est inséré un alinéa ainsi rédigé : 

« ...° Le produit de la contribution additionnelle à la taxe sur les salaires, prévue par l’article L. 137-39-1. »

III. – Les dispositions du présent article sont applicables aux rémunérations versées à compter du 1er janvier 2023.

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à rétablir un prélèvement, supprimé au début du premier quinquennat d’Emmanuel Macron, sur les hautes rémunérations, en l’affectant à la Caisse nationale d’Assurance vieillesse.
La tranche supérieure des salaires excédant les 160 378 euros par an, se verrait ainsi prélevée à hauteur de 20 %.


Cet amendement s'inspire de l’article 13 de la loi n° 2012-1404 du 17 décembre 2012 de financement de la sécurité sociale pour 2013, à travers laquelle nous avions mis en place une contribution supplémentaire pour les hautes rémunérations.


A contrario de la profonde injustice sociale de cette réforme des retraites, financer une part de notre système de solidarité intergénérationnelle en faisant davantage contribuer
les plus aisés constitue non seulement un premier pas de solution financière mais également un rééquilibrage de l'effort dans un objectif de cohésion sociale.

Rappelons néanmoins que, sans cette réforme des retraites, et d’après le Conseil d’orientation des retraites (COR), le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après l'article 2 vers un article additionnel après l'article 2 ter).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2205 rect.

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. BREUILLER, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, DANTEC, DOSSUS, GONTARD, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre 7 du titre III du livre I du code de la sécurité sociale est complété par une section ... ainsi rédigée : 

« Section ...

« Contribution de solidarité sur la fortune 

« Art. L. 137-.... – I. – Il est institué une contribution de solidarité sur la fortune au taux de 2 % lorsque la valeur des biens des personnes physiques ayant leur domicile fiscal en France, à raison de leurs biens situés en France ou hors de France, est supérieure à 1 000 000 000 €. 

« II. – Le produit de cette contribution additionnelle est affecté à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1. » 

Objet

Cet amendement vise à créer une contribution de solidarité sur la fortune des milliardaires français. 

D’après Oxfam, depuis 2020, la fortune des milliardaires français a augmenté de plus de 200 milliards d’euros, soit une hausse de 58 %.

Cette réforme des retraites, en repoussant l’âge de départ à la retraite à 64 ans, va aggraver encore davantage les inégalités puisque les plus précaires porteront le poids de cette réforme. 

Le dernier rapport d’Oxfam France indique que seulement 2 % de la fortune des milliardaires français suffirait à financer le déficit attendu des retraites. Dès lors, nous vous soumettons cette proposition.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 3 à un additionel après l'article 2 ter).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2869 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre 7 du titre III du livre I du code de la sécurité sociale est complété par une section ... ainsi rédigée : 

« Section ...

« Contribution de solidarité sur la fortune 

« Art. L. 137-.... – I. – Il est institué une contribution de solidarité sur la fortune au taux de 2 % lorsque la valeur des biens des personnes physiques ayant leur domicile fiscal en France, à raison de leurs biens situés en France ou hors de France, est supérieure à 1 000 000 000 €. 

« II. – Le produit de cette contribution additionnelle est affecté à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1. » 

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à créer une contribution de solidarité sur la fortune des milliardaires français dont le produit ira financer le système de retraites, dont le taux sera de 2%.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 396 rect.

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. BENARROCHE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre 7 du titre III du livre I du code de la sécurité sociale est complété par une section ... ainsi rédigée :

« Section ...

« Contribution de solidarité sur la fortune

« Art. L. 137-.... – I. – Il est institué une contribution de solidarité sur la fortune au taux de 1,99 %, lorsque la valeur des biens des personnes physiques ayant leur domicile fiscal en France, à raison de leurs biens situés en France ou hors de France, est supérieure à 999 000 000 €.

« II. – Le produit de cette contribution additionnelle est affecté au fonds mentionné à l’article L. 135-1. »

Objet

L’amendement vise à la création d’une contribution de solidarité sur la fortune des milliardaires Français-es. Cette contribution alimentera le Fonds Solidarité Vieillesse (FSV) institué à l’article L. 135-1 du code de la sécurité sociale, dans l’optique de prendre en charge, pour les personnes ayant conclu un contrat d’apprentissage entre le 1er juillet 1972 et le 31 décembre 213, les trimestres manquants pour bénéficier d’un départ anticipée à la retraite de l’article L. 351-1-0 du code de sécurité sociale.

Cet amendement vise à répondre à une situation injuste soulevée par des personnes ayant débuté leur apprentissage entre 1972 et 2013.

En effet depuis l’introduction de la loi de 2014 et son décret d’application n° 2014-1514, les apprentis peuvent valider autant de trimestres de retraite que de trimestres d’apprentissage. Ce dispositif est néanmoins limitée aux périodes d’apprentissage accomplies à compter du 1er janvier 2014.

Cette limitation temporelle précarise aujourd’hui grandement ces personnes qui ont parfois débuté le travail à 15ans.

Faute des trimestres suffisants, ils et elles se retrouvent privé-es du dispositif des carrières longues et d’un départ anticipée à la retraite à 60 ans ou moins. La colère de ces hommes et femmes est légitime. Comme l’ensemble de la population française, ils et elles sont pénalisé-es par une réforme injuste, injustifiée et inutile.

Leur situation est d’autant plus révoltante que le Gouvernement propose uniquement un rachat des trimestres à un « prix préférentiel » . Le rachat des trimestres constitue un effort financier considérable. Comme dans d’autres secteurs, l’effort est toujours demandé aux plus modestes des Français-es.

Pour davantage de justice sociale, cet amendement propose ainsi d’utiliser le produit d’une contribution de solidarité sur les grandes fortunes pour financer la validation automatique des trimestres de ceux et celles qui ont débuté leurs carrières professionnelles à 16 ans ou moins.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 3 à un additionnel après l'article 2 ter).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3038 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre VII du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section ... ainsi rédigée :

« Section ...

« Contribution de solidarité sur la fortune

« Art. L. 137-.... – I. – Il est institué une contribution de solidarité sur la fortune au taux de 1,5 % lorsque la valeur des biens des personnes physiques ayant leur domicile fiscal en France, à raison de leurs biens situés en France ou hors de France, est supérieure à 1 000 000 000 €.

« II. – Le produit de cette contribution additionnelle est affecté à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1. »

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à créer une contribution de solidarité sur la fortune des milliardaires français dont le produit ira financer le système de retraites, dont le taux sera de 1,5%.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3039 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre VII du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section ... ainsi rédigée :

« Section ...

« Contribution de solidarité sur la fortune

« Art. L. 137-.... – I. – Il est institué une contribution de solidarité sur la fortune au taux de 1,25 % lorsque la valeur des biens des personnes physiques ayant leur domicile fiscal en France, à raison de leurs biens situés en France ou hors de France, est supérieure à 1 000 000 000 €.

« II. – Le produit de cette contribution additionnelle est affecté à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1. »

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à créer une contribution de solidarité sur la fortune des milliardaires français dont le produit ira financer le système de retraites, dont le taux sera de 1,25%.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3040 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre VII du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section ... ainsi rédigée :

« Section ...

« Contribution de solidarité sur la fortune

« Art. L. 137-.... – I. – Il est institué une contribution de solidarité sur la fortune au taux de 1 % lorsque la valeur des biens des personnes physiques ayant leur domicile fiscal en France, à raison de leurs biens situés en France ou hors de France, est supérieure à 1 000 000 000 €.

« II. – Le produit de cette contribution additionnelle est affecté à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1. »

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à créer une contribution de solidarité sur la fortune des milliardaires français dont le produit ira financer le système de retraites, dont le taux sera de 1%.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3041 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

« Le chapitre VII du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section ... ainsi rédigée :

« Section ...

« Contribution de solidarité sur la fortune

« Art. L. 137-.... – I. – Il est institué une contribution de solidarité sur la fortune au taux de 0,75 % lorsque la valeur des biens des personnes physiques ayant leur domicile fiscal en France, à raison de leurs biens situés en France ou hors de France, est supérieure à 1 000 000 000 €.

« II. – Le produit de cette contribution additionnelle est affecté à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1. »

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à créer une contribution de solidarité sur la fortune des milliardaires français dont le produit ira financer le système de retraites, dont le taux sera de 0,75%.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3042 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre VII du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section ... ainsi rédigée :

« Section ...

« Contribution de solidarité sur la fortune

« Art. L. 137-.... – I. – Il est institué une contribution de solidarité sur la fortune au taux de 0,5 % lorsque la valeur des biens des personnes physiques ayant leur domicile fiscal en France, à raison de leurs biens situés en France ou hors de France, est supérieure à 1 000 000 000 €.

« II. – Le produit de cette contribution additionnelle est affecté à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1. »

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à créer une contribution de solidarité sur la fortune des milliardaires français dont le produit ira financer le système de retraites, dont le taux sera de 0,5%.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3044 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre VII du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section ... ainsi rédigée :

« Section ...

« Contribution de solidarité sur la fortune

« Art. L. 137-.... – I. – Il est institué une contribution de solidarité sur la fortune au taux de 0,4 % lorsque la valeur des biens des personnes physiques ayant leur domicile fiscal en France, à raison de leurs biens situés en France ou hors de France, est supérieure à 1 000 000 000 €.

« II. – Le produit de cette contribution additionnelle est affecté à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1. »

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à créer une contribution de solidarité sur la fortune des milliardaires français dont le produit ira financer le système de retraites, dont le taux sera de 0,4%.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3046 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


 Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre VII du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section 15 ainsi rédigée :

« Section 15

« Contribution de solidarité sur la fortune

« Art. L. 137-42. – I. – Il est institué une contribution de solidarité sur la fortune au taux de 0,3 % lorsque la valeur des biens des personnes physiques ayant leur domicile fiscal en France, à raison de leurs biens situés en France ou hors de France, est supérieure à 1 000 000 000 €.

« II. – Le produit de cette contribution additionnelle est affecté à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du présent code. »

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à créer une contribution de solidarité sur la fortune des milliardaires français dont le produit ira financer le système de retraites, dont le taux sera de 0,3%.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3047 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


 Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre VII du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section 15 ainsi rédigée :

« Section 15

« Contribution de solidarité sur la fortune

« Art. L. 137-42. – I. – Il est institué une contribution de solidarité sur la fortune au taux de 0,2 % lorsque la valeur des biens des personnes physiques ayant leur domicile fiscal en France, à raison de leurs biens situés en France ou hors de France, est supérieure à 1 000 000 000 €.

« II. – Le produit de cette contribution additionnelle est affecté à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du présent code. »

 

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à créer une contribution de solidarité sur la fortune des milliardaires français dont le produit ira financer le système de retraites, dont le taux sera de 0,2%.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3048 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


 Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre VII du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section 15 ainsi rédigée :

« Section 15

« Contribution de solidarité sur la fortune

« Art. L. 137-42. – I. – Il est institué une contribution de solidarité sur la fortune au taux de 0,01 % lorsque la valeur des biens des personnes physiques ayant leur domicile fiscal en France, à raison de leurs biens situés en France ou hors de France, est supérieure à 1 000 000 000 €.

« II. – Le produit de cette contribution additionnelle est affecté à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du présent code. »

 

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à créer une contribution de solidarité sur la fortune des milliardaires français dont le produit ira financer le système de retraites, dont le taux sera de 0,01%.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4477 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Après le chapitre 5 bis du titre III du livre I du code la sécurité sociale, il est inséré un chapitre ainsi rédigé :

« Chapitre …

« Contribution des produits de placements à la sauvegarde du régime par répartition

« Art. L. 135-…. – I. – Les redevables de la contribution des produits de placements à la sauvegarde du régime par répartition sont les mêmes que ceux mentionnés à l’article L. 136-7 du présent code.

« II. – Sont assujettis les revenus, plus-values, rentes ou capital mentionnés à l’article L. 136-7 du présent code, à l’exclusion de ceux mentionnés au 2° du I, au I bis, aux 1° , 2° , 2 bis et 8 ter du II du même article et dans les conditions prévues au III dudit article.

« III. - 1. La contribution prévue au I du présent article est due par les établissements payeurs au titre des mois de décembre et janvier sur les revenus de placement exigible au II, à l’exception de celle due sur les revenus et plus-values mentionnés aux 1° du I de l’article L. 137-7 du présent code, fait l’objet d’un versement déterminé sur la base du montant des revenus de placement soumis l’année précédente à la contribution sociale généralisée au titre des mois de décembre et janvier.

« Ce versement est égal à 90 % du produit de l’assiette de référence, déterminée pour le calcul de la contribution sociale sur les produits de placement, par le taux de 7,8 %. Son paiement intervient le 15 octobre au plus tard. Il est reversé dans un délai de dix jours francs après cette date par l’État aux organismes affectataires.

« 2. Lorsque l’établissement payeur estime que le versement dû en application du 1 est supérieur à la contribution dont il sera redevable au titre des mois de décembre et janvier, il peut réduire ce versement à concurrence de l’excédent estimé.

« 3. Lors du dépôt en janvier et février des déclarations, l’établissement payeur procède à la liquidation de la contribution. Lorsque le versement effectué en application des 1 et 2 est supérieur à la contribution réellement due, le surplus est imputé sur la contribution sociale généralisée due à raison des autres produits de placement et, le cas échéant, sur les autres prélèvements ; l’excédent éventuel est restitué.

« 4. Lorsque la contribution sociale généralisée réellement due au titre des mois de décembre et janvier est supérieure au versement réduit par l’établissement payeur en application du 2, la majoration prévue au 1 de l’article 1731 du code général des impôts s’applique à cette différence. L’assiette de cette majoration est toutefois limitée à la différence entre le montant du versement calculé dans les conditions du 1 du présent III et celui réduit dans les conditions du 2.

« IV. - La contribution ci-dessus est assise, contrôlée et recouvrée selon les mêmes règles et sous les mêmes sûretés, privilèges et sanctions que le prélèvement mentionné à l’article 125 A du code général des impôts.

« La contribution visée au 1° du I de l’article L. 136-7 est assise, contrôlée et recouvrée selon les mêmes règles et sous les mêmes sûretés, privilèges et sanctions que le prélèvement mentionné à l’article 117 quater du code général des impôts.

« V. - Le produit de la contribution ainsi générée est attribué au Fonds de réserve pour les retraites visé au chapitre 5 bis du présent titre. »

Objet

Les membres du groupe CRCE entendent instaurer un prélèvement social supplémentaire au titre du financement du système de retraite par répartition. Pour préserver notre système par répartition et lui permettre d’affronter le léger déficit qui le guette (autour de 15 milliards d’euros à l’horizon 2030) nous proposons notamment de mettre à contribution l’épargne individuelle afin qu’elle abonde l’épargne collective que constitue la caisse nationale d’assurance vieillesse.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4348 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre VII du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section 15 ainsi rédigée :

« Section 15

« Contribution exceptionnelle sur les dividendes

« Art. L. 137-42. – Il est créé une cotisation exceptionnelle sur les dividendes tels que définis aux articles L. 232-10 à L. 232-20 du code de commerce.

« Son taux est fixé à 15 %. Elle est assise sur l’ensemble des bénéfices réalisés par les entreprises mentionnées au premier alinéa, réalisés en France ainsi que de ceux dont l’imposition est attribuée à la France par une convention internationale relative aux doubles impositions.

« La contribution exceptionnelle sur les dividendes est affectée à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du code la sécurité sociale. »

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent par cette série d’amendement créer une cotisation exceptionnelle sur les dividendes versés affectée à la Caisse nationale d’assurance vieillesse. Cet amendement, comme les amendements de même nature, interroge le rapport au travail des travailleuses et des travailleurs qui permettent que des dividendes soient versés. Ces amendements tendent à souligner que les cotisations sociales constituent du salaire socialisé et qu’il est légitime que la valeur, lorsqu’elle est distribuée aux actionnaires, bénéficie à minima aux seuls véritables producteurs de richesse, sous forme de cotisation.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3504 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre VII du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section 15 ainsi rédigée :

« Section 15

« Contribution sur les dividendes

« Art. L. 137-42. – Il est créé une cotisation sur les dividendes tels que définis aux articles L. 232-10 à L. 232-20 du code de commerce.

« Son taux est fixé à 10 %. Elle est assise sur l’ensemble des bénéfices réalisés par les entreprises mentionnées au premier alinéa du présent article, réalisés en France ainsi que de ceux dont l’imposition est attribuée à la France par une convention internationale relative aux doubles impositions.

« La contribution sur les dividendes est affectée au Fonds de réserve pour les retraites tel que mentionné à l’article L. 135-6 du présent code. »

Objet

Le présent amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires a vocation à créer une contribution sur les dividendes dont le produit serait affecté au Fonds de réserve pour les retraites (FRR).

Sans remettre en cause l’attachement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoire à la cotisation et au principe contributif, le présent amendement a vocation à proposer au Gouvernement une porte de sortie à sa réforme qui a pour seule vocation à faire payer aux retraités le pacte de stabilité.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3067 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre VII du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section … ainsi rédigée :

« Section…

« Contribution exceptionnelle sur les dividendes

« Art. L. 137-.... – Il est créé une cotisation exceptionnelle sur les dividendes tels que définis aux articles L. 232-10 à L. 232-20 du code de commerce.

« Son taux est fixé à 10 %. Elle est assise sur l’ensemble des bénéfices réalisés par les entreprises mentionnées au premier alinéa, réalisés en France ainsi que de ceux dont l’imposition est attribuée à la France par une convention internationale relative aux doubles impositions.

« La contribution exceptionnelle sur les dividendes est affectée à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du présent code. »

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et  et républicain vise à créer une contribution exceptionnelle sur les dividendes dont le produit serait affecté à la Caisse Nationale d’Assurance Vieillesse dont le taux sera de 10%.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4250 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre VII du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section … ainsi rédigée :

« Section…

« Contribution exceptionnelle sur les dividendes

« Art. L. 137-.... – Il est créé une cotisation exceptionnelle sur les dividendes tels que définis aux articles L. 232-10 à L. 232-20 du code de commerce.

« Son taux est fixé à 10 %. Elle est assise sur l’ensemble des bénéfices réalisés par les entreprises mentionnées au premier alinéa, réalisés en France ainsi que de ceux dont l’imposition est attribuée à la France par une convention internationale relative aux doubles impositions.

« La contribution exceptionnelle sur les dividendes est affectée à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du présent code. »

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent par cette série d’amendements créer une cotisation exceptionnelle sur les dividendes versés affectée à la Caisse nationale d’assurance vieillesse. Cet amendement, comme les amendements de même nature, interroge le rapport au travail des travailleuses et des travailleurs qui permettent que des dividendes soient versés. Ces amendements tendent à souligner que les cotisations sociales constituent du salaire socialisé et qu’il est légitime que la valeur, lorsqu’elle est distribuée aux actionnaires, bénéficie à minima aux seuls véritables producteurs de richesse, sous forme de cotisation.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3066 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre VII du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section … ainsi rédigée :

« Section…

« Contribution exceptionnelle sur les dividendes

« Art. L. 137-.... – Il est créé une cotisation exceptionnelle sur les dividendes tels que définis aux articles L. 232-10 à L. 232-20 du code de commerce.

« Son taux est fixé à 9 %. Elle est assise sur l’ensemble des bénéfices réalisés par les entreprises mentionnées au premier alinéa, réalisés en France ainsi que de ceux dont l’imposition est attribuée à la France par une convention internationale relative aux doubles impositions.

« La contribution exceptionnelle sur les dividendes est affectée à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du présent code. »

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et  et républicain vise à créer une contribution exceptionnelle sur les dividendes dont le produit serait affecté à la Caisse Nationale d’Assurance Vieillesse dont le taux sera de 9%.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4251 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre VII du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section … ainsi rédigée :

« Section…

« Contribution exceptionnelle sur les dividendes

« Art. L. 137-.... – Il est créé une cotisation exceptionnelle sur les dividendes tels que définis aux articles L. 232-10 à L. 232-20 du code de commerce.

« Son taux est fixé à 9 %. Elle est assise sur l’ensemble des bénéfices réalisés par les entreprises mentionnées au premier alinéa, réalisés en France ainsi que de ceux dont l’imposition est attribuée à la France par une convention internationale relative aux doubles impositions.

« La contribution exceptionnelle sur les dividendes est affectée à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du présent code. »

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent par cette série d’amendement créer une cotisation exceptionnelle sur les dividendes versés affectée à la Caisse nationale d’assurance vieillesse. Cet amendement, comme les amendements de même nature, interroge le rapport au travail des travailleuses et des travailleurs qui permettent que des dividendes soient versés. Ces amendements tendent à souligner que les cotisations sociales constituent du salaire socialisé et qu’il est légitime que la valeur, lorsqu’elle est distribuée aux actionnaires, bénéficie à minima aux seuls véritables producteurs de richesse, sous forme de cotisation.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3065 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre VII du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section … ainsi rédigée :

« Section …

« Contribution exceptionnelle sur les dividendes

« Art. L. 137-.... – Il est créé une cotisation exceptionnelle sur les dividendes tels que définis aux articles L. 232-10 à L. 232-20 du code de commerce.

« Son taux est fixé à 8 %. Elle est assise sur l’ensemble des bénéfices réalisés par les entreprises mentionnées au premier alinéa, réalisés en France ainsi que de ceux dont l’imposition est attribuée à la France par une convention internationale relative aux doubles impositions.

« La contribution exceptionnelle sur les dividendes est affectée à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du présent code. »

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et  et républicain vise à créer une contribution exceptionnelle sur les dividendes dont le produit serait affecté à la Caisse Nationale d’Assurance Vieillesse dont le taux sera de 8%.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3156 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre VII du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section ainsi rédigée :

« Section ...

« Contribution exceptionnelle sur les dividendes

« Art. L. 137-.... – Il est créé une cotisation exceptionnelle sur les dividendes tels que définis aux articles L. 232-10 à L. 232-20 du code de commerce.

« Son taux est fixé à 8 %. Elle est assise sur l’ensemble des bénéfices réalisés par les entreprises mentionnées au premier alinéa, réalisés en France ainsi que de ceux dont l’imposition est attribuée à la France par une convention internationale relative aux doubles impositions.

« La contribution exceptionnelle sur les dividendes est affectée à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du présent code. »

 

Objet

Le présent amendement du Groupe Ecologiste – Solidarité et Territoires souhaite créer une contribution exceptionnelle sur les dividendes dont le produit serait affecté à la Caisse Nationale d’Assurance Vieillesse.

Les néo-retraités multimillionnaires, cela existe ! Plusieurs grands patrons du CAC40 ont pris leur retraite ces derniers mois. Antoine Frérot (Veolia, à 64 ans), Jean-Paul Agon (L’Oréal, à 65 ans), Benoît Potier (Air Liquide, à 64 ans), Pierre-André de Chalendar (Saint-Gobain, à 63 ans) et Martin Bouygues (à 69 ans) ont tous cédé les rênes de leur entreprise en 2021 ou 2022 ainsi que la direction opérationnelle de leur groupe (le DG de « PDG ») tout en restant au moins provisoirement Président du conseil d’administration (le P de « PDG ») [Observatoire des multinationales].

Ces néo-retraités ont eu la liberté de choisir quand ils partiraient à la retraite, dans quelles conditions, et par qui ils seraient remplacés, tout en s’assurant qu’ils continueraient de jouir de leur prestige social et de conditions matérielles exceptionnelles.

L’observatoire des multinationales a estimé les montants des dividendes touchés sur les profits 2021 par les dirigeants du CAC40. En tête de classement, on trouve surtout des présidents de conseil d’administration et anciens dirigeants de leur entreprise comme Charles Edelstenne de Dassault Systèmes (13,5 millions d’euros touchés en 2021) et Maurice Lévy de Publicis (11,6 millions d’euros).

En versant des dividendes toujours en augmentation d’une année sur l’autre, les patrons du CAC40 se sont assurés une confortable rente annuelle, qui s’ajoute à leur retraite normale et à leur retraite chapeau. Outre les patrons milliardaires du CAC40, beaucoup de patrons du CAC40 sont progressivement devenu multimillionnaires au fil de leur carrière, jusqu’à rejoindre au moment de leur retraite les rangs des grandes fortunes françaises.

En parallèle, la présente réforme des retraites va maintenir des milliers de personnes supplémentaires dans le sas de précarité « sans emploi ni retraite ». La DREES relevait en 2020 que le taux de pauvreté des personnes « ni en emploi ni en retraite » de 53 à 69 ans était de 32% (D’Isanto, Hananel et Musiedlak 2020).  De plus, en 2018, le taux de pauvreté des personnes de 65 ans ou plus (hors personnes vivant en institution, Ehpad, maisons de retraite, hôpitaux de long séjour, etc.) était de 8,6 % (soit 1 067 000 personnes pauvres).

Contre les inégalités sociales, le présent amendement a vocation à proposer au Gouvernement de taxer les dividendes et d’en transférer le produit à la CNAV.

 



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4252 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre VII du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section … ainsi rédigée :

« Section…

« Contribution exceptionnelle sur les dividendes

« Art. L. 137-.... – Il est créé une cotisation exceptionnelle sur les dividendes tels que définis aux articles L. 232-10 à L. 232-20 du code de commerce.

« Son taux est fixé à 8 %. Elle est assise sur l’ensemble des bénéfices réalisés par les entreprises mentionnées au premier alinéa, réalisés en France ainsi que de ceux dont l’imposition est attribuée à la France par une convention internationale relative aux doubles impositions.

« La contribution exceptionnelle sur les dividendes est affectée à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du présent code. »

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent par cette série d’amendements créer une cotisation exceptionnelle sur les dividendes versés affectée à la Caisse nationale d’assurance vieillesse. Cet amendement, comme les amendements de même nature, interroge le rapport au travail des travailleuses et des travailleurs qui permettent que des dividendes soient versés. Ces amendements tendent à souligner que les cotisations sociales constituent du salaire socialisé et qu’il est légitime que la valeur, lorsqu’elle est distribuée aux actionnaires, bénéficie à minima aux seuls véritables producteurs de richesse, sous forme de cotisation.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3064 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre VII du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section … ainsi rédigée :

« Section …

« Contribution exceptionnelle sur les dividendes

« Art. L. 137-.... – Il est créé une cotisation exceptionnelle sur les dividendes tels que définis aux articles L. 232-10 à L. 232-20 du code de commerce.

« Son taux est fixé à 7 %. Elle est assise sur l’ensemble des bénéfices réalisés par les entreprises mentionnées au premier alinéa, réalisés en France ainsi que de ceux dont l’imposition est attribuée à la France par une convention internationale relative aux doubles impositions.

« La contribution exceptionnelle sur les dividendes est affectée à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du présent code. »

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et  et républicain vise à créer une contribution exceptionnelle sur les dividendes dont le produit serait affecté à la Caisse Nationale d’Assurance Vieillesse dont le taux sera de 7%.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4253 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre VII du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section … ainsi rédigée :

« Section…

« Contribution exceptionnelle sur les dividendes

« Art. L. 137-.... – Il est créé une cotisation exceptionnelle sur les dividendes tels que définis aux articles L. 232-10 à L. 232-20 du code de commerce.

« Son taux est fixé à 7 %. Elle est assise sur l’ensemble des bénéfices réalisés par les entreprises mentionnées au premier alinéa, réalisés en France ainsi que de ceux dont l’imposition est attribuée à la France par une convention internationale relative aux doubles impositions.

« La contribution exceptionnelle sur les dividendes est affectée à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du présent code. »

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent par cette série d’amendements créer une cotisation exceptionnelle sur les dividendes versés affectée à la Caisse nationale d’assurance vieillesse. Cet amendement, comme les amendements de même nature, interroge le rapport au travail des travailleuses et des travailleurs qui permettent que des dividendes soient versés. Ces amendements tendent à souligner que les cotisations sociales constituent du salaire socialisé et qu’il est légitime que la valeur, lorsqu’elle est distribuée aux actionnaires, bénéficie à minima aux seuls véritables producteurs de richesse, sous forme de cotisation.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3063 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre VII du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section … ainsi rédigée :

« Section …

« Contribution exceptionnelle sur les dividendes

« Art. L. 137-.... – Il est créé une cotisation exceptionnelle sur les dividendes tels que définis aux articles L. 232-10 à L. 232-20 du code de commerce.

« Son taux est fixé à 6 %. Elle est assise sur l’ensemble des bénéfices réalisés par les entreprises mentionnées au premier alinéa, réalisés en France ainsi que de ceux dont l’imposition est attribuée à la France par une convention internationale relative aux doubles impositions.

« La contribution exceptionnelle sur les dividendes est affectée à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du présent code. »

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et  et républicain vise à créer une contribution exceptionnelle sur les dividendes dont le produit serait affecté à la Caisse Nationale d’Assurance Vieillesse dont le taux sera de 6%.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4254 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre VII du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section … ainsi rédigée :

« Section…

« Contribution exceptionnelle sur les dividendes

« Art. L. 137-.... – Il est créé une cotisation exceptionnelle sur les dividendes tels que définis aux articles L. 232-10 à L. 232-20 du code de commerce.

« Son taux est fixé à 6 %. Elle est assise sur l’ensemble des bénéfices réalisés par les entreprises mentionnées au premier alinéa, réalisés en France ainsi que de ceux dont l’imposition est attribuée à la France par une convention internationale relative aux doubles impositions.

« La contribution exceptionnelle sur les dividendes est affectée à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du présent code. »

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent par cette série d’amendements créer une cotisation exceptionnelle sur les dividendes versés affectée à la Caisse nationale d’assurance vieillesse. Cet amendement, comme les amendements de même nature, interroge le rapport au travail des travailleuses et des travailleurs qui permettent que des dividendes soient versés. Ces amendements tendent à souligner que les cotisations sociales constituent du salaire socialisé et qu’il est légitime que la valeur, lorsqu’elle est distribuée aux actionnaires, bénéficie à minima aux seuls véritables producteurs de richesse, sous forme de cotisation.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4649 rect. ter

6 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. GUIOL, ARTANO, BILHAC et CABANEL, Mme Maryse CARRÈRE, M. CORBISEZ, Mme Nathalie DELATTRE, MM. GOLD et GUÉRINI, Mme PANTEL et M. ROUX


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre VII du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section … ainsi rédigée :

« Section …

« Contribution sur les dividendes

« Art. L. 137-…. – Il est créé une contribution sur les dividendes tels que définis aux articles L. 232-10 à L. 232-20 du code de commerce et aux articles 109 à 117 du code général des impôts.

« Son taux est fixé à 5 %. Elle est assise sur l’ensemble des montants distribués mentionnés au premier alinéa, réalisés en France ainsi que de ceux dont l’imposition est attribuée à la France par une convention internationale relative aux doubles impositions. Elle est due par les actionnaires auxquels sont versés ces montants.

« La contribution sur les dividendes est affectée à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du présent code. »

Objet

Pour être acceptée, la réforme des retraites doit mettre à contribution tous les acteurs. Dans sa rédaction actuelle, la réforme fait peser l'effort sur les seuls actifs salariés. En 2022, les dividendes distribués par les entreprises en France ont progressé de 4,6 %, pour un montant total de 59,8 milliards d'euros.

Aussi, cet amendement vise à créer une contribution sur les dividendes, qui ne serait pas une mesure conjoncturelle, et dont les recettes seraient affectées au financement de la Caisse nationale d'assurance vieillesse. Il entend ainsi élargir le financement des retraites à l'ensemble des revenus, les actionnaires des entreprises faisant aussi, à leur manière, partie du monde du travail.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2522

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. GONTARD, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre 7 du titre III du livre I du code de la sécurité sociale est complété par une section … ainsi rédigée :

« Section …

« Contribution exceptionnelle sur les dividendes

« Art. L. 137-42. – Il est créé une cotisation exceptionnelle sur les dividendes tels que définis aux articles L. 232-10 à L. 232-20 du code de commerce.

« Son taux est fixé à 5 %. Elle est assise sur l’ensemble des dividendes versés par les entreprises domiciliées en France et par celles dont l’imposition d’une partie des bénéfices est attribuée à la France par une convention internationale relative aux doubles impositions.

« La contribution exceptionnelle sur les dividendes est affectée au fonds de réserve pour les retraites mentionné à l’article L. 135-6 du code de la sécurité sociale. »

Objet

Le présent amendement des groupes parlementaires écologistes a vocation a créer une contribution exceptionnelle sur les dividendes dont le produit serait affecté au fonds de réserve pour les retraites tel que mentionné à l’article L. 135-6 du code de la sécurité sociale. .

Entre 2020 et 2022 les dividendes des actionnaires ont doublé pour se porter à un niveau record de 56,5 milliards d'euros. Pendant que des assistés "profiteurs de guerre", profiteurs de pandémie enregistrent des revenus indécents sans le moindre effort, le Gouvernement demande à l'ensemble des Français et des Françaises de travailler deux ans de plus, notamment celles et ceux qui ont tenu le pays à bout de bras pendant le confinement pendant que la majorité des actionnaires étaient confinés confortablement dans leurs résidences secondaires et applaudissaient à 20h.

Une telle contribution avec un taux de 5 % aurait rapporté en 2022 au moins 3 milliards d'euros, soit le quart du déficit du régime de retraite avancé par le Gouvernement.

Sans remettre en cause l’attachement des groupes parlementaires écologistes à la cotisation et au principe contributif, le présent amendement a vocation à proposer au Gouvernement une porte de sortie à sa réforme qui a pour seule vocation à faire payer aux retraités le pacte de stabilité.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2886 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre 7 du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section ... ainsi rédigée :

« Section …

« Contribution exceptionnelle sur les dividendes

« Art. L. 137-…. – Il est créé une cotisation exceptionnelle sur les dividendes tels que définis aux articles L. 232-10 à L. 232-20 du code de commerce.

« Son taux est fixé à 5 %. Elle est assise sur l’ensemble des bénéfices réalisés par les entreprises mentionnées au premier alinéa, réalisés en France ainsi que de ceux dont l’imposition est attribuée à la France par une convention internationale relative aux doubles impositions.

« La contribution exceptionnelle sur les dividendes est affectée à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du présent code. »

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et  et républicain vise à créer une contribution exceptionnelle sur les dividendes dont le produit serait affecté à la Caisse Nationale d’Assurance Vieillesse dont le taux sera de 5%.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4255 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre VII du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section … ainsi rédigée :

« Section…

« Contribution exceptionnelle sur les dividendes

« Art. L. 137-.... – Il est créé une cotisation exceptionnelle sur les dividendes tels que définis aux articles L. 232-10 à L. 232-20 du code de commerce.

« Son taux est fixé à 5 %. Elle est assise sur l’ensemble des bénéfices réalisés par les entreprises mentionnées au premier alinéa, réalisés en France ainsi que de ceux dont l’imposition est attribuée à la France par une convention internationale relative aux doubles impositions.

« La contribution exceptionnelle sur les dividendes est affectée à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du présent code. »

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent par cette série d’amendements créer une cotisation exceptionnelle sur les dividendes versés affectée à la Caisse nationale d’assurance vieillesse. Cet amendement, comme les amendements de même nature, interroge le rapport au travail des travailleuses et des travailleurs qui permettent que des dividendes soient versés. Ces amendements tendent à souligner que les cotisations sociales constituent du salaire socialisé et qu’il est légitime que la valeur, lorsqu’elle est distribuée aux actionnaires, bénéficie à minima aux seuls véritables producteurs de richesse, sous forme de cotisation.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3062 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre VII du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section … ainsi rédigée :

« Section …

« Contribution exceptionnelle sur les dividendes

« Art. L. 137-.... – Il est créé une cotisation exceptionnelle sur les dividendes tels que définis aux articles L. 232-10 à L. 232-20 du code de commerce.

« Son taux est fixé à 4 %. Elle est assise sur l’ensemble des bénéfices réalisés par les entreprises mentionnées au premier alinéa, réalisés en France ainsi que de ceux dont l’imposition est attribuée à la France par une convention internationale relative aux doubles impositions.

« La contribution exceptionnelle sur les dividendes est affectée à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du présent code. »

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et  et républicain vise à créer une contribution exceptionnelle sur les dividendes dont le produit serait affecté à la Caisse Nationale d’Assurance Vieillesse dont le taux sera de 4%.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4256 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre VII du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section … ainsi rédigée :

« Section…

« Contribution exceptionnelle sur les dividendes

« Art. L. 137-.... – Il est créé une cotisation exceptionnelle sur les dividendes tels que définis aux articles L. 232-10 à L. 232-20 du code de commerce.

« Son taux est fixé à 4 %. Elle est assise sur l’ensemble des bénéfices réalisés par les entreprises mentionnées au premier alinéa, réalisés en France ainsi que de ceux dont l’imposition est attribuée à la France par une convention internationale relative aux doubles impositions.

« La contribution exceptionnelle sur les dividendes est affectée à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du présent code. »

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent par cette série d’amendements créer une cotisation exceptionnelle sur les dividendes versés affectée à la Caisse nationale d’assurance vieillesse. Cet amendement, comme les amendements de même nature, interroge le rapport au travail des travailleuses et des travailleurs qui permettent que des dividendes soient versés. Ces amendements tendent à souligner que les cotisations sociales constituent du salaire socialisé et qu’il est légitime que la valeur, lorsqu’elle est distribuée aux actionnaires, bénéficie à minima aux seuls véritables producteurs de richesse, sous forme de cotisation.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3061 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre VII du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section … ainsi rédigée :

« Section …

« Contribution exceptionnelle sur les dividendes

« Art. L. 137-.... – Il est créé une cotisation exceptionnelle sur les dividendes tels que définis aux articles L. 232-10 à L. 232-20 du code de commerce.

« Son taux est fixé à 3 %. Elle est assise sur l’ensemble des bénéfices réalisés par les entreprises mentionnées au premier alinéa, réalisés en France ainsi que de ceux dont l’imposition est attribuée à la France par une convention internationale relative aux doubles impositions.

« La contribution exceptionnelle sur les dividendes est affectée à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du présent code. »

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et  et républicain vise à créer une contribution exceptionnelle sur les dividendes dont le produit serait affecté à la Caisse Nationale d’Assurance Vieillesse dont le taux sera de 3%.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4257 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre VII du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section … ainsi rédigée :

« Section…

« Contribution exceptionnelle sur les dividendes

« Art. L. 137-.... – Il est créé une cotisation exceptionnelle sur les dividendes tels que définis aux articles L. 232-10 à L. 232-20 du code de commerce.

« Son taux est fixé à 3 %. Elle est assise sur l’ensemble des bénéfices réalisés par les entreprises mentionnées au premier alinéa, réalisés en France ainsi que de ceux dont l’imposition est attribuée à la France par une convention internationale relative aux doubles impositions.

« La contribution exceptionnelle sur les dividendes est affectée à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du présent code. »

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent par cette série d’amendements créer une cotisation exceptionnelle sur les dividendes versés affectée à la Caisse nationale d’assurance vieillesse. Cet amendement, comme les amendements de même nature, interroge le rapport au travail des travailleuses et des travailleurs qui permettent que des dividendes soient versés. Ces amendements tendent à souligner que les cotisations sociales constituent du salaire socialisé et qu’il est légitime que la valeur, lorsqu’elle est distribuée aux actionnaires, bénéficie à minima aux seuls véritables producteurs de richesse, sous forme de cotisation.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3060 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre VII du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section … ainsi rédigée :

« Section …

« Contribution exceptionnelle sur les dividendes

« Art. L. 137-42. – Il est créé une cotisation exceptionnelle sur les dividendes tels que définis aux articles L. 232-10 à L. 232-20 du code de commerce.

« Son taux est fixé à 2 %. Elle est assise sur l’ensemble des bénéfices réalisés par les entreprises mentionnées au premier alinéa, réalisés en France ainsi que de ceux dont l’imposition est attribuée à la France par une convention internationale relative aux doubles impositions.

« La contribution exceptionnelle sur les dividendes est affectée à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du présent code. »

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et  et républicain vise à créer une contribution exceptionnelle sur les dividendes dont le produit serait affecté à la Caisse Nationale d’Assurance Vieillesse dont le taux sera de 2%.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4258 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre VII du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section … ainsi rédigée :

« Section…

« Contribution exceptionnelle sur les dividendes

« Art. L. 137-.... – Il est créé une cotisation exceptionnelle sur les dividendes tels que définis aux articles L. 232-10 à L. 232-20 du code de commerce.

« Son taux est fixé à 2 %. Elle est assise sur l’ensemble des bénéfices réalisés par les entreprises mentionnées au premier alinéa, réalisés en France ainsi que de ceux dont l’imposition est attribuée à la France par une convention internationale relative aux doubles impositions.

« La contribution exceptionnelle sur les dividendes est affectée à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du présent code. »

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent par cette série d’amendements créer une cotisation exceptionnelle sur les dividendes versés affectée à la Caisse nationale d’assurance vieillesse. Cet amendement, comme les amendements de même nature, interroge le rapport au travail des travailleuses et des travailleurs qui permettent que des dividendes soient versés. Ces amendements tendent à souligner que les cotisations sociales constituent du salaire socialisé et qu’il est légitime que la valeur, lorsqu’elle est distribuée aux actionnaires, bénéficie à minima aux seuls véritables producteurs de richesse, sous forme de cotisation.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3059 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

« Le chapitre VII du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section … ainsi rédigée :

« Section …

« Contribution exceptionnelle sur les dividendes

« Art. L. 137-.... – Il est créé une cotisation exceptionnelle sur les dividendes tels que définis aux articles L. 232-10 à L. 232-20 du code de commerce.

« Son taux est fixé à 1 %. Elle est assise sur l’ensemble des bénéfices réalisés par les entreprises mentionnées au premier alinéa, réalisés en France ainsi que de ceux dont l’imposition est attribuée à la France par une convention internationale relative aux doubles impositions.

« La contribution exceptionnelle sur les dividendes est affectée à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du présent code. »

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et  et républicain vise à créer une contribution exceptionnelle sur les dividendes dont le produit serait affecté à la Caisse Nationale d’Assurance Vieillesse dont le taux sera de 1%.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4259 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre VII du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section … ainsi rédigée :

« Section…

« Contribution exceptionnelle sur les dividendes

« Art. L. 137-.... – Il est créé une cotisation exceptionnelle sur les dividendes tels que définis aux articles L. 232-10 à L. 232-20 du code de commerce.

« Son taux est fixé à 1 %. Elle est assise sur l’ensemble des bénéfices réalisés par les entreprises mentionnées au premier alinéa, réalisés en France ainsi que de ceux dont l’imposition est attribuée à la France par une convention internationale relative aux doubles impositions.

« La contribution exceptionnelle sur les dividendes est affectée à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du présent code. »

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent par cette série d’amendements créer une cotisation exceptionnelle sur les dividendes versés affectée à la Caisse nationale d’assurance vieillesse. Cet amendement, comme les amendements de même nature, interroge le rapport au travail des travailleuses et des travailleurs qui permettent que des dividendes soient versés. Ces amendements tendent à souligner que les cotisations sociales constituent du salaire socialisé et qu’il est légitime que la valeur, lorsqu’elle est distribuée aux actionnaires, bénéficie à minima aux seuls véritables producteurs de richesse, sous forme de cotisation.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4261 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre 7 du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section ... ainsi rédigée :

« Section …

« Contribution exceptionnelle sur les fonds de pension

« Art. L. 137-... – Les entreprises proposant à la vente les plans d’épargne retraite mentionnés à l’article L. 224-8 du code monétaire et financier sont redevables d’une contribution exceptionnelle.

« Son taux est fixé à 15 %. Elle est assise sur l’ensemble des bénéfices réalisés dans les entreprises mentionnées au premier alinéa, réalisés en France ainsi que de ceux dont l’imposition est attribuée à la France par une convention internationale relative aux doubles impositions.

« La contribution exceptionnelle sur les fonds de pension est affectée à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du présent code. »

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent instaurer une contribution sur les bénéfices des entreprises qui promeuvent et distribuent les mécanismes de retraites par capitalisation, il s’agit des « fonds de pension ».

Le taux appliqué à cette contribution assise sur les bénéfices est fixé à 15%.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2519

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. GONTARD, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre 7 du titre III du livre I du code de la sécurité sociale est complété par une section … ainsi rédigée :

« Section …

« Contribution additionnelle sur les entreprises proposant des fonds de pension

« Art. L. 137-…. – Les entreprises proposant à la vente les plans d’épargne retraite mentionnés à l’article L. 224-8 du code monétaire et financier sont redevables d’une contribution additionnelle.

« Son taux est fixé à 10 %. Elle est assise sur l’ensemble des bénéfices réalisés dans les entreprises mentionnées au premier alinéa, réalisés en France et par ceux dont l’imposition est attribuée à la France par une convention internationale relative aux doubles impositions.

« La contribution additionnelle sur les fonds de pension est affectée au fonds de réserve pour les retraites mentionné à l’article L. 135-6 du code de la sécurité sociale. »

Objet

Le présent amendement des groupes parlementaires écologistes a pour objet de mettre en place une contribution additionnelle des entreprises proposant des fond de pension, dont le produit serait affecté au Fonds de réserve pour les retraites. Les bénéfices des fonds de pension ne cessent de croître.

Depuis la loi PACTE, le recours au Plan Épargne Retraite explose

En 2020, 16,4 milliards d’euros de cotisations ont été collectés, selon le rapport annuel de la Direction de la Recherche, des Études, de l'Évaluation et des Statistiques (DREES), le service des statistiques du ministère de la Santé et des Solidarités dans le cadre de contrats de retraite supplémentaire.

Par rapport à 2019, ces cotisations ont progressé de 20 % malgré la crise sanitaire. Cette forte augmentation s’explique par le succès du Plan d’Épargne Retraite qui est commercialisé depuis le 1er octobre 2019.

En 2022, les encours des fonds de pensions atteignaient ainsi près de 300 milliards d'euros.

Ces fonds sont des outils massifs de défiscalisation (et donc de la baisse de recettes pour l’État) et de capitalisation (et donc d'affaiblissement de notre modèle par répartition). Ils financent tout et n'importe quoi, concurrencent indument d'autres mécanismes d'incitation fiscale plus vertueux et sont ainsi des facteurs de délocalisation, d'accroissement du chômage et d’investissements polluants.

Cet amendement ajoute donc une taxe additionnelle de 10 % des bénéfices des entreprises qui ont recours à ces produits pour les désinciter à le faire et privilégier des augmentations de salaires qui ne seront pas à la charge du contribuable et au contraire permettront un accroissement des cotisations sociales favorisant ainsi la pérennité du système par répartition.

Sans remettre en cause l’attachement des groupes parlementaires écologistes à la cotisation et au principe contributif, le présent amendement a vocation à proposer au Gouvernement une porte de sortie à sa réforme, via un peu de justice fiscale, afin d’éviter de faire payer aux retraités le pacte de stabilité.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2873 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre 7 du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section ... ainsi rédigée :

« Section ...

« Contribution exceptionnelle sur les fonds de pension

« Art. L. 137-.... – Les entreprises proposant à la vente les plans d’épargne retraite mentionnés à l’article L. 224-8 du code monétaire et financier sont redevables d’une contribution exceptionnelle.

« Son taux est fixé à 10 %. Elle est assise sur l’ensemble des bénéfices réalisés dans les entreprises mentionnées au premier alinéa, réalisés en France ainsi que de ceux dont l’imposition est attribuée à la France par une convention internationale relative aux doubles impositions.

« La contribution exceptionnelle sur les fonds de pension est affectée à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du présent code. »

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à mettre en place une contribution exceptionnelle sur les fonds de pension, dont le produit serait affecté à la Caisse Nationale d’Assurance Vieillesse, dont le taux sera de 10%.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4262 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre 7 du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section … ainsi rédigée :

« Section …

« Contribution exceptionnelle sur les fonds de pension

« Art. L. 137-.... – Les entreprises proposant à la vente les plans d’épargne retraite mentionnés à l’article L. 224-8 du code monétaire et financier sont redevables d’une contribution exceptionnelle.

« Son taux est fixé à 10 %. Elle est assise sur l’ensemble des bénéfices réalisés dans les entreprises mentionnées au premier alinéa, réalisés en France ainsi que de ceux dont l’imposition est attribuée à la France par une convention internationale relative aux doubles impositions.

« La contribution exceptionnelle sur les fonds de pension est affectée à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du présent code. »

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent instaurer une contribution sur les bénéfices des entreprises qui promeuvent et distribuent les mécanismes de retraites par capitalisation, il s’agit des « fonds de pension ».

Le taux appliqué à cette contribution assise sur les bénéfices est fixé à 10 %.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3497 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre VII du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section 15 ainsi rédigée :

« Section 15

« Contribution sur les fonds de pension

« Art. L. 137-42. – Les entreprises proposant à la vente les plans d’épargne retraite mentionnés à l’article L. 224-8 du code monétaire et financier sont redevables d’une contribution.

« Son taux est fixé à 10 %. Elle est assise sur l’ensemble des bénéfices réalisés dans les entreprises mentionnées au premier alinéa, réalisés en France ainsi que de ceux dont l’imposition est attribuée à la France par une convention internationale relative aux doubles impositions.

« La contribution sur les fonds de pension est affectée au Fonds de réserve pour les retraites tel que mentionné à l’article L. 135-6 du présent code. »

Objet

Le présent amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires a pour objet de mettre en place une contribution sur les fonds de pension, dont le produit serait affecté au fonds de réserve pour les retraites (FRR).

Les bénéfices des fonds de pension ne cessent de croître. La capitalisation représente déjà plus de 16 milliards d’euros de cotisations par an, dont les dividendes proviennent largement de capitaux issus de plans épargnes retraites (PER). Ces fonds sont par ailleurs des acteurs de la délocalisation, du chômage, de l’optimisation fiscale (et donc de la baisse de recettes pour l’État), et d’investissements polluants.

Sans remettre en cause l’attachement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires à la cotisation et au principe contributif, le présent amendement a vocation à proposer au Gouvernement une porte de sortie à sa réforme, via un peu de justice fiscale, afin d’éviter de faire payer aux retraités le pacte de stabilité.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2883 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre 7 du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section ... ainsi rédigée :

« Section ...

« Contribution exceptionnelle sur les fonds de pension

« Art. L. 137-42. – Les entreprises proposant à la vente les plans d’épargne retraite mentionnés à l’article L. 224-8 du code monétaire et financier sont redevables d’une contribution exceptionnelle.

« Son taux est fixé à 9 %. Elle est assise sur l’ensemble des bénéfices réalisés dans les entreprises mentionnées au premier alinéa, réalisés en France ainsi que de ceux dont l’imposition est attribuée à la France par une convention internationale relative aux doubles impositions.

« La contribution exceptionnelle sur les fonds de pension est affectée à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du présent code. »

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à mettre en place une contribution exceptionnelle sur les fonds de pension, dont le produit serait affecté à la Caisse Nationale d’Assurance Vieillesse, dont le taux sera de 9%.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3049 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


 Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre VII du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section 15 ainsi rédigée :

« Section 15

« Contribution exceptionnelle sur les fonds de pension

« Art. L. 137-42. – Les entreprises proposant à la vente les plans d’épargne retraite mentionnés à l’article L. 224-8 du code monétaire et financier sont redevables d’une contribution exceptionnelle.

« Son taux est fixé à 8 %. Elle est assise sur l’ensemble des bénéfices réalisés dans les entreprises mentionnées au premier alinéa du présent article, réalisés en France ainsi que de ceux dont l’imposition est attribuée à la France par une convention internationale relative aux doubles impositions.

« La contribution exceptionnelle sur les fonds de pension est affectée à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du présent code. »

 

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à mettre en place une contribution exceptionnelle sur les fonds de pension, dont le produit serait affecté à la Caisse Nationale d’Assurance Vieillesse, dont le taux sera de 8%.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3050 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


 Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre VII du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section 15 ainsi rédigée :

« Section 15

« Contribution exceptionnelle sur les fonds de pension

« Art. L. 137-42. – Les entreprises proposant à la vente les plans d’épargne retraite mentionnés à l’article L. 224-8 du code monétaire et financier sont redevables d’une contribution exceptionnelle.

« Son taux est fixé à 7 %. Elle est assise sur l’ensemble des bénéfices réalisés dans les entreprises mentionnées au premier alinéa du présent article, réalisés en France ainsi que de ceux dont l’imposition est attribuée à la France par une convention internationale relative aux doubles impositions.

« La contribution exceptionnelle sur les fonds de pension est affectée à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du présent code. »

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à mettre en place une contribution exceptionnelle sur les fonds de pension, dont le produit serait affecté à la Caisse Nationale d’Assurance Vieillesse, dont le taux sera de 7%.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3051 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


 Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre VII du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section 15 ainsi rédigée :

« Section 15

« Contribution exceptionnelle sur les fonds de pension

« Art. L. 137-42. – Les entreprises proposant à la vente les plans d’épargne retraite mentionnés à l’article L. 224-8 du code monétaire et financier sont redevables d’une contribution exceptionnelle.

« Son taux est fixé à 6 %. Elle est assise sur l’ensemble des bénéfices réalisés dans les entreprises mentionnées au premier alinéa du présent article, réalisés en France ainsi que de ceux dont l’imposition est attribuée à la France par une convention internationale relative aux doubles impositions.

« La contribution exceptionnelle sur les fonds de pension est affectée à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du présent code. »

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à mettre en place une contribution exceptionnelle sur les fonds de pension, dont le produit serait affecté à la Caisse Nationale d’Assurance Vieillesse, dont le taux sera de 6%.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2520

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. GONTARD, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre 7 du titre III du livre I du code de la sécurité sociale est complété par une section … ainsi rédigée :

« Section …

« Contribution additionnelle sur les entreprises proposant des fonds de pension

« Art. L. 137-…. – Les entreprises proposant à la vente les plans d’épargne retraite mentionnés à l’article L. 224-8 du code monétaire et financier sont redevables d’une contribution additionnelle.

« Son taux est fixé à 5 %. Elle est assise sur l’ensemble des bénéfices réalisés dans les entreprises mentionnées au premier alinéa, réalisés en France et par ceux dont l’imposition est attribuée à la France par une convention internationale relative aux doubles impositions.

« La contribution additionnelle sur les fonds de pension est affectée au fonds de réserve pour les retraites mentionné à l’article L. 135-6 du code de la sécurité sociale. »

Objet

Le présent amendement des groupes parlementaires écologistes a pour objet de mettre en place une contribution additionnelle des entreprises proposant des fond de pension, dont le produit serait affecté au Fonds de réserve pour les retraites. Les bénéfices des fonds de pension ne cessent de croître.

Depuis la loi PACTE, le recours au Plan Épargne Retraite explose

En 2020, 16,4 milliards d’euros de cotisations ont été collectés, selon le rapport annuel de la Direction de la Recherche, des Études, de l'Évaluation et des Statistiques (DREES), le service des statistiques du ministère de la Santé et des Solidarités dans le cadre de contrats de retraite supplémentaire.

Par rapport à 2019, ces cotisations ont progressé de 20 % malgré la crise sanitaire. Cette forte augmentation s’explique par le succès du Plan d’Épargne Retraite qui est commercialisé depuis le 1er octobre 2019.

En 2022, les encours des fonds de pensions atteignaient ainsi près de 300 milliards d'euros.

Ces fonds sont des outils massifs de défiscalisation (et donc de la baisse de recettes pour l’État) et de capitalisation (et donc d'affaiblissement de notre modèle par répartition). Ils financent tout et n'importe quoi, concurrencent indument d'autres mécanismes d'incitation fiscale plus vertueux et sont ainsi des facteurs de délocalisation, d'accroissement du chômage et d’investissements polluants.

Cet amendement ajoute donc une taxe additionnelle de 5 % des bénéfices des entreprises qui ont recours à ces produits pour les désinciter à le faire et privilégier des augmentations de salaires qui ne seront pas à la charge du contribuable et au contraire permettront un accroissement des cotisations sociales favorisant ainsi la pérennité du système par répartition.

Sans remettre en cause l’attachement des groupes parlementaires écologistes à la cotisation et au principe contributif, le présent amendement a vocation à proposer au Gouvernement une porte de sortie à sa réforme, via un peu de justice fiscale, afin d’éviter de faire payer aux retraités le pacte de stabilité.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2874 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre 7 du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section ... ainsi rédigée :

« Section ...

« Contribution exceptionnelle sur les fonds de pension

« Art. L. 137-.... – Les entreprises proposant à la vente les plans d’épargne retraite mentionnés à l’article L. 224-8 du code monétaire et financier sont redevables d’une contribution exceptionnelle.

« Son taux est fixé à 5 %. Elle est assise sur l’ensemble des bénéfices réalisés dans les entreprises mentionnées au premier alinéa, réalisés en France ainsi que de ceux dont l’imposition est attribuée à la France par une convention internationale relative aux doubles impositions.

« La contribution exceptionnelle sur les fonds de pension est affectée à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du présent code. »

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à mettre en place une contribution exceptionnelle sur les fonds de pension, dont le produit serait affecté à la Caisse Nationale d’Assurance Vieillesse, dont le taux sera de 5%.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3501 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre VII du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section 15 ainsi rédigée :

« Section 15

« Contribution sur les fonds de pension

« Art. L. 137-42. – Les entreprises proposant à la vente les plans d’épargne retraite mentionnés à l’article L. 224-8 du code monétaire et financier sont redevables d’une contribution.

« Son taux est fixé à 5 %. Elle est assise sur l’ensemble des bénéfices réalisés dans les entreprises mentionnées au premier alinéa, réalisés en France ainsi que de ceux dont l’imposition est attribuée à la France par une convention internationale relative aux doubles impositions.

« La contribution sur les fonds de pension est affectée au Fonds de réserve pour les retraites tel que mentionné à l’article L. 135-6 du présent code. »

Objet

Le présent amendement de replis du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires a pour objet de mettre en place une contribution  au taux de 5% sur les fonds de pension, dont le produit serait affecté au Fonds de réserve pour les retraites (FRR)

Les bénéfices des fonds de pension ne cessent de croître. La capitalisation représente déjà plus de 16 milliards d’euros de cotisations par an, dont les dividendes proviennent largement de capitaux issus de plans épargnes retraites (PER). Ces fonds sont par ailleurs des acteurs de la délocalisation, du chômage, de l’optimisation fiscale (et donc de la baisse de recettes pour l’État), et d’investissements polluants.

Sans remettre en cause l’attachement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires à la cotisation et au principe contributif, le présent amendement a vocation à proposer au Gouvernement une porte de sortie à sa réforme, via un peu de justice fiscale, afin d’éviter de faire payer aux retraités le pacte de stabilité.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3052 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


 Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre VII du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section 15 ainsi rédigée :

« Section 15

« Contribution exceptionnelle sur les fonds de pension

« Art. L. 137-42. – Les entreprises proposant à la vente les plans d’épargne retraite mentionnés à l’article L. 224-8 du code monétaire et financier sont redevables d’une contribution exceptionnelle.

« Son taux est fixé à 4 %. Elle est assise sur l’ensemble des bénéfices réalisés dans les entreprises mentionnées au premier alinéa du présent article, réalisés en France ainsi que de ceux dont l’imposition est attribuée à la France par une convention internationale relative aux doubles impositions.

« La contribution exceptionnelle sur les fonds de pension est affectée à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du présent code. »

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à mettre en place une contribution exceptionnelle sur les fonds de pension, dont le produit serait affecté à la Caisse Nationale d’Assurance Vieillesse, dont le taux sera de 4%.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3053 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


 Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre VII du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section 15 ainsi rédigée :

« Section 15

« Contribution exceptionnelle sur les fonds de pension

« Art. L. 137-42. – Les entreprises proposant à la vente les plans d’épargne retraite mentionnés à l’article L. 224-8 du code monétaire et financier sont redevables d’une contribution exceptionnelle.

« Son taux est fixé à 3 %. Elle est assise sur l’ensemble des bénéfices réalisés dans les entreprises mentionnées au premier alinéa du présent article, réalisés en France ainsi que de ceux dont l’imposition est attribuée à la France par une convention internationale relative aux doubles impositions.

« La contribution exceptionnelle sur les fonds de pension est affectée à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du présent code. »

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à mettre en place une contribution exceptionnelle sur les fonds de pension, dont le produit serait affecté à la Caisse Nationale d’Assurance Vieillesse, dont le taux sera de 3%.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3054 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


 Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre VII du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section 15 ainsi rédigée :

« Section 15

« Contribution exceptionnelle sur les fonds de pension

« Art. L. 137-42. – Les entreprises proposant à la vente les plans d’épargne retraite mentionnés à l’article L. 224-8 du code monétaire et financier sont redevables d’une contribution exceptionnelle.

« Son taux est fixé à 2 %. Elle est assise sur l’ensemble des bénéfices réalisés dans les entreprises mentionnées au premier alinéa du présent article, réalisés en France ainsi que de ceux dont l’imposition est attribuée à la France par une convention internationale relative aux doubles impositions.

« La contribution exceptionnelle sur les fonds de pension est affectée à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du présent code. »

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à mettre en place une contribution exceptionnelle sur les fonds de pension, dont le produit serait affecté à la Caisse Nationale d’Assurance Vieillesse, dont le taux sera de 2%.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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Direction de la séance

Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3055 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


 Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre VII du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section 15 ainsi rédigée :

« Section 15

« Contribution exceptionnelle sur les fonds de pension

« Art. L. 137-42. – Les entreprises proposant à la vente les plans d’épargne retraite mentionnés à l’article L. 224-8 du code monétaire et financier sont redevables d’une contribution exceptionnelle.

« Son taux est fixé à 1 %. Elle est assise sur l’ensemble des bénéfices réalisés dans les entreprises mentionnées au premier alinéa du présent article, réalisés en France ainsi que de ceux dont l’imposition est attribuée à la France par une convention internationale relative aux doubles impositions.

« La contribution exceptionnelle sur les fonds de pension est affectée à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du présent code. »

 

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à mettre en place une contribution exceptionnelle sur les fonds de pension, dont le produit serait affecté à la Caisse Nationale d’Assurance Vieillesse, dont le taux sera de 1%.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2474

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. DOSSUS, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre 7 du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section ... ainsi rédigée :

« Section ...

« Contribution à l’assurance vieillesse

« Art. L. 137-.... – Il est créé une contribution dénommée contribution sur les successions et les donations.

« Son taux est fixé, dès le premier euro, à 1 % sur l’actif net taxable. Les modalités de recouvrement sont réalisées dans les conditions déterminées par l’article 750 ter du code général des impôts.

« La contribution sur les successions et les donations est affectée à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du code la sécurité sociale. »

Objet

Le présent amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires propose de créer une contribution à l’assurance vieillesse sur les successions et les donations.

D’après une étude de l’INSEE citée par l’Observatoire des inégalités, 37 % des ménages ont déjà reçu au moins un héritage au cours de leur vie. Parmi les plus âgés, 54 % des 60-69 ans et 53 % des 70 ans ou plus ont déjà hérité. Au bout du compte, à la fin de leur vie, la part des ménages qui ont touché au moins une fois un héritage dans leur vie ne dépasse pas de beaucoup les 50 %. Parmi les héritages reçus, deux tiers sont inférieurs à 30 000 euros et 87 % sont inférieurs à 100 000 euros, mais au sein des plus gros héritages, les montants sont largement plus élevés.

Sans remettre en cause l’attachement du groupe écologiste à la cotisation et au principe contributif, le présent amendement vise à proposer au gouvernement une porte de sortie à sa réforme mortifère.

Le gouvernement explique qu’il n’y aurait pas d’alternatives à sa réforme. Pourtant, le recul de l’âge de départ en retraite et l’augmentation du nombre d’annuités qui concerneraient une large partie de la population (et notamment les plus fragiles) n’est pas une nécessité. D’autres sources de financement existent pour le système de retraite.

Cette proposition de créer une contribution de 1% sur les successions et les donations reversée à la Caisse nationale d'assurance vieillesse en est un exemple. Le taux de cette contribution permettrait de financer une partie du système de retraite sans véritablement faire peser de charge sur les petits héritages. En ce qui concerne les héritages des plus fortunés qui représentent des sommes astronomiques, et donc des milliers voire des millions d’euros, ce taux de 1% pourrait dégager des financements non-négligeables pour le système de retraite.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2476

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. DOSSUS, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre 7 du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section ... ainsi rédigée :

« Section ...

« Contribution successions et donations

« Art. L. 137-.... – Il est créé une contribution « successions, donations et vieillesse » dénommée contribution sur les successions et les donations.

« Son taux est fixé, entre 4,2 millions d’euros et 13 millions d’euros, à 10 % sur l’actif net taxable et à 15 % de l’actif net taxable au-dessus de 13 millions d’euros. Les modalités de recouvrement sont réalisées dans les conditions déterminées par l’article 750 ter du code général des impôts.

« La contribution sur les successions et les donations est affectée à la Caisse nationale de l’assurance vieillesse telle que mentionnée à l’article R. 222-1 du code de la sécurité sociale. »

Objet

Cet amendement vise à créer une contribution sur les successions et les donations supérieures à 4,2 millions d’euros afin de financer la Caisse nationale de l’assurance vieillesse. Il ne concernerait que 1% des personnes héritières pour le taux entre 4,2 millions d'euros et 13 millions d'euros et seulement 0,1% après 13 millions d'euros.

La mesure proposée est à rebours de la politique économique et fiscale du gouvernement qui est extrêmement coûteuse pour l’Etat et qui favorise les plus riches. Le projet de réforme des retraites du gouvernement s’inscrit dans la droite ligne de ses réformes précédentes. Ce sont les classes moyennes et défavorisées qui seront les plus fortement impactées par le recul de l’âge de départ en retraite. 

Le groupe Écologiste - Solidarité et Territoires souhaite emprunter un autre chemin pour financer le système de retraite : celui de la justice sociale. Parmi les pistes permettant de changer de cap vers un horizon plus égalitaire figure une plus grande contribution des plus fortunés au financement du système de retraite.

Le fait de bénéficier de successions et de donations conséquentes est l’apanage des plus riches. Or, comme l’a montré un récent rapport d’Oxfam, les ultra riches ont vu leurs revenus considérablement augmenter en France et dans le monde, alors que l’immense majorité des Françaises et des Français subissent l’inflation de plein fouet avec la hausse des prix et la crise énergétique. Selon les calculs de l’ONG, les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021. Cinq sur six d’entre eux sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la pandémie entraînée par le Covid-19. 

De même, au cours du précédent quinquennat, les baisses d’impôts au profit des plus riches et des grandes entreprises ont amputé le budget général de l’État de 50 milliards d’euros par an. La baisse de 4 milliards d’euros de la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) cette année encore et sa suppression définitive à compter de l’an prochain continuent de creuser le déficit de l’État. 

Pour toutes ces raisons, les ultra riches ont largement de quoi financer en partie le système de retraite. Nous proposons donc au travers de cet amendement une contribution sur leurs successions et sur leurs donations à destination de la CNAV.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2849 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre VII du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section ainsi rédigée :

« Section ...

« Soutien à la Caisse nationale d’assurance vieillesse »

« Art. L. 137-42. – Il est créé une contribution sur les successions et les donations.

« Son taux est fixé, entre 4,2 millions d’euros et 13 millions d’euros, à 5 % sur l’actif net taxable et à 10 % de l’actif net taxable au-dessus de 13 millions d’euros. Les modalités de recouvrement sont réalisées dans les conditions déterminées par l’article 750 ter du code général des impôts.

« La contribution sur les successions et les donations est affectée à la Caisse nationale de l’assurance vieillesse mentionnée à l’article L. 222-1 du présent code de la sécurité sociale. »

Objet

Alors que la présente réforme des retraites impose un impôt de deux ans sur la vie de tous les Français, cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain appelle à la solidarité nationale des plus privilégiés dans un contexte de renforcement des inégalités et d'échec manifeste de la théorie jupitérienne du ruissellement.

Pour ce faire, il vise à créer une contribution sur les successions et les donations supérieures à 4,2 millions d’euros.

Celle-ci ne concernerait que les très riches héritiers : uniquement 1 % des personnes héritières, et le montant de 10 % seulement 0,1 % d’entre elles."

Taxer 1% des plus gros héritiers est une mesure de justice sociale raisonnable et très proportionnée.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2850 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


 Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre VII du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section ainsi rédigée :

« Section ...

« Soutien à la Caisse nationale d’assurance vieillesse

« Art. L. 137-42. – Il est créé une contribution sur les successions et les donations.

« Son taux est fixé, entre 5 millions d’euros et 13 millions d’euros, à 5 % sur l’actif net taxable et à 10 % de l’actif net taxable au-dessus de 13 millions d’euros. Les modalités de recouvrement sont réalisées dans les conditions déterminées par l’article 750 ter du code général des impôts.

« La contribution sur les successions et les donations est affectée à la Caisse nationale de l’assurance vieillesse mentionnée à l’article L. 222-1 du présent code. »

Objet

"Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à créer une contribution sur les successions et les donations supérieures à 5 millions d’euros (amendement de repli).

Il ne concernerait que 1 % des personnes héritières, et le montant de 10 % seulement 0,1 % d’entre elles."



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2851 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


 Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre VII du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section ainsi rédigée :

« Section ...

« Soutien à la Caisse nationale d’assurance vieillesse

« Art. L. 137-42. – Il est créé une contribution sur les successions et les donations.

« Son taux est fixé, entre 7,5 millions d’euros et 13 millions d’euros, à 5 % sur l’actif net taxable et à 10 % de l’actif net taxable au-dessus de 13 millions d’euros. Les modalités de recouvrement sont réalisées dans les conditions déterminées par l’article 750 ter du code général des impôts.

« La contribution sur les successions et les donations est affectée à la caisse nationale de l’assurance vieillesse mentionnée à l’article L. 222-1 du présent code. »

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à créer une contribution sur les successions et les donations supérieures à 7,5 millions d’euros (amendement de repli).

Il ne concernerait que 1 % des personnes héritières, et le montant de 10 % seulement 0,1 % d’entre elles."



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2852 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


 Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre VII du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section ainsi rédigée :

« Section ...

« Soutien à la Caisse nationale d’assurance vieillesse

« Art. L. 137-42. – Il est créé une contribution sur les successions et les donations.

« Son taux est fixé, entre 10 millions d’euros et 13 millions d’euros, à 5 % sur l’actif net taxable et à 10 % de l’actif net taxable au-dessus de 13 millions d’euros. Les modalités de recouvrement sont réalisées dans les conditions déterminées par l’article 750 ter du code général des impôts.

« La contribution sur les successions et les donations est affectée à la Caisse nationale de l’assurance vieillesse mentionnée à l’article L. 222-1 du présent code. »

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à créer une contribution sur les successions et les donations supérieures à 10 millions d’euros (amendement de repli).

Il ne concernerait que 1 % des personnes héritières, et le montant de 10 % seulement 0,1 % d’entre elles."



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3694

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme de MARCO, M. GONTARD, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL et MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre 7 du titre III du livre Ier du code de la sécurité sociale est complété par une section ... ainsi rédigée :

« Section ...

« Soutien à la Caisse nationale d’assurance vieillesse

« Art. L. 137-42. – Il est créé une contribution sur les véhicules autonomes utilisés par les entreprises.

« Son taux mensuel est fixé, pour chaque véhicule autonome, à 6,9 % de la valeur brut produite et pour un maximum de 103 euros par mois.

« La contribution est affectée à la Caisse nationale d’assurance vieillesse telle que mentionnée à l’article L. 222-1 du code de la sécurité sociale. »

Objet

La richesse produite par la robotisation est une chance et doit être mise au service de l’ensemble de la population. Le remplacement des emplois de chauffeurs et conducteurs par des véhicules autonomes permet une rentabilité plus importante. Il est légitime, en contrepartie, qu’une petite partie de la richesse produite en économisant sur le coût du travail soit reversée pour contribuer à notre système de sécurité sociale. En effet, selon l’OCDE, 16% des emplois en France sont exposés à un risque élevé d’automatisation. C’est autant de cotisations sociales en moins.

Ainsi, cet amendement vise à créer une contribution au profit de la Caisse nationale d’assurance vieillesse sur la richesse produite par les véhicules autonomes. Dans un souci d’équilibre économique et afin de ne pas désinciter à l’investissement, le plafond de cette contribution est fixé à 103 euros par mois. Ce montant correspond à la cotisation vieillesse moyenne payée par l’employeur d’un chauffeur/conducteur en début de carrière.

 






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3695

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme de MARCO, M. GONTARD, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL et MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre 7 du titre III du livre I du code de la sécurité sociale est complété par une section ... ainsi rédigée :

« Section ...

« Soutien à la Caisse nationale d’assurance vieillesse

« Art. L. 137-42. – Il est créé une contribution sur les robots industriels.

« Son taux mensuel est fixé, pour chaque robot industriel, à 6,9 % de la valeur brut produite et pour un maximum de 103 euros par mois.

« La contribution est affectée à la Caisse nationale d’assurance vieillesse telle que mentionnée à l’article L. 222-1 du code de la sécurité sociale. »

Objet

La richesse produite par les robots industriels est une chance et doit être mise au service de l’ensemble de la population. Le remplacement des emplois industriels par des robots industriels permet une rentabilité plus importante. Il est légitime, en contrepartie, qu’une petite partie de la richesse produite en économisant sur le coût du travail soit reversée pour contribuer à notre système de sécurité sociale. En effet, selon l’OCDE, 16% des emplois en France sont exposés à un risque élevé d’automatisation. C’est autant de cotisations sociales en moins.

Ainsi, cet amendement vise à créer une contribution au profit de la Caisse nationale d’assurance vieillesse sur la richesse produite par les robots industriels. Dans un souci d’équilibre économique et afin de ne pas désinciter à l’investissement, le plafond de cette contribution est fixé à 103 euros par mois. Ce montant correspond à la cotisation vieillesse moyenne payée par l’employeur d’un salarié de l’industrie en début de carrière.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3696 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme de MARCO, M. GONTARD, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL et MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre 7 du titre III du livre I du code de la sécurité sociale est complété par une section ... ainsi rédigée :

« Section ...

« Soutien à la caisse nationale d’assurance vieillesse

« Art. L. 137-.... – Il est créé une contribution sur les robots agricoles.

« Son taux mensuel est fixé, pour chaque robot agricole, à 6,9% de la valeur brut produite et pour un maximum de 103 euros par mois.

« La contribution est affectée à la caisse nationale d’assurance vieillesse telle que mentionnée à l’article L. 222-1 du code de la sécurité sociale. »

Objet

La richesse produite par les robots agricoles est une chance et doit être mise au service de l’ensemble de la population. Le remplacement des emplois agricoles par des robots agricoles permet une rentabilité plus importante. Il est légitime, en contrepartie, qu’une petite partie de la richesse produite en économisant sur le coût du travail soit reversée pour contribuer à notre système de sécurité sociale. En effet, selon l’OCDE, 16% des emplois en France sont exposés à un risque élevé d’automatisation. C’est autant de cotisations sociales en moins.

Ainsi, cet amendement vise à créer une contribution au profit de la Caisse nationale d’assurance vieillesse sur la richesse produite par les robots agricoles. Dans un souci d’équilibre économique et afin de ne pas désinciter à l’investissement, le plafond de cette contribution est fixé à 103 euros par mois. Ce montant correspond à la cotisation vieillesse moyenne payée par l’employeur d’un salarié agricole en début de carrière.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3692

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme de MARCO, M. GONTARD, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL et MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre 7 du titre III du livre I du code de la sécurité sociale est complété par une section ... ainsi rédigée :

« Section ...

« Soutien à la Caisse nationale d’assurance vieillesse

« Art. L. 137-42. – Il est créé une contribution sur les robots réalisant des tâches de manutention dans les entreprises.

« Son taux mensuel est fixé, pour chaque robot, à 6,9 % de la valeur brut produite et pour un maximum de 103 euros par mois.

« La contribution est affectée à la Caisse nationale d’assurance vieillesse telle que mentionnée à l’article L. 222-1 du code de la sécurité sociale. »

Objet

La richesse produite par les robots est une chance et doit être mise au service de l’ensemble de la population. Le remplacement des emplois de manutentionnaire par des robots permet une rentabilité plus importante. Il est légitime, en contrepartie, qu’une petite partie de la richesse produite en économisant sur le coût du travail soit reversée pour contribuer à notre système de sécurité sociale. En effet, selon l’OCDE, 16% des emplois en France sont exposés à un risque élevé d’automatisation. C’est autant de cotisations sociales en moins.

Ainsi, cet amendement vise à créer une contribution au profit de la Caisse nationale d’assurance vieillesse sur la richesse produite par les robots réalisant des tâches de manutention dans les entreprises. Dans un souci d’équilibre économique et afin de ne pas désinciter à l’investissement, le plafond de cette contribution est fixé à 103 euros par mois. Ce montant correspond à la cotisation vieillesse moyenne payée par l’employeur d’un manutentionnaire en début de carrière.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3693

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme de MARCO, M. GONTARD, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL et MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre 7 du titre III du livre I du code de la sécurité sociale est complété par une section ... ainsi rédigée :

« Section ...

« Soutien à la Caisse nationale d’assurance vieillesse

« Art. L. 137-42. – Il est créé une contribution sur les robots conversationnels utilisés par les entreprises.

« Son taux mensuel est fixé, pour chaque robot, à 6,9 % de la valeur brut produite et pour un maximum de 103 euros par mois.

« La contribution est affectée à la Caisse nationale d’assurance vieillesse telle que mentionnée à l’article L. 222-1 du code de la sécurité sociale. »

Objet

La richesse produite par les robots est une chance et doit être mise au service de l’ensemble de la population. Le remplacement des emplois de téléconseillers par des robots permet une rentabilité plus importante. Il est légitime, en contrepartie, qu’une petite partie de la richesse produite en économisant sur le coût du travail soit reversée pour contribuer à notre système de sécurité sociale. En effet, selon l’OCDE, 16% des emplois en France sont exposés à un risque élevé d’automatisation. C’est autant de cotisations sociales en moins.

Ainsi, cet amendement vise à créer une contribution au profit de la Caisse nationale d’assurance vieillesse sur la richesse produite par les robots conversationnels. Dans un souci d’équilibre économique et afin de ne pas désinciter à l’investissement, le plafond de cette contribution est fixé à 103 euros par mois. Ce montant correspond à la cotisation vieillesse moyenne payée par l’employeur d’un téléconseiller en début de carrière.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2031 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. BILHAC et ARTANO, Mme Nathalie DELATTRE, MM. GOLD, GUÉRINI et GUIOL, Mme PANTEL et MM. REQUIER et ROUX


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Après l’article L. 137-26 du code de la sécurité sociale, est inséré un article L. 137-... ainsi rédigé :

« Art. L. 137-.... – Il est institué au profit de la Caisse nationale d’assurance vieillesse, une taxe spéciale sur les caisses de paiement automatiques :

« 1° Les distributeurs automatiques de billets installés dans les communes de plus de 20 000 habitants ;

« 2° Les cabines de péages autoroutiers ;

« 3° Les caisses automatiques de parking ;

« 4° Les caisses automatiques de supermarchés ;

« 5° Les caisses automatiques des stations-services.

« Le montant de cette taxe est fixé à 20 000 € par an par machine, montant calculé par rapport aux charges et cotisations sociales qui devraient être payées en cas d’affectation d’un salarié au poste occupé par la machine et rémunéré au salaire minimum de croissance. »

Objet

L'objet de cet amendement est de contribuer au financement de la caisse national d’assurance vieillesse en instaurant une taxe sur les caisses automatiques induisant le remplacement progressif de la main d’œuvre humaine par des robots de paiement de type distributeurs automatiques de billets et autres caisses de paiement automatiques utilisées dans les péages autoroutiers, les parkings, les supermarchés, les stations services, par exemple.

La taxation de ces activités non délocalisables ne saurait porter atteinte à la compétitivité française.

Ses recettes versées par les entreprises contribueront à la solidarité nationale dans le but de financer les pensions de retraite.

Afin de ne pas pénaliser les petites communes ne disposant souvent que d'un seul distributeur de billets ou d'un supermarché, il est proposé de ne cibler que les communes de plus de 20 000 habitants. Son montant de 20 000 euros annuels par machine correspond schématiquement au coût annuel d'un employé rémunéré au SMIC en tenant compte des cotisations sociales.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 140 rect. quinquies

7 mars 2023


 

AMENDEMENT

de Mme NOËL

repris par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme PONCET MONGE


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Après l’article L. 221-2 du code du travail, il est inséré un article L. 221-2- … ainsi rédigé :

« Art. L. 221-2-…. – Il est instauré une taxe spéciale sur : 

« 1° Les distributeurs automatiques de billets de banque installés dans les communes de plus de 20 000 habitants ; 

« 2° Les cabines de péages autoroutiers ; 

« 3° Les caisses automatiques de parking ; 

« 4° Les caisses automatiques des supermarchés dont la surface est supérieure à 400 mètres carrés. 

« Pour les distributeurs de billets de banque, le montant de cette taxe est fixé à 20 000 euros par an par machine, montant calculé par rapport aux charges et cotisations sociales qui devraient être payées en cas d’affectation d’un salarié au poste occupé par la machine et rémunéré au salaire minimum de croissance.

« Pour les caisses et cabines de péage, le taux est fixé pour chacune, dès le premier euro, à 3 % sur la valeur brute produite par celle-ci et pour un maximum de 103 euros. Les modalités de recouvrement sont réalisées dans les conditions déterminées par l’article 750 ter du code général des impôts.

« La présente cotisation est affectée à la Caisse nationale d’assurance vieillesse telle que mentionnée à l’article L. 222-1 du code de la sécurité sociale. »

Objet

La richesse produite par les robots est une chance qui doit être mise au service de l’ensemble de la population. 

Le remplacement du personnel de caisse par des caisses automatiques permet une rentabilité plus importante aux établissements le permettant. 

Il serait légitime en contrepartie qu’une petite partie de la richesse produite en économisant sur le coût du travail par ces caisses automatiques soit reversée pour contribuer à notre système de sécurité sociale. 

L’objet de cet amendement est de tirer les conséquences nécessaires du remplacement progressif de la main d’œuvre humaine par des robots en instaurant une taxe sur les distributeurs automatiques de billets et autres caisses automatiques (péages, supermarchés …), toutes les activités dont la taxation ne porte pas atteinte à la compétitivité. 

Afin de ne pas pénaliser les petites communes ne disposant souvent que d’un seul distributeur de billets ou d’un supermarché, il est proposé de ne cibler que les communes de plus de 20 000 habitants.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2524

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. GONTARD, Mmes de MARCO, PONCET MONGE et Mélanie VOGEL et MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le chapitre 7 du titre III du livre I du code de la sécurité sociale est complété par une section … ainsi rédigée :

« Section …

« Cotisation robot 

« Art. L. 137-42. – Il est créé une contribution sur les machines de caisses automatiques des magasins.

« Son taux est fixé pour chaque caisse, dès le premier euro, à 8,55 % sur la valeur brute produite par celle-ci et pour un maximum de 103 euros. Les modalités de recouvrement sont réalisées dans les conditions déterminées par l’article 750 ter du code général des impôts.

« La cotisation robot est affectée à la Caisse nationale d’assurance vieillesse mentionnée à l’article L. 222-1 du code de la sécurité sociale. »

Objet

Cet amendement est inspiré de l'amendement de notre collègue Benjamin Lucas et des députés écologistes.

La richesse produite par les robots est une chance et doit être mise au service de l’ensemble de la population. Le remplacement du personnel de caisse par des caisses automatiques permet une rentabilité plus importante aux magasins le pratiquant. Mais ce faisant ces enseignes détruisent des emplois.

Alors que l'automatisation menace 10 à 50 % de nos emplois dans les prochaines décennies, il convient de se poser la question de l'élargissement de l'assiette du financement de la protection sociale qui repose aujourd'hui presque exclusivement sur le travail humain. Faire contribuer les robots, a fortiori ceux qui détruisent tout à fait directement des emplois, est une piste légitime de financement complémentaire pour notre régime de retraite et plus largement pour notre protection sociale.

Cette réflexion est d'une grande complexité et doit faire l'objet d'une réflexion nationale de grande ampleur.

Cependant, sur le cas précis des caisses automatiques qui se multiplient à grande vitesse - elles étaient déjà présentes dans la moitié des grandes surfaces, soit près de 2000 points de vente fin 2019 - il est possible d'agir concrètement et rapidement. Il légitime en contrepartie de la disparition d'un emploi de caissier ou caissière, qu’une petite partie de la richesse produite en économisant sur le coût du travail par ces caisses automatiques soit reversée pour contribuer à notre système de sécurité sociale. Voilà pourquoi cet amendement vise à créer une contribution de la richesse produite par les caisses automatiques à la Caisse nationale d’assurance vieillesse.

Dans un souci d’équilibre économique et afin de ne pas désinciter à l’investissement, le plafond de cette contribution est fixé à 103 euros, ce qui constitue la cotisation vieillesse payée par un employeur de personnel de caisse en début de carrière.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4358 rect. bis

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’article L. 241-2-1 du code de la sécurité sociale est abrogé.

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent supprimer les allègements de cotisations de sécurité sociale sur les revenus d’activité n’excédant pas 2,5 fois le SMIC.

 



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après l'article 3 à un article additionnel après l'article 2 ter).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3234 rect.

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


 Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I.– L’article L. 241-2-1 du code de la sécurité sociale est ainsi modifié :

1° Le premier alinéa est ainsi modifié :

a) Après la première occurrence de la référence : « L. 241-13 », sont insérés les mots : « dans sa rédaction applicable avant l’entrée en vigueur de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 » ;

b) Après la seconde occurrence de la référence : « L. 241-13 », sont ajoutés les mots : « dans sa rédaction applicable à la même date » ;

2° Après le premier alinéa, sont insérés deux alinéas ainsi rédigés :

« Pour les rémunérations versées à compter du 1er janvier 2021, le taux des cotisations d’assurance maladie mentionné au premier alinéa est réduit de 4 points.

« Pour les rémunérations versées à compter du 1er janvier 2022, le même taux est réduit de 2 points. »

II. – À compter du 1er janvier 2023, l’article L. 241-2-1 du code de la sécurité sociale est abrogé.

Objet

« L’ambition que nous vous proposons est de créer un million d’emplois en cinq ans », écrivait Pierre Gattaz, alors président du Medef, en 2013 à propos du CICE.

Le crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi (CICE) s’est transformé en 2019 en allègements généraux pérennes de cotisations et en intégration de certaines exonérations ciblées à ce dernier. Sa pérennisation, qui coûte environ 20 milliards d’euros par an, a été actée alors même que les études se sont multipliées – pas moins de six rapports ont été publiés entre 2013 et 2018 – pour mettre en avant un effet quasi-nul ou au mieux très limité sur l’emploi au regard des moyens consacrés. Le CICE n’a jamais fait ces preuves en matière de compétitivité et de création d’emplois tout en incitant les employeurs à ne pas augmenter les salaires.

Près de 10 ans après, on peut dire que le compte n’y est pas. Entre 100 000 et 160 000 emplois, tout au plus, ont été créés grâce à ce dispositif entre 2013 et 2017 selon France Stratégie. « Ce qui est faible, rapporté au coût du CICE » concède France Stratégie, qui représente plus de 85 milliards sur cette période. Cela représente un coût de 450 000€ par emploi. « Un pognon de dingue ».

Il nous paraît nécessaire de supprimer progressivement ces allègements fiscaux et sociaux qui n’ont quasi aucun impact sur l’emploi, qui ne font que plomber le déficit public et pour une partie les recettes de la Sécurité sociale.

 



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après l'article 3 à un article additionnel après l'article 2 ter).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4363 rect. bis

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – L’article L. 241-2-1 du code de la sécurité sociale est ainsi modifié :

1° Le premier alinéa est ainsi modifié :

a) Après la première occurrence de la référence : « L. 241-13 », sont insérés les mots : « dans sa rédaction applicable avant l’entrée en vigueur de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 » ;

b) Sont ajoutés les mots : « dans sa rédaction applicable à la même date » ;

2° Après le même premier alinéa, sont insérés deux alinéas ainsi rédigés :

« Pour les rémunérations versées à compter du 1er juillet 2023, le taux des cotisations d’assurance maladie mentionné au premier alinéa du présent article est réduit de 4 points.

« Pour les rémunérations versées à compter du 1er janvier 2024, le même taux est réduit de 2 points. »

II. – À compter du 1er janvier 2025, l’article L. 241-2-1 du code de la sécurité sociale est abrogé.

Objet

Les membres du groupe CRCE proposent une extinction progressive d’une niche sociale extrêmement coûteuse appelée CICE.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après l'article 3 à un article additionnel après l'article 2 ter).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2938 rect. bis

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’article L. 241-2-1 du code de la sécurité sociale est complété par quatre alinéas ainsi rédigés :

« La réduction dont bénéficie chaque employeur est subordonnée au respect des obligations suivantes :

« 1° L’obligation de ne pas délocaliser et de ne pas transférer volontairement à l’étranger une partie ou de la totalité des activités de l’entreprise entraînant d’une diminution du nombre d’emplois en France ;

« 2° L’obligation d’atteindre, avant le 1er janvier 2024, un index d’égalité entre les femmes et les hommes prévu par l’article L. 1142 8 du code du travail à un niveau inférieur à 75 points ;

« 3° L’absence de versement de dividendes au titre de l’année 2021. »

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à conditionner le bénéfice de l'allègement de cotisation patronale "CICE" au respect d'un certains nombre d'obligations : absence de délocalisations; égalité salariale femmes/hommes; absence de versement de dividendes pour l'année.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après l'article 3 à un article additionnel après l'article 2 ter).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3852 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’article L. 241-2-1 du code de la sécurité sociale est complété par quatre alinéas ainsi rédigés :

« La réduction dont bénéficie chaque employeur est subordonnée au respect des obligations suivantes :

« 1° L’obligation de ne pas délocaliser et de ne pas transférer volontairement à l’étranger une partie ou la totalité des activités de l’entreprise entraînant d’une diminution du nombre d’emplois en France ;

« 2° L’obligation d’atteindre, avant le 1er janvier 2024, un index d’égalité entre les femmes et les hommes prévu par l’article L. 1142 8 du code du travail à un niveau inférieur à 75 points ;

« 3° L’absence de versement de dividendes au titre de l’année 2023. »

Objet

Cet amendement vise à conditionner le bénéfice de l’allègement de cotisation patronale « CICE » au respect d’un certain nombre d’obligations : absence de délocalisations, égalité salariale femmes –hommes, absence de versement de dividendes pour l’année.

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2807 rect. bis

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’article L. 241-2-1 du code de la sécurité sociale est complété par onze alinéas ainsi rédigés :

« A. – Pour les entreprises d’au moins trois cents salariés, le bénéfice des réductions de cotisations prévues par le présent article est subordonné aux contreparties climatiques et sociales cumulatives suivantes :

« 1° La publication, au plus tard le 1er juillet de chaque année, et à partir du 1er juillet 2023, d’un « rapport climat » qui :

« a) Intègre le bilan des émissions directes et indirectes de gaz à effet de serre de l’entreprise, en amont et en aval de leurs activités ;

« b) Élabore une stratégie de réduction des émissions des gaz à effet de serre dans les conditions définies au B, qui ne doit pas prendre en compte les émissions évitées et compensées. Elle fixe des objectifs annuels de réduction des émissions de gaz à effet de serre sur un horizon de dix ans, notamment en précisant les plans d’investissements nécessaires pour les atteindre. Ce rapport s’appuie sur les informations fournies dans le cadre des obligations de l’article L. 225-102-1 du code de commerce et de l’article L. 229-25 du code de l’environnement.

« Le ministre chargé de l’environnement définit, en concertation avec le Haut conseil pour le climat, la trajectoire minimale de réduction des émissions de gaz à effet de serre à mettre en œuvre par lesdites entreprises, en fonction du secteur d’activité et en conformité avec les budgets carbones fixés par la stratégie nationale bas-carbone.

« Les détails de la méthodologie sont fixés par décret ;

« 2° L’obligation de ne pas délocaliser et de ne pas transférer volontairement à l’étranger une partie ou la totalité des activités de l’entreprise entraînant une diminution du nombre d’emplois en France, que ce soit au travers de filiales appartenant à la même entreprise ou par l’intermédiaire de sous-traitant auprès d’entreprises non affiliées.

« Cette obligation s’applique jusqu’à ce que l’allègement de cotisations prévu par le présent article soit compensé par un hausse équivalente de la fiscalité sur les entreprises concernées ;

« 3° L’obligation d’atteindre, avant le 1er janvier 2023, un index d’égalité entre les femmes et les hommes prévu par l’article L. 1142-8 du code du travail à un niveau supérieur à 75 points,

« 4° L’obligation de publication des indicateurs relatifs à l’emploi de salariés âgés ainsi qu’aux mises en œuvre pour favoriser leur emploi au sein de l’entreprise tels que définis l’article. L. 5121-7 du code du travail.

« B. – Le non-respect par les entreprises mentionnées au A des obligations mentionnées aux 1° à 4° du même A est passible d’une sanction pécuniaire définie par décret. Le produit de cette sanction est affecté à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du présent code. »

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à conditionner les dispositifs généraux d’exonération de cotisations à des objectifs sociaux et environnementaux, et notamment au respect de l’obligation de publication de l’index sur l'emploi des salariés âgés prévu par le présent article.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un amendement à l'article 2 à un article additionnel après l'article 2 ter).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3480 rect.

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’article L. 241-2-1 du code de la sécurité sociale est complété par deux paragraphes ainsi rédigés :

« A. – Pour les entreprises d’au moins trois cents salariés, le bénéfice des réductions de cotisations prévues par le présent article est subordonné aux contreparties climatiques et sociales cumulatives suivantes :

« 1° La publication, au plus tard le 1er juillet de chaque année, et à partir du 1er juillet 2023, d’un « rapport climat » qui :

« a) Intègre le bilan des émissions directes et indirectes de gaz à effet de serre de l’entreprise, en amont et en aval de leurs activités ;

« b) Élabore une stratégie de réduction des émissions des gaz à effet de serre dans les conditions définies au B, qui ne doit pas prendre en compte les émissions évitées et compensées. Elle fixe des objectifs annuels de réduction des émissions de gaz à effet de serre sur un horizon de dix ans, notamment en précisant les plans d’investissements nécessaires pour les atteindre. Ce rapport s’appuie sur les informations fournies dans le cadre des obligations de l’article L. 225-102-1 du code de commerce et de l’article L. 229-25 du code de l’environnement.

« Le ministre chargé de l’environnement définit, en concertation avec le Haut conseil pour le climat, la trajectoire minimale de réduction des émissions de gaz à effet de serre à mettre en œuvre par lesdites entreprises, en fonction du secteur d’activité et en conformité avec les budgets carbones fixés par la stratégie nationale bas-carbone.

« Les détails de la méthodologie sont fixés par décret ;

« 2° L’obligation de ne pas délocaliser et de ne pas transférer volontairement à l’étranger une partie ou la totalité des activités de l’entreprise entraînant une diminution du nombre d’emplois en France, que ce soit au travers de filiales appartenant à la même entreprise ou par l’intermédiaire de sous-traitant auprès d’entreprises non affiliées.

« Cette obligation s’applique jusqu’à ce que l’allègement de cotisations prévu par le présent article soit compensé par un hausse équivalente de la fiscalité sur les entreprises concernées ;

« 3° L’obligation d’atteindre, avant le 1er janvier 2023, un index d’égalité entre les femmes et les hommes prévu par l’article L. 1142-8 du code du travail à un niveau supérieur à 75 points,

« 4° L’obligation de publication des indicateurs relatifs à l’emploi de salariés âgés ainsi qu’aux mises en œuvre pour favoriser leur emploi au sein de l’entreprise tels que définis l’article. L. 5121-7 du code du travail.

« B. – Le non-respect par les entreprises mentionnées au A des obligations mentionnées aux 1° à 4° du même A est passible d’une sanction pécuniaire définie par décret. Le produit de cette sanction est affecté à la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du présent code. »

Objet

Le présent amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires a pour objet de conditionner les dispositifs généraux d’exonération de cotisations à des objectifs sociaux et environnementaux, et notamment au respect de l’obligation de publication de l’index senior prévu par le présent article.

Il est proposé de rendre le dispositif davantage dissuasif afin d’encourager les entreprises à changer leurs pratiques. Le non-respect de l’ensemble de ces obligations est susceptible d’une sanction pécuniaire dont le produit serait reversé à la Caisse Nationale d’Assurance Vieillesse.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après l'article 3 à un article additionnel après l'article 2 ter).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2529 rect.

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. GONTARD, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’article L. 241-2-1 du code de la sécurité sociale est complété par un paragarphe ainsi rédigé :

« …. – A. – Pour les entreprises dont le chiffre d’affaires annuel excède 1 500 millions d’euros ou dont le total de bilan excède 2 000 millions d’euros, le bénéfice des réductions de cotisations prévues par le présent article est subordonné aux contreparties climatiques et sociales cumulatives suivantes :

« 1° La publication, au plus tard le 1er juillet de chaque année, et à partir du 1er juillet 2023, d’un rapport climat qui :

« a) Intègre le bilan des émissions directes et indirectes de gaz à effet de serre de l’entreprise, en amont et en aval de leurs activités ;

« b) Élabore une stratégie de réduction des émissions des gaz à effet de serre dans les conditions définies au B, qui ne doit pas prendre en compte les émissions évitées et compensées. Elle fixe des objectifs annuels de réduction des émissions de gaz à effet de serre sur un horizon de dix ans, notamment en précisant les plans d’investissements nécessaires pour les atteindre. Ce rapport s’appuie sur les informations fournies dans le cadre des obligations de l’article L. 225-102-1 du code de commerce et de l’article L. 229-25 du code de l’environnement.

« Le ministre chargé de l’environnement définit, en concertation avec le Haut Conseil pour le climat, la trajectoire minimale de réduction des émissions de gaz à effet de serre à mettre en œuvre par lesdites entreprises, en fonction du secteur d’activité et en conformité avec les budgets carbones fixés par la stratégie nationale bas-carbone.

« Les détails de la méthodologie sont fixés par décret ;

« 2° L’obligation de ne pas délocaliser et de ne pas transférer volontairement à l’étranger une partie ou de la totalité des activités de l’entreprise entraînant d’une diminution du nombre d’emplois en France, que ce soit au travers de filiales appartenant à la même entreprise ou par l’intermédiaire de sous-traitant auprès d’entreprises non affiliées.

« Cette obligation s’applique jusqu’à ce que l’allègement de cotisation prévu par le présent article soit compensé par un hausse équivalente de la fiscalité sur les entreprises concernées ;

« 3° L’obligation d’atteindre, avant le 1er janvier 2024, un index d’égalité entre les femmes et les hommes prévu par l’article L. 1142-8 du code du travail à un niveau supérieur à 75 points ;

« 4° L’obligation de publication des indicateurs relatifs à l’emploi de salariés âgés ainsi qu’aux mises en œuvre pour favoriser leur emploi au sein de l’entreprise tels que définis l’article. L. 5121-7 du même code.

« B. – Le non-respect par les entreprises mentionnées au A du présent paragraphe des obligations mentionnées aux 1° , 2° , 3° et 4° est passible d’une sanction pécuniaire définie par décret.

« C. – Le produit de cette sanction est affecté la caisse mentionnée à l’article L. 222-1 du présent code. »

Objet

Le présent amendement des groupes parlementaires écologistes a pour objet de conditionner les dispositifs généraux d’exonération de cotisations sociales dont bénéficient les grandes entreprises (plus de 1,5 millions d’euros de chiffre d’affaires) au respect par celles-ci d’objectifs écologiques et sociaux parmi lesquels :

- la mise en œuvre d’une stratégie de réduction d’émission de gaz à effet de serre.

- l’absence de délocalisations

- l’amélioration de l’index d’égalité salariale homme – femme

- la publication des indicateurs relatifs à l’emploi de salariés âgés ainsi qu’aux mises en œuvre pour favoriser leur emploi au sein de l’entreprise.

Il est proposé de rendre le dispositif davantage dissuasif afin d’encourager les entreprises à changer leurs pratiques. Le non-respect des obligations est susceptible d’une sanction pécuniaire dont le produit serait reversée à la Caisse Nationale d’Assurance Vieillesse.

Aussi, les dispositifs d’exonération de cotisations à l’assurance maladie dont bénéficient les employeurs, se sont multipliés notamment depuis la pandémie sans pour autant démontrer leur efficacité. Pourtant, les organismes de sécurité sociale continuent à être privés de recettes indispensables qui justifie, selon le Gouvernement pompier – pyromane, la présente réforme qui prévoit de faire payer aux travailleurs l’effort réalisé par le pays durant la pandémie.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après l'article 3 à un article additionnel après l'article 2 ter).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2944 rect. bis

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’article L. 241-2-1 du code de la sécurité sociale est complété par dix alinéas ainsi rédigés :

« A. – Pour les entreprises dont le chiffre d’affaires annuel excède 1 500 millions d’euros ou dont le total de bilan excède 2 000 millions d’euros, le bénéfice des réductions de cotisations prévues par le présent article est subordonné aux contreparties climatiques et sociales cumulatives suivantes :

« 1° La publication, au plus tard le 1er juillet de chaque année, et à partir du 1er juillet 2023, d’un « rapport climat » qui :

« a) Intègre le bilan des émissions directes et indirectes de gaz à effet de serre de l’entreprise, en amont et en aval de leurs activités ;

« b) Élabore une stratégie de réduction des émissions des gaz à effet de serre dans les conditions définies au B, qui ne doit pas prendre en compte les émissions évitées et compensées. Elle fixe des objectifs annuels de réduction des émissions de gaz à effet de serre sur un horizon de dix ans, notamment en précisant les plans d’investissements nécessaires pour les atteindre. Ce rapport s’appuie sur les informations fournies dans le cadre des obligations de l’article L. 225-102-1 du code de commerce et de l’article L. 229-25 du code de l’environnement.

« Le ministre chargé de l’environnement définit, en concertation avec le Haut conseil pour le climat, la trajectoire minimale de réduction des émissions de gaz à effet de serre à mettre en œuvre par lesdites entreprises, en fonction du secteur d’activité et en conformité avec les budgets carbones fixés par la stratégie nationale bas-carbone.

« Les détails de la méthodologie sont fixés par décret ;

« 2° L’obligation de ne pas délocaliser et de ne pas transférer volontairement à l’étranger une partie ou de la totalité des activités de l’entreprise entraînant d’une diminution du nombre d’emplois en France, que ce soit au travers de filiales appartenant à la même entreprise ou par l’intermédiaire de sous-traitant auprès d’entreprises non affiliées ;

« Cette obligation s’applique jusqu’à ce que l’allègement de cotisation prévu par le présent article soit compensé par un hausse équivalente de la fiscalité sur les entreprises concernées ;

« 3° L’obligation d’atteindre, avant le 1er janvier 2023, un index d’égalité entre les femmes et les hommes prévu par l’article L. 1142-8 du code du travail à un niveau supérieur à 75 points.

« B. – Le non-respect par les entreprises mentionnées au A des obligations mentionnées au 1°, 2° et au 3° est passible d’une sanction pécuniaire définie par décret. »

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à pour les grandes entreprises, conditionner les exonérations de cotisations patronales à l'assurance maladie à 3 critères cumulatifs vertueux : fixation d'une trajectoire de réduction des émissions de gaz à effet de serre à l’horizon 2030, absence de délocalisation à l'étranger, égalité salariale entre les femmes et les hommes.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après l'article 3 à un article additionnel après l'article 2 ter).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2530 rect.

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. GONTARD, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’article L. 241-2-1 du code de la sécurité sociale est complété par cinq alinéas ainsi rédigés :

« Pour les entreprises dont le chiffre d’affaires annuel excède 1 500 millions d’euros ou dont le bilan total excède 2 000 millions d’euros, le bénéfice des réductions de cotisations prévues par le présent article est subordonné à la publication, au plus tard le 1er juillet de chaque année, et à partir du 1er juillet 2023, d’un « rapport climat » qui :

« 1° Intègre le bilan des émissions directes et indirectes de gaz à effet de serre de l’entreprise, en amont et en aval de leurs activités ;

« 2° Élabore une stratégie de réduction des émissions des gaz à effet de serre dans les conditions définies au présent article, qui ne doit pas prendre en compte les émissions évitées et compensées. Elle fixe des objectifs annuels de réduction des émissions de gaz à effet de serre sur un horizon de dix ans, notamment en précisant les plans d’investissements nécessaires pour les atteindre. Ce rapport s’appuie sur les informations fournies dans le cadre des obligations de l’article L. 225-102-1 du code de commerce et de l’article L. 229-25 du code de l’environnement.

« Le ministre chargé de l’environnement définit, en concertation avec le Haut Conseil pour le climat, la trajectoire minimale de réduction des émissions de gaz à effet de serre à mettre en œuvre par lesdites entreprises, en fonction du secteur d’activité et en conformité avec les budgets carbones fixés par la stratégie nationale bas-carbone.

« Les détails de la méthodologie sont fixés par décret. »

Objet

Le GIEC comme l’ONU, comme les ONG environnementales, sont unanimes, il est plus que jamais urgent de limiter les effets de nos sociétés sur le climat et sur la planète. Pour cela, plusieurs façons de procéder en termes de politiques coexistent. Qu’il s’agisse de contraindre ou d’inciter, il faut vite tourner la page du système productiviste dans lequel nous vivons au profit d’une société respectueuse de l’environnement et des limites finies de la planète.

C’est pourquoi cet amendement vise, dans une logique incitative, à conditionner, pour les multinationales, le bénéfice des allégements de cotisations patronales au respect de contreparties écologiques indispensables à la lutte contre le réchauffement climatique.

Les enjeux en la matière sont immenses. En mars 2021, l’ONG Oxfam révélait que les activités industrielles des multinationales du CAC 40 nous conduisent vers un réchauffement planétaire de + 3,5 ° C d’ici la fin du siècle. Ces entreprises doivent impérativement participer à la transition et réduire leurs émissions de gaz à effet de serre.

Pour leur prise de conscience et afin de les inciter à participer à la lutte contre le changement climatique, nous proposons de conditionner les avantages sociaux dont elles bénéficient actuellement à leur prise en compte des indicateurs environnementaux.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après l'article 3 à un article additionnel après l'article 2 ter).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2937 rect. bis

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’article L. 241-2-1 du code de la sécurité sociale est complété par un paragraphe ainsi rédigé :

« II. – A. – Pour les entreprises soumises à l’obligation de déclaration de performance extra-financière prévue à l’article L. 225-102-1 du code de commerce, le bénéfice des réductions de cotisations prévues par le présent article est subordonné aux contreparties climatiques et sociales suivantes :

« 1° La publication, au plus tard le 1er juillet de chaque année, et à partir du 1er juillet 2023, d’un « rapport climat » qui :

« a) Intègre le bilan des émissions directes et indirectes de gaz à effet de serre de l’entreprise, en amont et en aval de leurs activités ;

« b) Élabore une stratégie de réduction des émissions des gaz à effet de serre dans les conditions définies au B, qui ne doit pas prendre en compte les émissions évitées et compensées. Elle fixe des objectifs annuels de réduction des émissions de gaz à effet sur un horizon de dix ans, notamment en précisant les plans d’investissements nécessaires pour les atteindre. Ce rapport s’appuie sur les informations fournies dans le cadre des obligations de l’article L. 225-102-1 du code de commerce et de l’article L. 229-25 du code de l’environnement.

« Le ministre chargé de l’environnement définit, en concertation avec le Haut Conseil pour le climat, la trajectoire minimale de réduction des émissions de gaz à effet de serre à mettre en œuvre par lesdites entreprises, en fonction du secteur d’activité et en conformité avec les budgets carbones fixés par la stratégie nationale bas-carbone.

« Les détails de la méthodologie sont fixés par décret ;

« 2° L’obligation de ne pas délocaliser et de ne pas transférer volontairement à l’étranger une partie ou la totalité des activités de l’entreprise entraînant d’une diminution du nombre d’emplois en France, que ce soit au travers de filiales appartenant à la même entreprise ou par l’intermédiaire de sous-traitants auprès d’entreprises non affiliées ;

« Cette obligation s’applique jusqu’à ce que l’allègement de cotisation prévue par le présent article soit compensée par un hausse équivalente de la fiscalité sur les entreprises concernées ;

« 3° L’obligation d’atteindre, avant le 1er janvier 2024, un index d’égalité entre les femmes et les hommes prévu par l’article L. 1142-8 du code du travail à un niveau inférieur à 75 points.

« B. – Le non-respect par les entreprises mentionnées au A des obligations mentionnées aux 1°, 2° et 3° est passible d’une sanction pécuniaire définie par décret. »

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à conditionner les allègements de cotisation patronale "CICE" à des obligations en matière sociale, environnementale et fiscale pour les entreprises dont la taille correspond ou excède le seuil européen de l’entreprise moyenne.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après l'article 3 à un article additionnel après l'article 2 ter).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3844

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’article L. 241-2-1 du code de la sécurité sociale est complété un paragraphe ainsi rédigé :

« II. – A. – Pour les entreprises soumises à l’obligation de déclaration de performance extra-financière prévue à l’article L. 225-102-1 du code de commerce, le bénéfice des réductions de cotisations prévues par le présent article est subordonné aux contreparties climatiques et sociales suivantes :

« 1° La publication, au plus tard le 1er juillet de chaque année, et à partir du 1er juillet 2023, d’un « rapport climat » qui :

« a) Intègre le bilan des émissions directes et indirectes de gaz à effet de serre de l’entreprise, en amont et en aval de leurs activités ;

« b) Élabore une stratégie de réduction des émissions des gaz à effet de serre dans les conditions définies au B, qui ne doit pas prendre en compte les émissions évitées et compensées. Elle fixe des objectifs annuels de réduction des émissions de gaz à effet sur un horizon de dix ans, notamment en précisant les plans d’investissements nécessaires pour les atteindre. Ce rapport s’appuie sur les informations fournies dans le cadre des obligations de l’article L. 225-102-1 du code de commerce et de l’article L. 229-25 du code de l’environnement.

« Le ministre chargé de l’environnement définit, en concertation avec le Haut Conseil pour le climat, la trajectoire minimale de réduction des émissions de gaz à effet de serre à mettre en œuvre par lesdites entreprises, en fonction du secteur d’activité et en conformité avec les budgets carbones fixés par la stratégie nationale bas-carbone.

« Les détails de la méthodologie sont fixés par décret ;

« 2° L’obligation de ne pas délocaliser et de ne pas transférer volontairement à l’étranger une partie ou la totalité des activités de l’entreprise entraînant d’une diminution du nombre d’emplois en France, que ce soit au travers de filiales appartenant à la même entreprise ou par l’intermédiaire de sous-traitants auprès d’entreprises non affiliées ;

« Cette obligation s’applique jusqu’à ce que l’allègement de cotisation prévue par le présent article soit compensée par un hausse équivalente de la fiscalité sur les entreprises concernées ;

« 3° L’obligation d’atteindre, avant le 1er janvier 2024, un index d’égalité entre les femmes et les hommes prévu par l’article L. 1142-8 du code du travail à un niveau inférieur à 75 points.

« B. – Le non-respect par les entreprises mentionnées au A des obligations mentionnées aux 1°, 2° et 3° est passible d’une sanction pécuniaire définie par décret. »

Objet

Cet amendement vise à conditionner les allègements de cotisation patronale « CICE » à des obligations en matière sociale, environnementale et fiscale pour les entreprises dont la taille correspond ou excède le seuil européen de l’entreprise moyenne.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2943 rect. bis

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’article L. 241-2-1 du code de la sécurité sociale est complété par sept alinéas ainsi rédigés :

« La réduction dont bénéficie chaque employeur peut être minorée en fonction :

« 1° Du nombre de fins de contrat de travail, à l’exclusion des démissions ;

« 2° De la nature du contrat de travail et de sa durée ;

« 3° De la politique d’investissement de l’entreprise ;

« 4° De l’impact de l’entreprise sur l’environnement ;

« 5° De la taille de l’entreprise.

« Un décret précise les modalités de calcul de la minoration de la réduction du taux des cotisations d’assurance maladie. »

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à exiger des contreparties sociales et environnementales aux baisses de cotisations patronales.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après l'article 3 à un article additionnel après l'article 2 ter).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3247 rect.

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’article L. 241-2-1 du code de la sécurité sociale est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« Le présent article ne s’applique pas lorsque les revenus distribués au sens de l’article 109 du code général des impôts sont supérieurs à 10 % du bénéfice imposable du dernier exercice clos. »

Objet

L’allègement de cotisations patronales « CICE », qui représente un coût annuel de 22 milliards d’euros pour les finances publiques en faisant l’hypothèse de sa compensation intégrale à la sécurité sociale, principe de compensation qui n’a pas toujours été respecté, visait officiellement à encourager la création d'emplois en France. Le manque de contreparties demandées aux entreprises qui en ont été bénéficiaires a mené à un échec en matière d'emploi qu'il convient de corriger.

Aussi, cet amendement propose de supprimer l'allègement de cotisations patronales "CICE" aux entreprises qui distribuent un pourcentage du bénéfice supérieur à 10 % sous forme de dividendes ou de distribution d’actions gratuites.

Ce dispositif permettrait d'établir un équilibre et une proportionnalité entre l'allègement de cotisations et les bénéfices distribués par l'entreprise.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 6 à un additionnel après l'article 2 ter).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3859 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – L’article L. 241-2-1 du code de la sécurité sociale est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« Le présent article ne s’applique pas lorsque les revenus distribués au sens de l’article 109 du code général des impôts sont supérieurs à 10 % du bénéfice imposable du dernier exercice clos. »

II. – Le I entre en vigueur le 31 décembre 2023.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’allègement de cotisations patronales lié au « CICE » aux entreprises qui distribuent un nombre de dividendes excessif, avec une entrée en vigueur au 31 décembre 2023.

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2455

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. DOSSUS, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le taux net de cotisations définies à l’article L. 241-3 du code de la sécurité sociale, applicable aux entreprises dont l’effectif est au moins égal à 50 salariés et soumises à la tarification individuelle ou mixte, fait l’objet de majorations spécifiques, lorsque ces entreprises ont pratiqué lors de l’exercice précédent des licenciements économiques alors qu’elles sont bénéficiaires ou distribuent des dividendes. Les conditions d’application de la mesure sont fixées par décret.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires vise à faire davantage contribuer les entreprises de plus de 50 salariés qui pratiquent des licenciements dits "boursiers".

Concrètement, cela revient à faire participer au financement du système de retraite les entreprises en bonne santé qui ont des pratiques de licenciement délétères ayant pour seul objectif d’améliorer leurs bénéfices et leur positionnement sur le marché. Sont concernées par cette mesure les entreprises bénéficiaires et celles qui distribuent des dividendes à leurs actionnaires tout en continuant à licencier leurs employés. Ces pratiques ont de nombreuses conséquences, à commencer par  la hausse du chômage et la précarisation des personnes qui se retrouvent sans emploi.

Reporter l’âge légal de la retraite est un choix politique, un choix d’injustice sociale, qui fragilisera délibérément les travailleuses et les travailleurs entrés tôt sur le marché du travail, plus vulnérables face aux aléas du marché de l’emploi. Or, d’autres moyens existent pour financer le système de retraite.

Le système n’est pas autant en fin de course que ce que le gouvernement voudrait faire croire. Sur la période 2021-2027, couverte par les prévisions du gouvernement établies dans le cadre du programme de stabilité, les dépenses de retraite dans le PIB seraient globalement stables. Elles passeraient ainsi de 13,8 % en 2021 à 13,9 % du PIB en 2027. À plus long terme, de 2032 jusqu’à 2070, malgré le vieillissement progressif de la population française, la part des dépenses de retraite dans la richesse nationale serait stable ou en diminution. 

Le groupe Écologiste - Solidarité et Territoires refuse de se résigner à l’horizon de misère fixé par le gouvernement, d’autant plus qu’il se base sur un leurre. Si un ajustement du financement du système de retraite est possible, il ne doit toutefois pas reposer sur les épaules des plus précaires. C'est pourquoi les auteurs de cet amendement proposent que les entreprises coupables de licenciements boursiers soient davantage mises à contribution pour financer le système de retraite.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2477

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. DOSSUS, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le taux net de cotisations définies à l’article L. 241-3 du code de la sécurité sociale, applicable aux entreprises dont l’effectif est au moins égal à 50 salariés et soumises à la tarification individuelle ou mixte, fait l’objet de majorations spécifiques lorsque l’indice de sinistralité de ces entreprises, au titre des accidents du travail et des maladies professionnelles et particulièrement au titre du syndrome d’épuisement professionnel, est supérieur à un seuil dans des conditions définies par décret.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires a pour objet de faire davantage contribuer au système de retraite les entreprises de plus de 50 salariés dont la proportion d’arrêt maladie est supérieure à un certain seuil. 

D’après une étude d’OpinionWay réalisée en mai 2021, le nombre de burnout a explosé avec la crise du coronavirus et continue d'exploser. Le baromètre Santé et qualité de vie au travail de Malakoff Humanis confirme la dégradation de l'état de santé mentale des travailleuses et des travailleurs, notamment chez les plus jeunes. Le stress et l'épuisement au travail concernent plus de la moitié des moins de trente ans. 22 % d’entre eux déclarent même consommer des somnifères ou des antidépresseurs, soit 13 points de plus qu'en 2014.

En ce qui concerne les accidents du travail, la situation n’est guère meilleure. Les cadences imposées par certaines entreprises pour améliorer la productivité épuisent leurs salariés et augmentent les risques d’accident. En 2019, l'Assurance maladie faisait état de 733 morts au travail, un nombre en forte hausse par rapport aux 530 décès au travail survenus en 2017. 

Il est profondément injuste et inégalitaire de faire payer le poids du système de retraite sur des employés déjà usés par leur travail. Les écologistes refusent de se résigner à l'horizon fixé par le gouvernement qui imposerait à des travailleuses et des travailleurs d’atteindre la retraite plus tard et plus éprouvés. D’autres sources de financement du système existent : la réforme proposée par le gouvernement n’est rien de plus qu’un choix politique. 

Pour toutes ces raisons, nous proposons que les entreprises coupables d'infliger à leurs salariés des conditions de travail affectant leur état de santé soient davantage mises à contribution pour le financement du système de retraite.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3231 rect.

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’article L. 241-13 du code de la sécurité sociale est abrogé.

Objet

Depuis 2013 et jusqu’à sa suppression en 2019, le CICE a représenté une perte de recette annuelle de près de 22 milliards d’euros pour les comptes de l’Etat. Malgré l’inefficience de ce dispositif, il a été transformé depuis, en une réduction des cotisations patronales qui représente un manque à gagner important pour les recettes de la Sécurité sociale, sans toujours être compensée à la sécurité sociale (notamment en 2018). Ainsi, la cotisation patronale d’assurance maladie-maternité-incapacité a été réduite de 6 % au 1er janvier 2019, augmentant le profit brut sans pour autant se traduire en investissements, en hausses de salaires ou en emplois, donc en nouvelles recettes pour la sécurité sociale. Le manque à gagner des politiques d’exonération selon la Commission des Comptes de la Sécurité Sociale représente près de 15,7 milliards en 2021, soit plus que le déficit estimé par le gouvernement pour la CNAV en 2030.

Or ces politiques de baisses des impôts de production et d’exonération ne sont pas toujours efficaces. En 2020, selon France Stratégie, à peine plus de 100 000 emplois ont été créés entre 2013 et 2017 par le CICE pour un coût de 18 milliards d’euros. 

Cet amendement vise donc à abroger les dispositions introduites par l’article 8 de la loi n° 2018-1203 du 22 décembre 2018 et concrétisées au sein du code de la Sécurité Sociale à travers l’article L241-13.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 6 à un additionnel après l'article 2 ter).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4416 rect. bis

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’article L. 241-13 du code de la sécurité sociale est abrogé.

Objet

Cet amendement issu de la proposition de loi du groupe CRCE visant à mettre en place 50 mesures pour un véritable bouclier social abroge le dispositif « Fillon » de réduction générale de cotisations patronales qui encourage les emplois peu qualifiés et les bas salaires.

Cette disposition permettrait de ramener 20 milliards d’euros par an dans les caisses de la Sécurité sociale.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 6 à un additionnel après l'article 2 ter).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2631 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le I de l’article L. 241-13 du code de la sécurité sociale est complété par sept alinéas ainsi rédigés :

« La réduction dont bénéficie chaque employeur peut être minorée en fonction :

« 1° Du nombre de fins de contrat de travail à l’exclusion des démissions ;

« 2° De la nature du contrat de travail et de sa durée ;

« 3° De la politique d’investissement de l’entreprise ;

« 4° De l’impact de l’entreprise sur l’environnement ;

« 5° De la taille de l’entreprise.

« Un décret précise les modalités de calcul de la minoration de la réduction dégressive de cotisations patronales. »

Objet

« Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à conditionner les exonérations sur les bas salaires dit « » allègements Fillon » « au respect de bonnes pratiques sociales et environnementales des entreprises.

Nous tenons à rappeler ici qu’en 2023 les allègements et les exonérations représenteront un manque à gagner de 19 milliards d’euros pour la branche Retraites de notre Sécurité sociale, alors que le déficit sera lui de 3,6 milliards d’euros selon les chiffres de la dernière LFSS.

Nous proposons ainsi de revenir sur ces cadeaux faits aux entreprises sans aucune contrepartie, plutôt que de demander aux travailleurs aux métiers les plus durs, aux carrières hachées, aux femmes, de travailler jusqu’à 64 ans. » 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3826

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le I de l’article L. 241-13 du code de la sécurité sociale est complété par sept alinéas ainsi rédigés :

« La réduction dont bénéficie chaque employeur peut être minorée en fonction :

« 1° Du nombre de fins de contrat de travail à l’exclusion des démissions ;

« 2° De la nature du contrat de travail et de sa durée ;

« 3° De la politique d’investissement de l’entreprise ;

« 4° De l’impact de l’entreprise sur l’environnement ;

« 5° De la taille de l’entreprise.

« Un décret précise les modalités de calcul de la minoration de la réduction dégressive de cotisations patronales. »

Objet

Cet amendement vise à conditionner les exonérations sur les bas salaires dit « allègements Fillon » au respect de bonnes pratiques sociales et environnementales des entreprises.

En 2023, les allègements et les exonérations représentent un manque à gagner de 19 milliards d’euros pour la branche Retraites de notre Sécurité sociale, alors que le déficit sera lui de 3,6 milliards d’euros selon les chiffres de la dernière LFSS.

Nous proposons ainsi de revenir sur ces cadeaux faits aux entreprises sans aucune contrepartie, plutôt que de demander aux travailleurs aux métiers les plus durs, aux carrières hachées, aux femmes, de travailler jusqu’à 64 ans.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4359 rect. bis

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – Le I de l’article L. 241-13 du code de la sécurité sociale est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« La réduction dont bénéficie chaque employeur est minorée en fonction du score obtenu en matière d’égalité professionnelle. »

II. – Un décret pris après avis des organisations syndicales précisera le barème de notation à obtenir et le niveau d’allègements perçus par les entreprises et le cas échéant la non éligibilité de celles-ci.

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent par cet amendement de repli, conditionner les réductions dégressives de cotisations sur les bas salaires (moins de 1,6 SMIC), dits « allègements Fillon » aux résultats concrets de la politique d’entreprise en matière d’égalité entre les femmes et les hommes, fondés sur les résultats de l’index d’égalité professionnelle.

 



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 3 à un additionnel après l'article 2 ter).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4360 rect. bis

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le I de l’article L. 241-13 du code de la sécurité sociale est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« La réduction dont bénéficie chaque employeur est minorée en fonction du respect de la qualité du dialogue social défini comme l’obtention par accord d’entreprise des augmentations de salaires et d’accessoires de rémunérations, des conditions de travail dans le respect des normes d’hygiène et de sécurité, une politique d’entreprise ambitieuse d’égalité professionnelle, le maintien dans l’emploi des séniors et l’association des représentants du personnels aux décisions stratégiques de l’entreprise. »

Objet

Les membres du groupe CRCE visent à conditionner les exonérations sur les bas salaires dits « allègements Fillon » au respect de la vitalité et la qualité du dialogue social en entreprise entendue comme la capacité des organisations représentatives des salariés à obtenir des avancées sociales dans leur entreprise.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 3 à un additionnel après l'article 2 ter).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4365 rect. bis

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – La première phrase du troisième alinéa du III de l’article L. 241-13 du code de la sécurité sociale est complétée par les mots : « , sans pouvoir excéder 20 % à compter du 1er juillet 2023 et 10 % à compter du 1er janvier 2024 ».

II. – À compter du 1er janvier 2025, le même article L. 241-13 est abrogé.

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent par cet amendement, supprimer progressivement entre 2023 et 2025 le dispositif « Fillon » d’allègements généraux de cotisations patronales sur les bas salaires, qui outre son coût annuel pour les finances sociales, soutient la création d’emplois peu qualifiés et mal rémunérés.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 3 à un additionnel après l'article 2 ter).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2527 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. GONTARD, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le VIII de l’article L. 241-13 du code de la sécurité sociale est ainsi rétabli :

« VIII. – La réduction est supprimée lorsque l’employeur n’a pas conclu d’accord ou de plan relatif à l’égalité professionnelle dans le cadre des obligations définies aux articles L. 2242-1 et L. 2242-3 du code du travail. »

Objet

En France, les femmes gagnent 24 % de moins que les hommes en moyenne. On estimait en 2017, qu’à partir du 3 novembre, en raison des inégalités salariales, les femmes travaillaient bénévolement jusqu’à la fin de l’année. Elles représentent 80 % des travailleur-euse-s pauvres et la course à la précarisation les touche de plein fouet. Malgré les lois successives en matière d’égalité professionnelle, les écarts en termes de salaire cessent de se réduire depuis une dizaine d’années, voire ont tendance à augmenter de nouveau.

Face à ce constat inadmissible, le groupe écologiste propose de supprimer les exonérations de cotisations sociales patronales aux entreprises ne respectant pas leurs obligations en matière d’égalité salariale. L’égalité salariale est non seulement nécessaire par principe mais elle est l’une des solutions pour renflouer les caisses de la Sécurité sociale gravement mises à mal par les mesures d’austérité et les mesures d’exonérations des gouvernements successifs. Une étude du Conseil recherche ingénierie-formation pour l’égalité femmes-hommes (Corif) publiée en 2017 indique que l’égalité des salaires rapporterait « 5,5 milliards d’euros de cotisations retraite supplémentaires ».



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 3 à un additionnel après l'article 2 ter).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2935 rect. bis

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le VIII de l’article L. 241-13 du code de la sécurité sociale est ainsi rétabli :

« VIII. – La réduction est supprimée lorsque l’employeur n’a pas conclu d’accord ou de plan relatif à l’égalité professionnelle dans le cadre des obligations définies aux articles L. 2242-1 et L. 2242-3 du code du travail. »

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à supprimer l'exonération de cotisations sociales employeurs quand l'entreprise n'a pas conclu d’accord ou de plan relatif à l’égalité professionnelle.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 3 à un additionnel après l'article 2 ter).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3832

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le VIII de l’article L. 241-13 du code de la sécurité sociale est ainsi rétabli :

« VIII. – La réduction est supprimée lorsque l’employeur n’a pas conclu d’accord ou de plan relatif à l’égalité professionnelle dans le cadre des obligations définies aux articles L. 2242-1 et L. 2242-3 du code du travail. »

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’exonération de cotisations sociales employeurs quand l’entreprise n’a pas conclu d’accord ou de plan relatif à l’égalité professionnelle.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3230 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – Le VIII de l’article L. 241-13 du code de la sécurité sociale est ainsi rétabli :

« VIII. – La réduction est supprimée lorsque l’employeur n’a pas conclu d’accord ou de plan relatif à l’égalité professionnelle dans le cadre des obligations définies aux articles L. 2242-1 et L. 2242-3 du code du travail. »

II. – Le présent article entre en vigueur le 1er juin 2023.

Objet

En France, les femmes gagnent en moyenne 28,5 % de moins que les hommes (Insee 2019). Symboliquement à partir du 3 novembre 2021 à 9h22, on estimait qu’en regard des rémunérations des hommes, les femmes travaillaient gratuitement jusqu’à la fin de l’année.

Les femmes représentent 80 % des travailleur-euse-s pauvres et la précarisation les touche de plein fouet. Malgré plusieurs textes de lois successifs en matière d’égalité professionnelle et économique, les écarts en termes de salaire ne se réduisent pas assez rapidement, voire ont cessé de se réduire.

Afin de poursuivre le travail de réduction des inégalités entre les femmes et les hommes,  cet amendement a pour objet de conditionner les exonérations de cotisations sociales patronales des entreprises au respect de leurs obligations en matière d’égalité salariale.

L’égalité salariale est non seulement nécessaire par principe. Mais elle améliorerait en plus les conditions de vie de nombreuses personnes et permettrait de renflouer les caisses de la Sécurité sociale mises à mal par la déflation salariale et les mesures d’exonérations des gouvernements successifs pas totalement compensées. Concernant les caisses du système de retraite, selon une étude de la CNAV à la demande de la CGT, l’égalité salariale se traduirait par un surcroit de recettes de 13 milliards d’euros en 2030, puis de 5,5 milliards en 2050 une fois déduite l’augmentation des pensions des femmes de 20%.

La mesure que nous proposons, dissuasive pour les entreprises ne respectant pas l’égalité salariale, permettrait de progresser dans la juste lutte contre les inégalités femme-homme et contre la culture patriarcale.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4356 rect. bis

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le VIII de l’article L. 241-13 du code de la sécurité sociale est ainsi rétabli :

« VIII. – Le bénéfice des dispositions du présent article est retiré aux employeurs n’ayant pas conclu d’accord ou de plan relatif à l’égalité professionnelle dans le cadre des obligations définies aux articles L. 2242-1 et L. 2242-3 du code du travail. Cette diminution de 90 % du montant de la réduction est cumulable avec la pénalité prévue à l’article L. 2242-5-1 du même code. »

Objet

Les membres du groupe CRCE entendent par cet amendement de repli conditionner une majeure partie (90%) des exonérations de cotisations sociales patronales à la mise en place d’un plan d’égalité professionnelle comme la loi l’impose.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 3 à un additionnel après l'article 2 ter).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 234 rect. ter

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. JACQUIN, Mmes LUBIN, de LA GONTRIE et HARRIBEY, MM. PLA, MICHAU, FÉRAUD et RAYNAL et Mmes MEUNIER et JASMIN


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Les plateformes de mise en relation par voie électronique définies à l’article 242 bis du code général des impôts sont redevables d’une contribution exceptionnelle pour les exercices 2023 et 2024. Le taux de cette contribution est fixé à 10 %.

Elle est reversée aux caisses de retraite du régime de base obligatoire. Les dispositions relatives à la répartition entre caisses de retraite sont renvoyées à un décret pris en Conseil d’État.

La contribution est assise sur l’ensemble des bénéfices réalisés dans les entreprises mentionnées au premier alinéa, réalisés en France ainsi que de ceux dont l’imposition est attribuée à la France par une convention internationale relative aux doubles impositions.

Un décret en Conseil d’État fixe la date d’application du présent article.

Objet

Cet amendement vise à faire contribuer les plateformes, telle que la société Uber, au financement des caisses de retraite pour les années 2023 et 2024, dans l'attente de l'adoption de la directive de Nicolas Schmit actuellement en cours d'examen au niveau europée.

Ces plateformes ont recours à des autoentrepreneurs plutôt qu'à des salariés afin de ne pas être redevables de cotisations sociales et patronales. Le manque à gagner pour la Sécurité sociale est de plus en plus conséquent en ce le développement de ces nouvelles formes d'emploi, notamment poussées par l'économie numérique se développent très rapidement. C'est la raison pour laquelle il est urgent de garantir à ces travailleurs le statut de salarié, comme le proposent les sénateurs socialistes depuis plusieurs années à travers différentes propositions de loi sur la coopérative, la requalification et l'inversion de la charge de la preuve. ces propositions sont aujourd'hui reprises dans la proposition de directive européenne sur les travailleurs des plateformes portée par le commissaire Nicolas Schmit, validée par le Parlement Européen début février.

Ce passage du statut d’autoentrepreneur à salarié serait synonyme, grâce aux cotisations patronales et salariales, de financements important pour les caisses de la protection sociale. Dans l'attente de la transcription de cette directive et des nombreuses décisions de justice qui vont continuer d'être prononcées (à l'image des Prud'hommes de Lyon qui ont condamné Uber à verser 17M€ à 139 chauffeurs et à les requalifier), et à défaut de toute proactivité de la part du gouvernement, il est proposer d'instaurer une contribution exceptionnelle pour 2023 et 2024.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 361 rect.

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme FÉRET


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Les plateformes de mise en relation par voie électronique définies à l’article 242 bis du code général des impôts sont redevables d’une contribution exceptionnelle pour les exercices 2023 et 2024. Le taux de cette contribution est fixé à 10 %.

Elle est reversée aux caisses de retraite du régime de base obligatoire. Les dispositions relatives à la répartition entre caisses de retraite sont renvoyées à un décret pris en Conseil d’État.

La contribution est assise sur l’ensemble des bénéfices réalisés dans les entreprises mentionnées au premier alinéa, réalisés en France ainsi que de ceux dont l’imposition est attribuée à la France par une convention internationale relative aux doubles impositions.

Un décret en Conseil d’État fixe la date d’application du présent article.

Objet

Cet amendement vise à faire contribuer les plateformes, telle que la société Uber, au financement des caisses de retraite pour les années 2023 et 2024, dans l'attente de l'adoption de la directive de Nicolas Schmit actuellement en cours d'examen au niveau européen.

Ces plateformes ont recours à des autoentrepreneurs plutôt qu'à des salariés afin de ne pas être redevables de cotisations sociales et patronales. Le manque à gagner pour la Sécurité sociale est de plus en plus conséquent, ces nouvelles formes d'emploi, notamment poussées par l'économie numérique, se développant très rapidement. C'est la raison pour laquelle il est urgent de garantir à ces travailleurs le statut de salarié, comme le proposent les sénateurs socialistes depuis plusieurs années à travers différentes propositions de loi sur la coopérative, la requalification et l'inversion de la charge de la preuve. Ces propositions sont aujourd'hui reprises dans la proposition de directive européenne sur les travailleurs des plateformes portée par le commissaire Nicolas Schmit, validée par le Parlement Européen début février.

Ce passage du statut d’autoentrepreneur à salarié serait synonyme, grâce aux cotisations patronales et salariales, de financements importants pour les caisses de la protection sociale. Dans l'attente de la transcription de cette directive et des nombreuses décisions de justice qui vont continuer d'être prononcées (à l'image des Prud'hommes de Lyon qui ont condamné Uber à verser 17M€ à 139 chauffeurs et à les requalifier), et à défaut de toute proactivité de la part du Gouvernement, il est proposé d'instaurer une contribution exceptionnelle pour 2023 et 2024.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après l'article 2 vers un article additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1471 rect.

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. KERROUCHE


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Les plateformes de mise en relation par voie électronique définies à l’article 242 bis du code général des impôts sont redevables d’une contribution exceptionnelle pour les exercices 2023 et 2024. Le taux de cette contribution est fixé à 10 %.

Elle est reversée aux caisses de retraite du régime de base obligatoire. Les dispositions relatives à la répartition entre caisses de retraite sont renvoyées à un décret pris en Conseil d’État.

La contribution est assise sur l’ensemble des bénéfices réalisés dans les entreprises mentionnées au premier alinéa, réalisés en France ainsi que de ceux dont l’imposition est attribuée à la France par une convention internationale relative aux doubles impositions.

Un décret en Conseil d’État fixe la date d’application du présent article.

Objet

Cet amendement vise à faire contribuer les plateformes, telle que la société Uber, au financement des caisses de retraite pour les années 2023 et 2024, dans l'attente de l'adoption de la directive de Nicolas Schmit actuellement en cours d'examen au niveau européen.

Ces plateformes ont recours à des autoentrepreneurs plutôt qu'à des salariés afin de ne pas être redevables de cotisations sociales et patronales. Le manque à gagner pour la Sécurité sociale est de plus en plus conséquent, le développement de ces nouvelles formes d'emploi, notamment poussées par l'économie numérique se développant très rapidement. C'est la raison pour laquelle il est urgent de garantir à ces travailleurs le statut de salarié, comme le proposent les sénateurs socialistes depuis plusieurs années à travers différentes propositions de loi sur la coopérative, la requalification et l'inversion de la charge de la preuve. Ces propositions sont aujourd'hui reprises dans la proposition de directive européenne sur les travailleurs des plateformes portée par le commissaire Nicolas Schmit, validée par le Parlement Européen début février.

Ce passage du statut d’autoentrepreneur à salarié serait synonyme, grâce aux cotisations patronales et salariales, de financements important pour les caisses de la protection sociale. Dans l'attente de la transcription de cette directive et des nombreuses décisions de justice qui vont continuer d'être prononcées (à l'image des Prud'hommes de Lyon qui ont condamné Uber à verser 17M€ à 139 chauffeurs et à les requalifier), et à défaut de toute proactivité de la part du Gouvernement, il est proposer d'instaurer une contribution exceptionnelle pour 2023 et 2024.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après l'article 2 vers un article additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2250 rect.

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LE HOUEROU


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Les plateformes de mise en relation par voie électronique définies à l’article 242 bis du code général des impôts sont redevables d’une contribution exceptionnelle pour les exercices 2023 et 2024. Le taux de cette contribution est fixé à 10 %.

Elle est reversée aux caisses de retraite du régime de base obligatoire. Les dispositions relatives à la répartition entre caisses de retraite sont renvoyées à un décret pris en Conseil d’État.

La contribution est assise sur l’ensemble des bénéfices réalisés dans les entreprises mentionnées au premier alinéa, réalisés en France ainsi que de ceux dont l’imposition est attribuée à la France par une convention internationale relative aux doubles impositions.

Un décret en Conseil d’État fixe la date d’application du présent article.



Objet

Cet amendement vise à faire contribuer les plateformes, telle que la société Uber, au financement des caisses de retraite pour les années 2023 et 2024, dans l'attente de l'adoption de la directive de Nicolas Schmit actuellement en cours d'examen au niveau europée.

Ces plateformes ont recours à des autoentrepreneurs plutôt qu'à des salariés afin de ne pas être redevables de cotisations sociales et patronales. Le manque à gagner pour la Sécurité sociale est de plus en plus conséquent en ce le développement de ces nouvelles formes d'emploi, notamment poussées par l'économie numérique se développent très rapidement. C'est la raison pour laquelle il est urgent de garantir à ces travailleurs le statut de salarié, comme le proposent les sénateurs socialistes depuis plusieurs années à travers différentes propositions de loi sur la coopérative, la requalification et l'inversion de la charge de la preuve. ces propositions sont aujourd'hui reprises dans la proposition de directive européenne sur les travailleurs des plateformes portée par le commissaire Nicolas Schmit, validée par le Parlement Européen début février.

Ce passage du statut d’autoentrepreneur à salarié serait synonyme, grâce aux cotisations patronales et salariales, de financements important pour les caisses de la protection sociale. Dans l'attente de la transcription de cette directive et des nombreuses décisions de justice qui vont continuer d'être prononcées (à l'image des Prud'hommes de Lyon qui ont condamné Uber à verser 17M€ à 139 chauffeurs et à les requalifier), et à défaut de toute proactivité de la part du gouvernement, il est proposer d'instaurer une contribution exceptionnelle pour 2023 et 2024.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après l'article 2 vers un article additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2374 rect.

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. GILLÉ


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Les plateformes de mise en relation par voie électronique définies à l’article 242 bis du code général des impôts sont redevables d’une contribution exceptionnelle pour les exercices 2023 et 2024. Le taux de cette contribution est fixé à 10 %.

Elle est reversée aux caisses de retraite du régime de base obligatoire. Les dispositions relatives à la répartition entre caisses de retraite sont renvoyées à un décret pris en Conseil d’État.

La contribution est assise sur l’ensemble des bénéfices réalisés dans les entreprises mentionnées au premier alinéa, réalisés en France ainsi que de ceux dont l’imposition est attribuée à la France par une convention internationale relative aux doubles impositions.

Un décret en Conseil d’État fixe la date d’application du présent article.

Objet

Cet amendement vise à faire contribuer les plateformes, telle que la société Uber, au financement des caisses de retraite pour les années 2023 et 2024, dans l'attente de l'adoption de la directive de Nicolas Schmit actuellement en cours d'examen au niveau europée.

Ces plateformes ont recours à des autoentrepreneurs plutôt qu'à des salariés afin de ne pas être redevables de cotisations sociales et patronales. Le manque à gagner pour la Sécurité sociale est de plus en plus conséquent en ce le développement de ces nouvelles formes d'emploi, notamment poussées par l'économie numérique se développent très rapidement. C'est la raison pour laquelle il est urgent de garantir à ces travailleurs le statut de salarié, comme le proposent les sénateurs socialistes depuis plusieurs années à travers différentes propositions de loi sur la coopérative, la requalification et l'inversion de la charge de la preuve. ces propositions sont aujourd'hui reprises dans la proposition de directive européenne sur les travailleurs des plateformes portée par le commissaire Nicolas Schmit, validée par le Parlement Européen début février.

Ce passage du statut d’autoentrepreneur à salarié serait synonyme, grâce aux cotisations patronales et salariales, de financements important pour les caisses de la protection sociale. Dans l'attente de la transcription de cette directive et des nombreuses décisions de justice qui vont continuer d'être prononcées (à l'image des Prud'hommes de Lyon qui ont condamné Uber à verser 17M€ à 139 chauffeurs et à les requalifier), et à défaut de toute proactivité de la part du gouvernement, il est proposer d'instaurer une contribution exceptionnelle pour 2023 et 2024.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après l'article 2 vers un article additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2379 rect.

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme PRÉVILLE


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Les plateformes de mise en relation par voie électronique définies à l’article 242 bis du code général des impôts sont redevables d’une contribution exceptionnelle pour les exercices 2023 et 2024. Le taux de cette contribution est fixé à 10 %.

Elle est reversée aux caisses de retraite du régime de base obligatoire. Les dispositions relatives à la répartition entre caisses de retraite sont renvoyées à un décret pris en Conseil d’État.

La contribution est assise sur l’ensemble des bénéfices réalisés dans les entreprises mentionnées au premier alinéa, réalisés en France ainsi que de ceux dont l’imposition est attribuée à la France par une convention internationale relative aux doubles impositions.

Un décret en Conseil d’État fixe la date d’application du présent article.

Objet

Cet amendement vise à faire contribuer les plateformes, telle que la société Uber, au financement des caisses de retraite pour les années 2023 et 2024, dans l'attente de l'adoption de la directive de Nicolas Schmit actuellement en cours d'examen au niveau europée.

Ces plateformes ont recours à des autoentrepreneurs plutôt qu'à des salariés afin de ne pas être redevables de cotisations sociales et patronales. Le manque à gagner pour la Sécurité sociale est de plus en plus conséquent en ce le développement de ces nouvelles formes d'emploi, notamment poussées par l'économie numérique se développent très rapidement. C'est la raison pour laquelle il est urgent de garantir à ces travailleurs le statut de salarié, comme le proposent les sénateurs socialistes depuis plusieurs années à travers différentes propositions de loi sur la coopérative, la requalification et l'inversion de la charge de la preuve. ces propositions sont aujourd'hui reprises dans la proposition de directive européenne sur les travailleurs des plateformes portée par le commissaire Nicolas Schmit, validée par le Parlement Européen début février.

Ce passage du statut d’autoentrepreneur à salarié serait synonyme, grâce aux cotisations patronales et salariales, de financements important pour les caisses de la protection sociale. Dans l'attente de la transcription de cette directive et des nombreuses décisions de justice qui vont continuer d'être prononcées (à l'image des Prud'hommes de Lyon qui ont condamné Uber à verser 17M€ à 139 chauffeurs et à les requalifier), et à défaut de toute proactivité de la part du gouvernement, il est proposer d'instaurer une contribution exceptionnelle pour 2023 et 2024.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après l'article 2 vers un article additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4264 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Les plateformes de mise en relation par voie électronique définies à l’article 242 bis du code général des impôts sont redevables d’une contribution exceptionnelle pour les exercices 2023 et 2024. Le taux de cette contribution est fixé à 10 %.

Elle est reversée aux caisses de retraite des régimes de base obligatoires. Les dispositions relatives à la répartition entre caisses de retraite sont renvoyées à un décret en Conseil d’État.

La contribution est assise sur l’ensemble des bénéfices réalisés dans les entreprises mentionnées au premier alinéa, réalisés en France ainsi que de ceux dont l’imposition est attribuée à la France par une convention internationale relative aux doubles impositions.

Un décret en Conseil d’État fixe la date d’application du présent article.

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent poser dans le débat, les cotisations dont sont exemptées les plateformes numériques de travail, qui par ce travail précarisé, favorisent les baisses de cotisations générées par les travailleuses et les travailleurs. Pour remédier à cette problématique, il est proposé de créer une contribution sur les bénéfices de ces plateformes afin de les faire participer au financement de la protection sociale et plus précisément du régime général de notre système de retraite.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 78 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Sagesse du Sénat
Adopté

Mme Nathalie DELATTRE, MM. ARTANO, BILHAC, CABANEL, CORBISEZ, FIALAIRE, GOLD et GUÉRINI, Mme GUILLOTIN, M. GUIOL, Mme PANTEL et MM. REQUIER et ROUX


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Dans un délai de six mois à compter de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement présente au Parlement un rapport sur l’application aux travailleurs indépendants mentionnés à l’article L. 613-7 du code de la sécurité sociale et exerçant leur activité à titre principal, de la cotisation d’assurance vieillesse mentionnée à l’article L. 633-1 du même code, tel que modifié par l’article 15 de la loi n° 2017-1836 du 30 décembre 2017 de financement de la sécurité sociale pour 2018.

Objet

Cet amendement propose que le Gouvernement remette au Parlement, dans un délai de six mois de la publication de la présente loi, un rapport visant à :
- quantifier les enjeux de la retraite des travailleurs indépendants au regard des nouvelles formes de travail (la micro-entreprise notamment);
- proposer que les modalités selon lesquelles la cotisation minimale pour la retraite de base soient appliquées à l'ensemble des travailleurs indépendants, y compris ceux assujettis au régime fiscal et social de la micro-entreprise, lorsque ces derniers exercent leur activité à titre principal.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 112 rect.

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. MENONVILLE


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Dans un délai de six mois à compter de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement présente au Parlement un rapport sur l’application aux travailleurs indépendants mentionnés à l’article L. 613-7 du code de la sécurité sociale et exerçant leur activité à titre principal, de la cotisation d’assurance vieillesse mentionnée à l’article L. 633-1 du même code, tel que modifié par l’article 15 de la loi n° 2017-1836 du 30 décembre 2017 de financement de la sécurité sociale pour 2018.

Objet

Il s'agit d'un amendement de repli, qui tend à prévoir que le Gouvernement remette au Parlement, dans un délai de 6 mois de la publication de la LFSS 2023, un rapport qui visera un double objectif :

-        d’une part quantifier les enjeux de la retraite des travailleurs indépendants au regard des nouvelles formes de travail ;

-        d’autre part proposer les modalités selon lesquelles la cotisation minimale pour la retraite de base, visée à l’article L. 633-1 du Code de la Sécurité sociale, tel que modifié par l’article 15 de la loi n°2017-1836 du 30 décembre 2017 de financement de la sécurité sociale pour 2018, et actuellement appliquée aux seuls travailleurs indépendants de droit commun, soit appliquée à tous les travailleurs indépendants, y compris ceux assujettis au régime fiscal et social de la micro-entreprise, lorsque ces derniers exercent leur activité à titre principal.

Le régime social de la micro-entreprise est une bombe à retardement : 60% des entrepreneurs individuels choisissent ce régime en début d’activité, avec une moyenne de chiffres d’affaires de 10 000 euros. N’étant pas assujettis à l’obligation de verser une cotisation vieillesse minimale, leurs droits à la retraite sont très faibles. 

Dans les conditions actuelles, les nouvelles formes de travail (plateformes numériques et autres…) feront qu’à terme des centaines de milliers de personnes seront au minimum vieillesse.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après l'article 2 vers un article additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 204 rect. quater

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Sagesse du Sénat
Adopté

Mme BLATRIX CONTAT, M. BOURGI, Mme BRIQUET et MM. CARDON, DEVINAZ, DURAIN, ÉBLÉ, FÉRAUD, Patrice JOLY, MAGNER, MONTAUGÉ, PLA, STANZIONE, TEMAL et HINGRAY


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Dans un délai de six mois à compter de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement présente au Parlement un rapport sur l’application aux travailleurs indépendants mentionnés à l’article L. 613-7 du code de la sécurité sociale et exerçant leur activité à titre principal, de la cotisation d’assurance vieillesse mentionnée à l’article L. 633-1 du même code, tel que modifié par l’article 15 de la loi n° 2017-1836 du 30 décembre 2017 de financement de la sécurité sociale pour 2018.

Objet

Du point de vue des retraites, le régime social de la micro-entreprise est une bombe à retardement : 60% des entrepreneurs individuels choisissent ce régime en début d’activité, avec une moyenne de chiffres d’affaires de 10 000 euros. N’étant pas assujettis à l’obligation de verser une cotisation vieillesse minimale, leurs droits à la retraite sont aussi très faibles.

Dans les conditions actuelles, les nouvelles formes de travail (plateformes numériques et autres…) feront qu’à terme des centaines de milliers de personnes seront au minimum vieillesse.

Il est donc proposé que le Gouvernement remette au Parlement, dans un délai de 6 mois après la publication de cette LFSS rectificative 2023, un rapport qui visera un double objectif :

-       d’une part quantifier les enjeux de la retraite des travailleurs indépendants au regard des nouvelles formes de travail ;

-       d’autre part proposer les modalités selon lesquelles la cotisation minimale pour la retraite de base, visée à l’article L. 633-1 du Code de la Sécurité sociale, tel que modifié par l’article 15 de la loi n°2017-1836 du 30 décembre 2017 de financement de la sécurité sociale pour 2018, et actuellement appliquée aux seuls travailleurs indépendants de droit commun, soit appliquée à tous les travailleurs indépendants, y compris ceux assujettis au régime fiscal et social de la micro-entreprise, lorsque ces derniers exercent leur activité à titre principal.

Le rapport s’attachera à décrire plus particulièrement la cible des travailleurs assujettis au régime de la micro-entreprise qui exercent leur activité à titre principal, car ceux qui sont à ce régime pour un complément d’activité créent leurs droits à la retraite grâce à leur activité salariée et ne seront pas visés par l’extension de l’obligation.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 235 rect. ter

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Sagesse du Sénat
Adopté

M. JACQUIN, Mmes LUBIN, de LA GONTRIE et HARRIBEY, MM. MICHAU et RAYNAL et Mmes MEUNIER et JASMIN


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Dans un délai de six mois à compter de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement présente au Parlement un rapport sur l’application aux travailleurs indépendants mentionnés à l’article L. 613-7 du code de la sécurité sociale et exerçant leur activité à titre principal, de la cotisation d’assurance vieillesse mentionnée à l’article L. 633-1 du même code, tel que modifié par l’article 15 de la loi n° 2017-1836 du 30 décembre 2017 de financement de la sécurité sociale pour 2018.

Objet

Du point de vue des retraites, le régime social de la micro-entreprise est une bombe à retardement : 60 % des entrepreneurs individuels choisissent ce régime en début d’activité, avec une moyenne de chiffres d’affaires de 10 000 euros. N’étant pas assujettis à l’obligation de verser une cotisation vieillesse minimale, leurs droits à la retraite sont très faibles.
 
Dans les conditions actuelles, les nouvelles formes de travail (plateformes numériques et autres…) feront qu’à terme des centaines de milliers de personnes seront au minimum vieillesse.
 
Il est donc proposé que le Gouvernement remette au Parlement un rapport qui visera d’une part à quantifier les enjeux de la retraite des travailleurs indépendants au regard des nouvelles formes de travail, et d’autre part à proposer les modalités que le gouvernement compte mettre en place pour éviter que les auto et microentrepreneurs, formes d'emplois dont il encourage le développement, ne soient autant de retraités pauvres à la fin de leur carrière.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 362 rect.

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Sagesse du Sénat
Adopté

Mme FÉRET


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Dans un délai de six mois à compter de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement présente au Parlement un rapport sur l’application aux travailleurs indépendants mentionnés à l’article L. 613-7 du code de la sécurité sociale et exerçant leur activité à titre principal, de la cotisation d’assurance vieillesse mentionnée à l’article L. 633-1 du même code, tel que modifié par l’article 15 de la loi n° 2017-1836 du 30 décembre 2017 de financement de la sécurité sociale pour 2018.

Objet

Du point de vue des retraites, le régime social de la micro-entreprise est une bombe à retardement : 60 % des entrepreneurs individuels choisissent ce régime en début d’activité, avec une moyenne de chiffres d’affaires de 10 000 euros. N’étant pas assujettis à l’obligation de verser une cotisation vieillesse minimale, leurs droits à la retraite sont très faibles.
 
Dans les conditions actuelles, les nouvelles formes de travail (plateformes numériques et autres…) feront qu’à terme des centaines de milliers de personnes seront au minimum vieillesse.
 
Il est donc proposé que le Gouvernement remette au Parlement un rapport qui visera d’une part à quantifier les enjeux de la retraite des travailleurs indépendants au regard des nouvelles formes de travail, et d’autre part à proposer les modalités que le Gouvernement compte mettre en place pour éviter que les auto et microentrepreneurs, formes d'emplois dont il encourage le développement, ne soient autant de retraités pauvres à la fin de leur carrière.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après l'article 2 vers un article additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1472 rect.

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Sagesse du Sénat
Adopté

M. KERROUCHE


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Dans un délai de six mois à compter de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement présente au Parlement un rapport sur l’application aux travailleurs indépendants mentionnés à l’article L. 613-7 du code de la sécurité sociale et exerçant leur activité à titre principal, de la cotisation d’assurance vieillesse mentionnée à l’article L. 633-1 du même code, tel que modifié par l’article 15 de la loi n° 2017-1836 du 30 décembre 2017 de financement de la sécurité sociale pour 2018.

Objet

Du point de vue des retraites, le régime social de la micro-entreprise est une bombe à retardement : 60 % des entrepreneurs individuels choisissent ce régime en début d’activité, avec une moyenne de chiffres d’affaires de 10 000 euros. N’étant pas assujettis à l’obligation de verser une cotisation vieillesse minimale, leurs droits à la retraite sont très faibles.
 
Dans les conditions actuelles, les nouvelles formes de travail (plateformes numériques et autres…) feront qu’à terme des centaines de milliers de personnes seront au minimum vieillesse.
 
Il est donc proposé que le Gouvernement remette au Parlement un rapport visant d’une part, à quantifier les enjeux de la retraite des travailleurs indépendants au regard des nouvelles formes de travail, et d’autre part, à proposer les modalités à mettre en place pour éviter que les auto et microentrepreneurs, formes d'emplois dont le Gouvernement encourage le développement, ne soient autant de retraités pauvres à la fin de leur carrière.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après l'article 2 vers un article additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2251 rect.

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Sagesse du Sénat
Adopté

Mme LE HOUEROU


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Dans un délai de six mois à compter de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement présente au Parlement un rapport sur l’application aux travailleurs indépendants mentionnés à l’article L. 613-7 du code de la sécurité sociale et exerçant leur activité à titre principal, de la cotisation d’assurance vieillesse mentionnée à l’article L. 633-1 du même code, tel que modifié par l’article 15 de la loi n° 2017-1836 du 30 décembre 2017 de financement de la sécurité sociale pour 2018.

Objet

Du point de vue des retraites, le régime social de la micro-entreprise est une bombe à retardement : 60 % des entrepreneurs individuels choisissent ce régime en début d’activité, avec une moyenne de chiffres d’affaires de 10 000 euros. N’étant pas assujettis à l’obligation de verser une cotisation vieillesse minimale, leurs droits à la retraite sont très faibles.
 
Dans les conditions actuelles, les nouvelles formes de travail (plateformes numériques et autres…) feront qu’à terme des centaines de milliers de personnes seront au minimum vieillesse.
 
Il est donc proposé que le Gouvernement remette au Parlement un rapport qui visera d’une part à quantifier les enjeux de la retraite des travailleurs indépendants au regard des nouvelles formes de travail, et d’autre part à proposer les modalités que le gouvernement compte mettre en place pour éviter que les auto et microentrepreneurs, formes d'emplois dont il encourage le développement, ne soient autant de retraités pauvres à la fin de leur carrière.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après l'article 2 vers un article additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2375 rect.

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. GILLÉ


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Dans un délai de six mois à compter de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement présente au Parlement un rapport sur l’application aux travailleurs indépendants mentionnés à l’article L. 613-7 du code de la sécurité sociale et exerçant leur activité à titre principal, de la cotisation d’assurance vieillesse mentionnée à l’article L. 633-1 du même code, tel que modifié par l’article 15 de la loi n° 2017-1836 du 30 décembre 2017 de financement de la sécurité sociale pour 2018.

Objet

Du point de vue des retraites, le régime social de la micro-entreprise est une bombe à retardement : 60 % des entrepreneurs individuels choisissent ce régime en début d’activité, avec une moyenne de chiffres d’affaires de 10 000 euros. N’étant pas assujettis à l’obligation de verser une cotisation vieillesse minimale, leurs droits à la retraite sont très faibles.
 
Dans les conditions actuelles, les nouvelles formes de travail (plateformes numériques et autres…) feront qu’à terme des centaines de milliers de personnes seront au minimum vieillesse.
 
Il est donc proposé que le Gouvernement remette au Parlement un rapport qui visera d’une part à quantifier les enjeux de la retraite des travailleurs indépendants au regard des nouvelles formes de travail, et d’autre part à proposer les modalités que le gouvernement compte mettre en place pour éviter que les auto et microentrepreneurs, formes d'emplois dont il encourage le développement, ne soient autant de retraités pauvres à la fin de leur carrière.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après l'article 2 vers un article additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2380 rect.

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Sagesse du Sénat
Adopté

Mme PRÉVILLE


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Dans un délai de six mois à compter de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement présente au Parlement un rapport sur l’application aux travailleurs indépendants mentionnés à l’article L. 613-7 du code de la sécurité sociale et exerçant leur activité à titre principal, de la cotisation d’assurance vieillesse mentionnée à l’article L. 633-1 du même code, tel que modifié par l’article 15 de la loi n° 2017-1836 du 30 décembre 2017 de financement de la sécurité sociale pour 2018.

Objet

Du point de vue des retraites, le régime social de la micro-entreprise est une bombe à retardement : 60 % des entrepreneurs individuels choisissent ce régime en début d’activité, avec une moyenne de chiffres d’affaires de 10 000 euros. N’étant pas assujettis à l’obligation de verser une cotisation vieillesse minimale, leurs droits à la retraite sont très faibles.
 
Dans les conditions actuelles, les nouvelles formes de travail (plateformes numériques et autres…) feront qu’à terme des centaines de milliers de personnes seront au minimum vieillesse.
 
Il est donc proposé que le Gouvernement remette au Parlement un rapport qui visera d’une part à quantifier les enjeux de la retraite des travailleurs indépendants au regard des nouvelles formes de travail, et d’autre part à proposer les modalités que le gouvernement compte mettre en place pour éviter que les auto et microentrepreneurs, formes d'emplois dont il encourage le développement, ne soient autant de retraités pauvres à la fin de leur carrière.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après l'article 2 vers un article additionnel après l'article 2 ter)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4640 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Sagesse du Sénat
Adopté

Mmes SCHILLINGER et HAVET, MM. HAYE, RAMBAUD, MOHAMED SOILIHI et MARCHAND, Mme DURANTON et MM. LEMOYNE et HASSANI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l’article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Dans un délai de six mois à compter de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement présente au Parlement un rapport sur l’application aux travailleurs indépendants mentionnés à l’article L. 613-7 du code de la sécurité sociale et exerçant leur activité à titre principal, de la cotisation d’assurance vieillesse mentionnée à l’article L. 633-1 du même code, tel que modifié par l’article 15 de la loi n° 2017-1836 du 30 décembre 2017 de financement de la sécurité sociale pour 2018.

Objet

Du point de vue des retraites, le régime social de la micro-entreprise est une bombe à retardement : 60% des entrepreneurs individuels choisissent ce régime en début d’activité, avec une moyenne de chiffres d’affaires de 10 000 euros. N’étant pas assujettis à l’obligation de verser une cotisation vieillesse minimale, leurs droits à la retraite sont très faibles.

Dans les conditions actuelles, les nouvelles formes de travail (plateformes numériques et autres…) feront qu’à terme des centaines de milliers de personnes seront au minimum vieillesse.

Il est donc proposé que le Gouvernement remette au Parlement, dans un délai de 6 mois de la publication de la LFSS 2023, un rapport qui visera un double objectif :

-       d’une part quantifier les enjeux de la retraite des travailleurs indépendants au regard des nouvelles formes de travail ;

-       d’autre part proposer les modalités selon lesquelles la cotisation minimale pour la retraite de base, visée à l’article L. 633-1 du Code de la Sécurité sociale, tel que modifié par l’article 15 de la loi n°2017-1836 du 30 décembre 2017 de financement de la sécurité sociale pour 2018, et actuellement appliquée aux seuls travailleurs indépendants de droit commun, soit appliquée à tous les travailleurs indépendants, y compris ceux assujettis au régime fiscal et social de la micro-entreprise, lorsque ces derniers exercent leur activité à titre principal.

Le rapport s’attachera à décrire plus particulièrement la cible des travailleurs assujettis au régime de la micro-entreprise qui exercent leur activité à titre principal, car ceux qui sont à ce régime pour un complément d’activité créent leurs droits à la retraite grâce à leur activité salariée et ne seront pas visés par l’extension de l’obligation.

Ce rapport, visant à instaurer une mesure d’équité et de bon sens, s’inscrit dans l’objectif du gouvernement d’une réforme de justice et de progrès social.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4730 rect. ter

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

MM. THÉOPHILE, IACOVELLI et PATIENT


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Dans un délai de six mois à compter de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement présente au Parlement un rapport sur l’application aux travailleurs indépendants mentionnés à l’article L.613-7 du code de la sécurité sociale et exerçant leur activité à titre principal, de la cotisation d’assurance vieillesse mentionnée à l’article L. 633-1 du même code, tel que modifié par l’article 15 de la loi n° 2017-1836 du 30 décembre 2017 de financement de la sécurité sociale pour 2018.

Objet

Cet amendement demande au Gouvernement de remettre au Parlement un rapport visant à quantifier les enjeux de la retraite des travailleurs indépendants au regard des nouvelles formes de travail, et proposer que les modalités selon lesquelles la cotisation minimale pour la retraite de base soient appliquées à l'ensemble des travailleurs indépendants, y compris ceux assujettis au régime fiscal et social de la micro-entreprise, lorsque ces derniers exercent leur activité à titre principal.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4566 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme GACQUERRE


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Dans un délai d'un an à compter de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport sur l’application aux travailleurs indépendants mentionnés à l’article L. 613-7 du code de la sécurité sociale et exerçant leur activité à titre principal, de la cotisation d’assurance vieillesse mentionnée à l’article L. 633-1 du même code, tel que modifié par l’article 15 de la loi n° 2017-1836 du 30 décembre 2017 de financement de la sécurité sociale pour 2018.

Objet

Cet amendement propose que le Gouvernement remette au Parlement, dans un délai d'un an de la publication de la présente loi, un rapport visant à :

- Evaluer les modalités d’application et l’impact d’une extension de la cotisation minimale pour la retraite de base à tous les travailleurs indépendants, y à compris ceux assujettis au régime fiscal et social de la micro-entreprise lorsque ces derniers exercent leur activité à titre principal.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un additionnel après l'article 2 à un additionnel après l'article 2 ter)
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 151 rect. ter

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. LUREL et Mmes CONCONNE, LE HOUEROU, Gisèle JOURDA et JASMIN


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Dans un délai de six mois à compter de la publication de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport faisant le bilan de l’application de l’article 8 de la loi n° 2020-1576 du 14 décembre 2020 de financement de la sécurité sociale pour 2021. Ce rapport présente différentes options législatives ou réglementaires permettant l’intégration des rémunérations destinées à compenser la cherté de la vie et les charges liées aux conditions locales d’existence dans l’assiette de cotisation et dans l’assiette de constitution des droits à pension des agents publics ou assimilés exerçant dans une collectivité d’outre-mer et mesurant l’impact financier de chaque option pour les collectivités concernées.

Objet

Cet amendement propose la remise d’un rapport présentant différentes options permettant l’intégration des primes des fonctionnaires des outre-mer dans l’assiette de cotisation et de constitution des droits à pension.

Outre l’indemnité de résidence (égale au maximum à 3 % du traitement indiciaire brut), les rémunérations des fonctionnaires exerçant outre-mer comprennent des majorations de traitement outre-mer comprises entre 40 % et 108 % du traitement indiciaire brut en fonction de la collectivité d’outre-mer d’exercice des fonctions.

Répondant à une demande syndicale exprimée de longue date, cet amendement propose de demander au Gouvernement une simulation comptable et légistique permettant d’envisager une prise en compte de la prime de vie chère dans la Constitution des droits futurs à la retraites afin d’éviter la chute brutale de pouvoir d’achat que subissent les fonctionnaires exerçant outre-mer lors de leur départ en retraite.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1250 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme JASMIN, M. LUREL, Mme LUBIN, M. FÉRAUD, Mmes LE HOUEROU et POUMIROL, M. RAYNAL, Mme PRÉVILLE, MM. BOURGI, Patrice JOLY et PLA, Mme CONWAY-MOURET, MM. ÉBLÉ et TISSOT, Mme BLATRIX CONTAT, MM. CARDON et GILLÉ et Mme MONIER


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 2 TER


Après l'article 2 ter

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Dans un délai de six mois à compter de la publication de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport sur l’impact de la réforme des retraites en outre-mer et les adaptations possibles compte-tenu des spécificités de chaque territoire.

Objet

Dans les territoires d'outre-mer,  qui connaissent déjà des situations économiques et sociales très fragiles, risquent de subir plus encore que dans l'hexagone des effets de cette nouvelle réforme des retraites.

En effet, le principal axe de la reforme du Gouvernement est le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans. Selon la Caisse nationale d’assurance vieillesse (CNAV), l’âge effectif de départ à la retraite en 2021 en France métropolitaine est en moyenne de 62,7 ans, alors que dans les Outre-mer, ce seuil de 64 ans est déjà atteint voire dépassé : l'âge effectif moyen s’échelonne en effet entre 64,3 ans (à La Réunion) et 65 ans (en Guyane).

Dès lors, dans les territoires d’Outre-mer, en raison des nombreuses disparités du marché de l'emploi et des grandes inégalités dans les carrières professionnelles, il y a un taux de chômage qui est beaucoup plus important des jeunes et également des seniors, et des qualifications qui sont moindres et donc des niveaux de revenus bien plus bas que dans le reste du pays.

Appliquer en l'état  , cette réforme en Outre-mer, va mécaniquement faire que les gens vont travailler plus longtemps pour avoir le même niveau de pension.

Malheureusement, sans étude d'impact préalable, il est particulièrement compliqué de prévoir, d'ores et déjà, au niveau de la loi, les mesures d’adaptations indispensables, à la fois pour tenir compte de la diversité des ces territoires d'Outre-mer et pour tenir compte de leurs spécificités en matière d'emplois et de retraites.

Aussi, cet amendement de sagesse, propose au Gouvernement de remettre à la représentation nationale, un rapport sur l'impact de cette réforme en Outre-mer et d'y présenter les possibilités de différenciation, en tenant compte des particularités de chaque territoire.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2115

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mme DOINEAU et M. SAVARY

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 3


Alinéa 18

Supprimer les mots :

l'Agence centrale des organismes de sécurité sociale valide les conditions selon lesquelles

Objet

Amendement rédactionnel






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2887 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 3


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

…. – Dans les six mois suivant la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet un rapport au Parlement sur l’application de l’article 18 de la loi n° 2019-1446 du 24 décembre 2019 de financement de la sécurité sociale pour 2020. Ce rapport se penche plus largement sur la pertinence de l’unification du recouvrement des cotisations sociales.

Objet

 Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et et républicain vise à remettre un rapport au Parlement sur les réels gains des mouvements d'unifications déjà réalisés, eu égard à leurs coûts directs et indirects.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2848 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 3


Après l’article 3

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le 1° du IV de l’article L. 114-4 du code de la sécurité sociale est abrogé.

Objet

L’article L114-4 dispose que comité de suivi des retraites remet au Gouvernement, aux caisses nationales des régimes obligatoires de base d’assurance vieillesse, aux services de l’État chargés de la liquidation des pensions et aux régimes de retraite complémentaire légalement obligatoires des recommandations s’il considère que le système de retraite s’éloigne, de façon significative, des objectifs définis au II de l’article L. 111-2-1.

Or l’alinéa 18 de cet article stipule que ces recommandations ne peuvent augmenter le taux de cotisation d’assurance vieillesse, de base et complémentaire, au-delà de limites fixées par décret.

L’ article D114-4-0-13 précise ainsi que les recommandations du comité de suivi des retraites mentionnées au II de l’article L. 114-4 ne peuvent tendre à augmenter au-delà de 28 % la somme des taux de cotisation d’assurance vieillesse assises sur les rémunérations ou gains pour un salarié non cadre, à carrière ininterrompue, relevant du régime général d’assurance vieillesse et d’une institution de retraite complémentaire mentionnée à l’article L. 921-4 et dont la rémunération mensuelle est égale au salaire moyen du tiers inférieur de la distribution des salaires.

Plusieurs économistes s’accordent à dire, dont Madame Anne Lavigne, Professeure à l’Université d’Orléans auditionnée par le Groupe socialiste, écologiste et républicain du Sénat qu’il est impératif de se libérer de ce plafond pour retrouver de la marge de manœuvre permettant d’alimenter le régime des retraites.

Tel est l’objet de cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4553 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Retiré

M. DECOOL, Mme MÉLOT, MM. CAPUS, LAGOURGUE, WATTEBLED, CHASSEING et MENONVILLE et Mme PAOLI-GAGIN


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 3


Après l'article 3

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’article L. 115-3 du code de la sécurité sociale est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« Toute décision doit mentionner les possibilités de recours de manière apparente, claire et compréhensible et en première page du document. Elle rappelle à la personne concernée la faculté de se faire assister d’un conseil pour effectuer lesdits recours. »

Objet

Au milieu d’un droit qui se veut de plus en plus complexe, il est proposé, s’agissant de tous les contentieux en matière de sécurité sociale, que toute décision mentionne les possibilités de recours de manière apparente, claire et compréhensible et en première page du document, en rappelant en outre à la personne concernée la faculté de se faire assister d’un conseil pour effectuer lesdits recours.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3228

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 3


 Après l’article 3

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Après le 2° de l’’article L. 131-7 du code de la sécurité sociale, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :

« …° À toute mesure de réduction ou d’exonération de cotisations de sécurité sociale, instituée à compter du 1er janvier 2023, est compensée par la suppression, dans la même proportion, d’une mesure de réduction ou d’exonération de cotisations de sécurité sociale existante. »

Objet

Cet amendement vise à créer un principe de non-prolifération des dispositifs d’exonération de cotisations sociales en prévoyant que chaque nouveau dispositif fasse l’objet de la suppression d’un dispositif existant pour un montant équivalent.

Le coût total des mesures d’exonération prétendument en faveur de l’emploi (réduction générale de cotisations patronales, application de taux réduits de cotisation et mesures d’exonérations ciblées, y compris celles spécifiques à la gestion de la crise) et des aides au paiement a atteint 73,8 Md€ en 2021 pour l’ensemble des régimes de sécurité sociale, soit une hausse de 9,3%.

Ainsi, ces dispositifs d’exonération ont entraîné en 2021 une dépense publique et / ou une perte de recettes quand ils ne sont pas compensés, estimée à 31,8 Md€ pour la branche maladie, 15,7 Md€ pour la branche vieillesse, 13,1 Md€ pour la branche famille, 0,3 Md€ pour la branche AT-MP, 0,4 Md€ pour la branche autonomie et 10,7 Md€ pour l’Agirc-Arrco, l’Unédic et le FNAL, d’après la Commission des comptes de la Sécurité sociale

La Cour des Comptes dans son rapport sur l’application des lois de financement de la sécurité sociale constate en 2019, dans le chapitre dédié aux “niches sociales” que même “lorsque des évaluations constatent l’inefficacité de certaines « niches », celles-ci ne sont que rarement remises en question”.

Ces dispositifs de contournement sont d’autant plus problématiques que le manque à gagner n’est pas intégralement compensé à la Sécurité sociale par l’État, contrairement à la majorité des exonérations « classiques ». C’est d’ailleurs peut-être un des objectifs du gouvernement que de fragiliser encore davantage la Sécurité sociale pour mieux justifier ensuite ses réformes et la remise en cause de nos services publics. 

Nous souhaitons ainsi limiter le nombre des dispositifs, en attendant de les réduire.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2932 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 3


Après l’article 3

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’article L. 131-7 du code de la sécurité sociale est complété par un paragraphe ainsi rédigé :

« …. – Toute mesure de réduction ou d’exonération de cotisations de sécurité sociale, instituée à compter du 1er janvier 2023, est compensée par la suppression dans la même proportion d’une mesure de réduction ou d’exonération de cotisations de sécurité sociale existante. »

Objet

Cet amendement du groupe du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à limiter la mise en place de nouveaux dispositifs d’exonérations de cotisations sociales en prévoyant que chaque nouveau dispositif fait l’objet de la suppression d’un dispositif existant pour un montant équivalent..



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3227

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 3


 Après l’article 3

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le Gouvernement remet un rapport au Parlement dans l’année suivant la promulgation de la présente loi sur l’opportunité que toute mesure de réduction ou d’exonération de cotisations de sécurité sociale instituée soit compensée par la suppression, dans la même proportion, d’une mesure de réduction ou d’exonération de cotisations de sécurité sociale existante.

Objet

Cet amendement vise à créer un principe de non-prolifération des dispositifs d’exonération de cotisations sociales en prévoyant que chaque nouveau dispositif fasse l’objet de la suppression d’un dispositif existant pour un montant équivalent.

Le coût total des mesures d’exonération prétendument en faveur de l’emploi (réduction générale de cotisations patronales, application de taux réduits de cotisation et mesures d’exonérations ciblées, y compris celles spécifiques à la gestion de la crise) et des aides au paiement a atteint 73,8 Md€ en 2021 pour l’ensemble des régimes de sécurité sociale, soit une hausse de 9,3%.

Ainsi, ces dispositifs d’exonération ont entraîné en 2021 une dépense publique et / ou une perte de recettes quand ils ne sont pas compensés, estimée à 31,8 Md€ pour la branche maladie, 15,7 Md€ pour la branche vieillesse, 13,1 Md€ pour la branche famille, 0,3 Md€ pour la branche AT-MP, 0,4 Md€ pour la branche autonomie et 10,7 Md€ pour l’Agirc-Arrco, l’Unédic et le FNAL, d’après la Commission des comptes de la Sécurité sociale

La Cour des Comptes dans son rapport sur l’application des lois de financement de la sécurité sociale constate en 2019, dans le chapitre dédié aux “niches sociales” que même “lorsque des évaluations constatent l’inefficacité de certaines « niches », celles-ci ne sont que rarement remises en question”.

Ces dispositifs de contournement sont d’autant plus problématiques que le manque à gagner n’est pas intégralement compensé à la Sécurité sociale par l’État, contrairement à la majorité des exonérations « classiques ». C’est d’ailleurs peut-être un des objectifs du gouvernement que de fragiliser encore davantage la Sécurité sociale pour mieux justifier ensuite ses réformes et la remise en cause de nos services publics. 

Nous souhaitons ainsi limiter le nombre des dispositifs, en attendant de les réduire.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3229

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 3


 Après l’article 3

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Après le 2° de l’’article L. 131-7 du code de la sécurité sociale, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :

« …° Toute mesure de réduction ou d’exonération de cotisations de sécurité sociale instituée ou maintenue à compter du 1er janvier 2023 fait l’objet d’une évaluation de son efficacité au regard de son coût réalisée par la Cour des comptes en application du cinquième alinéa de l’article 47-1 de la Constitution. »

Objet

Le coût total des mesures d’exonération en faveur de l’emploi (réduction générale de cotisations patronales, application de taux réduits de cotisation et mesures d’exonérations ciblées, y compris celles spécifiques à la gestion de la crise) et des aides au paiement a atteint 73,8 Md€ en 2021 pour l’ensemble des régimes de sécurité sociale, soit une hausse de 9,3%. Ainsi, ces dispositifs d’exonération ont entraîné en 2021 une dépense publique et / ou une perte de recettes quand ils ne sont pas compensés, estimée à 31,8 Md€ pour la branche maladie, 15,7 Md€ pour la branche vieillesse, 13,1 Md€ pour la branche famille, 0,3 Md€ pour la branche AT-MP, 0,4 Md€ pour la branche autonomie et 10,7 Md€ pour l’Agirc-Arrco, l’Unédic et le FNAL, d’après la Commission des comptes de la Sécurité sociale

La Cour des Comptes dans son rapport sur l’application des lois de financement de la sécurité sociale constate de 2019, dans le chapitre dédié aux “niches sociales” que même “lorsque des évaluations constatent l’inefficacité de certaines « niches », celles-ci ne sont que rarement remises en question”.

Il s’agit alors, avec cet amendement, de mener une évaluation des réductions ou des exonérations des cotisations sociales quant à leurs effets sur l’emploi ou les conditions de travail.

Puisque comme l’a énoncé le Président de la République, “il n’y a pas d’argent magique”. Chaque dépense doit être évaluée en fonction de son efficacité et de son efficience.

 

 






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2934 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 3


Après l’article 3

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’article L. 131-7 du code de la sécurité sociale est complété par un paragraphe ainsi rédigé :

« …. – Toute mesure de réduction ou d’exonération de cotisations de sécurité sociale, instituée à compter du 1er janvier 2023 fait l’objet d’une évaluation de son efficacité au regard de son coût réalisée par la Cour des comptes en application du cinquième alinéa de l’article 47-1 de la Constitution. » 

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à abroger les exonérations de cotisations sociales inefficaces pour résorber le déficit temporaire du système de retraite lié au papy-boom



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2931 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 3


Après l’article 3

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le II de l’article L. 131-7 du code de la sécurité sociale est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« Toute mesure de réduction ou d’exonération de cotisations de sécurité sociale, instituée à compter du 1er janvier 2023, est conditionnée au respect d’indicateurs de qualité de l’emploi et du dialogue social par les entreprises bénéficiaires. Ces indicateurs sont définis par décret. »

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à conditionner les exonérations de cotisations sociales au respect de bonnes pratiques sociales et environnementales des entreprises résorber le déficit temporaire du système de retraite lié au papy-boom.

Nous tenons à rappeler ici qu'en 2023 les allègements et les exonérations représenteront un manque à gagner de 19 milliards d'euros pour la branche Retraites de notre Sécurité sociale, alors que le déficit sera lui de 3,6 milliards d'euros selon les chiffres de la dernière LFSS).

Nous proposons ainsi de revenir sur ces cadeaux faits aux entreprises sans aucune contrepartie, plutôt que de demander aux travailleurs aux métiers les plus durs, aux carrières hachées, aux femmes, de travailler jusqu'à 64 ans.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2933 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 3


Après l’article 3

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Après l’article L. 131-7 du code de la sécurité sociale, il est inséré un article L. 131-7-… ainsi rédigé :

« Art. L. 131-7-…. – Lorsque les dispositions de l’article L. 131-7 ne sont pas applicables, toute mesure de réduction ou d’exonération de cotisations de sécurité sociale, instituée à compter du 1er janvier 2022, est compensée par la diminution à due concurrence d’une ou plusieurs réductions ou exonérations de cotisations de sécurité sociale existantes. »

Objet

 Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à créer un principe de non-prolifération des dispositifs d’exonération de cotisations sociales en prévoyant que chaque nouveau dispositif fait l’objet de la suppression d’un dispositif existant pour un montant équivalent.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3185

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 3


 Après l’article 3

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’article L. 133-4-2 du code de la sécurité sociale est ainsi rédigé :

« Art. L. 133-4-2. – En cas de nouvelle constatation pour travail dissimulé dans les cinq ans à compter de la notification d’une première constatation pour travail dissimulé ayant donné lieu à redressement auprès de la même personne morale ou physique, la majoration est portée à 90 % lorsque la majoration de redressement prononcée lors de la constatation de la première infraction était de 25 % et 120 % lorsque la majoration de redressement prononcée lors de la constatation de la première infraction était de 40 %. »

Objet

Cet amendement propose d’augmenter les sanctions pour la fraude aux cotisations patronales.

En matière de lutte contre la fraude, le volontarisme affiché du gouvernement devrait se concentrer sur la fraude aux cotisations sociales patronales bien supérieur à la fraude aux prestations qui occupe tout le temps médiatique et l’attention des conservateurs.

La fraude patronale aux cotisations sociales coûte chaque année entre 6,8 et 8,4 milliards d’euros selon une note de l’Acoss.

Cela représente 3 fois plus que la fraude aux prestations sociales qui s'élève à un montant compris entre 1 et 2,6 milliards d'euros (d’après les estimations de la CNAV ou de la Cour des Comptes), soit, moins que le montant du non recours, qui s'élève à 3 milliards d'euros par an.

La fraude aux cotisations patronales représente également environ 2 fois plus que les économies attendues de la réforme des retraites à horizon 10 ans, d'après l'OFCE. En effet, en intégrant l'ensemble des nouvelles dépenses induites par cette réforme et l'impact macro-économique, les économies se réduisent à un montant dérisoire compte tenu du coût social élevé et malgré la communication mensongère du gouvernement.

Pourtant, sur l'ensemble de la fraude aux cotisations patronales, à peine plus de 700 millions d'euros sont recouvrés. En février 2020, la Cour des comptes pointait le laxisme des pouvoirs publics envers la fraude aux cotisations patronales. La nature et le montant des sanctions actuelles ne permettent pas de lutter efficacement contre cette fraude. Nous proposons donc d’augmenter les sanctions à l'encontre des patrons délinquants.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4361 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 3


Après l’article 3

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’article L. 133-4-2 du code de la sécurité sociale est ainsi rédigé :

« Art. L. 133-4-2. – En cas de nouvelle constatation pour travail dissimulé dans les quatre ans à compter de la notification d’une première constatation pour travail dissimulé ayant donné lieu à redressement auprès de la même personne morale ou physique, la majoration est portée à 85 % lorsque la majoration de redressement prononcée lors de la constatation de la première infraction était de 25 % et 115 % lorsque la majoration de redressement prononcée lors de la constatation de la première infraction était de 40 %. »

Objet

Les membres du groupe CRCE proposent d’augmenter les sanctions pour fraude aux cotisations patronales.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4355 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 3


Après l’article 3

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – Le a du I de l’article L. 136-6 du code de la sécurité sociale est complété par une phrase ainsi rédigée : « Lorsqu’ils proviennent de la location d’une exploitation ou d’une entreprise agricole ou de pêche par une personne bénéficiant d’une pension de retraite en application des articles L. 732-24 ou L. 732-34 du code rural et de la pêche maritime, ces revenus donnent lieu à un abattement de 20 %, ».

II. – La perte de recettes pour les organismes de sécurité sociale est compensée à due concurrence par la majoration de l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

Objet

Les membres du groupe CRCE proposent de créer un abattement fiscal, en l’espèce de CSG, au profit des retraités agricoles et des pêcheurs pour leurs revenus fonciers issus du « fermage », c’est-à-dire de la mise en location d’une partie ou de l’ensemble de leur exploitation.

Cet amendement prolongerait utilement la loi émanant du Président du groupe GDR, André Chassaigne, visant à revaloriser les pensions de retraites agricoles en métropole et dans les outre-mer, afin de sécuriser pour ces travailleuses et ces travailleurs un niveau de revenu décent une fois à la retraite.

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4554 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

M. DECOOL, Mme MÉLOT, MM. CAPUS, LAGOURGUE, WATTEBLED, CHASSEING et MENONVILLE et Mme PAOLI-GAGIN


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 3


Après l'article 3

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Après le premier alinéa de l’article L. 142-4 du code de la sécurité sociale, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :

« Lors de ce recours et dans des conditions prévues par décret en Conseil d'État, les personnes concernées sont invitées à se faire entendre, si elles en émettent le souhait. »

Objet

Dans le cadre d’un droit de la sécurité sociale qui est de plus en plus complexe, il est ici prévu qu’au cours du recours préalable (devant la Commission de recours amiable), les personnes concernées soient invitées à se faire entendre, si elles en émettent le souhait.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2600 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Demande de retrait
Retiré

MM. CAPUS, GRAND, GUERRIAU, MÉDEVIELLE, VERZELEN, CHASSEING, DECOOL et LAGOURGUE, Mmes MÉLOT et PAOLI-GAGIN et MM. WATTEBLED et MENONVILLE


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 3


Après l’article 3

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’article L. 161-24-1 du code de la sécurité sociale est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« En sus de la preuve apportée chaque année dans les conditions prévues au premier alinéa, le bénéficiaire d’une pension de vieillesse d’un régime de retraite obligatoire résidant en dehors des territoires mentionnés à l’article L. 111-2, de Mayotte, de la Polynésie française ou de Saint-Pierre-et-Miquelon, est tenu de se présenter, tous les cinq ans, au siège de l’organisme ou au service de l’État assurant le service de cette pension. Si son état de santé ne lui permet pas de réaliser un tel déplacement, le bénéficiaire doit constituer un dossier médical justifiant son incapacité de se soumettre à cette obligation. »

Objet

Il existe un risque important de fraudes aux retraites lorsque le bénéficiaire d’une pension de retraite réside à l’étranger. Et pour cause : il n’existe pas de transfert systématique d’informations relatives à l’état civil entre le pays étranger et l'organisme ou au service de l'État assurant le service de cette pension.

Afin de diminuer ce risque, l’article L161-24 du Code de la sécurité sociale prévoit d’ores et déjà une obligation annuelle pour le pensionnaire de justifier son existence et l’article L161-24-1 du même code prévoit les modalités dans lesquelles cette procédure peut être réalisée. C’est ce qu’on appelle les "certificats de vie". 

Malgré la mise en place de cette procédure de contrôle, il apparaît que l’espérance de vie de ces pensionnaires est significativement plus élevée que ne l’est celle des pensionnaires résidant en France, ce qui laisse supposer que certaines fraudes sont pratiquées par l’envoi de faux "certificats de vie", réalisés avec la complaisance des autorités locales. 

Afin de resserrer les contrôles applicables à cette procédure, il est proposé que le bénéficiaire de cette pension se rende tous les 5 ans au siège de l'organisme ou au service de l'État assurant le service de cette pension, afin de justifier en personne de son existence. Dans les cas où le pensionnaire ne pourrait pas, pour des raisons de santé, réaliser une telle démarche, il est prévu la possibilité de constituer un dossier médical justifiant d’une telle dispense.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2204

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. BREUILLER, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, DANTEC, DOSSUS, GONTARD, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 3


Après l'article 3

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’article L. 241-3 du code de la sécurité sociale est ainsi modifié : 

1° Au deuxième alinéa et à la seconde phrase du troisième alinéa, les mots : « par décret » sont remplacés par les mots : « au II du présent article » ; 

2° Au 3°, les mots : « au titre de l’article L. 2242-5-1 du même code » sont supprimés ;

3° À la fin, il est ajouté un paragraphe ainsi rédigé :

« II. – Le taux de la cotisation des assurances vieillesse et veuvage est fixé comme indiqué dans le tableau suivant :

RÉMUNÉRATIONS VERSÉES

sur la part de la rémunération dans la limite du plafonds prévu au premier alinéa du I du présent article 

sur la totalité de la rémunération 

Employeur

Salarié

Employeur

Salarié

À compter du 1er janvier 2023

8,55 %

6,90 %

2,90 %

Objet

Cet amendement encadre par la loi la détermination des cotisations patronales déplafonnées affectées à l’assurance vieillesse en leur imposant un taux de 2,9 %, c'est-à-dire 1 point de plus qu’actuellement.

En 2022, la direction de la sécurité sociale (DSS/SDEPF/6A) évalue dans les comptes de la sécurité sociale à 8,9 Md€  le rendement de l’élévation d’un point de cotisation déplafonnée. Cet amendement rend donc inutile le report de l’âge légal de départ à la retraite ou l’augmentation de la durée de cotisation.

Cet amendement rend inutile le report de l’âge légal de départ à la retraite ou l’augmentation de la durée de cotisation nécessaire.

Il permet d’éviter de prolonger la vie active au niveau de l’espérance de vie en bonne santé, actuellement de 64,4 ans pour les hommes et 65,9 pour les femmes. La proposition du Gouvernement repose avant tout sur les plus pauvres, puisque 3 hommes sur 10 sont déjà décédés à 64 ans. A l’inverse du report de l’âge de départ légal, l’augmentation marginale des cotisations patronales permet d’équilibrer le système d’une façon bien plus équitable, en mettant à contribution l’ensemble des entreprises.

Ce faisant, nous assurons le droit à la retraite pour tous, et non seulement pour ceux qui ont la chance de survivre pour en profiter en bonne santé.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3144 rect.

4 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 3


Après l'article 3

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’article L. 241-3 du code de la sécurité sociale est ainsi modifié :

1° Au deuxième alinéa et à la fin de la seconde phrase du troisième alinéa, les mots : « par décret » sont remplacés par les mots : « au II du présent article » ;

2° À la fin du 3°, les mots : « au titre de l’article L. 2242-5-1 du même code » sont supprimés ;

3° Il est ajouté un II ainsi rédigé :

« II. – Le taux de la cotisation des assurances vieillesse et veuvage est fixé comme indiqué dans le tableau suivant :

 

RÉMUNÉRATIONS VERSÉES

Sur la part de la rémunération dans la limite du plafond prévu au premier alinéa du I du présent article

Sur la totalité de la rémunération

 

Employeur

Salarié

Employeur

Salarié

À compter du 1er janvier 2024

8,55 %

6,90 %

2,05 %

0,40 %

 »

Objet

Après 30 ans de réformes des retraites au motif de la sauvegarde de notre système par répartition, le gouvernement propose une nouvelle réforme des retraites au motif d’un déficit largement dramatisé du régime. Avant d’actionner la clause de revoyure en 2027 pour une énième réforme sur les mêmes paramètres, un report de l’AOD à 65 ans ?

Selon le rapport sur les objectifs de la réforme remis par le gouvernement, le déficit serait de 12 milliards en 2027 et de 13,5 milliards en 2030. La fatalité présumée de ce déficit, dont le COR estime qu’il ne provient pas d’une dérive des dépenses, conduit les autorités à prescrire un report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et une accélération du calendrier de la réforme Touraine, présentés comme seuls remèdes.

Pourtant de nombreuses autres solutions existent. Selon le COR, le problème du système des retraites provient de fait de l’insuffisance de la trajectoire des ressources

En cause, la baisse du nombre de fonctionnaires, le gel du point d’indice, la stagnation des salaires dans la valeur ajoutée après une période de forte baisse, la multiplication de primes désocialisées et non-compensées et la baisse de la part des cotisations dans les ressources de la sécurité sociale (qui passe de 80% à à peine plus de 50% en 2021).

Un ensemble de mesures, plus justes et moins brutales pour le corps social sont donc nombreuses et envisageables pour financer le système des retraites. Selon le COR, une augmentation de 0,8 points des cotisations d’ici 2027 suffirait à combler le déficit attendu. Cela correspondrait à 28 euros par mois pour le salaire moyen (2574 euros à temps plein), si on fait l’hypothèse que cette hausse serait répercutée intégralement sur les salariés, ce qui serait anormal mais pour simplement comparer avec ce que propose cette réforme qui pèse à 100 % sur les salarié.e.s.

Selon le gouvernement, cela constituerait une baisse substantielle du pouvoir d’achat. De fait une moindre progression mais surtout la déflation salariale ne résulte pas principalement du salaire socialisé. Pour le COR, le salaire moyen devrait augmenter de 128 euros d’ici 2027 et, en conséquence, l’augmentation du taux de cotisation salarial est possible d’autant qu’elle est majoritairement préférée par les actifs au décalage de deux ans de la retraite.

Cela correspondrait à 336 euros annuels en 2027 et non 408 euros comme cela est évoqué dans le rapport sur les objectifs de la réforme, à partager entre l’employeurs et le salarié.e.

Le même rapport gouvernemental prétend que cette hausse, « reviendrait à annuler les effets des baisses des prélèvements sociaux opérés depuis 2017 » qui avaient permis « une baisse du coût du travail », mais l’effet des exonérations de cotisations sociales sur l’emploi est assez débattu, a fortiori sur les salaires supérieurs à 1,6 fois le smic. Selon le Conseil d’Analyse Économique dans une étude de 2019, si les baisses de cotisations sociales sur les bas salaires ont pu avoir des effets sur l’emploi : « Les baisses de cotisations sociales sur les salaires plus élevés (au-delà de 1,6 SMIC) n’ont pas encore fait la preuve de leur efficacité », et les chercheurs d’écrire : « nous recommandons une remise en cause des réductions du coût du travail au-delà du seuil de 1,6 SMIC ».

Or, l’objet de cet amendement est précisément d’augmenter la cotisation patronale déplafonnée qui touche la rémunération sans aucune limite de plafonds.

Une mesure de contribution des employeurs car aucune réforme des retraites ne dois exonérer une partie de l’effort nécessaire qui pourrait rapporter une partie des sommes nécessaires pour combler le déficit prévisionnel, tout en ayant un impact en réalité quasiment nul sur l’emploi, si l’on en croît les conclusions du CAE.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après 4 à un article additionnel après 3).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2941 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 3


Après l’article 3

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’article L. 241-6-1 du code de la sécurité sociale est ainsi modifié :

1° Au premier alinéa, le nombre : « 3,5 » est remplacé par le nombre : « 2,5 » ;

2° Après le même premier alinéa, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :

« Le taux des cotisations mentionnées au 1° de l’article L. 241-6 est réduit de 1,2 point pour les salariés dont l’employeur entre dans le champ d’application du II de l’article L. 241-13 et dont les rémunérations ou gains sont compris entre 2,5 et 3,5 fois le salaire minimum de croissance calculé selon les modalités prévues au deuxième alinéa du III du même article. ».

3° À compter du 1er janvier 2024, au deuxième alinéa, le nombre : « 1,2 » est remplacé par le nombre « 0,6 ».

4° À compter du 1er janvier 2025, le même deuxième alinéa est supprimé.

Objet

Cet amendement de repli du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à supprimer progressivement (sur 3 ans) la réduction d’1,8 point du taux de cotisations d’allocations familiales aux rémunérations comprises entre 2,5 et 3,5 SMIC.

Cet amendement revient ainsi sur une mesure du Pacte de responsabilité II dont l’efficacité n’a pas pu être prouvée.

En effet, en 2019, le Conseil d’analyse économique (CAE) publiait une note intitulé « Baisses de charges : stop ou encore » aux termes de laquelle ses auteurs, économistes de renom, Yannick L’Horty, Thierry Mayer et son président Philippe Martin :

- confirmaient que les baisses de cotisations sur les bas salaires (inférieurs à 1,6 SMIC) produisent des effets au soutien de l’emploi et de la compétitivité des entreprises,

- recommandaient l’abandon des exonérations de cotisations sur les salaires supérieurs de 2,5 SMIC au motif qu’elles seraient sans effet sur l’emploi et la compétitivité (principalement sans incidence sur les exportations de ces entreprises).
- incitaient les pouvoirs publics à redéployer les fonds publics mobilisés sur ce dispositif sur la suppression des impôts de production.

Il convient désormais de traduire ces conclusions scientifiques en action politique.

Tel est l'objet du présent amendement.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2207

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. BREUILLER, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, DANTEC, DOSSUS, GONTARD, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 3


Après l'article 3

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Au premier alinéa de l’article L. 241-6-1 du code de la sécurité sociale, le nombre : « 3,5 » est remplacé par le nombre : « 2,5 ». 

Objet

Cet amendement propose de supprimer la réduction d’1,8 point du taux de cotisations d’allocations familiales aux rémunérations comprises entre 2,5 et 3,5 SMIC. 

Cet amendement s’appuie également sur une note du Conseil d’analyse économique (CAE) en 2019, « Baisses de charges : stop ou encore » qui recommande l’abandon des exonérations de cotisations sur les salaires supérieurs de 2,5 SMIC au motif qu’elles seraient sans effet sur l’emploi et la compétitivité (principalement sans incidence sur les exportations de ces entreprises). 

Le Gouvernement prétend que leur réforme des retraites est nécessaire pour sauver le système de retraite, pour lequel il faudrait trouver 13,5 milliards d’euros d’ici à 2030. 

Le présent amendement a ainsi vocation à proposer au Gouvernement une porte de sortie à sa réforme. En effet, la suppression des exonérations rapporterait à l’État 3,1 milliards d’euros qui pourraient être consacrés au système des retraites.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2940 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 3


Après l'article 3

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Au premier alinéa de l’article L. 241-6-1 du code de la sécurité sociale, le nombre : « 3,5 » est remplacé par le nombre : « 2,5 ». 

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à limiter le champ d’application de l’allègement de cotisations patronales familiales aux salaires inférieurs à 2,5 SMIC (et non 3,5 comme prévu aujourd'hui).



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 398

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. BENARROCHE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 3


Après l’article 3

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – À partir du 1er janvier 2023, au premier alinéa de l’article L. 241-6-1 du code de la sécurité sociale, le nombre : « 3,5 » est remplacé par le nombre : « 3,2 ».

II. – Au 1er janvier 2024, au premier alinéa de l’article L. 241-6-1 du code de la sécurité sociale, le nombre : « 3,2 » est remplacé par le nombre : « 2,8 ».

III. – Au 1er janvier 2025, au premier alinéa de l’article L. 241-6-1 du code de la sécurité sociale, le nombre : « 2,8 » est remplacé par le nombre : « 2,4 ».

Objet

Cet amendement vise à limiter progressivement le champ d’application de l’allègement de cotisations patronales familiales aux salaires inférieurs à 3,2 SMIC en 2023 puis 2,8 SMIC en 2024 puis 2,4 SMIC en 2025.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2942 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 3


Après l’article 3

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – À partir du 1er janvier 2023, au premier alinéa de l’article L. 241-6-1 du code de la sécurité sociale, le nombre : « 3,5 » est remplacé par le nombre : « 3,2 ».

II. – Au 1er janvier 2024, au premier alinéa de l’article L. 241-6-1 du code de la sécurité sociale, le nombre : « 3,2 » est remplacé par le nombre : « 2,8 ».

III. – Au 1er janvier 2025, au premier alinéa de l’article L. 241-6-1 du code de la sécurité sociale, le nombre : « 2,8 » est remplacé par le nombre : « 2,4 ».

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à limiter progressivement le champ d’application de l’allègement de cotisations patronales familiales aux salaires inférieurs à 3,2 SMIC en 2023 puis 2,8 SMIC en 2024 puis 2,4 SMIC en 2025.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4362 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 3


Après l’article 3

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – Au 1er juillet 2023, au premier alinéa de l’article L. 241-6-1 du code de la sécurité sociale, le nombre : « 3,5 » est remplacé par le nombre : « 3,2 ».

II. – Au 1er janvier 2024, au premier alinéa de l’article L. 241-6-1 du code de la sécurité sociale, le nombre : « 3,2 » est remplacé par le nombre : « 2,8 ».

III. – Au 1er janvier 2025, au premier alinéa de l’article L. 241-6-1 du code de la sécurité sociale, le nombre : « 2,8 » est remplacé par le nombre : « 2,4 ».

Objet

Les membres du groupe CRCE, par cet amendement de repli, entendent limiter progressivement le champ d’application de l’allègement de cotisations patronales familiales aux salaires inférieurs à 3,2 SMIC en 2023 puis 2,8 SMIC en 2024 puis 2,4 SMIC en 2025.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3182

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 3


 Après l’article 3

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’article L. 241-17 du code de la sécurité sociale est abrogé.

Objet

Cet amendement supprime l’exonération de cotisations sociales des heures supplémentaires.

En vigueur depuis 2019, cette mesure a été renforcée par les mesures d’urgences économique et sociale, elle est souvent présentée - à tort - comme une mesure de partage de la valeur pour les français·es.

Depuis le 1er janvier 2019, les heures supplémentaires sont exonérées de cotisations sociales salariales dans la limite d'un taux de 11,31 % et exonérées d'impôt sur le revenu jusqu'à un certain plafond. Depuis, la loi de finances rectificative pour 2022 (article 4) a modifié ce seuil d'exonération fiscale qui est désormais fixé à 7 500 € (au lieu de 5 000 € auparavant). Il s'applique aux rémunérations versées à raison des heures supplémentaires et complémentaires réalisées à compter du 1er janvier 2022.

Ce dispositif de contournement est d’autant plus problématique que le manque à gagner n’est pas intégralement compensé à la Sécurité sociale par l’État. C’est d’ailleurs peut-être un des objectifs du gouvernement que de fragiliser encore davantage la Sécurité sociale pour mieux justifier ensuite ses réformes et la remise en cause de nos services publics. Cette politique de non-compensation des exonérations de cotisations sur les heures supplémentaires coûte environ 2 milliards d’euros par an à la Sécurité sociale selon une étude de l’OFCE en 2017.

A plusieurs égards ces exonérations posent problème. Au-delà de représenter un manque à gagner pour les caisses de sécurité sociale ou une dépense pour les finances publiques, elles désincitent au recrutement en encourageant les employeurs à s’appuyer sur les heures de travail supplémentaires de leurs employés en poste. Ensuite ces exonérations représentent une baisse du prix du travail et de la rémunération brute des salarié.es par la baisse de leurs salaires socialisés. Enfin, en encourageant ces mêmes salarié.es à effectuer plus d'heures souvent pour simplement maintenir leur pouvoir d’achat érodé par l’inflation, elles poussent à l’épuisement professionnel et vont à l’encontre de l’objectif écologique de baisser le temps de travail pour travailler mieux, moins et tous.

Ainsi, ce dispositif pousse les salarié·es à travailler davantage ou les oblige au détriment de la création d’emplois, de la promotion de la santé au travail et de la prévention des risques psychosociaux.


 






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3864 rect. bis

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 3


Après l'article 3

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’article L. 241-17 du code de la sécurité sociale est abrogé.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l'exonération de cotisations et contributions sociales sur les heures supplémentaires.

 



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après l'article liminaire à un article additionnel après 3).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2526

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. GONTARD, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 3


Après l'article 3

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

La première phrase du I de l’article L. 242-1 du code de la sécurité sociale est complétée par les mots : « , ainsi que sur les revenus mentionnés aux articles 108 à 117 bis et 120 à 123 bis du code général des impôts ».

Objet

Le présent amendement,inspiré d'une proposition des groupes de la Nouvelles Union Populaire Écologiste et Sociale de l'Assemblée nationale a pour objet de soumettre les dividendes à l’assiette des cotisations de sécurité sociale.

Les dividendes et rachats d'actions versés par le CAC 40 en France atteignent des records : 80 milliards d'euros en 2022 au titre de l'année 2021. Si on prend l'ensemble des dividendes versés en France, le montant s'élève même à 260 milliards d'euros. L’application du taux de cotisation de base (17,7 %) rendrait le solde du système largement excédentaire avec 48 milliards de recettes supplémentaires. Cela suffit à financer le droit à la retraite à 60 ans à taux plein pour toutes et tous après quarante annuités de cotisation, la revalorisation au niveau du Smic revalorisé toutes les pensions pour une carrière complète, et la revalorisation du minimum vieillesse au niveau du seuil de pauvreté.

Alors que le financement de notre protection sociale repose très majoritairement sur le travail salarié, il semble indispensable au regard des évolutions de la société et de la production de richesse de diversifier les sources de financement de la solidarité nationale. A ce titre, faire contribuer les actionnaires et l'argent dormant qui accumulent d'importants revenus sur le fruit du travail des autres est une piste plus que légitime de diversification du financement de la protection sociale.

Ceci viendrait s'ajouter au prélèvement forfaire unique : 12,8 % au titre de l’impôt sur le revenus (dont sont exonérés 90 % des Françaises et des Français les moins riches) et les prélèvement sociaux (17,20 %). Au regard du taux très généreux de cette Flat Tax mis en œuvre par le Gouvernement depuis 2018, une contribution des dividendes  à l'assiette des cotisations sociales semblent plus que légitime.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2890 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 3


Après l'article 3

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

La première phrase du I de l’article L. 242-1 du code de la sécurité sociale est complétée par les mots : « , ainsi que sur les revenus mentionnés aux articles 108 à 117 bis et 120 à 123 bis du code général des impôts ».

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à soumettre les dividendes à l’assiette des cotisations de sécurité sociale.

Les dividendes et rachats d'actions versés par le CAC40 en France atteignent des records : 80 milliards d'euros en 2022 au titre de l'année 2021. Si on prend l'ensemble des dividendes versés en France, le montant s'élève même à 260 milliards d'euros. L’application du taux de cotisation de base (17,7 %) rendrait le solde du système largement excédentaire avec 48 milliards de recettes supplémentaires.)



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2201

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. BREUILLER, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, DANTEC, DOSSUS, GONTARD, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. SALMON et PARIGI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 3


Après l'article 3

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Les 1° à 3° du II de l’article L. 242-1 du code de la sécurité sociale sont abrogés.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les exonérations de cotisations de sécurité sociale pour l’intéressement, les réserves de participation et l’abondement versé dans le cadre des plans d’épargne salariale. 

Une part de plus en plus importante de la rémunération est constituée de ces dispositifs de partage de la valeur, donnant lieu à une rémunération variable non génératrice de droits. Nous proposons de soumettre cette part des rémunérations à cotisations retraite, pour qu’elle vienne dans un premier temps contribuer à l’équilibre du régime des retraites et dans un second temps, générer des droits nouveaux pour les salariés. 

D’après l’économiste Michaël Zemmour, la suppression de cette exonération peut rapporter environ 3,5 milliards d’euros annuellement au système de retraites. 

Cet amendement prouve qu’il est possible de trouver d’autres sources de financement qu’un report injuste de l’âge de départ à la retraite, qui fait de facto peser la charge du financement plus intensément sur les personnes aux carrières les plus longues, souvent abîmées par le travail avec une espérance de vie malheureusement plus courte.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2891 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 3


Après l'article 3

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Les 1° à 3° du II de l’article L. 242-1 du code de la sécurité sociale sont abrogés.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à supprimer les exonérations de cotisations de sécurité sociale pour l’intéressement, les réserves de participation et l’abondement versé dans le cadre des plans d’épargne salariale.

Une part de plus en plus importante de la rémunération est constituée de ces dispositifs de partage de la valeur, donnant lieu à une rémunération variable non génératrice de droits. Nous proposons de soumettre cette part des rémunérations à cotisations retraite, pour qu’elle vienne dans un premier temps contribuer à l’équilibre du régime des retraites et dans un second temps, générer des droits nouveaux pour les salariés.

D’après l’économiste Michaël Zemmour, la suppression de cette exonération peut rapporter environ 3,5 milliards d’euros annuellement au système de retraites.

Cet amendement prouve qu’il est possible de trouver d’autres sources de financement qu’un report injuste de l’âge de départ à la retraite, qui fait de facto peser la charge du financement plus intensément sur les personnes aux carrières les plus longues, souvent les plus pauvres, alors qu’une grande part d’entre elles sont décédées avant 64 ans.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4366 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 3


Après l'article 3

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le 1° du II de l’article L. 242-1 du code de la sécurité sociale est abrogé.

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent soumettre les revenus d’intéressement à l’assiette des cotisations de sécurité sociale.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3220

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 3


 Après l’article 3

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le 2° du II de l’article L. 242-1 du code de la sécurité sociale est abrogé.

Objet

Selon le COR, le problème du léger déficit du système des retraites ne provient pas de la dynamique non maitrisée des dépenses, donc par déduction c’est un problème d’insuffisance de la dynamique des recettes.

En cause, la baisse du nombre de fonctionnaires, le gel du point d’indice, la stagnation des salaires dans la valeur ajoutée après une baisse de cinq points, la multiplication de primes désocialisées et non-compensées et la baisse de la part des cotisations dans les ressources de la sécurité sociale (passant de 80% à peine plus de 50% en 2021).

Le présent amendement a pour objet de soumettre les revenus de participation à l’assiette des cotisations de la sécurité sociale.

En effet, l’exclusion de l'assiette des cotisations de sécurité sociale des revenus de participation et d’intéressement est un manque à gagner pour les caisses de la sécurité sociale dont la caisse retraite. D’autant plus que s’ajoutent à cela des primes qui ne sont pas soumises à cotisation, des mesures d’exonération qui ont atteint 73,8 milliards d’euros soit une hausse de 9,3% par rapport à l’année précédente et une part croissante de celles non compensées par l’Etat. En 2022, le coût total de ces exonérations devrait continuer d’augmenter pour atteindre 78,8 milliards d’euros, poursuivant ainsi une hausse continue depuis de nombreuses années. Le manque à gagner pour les finances publiques et les caisses de sécurité sociale pour la part non compensée est abyssal et représente, en ce qui concerne la seule branche Vieillesse, un montant de 15,7 milliards d’exonérations.

Au titre de la loi Veil, l’ensemble de ces mesures d’exonération est censé être compensé par l’Etat. Pourtant, en 2021, selon la Commission des Comptes de la Sécurité Sociale, les mesures d’exonération de cotisations sociales non compensées étaient en hausse de 17% et s’établissaient à 2,3 milliards d’euros grevant les comptes de la Sécurité Sociale et ce, avant les primes de la loi sur le partage de la valeur (qui peuvent atteindre jusqu’à 6000 euros par salarié) qui sont désocialisées et non compensées alors qu’elles se substituent aux augmentations pérennes de salaires soumises à cotisations.

Nous proposons de soumettre à cotisations les revenus de participation et d’intéressement comme tous les autres éléments de rémunérations.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4367 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 3


Après l'article 3

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le 2° du II de l’article L. 242-1 du code de la sécurité sociale est abrogé.

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent soumettre les revenus de la participation à l’assiette des cotisations de sécurité sociale.

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4368 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 3


Après l'article 3

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le 6° du II de l’article L. 242-1 du code de la sécurité sociale est abrogé.

Objet

Les membres du groupe CRCE entendent par cet amendement soumettre les rachats d’action à cotisations auprès de la sécurité sociale.

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2330

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. LECONTE


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 3


Après l'article 3

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

À la seconde phrase du deuxième alinéa de l’article L. 87 du code des pensions civiles et militaires de retraites, les mots : « fixé par décret » sont remplacés par les mots : « identique à celui prévu au deuxième alinéa de l’article L. 61 ».

Objet

Depuis la loi de finances de 2020 il est prévu la fixation d’un taux de cotisation spécifique pour les fonctionnaires détachés à l’étranger. Au regard de l’inégalité de traitement que ceci engendrerait et des conséquences d’un tel décret, celui-ci a été abrogé peu de temps après avoir été pris. Il est doc proposé, par cet amendement, de revenir à un principe d’égalité des taux de cotisation.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2531

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. GONTARD, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 3


 Après l’article 3

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – À titre expérimental et jusqu’au 31 décembre 2023, un dispositif d’exonération de cotisations, nommé « Objectif 32h », peut être institué. Il peut être mis en œuvre au bénéfice des entreprises situées sur le territoire national qui embauchent, en contrat à durée déterminée, un salarié pour une durée de trente-deux heures, payée trente-cinq heures, dans six départements, dont la liste est fixée par arrêté conjoint des ministres chargés de l’emploi, de la santé et du budget.

Les conditions de mise en œuvre de ce dispositif sont définies par décret. Le présent article entre en vigueur le 1er janvier 2023. Le Gouvernement remet au Parlement un rapport d’évaluation de l’expérimentation au plus tard le 15 septembre 2023.

II. – La perte de recettes résultant pour les organismes de sécurité sociale du I est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

Objet

Par cet amendement qui vise à expérimenter une exonération de cotisations pour les salarié.es qui ont signé un contrat aux 32h payées 35h, les écologistes rappellent leur attachement à travailler sur la réduction du temps de travail.

Alors que le nombre d’emplois disponibles est plus faible que le nombre de demandeur·ses d’emplois, la question d’une meilleure répartition du temps de travail au sein de la population se pose. Et cela d’autant plus qu’ on estime que 15 % à 50 % des emplois d’aujourd’hui seraient automatisables à moyen terme.

En plus d’avoir des effets positifs sur la création d’emplois, la réduction du temps de travail présente également de nombreux avantages sur le bien être des travailleur·ses. Réduire le temps de travail c’est retrouver du temps de repos, du temps en famille, du temps de s’investir sur des activités associatives, sportives, culturelles.

Émancipatrice, gage d’une meilleure répartition de l’emploi et des richesses, la réduction du temps de travail permet aussi de diminuer notre empreinte écologique. Plusieurs études montrent le lien étroit entre notre temps de travail et notre empreinte écologique. Réduire le temps de travail c’est réduire les consommations personnelles d’énergie et donc les émissions de gaz à effet de serre.

Cette expérimentation est aujourd’hui nécessaire pour apporter des éléments concrets dans ce débat de société. Elle permettrait d’étudier l’impact réel d’une semaine de 4 jours sur la santé et le bien être des salariés, la création d’emploi et sur la productivité des entreprises.

L’expérience de grande ampleur lancée par 61 entreprises britanniques, qui ont réduit le temps de travail de leurs salariés à 4 jours à salaire constant, a produit des premiers résultats très encourageants. Les chiffres sont éloquents : un taux de burn out en baisse de 71 %, un taux de départ de l’entreprise réduit de 57 %, une réduction de 65 % du nombre de jours d’arrêt maladie, des niveaux d’anxiété, de fatigue et de problèmes de sommeil en chute libre. Une grande partie des 2 900 salariés concernés décrivent un meilleur équilibre entre la vie professionnelle et la vie personnelle, une plus grande satisfaction sur leurs relations personnelles et même leurs finances. Aussi 92 % d’entre elles ont choisi de poursuivre dans cette voix dont 30 % qui ont définitivement adopté la semaine de 4 jours.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2533

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. GONTARD, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 3


Après l’article 3

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Dans un délai de six mois à compter de la publication de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport sur les contraintes du report de l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans sur la garde d’enfants par la famille, et notamment les grands-parents.

Objet

Le report de l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans a un impact important sur l’organisation quotidienne des familles. Sept jeunes enfants sur dix sont gardés par un membre de leur famille, lequel est en majorité un grand-parent. Les grands-parents sont énormément sollicités par les parents qui ne sont pas en mesure de garder leurs enfants les jours où ceux-ci ne sont pas à l’école. La présence de ces grands-parents permet notamment d’aider les parents n’ayant pas les moyens d’avoir recours à des services extérieurs, mais elle permet également de pallier au manque de solution pour la garde d’enfants sur certains territoires. Le report de l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans constitue un frein à cette solidarité familiale répandue et élémentaire. En travaillant deux ans de plus, les grands-parents seront moins disponibles pour garder leur petits-enfants, et seront plus vieux lorsqu’ils devront assurer la garde de ces jeunes enfants. De fait, le report de l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans fait courir le risque d’une saturation des services publics et privés de garde d’enfant, mais également d’une aggravation des inégalités d’accès à ceux-ci. Ce report peut faire entrer une nouvelle contrainte budgétaire importante dans le quotidien des familles qui font garder leurs enfants par leurs grands-parents. Cet amendement demande donc au Gouvernement un rapport concernant les conséquences du report de l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans sur cette situation.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2536

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. GONTARD, Mmes de MARCO, PONCET MONGE et Mélanie VOGEL et MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 3


Après l’article 3

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Dans un délai d’un an après la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport sur les moyens juridiques et fiscaux permettant de faire contribuer au financement de la protection sociale les outils qui permettent de s’affranchir partiellement ou totalement du travail humain au rang desquels, notamment, les robots manutentionnaires, les caisses et portiques automatiques, les logiciels informatiques, les agents conversationnels (« chatbots » ), les plateformes numériques.

Objet

Depuis le début de la révolution industrielle au XVIIIe siècle, le progrès technique remplace progressivement des pans entiers du travail humain. Ce phénomène s’appelle selon les époques « mécanisation » , « informatisation » , « robotisation » et transforme considérablement le travail. Après le secteur primaire et le secteur secondaire considérablement transformés au XXe siècle, c’est le secteur tertiaire qui, au XXIe siècle, connait une profonde transformation induite par la double révolution informatique et robotique à l’œuvre. Cela invite de nombreux analyste à penser que la « destruction créatrice » de notre économie, théorisée par Joseph Schumpeter n’est plus nécessairement suffisamment pourvoyeuse d’emploi pour une population de plus en plus nombreuse et que le Gouvernement veut inviter à travailler plus longtemps.

Selon les estimations de 9 % (OCDE) à 50 % des emplois actuels sont menacés par l’automatisation. Qu’on s’en félicite ou qu’en s’en inquiète, ce phénomène interroge chaque jour avec plus de force le modèle de financement de notre protection sociale qui repose aujourd’hui très largement sur le travail humain, qui représente une part décroissante de la productivité des entreprises.

Petit à petit, l’idée « d’une taxe robot » versée au débat par le rapport parlementaire de l’eurodéputée Mady Delvaux, la campagne présidentielle de Benoit Hamon ou les milliardaires Bill Gates et Elon Musk fait son chemin. Encore embryonnaire, son principe est pourtant assez simple : faire contribuer fiscalement les robots et autres logiciels à hauteur du nombre de salariés que leur activité remplace.

Comment évaluer la capacité de production des robots et logiciels ? Faut-il les doter d’une personnalité juridique ou d’une « personnalité électronique » comme le suggérait le rapport Delvaux ? Les doter d’un « salaire fictif » qui serait imposable ? Et comment faire contribuer davantage les plateformes numériques qui génèrent énormément d’activité au financement de notre protection sociale.

La question se pose naturellement pour nos retraites, mais également pour la formation professionnelle, les minimas sociaux, les accidents et maladie professionnelles…

Un tel rapport est plus que nécessaire pour défricher cette question.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 647 rect. quater

6 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Adopté

Mme PERROT, MM. GUERRIAU, PANUNZI, CADEC et PRINCE, Mme de LA PROVÔTÉ, MM. LAUGIER, BUIS et HENNO, Mmes Nathalie DELATTRE et DUMAS, M. DÉTRAIGNE, Mmes VERMEILLET, FÉRAT et BILLON, MM. VERZELEN, KLINGER, CAPO-CANELLAS et MOGA, Mme SAINT-PÉ, M. LEVI, Mme GARRIAUD-MAYLAM et M. GREMILLET


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 3


Après l'article 3

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – Après la section 3 du chapitre IV du titre II du livre II du code monétaire et financier, il est inséré une section ainsi rédigée :

« Section ...

« Le plan d’épargne retraite couple solidaire

« Sous-section 1

« Dispositions communes

« Art. L. 224-39-1. – Les conjoints, les partenaires liés par un pacte civil de solidarité peuvent verser des sommes dans un plan d’épargne retraite couple solidaire. Le plan a pour objet l’acquisition et la jouissance de droits viagers personnels ou le versement d’un capital, payables aux titulaires à compter, au plus tôt, de la date de la première liquidation de pension dans un régime obligatoire d’assurance vieillesse ou de l’âge mentionné à l’article L. 161-17-2 du code de la sécurité sociale. Ces droits viagers personnels ou le versement des capitaux sont répartis de manière inversement proportionnelle aux sommes versées. La part versée au titulaire ayant le moins contribué au plan ne peut être inférieure à cinquante-et-un centièmes et ne peut pas excéder quatre-vingts centièmes.

« Le plan d’épargne retraite couple solidaire donne lieu à l’ouverture d’un compte-titres. Il est ouvert auprès d’un établissement de crédit ou d’une entreprise d’investissement. Le plan ne peut pas avoir plus de deux titulaires. Le plan d’épargne retraite individuel donnant lieu à l’ouverture d’un compte-titres est ouvert par l’intermédiaire d’un prestataire agréé pour exercer l’activité de conseil en investissement mentionnée au 5 de l’article L. 321-1 du présent code.

« Le plan peut donner lieu à l’ouverture d’un compte en espèce associé au compte-titres.

« Le plan prévoit la possibilité pour chaque titulaire, dans les conditions de répartition visées au premier alinéa, d’acquérir une rente viagère à l’échéance prévue au premier alinéa du présent article, ainsi qu’une option de réversion de cette rente au profit d’un bénéficiaire en cas de décès du titulaire. En cas de décès d’un des titulaires avant la première liquidation du plan, l’ensemble des droits restants sont rendus disponibles au bénéfice du titulaire survivant et sont transférables vers tout autre plan d’épargne retraite. Le transfert des droits n’emporte pas modification des conditions de leur rachat ou de leur liquidation prévues à la présente sous-section.

« Les frais encourus à l’occasion d’un tel transfert ne peuvent excéder 1 % des droits acquis. Ils sont nuls à l’issue d’une période de cinq ans à compter du premier versement dans le plan, ou lorsque le transfert intervient à compter de l’échéance mentionnée au premier alinéa.

« Les dispositions prévues aux articles L. 224-28 à L. 224-30 sont applicables.

« Sous-section 2

« Composition et gestion

« Art. L. 224-39-2. – Les versements dans un plan d’épargne retraite ayant donné lieu à l’ouverture d’un compte-titres sont affectés à l’acquisition de titres financiers offrant une protection suffisante de l’épargne investie et figurant sur une liste fixée par voie réglementaire, en prenant en considération les modalités de gestion financière du plan.

« Sauf décision contraire et expresse des titulaires, les versements sont affectés selon une allocation de l’épargne permettant de réduire progressivement les risques financiers pour les titulaires, dans des conditions fixées par décret. Il est proposé aux titulaires au moins une autre allocation d’actifs correspondant à un profil d’investissement différent, , une allocation permettant l’acquisition de parts de fonds investis, dans les limites prévues à l’article L. 214-164&_160;du présent code, dans les entreprises solidaires d’utilité sociale au sens de l’article L. 3332-17-1 du code du travail.

« Les allocations permettant de réduire progressivement les risques financiers correspondent à des profils d’investissement adaptés à un horizon de long terme. La qualification de ces profils tient compte du niveau d’exposition aux risques financiers et de l’espérance de rendement pour le titulaire, dans des conditions précisées par un arrêté du ministre chargé de l’économie.

« Les conditions de partage ou d’affectation aux plans d’épargne retraite des rétrocessions de commissions perçues au titre de leur gestion financière sont fixées par voie réglementaire.

« Sous-section 3

« Disponibilité de l’épargne

« Art. L. 224-39-3. – I. – Les droits constitués par un titulaire dans le cadre du plan d’épargne retraite couple solidaire peuvent être, à sa demande, liquidés ou rachetés avant l’échéance mentionnée à l’article L. 224-39-1 dans les seuls cas suivants :

« 1° L’invalidité du titulaire, de ses enfants, de son conjoint ou de son partenaire lié par un pacte civil de solidarité. Cette invalidité s’apprécie au sens des 2° et 3° de l’article L. 341-4 du code de la sécurité sociale  ;

« 2° La situation de surendettement du titulaire, au sens de l’article L. 711-1 du code de la consommation  ;

« 3° L’expiration des droits à l’assurance chômage du titulaire, ou le fait pour le titulaire d’un plan qui a exercé des fonctions d’administrateur, de membre du directoire ou de membre du conseil de surveillance et n’a pas liquidé sa pension dans un régime obligatoire d’assurance vieillesse de ne pas être titulaire d’un contrat de travail ou d’un mandat social depuis deux ans au moins à compter du non-renouvellement de son mandat social ou de sa révocation ;

« 4° La cessation d’activité non salariée du titulaire à la suite d’un jugement de liquidation judiciaire en application du titre IV du livre VI du code de commerce ou toute situation justifiant ce retrait ou ce rachat selon le président du tribunal de commerce auprès duquel est instituée une procédure de conciliation mentionnée à l’article L. 611-4 du même code, qui en effectue la demande avec l’accord du titulaire ;

« 5° L’affectation des sommes épargnées à l’acquisition de la résidence principale. Les droits correspondants aux sommes mentionnées au 3° de l’article L. 224-2 du présent code ne peuvent être liquidés ou rachetés pour ce motif.

« II. – Le décès des titulaires avant l’échéance mentionnée à l’article L. 224-1 entraîne la clôture du plan.

« Art. L. 224-39-4.  – À l’échéance mentionnée à l’article L. 224-39-1 :

« 1° Les droits correspondant aux sommes mentionnées au premier alinéa de l’article L. 224-39-1 sont délivrés sous la forme d’une rente viagère ;

« 2° Les droits correspondant aux autres versements sont délivrés, au choix du titulaire, sous la forme d’un capital, libéré en une fois ou de manière fractionnée, ou d’une rente viagère, sauf lorsque le titulaire a opté expressément et irrévocablement pour la liquidation de tout ou partie de ses droits en rente viagère à compter de l’ouverture du plan.

« Sous-section 4

« Information des titulaires

« Art. L. 224-39-5. – Les titulaires bénéficient d’une information régulière sur leurs droits, dans des conditions fixées par voie réglementaire, s’agissant notamment de la valeur des droits en cours de constitution et des modalités de leur transfert vers un autre plan d’épargne retraite.

« Les titulaires d’un plan d’épargne retraite bénéficient d’une information détaillée précisant, pour chaque actif du plan, la performance brute de frais, la performance nette de frais et les frais prélevés, dans des conditions définies par arrêté du ministre chargé de l’économie. Cette information, qui mentionne notamment les éventuelles rétrocessions de commission perçues au titre de la gestion financière des plans, est fournie avant l’ouverture du plan puis actualisée annuellement.

« Art. L. 224-39-6. – Toute personne bénéficie gratuitement d’informations relatives aux produits d’épargne retraite auxquels elle a souscrit au cours de sa vie. Le service en ligne mentionné au III de l’article L. 161-17 du code de la sécurité sociale donne accès à tout moment à ces informations. Il est créé un répertoire consacré à la gestion de ces informations, qui sont mises à disposition par les gestionnaires dans les conditions prévues à l’article L. 132-9-6 du code des assurances, à l’article L. 223-10-5 du code de la mutualité et à l’article L. 312-21-1 du présent code. Ces informations peuvent comprendre les références et la nature des produits ainsi que la désignation et les coordonnées des gestionnaires des contrats.

« Les informations mentionnées au premier alinéa du présent article ne peuvent figurer au sein du relevé de situation personnelle prévu au III de l’article L. 161-17 dudit code. Lors de la mise à disposition des informations, le service en ligne mentionné au même III indique de manière claire au souscripteur que les produits dont l’existence lui est notifiée en vertu du premier alinéa du présent article ne relèvent pas de régimes de retraite légalement obligatoires.

« Dans le cas où le traitement des informations transmises par les gestionnaires au groupement mentionné au premier alinéa de l’article L. 161-17-1 du code de la sécurité sociale ne permet pas de déterminer avec certitude l’identité du souscripteur d’un produit d’épargne retraite et si plusieurs souscripteurs potentiels ont pu être identifiés pour ce même produit, le groupement précité peut notifier aux souscripteurs potentiels l’existence de droits éventuels constitués en leur faveur au titre de l’épargne retraite. Cette notification s’effectue au moyen du service en ligne mentionné au III de l’article L. 161-17 du même code.

« Les gestionnaires assurent le financement des moyens nécessaires au développement, au fonctionnement et à la publicité des dispositions prévues au présent article, dans les conditions prévues par une convention conclue entre le groupement mentionné au premier alinéa de l’article L. 161-17-1 dudit code et les représentants professionnels de ces gestionnaires. Cette convention précise également la nature des informations adressées au groupement ainsi que les modalités d’échange avec les gestionnaires.

« Le groupement mentionné au même premier alinéa peut notifier périodiquement aux gestionnaires le succès ou l’échec d’identification du souscripteur ainsi que l’accès de celui-ci au service en ligne mentionné au III de l’article L. 161-17 du même code au cours des douze derniers mois. Cette notification peut s’effectuer au moyen du répertoire mentionné au premier alinéa du présent article. Il n’est pas autorisé à communiquer d’autres informations concernant le souscripteur identifié.

« Les gestionnaires concernés par le présent article sont les entreprises d’assurance, les mutuelles ou unions, les institutions de prévoyance ou unions, les organismes de retraite professionnelle supplémentaire, les établissements de crédit, les entreprises d’investissement ou les établissements habilités pour les activités de conservation ou d’administration d’instruments financiers.

« Un décret en Conseil d’État définit la liste des produits d’épargne retraite concernés, outre les produits mentionnés à l’article L. 224-1 et L. 224-40 du présent code. »

II. – Après le 5° ter de l’article 157 du code général des impôts, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :

« ...° Les capitaux et rentes viagères prévus à l’article L. 224-39-1 du code monétaire et financier ; ».

III. – Au 11° de l’article L. 136-1-2 du code de la sécurité sociale, après la référence : « L. 224-1 », sont insérés les mots : « ou L. 224-39-1 ».

IV. - La perte de recettes résultant pour l’État des I à III est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services. 

Objet

Les pensions des femmes sont souvent inférieures aux pensions des hommes en raison de carrières plus souvent hachées du fait du temps consacré à la famille et par conséquent, à des carrières moins dynamiques et des pensions moindre.

Pour pallier cette différence lorsque la solidarité matrimoniale n'existe plus, les auteurs du présent amendement proposent de mettre en place un plan d'épargne retraite « couple solidaire ». Ce produit d'épargne à la fiscalité intéressante prévoit que les membres du couple peuvent contracter ensemble un plan d'épargne retraite. Les membres du couple alimenteraient ce PERCS à hauteur de leur moyen et lors de la liquidation et les capitaux et rentes versées seraient réparties de manière inversement proportionnelles aux versement effectués avant liquidation. De cette manière, la solidarité matrimoniale serait garantie par un tiers qui assurera la bonne répartition des fonds le moment venu.

Tel est l'objet de cet amendement.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d’un article additionnel après l’article 12 à un article additionnel après l'article 3)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3216

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 3


Après l'article 6

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Dans un délai de six mois à compter de la présente loi, le Gouvernement présente au Parlement un rapport sur l’opportunité d’instaurer une sur-cotisation de 0,8 point sur les hauts salaires en direction de la Caisse nationale d’assurance vieillesse.

Objet

Le présent amendement a vocation à proposer une sur-cotisation des salaires supérieur au plafond de la sécurité sociale à l’assurance vieillesse, en augmentant les taux de cotisation salariale et patronale déplafonnés d’assurance vieillesse.

Pour rappel historique, au mois de mars 1944, le Conseil National de la Résistance (CNR) propose dans son programme un « plan complet de Sécurité sociale visant à assurer, à tous les citoyens, des moyens d’existence dans tous les cas où ils sont incapables de se les procurer par le travail ». Les ordonnances des 4 octobre et 19 octobre 1945 créent une organisation de la Sécurité sociale qui garantit à chacune et à chacun de disposer en toutes circonstances des moyens nécessaires pour assurer sa subsistance ainsi que celle de sa famille dans des conditions décentes.

La logique redistributive et le principe de solidarité collective au cœur de l’histoire et du fonctionnement de la sécurité sociale doivent être renforcés. Nous proposons, par cet amendement, un levier afin de permettre à la Caisse Nationale d’Assurance Vieillesse (CNAV) de s’assurer de meilleures recettes contribuant à l’équilibre du système d’autant que ces taux s’appliquent à l’ensemble des rémunérations y compris au-delà des huit plafonds de la tranche 2 ou B.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4369 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 3


Après l'article 3

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Dans un délai de trois mois à compter de la publication de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport évaluant le manque à gagner pour la sécurité sociale et du système de retraites provoqué par la qualification indue des travailleurs des plateformes en tant que travailleurs indépendants et les effets financiers qu'aurait pour la sécurité sociale leur requalification en tant que salariés.

Objet

Les membres du groupe CRCE demandent au Gouvernement un rapport permettant d’établir le coût pour les finances sociales, sans éluder pour autant les problématiques propres aux conditions de travail des travailleuses et des travailleurs uberisés, de l’absence de décision politique en France visant à établir une présomption de salariat. Ce rapport indiquerait notamment le manque à gagner généré par ce dévoiement du statut de travailleur indépendant pour le financement du système de retraite.

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1974 rect. bis

4 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. SEGOUIN, PIEDNOIR et SIDO, Mme RENAUD-GARABEDIAN, MM. ROJOUAN et KLINGER, Mmes DREXLER et DUMAS, MM. SOMON, BASCHER, BRISSON, FRASSA, Étienne BLANC et RIETMANN, Mme THOMAS et MM. CHARON et SAURY


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 3


Après l'article 3

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – L’article L. 161‐22‐1 A du code de la sécurité sociale est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« Dans les zones mentionnées au 1° de l’article L. 1434-4 du code de la santé publique, les médecins retraités qui poursuivent leur activité de médecine libérale sont exonérés des cotisations de retraite. »

II. – La perte de recettes résultant pour les organismes de sécurité sociale du présent article est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

 

Objet

Par cet amendement, il est proposé d’exonérer de cotisations retraite les médecins retraités ayant recours au dispositif de cumul emploi retraite, et exerçant dans les zones dites sous-denses.



NB :La rectification consiste en un changement de place de l'article 13 à un article additionnel après l'article 3.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2538 rect.

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. PARIGI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 3


Après l'article 3

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. - À titre expérimental, et pour une durée de 5 années, en Corse, les médecins bénéficiaires d’une pension de vieillesse qui continuent l’exercice libéral de la médecine en zone rurale sont exonérés des cotisations de retraite auprès de la Caisse autonome de retraite des médecins de France, par dérogation à l’article L. 161-22-1 A du code de la sécurité sociale.

II. – La perte de recettes résultant pour les organismes de sécurité sociale du I est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

Objet

La Corse, en raison de sa géographie connait avec une acuité particulière le phénomène de désertification médicale. Comme le relevait le récent rapport des maires ruraux, la Corse entière est un désert médical puisque 96, 7% des communes sont des communes rurales et 53% de ces dernières considérées comme des déserts médicaux.

Afin de prolonger l’esprit de la mesure vertueuse adoptée lors du dernier PLFSS, visant à exempter de cotisations retraite les médecins en exercice libéral dans une situation de cumul emploi-retraite le présent amendement entend la prolonger durant 5 années à titre expérimental sur le territoire Corse.

Compte tenu des chiffres précédemment évoqués il apparait légitime que la Corse puisse demander l’expérimentation d’une telle mesure sur une période nécessaire à la transition d’installation de jeunes médecins sur les territoires les plus touchés.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après l'article 13 à un article additionnel après 3).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4370 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 3


Après l'article 3

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Dans un délai de six mois à compter de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport comparatif sur l'impact des différents systèmes de retraites entre la France et les pays de l'OCDE.

Objet

Les membres du groupe CRCE demandent au Gouvernement un rapport sur l’impact des réformes des systèmes de retraites sur le niveau de vie dans l'OCDE en comparaison avec le système actuel en France.

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4620

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. LABBÉ, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. GONTARD, BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS et FERNIQUE, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 3


Après l'article 3

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Dans un délai de six mois à compter de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport sur les mesures de limitation les phénomènes d’optimisations sociales qui pénalisent les ressources de la mutualité sociale agricole, dans un objectif de revalorisation des pensions de retraites agricoles, et d'amélioration de la lisibilité, de l’efficacité et la redistributivité du système de retraite des non-salariés agricoles.

Objet

La faiblesse du niveau de pension des agriculteurs est en grande partie liée à la faiblesse de leurs revenus.  En effet, dans un contexte de concurrence internationale, d’absence de mécanismes de régulation au niveau européen, et de répartition inéquitable de la valeur au sein des filières, les prix payés aux producteurs sont très bas, et trop souvent même en dessous de leur coût de production. Cette faiblesse des revenus limite les contributions des agriculteurs au régime de retraite, et donc le niveau des pensions, aggravant ainsi l’injustice subie par celles et ceux qui ont travaillé toute leur vie pour nourrir la population, et se retrouve, pour nombre d’entre eux, avec des retraites bien inférieures à celles du reste de la population.

Mais un autre phénomène contribue à ce que le système actuel ne permette pas aux agriculteurs d’accéder à une véritable protection sociale, et donc, à un niveau de pension décent. Il s’agit du système de cotisations sociales agricoles, qui pousse à des formes d’optimisation sociale, réduisant ainsi les ressources du système, et le niveau des pensions.

Notamment, on constate des pratiques qui consistent à surinvestir, à sur-capitaliser afin de minimiser artificiellement le revenu disponible de l’exploitation et donc, l’assiette de cotisations sociales, ce qui pénalise in fine le niveau de pension. 

Le système – fiscal, comptable, bancaire – agricole encourage les paysans dans cette voie, en favorisant des calculs à court terme qui permettent, par des mécanismes d’allègement, de limiter les cotisation payées en pratiquant un renouvellement incohérent du matériel agricole, ou des mouvements comptables du troupeau totalement déconnectés de la réalité de l’élevage, et des logiques d’investissement/agrandissement systématique. 

S’il faut évidemment agir sur l’équité du système de retraite et pour améliorer le revenu agricole, il convient également de limiter ces pratiques d’optimisation sociales et d’incitation à la sur-mécanisation, pour créer un système de protection sociale agricole efficace, garantissant un niveau de pension décent. 

C’est pourquoi le groupe Écologiste - Solidarité et Territoires souhaite que soit porté une réflexion globale, à la fois pour un système de retraite qui garantisse un niveau de pension décent à tous les agriculteurs et agricultrices, tout en obligeant l'ensemble des revenus agricoles à participer à un financement pérenne de la protection sociale.

C'est pourquoi cet amendement demande que soit remis par le Gouvernement au au Parlement un rapport sur les mesures de limitation les phénomènes d’optimisations sociales qui pénalisent les ressources de la mutualité sociale agricole, dans un objectif de revalorisation des pensions de retraites agricoles, et d'amélioration de la lisibilité, de l’efficacité et la redistributivité du système de retraite des non salariés agricoles.

Enfin, le groupe Écologiste - Solidarité et Territoires tient à rappeler que si une réforme des retraites agricoles serait nécessaire pour améliorer le niveau des pensions, l’équité, et la performance du système de cotisation sociale, le présent projet de loi ne répond en rien à ces enjeux, et pénalisera au même titre qu’une majorité de citoyens, les agriculteurs et agricultrices, contraints de travailler plus longtemps dans un métier souvent marqué par des conditions de travail difficiles, a fortiori en fin de carrière.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 349

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme BRIQUET


ARTICLE 4


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article 4 actualisant les tableaux d’équilibre des régimes obligatoires de base et entérinant donc la réforme des retraites du Gouvernement.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3187

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 4


Supprimer cet article.

Objet

L’article 4 correspond à l’approbation des tableaux d’équilibre des régimes obligatoires de base de la Sécurité Sociale.

Conformément à sa position lors de l’examen de la LFSS 2023, le groupe Ecologiste considère que l’ensemble de ces prévisions de dépenses, notamment, ne sont pas à la hauteur des besoins en financement du système de soin et d’accompagnement et de la protection sociale.

Près de 20% des lits hospitaliers sont indisponibles en raison d'une pénurie de soignants. Ces personnels sont malmenés depuis des années, à coup de mesures d'économie et de "réorganisation" permanente.

Pour des raisons économiques, un taux de remplissage "de 90-95%" a ainsi été imposé aux hôpitaux, ce qui supprime "toute marge de manœuvre pour le personnel" et impose, en cas de crises comme ce fut le cas lors de la pandémie de Covid-19, de travailler en sous-effectifs structurels. Les soignants aiment leur métier, et c'est justement parce qu'ils aiment leur métier qu'ils refusent de travailler dans des conditions dégradées. "Les normes internationales fixent un nombre de six à huit patients par infirmière. En France, on est plutôt au double. On court toute la journée d'un patient à l'autre, on a l'impression de faire mal notre travail", témoigne le Syndicat National des Professionnels Infirmiers.

Nous constatons jour après jour la dégradation de notre système de santé, considéré il y a encore quelques décennies comme l'un des meilleurs au monde. Le budget n'est pas à la hauteur pour faire face au risque d’effondrement notamment de l’hôpital.

Pour ces raisons, le groupe écologiste propose de supprimer l'article.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4371 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 4


Supprimer cet article.

Objet

Les membres du groupe CRCE s’opposent au tableau d’équilibre par branche tel qu’il est présenté dès lors qu’il agrège finalement tous les griefs auxquels procèdent le groupe sur les carences de financement de la branche autonomie, le manque général de recettes, avec la notion même de solde qui donne à voir un déficit à l’échelle de l’ensemble des branches comme si les transferts entre branches constituaient une norme.

Notons que le déficit prévu pour 2023 est bien moindre que le déficit qui avait été projeté en loi de finances pour la Sécurité sociale pour 2022 à 33,7 Md€ soit 26,2 Md€ de déficit supplémentaire supposé. Nous pourrions dire que comme pour la branche vieillesse : les dépenses des régimes obligatoires de base de sécurité sociale « ne font pas l’objet de dépenses incontrôlées ».

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4721

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Le Gouvernement


ARTICLE 4


Alinéa 2, tableau

Rédiger ainsi ce tableau :

(En milliards d’euros)

 

Recettes

Dépenses

Solde

Maladie

231,2

239,1

-7,9

Accidents du travail et maladies professionnelles

17,0

14,8

2,2

Vieillesse

269,8

273,7

-3,8

Famille

56,7

55,3

1,3

Autonomie

36,3

37,5

-1,3

Toutes branches (hors transferts entre branches)

593,3

602,8

-9,5

Toutes branches (hors transferts entre branches) y compris Fonds de solidarité vieillesse

595,0

603,2

-8,2

Objet

Le présent amendement modifie, dans le tableau d’équilibre par branche des régimes obligatoires de base de sécurité sociale pour l’année 2023, les prévisions de recettes de la branche vieillesse et, en conséquence, le solde de la branche vieillesse ainsi que le solde de toutes les branches et celui incluant l’ensemble des branches et le FSV.

En premier lieu, il tient compte de l’augmentation de l’ONDAM 2023 de 750 M€, notamment pour tirer les conséquences des annonces faites par le Président de la République lors de ses vœux aux acteurs de la santé le 6 janvier 2023 et qui auront un impact sur les dépenses de l’assurance maladie en 2023. Ce rehaussement permettra de financer jusqu’à la fin de l’année, en parallèle de la poursuite des travaux sur la valorisation des sujétions à l’hôpital et la permanence des soins, la prolongation des mesures d’urgence concernant la rémunération du temps de travail de nuit dans les établissements de santé qui devaient initialement prendre fin au 31 mars 2023. Par ailleurs, cet amendement permet de tenir compte des prévisions de dépenses supplémentaires sur l’ONDAM ville en 2023.

En second lieu, le présent amendement prend en compte l’impact financier de l’harmonisation des conditions d’assujettissement aux prélèvements sociaux des indemnités de rupture et de mise à la retraite, afin de mettre fin à des signaux défavorables pour l’emploi de travailleurs séniors, qui a été adoptée à l’Assemblée nationale.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4377 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 4


Alinéa 2, tableau

1° Deuxième colonne, deuxième ligne

Remplacer le montant :

231,2

par le montant :

240,4

2° Deuxième colonne, quatrième ligne

Remplacer le montant :

269,7

par le montant :

274,9

3° Deuxième colonne, sixième ligne

Remplacer le montant :

36,3

par le montant :

39,5

4° Dernière colonne, deuxième ligne

Remplacer le montant :

- 7,2 

par le montant :

2

5° Dernière colonne, quatrième ligne

Remplacer le montant :

-3,9 

par le montant :

1,2

6° Dernière colonne, sixième ligne

Remplacer le montant :

-1,3

par le montant :

2

Objet

Les membres du groupe CRCE veulent par cet amendement réaffecter aux branches « maladie », « vieillesse » et « autonomie » l'objectif d'amortissement de la dette sociale supportée par la CADES en 2023.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4378 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 4


Alinéa 2, tableau

1° Deuxième colonne, deuxième ligne

Remplacer le montant :

231,2

par le montant :

238,4

2° Deuxième colonne, quatrième ligne

Remplacer le montant :

269,7

par le montant :

278,9

3° Deuxième colonne, sixième ligne

Remplacer le montant :

36,3

par le montant :

37,5

4° Dernière colonne, deuxième ligne

Remplacer le montant :

- 7,2 

par le montant :

0

5° Dernière colonne, quatrième ligne

Remplacer le montant :

-3,9 

par le montant :

5,2

6° Dernière colonne, sixième ligne

Remplacer le montant :

-1,3

par le montant :

0

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent réaffecter aux branches "maladie", "vieillesse" et "autonomie" l'objectif d'amortissement de la dette sociale supportée par la CADES en 2023.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4376 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 4


Alinéa 2, tableau, deuxième ligne

1° Deuxième colonne

Remplacer le montant :

231,2

par le montant :

248,9

2° Dernière colonne

Remplacer le montant :

-7,2

par le montant :

10,5

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent réaffecter à la branche "maladie" l'objectif d'amortissement de la dette sociale supportée par la CADES en 2023.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4372 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 4


Alinéa 2, tableau, troisième ligne

1° Deuxième colonne

Remplacer le montant :

17,0

par le montant :

18,0

2° Dernière colonne

Remplacer le montant :

2,2

par le montant :

3,2

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent réaffecter à la branche « Accidents du travail et Maladies professionnelles » une part de l'objectif d'amortissement de la dette sociale par la CADES afin de faire face aux dépenses prévues par le Gouvernement dans le cadre de la mise en place du Fonds d'investissement dans la prévention de l'usure professionnelle.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3468

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 4


Alinéa 2, tableau, quatrième ligne

1° Deuxième colonne

Remplacer le montant :

269,7

par le montant :

270,7

2° Troisième colonne

Remplacer le montant :

273,7

par le montant :

272,7

3° Quatrième colonne

Remplacer le montant :

-3,9

par le montant :

-2,0

Objet

Cet amendement vise à indiquer que le gouvernement ne fait pas apparaître dans les tableaux d’équilibre des régimes obligatoires les effets réels d’un recul de l’âge légal de départ en retraite et d’une augmentation du nombre de trimestres cotisés nécessaires sur les dépenses de la branche vieillesse.

Sciemment, le gouvernement ne fait en outre pas davantage apparaître les recettes nouvelles en termes de cotisations sociales que cette réforme générera. Cet amendement a pour objet de corriger les estimations erronées du gouvernement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4375 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 4


Alinéa 2, tableau, quatrième ligne

1° Deuxième colonne

Remplacer le montant :

269,7

par le montant :

270,7

2° Troisième colonne

Remplacer le montant :

273,7

par le montant :

272,7

3° Quatrième colonne

Remplacer le montant :

-3,9

par le montant :

-2,0

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent, par cet amendement, souligner que le Gouvernement ne fait pas apparaître dans les tableaux d’équilibre des régimes obligatoires les effets réels d’un recul de l’âge légal de départ en retraite et d’une augmentation du nombre de trimestres cotisés nécessaires sur les dépenses de la branche vieillesse. Le Gouvernement ne fait pas plus apparaître les recettes nouvelles en termes de cotisations sociales que cette réforme génèrera. Signe supplémentaire, s’il en fallait, que le véhicule législatif utilité à savoir une loi de financement rectificative de la sécurité sociale est absolument injustifiée.

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2892 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 4


Alinéa 2, tableau, quatrième ligne

1° Deuxième colonne

Remplacer le montant :

269,7

par le montant : 

287,4

2° Dernière colonne 

Remplacer le montant : 

– 3,9

par le montant : 

13,8

Objet

 Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à réaffecter les ressources de la CADES - 17,7 milliards d'euros en 2023 - à notre système de retraites.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3400

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 4


Alinéa 2, tableau, quatrième ligne

1° Deuxième colonne

Remplacer le montant :

269,7

par le montant : 

287,4

2° Dernière colonne 

Remplacer le montant : 

– 3,9

par le montant : 

13,8

Objet

Cet amendement a pour objet de réaffecter les ressources de la CADES - 17,7 milliards d'euros en 2023 - à notre système de retraites.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4373 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 4


Alinéa 2, tableau, quatrième ligne

1° Deuxième colonne

Remplacer le montant :

269,7

par le montant :

287,4

2° Dernière colonne

Remplacer le montant :

-3,9

par le montant :

13,8

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent réaffecter à la branche vieillesse l'objectif d'amortissement de la dette sociale par la CADES d'un montant de 17,7 milliards d'euros pour 2023.

 

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4374 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 4


Alinéa 2, tableau, quatrième ligne

1° Deuxième colonne

Remplacer le montant :

269,7

par le montant :

273,6

2° Dernière colonne

Remplacer le montant :

-3,9

par le montant :

0

Objet

Les membres du groupe CRCE entendent, par cet amendement de repli, réaffecter partiellement au système de retraite 3,9 millards d’euros sur les 17,7 milliards d’euros de dette sociale qui seront remboursés en 2023. Ce montant correspond à la recherche d’économie annuelle d’ici à 2030 que le Gouvernement entend réaliser via l’accélération de la réforme Touraine qui allonge la durée de cotisation et par le report de l’âge légal de départ à la retraite de 64 ans.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 350

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme BRIQUET


ARTICLE 5


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article 5 fixant l’objectif d’amortissement de la dette sociale à 17,7 milliards d’euros, soit précisément le montant des économies annuelles recherchées par le Gouvernement via la réforme des retraites d’ici 2030.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3188

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 5


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’article 5.

L’article 5 fixe l’objectif d’amortissement de la dette sociale ainsi que les prévisions de recettes du FRR et du FSV.

En 2023, le remboursement de la dette sociale par la CADES est loin d’être anodin : 17,7 milliards d’euros sont immobilisés.

Afin de réaffecter une partie de ces 17,7 milliards d’euros vers le financement du système de retraites, nous souhaitons étaler davantage le remboursement de la dette de la CADES d’autant que lui a été affectée la dette COVID qui aurait dû être prise par l’Etat.

Depuis 2010, les ressources proviennent de tout ou partie du résultat excédentaire du Fonds de solidarité vieillesse, du résultat de placements effectués au titre du FRR et de « toute autre ressource affectée au FRR ».

En 2011, alors qu’il représentait 37 milliards d’euros, le FRR a donc vu sa finalité redéfinie en faveur du remboursement de la dette sociale née des déficits successifs de la branche vieillesse du régime général dus en grande partie aux conséquences de la crise financière de 2008.

Grâce à la forte performance financière de ses placements (+ 4% depuis 2004), les décaissements au profit de la Cades ne l’ont amenuisé que de 10 milliards d’euros mais l’affectation d’une partie de ses ressources au remboursement accéléré de la CADES dont les taux d’emprunt étaient nettement inférieurs au rendement du FRR a été une aberration financière.

Depuis 2011, le FRR a non seulement cessé d’être alimenté (il devait être porté à 150 milliards en 2020 pour faire face à la bosse démographique) mais a été réduit de plus de deux milliards annuels ces dernières années.

Pour ces raisons, le groupe écologiste propose de supprimer l'article.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4379 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 5


Supprimer cet article.

Objet

Les membres du groupe CRCE s’opposent à ce qu’une part significative du « quoi qu’il en coûte » de la crise sanitaire soit supporté par la sécurité sociale. Le transfert à la Caisse d’amortissement de la dette sociale (CADES) d’une part de cette dette injustement attribuée tend à peser sur les finances de la sécurité sociale. Plus encore, il apparait qu’une part importante des recettes fiscales affectées à la sécurité sociale de CSG ou de CRDS vont peu ou prou servir à amortir cette « dette sociale » alors même que ces prélèvements sociaux devaient être en extinction si ce n’est à court terme, à moyen terme. Les assurés sociaux se trouvent dans une situation de devoir financer les décisions gouvernementales qui, bien que nécessaires, sont particulièrement larges et peu calibrées.

En outre, la dette sociale contrairement à la dette publique dans son ensemble bénéficie de conditions de financement moins avantageuses et plus onéreuses.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3189

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 5


Alinéa 1

Supprimer cet alinéa.

Objet

Le Gouvernement a décidé de faire porter le coût du covid-19 à la sécurité sociale. Une fois les dépenses effectuées par l’assurance maladie notamment, une partie de la « dette covid » a été transférée à la CADES. Or, le fait d’avoir inscrit la dette « covid » en tant que dette sociale est très contestable. La gestion de cette dette par l’État avait donc plus de sens mais aussi, d’un point de vue financier, était plus favorable au régime de la sécurité sociale. En effet, la dette publique et la dette sociale ne se remboursent pas de la même manière : la dette sociale doit être remboursée « intérêt et principal » contrairement à la dette de l’État qui est gérée à long terme, en faisant « rouler sa dette » avec la possibilité, contrairement à la dette sociale, de sécuriser des taux d’intérêt très bas.

Autrement dit, en faisant porter la dette covid par la sécurité sociale, ce sont autant de recettes issues de la CSG et la CRDS qui vont être consacrées dans les prochaines années au remboursement de la dette plutôt qu’aux besoins sociaux, ici en l’occurrence au FSV et à l’équilibre du système de retraites.

Le gouvernement agite le spectre d’une hausse de la dette, alors que des flux considérables sont spécifiquement dédiés chaque année à son remboursement via la caisse d’amortissement de la dette sociale (CADES).

Depuis 2010, la CADES a amorti 180 milliards d’euros de dette sociale (Évaluation sécurité sociale, 2022), soit plus que l’endettement cumulé sur dix ans présenté comme insoutenable par le gouvernement. Elle aura également repris 92 milliards d’euros de dette Covid entre 2020 et 2023 (Les Echos, 2021), et n’aura plus de dette à rembourser en 2033 selon le plan d’amortissement actuel.

Pour ces raisons, le Groupe Écologiste - Solidarité et Territoires propose de supprimer l’alinéa 1.







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(n° 368 , 375 , 373)

N° 87 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

MM. BASCHER, SAUTAREL et CAMBON, Mmes THOMAS, PUISSAT et DELMONT-KOROPOULIS, MM. CALVET et DAUBRESSE, Mmes GRUNY et DUMONT, MM. PERRIN et RIETMANN, Mmes DEMAS et MULLER-BRONN, MM. Bernard FOURNIER, Jean Pierre VOGEL, de LEGGE, BACCI, POINTEREAU, FRASSA, CARDOUX, SIDO, PANUNZI, CADEC et CHARON, Mmes MICOULEAU et BOULAY-ESPÉRONNIER, MM. MEIGNEN et REICHARDT, Mme IMBERT, MM. PIEDNOIR, FAVREAU et SOMON, Mme VENTALON, MM. GENET et TABAROT, Mme BELLUROT et MM. BRISSON, PACCAUD et RAPIN


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 5


Après l’article 5

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – Les quatrième à sixième alinéas de l’article L. 135-6 du code de la sécurité sociale sont supprimés.

II. – La perte de recettes résultant pour l’État du I est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

III. – La perte de recettes résultant pour les organismes de sécurité sociale du I est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

IV. – La perte de recettes résultant pour les organismes de sécurité sociale est compensée à due concurrence par la création d'une contribution additionnelle aux contributions mentionnées au chapitre II de l'ordonnance n° 96-50 du 24 janvier 1996 relative à la dette sociale.

Objet

Cet amendement d’appel propose de rétablir l’objectif initial du fonds de réserve pour les retraites dont la mission est d’investir au nom de la collectivité les sommes que lui confient les pouvoirs publics en vue de participer au financement des retraites.

Instauré par une loi de 1998, le FRR visait à mettre en place « un système de répartition provisionné » selon une logique de fonds de précaution épaulant les retraites par répartition.

En dépit du non‐respect par les pouvoirs publics de leurs engagements d’alimentation, le FRR n’a pas failli à sa mission et a créé de la valeur pour les finances publiques et les contribuables. La performance annualisée nette de la gestion ressort à 4,7 % par an de 2011 à 2021, malgré une allocation défensive liée à une alimentation moins importante que prévu et des retraits impromptus.

Sur la période 2011‐2021, le FRR a créé 14 milliards d’euros de valeur par rapport au coût de la dette de la CADES.

Or, le manque de soutien public a entravé la montée en puissance de ce fonds, dont la gestion administrative est opérée par la Caisse des dépôts et consignations.

Ce fonds a suscité les convoitises de l’État qui a utilisé 20 milliards d’euros d’excédents générés par le FRR à d’autres fins que le financement des retraites.

Cet amendement vise donc à interdire à l’État de puiser dans le FRR et de le détourner de son objectif initial qui était la garantie des futures retraites.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2035

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme VERMEILLET

et les membres du groupe Union Centriste


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 5


Après l’article 5

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

À compter du 1er septembre 2023, le surcroît de recettes de la contribution sociale généralisée (CSG) apporté par les dispositions de l’article 7 de la présente loi est affecté au Fonds de réserve pour les retraites tel que régi par l’article L. 135-6 du code de la sécurité sociale.

Objet

Le Fonds de réserve des Retraites (FRR), créé en 2001, avait pour objectif de se prémunir des déficits actuels. Anticipant que la génération Papy-boom serait surnuméraire, donc coûteuse en pensions, le FRR devait mettre en réserve les cotisations vieillesse surnuméraires de l’époque. L’ambition était d’atteindre 150 milliards d’euros à l’origine, précisément le montant du déficit cumulé auquel nous devons faire face dans les 10 années à venir.

En 2011, la mission du FRR réorientée vers le financement de la dette sociale gérée par la CADES, perd de vue son objectif. Il n’est plus dédié à l’anticipation mais à la gestion d’une dette passée.

Cet amendement vise à renforcer la mission première du FRR, en lui affectant les suppléments de cotisations de CSG induits par la présente réforme.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 351

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme BRIQUET


ARTICLE 6


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article 6 approuvant pour les quatre années à venir (2023 à 2026) les effets sur les recettes et les dépenses de la sécurité sociale de la réforme des retraites.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 376

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme FÉRET


ARTICLE 6


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article 6 approuvant pour les quatre années à venir (2023 à 2026) les effets sur les recettes et les dépenses de la Sécurité sociale de la réforme des retraites.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 459

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. FICHET


ARTICLE 6


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article 6 approuvant pour les quatre années à venir (2023 à 2026) les effets sur les recettes et les dépenses de la sécurité sociale de la réforme des retraites.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 481

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme VAN HEGHE


ARTICLE 6


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article 6 approuvant pour les quatre années à venir (2023 à 2026) les effets sur les recettes et les dépenses de la sécurité sociale de la réforme des retraites.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 490

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme HARRIBEY


ARTICLE 6


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article 6 approuvant pour les quatre années à venir (2023 à 2026) les effets sur les recettes et les dépenses de la sécurité sociale de la réforme des retraites.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 514

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. CHANTREL


ARTICLE 6


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l'article 6 approuvant pour les quatre années à venir (2023 à 2026) les effets sur les recettes et les dépenses de la sécurité sociale de la réforme des retraites.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 528

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. GILLÉ


ARTICLE 6


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article 6 approuvant pour les quatre années à venir (2023 à 2026) les effets sur les recettes et les dépenses de la sécurité sociale de la réforme des retraites.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 577

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme de LA GONTRIE


ARTICLE 6


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article 6 approuvant pour les quatre années à venir (2023 à 2026) les effets sur les recettes et les dépenses de la sécurité sociale de la réforme des retraites.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 676

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LE HOUEROU


ARTICLE 6


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article 6 approuvant pour les quatre années à venir (2023 à 2026) les effets sur les recettes et les dépenses de la sécurité sociale de la réforme des retraites.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 705

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme BLATRIX CONTAT


ARTICLE 6


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l'article 6 approuvant pour les quatre années à venir (2023 à 2026) les effets sur les recettes et les dépenses de la sécurité sociale de la réforme des retraites.






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N° 736

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. Mickaël VALLET


ARTICLE 6


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article 6 approuvant pour les quatre années à venir (2023 à 2026) les effets sur les recettes et les dépenses de la sécurité sociale de la réforme des retraites.






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N° 818

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. JACQUIN


ARTICLE 6


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article 6 approuvant pour les quatre années à venir (2023 à 2026) les effets sur les recettes et les dépenses de la sécurité sociale de la réforme des retraites. Ce n'est pas le rôle du PLFSSR de procéder à cette validation alors que sont objet n'est effectif pour l'année en cours.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 871

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. DURAIN


ARTICLE 6


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article 6 approuvant pour les quatre années à venir (2023 à 2026) les effets sur les recettes et les dépenses de la sécurité sociale de la réforme des retraites.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 906

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. LUREL


ARTICLE 6


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article 6 approuvant pour les quatre années à venir (2023 à 2026) les effets sur les recettes et les dépenses de la sécurité sociale de la réforme des retraites.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 934

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme ARTIGALAS


ARTICLE 6


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article 6 approuvant pour les quatre années à venir (2023 à 2026) les effets sur les recettes et les dépenses de la sécurité sociale de la réforme des retraites.






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N° 1024

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. STANZIONE


ARTICLE 6


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article 6 approuvant pour les quatre années à venir (2023 à 2026) les impacts sur les recettes et les dépenses de la sécurité sociale de la réforme des retraites.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1093

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. TISSOT


ARTICLE 6


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article 6 approuvant pour les quatre années à venir (2023 à 2026) les effets sur les recettes et les dépenses de la sécurité sociale de la réforme des retraites.






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N° 1160 rect. bis

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN


ARTICLE 6


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement  vise à supprimer cet article 6 approuvant pour les quatre années à venir (2023 à 2026) les effets sur les recettes et les dépenses de la sécurité sociale de la réforme des retraites.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1184

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme Sylvie ROBERT


ARTICLE 6


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article 6 approuvant pour les quatre années à venir (2023 à 2026) les effets sur les recettes et les dépenses de la sécurité sociale de la réforme des retraites.






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N° 1215

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. MÉRILLOU


ARTICLE 6


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article 6 approuvant pour les quatre années à venir (2023 à 2026) les effets sur les recettes et les dépenses de la sécurité sociale de la réforme des retraites.






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N° 1252

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme JASMIN


ARTICLE 6


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article 6 approuvant pour les quatre années à venir (2023 à 2026) les effets sur les recettes et les dépenses de la sécurité sociale de la réforme des retraites.

L'article 6 vise à approuver le rapport relatif à la trajectoire pluriannuelle des régimes obligatoires de base annexé au PLFRSS.

Pour la branche des retraites, les “économies” espérées de la réforme, est de plus de 10 milliards d’euros à horizon 2027 et 17,7 milliards d’euros à horizon 2030.

Or ces prévisions passent sous silence une multitude d’impacts budgétaires négatifs. Si on fait la somme des dépenses induites (chômage, maladie, etc) et des effets macro-économiques (contraction des salaires, baisse de l’activité, baisse du pouvoir d’achat etc), l’économie tombe à 2,8 milliards d’euros à horizon 10 ans d’après l’OFCE."

Le Gouvernement cherche à corriger la dette publique en proposant une réforme des retraites afin de faire évoluer les dépenses de retraite conformément aux attentes de la Commission européenne (par le biais du programme de stabilité 2022-2027) au détriment de la santé des Français .

Dans l'intérêt des Français, l'objet de cet amendement est donc de supprimer cet article.

 






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N° 1324

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme PRÉVILLE


ARTICLE 6


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article 6 approuvant pour les quatre années à venir (2023 à 2026) les effets sur les recettes et les dépenses de la sécurité sociale de la réforme des retraites.






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N° 1381

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. BOURGI


ARTICLE 6


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article 6 approuvant pour les quatre années à venir (2023 à 2026) les effets sur les recettes et les dépenses de la sécurité sociale de la réforme des retraites.






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N° 1444

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. KERROUCHE


ARTICLE 6


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l'article 6 approuvant pour les quatre années à venir (2023 à 2026) les effets sur les recettes et les dépenses de la sécurité sociale de la réforme des retraites.






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N° 1550

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme MONIER


ARTICLE 6


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article 6 approuvant pour les quatre années à venir (2023 à 2026) les effets sur les recettes et les dépenses de la sécurité sociale de la réforme des retraites.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1630

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme POUMIROL


ARTICLE 6


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article 6 approuvant pour les quatre années à venir (2023 à 2026) les effets sur les recettes et les dépenses de la sécurité sociale de la réforme des retraites.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1660

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme MEUNIER


ARTICLE 6


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article 6 approuvant pour les quatre années à venir (2023 à 2026) les effets sur les recettes et les dépenses de la sécurité sociale de la réforme des retraites.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1669

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme BONNEFOY


ARTICLE 6


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article 6 approuvant pour les quatre années à venir (2023 à 2026) les effets sur les recettes et les dépenses de la sécurité sociale de la réforme des retraites.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1701

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. LECONTE


ARTICLE 6


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article 6 approuvant pour les quatre années à venir (2023 à 2026) les effets sur les recettes et les dépenses de la sécurité sociale de la réforme des retraites.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1797

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. JOMIER


ARTICLE 6


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article 6 approuvant pour les quatre années à venir (2023 à 2026) les effets sur les recettes et les dépenses de la sécurité sociale de la réforme des retraites.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1827

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. KANNER


ARTICLE 6


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l'article 6 qui approuve pour 2023 à 2026 les effets sur les recettes et les dépenses de la sécurité sociale de la réforme des retraites






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N° 1854

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. ASSOULINE


ARTICLE 6


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article 6 approuvant pour les quatre années à venir (2023 à 2026) les effets sur les recettes et les dépenses de la sécurité sociale de la réforme des retraites.






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N° 1903

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. Patrice JOLY


ARTICLE 6


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article 6 approuvant pour les quatre années à venir (2023 à 2026) les effets sur les recettes et les dépenses de la sécurité sociale de la réforme des retraites.

Pour la branche des retraites, les “économies” espérées de la réforme, de 10,3 milliards d’euros à horizon 2027 et 17,7 milliards d’euros à horizon 2030, passent sous silence une multitude d’impacts budgétaires négatifs. Si on fait la somme des dépenses induites (chômage, maladie, etc) et des effets macro-économiques (contraction des salaires, baisse de l’activité, etc), l’économie tombe à 2,8 milliards d’euros à horizon 10 ans d’après l’OFCE.






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N° 2000

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme ROSSIGNOL


ARTICLE 6


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article 6 approuvant pour les quatre années à venir (2023 à 2026) les effets sur les recettes et les dépenses de la sécurité sociale de la réforme des retraites.






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N° 3196

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 6


Supprimer cet article.

Objet

Cet article récurrent consiste à approuver le rapport renseignant pour les 4 prochaines années, les prévisions de recettes et les objectifs de dépenses par branche des régimes obligatoires de base de sécurité sociale. Pour la branche des retraites, les “économies” espérées de la réforme, de 10,3 milliards d’euros à horizon 2027 et 17,7 milliards d’euros à horizon 2030, passent sous silence une multitude d’impacts budgétaires négatifs. Si on fait la somme des dépenses induites (chômage, maladie, etc) et des effets macro-économiques (contraction des salaires, baisse de l’activité, hausse du chômage à court terme etc), les gains nets tombent à 2,8 milliards d’euros à horizon 10 ans d’après l’OFCE.

L’article 6 approuve l’annexe A du projet de loi de financement rectificative de la réforme des retraites. Cette annexe comprend l’ensemble des trajectoires et prévisions macroéconomiques du Gouvernement. Le groupe Écologiste étant opposé à cette réforme des retraites qui n’est en réalité qu’une variable d’ajustement des finances publiques, le présent amendement du groupe GEST a pour objet de supprimer cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4385 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 6


Supprimer cet article.

Objet

Les membres du groupe CRCE demandent la suppression de cet article qui permet d’affirmer une opposition franche aux discours politiques qui s’appuient sur les agrégats déclinés dans l’annexe tout comme les orientations de la dernière loi de finances pour 2023 et plus généralement, sur le niveau de l’ONDAM ainsi que l’ensemble des effets comptables de la réforme des retraites qui y sont ainsi retracés.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 4120 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Intitulé

Après le mot :

maladie

insérer les mots :

volontairement sous-évalué

Objet

Cet amendement vise à préciser l'objet du présent rapport.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 4122 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Intitulé

Après le mot :

maladie

insérer les mots :

inférieur à la hausse tendancielle des besoins en santé qui est estimée à 4 % par la commission des comptes de la sécurité sociale

Objet

Cet amendement vise à préciser la nature des projections présentées dans cette annexe.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 4123 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Intitulé

Après le mot :

maladie

insérer les mots :

en-deçà de l’inflation à 5,8 % en 2022 et estimée à 4,3 % en 2023

Objet

Cet amendement vise à préciser la nature des objectifs présentés par l’annexe.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 4119 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Intitulé

Compléter cet intitulé par les mots :

sans tenir compte des effets du recul de l’âge légal de départ à la retraite et de l’augmentation du nombre de trimestres cotisés nécessaires sur la santé des travailleurs

Objet

Cet amendement vise à préciser l'objet du présent rapport.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 4124 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Alinéa 1

Compléter cet alinéa par les mots :

sans tenir compte des effets d’un recul de l’âge légal de départ à la retraite et de l’augmentation des trimestres cotisés nécessaires sur les différentes recettes et dépenses des branches des régimes obligatoires de base

Objet

Cet amendement vise à préciser les fondements et les objectifs de la présente annexe.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 2895 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


Article 6

(Annexe)


Après l’alinéa 1

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

La présente annexe décrit, en premier lieu, les effets de la réforme envisagée sur l’évolution du nombre d’années de retraite en bonne santé selon les catégories sociales des travailleurs.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste,  écologiste et républicain entend revenir sur un débat essentiel : celui du nombre d'année de retraite en bonne santé dont pourront profiter les travailleurs.


En effet, les données publiques disponibles tendent à montrer que cette espérance de vie en bonne santé diminue selon les catégories sociales.


Ces données et leurs évolutions suite à la mise en œuvre de la réforme permettront de révéler l'injustice du projet porté par le Gouvernement.

Tel est le sens de cet amendement.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 2896 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


Article 6

(Annexe)


Alinéa 2, première phrase

Après le mot :

sanitaire

insérer les mots :

, dont le Gouvernement a fait le choix d’affecter les coûts à la caisse d’amortissement de la dette sociale plutôt que d’en organiser la prise en charge juste et équitable par un financement progressif assis sur l’ensemble des revenus et une taxation,

Objet

Contrairement à ce que de nombreux groupes parlementaires avaient alors proposé, le Gouvernement et sa majorité ont fait le choix de creuser à nouveau le déficit de la sécurité sociale et sa dette affectée à la CADES, et de faire ainsi peser sur leurs seuls financement les coûts de la crise sanitaire, alors que tout justifiait une prise en charge beaucoup plus large de ces dépenses publiques, notamment par les super-profits réalisés du fait même de cette crise, par un certain nombre d'entreprises.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 2898 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


Article 6

(Annexe)


Alinéa 2, première phrase

Après le mot :

suivi

insérer les mots :

et des baisses d’impôts et de cotisations sociales accordées aux plus riches et aux grandes entreprises sans contrepartie

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à préciser que le solde des régimes obligatoires de base s'est également dégradé en 2020 sous l'effet des baisses d'impôts et de cotisations sociales accordées aux plus riches et aux grandes entreprises, ce sans contrepartie.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


Article 6

(Annexe)


Alinéa 2

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Enfin, les dispositifs d’exonération de cotisations en faveur de l’emploi qui représentent 85 milliards d’euros pour 2023, sans pour autant se justifier par leur efficacité économique, contribuent à dégrader le solde des régimes obligatoires de base.

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à rappeler les dispositifs d'exonération de cotisations sociales pèsent plus de 85 milliards d'euros chaque année sur notre Sécurité sociale.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 4125 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Après l’alinéa 2

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

À titre de comparaison, 18,9 milliards d’euros correspondent à l’augmentation du budget du ministère des Armées entre 2019 et 2026, qui sera passé de près de 36 milliards d’euros par an à 54 milliards d’euros selon les projections de la prochaine loi de programmation militaire.

Objet

Il est important de comparer les volumes budgétaires mentionnés dans la présente annexe afin d'être en mesure de comprendre les enjeux financiers.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Alinéa 3, deuxième phrase

Remplacer le mot :

conduirait

par les mots :

et des effets du recul de l’âge de départ à la retraite conduiraient

Objet

Cet amendement vise à préciser la nature du contexte sur lequel se fondent les projections de la présente annexe.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 2900 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


Article 6

(Annexe)


I. Alinéa 3

1° Après le mot :

année

supprimer la fin de la troisième phrase.

2° Après les mots :

branche Vieillesse

supprimer la fin de la quatrième phrase.

3° Après les mots :

années à venir

supprimer la fin de la sixième phrase.

II. Alinéa 8, première phrase

Supprimer les mots :

ainsi que la réforme des retraites présentée dans le présent projet de loi

III. Alinéa 10

Supprimer cet alinéa.

IV. Alinéa 13, seconde phrase

Supprimer les mots :

et de l'impact de la réforme des retraites sur l'équilibre 2023

V. Alinéa 14

Supprimer les mots :

ainsi que la réforme du système de retraite présente dans la présente loi

VI. Alinéa 18

1° Deuxième phrase

Supprimer les mots :

et la montée en charge progressive de la réforme des retraites

2° Avant dernière phrase

Supprimer cette phrase.

VII. Alinéa 23, dernière phrase

Supprimer les mots :

dans le cadre de la présente réforme

VIII. Alinéa 24, troisième phrase

Supprimer les mots :

dans le cadre de la réforme

IX. Alinéa 26, première phrase

Supprimer les mots :

mais bénéficierait de la hausse progressive de l'âge effectif de départ portée par la présente loi

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à supprimer, de l'annexe pluriannuelle 2023-2026, toute référence à la présente réforme des retraites injustifiée et injuste en ce qu'elle établit un impôt sur la vie de deux ans pour les Français.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 3476

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


Article 6

(Annexe)


Alinéa 3, troisième phrase 

Supprimer les mots :

, qui verrait également les premiers effets de la réforme des retraites portée par la présente loi (I)

Objet

Cet amendement a pour objet de supprimer la référence à la présente réforme des retraites à laquelle le groupe écologiste, solidarité et territoires est totalement opposé.

Dans cet alinéa, il est expliqué que la réforme des retraites participerait à la diminution du déficit.

Hausse du nombre d'allocataire à l'aide au retour à l'emploi, au revenu de solidarité active, à l'allocation de solidarité spécifique, à l'allocation adulte handicapé, ... La mention sur le budget des régimes de retraites ne tient absolument pas compte des effets collatéraux négatifs de la réforme sur les autres prestations sociales et risque de peser largement sur celles-ci.

Mais alors que le COR prévoyait un déficit de 22 milliards en 2022, en réalité le système des retraites est excédentaire de 3 milliards ! Même s'il se réalisait, le déficit annoncé par le Gouvernement pour les 25 prochaines années représenterait moins de 3% des dépenses totales et 0,4% du PIB. Le système est loin d'être en danger !






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2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


Article 6

(Annexe)


Alinéa 3, troisième phrase

Après le mot :

retraites

insérer les mots :

, puisque dès les premiers mois de sa mise en œuvre des personnes verront leur imminent départ à la retraite repoussé de plusieurs mois,

Objet

Par cet amendement le Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain entend souligner que "l'efficacité financière" de cette réforme des retraites revendiquée par le Gouvernement se paye au prix d'un effet brutal et immédiat sur de très nombreux Françaises et Française qui, se trouvant à quelques mois de leur retraite, seront obligés de repousser cette perspective de plusieurs mois. Ce faisant les personnes les plus âgées, les plus proches de leur retraite, seront les premières contributrices à cet "impôt sur la vie des gens" instauré par le Gouvernement et sa majorité.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3641

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


Article 6

(Annexe)


Alinéa 3, troisième phrase

Après les mots :

présente loi

insérer les mots : 

, dont l’unique objectif est de réduire les dépenses publiques, et non de sauver le système de retraite ou de le rendre plus juste

Objet

Par le présent amendement, le groupe Ecologiste - Solidarité et Territoires souhaite mettre en lumière l'objectif réel de la réforme que porte le Gouvernement, qui ne consiste ni à sauver le système des retraite, ni à le rendre plus juste, mais tout simplement à faire des économies.

Depuis la présentation de sa réforme, le Gouvernement n'a de cesse de déployer des éléments de langage pour tenter de convaincre les françaises et français du bien fondé de sa réforme. Justice, équilibre, progrès. Sauver le système de retraite par répartition. Revaloriser les pensions minimales. Rendre le système de retraite plus juste pour les femmes. Améliorer l'emploi des seniors. Autant d'arguments fallacieux qui n'ont convaincu personne.

En effet, ces explications cherchent à occulter le réel objectif de cette réforme, qui était pourtant assumé de façon tout à fait claire dans l'exposé des motifs du projet de loi de finances pour 2023, où l'on pouvait y lire que "les administrations de sécurité sociale participeront à la maîtrise de l’évolution des dépenses, permise notamment par la réforme des retraites [...]". Faire des économies, voilà donc le seul objectif de ce texte de loi. La réforme des retraites est avant tout une réforme budgétaire, comme le traduit si bien le véhicule législatif choisi par le Gouvernement.

Le présent amendement cherche donc à dénoncer l'entreprise du Gouvernement, qui n'assume pas de demander aux françaises et français de sacrifier deux années de leur vie sur l'autel de la rigueur budgétaire.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3676

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


Article 6

(Annexe)


Alinéa 3, troisième phrase

Compléter cette phrase par les mots :

présentée par le Gouvernement au mépris de son rejet par une très grande majorité des françaises et français, et par la quasi-totalité des actifs

Objet

Par le présent amendement, le groupe Ecologiste – Solidarité et Territoires entend rappeler l’opposition forte et claire des français vis-à-vis de cette réforme, dont ils savent parfaitement qu’elle va les pénaliser injustement au nom d’une rigueur budgétaire bête et aveugle, alors que le Gouvernement aurait pu trouver d’autres leviers de financement.

Pour rappel, ce sont près de 70 % des français et 92 % des actifs qui se disent défavorables à la réforme. Ce sont plus d’un millions de français qui perdent des jours de salaires pour descendre dans la rue, dans toute la France, pour dire au Gouvernement qu’ils ne veulent pas de cette réforme. Les françaises et les français sont de très bonne volonté et savent faire de grands efforts quand l’intérêt général l’exige, comme ils l’ont amplement prouvé lors des crises précédentes, et lors de la crise Covid en particulier.

Mais cette fois-ci, ils savent que ce n’est pas l’intérêt général qui préside à cette réforme, mais bien un manque de courage ou de volonté du Gouvernement de trouver d’autres leviers de financement du système de retraite.

Pour cette raison, nous vous proposons donc d’inscrire dans le marbre de la loi, expression de la volonté générale, ce rejet net du peuple français de la réforme.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3678

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


Article 6

(Annexe)


Alinéa 3, troisième phrase

Compléter cette phrase par les mots :

, motivée par l’idée selon laquelle il faudrait travailler et produire toujours plus, à contre-courant des besoins de sobriété qu’exige la crise écologique et climatique

Objet

Par le présent amendement, le groupe des Ecologiste – Solidarité et Territoires entend dénoncer le substrat idéologique sur lequel est fondée le réforme, l’idéologie de croissance infinie : travailler plus, pour consommer plus, à contre-courant des besoins de sobriété qu’exige la crise écologique et climatique.

L’idée selon laquelle il faut toujours plus travailler ou toujours plus produire est issue de la pensée productiviste, dont on observe les ravages sur notre planète aujourd’hui. Le système productiviste sacralise la production de biens et services, indépendamment des besoins réels de la société. Elle se fonde sur le présupposé selon lequel la croissance économique, l’augmentation toujours plus importante de la production, est essentielle au fonctionnement, au progrès et au bonheur de la société.

Or, le productivisme est la cause première de la crise écologique actuelle dans ses deux composantes : destruction de la biodiversité, par la destruction des terres, la pollution, la surexploitation des ressources, et réchauffement climatique. Le productivisme est donc insoutenable. Il nous faut réencadrer notre vision du travail dans les limites environnementales de la planète.

Nous écologistes proposons au contraire une conception du travail qui participe à la bifurcation écologique d’une part, et à l’épanouissement des individus d’autre part. Le report de l’âge légal de départ ne participera ni à l’une, ni à l’autre, mais constitue au contraire un régression sur ces deux plans. 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3473

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


Article 6

(Annexe)


Alinéa 3, quatrième phrase

Après le mot :

terme, 

insérer les mots :

du fait des politiques d’exonérations de cotisations sociales,

Objet

Par cet amendement, nous souhaitons souligner que le gouvernement contribue largement à la dégradation des comptes de la Sécurité sociale en multipliant les politiques d'exonérations de cotisations sociales.

En supprimant les exonérations de cotisations sociales qui coûtent cher, sans effet sur l'emploi, nous pourrions récupérer 10 milliards d'euros.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2897 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


Article 6

(Annexe)


Alinéa 3, quatrième phrase

Après les mots :

sous l’effet de recettes durablement affectées par la crise

insérer les mots :

et par la multiplication des exonérations de cotisations sociales non compensées

Objet

Les exonérations de cotisations sociales n’ont cessé de croître ces dernières années : 71 milliards € d’exonérations pour les employeurs en 2023 contre moins de 40 milliards en 2018.

Le gouvernement a choisi de détricoter le système de protection sociale des Français : après l'assurance chômage, les retraites.Par idéologie il refuse de poser la questions des recettes pourtant le déficit conjoncturel des retraites s'explique justement par une baisse des recettes.

C'est pourquoi l'annexe sur les prévisions de recettes et objectifs de dépenses de la sécurité sociale pour les années 2023 à 2026 doit faire le bilan des exonérations de cotisations inefficaces et favorisant les plus aisés, en plus de la prise en charge par l’Etat de la dette covid, tous éléments qui grèvent les comptes de notre protection sociale et viennent justifier sa remise en cause par ce gouvernement.

Tel est l'objet de cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2902 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


Article 6

(Annexe)


Alinéa 3, quatrième phrase

Après le mot :

crise,

insérer les mots :

et le choix persistant du Gouvernement de ne pas respecter la « loi Veil » en ne compensant pas au budget de la sécurité sociale le coût des exonérations de cotisations employeurs qu’il lui plait d’octroyer, sous l’effet

Objet

Il ne faudrait pas laisser à penser que le Gouvernement ne fait que subir les évènements. Il est à la barre et assume son cap ! Ainsi entend-il persévérer dans ses choix politiques privant la sécurité sociale de plusieurs milliards d'euros de recettes annuelles.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4131 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Alinéa 3, quatrième phrase

Après le mot :

crise,

insérer les mots :

d’exonérations de cotisations patronales massives,

Objet

Cet amendement vise à préciser le contexte sur lequel se fondent les projections de la présente annexe.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3667

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


Article 6

(Annexe)


Alinéa 3, quatrième phrase

Après le mot : 

retraite

insérer les mots : 

au détriment des actifs les plus précaires qui perdront d’autant des années de vie au repos

Objet

Par cet amendement, le groupe Ecologistes - Solidarité et Territoires souhaite dénoncer l'un des effets les plus injustes de la réforme, à savoir l'aggravation des inégalités face à la mort entre les plus riches et les plus pauvres. 

Pour rappel, ce seront ceux qui ont commencé à travailler le plus tôt qui vont devoir travailler plus longtemps. Les cadres, quant à eux, sont généralement entrés plus tardivement sur le marché du travail, et seront donc moins nombreux à être touchés par la mesure de report de l'âge légal de départ à la retraite et par l'augmentation de la durée de cotisation. Or, les cadres vivent en moyenne 6 années de plus que les ouvriers. Et de façon plus significative encore, l'expérience de vie en bonne santé des cadres est de 11 années supérieure à celle des ouvriers. Ces chiffres devraient nous alarmer. 

Il est donc profondément injuste de demander à ceux qui vivent moins longtemps et en moins bonne santé et qui, par voie de conséquence, disposent de moins d'années de retraite, de devoir sacrifier ces quelques années de repos alors qu'aucun effort n'est demandé aux grandes entreprises, aux ménages et aux actifs les plus aisés.

 






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3671

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


Article 6

(Annexe)


Alinéa 3, quatrième phrase

Après le mot : 

retraite

insérer les mots : 

au détriment de très nombreuses femmes, qui partent plus tard à la retraite en moyenne que les hommes

Objet

Par le présent amendement, le groupe Ecologiste - Solidarité et Territoires souhaite mettre en lumière les conséquences de la réforme budgétaire proposées par le Gouvernement et l'aggravation des inégalités qu'elle engendre.

Parce que les femmes sont déjà largement pénalisées face au système de retraite, la réforme va mécaniquement aggraver cet état de fait.

Aujourd'hui, les femmes partent en moyenne 6 mois plus tard que les hommes. Pourtant, la réforme demande davantage de mois de travail supplémentaire aux femmes qu’aux hommes : en effet, le report de l'âge de départ à 64 ans entraîne en moyenne 7 mois de travail supplémentaires pour les femmes contre 5 pour les hommes. Les femmes nées en 1980 seront les plus pénalisées : elles partiront à la retraite en moyenne 8 mois plus tard, contre 4 mois plus tard pour les hommes de la même génération.

C'est l'une des nombreuses raisons pour laquelle la réforme que le Gouvernement propose est profondément injuste et que nous nous y opposons.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4133 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Alinéa 3, sixième phrase

Compléter cette phrase par les mots :

qui contraindra l’ensemble des travailleurs à retarder d’au moins deux années leur départ en retraite générant ainsi autant de recettes en termes de cotisations sociales et de baisse de dépenses en termes de pensions de retraites non versées

Objet

Cet amendement vise à préciser les projections de la présente annexe.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2904 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


Article 6

(Annexe)


Alinéa 7, tableau, sixième colonne, septième ligne

Remplacer le taux :

- 1,2 %

par le taux :

4 %

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à porter l'ONDAM pour 2023 à +4%.
Alors que l'hôpital public connaît une crise sans précédent, et que plus largement notre système de santé est à bout de souffle, le Gouvernement propose ici une baisse de l'ONDAM (les dépenses de santé remboursées par l'assurance maladie) en 2023 de 1,2%, soit une baisse de -5,5% une fois retiré l'effet de l'inflation !
Cette coupe drastique va définitivement mettre à terre notre système de santé public.
Cet amendement entend donc inscrire une augmentation de l'ONDAM a minima de 4%, comme le propose tous les collectifs de personnels médicaux et soignants.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4722

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G  
Adopté

Le Gouvernement


Article 6

(Annexe)


I. – Alinéa 7, tableau, sixième colonne

1° Avant-dernière ligne

Rédiger ainsi cette ligne :

-0,9 %

2° Dernière ligne

Rédiger ainsi cette ligne :

3,8 %

II. – Alinéa 8, seconde phrase

Remplacer le nombre :

-7,5

par le nombre :

-8,2

III. – Alinéa 9

1° Troisième phrase

Remplacer le taux :

3,5 %

par le taux :

3,8 %

2° Après la troisième phrase

Insérer une phrase ainsi rédigée :

Cette progression sera également rehaussée par rapport à celle de la loi de financement de la sécurité sociale pour 2023, alors à 3,5 %, en conséquence des annonces faites par le Président de la République lors de ses vœux aux acteurs de la santé le 6 janvier 2023.

3° Avant-dernière phrase

Remplacer le taux :

3,5 %

par le taux :

3,8 %

et le mot :

économie

par le mot :

économies

IV. – Alinéa 10, après l’avant-dernière phrase

Insérer une phrase ainsi rédigée :

Il est également tenu compte des propositions parlementaires tendant à une harmonisation des prélèvements applicables aux indemnités de rupture.

V. – Alinéa 17

1° Première phrase

Remplacer le nombre :

7,5

par le nombre :

8,2

et le nombre :

11,4

par le nombre :

10,7

2° Deuxième phrase

Remplacer le taux :

2,0 %

par le taux :

2,1 %

3° Troisième phrase

Remplacer le taux :

4,0 %

par le taux :

4,1 %

VI. – Alinéa 18

1° Troisième phrase

Remplacer le nombre :

8,9

par le nombre :

9,4

2° Quatrième phrase

Remplacer le nombre :

12,7

par le nombre :

13,3

3° Dernière phrase

Remplacer le nombre :

12,3

par le nombre :

12,9

VII. – Alinéa 20, première phrase

Remplacer le nombre :

-7,2

par le nombre :

-7,9

VIII. – Alinéa 21, dernière phrase

Remplacer le nombre :

3,2

par le nombre :

4,0

IX. – Alinéa 24, deuxième phrase

Remplacer le mot :

retraite

par le mot :

vieillesse

X. – Alinéa 26, avant-dernière phrase

1° Remplacer le mot :

active

par le mot :

vieillesse

2° Remplacer le nombre :

2,6

par le nombre :

2,5

3° Remplacer le nombre :

12,1

par le nombre :

11,8

XI. – Alinéa 32, tableau

Rédiger ainsi ce tableau :

(En milliards d’euros)

 

2019

2020

2021

2022 (p)

2023 (p)

2024 (p)

2025 (p)

2026 (p)

Maladie

Recettes

216,6

209,8

209,4

221,0

231,2

238,4

244,7

251,7

Dépenses

218,1

240,3

235,4

242,9

239,1

244,6

250,5

255,8

Solde

-1,5

-30,5

-26,1

-21,9

-7,9

-6,2

-5,8

-4,0

Accidents du travail et maladies professionnelles

Recettes

14,7

13,5

15,1

16,2

17,0

16,9

17,5

18,2

Dépenses

13,6

13,6

13,9

14,2

14,8

15,3

15,7

16,1

Solde

1,1

-0,1

1,3

2,0

2,2

1,6

1,8

2,1

Famille

Recettes

51,4

48,2

51,8

53,5

56,7

58,5

60,3

62,2

Dépenses

49,9

50,0

48,9

50,9

55,3

57,7

59,8

61,4

Solde

1,5

-1,8

2,9

2,6

1,3

0,8

0,5

0,8

Vieillesse

Recettes

240,0

241,2

249,4

258,9

269,8

282,1

291,3

299,6

Dépenses

241,3

246,1

250,5

261,9

273,7

290,1

303,6

314,2

Solde

-1,3

-4,9

-1,1

-3,0

-3,8

-8,1

-12,3

-14,6

Autonomie

Recettes

 

 

32,8

35,0

36,3

40,3

41,3

42,5

Dépenses

 

 

32,6

35,4

37,5

39,6

41,1

42,4

Solde

 

 

0,3

-0,4

-1,3

0,7

0,2

0,2

Régimes obligatoires de base de sécurité sociale consolidés

Recettes

509,1

499,3

544,2

569,6

593,3

617,7

636,5

655,2

Dépenses

509,2

536,5

567,0

590,3

602,8

628,9

652,1

671,0

Solde

-0,2

-37,3

-22,7

-20,7

-9,5

-11,2

-15,6

-15,7

XII. – Alinéa 36, tableau

Rédiger ainsi ce tableau :

(En milliards d’euros)

 

2019

2020

2021

2022 (p)

2023 (p)

2024 (p)

2025 (p)

2026 (p)

Recettes

508,0

497,2

543,0

571,8

595,0

619,8

639,1

658,4

Dépenses

509,7

536,9

567,3

590,7

603,2

629,3

652,5

671,3

Solde

-1,7

-39,7

-24,3

-18,9

-8,2

-9,4

-13,3

-12,9

 

Objet

Le présent amendement actualise l’annexe A du présent projet de loi au regard du rehaussement de l’ONDAM 2023, en lien avec les annonces du Président de la République du 6 janvier 2023 lors de ses vœux aux acteurs de la santé, et intègre l’impact financier de la mesure d’harmonisation du régime social pour les indemnités de rupture conventionnelle et les indemnités de mise à la retraite par l’employeur, adoptée à l’Assemblée nationale.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3485

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


Article 6

(Annexe)


Alinéa 8, première phrase

Après le mot :

réforme

insérer les mots :

brutale et injuste

Objet

En repoussant de deux ans l’âge d’ouverture des droits à la retraite, l’objet de ce texte n’est en effet ni plus ni moins de faire peser l’équilibre du système de retraite sur le dos des travailleur.ses, plutôt que sur le capital.

Par souci de transparence, cet amendement tient à ce que le caractère à la fois brutal et injuste de cette réforme soit spécifié.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3484

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


Article 6

(Annexe)


Alinéa 8, première phrase

Après le mot :

réforme

insérer le mot :

injuste

Objet

Faire peser l'équilibre du système de retraite sur le dos des travailleuses et travailleurs n'a rien d'un projet de justice sociale.

L'objet du présent amendement et de mettre en conformité les annexes de ce texte avec son objet et sa philosophie générale.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3176

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


Article 6

(Annexe)


Alinéa 9

Supprimer cet alinéa.

Objet

Le présent amendement a pour objet de supprimer l’alinéa 9 qui donne, jusqu’à 2026, les prévisions de croissance, l’évolution de la masse salariale et de l’inflation ainsi que l’évolution de l’ONDAM.

Malgré une augmentation des moyens attribués à l’ONDAM lors du précédent PLFSS et un effort supplémentaire obtenu par les organisations syndicales et hospitalières suite à l’inflation et les surcoûts énergétiques le montant global de la dotation reste largement insuffisant car la seule prise en compte de la structure des dépenses des établissements hospitaliers nécessiterait à elle seule un point d’évolution supplémentaire, sans même évoquer un ONDAM qui partirait des besoins de santé des territoires.

Ainsi la rectification partielle de l’ONDAM 2022 ne suffit pas à masquer un ONDAM 2023 qui ne rattrape pas le retard des budgets précédents d’autant que l’inflation persiste et pèse sur l’investissement, que le Covid-19 amène toujours près de 13 000 personnes par an dans les hôpitaux publics, et que les coûts des mesures d’urgence du rapport Braun ont été prolongées.

Le président de la Fédération Hospitalière de France le soulignait à l’annonce des rallonges de l’ONDAM lancée par le Ministre de la Santé : « je veux aussi rappeler que ces annonces ne couvrent que le très court-terme : il faut que nous puissions procéder à un choc d’attractivité plus pérenne et que nous sortions de la politique de la rallonge permanente. ».

Le Gouvernement tente encore de poursuivre la politique des rallonges et a déposé un amendement à l’Assemblée Nationale sur l’article liminaire pour rehausser l’ONDAM de 750 millions d’euros dont 600 millions pour les hôpitaux publics. Si cet effort supplémentaire est positif, il reste malheureusement insuffisant. Selon la FHF, « la rectification totale de l’ONDAM initial pour 2023 devrait être de 1,2 milliard d’euros pour couvrir les nouvelles dépenses. ». Dont 600 millions de plus pour couvrir les dépenses supplémentaires au titre de l’inflation. Ces financements manquants impliquent autant d’économies des établissements alors que beaucoup dans le public et le privé non lucratif sont déjà au bord de l’effondrement.

De manière générale, la comptabilisation annuelle de l’ONDAM, a fortiori lorsqu’elle ponctuée de rallonges tout aussi bienvenues qu’insuffisantes, empêche les établissements hospitaliers de se projeter dans un financement pluriannuel, capable de résister aux crises sanitaires potentielles et répondant réellement aux besoins de santé territoire par territoire. 

La fermeture des maternités de proximité, la transformation des centres hospitaliers en hôpitaux de proximité sans maternité, chirurgie et urgences, la fermeture de lits d’hospitalisation complète, la fusion d’hôpitaux, l’introduction de nouvelles formes de management centrées sur la réalisation d’économies budgétaires, résultent d’une logique comptable qui préside et oriente l’ONDAM en rupture avec les aspirations des salariés à un travail de qualité auprès des patients.

 

Par cet amendement d’appel, nous demandons à reconsidérer en profondeur les logiques austéritaires qui ont présidé à l’établissement de l’ONDAM jusqu’à présent et demandons un financement des établissements de santé à la hauteur des besoins (1,2 milliards supplémentaire) procédant d’une logique des besoins des territoires de santé et non de logiques austéritaires de fonds atténuées par des rallonges malheureusement insuffisantes.

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4148 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Alinéa 9, première phrase

Après le mot :

provision

insérer les mots :

, jugée insuffisante par le Haut conseil des finances publiques,

Objet

Cet amendement vise à préciser la nature de la trajectoire présentée dans cette annexe.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2906 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


Article 6

(Annexe)


Alinéa 9

1° Première phrase

a) Remplacer les mots :

d’un milliard

par les mots :

de 11,5 milliards

b) Compléter cette phrase par les mots :

comme en 2022

2° Troisième phrase

Remplacer la première occurrence du taux :

3,5 %

par le taux :

4 %

3° Quatrième phrase

Remplacer le taux :

4,4 %

par le taux :

8,4 %

4° Avant –dernière phrase

Supprimer cette phrase

5° Dernière phrase

Remplacer les mots :

2,8 % en 2024, puis à 2,7 % en 2025 et à 2,6 %

par les mots :

4 % en 2024, en 2025 et

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à préciser que l'ONDAM pour 2023 intègre des dépenses suffisantes pour la crise sanitaire, et au-delà que sa croissance est de 4% par an, une fois retiré l'effet de l'inflation.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4147 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Alinéa 9, troisième phrase

Après l’année :

2023,

insérer les mots :

mais inférieure à la hausse tendancielle des besoins en santé qui est estimée à 4 % par la commission des comptes de la sécurité sociale

Objet

Cet amendement vise à préciser la nature des projections présentées par l'annexe.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3499

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


Article 6

(Annexe)


Alinéa 9, troisième phrase

Après le mot :

revalorisation

insérer le mot :

insuffisante

Objet

Par cet amendement, nous souhaitons souligner l'insuffisance de la revalorisation du point d'indice décidée par le Gouvernement en juillet 2022, de seulement 3,5%.

Nous défendons une revalorisation de la valeur du point d'indice des fonctionnaires de 10%, ainsi que l'inscription du dégel du point d'indice, afin de garantir sa revalorisation annuelle en fonction de l'inflation et assurer la fin de la perte de pouvoir d'achat des fonctionnaires.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4175 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Alinéa 9, troisième phrase

Après le mot : 

revalorisation

insérer le mot :

insuffisante

Objet

Par cet amendement, nous souhaitons souligner l'insuffisance de la revalorisation du point d'indice décidée par le Gouvernement en juillet 2022, de seulement 3,5%.

Nous défendons une revalorisation de la valeur du point d'indice des fonctionnaires de 10%, ainsi que l'inscription du dégel du point d'indice, afin de garantir sa revalorisation annuelle en fonction de l'inflation et assurer la fin de la perte de pouvoir d'achat des fonctionnaires.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4141 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Alinéa 9, quatrième phrase

Compléter cette phrase par les mots :

, à l’exception de la fraude fiscale

Objet

Cet amendement vise à préciser les bases sur lesquelles s'appuient les projections présentées dans l'annexe.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3235

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


Article 6

(Annexe)


Alinéa 9, dernière phrase

Remplacer cette phrase par trois phrases ainsi rédigées :

Dans une perspective pluriannuelle, le taux de progression de l’ONDAM sera défini de telle sorte à organiser la solvabilité des branches maladie et autonomie dans une logique populationnelle. Les objectifs de ces branches sont définis de manière à répondre aux besoins en soin et en accompagnement. Elles répondent ainsi à une logique d’investissement social et non à une logique de maitrise de la dépense.

Objet

Comme lors de l’adoption de la loi de financement de la Sécurité Sociale pour 2023, les prévisions de l’ONDAM et de ses sous-objectifs restent largement insuffisantes pour que les établissements de soin et d’accompagnement puissent, d’une part, faire face à l’inflation, et d’autre part, répondre aux besoins en soin et en accompagnement des personnes, sur l’ensemble du territoire.

Force est de constater qu’encore une fois, l'ONDAM ne permettra pas de répondre aux besoins de santé tant en ville qu’à l’hôpital. La comptabilisation actuelle de l’ONDAM hospitalier empêche les établissements hospitaliers de se projeter dans un financement pluriannuel, capable de résister aux crises sanitaires potentielles et répondant réellement aux besoins de santé territoire par territoire.  La fermeture des hôpitaux et maternités de proximité, la fermeture de lits d’hospitalisation complète, la fusion d’hôpitaux, l’introduction de nouvelles formes de management tournées vers la réalisation d’économie, résultent d’une logique comptable qui préside et oriente l’ONDAM en rupture complète avec les besoins et les revendications des salariés, exprimées par leur mouvement social depuis 2019.

Nous avons besoin d’un choc d’attractivité au sein de l’hôpital public pour une augmentation du personnel, nous avons besoin d’hôpitaux de proximité afin de lutter contre les déserts médicaux, nous avons besoin de lits d’hospitalisation afin que les afflux aux urgences ne se traduisent pas par la mort de patients attendant leur prise en soin sur leur brancard.

Par cet amendement, nous demandons à reconsidérer en profondeur les logiques austéritaires qui ont présidé à l’établissement de l’ONDAM jusqu’à présent et au financement des établissements de santé en fonction des besoins et non de pures logiques budgétaires.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3172

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


Article 6

(Annexe)


Alinéa 10

Supprimer cet alinéa.

Objet

L’alinéa 10 de l’annexe jointe au projet de loi décrit les prévisions de financement de la branche vieillesse de la sécurité sociale à la suite du report de l’âge d’ouverture des droits et de l’accélération de la réforme Touraine. L’alinéa reprend les prévisions budgétaires décrites par le gouvernement dans son Rapport sur les objectifs de la réforme des retraites. Ce dernier s’appuie sur le choix discutable de la convention EPR tablant sur un désengagement progressif de l’Etat dans le financement des régimes de retraite des fonctionnaires, un gel du point d’indice et une baisse des effectifs pour des objectifs de maitrise des dépenses inscrites dans le Programme de Stabilité.

Or si aucun décrochage de la rémunération des fonctionnaires n’était planifié et que la masse salariale indiciaire évoluait comme celle de l’ensemble de la population, le déficit du système de retraites serait diminué de 3,3 milliards à horizon 2030.

De l’aveu même du conseil d’administration de la CNRACL, c’est l’augmentation des contractuels qui grève les comptes de la caisse qui, en contrepartie n’ont eu que le Ségur de la santé pour soulager le déficit grandissant.

Dans le rapport sur les objectifs de la réforme, le gouvernement table sur un rendement des mesures paramétriques de la réforme de 17,7 milliards, sans faire mention des externalités négatives de la réforme et des surcoûts en termes de prestations sociales sans même évoquer les externalités environnementales négatives.

Selon le COR en 2019, un report de l’AOD de 2 ans équivaudrait à un surcoût de près de 320 millions d’euros par an en minima sociaux (RSA, ASS) soit 2,2 milliards de 2023 à 2030.

Selon l’OFCE, à l’horizon de 10 ans, la réforme se traduira par une augmentation du chômage de 0,9% et une contraction des salaires de 3% et du pouvoir d’achat de 1,3% avec une baisse de l’activité de 0,1 point de PIB.

La baisse des cotisations sociales qui découlera de ces externalités négatives annulent en grande partie les gains attendus par le gouvernement. Ce dernier ne pourra d’ailleurs compter que sur une hausse partielle du taux d’emploi des seniors puisque si l’étude d’impact prévoit une hausse de l’emploi des séniors d’environ 300 000 cela doit être pondéré par la hausse concomitante du chômage.

Selon Michaël Zemmour reprenant les études de la DREES et la DARES évaluant les effets d’un report de l’âge sur l’emploi des seniors, 200 000 personnes supplémentaire serait maintenues, dans le même temps aux minimas sociaux ou au chômage.

Cela rejoint les précédentes études de la DREES et de l’INSEE sur les effets de la réforme de 2010 qui avait montré que la hausse du taux d’activité des seniors s’était accompagné d’une hausse tout aussi importante du chômage et de l’invalidité.

Selon le COR en 2019, les surcoûts sur l’ARE d’un report de l’AOD étaient estimés à 1,3 milliards par an.

Malgré tout, le gouvernement indique dans son rapport sur les objectifs de la réforme que les comptes reviendront magiquement à l’équilibre avec un solde de 0 en 2030 alors que ni les surcoûts ni les externalités ne sont prises en compte.

Et si les prévisions financières sont extrêmement fragiles, le coût social et humain, lui, est massif.

Par ailleurs, les mesures d’atténuation de la brutalité de la réforme se multiplient au fur et à mesure des débats parlementaires renforçant la nécessité d’un re-calcul complet de la trajectoire financière prévisionnelle sur laquelle se base le gouvernement. 

Tous ces éléments mettant sérieusement en doute les calculs financiers établis et soumis au parlement, le présent amendement d’appel se propose de supprimer l’alinéa 10 de l’annexe


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3681

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


Article 6

(Annexe)


Alinéa 10, première phrase

Remplacer les mots : 

portant une hausse progressive de l’âge d’ouverture des droits (AOD) de soixante-deux à soixante-quatre ans, au rythme d’un trimestre par génération à compter du 1er septembre 2023, et une accélération de la durée d’assurance requise (DAR), au rythme d’un trimestre par génération, contre un trimestre toutes les trois générations jusqu’à présent

par les mots : 

portant la création d’un impôt sur la vie des plus modestes

Objet

Par cet amendement, le groupe Ecologiste – Solidarité et Territoires entend mettre en lumière les réels effets de cette réforme, à savoir la création d’un impôt sur la vie des plus modestes.

Cette réforme fait des économies sur le dos de ceux qui ont commencé à travailler tôt, ou qui ont des carrières courtes ou hachés, et qui, par voie de conséquence directe ou indirecte, ont les pensions les plus faibles. Ce sont dons les plus modestes qui vont devoir donner deux années de leur vie, non pas pour financer les retraites, mais bien pour financer la politique extrêmement couteuses pour l’État de baisse des impôts de production.

Le Gouvernement l’a clairement assumé dans l’exposé des motifs des textes budgétaires de cet automne : l’État accepte de dépenser des milliards par an de suppressions d’impôts aux entreprises, tout en choisissant de faire des économies sur notre système de sécurité sociale, qui soigne et protège nos concitoyennes et concitoyens.

Nous nous opposons à ces choix politiques qui traduisent une déconnexion de la vie des français et une croyance déraisonnable et obstinée dans un ruissellement qui n’existe que dans les esprits de ceux qui le défendent. 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4178 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Alinéa 10, première phrase

Après les mots :

soixante-quatre ans

insérer les mots :

alors qu’une baisse de l’âge de départ à la retraite de soixante-deux à soixante ans serait une mesure plus juste et possible,

Objet

Par cet amendement, nous souhaitons défendre la baisse de l'âge de départ à la retraite de 62 à 60 ans.

Face à la réforme de régression sociale proposée par le Gouvernement, nous y opposons un contre-projet désirable et réalisable : le retour de la retraite à 60 ans et 40 annuités. Ce projet est financièrement réalisable : le pays n'a jamais été aussi riche et un actif produit aujourd'hui trois fois plus qu'en 1979. Les ressources sont là, abaisser l'âge de la retraite est une question de partage des richesses et de défense d'un droit au temps libéré.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 4150 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Alinéa 10, deuxième phrase

Supprimer cette phrase.

Objet

Cet amendement vise à clarifier les trajectoires présentées par l'annexe.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4152 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Alinéa 10, deuxième phrase

Remplacer les mots :

des minima de pension

par les mots :

du minimum contributif

Objet

Cet amendement vise à clarifier les données sur lesquelles sont fondées les projections présentées dans l'annexe.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 4156 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Alinéa 10, quatrième phrase

Supprimer cette phrase

Objet

Les assertions contenues dans cette phrase étant incorrectes, les auteurs de cet amendement demandent sa suppression.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 3674

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


Article 6

(Annexe)


Alinéa 10 , quatrième phrase : 

Remplacer les mots :

et amélioreront les dispositifs de prévention et de réparation de l’usure professionnelle

par les mots : 

mais aggraveront le phénomène d’usure professionnelle, eu égard à l’allongement de la durée de travail de nombreux cotisants au sein d’emplois pénibles

Objet

Par cet amendement, le groupe Ecologiste - Solidarité et Territoires dénonce le report de l'âge légal de départ en retraite, qui condamne de nombreux actifs à travailler deux années de plus, alors que de nombreux emplois fatiguent les corps et les esprits.

Le Gouvernement ne semble pas a voir pris la pleine mesure de ce que signifie deux années de plus dans certains métiers. Ouvriers, travailleurs de nuit, agents du BTP, infirmiers, aides soignants, tous descendent dans la rue pour informer le Gouvernement qu'ils ne peuvent pas pousser jusqu'à 64 ans. Pourquoi ne pas les écouter ? 






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4154 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Alinéa 10, quatrième phrase

Remplacer le mot :

amélioreront

par le mot :

affaibliront

Objet

Cet amendement vise à clarifier les dispositifs mentionnés par l'annexe.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4177 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Alinéa 10, quatrième phrase

Compléter cette phrase par les mots :

sans réintégrer les quatre facteurs de pénibilité supprimés en 2017

Objet

Par cet amendement nous souhaitons rétablir la vérité sur la réforme des retraites proposée par le Gouvernement concernant l'usure professionnelle.

Le Gouvernement se vante d'améliorer les dispositions de prévention et de réparation de l'usure professionnelle alors que sous le précédent mandat ils ont supprimé les 4 facteurs de pénibilité (postures pénibles, vibrations mécaniques, manutention de charges lourdes, agents chimiques dangereux).

Ces derniers ne seront pas réintégrés ! Le Gouvernement détricote la reconnaissance et la prévention de la pénibilité pour constater en fin de carrière, lorsqu'il est déjà trop tard, qu'un travailleur a réellement subi l'usure professionnelle.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3673

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


Article 6

(Annexe)


Alinéa 10, cinquième phrase

Rédiger ainsi cette phrase :

Enfin, les minima de pension ne seront revalorisés qu’au bénéfice de quelques milliers de retraités, entre 10 000 et 20 000 retraités en tout et pour tout.

Objet

Par cet amendement, le groupe Ecologiste, Solidarité et Territoires entend dénoncer l'un des arguments de communication présentés par le Gouvernement depuis des semaines et qui s'est révélé mensonger, à savoir la retraite minimum à 1 200 euros.

Sur France Inter, le 15 février dernier, le Ministre du Travail avait indiqué que la mesure bénéficierait à 40 000 personnes de plus chaque année. Toutefois, grâce au travail parlementaire de contrôle de l'action du Gouvernement, un nouveau chiffrage a été présenté par le Ministre : selon ce courrier, seuls 10 000  à 20 000 personnes franchiront le seuil de 1 200 euros, soit deux à quatre fois moins que ce qu'avait annoncé le Ministre du Travail.

Un à un, les arguments de communication du Gouvernement, souvent fallacieux ou mensongers, tombent. La réforme des retraites s'avère être une réforme comptable, simpliste et brutale.

C'est donc dans un soucis de précision et de clarté que nous proposons de corriger l'annexe au projet de loi, afin que figure dans ce dernier la très faible proportion de retraités qui bénéficieront de la retraite minimale à 1 200 euros.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4157 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Alinéa 10, cinquième phrase

Remplacer les mots :

les minima de pension seront revalorisés

par les mots :

le minimum contributif sera revalorisé

Objet

Cet amendement vise à préciser le dispositif mentionné dans cette annexe.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4160 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Alinéa 10, cinquième phrase

Compléter cette phrase par les mots :

sur la base d’une carrière complète au salaire minimum interprofessionnel de croissance

Objet

Cet amendement vise à préciser le dispositif mentionné dans l’annexe.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 4162 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Alinéa 10, après la cinquième phrase

Insérer une phrase ainsi rédigée :

Toutefois, il convient de préciser que cette revalorisation ne bénéficiera pas aux pensionnés ayant eu une carrière incomplète.

Objet

Si la revalorisation du minimum contributif des retraités actuels est une avancée, il ne faut cependant pas surestimer son impact. En effet, près de 70 % des personnes vivant avec moins de 1 000 euros de pension, soit le cœur de cible gouvernemental, ont des carrières incomplètes. Sur les 5,7 millions de retraités pauvres, seuls 2 millions auraient droit à une revalorisation, selon les calculs de l’exécutif.

Il est essentiel de la préciser dans cette annexe. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 62 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme PANTEL, MM. GOLD, ARTANO, BILHAC et CABANEL, Mme Maryse CARRÈRE, M. CORBISEZ, Mme Nathalie DELATTRE, MM. FIALAIRE et GUÉRINI, Mme GUILLOTIN et MM. GUIOL, REQUIER et ROUX


Article 6

(Annexe)


I. – Alinéa 10, sixième phrase

1° Supprimer les mots :

par les employeurs publics (Caisse nationale de retraites des agents des collectivités territoriales [CNRACL]) et

2° Supprimer les mots :

pour ces derniers

II. – Alinéa 21, deuxième phrase

Supprimer cette phrase.

Objet

Cet amendement vise à introduire une concertation préalable des employeurs publics avant la hausse du taux des cotisations vieillesse CNRACL prévue à cette annexe.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 117

22 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. BONHOMME


Article 6

(Annexe)


I. – Alinéa 10

Supprimer les mots :

par les employeurs publics  (Caisse nationale de retraites des agents des collectivités territoriales [CNRACL]) et

et les mots :

pour ces derniers

II. – Alinéa 21, deuxième phrase

Supprimer cette phrase.

Objet

Concomitamment au texte, il est prévu dans la trajectoire une hausse des cotisations vieillesse dues par les employeurs publics à la Caisse nationale de retraites des agents des collectivités locales (CNRACL).

Sans même préjuger de l’opinion que chaque employeur territorial peut porter sur l’opportunité du report de l’âge de départ à la retraite, cette hausse immédiate du taux de cotisation à la CNRACL n’a fait l’objet d’aucune concertation préalable des employeurs publics rassemblés au sein de la Coordination des employeurs territoriaux, laquelle a unanimement exprimé son opposition à cette mesure, compte-tenu des effets induits par la réforme du fait du maintien prolongé en activité de leurs agents (notamment transfert de charges assurantielles supportées par les collectivités).

Le Gouvernement s’est engagé, par un courrier de la Première Ministre en date du 25 janvier 2023, à compenser intégralement aux employeurs territoriaux cette hausse de cotisation, sans que le véhicule de cette compensation ne soit à ce jour arbitré. Il a par ailleurs été confirmé aux associations membres de la Coordination des employeurs publics territoriaux, lors d’une réunion avec le ministre des Comptes Publics, qui s’est tenue le 13 février 2023, que la CNRACL – bien que déficitaire – continuerait à moyen terme à être prélevée au titre de la compensation démographique vers les autres régimes.

Dans ces conditions, la hausse de cotisation d’un point des employeurs affiliés à la CNRACL ne participera pas à l’équilibre intrinsèque du régime, mais au maintien de la compensation démographique vers les autres régimes et, de ce fait, à leur financement indirect.

Il convient donc de revenir sur cette hausse de cotisation ; le préalable à toute variation du taux de cotisation devant être une remise à plat du système de retraites des agents territoriaux compte-tenu notamment de la part croissante d’emplois contractuels dans les collectivités.

Ainsi, la nécessité de ce préalable est renforcée par l’intérêt d’examiner la récente proposition de la CNRACL en faveur d’un élargissement de l’assiette des agents obligatoirement affiliés à cette Caisse, ou encore, par celui de questionner le seuil d’affiliation à la CNRACL des fonctionnaires territoriaux nommés dans un emploi permanent à temps non complet, fixé par décret. Par ailleurs, toute mesure concernant le niveau de cotisations devrait être conjuguée avec l’appréciation des impacts du chantier relatif aux carrières et rémunérations, dont l’ouverture prochaine a été annoncée par le Gouvernement.

Cet amendement est soutenu par la Coordination des employeurs publics territoriaux, instance informelle regroupant l’ensemble des associations nationales d’élus locaux.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 122 rect. bis

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. LEVI, BURGOA, LAUGIER et DUFFOURG, Mmes DUMONT, MALET et BILLON, MM. PELLEVAT, VERZELEN, CADEC, GUERRIAU et DELAHAYE, Mme de LA PROVÔTÉ, MM. Alain MARC, MENONVILLE, CHATILLON, PANUNZI et CHAUVET, Mmes PERROT et MORIN-DESAILLY et M. HINGRAY


Article 6

(Annexe)


I. – Alinéa 10, sixième phrase

1° Supprimer les mots :

par les employeurs publics (Caisse nationale de retraites des agents des collectivités territoriales [CNRACL]) et

2° Supprimer les mots :

pour ces derniers

II. – Alinéa 21, deuxième phrase

Supprimer cette phrase.

Objet

Concomitamment au texte, il est prévu dans la trajectoire une hausse des cotisations vieillesse dues par les employeurs publics à la Caisse nationale de retraites des agents des collectivités locales (CNRACL).

Sans même préjuger de l’opinion que chaque employeur territorial peut porter sur l’opportunité du report de l’âge de départ à la retraite, cette hausse immédiate du taux de cotisation à la CNRACL n’a fait l’objet d’aucune concertation préalable des employeurs publics rassemblés au sein de la Coordination des employeurs territoriaux, laquelle a unanimement exprimé son opposition à cette mesure, compte-tenu des effets induits par la réforme du fait du maintien prolongé en activité de leurs agents (notamment, transfert de charges assurantielles supportées par les collectivités).

Le Gouvernement s’est engagé, par un courrier de la Première Ministre en date du 25 janvier 2023, à compenser intégralement aux employeurs territoriaux cette hausse de cotisation, sans que le véhicule de cette compensation soit à ce jour arbitré. Il a par ailleurs été confirmé aux associations membres de la Coordination des employeurs publics territoriaux, lors d’une réunion avec le ministre des Comptes Publics, qui s’est tenue le 13 février 2023, que la CNRACL – bien que déficitaire – continuerait à moyen terme à être prélevée au titre de la compensation démographique vers les autres régimes.

Dans ces conditions, la hausse de cotisation d’un point des employeurs affiliés à la CNRACL ne participera pas à l’équilibre intrinsèque du régime, mais au maintien de la compensation démographique vers les autres régimes et, de ce fait, à leur financement indirect.

Il convient donc de revenir sur cette hausse de cotisation ; le préalable à toute variation du taux de cotisation devant être une remise à plat du système de retraites des agents territoriaux compte-tenu notamment de la part croissante d’emplois contractuels dans les collectivités.

Ainsi, la nécessité de ce préalable est renforcée par l’intérêt d’examiner la récente proposition de la CNRACL en faveur d’un élargissement de l’assiette des agents obligatoirement affiliés à cette Caisse, ou encore, par celui de questionner le seuil d’affiliation à la CNRACL des fonctionnaires territoriaux nommés dans un emploi permanent à temps non complet, fixé par décret. Par ailleurs, toute mesure concernant le niveau de cotisations devrait être conjuguée avec l’appréciation des impacts du chantier relatif aux carrières et rémunérations, dont l’ouverture prochaine a été annoncée par le Gouvernement.

Cet amendement est proposé par la Coordination des employeurs publics territoriaux, instance informelle regroupant l’ensemble des associations nationales d’élus locaux.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 137 rect. bis

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes MICOULEAU et ESTROSI SASSONE, M. BASCHER, Mme BELLUROT, MM. BOUCHET et BRISSON, Mmes Laure DARCOS et DI FOLCO, M. KLINGER, Mme LASSARADE, M. Daniel LAURENT, Mme LAVARDE, M. LEFÈVRE, Mme Marie MERCIER, MM. MILON et PIEDNOIR, Mme RAIMOND-PAVERO et M. SIDO


Article 6

(Annexe)


I. – Alinéa 10, sixième phrase

1° Supprimer les mots :

par les employeurs publics (Caisse nationale de retraites des agents des collectivités territoriales [CNRACL]) et

2° Supprimer les mots :

pour ces derniers

II. – Alinéa 21, deuxième phrase

Supprimer cette phrase.

Objet

Concomitamment au texte, il est prévu dans la trajectoire une hausse des cotisations vieillesse dues par les employeurs publics à la Caisse nationale de retraites des agents des collectivités locales (CNRACL).

Sans même préjuger de l’opinion que chaque employeur territorial peut porter sur l’opportunité du report de l’âge de départ à la retraite, cette hausse immédiate du taux de cotisation à la CNRACL n’a fait l’objet d’aucune concertation préalable des employeurs publics rassemblés au sein de la Coordination des employeurs territoriaux, laquelle a unanimement exprimé son opposition à cette mesure, compte-tenu des effets induits par la réforme du fait du maintien prolongé en activité de leurs agents (notamment, transfert de charges assurantielles supportées par les collectivités).

Le Gouvernement s’est engagé à compenser intégralement aux employeurs territoriaux cette hausse de cotisation sans que le véhicule de cette compensation soit à ce jour arbitré. Il a par ailleurs été confirmé aux associations membres de la Coordination des employeurs publics territoriaux que la CNRACL – bien que déficitaire – continuerait à moyen terme à être prélevée au titre de la compensation démographique vers les autres régimes.

Dans ces conditions, la hausse de cotisation d’un point des employeurs affiliés à la CNRACL ne participera pas à l’équilibre intrinsèque du régime, mais au maintien de la compensation démographique vers les autres régimes et, de ce fait, à leur financement indirect.

Il convient donc de revenir sur cette hausse de cotisation ; le préalable à toute variation du taux de cotisation devant être une remise à plat du système de retraites des agents territoriaux compte-tenu notamment de la part croissante d’emplois contractuels dans les collectivités.

Ainsi, la nécessité de ce préalable est renforcée par l’intérêt d’examiner la récente proposition de la CNRACL en faveur d’un élargissement de l’assiette des agents obligatoirement affiliés à cette Caisse, ou encore, par celui de questionner le seuil d’affiliation à la CNRACL des fonctionnaires territoriaux nommés dans un emploi permanent à temps non complet, fixé par décret. Par ailleurs, toute mesure concernant le niveau de cotisations devrait être conjuguée avec l’appréciation des impacts du chantier relatif aux carrières et rémunérations, dont l’ouverture prochaine a été annoncée par le Gouvernement.

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 173 rect. ter

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme MULLER-BRONN, M. Étienne BLANC, Mme BELRHITI, MM. RAPIN et MANDELLI, Mme THOMAS, MM. HOUPERT, FRASSA et CHARON, Mme BONFANTI-DOSSAT et M. GREMILLET


Article 6

(Annexe)


I. – Alinéa 10, sixième phrase

1° Supprimer les mots :

par les employeurs publics (Caisse nationale de retraites des agents des collectivités territoriales [CNRACL]) et

2° Supprimer les mots :

pour ces derniers

II. – Alinéa 21, deuxième phrase

Supprimer cette phrase.

Objet

Cet amendement a pour objectif de supprimer la hausse d'un point des cotisations retraites des employeurs de la fonction publique territoriale et hospitalière, prévue à partir de 2024.

Cette augmentation représenterait environ 460 millions d’euros par an. Il est à noter que seuls les employeurs publics (sauf l’État lui-même) auront à contribuer financièrement à la réforme.

Par ailleurs, les employeurs territoriaux sont confrontés à l’équilibre global des régimes de retraites auxquels ils cotisent. En effet, la Caisse nationale de retraites des agents des collectivités locales (CNRACL) connaît une importante réduction de ses cotisations du fait du nombre croissant de contractuels dans la fonction publique territoriale, qui eux cotisent au régime général. Les contractuels représentent aujourd’hui la moitié des entrants, selon l’Association des Maires de France.

Enfin, si le Gouvernement a indiqué son intention de compenser cette hausse des cotisations, les employeurs publics n’ont pas été informés des modalités envisagées.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 242 rect. bis

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. Jean-Michel ARNAUD et MAUREY, Mme GACQUERRE et M. CANÉVET


Article 6

(Annexe)


I. – Alinéa 10, sixième phrase

1° Supprimer les mots :

par les employeurs publics (Caisse nationale de retraites des agents des collectivités territoriales [CNRACL]) et

2° Supprimer les mots :

pour ces derniers

II. – Alinéa 21, deuxième phrase

Supprimer cette phrase.

Objet

Cet amendement vise à revenir sur la hausse des cotisations vieillesse dues par les employeurs publics à la Caisse nationale de retraites des agents des collectivités locales (CNRACL). Cette augmentation du taux de cotisation à la CNRACL n’a fait l’objet d’aucune concertation préalable des employeurs publics rassemblés au sein de la Coordination des employeurs territoriaux.

Aussi, par l’augmentation induite de l’usure professionnelle et par le maintien en activité d’agents plus exposés, s’opère en réalité un transfert de couverture assurantielle des systèmes de retraites vers ce qui relève de l’assurance statutaire et de la prévoyance, de surcroît alors que se dessine la réforme de la protection sociale complémentaire.

La facture serait d'autant plus lourde pour les collectivités, que celles-ci devront à moyen terme contribuer obligatoirement à la protection sociale complémentaire de leurs agents. Pour rappel, les employeurs territoriaux financeront au minimum 20% des cotisations prévoyance de leurs agents dès le 1er janvier 2025, et 50% de leurs cotisations santé dès 2026.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1125 rect. bis

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

Mmes GATEL, LÉTARD et CANAYER, MM. HENNO et VANLERENBERGHE, Mme DINDAR et MM. LE NAY et MIZZON


Article 6

(Annexe)


I. – Alinéa 10, sixième phrase

1° Supprimer les mots :

par les employeurs publics (Caisse nationale de retraites des agents des collectivités territoriales [CNRACL]) et

2° Supprimer les mots :

pour ces derniers

II. – Alinéa 21, deuxième phrase

Supprimer cette phrase.

Objet

Concomitamment au texte, il est prévu dans la trajectoire une hausse des cotisations vieillesse dues par les employeurs publics à la Caisse nationale de retraites des agents des collectivités locales (CNRACL). 

Sans même préjuger de l’opinion que chaque employeur territorial peut porter sur l’opportunité du report de l’âge de départ à la retraite, cette hausse immédiate du taux de cotisation à la CNRACL n’a fait l’objet d’aucune concertation préalable des employeurs publics rassemblés au sein de la Coordination des employeurs territoriaux, laquelle a unanimement exprimé son opposition à cette mesure, compte-tenu des effets induits par la réforme du fait du maintien prolongé en activité de leurs agents (notamment, transfert de charges assurantielles supportées par les collectivités).

Le Gouvernement s’est engagé, par un courrier de la Première Ministre en date du 25 janvier 2023, à compenser intégralement aux employeurs territoriaux cette hausse de cotisation, sans que le véhicule de cette compensation soit à ce jour arbitré. Il a par ailleurs été confirmé aux associations membres de la Coordination des employeurs publics territoriaux, lors d’une réunion avec le ministre des Comptes Publics, qui s’est tenue le 13 février 2023, que la CNRACL – bien que déficitaire – continuerait à moyen terme à être prélevée au titre de la compensation démographique vers les autres régimes.

Dans ces conditions, la hausse de cotisation d’un point des employeurs affiliés à la CNRACL ne participera pas à l’équilibre intrinsèque du régime, mais au maintien de la compensation démographique vers les autres régimes et, de ce fait, à leur financement indirect.

Il convient donc de revenir sur cette hausse de cotisation ; le préalable à toute variation du taux de cotisation devant être une remise à plat du système de retraites des agents territoriaux compte-tenu notamment de la part croissante d’emplois contractuels dans les collectivités.

Ainsi, la nécessité de ce préalable est renforcée par l’intérêt d’examiner la récente proposition de la CNRACL en faveur d’un élargissement de l’assiette des agents obligatoirement affiliés à cette Caisse, ou encore, par celui de questionner le seuil d’affiliation à la CNRACL des fonctionnaires territoriaux nommés dans un emploi permanent à temps non complet, fixé par décret. Par ailleurs, toute mesure concernant le niveau de cotisations devrait être conjuguée avec l’appréciation des impacts du chantier relatif aux carrières et rémunérations, dont l’ouverture prochaine a été annoncée par le Gouvernement.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2300 rect. ter

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. GENET, Mme BORCHIO FONTIMP, MM. ROJOUAN et DARNAUD et Mme SCHALCK


Article 6

(Annexe)


I. – Alinéa 10, sixième phrase

1° Supprimer les mots :

par les employeurs publics (Caisse nationale de retraites des agents des collectivités territoriales [CNRACL]) et

2° Supprimer les mots :

pour ces derniers

II. – Alinéa 21, deuxième phrase

Supprimer cette phrase.

Objet

Concomitamment au texte, il est prévu dans la trajectoire une hausse des cotisations vieillesse dues par les employeurs publics à la Caisse nationale de retraites des agents des collectivités locales (CNRACL).

Sans même préjuger de l’opinion que chaque employeur territorial peut porter sur l’opportunité du report de l’âge de départ à la retraite, cette hausse immédiate du taux de cotisation à la CNRACL n’a fait l’objet d’aucune concertation préalable des employeurs publics rassemblés au sein de la Coordination des employeurs territoriaux, laquelle a unanimement exprimé son opposition à cette mesure, compte-tenu des effets induits par la réforme du fait du maintien prolongé en activité de leurs agents (notamment, transfert de charges assurantielles supportées par les collectivités).

Le Gouvernement s’est engagé, par un courrier de la Première Ministre en date du 25 janvier 2023, à compenser intégralement aux employeurs territoriaux cette hausse de cotisation, sans que le véhicule de cette compensation soit à ce jour arbitré. Il a par ailleurs été confirmé aux associations membres de la Coordination des employeurs publics territoriaux, lors d’une réunion avec le ministre des Comptes Publics, qui s’est tenue le 13 février 2023, que la CNRACL – bien que déficitaire – continuerait à moyen terme à être prélevée au titre de la compensation démographique vers les autres régimes.

Dans ces conditions, la hausse de cotisation d’un point des employeurs affiliés à la CNRACL ne participera pas à l’équilibre intrinsèque du régime, mais au maintien de la compensation démographique vers les autres régimes et, de ce fait, à leur financement indirect.

Il convient donc de revenir sur cette hausse de cotisation ; le préalable à toute variation du taux de cotisation devant être une remise à plat du système de retraites des agents territoriaux compte-tenu notamment de la part croissante d’emplois contractuels dans les collectivités.

Ainsi, la nécessité de ce préalable est renforcée par l’intérêt d’examiner la récente proposition de la CNRACL en faveur d’un élargissement de l’assiette des agents obligatoirement affiliés à cette Caisse, ou encore, par celui de questionner le seuil d’affiliation à la CNRACL des fonctionnaires territoriaux nommés dans un emploi permanent à temps non complet, fixé par décret. Par ailleurs, toute mesure concernant le niveau de cotisations devrait être conjuguée avec l’appréciation des impacts du chantier relatif aux carrières et rémunérations, dont l’ouverture prochaine a été annoncée par le Gouvernement.

Cet amendement est proposé par la Coordination des employeurs publics territoriaux, instance informelle regroupant l’ensemble des associations nationales d’élus locaux.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2976 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. TISSOT, Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER, ROSSIGNOL et BLATRIX CONTAT, MM. BOURGI, CARDON et DURAIN, Mme CONWAY-MOURET, MM. CHANTREL et LECONTE, Mme MONIER, MM. TEMAL, LUREL, FÉRAUD et MARIE, Mme de LA GONTRIE, MM. RAYNAL et STANZIONE, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN, ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mme VAN HEGHE, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


Article 6

(Annexe)


I. – Alinéa 10, sixième phrase

1° Supprimer les mots :

par les employeurs publics (Caisse nationale de retraites des agents des collectivités territoriales [CNRACL]) et

2° Supprimer les mots :

pour ces derniers

II. – Alinéa 21, deuxième phrase

Supprimer cette phrase.

Objet

En annexe est présenté un rapport décrivant les prévisions de recettes et les objectifs de dépenses, par branche, des régimes obligatoires de base, les prévisions de recettes et de dépenses des organismes concourant au financement de ces régimes ainsi que l’objectif national de dépenses d’assurance maladie pour les quatre années à venir.

Il est prévu dans la trajectoire ainsi décrite une hausse des cotisations vieillesse dues par les employeurs publics à la Caisse nationale de retraites des agents des collectivités locales (CNRACL), à hauteur d’un point, et ce dès 2024.

Cette hausse du taux de cotisation à la CNRACL n’a fait l’objet d’aucune concertation préalable des employeurs publics. Rassemblés au sein de la Coordination des employeurs territoriaux, ceux-ci ont clairement exprimé leur opposition à cette mesure.

Les représentants des collectivités territoriales rappellent en effet qu’un approche globale doit primer sur une variation du taux de cotisation décidée unilatéralement par le Gouvernement. Ils soulignent que trois enjeux doivent d’abord être traités :

- celui de la compensation démographique de la CNRACL vers les autres régimes, dont les employeurs territoriaux demandent la suppression préalable et qui représente encore un montant de près de 800 millions d’euros en 2022, à placer en regard du montant de la recette attendue du fait de la hausse de cotisation annoncée, soit 460 millions d’euros par an pour les collectivités territoriales ;

- celui de l’équilibre global des régimes de retraites auxquels cotisent les agents territoriaux, dont l’analyse ne saurait être limitée à la seule CNRACL. Celle-ci connait une réduction de sa base cotisante au profit du régime général car les entrants dans la fonction publique territoriale (FPT) sont désormais pour moitié des contractuels ;

- celui de la réforme annoncée des parcours et carrières des agents publics qui pourrait conduire à augmenter substantiellement l’assiette de cotisation du fait de l’élargissement envisagé par le Gouvernement du socle indiciaire de la rémunération.

Si le Gouvernement a exprimé l’intention d’une compensation financière intégrale de cette hausse – sans l’avoir confirmée à ce jour - afin qu’elle soit neutre pour les budgets locaux, rien ne garantit la pérennité de cette compensation. Les précédents mécanismes  mis en place, en particulier suite à la suppression de la taxe d’habitation, ont effectivement démontré que la compensation promise n’était pas toujours au rendez-vous...



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3416

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


Article 6

(Annexe)


I. – Alinéa 10, sixième phrase

1° Supprimer les mots :

par les employeurs publics (Caisse nationale de retraites des agents des collectivités territoriales [CNRACL]) et

2° Supprimer les mots :

pour ces derniers

II. – Alinéa 21, deuxième phrase

Supprimer cette phrase.

Objet

Le gouvernement prévoit d’augmenter d’1 point le taux de cotisation des employeurs de la caisse de retraite des fonctionnaires territoriaux et hospitaliers (la CNRACL) à compter de 2024, pour atteindre 31,65 %, contre 30,65 % actuellement.

SI le taux de cotisation par les employeurs privés sera lui aussi augmenté d’1 point, le gouvernement prévoit pour eux - à la différence des employeurs publics - de compenser cette hausse par une baisse à due concurrence des cotisations AT-MP.

Or, cette hausse immédiate du taux de cotisation à la CNRACL n’a fait l’objet d’aucune concertation préalable des employeurs publics rassemblés au sein de la Coordination des employeurs territoriaux, laquelle a unanimement exprimé son opposition à cette mesure, compte-tenu des effets induits par la réforme du fait du maintien prolongé en activité de leurs agents (notamment, transfert de charges assurantielles supportées par les collectivités).

Dans un courrier du 25 janvier 2023, la Première ministre a engagé le gouvernement à compenser intégralement auprès des employeurs territoriaux cette hausse de cotisation, sans préciser de quelle manière.

Le ministre des Comptes Publics, a quant à lui précisé, lors d’une réunion avec les associations concernées le 13 février 2023, que la CNRACL – bien que déficitaire – continuerait à moyen terme à être prélevée au titre de la compensation démographique vers les autres régimes. Cette hausse de cotisation d’un point des employeurs publics ne participera donc pas à l’équilibre intrinsèque du régime, mais au maintien de la compensation démographique vers les autres régimes et à leur financement indirect.

Les employeurs publics territoriaux estiment que le préalable à toute variation du taux de cotisation devrait être une remise à plat du système de retraites des agents territoriaux compte-tenu notamment de la part croissante d’emplois contractuels dans les collectivités.

Ils demandent à ce qu’avant toute variation du taux de cotisation soit examinée la récente proposition de la CNRACL en faveur d’un élargissement de l’assiette des agents obligatoirement affiliés à cette Caisse, ainsi que soit questionné le seuil d’affiliation à la CNRACL des fonctionnaires territoriaux nommés dans un emploi permanent à temps non complet, fixé par décret.

Enfin, le gouvernement ayant annoncé l’ouverture prochaine du chantier relatif aux carières et rémunérations, il semble préférable d’évaluer les impacts des évolutions à venir avant de procéder à quelque mesure concernant le niveau de cotisations.

D’autres moyens sont possibles pour équilibrer le système de retraites sans s’appuyer davantage sur le travail ou les services publics. Pour cela, c’est notamment du côté de l’amélioration des droits des salarié.es (augmentation des salaires, égalité des salaires entre femmes et hommes, …) qu’il faut se pencher. 

Pour la CNRACL, il ne tient qu’au gouvernement de s’attaquer aux vraies causes du déficit des caisses. Il s’agirait ainsi d’en finir avec les gels à répétition du point d’indice des fonctionnaires - comme ce fut le cas de 2010 à 2016 et entre 2017 et 2022 -, de stopper le remplacement des fonctionnaires par des contractuels et des intérimaires qui ne cotisent pas à cette caisse (notamment dans les hôpitaux). Les baisses des effectifs et externalisations représentent également autant d’atteintes au service public, dont on a en outre pu ces dernières années constater les conséquences délétères lorsqu’il s’agit des hôpitaux privés ou encore des crèches municipales vers les crèches privées.

En conséquence, cet amendement issu d’une proposition de la Coordination des employeurs publics territoriaux, a pour objet de supprimer la hausse d’1 point des cotisations à la CNRACL pour les employeurs publics.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4235 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


I. – Alinéa 10, sixième phrase

1° Supprimer les mots :

par les employeurs publics (Caisse nationale de retraites des agents des collectivités territoriales [CNRACL]) et

2° Supprimer les mots :

pour ces derniers

II. – Alinéa 21, deuxième phrase

Supprimer cette phrase.

Objet

Cet amendement vise à garantir la compensation par l’Etat de la hausse des cotisations vieillesse dues par les employeurs publics à la Caisse nationale de retraites des agents des collectivités locales (CNRACL).



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4502 rect. bis

7 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Alinéa 10, après la sixième phrase

Insérer une phrase ainsi rédigé :

Pour les employeurs publics de la CNRACL, l’État compensera intégralement le surcoût qui en résulte dès 2023, selon des modalités définies en loi de finances.

Objet

Cet amendement d’extrême repli vise à affirmer clairement dans la loi que l’État prendra à sa charge intégralement et dès 2023 le surcoût résultant de la hausse des cotisations patronales CNRACL pour les employeurs publics concernés, en particulier les collectivités territoriales.

Ce surcoût est estimé à 0,6 milliard d'euros en 2027 et 0,7 milliard d'euros en 2030.



NB :Rectification en séance à la demande de l'auteur pour rendre l'amendement identique au n°2116





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2116

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Favorable
Adopté

Mme DOINEAU et M. SAVARY

au nom de la commission des affaires sociales


Article 6

(Annexe)


Alinéa 10, après la sixième phrase

Insérer une phrase ainsi rédigé :

Pour les employeurs publics de la CNRACL, l’État compensera intégralement le surcoût qui en résulte dès 2023, selon des modalités définies en loi de finances.

Objet

Le présent amendement vise à affirmer clairement dans la loi que l’État prendra à sa charge intégralement et dès 2023 le surcoût résultant de la hausse des cotisations patronales CNRACL pour les employeurs publics concernés. Ce surcoût est estimé à 0,6 milliard d'euros en 2027 et 0,7 milliard d'euros en 2030.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4158 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Alinéa 10, septième phrase

Après le mot :

impacts

insérer les mots :

sur la santé des travailleurs et

Objet

Cet amendement vise à préciser la nature des projections présentées par l'annexe.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3675

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


Article 6

(Annexe)


Alinéa 10, avant-dernière phrase

Compléter cette phrase par les mots :

, mais ne pourra désormais bénéficier à de nombreux cotisants, qui n’attendront jamais l’âge de départ légal

Objet

Cet amendement du groupe Ecologiste – Solidarité et Territoires vise à mettre en exergue l’un des effets injustes de la réforme, à savoir la privation du bénéfice de la retraite aux cotisants les plus pauvres.

Des chiffres absolument effarants mais non moins réels sont apparus dans le début public à l’occasion de la réforme des retraites : actuellement, un quart des hommes les plus pauvres sont déjà morts à 62 ans. Ce chiffre monte à un tiers à 64 ans. 

Le report de l’âge va donc aggraver les inégalités sociales face à la mort. Aujourd’hui, les plus pauvres passent en moyenne 7 années de moins à la retraite que les plus aisés. La réforme va leur prendre 2 nouvelles années de vie à la retraite, et creuser encore plus la différence de vie à la retraite entre les riches et les pauvres.

Avec la réforme, ce sont donc chaque année 9 000 personnes supplémentaires qui auront cotisé toute leur vie mais qui mourront avant de pouvoir bénéficier de leur retraite.

Notre amendement vise donc à mettre en lumière cette réalité dans la loi, afin que l’annexe visé à l’article 6 puisse refléter de façon plus juste les effets réels de la réforme sur la vie des françaises et des français, au delà des seuls considérations budgétaires et comptables. 






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3489

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


Article 6

(Annexe)


Alinéa 14

Supprimer les mots :

la normalisation progressive de la situation sanitaire et

Objet

Si la situation sanitaire s'est considérablement améliorée, les hôpitaux comme les acteurs de la ville, restent profondément en tension et en proie à des vagues successives, de COVID, de grippe ou de bronchiolite. Faire face à cette tension désormais structurelle nécessiterait un investissement massif dans le système de santé.

Hors, ce n'est pas le choix qu'a fait le Gouvernement en LFSS 2023. Il est ainsi inexact de dire que la trajectoire financière traduit la normalisation de la situation sanitaire. Elle traduit seulement l'absence d'investissement dans le système de santé.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4165 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Alinéa 14

Après le mot :

sanitaire

insérer les mots :

tout en minorant les besoins sociaux et de santé

Objet

Cet amendement vise à préciser la trajectoire financière présentée dans l'annexe.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4181 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Alinéa 14

Après le mot : 

sanitaire

rédiger ainsi la fin de cet alinéa :

et le refus du Gouvernement de mettre en œuvre une réforme des retraites juste pour toutes et tous en garantissant que pas une retraite ne sera en dessous du salaire minimum interprofessionnel de croissance à 1 600 euros net.

Objet

Par cet amendement, nous souhaitons dénoncer l’injustice de ce projet de retraite.

Fin 2016, 37 % des retraités percevaient une pension de droit direct inférieure ou égale à 1000 € brut par mois. Actuellement, 1 retraité sur 10 dispose d’un niveau de vie inférieur à 1128 € par mois. Si la pension moyenne des hommes est de 1 931 € brut par mois, celle des femmes n’est que de 1 154 €.

Pour lutter contre cette précarité qui touche inégalement femmes et hommes, ouvriers et cadres supérieurs, nous défendons un niveau minimum de retraite à 1 600 € net par mois, en cohérence avec notre proposition d’augmentation du SMIC.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4180 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Alinéa 14

Après le mot :

sanitaire

rédiger ainsi la fin de cet alinéa :

et le refus du Gouvernement de mettre en œuvre une réforme des retraites juste pour toutes et tous en supprimant la décôte.

Objet

Par cet amendement, nous souhaitons mettre en avant le fait qu’une autre réforme des retraites est possible.

Il faut en effet en finir avec le système de décote qui représente une double peine pour les retraités, a fortiori les femmes et les plus précaires.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4187 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Alinéa 18

Après la première occurrence de l’année :

2024

rédiger ainsi la fin de cet alinéa :

une réforme des retraites juste pour toutes et tous ramène l’âge légal de départ à la retraite à soixante ans.

Objet

Par cet amendement, nous proposons qu’une autre réforme des retraites est possible.

Bien vieillir c’est arrêter de travailler à un âge raisonnable : nous défendons, comme 68 % des Français, dont 75 % des femmes et 74 % des jeunes, l’âge légal de départ à la retraite à 60 ans, comme c’était le cas dès 1982.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4188 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Alinéa 18

Après la première occurrence de l’année :

2024

rédiger ainsi la fin de cet alinéa :

une réforme des retraites juste pour toutes et tous supprime la décote.

Objet

Par cet amendement, nous souhaitons proposer une réforme des retraites plus juste pour toutes et tous dès 2024 en supprimant le système de décote.

Il faut en effet en finir avec le système de décote qui représente une double peine pour les retraités, a fortiori les femmes et les plus précaires.

Les personnes aux carrières incomplètes ou entrées plus tard dans le marché du travail ne peuvent bénéficier d’une retraite à taux plein à l’âge de départ légal puisqu’elles n’ont pas cotisé assez d’années. À cela s’ajoute la « décote » qui est une réduction supplémentaire de la pension de 1,25 %.

Nous proposons ainsi de supprimer cette décote, qui sanctionne les carrières incomplètes dont la pension est déjà réduite et accentue les inégalités de carrière en appauvrissant les personnes concernées.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4190 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Alinéa 18, avant-dernière phrase

Après l’année : 

2026

rédiger ainsi la fin de cette phrase :

, grâce à une réforme des retraites qui ramenera l’âge légal de départ à la retraite à 60 ans, avec 37,5 annuités pour une carrière complète

Objet

Par cet amendement, nous proposons de supprimer la réforme des retraites déposée par le Gouvernement et de la remplacer par une réforme des retraites qui ramènera l’âge légal de départ à la retraite à 60 ans, avec 37,5 annuités pour une carrière complète.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4169 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Alinéa 24, troisième phrase

Remplacer les mots :

liées à la meilleure prise en compte de la pénibilité et de l’usure professionnelle dans le cadre de la réforme

par les mots :

afin d’abonder, à hauteur d’un milliard d’euros sur la durée du quinquennat, un fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle

Objet

Cet amendement vise à préciser la nature de la trajectoire financière de la branche Accidents du travail et maladies professionnelles.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4470 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Alinéa 26, première phrase

Supprimer les mots :

mais bénéficierait de la hausse progressive de l’âge effectif de départ portée par la présente loi

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent supprimer la mention de la réforme des retraites dans l'annexe B qui tend à intégrer dans l’information au Parlement des effets pour le moins flous des bénéfices budgétaires attendus de la réforme des retraites.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4170 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Alinéa 32, tableau, quatrième ligne

1° Sixième colonne

Remplacer le montant :

238,4

par le montant :

238,5

2° Septième colonne

Remplacer le montant :

243,9 

par le montant :

244,9

3° Avant-dernière colonne

Remplacer le montant :

249,7

par le montant :

251,3

4° Dernière colonne

Remplacer le montant :

254,9

par le montant :

257,3

Objet

L'allongement de l'âge légal de départ entrainera des couts supplémentaires pour les finances publiques. Ainsi, différentes études s'accordent autour du fait que des couts supplémentaires de l'ordre d'un tiers des économies réalisés sont à prévoir lors de l'allongement de l'âge légal de départ en retraite. Pourtant, ces couts ne sont jamais internalisés dans les projections du Gouvernement. 

Ainsi, avec cet amendement, nous souhaitons mettre en évidence les surcouts sur la branche maladie induite par la présente réforme. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4172 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Alinéa 32, tableau, huitième ligne

1° Sixième colonne

Remplacer le montant :

14,8

par le montant :

14,9

2° Septième colonne

Remplacer le montant :

15,3

par le montant :

16,3

3° Avant-dernière colonne

Remplacer le montant :

15,7

le nombre :

par le montant :

17,3

4° Dernière colonne

Remplacer le montant :

16,1

par le montant :

18,4

Objet

L'allongement de l'âge légal de départ entrainera des couts supplémentaires pour les finances publiques.

Ainsi, différentes études s'accordent autour du fait que des couts supplémentaires de l'ordre d'un tiers des économies réalisés sont à prévoir lors de l'allongement de l'âge légal de départ en retraite.

Pourtant, ces couts ne sont jamais internalisés dans les projections du Gouvernement. 

Ainsi, avec cet amendement, nous souhaitons mettre en évidence les surcouts sur la branche AT-MP induite par la présente réforme. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3502

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


Article 6

(Annexe)


Alinéa 3, sixième phrase

Remplacer la première occurrence des mots :

déficits élevés

par le mot :

stabilité

Objet

Par cet amendement, nous souhaitons rappeler que la présente réforme des retraites n'est pas nécessaire pour sauver le système actuel.

Le gouvernement affirme que nous faisons face à des déficits élevés. Or, le rapport du Conseil d'orientation des retraites montre que le système a été excédentaire en 2021 et 2022, et prévoit une résorption des déficits mineurs qui pourraient apparaître à l'horizon 2070. Le président du COR l'a affirmé devant la commission des finances de l'Assemblée nationale : "Les dépenses de retraites ne dérapent pas, elles sont relativement maitrisées, dans la plupart des hypothèses, elles diminuent plutôt à terme".






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4128 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Alinéa 3, après la sixième phrase

Insérer deux phrases ainsi rédigées :

La notion de déficit élevée reste toutefois relative, puisque 1,2 milliard d’euros de déficit correspondent au coût de seulement 10 missiles stratégiques M51 qui portent les charges nucléaires françaises, et dont 16 modèles de M51 équipent chaque sous-marin nucléaire lanceur d’engin (SNLE). Il est donc important de comprendre qu’un SNLE emporte avec lui largement plus que le « déficit élevé » d’une année de la branche Vieillesse lorsqu’il part en mission.

Objet

Il est important de comparer les volumes budgétaires mentionnés dans la présente annexe afin d'être en mesure de comprendre les enjeux financiers.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4135 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Alinéa 3, septième phrase

Compléter cette phrase par les mots :

ainsi que des effets sur la santé d’un recul de l’âge de départ à la retraite

Objet

Cet amendement vise à préciser la nature des déficits à venir de la branche "Maladie".



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2903 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


Article 6

(Annexe)


Alinéa 3, avant-dernière phrase

Compléter cette phrase par les mots :

et surtout le retour naturel à l’équilibre à plus long terme tel que décrit par le rapport du conseil d'orientation des retraites

Objet

Amendement rédactionnel visant à garantir la clarté et la sincérité des débats : selon le COR, les dépenses de retraite sont globalement stables. A long terme, dans 3 hypothèses sur 4 les dépenses de retraite dans le PIB diminuent quelque peu.

Or si le système présente un déficit c'est à cause de l'évolution de ses ressources, et non de ses dépenses : le taux de prélèvement pour les retraites va diminuer du fait notamment de la diminution de la contribution des entités publiques, au premier rang desquelles l’État employeur.

Le taux de prélèvement sur l’ensemble des rémunérations en 2021 était de 31,2 %. Ce taux est amené à diminuer dans les 25 prochaines années, et pourrait retomber à 30,1 % en moyenne. Au lieu de prélever 30,1 % des rémunérations, il faudrait en prélever 31,1 % pour résoudre la question de la baisse des ressources.

Il existe donc bien, malgré ce que le gouvernement se plait à vouloir nous faire croire, une alternative à cette réforme des retraites rejetée par 2 Français sur 3 et 9 sur 10 parmi les actifs. Que le Président de la République qui en appelle au bon sens des Français les entendent enfin : plus ils en comprennent la réalité des tenants et aboutissants de cette réforme injustifiée et injuste, plus ils la rejettent.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4137 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Alinéa 3, avant la dernière phrase

Insérer une phrase ainsi rédigée :

Les excédents de la branche AT-MP proviennent d’une sous-déclaration chronique des accidents du travail et des maladies professionnelles.

Objet

Cet amendement vise à préciser les raisons des excédents de la branche AT/MP.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3500

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


Article 6

(Annexe)


Alinéa 3, dernière phrase

Après l'année :

2024

insérer les mots :

et qui gagnerait à être plus progressive par l’instauration de quatorze tranches

Objet

Par cet amendement, nous défendons la progressivité de la contribution sociale généralisée (CSG).

En rendant plus progressive la CSG, par l'instauration de 14 tranches, la charge fiscale serait mieux répartie entre les ménages en tenant compte de leurs capacités contributives.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4127 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Après l’alinéa 3

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

Par comparaison, l’augmentation du budget des armées ces prochaines années va augmenter de + 6 % à + 8 % en moyenne entre 2025 et 2030.

Objet

Il est important de comparer les volumes budgétaires mentionnés dans la présente annexe afin d'être en mesure de comprendre les enjeux financiers.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4173 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Alinéa 4

Après le mot :

énergie

insérer les mots :

et par le refus du Gouvernement de bloquer les prix

Objet

Par cet amendement nous rappeler que la forte poussée de l'inflation, notamment l'explosion des coûts de l'énergie, est également de la responsabilité du Gouvernement qui a refusé de bloquer les prix.

Face à l'urgence sociale exacerbée par la hausse des prix, il est urgent de bloquer les prix de l'énergie ou encore des produits de première nécessité.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3478

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


Article 6

(Annexe)


I. – Alinéa 5, première phrase

Remplacer le taux :

1,0 %

par le taux :

0,4 %

II. – Alinéa 7, tableau, sixième colonne, deuxième ligne

Remplacer le taux :

1,0 %

par le taux :

0,4 %

Objet

Le Haut Conseil des Finances Publiques a été saisi pour avis sur le PLFRSS pour 2023.

Pour ce dernier, la prévision de croissance du Gouvernement se situe au-dessus de l'ensemble des prévisions de conjoncture français et internationaux et du consensus des économistes.

Une prévision de croissance anormalement élevée n'est pas anodine sur l'équilibre des comptes de la sécurité sociale.

Pour 2023, le FMI prévoir en effet une évolution de la croissance à 0,7 point de PIB, l'OFCE à 0,6, la Commission européenne à 0,4, la Banque de France à 0,3 etc. Le Gouvernement, quant à lui, table sur une prévision de croissance à 1% de PIB.

Cette surestimation de la croissance tend à rendre insincère les prévisions budgétaires proposées par le Gouvernement. Le groupe Écologiste, solidarité et territoires propose d'actualiser le taux de croissance prévu à 1% de PIB à 0,4%, chiffre avancé par la Commission européenne dans le rapport du Haut Conseil des Finances Publiques.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3479

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


Article 6

(Annexe)


I. – Alinéa 5, deuxième phrase

Remplacer le taux :

4,3 %

par le taux :

4,6 %

II. – Alinéa 7, tableau, quatrième ligne, sixième colonne

Remplacer le taux :

4,3 %

par le taux :

4,6 %

Objet

Selon le Haut Conseil des Finances Publiques : "L’évolution des prix, notamment énergétiques, reste incertaine. Toutefois le Haut Conseil considère que la prévision d’inflation retenue pour 2023 est un peu faible".

Il est ainsi proposé de mettre en cohérence les prévisions du Gouvernement avec celles du Haut Conseil des Finances Publiques dans son avis sur ce PLFRSS 2023, et notamment celle de l'OFCE.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3213

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


Article 6

(Annexe)


Alinéa 5

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Les mesures d'économies sur la masse salariale publique continueront de se traduire par une détérioration du solde du système de retraite.

Objet

Par cet amendement nous souhaitons mettre le Gouvernement devant ses contradictions : son obsession de baisse de la dépense publique contribue à détériorer les ressources du système de retraite.

Dans son rapport de septembre 2022, le Conseil d'orientation des retraites nous l'explique clairement : "Il convient de souligner le caractère paradoxal de ce résultat : les mesures d’économie sur la masse salariale publique se traduisent par une détérioration du solde du système de retraite".

La direction du budget a ainsi indiqué prévoir sur la période 2022-2027 un gel du point d’indice, un quasi-gel du traitement indiciaire moyen des fonctionnaires en euros courants (+ 0,1 %) conduisant à une quasi-stagnation sur 5 ans de la rémunération des fonctionnaires, et ce indépendamment du taux d’inflation" selon le collectif Nos services publics.

Les caisses de retraites publiques sont particulièrement impactées par ces politiques austéritaires. Selon le même collectif, si les rémunérations des fonctions publiques territoriale et hospitalière suivaient seulement celle du reste de la population, le déficit des retraites serait réduit de 30% en 2030 !






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4174 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Alinéa 5

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Les mesures d’économie sur la masse salariale publique continueront de se traduire par une détérioration du solde du système de retraite.

Objet

Par cet amendement nous souhaitons mettre le Gouvernement devant ses contradictions : son obsession de baisse de la dépense publique contribue à détériorer les ressources du système de retraite.

Dans son rapport de septembre 2022, le Conseil d'orientation des retraites nous l'explique clairement : "Il convient de souligner le caractère paradoxal de ce résultat : les mesures d’économie sur la masse salariale publique se traduisent par une détérioration du solde du système de retraite".

La direction du budget a ainsi indiqué prévoir sur la période 2022-2027 « un gel du point d’indice, un quasi-gel du traitement indiciaire moyen des fonctionnaires en euros courants (+ 0,1 %) ainsi qu’un gel des primes sur toute la durée du quinquennat en cours, conduisant à une quasi-stagnation sur 5 ans de la rémunération des fonctionnaires, et ce indépendamment du taux d’inflation » selon le collectif Nos services publics.

Les caisses de retraites publiques sont particulièrement impactées par ces politiques austéritaires.

Selon le même collectif, si les rémunérations des fonctions publiques territoriale et hospitalière suivaient celles du reste de la population, le déficit des retraites serait réduit de 30% en 2030 !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3481

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


Article 6

(Annexe)


Alinéa 5

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Les trajectoires présentées dans ce rapport doivent être lues avec prudence.

Objet

Le Haut Conseil des Finances Publique a été saisi pour avis sur ce texte. Ce dernier estime en effet que la prévision de croissance associée au PLFRSS (+1%), reste élevée : "reste élevée. Justifiée selon le Gouvernement par la résilience de l’économie française au troisième trimestre 2022 et par l’acquis de croissance pour 2023, elle se situe toujours au-dessus des estimations disponibles. À l’inverse, la prévision d’inflation (+4,2 %) est un peu basse, tout comme celle de masse salariale (+5,0 %)."

Il constate par ailleurs que le Gouvernement n’a pas modifié son scénario macroéconomique, ni sa prévision de déficit public pour 2023, depuis le projet de loi de finances pour 2023 adopté en conseil des ministres le 26 septembre 2022.

Il explique : "Le scénario de croissance du Gouvernement peut néanmoins paraître optimiste : l’environnement international demeure mal orienté en 2023 (la Banque mondiale a révisé le 10 janvier ses prévisions de croissance de l’activité mondiale de 3,0 % à 1,7 % et de progression du commerce international de 4,3 % à 1,6 %). De plus, la récente dégradation de la situation sanitaire en Chine pourrait peser sur sa demande intérieure et donc ses importations et contrarier, au moins à court terme, le rétablissement des chaînes de production. Enfin, le durcissement des politiques monétaires devrait se poursuivre notamment dans la zone euro, et faire sentir son effet sur la demande au cours des prochains trimestres"

Ainsi, l'ensemble des équilibres présentés par le Gouvernement, tenant compte de la réforme des retraites, ne peuvent être considérés comme intelligibles et probants quant au bien fondé de cette réforme.

Le groupe Ecologiste estime que les trajectoires qui sont présentées doivent non seulement être lues avec la plus grande prudence, mais que cette prudence doit collectivement nous inviter à ne pas voter une réforme dont les répercussions seraient colossales sur la vie des françaises et des français.

Dans un contexte aussi incertain, les françaises et les français ont besoin de protection sociale et d'investissement, et non d'une politique d'austérité les mettant en insécurité face aux aléas, y compris climatiques.

Tel est l'objet du présent amendement.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2905 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


Article 6

(Annexe)


Alinéa 7, tableau, avant dernière ligne

1° Septième colonne

Remplacer le taux :

2,4 %

par le taux :

7 %

2° Avant-dernière colonne

Remplacer le taux :

2,7 %

par le taux

6,1 %

3° Dernière colonne

Remplacer le taux :

2,6 %

par le taux :

5,75 %

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à porter l'ONDAM pour 2024, 2025 et 2026 à +4%, une fois pris en compte l'effet de l'inflation.


Alors que l'hôpital public connaît une crise sans précédent, et que plus largement notre système de santé est à bout de souffle, le Gouvernement propose ici une baisse de l'ONDAM (les dépenses de santé remboursées par l'assurance maladie) en 2024, 2025 et 2026, une fois prise en compte l'effet de l'inflation !


Cette coupe déguisée va définitivement mettre à terre notre système de santé public.
Les Sénatrices et sénateurs socialistes proposent donc une augmentation minimale de l'ONDAM de 4%, tenant compte de l'inflation annoncée ici par le Gouvernement.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4139 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Alinéa 8, première phrase

Remplacer le mot :

votées

par les mots :

imposées par voie de l’article 49-3 de la Constitution

Objet

Cet amendement vise à corriger une erreur rédactionnelle.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4164 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Après l’alinéa 10

Insérer deux alinéas ainsi rédigés :

Plutôt que de proposer une politique de soutien aux salariés et aux emplois pour les plus jeunes et pour les plus anciens ambitieuse, le Président de la République a proposé de mettre en place un service national universel et de doubler le nombre de réservistes dans les armées, passant de 40 000 à 80 000 réservistes entre 2023 et 2030.

La présente réforme, cumulée à ces propositions, démontre la priorité donnée aux Armées plutôt qu’à la société civile dans les choix budgétaires à venir.

Objet

Il est important de comparer les politiques publiques afin de mettre en exergue les véritables priorités, parfois trop peu mises en avant par un exécutif peu bavard sur ses ambitions militaristes.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4153 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Alinéa 11

Supprimer cet alinéa.

Objet

Par cet amendement est réaffirmée la stricte opposition du groupe CRCE à un recul de l'âge légal à la retraite ainsi que l'accélération de la durée d'assurance requise.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3238

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


Article 6

(Annexe)


Alinéa 11

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

D’ici à 2027, il est envisagé d’harmoniser le congé paternité avec le congé maternité postnatal.

Objet

Les femmes sont impactées par le présent projet de loi. Selon le rapport d'information, fait au nom de la délégation aux droits des femmes du Sénat (datant de 2013), les réformes sur les retraites ont pénalisé les femmes.  Selon la direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees), en 2020, les femmes partent plus tardivement à la retraite, en moyenne 7 mois après les hommes, à 62 ans et 7 mois, contre 62 ans pour les hommes. En moyenne l’âge conjoncturel augmente de 1 an et 9 mois depuis 2010, à cause du relèvement de l’âge de 60 à 62 ans et l’augmentation de la durée requise de cotisations pour un taux plein.

Parmi les causes, des carrières courtes et hachées. Selon l’INSEE, « à l’arrivée des enfants, pour concilier vie privée et vie professionnelle, les femmes sont toujours plus nombreuses que les hommes à interrompre leur activité ou à réduire leur temps de travail : en 2020, celles qui travaillent sont trois fois plus souvent à temps partiel que les hommes ».  

En France, en 2013, 51 % des femmes à temps partiel indiquent l’être pour s’occuper de leurs enfants, contre seulement 14 % des hommes (INSEE, 2013).

Le décalage de rémunération entre les femmes et les hommes reste très élevé et ne se résorbe que très lentement : En 2019, selon l’INSEE, le revenu salarial des femmes reste inférieur en moyenne de 22 % à celui des hommes. Un peu moins d’un tiers de cet écart s’explique par des différences de durée de travail.

Dominique Meurs, économiste à l’Université de Paris Nanterre et chercheure associée à l’Ined et Pierre Pora, chargé d’études à l’Insee et chercheur affilié au CREST, montrent qu’après une maternité la participation des femmes au marché du travail, leur nombre d’heures travaillées et leur progression salariale se réduisent. C’est un des freins à l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes.

Afin de réduire les inégalités socio-économiques entre les femmes et les hommes, cet amendement invite à harmoniser le congé paternité avec le congé maternité postnatal.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3487

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


Article 6

(Annexe)


Alinéa 11

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ce plan envisage d’ouvrir 500 000 places de garde adaptées sur cinq ans.

Objet

Aujourd'hui, le nombre de places disponibles en France pour l'accueil des enfants de moins de 3 ans est évalué à 59,8 places pour 100 enfants (ONAPE, 2021).

Cet amendement a pour objet la création de 500 000 places. Celles-ci permettront d’atteindre le taux de 82,2 places pour 100 enfants.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3496

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


Article 6

(Annexe)


Alinéa 15, seconde phrase

Après le mot :

contractées

insérer les mots :

notamment en raison des exonérations de cotisations sociales accordées aux entreprises

Objet

Par cet amendement, nous souhaitons rappeler que si les recettes se sont fortement contractées, c'est d'abord parce que le Gouvernement exonère massivement les entreprises des cotisations sociales.

Le besoin de financement de la sécurité sociale et de l’État est ainsi entretenu par les dispositifs qui privent la Sécurité sociale de cotisations, et l’État de nombreuses recettes. Le coût des niches sociales est évalué à 90 milliards d’euros par la Cour des comptes, soit 3,6 points de PIB.

Certaines exonérations sont particulièrement pénalisantes pour le système de retraite, comme les exonérations de cotisations sur les heures supplémentaires qui ne sont pas compensées par l’État. Leur suppression rapporterait 2,3 milliards à la branche vieillesse.

La suppression d'exonérations de cotisations inutiles rapporterait au total 10 milliards d'euros.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4182 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Alinéa 1, seconde phrase

Après le mot :

contractées

insérer les mots :

notamment en raison des exonérations de cotisations sociales accordées aux entreprises

Objet

Par cet amendement, nous souhaitons rappeler que si les recettes se sont fortement contractées, c'est d'abord parce que le Gouvernement exonère massivement les entreprises des cotisations sociales.

Le besoin de financement de la sécurité sociale et de l’État est ainsi entretenu par les dispositifs qui privent la Sécurité sociale de cotisations, et l’État de nombreuses recettes.

En 2023, le montant des exonérations de cotisations sociales s’élève à 75 milliards d’euros dont une partie seulement est compensée par l’Etat.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4166 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Alinéa 15, seconde phrase

Après le mot :

contractées

Insérer les mots : 

en raison notamment des exonérations de cotisations patronales massives et des politiques de bas salaires

Objet

Cet amendement vise à préciser la nature de la trajectoire financière présentée dans l'annexe.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3208

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


Article 6

(Annexe)


Alinéa 16, première phrase

Compléter cette phrase par les mots :

malgré la baisse prévue du nombre de fonctionnaires

Objet

Par cet amendement, nous souhaitons préciser que si le Gouvernement se réjouit de la progression de la masse salariale privée, il ne faut pas occulter que ses hypothèses s’appuient sur une baisse du nombre de fonctionnaires.

Les données transmises par le ministère de l’Economie au COR en matière d’emploi public s’appuient sur l’hypothèse d’un gel des emplois publics sur la période 2020-2070 comme l’a expliqué le collectif Nos retraites auprès du magazine Alternatives Economiques. Cela correspond à une baisse de 8 % du nombre de fonctionnaires par habitant.

Les employeurs publics ayant des taux de cotisation supérieurs au régime général du privé, moins il y a de fonctionnaires, moins l’État participe au financement du système de retraite… et par conséquent plus son équilibre est menacé par la baisse de la part relative des fonctionnaires.

Les causes du déficit doivent ainsi être questionnées. À court terme, il est avant tout causé par une diminution de la part des ressources allouées au système de retraite, qui s’explique par le recul de la part des fonctionnaires dans l’emploi total, et de la masse salariale publique dans la masse salariale totale d’autant que le gel de l’indice est programmé.

Il est ici flagrant à quel point les mesures d’austérité envers la fonction publique, portent atteinte non seulement à la qualité du service public (hôpitaux, services sociaux, enseignement, …) - matérialisée par la fermeture de certains services publics et des temps d'attente qui s'allongent -, mais dégradent également le solde des retraites.

Ces données sont complètement occultées dans ce rapport et il convient de les mentionner.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4184 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Alinéa 17, première phrase

Compléter cette phrase par les mots : 

malgré la baisse prévue du nombre de fonctionnaires

Objet

Par cet amendement, nous souhaitons préciser que si le Gouvernement se réjouit de la progression de la masse salariale privée, il ne faut pas occulter que ses hypothèses s’appuient sur une baisse du nombre de fonctionnaires et notamment l’hypothèse d’un gel des emplois publics sur la période 2020-2070.

Ces données sont complètement occultées dans ce rapport et il convient de les mentionner.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4185 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Alinéa 17, première phrase

Compléter cette phrase par les mots : 

malgré la faiblesse des salaires dans la fonction publique

Objet

Par cet amendement, nous souhaitons préciser que si le Gouvernement se réjouit de la progression de la masse salariale privée, il ne faut pas occulter la faiblesse des salaires dans la fonction publique.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3498

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


Article 6

(Annexe)


Alinéa 18, première phrase

Remplacer les mots :

réagiraient davantage au contexte contemporain de l’année

par les mots :

augmenteraient grâce à l’égalité salariale entre les femmes et les hommes

Objet

Par cet amendement, nous souhaitons rappeler que si le gouvernement faisait le choix de mettre en œuvre des dispositifs efficaces pour garantir l'égalité salariale entre les femmes et les hommes, on compterait 8 milliards d'euros supplémentaires de cotisation sociale dans les recettes des caisses de retraite. Les femmes touchent aujourd'hui 28,5 % de moins que les hommes pendant leur vie active dans le secteur privé, en grande partie car elles travaillent dans des métiers moins bien payés.

L'inaction du gouvernement en matière d'égalité entre les femmes et les hommes au travail coûte cher à notre système de retraite.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4191 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Alinéa 18, première phrase

Remplacer les mots : 

réagiraient davantage au contexte contemporain de l’année

par les mots : 

augmenteraient grâce à l’égalité salariale entre les femmes et les hommes

Objet

Par cet amendement, nous souhaitons rappeler que si le Gouvernement faisait le choix de mettre en œuvre des dispositifs efficaces pour garantir l'égalité salariale entre les femmes et les hommes, on compterait 6 milliards d'euros supplémentaires de cotisation sociale dans les recettes des caisses de retraite.

Les femmes touchent aujourd'hui 28,5 % de moins que les hommes pendant leur vie active dans le secteur privé, en grande partie car elles travaillent dans des métiers moins bien payés.

L'inaction du Gouvernement en matière d'égalité entre les femmes et les hommes au travail coûte cher à notre système de retraite.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4192 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Alinéa 18, première phrase

Remplacer les mots : 

réagiraient davantage au contexte contemporain de l’année

par les mots : 

augmenteraient grâce à une hausse des salaires

Objet

Par cet amendement, nous souhaitons rappeler que le Gouvernement a fait le choix de ne pas augmenter les salaires face à l'inflation. Or, augmenter les salaires augmente mécaniquement les recettes des caisses de la sécurité sociale grâce aux cotisations sociales.

Ainsi, si les salaires étaient augmentés de 4%, 12 milliards d'euros abonderaient les caisses de retraite.

Le Gouvernement a choisi de priver les travailleuses et les travailleurs de deux années de retraite plutôt que d'augmenter les salaires et ainsi de financer notre système de retraite.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3183

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


Article 6

(Annexe)


Alinéa 19

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ces estimations ne tiennent toutefois pas compte des dépenses sociales supplémentaires sur d’autres branches de la sécurité sociale hors branche vieillesse induites par le report de l'âge légal.

Objet

Dans le rapport sur les objectifs de la réforme, le gouvernement table sur un rendement des mesures paramétriques de la réforme de 17,7 milliards, sans faire mention des externalités négatives de la réforme et des surcoûts en termes de prestations sociales qui ne figurent pas non plus dans l’étude d’impact ou dans l’annexe jointe au Projet de Loi.

Selon le COR en 2019, un report de l’AOD de 2 ans équivaudrait à un surcoût de près de 320 millions d’euros par an en minima sociaux (RSA, ASS) soit 2,2 milliards de 2023 à 2030.

Selon l’OFCE, à l’horizon de 10 ans, la réforme se traduira par une augmentation du chômage de 0,9% et une contraction des salaires de 3% et du pouvoir d’achat de 1,3% avec une baisse de l’activité de 0,1 point de PIB.

La baisse des cotisations sociales qui découlera de ces externalités négatives annulent en grande partie les gains attendus par le gouvernement. Ce dernier ne pourra d’ailleurs compter que sur une hausse partielle du taux d’emploi des seniors puisque si l’étude d’impact prévoit une hausse de l’emploi des séniors d’environ 300 000 cela doit être pondéré par la hausse concomitante du chômage.

Selon Michaël Zemmour reprenant les études de la DREES et la DARES évaluant les effets d’un report de l’âge sur l’emploi des seniors, 200 000 personnes supplémentaire serait maintenues, dans le même temps aux minimas sociaux ou au chômage.

Cela rejoint les précédentes études de la DREES et de l’INSEE sur les effets de la réforme de 2010 qui avait montré que la hausse du taux d’activité des seniors s’était accompagné d’une hausse tout aussi importante du chômage et de l’invalidité.

Selon le COR en 2019, les surcoûts sur l’ARE d’un report de l’AOD étaient estimés à 1,3 milliards par an.

Malgré tout, le gouvernement indique dans son rapport sur les objectifs de la réforme que les comptes reviendront magiquement à l’équilibre avec un solde de 0 en 2030 alors que ni les surcoûts ni les externalités ne sont prises en compte.

Par ailleurs, une étude du Centre d’Etude de l’Emploi et du Travail en 2023 montre que la réforme de 2010 a augmenté drastiquement le nombre d’arrêts maladies ponctuels et de longue durée chez les séniors pour un surcoût estimé à 68 millions d’euros.

En conséquence, un nouveau report de l’AOD à 64 ans, étant un âge où la vulnérabilité s’accroit et où le risque d’accidents professionnels devient plus importants, devrait aussi se traduire par des surcoûts pour l’assurance maladie et l’AT-MP sans que cela ne soit évalué, ni dans le Rapport fourni par le gouvernement, ni dans l’étude d’impact, ni dans l’annexe du présent projet de loi.

Toutes ces estimations tronquées et ces manques remettent en cause le bienfondé des calculs prévisionnels du gouvernement qui doivent être revus.

En conséquence, cette amendement se propose d’indiquer dans l’annexe que les prévisions budgétaires ne tiennent pas compte des dépenses sociales supplémentaires induites sur d’autres branches de la Sécurité Sociale hors branche vieillesse par le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3211

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


Article 6

(Annexe)


Alinéa 19

Après cet alinéa

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

La présente annexe confirme un équilibre du financement du système de retraite par répartition. Le Conseil d'Orientation des retraites écarte l'hypothèse de dépenses non contrôlées. Un effort constant de l’État, à hauteur de 2% du PIB ne susciterait qu'un léger déficit de quelques années, suivi d’un retour à l’équilibre à l'horizon 2050.

Objet

Par cet amendement, nous proposons de préciser, au sein de l'annexe de ce PLFRSS, que notre système de retraites par répartition n'est nullement menacé par des dépenses incontrôlées, tel qu'en atteste le COR.

En effet, selon le Conseil d’orientation des retraites (COR), les dépenses de retraites représentaient 13,8 % du PIB en 2021, dont un point financé directement par les retraités, notamment à travers la contribution sociale généralisée (CSG).

Les prévisions du COR anticipent, à long-terme, une stagnation ou une diminution de cette part du PIB dans trois des quatre scénarios d’évolution de la productivité projetés. Le COR conclut cette analyse prospective en affirmant que « les résultats de ce rapport ne valident pas le bien-fondé des discours qui mettent en avant l’idée d’une dynamique non contrôlée des dépenses de retraite».

Ainsi, le système de retraite doit renouer avec les excédents sur le long-terme dans la moitié des scénarios projetés par le COR, et dans trois des quatre scénarios selon la convention « Effort de l’État constant » (EEC), c’est-à-dire si l’État maintient son niveau de contribution actuel.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3200

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


Article 6

(Annexe)


Après l’alinéa 20

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

D’ici 2027, un plan de lutte contre les déserts médicaux est élaboré dans une perspective pluridisciplinaire.

Objet

10 millions de Français vivent à l’heure actuelle dans une zone où l’accès aux soins est DIFFICILE.

Tout aussi nombreux sont ceux qui vivent à plus de 30 minutes d’un service d’urgence. En plus de former davantage de médecins en donnant les moyens suffisants aux universités, une mesure d’urgence est à mettre en œuvre : organiser la participation de l’ensemble des médecins à la permanence des soins...

Cet amendement du groupe Ecologiste a vocation à ce que le Gouvernement se saisisse du problème majeur de la désertification médicale et de la chute de la démographie médicale.

Ce plan s'envisage dans une approche pluridisciplinaire et sort d'une vision en silos (sanitaire, social, médico-social comme ville et hôpital), pour mettre à contribution l'ensemble des acteurs le temps de passer la pénurie démographique d'ici à 2030.

Préoccupé par la nécessité d’apporter des réponses pour lutter contre les déserts médicaux, lors de l’examen du PLFSS 2022, le groupe écologiste avait notamment déposé un amendement visant à instaurer une convention sélective pour les médecins de manière à simplement renouveler les médecins conventionnés dans les zones déjà dotées pour mieux répartir les nouveaux médecins conventionnés dans les zones sous-denses. Et également par l’adoption d’un amendement de la rapporteure Corinne Imbert visant à conditionner, à compter du 1er novembre 2022, tout nouveau conventionnement d'un médecin à la réalisation préalable par ce médecin d'un remplacement de médecin ou d'un exercice salarié auprès d'un médecin libéral dans une zone sous-dotée en médecins pendant une durée totale d'au moins six mois.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3490

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


Article 6

(Annexe)


Après l'alinéa 21

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

La trajectoire de la branche maladie inclut la perspective, d'ici à 2027, de la mise en place d'une politique de prévention écologique et sanitaire.

Objet

Le constat de l’Organisation Mondiale de la Santé est sans appel : l’augmentation des maladies chroniques est directement liée aux facteurs environnementaux ainsi qu’à nos modes de vie. Les symptômes sont connus : problèmes respiratoires dus à la pollution de l’air, affections générées par les perturbateurs endocriniens, troubles et pathologies liées à l’exposition à des pollutions toxiques. Investir dans une politique de prévention en santé environnementale, c’est réduire à terme le coût social et sanitaire du bruit qui s’élève chaque année à près de 155 milliards, celui de la pollution de l’air entre 70 et 100 milliards par an, celui de la malbouffe à près de 50 milliards ou encore celui du mal-logement à près de 30 milliards.

Une politique de prévention en santé, prenant en compte les facteurs environnementaux, doit faire l'objet d'investissements massifs.

Tel est l'objet du présent amendement.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3491

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


Article 6

(Annexe)


Après l'alinéa 21

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

D'ici à l'horizon 2027, la trajectoire de la branche Maladie prend en compte la suppression de l'ensemble des restes à charge opposable en ville et à l'hôpital.

Objet

Pour répondre à l'ensemble des besoins en santé et lutter contre le renoncement aux soins, il est impératif que l’ensemble des soins et médicaments essentiels soient pris en charge par l’Assurance maladie, ce pour tous, sans aucun reste à charge.

Dans cette perspective, il est proposé que la trajectoire de la branche Maladie intègre ce scénario d'ici à 2027.






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N° 4193 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Alinéa 23, deuxième phrase

Remplacer les mots :

de 50 000 créations à terme de postes en EHPAD

par les mots :

de 10 000 créations de places en EHPAD par an pendant cinq ans et de 210 000 créations de postes permettant d’atteindre un ratio d’encadrement de 0,6

Objet

Par cet amendement, nous souhaitons rappeler qu'il est urgent de remettre nos EHPAD publics sur pieds, en créant massivement des places et en recrutant.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3202

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


Article 6

(Annexe)


Après l’alinéa 23

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

Afin que la branche autonomie puisse être alimentée à la hauteur des besoins à l’accompagnement au soutien à l’autonomie, il sera envisagé de créer une contribution exceptionnelle sur les donations et successions, à un taux de 1 %. Cette proposition, issue du rapport Libault, permettrait d’abonder la cinquième branche, qui est restée coquille vide depuis 2020.

Objet

En 2020, la 5ème branche dite "branche autonomie" a été créée. Elle a créé beaucoup d'espoir auprès des acteurs de terrain, sociaux et médico-sociaux, du directeur d'établissement, en passant par le médecin    coordonnateur et jusqu'à l'infirmière

En effet, les besoins de financement du soin et de l'accompagnement, du soutien à l'autonomie et du développement du virage domiciliaire, sont immenses (6 à 9 milliards d'euros). En toute logique, la création de cette 5ème branche aurait dû s'accompagner d'un abondement en financement à la hauteur d'un accompagnement digne de nos aînés ou des personnes en situation de handicap. Ce ne fut pas le cas.

L'objet du présent amendement est d'évoquer à nouveau cette piste de financement afin de donner les moyens à nos acteurs de l'action sociale d'exercer correctement leurs missions.

Dans sa mouture pour 2023, le budget de la sécurité sociale comprenait plusieurs mesures allant plutôt dans le bon sens à l’image de la priorité accordée au « vieillir à domicile ».  Ici la volonté affichée est à la fois de « répondre à l’urgence » dans les secteurs du grand âge et d’« investir dans des chantiers plus structurels ».

Malheureusement la loi a été dotée d’un budget insuffisant - d'autant plus au regard de la situation sanitaire et l’absence de loi dépendance - autonomie a pesé.

Cet amendement vise à partager les efforts y compris sur la transmission du patrimoine d’autant que les inégalités de patrimoine se sont approfondies.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4168 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Alinéa 24, première phrase

Compléter cette phrase par les mots : 

en raison notamment de la sous-déclaration chronique des accidents du travail et des maladies professionnelles et de la décision du Gouvernement de ne compenser qu’à hauteur de 1,2 milliard ces sous-déclarations auprès de la branche Maladie

Objet

Cet amendement vise à préciser la nature de la projection financière de la branche Accidents du travail/Maladies Professionnelles.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3204

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


Article 6

(Annexe)


Alinéa 24, deuxième phrase

Supprimer cette phrase.

Objet

Pour financer ses mesures dites « de justice » , ce texte prévoit de ponctionner la branche AT-MP en effectuant un transfert de cotisation vers la branche vieillesse.

D’une part, partir du constat que la branche ATMP est excédentaire par construction masque le fait que les accidents du travail et maladies professionnelles sont largement sous déclarées, et donc sous indemnisés et au-delà du transfert vers la CNAM, aucune action d’ampleur ne vise à y remédier comme aucune action d’ampleur ne prend à bras le corps la situation préoccupante des morts au travail en France.

Les excédents auraient ainsi de quoi être utilisés à bon escient.

Un Fonds dédié à la prévention de l’usure professionnelle est créé, financé par la branche AT-MP, à hauteur d’un milliard d’euros en quatre ans, pour financer des actions de prévention de trois critères exclus du C2P. Les actions de prévention doivent être ouvertes aux dix critères de pénibilité, donc aussi aux six critères actuels du C2P et à l’inverse le C2P doit comprendre les dix critères.

L’objet de présent amendement vise donc à supprimer cette mention qui est une façon de cliver les dix critères de pénibilité en deux dispositifs différents, les trois critères ergonomiques ne donnant pas accès aux trimestres pour des départs anticipés et le fonds n’étant à l’inverse pas accessible aux 6 critères du C2P.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4167 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Alinéa 24, deuxième phrase

Remplacer mots :

de la branche retraite

par les mots : 

d’une nouvelle exonération de cotisations patronales estimée à 600 millions d’euros

Objet

Cet amendement vise à préciser la trajectoire de la branche Accidents du travail et Maladies professionnelles.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3245

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


Article 6

(Annexe)


Alinéa 26, après la première phrase

Insérer une phrase ainsi rédigée :

À partir de 2023, le solde de la branche pourrait être affecté par les effets démographiques du vieillissement, c’est-à-dire l’augmentation de la taille des générations qui partent à la retraite, mais il convient d’étudier plus précisément la sensibilité du solde à l’évolution de la productivité du travail passé et avenir.

Objet

La présente réforme est souvent justifiée par la dégradation continue du ratio-démographique impactant le régime par répartition. En effet, selon la DREES, le ratio s'établit actuellement à 1,7 cotisants par assurés et devrait diminuer pour atteindre 1,2 en 2030. Outre que ces chiffres tendent à démontrer que la bosse démographique est actuellement en train d'être affrontée et potentiellement dépassée. Le raisonnement partant d'un déficit prochain du nombre de cotisants exclut totalement de l’analyse la production de valeur économique et les gains de productivité réalisés depuis plus de 50 ans. En effet, depuis 1960, si le nombre de cotisants pour un retraité a été divisé par 2,4 (4 cotisants assuraient la pension d’un retraité contre 1,7 aujourd’hui), cela est fortement balancé par la productivité horaire du travail et le Produit Intérieur Brut (PIB) qui ont été multipliés par plus de 5. Cette évolution de la productivité rend donc potentiellement inutile tout report de l’âge de départ à la retraite pour compenser le vieillissement de la population et maintenir un niveau de vie croissant.

Par cet amendement, nous souhaitons une analyse fine de la sensibilité du système de retraite à l’augmentation de la productivité et son type de croissance basé sur l’intensification du travail afin de prévenir ou accompagner de possibles contre-tendance.

 






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4194 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


Article 6

(Annexe)


Alinéa 27

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Cette péréquation inter-branches, notamment le transfert du coût des indemnités journalières liées au congé maternité post natal depuis la branche maladie, est motivée par le statut excédentaire de la branche famille. Cet excédent n’existe que par les différentes mesures d’économies du Gouvernement sur cette branche.

Objet

Par cet amendement, nous souhaitons insister la nature de l'excédent de la branche Famille. Le transfert du coût des indemnités journalières liées au congé maternité post natal (2 milliards d’euros en 2023), les prévisions de solde pour 2023 et 2024 de la branche famille reste excédentaire.

Nous sommes favorables à la péréquation interbranche, à ce que les branches excédentaires aident les déficitaires, mais l’excédent de la branche famille s’est notamment construit sur des mesures d'économies, comme par exemple les coups de rabot sur les APL qui rapporté 9 Mds sur le dernier quinquennat au détriment des plus précaires.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2907 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


Article 6

(Annexe)


Alinéa 29

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

À l’horizon 2026, le Gouvernement propose un plan national pour améliorer les conditions de travail et l’attractivité des métiers dans les établissements et services sociaux et médico-sociaux.

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain entend ouvrir la piste d'un plan gouvernemental sur les conditions de travail et l'attractivité des métiers des établissements et services sociaux et médico-sociaux.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3494

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


Article 6

(Annexe)


Après l'alinéa 29

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

Dans une logique pluriannuelle de lutte contre les violences faites aux femmes, ces prévisions déterminent la trajectoire des finances publiques en matière de prévention et d’accompagnement des femmes victimes de violence

Objet

L'adoption de la proposition de loi visant à créer une aide d'urgence pour les femmes victimes de violences conjugales en première lecture à l'Assemblée à entériner le principe d'une loi de programmation pluriannuelle de lutte contre les violences faites aux femmes.

Elle devra déterminer la trajectoire, des finances publiques en matière de prévention et d’accompagnement des femmes victimes de violence, pour trois périodes successives de cinq ans. Elle se base sur une évaluation des besoins des personnes victimes de violences au sein de leur couple, au sein de leur famille, menacées de mariage forcé ou contraintes de quitter leur logement après des menaces de violence ou des violences subies effectivement. Elle devra définir :

1° Les objectifs de financements publics nécessaires à assurer l’accompagnement psychologique et social ;

2° Les objectifs de financements publics nécessaires à la mise à l’abri via des dispositifs d’hébergement ;

3° À l’échelon régional et départemental, les moyens destinés aux opérateurs de l’action sanitaire, sociale et médico-sociale indispensables à la réalisation de ces objectifs ;

4° Les moyens destinés à la formation des médecins, personnels médicaux et paramédicaux, travailleurs sociaux, aux agents des services de l’état civil, aux agents des services pénitentiaires, aux magistrats, personnels de l’éducation nationale, personnels d’animation sportive, culturelle et de loisirs, personnels de police et de gendarmerie ;

5° Les moyens destinés au 3919 dans l’accomplissement de ses missions.

Dans une logique pluridisciplinaire, les branches familles, maladie et autonomie, seront impactées par cette programmation pluriannuelle.

Le présent amendement a ainsi vocation à anticiper ces conséquences sur leurs trajectoires.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3226

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 6


Après l'article 6

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Il est créé une cotisation exceptionnelle sur les dividendes des établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes privés lucratifs.

Le taux de cette contribution est fixé à 8,55 %. Elle est reversée intégralement à la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie. La contribution est assise sur l’ensemble des dividendes distribués dans les entreprises mentionnées au premier alinéa, réalisés en France ainsi que de ceux dont l’imposition est attribuée à la France par une convention internationale relative aux doubles impositions. Un décret fixe la date et les modalités d’application du présent article.

Objet

Les enquêtes suite au scandale ORPEA complétées des audits des organisations syndicales, ont mis à jour les pratiques délétères des EHPAD privés lucratifs : rationnement de la nourriture et des fournitures médicales, transfert de charges entre sections au détriment des financements publics pour doper la rentabilité financière, pression sur le personnel, opacité quant aux profits tirés de la spéculation immobilière entre autres.

Tandis que les personnes éligibles à l’aide sociale à l’hébergement ont droit à une place à moindre coût, de nombreux établissements privés lucratifs limitent les places habilitées voire s’en exonèrent totalement.

Ainsi, seulement 12 % des places dans les établissements privés lucratifs sont éligibles à l’aide sociale contre 98 % dans les EHPAD publics.

A l’issue des travaux réalisés dans le cadre de la Mission d’Information du Sénat, il apparaît que les taux de profit insolents de ces grands groupes privés lucratifs supérieurs à la moyenne du CAC 40 ne peuvent se réaliser sans des mécanismes de « prédation » appuyés sur les dotations publiques et via « l’industrialisation » de l’accompagnement des personnes âgées.

Les grands groupes à but lucratif « exploitant » des places grâce aux autorisations de fonctionnement délivrées par les ARS se font ainsi les passeurs des actifs au secteur immobilier de santé.

Ainsi, sans aucune prise de risque compte tenu de la transition démographique, des profits s’engrangent au détriment des usagers et des contribuables par le recours à l’optimisation fiscale.

Par cet amendement, nous proposons de taxer à 8,55 % (soit la part patronale de la cotisation vieillesse plafonnée) les dividendes des actionnaires de ces grands groupes en les reversant à la CNSA (Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie).






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4415 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 6


Après l'article 6

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’article L. 241-2 du code de la sécurité sociale est ainsi rédigé :

« Art. L. 241-2. – I. – Les ressources des assurances maladie, maternité, invalidité et décès sont également constituées par des cotisations assises sur :

« 1° Les avantages de retraite, soit qu’ils aient été financés en tout ou partie par une contribution de l’employeur, soit qu’ils aient donné lieu à rachat de cotisations ainsi que les avantages de retraite versés au titre des articles L. 381-1 et L. 742-1, à l’exclusion des bonifications ou majorations pour enfants autres que les annuités supplémentaires ;

« 2° Les allocations et revenus de remplacement mentionnés à l’article L. 131-2 ;

« 3° Le produit de la contribution additionnelle à la contribution sociale de solidarité à la charge des sociétés, prévue par l’article L. 245-13 ;

« 4° Le produit de la contribution mentionnée à l’article L. 137-15.

« Des cotisations forfaitaires peuvent être fixées par arrêté ministériel pour certaines catégories de travailleurs salariés ou assimilés.

« Les cotisations dues au titre des assurances maladie, maternité, invalidité et décès sont à la charge des employeurs et des travailleurs salariés et personnes assimilées ainsi que des titulaires des avantages de retraite et des allocations et revenus de remplacement mentionnés aux 1° et 2° du présent I.

« II. – Les ressources des assurances maladie, maternité, invalidité et décès sont en outre constituées par une fraction égale à 38,81 % du droit de consommation prévu à l’article 575 du code général des impôts. »

Objet

Cet amendement issu de la proposition de loi du groupe CRCE visant à mettre en place 50 mesures pour un véritable bouclier social rétablit les cotisations sociales patronales « ex-CICE » qui grèvent les finances publiques de 22 milliards d’euros par an.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4410 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 6


Après l'article 6

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Après l'article L. 242-10 du code de la sécurité sociale, il est inséré un article L. 242-… ainsi rédigé :

« Art. L. 242-… – Les entreprises, d’au moins vingt salariés dont le nombre de salariés à temps partiel, de moins de vingt-quatre heures, est égal ou supérieur à 20 % du nombre total de salariés de l’entreprise, sont soumises à une majoration de 10 % des cotisations dues par l’employeur au titre des assurances sociales, des accidents du travail et des allocations familiales pour l’ensemble de leurs salariés à temps partiel de moins de vingt-quatre heures. »

Objet

Cet amendement issu de la proposition de loi du groupe CRCE visant à mettre en place 50 mesures pour un véritable bouclier social majore de 10 % les cotisations d’assurance sociale employeur des entreprises de plus de 20 salarié·es comptant dans leurs effectifs au moins 20 % de salarié·es à temps partiel, afin de limiter le recours au temps partiel et inciter les entreprises à recruter en temps complet.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4661

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes Mélanie VOGEL et PONCET MONGE, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 6


Après l’article 6

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Après l’article L. 242-1-2 du code de la sécurité sociale, il est inséré un article L. 242-1-2… ainsi rédigé :

« Art. L. 242-1-2-…. – Pour les entités mentionnées aux 1° et 2° du I de l’article L. 229-25 du code de l’environnement dont le dernier bilan de leurs émissions de gaz à effet de serre établit que leurs émissions sont incompatibles avec le budget carbone établi en vertu de l’article L. 222-1 A du même code ou qui ont omis d’établir ou de transmettre un tel bilan, la partie des cotisations et contributions de sécurité sociale à verser par l’employeur est majorée de 1,5 % pour les quatre années après la publication ou, le cas échéant, le manquement de publication, du budget carbone.

« Le montant des cotisations majorées en vertu du premier alinéa peut dépasser le plafond fixé pour les cotisations et contributions de sécurité sociale.

« Les conditions d’application du présent article sont fixées par décret en Conseil d’État. »

Objet

Cet amendement vise à mettre en place une surcotisation pour les entreprises qui continuent à émettre massivement des gaz à effet de serre.

Force est de constater qu’une partie beaucoup trop grande des entreprises continue d’ignorer la crise climatique et n’entame guère de démarches pour réduire les émissions de gaz à effet de serre. Dans un rapport de février 2021, Oxfam France démontre que si toutes les entreprises émettaient autant que les entreprises du CAC 40, la planète se réchaufferait de 3,5 °C d’ici 2100.

Même le Gouvernement a reconnu qu’il fallait pousser les entreprises à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre et a introduit une obligation pour les entreprises employant plus de 500 personnes (250 dans les régions et départements d’outre-mer) un bilan d’émissions de gaz à effet de serre. Le non-respect de cette obligation n’est cependant pas sanctionné de manière sérieuse, car la seule sanction prévue est une amende qui ne peut pas dépasser 10 000 euros ou 20 000 euros en cas de récidive. Or, ce montant est insignifiant comparé au chiffre d’affaires des entreprises de cette taille. Ainsi, la Convention citoyenne pour le Climat avait déjà demandé d’augmenter le plafond de ces amendes à 2 % du chiffre d’affaires. À l’heure actuelle, aucune sanction n’est prévue pour les entreprises qui, même si elles publient leur bilan carbone, continuent leurs activités climaticides.

Les incitations pour les entreprises à réellement réduire leurs émissions de gaz à effet de serre sont largement insuffisantes. C’est la raison pour laquelle cet amendement vise à augmenter les cotisations et contributions de sécurité sociale pour les entreprises dont le bilan carbone fait apparaître que leurs activités sont incompatibles avec le budget carbone de la France, fixé en vertu des engagements européens et internationaux de réduction des émissions de gaz à effet de serre.

Dans le même temps, cette surcotisation contribue à équilibrer le régime des retraites. Contrairement à ce que s’apprête à mettre en œuvre le Gouvernement, ce rééquilibrage s’effectuerait non pas sur le dos de celles et ceux qui doivent déjà travailler toujours plus, plus longtemps, mais demanderait aux entreprises polluantes de financer davantage notre modèle social.

Cet amendement est en relation directe avec l’article six puisqu’il impacte les recettes de la sécurité sociale.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4413 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 6


Après l'article 6

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. - À la quatrième phrase du 1 de l’article 231 du code général des impôts après le mot : « groupements, » , sont insérés les mots : « des établissements publics hospitaliers, ».

II. – La perte de recettes résultant pour l’État du I est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

Objet

Cet amendement issu de la proposition de loi du groupe CRCE visant à mettre en place 50 mesures pour un véritable bouclier social supprime la taxe sur les salaires des hôpitaux afin de revaloriser la rémunération des soignant·es, recruter massivement et par conséquent améliorer l’accès aux soins.

                                                                                              



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3680

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


DEUXIÈME PARTIE : DISPOSITIONS RELATIVES AUX DÉPENSES DE LA SÉCURITÉ SOCIALE POUR L'EXERCICE 2023


Supprimer cet intitulé.

Objet

L'article 7, mesure la plus impactante et brutale pour la vie de nos concitoyen.nes est l'article clé de cette seconde partie.

Il prévoit notamment le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution par gouvernement qui refuse le débat.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Hélas aucune de ces solutions n'est prévue par la présente Deuxième partie consacrée aux dépenses !

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet partie à la vision étriquée et antisociale.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3395

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


DEUXIÈME PARTIE : DISPOSITIONS RELATIVES AUX DÉPENSES DE LA SÉCURITÉ SOCIALE POUR L'EXERCICE 2023


Rédiger ainsi cet intitulé :

Dispositions imposant aux Françaises et Français de travailler plus, pour gagner moins à la retraite

Objet

Cet amendement a pour objet de rédiger l'intitulé de la Deuxième partie de ce texte de loi de sorte à ce qu'il reflète la réalité de cette contre-réforme, à la fois, injuste et injustifiable.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3396

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


TITRE IER : RECULER L'ÂGE DE DÉPART EN TENANT COMPTE DES SITUATIONS D'USURE PROFESSIONNELLE


Rédiger ainsi cet intitulé :

Préférer supprimer deux années de retraites à l'ensemble des travailleuses et travailleurs, plutôt que de taxer le capital

Objet

Le projet du gouvernement ne permettra :

-       ni d’équilibrer financièrement le système ;

-       ni de préserver le système par répartition ;

-       ni de garantir une retraite minimum de 1 200 € par mois ;

-       … mais aura pour effets : tout le contraire !

En repoussant de deux ans l’âge d’ouverture des droits à la retraite, l’objet de ce texte n’est en effet ni plus ni moins de faire peser l’équilibre du système de retraite sur le dos des travailleur.ses, plutôt que sur le capital.

Les auteur.es de cet amendement pensent qu'il n'y a pas de mal à inscrire ces faits notoires dans la loi.

Tel est l'objet de cet amendement des sénatrices et sénateurs du groupe écologiste.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2312 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Sagesse du Sénat
Adopté

Mmes BONFANTI-DOSSAT et NOËL, MM. BURGOA, SIDO, Henri LEROY, LEVI, CALVET et MIZZON, Mmes BELRHITI et BELLUROT, MM. BASCHER, CADEC, PANUNZI, WATTEBLED et Daniel LAURENT, Mme GARRIAUD-MAYLAM et MM. SOMON, CHATILLON et GREMILLET


TITRE IER : RECULER L'ÂGE DE DÉPART EN TENANT COMPTE DES SITUATIONS D'USURE PROFESSIONNELLE


Compléter ce titre par les mots :

et de la pénibilité effective des métiers

Objet

Cet amendement vise à s'assurer que la pénibilité des métiers sera réellement prise en compte dans le cadre de cette réforme des retraites.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3

18 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme APOURCEAU-POLY


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Par cet amendement, nous nous opposons au relèvement de l’âge légal de départ à 64 ans et à l'augmentation de la durée de cotisation à 43 ans.

Cette réforme impopulaire est rejetée par plus de 80% des français·es et par l'intersyndicale.

Cette réforme injuste amplifiera les inégalités pour les plus pauvres, les femmes, celles et ceux exerçant les métiers les plus durs, et va encore plus précariser les seniors.

Cette réforme est inefficace car le déficit des retraites est temporairement et partiellement résorbé par la réduction des pensions versées et l'accroissement des cotisations salariales.

Contrairement au Gouvernement nous portons un projet de société qui garantisse le droit à la retraite à 60 ans à taux plein avec 37,5 annuités de cotisation en mettant à contribution les employeurs, les revenus financiers, et l'Etat.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4

18 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme COHEN


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Par cet amendement, nous nous opposons au relèvement de l’âge légal de départ à 64 ans et à l'augmentation de la durée de cotisation à 43 ans.

Cette réforme impopulaire est rejetée par plus de 80% des français·es et par l'intersyndicale.

Cette réforme injuste amplifiera les inégalités pour les plus pauvres, les femmes, celles et ceux exerçant les métiers les plus durs, et va encore plus précariser les seniors.

Cette réforme est inefficace car le déficit des retraites est temporairement et partiellement résorbé par la réduction des pensions versées et l'accroissement des cotisations salariales.

Contrairement au Gouvernement nous portons un projet de société qui garantisse le droit à la retraite à 60 ans à taux plein avec 37,5 annuités de cotisation en mettant à contribution les employeurs, les revenus financiers, et l'Etat.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 63 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme PANTEL, MM. ARTANO et BILHAC, Mme Maryse CARRÈRE et MM. CORBISEZ, GOLD, GUÉRINI, GUIOL et ROUX


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement propose de supprimer l'article 7, lequel relève l'âge légal de deux ans et accélère le calendrier de la loi Touraine. Cette mesure est injuste, notamment pour ceux qui exercent des métiers pénibles, qui ont commencé tôt ou qui ont des carrières hachées. Elle est par ailleurs inéquitable et disproportionnée par rapport aux prévisions de déficit du système de retraite.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 132

23 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 133

23 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. GONTARD


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 134

23 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 201

23 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme BLATRIX CONTAT


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

L'ensemble du projet de loi n'a pour objectif que de reculer l'âge légal de la retraite, au nom d'arguments largement contestables. La critique de ceux-ci a longuement et précisément été faite ailleurs. L'article 7 est celui qui, explicitement, organise ce recul. En conséquence et logiquement, en cohérence avec les organisations syndicales de travailleurs représentatives, cet amendement supprime les dispositions les plus régressives comprises dans ce projet de loi.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 243 rect. quater

7 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. Jean-Michel ARNAUD, Mmes de LA PROVÔTÉ et GACQUERRE, M. CANÉVET, Mme MORIN-DESAILLY et MM. DUFFOURG et LEVI


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

L'article 7 prévoit d’une part le relèvement de l’âge légal d’ouverture des droits à retraite à 64 ans à raison de trois mois par génération à compter des assurés nés le 1er septembre 1961, et d’autre part, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’ores et déjà prévue par la loi n° 2014-40 du 20 janvier 2014 tout en conservant la cible de cent soixante-douze trimestres. L’âge d’annulation de la décote est maintenu à 67 ans.

Même si le Gouvernement maintient un dispositif de carrières longues afin que les assurés qui commencent à travailler tôt puissent partir avant 64 ans, certains assurés commençant à travailler très tôt ou les femmes bénéficiant de trimestres acquis au titre de la maternité devront cotiser 44 ans ou plus. Ils devront ainsi travailler plus que la durée de cotisation nécessaire pour le taux plein, c’est-à-dire 172 trimestres.

Il convient donc de supprimer cet article imposant l'âge légal de 64 ans pour que le critère permettant de partir à la retraite à taux plein soit uniquement la durée de cotisation. Ainsi, toute personne pourra prendre sa retraite dès lors qu'elle a acquis 172 trimestres.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 291

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. FÉRAUD


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation.

Les sénateurs socialistes sont profondément opposés à cette réforme, qui n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.

Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.

Cette réforme, c’est bien la retraite pour les morts !

Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles.

Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Il préfère tuer à la tâche les travailleuses et les travailleurs aux métiers les plus durs que faire payer ces sommes à leurs employeurs dont il a choisi de faire baisser les prélèvements de 18 milliards par an en l’espace de deux ans. Voilà la vérité cruelle de cette réforme injuste ! Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.

En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va enfin précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’aient donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - ait un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?

Face à ce projet de loi de régression sociale terrible, les sénateurs socialistes écologistes et républicains combattrons pied à pied le Gouvernement et sa réforme injuste, inutile et inefficace.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 323

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. PLA


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation.
Les sénateurs socialistes sont profondément opposés à cette réforme, qui n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.
Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.
Cette réforme, c’est bien la retraite pour les morts !
Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles.
Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Il préfère tuer à la tâche les travailleuses et les travailleurs aux métiers les plus durs que faire payer ces sommes à leurs employeurs dont il a choisi de faire baisser les prélèvements de 18 milliards par an en l’espace de deux ans. Voilà la vérité cruelle de cette réforme injuste ! Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.

En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va enfin précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’aient donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - ait un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?
Face à ce projet de loi de régression sociale terrible, les sénateurs socialistes écologistes et républicains combattrons pied à pied le Gouvernement et sa réforme injuste, inutile et inefficace.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 352

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme BRIQUET


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation.

Les sénateurs socialistes sont profondément opposés à cette réforme, qui n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.

Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne – celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire – à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.

Cette réforme, c’est bien la retraite pour les morts !

Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles.

Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Il préfère tuer à la tâche les travailleuses et les travailleurs aux métiers les plus durs que faire payer ces sommes à leurs employeurs dont il a choisi de faire baisser les prélèvements de 18 milliards par an en l’espace de deux ans. Voilà la vérité cruelle de cette réforme injuste ! Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.

En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme – en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA – va enfin précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’aient donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme – un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat – ait un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?

Face à ce projet de loi de régression sociale terrible, l’auteur de cet amendement combattra pied à pied le Gouvernement et sa réforme injuste, inutile et inefficace.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 377

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme FÉRET


ARTICLE 7


Supprimer cet article. 

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et à ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation.

Les Sénateurs socialistes sont profondément opposés à cette réforme, qui n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.

Pour financer les baisses d’impôts des ménages les plus riches et des grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.

Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles, comme instaurer une surcotisation sur les plus hauts salaires.

En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’auront donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - aura un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?

Il s'agit donc ici de supprimer l'article phare d'un projet de loi de régression sociale inacceptable. 

 






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 460

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. FICHET


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation.

Les sénateurs socialistes sont profondément opposés à cette réforme, qui n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.

Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.

Cette réforme, c’est bien la retraite pour les morts !

Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles.

Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Il préfère tuer à la tâche les travailleuses et les travailleurs aux métiers les plus durs que faire payer ces sommes à leurs employeurs dont il a choisi de faire baisser les prélèvements de 18 milliards par an en l’espace de deux ans. Voilà la vérité cruelle de cette réforme injuste ! Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.

En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va enfin précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’aient donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - ait un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?

Face à ce projet de loi de régression sociale terrible, les sénateurs socialistes écologistes et républicains combattront pied à pied le Gouvernement et sa réforme injuste, inutile et inefficace.

 

 

 






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 485

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme VAN HEGHE


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation.

Les sénateurs socialistes sont profondément opposés à cette réforme, qui n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.

Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.

Cette réforme, c’est bien la retraite pour les morts !

Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles.

Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Il préfère tuer à la tâche les travailleuses et les travailleurs aux métiers les plus durs que faire payer ces sommes à leurs employeurs dont il a choisi de faire baisser les prélèvements de 18 milliards par an en l’espace de deux ans. Voilà la vérité cruelle de cette réforme injuste ! Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.

En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va enfin précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’aient donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - ait un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?

Face à ce projet de loi de régression sociale terrible, les sénateurs socialistes écologistes et républicains combattront pied à pied le Gouvernement et sa réforme injuste, inutile et inefficace.

 

 

 






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 491

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme HARRIBEY


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation.

Les sénateurs socialistes sont profondément opposés à cette réforme, qui n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.

Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.

Cette réforme, c’est bien la retraite pour les morts !

Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles.

Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Il préfère tuer à la tâche les travailleuses et les travailleurs aux métiers les plus durs que faire payer ces sommes à leurs employeurs dont il a choisi de faire baisser les prélèvements de 18 milliards par an en l’espace de deux ans. Voilà la vérité cruelle de cette réforme injuste ! Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.

En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va enfin précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’aient donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - ait un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?

Face à ce projet de loi de régression sociale terrible, les sénateurs socialistes écologistes et républicains combattrons pied à pied le Gouvernement et sa réforme injuste, inutile et inefficace.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 529

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. GILLÉ


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation.

Les sénateurs socialistes sont profondément opposés à cette réforme, qui n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.

Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.

Cette réforme, c’est bien la retraite pour les morts !

Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles.

Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Il préfère tuer à la tâche les travailleuses et les travailleurs aux métiers les plus durs que faire payer ces sommes à leurs employeurs dont il a choisi de faire baisser les prélèvements de 18 milliards par an en l’espace de deux ans. Voilà la vérité cruelle de cette réforme injuste ! Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.

En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va enfin précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’aient donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - ait un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?

Face à ce projet de loi de régression sociale terrible, les sénateurs socialistes écologistes et républicains combattrons pied à pied le Gouvernement et sa réforme injuste, inutile et inefficace.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 550

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. MICHAU


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation.

Les sénateurs socialistes sont profondément opposés à cette réforme, qui n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.

Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.

Cette réforme, c’est bien la retraite pour les morts !

Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles.

Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Il préfère tuer à la tâche les travailleuses et les travailleurs aux métiers les plus durs que faire payer ces sommes à leurs employeurs dont il a choisi de faire baisser les prélèvements de 18 milliards par an en l’espace de deux ans. Voilà la vérité cruelle de cette réforme injuste ! Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.

En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va enfin précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’aient donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - ait un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?

Face à ce projet de loi de régression sociale terrible, les sénateurs socialistes écologistes et républicains combattrons pied à pied le Gouvernement et sa réforme injuste, inutile et inefficace.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 590

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. REDON-SARRAZY


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation.

Les sénateurs socialistes sont profondément opposés à cette réforme, qui n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.

Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.

Cette réforme, c’est bien la retraite pour les morts !

Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles.

Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Il préfère tuer à la tâche les travailleuses et les travailleurs aux métiers les plus durs que faire payer ces sommes à leurs employeurs dont il a choisi de faire baisser les prélèvements de 18 milliards par an en l’espace de deux ans. Voilà la vérité cruelle de cette réforme injuste ! Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.

En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va enfin précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’aient donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - ait un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?

Face à ce projet de loi de régression sociale terrible, les sénateurs socialistes écologistes et républicains combattrons pied à pied le Gouvernement et sa réforme injuste, inutile et inefficace.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 619

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. DEVINAZ


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation.

Les sénateurs socialistes sont profondément opposés à cette réforme, qui n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.

Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.

Cette réforme, c’est bien la retraite pour les morts !

Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles.

Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Il préfère tuer à la tâche les travailleuses et les travailleurs aux métiers les plus durs que faire payer ces sommes à leurs employeurs dont il a choisi de faire baisser les prélèvements de 18 milliards par an en l’espace de deux ans. Voilà la vérité cruelle de cette réforme injuste ! Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.

En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va enfin précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’aient donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - ait un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?

Face à ce projet de loi de régression sociale terrible, les sénateurs socialistes écologistes et républicains combattrons pied à pied le Gouvernement et sa réforme injuste, inutile et inefficace.






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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 637

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. CHANTREL


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation.

Les sénateurs et sénatrices socialistes sont profondément opposés à cette réforme, qui n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.

Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.

Cette réforme, c’est bien la retraite pour les morts !

Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles.

Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Il préfère tuer à la tâche les travailleuses et les travailleurs aux métiers les plus durs que faire payer ces sommes à leurs employeurs dont il a choisi de faire baisser les prélèvements de 18 milliards par an en l’espace de deux ans. Voilà la vérité cruelle de cette réforme injuste ! Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.

En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va enfin précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’aient donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - ait un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?

Face à ce projet de loi de régression sociale terrible, les sénateurs et sénatrices socialistes écologistes et républicains combattrons pied à pied le Gouvernement et sa réforme injuste, inutile et inefficace.






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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 677

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LE HOUEROU


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation.

Les sénateurs socialistes sont profondément opposés à cette réforme, qui n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.

Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.

Cette réforme, c’est bien la retraite pour les morts !

Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles.

Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Il préfère tuer à la tâche les travailleuses et les travailleurs aux métiers les plus durs que faire payer ces sommes à leurs employeurs dont il a choisi de faire baisser les prélèvements de 18 milliards par an en l’espace de deux ans. Voilà la vérité cruelle de cette réforme injuste ! Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.

En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va enfin précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’aient donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - ait un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?

Face à ce projet de loi de régression sociale terrible, les sénateurs socialistes écologistes et républicains combattrons pied à pied le Gouvernement et sa réforme injuste, inutile et inefficace.






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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 737

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. Mickaël VALLET


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation.

Les sénateurs socialistes sont profondément opposés à cette réforme, qui n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.

Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.

Cette réforme, c’est bien la retraite pour les morts !

Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles.

Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Il préfère tuer à la tâche les travailleuses et les travailleurs aux métiers les plus durs que faire payer ces sommes à leurs employeurs dont il a choisi de faire baisser les prélèvements de 18 milliards par an en l’espace de deux ans. Voilà la vérité cruelle de cette réforme injuste ! Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.

En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va enfin précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’aient donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - ait un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?

Face à ce projet de loi de régression sociale terrible, les sénateurs socialistes écologistes et républicains combattrons pied à pied le Gouvernement et sa réforme injuste, inutile et inefficace.






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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 787

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme de LA GONTRIE


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation.

Cette réforme n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.

Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.

Cette réforme, c’est bien la retraite pour les morts !

Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles.

Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Il préfère tuer à la tâche les travailleuses et les travailleurs aux métiers les plus durs que faire payer ces sommes à leurs employeurs dont il a choisi de faire baisser les prélèvements de 18 milliards par an en l’espace de deux ans. Voilà la vérité cruelle de cette réforme injuste ! Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.

En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va enfin précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’aient donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - ait un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?






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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 832

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. LOZACH


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation.

Les sénateurs socialistes sont profondément opposés à cette réforme, qui n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.

Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.

Cette réforme, c’est bien la retraite pour les morts !

Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles.

Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Il préfère tuer à la tâche les travailleuses et les travailleurs aux métiers les plus durs que faire payer ces sommes à leurs employeurs dont il a choisi de faire baisser les prélèvements de 18 milliards par an en l’espace de deux ans. Voilà la vérité cruelle de cette réforme injuste ! Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.

En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va enfin précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’aient donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - ait un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?

Face à ce projet de loi de régression sociale terrible, les sénateurs socialistes écologistes et républicains combattrons pied à pied le Gouvernement et sa réforme injuste, inutile et inefficace.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 850

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. JACQUIN


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation.

Les sénateurs socialistes sont profondément opposés à cette réforme, qui n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.

Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.

Cette réforme, c’est bien la retraite pour les morts !

Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles.

Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Il préfère tuer à la tâche les travailleuses et les travailleurs aux métiers les plus durs que faire payer ces sommes à leurs employeurs dont il a choisi de faire baisser les prélèvements de 18 milliards par an en l’espace de deux ans. Voilà la vérité cruelle de cette réforme injuste ! Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.

En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va enfin précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’aient donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - ait un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?

Face à ce projet de loi de régression sociale terrible, les sénateurs socialistes écologistes et républicains combattrons pied à pied le Gouvernement et sa réforme injuste, inutile et inefficace.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 872

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. DURAIN


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation.

Les sénateurs socialistes sont profondément opposés à cette réforme, qui n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.

Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.

Cette réforme, c’est bien la retraite pour les morts !

Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles.

Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Il préfère tuer à la tâche les travailleuses et les travailleurs aux métiers les plus durs que faire payer ces sommes à leurs employeurs dont il a choisi de faire baisser les prélèvements de 18 milliards par an en l’espace de deux ans. Voilà la vérité cruelle de cette réforme injuste ! Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.

En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va enfin précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’aient donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - ait un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?

Face à ce projet de loi de régression sociale terrible, les sénateurs socialistes écologistes et républicains combattrons pied à pied le Gouvernement et sa réforme injuste, inutile et inefficace.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 909

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. LUREL


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation.

Les sénateurs socialistes sont profondément opposés à cette réforme, qui n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.

Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.

Cette réforme, c’est bien la retraite pour les morts !

Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles.

Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Il préfère tuer à la tâche les travailleuses et les travailleurs aux métiers les plus durs que faire payer ces sommes à leurs employeurs dont il a choisi de faire baisser les prélèvements de 18 milliards par an en l’espace de deux ans. Voilà la vérité cruelle de cette réforme injuste ! Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.

En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va enfin précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’aient donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - ait un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?

Face à ce projet de loi de régression sociale terrible, les sénateurs socialistes écologistes et républicains combattrons pied à pied le Gouvernement et sa réforme injuste, inutile et inefficace.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 935

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme ARTIGALAS


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation.

Les sénateurs socialistes sont profondément opposés à cette réforme, qui n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.

Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.

Cette réforme, c’est bien la retraite pour les morts !

Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles.

Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Il préfère tuer à la tâche les travailleuses et les travailleurs aux métiers les plus durs que faire payer ces sommes à leurs employeurs dont il a choisi de faire baisser les prélèvements de 18 milliards par an en l’espace de deux ans. Voilà la vérité cruelle de cette réforme injuste ! Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.

En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va enfin précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’aient donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - ait un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?

Face à ce projet de loi de régression sociale terrible, les sénateurs socialistes écologistes et républicains combattrons pied à pied le Gouvernement et sa réforme injuste, inutile et inefficace.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 952

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. CARDON


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation.
Les sénateurs socialistes sont profondément opposés à cette réforme, qui n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.

Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.
Cette réforme, c’est bien la retraite pour les morts !

Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles.

Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Il préfère tuer à la tâche les travailleuses et les travailleurs aux métiers les plus durs que faire payer ces sommes à leurs employeurs dont il a choisi de faire baisser les prélèvements de 18 milliards par an en l’espace de deux ans. Voilà la vérité cruelle de cette réforme injuste ! Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.

En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va enfin précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’aient donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - ait un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?

Face à ce projet de loi de régression sociale terrible, les sénateurs socialistes écologistes et républicains combattrons pied à pied le Gouvernement et sa réforme injuste, inutile et inefficace.






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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 989

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. RAYNAL


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite.

Les sénateurs socialistes sont profondément opposés à cette réforme, qui n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.

Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote.

Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles.

Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Il préfère tuer à la tâche les travailleuses et les travailleurs aux métiers les plus durs que faire payer ces sommes à leurs employeurs dont il a choisi de faire baisser les prélèvements de 18 milliards par an en l’espace de deux ans. Voilà la vérité cruelle de cette réforme injuste ! Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.

En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va enfin précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’aient donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - ait un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?

Face à ce projet de loi de régression sociale terrible, les sénateurs socialistes écologistes et républicains combattrons pied à pied le Gouvernement et sa réforme injuste, inutile et inefficace.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1026

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. ROGER


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation.

Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.

Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.

En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va enfin précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois.

Face à ce projet de loi de régression sociale terrible, les sénateurs socialistes écologistes et républicains combattrons pied à pied le Gouvernement et sa réforme injuste, inutile et inefficace.






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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1038

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme Gisèle JOURDA


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation.


Les sénateurs socialistes sont profondément opposés à cette réforme, qui n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.
Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.

Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles. Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Il préfère tuer à la tâche les travailleuses et les travailleurs aux métiers les plus durs que faire payer ces sommes à leurs employeurs dont il a choisi de faire baisser les prélèvements de 18 milliards par an en l’espace de deux ans. Voilà la vérité cruelle de cette réforme injuste ! Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.

En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va enfin précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’aient donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - ait un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?

Face à ce projet de loi de régression sociale terrible, les sénateurs socialistes écologistes et républicains combattrons pied à pied le Gouvernement et sa réforme injuste, inutile et inefficace.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1081

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. TISSOT


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation.

Les sénateurs socialistes sont profondément opposés à cette réforme, qui n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.

Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.

Cette réforme, c’est bien la retraite pour les morts !

Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles.

Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Il préfère tuer à la tâche les travailleuses et les travailleurs aux métiers les plus durs que faire payer ces sommes à leurs employeurs dont il a choisi de faire baisser les prélèvements de 18 milliards par an en l’espace de deux ans. Voilà la vérité cruelle de cette réforme injuste ! Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.

En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va enfin précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’aient donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - ait un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?

Face à ce projet de loi de régression sociale terrible, les sénateurs socialistes écologistes et républicains combattrons pied à pied le Gouvernement et sa réforme injuste, inutile et inefficace.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1094

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. HOULLEGATTE


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation.
Cet amendement s'oppose de façon profondément ferme à cette réforme, qui n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.
Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.
Cette réforme, c’est bien la retraite pour les morts !
Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles.
Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Il préfère tuer à la tâche les travailleuses et les travailleurs aux métiers les plus durs que faire payer ces sommes à leurs employeurs dont il a choisi de faire baisser les prélèvements de 18 milliards par an en l’espace de deux ans. Voilà la vérité cruelle de cette réforme injuste ! Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.
En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va enfin précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’aient donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - ait un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?
Face à ce projet de loi de régression sociale terrible, les sénateurs socialistes écologistes et républicains combattrons pied à pied le Gouvernement et sa réforme injuste, inutile et inefficace.






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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1107

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. ÉBLÉ


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation.

Les sénateurs socialistes sont profondément opposés à cette réforme, qui n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.

Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.

Cette réforme, c’est bien la retraite pour les morts !

Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles.

Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Il préfère tuer à la tâche les travailleuses et les travailleurs aux métiers les plus durs que faire payer ces sommes à leurs employeurs dont il a choisi de faire baisser les prélèvements de 18 milliards par an en l’espace de deux ans. Voilà la vérité cruelle de cette réforme injuste ! Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.

En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va enfin précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’aient donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - ait un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?

Face à ce projet de loi de régression sociale terrible, les sénateurs socialistes écologistes et républicains combattrons pied à pied le Gouvernement et sa réforme injuste, inutile et inefficace.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1157 rect. bis

4 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation.

Les sénateurs socialistes sont profondément opposés à cette réforme, qui n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.

Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.

Cette réforme, c’est bien la retraite pour les morts !

Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles.

Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Il préfère tuer à la tâche les travailleuses et les travailleurs aux métiers les plus durs que faire payer ces sommes à leurs employeurs dont il a choisi de faire baisser les prélèvements de 18 milliards par an en l’espace de deux ans. Voilà la vérité cruelle de cette réforme injuste ! Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.

En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va enfin précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’aient donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - ait un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?

Face à ce projet de loi de régression sociale terrible, les sénateurs socialistes écologistes et républicains combattrons pied à pied le Gouvernement et sa réforme injuste, inutile et inefficace.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1191

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme Sylvie ROBERT


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation.


Les sénateurs socialistes sont profondément opposés à cette réforme :


Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.

Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles.


Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Il préfère tuer à la tâche les travailleuses et les travailleurs aux métiers les plus durs que faire payer ces sommes à leurs employeurs dont il a choisi de faire baisser les prélèvements de 18 milliards par an en l’espace de deux ans. Voilà la vérité cruelle de cette réforme injuste ! Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.


En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va enfin précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’aient donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - ait un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?


Face à ce projet de loi de régression sociale terrible, les sénateurs socialistes écologistes et républicains combattront pied à pied le Gouvernement et sa réforme injuste, inutile et inefficace.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1216

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. MÉRILLOU


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation.

Les sénateurs socialistes sont profondément opposés à cette réforme, qui n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.

Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux que nous avons applaudis à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.

Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles.

Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Il préfère tuer à la tâche les travailleuses et les travailleurs aux métiers les plus durs que faire payer ces sommes à leurs employeurs dont il a choisi de faire baisser les prélèvements de 18 milliards par an en l’espace de deux ans. Voilà la vérité cruelle de cette réforme injuste ! Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.

En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va enfin précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’ont donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - aura un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?

Face à ce projet de loi de régression sociale, les sénateurs socialistes écologistes et républicains combattront pied à pied le Gouvernement et sa réforme injuste, inutile et inefficace.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1245

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme JASMIN


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Par cet amendement , il s’agit de ne pas appliquer le recul de l'âge de départ à la retraite dans les collectivités des Outre-mer.

"Dans les territoires d’Outre-mer, comme il y a des inégalités, il y a un taux de chômage qui est beaucoup plus important des jeunes et également des seniors, et des qualifications qui sont moindres et donc des niveaux de revenus plus bas. Cela va mécaniquement faire que les gens vont travailler plus longtemps pour avoir le même niveau de pension.

En effet, dans les Outre-mer, l'âge moyen de départ à la retraite est déjà plus tardif, entre 64,3 ans à La Réunion et 65 ans en Guyane, contre 62,7 ans dans l'hexagone (CNAV, 2021).

Ce n'est pas pour le plaisir, mais bien pour ne pas partir avec des pension trop faibles que ces départs sont plus tardifs, du fait de carrières moins stables que dans l'hexagone (interruptions de carrière plus nombreuses, emploi informel).

L'entrée tardive en activité s'explique également par le fort taux de chômage chez les jeunes : en Guadeloupe près d'un actif de moins de 30 ans sur deux est au chômage (47%), non loin devant La Réunion (42%) selon l'INSEE en 2019.

La difficulté à accumuler le nombre de points nécessaires pour une carrière complète est d'autant plus dommageable face à la plus faible espérance de vie des populations ultra-marines. L'espérance de vie à la naissance en 2021 pour les femmes est de 73,9 ans à Mayotte, 80 en Guyane, jusqu'à 83,4 à La Réunion contre 85,5 ans dans l'hexagone. Pour les hommes, entre 68,1 ans à Wallis et Futuna, 72,9 ans en Guadeloupe et jusqu'à 76,7 ans à La Réunion, contre 79,5 ans dans l'hexagone. La faible espérance de vie à 60 ans se double d'une majorité d'années en mauvaise santé dans ces collectivités.

Suite logique, les pensions y sont plus faibles que dans l'hexagone. Un retraité ultramarin touche en moyenne une pension inférieure de 10% à 17% à un senior de l'hexagone. Cela est aussi dû au fait que les emplois y sont moins qualifiés (ouvriers et employés).

La présente réforme des retraites va aggraver ces inégalités préexistantes entre les Outre-mer et l'hexagone. La grande pauvreté, couplant pauvreté monétaire et privations matérielles et sociales sévères, y est 5 à 15 fois plus fréquente (INSEE, 2022) et elle touche entre 9% (Martinique) et 15% (Guyane) des retraités ultra-marins contre 1% dans l'hexagone. Alors que la population y vieillit déjà plus rapidement, la présente réforme des retraites va aggraver les situations de pauvreté et de précarité des retraités ultramarins, en reculant encore l'âge de départ et la durée de cotisations. Reculer l'âge de départ à la retraite dans ces collectivités, c'est condamner ces populations à travailler jusqu'à la mort, c'est ne leur faire rien connaître de plus que la précarité et le travail, et y aggraver la surmortalité."






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1289

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. MONTAUGÉ


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation.

Les sénateurs socialistes sont profondément opposés à cette réforme, qui n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.

Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.

Cette réforme, c’est bien la retraite pour les morts !

Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles.

Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Il préfère tuer à la tâche les travailleuses et les travailleurs aux métiers les plus durs que faire payer ces sommes à leurs employeurs dont il a choisi de faire baisser les prélèvements de 18 milliards par an en l’espace de deux ans. Voilà la vérité cruelle de cette réforme injuste ! Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.

En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va enfin précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’aient donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - ait un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?

Face à ce projet de loi de régression sociale terrible, les sénateurs socialistes écologistes et républicains combattrons pied à pied le Gouvernement et sa réforme injuste, inutile et inefficace.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1325

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme PRÉVILLE


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation.

Les sénateurs socialistes sont profondément opposés à cette réforme, qui n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.

Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.

Cette réforme, c’est bien la retraite pour les morts !

Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles.

Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Il préfère tuer à la tâche les travailleuses et les travailleurs aux métiers les plus durs que faire payer ces sommes à leurs employeurs dont il a choisi de faire baisser les prélèvements de 18 milliards par an en l’espace de deux ans. Voilà la vérité cruelle de cette réforme injuste ! Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.

En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va enfin précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’aient donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - ait un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?

Face à ce projet de loi de régression sociale terrible, les sénateurs socialistes écologistes et républicains combattrons pied à pied le Gouvernement et sa réforme injuste, inutile et inefficace.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1355

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. MARIE


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

L'objet de cet amendement est ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et de ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine.

Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation.

Les sénateurs socialistes sont profondément opposés à cette réforme, qui n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.

Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.

Cette réforme, c’est bien la retraite pour les morts !

Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles.

Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Il préfère tuer à la tâche les travailleuses et les travailleurs aux métiers les plus durs que faire payer ces sommes à leurs employeurs dont il a choisi de faire baisser les prélèvements de 18 milliards par an en l’espace de deux ans. Voilà la vérité cruelle de cette réforme injuste ! Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.

En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va enfin précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’aient donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - ait un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?

Face à ce projet de loi de régression sociale terrible, les sénateurs socialistes écologistes et républicains combattrons pied à pied le Gouvernement et sa réforme injuste, inutile et inefficace.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1382

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. BOURGI


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation.

Les sénateurs socialistes sont profondément opposés à cette réforme, qui n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.

Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.

Cette réforme, c’est bien la retraite pour les morts !

Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles.

Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Il préfère tuer à la tâche les travailleuses et les travailleurs aux métiers les plus durs que faire payer ces sommes à leurs employeurs dont il a choisi de faire baisser les prélèvements de 18 milliards par an en l’espace de deux ans. Voilà la vérité cruelle de cette réforme injuste ! Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.

En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va enfin précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’aient donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - ait un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?

Face à ce projet de loi de régression sociale terrible, les sénateurs socialistes écologistes et républicains combattrons pied à pied le Gouvernement et sa réforme injuste, inutile et inefficace.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1400

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. STANZIONE


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Mis en avant par l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le caractère injuste et injustifié de cet réforme retraites ne semble pas stopper le Gouvernement qui s’obstine à vouloir décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation.

Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans. Cette réforme n’est ni plus ni moins qu'un impôt sur la vie des Français !
Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles.
Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Il préfère tuer à la tâche les travailleuses et les travailleurs aux métiers les plus durs que faire payer ces sommes à leurs employeurs dont il a choisi de faire baisser les prélèvements de 18 milliards par an en l’espace de deux ans. Voilà la vérité cruelle de cette réforme injuste ! Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.
En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va enfin précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’aient donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - ait un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?
Face à ce projet de loi de régression sociale terrible, les sénateurs socialistes écologistes et républicains combattrons pied à pied le Gouvernement et sa réforme injuste, inutile et inefficace.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1421

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. SUEUR


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation.

L'auteur de cet amendement est profondément opposé à cette réforme, qui n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.

Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.

Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles.

Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Il préfère tuer à la tâche les travailleuses et les travailleurs aux métiers les plus durs que faire payer ces sommes à leurs employeurs dont il a choisi de faire baisser les prélèvements de 18 milliards par an en l’espace de deux ans. Voilà la vérité cruelle de cette réforme injuste ! Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.

En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’aient donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - ait un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1445

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. KERROUCHE


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites.

Les sénateurs socialistes sont profondément opposés à cette réforme, qui n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.

Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.

Cette réforme, c’est bien la retraite pour les morts !

Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles.

Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Il préfère tuer à la tâche les travailleuses et les travailleurs aux métiers les plus durs que faire payer ces sommes à leurs employeurs dont il a choisi de faire baisser les prélèvements de 18 milliards par an en l’espace de deux ans. Voilà la vérité cruelle de cette réforme injuste ! Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.

En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n'ont donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que la proposition du Gouvernement - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - ait un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?

Face à ce projet de loi de régression sociale terrible, les sénateurs socialistes écologistes et républicains combattrons pied à pied le Gouvernement et sa réforme injuste, inutile et inefficace.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1477

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme CONWAY-MOURET


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation.

Les sénateurs socialistes sont profondément opposés à cette réforme, qui n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.

Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.

Cette réforme, c’est bien la retraite pour les morts !

Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles.

Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Il préfère tuer à la tâche les travailleuses et les travailleurs aux métiers les plus durs que faire payer ces sommes à leurs employeurs dont il a choisi de faire baisser les prélèvements de 18 milliards par an en l’espace de deux ans. Voilà la vérité cruelle de cette réforme injuste ! Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.

En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va enfin précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’aient donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - ait un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?

Face à ce projet de loi de régression sociale terrible, les sénateurs socialistes écologistes et républicains combattrons pied à pied le Gouvernement et sa réforme injuste, inutile et inefficace.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1513

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme Martine FILLEUL


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation.


Les sénateurs socialistes sont profondément opposés à cette réforme, qui n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.


Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.


Cette réforme, c’est bien la retraite pour les morts !


Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles.


Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Il préfère tuer à la tâche les travailleuses et les travailleurs aux métiers les plus durs que faire payer ces sommes à leurs employeurs dont il a choisi de faire baisser les prélèvements de 18 milliards par an en l’espace de deux ans. Voilà la vérité cruelle de cette réforme injuste ! Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.


En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va enfin précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’aient donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - ait un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?

Face à ce projet de loi de régression sociale terrible, les sénateurs socialistes écologistes et républicains combattrons pied à pied le Gouvernement et sa réforme injuste, inutile et inefficace.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1551

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme MONIER


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation.

Les sénateurs socialistes sont profondément opposés à cette réforme, qui n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.

Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.

Cette réforme, c’est bien la retraite pour les morts !

Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles.

Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Il préfère tuer à la tâche les travailleuses et les travailleurs aux métiers les plus durs que faire payer ces sommes à leurs employeurs dont il a choisi de faire baisser les prélèvements de 18 milliards par an en l’espace de deux ans. Voilà la vérité cruelle de cette réforme injuste ! Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.

En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va enfin précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’aient donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - ait un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?

Face à ce projet de loi de régression sociale terrible, les sénateurs socialistes écologistes et républicains combattrons pied à pied le Gouvernement et sa réforme injuste, inutile et inefficace.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1568

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme CARLOTTI


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation.
Les sénateurs socialistes sont profondément opposés à cette réforme, qui n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.
Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.
Cette réforme, c’est bien la retraite pour les morts !
Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles.
Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Il préfère tuer à la tâche les travailleuses et les travailleurs aux métiers les plus durs que faire payer ces sommes à leurs employeurs dont il a choisi de faire baisser les prélèvements de 18 milliards par an en l’espace de deux ans. Voilà la vérité cruelle de cette réforme injuste ! Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.
En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va enfin précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’aient donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - ait un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?
Face à ce projet de loi de régression sociale terrible, les sénateurs socialistes écologistes et républicains combattrons pied à pied le Gouvernement et sa réforme injuste, inutile et inefficace.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1601

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. Joël BIGOT


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement  vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation, soit l'instauration d'un véritable impôt sur la vie.

Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1631

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme POUMIROL


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation.

Les sénateurs socialistes sont profondément opposés à cette réforme, qui n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.

Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.

Cette réforme, c’est bien la retraite pour les morts !

Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles.

Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Il préfère tuer à la tâche les travailleuses et les travailleurs aux métiers les plus durs que faire payer ces sommes à leurs employeurs dont il a choisi de faire baisser les prélèvements de 18 milliards par an en l’espace de deux ans. Voilà la vérité cruelle de cette réforme injuste ! Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.

En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va enfin précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’aient donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - ait un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?

Face à ce projet de loi de régression sociale terrible, les sénateurs socialistes écologistes et républicains combattrons pied à pied le Gouvernement et sa réforme injuste, inutile et inefficace.






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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1702

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. LECONTE


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation.

Il y a donc une forte opposition à cette réforme, qui n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.

Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.

Cette réforme, c’est bien la retraite pour les morts !

Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles.

Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Il préfère tuer à la tâche les travailleuses et les travailleurs aux métiers les plus durs que faire payer ces sommes à leurs employeurs dont il a choisi de faire baisser les prélèvements de 18 milliards par an en l’espace de deux ans. Voilà la vérité cruelle de cette réforme injuste ! Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.

En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va enfin précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’aient donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - ait un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?






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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1705

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. BOUAD


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation.

Les sénateurs socialistes sont profondément opposés à cette réforme, qui n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.

Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.

Cette réforme, c’est bien la retraite pour les morts !

Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles.

Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Il préfère tuer à la tâche les travailleuses et les travailleurs aux métiers les plus durs que faire payer ces sommes à leurs employeurs dont il a choisi de faire baisser les prélèvements de 18 milliards par an en l’espace de deux ans. Voilà la vérité cruelle de cette réforme injuste ! Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.

En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va enfin précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’aient donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - ait un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?

Face à ce projet de loi de régression sociale terrible, les sénateurs socialistes écologistes et républicains combattrons pied à pied le Gouvernement et sa réforme injuste, inutile et inefficace.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1758

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme MEUNIER


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation.

Les sénateurs socialistes sont profondément opposés à cette réforme, qui n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.

Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.

Cette réforme, c’est bien la retraite pour les morts !

Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles.

Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Il préfère tuer à la tâche les travailleuses et les travailleurs aux métiers les plus durs que faire payer ces sommes à leurs employeurs dont il a choisi de faire baisser les prélèvements de 18 milliards par an en l’espace de deux ans. Voilà la vérité cruelle de cette réforme injuste ! Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.

En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va enfin précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’aient donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - ait un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?

Face à ce projet de loi de régression sociale terrible, les sénateurs socialistes écologistes et républicains combattrons pied à pied le Gouvernement et sa réforme injuste, inutile et inefficace.






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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1777

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. TODESCHINI


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation.

Les sénateurs socialistes sont profondément opposés à cette réforme, qui n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.

Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.

Cette réforme, c’est bien la retraite pour les morts !

Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles.

Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Il préfère tuer à la tâche les travailleuses et les travailleurs aux métiers les plus durs que faire payer ces sommes à leurs employeurs dont il a choisi de faire baisser les prélèvements de 18 milliards par an en l’espace de deux ans. Voilà la vérité cruelle de cette réforme injuste ! Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.

En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va enfin précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’aient donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - ait un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?

Face à ce projet de loi de régression sociale terrible, les sénateurs socialistes écologistes et républicains combattrons pied à pied le Gouvernement et sa réforme injuste, inutile et inefficace.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1798

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. JOMIER


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation.

Les sénateurs socialistes sont profondément opposés à cette réforme, qui n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.

Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.

Cette réforme, c’est bien la retraite pour les morts !

Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles.

Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Il préfère tuer à la tâche les travailleuses et les travailleurs aux métiers les plus durs que faire payer ces sommes à leurs employeurs dont il a choisi de faire baisser les prélèvements de 18 milliards par an en l’espace de deux ans. Voilà la vérité cruelle de cette réforme injuste ! Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.

En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va enfin précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’aient donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - ait un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?

Face à ce projet de loi de régression sociale terrible, les sénateurs socialistes écologistes et républicains combattrons pied à pied le Gouvernement et sa réforme injuste, inutile et inefficace.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1828

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. KANNER


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener cette réforme injuste des retraites. L'article 7 prévoit de décaler l’âge légal de départ à la retraite et d'augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation. Cette réforme n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.

C'est pourquoi cet amendement propose la suppression de ce décalage de l'age légal de départ à la retraite.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1855

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. ASSOULINE


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation.

Les sénateurs socialistes sont profondément opposés à cette réforme, qui n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.

Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.

Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles.

Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Il préfère tuer à la tâche les travailleuses et les travailleurs aux métiers les plus durs que faire payer ces sommes à leurs employeurs dont il a choisi de faire baisser les prélèvements de 18 milliards par an en l’espace de deux ans. Voilà la vérité cruelle de cette réforme injuste ! Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.

En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va enfin précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’aient donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - ait un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?

Face à ce projet de loi de régression sociale terrible, les sénateurs socialistes écologistes et républicains combattrons pied à pied le Gouvernement et sa réforme injuste et inefficace.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1978

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. MAGNER


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. La réforme proposée par le Gouvernement apparaît injuste, en particulier parce que l’âge légal de départ à la retraite serait décalé et que le nombre d’années de cotisations augmenterait plus vite que prévu.

Les sénateurs socialistes sont profondément opposés à cette réforme, qui n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.

Notre système de retraite n’est pas menacé à long terme, il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, et d’autres choix sont possibles.

Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Le Gouvernement aurait aussi pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.

De plus, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’ont donc plus que le RSA pour vivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - ait un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs seniors ?

Ce projet de loi de régression sociale apparaît inacceptable, c’est une réforme injuste, inutile et inefficace. Il s'agit donc ici de supprimer l'article phare de ce projet. 

 

 






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2001

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme ROSSIGNOL


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation.

Les sénateurs socialistes sont profondément opposés à cette réforme, qui n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.

Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.

Cette réforme, c’est bien la retraite pour les morts !

Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles.

Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Il préfère tuer à la tâche les travailleuses et les travailleurs aux métiers les plus durs que faire payer ces sommes à leurs employeurs dont il a choisi de faire baisser les prélèvements de 18 milliards par an en l’espace de deux ans. Voilà la vérité cruelle de cette réforme injuste ! Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.

En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va enfin précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’aient donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - ait un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?

Face à ce projet de loi de régression sociale terrible, les sénateurs socialistes écologistes et républicains combattrons pied à pied le Gouvernement et sa réforme injuste, inutile et inefficace.

 






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2038

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme ASSASSI


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Aucune donnée chiffrée ne permet de justifier que l'allongement de l'âge de départ à la retraite à 64 ans ainsi que l'allongement des trimestres de cotisation.

Des économies peuvent être réalisées ailleurs, sans porter atteinte au régime actuel de retraite.

Selon l’INED, l’espérance de vie doit être aussi appréciée en tenant compte de l'âge auquel il y a un vrai risque d'incapacité dans les gestes de la vie quotidienne.

En France elle s’élève à 64,1 ans pour les femmes et à 62,7 ans pour les hommes (2016).

La réforme actuelle portée par le Gouvernement, aggrave le risque de liquider les pensions de retraite à un âge où le retraité n'est plus en mesure de profiter comme il le souhaiterait du fruit de son labeur.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2039

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. BACCHI


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Aucune donnée chiffrée ne permet de justifier que l'allongement de l'âge de départ à la retraite à 64 ans ainsi que l'allongement des trimestres de cotisation.

Des économies peuvent être réalisées ailleurs, sans porter atteinte au régime actuel de retraite.

Selon l’INED, l’espérance de vie doit être aussi appréciée en tenant compte de l'âge auquel il y a un vrai risque d'incapacité dans les gestes de la vie quotidienne.

En France elle s’élève à 64,1 ans pour les femmes et à 62,7 ans pour les hommes (2016).

La réforme actuelle portée par le Gouvernement, aggrave le risque de liquider les pensions de retraite à un âge où le retraité n'est plus en mesure de profiter comme il le souhaiterait du fruit de son labeur.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2040

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. BOCQUET


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Aucune donnée chiffrée ne permet de justifier que l'allongement de l'âge de départ à la retraite à 64 ans ainsi que l'allongement des trimestres de cotisation.

Des économies peuvent être réalisées ailleurs, sans porter atteinte au régime actuel de retraite.

Selon l’INED, l’espérance de vie doit être aussi appréciée en tenant compte de l'âge auquel il y a un vrai risque d'incapacité dans les gestes de la vie quotidienne.

En France elle s’élève à 64,1 ans pour les femmes et à 62,7 ans pour les hommes (2016).

La réforme actuelle portée par le Gouvernement, aggrave le risque de liquider les pensions de retraite à un âge où le retraité n'est plus en mesure de profiter comme il le souhaiterait du fruit de son labeur.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2041

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme BRULIN


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Aucune donnée chiffrée ne permet de justifier que l'allongement de l'âge de départ à la retraite à 64 ans ainsi que l'allongement des trimestres de cotisation.

Des économies peuvent être réalisées ailleurs, sans porter atteinte au régime actuel de retraite.

Selon l’INED, l’espérance de vie doit être aussi appréciée en tenant compte de l'âge auquel il y a un vrai risque d'incapacité dans les gestes de la vie quotidienne.

En France elle s’élève à 64,1 ans pour les femmes et à 62,7 ans pour les hommes (2016).

La réforme actuelle portée par le Gouvernement, aggrave le risque de liquider les pensions de retraite à un âge où le retraité n'est plus en mesure de profiter comme il le souhaiterait du fruit de son labeur.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2042

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme CUKIERMAN


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Aucune donnée chiffrée ne permet de justifier que l'allongement de l'âge de départ à la retraite à 64 ans ainsi que l'allongement des trimestres de cotisation.

Des économies peuvent être réalisées ailleurs, sans porter atteinte au régime actuel de retraite.

Selon l’INED, l’espérance de vie doit être aussi appréciée en tenant compte de l'âge auquel il y a un vrai risque d'incapacité dans les gestes de la vie quotidienne.

En France elle s’élève à 64,1 ans pour les femmes et à 62,7 ans pour les hommes (2016).

La réforme actuelle portée par le Gouvernement, aggrave le risque de liquider les pensions de retraite à un âge où le retraité n'est plus en mesure de profiter comme il le souhaiterait du fruit de son labeur.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2043

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. GAY


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Aucune donnée chiffrée ne permet de justifier que l'allongement de l'âge de départ à la retraite à 64 ans ainsi que l'allongement des trimestres de cotisation.

Des économies peuvent être réalisées ailleurs, sans porter atteinte au régime actuel de retraite.

Selon l’INED, l’espérance de vie doit être aussi appréciée en tenant compte de l'âge auquel il y a un vrai risque d'incapacité dans les gestes de la vie quotidienne.

En France elle s’élève à 64,1 ans pour les femmes et à 62,7 ans pour les hommes (2016).

La réforme actuelle portée par le Gouvernement, aggrave le risque de liquider les pensions de retraite à un âge où le retraité n'est plus en mesure de profiter comme il le souhaiterait du fruit de son labeur.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2044

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme GRÉAUME


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Aucune donnée chiffrée ne permet de justifier que l'allongement de l'âge de départ à la retraite à 64 ans ainsi que l'allongement des trimestres de cotisation.

Des économies peuvent être réalisées ailleurs, sans porter atteinte au régime actuel de retraite.

Selon l’INED, l’espérance de vie doit être aussi appréciée en tenant compte de l'âge auquel il y a un vrai risque d'incapacité dans les gestes de la vie quotidienne.

En France elle s’élève à 64,1 ans pour les femmes et à 62,7 ans pour les hommes (2016).

La réforme actuelle portée par le Gouvernement, aggrave le risque de liquider les pensions de retraite à un âge où le retraité n'est plus en mesure de profiter comme il le souhaiterait du fruit de son labeur.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2045

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. LAHELLEC


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Aucune donnée chiffrée ne permet de justifier que l'allongement de l'âge de départ à la retraite à 64 ans ainsi que l'allongement des trimestres de cotisation.

Des économies peuvent être réalisées ailleurs, sans porter atteinte au régime actuel de retraite.

Selon l’INED, l’espérance de vie doit être aussi appréciée en tenant compte de l'âge auquel il y a un vrai risque d'incapacité dans les gestes de la vie quotidienne.

En France elle s’élève à 64,1 ans pour les femmes et à 62,7 ans pour les hommes (2016).

La réforme actuelle portée par le Gouvernement, aggrave le risque de liquider les pensions de retraite à un âge où le retraité n'est plus en mesure de profiter comme il le souhaiterait du fruit de son labeur.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2046

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. Pierre LAURENT


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Aucune donnée chiffrée ne permet de justifier que l'allongement de l'âge de départ à la retraite à 64 ans ainsi que l'allongement des trimestres de cotisation.

Des économies peuvent être réalisées ailleurs, sans porter atteinte au régime actuel de retraite.

Selon l’INED, l’espérance de vie doit être aussi appréciée en tenant compte de l'âge auquel il y a un vrai risque d'incapacité dans les gestes de la vie quotidienne.

En France elle s’élève à 64,1 ans pour les femmes et à 62,7 ans pour les hommes (2016).

La réforme actuelle portée par le Gouvernement, aggrave le risque de liquider les pensions de retraite à un âge où le retraité n'est plus en mesure de profiter comme il le souhaiterait du fruit de son labeur.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2047

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LIENEMANN


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Aucune donnée chiffrée ne permet de justifier que l'allongement de l'âge de départ à la retraite à 64 ans ainsi que l'allongement des trimestres de cotisation.

Des économies peuvent être réalisées ailleurs, sans porter atteinte au régime actuel de retraite.

Selon l’INED, l’espérance de vie doit être aussi appréciée en tenant compte de l'âge auquel il y a un vrai risque d'incapacité dans les gestes de la vie quotidienne.

En France elle s’élève à 64,1 ans pour les femmes et à 62,7 ans pour les hommes (2016).

La réforme actuelle portée par le Gouvernement, aggrave le risque de liquider les pensions de retraite à un âge où le retraité n'est plus en mesure de profiter comme il le souhaiterait du fruit de son labeur.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2048

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. OUZOULIAS


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Aucune donnée chiffrée ne permet de justifier que l'allongement de l'âge de départ à la retraite à 64 ans ainsi que l'allongement des trimestres de cotisation.

Des économies peuvent être réalisées ailleurs, sans porter atteinte au régime actuel de retraite.

Selon l’INED, l’espérance de vie doit être aussi appréciée en tenant compte de l'âge auquel il y a un vrai risque d'incapacité dans les gestes de la vie quotidienne.

En France elle s’élève à 64,1 ans pour les femmes et à 62,7 ans pour les hommes (2016).

La réforme actuelle portée par le Gouvernement, aggrave le risque de liquider les pensions de retraite à un âge où le retraité n'est plus en mesure de profiter comme il le souhaiterait du fruit de son labeur.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2049

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Aucune donnée chiffrée ne permet de justifier que l'allongement de l'âge de départ à la retraite à 64 ans ainsi que l'allongement des trimestres de cotisation.

Des économies peuvent être réalisées ailleurs, sans porter atteinte au régime actuel de retraite.

Selon l’INED, l’espérance de vie doit être aussi appréciée en tenant compte de l'âge auquel il y a un vrai risque d'incapacité dans les gestes de la vie quotidienne.

En France elle s’élève à 64,1 ans pour les femmes et à 62,7 ans pour les hommes (2016).

La réforme actuelle portée par le Gouvernement, aggrave le risque de liquider les pensions de retraite à un âge où le retraité n'est plus en mesure de profiter comme il le souhaiterait du fruit de son labeur.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2050

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Aucune donnée chiffrée ne permet de justifier que l'allongement de l'âge de départ à la retraite à 64 ans ainsi que l'allongement des trimestres de cotisation.

Des économies peuvent être réalisées ailleurs, sans porter atteinte au régime actuel de retraite.

Selon l’INED, l’espérance de vie doit être aussi appréciée en tenant compte de l'âge auquel il y a un vrai risque d'incapacité dans les gestes de la vie quotidienne.

En France elle s’élève à 64,1 ans pour les femmes et à 62,7 ans pour les hommes (2016).

La réforme actuelle portée par le Gouvernement, aggrave le risque de liquider les pensions de retraite à un âge où le retraité n'est plus en mesure de profiter comme il le souhaiterait du fruit de son labeur.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2080

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. JEANSANNETAS


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation.

Les sénateurs socialistes sont profondément opposés à cette réforme, qui n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.

Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.

Cette réforme, c’est bien la retraite pour les morts !

Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles.

Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Il préfère tuer à la tâche les travailleuses et les travailleurs aux métiers les plus durs que faire payer ces sommes à leurs employeurs dont il a choisi de faire baisser les prélèvements de 18 milliards par an en l’espace de deux ans. Voilà la vérité cruelle de cette réforme injuste ! Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.

En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va enfin précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’auraient donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - ait un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?

Face à ce projet de loi de régression sociale terrible, les sénateurs socialistes écologistes et républicains combattrons pied à pied le Gouvernement et sa réforme injuste, inutile et inefficace.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2268

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme ESPAGNAC


ARTICLE 7


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de 62 à 64 ans et ne pas accélérer la mise en œuvre de la réforme Touraine. Malgré l’opposition de l’ensemble des organisations syndicales de salariés et de plus de 8 Français sur 10, le Gouvernement s’obstine à vouloir mener sa réforme injuste des retraites, et notamment à décaler l’âge légal de départ à la retraite et à augmenter plus vite que prévu le nombre d’années de cotisation.

L'auteur de cet amendement est profondément opposé à cette réforme, qui n’est ni plus ni moins que le plus injuste des impôts sur la vie.

Pour financer les baisses d’impôts aux ménages les plus riches et aux grandes entreprises, cette réforme va en effet obliger les travailleuses et les travailleurs de la première ligne - celles et ceux qu’on a applaudi à 20 heures pendant la crise sanitaire - à travailler plusieurs années de plus, jusqu’à 64 ans pour ne pas subir de décote. Mais, parmi les plus défavorisés, un homme sur trois est déjà mort avant d’atteindre 64 ans.

Alors que notre système de retraite n’est pas menacé à long terme et qu’il doit simplement faire face aux conséquences du papy-boom dans les décennies 2030 à 2050, d’autres choix sont possibles.

Le Gouvernement refuse d’envisager une légère augmentation des cotisations patronales, il suffirait pourtant de 14 euros au niveau du SMIC et de 28 euros au niveau du salaire moyen pour combler le déséquilibre temporaire. Il préfère tuer à la tâche les travailleuses et les travailleurs aux métiers les plus durs que faire payer ces sommes à leurs employeurs dont il a choisi de faire baisser les prélèvements de 18 milliards par an en l’espace de deux ans. Voilà la vérité cruelle de cette réforme injuste ! Le Gouvernement aurait même pu se contenter d’une surcotisation sur les plus hauts salaires.

En plus d’être profondément injuste et inutile, cette réforme - en se conjuguant à la réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée d’indemnisation et à celle du RSA - va précariser les travailleurs séniors qui voient leur durée d’indemnisation chômage réduite de 8 mois et n’aient donc plus que le RSA pour survivre, s’ils y ont droit. Qui peut croire raisonnablement que ce que propose le Gouvernement dans sa réforme - un nouvel indicateur que devront publier les entreprises sans aucune obligation de résultat - ait un quelconque effet amortisseur sur cette paupérisation en marche des travailleurs séniors ?






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1246

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme JASMIN


ARTICLE 7


Au début

Ajouter un paragraphe ainsi rédigé :

.... – Le présent article ne s’applique pas dans les collectivités d’outre-mer régies par les articles 73 et 74 de la Constitution.

Objet

Par cet amendement , il s’agit de ne pas appliquer le recul de l'âge de départ à la retraite dans les collectivités des Outre-mer.

"Dans les territoires d’Outre-mer, comme il y a des inégalités, il y a un taux de chômage qui est beaucoup plus important des jeunes et également des seniors, et des qualifications qui sont moindres et donc des niveaux de revenus plus bas. Cela va mécaniquement faire que les gens vont travailler plus longtemps pour avoir le même niveau de pension.

En effet, dans les Outre-mer, l'âge moyen de départ à la retraite est déjà plus tardif, entre 64,3 ans à La Réunion et 65 ans en Guyane, contre 62,7 ans dans l'hexagone (CNAV, 2021).

Ce n'est pas pour le plaisir, mais bien pour ne pas partir avec des pension trop faibles que ces départs sont plus tardifs, du fait de carrières moins stables que dans l'hexagone (interruptions de carrière plus nombreuses, emploi informel).

L'entrée tardive en activité s'explique également par le fort taux de chômage chez les jeunes : en Guadeloupe près d'un actif de moins de 30 ans sur deux est au chômage (47%), non loin devant La Réunion (42%) selon l'INSEE en 2019.

La difficulté à accumuler le nombre de points nécessaires pour une carrière complète est d'autant plus dommageable face à la plus faible espérance de vie des populations ultra-marines. L'espérance de vie à la naissance en 2021 pour les femmes est de 73,9 ans à Mayotte, 80 en Guyane, jusqu'à 83,4 à La Réunion contre 85,5 ans dans l'hexagone. Pour les hommes, entre 68,1 ans à Wallis et Futuna, 72,9 ans en Guadeloupe et jusqu'à 76,7 ans à La Réunion, contre 79,5 ans dans l'hexagone. La faible espérance de vie à 60 ans se double d'une majorité d'années en mauvaise santé dans ces collectivités.

Suite logique, les pensions y sont plus faibles que dans l'hexagone. Un retraité ultramarin touche en moyenne une pension inférieure de 10% à 17% à un senior de l'hexagone. Cela est aussi dû au fait que les emplois y sont moins qualifiés (ouvriers et employés).

La présente réforme des retraites va aggraver ces inégalités préexistantes entre les Outre-mer et l'hexagone. La grande pauvreté, couplant pauvreté monétaire et privations matérielles et sociales sévères, y est 5 à 15 fois plus fréquente (INSEE, 2022) et elle touche entre 9% (Martinique) et 15% (Guyane) des retraités ultra-marins contre 1% dans l'hexagone. Alors que la population y vieillit déjà plus rapidement, la présente réforme des retraites va aggraver les situations de pauvreté et de précarité des retraités ultramarins, en reculant encore l'âge de départ et la durée de cotisations. Reculer l'âge de départ à la retraite dans ces collectivités, c'est condamner ces populations à travailler jusqu'à la mort, c'est ne leur faire rien connaître de plus que la précarité et le travail, et y aggraver la surmortalité."


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 154 rect.

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. LUREL et Mmes LE HOUEROU et Gisèle JOURDA


ARTICLE 7


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

.... – Le présent article ne s’applique pas aux collectivités régies par l’article 73 de la Constitution.

Objet

Le présent amendement propose que le recul de l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans ne s'applique pas aux DROM.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 616

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes CONCONNE, LUBIN et Gisèle JOURDA et M. DURAIN


ARTICLE 7


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

.... – Le présent article ne s’applique pas dans les collectivités régies par l’article 73 de la Constitution.

 

Objet

Le présent projet de loi ne comporte aucun volet concernant les outre-mer alors que ces territoires présentent des différences manifestes, héritées de l'histoire, en matière de retraites, en raison de l’arrivée tardive de la sécurité sociale dans nos territoires et de la persistance d’une part importante de travail informel ou de défauts de déclaration. Les carrières hachées sont, de ce fait, surreprésentées dans les outre-mer et très difficiles à reconstituer faute d’archives complètes. Il en ressort un niveau de pension significativement plus bas que dans l’hexagone et un nombre très important de retraités pauvres, voire très pauvres.

L'accélération de l'allongement de la durée de cotisation et le report de 2 ans de l'âge légal de départ à la retraite auront donc pour conséquence d'amplifier des difficultés déjà manifestes pour les populations de la dite outre-mer qui partent déjà à la retraite plus tard que dans l'hexagone. En Martinique, en raison de difficultés à valider suffisamment de trimestres, l'âge effectif de départ en retraite est de 65,03 ans quand il est de 62,9 ans dans l'hexagone, soit un écart de plus de 2 ans que rien ne vient corriger dans la présente réforme. Cet amendement vise donc à ce que le recul de l'âge légal de départ en retraite à 64 ans et l'accélération de l'allongement de la durée de cotisation ne s'appliquent pas dans les départements et collectivités d'outre-mer.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 153 rect.

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. LUREL et Mmes CONCONNE, LE HOUEROU et Gisèle JOURDA


ARTICLE 7


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

.... – Le présent article ne s’applique pas en Guadeloupe.

Objet

Le présent amendement propose que le recul de l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans ne s'applique pas en Guadeloupe.

Pour rappel, en Guadeloupe -et c’est le cas dans la plupart des DROM - l’espérance de vie à la naissance reste inférieure au niveau national de 2,2 ans pour les hommes et de 1,6 an pour les femmes.

Une espérance de vie moindre de 2 ans, et pourtant, les travailleurs et travailleuses guadeloupéens auront eux aussi à travailler 2 ans de plus. On touche précisément là le point d’injustice fondamental de ce texte.

Comme pour la réforme de l’assurance chômage dont nous avons collectivement obtenu qu’elle ne s’applique pas outre-mer, cet amendement propose que le recul de l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans ne s'applique pas en Guadeloupe.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2576 rect. bis

4 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes JASMIN, POUMIROL et PRÉVILLE, MM. TISSOT, CARDON, GILLÉ et PLA, Mme CONWAY-MOURET, M. Patrice JOLY, Mme MONIER et M. ÉBLÉ


ARTICLE 7


Au début

Ajouter un paragraphe ainsi rédigé :

.... – Le présent article ne s’applique pas en Guadeloupe.

Objet

Par cet amendement , il s’agit de ne pas appliquer le recul de l'âge de départ à la retraite en Guadeloupe.

"En Guadeloupe, comme dans les autres territoires d’Outre-mer,  il y a de nombreuses inégalités sociales, économiques et systémiques: taux de chômage  plus important des jeunes mais également des seniors, et peu d'emplois qualifiés et donc des niveaux de revenus plus bas. Cela va mécaniquement faire que les gens vont travailler plus longtemps pour avoir le même niveau de pension.

En effet, dans les Outre-mer, l'âge moyen de départ à la retraite est déjà plus tardif, entre 64,3 ans à La Réunion et 65 ans en Guyane, contre 62,7 ans dans l'hexagone (CNAV, 2021).

Ce n'est pas pour le plaisir, mais bien pour ne pas partir avec des pension trop faibles que ces départs sont plus tardifs, du fait de carrières moins stables que dans l'hexagone (interruptions de carrière plus nombreuses, emploi informel).

L'entrée tardive en activité s'explique également par le fort taux de chômage chez les jeunes : en Guadeloupe près d'un actif de moins de 30 ans sur deux est au chômage (47%), non loin devant La Réunion (42%) selon l'INSEE en 2019.

La difficulté à accumuler le nombre de points nécessaires pour une carrière complète est d'autant plus dommageable face à la plus faible espérance de vie des populations ultra-marines. L'espérance de vie à la naissance en 2021 pour les femmes est de 73,9 ans à Mayotte, 80 en Guyane, jusqu'à 83,4 à La Réunion contre 85,5 ans dans l'hexagone. Pour les hommes, entre 68,1 ans à Wallis et Futuna, 72,9 ans en Guadeloupe et jusqu'à 76,7 ans à La Réunion, contre 79,5 ans dans l'hexagone. La faible espérance de vie à 60 ans se double d'une majorité d'années en mauvaise santé dans ces collectivités.

Suite logique, les pensions y sont plus faibles que dans l'hexagone. Un retraité ultramarin touche en moyenne une pension inférieure de 10% à 17% à un senior de l'hexagone. Cela est aussi dû au fait que les emplois y sont moins qualifiés (ouvriers et employés).

La présente réforme des retraites va aggraver ces inégalités préexistantes entre les Outre-mer et l'hexagone. La grande pauvreté, couplant pauvreté monétaire et privations matérielles et sociales sévères, y est 5 à 15 fois plus fréquente (INSEE, 2022) et elle touche entre 9% (Martinique) et 15% (Guyane) des retraités ultra-marins contre 1% dans l'hexagone. Alors que la population y vieillit déjà plus rapidement, la présente réforme des retraites va aggraver les situations de pauvreté et de précarité des retraités ultramarins, en reculant encore l'âge de départ et la durée de cotisations. Reculer l'âge de départ à la retraite dans ces collectivités, c'est condamner ces populations à travailler jusqu'à la mort, c'est ne leur faire rien connaître de plus que la précarité et le travail, et y aggraver la surmortalité."



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 615 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme CONCONNE, M. LUREL, Mmes JASMIN, LUBIN et Gisèle JOURDA et M. DURAIN


ARTICLE 7


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

.... – Le présent article ne s’applique pas en Martinique.

Objet

Le présent projet de loi ne comporte aucun volet concernant les outre-mer alors que ces territoires présentent des différences manifestes, héritées de l'histoire, en matière de retraites, en raison de l’arrivée tardive de la sécurité sociale dans nos territoires et de la persistance d’une part importante de travail informel ou de défauts de déclaration. Les carrières hachées sont, de ce fait, surreprésentées dans les outre-mer et très difficiles à reconstituer faute d’archives complètes. Il en ressort un niveau de pension significativement plus bas que dans l’hexagone et un nombre très important de retraités pauvres, voire très pauvres.

L'accélération de l'allongement de la durée de cotisation et le report de 2 ans de l'âge légal de départ à la retraite auront donc pour conséquence d'amplifier des difficultés déjà manifestes pour les populations de la dite outre-mer qui partent déjà à la retraite plus tard que dans l'hexagone. En Martinique, en raison de difficultés à valider suffisamment de trimestres, l'âge effectif de départ en retraite est de 65,03 ans quand il est de 62,9 ans dans l'hexagone, soit un écart de plus de 2 ans que rien ne vient corriger dans la présente réforme. Cet amendement vise donc à ce que le recul de l'âge légal de départ en retraite à 64 ans et l'accélération de l'allongement de la durée de cotisation ne s'appliquent pas en Martinique.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 139 rect.

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes TETUANUI et BILLON, MM. KERN et LAUGIER, Mme DINDAR, M. CHATILLON, Mme MÉLOT, M. PELLEVAT et Mmes Nathalie DELATTRE, LÉTARD et MORIN-DESAILLY


ARTICLE 7


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

.... – Le présent article ne s’applique pas à la Polynésie française.

Objet

Cet amendement vise à maintenir l’âge légal de départ à la retraite à 62 ans pour les fonctionnaires d’Etat de Polynésie française.

Ce report de l’âge de départ à la retraite de deux années supplémentaires soit à 64 ans, n’est pas adapté à la situation de la Polynésie française où l’espérance de vie est largement inférieure en moyenne de six années par rapport à celle de l’hexagone.

Par ailleurs, le régime général de retraite des fonctionnaires territoriaux de la fonction publique de la Polynésie française prévoit un départ à la retraite à 62 ans. Ainsi, cette prolongation d’activité de deux années viendrait créer une nouvelle iniquité entre les fonctionnaires territoriaux et les fonctionnaires de l’Etat exerçant en Polynésie française.

Cet article 7 du PJLFSS pour 2023 ne prend donc pas en compte la réalité des spécificités propres à notre collectivité d’outre-mer, qui justifient un maintien de départ à la retraite à 62 ans.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3581

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 1 à 176

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement du groupe Écologiste est de la supprimer.

La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger.

Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d'un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.

Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy- boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme.

Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans.

En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité).

Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu'à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité.

En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion. En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite.

Le groupe Ecologiste est fermement opposé à ces mesures d’âge, symbole d’une réforme productiviste qui ne vise qu’à une chose : faire travailler plus, produire plus, consommer plus, au détriment de la vie, du vivant et de la planète.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3651

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 1 à 139

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3665

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 1 à 134

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3626

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 1 à 63

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3625

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 1 à 15

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3594

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 1 à 12

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2643 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Après l’alinéa 1

Insérer trois alinéas ainsi rédigés :

...° L’article L. 114-4 est complété par un paragraphe ainsi rédigé :

« .... – Au 1er janvier 2024, le comité de suivi des retraites, assisté de la Cour des comptes, remet au Gouvernement, au Parlement et au Conseil économique, social et environnemental un rapport d’application de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 ainsi que des mesures légales et réglementaires en matière d’emploi des seniors prises depuis sa publication. Ce rapport dresse le bilan de ces mesures, préconise leur annulation le cas échéant, et formule des mesures alternatives pour un système des retraites juste.

« Le rapport mentionné au premier alinéa du présent VI peut donner lieu, avant le dépôt du projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2028, à un débat à l’Assemblée nationale et au Sénat sur le bilan et les conditions d’adaptation de la loi n°   du   précitée. » ;

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à prévoir la remise d'un rapport par le Comité d'Orientation des Retraites en janvier 2024 faisant le bilan de l'application de la réforme et le cas échéant en annulant les effets pour l'avenir.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4421 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Après l’alinéa 1

Insérer trois alinéas ainsi rédigés :

...° L’article L. 114-4 est complété par un paragraphe ainsi rédigé :

« .... – Au 1er janvier 2024, le comité de suivi des retraites, assisté de la Cour des comptes, remet au Gouvernement, au Parlement et au Conseil économique, social et environnemental un rapport d’application de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 ainsi que des mesures légales et réglementaires en matière d’emploi des seniors prises depuis sa publication. Ce rapport dresse le bilan de ces mesures, préconise leur annulation le cas échéant, et formule des mesures alternatives pour un système des retraites juste.

« Le rapport mentionné au premier alinéa du présent VI peut donner lieu, avant le dépôt du projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2028, à un débat à l’Assemblée nationale et au Sénat sur le bilan et les conditions d’adaptation de la loi n°   du   précitée. » ;

Objet

Cet amendement vise à prévoir la remise d'un rapport par le Comité d'Orientation des Retraites en janvier 2024 faisant le bilan de l'application de la réforme et le cas échéant en annulant les effets pour l'avenir.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2645 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Après l’alinéa 1

Insérer trois alinéas ainsi rédigés :

...° L'article L. 114-4 est complété par un paragraphe ainsi rédigé :

« .... – Au 1er janvier 2025, le comité de suivi des retraites, assisté de la Cour des comptes, remet au Gouvernement, au Parlement et au Conseil économique, social et environnemental un rapport d’application de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 ainsi que des mesures légales et réglementaires en matière d’emploi des seniors prises depuis sa publication. Ce rapport dresse le bilan de ces mesures, préconise leur annulation le cas échéant, et formule des mesures alternatives pour un système des retraites juste.

« Le rapport mentionné au premier alinéa du présent ... peut donner lieu, avant le dépôt du projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2028, à un débat à l’Assemblée nationale et au Sénat sur le bilan et les conditions d’adaptation de la présente loi. » ;

Objet

 Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicains vise à prévoir la remise d'un rapport par le Comité d'Orientation des Retraites en janvier 2025 faisant le bilan de l'application de la réforme et le cas échéant en annulant les effets pour l'avenir.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2644 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Après l’alinéa 1

Insérer trois alinéas ainsi rédigés :

...° L'article L. 114-4 est complété par un paragraphe ainsi rédigé :

« .... – Au 1er janvier 2026, le comité de suivi des retraites, assisté de la Cour des comptes, remet au Gouvernement, au Parlement et au Conseil économique, social et environnemental un rapport d’application de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 ainsi que des mesures légales et réglementaires en matière d’emploi des seniors prises depuis sa publication. Ce rapport dresse le bilan de ces mesures, préconise leur annulation le cas échéant, et formule des mesures alternatives pour un système des retraites juste.

« Le rapport mentionné au premier alinéa du présent ... peut donner lieu, avant le dépôt du projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2028, à un débat à l’Assemblée nationale et au Sénat sur le bilan et les conditions d’adaptation de la présente loi. » ;

Objet

 Cet amendement  des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à prévoir la remise d'un rapport par le Comité d'Orientation des Retraites en janvier 2026 faisant le bilan de l'application de la réforme et le cas échéant en annulant les effets pour l'avenir.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2646 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Après l’alinéa 1

Insérer trois alinéas ainsi rédigés :

...° L'article L. 114-4 est complété par un paragraphe ainsi rédigé :

« .... – Au 1er janvier 2027, le comité de suivi des retraites, assisté de la Cour des comptes, remet au Gouvernement, au Parlement et au Conseil économique, social et environnemental un rapport d’application de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 ainsi que des mesures légales et réglementaires en matière d’emploi des seniors prises depuis sa publication. Ce rapport dresse le bilan de ces mesures, préconise leur annulation le cas échéant, et formule des mesures alternatives pour un système des retraites juste.

« Le rapport mentionné au premier alinéa du présent ... peut donner lieu, avant le dépôt du projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2028, à un débat à l’Assemblée nationale et au Sénat sur le bilan et les conditions d’adaptation de la présente loi. » ;

Objet

 Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à prévoir la remise d'un rapport par le Comité d'Orientation des Retraites en janvier 2027 faisant le bilan de l'application de la réforme et le cas échéant en annulant les effets pour l'avenir.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2647 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Après l’alinéa 1

Insérer trois alinéas ainsi rédigés :

...° L’article L. 114-4 est complété par un paragraphe ainsi rédigé :

« .... – Au 1er septembre 2027, le comité de suivi des retraites, assisté de la Cour des comptes, remet au Gouvernement, au Parlement et au Conseil économique, social et environnemental un rapport d’application de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale ainsi que des mesures légales et réglementaires en matière d’emploi des seniors prises depuis sa publication. Ce rapport dresse le bilan de ces mesures, préconise leur annulation le cas échéant, et formule des mesures alternatives pour un système des retraites juste.

« Le rapport mentionné au premier alinéa du présent paragraphe peut donner lieu, avant le dépôt du projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2028, à un débat à l’Assemblée nationale et au Sénat sur le bilan et les conditions d’adaptation de la présente loi. » ;

Objet

 Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à prévoir la remise d'un rapport par le Comité d'Orientation des Retraites en septembre 2027 faisant le bilan de l'application de la réforme et le cas échéant en annulant les effets pour l'avenir.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 255 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

MM. CHASSEING, GUERRIAU et DECOOL, Mme MÉLOT, MM. LAGOURGUE, GRAND, WATTEBLED, MENONVILLE, VERZELEN et Alain MARC, Mme RENAUD-GARABEDIAN, MM. LEVI et LAMÉNIE, Mme THOMAS et MM. CALVET, MILON et CHATILLON


ARTICLE 7


Après l’alinéa 1

Insérer deux alinéas ainsi rédigés :

...° L’article L. 114-4 est complété par un paragraphe ainsi rédigé :

« ... - Au 1er octobre 2027, le Comité de suivi des retraites, assisté de la Cour des comptes, remet au Parlement et au Gouvernement un rapport d’application de la loi de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 n°   du   ainsi que des mesures légales et réglementaires en matière d’emploi des seniors prises depuis sa publication. A cette occasion, un débat sur la politique du travail et des retraites est organisé à l’Assemblée nationale et au Sénat. Après consultation du Conseil économique, social et environnemental, le Parlement se prononce sur les conditions du maintien ou de l’adaptation de la présente loi.  » ;

Objet

Cet amendement propose d’établir un bilan à mi-parcours du déploiement de la réforme des retraites afin de favoriser l’acceptabilité sociale de la réforme, d’en mesurer l’efficacité dès 2027 et, si besoin, de prévoir des ajustements en fonction de l’évolution des indicateurs socio-économiques. Un rendez-vous démocratique se tiendra au Parlement à cette occasion et s’appuiera sur l’expertise conjointe du Comité de suivi des retraites et de la Cour des comptes, ainsi que sur l’avis du Conseil économique, social et environnemental.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3249

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 162

Supprimer ces alinéas.

Objet

Impopulaire, brutale, injuste, inégalitaire, ce projet de loi de réforme des retraites comporte, en son cœur, l’article 7 qui prévoit le report de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance. Nous souhaitons nous faire l’écho de la mobilisation sociale, en déployant 7 contre-arguments ou critiques tirés de pancartes vues lors des diverses manifestations qui se sont succédées :

-       « Métro, boulot, tombeau » ou « Métro, boulot, caveau » 

A 62 ans, 25% des personnes les plus pauvres – appartenant aux cinq premiers centiles - sont déjà décédées.

-       « La retraite avant l’arthrite »

Le relèvement de 2 ans de l’AOD lors de la réforme de 2010 s’est traduit par une hausse de 7 points de l’invalidité/maladie (INSEE, 2017).

La fragilité de l’état de santé et la vulnérabilité face à l’intensification du travail et des rythmes, augmente avec l’âge. Selon la DARES, 25 % des accidents du travail en France concernent les salariés de plus de 50 ans.

-       « Pour financer les retraites, piocher dans les bonnes poches »

Le problème du système des retraites est un problème de recettes, et non de dynamique de dépenses, en témoigne la part prévisionnelle des dépenses dans le PIB stable voire en baisse selon les différentes hypothèses. En 2021, selon la Commission des Comptes de la Sécurité Sociale, les mesures d’exonération de cotisations sociales non compensées étaient en hausse de 17% et s’établissaient à 2,3 milliards d’euros grevant les comptes de la Sécurité Sociale.

Depuis les primes de la loi sur le partage de la valeur sont totalement désocialisées et non compensées.

De plus, il conviendrait de soumettre au même taux de cotisations et de fiscalité les revenus du travail et les revenus du capital.

-        « Si les femmes étaient payées autant que les hommes, il y aurait presque 6 milliards supplémentaires dans les caisses de retraite » (issu d’un chiffrage du Planning familial qui reprend les données de la CNAV à la demande de la CGT)

Selon les calculs de l’économiste Michaël Zemmour, 60 % des économies de la réforme vont être réalisées sur les femmes. A l’instar des précédentes réformes, les femmes seront pénalisées, elles partiraient, pour certaines générations, huit mois plus tard contre quatre mois supplémentaires pour les hommes.

-        « Allo papi, tu peux garder les enfants ? » « Non, je suis au travail ! »

En plus de mettre à mal les liens de solidarité familiale, notons qu’alors qu’un dirigeant d’association sur 2 est retraité bénévole, le recul de l’âge menace le bénévolat associatif.

-       « Les hommes comme la planète ont besoin de repos »

Cette réforme est productiviste, poursuit la course éperdue à la croissance en aveugle des limites de la planète.

De plus, les précédentes réformes conduisent à une baisse tendancielle du niveau de vie relatif des retraités et risque d’encourager la retraite par capitalisation. Or, Greenpeace questionne : « Qui porte actuellement ce système de retraite par capitalisation ? » Des banques, assureurs et fonds d’investissement qui financent largement les énergies fossiles.

-       « On veut juste qu’on nous re-traite avec respect » 

Le véhicule législatif utilisé contraint les débats. Lorsque seulement 7% des actifs seraient favorables à l'augmentation de l'âge de départ, que signifierait donc voter cet article ?

Cet article, cœur battant de la réforme, défavorisera tout particulièrement les personnes les plus vulnérables sur le marché du travail : les ouvriers, les femmes, les personnes immigré.e.s, : « On pourra télétravailler en EHPAD ? » questionne une manifestante.

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3578

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 11

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement du groupe Écologiste est de la supprimer.

La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger.

Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d'un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.

Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy- boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme.

Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans.

En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité).

Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu'à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité.

En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion. En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite.

Le groupe Ecologiste est fermement opposé à ces mesures d’âge, symbole d’une réforme productiviste qui ne vise qu’à une chose : faire travailler plus, produire plus, consommer plus, au détriment de la vie, du vivant et de la planète


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4422 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


I. – Alinéas 2 à 5

Supprimer ces alinéas.

II. – Alinéas 12, 28 à 37, 60, 124 à 131 et 139 à 154

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 299

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. FÉRAUD


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.

En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.

Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.

Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.

C’est ce que cet amendement vise à corriger.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 331

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. PLA


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.
En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.
Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.
Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.
La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.
Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.
Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.
Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.
C’est ce que cet amendement vise à corriger.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 360

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme BRIQUET


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.
En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.
Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.
Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.
La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.
Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.
Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.
Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.
C’est ce que cet amendement vise à corriger.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 385

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme FÉRET


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.

En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.

Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes, le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.

Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.

C’est ce que cet amendement vise à corriger.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 468

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. FICHET


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.

En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.

Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.

Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.

C’est ce que cet amendement vise à corriger.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 499

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme HARRIBEY


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.

En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.

Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.

Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.

C’est ce que cet amendement vise à corriger.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 516

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme VAN HEGHE


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.

En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.

Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.

Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.

C’est ce que cet amendement vise à corriger.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 537

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. GILLÉ


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.

En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.

Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.

Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.

C’est ce que cet amendement vise à corriger.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 558

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. MICHAU


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.

En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.

Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.

Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.

C’est ce que cet amendement vise à corriger.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 598

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. REDON-SARRAZY


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.

En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.

Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.

Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.

C’est ce que cet amendement vise à corriger.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 627

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. DEVINAZ


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.

En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.

Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.

Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.

C’est ce que cet amendement vise à corriger.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 645

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. CHANTREL


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.

En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.

Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.

Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.

C’est ce que cet amendement vise à corriger.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 685

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LE HOUEROU


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.

En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.

Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.

Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.

C’est ce que cet amendement vise à corriger.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 714

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme BLATRIX CONTAT


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.

En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.

Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.

Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.

C’est ce que cet amendement vise à corriger.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 745

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. Mickaël VALLET


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.

En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.

Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.

Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.

C’est ce que cet amendement vise à corriger.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 795

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme de LA GONTRIE


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.

En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.

Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.

Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.

C’est ce que cet amendement vise à corriger.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 840

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. LOZACH


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.

En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.

Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.

Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.

C’est ce que cet amendement vise à corriger.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 880

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. DURAIN


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.

En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.

Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.

Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.

C’est ce que cet amendement vise à corriger.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 917

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. LUREL


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.

En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.

Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.

Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.

C’est ce que cet amendement vise à corriger.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 960

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. CARDON


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.

En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.

Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.

Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.

C’est ce que cet amendement vise à corriger.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 998

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. RAYNAL


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.

En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.

Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.

Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.

C’est ce que cet amendement vise à corriger.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1044

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme Gisèle JOURDA


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.
En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.
Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.
Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.
La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.
Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.
Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.
Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.
C’est ce que cet amendement vise à corriger.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1082

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. TISSOT


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.

Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.

L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.

Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d'ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.

Amendement travaillé en commun avec la CFDT.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1115

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. ÉBLÉ


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.

En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est « perdu » pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.

Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.

Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.

C’est ce que cet amendement vise à corriger.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1172 rect. bis

4 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.

En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.

Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.

Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.

C’est ce que cet amendement vise à corriger.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1182

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. HOULLEGATTE


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.
En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.
Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.
Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.
La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.
Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.
Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.
Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.
C’est ce que cet amendement vise à corriger.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1190

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme Sylvie ROBERT


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquence d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.


En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.


Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.


Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.


La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.


Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.


Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.


Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.


C’est ce que cet amendement vise à corriger.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1224

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. MÉRILLOU


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.

En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.

Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.

Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.

C’est ce que cet amendement vise à corriger.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1260

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme JASMIN


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.

En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.

Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.

Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.

C’est ce que cet amendement vise à corriger.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1278

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. MONTAUGÉ


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144 et 158 à 173

Supprimer ces alinéas. 

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.

En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.

Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.

Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1284

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. JACQUIN


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.

En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.

Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.

Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.

C’est ce que cet amendement vise à corriger.

Plus généralement, cet article 7 concentre toute l'injustice de cette mauvaise réforme. Plutôt que de démagogiquement tout décaler, le gouvernement serait mieux inspirer de retirer sa réforme, reprendre de véritables négociations avec les partenaires sociaux. Une bonne réforme des retraites est une réforme qui allie sauvegarde de la répartition et progrès social, pas qui stigmatise certains et qui montent les Français les uns contre les autres.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1312

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme PRÉVILLE


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.

En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.

Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.

Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.

C’est ce que cet amendement vise à corriger.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1354

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. MARIE


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement entend supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

Ces dispositions auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.

Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront en effet travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.

Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes, le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.

Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.

C’est ce que cet amendement vise à corriger.

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1390

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. BOURGI


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.

En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.

Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.

Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.

C’est ce que cet amendement vise à corriger.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1420

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. SUEUR


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.

En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.

Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.

Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.

C’est ce que cet amendement vise à corriger.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1453

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. KERROUCHE


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.

En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.

Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.

Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.

C’est ce que cet amendement vise à corriger.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1467

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. STANZIONE


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote. Cet amendement vise donc à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. En plus du caractère injustifié de ces mesures, celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.


Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.
Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.
La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.
Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.
Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.
Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.
C’est ce que cet amendement vise à corriger.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1484

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme CONWAY-MOURET


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.

En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.

Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.

Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.

C’est ce que cet amendement vise à corriger.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1521

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme Martine FILLEUL


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.
En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.
Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.
Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.
La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.
Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.
Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.
Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.

C’est ce que cet amendement vise à corriger.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1556

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme MONIER


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.

En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.

Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.

Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.

C’est ce que cet amendement vise à corriger.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1573

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme CARLOTTI


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.
En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.
Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.
Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.
La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.
Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.
Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.
Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.
C’est ce que cet amendement vise à corriger.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1586

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. TODESCHINI


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.



Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.

En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.

Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.

Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.

C’est ce que cet amendement vise à corriger.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1609

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. Joël BIGOT


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.

En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.

Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuera encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis. Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1639

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme POUMIROL


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.

En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.

Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.

Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.

C’est ce que cet amendement vise à corriger.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1713

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. BOUAD


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.

En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.

Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.

Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.

C’est ce que cet amendement vise à corriger.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1733

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. LECONTE


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.

En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.

Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.

Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.

C’est ce que cet amendement vise à corriger.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1766

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme MEUNIER


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.

En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.

Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.

Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.

C’est ce que cet amendement vise à corriger.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1806

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. JOMIER


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.

En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.

Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.

Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.

C’est ce que cet amendement vise à corriger.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1836

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. KANNER


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.

En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.

Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.

Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.

C’est ce que cet amendement vise à corriger.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1856

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. ASSOULINE


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144 et 158 à 173

Supprimer ces alinéas. 

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.

En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.

Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.

Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.

Cet amendement souhaite corriger cette situation.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1874

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. COZIC


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.
En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.
Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.
Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.
La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.
Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.
Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.
Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.
C’est ce que cet amendement vise à corriger.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1924

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. Patrice JOLY


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.

En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.

Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.

Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.

C’est ce que cet amendement vise à corriger.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1988

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme ROSSIGNOL


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.

En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.

Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.

Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.

C’est ce que cet amendement vise à corriger.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2086

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. JEANSANNETAS


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.

En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.

Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.

Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.

C’est ce que cet amendement vise à corriger.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2269

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme ESPAGNAC


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. Celles-ci auraient notamment pour conséquences d’aggraver le décalage, pour les personnes ayant commencé à travailler tôt, entre le nombre de trimestres requis et le nombre de trimestres effectivement validés mais dont certains n’ouvrent pas droit à surcote.

En effet, les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas aujourd’hui : une personne née en 1961 ou 1962 qui a commencé à travailler à 18 ans et a validé 168 trimestres peut partir en carrière longue à 60 ans. En revanche, tout trimestre supplémentaire effectué est "perdu" pour le calcul des droits car il n’ouvre pas droit à surcote.

Le report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans accentuerait encore cette injustice avec huit trimestres supplémentaires qui ne seront pas pris en compte comme trimestres acquis.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est donc un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite qui, en s’appliquant indifféremment à tous les assurés, va pénaliser davantage les personnes ayant commencé à travailler tôt.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge à celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit.

Le fait que l’attribution de la surcote soit subordonnée au critère de l’âge de départ, et non uniquement au nombre de trimestres effectivement validés, génère des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits.

C’est ce que cet amendement vise à corriger.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3434

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est le pire paramètre de pilotage du système de retraite.

C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés. 

Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voûte du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroît, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.

L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.

Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d'ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active. 

Cet amendement est issu d’une proposition de la CFDT.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 294

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. FÉRAUD


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 326

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. PLA


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 355

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme BRIQUET


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite.
 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 380

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme FÉRET


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 463

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. FICHET


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 488

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme VAN HEGHE


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 494

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme HARRIBEY


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 532

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. GILLÉ


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 553

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. MICHAU


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite.

 

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 593

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. REDON-SARRAZY


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 622

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. DEVINAZ


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 640

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. CHANTREL


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 680

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LE HOUEROU


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 709

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme BLATRIX CONTAT


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite.

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 740

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. Mickaël VALLET


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 790

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme de LA GONTRIE


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 835

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. LOZACH


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 875

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. DURAIN


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 912

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. LUREL


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite car c’est la mesure la plus injuste, la plus brutale et, au final, la mesure la plus inhumaine de ce texte.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 955

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. CARDON


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 993

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. RAYNAL


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1084

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. TISSOT


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1110

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. ÉBLÉ


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1140

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. HOULLEGATTE


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1149 rect. bis

4 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1219

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. MÉRILLOU


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1255

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme JASMIN


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5


Supprimer ces alinéas.

Objet

Objet
Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1326

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme PRÉVILLE


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1356

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. MARIE


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement entend supprimer les dispositions prévoyant de décaler l’âge légal de départ à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1385

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. BOURGI


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1422

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. SUEUR


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1448

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. KERROUCHE


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1480

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme CONWAY-MOURET


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1516

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme Martine FILLEUL


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1570

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme CARLOTTI


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1605

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. Joël BIGOT


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1634

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme POUMIROL


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1708

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. BOUAD


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1724

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. LECONTE


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1761

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme MEUNIER


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1778

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. TODESCHINI


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5

Supprimer ces alinéas.


Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1801

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. JOMIER


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1831

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. KANNER


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 2002

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme ROSSIGNOL


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5

Supprimer ces alinéas.

Objet

 Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite.

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 2270

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme ESPAGNAC


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3571

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement du groupe Écologiste est de la supprimer.

La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger.

Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d'un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.

Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy- boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme.

Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans.

En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité).

Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu'à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité.

En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion. En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite.

Le groupe Ecologiste est fermement opposé à ces mesures d’âge, symbole d’une réforme productiviste qui ne vise qu’à une chose : faire travailler plus, produire plus, consommer plus, au détriment de la vie, du vivant et de la planète.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4423 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéas 2 à 5

Supprimer ces alinéas.

Objet

Le présent amendement vise à supprimer les alinéas remplaçant l'âge légal de départ à 62 ans par 64 ans. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3592

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 3 à 123

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3590

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 3 à 120

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3589

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 3 à 12

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 295

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. FÉRAUD


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 327

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. PLA


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 356

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme BRIQUET


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 381

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme FÉRET


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 464

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. FICHET


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 495

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme HARRIBEY


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 502

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme VAN HEGHE


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 533

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. GILLÉ


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 554

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. MICHAU


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 594

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. REDON-SARRAZY


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 623

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. DEVINAZ


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 641

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. CHANTREL


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 681

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LE HOUEROU


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 710

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme BLATRIX CONTAT


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 741

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. Mickaël VALLET


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 791

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme de LA GONTRIE


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 836

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. LOZACH


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 876

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. DURAIN


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 913

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. LUREL


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 956

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. CARDON


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 994

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. RAYNAL


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1041

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme Gisèle JOURDA


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1085

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. TISSOT


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1111

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. ÉBLÉ


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1141

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. HOULLEGATTE


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1150 rect. bis

4 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1189

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme Sylvie ROBERT


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1220

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. MÉRILLOU


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1254

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme JASMIN


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

 

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

Selon la Caisse nationale d’assurance vieillesse (CNAV), l’âge effectif de départ à la retraite en 2021 en France métropolitaine est en moyenne de 62,7 ans.

Mais dans les Outre-mer, ce seuil de 64 ans est déjà atteint voire dépassé : l'âge effectif moyen s’échelonne en effet entre 64,3 ans (à La Réunion) et 65 ans (en Guyane et en Guadeloupe).

Les travailleurs ultramarins  malheureusement doivent travailler déjà plus longtemps, et la réforme les touchera bien plus. Car mécaniquement pour avoir le même niveau de pension, il va falloir travailler encore plus longtemps que maintenant.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1276

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. MONTAUGÉ


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64 et 143 à 173

Supprimer ces alinéas. 

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1281

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. JACQUIN


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

Cet article 7 concentre toute l'injustice de cette mauvaise réforme. Plutôt que de démagogiquement tout décaler, le gouvernement serait mieux inspirer de retirer sa réforme, reprendre de véritables négociations avec les partenaires sociaux. Une bonne réforme des retraites est une réforme qui allie sauvegarde de la répartition et progrès social, pas qui stigmatise certains et qui montent les Français les uns contre les autres.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1308

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme PRÉVILLE


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1351

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. MARIE


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L'objet de cet amendement est de supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1386

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. BOURGI


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1417

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. SUEUR


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1449

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. KERROUCHE


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1464

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. STANZIONE


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement, présenté par le groupe socialiste écologiste et républicain, vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1481

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme CONWAY-MOURET


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1517

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme Martine FILLEUL


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1554

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme MONIER


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

 

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1582

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. TODESCHINI


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.



Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1604

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. Joël BIGOT


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1635

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme POUMIROL


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1709

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. BOUAD


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1725

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. LECONTE


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1762

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme MEUNIER


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1802

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. JOMIER


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1832

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. KANNER


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1858

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. ASSOULINE


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiant la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1873

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. COZIC


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1921

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. Patrice JOLY


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1985

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme ROSSIGNOL


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2083

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. JEANSANNETAS


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2272

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme ESPAGNAC


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à supprimer les dispositions relatives au report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans et, de manière subséquente, des dispositions modifiants la durée entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 292

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. FÉRAUD


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.

 Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un

 recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.

L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.

Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

 De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 324

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. PLA


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.
Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.
Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.
Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.
Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.
Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.

L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.
Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.
De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.
 
Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 353

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme BRIQUET


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.
 Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.
Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.
Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.
Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.
Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.
L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.
Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.
 De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.
 
Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 378

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme FÉRET


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés. 

Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

Le présent amendement propose donc de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.

L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.

Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.

Cet amendement a été travaillé avec la CFDT. 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 461

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. FICHET


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.

 Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un

 recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.

L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.

Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

 De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.

 

Amendement communiqué par la CFDT

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 486

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme VAN HEGHE


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.

 Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un

 recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.

L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.

Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

 De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.

 

Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 492

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme HARRIBEY


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.

 Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un

 recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.

L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.

Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

 De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.

 

Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 530

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. GILLÉ


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.

 Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.

L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.

Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.

Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 551

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. MICHAU


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.

 Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un

 recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.

L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.

Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

 De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.

Amendement communiqué par la CFDT

 

 

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 591

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. REDON-SARRAZY


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.

Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.

L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.

Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.

 

Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 620

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. DEVINAZ


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.

 Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un

 recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.

L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.

Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

 De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.

 

Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 638

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. CHANTREL


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.

 Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.

L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.

Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

 De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.

 

Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 678

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LE HOUEROU


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.

 Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un

 recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.

L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.

Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

 De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.

 

Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 707

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme BLATRIX CONTAT


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.

 Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un

 recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.

L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.

Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

 De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.

NB : Amendement communiqué par la CFDT

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 738

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. Mickaël VALLET


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.

Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.

L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.

Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 788

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme de LA GONTRIE


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.

Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

Le présent amendement propose donc de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.

L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.

Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active. 

Cet amendement a été proposé par la CFDT.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 833

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. LOZACH


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.

 Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un

 recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.

L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.

Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

 De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.

 

Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 873

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. DURAIN


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.

Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.

L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.

Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.

 Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 890

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. TEMAL


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite.

C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.

Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

 Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.

L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.

Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’'ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.

Amendement proposé par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 910

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. LUREL


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.

 Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.

L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.

Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

 De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.

 Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 953

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. CARDON


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.

 Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.
Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.
Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.

L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.

Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote. De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.
 
Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 990

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. RAYNAL


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.

 Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.

L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.

Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

 De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.

 Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1027

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. ROGER


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.

Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.

Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1039

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme Gisèle JOURDA


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.

Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.

L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.

Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

De manière subséquente encore, cet amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.
 
Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1108

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. ÉBLÉ


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.

 Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un

 recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.

L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.

Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

 De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1137

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. HOULLEGATTE


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.

 Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.

L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.

Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

 De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.

 

Amendement communiqué par la CFDT

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1147 rect. bis

4 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.

Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.

L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.

Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.

 

Amendement communiqué par la CFDT



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1185

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme Sylvie ROBERT


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.


Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation dela durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.


Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.


Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.


Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.


Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.


L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.


Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.


De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.
 
Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1217

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. MÉRILLOU


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

 

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.

 Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.

L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.

Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

 De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.

 



NB :Amendement communiqué par la CFDT
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1253

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme JASMIN


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.

Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.

L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.

Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

 De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.

 

Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1280

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. JACQUIN


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.

 Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

Plutôt que de démagogiquement tout supprimer, le gouvernement serait mieux inspirer de retirer sa réforme, reprendre de véritables négociations avec les partenaires sociaux, étudier profession par profession l'opportunité de revenir intégralement ou en partie sur certains régimes dits spéciaux.

Une bonne réforme des retraites est une réforme qui allie sauvegarde de la répartition et progrès social, pas qui stigmatise certains et qui montent les Français les uns contre les autres.

Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.

L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.

Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.

Cet article 7 concentre toute l'injustice de cette mauvaise réforme. Plutôt que de démagogiquement tout décaler, le gouvernement serait mieux inspirer de retirer sa réforme, reprendre de véritables négociations avec les partenaires sociaux. Une bonne réforme des retraites est une réforme qui allie sauvegarde de la répartition et progrès social, pas qui stigmatise certains et qui montent les Français les uns contre les autres.

 

Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1290

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. MONTAUGÉ


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.

Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.

L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.

Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1307

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme PRÉVILLE


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.

Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.

L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.

Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1349

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. MARIE


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement entend supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. Il s'agit d'une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.

Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.

Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1383

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. BOURGI


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.

 Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un

 recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.

L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.

Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

 De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.

 

Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1415

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. SUEUR


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.

 Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.

L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.

Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.

Cet amendement a été travaillé avec la CFDT.

 

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1446

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. KERROUCHE


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits à la retraite est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.

Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.

L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.

Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

 De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.

 

Amendement communiqué par la CFDT.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1462

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. STANZIONE


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.
L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.
Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.
De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.
Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.
Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.
Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.
Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1478

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme CONWAY-MOURET


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.

Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.

L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.

Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

 De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.

 

Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1514

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme Martine FILLEUL


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.

Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.

L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.

Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.
 
Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Direction de la séance

Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1538

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. TODESCHINI


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.

Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres.

Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.
L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.

Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.
 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1552

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme MONIER


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.

Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.

L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.

Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.

Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1569

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme CARLOTTI


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.
 Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.
Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.
Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.
Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.
Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.
L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.
Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.
 De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.

Amendement communiqué par la CFDT.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1602

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. Joël BIGOT


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.

Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.


Le présent amendement vise donc à supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.
 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1632

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme POUMIROL


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.

 Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un

 recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.

L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.

Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

 De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.

 

Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1703

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. LECONTE


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.


Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.


Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.


Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.


Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.


Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.


L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.


Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.


De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1706

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. BOUAD


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.

Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.

L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.

Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

 De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.

 

Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1759

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme MEUNIER


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.

Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.

L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.

Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.

Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1799

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. JOMIER


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.

 Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un

 recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.

L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.

Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

 De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.

 

Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1829

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. KANNER


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.

 Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.

L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.

Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

 De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.

 

Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1919

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. Patrice JOLY


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.

 Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.

L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.

Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

 De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.

 

Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1983

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme ROSSIGNOL


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.

 Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.

L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.

Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

 De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.

Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2081

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. JEANSANNETAS


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 30 à 37, 64, 143, 144 et 158 à 173

Supprimer ces alinéas. 

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.

 Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.

L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.

Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

 De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2271

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme ESPAGNAC


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 12, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.

 Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.

Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.

Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.

Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.

Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.

L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.

Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.

De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.

Cet amendement a été travaillé avec la CFDT.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1871

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. COZIC


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 4, 30 à 37, 64, 143, 144, 158 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

La hausse de l’âge d’ouverture des droits est un mauvais paramètre de pilotage du système de retraite. C’est une mesure injuste car elle s’applique indifféremment à tous les assurés.
Les personnes qui atteindront la durée requise pour le taux plein avant l’âge d’ouverture des droits devront travailler au-delà du nombre de trimestres nécessaires sans pouvoir bénéficier de la surcote. Cela est déjà le cas, mais l’âge réel de départ en retraite, du fait de l’augmentation de la durée de cotisation est selon les situations, si ce n’est proche, déjà au-dessus des 62 ans. Cela sera bien moins le cas avec un recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans.
Inversement, les personnes ayant commencé à travailler plus tardivement et ayant fait des études longues, bénéficieront davantage de la surcote puisqu’elles atteindront la durée requise pour le taux plein après l’âge légal.
Depuis plus de 20 ans, notre système de retraite tend à substituer le critère de l’âge par celui de la durée d’assurance requise comme clef de voute du système. La durée d’assurance requise permet une meilleure individualisation des droits selon les parcours professionnels et de mieux cibler, plus facilement de surcroit, les mécanismes de solidarité, notamment par l’octroi de trimestres. Inversement, le critère de l’âge d’ouverture des droits demande de créer des dispositifs dérogatoires dont le calibrage n’est jamais satisfaisant.
Certes le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue vient tempérer l’âge d’ouverture des droits. Toutefois, les critères sont tels qu’il ne suffit pas d’avoir commencé à travailler avant un certain âge pour y avoir droit. Il y a donc des effets de seuils qui ne peuvent que s’accentuer avec le recul de l’âge d’ouverture des droits et donc devenir redoutables.
Le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives au recul de l’âge d’ouverture des droits.
L’âge d’annulation de la décote est aujourd’hui fixé à 5 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits, soit 67 ans. Pour le maintenir à 67 ans, et compte tenu du recul de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, le projet de loi le fixe à 3 années au-dessus de l’âge d’ouverture des droits.
Ainsi, de manière subséquente et pour maintenir l’âge d’annulation de la décote à 67 ans, le présent amendement propose de supprimer les dispositions relatives à la modification de l’écart entre l’âge d’ouverture des droits et l’âge d’annulation de la décote.
De manière subséquente encore, l’amendement propose de supprimer les modifications apportées dans la fonction publique par le relèvement de l’âge d’’ouverture des droits et de la modification de l’écart avec l’âge d’annulation de la décote, et notamment le déport des anticipations permises par la catégorie active.
 
Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3577

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 3 et 165 à 167

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement du groupe Écologiste est de la supprimer.

La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger.

Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d’un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.

Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy- boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme.

Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans.

En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité).

Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu’à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité.

En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion. En 2019, 16 % des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite.

Le groupe Ecologiste est fermement opposé à ces mesures d’âge, symbole d’une réforme productiviste qui ne vise qu’à une chose : faire travailler plus, produire plus, consommer plus, au détriment de la vie, du vivant et de la planète.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 296

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. FÉRAUD


ARTICLE 7


Alinéa 3

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans pour les générations nées après 1968.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 328

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. PLA


ARTICLE 7


Alinéa 3

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans pour les générations nées après 1968.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 357

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme BRIQUET


ARTICLE 7


Alinéa 3

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans pour les générations nées après 1968.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 382

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme FÉRET


ARTICLE 7


Alinéa 3

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans pour les générations nées après 1968.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 465

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. FICHET


ARTICLE 7


Alinéa 3

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans pour les générations nées après 1968.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 496

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme HARRIBEY


ARTICLE 7


Alinéa 3

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans pour les générations nées après 1968.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 503

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme VAN HEGHE


ARTICLE 7


Alinéa 3

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans pour les générations nées après 1968.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 534

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. GILLÉ


ARTICLE 7


Alinéa 3

Supprimer cet alinéa.

 

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans pour les générations nées après 1968.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 555

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. MICHAU


ARTICLE 7


Alinéa 3

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans pour les générations nées après 1968.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 595

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. REDON-SARRAZY


ARTICLE 7


Alinéa 3

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans pour les générations nées après 1968.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 624

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. DEVINAZ


ARTICLE 7


Alinéa 3

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans pour les générations nées après 1968.

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 642

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. CHANTREL


ARTICLE 7


Alinéa 3

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans pour les générations nées après 1968.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 682

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LE HOUEROU


ARTICLE 7


Alinéa 3

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans pour les générations nées après 1968.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 711

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme BLATRIX CONTAT


ARTICLE 7


Alinéa 3

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans pour les générations nées après 1968.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 742

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. Mickaël VALLET


ARTICLE 7


Alinéa 3

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans pour les générations nées après 1968.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 792

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme de LA GONTRIE


ARTICLE 7


Alinéa 3

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans pour les générations nées après 1968.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 837

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. LOZACH


ARTICLE 7


Alinéa 3

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans pour les générations nées après 1968.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 877

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. DURAIN


ARTICLE 7


Alinéa 3

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans pour les générations nées après 1968.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 914

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. LUREL


ARTICLE 7


Alinéa 3

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans pour les générations nées après 1968.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 957

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. CARDON


ARTICLE 7


Alinéa 3

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans pour les générations nées après 1968.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 995

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. RAYNAL


ARTICLE 7


Alinéa 3

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans pour les générations nées après 1968.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1086

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. TISSOT


ARTICLE 7


Alinéa 3

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans pour les générations nées après 1968.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1112

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. ÉBLÉ


ARTICLE 7


Alinéa 3

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans pour les générations nées après 1968.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1221

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. MÉRILLOU


ARTICLE 7


Alinéa 3

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans pour les générations nées après 1968.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1256

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme JASMIN


ARTICLE 7


Alinéa 3

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans pour les générations nées après 1968.

En effet, pour les personnes nées entre 1961 et 1968. Ils voyaient se rapprocher la retraite à 62 ans. Avec le projet du gouvernement, leur projets de vie à eux sont chamboulés et beaucoup, vont précipiter leurs départs avec le sacrifice d'une décote.

Pour la génération après 1968, concrètement, ce sera la première génération qui partira à la retraite à 64 ans.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1304 rect. bis

4 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN


ARTICLE 7


Alinéa 3

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans pour les générations nées après 1968.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1327

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme PRÉVILLE


ARTICLE 7


Alinéa 3

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans pour les générations nées après 1968.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1357

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. MARIE


ARTICLE 7


Alinéa 3

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement vise à ce que l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans ne soit pas décalé pour les générations nées après 1968.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1387

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. BOURGI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans pour les générations nées après 1968.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1423

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. SUEUR


ARTICLE 7


Alinéa 3

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans pour les générations nées après 1968.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1450

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. KERROUCHE


ARTICLE 7


Alinéa 3

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans pour les générations nées après 1968.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1482

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme CONWAY-MOURET


ARTICLE 7


Alinéa 3

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans pour les générations nées après 1968.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1518

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme Martine FILLEUL


ARTICLE 7


Alinéa 3

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans pour les générations nées après 1968.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1606

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. Joël BIGOT


ARTICLE 7


Alinéa 3

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans pour les générations nées après 1968.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1636

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme POUMIROL


ARTICLE 7


Alinéa 3

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans pour les générations nées après 1968.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1710

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. BOUAD


ARTICLE 7


Alinéa 3

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans pour les générations nées après 1968.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1726

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. LECONTE


ARTICLE 7


Alinéa 3

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans pour les générations nées après 1968.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1763

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme MEUNIER


ARTICLE 7


Alinéa 3

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans pour les générations nées après 1968.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1779

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. TODESCHINI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Supprimer cet alinéa.


Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans pour les générations nées après 1968.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1803

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. JOMIER


ARTICLE 7


Alinéa 3

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans pour les générations nées après 1968.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1833

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. KANNER


ARTICLE 7


Alinéa 3

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans pour les générations nées après 1968.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2003

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme ROSSIGNOL


ARTICLE 7


Alinéa 3

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans pour les générations nées après 1968.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2273

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme ESPAGNAC


ARTICLE 7


Alinéa 3

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans pour les générations nées après 1968.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2435

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. HOULLEGATTE


ARTICLE 7


Alinéa 3

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans pour les générations nées après 1968.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3585

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéa 3

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement du groupe Écologiste est de la supprimer.

La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger.

Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d'un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.

Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy- boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme.

Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans.

En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité).

Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu'à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité.

En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion. En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite.

Le groupe Ecologiste est fermement opposé à ces mesures d’âge, symbole d’une réforme productiviste qui ne vise qu’à une chose : faire travailler plus, produire plus, consommer plus, au détriment de la vie, du vivant et de la planète.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4424 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Supprimer cet alinéa.

Objet

Le présent amendement vise à supprimer l'alinéa remplaçant l'âge légal de départ à 62 ans par 64 ans.

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 64 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme PANTEL, MM. ARTANO, BILHAC et CABANEL, Mme Maryse CARRÈRE, M. CORBISEZ, Mme Nathalie DELATTRE, MM. FIALAIRE, GOLD et GUÉRINI, Mme GUILLOTIN et MM. GUIOL, REQUIER et ROUX


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, excepté pour les assurés ayant été exposés à des agents chimiques dangereux, y compris les poussières et les fumées, facteur de pénibilité reconnu par la médecine du travail

Objet

Cet amendement vise à réintroduire le facteur de pénibilité “agents chimiques dangereux, y compris les poussières et les fumées” et permettre aux assurés que la médecine du travail a reconnus comme ayant été exposés à ce facteur, de manière répétée au cours de leur carrière, de partir à la retraite à 62 ans.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 65 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme PANTEL, MM. ARTANO, BILHAC et CABANEL, Mme Maryse CARRÈRE et MM. CORBISEZ, GOLD, GUÉRINI, GUIOL, REQUIER et ROUX


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, excepté pour les assurés ayant exercé de manière répétée des manutentions manuelles de charges lourdes, facteur de pénibilité reconnu par la médecine du travail

Objet

Cet amendement vise à réintroduire le facteur de pénibilité “manutentions manuelles de charges lourdes” et permettre aux assurés que la médecine du travail a reconnus comme ayant exercé, de manière répétée au cours de leur carrière, des manutentions manuelles de charges lourdes, de partir à la retraite à 62 ans.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 66 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme PANTEL, MM. ARTANO, BILHAC et CABANEL, Mme Maryse CARRÈRE, M. CORBISEZ, Mme Nathalie DELATTRE et MM. GOLD, GUÉRINI, GUIOL, REQUIER et ROUX


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, excepté pour les assurés ayant été exposés à des vibrations mécaniques, facteur de pénibilité reconnu par la médecine du travail

Objet

Cet amendement vise à réintroduire le facteur de pénibilité “vibrations mécaniques” et permettre aux assurés que la médecine du travail a reconnus comme ayant été exposés, de manière répétée au cours de leur carrière, à des vibrations transmises aux mains et aux bras et celles transmises à l’ensemble du corps, de partir à la retraite à 62 ans.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 67 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme PANTEL, MM. ARTANO, BILHAC et CABANEL, Mme Maryse CARRÈRE, M. CORBISEZ, Mme Nathalie DELATTRE et MM. GOLD, GUÉRINI, GUIOL, REQUIER et ROUX


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, excepté pour les assurés ayant été exposés à des postures pénibles, facteur de pénibilité défini comme positions forcées des articulations et reconnu par la médecine du travail

Objet

Cet amendement vise à réintroduire le facteur de pénibilité “postures pénibles” et permettre aux assurés que la médecine du travail a reconnus comme ayant été exposés, de manière répétée dans leur carrière, à des positions forcées des articulations de partir à la retraite à 62 ans.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 152 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. LUREL et Mmes CONCONNE, LE HOUEROU, Gisèle JOURDA et JASMIN


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les assurés victimes du chlordécone dont les modalités de reconnaissance sont fixées par décret pris après avis de la Haute Autorité de santé pour lesquels l’âge fixé au premier alinéa du présent article, dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n°  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023, s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas appliquer la réforme du décalage de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans aux travailleurs victimes de l’exposition au chlordécone.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1303 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

MM. TODESCHINI, LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les infirmiers et infirmières de bloc opératoire diplômé d’État pour qui l’âge fixé au premier alinéa  du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique


Objet

 Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicains vise à ne pas décaler à 64 ans l’âge de départ à la retraite au corps des infirmiers et infirmières de bloc opératoire diplômés d'État.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1305 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

MM. TODESCHINI, LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les infirmières puéricultrices et infirmiers puériculteurs diplômés d’État pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicains vise à ne pas décaler à 64 ans l’âge de départ à la retraite au corps des infirmières puéricultrices et infirmiers puériculteurs diplômés d’État.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1365 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

MM. TODESCHINI, LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les aides-soignantes et aides-soignants diplômés d’État pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicains vise à ne pas décaler à 64 ans l’âge de départ à la retraite au corps des aides-soignantes et aides-soignants diplômés d’État.

En effet, cette profession de près de 300 000 salariés, majoritairement de la fonction publique hospitalière, de la fonction publique territoriale et salarié de droit privé (principalement dans les Ehpad et les services de soins à domicile) est actuellement reconnue comme « poly-exposée » car soumise à cinq familles de risques : chimiques, biologiques, physiques, organisationnels et relationnels… Leur métier est reconnu comme particulièrement pénible par une étude de l’Anses de septembre 2021 ce qui lui vaut d’être classé en « catégorie active », ouvrant aux aides-soignants la possibilité de partir à la retraite à partir de 57 ans.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1367 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

MM. TODESCHINI, LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les auxiliaires de puériculture diplômées d’État pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicains vise à ne pas décaler à 64 ans l’âge de départ à la retraite au corps des auxiliaires de puériculture diplômées d’État. 




NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1368 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

MM. TODESCHINI, LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les masseurs-kinésithérapeutes diplômés d’État pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique



Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicains vise à ne pas décaler à 64 ans l’âge de départ à la retraite au corps des masseurs-kinésithérapeutes diplômés d’État. 




NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2648 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les femmes, pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

 Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les femmes.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2649 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les travailleurs saisonniers pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans aux travailleurs saisonniers.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2650 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les infirmiers et les infirmières pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans aux infirmiers et aux infirmières.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2651 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les infirmiers et les infirmières anesthésistes diplômés d’État pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans au corps des infirmiers anesthésistes diplômés d'État.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2652 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les agriculteurs, éleveurs et salariés de leur exploitation pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

 Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les agriculteurs, éleveurs et salariés de leur exploitation.
Marie-Noëlle , dont l'année de naissance est 1962 , exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Marie-Noëlle peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 168 trimestres, soit 42 années de cotisation. Après la réforme, Marie-Noëlle ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 62 ans et 6 mois, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Marie-Noëlle ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2653 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les artisans salariés de leur entreprise pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

 Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les artisans salariés de leur entreprise.
Gabriel , dont l'année de naissance est 1965 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Gabriel peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Après la réforme, Gabriel ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 63 ans et 3 mois, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Gabriel ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2654 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les commerçants et assimilés pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

"Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les commerçants et assimilés.
Marie-Christine, dont l'année de naissance est 1972 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Marie-Christine peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Après la réforme, Marie-Christine ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Marie-Christine ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2655 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les chefs de grande entreprise de 500 salariés et plus pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

 "Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les chefs de grande entreprise de 500 salariés et plus.
Chantal , dont l'année de naissance est 1962 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Chantal peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 168 trimestres, soit 42 années de cotisation. Après la réforme, Chantal ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 62 ans et 6 mois, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Chantal ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2656 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les chefs de moyenne entreprise de 50 à 499 salariés pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

 "Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les chefs de moyenne entreprise de 50 à 499 salariés.
Nicole , dont l'année de naissance est 1972 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Nicole peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Après la réforme, Nicole ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Nicole ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2657 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les chefs d’entreprise du bâtiment et des travaux publics de 10 à 49 salariés pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

 "Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les chefs d'entreprise du bâtiment et des travaux publics de 10 à 49 salariés.
Nelly , dont l'année de naissance est 1963 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Nelly peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 168 trimestres, soit 42 années de cotisation. Après la réforme, Nelly ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 62 ans et 9 mois, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Nelly ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2658 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les chefs d’entreprise de l’industrie ou des transports de 10 à 49 salariés pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

 "Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les chefs d'entreprise de l'industrie ou des transports de 10 à 49 salariés.
Hervé , dont l'année de naissance est 1965 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Hervé peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Après la réforme, Hervé ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 63 ans et 3 mois, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Hervé ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2659 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les chefs d’entreprise commerciale de 10 à 49 salariés pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

 "Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les chefs d'entreprise commerciale de 10 à 49 salariés.
Maria , dont l'année de naissance est 1972 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Maria peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Après la réforme, Maria ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Maria ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2660 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les chefs d’entreprise de services de 10 à 49 salariés pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

"Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les chefs d'entreprise de services de 10 à 49 salariés.
Louis , dont l'année de naissance est 1966 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Louis peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Après la réforme, Louis ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 63 ans et 6 mois, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Louis ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2661 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les chirurgiens-dentistes pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

 "Cet amendement du groupe des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les chirurgiens dentistes.
Christiane , dont l'année de naissance est 1963 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Christiane peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 168 trimestres, soit 42 années de cotisation. Après la réforme, Christiane ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 62 ans et 9 mois, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Christiane ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2662 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les psychologues, psychanalystes et psychothérapeutes pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

"Cet amendement du groupe des sénateurs socialistes vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les psychologues, psychanalystes et psychothérapeutes .
Sylvain , dont l'année de naissance est 1962 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Sylvain peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 168 trimestres, soit 42 années de cotisation. Après la réforme, Sylvain ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 62 ans et 6 mois, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Sylvain ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2663 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les vétérinaires pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

"Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les vétérinaires.
Philippe , dont l'année de naissance est 1971 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Philippe peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Après la réforme, Philippe ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Philippe ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2664 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les avocats pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

 "Cet amendement du groupe socialiste vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les avocats.
Erick , dont l'année de naissance est 1972 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Erick peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Après la réforme, Erick ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Erick ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2665 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

, sauf pour les personnels de direction de la fonction publique pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement du groupe socialiste vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les personnels de direction de la fonction publique.

Paul , dont l’année de naissance est 1970 ,exerce ce métier. Aujourd’hui, avant la réforme, Paul peut partir à taux plein – sans décote ni surcote – à partir de 62 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Après la réforme, Paul ne pourra partir à taux plein – sans décote ni surcote – qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Paul ! Votre réforme, c’est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2666 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

, sauf pour les ingénieurs de l’État et assimilés pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement du groupe socialiste vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs de l’État et assimilés.

Loïc, dont l’année de naissance est 1964, exerce ce métier. Aujourd’hui, avant la réforme, Loïc peut partir à taux plein – sans décote ni surcote – à partir de 62 ans, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Après la réforme, Loïc ne pourra partir à taux plein – sans décote ni surcote – qu’à partir de 63 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Loïc ! Votre réforme, c’est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2667 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

, sauf pour les ingénieurs des collectivités locales et des hôpitaux pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs des collectivités locales et des hôpitaux.

Brigitte, dont l’année de naissance est 1964, exerce ce métier. Aujourd’hui, avant la réforme, Brigitte peut partir à taux plein – sans décote ni surcote – à partir de 62 ans, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Après la réforme, Brigitte ne pourra partir à taux plein – sans décote ni surcote – qu’à partir de 63 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Brigitte ! Votre réforme, c’est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2668 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

, sauf pour les magistrats pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement du groupe des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les magistrats.

Jean-Marie,  dont l’année de naissance est 1963 ,exerce ce métier. Aujourd’hui, avant la réforme, Jean-Marie peut partir à taux plein – sans décote ni surcote – à partir de 62 ans, à condition de valider 168 trimestres, soit 42 années de cotisation. Après la réforme, Jean-Marie ne pourra partir à taux plein – sans décote ni surcote – qu’à partir de 62 ans et 9 mois, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Jean-Marie ! Votre réforme, c’est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2669 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

, sauf pour les inspecteurs et autres personnels de catégorie A des impôts, du trésor et des douanes pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement du groupe socialiste vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les inspecteurs et autres personnels de catégorie a des impôts, du trésor et des douanes.

Francine, dont l’année de naissance est 1964 , exerce ce métier. Aujourd’hui, avant la réforme, Francine peut partir à taux plein – sans décote ni surcote – à partir de 62 ans, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Après la réforme, Francine ne pourra partir à taux plein – sans décote ni surcote – qu’à partir de 63 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Francine ! Votre réforme, c’est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2670 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

, sauf pour les cadres de la poste pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement du groupe socialiste vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les cadres de la poste.

Gilbert, dont l’année de naissance est 1972, exerce ce métier. Aujourd’hui, avant la réforme, Gilbert peut partir à taux plein – sans décote ni surcote – à partir de 62 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Après la réforme, Gilbert ne pourra partir à taux plein – sans décote ni surcote – qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Gilbert ! Votre réforme, c’est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2671 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

, sauf pour les cadres administratifs de France Télécom sous statut public pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les cadres administratifs de France Télécom sous statut public.

William, dont l’année de naissance est 1964, exerce ce métier. Aujourd’hui, avant la réforme, William peut partir à taux plein – sans décote ni surcote – à partir de 62 ans, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Après la réforme, William ne pourra partir à taux plein – sans décote ni surcote – qu’à partir de 63 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de William ! Votre réforme, c’est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2672 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

, sauf pour les autres personnels administratifs de catégorie A de l’État pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement du groupe des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les autres personnels administratifs de catégorie A de l’État.

Florence, dont l’année de naissance est 1967, exerce ce métier. Aujourd’hui, avant la réforme, Florence peut partir à taux plein – sans décote ni surcote – à partir de 62 ans, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Après la réforme, Florence ne pourra partir à taux plein – sans décote ni surcote – qu’à partir de 63 ans et 9 mois, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Florence ! Votre réforme, c’est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2673 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

, sauf pour les personnels administratifs de catégorie A des collectivités locales et hôpitaux publics pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement du groupe socialiste vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les personnels administratifs de catégorie a des collectivités locales et hôpitaux publics.

Frédérique, dont l’année de naissance est 1962, exerce ce métier. Aujourd’hui, avant la réforme, Frédérique peut partir à taux plein – sans décote ni surcote – à partir de 62 ans, à condition de valider 168 trimestres, soit 42 années de cotisation. Après la réforme, Frédérique ne pourra partir à taux plein – sans décote ni surcote – qu’à partir de 62 ans et 6 mois, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Frédérique ! Votre réforme, c’est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2674 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les livreurs pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les livreurs.

Marylene, dont l’année de naissance est 1968, exerce ce métier. Aujourd’hui, avant la réforme, Marylene peut partir à taux plein – sans décote ni surcote – à partir de 62 ans, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Après la réforme, Marylene ne pourra partir à taux plein – sans décote ni surcote – qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Marylene ! Votre réforme, c’est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2675 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

, sauf pour les professeurs agrégés et certifiés de l’enseignement secondaire pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les professeurs agrégés et certifiés de l’enseignement secondaire.

Marie, dont l’année de naissance est 1971, exerce ce métier. Aujourd’hui, avant la réforme, Marie peut partir à taux plein – sans décote ni surcote – à partir de 62 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Après la réforme, Marie ne pourra partir à taux plein – sans décote ni surcote – qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Marie ! Votre réforme, c’est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2676 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

, sauf pour les chefs d’établissement de l’enseignement secondaire et inspecteurs pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les chefs d’établissement de l’enseignement secondaire et inspecteurs.

Patrick, dont l’année de naissance est 1967, exerce ce métier. Aujourd’hui, avant la réforme, Patrick peut partir à taux plein – sans décote ni surcote – à partir de 62 ans, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Après la réforme, Patrick ne pourra partir à taux plein – sans décote ni surcote – qu’à partir de 63 ans et 9 mois, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Patrick ! Votre réforme, c’est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2677 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

, sauf pour les professeurs et maîtres de conférences pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les professeurs et maîtres de conférences.

Marie-Laure , dont l’année de naissance est 1964 ,exerce ce métier. Aujourd’hui, avant la réforme, Marie-Laure peut partir à taux plein – sans décote ni surcote – à partir de 62 ans, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Après la réforme, Marie-Laure ne pourra partir à taux plein – sans décote ni surcote – qu’à partir de 63 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Marie-Laure ! Votre réforme, c’est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2678 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

, sauf pour les professeurs agrégés et certifiés en fonction dans l’enseignement supérieur pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les professeurs agrégés et certifiés en fonction dans l’enseignement supérieur.

Michèle, dont l’année de naissance est 1971, exerce ce métier. Aujourd’hui, avant la réforme, Michèle peut partir à taux plein – sans décote ni surcote – à partir de 62 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Après la réforme, Michèle ne pourra partir à taux plein – sans décote ni surcote – qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Michèle ! Votre réforme, c’est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2679 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les personnels enseignants temporaires de l’enseignement supérieur pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

 Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les personnels enseignants temporaires de l'enseignement supérieur.
 Véronique, dont l'année de naissance est 1963 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Véronique peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 168 trimestres, soit 42 années de cotisation. Après la réforme, Véronique ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 62 ans et 9 mois, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Véronique ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2680 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les directeurs et chargés de recherche de la recherche publique pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les directeurs et chargés de recherche de la recherche publique.
Marc , dont l'année de naissance est 1962 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Marc peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 168 trimestres, soit 42 années de cotisation. Après la réforme, Marc ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 62 ans et 6 mois, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Marc ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2681 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les ingénieurs d’étude et de recherche de la recherche publique pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

"Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs d'étude et de recherche de la recherche publique.
Guy , dont l'année de naissance est 1966 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Guy peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Après la réforme, Guy ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 63 ans et 6 mois, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Guy ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2682 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les allocataires de la recherche publique pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

 "Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les allocataires de la recherche publique.
Viviane , dont l'année de naissance est 1968 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Viviane peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Après la réforme, Viviane ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Viviane ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2683 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les psychologues spécialistes de l’orientation scolaire et professionnelle pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

 "Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les psychologues spécialistes de l'orientation scolaire et professionnelle.
Pierre , dont l'année de naissance est 1970 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Pierre peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Après la réforme, Pierre ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Pierre ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2684 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les médecins hospitaliers pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

 "Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les médecins hospitaliers .
Maria , dont l'année de naissance est 1969 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Maria peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Après la réforme, Maria ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Maria ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2685 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les médecins salariés non hospitaliers pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

 

Objet

 Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les médecins salariés non hospitaliers.
Sylvain , dont l'année de naissance est 1964 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Sylvain peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Après la réforme, Sylvain ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 63 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Sylvain ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2686 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les internes en médecine, odontologie et pharmacie pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

 

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les internes en médecine, odontologie et pharmacie.
Jean-Louis , dont l'année de naissance est 1971 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Jean-Louis peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Après la réforme, Jean-Louis ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Jean-Louis ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2687 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les pharmaciens salariés pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

 Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les pharmaciens salariés.
Sylvain , dont l'année de naissance est 1972 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Sylvain peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Après la réforme, Sylvain ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Sylvain ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2688 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les bibliothécaires, archivistes, et conservateurs pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

 Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les bibliothécaires, archivistes, et conservateurs.
Brigitte , dont l'année de naissance est 1967 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Brigitte peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Après la réforme, Brigitte ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 63 ans et 9 mois, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Brigitte ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2689 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les journalistes pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

"Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les journalistes.
Albert , dont l'année de naissance est 1969 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Albert peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Après la réforme, Albert ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Albert ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2690 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les auteurs littéraires, scénaristes, dialoguistes pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

"Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les auteurs littéraires, scénaristes, dialoguistes.
Sylvie , dont l'année de naissance est 1964 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Sylvie peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Après la réforme, Sylvie ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 63 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Sylvie ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2691 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les directeurs de journaux, administrateurs de presse, directeurs d’éditions pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

"Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les directeurs de journaux, administrateurs de presse, directeurs d'éditions.
Benoît , dont l'année de naissance est 1967 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Benoît peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Après la réforme, Benoît ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 63 ans et 9 mois, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Benoît ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2692 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les directeurs et responsables de programmation et de production de l’audiovisuel et des spectacles pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

"Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les directeurs et responsables de programmation et de production de l'audiovisuel et des spectacles.
Bernard , dont l'année de naissance est 1962 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Bernard peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 168 trimestres, soit 42 années de cotisation. Après la réforme, Bernard ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 62 ans et 6 mois, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Bernard ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2693 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les cadres artistiques et technico-artistiques de la réalisation de l’audiovisuel et des spectacles pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les cadres artistiques et technico-artistiques de la réalisation de l'audiovisuel et des spectacles.
Marie-Paule , dont l'année de naissance est 1963 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Marie-Paule peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 168 trimestres, soit 42 années de cotisation. Après la réforme, Marie-Paule ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 62 ans et 9 mois, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Marie-Paule ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2694 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les artistes de la musique et du chant pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les artistes de la musique et du chant.
William , dont l'année de naissance est 1964 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, William peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Après la réforme, William ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 63 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de William ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !

 

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2695 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les artistes dramatiques pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les artistes dramatiques.
Marie-Claude , dont l'année de naissance est 1971 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Marie-Claude peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Après la réforme, Marie-Claude ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Marie-Claude ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2696 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les artistes de la danse pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les artistes de la danse.
Fabienne , dont l'année de naissance est 1970 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Fabienne peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Après la réforme, Fabienne ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Fabienne ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2697 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

sauf pour les artistes du cirque et des spectacles divers pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

 "Cet amendement du groupe socialiste écologiste républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les artistes du cirque et des spectacles divers.
Patrick , dont l'année de naissance est 1968 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Patrick peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Après la réforme, Patrick ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Patrick ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2698 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

sauf pour les professeurs d’art hors établissements scolaires pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

 

Objet

 "Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les professeurs d'art hors établissements scolaires.
Pascale , dont l'année de naissance est 1967 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Pascale peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Après la réforme, Pascale ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 63 ans et 9 mois, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Pascale ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2699 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

sauf pour les cadres d’état-major administratifs, financiers, commerciaux des grandes entreprises pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

"Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les cadres d'état-major administratifs, financiers, commerciaux des grandes entreprises.
Hélène , dont l'année de naissance est 1964 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Hélène peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Après la réforme, Hélène ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 63 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Hélène ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2700 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

sauf pour les cadres chargés d’études économiques, financières, commerciales pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

 "Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les cadres chargés d'études économiques, financières, commerciales.
Xavier , dont l'année de naissance est 1970 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Xavier peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Après la réforme, Xavier ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Xavier ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2701 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

sauf pour les cadres de l’organisation ou du contrôle des services administratifs et financiers pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

 "Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les cadres de l'organisation ou du contrôle des services administratifs et financiers.
Jacky , dont l'année de naissance est 1969 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Jacky peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Après la réforme, Jacky ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Jacky ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2702 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

sauf pour les cadres spécialistes des ressources humaines et du recrutement pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

"Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les cadres spécialistes des ressources humaines et du recrutement.
Michel , dont l'année de naissance est 1971 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Michel peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Après la réforme, Michel ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Michel ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2703 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

sauf pour les cadres spécialistes de la formation pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

 "Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les cadres spécialistes de la formation.
Anne , dont l'année de naissance est 1972 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Anne peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Après la réforme, Anne ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Anne ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2704 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

sauf pour les juristes pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

 

Objet

 "Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les juristes.
Yolande , dont l'année de naissance est 1963 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Yolande peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 168 trimestres, soit 42 années de cotisation. Après la réforme, Yolande ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 62 ans et 9 mois, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Yolande ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2705 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

sauf pour les cadres de la documentation et de l’archivage hors fonction publique pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

 "Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les cadres de la documentation et de l'archivage hors fonction publique.
Evelyne , dont l'année de naissance est 1970 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Evelyne peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Après la réforme, Evelyne ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Evelyne ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2706 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les cadres des services financiers ou comptables des grandes entreprises pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les cadres des services financiers ou comptables des grandes entreprises.
Pierrette , dont l'année de naissance est 1966 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Pierrette peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Après la réforme, Pierrette ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 63 ans et 6 mois, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Pierrette ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2707 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

, sauf pour les cadres des autres services administratifs des grandes entreprises pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les cadres des autres services administratifs des grandes entreprises.
Florence , dont l'année de naissance est 1968 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Florence peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Après la réforme, Florence ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Florence ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2708 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

, sauf pour les cadres des services financiers ou comptables des petites et moyennes entreprises pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les cadres des services financiers ou comptables des petites et moyennes entreprises.
Hervé , dont l'année de naissance est 1962 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Hervé peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 168 trimestres, soit 42 années de cotisation. Après la réforme, Hervé ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 62 ans et 6 mois, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Hervé ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2709 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

, sauf pour les cadres des autres services administratifs des petites et moyennes entreprises pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

 "Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les cadres des autres services administratifs des petites et moyennes entreprises.
Jacqueline , dont l'année de naissance est 1964 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Jacqueline peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Après la réforme, Jacqueline ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 63 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Jacqueline ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2710 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

, sauf pour les cadres de l’exploitation des magasins de vente du commerce de détail pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

 "Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les cadres de l'exploitation des magasins de vente du commerce de détail.
Gisèle , dont l'année de naissance est 1962 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Gisèle peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 168 trimestres, soit 42 années de cotisation. Après la réforme, Gisèle ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 62 ans et 6 mois, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Gisèle ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"

 

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2711 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

, sauf pour les chefs de produits, acheteurs du commerce et autres cadres de la mercatique pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

 "Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les chefs de produits, acheteurs du commerce et autres cadres de la mercatique.
Lydie , dont l'année de naissance est 1965 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Lydie peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Après la réforme, Lydie ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 63 ans et 3 mois, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Lydie ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2712 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

, sauf pour les cadres commerciaux des grandes entreprises hors commerce de détail pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

 "Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les cadres commerciaux des grandes entreprises hors commerce de détail.
Dominique , dont l'année de naissance est 1968 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Dominique peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Après la réforme, Dominique ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Dominique ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2713 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

, sauf pour les cadres commerciaux des petites et moyennes entreprises hors commerce de détail pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

 "Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les cadres commerciaux des petites et moyennes entreprises hors commerce de détail.
Joël , dont l'année de naissance est 1967 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Joël peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Après la réforme, Joël ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 63 ans et 9 mois, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Joël ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2714 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

, sauf pour les cadres de la publicité pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

"Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les cadres de la publicité.
Hubert , dont l'année de naissance est 1967 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Hubert peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Après la réforme, Hubert ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 63 ans et 9 mois, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Hubert ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2716 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

, sauf pour les cadres des relations publiques et de la communication pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

 "Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les cadres des relations publiques et de la communication.
Marie-José , dont l'année de naissance est 1969 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Marie-José peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Après la réforme, Marie-José ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Marie-José ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2717 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

, sauf pour les cadres des opérations bancaires pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

 "Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les cadres des opérations bancaires.
Hélène , dont l'année de naissance est 1964 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Hélène peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Après la réforme, Hélène ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 63 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Hélène ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2718 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

, sauf pour les cadres commerciaux de la banque pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

 "Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les cadres commerciaux de la banque.
Aline , dont l'année de naissance est 1968 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Aline peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Après la réforme, Aline ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Aline ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2719 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

, sauf pour les chefs d’établissements et responsables de l’exploitation bancaire pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

 "Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les chefs d'établissements et responsables de l'exploitation bancaire.
Claudie , dont l'année de naissance est 1969 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Claudie peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Après la réforme, Claudie ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Claudie ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"

 

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2720 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

, sauf pour les cadres des services techniques des assurances pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique 

Objet

 "Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les cadres des services techniques des assurances.
Annie , dont l'année de naissance est 1965 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Annie peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Après la réforme, Annie ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 63 ans et 3 mois, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Annie ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"

 

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2721 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

, sauf pour les cadres des services techniques des organismes de sécurité sociale et assimilés pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

 "Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les cadres des services techniques des organismes de sécurité sociale et assimilés.
Dominique , dont l'année de naissance est 1965 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Dominique peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Après la réforme, Dominique ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 63 ans et 3 mois, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Dominique ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"

 

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2722 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

, sauf pour les cadres de l’immobilier pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

 "Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les cadres de l'immobilier.
Béatrice , dont l'année de naissance est 1970 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Béatrice peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Après la réforme, Béatrice ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Béatrice ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"

 

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2723 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

sauf pour les cadres de l’hôtellerie et de la restauration pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les cadres de l'hôtellerie et de la restauration.
Yvon , dont l'année de naissance est 1972 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Yvon peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Après la réforme, Yvon ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Yvon ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2724 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

sauf pour les directeurs techniques des grandes entreprises pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les directeurs techniques des grandes entreprises.
Nathalie , dont l'année de naissance est 1965 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Nathalie peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Après la réforme, Nathalie ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 63 ans et 3 mois, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Nathalie ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2725 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

sauf pour les ingénieurs et cadres d’étude et développement de l’agriculture, la pêche, les eaux et forêts pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres d'étude et développement de l'agriculture, la pêche, les eaux et forêts.
Didier , dont l'année de naissance est 1969 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Didier peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Après la réforme, Didier ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Didier ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2726 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

sauf pour les ingénieurs et cadres de production et d’exploitation de l’agriculture, la pêche, les eaux et forêts pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres de production et d'exploitation de l'agriculture, la pêche, les eaux et forêts.
Serge , dont l'année de naissance est 1962 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Serge peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 168 trimestres, soit 42 années de cotisation. Après la réforme, Serge ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 62 ans et 6 mois, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Serge ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2727 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

sauf pour les ingénieurs et cadres d’étude du bâtiment et des travaux publics pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres d'étude du bâtiment et des travaux publics.
Hugues , dont l'année de naissance est 1966 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Hugues peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Après la réforme, Hugues ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 63 ans et 6 mois, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Hugues ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2728 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

sauf pour les architectes salariés pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les architectes salariés.
Annick , dont l'année de naissance est 1971 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Annick peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Après la réforme, Annick ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Annick ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2729 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

sauf pour les ingénieurs, cadres de chantier et conducteurs de travaux cadres du bâtiment et des travaux publics pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs, cadres de chantier et conducteurs de travaux cadres du bâtiment et des travaux publics.
Frédérique , dont l'année de naissance est 1968 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Frédérique peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Après la réforme, Frédérique ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Frédérique ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2730 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

sauf pour les ingénieurs et cadres technico-commerciaux en bâtiment et en travaux publics pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres technico-commerciaux en bâtiment, travaux publics.
Georges , dont l'année de naissance est 1968 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Georges peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Après la réforme, Georges ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Georges ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2731 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

sauf pour les ingénieurs et cadres d’étude, recherche et développement en électricité ou en électronique pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres d'étude, recherche et développement en électricité, électronique.
Marcel , dont l'année de naissance est 1971 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Marcel peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Après la réforme, Marcel ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Marcel ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2732 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

sauf pour les ingénieurs et cadres de fabrication en matériel électrique ou électronique pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres de fabrication en matériel électrique, électronique.
Sylviane , dont l'année de naissance est 1970 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Sylviane peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Après la réforme, Sylviane ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Sylviane ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2733 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

sauf pour les ingénieurs et cadres technico-commerciaux en matériel électrique ou électronique professionnel pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres technico-commerciaux en matériel électrique ou électronique professionnel.
Marie-Line , dont l'année de naissance est 1970 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Marie-Line peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Après la réforme, Marie-Line ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Marie-Line ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2735 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

, sauf pour les ingénieurs et cadres d’étude, recherche et développement en mécanique et travail des métaux pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi, s’applique

Objet

"Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres d'étude, recherche et développement en mécanique et travail des métaux.
Catherine , dont l'année de naissance est 1965 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Catherine peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Après la réforme, Catherine ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 63 ans et 3 mois, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Catherine ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2736 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

, sauf pour les ingénieurs et cadres de fabrication en mécanique et travail des métaux pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

 "Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres de fabrication en mécanique et travail des métaux.
Geneviève , dont l'année de naissance est 1969 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Geneviève peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Après la réforme, Geneviève ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Geneviève ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2737 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

, sauf pour les ingénieurs et cadres technico-commerciaux en matériel mécanique professionnel pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

 "Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres technico-commerciaux en matériel mécanique professionnel.
Serge , dont l'année de naissance est 1971 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Serge peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Après la réforme, Serge ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Serge ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2738 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

, sauf pour les ingénieurs et cadres d’étude en recherche et développement pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

 "Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres d'étude en recherche et développement .
Laurent , dont l'année de naissance est 1965 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Laurent peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Après la réforme, Laurent ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 63 ans et 3 mois, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Laurent ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2739 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

, sauf pour les ingénieurs et cadres de fabrication des industries de transformation agroalimentaire pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

 "Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres de fabrication des industries de transformation agroalimentaire.
Thierry , dont l'année de naissance est 1968 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Thierry peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Après la réforme, Thierry ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Thierry ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2740 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

, sauf pour les ingénieurs et cadres technico-commerciaux des industries de transformations de biens intermédiaires pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

 Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres technico-commerciaux des industries de transformations biens intermédiaires.
Rémi, dont l'année de naissance est 1969 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Rémi peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Après la réforme, Rémi ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Rémi ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !

 

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2741 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

, sauf pour les ingénieurs et cadres d’étude, recherche et développement de la distribution d’énergie et d'eau pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres d'étude, recherche et développement de la distribution d'énergie et d'eau.
Marie-Claude, dont l'année de naissance est 1962 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Marie-Claude peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 168 trimestres, soit 42 années de cotisation. Après la réforme, Marie-Claude ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 62 ans et 6 mois, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Marie-Claude ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2742 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

, sauf pour les ingénieurs et cadres d’étude, recherche et développement des autres industries comme l’imprimerie, les matériaux souples, l’ameublement et le bois pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

 "Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres d'étude, recherche et développement des autres industries comme l'imprimerie, les matériaux souples, l'ameublement et le bois.
Gisèle , dont l'année de naissance est 1969 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Gisèle peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Après la réforme, Gisèle ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Gisèle ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2743 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

, sauf pour les ingénieurs et cadres de la production et de la distribution d’énergie et d’eau pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

 "Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres de la production et de la distribution d'énergie et d'eau.
Jean-Jacques , dont l'année de naissance est 1966 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Jean-Jacques peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Après la réforme, Jean-Jacques ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 63 ans et 6 mois, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Jean-Jacques ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2744 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

, sauf pour les ingénieurs et cadres de fabrication des autres industries comme l’imprimerie, les matériaux souples, l’ameublement et le bois pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

 "Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres de fabrication des autres industries comme l'imprimerie, les matériaux souples, l'ameublement et le bois.
Aline , dont l'année de naissance est 1963 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Aline peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 168 trimestres, soit 42 années de cotisation. Après la réforme, Aline ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 62 ans et 9 mois, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Aline ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2745 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

, sauf pour les ingénieurs et cadres des achats et des approvisionnements industriels pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n°    du      de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

 "Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres des achats et des approvisionnements industriels.
Marie-Françoise , dont l'année de naissance est 1962 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Marie-Françoise peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 168 trimestres, soit 42 années de cotisation. Après la réforme, Marie-Françoise ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 62 ans et 6 mois, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Marie-Françoise ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2747 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

, sauf pour les ingénieurs et cadres de la logistique, du planning et de l’ordonnancement pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n°     du      de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

 "Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres de la logistique, du planning et de l'ordonnancement.
Chantal , dont l'année de naissance est 1969 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Chantal peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Après la réforme, Chantal ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Chantal ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2748 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : 

, sauf pour les ingénieurs et cadres des méthodes de production pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n°     du      de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

 "Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres des méthodes de production.
Marie-Pierre , dont l'année de naissance est 1970 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Marie-Pierre peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Après la réforme, Marie-Pierre ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Marie-Pierre ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2760 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les ingénieurs et cadres du contrôle-qualité pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

 "Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres du contrôle-qualité.
Jean-Louis , dont l'année de naissance est 1972 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Jean-Louis peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Après la réforme, Jean-Louis ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Jean-Louis ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2761 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les ingénieurs et cadres de la maintenance, de l’entretien et des travaux neufs pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

 "Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres de la maintenance, de l'entretien et des travaux neufs.
Catherine , dont l'année de naissance est 1967 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Catherine peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Après la réforme, Catherine ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 63 ans et 9 mois, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Catherine ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2762 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les ingénieurs et cadres techniques de l’environnement pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

 "Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres techniques de l'environnement.
Fabienne , dont l'année de naissance est 1967 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Fabienne peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Après la réforme, Fabienne ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 63 ans et 9 mois, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Fabienne ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2763 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les ingénieurs et cadres d’étude en recherche et développement en informatique pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

"Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres d'étude en recherche et développement en informatique.
Marie , dont l'année de naissance est 1972 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Marie peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Après la réforme, Marie ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Marie ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2764 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les ingénieurs et cadres d’administration, en maintenance, support et services aux utilisateurs en informatique pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

 "Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres d'administration, en maintenance, support et services aux utilisateurs en informatique.
Josiane , dont l'année de naissance est 1966 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Josiane peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Après la réforme, Josiane ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 63 ans et 6 mois, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Josiane ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2765 rect.

2 mars 2023


 

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présenté par

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G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les chefs de projets informatiques et responsables informatiques pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

 "Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les chefs de projets informatiques et responsables informatiques.
Jean , dont l'année de naissance est 1971 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Jean peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Après la réforme, Jean ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Jean ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2766 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les ingénieurs et cadres technico-commerciaux en informatique et télécommunications pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

"Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres technico-commerciaux en informatique et télécommunications.
Michelle , dont l'année de naissance est 1968 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Michelle peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Après la réforme, Michelle ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Michelle ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2767 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les ingénieurs et cadres spécialistes des télécommunications pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

"Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres spécialistes des télécommunications.
Eric , dont l'année de naissance est 1964 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Eric peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Après la réforme, Eric ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 63 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Eric ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2768 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les ingénieurs et cadres techniques de l’exploitation des transports pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

 "Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres techniques de l'exploitation des transports.
Francis , dont l'année de naissance est 1963 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Francis peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 168 trimestres, soit 42 années de cotisation. Après la réforme, Francis ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 62 ans et 9 mois, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Francis ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2769 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots : :

sauf pour les officiers et cadres navigants techniques et commerciaux de l’aviation civile pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

 "Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les officiers et cadres navigants techniques et commerciaux de l'aviation civile.
Murielle , dont l'année de naissance est 1969 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Murielle peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Après la réforme, Murielle ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Murielle ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2770 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les officiers et cadres navigants techniques de la marine marchande pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

 "Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les officiers et cadres navigants techniques de la marine marchande.
Danielle , dont l'année de naissance est 1963 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Danielle peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 168 trimestres, soit 42 années de cotisation. Après la réforme, Danielle ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 62 ans et 9 mois, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Danielle ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2771 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les instituteurs pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

 "Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les instituteurs.
Danielle , dont l'année de naissance est 1971 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Danielle peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Après la réforme, Danielle ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Danielle ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2772 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les professeurs des écoles pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

 "Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les professeurs des écoles.
Colette , dont l'année de naissance est 1972 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Colette peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Après la réforme, Colette ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Colette ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2773 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les professeurs de lycée professionnel pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

 "Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les professeurs de lycée professionnel.
Joël , dont l'année de naissance est 1964 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Joël peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Après la réforme, Joël ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 63 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Joël ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2774 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les maîtres auxiliaires et professeurs contractuels de l’enseignement secondaire pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

"Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les maîtres auxiliaires et professeurs contractuels de l'enseignement secondaire.
Anita , dont l'année de naissance est 1962 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Anita peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 168 trimestres, soit 42 années de cotisation. Après la réforme, Anita ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 62 ans et 6 mois, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Anita ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2775 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les conseillers principaux d’éducation pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

 

Objet

"Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les conseillers principaux d'éducation.
Marie-Christine , dont l'année de naissance est 1969 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Marie-Christine peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Après la réforme, Marie-Christine ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Marie-Christine ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2776 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les moniteurs d’école de conduite pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

 

Objet

 "Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les moniteurs d'école de conduite.
Patricia , dont l'année de naissance est 1970 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Patricia peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Après la réforme, Patricia ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Patricia ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"

 

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2777 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les formateurs et animateurs de formation continue pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

 

Objet

 "Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les formateurs et animateurs de formation continue.
Nadine , dont l'année de naissance est 1963 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Nadine peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 168 trimestres, soit 42 années de cotisation. Après la réforme, Nadine ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 62 ans et 9 mois, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Nadine ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"

 

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2778 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les moniteurs et éducateurs sportifs, sportifs professionnels pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

 "Cet amendement du groupe SER vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les moniteurs et éducateurs sportifs, sportifs professionnels.
Marylene , dont l'année de naissance est 1971 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Marylene peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Après la réforme, Marylene ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Marylene ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2779 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les sous-bibliothécaires et les cadres intermédiaires du patrimoine pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

"Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les sous-bibliothécaires et les cadres intermédiaires du patrimoine.
Muriel , dont l'année de naissance est 1972 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Muriel peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Après la réforme, Muriel ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Muriel ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2780 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les cadres infirmiers et assimilés pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

 

Objet

 "Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les cadres infirmiers et assimilés.
Nadine , dont l'année de naissance est 1962 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Nadine peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 168 trimestres, soit 42 années de cotisation. Après la réforme, Nadine ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 62 ans et 6 mois, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Nadine ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2781 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les infirmiers psychiatriques pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

 "Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les infirmiers psychiatriques.
Agnès , dont l'année de naissance est 1965 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Agnès peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Après la réforme, Agnès ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 63 ans et 3 mois, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Agnès ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2782 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les puéricultrices pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

 "Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les puéricultrices.
Jean-Pierre , dont l'année de naissance est 1968 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Jean-Pierre peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Après la réforme, Jean-Pierre ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Jean-Pierre ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"

 

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2783 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les infirmiers spécialisés autres qu’infirmiers psychiatriques et puéricultrices pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

"Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les infirmiers spécialisés autres qu'infirmiers psychiatriques et puéricultrices.
Xavier , dont l'année de naissance est 1966 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Xavier peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Après la réforme, Xavier ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 63 ans et 6 mois, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Xavier ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2808 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les sages-femmes salariées pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

 

Objet

 "Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les sages-femmes salariées.
Claude , dont l'année de naissance est 1963 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Claude peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 168 trimestres, soit 42 années de cotisation. Après la réforme, Claude ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 62 ans et 9 mois, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Claude ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2809 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les infirmiers en soins généraux, salariés pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

"Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les infirmiers en soins généraux, salariés.
Christian , dont l'année de naissance est 1969 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Christian peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Après la réforme, Christian ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Christian ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2810 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les masseurs-kinésithérapeutes rééducateurs, salariés pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

 "Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les masseurs-kinésithérapeutes rééducateurs, salariés.
Michèle , dont l'année de naissance est 1971 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Michèle peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Après la réforme, Michèle ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Michèle ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2811 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les spécialistes de la rééducation, salariés pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

 "Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les spécialistes de la rééducation, salariés.
Sylviane , dont l'année de naissance est 1962 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Sylviane peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 168 trimestres, soit 42 années de cotisation. Après la réforme, Sylviane ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 62 ans et 6 mois, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Sylviane ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2812 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les techniciens médicaux pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

 "Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les techniciens médicaux.
Daniel , dont l'année de naissance est 1967 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Daniel peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Après la réforme, Daniel ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 63 ans et 9 mois, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Daniel ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2813 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les autres spécialistes de l’appareillage médical salariés pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

 "Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les autres spécialistes de l'appareillage médical salariés.
Nicolas , dont l'année de naissance est 1967 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Nicolas peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Après la réforme, Nicolas ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 63 ans et 9 mois, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Nicolas ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2814 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les préparateurs en pharmacie pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

 "Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les préparateurs en pharmacie.
Marie-Line , dont l'année de naissance est 1972 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Marie-Line peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Après la réforme, Marie-Line ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Marie-Line ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2815 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les cadres de l’intervention socio-éducative pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n°     du      de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

"Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les cadres de l'intervention socio-éducative.
Jean-Philippe , dont l'année de naissance est 1971 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Jean-Philippe peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Après la réforme, Jean-Philippe ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Jean-Philippe ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"

 

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2816 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les assistants de service social pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n°    du      de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

 "Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les assistants de service social.
Bertrand , dont l'année de naissance est 1967 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Bertrand peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Après la réforme, Bertrand ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 63 ans et 9 mois, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Bertrand ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2817 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les moniteurs éducateurs pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n°     du        de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

 "Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain apparentés vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les moniteurs éducateurs.
Claude , dont l'année de naissance est 1963 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Claude peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 168 trimestres, soit 42 années de cotisation. Après la réforme, Claude ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 62 ans et 9 mois, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Claude ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2818 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les directeurs de centres socioculturels et de loisirs pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n°    du      de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

 "Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les directeurs de centres socioculturels et de loisirs.
Marie-Laure , dont l'année de naissance est 1963 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Marie-Laure peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 168 trimestres, soit 42 années de cotisation. Après la réforme, Marie-Laure ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 62 ans et 9 mois, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Marie-Laure ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2819 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les animateurs socioculturels et de loisirs pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n°     du       de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

 "Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les animateurs socioculturels et de loisirs.
Geneviève , dont l'année de naissance est 1972 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Geneviève peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Après la réforme, Geneviève ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Geneviève ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2820 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour le clergé séculier pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n°     du      de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

 "Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les clergé séculier.
Gérard , dont l'année de naissance est 1962 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Gérard peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 168 trimestres, soit 42 années de cotisation. Après la réforme, Gérard ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 62 ans et 6 mois, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Gérard ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2821 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour le clergé régulier pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n°    du     de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

 "Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les clergé régulier.
Régine , dont l'année de naissance est 1962 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Régine peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 168 trimestres, soit 42 années de cotisation. Après la réforme, Régine ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 62 ans et 6 mois, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Régine ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2822 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les professions intermédiaires de la poste pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n°    du      de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

"Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les professions intermédiaires de la poste.
Marie-France , dont l'année de naissance est 1972 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Marie-France peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Après la réforme, Marie-France ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Marie-France ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2823 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les professions intermédiaires administratives de France Télécom de statut public pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n°    du     de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

 "Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les professions intermédiaires administratives de france télécom statut public.
Didier , dont l'année de naissance est 1964 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Didier peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Après la réforme, Didier ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 63 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Didier ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2824 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les contrôleurs des impôts, du trésor, des douanes et assimilés pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

 "Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les contrôleurs des impôts, du trésor, des douanes et assimilés.
Pierrette , dont l'année de naissance est 1967 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Pierrette peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Après la réforme, Pierrette ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 63 ans et 9 mois, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Pierrette ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2825 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les ingénieurs du contrôle de la navigation aérienne pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

"Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs du contrôle de la navigation aérienne.
Dominique , dont l'année de naissance est 1972 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Dominique peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Après la réforme, Dominique ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Dominique ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2826 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les autres personnels administratifs de catégorie B de l’État hors enseignement, patrimoine, impôts, trésor, douanes pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

 

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les autres personnels administratifs de catégorie b de l'etat hors enseignement, patrimoine, impôts, trésor, douanes.
Gilbert , dont l'année de naissance est 1971 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Gilbert peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Après la réforme, Gilbert ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Gilbert ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2827 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les professions intermédiaires administratives des collectivités locales pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les professions intermédiaires administratives des collectivités locales.
Patrick , dont l'année de naissance est 1972 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Patrick peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Après la réforme, Patrick ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Patrick ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2828 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les professions intermédiaires administratives des hôpitaux pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de laloi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les professions intermédiaires administratives des hôpitaux.
Paul , dont l'année de naissance est 1971 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Paul peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Après la réforme, Paul ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Paul ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2829 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les inspecteurs et officiers de police pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les inspecteurs et officiers de police.
Myriam , dont l'année de naissance est 1965 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Myriam peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Après la réforme, Myriam ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 63 ans et 3 mois, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Myriam ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2830 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les géomètres et topographes pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les géomètres, topographes.
Emmanuel , dont l'année de naissance est 1971 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Emmanuel peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Après la réforme, Emmanuel ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Emmanuel ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2831 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les techniciens des travaux publics de l’État et des collectivités locales pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

 "Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les techniciens des travaux publics de l'etat et des collectivités locales.
Arnaud , dont l'année de naissance est 1967 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Arnaud peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Après la réforme, Arnaud ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 63 ans et 9 mois, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Arnaud ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2832 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les chefs de petites surfaces de vente pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les chefs de petites surfaces de vente.
Jean-Michel , dont l'année de naissance est 1970 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Jean-Michel peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Après la réforme, Jean-Michel ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Jean-Michel ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2833 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. KANNER, Mmes LUBIN, CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mmes BLATRIX CONTAT et ASSASSI, M. MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les sergents et sous-officiers de grade équivalent des armées sauf les pompiers militaires pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les sergents et sous-officiers de grade équivalent des armées sauf pompiers militaires.

L'article 161-17-2 prévoit initialement l'ouverture des droits à la pension de retraite à 62 ans. Le présent amendement vite à conserver cet âge pour les sergents et sous-officiers. Cette réforme s’apprête à pénaliser un secteur que nous devons aujourd’hui prioriser. Il est dans notre intérêt de fidéliser nos militaires afin de garantir la cohésion de nos forces armées. Dans un contexte de tensions et de réaffirmation des puissances, le message envoyé par cette réforme des retraites est de fait totalement contradictoire avec les enjeux du moment. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2834 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. KANNER, Mmes LUBIN, CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mmes BLATRIX CONTAT et ASSASSI, M. MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les hommes du rang sauf les pompiers militaires pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les hommes du rang sauf pompiers militaires.

L'article 161-17-2 prévoit initialement l'ouverture des droits à la pension de retraite à 62 ans. Le présent amendement vite à conserver cet âge pour les hommes du rang. Cette réforme s’apprête à pénaliser un secteur que nous devons aujourd’hui prioriser. Il est dans notre intérêt de fidéliser nos militaires afin de garantir la cohésion de nos forces armées. Dans un contexte de tensions et de réaffirmation des puissances, le message envoyé par cette réforme des retraites est de fait totalement contradictoire avec les enjeux du moment. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2835 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. KANNER, Mmes LUBIN, CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mmes BLATRIX CONTAT et ASSASSI, M. MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les pompiers et pompiers militaires pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les pompiers et pompiers militaires.

L'article 161-17-2 prévoit initialement l'ouverture des droits à la pension de retraite à 62 ans. Le présent amendement vite à conserver cet âge pour les pompiers et pompiers militaires. Cette réforme s’apprête à pénaliser un secteur que nous devons aujourd’hui prioriser. Il est dans notre intérêt de fidéliser nos militaires afin de garantir la cohésion de nos forces armées. Dans un contexte de tensions et de réaffirmation des puissances, le message envoyé par cette réforme des retraites est de fait totalement contradictoire avec les enjeux du moment. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2836 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les employés non qualifiés des services comptables ou financiers pour qui l’âge fixé au présent alinéa dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n°   du   de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

 

Objet

"Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les employés non qualifiés des services comptables ou financiers.
Noël , dont l'année de naissance est 1965 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Noël peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Après la réforme, Noël ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 63 ans et 3 mois, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Noël ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2837 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les employés administratifs non qualifiés pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

 "Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les employés administratifs non qualifiés.
Marie-Paule , dont l'année de naissance est 1966 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Marie-Paule peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Après la réforme, Marie-Paule ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 63 ans et 6 mois, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Marie-Paule ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2838 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les employés et opérateurs d’exploitation en informatique pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2024 s’applique

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les employés et opérateurs d’exploitation en informatique.
Jeannine , dont l’année de naissance est 1965 ,exerce ce métier. Aujourd’hui, avant la réforme, Jeannine peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Après la réforme, Jeannine ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 63 ans et 3 mois, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Jeannine ! Votre réforme, c’est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2839 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les employés administratifs des services techniques de la banque pour qui l'âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s'applique

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les employés administratifs des services techniques de la banque.
Yannick , dont l'année de naissance est 1968 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Yannick peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Après la réforme, Yannick ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Yannick ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2840 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les employés des services commerciaux de la banque pour qui l'âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s'applique

Objet

 "Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les employés des services commerciaux de la banque.
Marie-Claude , dont l'année de naissance est 1970 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Marie-Claude peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Après la réforme, Marie-Claude ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Marie-Claude ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2841 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les employés des services techniques des assurances pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

 "Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les employés des services techniques des assurances.
Myriam , dont l'année de naissance est 1964 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Myriam peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Après la réforme, Myriam ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 63 ans, à condition de valider 171 trimestres, soit 42.75 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Myriam ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !
"



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2923 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les assurés victimes de sulfocarbonisme professionnel dont les modalités de reconnaissance sont fixées par décret pris après avis de la Haute Autorité de santé pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas appliquer la réforme du décalage de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans aux travailleurs victimes de rouget du porc.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2924 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les assurés victimes de tétanos professionnel dont les modalités de reconnaissance sont fixées par décret pris après avis de la Haute Autorité de santé pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

 Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas appliquer la réforme du décalage de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans aux travailleurs victimes de tétanos professionnel.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2925 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les assurés victimes d’affections cancéreuses provoquées par le trichloréthylène dont les modalités de reconnaissance sont fixées par décret pris après avis de la Haute Autorité de santé pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

 Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas appliquer la réforme du décalage de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans aux travailleurs victimes d' affections cancéreuses provoquées par le trichloréthylène.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2926 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les assurés victimes de tularémie dont les modalités de reconnaissance sont fixées par décret pris après avis de la Haute Autorité de santé pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

 Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas appliquer la réforme du décalage de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans aux travailleurs victimes de tularémie



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2927 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les assurés victimes d’ulcérations et de dermites provoquées par l’acide chromique, les chromates et bichromates alcalins, le chromate de zinc et le sulfate de chrome dont les modalités de reconnaissance sont fixées par décret pris après avis de la Haute Autorité de santé pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas appliquer la réforme du décalage de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans aux travailleurs victimes d' ulcérations et de dermites provoquées par l'acide chromique, les chromates et bichromates alcalins, le chromate de zinc et le sulfate de chrome.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2928 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les assurés victimes de vibrations et chocs transmis au système main/bras dont les modalités de reconnaissance sont fixées par décret pris après avis de la Haute Autorité de santé pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas appliquer la réforme du décalage de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans aux travailleurs victimes de vibrations et chocs transmis au système main/bras.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2929 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les assurés victimes d’affections provoquées par les vibrations et chocs transmis par certaines machines-outils, outils et objets et par les chocs itératifs du talon de la main sur des éléments fixes dont les modalités de reconnaissance sont fixées par décret pris après avis de la Haute Autorité de santé pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

 Cet amendement du groupe SER vise à ne pas appliquer la réforme du décalage de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans aux travailleurs victimes d' affections provoquées par les vibrations et chocs transmis par certaines machines-outils, outils et objets et par les chocs itératifs du talon de la main sur des éléments fixes.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2930 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les assistantes familiales pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les assistantes familiales.
Fatima , dont l'année de naissance est 1966 ,exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Fatima peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 169 trimestres, soit 42.25 années de cotisation. Après la réforme, Fatima ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 63 ans et 6 mois, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation. Votre réforme, c’est une machine à vie brisée comme celle de Fatima ! Votre réforme, c'est un impôt terriblement injuste sur la vie !



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3093 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, M. TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les assurés victimes d’ affections respiratoires dont les modalités de reconnaissance sont fixées par décret pris après avis de la Haute Autorité de santé pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

 Cet amendement du groupe SER vise à ne pas appliquer la réforme du décalage de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans aux travailleurs victimes d' affections respiratoires causées par des inhalations.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3094 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, M. TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les assurés victimes d’affections cancéreuses causées par l’acide chromique et les chromates et bichromates alcalins ou alcalinoterreux ainsi que par le chromate de zinc dont les modalités de reconnaissance sont fixées par décret pris après avis de la Haute autorité de santé pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

 Cet amendement du groupe SER vise à ne pas appliquer la réforme du décalage de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans aux travailleurs victimes d' affections cancéreuses causées par l'acide chromique et les chromates et bichromates alcalins ou alcalinoterreux ainsi que par le chromate de zinc



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3712 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes MONIER et PRÉVILLE, M. MAGNER, Mme de LA GONTRIE, MM. TODESCHINI, MONTAUGÉ, Patrice JOLY et FÉRAUD, Mmes Gisèle JOURDA et BRIQUET, M. LUREL, Mme Sylvie ROBERT, M. JOMIER, Mme CARLOTTI, M. CHANTREL, Mmes POUMIROL et LE HOUEROU, M. TISSOT, Mme CONWAY-MOURET et MM. CARDON, STANZIONE, DEVINAZ et JACQUIN


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les surveillants et aides-éducateurs des établissements d’enseignement pour lesquels l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les surveillants et aides-éducateurs des établissements d'enseignement.
Corine, dont l'année de naissance est 1968, exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Corine peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Après la réforme, Corine ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3719 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes MONIER et PRÉVILLE, M. MAGNER, Mme de LA GONTRIE, MM. TODESCHINI, MONTAUGÉ, Patrice JOLY et FÉRAUD, Mmes Gisèle JOURDA et BRIQUET, M. LUREL, Mme Sylvie ROBERT, M. JOMIER, Mme CARLOTTI, M. CHANTREL, Mmes POUMIROL et LE HOUEROU, M. TISSOT, Mme CONWAY-MOURET et MM. CARDON, STANZIONE, DEVINAZ et JACQUIN


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les professeurs d’enseignement général des collèges pour lesquels l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les professeurs d'enseignement général des collèges.

Didier, dont l'année de naissance est 1969, exerce ce métier. Aujourd'hui, avant la réforme, Didier peut partir à taux plein - sans décote ni surcote - à partir de 62 ans, à condition de valider 170 trimestres, soit 42.5 années de cotisation. Après la réforme, Didier ne pourra partir à taux plein - sans décote ni surcote - qu’à partir de 64 ans, à condition de valider 172 trimestres, soit 43 années de cotisation.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3751 rect.

7 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les instituteurs pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

 

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les instituteurs.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3752

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les professeurs des écoles pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les professeurs des écoles


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3753

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les professeurs de lycée professionnel pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les professeurs de lycée professionnel.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3754

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les maîtres auxiliaires et professeurs contractuels de l’enseignement secondaire pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les professeurs de lycée professionnel.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3755

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les maîtres auxiliaires et professeurs contractuels de l’enseignement secondaire pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les maîtres auxiliaires et professeurs contractuels de l'enseignement secondaire.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 3756

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les conseillers principaux d’éducation pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les conseillers principaux d'éducation.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3757

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les moniteurs d’école de conduite pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les moniteurs d'école de conduite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3758

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les formateurs et animateurs de formation continue pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les formateurs et animateurs de formation continue.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3759

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les moniteurs et éducateurs sportifs, sportifs professionnels pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les moniteurs et éducateurs sportifs, sportifs professionnels.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3760

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les sous-bibliothécaires et les cadres intermédiaires du patrimoine pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les sous-bibliothécaires et les cadres intermédiaires du patrimoine.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3761

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les cadres infirmiers et assimilés pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les cadres infirmiers et assimilés.
 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3762

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les infirmiers psychiatriques pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les infirmiers psychiatriques.
 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3764

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les puéricultrices pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les puéricultrices.
 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3766 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les infirmiers spécialisés autres qu’infirmiers psychiatriques et puéricultrices pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les infirmiers spécialisés autres qu'infirmiers psychiatriques et puéricultrices.
 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3767

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les sages-femmes salariées pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

 

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les sages-femmes salariées.
 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3768 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les infirmiers en soins généraux, salariés pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les infirmiers en soins généraux, salariés.
 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3769

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les masseurs-kinésithérapeutes rééducateurs, salariés pour lesquels l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les masseurs-kinésithérapeutes rééducateurs, salariés.
 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 3770

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les spécialistes de la rééducation, salariés pour lesquels l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les spécialistes de la rééducation, salariés.
 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3771

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les techniciens médicaux pour lesquels l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les techniciens médicaux.
 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3772

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les autres spécialistes de l’appareillage médical salariés pour lesquels l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les autres spécialistes de l'appareillage médical salariés.
 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3773

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME et M. LAHELLEC


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les préparateurs en pharmacie pour lesquels l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les préparateurs en pharmacie.
 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 3774

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les cadres de l’intervention socio-éducative pour lesquels l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les cadres de l'intervention socio-éducative.
 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les assistants de service social pour lesquels l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

 

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les assistants de service social.
 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les moniteurs éducateurs pour lesquels l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les moniteurs éducateurs.
 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 3780

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les directeurs de centres socioculturels et de loisirs pour lesquels l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les directeurs de centres socioculturels et de loisirs.
 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

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1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les animateurs socioculturels et de loisirs pour lesquels l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les animateurs socioculturels et de loisirs.
 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les clergés séculiers pour lesquels l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les clergé séculier.
 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les professions intermédiaires de la poste pour lesquels l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les professions intermédiaires de la poste.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 3788

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les professions intermédiaires administratives de France Télécom de statut public pour lesquels l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les professions intermédiaires administratives de France télécom statut public.
 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 3789

1 mars 2023


 

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présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les contrôleurs des impôts, du Trésor, des douanes et assimilés pour lesquels l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les contrôleurs des impôts, du trésor, des douanes et assimilés.
 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3791

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les ingénieurs du contrôle de la navigation aérienne pour lesquels l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs du contrôle de la navigation aérienne.
 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3792

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les autres personnels administratifs de catégorie B de l’État hors enseignement, patrimoine, impôts, Trésor, douanes pour lesquels l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les autres personnels administratifs de catégorie B de l'État hors enseignement, patrimoine, impôts, trésor, douanes.
 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3795

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les professions intermédiaires administratives des collectivités locales pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les professions intermédiaires administratives des collectivités locales.
 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3797

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les professions intermédiaires administratives des hôpitaux pour lesquelles l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les professions intermédiaires administratives des hôpitaux.
 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 3798

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les inspecteurs et officiers de police pour lesquels l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les inspecteurs et officiers de police.
 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3800

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les animateurs commerciaux des magasins de vente, marchandiseurs non cadres pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les animateurs commerciaux des magasins de vente, marchandiseurs non cadres.
 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3802

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les sergents et sous-officiers de grade équivalent des armées sauf pompiers militaires pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les sergents et sous-officiers de grade équivalent des armées sauf pompiers militaires.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 3804

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les hommes du rang sauf pompiers militaires pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les hommes du rang sauf pompiers militaires.
 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3807

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les pompiers et pompiers militaires pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les pompiers et pompiers militaires.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 3808

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les employés non qualifiés des services comptables ou financiers pour qui l’âge fixé au présent alinéa dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n°   du   de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les employés non qualifiés des services comptables ou financiers.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 3810

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les employés administratifs non qualifiés pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les employés administratifs non qualifiés.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 3812

1 mars 2023


 

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C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les employés et opérateurs d’exploitation en informatique pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les employés et opérateurs d’exploitation en informatique.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 3814

1 mars 2023


 

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C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les employés administratifs des services techniques de la banque pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les employés administratifs des services techniques de la banque.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 3816

1 mars 2023


 

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présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les employés des services techniques des organismes de sécurité sociale et assimilés pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les employés des services techniques des organismes de sécurité sociale et assimilés.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 3818

1 mars 2023


 

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présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3 

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les contrôleurs des transports personnels roulants pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les contrôleurs des transports personnels roulants.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 3820

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3 

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les agents des services commerciaux des transports de voyageurs et du tourisme pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n°   du   de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique 

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les agents des services commerciaux des transports de voyageurs et du tourisme.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3822

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3 

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les employés administratifs d’exploitation des transports de marchandises pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique 

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les employés administratifs d'exploitation des transports de marchandises.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3824

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3 

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les hôtesses de l’air et stewards pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique 

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les hôtesses de l'air et stewards.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3825 rect.

2 mars 2023


 

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présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3 

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les autres agents et hôtesses d’accompagnement dans les transports et le tourisme pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique 

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les autres agents et hôtesses d'accompagnement dans les transports et le tourisme.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3828

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3 

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les employés de libre service du commerce et magasiniers pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique 

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les employés de libre-service du commerce et magasiniers.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3830

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3 

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les caissiers de magasin pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les caissiers de magasin.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3833

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3 

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les vendeurs polyvalents des grands magasins pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique 

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les vendeurs polyvalents des grands magasins.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 3836

1 mars 2023


 

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présenté par

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G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3 

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les autres vendeurs non spécialisés pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique 

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les autres vendeurs non spécialisés.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 3837

1 mars 2023


 

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Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3 

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les vendeurs en alimentation pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique 

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les vendeurs en alimentation.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 3840

1 mars 2023


 

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Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3 

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les vendeurs en ameublement, décor, équipement du foyer pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique 

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les vendeurs en ameublement, décor et équipement du foyer.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3842

1 mars 2023


 

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Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3 

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les vendeurs en droguerie, bazar, quincaillerie, bricolage pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les vendeurs en droguerie, bazar, quincaillerie, bricolage.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3846

1 mars 2023


 

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G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 7


Alinéa 3 

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les vendeurs du commerce de fleurs pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les vendeurs du commerce de fleurs.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3848 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3 

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les vendeurs en habillement et articles de sport pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique 

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les vendeurs en habillement et articles de sport.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3850 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3 

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les vendeurs en produits de beauté, de luxe hors biens culturels et optique pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n°  du   de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les vendeurs en produits de beauté, de luxe hors biens culturels et optique.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3853 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les vendeurs de biens culturels, livres, disques, multimédia, objets d’art pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les vendeurs de biens culturels comme les livres, disques, le multimédia et les objets d’art.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3855 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les vendeurs de tabac, presse et articles divers pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

 

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les vendeurs de tabac, presse et articles divers.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3857 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les pompistes et gérants de station-service salariés ou mandataires pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les pompistes et gérants de station-service salariés ou mandataires.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3860 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les vendeurs en gros de biens d’équipement et biens intermédiaires pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les vendeurs en gros de biens d'équipement, biens intermédiaires.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3862 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les serveurs, commis de restaurant et garçons qualifiés pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les serveurs, commis de restaurant, garçons qualifiés.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3865 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les serveurs, commis de restaurant, garçons non qualifiés pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les serveurs, commis de restaurant, garçons non qualifiés.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3867 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les aides de cuisine, apprentis de cuisine et employés polyvalents de la restauration pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

 

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les aides de cuisine, apprentis de cuisine et employés polyvalents de la restauration.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3870 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les employés de l’hôtellerie de réception et de hall pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n°       du       de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les employés de l'hôtellerie : réception et hall.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3873 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les employés d’étage et employés polyvalents de l’hôtellerie pour lesquels l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les employés d'étage et employés polyvalents de l'hôtellerie.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3876 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les manucures et esthéticiens pour lesquels l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n°      du       de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les manucures, esthéticiens .



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3878 rect.

2 mars 2023


 

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présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les coiffeurs salariés pour lesquels l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n°     du     de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les coiffeurs salariés.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3880 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les assistantes maternelles, gardiennes d’enfants et familles d’accueil pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n°     du      de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les assistantes maternelles, gardiennes d'enfants, familles d'accueil.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3882 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les travailleuses familiales pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n°        du             de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les travailleuses familiales.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3883 rect.

2 mars 2023


 

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présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les employés de maison et personnels de ménage chez des particuliers pour lesquels l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n°           du           de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les employés de maison et personnels de ménage chez des particuliers.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3886 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les concierges et gardiens d’immeubles pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n°  du   de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les concierges, gardiens d'immeubles.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3889 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les employés des services divers pour lesquels l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n°         du       de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les employés des services divers.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3891 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les chefs d’équipe du gros œuvre et des travaux publics pour lesquels l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n°      du      de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les chefs d'équipe du gros œuvre et des travaux publics.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3899 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les ouvriers qualifiés du travail du béton pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ouvriers qualifiés du travail du béton.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3901 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les conducteurs qualifiés d’engins de chantiers du bâtiment et des travaux publics pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les conducteurs qualifiés d'engins de chantiers du bâtiment et des travaux publics.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3903 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les ouvriers des travaux publics en installations électriques et de télécommunications pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ouvriers des travaux publics en installations électriques et de télécommunications.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3905 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les autres ouvriers qualifiés des travaux publics pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les autres ouvriers qualifiés des travaux publics.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 3908 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les ouvriers qualifiés des travaux publics salariés de l’État et des collectivités territoriales pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ouvriers qualifiés des travaux publics salariés de l'etat et des collectivités locales.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3911 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

 sauf pour les conseillers de pôle emploi pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les conseillers de pôle emploi.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3914 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les autres monteurs câbleurs en électronique pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n°    du     de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les autres monteurs câbleurs en électronique.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3916 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les monteurs câbleurs qualifiés en électricité pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n°   du      de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les monteurs câbleurs qualifiés en électricité.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 3919 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les câbleurs qualifiés en électronique pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les câbleurs qualifiés en électronique.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3921 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les bobiniers qualifiés pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les bobiniers qualifiés.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3923 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les plateformistes, contrôleurs qualifiés de matériel électrique ou électronique pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les plateformistes, contrôleurs qualifiés de matériel électrique ou électronique.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3926 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les chaudronniers-tôliers industriels, opérateurs qualifiés du travail en forge, conducteurs qualifiés d’équipement de formage, traceurs qualifiés pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n°   du      de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les chaudronniers-tôliers industriels, opérateurs qualifiés du travail en forge, conducteurs qualifiés d'équipement de formage, traceurs qualifiés.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3928 rect.

2 mars 2023


 

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présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les câbleurs qualifiés en électronique pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les câbleurs qualifiés en électronique.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3930 rect.

2 mars 2023


 

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C Défavorable
G  
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Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les tuyauteurs industriels qualifiés pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n°   du      de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les tuyauteurs industriels qualifiés.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3933 rect.

2 mars 2023


 

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présenté par

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Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les soudeurs manuels pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n°   du      de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les soudeurs manuels.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3943 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les opérateurs qualifiés d’usinage des métaux travaillant à l’unité ou en petite série, moulistes qualifiés pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les opérateurs qualifiés d'usinage des métaux travaillant à l'unité ou en petite série, moulistes qualifiés.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3945 rect.

2 mars 2023


 

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présenté par

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G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les monteurs qualifiés en structures métalliques pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi    n°    du     de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les monteurs qualifiés en structures métalliques.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3948 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les pilotes d’installation lourde des industries de transformation agroalimentaire, chimie, plasturgie, énergie pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n°    du     de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les pilotes d'installation lourde des industries de transformation (agroalimentaire, chimie, plasturgie, énergie).



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3950 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les ouvriers qualifiés et agents qualifiés de laboratoire dans l’agroalimentaire, la chimie, la biologie et la pharmacie pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n°        du        de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ouvriers qualifiés et agents qualifiés de laboratoire (dans l'agroalimentaire, la chimie, la biologie, la pharmacie, etc.).



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3952 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les opérateurs de la transformation des viandes pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n°       du       de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les opérateurs de la transformation des viandes.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3954 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les autres ouvriers de production qualifiés ne travaillant pas sur machine de l’industrie agroalimentaire hors transformation des viandes pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les autres ouvriers de production qualifiés ne travaillant pas sur machine : industrie agroalimentaire hors transformation des viandes.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3956 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les ouvriers qualifiés des autres industries de l’eau, gaz, énergie et chauffage pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ouvriers qualifiés des autres industries eau, gaz, énergie, chauffage.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3957 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les opérateurs et ouvriers qualifiés des industries lourdes du bois et de la fabrication du papier-carton pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les opérateurs et ouvriers qualifiés des industries lourdes du bois et de la fabrication du papier-carton.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3959 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les opérateurs qualifiés du textile et de la mégisserie pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les opérateurs qualifiés du textile et de la mégisserie.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3963 rect.

4 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les ouvriers qualifiés de la coupe des vêtements et de l'habillement, autres opérateurs de confection qualifiés, pour lesquels l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ouvriers qualifiés du travail industriel du cuir.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3965 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots

sauf pour les ouvriers qualifiés de scierie, de la menuiserie industrielle et de l’ameublement pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ouvriers qualifiés de scierie, de la menuiserie industrielle et de l'ameublement.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3967 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les ouvriers de la photogravure et des laboratoires photographiques et cinématographiques pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ouvriers de la photogravure et des laboratoires photographiques et cinématographiques.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3969 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots

sauf pour les ouvriers de la composition et de l’impression, ouvriers qualifiés de la brochure, de la reliure et du façonnage du papier-carton pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ouvriers de la composition et de l'impression, ouvriers qualifiés de la brochure, de la reliure et du façonnage du papier-carton.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3971 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les mécaniciens qualifiés de maintenance, entretien pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les mécaniciens qualifiés de maintenance, entretien.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3973 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les ouvriers qualifiés de l’assainissement et du traitement des déchets pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ouvriers qualifiés de l'assainissement et du traitement des déchets.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3975 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les métalliers et serruriers qualifiés pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les métalliers, serruriers qualifiés.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3977 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les tailleurs et couturières qualifiés, ouvriers qualifiés du travail des étoffes sauf fabrication de vêtements et ouvriers qualifiés de type artisanal du travail du cuir pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les tailleurs et couturières qualifiés, ouvriers qualifiés du travail des étoffes sauf fabrication de vêtements, ouvriers qualifiés de type artisanal du travail du cuir.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3980 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3
Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les bouchers sauf industrie de la viande pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les bouchers sauf industrie de la viande.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3983 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les charcutiers sauf industrie de la viande pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les charcutiers sauf industrie de la viande.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3985 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les boulangers et les pâtissiers sauf activité industrielle pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les boulangers, pâtissiers sauf activité industrielle.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3987 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les cuisiniers et commis de cuisine pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les cuisiniers et commis de cuisine.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3989 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les ouvriers d’art pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ouvriers d'art.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3992 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3 

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les ouvriers et techniciens des spectacles vivants et audiovisuels pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ouvriers et techniciens des spectacles vivants et audiovisuels.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3993 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3 

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les ouvriers qualifiés divers de type artisanal pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ouvriers qualifiés divers de type artisanal.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3995 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3 

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les conducteurs routiers et grands routiers pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les conducteurs routiers et grands routiers.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3997 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3 

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les conducteurs de véhicule routier de transport en commun pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les conducteurs de véhicule routier de transport en commun.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4000 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3 

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les conducteurs de taxi pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les conducteurs de taxi.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4003 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3 

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les conducteurs de voiture particulière pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les conducteurs de voiture particulière.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4006 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3 

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les coursiers pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique 

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les coursiers.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4008 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3 

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les conducteurs de véhicule de ramassage des ordures ménagères pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique 

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les conducteurs de véhicule de ramassage des ordures ménagères.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4011 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3 

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les conducteurs d’engin lourd de levage pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique 

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les conducteurs d'engin lourd de levage.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4015 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

 sauf pour les conducteurs d’engin lourd de manœuvre pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les conducteurs d'engin lourd de manœuvre.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4017 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les ouvriers qualifiés de la manutention, conducteurs de chariots élévateurs, caristes pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ouvriers qualifiés de la manutention, conducteurs de chariots élévateurs, caristes.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4020 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les dockers pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les dockers.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4023 rect.

2 mars 2023


 

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présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les magasiniers qualifiés pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les magasiniers qualifiés.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4026 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les conducteurs qualifiés de systèmes de remontées mécaniques pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les conducteurs qualifiés de systèmes de remontées mécaniques.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4028 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

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G  
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Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les matelots de la marine marchande pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les matelots de la marine marchande.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4031 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les capitaines et matelots timoniers de la navigation fluviale pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les capitaines et matelots timoniers de la navigation fluviale.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4034 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les ouvriers non qualifiés des travaux publics de l’État et des collectivités locales pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ouvriers non qualifiés des travaux publics de l'État et des collectivités locales.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4036 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les aides-mineurs, ouvriers non qualifiés de l’extraction pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les aides-mineurs, ouvriers non qualifiés de l'extraction.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4038 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les ouvriers non qualifiés de l’électricité et de l’électronique pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ouvriers non qualifiés de l'électricité et de l'électronique.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4040 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les ouvriers de production non qualifiés dans la chimie, la pharmacie, la plasturgie, etc. pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ouvriers de production non qualifiés dans la chimie, la pharmacie, la plasturgie, etc.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4042 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les ouvriers de production non qualifiés de la transformation des viandes pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ouvriers de production non qualifiés de la transformation des viandes.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4044 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les ouvriers de production non qualifiés du travail du bois et de l’ameublement pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ouvriers de production non qualifiés du travail du bois et de l'ameublement.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4046 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les ouvriers de production non qualifiés de l’imprimerie, presse, édition pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ouvriers de production non qualifiés de l'imprimerie, presse, édition.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4049 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les manutentionnaires non qualifiés pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les manutentionnaires non qualifiés.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4051 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les déménageurs hors chauffeurs-déménageurs, non qualifiés pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les déménageurs hors chauffeurs-déménageurs, non qualifiés.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 4053 rect.

2 mars 2023


 

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C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les ouvriers du tri, de l’emballage, de l’expédition, non qualifiés pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ouvriers du tri, de l'emballage, de l'expédition, non qualifiés.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 4055 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les agents non qualifiés des services d’exploitation des transports pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les agents non qualifiés des services d'exploitation des transports.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4057 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les ouvriers non qualifiés divers de type industriel pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ouvriers non qualifiés divers de type industriel.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4060 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les ouvriers non qualifiés du gros œuvre du bâtiment pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ouvriers non qualifiés du gros œuvre du bâtiment.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4066 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les apprentis boulangers, bouchers et charcutiers pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les apprentis boulangers, bouchers, charcutiers.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4068 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les nettoyeurs pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les nettoyeurs.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4070 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les ouvriers non qualifiés de l’assainissement et du traitement des déchets pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ouvriers non qualifiés de l'assainissement et du traitement des déchets.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4072 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

 sauf pour les conducteurs d’engin agricole ou forestier pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les conducteurs d'engin agricole ou forestier.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4074 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

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G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les ouvriers de l’élevage pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ouvriers de l'élevage.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4078 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les ouvriers du maraîchage ou de l’horticulture pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ouvriers du maraîchage ou de l'horticulture.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 4079 rect.

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Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les ouvriers de la viticulture ou de l’arboriculture fruitière pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ouvriers de la viticulture ou de l'arboriculture fruitière.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4081 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les ouvriers agricoles sans spécialisation particulière pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ouvriers agricoles sans spécialisation particulière.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4083 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les ouvriers de l’exploitation forestière ou de la sylviculture pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

 

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ouvriers de l'exploitation forestière ou de la sylviculture.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4085 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les marins-pêcheurs et ouvriers de l’aquaculture pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les marins-pêcheurs et ouvriers de l'aquaculture.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4087 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les agents des souterrains des égouts et aux agents des services insalubres dont le régime applicable est l'article L. 416-1 du code des communes

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les égoutiers.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4088 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les assurés victimes de la pénibilité psychique dont les modalités de reconnaissance sont fixées par décret pris après avis de la Haute Autorité de santé pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas appliquer la réforme aux travailleuses et aux travailleurs victimes de mal-être au travail.

En France, on considère qu’il y a environ 3,2 millions de salariés français – soit plus de 12 % de la population active – qui présenteraient un « risque de burn out ». Toutefois, si les risques sont réels, leur prise en charge reste encore insuffisante.

Il convient donc d’assurer une meilleure protection des salariés victimes de pénibilité psychique conformément à l’alinéa 3 de l’accord du 21 janvier 2019 relatif aux risques psychosociaux. L’allongement de la durée de la retraite ne fera qu’accentuer ce mal-être au travail.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4089 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les aides-soignants pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les aides-soignants.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4090 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les accompagnants des élèves en situation de handicap pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les accompagnants des élèves en situation de handicap.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4091 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les auxiliaires de vie sociale pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour auxiliaires de vie sociale.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 4093 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les aides à domicile pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les aides à domicile.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 4095 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les agents territoriaux spécialisés des écoles maternelles pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les agents territoriaux spécialisés des écoles maternelles.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4195 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les doctorants pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les doctorantes et les doctorants.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4402 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

, sauf pour les enseignants-chercheurs pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les enseignants-chercheurs.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4425 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les assurés du territoire de la Guadeloupe pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas appliquer la réforme du décalage de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans au territoire de la Guadeloupe.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4427 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les assurés du territoire de la Guyane, pour lesquels l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n°   du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

L’impact de cette réforme individualiste et déshumanisante sera ainsi encore plus dramatique dans les outre-mer.

En effet, dans ces territoires déjà délaissés par la République, où la majorité des populations vit en dessous des seuils de pauvreté, la réalité est celle de vies actives hachées, d’une accumulation de « petits boulots » à la pénibilité accrue, qui ne permettent pas de vivre décemment.

Selon l’INSEE "les retraités des Outre-mer ont cotisé moins longtemps, la durée de cotisation en moyenne est plus basse qu’ailleurs. Ils ont travaillé moins souvent, ont eu davantage d’interruption de carrière", d'où un âge moyen de départ à la retraite mécaniquement plus élevé.

Les fins de carrière dans les outre-mer sont souvent synonymes d’inadaptation aux postes de travail et de longues maladies.

Carrières incomplètes, niveau de vie insuffisant : les travailleuses et travailleurs ultramarins sont en réalité obligés de prendre plus tard leur retraite afin de bénéficier d’une majoration de la pension de la retraite de base.

Le report de l'âge légal n'aura donc pas, contrairement à ce qu'avançait le ministre du travail, "un caractère moins mordant", argument bancal fondé sur un âge de départ à la retraite dans les territoires ultramarins d'ores-et-déjà plus avancé en moyenne que dans l'Hexagone.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4428 rect.

2 mars 2023


 

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présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

 sauf pour les assurés du territoire de la Réunion pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas appliquer la réforme du décalage de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans au territoire de la Réunion. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4429 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les assurés du territoire de Mayotte pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

 

Objet

Cet amendement vise à ne pas appliquer la réforme du décalage de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans au territoire de Mayotte. 

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4430 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les assurés du territoire de Saint-Martin pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas appliquer la réforme du décalage de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans au territoire de Saint-Martin. 

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4432 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les employés des services commerciaux de la banque pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les employés des services commerciaux de la banque. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4433 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les employés des services techniques des assurances pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les employés des services techniques des assurances. 

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4434 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les adjudants-chefs, adjudants et sous-officiers de rang supérieur de l’armée et de la gendarmerie pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les adjudants-chefs, adjudants et sous-officiers de rang supérieur de l'armée et de la gendarmerie.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4435 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les secrétaires de direction, assistants de direction non cadres pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les secrétaires de direction, assistants de direction non cadres. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4436 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les secrétaires de niveau supérieur non cadres, hors secrétaires de direction pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les secrétaires de niveau supérieur non cadres, hors secrétaires de direction. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4437 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les agents de maîtrise et techniciens administratifs des autres services administratifs pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les agents de maîtrise et techniciens administratifs des autres services administratifs. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 4438 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les chefs de petites surfaces de vente pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les chefs de petites surfaces de vente. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4439 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les jardiniers pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les jardiniers. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4440 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les ouvriers qualifiés du travail de la pierre pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ouvriers qualifiés du travail de la pierre. 

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4441 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les charpentiers en bois qualifiés pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les charpentiers en bois qualifiés. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4442 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les menuisiers qualifiés du bâtiment pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les menuisiers qualifiés du bâtiment.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4443 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les couvreurs qualifiés pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

 

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les couvreurs qualifiés. 

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4444 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les plombiers et chauffagistes qualifiés pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les plombiers et chauffagistes qualifiés. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4445 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les soliers moquetteurs et ouvriers qualifiés de pose de revêtements souples sur supports horizontaux pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les soliers moquetteurs et ouvriers qualifiés de pose de revêtements souples sur supports horizontaux.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4446 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les ouvriers qualifiés d’entretien général des bâtiments pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ouvriers qualifiés d'entretien général des bâtiments.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4447 rect.

2 mars 2023


 

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présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les sergents et sous-officiers de grade équivalent des armées sauf pompiers militaires pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les sergents et sous-officiers de grade équivalent des armées et pompiers militaires.

L'article 161-17-2 prévoit initialement l'ouverture des droits à la pension de retraite à 62 ans. Le présent amendement vise à conserver cet âge pour les sergents et sous-officiers. Cette réforme s’apprête à pénaliser un secteur que nous devons aujourd’hui prioriser.

Il est dans notre intérêt de fidéliser nos militaires afin de garantir la cohésion de nos forces armées. Dans un contexte de tensions et de réaffirmation des puissances, le message envoyé par cette réforme des retraites est de fait totalement contradictoire avec les enjeux du moment. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4448 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

 sauf pour les électriciens qualifiés de type artisanal et du bâtiment pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les électriciens qualifiés de type artisanal et du bâtiment. 

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4449 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les dépanneurs qualifiés en radiotélévision, électroménager et matériel électronique salariés pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les dépanneurs qualifiés en radiotélévision, électroménager, matériel électronique salariés.

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4450 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les électriciens et électroniciens qualifiés en maintenance entretien et réparation automobile pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les électriciens, électroniciens qualifiés en maintenance entretien, réparation : automobile.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4451 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les électriciens, électroniciens qualifiés en maintenance, entretien  et équipements non industriels pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

 

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les électriciens, électroniciens qualifiés en maintenance, entretien : équipements non industriels.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4452 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les carrossiers d’automobiles qualifiés pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les carrossiers d'automobiles qualifiés.

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4453 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les ingénieurs et cadres du contrôle-qualité pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres du contrôle-qualité.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4454 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les ingénieurs et cadres de la maintenance, de l’entretien et des travaux neufs pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres de la maintenance, de l'entretien et des travaux neufs.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 4455 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les ingénieurs et cadres techniques de l’environnement pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres techniques de l'environnement.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 4456 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les ingénieurs et cadres d’étude en recherche et développement en informatique pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres d'étude en recherche et développement en informatique.

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4457 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les ingénieurs et cadres d’administration, maintenance, support et services aux utilisateurs en informatique pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres d'administration, en maintenance, support et services aux utilisateurs en informatique.

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 4458 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les chefs de projets informatiques, responsables informatiques pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les chefs de projets informatiques et responsables informatiques.

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4459 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les ingénieurs et cadres technico-commerciaux en informatique et télécommunications pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres technico-commerciaux en informatique et télécommunications.

 

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 4460 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les ingénieurs et cadres spécialistes des télécommunications pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

 

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres spécialistes des télécommunications.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4461 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les ingénieurs et cadres techniques de l’exploitation des transports pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

 

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres techniques de l'exploitation des transports.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4463 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les officiers et cadres navigants techniques et commerciaux de l’aviation civile pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les officiers et cadres navigants techniques et commerciaux de l'aviation civile.

 

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4464 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les officiers et cadres navigants techniques de la marine marchande pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique

 

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les officiers et cadres navigants techniques de la marine marchande.

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4098 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 4

Supprimer cet alinéa.

Objet

 Cet amendement vise à ne pas décaler progressivement l'âge légal de départ à la retraite pour les générations nées entre septembre 1961 et 1967.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 400

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. BENARROCHE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les professeurs d’enseignement général des collèges, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les professeurs d’enseignement général des collèges.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 401

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. BENARROCHE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernées par le présent alinéa les professions intermédiaires de la Poste, pour lesquelles l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les professions intermédiaires de la poste.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 402

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. BENARROCHE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les standardistes, téléphonistes, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Ecologiste, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les standardistes, téléphonistes.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 403

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. BENARROCHE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernées par le présent alinéa les professions intermédiaires administratives de France Télécom statut public, pour lesquelles l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les professions intermédiaires administratives de france télécom statut public.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 404

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. BENARROCHE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les contrôleurs des impôts, du trésor, des douanes et assimilés, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les contrôleurs des impôts, du trésor, des douanes et assimilés.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 405

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. BENARROCHE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les vendeurs de biens culturels, livres, disques, multimédia, objets d’art, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les vendeurs de biens culturels livres, disques, multimédia, objets d'art.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 406

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. BENARROCHE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les vendeurs de tabac, presse et articles divers, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les vendeurs de tabac, presse et articles divers


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 407

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. BENARROCHE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les vendeurs par correspondance, télévendeurs, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

I. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les vendeurs par correspondance, télévendeurs.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 408

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. BENARROCHE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les vendeurs en gros de biens d’équipement et biens intermédiaires, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les vendeurs en gros de biens d'équipement, biens intermédiaires.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 409

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. BENARROCHE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les serveurs, commis de restaurant et garçons qualifiés, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les serveurs, commis de restaurant, garçons qualifiés.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 410

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. BENARROCHE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les aides de cuisine, apprentis de cuisine et employés polyvalents de la restauration, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les aides de cuisine, apprentis de cuisine et employés polyvalents de la restauration.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 411

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. BENARROCHE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les employés de l’hôtellerie de réception et de hall, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les employés de l’hôtellerie : réception et hall.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2398

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. SALMON, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et M. PARIGI


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les autres personnels administratifs de catégorie B de l’État hors enseignement, patrimoine, impôts, trésor, douanes, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les autres personnels administratifs de catégorie B de l’État hors enseignement, patrimoine, impôts, trésor, douanes.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2399

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. SALMON, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et M. PARIGI


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernées par le présent alinéa les professions intermédiaires administratives des collectivités locales, pour lesquelles l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les professions intermédiaires administratives des collectivités locales.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2400

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. SALMON, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et M. PARIGI


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernées par le présent alinéa les professions intermédiaires administratives des hôpitaux, pour lesquelles l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste – Solidarité et territoires, vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les professions intermédiaires administratives des hôpitaux.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2401

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. SALMON, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et M. PARIGI


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les secrétaires de direction, assistants de direction non cadres, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

 Cet amendement du groupe Écologiste – Solidarité et territoires, vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les secrétaires de direction, assistants de direction non cadres.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2402

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. SALMON, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et M. PARIGI


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les secrétaires de niveau supérieur non cadres, hors secrétaires de direction, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste – Solidarité et territoires, vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les secrétaires de niveau supérieur non cadres, hors secrétaires de direction.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2403

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. SALMON, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et M. PARIGI


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les agents d’accueil qualifiés, hôtesses d’accueil et d’information, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les agents d’accueil qualifiés, hôtesses d’accueil et d’information.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2404

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. SALMON, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et M. PARIGI


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les ingénieurs des collectivités locales et des hôpitaux, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs des collectivités locales et des hôpitaux.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2405

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. SALMON, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et M. PARIGI


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les agents d’accueil non qualifiés, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les agents d’accueil non qualifiés.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2406

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. SALMON, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et M. PARIGI


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les agents de maîtrise et les techniciens administratifs, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les agents de maîtrise et les techniciens administratifs.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2407

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. SALMON, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et M. PARIGI


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les chefs de petites surfaces de vente, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les chefs de petites surfaces de vente.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2408

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. SALMON, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et M. PARIGI


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les agents civils de sécurité et de surveillance, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les agents civils de sécurité et de surveillance.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2409

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. SALMON, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et M. PARIGI


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernées par le présent alinéa les professions de la maîtrise de l’exploitation des magasins de vente, pour lesquelles l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les les professions de la maîtrise de l'exploitation des magasins de vente.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2410

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. SALMON, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et M. PARIGI


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les acheteurs non classés cadres, aides-acheteurs, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les acheteurs non classés cadres, aides-acheteurs.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2411

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. SALMON, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et M. PARIGI


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les pompiers et pompiers militaires, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les pompiers et pompiers militaires.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2412

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les agents techniques forestiers, gardes des espaces naturels, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les agents techniques forestiers, gardes des espaces naturels.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 2413

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. SALMON, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et M. PARIGI


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les chefs d’entreprise de l’industrie ou des transports, de 10 à 49 salariés, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les chefs d’entreprise de l’industrie ou des transports, de 10 à 49 salariés.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2414

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. SALMON, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et M. PARIGI


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les chefs d’entreprise commerciale, de 10 à 49 salariés, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les chefs d’entreprise commerciale, de 10 à 49 salariés.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2415

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. SALMON, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et M. PARIGI


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les chefs d’entreprise de services, de 10 à 49 salariés, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les chefs d’entreprise de services, de 10 à 49 salariés.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

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1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. SALMON, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et M. PARIGI


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les surveillants de l’administration pénitentiaire, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les surveillants de l’administration pénitentiaire.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2417

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. SALMON, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et M. PARIGI


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les chefs d’entreprise du bâtiment et des travaux publics, de 10 à 49 salariés, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les chefs d’entreprise du bâtiment et des travaux publics, de 10 à 49 salariés.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2418

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. SALMON, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et M. PARIGI


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les ambulanciers salariés, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ambulanciers salariés.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2420

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. SALMON, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et M. PARIGI


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les artisans salariés de leur entreprise, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les artisans salariés de leur entreprise.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 2421

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. SALMON, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et M. PARIGI


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les auxiliaires de puériculture, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les auxiliaires de puériculture.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2422

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. SALMON, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et M. PARIGI


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les assistants dentaires, médicaux et vétérinaires, aides de techniciens médicaux, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les assistants dentaires, médicaux et vétérinaires, aides de techniciens médicaux.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2437

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. DOSSUS, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les carrossiers d’automobiles qualifiés pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5 

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires a pour objet de ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les carrossiers d'automobiles qualifiés.

Sur les ondes de RMC, Alexandre, un jeune carrossier de 22 ans, annonce qu’il n’accepte pas de devoir travailler une année de plus. “Travailler 44 ans au lieu de 43, je trouve ça un peu injuste” explique-t-il. “Mon père a commencé comme moi, au même âge que moi. D’abord en carrosserie, puis en peinture. Maintenant, il a une cinquantaine d’années, et il commence à avoir des problèmes de dos”, assure-t-il. Carlos Cordeiro, le gérant du garage, pense que rallonger ces carrières longues d’un an peut entraîner des difficultés pour les salariés qui approcheront de la retraite. “On redoute surtout cette année de trop. Avec des absences de salariés un peu plus récurrentes parce qu’ils sont en fin de carrière, parce que physiquement, ils ne peuvent plus. On sera obligé de remplacer la personne tout en la gardant dans l’effectif et donc ça nous coûtera des charges en plus. C’est pénalisant”, dénonce-t-il.

La situation de ces carrossiers est symptomatique des problèmes causés par l’article 7 du présent projet de loi. Elle met en lumière les multiples problèmes de santé de travailleurs qui ne veulent plus, qui ne peuvent plus travailler pour cotiser une année de plus.

Le groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, à l’instar des partenaires sociaux, des autres forces de gauche et d’une large part de la société, appelle à explorer d’autres pistes comme l’augmentation des cotisations sociales patronales ou la contribution sur les super-profits.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2438

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. DOSSUS, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les mécaniciens qualifiés en maintenance, entretien et réparation d’automobile pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires a pour objet d’exclure les mécaniciens qualifiés en maintenance, entretien, réparation automobile des mesures d’allongement de la durée de cotisation et de l’âge légal prévues par l’article 7 du présent projet de loi.

Sur le site de presse actu.fr, Laurent, mécanicien à son compte dans l’Orne, explique qu’à 40 ans, il ne se voit guère exécuter encore son métier jusqu’à 64 ans. Voire plus, car selon lui « on n’est pas à l’abri de réformes futures ».

Laurent a suivi la voie de son père avant lui, mécanicien par la voie de l’apprentissage. Il aime son métier, mais il ne se voit pas continuer ce métier après 60 ans en raison de sa pénibilité, même si les conditions de travail se sont améliorées. L’environnement est polluant, l’atelier est très froid, le rythme de travail est également intense, avec une présence de dix heures par jour sans compter le samedi matin.

Tenir ces cadences et supporter ces contraintes a un âge avancé, ce sera trop dur pour Laurent, qui ne pourra pas non plus compter sur des embauches futures pour réduire son temps de travail car son entreprise est trop petite. 

Comme tous les travailleurs qui défilent par millions dans nos rues, Laurent a peur. Il a peur d’arriver à la retraite « épuisé » et ne pas pouvoir en profiter. Son dernier constat est édifiant : “Ce qui me gêne le plus, c’est que ce sont des personnes très éloignées de notre métier, de sa pénibilité au quotidien, qui vont décider et nous dire quoi faire”

Pour Laurent et pour tous les travailleurs confrontés à la pénibilité de leur travail, les écologistes proposent de ne pas appliquer l’article 7.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2439

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. DOSSUS, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les mécaniciens qualifiés en maintenance et entretien d’équipements non industriels pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5 

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires a pour objet de ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les mécaniciens qualifiés de maintenance et d’entretien des équipements non industriels.

L’article 7 pousse le législateur à se pencher sur les questions de pénibilité au travail, sur le ce que subissent des millions de travailleuses et travailleurs au quotidien dans leur emploi.

Dans le cas présent, les mécaniciens de maintenance, il faut se pencher sur un cas précis : les mécaniciens chargés de la maintenance des ascenseurs. A ce titre, la section CGT de l'entreprise Schneider a réalisé un tableau d’exposition à des facteurs de pénibilité qui est riche d’enseignements.

Concernant le port de charges supérieures 15 kg - ou à 10 kg sous contrainte posturale - c'est-à-dire le dos voûté - avec des manutentions manuelles irrégulières et variables selon l'importance du chantier et son accessibilité. La durée d'exposition à ces masses est comprise entre 30 et 60 mn/jour/technicien sur une année complète. En masses manutentionnées cumulées, elles sont comprises entre 1 et 3 tonnes par jour par technicien avec des dépassements de seuil possibles sur certaines journées. La position accroupi/agenouillé est fréquente et prolongée, entre 30 et 90 mn/jour/technicien sur une année complète. Idem pour la position bras en élévation pour la fixation et montage des matériels dans la gaine ou au niveau de la cabine. Pour la torsion latérale du tronc, à l'occasion d'intervention dans des espaces difficiles d'accès, la durée d'exposition est comprise entre 20 et 30 mn/jour/Technicien. 

Imaginer que de telles contraintes physiques pourront être réalisées par des techniciens dépassant les 62 ans n’est ni digne ni réaliste. D’autant plus que ces travailleuses et travailleurs n’auront pas le droit à un départ anticipé pour raison de pénibilité puisque le Gouvernement a supprimé deux critères de pénibilité les concernant directement : les postures pénibles et les manutentions manuelles de charges.

Les écologistes appellent de tout urgence à exclure ces personnes de l’allongement de la durée du travail et à rétablir une liste de critères de pénibilité qui prenne en compte la réalité des conditions de travail.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2440

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. DOSSUS, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les tailleurs et couturières qualifiés, ouvriers qualifiés du travail des étoffes sauf fabrication de vêtements et ouvriers qualifiés de type artisanal du travail du cuir pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5 

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires a pour objet de ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les tailleurs et couturières qualifiés, pour les ouvriers qualifiés du travail des étoffes et pour les ouvriers qualifiés de type artisanal du travail du cuir

Le travail du textile est un métier objectivement pénible. Il requiert une grande concentration, le maintien de postures sur une longue période de temps et des gestes précis et répétés. Son impact sur la santé se manifeste par de nombreuses afflictions, avec un impact sur la vue, le dos, les articulations. A force de travailler les étoffes toute la journée, la vue baisse, les lumbagos deviennent monnaie courante et les tendinites apparaissent à répétition.

Le travail textile est également un métier féminin et ces femmes, malgré la communication du Gouvernement, seront encore plus impactées par la réforme.

En effet, le système de retraite est pensé sur le modèle des carrières des hommes. Les retraites sont calculées selon deux facteurs : le salaire et la durée de carrière. Or, les femmes ont des carrières plus courtes ou des salaires plus faibles que ceux des hommes, particulièrement dans le domaine de la couture. C’est pourquoi celles-ci bénéficient de pensions moindres, elles ont plus de difficultés à atteindre le taux plein et elles partent plus tardivement à la retraite (en 2020, 62 ans et 6 mois pour les femmes et 62 ans pour les hommes).

A ces difficultés d’ordre général sur les femmes, s’ajoutent aussi des difficultés structurelles du secteur textile. Ainsi, la production et l’exportation du domaine textile européen (31 milliards d’euros par an) sont fortement concurrencés par la Chine (158 milliards d’euros par an).

Pour prendre en compte les facteurs de pénibilité, pour ne pas impacter davantage les femmes et pour prendre en compte les réalités économiques du secteur, les écologistes proposent d’exclure les travailleuses et travailleurs textiles du dispositif de l’article 7.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2441

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. DOSSUS, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les modeleurs sauf les modeleurs de métal, les mouleurs-noyauteurs à la main, les ouvriers qualifiés du travail du verre ou de la céramique à la main pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5 

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les modeleurs, mouleurs-noyauteurs à la main, ouvriers qualifiés du travail du verre ou de la céramique à la main.

Ces professions, comme toutes les autres professions, font les frais d’une politique gouvernementale qui considère la durée de carrière comme une variable d’ajustement budgétaire. Alors que tant d’autres voies sont possibles, le choix de toucher à l’âge légal de départ est extrêmement contestable. 

En effet, il est le paramètre le plus injuste : il fait peser tout l’effort non pas sur l’ensemble des actifs, mais seulement sur ceux qui ont des carrières longues et hachées, qui seront les seuls à devoir travailler plus longtemps, alors qu’ils sont généralement ceux qui ont les métiers les plus pénibles. 

Le report de l’âge légal de départ à 64 ans repousse l’accès à la retraite à taux plein au-delà de l’espérance de vie en bonne santé sans incapacité, qui est de 63,7 ans pour les hommes en 2019.

Le report de l’âge va également aggraver les inégalités sociales face à la mort. Aujourd'hui, les plus pauvres passent en moyenne 7 années de moins à la retraite que les plus aisés. La réforme va leur prendre 2 nouvelles années de vie à la retraite, et creuser encore plus la différence de vie à la retraite entre les riches et les pauvres. Avec la réforme, ce sont également chaque année 9 000 personnes supplémentaires qui auront cotisé toute leur vie mais qui mourront avant de pouvoir bénéficier de leur retraite.

Le report de l'âge légal risque également d’augmenter le chômage, et donc la précarité. Des universitaires ont pu démontrer un effet de déversement vers l’Unedic, l’AAH et le RSA après chaque réforme des retraites.

Pour toutes ces raisons, les écologistes appellent le gouvernement à renoncer aux mesures contenues dans l’article 7 du présent projet de loi.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2442

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. DOSSUS, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les ingénieurs et cadres d’étude, recherche et développement de la distribution d’énergie, eau pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5 

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires a pour objet de ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres d’étude, recherche et développement de la distribution d’énergie, eau.

Cet amendement, par la profession qu’il vise, est l’occasion d’évoquer le lien entre la réforme des retraites et le changement climatique et ce lien est réel.

En effet, en faisant baisser les pensions de futur.es retraité.es notamment celles et ceux qui ne pourraient atteindre le taux plein du fait du report de l’âge et / ou de l’augmentation du nombre d’annuité nécessaires, ce projet de loi encourage à investir dans des fonds de pensions privés pour tenter de compenser la perte de revenu impliquée par cette réforme.

Ces gestionnaires d’actifs et assureurs continuent bien souvent à soutenir le développement des énergies fossiles, et donc l’aggravation du dérèglement climatique, en contradiction avec l’objectif de limiter le réchauffement à 1.5°C. 

Par ailleurs, cette réforme des retraites injuste pèse sur les catégories les plus précaires, or ce sont déjà celles les plus vulnérables face au changement climatique et les plus exposées aux pollutions environnementales. De nombreuses études ont démontré le lien direct entre inégalités et vulnérabilité face aux crises environnementales.

Ainsi, au-delà de son aspect injuste socialement, la réforme portée par le présent projet de loi rectificatif de la sécurité sociale est aussi dangereuse d’un point de vue climatique.

Les écologistes appellent ainsi au rejet de son article 7.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2444

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. DOSSUS, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les ouvriers d’art pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5 

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires a pour objet de ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ouvriers d'art.

L'appellation ouvrier d’art englobe de très nombreuses professions. Il s’agit ainsi des ferronniers, marbriers, horlogers ou encore des tailleurs de pierre. Ces métiers, hautement qualifiés et exigeants, demandent une parfaite forme physique incompatible avec les réformes portées par le présent projet de loi.

Ce constat est partagé par les premiers intéressés. Ainsi, auprès du journal le Télégramme, patron et salariés d’une entreprise artisanale de ferronnerie Mellac dans le Finistère, expliquent pourquoi ils y sont opposés. « Le 1er novembre, je solde ma retraite et j’ai hâte d’arriver au bout ». À bientôt 62 ans, Jean-François Moëlo s’apprête à transmettre son entreprise artisanale de ferronnerie. 

Alors que le gouvernement s’apprête à présenter son projet de réforme des retraites, l’artisan, au travail depuis la fin de son service militaire, à 20 ans, n’imagine pas un instant une carrière plus longue, dans un métier comme le sien. Partir plus tard ? « Non, je n’aurais pas travaillé un mois de plus. À 62 ans, on est usé », lance le petit patron, plutôt remonté à l’idée « de demander aux salariés de travailler plus longtemps. ».

Ces témoignages indiquent qu’au-delà des discours creux sur la valeur travail portés par le Gouvernement, les travailleurs, eux, connaissent la réalité du monde du travail et sont conscients des bouleversements que la présente réforme porte en son sein. Ecouter ces travailleurs et leurs syndicats devrait être un préambule indispensable à toute réforme, qu’elle soit paramétrique ou non, du système de retraites.

Les écologistes demandent ainsi le rejet de l’article 7, le rejet de tout le projet de loi et la reprise d’une concertation sérieuse avec les travailleurs et leurs représentants.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2445

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. DOSSUS, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les ouvriers qualifiés divers de type artisanal pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5 

Supprimer cet alinéa.

Objet

Avec cet amendement, le groupe Écologiste - Solidarité et Territoires souhaite donner la parole aux premiers concernés par la réforme des retraites.

Le journal le Télégramme évoque ainsi le cas de Christophe Daniel, artisan couvreur à Trégueux, qui est descendu dans la rue pour la première fois contre ce présent projet de loi. Derrière la banderole de la Confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment, il s’est retrouvé avec d’autres artisans qui, comme lui, dénoncent le projet de réforme des retraites, alors que ce n’est pas précisément dans leur ADN que de manifester.

Christian s’inquiète. « La pénibilité n’est pas prise en compte. Être couvreur c’est être soumis aux aléas climatiques. La chaleur, le froid ou la pluie rendent le travail pénible. Et puis, il y a les charges lourdes à porter, parfois dans des positions inconfortables. Arrivés à la retraite, les ouvriers ont souvent des problèmes physiques. Alors leur demander de prolonger d’une ou deux années, ce n’est pas la solution », témoigne-t-il.

Christophe a 58 ans, il a commencé tard dans ce métier, après ses études, à 25 ans. La retraite à 67 ans devient pour lui un horizon auquel il se prépare : « Cela ne m’effraie pas de travailler jusqu’à cet âge, mais je sais aussi que je n’irai pas jusqu’au bout ». 

Il livre ensuite une réflexion à laquelle les sénatrices et sénateurs écologistes souscrivent entièrement : « Cette réforme doit nous faire réfléchir sur la valeur travail. On vit pour travailler, ou on travaille pour vivre ? Clairement, il y a un manque de réalisme dans cette réforme ».

Comme Daniel, les écologistes appellent à redéfinir le rapport de la société à l’emploi. Ils appellent à considérer la place que les retraités occupent dans notre pays, à reconnaître leur contribution à l’économie et à la vie sociale, à leur permettre de s’extraire dignement des métiers pénibles que leurs corps ne supportent plus.

Il est temps de mettre un terme à une opposition montée de toute pièce entre d’un côté des actifs soumis à un employeurs qui contribueraient à la bonne marche de l’économie et de l’autres des inactifs qui seraient par définition une charge pour la société. Les retraités sont aussi des travailleurs, mais qui se sont extraits d’un mode de production capitaliste, pour organiser leur travail au mieux de leurs envies, de leurs besoins et de leur santé.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2446

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. DOSSUS, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les aides-mineurs, ouvriers non qualifiés de l’extraction pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5 

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires a pour objet de ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les aides- mineurs et ouvriers non qualifiés de l'extraction.

Ces catégories regroupent un grand nombre de métiers : tuyauteur, mécanicien, électricien, opérateur de machines, grutier, etc.

Ces ouvriers de l’extraction réalisent l’extraction du minerai, du pétrole ou du gaz. En pratique, ils règlent et utilisent des machines telles que des foreuses, des machines de mine, des outils à air comprimé… ; ils conduisent des camions, chargeuses, chariots de perforation… ; ils réalisent le boulonnage de parois, le boisage, le forage, le dynamitage, le déblayage et le remblayage. Ce sont eux aussi qui réalisent l’entretien du matériel et complètent les rapports relatifs à l’état du matériel après utilisation. Ce sont des métiers physiques, exigeants et avec de grandes amplitudes horaires Le service peut s'exercer par roulement, les fins de semaine, jours fériés ou de nuit. Il peut s'effectuer en hauteur, en sous-sol. Le port d'équipements de protection (chaussures de sécurité, bouchons anti-bruit, casque de chantier, ...) est requis.

Ces ouvriers peuvent également être exposés à de nombreuses substances nocives, comme les goudrons de houille, qui sont des cancérigènes notoires.

Pourtant, pour ces professions, comme pour tant d’autres, le Gouvernement souhaite encore allonger la durée du travail. Cette réforme est pour eux particulièrement injuste car ils ont déjà été impactés par la suppression des critères de pénibilité en 2018. Sur les quatre critères supprimés par le Gouvernement à cette date, tous les concernent : postures pénibles, manutentions manuelles de charges, vibrations mécaniques, exposition aux agents chimiques dangereux.

Pour ces ouvriers durement impactés et pour tous les travailleurs et toutes les travailleuses, les écologistes appellent au rejet de l’article 7 et de l’intégralité du présent projet de loi.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2447

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. DOSSUS, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les nettoyeurs pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5 

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste – Solidarité et Territoires a pour objet de ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les nettoyeurs et nettoyeuses.

Ces travailleurs et travailleuses de la “deuxième ligne” seront particulièrement impactés par le présent projet de réforme des retraites et cet amendement est l’occasion de leur donner la parole.

Le journal Ouest-France a publié le témoignage de Jennifer Guibaud-Ribaud, 37 ans, qui travaille depuis sept ans dans le nettoyage industriel d’Airbus, pour le sous-traitant Atalian. Elle manifeste pour la première fois contre la réforme des retraites. Mère de famille, elle est passée à temps partiel il y a un an, pour s’occuper d’une de ses filles atteinte d’une maladie liée à l’arthrite. Elle annonce toucher « Un peu plus de 700 € par mois. À la retraite, je sais déjà que je vais toucher une misère, je vois mes anciens collègues partir avec 900 €. »

Une autre travailleuse, Fernande Bagou, employée du nettoyage à Onet, une filiale de la SNCF, s’émeut : « Ces annonces me bouleversent. Dans le nettoyage, nous n’arriverons jamais à travailler jusqu’à 64 ans. J’ai 62 ans, je suis déjà à bout de souffle. Tous les matins je me lève à 4 heures du matin et pour 1400 euros par mois. Avec cette réforme je devrais travailler jusqu’à 67 ans. Voilà la réalité, ceux qui travaillent dans les métiers pénibles, on les condamne. ».

Ces témoignages terribles éclairent sur l’aspect social de la réforme menée par le Gouvernement.

Dans de nombreux métiers, travailler plus longtemps est une impossibilité physique. Le Gouvernement doit entendre ces appels, revoir entièrement sa copie et réunir de nouveaux les syndicats autour de la table pour explorer de nouvelles sources de financement pour le système de retraites.

C’est pourquoi les écologistes souhaitent le retrait de l’article 7 du présent projet de loi.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2448

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. DOSSUS, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les ouvriers de la viticulture ou de l’arboriculture fruitière pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5 

Supprimer cet alinéa.

 

Objet

Avec cet amendement, le groupe Écologiste – Solidarité et Territoires souhaite que les ouvriers de la viticulture ou de l’arboriculture fruitière soient exclus du report de l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans

Le site FranceTvInfo a publié le témoignage de Loïc Ardinat, ouvrier agricole de 42 ans. « J’ai mal au genou, j’ai un peu mal aux pieds, j’ai des problèmes un peu aux mains (…). Je me dis, à 60 et quelques années, je ne sais pas dans quel état je serai » . 

Le quotidien de son travail : Soulever des piles de caisses, ramasser et trier les pousses de betteraves. Ce chef d’équipe devrait travailler deux ans de plus pour une retraite à taux plein. Son confrère Pascal Beauvillain, 55 ans, s’oppose lui aussi à la réforme. Lui, partira dès 60 ans, car il a commencé sa carrière jeune. 

Les écologistes souscrivent pleinement à ces témoignages. La réforme des retraites est pointée par tous les syndicats et par une écrasante majorité de la société française comme profondément injuste envers les métiers pénibles, à raison.

De plus, la pénibilité de ces métiers pourrait aussi se renforcer avec le changement climatique. Le bouleversement des sites de récolte, la mobilisation des équipes de nuit face aux épisodes de gel, les incertitudes quant à la poursuite de certaines activités agricoles avec le réchauffement : tout cela bouleverse profondément le cadre dans lequel s’exercent ces professions.

Si ces incertitudes sont déjà problématiques pour des travailleurs jeunes et en bonne santé, elles deviennent insupportables pour des travailleurs âgés, usés, à qui l’on va demander de travailler deux ans de plus tout en rognant sur leurs critères de pénibilité. 

Face à ces situations, la suppression de l’article 7 du présent projet de loi apparaît comme une évidence.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2449

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. DOSSUS, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée : 

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les masseurs-kinésithérapeutes rééducateurs, salariés pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5 

Supprimer cet alinéa.

Objet

Avec cet amendement, visant à exclure les masseurs-kinésithérapeutes rééducateurs salariés du report de l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans, les écologistes souhaitent montrer qu’un autre modèle de société est possible.

Si traditionnellement les écologistes ont été en faveur de la réduction du temps de travail, à la fois à l’échelle d’une semaine mais aussi de toute une vie, d’autres empruntent aussi ce chemin de réflexion. C’est ainsi le cas de la Fondation Jean-Jaurès, qui a publié le 19 janvier 2023 un projet alternatif à la retraite à 64 ans. 

Selon ce projet, il serait possible pour les salariés et employés de partir à la retraite à 55 ans, et à 65 ans pour les cadres, qui financeraient dans ce cas la mesure, grâce au décalage d’âge de départ entre ces différentes catégories socioprofessionnelles.

Si les écologistes ne sont pas en faveur d’un allongement de la durée de travail pour les cadres - qui subissent, eux aussi, leur lot de pénibilité - cette étude a le mérite de porter la question sur ce qui est essentiel : l’espérance de vie en bonne santé. Selon la Fondation - et cette information a aussi largement été popularisée par le journal Libération - Un homme de 35 ans a deux fois plus de chances de mourir avant 60 ans s’il est ouvrier que s’il est cadre ; et un ouvrier sur deux n’atteint pas 80 ans, contre un cadre sur trois.

Voilà ce que contient en substance ce projet de loi : moins de temps de vie libre pour les travailleurs pauvres.

Cette vision du travail, matérialisée dans le présent projet de loi, va à rebours de tous les conquis sociaux des deux siècles précédents et c’est pourquoi les écologistes appellent à son retrait.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2451

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. DOSSUS, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les spécialistes de la rééducation, salariés pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5 

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, vise à exclure les spécialistes de la rééducation du report de l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans.

En 2019, une étude de la Caisse autonome de retraite et de prévoyance des infirmiers, masseurs-kinésithérapeutes, pédicures-podologues, orthophonistes et orthoptistes (CARPIMKO) a souligné les critères de pénibilité de ces professions. Les interrogés soulignent le caractère pénible des positions debout (à 99 %) et « penché en avant » (à 81 %), qu’ils sont contraints d’avoir « souvent voire toujours ». 

A ces questions de pénibilité liées aux postures, s'ajoutent également celles liées au milieu de travail hospitalier, toujours plus contraint budgétairement et qui oblige à des amplitudes horaires toujours plus grandes.

Les écologistes considèrent qu’il n’est pas acceptable de demander à ces professions, à ces soignants, à ces métiers de la première ligne durement éprouvés par la crise COVID de travailler toujours plus, dans des conditions toujours plus difficiles. Si réforme du financement des retraites il doit y avoir, alors, il faut que celle-ci repose sur le capital.

C’est grâce aux cotisations que le système de retraites par répartition s’est créé et a perduré. Ériger comme un tabou l’évolution du taux de cotisation amène mathématiquement à cibler toujours les mêmes : les travailleurs.

Les écologistes appellent à la fin de cet acharnement politique et demandent la suppression de l’article 7 du présent projet de loi.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2452

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. DOSSUS, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les ouvriers qualifiés d’entretien général des bâtiments pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante : 

II. – Alinéa 5 

Supprimer cet alinéa.

Objet

Avec cet amendement, les écologistes souhaitent se pencher sur le cas des ouvriers qualifiés d'entretien général des bâtiments.

En 2016, une étude de la DARES a révélé que 71 % des salariés du nettoyage étaient exposés à un risque physique, 61 % aux risques chimiques et 52 % aux postures pénibles. Ils sont également davantage confrontés aux mauvaises odeurs, à la saleté, aux risques infectieux et aux bruits et vibrations que les autres emplois non-qualifiés. 

Par ailleurs, plus de la moitié des postes du secteur sont à temps partiel. Parmi eux, 22 % sont des temps partiels subis.

De plus, près d’un emploi sur cinq est morcelé, c’est-à-dire avec une rupture supérieure à trois heures entre deux périodes travaillées au cours de la même journée, entraînant mécaniquement de grandes difficultés organisationnelles dans la famille, les transports ou la recherche d’un emploi de complément. A cela s’ajoute une importante fatigue psychologique résultant de la fragmentation de l’emploi du temps et des amplitudes horaires, mais aussi le travail de nuit et de week-end, surtout pour les employés d’étages (comme dans l’hôtellerie) ou les concierges.

A cela s’ajoute aussi selon l’étude le manque de reconnaissance des métiers du nettoyage : 29 % des salariés du secteur déclarent se sentir ignorés au cours de leur activité professionnelle (deux fois plus que dans les autres emplois non-qualifiés). Seuls 42 % trouvent leur métier plaisant, soit 14 points de moins que l’ensemble des salariés. 

Face à cette pénibilité, cette difficulté organisationnelle et ce manque de reconnaissance chronique, les écologistes souhaitent exclure ces travailleuses et travailleurs du dispositif de l’article 7 du présent projet de loi.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2453

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. DOSSUS, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les assurés victimes d’affections cancéreuses provoquées par le trichloréthylène dont les modalités de reconnaissance sont fixées par décret pris après avis de la Haute Autorité de Santé pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5 

Supprimer cet alinéa.

Objet

Les écologistes souhaitent traiter la question des maladies professionnelles au sein de ce présent projet de loi. En effet, plusieurs afflictions sont incompatibles avec le souhait du Gouvernement de repousser l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans. C’est notamment le cas des affections cancéreuses provoquées par le trichloréthylène

Ce solvant a beaucoup été utilisé pour le dégraissage de pièces métalliques, le nettoyage à sec de vêtements et l'extraction de produits organiques.

Il est et a été particulièrement utilisé notamment sur la plate-forme chimique de Carling Saint-Avold, ou par les salariés opérateurs, mécaniciens, techniciens de laboratoire, les contrôleurs qualité et les chercheurs des industries métallurgiques ou encore par les salariés des Charbonnages de France (mineurs du fond et du jour, techniciens, mécaniciens…) ou bien par les garagistes et employés de pressing.

Le trichloréthylène peut être à l’origine de deux pathologies reconnues au titre de maladies professionnelles : le cancer du rein ou la maladie de parkinson.

Ces affections sérieuses et de longue durée peuvent empêcher sérieusement un travailleur de terminer sa carrière dans de bonnes conditions. A fortiori, si celle-ci est allongée de deux années supplémentaires comme le souhaite le Gouvernement.

C’est pourquoi les écologistes souhaitent protéger ces travailleurs des effets délétères sur la santé de la réforme du Gouvernement. Plus largement, ils appellent au rejet de l’article 7 et à la reprise de la concertation avec les syndicats.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2454

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. DOSSUS, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les assurés victimes d’affections cancéreuses provoquées par l’aldéhyde formique et ses polymères dont les modalités de reconnaissance sont fixées par décret pris après avis de la Haute Autorité de Santé pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5 

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, vise à ne pas appliquer la réforme du décalage de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans aux travailleurs victimes d' affections cancéreuses provoquées par l'aldéhyde formique et ses polymères, appelé plus communément formaldéhyde.

Les solutions de formaldéhyde sont des matières dangereuses, inflammables, combustibles et toxiques. Celles-ci peuvent provoquer des œdèmes pulmonaires graves et éventuellement la mort.

Il est utilisé principalement comme biocide désinfectant, comme fixateur et comme conservateur. On peut le retrouver dans des produits de bricolage, d’entretien, dans des revêtements de murs, de sols ou de meubles, dans des plastiques etc.

Pour la population générale, ce produit est déjà problématique, avec une présence dans l’air intérieur des habitations dans la fumée de tabac, les bougies, les bâtonnets d’encens, les cuisinières à gaz ou encore les poêles à pétrole. Il l’est encore plus pour les travailleurs qui peuvent être confrontés à des doses importantes.

Selon une enquête de la DARES de 2017, plus de 185 000 travailleurs sont exposés au formaldéhyde, sans compter les expositions via les résines et les colles à base de formaldéhyde. Les expositions les plus fortes se trouvent dans les secteurs de la santé, des laboratoires d’anatomie, des pompes funèbres, de l’agriculture, de l’industrie chimique, de l’industrie alimentaire ainsi que de l’industrie du papier et du carton, du bois, de l’ameublement et de la construction. 

A ce panel extrêmement large de professions exposées à ce risque, le Gouvernement entend les contraindre à deux années de travail supplémentaire, réduisant ainsi d’autant leur espérance de temps libre en bonne santé.

Les écologistes s’opposent à cette vision du travail et de la retraite, qui met en danger les travailleuses et travailleurs, et appellent au rejet de l’article 7 du présent projet de loi.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2456

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. DOSSUS, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les assurés victimes d’affections cancéreuses causées par l’acide chromique et les chromates et bichromates alcalins ou alcalinoterreux ainsi que par le chromate de zinc dont les modalités de reconnaissance sont fixées par décret pris après avis de la Haute Autorité de santé pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5 

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste – Solidarité et Territoires, vise à ne pas appliquer la réforme du décalage de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans aux travailleurs victimes d’ affections cancéreuses causées par l’acide chromique et les chromates et bichromates alcalins ou alcalino terreux ainsi que par le chromate de zinc.

L’acide chromique et ses dérivés (chromates) sont utilisés comme oxydant en chimie organique, ainsi que pour le traitement et le revêtement de certaines surfaces.

Les travailleurs qui y sont exposés peuvent subir plusieurs cancers, comme le cancer broncho-pulmonaire ou le cancer des cavités nasales.

Les écologistes considèrent ainsi qu’il n’est pas souhaitable que ces travailleurs soient forcés à travailler deux années de plus comme le prévoit le présent projet de loi.

Plus largement, cet amendement permet de parler de la santé au travail face à la réforme des retraites.

Dans un rapport de février 2023, le Conservatoire national des arts et métiers (CNAM) met en lumière le lien entre l’augmentation de l’âge de départ à la retraite et les absences pour cause de maladie.

« Chez les femmes comme chez les hommes, les générations 1952-1954 sont caractérisées par des taux d’arrêts maladie à chaque âge après 60 ans supérieurs à ceux des générations non assujettis à la réforme » , rapportent les auteurs. 

Ce constat sans appel devrait alarmer le Gouvernement et l’amener à revoir de toute urgence sa copie afin de garantir aux travailleuses et aux travailleurs la jouissance d’une retraite en bonne santé.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2457

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. DOSSUS, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les assurés victimes de maladies professionnelles engendrées par le bioxyde de manganèse dont les modalités de reconnaissance sont fixées par décret pris après avis de la Haute Autorité de Santé pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

A travers cet amendement, le groupe Écologiste - Solidarité et Territoires souhaite alerter sur le cas des travailleurs victimes de maladies professionnelles engendrées par le bioxyde de manganèse, afin qu’ils ne subissent pas le décalage de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Le bioxyde de manganèse est un métal gris/blanc qui ressemble fortement au fer. Il est utilisé notamment dans la métallurgie, la fabrication d’électrodes ou bien encore comme colorant dans l’industrie du verre, de la céramique et de la porcelaine.

C’est un produit chimique extrêmement dangereux pour la santé puisqu’il est nocif par inhalation et par ingestion. Il peut ainsi être à l’origine de syndromes neurologiques du type parkinsonien, appelé plus communément “maladie de Parkinson”.

Plutôt que de prévoir deux années de travail de plus pour les travailleurs dans des métiers dangereux, pénibles, exposés à des substances nocives, au nom d’un productivisme toujours plus effréné, le projet écologiste remet en cause l'idéologie du travail ou le dogme du travail, c'est-à-dire la centralité de l’emploi dans la vie des individus. 

La vision écologiste plaide pour une réhabilitation du temps libre, une civilisation du temps libéré, selon les termes d’André Gorz, pour deux raisons principales. D’abord, parce que dans une vision humaniste, le temps libre est un lieu d’épanouissement personnel (activités artistiques, artisanales, lecture, jardinage…). Ensuite, parce qu’il est un lieu de création de valeur non marchande (notamment engagement bénévole, citoyen et électoral).

Libérer le plus possible les travailleurs de l’emploi salarié pour leur donner les conditions d’épanouissement personnel et collectif nécessaires à l'avènement d’une société plus solidaire, plus durable et plus démocratique : telle est la vision des écologistes.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2458

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. DOSSUS, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les assurés victimes de maladies professionnelles engendrées par la chlorpromazine dont les modalités de reconnaissance sont fixées par décret pris après avis de la Haute Autorité de Santé pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Avec cet amendement, le groupe Écologiste - Solidarité et Territoires souhaite ne pas appliquer la réforme du décalage de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans aux travailleurs victimes de maladies professionnelles engendrées par la chlorpromazine

La chlorpromazine est un médicament utilisé pour soigner certains troubles psychotiques comme la schizophrénie ou encore pour traiter les nausées et les vomissements.

Les travailleurs, les soignants qui utilisent ce médicament à des fins thérapeutiques ou se retrouvent en contact avec celui-ci, peuvent développer plusieurs affections comme des lésions sévères de type eczéma ou des conjonctivites aiguës. Il paraît ainsi impensable de renforcer encore le risque que subissent ces travailleurs durant deux années de plus, avec le projet de réforme porté par le Gouvernement.

Par ailleurs, travailler plus longtemps, dans des métiers qui exposent à des maladies professionnelles a un coût pour la collectivité. Ainsi, comme le soulignait le rapport "Charge et produits” de l’Assurance-maladie de 2018, 6 ans après la dernière réforme de l’âge légal de départ à la retraite de 2010, le coût total des arrêts maladies est passé de 6,3 à 7,1 milliards d’euros.

Plutôt que de vouloir à tout prix maintenir des travailleurs âgés, dans des métiers difficiles et dangereux, pour lesquels ils ne sont plus “compétitifs” aux yeux du capital, les écologistes appellent à revoir d’urgence notre rapport au temps de travail tout au long de la vie.

En effet, le temps de la retraite est un temps riche pour les individus et pour la société, que ce soit en termes d’engagement culturel, associatif ou même politique. Valoriser ce temps-là et préserver la santé de toutes et tous est au cœur du projet de société porté par les écologistes.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2463

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. DOSSUS, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les assurés victimes de maladies professionnelles dues au béryllium et à ses composés dont les modalités de reconnaissance sont fixées par décret pris après avis de la Haute Autorité de santé pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5 

Supprimer cet alinéa.

Objet

Le béryllium est un élément chimique largement utilisé dans l’industrie en tant qu’alliage, pour la création de moules, pour l’électronique ou encore pour la réalisation de prothèses dentaires.

Son usage n’a cessé de se réduire au fil du temps à mesure que sa toxicité devenait de plus en plus documentée. Ainsi, les travailleurs exposés à des particules, des fumées, des brouillards et des solutions de matières contenant du béryllium peuvent être sujets à la bérylliose chronique, une maladie respiratoire parfois invalidante voire même dans certains cas mortelle.

Selon le mode d'exposition des travailleurs, les affections peuvent toucher différents tissus et organes. Inhalées, les fumées et les poussières de composés de béryllium peuvent attaquer les poumons. Il peut aussi attaquer des organes tels que le foie, les reins, le cœur, le système nerveux et le système lymphatique et provoquer des lésions sur les parties du corps exposées, les yeux ou la peau par exemple. 

Enfin, c’est un cancérogène connu, classifié dans le Groupe 1 par le Centre international de Recherche sur le Cancer (IARC).

Parler des maladies professionnelles, c’est parler de l’espérance de vie en bonne santé. Selon une étude de la direction de la recherche, des études, de l'évaluation des statistiques (Drees) de 2021, depuis 2008, l’espérance de vie sans incapacité à 65 ans a augmenté de 2 ans et 1 mois pour les femmes et de 1 an et 11 mois pour les hommes. Ce qui signifie que le présent projet de réforme des retraites viendrait complètement annuler ce supplément de vie en bonne santé en décalant l’âge légal de départ à la retraite de 2 ans.

Les écologistes considèrent au contraire que la politique, particulièrement en matière de sécurité sociale, doit au contraire veiller à une meilleure santé, à un meilleur bien-être de la population, plutôt que de sacrifier ceux-ci sur l’autel d’une politique purement budgétaire hautement discutable.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2464

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. DOSSUS, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les assurés victimes de maladies professionnelles causées par l’antimoine et ses dérivés dont les modalités de reconnaissance sont fixées par décret pris après avis de la Haute Autorité de santé pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Avec cet amendement, le groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, propose de ne pas appliquer la réforme du décalage de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans aux travailleurs victimes de maladies professionnelles causées par l’antimoine et ses dérivés

L’antimoine est un minerai assez répandu que l’on retrouve sous forme de cristaux. Il est particulièrement utilisé lorsqu’il est allié au plomb pour les caractères d’imprimeries, les plombs des cartouches des fusils de chasse, les plaques d’accumulateurs au plomb acide ou encore les semi-conducteurs.

Son exposition peut conduire à plusieurs maladies sévères, comme des pneumopathies, ou des lésions de type eczéma.

Lister les professions difficiles ou les maladies professionnelles comme on choisit de le faire les écologistes dans ce projet de loi peut paraître anecdotique. Or, il est de la responsabilité des parlementaires de bien mesurer, pour chaque cas, ce à quoi ils exposeraient les travailleurs en cas de vote positif sur l’article 7 en particulier et sur l’ensemble du projet de loi en général.

Si, pour le Sénat, l’examen de ce projet de loi représente deux semaines de débats, pour les travailleurs, cela représente deux années de vie en bonne santé et libérée de l'emploi en moins.

Chacun de ces cas mérite d’être étudié. Chacun de ces cas mérite d’être évoqué au sein de l’hémicycle. C’est précisément le rôle des parlementaires et c’est ce à quoi s’attellent les sénatrices et sénateurs écologistes.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 2465

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. DOSSUS, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les assurés victimes de maladies liées à des agents infectieux ou parasitaires contractées en milieu de soins dont les modalités de reconnaissance sont fixées par décret pris après avis de la Haute Autorité de santé pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, vise à ne pas appliquer la réforme du décalage de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans aux travailleurs victimes de maladies liées à des agents infectieux ou parasitaires contractées en milieu de soins.

Ces contaminations par agents infectieux recouvrent plus de 19 affections différentes : Herpès, syphilis, streptocoques, staphylocoques…

Elles visent le personnel hospitalier, déjà durement touché par la crise COVID et qui paie tous les jours le prix fort de l’affaissement de notre système de soin hospitalier.

Pour ces personnels, la réforme telle que présentée aujourd’hui par le Gouvernement n’est pas acceptable. C’est le cas pour Patricia, la cinquantaine, qui travaille en clinique à Vitry et se pose des questions : « Comment allons-nous faire pour tenir jusqu'à 64 ans ? Nous avons déjà du mal à arriver à 60 ans – et dans quel état ! – en travaillant le jour ou la nuit, et avec une fatigue physique et psychique éprouvante. Je pense en particulier aux agents hospitaliers, pas diplômés, qui commencent à travailler très jeunes. »

Les écologistes appellent à rejeter l’article 7 du présent projet de loi, pour les personnels de soin et pour tous les travailleurs du pays. Pour mettre un terme à des décennies de politiques néo-libérales qui ont toujours considéré le travail humain comme une variable budgétaire d’ajustement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2466

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. DOSSUS, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les assurés victimes de maladies engendrées par les bétalactamines, notamment pénicillines et leurs sels, et les céphalosporines dont les modalités de reconnaissance sont fixées par décret pris après avis de la Haute Autorité de santé pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Le groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, souhaite que les travailleurs victimes de maladies engendrées par bêtalactamines ne se voient pas appliquer la réforme du décalage de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Les bêtalactamines sont une grande famille d’antibiotiques qui comprend entre autres la pénicilline, les céphalosporines et les carbapénèmes.

Ces produits peuvent avoir des effets secondaires pour les travailleurs qui les manipulent, comme des troubles neuropsychiques ou de l’hypersensibilité. En cas d’exposition prolongée, ils peuvent également être responsables de lésions cutanées, de rhinite ou encore d’asthme.

A travers cet amendement, les écologistes souhaitent particulièrement alerter sur la situation de la branche accident du travail et maladies professionnelles de la sécurité sociale. Il est en effet prévu une mesure de compensation à la hausse de 0,1% des cotisations patronales pour les retraites en faisant baisser symétriquement de 0,1% la cotisation patronale AT/MP.

Pour l'exécutif, cette mesure est justifiée par une volonté idéologique assumée de ne pas augmenter les cotisations patronales, mais aussi par un excédent de la branche AT/MP. Or, cet excédent est majoritairement dû à une sous-déclaration et à une mauvaise reconnaissance des accidents du travail et des maladies professionnelles.

Les écologistes considèrent au contraire que les cadences de plus en plus effrénées, la fragilisation du monde social, le délitement des liens sociaux au travail et la perte de sens dans une économie de plus en plus fragmentée et mondialisée sont au contraire accidentogènes et exposent de plus en plus aux maladies professionnelles.

A titre d’exemple, Selon une étude de la DARES, publiée le 2 novembre, 783 600 accidents du travail ont été comptabilisés en France en 2019. Au sein de cet ensemble, on recense 790 décès, et 39 650 ont donné lieu à la reconnaissance d’une incapacité permanente. Ces chiffres sont en augmentation de plus de 20% par rapport à 2017 et sont notoirement sous-évalués puisqu’ils ne prennent pas en compte les accidents du travail dans la fonction publique ou encore ceux survenus dans les transports.

Face à cette situation, l’urgence n’est pas la réforme des retraites, mais la mise en œuvre de conditions de travail plus respectueuses des travailleurs et travailleuses.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2467

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. DOSSUS, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les assurés victimes de maladies dues aux bacilles tuberculeux et à certaines mycobactéries atypiques dont les modalités de reconnaissance sont fixées par décret pris après avis de la Haute Autorité de santé pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Avec cet amendement, le groupe Écologiste - Solidarité et Territoires attire l’attention sur la situation des travailleurs victimes de maladies dues aux bacilles tuberculeux et à certaines mycobactéries atypiques.

Les bacilles tuberculeux appartiennent aux genre des mycobactéries, c’est-à-dire aux germes pathogènes responsables de la tuberculose humaine.

La tuberculose touche principalement le poumon, mais de nombreux organes peuvent être atteints. Le traitement consiste à l’administration d’antibiotiques spécifiques, mais l’apparition de souches résistantes complique le problème. La prévention réside notamment dans la vaccination par le BCG, tout en sachant que son efficacité est limitée.

Dans le monde du travail, la tuberculose touche avant tout le personnel soignant et assimilé en contact avec les patients infectés. Le tableau des maladies professionnelles n°40 prend en compte les atteintes liées aux différentes souches de bacille tuberculeux avec un mention particulière pour la souche bovine touchant les métiers au contact d’animaux et les souches plus spécifiquement humaines touchant alors le personnel de soins et assimilé, de laboratoire, de service ou des services sociaux.

Ces personnels soignants sont vent debout contre la réforme des retraites. Ainsi, le site actusoins relaie le témoignage de Sylvie, 61 ans, déléguée syndicale CGT à temps plein : « Cette réforme, c’est de la maltraitance ». Ancienne auxiliaire de puériculture et secrétaire au sein du Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) d’un hôpital francilien jusqu’à sa fermeture en 2021 par volonté du Gouvernement, elle va devoir travailler trois mois de plus.

Depuis 41 ans, elle exerce à l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris. « Avant la pandémie, nous dénonçions déjà les conditions de travail des soignants, et depuis, elles se sont dégradées », pointe-t-elle du doigt.

Pour les personnels soignants, comme pour les autres professions, le report de l’âge légal n’est pas acceptable. C’est pourquoi les écologistes appellent au rejet de cet article.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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C Défavorable
G  
Tombé

M. DOSSUS, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les assurés victimes de rouget du porc érysipéloïde de baker-rosenbach dont les modalités de reconnaissance sont fixées par décret pris après avis de la Haute Autorité de santé pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, a pour objet de ne pas appliquer la réforme du décalage de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans aux travailleurs victimes de rouget du porc érysipéloïde de baker-rosenbach.

Le « rouget du porc » est une affection cutanée due à la bactérie Erysipelothrix rhusiopathiae. Cette bactérie se retrouve surtout chez certains animaux comme les porcs, les poissons et les oiseaux. L’homme peut être contaminé par l'intermédiaire d’une plaie. Le rouget du porc est une maladie professionnelle qui se retrouve chez les personnes qui travaillent avec des produits contenant du poisson cru et de la viande crue, comme les éleveurs, les bouchers, les pêcheurs et les vétérinaires.

La visite du chef de l’Etat au marché de Rungis le 21 février 2023 a permis de jeter la lumière sur la situation des personnels de boucherie. 

Celui-ci, lors de sa visite, a affirmé que “les gens savent qu’il faut travailler un peu plus longtemps”. Une affirmation pour le moins cavalière au vu du plus grand mouvement social des trentes dernières années qui a lieu en ce moment même en France.

Mais au-delà de cette provocation facile et inutile, le plus intéressant était la réaction des bouchers qui ont assisté à la scène. Ils sont unanimes : après seulement 20 ans à effectuer ce métier, ils n’en peuvent plus et leur corps leur fait comprendre qu’ils ne pourront pas tenir ce rythme jusqu’à 64 ans. C’est d’autant plus vrai au sein du marché de Rungis où à la pénibilité physique du métier s'ajoute la difficulté des cadences de travail et du travail de nuit, extrêmement éprouvante pour le corps des travailleurs.

Plutôt que de forcer ces personnels à travailler deux années de plus, plutôt que d’ajouter à la pénibilité de leur situation des provocations inutiles, le Gouvernement devrait davantage se pencher sur les conditions de travail de ces métiers. C’est là que réside le véritable enjeu de société.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 2469

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

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C Défavorable
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M. DOSSUS, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les assurés victimes d’affections cutanées professionnelles causées par les oxydes et les sels de nickel dont les modalités de reconnaissance sont fixées par décret pris après avis de la Haute Autorité de santé pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5 

Supprimer cet alinéa.

Objet

Avec cet amendement, le groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, souhaite que la réforme du décalage de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans ne s’applique pas aux travailleurs victimes d' affections cutanées professionnelles causées par les oxydes et les sels de nickel

Une affection cutanée professionnelle est une maladie de la peau survenant à cause de l’environnement de travail du salarié. De nombreux facteurs peuvent être à l’origine de ces maladies de peau, notamment les oxydes et sels de nickel. Ces oxydes se présentent sous la forme d’une poudre noire utilisée pour la réalisation de catalyseurs, de pigments pour le verre, de céramiques et pour la fabrication d’acier inoxydable

L’exposition aux composés du nickel peut entraîner de nombreux problèmes de peau, pouvant aller jusqu’au cancer.

Cette exposition aux agents chimiques pose clairement la question de la pénibilité et nombreux sont les syndicats à pointer les reculs du Gouvernement en la matière. Ainsi, selon la CFDT Construction : 

“le projet ne réintègre pas les quatre facteurs qui abîment le corps (le port de charge, les postures contraintes, les agents chimiques dangereux et les vibrations mécaniques). C’est absolument scandaleux. L’exposition à ces facteurs peut se concrétiser par des douleurs ou des affections pour les travailleurs, tout en ne se traduisant pas par une invalidité ou une maladie professionnelle (notamment les troubles musculosquelettiques). Pire, cette invalidité peut se déclencher bien plus tard après l’activité professionnelle. Les institutions de prévoyance constatent que plus le salarié part tard à la retraite, plus son espérance de vie est courte. Chaque année supplémentaire pèse trop sur sa fin de vie. Le gouvernement prévoit une visite médicale à 61 ans pour voir si l’usure rend inapte à la poursuite de l’activité professionnelle : en plus de la question des moyens qui reste sans réponse (à savoir qui fera les examens) la logique est toujours la même : départ anticipé si invalidité. Donc ce texte valide la possibilité pour les entreprises d'abîmer le corps et l’esprit alors que le code du travail dit clairement que l’employeur doit prendre les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale des travailleurs.es”

Pour toutes ces raisons, et en accord avec les analyses syndicales, les écologistes s’opposent au projet de réforme du Gouvernement dans son article 7.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 2470

1 mars 2023


 

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Tombé

M. DOSSUS, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les assurés victimes d’affections cutanées ou affections des muqueuses provoquées par les goudrons de houille, les huiles de houille, les brais de houille et les suies de combustion du charbon dont les modalités de reconnaissance sont fixées par décret pris après avis de la Haute Autorité de santé pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires vise à ne pas appliquer la réforme du décalage de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans aux travailleurs victimes d' affections cutanées ou affections des muqueuses provoquées par les goudrons de houille, les huiles de houille, les brais de houille et les suies de combustion du charbon

Le goudron de houille est un cancérigène reconnu en raison de la présence d'hydrocarbures aromatiques polycycliques cancérigènes.

Ce risque de cancer touche particulièrement les personnels de l’industrie pétrochimique, dans le secteur de l’extraction ou du raffinage.

Ces métiers, particulièrement pénibles, vont être touchés de plein fouet par le présent projet de réforme des retraites.

Ainsi, dans l’Humanité, Pedro Afonso, délégué CGT, dresse la liste de tous les facteurs de pénibilité auxquels sont exposés les opérateurs de raffinerie: « Il y a d’abord les gaz que vous respirez (même si vous êtes protégé), comme l’hydrogène sulfuré, qui est létal au-delà d’un certain niveau de concentration. Il y a ensuite le travail posté, impliquant les horaires décalés. Parlons aussi de certaines plateformes situées à 60 mètres de hauteur, auxquelles vous accédez par des échelles. Accumulez tout ça, et vous comprendrez pourquoi la perspective de bosser deux ans de plus nous paraît impensable. »

David, 46 ans, qui travaille aux expéditions de carburant de la raffinerie, dresse le même constat. « Depuis vingt-trois ans que je suis ici, ça commence à chiffrer, sourit-il avec un brin de fatalisme. En principe, on dispose de masques individuels avec bouteilles d’air, pour éviter de respirer tous les gaz toxiques qui flottent dans l’air. Mais tu en inhales toujours un peu. On voit régulièrement des collègues mourir de cancer, deux ou trois ans après avoir pris leur retraite. »

Face à ces témoignages de travailleurs qui ne veulent plus de ces conditions de travail, qui expriment avec force leur souhait de ne pas travailler deux ans de plus, les écologistes appellent au rejet de l’article 7 du présent projet de loi.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2471

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. DOSSUS, Mme PONCET MONGE, MM. Jean Pierre VOGEL, BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les assurés victimes d’affections cutanées et muqueuses professionnelles de mécanisme allergique dont les modalités de reconnaissance sont fixées par décret pris après avis de la Haute Autorité de santé pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Le groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, souhaite que les travailleurs victimes d' affections cutanées et muqueuses professionnelles de mécanisme allergique ne soient pas concernés par la réforme du décalage de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Lorsque l’on parle d’affections cutanées on parle de maladies graves de la peau comme par exemple le vitiligo, l’eczéma, le psoriasis ou l’herpès.

Ces maladies peuvent apparaître à cause d’une allergie à une substance dans le milieu professionnel. 

Au sujet des maladies professionnelles, Pierre-Louis Bras, président du Conseil d’orientation des retraites (COR), lors d’une audition à l’Assemblée nationale, a rappelé à juste titre que « quand on repousse l’âge de la retraite (…), ça provoque des dépenses ailleurs », notamment en ce qui concerne la prise en charge des arrêts maladie. A ce titre, le service statistique des ministères sociaux a chiffré le surcoût dû à l’augmentation attendue des arrêts maladie chez les salariés de plus de 60 ans à près d’un milliard d’euros. Un montant qui n’apparaît pas dans le projet de loi présenté par le gouvernement, ni dans l’étude d’impact.

Si d’un point de vue purement budgétaire cette réforme est problématique, elle l’est d’autant plus pour les personnes qui auront à subir ces maladies professionnelles à un âge avancé.

Les travailleuses et travailleurs ne peuvent pas et ne doivent pas être des variables d’ajustement budgétaire. Leur santé n’est pas une donnée comptable.

La vie des travailleurs - contrairement à ce qu'affirment le Gouvernement et ses soutiens - ne s’arrête pas à l’âge de la retraite. Bien au contraire, pour certains, c’est même là qu’elle trouve une renaissance - dans l’engagement culturel, associatif, politique.

Une société saine est une société qui prend soin de ses anciens. Ce n’est pas ce que propose le Gouvernement dans ce présent projet de loi et c’est pourquoi les écologistes appellent à son rejet.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2472

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. DOSSUS, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les techniciens de production, d’exploitation en informatique pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les techniciens de production, d'exploitation en informatique.

Contrairement à ce que l’on pourrait croire, la pénibilité ne touche pas que les métiers requérant une certaine force physique. Le nouveau prolétariat du XXIème siècle est aussi constitué des millions de travailleurs qui sont le socle de l’économie numérique. C’est particulièrement vrai pour les techniciens de l’informatique.

Ces métiers, indispensable au bon fonctionnement des réseaux sur lequel se basent notre économie, sont exigeants, imposent des formations constantes, et un haut niveau de responsabilité.

Pourtant, c’est aussi un métier très peu valorisé et qui impose des cadences particulièrement dures à suivre, surtout pour les séniors.

C’est un constat que dresse notamment le syndicat Solidaires informatique : “Le secteur des nouvelles technologies est un des premiers secteurs à discriminer les travailleurs seniors. Or, à 50 ans, il nous resterait plus de 15 ans avant d’accéder à une pleine retraite. Le résultat: précarité et dégradation de la santé.”.

L’essor des nouvelles technologies doit être un outil d’émancipation plutôt que d’asservissement. La nouvelle révolution industrielle du numérique ne doit pas reproduire les errements et l’asservissement de celle du charbon de la fin du XIXème siècle.

Pour les travailleurs de l’informatique et pour ceux de toutes les autres professions, les écologistes appellent au rejet de l’article 7 du présent projet de loi.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2473

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. DOSSUS, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les personnes siégeant à titre bénévole dans l’organe d’administration ou de direction d’une association régie par la loi du 1er juillet 1901 relative au contrat d’association ou inscrite au registre des associations en application du code civil local applicable dans les départements du Bas-Rhin, du Haut-Rhin et de la Moselle, ainsi que les personnes exerçant à titre bénévole des fonctions de direction ou d’encadrement au sein d’une telle association pour lesquelles l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les bénévoles ayant des fonctions d’administration, de direction et d’encadrement dans une association.

L’engagement associatif est un travail. Il nécessite une présence, une participation, une implication importante pour les personnes faisant partie des instances dirigeantes. Le parlement a reconnu la réalité de ce travail, notamment avec la loi sur l’engagement associatif de 2021. 

Par ailleurs, ce sont les retraités qui sont les plus impliqués dans les activités culturelles, politiques et associatives. En effet, si le temps de la retraite est libéré des contraintes de l’emploi, il n’est pas pour autant sans travail et cet engagement en est le témoin.

Augmenter de 2 ans la durée légale du travail, c’est aussi réduire le temps de l’engagement associatif. C’est réduire l'impact positif du tissu associatif sur les territoires et les populations. C’est détricoter encore davantage le lien social.

Voilà pourquoi il est proposé ici d’extraire les bénévoles engagés dans des fonctions d’encadrement et de gestion des associations des mesures portées à l’article 7.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2589

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. GONTARD, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernées par le présent alinéa les hôtesses de l’air et stewards, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement des groupes parlementaires écologistes vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les hôtesses de l'air et stewards.

Les écologistes sont opposés à l'article 7, qui est au coeur de la présente réforme. À rebours de tout progrès social, le Gouvernement prévoit ses économies exclusivement sur le départ différé en retraite des travailleurs et sur l’allongement de notre temps de travail.

Les gains en espérance de vie ont déjà été consommés par les réformes précédentes. Ils seront à présent rattrapés par l’augmentation du temps passé au travail : la retraite n’est plus un horizon libérateur, mais un temps de déclassement social pour des corps abîmés par de longues années passées au travail.

Nous contestons le choix idéologique de toucher au temps de travail plutôt qu’à d’autre leviers de financement, choix déconnecté de la réalité du travail et notamment des métiers les plus pénible.

Nous contestons le choix de toucher à l’âge légal de départ, qui est le paramètre le plus injuste faisant peser l’essentiel de l’effort sur celles et ceux qui ont des carrières longues et hachées, alors qu’ils sont généralement ceux qui ont les métiers les plus pénibles. Ce report à 64 ans repousse l’accès à la retraite à taux plein au-delà de l’espérance de vie en bonne santé sans incapacité, qui est de 63,7 ans pour les hommes en 2019. Le report de l’âge va aggraver les inégalités sociales face à la mort. Aujourd'hui, les plus pauvres passent en moyenne 7 années de moins à la retraite que les plus aisés.

A défaut de parvenir à supprimer cet âge légal pour toutes et tous, cet amendement de replis vise au moins à exempter les hôtesses de l'air et stewards qui exercent un métier particulièrement éprouvant. En effet ces dernier.es sont soumis à un rythme de travail éreintant, à de longues périodes de travail, à un éloignement prolongé de leurs familles. Ils subissent comme peu d'autres l'impact du décalage horaire sur leurs organismes qui peut entrainer des dérèglements du système immunitaire, de l'équilibre hormonal, du système digestif, un accroissement des risques cardiaques, voire pour certaines personnes qui y sont prédisposés, des risques de troubles psychotiques comme la schizophrénie. Ils connaissent d'autres troubles sur la santé lié à l'altitude, à une alimentation de piètre qualité et au manque de sommeil.

C'est également un métier où le facteur stress est important provoqué par les aléas des vols, qu'ils soit météorologiques ou causer par l'attitude de certains passagers.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2590

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. GONTARD, Mme PONCET MONGE, MM. Jean Pierre VOGEL, BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les agents de maîtrise et techniciens en production et distribution d’énergie, eau, chauffage pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les agents de maîtrise et techniciens en production et distribution d'énergie, eau, chauffage.

Les écologistes sont opposés à l'article 7, qui est au cœur de la présente réforme. À rebours de tout progrès social, le Gouvernement prévoit ses économies exclusivement sur le départ différé en retraite des travailleurs et sur l’allongement de notre temps de travail. Les gains en espérance de vie ont déjà été consommés par les réformes précédentes. Ils seront à présent rattrapés par l’augmentation du temps passé au travail : la retraite n’est plus un horizon libérateur, mais un temps de déclassement social pour des corps abîmés par de longues années passées au travail. Nous contestons le choix idéologique de toucher au temps de travail plutôt qu’à d’autres leviers de financement, choix déconnecté de la réalité du travail et notamment des métiers les plus pénibles.

Nous contestons le choix de toucher à l’âge légal de départ, qui est le paramètre le plus injuste faisant peser l’essentiel de l’effort sur celles et ceux qui ont des carrières longues et hachées, alors qu’ils sont généralement ceux qui ont les métiers les plus pénibles. Ce report à 64 ans repousse l’accès à la retraite à taux plein au-delà de l’espérance de vie en bonne santé sans incapacité, qui est de 63,7 ans pour les hommes en 2019. Le report de l’âge va aggraver les inégalités sociales face à la mort. Aujourd'hui, les plus pauvres passent en moyenne 7 années de moins à la retraite que les plus aisés.

A défaut de parvenir à supprimer cet âge légal pour toutes et tous, cet amendement de repli vise au moins à exempter les techniciens et agents de maîtrise qui sont chargés de la production et de la distribution d’énergie, d’eau et de chauffage. Ils sont exposés à plusieurs risques pour leur santé qui sont incompatibles avec une prolongation de leur temps de travail. Les causes des accidents de travail de ces techniciens et agents sont multiples. Premièrement, étant amenés à travailler en hauteur, ils risquent de chuter lors de leurs interventions. De plus, les outils qu’ils manipulent peuvent être dangereux, les risques de blessures sont donc élevés. Ils sont également exposés à des produits chimiques qui peuvent s’avérer cancérigènes ou corrosifs. Enfin, ils ne sont pas à l’abri des risques d’incendies ou d’accident au contact des installations qu’ils réparent. En raison des risques entraînés par leur travail, il n’est pas raisonnable de demander à ces salariés de travailler jusqu’à l’âge de 64 ans, car cela présenterait bien trop de risques pour leur santé. 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2592

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. GONTARD, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les responsables du tri, de l’emballage, de l’expédition et autres responsables de la manutention, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement des groupes parlementaires Écologistes vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les responsables du tri, de l'emballage, de l'expédition et autres responsables de la manutention.

Les écologistes sont opposés à l'article 7, qui est au cœur de la présente réforme. À rebours de tout progrès social, le Gouvernement prévoit ses économies exclusivement sur le départ différé en retraite des travailleurs et sur l’allongement de notre temps de travail.

Les gains en espérance de vie ont déjà été consommés par les réformes précédentes. Ils seront à présent rattrapés par l’augmentation du temps passé au travail : la retraite n’est plus un horizon libérateur, mais un temps de déclassement social pour des corps abîmés par de longues années passées au travail. Nous contestons le choix idéologique de toucher au temps de travail plutôt qu’à d’autres leviers de financement, choix déconnecté de la réalité du travail et notamment des métiers les plus pénibles. Nous contestons le choix de toucher à l’âge légal de départ, qui est le paramètre le plus injuste faisant peser l’essentiel de l’effort sur celles et ceux qui ont des carrières longues et hachées, alors qu’ils sont généralement ceux qui ont les métiers les plus pénibles. Ce report à 64 ans repousse l’accès à la retraite à taux plein au-delà de l’espérance de vie en bonne santé sans incapacité, qui est de 63,7 ans pour les hommes en 2019. Le report de l’âge va aggraver les inégalités sociales face à la mort. Aujourd'hui, les plus pauvres passent en moyenne 7 années de moins à la retraite que les plus aisés.

A défaut de parvenir à supprimer cet âge légal pour toutes et tous, cet amendement de repli vise au moins à exempter les salariés responsables du secteur de la manutention, en charge du tri, de l’emballage ou encore de l’expédition. Le report de l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans ne prend pas en compte les difficultés que peuvent rencontrer au quotidien ces travailleurs. Les travaux réalisés par ces salariés représentent un risque pour leur santé sur du long terme. Les travailleurs présentent des troubles au niveau du dos et des cervicales, mais ce sont également les articulations des bras et des jambes qui sont concernées. En effet, ces travailleurs réalisent leurs tâches souvent en position debout, dans un environnement froid ou chaud selon les marchandises, ainsi qu’à des horaires décalés, notamment pour les salariés travaillant de nuit. Ils sont amenés à manipuler des charges lourdes, ainsi qu’à effectuer des mouvements répétitifs, tout cela à une cadence rapide. L’utilisation de machines pour faciliter le transport des marchandises les exposent également à des risques pour leur santé. En effet, les vibrations provoquées par ces machines sont impliquées dans le déclenchement ou l’aggravation des troubles musculo-squelettiques. Les conditions dans lesquelles ces salariés effectuent leurs tâches amènent à de nombreux accidents de travail et peuvent in fine aboutir à une inaptitude professionnelle.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2593

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. GONTARD, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les employés de libre service du commerce et magasiniers, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est  fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement des groupes parlementaires Écologistes vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les employés de libre-service du commerce et les magasiniers.

Les écologistes sont opposés à l'article 7, qui est au cœur de la présente réforme. À rebours de tout progrès social, le Gouvernement prévoit ses économies exclusivement sur le départ différé en retraite des travailleurs et sur l’allongement de notre temps de travail.

Les gains en espérance de vie ont déjà été consommés par les réformes précédentes. Ils seront à présent rattrapés par l’augmentation du temps passé au travail : la retraite n’est plus un horizon libérateur, mais un temps de déclassement social pour des corps abîmés par de longues années passées au travail. 

Nous contestons le choix idéologique de toucher au temps de travail plutôt qu’à d'autres leviers de financement, choix déconnecté de la réalité du travail et notamment des métiers les plus pénibles.

Nous contestons le choix de toucher à l’âge légal de départ, qui est le paramètre le plus injuste faisant peser l’essentiel de l’effort sur celles et ceux qui ont des carrières longues et hachées, alors qu’ils sont généralement ceux qui ont les métiers les plus pénibles. Ce report à 64 ans repousse l’accès à la retraite à taux plein au-delà de l’espérance de vie en bonne santé sans incapacité, qui est de 63,7 ans pour les hommes en 2019. Le report de l’âge va aggraver les inégalités sociales face à la mort. Aujourd'hui, les plus pauvres passent en moyenne 7 années de moins à la retraite que les plus aisés. 

A défaut de parvenir à supprimer cet âge légal pour toutes et tous, cet amendement de repli vise au moins à exempter les employés de libre-service du commerce et les magasiniers. Ils rencontrent des difficultés lors de l’exercice de leur fonction qui sont incompatibles avec la volonté du Gouvernement de les faire travailler deux ans de plus. Ces salariés sont amenés à porter des charges lourdes, ce qui est un risque pour leur dos, leurs cervicales ainsi que leurs articulations. Ils effectuent également des mouvements répétitifs, ils sont souvent debout, et travaillent à des horaires très irréguliers, parfois, la nuit, le week-end et les jours fériés. Les temps partiels sont fréquents dans ces professions. Les tâches de rangement, de dispositions des produits ou encore de nettoyage qu’ils sont amenés à réaliser présentent un risque d’usure pour leur corps. Ces conditions de travail sont la cause de nombreux accidents de travail voire d’inaptitudes professionnelles. De fait, il n’est pas juste de leur demander de travailler jusqu’à 64 ans. 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2594

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. GONTARD, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4 

Compléter cet article par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernées par le présent alinéa les vendeurs en alimentation, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement des groupes parlementaires Écologistes vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les vendeurs en alimentation.

Les écologistes sont opposés à l'article 7, qui est au cœur de la présente réforme. À rebours de tout progrès social, le Gouvernement prévoit ses économies exclusivement sur le départ différé en retraite des travailleurs et sur l’allongement de notre temps de travail.

Les gains en espérance de vie ont déjà été consommés par les réformes précédentes. Ils seront à présent rattrapés par l’augmentation du temps passé au travail : la retraite n’est plus un horizon libérateur, mais un temps de déclassement social pour des corps abîmés par de longues années passées au travail.

Nous contestons le choix idéologique de toucher au temps de travail plutôt qu’à d'autres leviers de financement, choix déconnecté de la réalité du travail et notamment des métiers les plus pénibles.

Nous contestons le choix de toucher à l’âge légal de départ, qui est le paramètre le plus injuste faisant peser l’essentiel de l’effort sur celles et ceux qui ont des carrières longues et hachées, alors qu’ils sont généralement ceux qui ont les métiers les plus pénibles. Ce report à 64 ans repousse l’accès à la retraite à taux plein au-delà de l’espérance de vie en bonne santé sans incapacité, qui est de 63,7 ans pour les hommes en 2019. Le report de l’âge va aggraver les inégalités sociales face à la mort. Aujourd'hui, les plus pauvres passent en moyenne 7 années de moins à la retraite que les plus aisés.

A défaut de parvenir à supprimer cet âge légal pour toutes et tous, cet amendement de repli vise au moins à exempter les vendeurs en alimentation. Ces salariés sont amenés à porter des produits lourds pendant leur journée souvent sans équipement d’aide à la manutention. La mise en rayon des marchandises les contraint également à une posture de leur corps qui n’est pas naturelle et qui est contraignante, et donc qui les expose à un risque de blessure du dos par exemple. De plus, le stockage en hauteur des marchandises provoque un risque de chute important pour ces travailleurs. L’utilisation d’outils coupants non adaptés pour déballer les marchandises réceptionnées s’ajoute également à la liste des risques encourus par les vendeurs en alimentation. Enfin, ces salariés sont confrontés à un rythme de travail intensif qui peut être très stressant. Les conditions de travail difficiles de ces travailleurs provoquent de nombreux accidents de travail qui altèrent la santé des salariés et aboutit parfois à une inaptitude professionnelle. Il n’est donc pas juste de demander à ces salariés de travailler deux ans de plus.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2595

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. GONTARD, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les vendeurs en ameublement, décor, équipement du foyer, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement des groupes parlementaires Écologistes vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les responsables du tri, de l'emballage, de l'expédition et autres responsables de la manutention.

Les écologistes sont opposés à l'article 7, qui est au cœur de la présente réforme. À rebours de tout progrès social, le Gouvernement prévoit ses économies exclusivement sur le départ différé en retraite des travailleurs et sur l’allongement de notre temps de travail.

Les gains en espérance de vie ont déjà été consommés par les réformes précédentes. Ils seront à présent rattrapés par l’augmentation du temps passé au travail : la retraite n’est plus un horizon libérateur, mais un temps de déclassement social pour des corps abîmés par de longues années passées au travail. Nous contestons le choix idéologique de toucher au temps de travail plutôt qu’à d’autres leviers de financement, choix déconnecté de la réalité du travail et notamment des métiers les plus pénibles. Nous contestons le choix de toucher à l’âge légal de départ, qui est le paramètre le plus injuste faisant peser l’essentiel de l’effort sur celles et ceux qui ont des carrières longues et hachées, alors qu’ils sont généralement ceux qui ont les métiers les plus pénibles. Ce report à 64 ans repousse l’accès à la retraite à taux plein au-delà de l’espérance de vie en bonne santé sans incapacité, qui est de 63,7 ans pour les hommes en 2019. Le report de l’âge va aggraver les inégalités sociales face à la mort. Aujourd'hui, les plus pauvres passent en moyenne 7 années de moins à la retraite que les plus aisés.

A défaut de parvenir à supprimer cet âge légal pour toutes et tous, cet amendement de repli vise au moins à exempter les salariés vendeurs en ameublement, décor, équipement du foyer. Le report de l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans ne prend pas en compte les difficultés que peuvent rencontrer au quotidien ces travailleurs. Ils sont soumis à un rythme de travail important et irrégulier incluant généralement le week-end et certains jours fériés.

Que ce soit en grande surface ou en boutique spécialisée, les vendeurs passent la majorité de leur journée debout, en mouvement. Ils peuvent être amenés à beaucoup marcher, notamment dans les magasins de grande superficie, et à porter des charges lourdes. Le métier procure donc une fatigue physique particulièrement élevée. Le volume sonore sur leur lieu de travail, notamment en période de solde peut s'avérer particulièrement élevé et pénible.

Ils ont souvent des pressions liées aux résultats et sont soumis au stress.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2596

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. GONTARD, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les responsables d’entrepôt et de magasinage, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement des groupes parlementaires Écologistes vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les responsables d'entrepôt, de magasinage.

Les écologistes sont opposés à l'article 7, qui est au cœur de la présente réforme. À rebours de tout progrès social, le Gouvernement prévoit ses économies exclusivement sur le départ différé en retraite des travailleurs et sur l’allongement de notre temps de travail.

Les gains en espérance de vie ont déjà été consommés par les réformes précédentes. Ils seront à présent rattrapés par l’augmentation du temps passé au travail : la retraite n’est plus un horizon libérateur, mais un temps de déclassement social pour des corps abîmés par de longues années passées au travail.

Nous contestons le choix idéologique de toucher au temps de travail plutôt qu’à d'autres leviers de financement, choix déconnecté de la réalité du travail et notamment des métiers les plus pénibles.

Nous contestons le choix de toucher à l’âge légal de départ, qui est le paramètre le plus injuste faisant peser l’essentiel de l’effort sur celles et ceux qui ont des carrières longues et hachées, alors qu’ils sont généralement ceux qui ont les métiers les plus pénibles. Ce report à 64 ans repousse l’accès à la retraite à taux plein au-delà de l’espérance de vie en bonne santé sans incapacité, qui est de 63,7 ans pour les hommes en 2019. Le report de l’âge va aggraver les inégalités sociales face à la mort. Aujourd'hui, les plus pauvres passent en moyenne 7 années de moins à la retraite que les plus aisés.

A défaut de parvenir à supprimer cet âge légal pour toutes et tous, cet amendement de repli vise au moins à exempter les responsables d’entrepôt et de magasinage. Ces salariés sont exposés à plusieurs types de risques pour leur santé. Premièrement, on trouve des risques de chute en cas de rangement de marchandises en hauteur, mais ces mêmes marchandises sont également susceptibles de tomber sur les salariés au sol. Les travailleurs sont aussi exposés aux nuisances sonores importantes dans les entrepôts, ainsi qu’au port de charges lourdes et aux gestes répétitifs, mauvais pour leur corps. De plus, les responsables d’entrepôt ont souvent des horaires de travail irréguliers, en lien avec la gestion de l’entrepôt et des clients de cet entrepôt, ce qui peut être très stressant. L’exposition prolongée à tous ces risques est mauvaise pour la santé de ces salariés. Il est donc injuste de leur demander de travailler deux ans de plus.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2610

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. GONTARD, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les agents de maîtrise en fabrication des autres industries imprimerie, matériaux souples, ameublement et bois pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement des groupes parlementaires Écologistes vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les agents de maîtrise en fabrication des autres industries imprimerie, matériaux souples, ameublement et bois.

Les écologistes sont opposés à l’article 7, qui est au cœur de la présente réforme. À rebours de tout progrès social, le Gouvernement prévoit ses économies exclusivement sur le départ différé en retraite des travailleurs et sur l’allongement de notre temps de travail.

Les gains en espérance de vie ont déjà été consommés par les réformes précédentes. Ils seront à présent rattrapés par l’augmentation du temps passé au travail : la retraite n’est plus un horizon libérateur, mais un temps de déclassement social pour des corps abîmés par de longues années passées au travail.

Nous contestons le choix idéologique de toucher au temps de travail plutôt qu’à d’autres leviers de financement, choix déconnecté de la réalité du travail et notamment des métiers les plus pénibles.

Nous contestons le choix de toucher à l’âge légal de départ, qui est le paramètre le plus injuste faisant peser l’essentiel de l’effort sur celles et ceux qui ont des carrières longues et hachées, alors qu’ils sont généralement ceux qui ont les métiers les plus pénibles. Ce report à 64 ans repousse l’accès à la retraite à taux plein au-delà de l’espérance de vie en bonne santé sans incapacité, qui est de 63,7 ans pour les hommes en 2019. Le report de l’âge va aggraver les inégalités sociales face à la mort. Aujourd’hui, les plus pauvres passent en moyenne 7 années de moins à la retraite que les plus aisés.

A défaut de parvenir à supprimer cet âge légal pour toutes et tous, cet amendement de repli vise au moins à exempter les agents de maîtrise en fabrication des autres industries imprimerie, matériaux souples, ameublement et bois. Ces salariés sont amenés à manipuler des machine bruyantes, et parfois dangereuses. Ils sont au contact d’agent chimiques potentiellement très nocifs pour la santé, a fortiori en cas d’expositions prolongée pendant plusieurs années. Ils sont également amenés à porter des produits lourds pendant leur journée souvent sans équipement d’aide à la manutention. Les imprimeurs sont soumis à des délais extrêmement courts et a une pression importante, certains comme ceux de la presse écrite quotidienne sont également obligés de travailler presque exclusivement de nuit. Les conditions de travail difficiles de ces travailleurs provoquent de nombreux accidents de travail qui altèrent la santé des salariés et aboutit parfois à une inaptitude professionnelle. Il n’est donc pas juste de demander à ces salariés de travailler deux ans de plus.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2612

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. GONTARD, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les cadres des services techniques des organismes de sécurité sociale et assimilés, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement des groupes parlementaires Écologistes vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les cadres des services techniques des organismes de sécurité sociale et assimilés

Les écologistes sont opposés à l'article 7, qui est au cœur de la présente réforme. À rebours de tout progrès social, le Gouvernement prévoit ses économies exclusivement sur le départ différé en retraite des travailleurs et sur l’allongement de notre temps de travail.

Les gains en espérance de vie ont déjà été consommés par les réformes précédentes. Ils seront à présent rattrapés par l’augmentation du temps passé au travail : la retraite n’est plus un horizon libérateur, mais un temps de déclassement social pour des corps abîmés par de longues années passées au travail.

Nous contestons le choix idéologique de toucher au temps de travail plutôt qu’à d'autres leviers de financement, choix déconnecté de la réalité du travail et notamment des métiers les plus pénibles.

Nous contestons le choix de toucher à l’âge légal de départ, qui est le paramètre le plus injuste faisant peser l’essentiel de l’effort sur celles et ceux qui ont des carrières longues et hachées, alors qu’ils sont généralement ceux qui ont les métiers les plus pénibles. Ce report à 64 ans repousse l’accès à la retraite à taux plein au-delà de l’espérance de vie en bonne santé sans incapacité, qui est de 63,7 ans pour les hommes en 2019. Le report de l’âge va aggraver les inégalités sociales face à la mort. Aujourd'hui, les plus pauvres passent en moyenne 7 années de moins à la retraite que les plus aisés.

A défaut de parvenir à supprimer cet âge légal pour toutes et tous, cet amendement de repli vise au moins à exempter les cadres des services techniques des organismes de sécurité sociale et assimilés. Ces salariés sont amenés à rester assis plusieurs heures par jour avec tous les risques bien identifiés que provoquent la sédentarité :

- Entorse du cou et des épaules. Il est courant de tenir la tête et le cou dans une posture vers l’avant lorsque vous travaillez sur l’ordinateur.  Cela sollicite les vertèbres cervicales, les muscles, les ligaments et les articulations, causant des douleurs au cou, aux épaules et au dos ;

- entorse de la colonne vertébrale. S’asseoir met plus de pression sur la colonne vertébrale que se tenir debout.  Rester assis, courbé, c’est encore pire. Les disques sont compressés et perdent leur flexibilité. S’asseoir excessivement peut augmenter le risque de pathologie au disque ou de hernie discale ;

- Dégénérescence musculaire. L’activité exige l’activation musculaire. Lorsque les muscles ne sont pas utilisés, ils s’affaiblissent ;

- Impact sur les hanches. Les hanches deviennent serrées et leur amplitude de mouvement est limitée en raison de la position de flexion prolongée pendant que nous sommes assis.

Enfin, ces salariés sont confrontés à un rythme de travail intensif qui peut être très stressant. Ils travaillent le plus souvent dans des espaces ouverts qui génére bruit, inconfort et stress. Il n’est donc pas juste de demander à ces salariés de travailler deux ans de plus.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3100

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. GONTARD, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les architectes salariés, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa du présent article pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement des groupes parlementaires Écologistes vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les architectes salariés.

Les écologistes sont opposés à l'article 7, qui est au cœur de la présente réforme. À rebours de tout progrès social, le Gouvernement prévoit ses économies exclusivement sur le départ différé en retraite des travailleurs et sur l’allongement de notre temps de travail.

Les gains en espérance de vie ont déjà été consommés par les réformes précédentes. Ils seront à présent rattrapés par l’augmentation du temps passé au travail : la retraite n’est plus un horizon libérateur, mais un temps de déclassement social pour des corps abîmés par de longues années passées au travail.

Nous contestons le choix idéologique de toucher au temps de travail plutôt qu’à d'autres leviers de financement, choix déconnecté de la réalité du travail et notamment des métiers les plus pénibles.

Nous contestons le choix de toucher à l’âge légal de départ, qui est le paramètre le plus injuste faisant peser l’essentiel de l’effort sur celles et ceux qui ont des carrières longues et hachées, alors qu’ils sont généralement ceux qui ont les métiers les plus pénibles. Ce report à 64 ans repousse l’accès à la retraite à taux plein au-delà de l’espérance de vie en bonne santé sans incapacité, qui est de 63,7 ans pour les hommes en 2019. Le report de l’âge va aggraver les inégalités sociales face à la mort. Aujourd'hui, les plus pauvres passent en moyenne 7 années de moins à la retraite que les plus aisés.

A défaut de parvenir à supprimer cet âge légal pour toutes et tous, cet amendement de repli vise au moins à exempter les architectes salariés. Ces salariés sont amenés à rester assis plusieurs heures par jour avec tous les risques bien identifiés que provoquent la sédentarité :

- Entorse du cou et des épaules. Il est courant de tenir la tête et le cou dans une posture vers l’avant lorsque vous travaillez sur l’ordinateur.  Cela sollicite les vertèbres cervicales, les muscles, les ligaments et les articulations, causant des douleurs au cou, aux épaules et au dos ;

- entorse de la colonne vertébrale. S’asseoir met plus de pression sur la colonne vertébrale que se tenir debout.  Rester assis, courbé, c’est encore pire. Les disques sont compressés et perdent leur flexibilité. S’asseoir excessivement peut augmenter le risque de pathologie au disque ou de hernie discale ;

- Dégénérescence musculaire. L’activité exige l’activation musculaire. Lorsque les muscles ne sont pas utilisés, ils s’affaiblissent ;

- Impact sur les hanches. Les hanches deviennent serrées et leur amplitude de mouvement est limitée en raison de la position de flexion prolongée pendant que nous sommes assis.

Enfin, ces salariés sont confrontés à un rythme de travail intensif qui peut être très stressant. Ils travaillent le plus souvent dans des espaces ouverts qui génère bruit, inconfort et stress. Il n’est donc pas juste de demander à ces salariés de travailler deux ans de plus.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3105

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. GONTARD, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les employés administratifs des services techniques de la banque, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement des groupes parlementaires Écologistes vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les employés administratifs des services techniques de la banque.

Les écologistes sont opposés à l'article 7, qui est au cœur de la présente réforme. À rebours de tout progrès social, le Gouvernement prévoit ses économies exclusivement sur le départ différé en retraite des travailleurs et sur l’allongement de notre temps de travail.

Les gains en espérance de vie ont déjà été consommés par les réformes précédentes. Ils seront à présent rattrapés par l’augmentation du temps passé au travail : la retraite n’est plus un horizon libérateur, mais un temps de déclassement social pour des corps abîmés par de longues années passées au travail.

Nous contestons le choix idéologique de toucher au temps de travail plutôt qu’à d'autres leviers de financement, choix déconnecté de la réalité du travail et notamment des métiers les plus pénibles.

Nous contestons le choix de toucher à l’âge légal de départ, qui est le paramètre le plus injuste faisant peser l’essentiel de l’effort sur celles et ceux qui ont des carrières longues et hachées, alors qu’ils sont généralement ceux qui ont les métiers les plus pénibles. Ce report à 64 ans repousse l’accès à la retraite à taux plein au-delà de l’espérance de vie en bonne santé sans incapacité, qui est de 63,7 ans pour les hommes en 2019. Le report de l’âge va aggraver les inégalités sociales face à la mort. Aujourd'hui, les plus pauvres passent en moyenne 7 années de moins à la retraite que les plus aisés.

A défaut de parvenir à supprimer cet âge légal pour toutes et tous, cet amendement de repli vise au moins à exempter les employés administratifs des services techniques de la banque. Ces salariés sont amenés à rester assis plusieurs heures par jour avec tous les risques bien identifiés que provoquent la sédentarité :

- Entorse du cou et des épaules. Il est courant de tenir la tête et le cou dans une posture vers l’avant lorsque vous travaillez sur l’ordinateur.  Cela sollicite les vertèbres cervicales, les muscles, les ligaments et les articulations, causant des douleurs au cou, aux épaules et au dos ;

- entorse de la colonne vertébrale. S’asseoir met plus de pression sur la colonne vertébrale que se tenir debout.  Rester assis, courbé, c’est encore pire. Les disques sont compressés et perdent leur flexibilité. S’asseoir excessivement peut augmenter le risque de pathologie au disque ou de hernie discale ;

- Dégénérescence musculaire. L’activité exige l’activation musculaire. Lorsque les muscles ne sont pas utilisés, ils s’affaiblissent ;

- Impact sur les hanches. Les hanches deviennent serrées et leur amplitude de mouvement est limitée en raison de la position de flexion prolongée pendant que nous sommes assis.

Enfin, ces salariés sont confrontés à un rythme de travail intensif qui peut être très stressant. Ils travaillent le plus souvent dans des espaces ouverts qui génère bruit, inconfort et stress. Il n’est donc pas juste de demander à ces salariés de travailler deux ans de plus.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3106

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. GONTARD, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les employés des services commerciaux de la banque, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement des groupes parlementaires Écologistes vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les employés des services commerciaux de la banque.

Les écologistes sont opposés à l'article 7, qui est au cœur de la présente réforme. À rebours de tout progrès social, le Gouvernement prévoit ses économies exclusivement sur le départ différé en retraite des travailleurs et sur l’allongement de notre temps de travail.

Les gains en espérance de vie ont déjà été consommés par les réformes précédentes. Ils seront à présent rattrapés par l’augmentation du temps passé au travail : la retraite n’est plus un horizon libérateur, mais un temps de déclassement social pour des corps abîmés par de longues années passées au travail.

Nous contestons le choix idéologique de toucher au temps de travail plutôt qu’à d'autres leviers de financement, choix déconnecté de la réalité du travail et notamment des métiers les plus pénibles.

Nous contestons le choix de toucher à l’âge légal de départ, qui est le paramètre le plus injuste faisant peser l’essentiel de l’effort sur celles et ceux qui ont des carrières longues et hachées, alors qu’ils sont généralement ceux qui ont les métiers les plus pénibles. Ce report à 64 ans repousse l’accès à la retraite à taux plein au-delà de l’espérance de vie en bonne santé sans incapacité, qui est de 63,7 ans pour les hommes en 2019. Le report de l’âge va aggraver les inégalités sociales face à la mort. Aujourd'hui, les plus pauvres passent en moyenne 7 années de moins à la retraite que les plus aisés.

A défaut de parvenir à supprimer cet âge légal pour toutes et tous, cet amendement de repli vise au moins à exempter les employés des services commerciaux de la banque. Ces salariés sont amenés à rester assis plusieurs heures par jour avec tous les risques bien identifiés que provoquent la sédentarité :

- Entorse du cou et des épaules. Il est courant de tenir la tête et le cou dans une posture vers l’avant lorsque vous travaillez sur l’ordinateur.  Cela sollicite les vertèbres cervicales, les muscles, les ligaments et les articulations, causant des douleurs au cou, aux épaules et au dos ;

- entorse de la colonne vertébrale. S’asseoir met plus de pression sur la colonne vertébrale que se tenir debout.  Rester assis, courbé, c’est encore pire. Les disques sont compressés et perdent leur flexibilité. S’asseoir excessivement peut augmenter le risque de pathologie au disque ou de hernie discale ;

- Dégénérescence musculaire. L’activité exige l’activation musculaire. Lorsque les muscles ne sont pas utilisés, ils s’affaiblissent ;

- Impact sur les hanches. Les hanches deviennent serrées et leur amplitude de mouvement est limitée en raison de la position de flexion prolongée pendant que nous sommes assis.

Enfin, ces salariés sont confrontés à un rythme de travail intensif et à la pression du résultat qui peuvent être très stressants. Ils travaillent le plus souvent dans des espaces ouverts qui génèrent bruit, inconfort et stress. Il n’est donc pas juste de demander à ces salariés de travailler deux ans de plus.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3107

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. GONTARD, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les employés des services techniques des assurances, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement des groupes parlementaires Écologistes vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les employés des services techniques des assurances.

Les écologistes sont opposés à l'article 7, qui est au cœur de la présente réforme. À rebours de tout progrès social, le Gouvernement prévoit ses économies exclusivement sur le départ différé en retraite des travailleurs et sur l’allongement de notre temps de travail.

Les gains en espérance de vie ont déjà été consommés par les réformes précédentes. Ils seront à présent rattrapés par l’augmentation du temps passé au travail : la retraite n’est plus un horizon libérateur, mais un temps de déclassement social pour des corps abîmés par de longues années passées au travail.

Nous contestons le choix idéologique de toucher au temps de travail plutôt qu’à d'autres leviers de financement, choix déconnecté de la réalité du travail et notamment des métiers les plus pénibles.

Nous contestons le choix de toucher à l’âge légal de départ, qui est le paramètre le plus injuste faisant peser l’essentiel de l’effort sur celles et ceux qui ont des carrières longues et hachées, alors qu’ils sont généralement ceux qui ont les métiers les plus pénibles. Ce report à 64 ans repousse l’accès à la retraite à taux plein au-delà de l’espérance de vie en bonne santé sans incapacité, qui est de 63,7 ans pour les hommes en 2019. Le report de l’âge va aggraver les inégalités sociales face à la mort. Aujourd'hui, les plus pauvres passent en moyenne 7 années de moins à la retraite que les plus aisés.

A défaut de parvenir à supprimer cet âge légal pour toutes et tous, cet amendement de repli vise au moins à exempter les employés des services techniques des assurances. Ces salariés sont amenés à rester assis plusieurs heures par jour avec tous les risques bien identifiés que provoquent la sédentarité :

- Entorse du cou et des épaules. Il est courant de tenir la tête et le cou dans une posture vers l’avant lorsque vous travaillez sur l’ordinateur.  Cela sollicite les vertèbres cervicales, les muscles, les ligaments et les articulations, causant des douleurs au cou, aux épaules et au dos ;

- entorse de la colonne vertébrale. S’asseoir met plus de pression sur la colonne vertébrale que se tenir debout.  Rester assis, courbé, c’est encore pire. Les disques sont compressés et perdent leur flexibilité. S’asseoir excessivement peut augmenter le risque de pathologie au disque ou de hernie discale ;

- Dégénérescence musculaire. L’activité exige l’activation musculaire. Lorsque les muscles ne sont pas utilisés, ils s’affaiblissent ;

- Impact sur les hanches. Les hanches deviennent serrées et leur amplitude de mouvement est limitée en raison de la position de flexion prolongée pendant que nous sommes assis.

Enfin, ces salariés sont confrontés à un rythme de travail intensif et à la pression du résultat qui peuvent être très stressants. Ils travaillent le plus souvent dans des espaces ouverts qui génèrent bruit, inconfort et stress. Il n’est donc pas juste de demander à ces salariés de travailler deux ans de plus.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3120

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Tombé

M. GONTARD, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE et LABBÉ et Mme de MARCO


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par les mots :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les employés administratifs d’exploitation des transports de marchandises, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement des groupes parlementaires Écologistes vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les employés administratifs d’exploitation des transports de marchandises.

Les écologistes sont opposés à l'article 7, qui est au cœur de la présente réforme. À rebours de tout progrès social, le Gouvernement prévoit ses économies exclusivement sur le départ différé en retraite des travailleurs et sur l’allongement de notre temps de travail.

Les gains en espérance de vie ont déjà été consommés par les réformes précédentes. Ils seront à présent rattrapés par l’augmentation du temps passé au travail : la retraite n’est plus un horizon libérateur, mais un temps de déclassement social pour des corps abîmés par de longues années passées au travail.

Nous contestons le choix idéologique de toucher au temps de travail plutôt qu’à d'autres leviers de financement, choix déconnecté de la réalité du travail et notamment des métiers les plus pénibles.

Nous contestons le choix de toucher à l’âge légal de départ, qui est le paramètre le plus injuste faisant peser l’essentiel de l’effort sur celles et ceux qui ont des carrières longues et hachées, alors qu’ils sont généralement ceux qui ont les métiers les plus pénibles. Ce report à 64 ans repousse l’accès à la retraite à taux plein au-delà de l’espérance de vie en bonne santé sans incapacité, qui est de 63,7 ans pour les hommes en 2019. Le report de l’âge va aggraver les inégalités sociales face à la mort. Aujourd'hui, les plus pauvres passent en moyenne 7 années de moins à la retraite que les plus aisés.

A défaut de parvenir à supprimer cet âge légal pour toutes et tous, cet amendement de repli vise au moins à exempter les employés administratifs d’exploitation des transports de marchandises. Ces salariés sont amenés à rester assis plusieurs heures par jour avec tous les risques bien identifiés que provoquent la sédentarité :

- Entorse du cou et des épaules. Il est courant de tenir la tête et le cou dans une posture vers l’avant lorsque vous travaillez sur l’ordinateur.  Cela sollicite les vertèbres cervicales, les muscles, les ligaments et les articulations, causant des douleurs au cou, aux épaules et au dos ;

- entorse de la colonne vertébrale. S’asseoir met plus de pression sur la colonne vertébrale que se tenir debout.  Rester assis, courbé, c’est encore pire. Les disques sont compressés et perdent leur flexibilité. S’asseoir excessivement peut augmenter le risque de pathologie au disque ou de hernie discale ;

- Dégénérescence musculaire. L’activité exige l’activation musculaire. Lorsque les muscles ne sont pas utilisés, ils s’affaiblissent ;

- Impact sur les hanches. Les hanches deviennent serrées et leur amplitude de mouvement est limitée en raison de la position de flexion prolongée pendant que nous sommes assis.

Enfin, ces salariés sont confrontés à un rythme de travail intensif et à la pression du résultat qui peuvent être très stressants. Ils travaillent le plus souvent dans des espaces ouverts qui génèrent bruit, inconfort et stress. Il n’est donc pas juste de demander à ces salariés de travailler deux ans de plus.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3122

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. GONTARD, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les employés administratifs non qualifiés, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement des groupes parlementaires écologistes vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les employés administratifs non qualifiés.

Les écologistes sont opposés à l'article 7, qui est au cœur de la présente réforme. À rebours de tout progrès social, le Gouvernement prévoit ses économies exclusivement sur le départ différé en retraite des travailleurs et sur l’allongement de notre temps de travail.

Les gains en espérance de vie ont déjà été consommés par les réformes précédentes. Ils seront à présent rattrapés par l’augmentation du temps passé au travail : la retraite n’est plus un horizon libérateur, mais un temps de déclassement social pour des corps abîmés par de longues années passées au travail. 

Nous contestons le choix idéologique de toucher au temps de travail plutôt qu’à d'autres leviers de financement, choix déconnecté de la réalité du travail et notamment des métiers les plus pénibles.

Nous contestons le choix de toucher à l’âge légal de départ, qui est le paramètre le plus injuste faisant peser l’essentiel de l’effort sur celles et ceux qui ont des carrières longues et hachées, alors qu’ils sont généralement ceux qui ont les métiers les plus pénibles. Ce report à 64 ans repousse l’accès à la retraite à taux plein au-delà de l’espérance de vie en bonne santé sans incapacité, qui est de 63,7 ans pour les hommes en 2019. Le report de l’âge va aggraver les inégalités sociales face à la mort. Aujourd'hui, les plus pauvres passent en moyenne 7 années de moins à la retraite que les plus aisés.

A défaut de parvenir à supprimer cet âge légal pour toutes et tous, cet amendement de replis vise au moins à exempter les employés administratifs non qualifiés. Ces salariés sont exposés aux risques de long terme qui concernent le travail de bureau. La position assise dans laquelle ces employés sont toute la journée provoque des problèmes de dos importants de type lombalgiques ainsi que des troubles musculosquelettiques. La sédentarité provoquée par le maintien de la posture assise peut être à l’origine de futurs problèmes de santé. De plus, le travail prolongé devant un écran d’ordinateur est responsable d’une fatigue visuelle ainsi que de troubles ophtalmiques. Le rythme intense, la surcharge de travail et la charge mentale importante de ce poste sont également des facteurs qui peuvent provoquer du stress et donc des troubles psychosociaux chez les employés administratifs. Ces conditions de travail sont loin d’être compatibles avec l’exercice de cette fonction jusqu’à l’âge de 64 ans.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3135

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les employés administratifs non qualifiés, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement soutenu par le groupe Écologiste vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les accompagnants d’élèves en situation de handicap (AESH).

Les accompagnants d’élèves en situation de handicap (AESH) sont des personnels chargés de l’aide humaine. Ils ont pour mission de favoriser l’autonomie de l’élève en situation de handicap, qu’ils interviennent au titre de l’aide humaine individuelle, de l’aide humaine mutualisée ou de l’accompagnement collectif.

Ces salariés subissent le temps partiel et le niveau de rémunération en font des travailleurs pauvres. Leur métier devrait conduire à les faire reconnaître comme métiers pénibles qui, en plus de fortes mesures de prévention et de revalorisation, justifie dans un premier temps le maintien de l’âge légal à 62 ans et ultérieurement un retour rapide à 60 ans.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3253

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les ouvriers qualifiés divers de type industriel, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

 

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ouvriers qualifiés divers de type industriel surreprésentés dans les durées de retraite courtes.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3255

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas s par le présent alinéa les ouvriers non qualifiés des travaux publics et du travail du béton, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe écologiste, solidarité et territoires vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ouvriers non qualifiés des travaux publics et du travail du béton, surreprésentés dans les durées de retraite courtes.

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3256

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernées par le présent alinéa les assurés victimes d’affections chroniques du rachis lombaire provoquées par les vibrations de basses et moyennes fréquences transmises au corps entier dont les modalités de reconnaissance sont fixées par décret pris après avis de la Haute Autorité de santé, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe écologiste, solidarité et territoires vise à ne pas appliquer la réforme du décalage de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans aux travailleurs victimes d'affections chroniques du rachis lombaire provoquées par les vibrations de basses et moyennes fréquences transmises au corps entier et dont l’espérance de vie sans incapacité est minorée de ce fait.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3258

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les assurés victimes d’affections cancéreuses provoquées par les goudrons de houille, huiles de houille, brais de houille et suies de combustion du charbon dont les modalités de reconnaissance sont fixées par décret pris après avis de la Haute Autorité de santé, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe écologiste, solidarité et territoires vise à ne pas appliquer la réforme du décalage de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans aux travailleurs victimes d'affections cancéreuses provoquées par les goudrons de houille, huiles de houille, brais de houille et suies de combustion du charbon et dont l’espérance de vie sans incapacité est minorée de ce fait.

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3261

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les assurés victimes de particules en circulation dans les puits de mine de charbon dont les modalités de reconnaissance sont fixées par décret pris après avis de la Haute Autorité de Santé, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe écologiste, solidarité et territoires vise à ne pas appliquer la réforme du décalage de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans aux travailleurs victimes de particules en circulation dans les puits de mine de charbon et dont l’espérance de vie sans incapacité est minorée de ce fait.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3262

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les assurés victimes de manutention manuelle de charges lourdes dont les modalités de reconnaissance sont fixées par décret pris après avis de la Haute Autorité de Santé, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement vise à ne pas appliquer la réforme du décalage de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et leur permettre de bénéficier du départ anticipé de deux ans aux travailleurs victimes de manutention manuelle de charges lourdes et leur permettre de bénéficier du départ anticipé de deux ans. 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3264

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les assurés victimes d’affections causées par les ciments dont les modalités de reconnaissance sont fixées par décret pris après avis de la Haute Autorité de Santé, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

 

Objet

Cet amendement vise à ne pas appliquer la réforme du décalage de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans aux travailleurs victimes d' affections causées par les ciments et dont l’espérance de vie sans incapacité est minorée de ce fait.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3265

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les caissiers de magasin, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les caissiers de magasin compte tenu déjà du trop grand nombre de sorties par inaptitude avant 60 ans. 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3266

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernées par le présent alinéa les assistantes maternelles, gardiennes d’enfants et familles d’accueil, pour lesquelles l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

 

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les assistantes maternelles, gardiennes d'enfants, familles d'accueil.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3267

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les aides à domicile, aides ménagères et travailleuses familiales, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

 

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les aides à domicile et travailleuses familiales qui ont déjà le triste record de la sinistralité et des départs en inaptitude.

« Ces métiers cumulent des pénibilités multiples, mal reconnues et mal prises en compte, qui conduisent à un vieillissement précoce. Ils sont si consommateurs de ressources humaines qu’il est quasi impossible d’y faire des carrières entières à temps plein », d’après François-Xavier Devetter, économiste à l’université de Lille qui souligne que si les aides à domicile travaillent en moyenne 27 heures par semaine, elles subissent proportionnellement beaucoup plus d’accidents du travail et d’arrêt maladie que des salariés qui exercent à temps plein.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3268

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les auxiliaires de puériculture, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les auxiliaires de puériculture.

S’occuper d’enfants en bas âge met les corps à rude épreuve. Selon leur syndicat national, les professionnels de la petite enfance portent en moyenne 4 113 681 kilos tout au long de leur carrière. Une EJE détaille : « Relever les jeunes enfants qui tombent, se mettre au sol et se relever dix fois par jour... les collègues développent des lombalgies, des hernies discales. » Les mains et ses poignets sont fragilisés par les changements quotidiens de vingt couches.

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3269

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les aides-soignants et les aides à domicile, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

 

Objet

 Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les aides-soignants.

« 20 % des aides-soignantes sont en arrêt longue maladie quatre ans avant leur départ à la retraite », estime Arnaud Robinet, président de la Fédération hospitalière de France.

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3271

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les agents de service hospitaliers, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les agents de service hospitaliers.

« 25 % des agents de service hospitalier sont en arrêt longue maladie quatre ans avant leur départ à la retraite », estime Arnaud Robinet, président de la Fédération hospitalière de France.

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3272

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les agents administratifs des hôpitaux publics, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les agents administratifs des hôpitaux publics.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3273

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les adjoints administratifs des hôpitaux publics, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

 

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les adjoints administratifs des hôpitaux publics.

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3274

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les infirmiers et les infirmières, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans aux infirmiers et aux infirmières.

33 % des infirmières partent en invalidité avant la date de leur retraite, affirme Laurent Gleize, de la CGT.

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3443

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les agents des services commerciaux des transports de voyageurs et du tourisme, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les agents des services commerciaux des transports de voyageurs et du tourisme. 

Décaler l’âge légal de départ à la retraite est un choix injuste, notamment parce que les efforts demandés vont toucher de façon plus forte certaines catégories spécifiques de la population, au premier rang desquelles les femmes, ainsi que les travailleuses et travailleurs ayant fait peu d’études supérieures et qui sont donc entrés plus tôt sur le marché du travail. 

C’est en cela que les agents administratifs et commerciaux font partie des très nombreux corps de métier fortement impactés par la réforme des retraites. Selon les chiffres de la Dares, cette profession est aujourd’hui occupé par une majorité de femme. Or, la réforme demande davantage de mois de travail supplémentaires aux femmes qu’aux hommes : le report de l’âge de départ entraîne en moyenne 7 mois de travail supplémentaires pour les femmes, contre seulement 5 pour les hommes.

Par ailleurs, les agents du secteur du transport et du tourisme rentrent tôt sur le marché du travail, et connaissent généralement des carrières longues : 6 agents sur 10 de ce secteur n’ont pas fait d’études supérieures, et près de 9 agents sur 10 ne disposent pas d’un diplôme  de niveau bac +3 ou plus. 

En d’autres termes, les agents commerciaux et administratifs du secteur du transport et du tourisme font partie des grands perdants de votre réforme : agents et hôtesses d’accompagnement, agents administratifs des transports, employés des transports et du tourisme, techniciens des transports du tourisme, tous vont devoir travailler deux ans supplémentaires, vont perdre ou voir diminuer les éventuels trimestres supplémentaires pour les enfants et les surcotes dont ils disposent s'ils travaillaient davantage. 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3444

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les autres ouvriers de production qualifiés ne travaillant pas sur machine de l'industrie agroalimentaire hors transformation des viandes, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les autres ouvriers de production qualifiés ne travaillant pas sur machine : industrie agroalimentaire hors transformation des viandes.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3445

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les ouvriers qualifiés des autres industries eau, gaz, énergie et chauffage, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ouvriers qualifiés des autres industries eau, gaz, énergie, chauffage.

Les ouvriers qualifiés des industries de l’eau, du gaz, de l’énergie et du chauffage font partie de ces actifs qui sont au cœur de la transition écologique. L’Observatoire national des emplois et des métiers de l’économie verte les classe d’ailleurs parmi les trois professions dites vertes, c’est-à-dire indispensables à la réduction des gaz à effet de serre et à la protection de la biodiversité, aux côtés des acteurs de l’assainissement et du traitement des déchets et des acteurs de la protection de la nature et de l’environnement.

Nous nous rejoignons collectivement sur l’objectif de préservation de la ressource en eau et sur la décarbonation de notre production d'énergie, comme en témoignent les différents travaux de notre assemblée depuis de nombreuses années. Mais comment assurer la pérennité et la vitalité de ces secteurs stratégiques sans prendre en compte les travailleurs et travailleuses des secteurs de l’eau, de l’énergie, du chauffage ?

Il est essentiel de maintenir l’attractivité de ces professions vertes et verdissantes, qui comportent près de 4 millions d’actifs. En ce qui concerne la production et la distribution d'énergie et d’eau, le nombre de personnes en emploi a augmenté de 6,6 % entre 2012 et 2017, et il convient de maintenir cette tendance. 

C’est la raison pour laquelle nous proposons de maintenir un système de retraite juste et attractif pour ces corps de métier. Nous proposons ainsi que les agents d’exploitation du service des eaux, les conducteurs de ligne de fabrication des eaux, les opérateurs de salle de commande, les surveillants d’exploitation EDF, GDF, chauffage et eau, les chauffagistes et toutes les professions assimilées puissent continuer de partir à la retraite dès 62 ans.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3446

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les pilotes d’installation lourde des industries de transformation : métallurgie, production verrière, matériaux de construction, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les pilotes d’installation lourde des industries de transformation : métallurgie, production verrière, matériaux de construction.

L’étude de la DARES relative aux liens entre travail et bien-être psychologique met en lumière le caractère délétère des situations de travail des ouvriers de la métallurgie sur leur bien-être psychologique : selon l’étude, les professions comme celles de caissières, de cuisiniers, d’infirmières, d’aides-soignantes, d’ouvriers des industries graphiques ou de la métallurgie ou encore d’employés de banques, sont surreprésentées dans ces situations préoccupantes qui appellent un effort particulier pour les politiques de prévention. 

L’étude classe d’ailleurs les ouvriers de la métallurgie parmi la catégorie qu’elle appelle les “isolés”, aux côtés des agriculteurs et des ouvriers du BTP, qui sont ces travailleuses et travailleurs qui manquent de soutien social et de reconnaissance, soit parce que leur collectif de travail est dégradé, soit parce qu’ils travaillent le plus souvent seuls. L’étude place également les ouvriers de la métallurgie dans la catégorie qu’elle nomme “les précaires laborieux”, aux côtés des employés de ménage, des ouvriers du BTP et de la réparation automobile, qui sont soumis à de nombreuses contraintes physiques.

Aussi, il apparaît particulièrement injuste de demander à ces ouvriers de donner deux années de vie supplémentaire au travail, tandis que les professions les plus diplômées et les plus favorables au bien-être ne participent pas à l’effort demandé par le Gouvernement. Car c’est bien sur les actifs occupant des emplois non seulement les plus pénibles, mais également les plus exposés aux risques psychosociaux, que la réforme va peser. 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3447

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les opérateurs et ouvriers qualifiés des industries lourdes du bois et de la fabrication du papier-carton, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les opérateurs et ouvriers qualifiés des industries lourdes du bois et de la fabrication du papier-carton.

Ces ouvriers perçoivent un salaire net médian à temps complet de 1893 euros, soit un salaire largement inférieur au salaire médian français, et 2 de ces ouvriers sur 10 déclarent travailler à temps complet plus de 40 heures par semaine. Ce sont donc des ouvriers aux grandes amplitudes horaires et peu payés qui seront touchés par le report de l’âge légal et qui devront consacrer deux années de plus de leur vie pour assurer l’équilibre du système, alors que d’autres moyens de financement auraient pu être trouvés. Ils font partie de tous ces français que la réforme décide de sacrifier sur l'autel du productivisme et de la rigueur budgétaire.

En outre, les employés du secteur du papier carton seront tout singulièrement impactés par la réforme des retraites en raison du vieillissement de cette branche. En effet, en 2017, près de 2 travailleurs sur 10 du secteur ont plus de 55 ans, ce qui laisse envisager un départ à la retraite de 12 000 personnes d’ici la fin d’année 2025, selon le panorama interindustriel effectué par l’Observatoire Compétence Industrie en 2020. Aussi, ce ne seront donc plus à  plusieurs milliers d’actifs de ce secteur que le Gouvernement demande de travailler plus longtemps aujourd’hui.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3449

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les ouvriers qualifiés du travail industriel du cuir, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa du présent article pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ouvriers qualifiés du travail industriel du cuir.

Selon la DARES, la tendance à la baisse du nombre d’emplois d’ouvriers qualifiés du textile et du cuir, observée dès les années 1990, s’est accentuée depuis 2000. La diminution de leurs effectifs s’explique notamment par l’automatisation accrue des tâches, par des délocalisations et la concurrence des pays à bas salaires. Le métier vieillit aussi : la part des moins de 30 ans a fortement baissé en trente ans, passant de 28 % à 13 %. A l’inverse, 40 % des ouvriers du textile et du cuir ont 50 ans ou plus. Cela signifie que près de 4 ouvriers du secteur sur 10 vont être affectés par le report de l'âge légal en retraite que prévoit cet article 7. 

Par ailleurs, entre 2012 et 2014, près d’un ouvrier sur 4 gagnait moins de 1 250 euros, et plus de la moitié gagnait moins de 1 500 euros. Ce sont donc des ouvriers particulièrement mal payés qui vont devoir travailler plus longtemps. 

Il est absolument injuste que les métiers les plus touchés par la réforme soient les métiers les plus pénibles ou les plus moins bien payés.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3451

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les ouvriers qualifiés de scierie, de la menuiserie industrielle et de l’ameublement, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa du présent article pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ouvriers qualifiés de scierie, de la menuiserie industrielle et de l’ameublement.

À l'instar des ouvriers de l’ensemble des secteurs d’activité, ces actifs feront partie des grands perdants de la réforme. Ce sont les ouvriers qui entrent le plus tôt sur le marché du travail, ce sont donc eux qui vont devoir travailler plus longtemps pour effectuer les efforts budgétaires que le Gouvernement refuse obstinément de réaliser via d’autres leviers de financement.

Le secteur industriel du travail du bois et de l’ameublement ne fait pas exception. Bien que le métier d’ouvrier qualifié du travail du bois se professionnalise fortement, il n’en demeure pas moins que seuls 18% de ces actifs disposent d’un diplôme bac + 2 ou supérieur. Cela  signifie que l’immense majorité des employés entrent tôt sur le marché du travail et seront donc mécaniquement fortement impactés par la réforme.  

En outre, cette réforme est une double injustice : les actifs auxquels on demande de travailler plus longtemps sont non seulement ceux aux carrières les plus longues et aux métiers les plus pénibles, mais également ceux aux revenus les plus faibles. Selon les derniers chiffres de l’INSEE, les ouvriers touchent 11 euros de l’heure en moyenne, tandis que les cadres gagnent 28 euros de l’heure en moyenne, soit un salaire plus de 2,5 fois supérieur, ce qui est considérable. Et pourtant, c’est bien aux ouvriers que l’on va demander de travailler plus longtemps. 

Les ouvriers employés dans le secteur du travail du bois et de l’ameublement ne font pas exception au constat général de l’INSEE sur les salaires : ces derniers travaillant à temps complet perçoivent en moyenne un salaire net compris entre 1250 et 2000 euros net, soit des salaires largement inférieurs au salaire moyen et au salaire médian en France, qui s’élèvent tous deux au delà de 2 000 euros net. Il est injuste de demander à ces actifs de travailler deux années supplémentaires.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3452

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les ouvriers de la photogravure et des laboratoires photographiques et cinématographiques, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa du présent article pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ouvriers de la photogravure et des laboratoires photographiques et cinématographiques.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3454

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernées par le présent alinéa les mécaniciens qualifiés de la maintenance et de l’entretien, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa du présente article pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les mécaniciens qualifiés de la maintenance et de l’entretien.

Ce report va affecter très durement les mécaniciens, qui connaissent des carrières généralement longues et physiquement fatigantes. Selon la Dares, les personnels de maintenance quittent leur emploi en fin de carrière à un âge relativement précoce : sur la période récente, les personnes parties en fin de carrière étaient âgées d’un peu plus de 57 ans en moyenne pour les ouvriers et d’un peu plus de 58 ans pour les agents de maîtrise et techniciens. Dans 2 cas sur 10, les ouvriers de maintenance évoquent des raisons de santé. Les conditions de travail sont difficiles avec en particulier un rythme de travail soutenu et une exposition forte aux risques chimiques.

En effet, les mécaniciens portent souvent des charges lourdes et exercent des manipulations nombreuses avec torsion du dos, flexion pour le soulèvement, rotation pour le déplacement, qui sont à l’origine d’accidents de travail touchant notamment la colonne vertébrale. Par ailleurs, ils sont souvent amenés à exercer en posture contraignante, accroupis ou agenouillés, voire couchés sous le véhicules, bras en l’air. Enfin, ils sont généralement au contact de nombreux produits chimiques, comme des huiles, des carburants, des solvants ou encore des gaz d’échappement, entraînant des risques respiratoires et cutanés.  

Comment imaginer demander à des mécaniciens qui partent d’ores et déjà avant 60 ans pour cause de santé, de fatigue et d’usure, de poursuivre au-delà de 62 ans ?


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3455

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les électromécaniciens et électriciens qualifiés d'entretien pour équipements industriels, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa du présent article pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les électromécaniciens et électriciens qualifiés d'entretien pour équipements industriels.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3456

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernées 

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les régleurs qualifiés d’équipements de fabrication (travail des métaux, mécanique), pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa du présent article pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les régleurs qualifiés d’équipements de fabrication (travail des métaux, mécanique).


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3457

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les régleurs qualifiés d'équipements de fabrication hors travail des métaux et mécanique, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa du présent article pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les régleurs qualifiés d'équipements de fabrication hors travail des métaux et mécanique.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3458

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les agents qualifiés de laboratoire sauf chimie et santé, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa du présent article pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les agents qualifiés de laboratoire sauf chimie et santé.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3459

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les jardiniers, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa du présent article pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les jardiniers.

Les dizaines de milliers de jardiniers que compte la France font partie des actifs qui seront particulièrement touchés par le report de l’âge légal à la retraite. 

D’abord, parce que les jardiniers sont particulièrement concernés par les postures de travail pénibles. Les jardiniers et paysagistes figurent en effet parmi les métiers les plus concernés par les troubles musculo-squelettiques, provoquant notamment des douleurs des poignets, des coudes, des épaules, des lésions de la colonne vertébrale, ainsi que des traumatismes aux genoux et aux chevilles, en raison d’un travail prolongé à genoux lors de la réalisation de pose et lors du nettoyage des dallages.

Ensuite, le métier de jardinier est également caractérisé par un travail en extérieur. Ces travailleuses et travailleurs sont régulièrement et longuement exposés aux rayons ultraviolets, ce qui provoque cancer de la peau, insolation, déshydratation, voire perte de connaissance. Les jardiniers sont également exposés au froid et à l’humidité, et à tous les risques inhérents, à savoir des engelures ou des lésions cutanées.

Enfin, le métier est exposé à des situations accidentogènes, notamment par l’utilisation de matériels dangereux, tels que des tronçonneuses, des coupes bordures ou des broyeurs. Pour résumer, ce métier est l’un des plus exposés aux accidents du travail dans la fonction publique territoriale.

Il est donc particulièrement injuste de demander à ces jardinières et jardiniers de travailler encore davantage, alors que leur corps se fatigue et s’use durant leur carrière. Cela est d’autant plus vrai que la grande majorité d’entre eux sont peu diplômés et entrent tôt sur le marché du travail : 36 % d’entre eux ne détiennent aucun diplôme ou au maximum le CEP ou brevet des collèges et 32 % sont diplômés d’un CAP ou d’un BEP. 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3460

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les ouvriers qualifiés du travail de la pierre, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa du présent article pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ouvriers qualifiés du travail de la pierre.

Les tailleurs, scieurs et polisseurs de pierre exercent un métier millénaire, rare et d’ailleurs valorisé sur les chantiers. Toutefois, à l'instar des autres ouvrières et ouvriers du BTP, il ne sont pas exempts de conditions de travail difficiles ou dangereuses : c’est un métier de frappe ou le corps est très sollicité, ces travailleuses et travailleurs travaillent en plein air ou en plein vent et la manipulation des pierres peut causer des accidents, notamment des risques pour les doigts de ces artisans. Un site présentant ce métier indiquait d’ailleurs que : “il n’est pas conseillé de devenir tailleur de pierre à 50 ans !”.

Pourtant, la réforme que propose le Gouvernement entend repousser l’âge légal de départ en retraite de ces ouvriers et ouvrières du bâtiment, au mépris de l’état des corps et des esprits après des années de labeur sur les chantiers. Notre groupe s’y oppose fermement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3461

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les charpentiers en bois qualifiés, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa du présent article pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les charpentiers en bois qualifiés.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3462

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les soliers moquettistes et ouvriers qualifiés de pose de revêtements souples sur supports horizontaux, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa du présent article pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les soliers moquettistes et ouvriers qualifiés de pose de revêtements souples sur supports horizontaux.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3463

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les monteurs qualifiés en agencement et isolation, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa du présent article pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les monteurs qualifiés en agencement, isolation.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3464

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les dépanneurs qualifiés en radiotélévision, électroménager, matériel électronique salariés, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa du présent article pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les dépanneurs qualifiés en radiotélévision, électroménager, matériel électronique salariés.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3540

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les techniciens des télécommunications et de l’informatique des réseaux, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante : 

II. - Alinéa 5 

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les techniciens des télécommunications et de l'informatique des réseaux.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 3541

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les autres mécaniciens ou ajusteurs qualifiés ou spécialité non reconnue, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est  fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante : 

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du  groupe Écologiste vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les autres mécaniciens ou ajusteurs qualifiés ou spécialité non reconnue.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3542

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les formateurs et animateurs de formation continue, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante : 

II. - Alinéa 5 

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du  groupe Écologiste, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les formateurs et animateurs de formation continue.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 3543

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les techniciens des laboratoires de recherche publique ou de l’enseignement, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :  

II. - Alinéa 5 

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les techniciens des laboratoires de recherche publique ou de l'enseignement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3532

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par les mots :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les ingénieurs et cadres des méthodes de production, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité & Territoires, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres des méthodes de production.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3533

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par les mots :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les ingénieurs et cadres de la maintenance, de l’entretien et des travaux neufs, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité & Territoires vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres de la maintenance, de l’entretien et des travaux neufs.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3534

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les ingénieurs et cadres du contrôle-qualité, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du  groupe  Écologiste - Solidarité & Territoires vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres du contrôle-qualité.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3535

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les ingénieurs et cadres techniques de l’environnement, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité & Territoires, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres techniques de l’environnement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3536

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les ingénieurs et cadres d’étude, recherche et développement en informatique, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du  groupe  Écologiste - Solidarité & Territoires vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres d’étude, recherche et développement en informatique.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3537

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les techniciens d’étude et de développement en informatique, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :  

II. - Alinéa 5 

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe écologiste vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les techniciens d'étude et de développement en informatique.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3538

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les techniciens de l’environnement et du traitement des pollutions, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante : 

II. - Alinéa 5 

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les techniciens de l'environnement et du traitement des pollutions.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 3539

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les techniciens d’installation, de maintenance, support et services aux utilisateurs en informatique, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :  

II. - Alinéa 5 

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les techniciens d'installation, de maintenance, support et services aux utilisateurs en informatique.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les moniteurs d’école de conduite, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante : 

II. - Alinéa 5 

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les moniteurs d’école de conduite


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 3545

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les cadres infirmiers et assimilés, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa du présent article pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5 

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du  groupe Écologiste, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les cadres infirmiers et assimilés.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les experts salariés de niveau technicien, techniciens divers, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa du présent article pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5 

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les experts salariés de niveau technicien, techniciens divers.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3547

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les contremaîtres et agents d’encadrement non cadres en agriculture, sylviculture, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa du présent article pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5 

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les contremaîtres et agents d'encadrement non cadres en agriculture, sylviculture.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3548

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les maîtres d’équipage de la marine marchande et de la pêche, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5 

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les maîtres d'équipage de la marine marchande et de la pêche.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3549

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les conducteurs de travaux non cadres, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5 

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les conducteurs de travaux non cadres.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3550

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les chefs de chantier non cadres, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5 

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les chefs de chantier non cadres.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3551

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les agents de maîtrise en fabrication de matériel électrique, électronique, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5 

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les agents de maîtrise en fabrication de matériel électrique, électronique.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3552

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les agents de maîtrise en construction mécanique, travail des métaux, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5 

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les agents de maîtrise en construction mécanique, travail des métaux.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3553

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les agents de maîtrise en fabrication : métallurgie, matériaux lourds et autres industries de transformation, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5 

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les agents de maîtrise en fabrication : métallurgie, matériaux lourds et autres industries de transformation


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3554

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les agents de maîtrise en fabrication : agroalimentaire, chimie, plasturgie, pharmacie, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5 

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les agents de maîtrise en fabrication : agroalimentaire, chimie, plasturgie, pharmacie.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3555

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les cadres des services techniques des assurances, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5 

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du  groupe Écologiste, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les cadres des services techniques des assurances.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3556

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les employés des services divers pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les employés des services divers.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3557

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les chefs d’équipe du gros œuvre et des travaux publics, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les chefs d'équipe du gros oeuvre et des travaux publics.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3558

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les ingénieurs et cadres de fabrication en matériel électrique et électronique, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du  groupe Écologiste, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres de fabrication en matériel électrique, électronique.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3559

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les ingénieurs et cadres technico-commerciaux en matériel électrique ou électronique professionnel, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du  groupe Écologiste, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres technico-commerciaux en matériel électrique ou électronique professionnel.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3560

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AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les ingénieurs et cadres d’étude, recherche et développement en mécanique et travail des métaux, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du  groupe Écologiste, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres d’étude, recherche et développement en mécanique et travail des métaux.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3561

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AMENDEMENT

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C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les ingénieurs et cadres de fabrication en mécanique et travail des métaux, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5 

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du  groupe Écologiste, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres de fabrication en mécanique et travail des métaux.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les ingénieurs et cadres technico-commerciaux en matériel mécanique professionnel, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5 

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du  groupe Écologiste, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres technico-commerciaux en matériel mécanique professionnel.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3563

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les ingénieurs et cadres d’étude, recherche et développement des industries de transformation agroalimentaire, chimie, métallurgie, matériaux lourds, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du  groupe Écologiste, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres d’étude, recherche et développement des industries de transformation agroalimentaire, chimie, métallurgie, matériaux lourds.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3564

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les ingénieurs et cadres d’étude, recherche et développement des autres industries imprimerie, matériaux souples, ameublement et bois, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du  groupe Écologiste, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres d’étude, recherche et développement des autres industries imprimerie, matériaux souples, ameublement et bois.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3565

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les ingénieurs et cadres des achats et approvisionnements industriels, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du  groupe Écologiste, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres des achats et approvisionnements industriels.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3566

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les ingénieurs et cadres de la logistique, du planning et de l’ordonnancement, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5 

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du  groupe Écologiste, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres de la logistique, du planning et de l’ordonnancement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3683

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. GONTARD, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les cadres de l’immobilier, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est  fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement des groupes parlementaires écologistes vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les cadres de l’immobilier.

Les écologistes sont opposés à l’article 7, qui est au cœur de la présente réforme. À rebours de tout progrès social, le Gouvernement prévoit ses économies exclusivement sur le départ différé en retraite des travailleurs et sur l’allongement de notre temps de travail.

Les gains en espérance de vie ont déjà été consommés par les réformes précédentes. Ils seront à présent rattrapés par l’augmentation du temps passé au travail : la retraite n’est plus un horizon libérateur, mais un temps de déclassement social pour des corps abîmés par de longues années passées au travail.

Nous contestons le choix idéologique de toucher au temps de travail plutôt qu’à d’autres leviers de financement, choix déconnecté de la réalité du travail et notamment des métiers les plus pénibles.

Nous contestons le choix de toucher à l’âge légal de départ, qui est le paramètre le plus injuste faisant peser l’essentiel de l’effort sur celles et ceux qui ont des carrières longues et hachées, alors qu’ils sont généralement ceux qui ont les métiers les plus pénibles. Ce report à 64 ans repousse l’accès à la retraite à taux plein au-delà de l’espérance de vie en bonne santé sans incapacité, qui est de 63,7 ans pour les hommes en 2019. Le report de l’âge va aggraver les inégalités sociales face à la mort. Aujourd’hui, les plus pauvres passent en moyenne 7 années de moins à la retraite que les plus aisés.

A défaut de parvenir à supprimer cet âge légal pour toutes et tous, cet amendement de repli vise au moins à exempter les cadre de l'immobilier. Ces salariés sont amenés à de très nombreux déplacements motorisés, à parcourir de nombreux kilomètres notamment en zone urbaine et connaissent tous les désagréments de la circulation en zone dense, au premier rang desquels la pollution atmosphérique et le stress. Ils sont soumis à des plannings très serrés et à la pression du résultat, leur salaire étant pour une large part composé des commissions sur les ventes. I Il n’est donc pas juste de demander à ces salariés de travailler deux ans de plus.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3690

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. GONTARD, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les directeurs techniques des grandes entreprises, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est  fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement des groupes parlementaires écologistes vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les directeurs techniques des grandes entreprises.

Les écologistes sont opposés à l’article 7, qui est au cœur de la présente réforme. À rebours de tout progrès social, le Gouvernement prévoit ses économies exclusivement sur le départ différé en retraite des travailleurs et sur l’allongement de notre temps de travail.

Les gains en espérance de vie ont déjà été consommés par les réformes précédentes. Ils seront à présent rattrapés par l’augmentation du temps passé au travail : la retraite n’est plus un horizon libérateur, mais un temps de déclassement social pour des corps abîmés par de longues années passées au travail.

Nous contestons le choix idéologique de toucher au temps de travail plutôt qu’à d’autres leviers de financement, choix déconnecté de la réalité du travail et notamment des métiers les plus pénibles.

Nous contestons le choix de toucher à l’âge légal de départ, qui est le paramètre le plus injuste faisant peser l’essentiel de l’effort sur celles et ceux qui ont des carrières longues et hachées, alors qu’ils sont généralement ceux qui ont les métiers les plus pénibles. Ce report à 64 ans repousse l’accès à la retraite à taux plein au-delà de l’espérance de vie en bonne santé sans incapacité, qui est de 63,7 ans pour les hommes en 2019. Le report de l’âge va aggraver les inégalités sociales face à la mort. Aujourd’hui, les plus pauvres passent en moyenne 7 années de moins à la retraite que les plus aisés.

A défaut de parvenir à supprimer cet âge légal pour toutes et tous, cet amendement de repli vise au moins à exempter les directeurs techniques des grandes entreprises. Ces salariés assument de très larges responsabilités et sont soumis à une grande pression lié à leurs objectifs, à leurs mission de management. Ils effectuent le plus souvent des horaires étendus et de nombreux déplacement professionnels entrainant fatigue et éloignement de leur famille et de leurs proches. Ils sont exposés à toutes les pathologies causées par le stress et la sédentarité. Il n’est donc pas juste de demander à ces salariés de travailler deux ans de plus.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3697 rect. bis

7 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes de MARCO, PONCET MONGE et Mélanie VOGEL et MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les accompagnants des élèves en situation de handicap, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits a une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Le présent amendement vise a exonérer les auxiliaires des élèves en situation de handicap du dispositif de relèvement de l’âge légal d’ouverture des droits à retraite à 64 ans à raison de trois mois par génération.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3698 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes de MARCO, PONCET MONGE et Mélanie VOGEL et MM. BENARROCHE, BREUILLER, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les professeurs de l’enseignement secondaire, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits a une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Le présent amendement vise à exonérer les professeurs de l'enseignement secondaire du dispositif de relèvement de l’âge légal d’ouverture des droits à retraite à 64 ans à raison de trois mois par génération.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3699 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes de MARCO, PONCET MONGE et Mélanie VOGEL et MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les professeurs de l’enseignement supérieur, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits a une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Le présent amendement vise à exonérer les professeurs de l'enseignement superieur du dispositif de relèvement de l’âge légal d’ouverture des droits à retraite à 64 ans à raison de trois mois par génération.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3700 rect. bis

7 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes de MARCO, PONCET MONGE et Mélanie VOGEL et MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les ouvriers viticoles, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits a une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

 

Objet

Le présent amendement vise à exonérer les ouvriers viticoles du dispositif de relèvement de l’âge légal d’ouverture des droits à retraite à 64 ans à raison de trois mois par génération.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3701 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes de MARCO, PONCET MONGE et Mélanie VOGEL et MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les ostréiculteurs, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Le présent amendement vise à exonérer les ostréiculteurs du dispositif de relèvement de l’âge légal d’ouverture des droits à retraite à 64 ans à raison de trois mois par génération.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3702 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes de MARCO, PONCET MONGE et Mélanie VOGEL et MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les forestiers, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Le présent amendement vise à exonérer les forestiers du dispositif de relèvement de l’âge légal d’ouverture des droits à retraite à 64 ans à raison de trois mois par génération.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3703 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes de MARCO, PONCET MONGE et Mélanie VOGEL et MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les assistants de rédaction, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Le présent amendement vise à exonérer les assistants de rédaction du dispositif de relèvement de l’âge légal d’ouverture des droits à retraite à 64 ans à raison de trois mois par génération.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3704 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes de MARCO, PONCET MONGE et Mélanie VOGEL et MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les journalistes, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Le présent amendement vise à exonérer les journalistes du dispositif de relèvement de l’âge légal d’ouverture des droits à retraite à 64 ans à raison de trois mois par génération.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3705 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes de MARCO, PONCET MONGE et Mélanie VOGEL et MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les intermittents du spectacle, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Le présent amendement vise à exonérer les intermittents du spectacle du dispositif de relèvement de l’âge légal d’ouverture des droits à retraite à 64 ans à raison de trois mois par génération.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3706 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes de MARCO, PONCET MONGE et Mélanie VOGEL et MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les auteurs, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Le présent amendement vise à exonérer les auteurs du dispositif de relèvement de l’âge légal d’ouverture des droits à retraite à 64 ans à raison de trois mois par génération.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3707 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes de MARCO, PONCET MONGE et Mélanie VOGEL et MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les artistes plasticiens, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Le présent amendement vise à exonérer les artistes plasticiens du dispositif de relèvement de l’âge légal d’ouverture des droits à retraite à 64 ans à raison de trois mois par génération.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3708 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes de MARCO et PONCET MONGE et MM. Jean Pierre VOGEL, BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les fleuristes, pour lesquels l’âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Le présent amendement vise à exonérer les fleuristes du dispositif de relèvement de l’âge légal d’ouverture des droits à retraite à 64 ans à raison de trois mois par génération.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3709 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes de MARCO, PONCET MONGE et Mélanie VOGEL et MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les auxiliaires de vie scolaire, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Le présent amendement vise à exonérer les coiffeurs du dispositif de relèvement de l’âge légal d’ouverture des droits à retraite à 64 ans à raison de trois mois par génération.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3718

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. GONTARD, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les agents de maîtrise en maintenance, installation en électricité et électronique, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement des groupes parlementaires écologiste vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les agents de maîtrise en maintenance, installation en électricité et électronique

Les écologistes sont opposés à l'article 7, qui est au cœur de la présente réforme. À rebours de tout progrès social, le Gouvernement prévoit ses économies exclusivement sur le départ différé en retraite des travailleurs et sur l’allongement de notre temps de travail.

Les gains en espérance de vie ont déjà été consommés par les réformes précédentes. Ils seront à présent rattrapés par l’augmentation du temps passé au travail : la retraite n’est plus un horizon libérateur, mais un temps de déclassement social pour des corps abîmés par de longues années passées au travail. 

Nous contestons le choix idéologique de toucher au temps de travail plutôt qu’à d'autres leviers de financement, choix déconnecté de la réalité du travail et notamment des métiers les plus pénibles.

Nous contestons le choix de toucher à l’âge légal de départ, qui est le paramètre le plus injuste faisant peser l’essentiel de l’effort sur celles et ceux qui ont des carrières longues et hachées, alors qu’ils sont généralement ceux qui ont les métiers les plus pénibles. Ce report à 64 ans repousse l’accès à la retraite à taux plein au-delà de l’espérance de vie en bonne santé sans incapacité, qui est de 63,7 ans pour les hommes en 2019. Le report de l’âge va aggraver les inégalités sociales face à la mort. Aujourd'hui, les plus pauvres passent en moyenne 7 années de moins à la retraite que les plus aisés.

A défaut de parvenir à supprimer cet âge légal pour toutes et tous, cet amendement de replis vise au moins à exempter les agents de maîtrise en maintenance, installation en électricité et électronique.

Ces salariés sont confrontés à des conditions de travail compliquées, qui sont susceptibles, à long terme, de mettre leur santé en danger. Premièrement, ces agents portent des charges lourdes au quotidien, ce qui peut provoquer des problèmes de dos et de cervicales importants. Souvent amenés à travailler en hauteur, ils peuvent risquer de se blesser en tombant. De plus, les outils à leur disposition lors de leurs interventions sont des outils qui peuvent s’avérer dangereux, puisqu’ils sont coupants notamment. On trouve également des risques d’explosion et d’incendie des machines sur lesquelles ils interviennent. Les agents de maîtrise étant amenés à gérer une équipe d’ouvriers ou d’autres agents de maîtrise, ils sont soumis au stress de cette gestion ainsi que des délais qui leur sont imposés par leurs clients. Lorsqu’ils sont amenés à travailler dans un atelier, ces agents s’exposent au bruit important et continu au sein de l’atelier, qui peut provoquer des risques pour la santé à long terme. Enfin, les vibrations provoquées par les outils utilisés sont à l’origine de troubles musculosquelettiques importants. Ces conditions de travail rendent injuste la décision de les faire travailler deux ans de plus.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3721

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. GONTARD, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les agents de maîtrise en maintenance, installation en électromécanique, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement des groupes parlementaires Écologistes vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les agents de maîtrise en maintenance, installation en électromécanique.

Les écologistes sont opposés à l'article 7, qui est au cœur de la présente réforme. À rebours de tout progrès social, le Gouvernement prévoit ses économies exclusivement sur le départ différé en retraite des travailleurs et sur l’allongement de notre temps de travail.

Les gains en espérance de vie ont déjà été consommés par les réformes précédentes. Ils seront à présent rattrapés par l’augmentation du temps passé au travail : la retraite n’est plus un horizon libérateur, mais un temps de déclassement social pour des corps abîmés par de longues années passées au travail.

Nous contestons le choix idéologique de toucher au temps de travail plutôt qu’à d'autres leviers de financement, choix déconnecté de la réalité du travail et notamment des métiers les plus pénibles.

Nous contestons le choix de toucher à l’âge légal de départ, qui est le paramètre le plus injuste faisant peser l’essentiel de l’effort sur celles et ceux qui ont des carrières longues et hachées, alors qu’ils sont généralement ceux qui ont les métiers les plus pénibles. Ce report à 64 ans repousse l’accès à la retraite à taux plein au-delà de l’espérance de vie en bonne santé sans incapacité, qui est de 63,7 ans pour les hommes en 2019. Le report de l’âge va aggraver les inégalités sociales face à la mort. Aujourd'hui, les plus pauvres passent en moyenne 7 années de moins à la retraite que les plus aisés. 

A défaut de parvenir à supprimer cet âge légal pour toutes et tous, cet amendement de replis vise au moins à exempter les agents de maîtrise en maintenance, installation en électromécanique.

Les conditions de travail auxquelles ces salariés font face peuvent à long terme mettre leur santé en danger. En effet, leur fonction les amène à porter des charges lourdes au quotidien, ce qui peut provoquer des problèmes de dos et de cervicales importants. Les outils utilisés pour leurs interventions présentent un risque de blessure car ils peuvent être coupants. De plus, certains outils provoquent des vibrations qui provoquent à long terme des troubles musculosquelettiques. Les agents de maîtrise sont amenés à gérer une équipe d’ouvriers ainsi qu’à effectuer d’autres tâches de gestion et de coordination entre les services qui peuvent provoquer un stress important qui peut mener à des troubles psychosociaux. Enfin, lorsqu’ils sont amenés à travailler dans un atelier, ces agents s’exposent au bruit important et continu au sein de l’atelier, qui peut provoquer des risques pour la santé à long terme. Ces conditions de travail difficiles rendent injuste la décision de les faire travailler deux ans de plus.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3723

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. GONTARD, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les agents de maîtrise en maintenance, installation en mécanique, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement des groupes parlementaires écologistes vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les agents de maîtrise en maintenance, installation en mécanique.

Les écologistes sont opposés à l'article 7, qui est au cœur de la présente réforme. À rebours de tout progrès social, le Gouvernement prévoit ses économies exclusivement sur le départ différé en retraite des travailleurs et sur l’allongement de notre temps de travail.

Les gains en espérance de vie ont déjà été consommés par les réformes précédentes. Ils seront à présent rattrapés par l’augmentation du temps passé au travail : la retraite n’est plus un horizon libérateur, mais un temps de déclassement social pour des corps abîmés par de longues années passées au travail.

Nous contestons le choix idéologique de toucher au temps de travail plutôt qu’à d'autres leviers de financement, choix déconnecté de la réalité du travail et notamment des métiers les plus pénibles.

Nous contestons le choix de toucher à l’âge légal de départ, qui est le paramètre le plus injuste faisant peser l’essentiel de l’effort sur celles et ceux qui ont des carrières longues et hachées, alors qu’ils sont généralement ceux qui ont les métiers les plus pénibles. Ce report à 64 ans repousse l’accès à la retraite à taux plein au-delà de l’espérance de vie en bonne santé sans incapacité, qui est de 63,7 ans pour les hommes en 2019. Le report de l’âge va aggraver les inégalités sociales face à la mort. Aujourd'hui, les plus pauvres passent en moyenne 7 années de moins à la retraite que les plus aisés.

A défaut de parvenir à supprimer cet âge légal pour toutes et tous, cet amendement de replis vise au moins à exempter les agents de maîtrise en maintenance, installation mécanique.

Les salariés travaillant dans le secteur de la mécanique sont exposés à des conditions de travail difficiles qui nuisent à leur santé. La position debout qu’ils adoptent au quotidien ainsi que le port de charges lourdes peut amener à des problèmes de dos ou de cervicales à long terme. Les outils utilisés présentent des risques de coupure, de brûlure ou d’exposition à des produits chimiques corrosifs. Les agents de maîtrise sont amenés à gérer une équipe d’ouvriers ainsi qu’à effectuer d’autres tâches de gestion et de coordination entre les services qui peuvent provoquer un stress important qui peut mener à des troubles psychosociaux. Enfin, lorsqu’ils sont amenés à travailler dans un atelier, ces agents s’exposent au bruit important et continu au sein de l’atelier, qui peut provoquer des risques pour la santé à long terme. Ces conditions de travail difficiles rendent injuste la décision de les faire travailler deux ans de plus.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3729

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. GONTARD, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les agents de maîtrise en entretien général, installation, travaux neufs hors mécanique, électromécanique, électronique, pour lesquels l’âge d’ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement des groupes parlementaires Écologistes vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les agents de maîtrise en maintenance, installation en mécanique.

Les écologistes sont opposés à l'article 7, qui est au cœur de la présente réforme. À rebours de tout progrès social, le Gouvernement prévoit ses économies exclusivement sur le départ différé en retraite des travailleurs et sur l’allongement de notre temps de travail.

Les gains en espérance de vie ont déjà été consommés par les réformes précédentes. Ils seront à présent rattrapés par l’augmentation du temps passé au travail : la retraite n’est plus un horizon libérateur, mais un temps de déclassement social pour des corps abîmés par de longues années passées au travail.

Nous contestons le choix idéologique de toucher au temps de travail plutôt qu’à d'autres leviers de financement, choix déconnecté de la réalité du travail et notamment des métiers les plus pénibles.

Nous contestons le choix de toucher à l’âge légal de départ, qui est le paramètre le plus injuste faisant peser l’essentiel de l’effort sur celles et ceux qui ont des carrières longues et hachées, alors qu’ils sont généralement ceux qui ont les métiers les plus pénibles. Ce report à 64 ans repousse l’accès à la retraite à taux plein au-delà de l’espérance de vie en bonne santé sans incapacité, qui est de 63,7 ans pour les hommes en 2019. Le report de l’âge va aggraver les inégalités sociales face à la mort. Aujourd'hui, les plus pauvres passent en moyenne 7 années de moins à la retraite que les plus aisés.

A défaut de parvenir à supprimer cet âge légal pour toutes et tous, cet amendement de replis vise au moins à exempter les agents de maîtrise en maintenance, installation mécanique.

Les salariés travaillant dans le secteur de la mécanique sont exposés à des conditions de travail difficiles qui nuisent à leur santé. La position debout qu’ils adoptent au quotidien ainsi que le port de charges lourdes peut amener à des problèmes de dos ou de cervicales à long terme. Les outils utilisés présentent des risques de coupure, de brûlure ou d’exposition à des produits chimiques corrosifs. Les agents de maîtrise sont amenés à gérer une équipe d’ouvriers ainsi qu’à effectuer d’autres tâches de gestion et de coordination entre les services qui peuvent provoquer un stress important qui peut mener à des troubles psychosociaux. Enfin, lorsqu’ils sont amenés à travailler dans un atelier, ces agents s’exposent au bruit important et continu au sein de l’atelier, qui peut provoquer des risques pour la santé à long terme. Ces conditions de travail difficiles rendent injuste la décision de les faire travailler deux ans de plus.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3749

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. FERNIQUE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les pompiers, les sapeurs-pompiers volontaires et pompiers militaires, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Les sapeurs pompiers jouent un rôle majeur et grandissant dans la lutte contre le réchauffement climatique et la protection de la population contre ces effets, qu’il s’agisse de la lutte contre les feux de forêts, les inondations, les tempêtes, ils sont sur le terrain, en première ligne pour faire face à ces catastrophes naturelles qui risquent de se multiplier dans les années à venir. 

Les pompiers et sapeurs-pompiers volontaires jouent un rôle crucial dans les zones rurales et enclavées en particulier. Il s’agit du dernier service public de proximité au sein de nos territoires. 

A ce titre, ils font face à des sollicitations de plus en plus fortes. En 7 ans, les interventions des sapeurs-pompiers ont augmenté de plus de 12 % et les effectifs seulement de 2 %. Ils ne bénéficient pas d’une reconnaissance morale et financière suffisante.

Il semble donc légitime de ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les pompiers, les sapeurs-pompiers volontaires et pompiers militaires. Tel est l’objet de cet amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3750

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. FERNIQUE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les assurés victimes d’affections provoquées par les rayonnements ionisants dont les modalités de reconnaissance sont fixées par décret pris après avis de la Haute Autorité de Santé, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

L’irradiation par des rayonnements ionisants provoque des perturbations et des séquelles sur les organismes vivants. Les travailleurs du nucléaire mettent leur santé en danger au quotidien.

Ces dernières décennies, les conditions de travail se sont gravement détériorées pour les employés du secteur : paiements en prime à hauteur de 40 %, emplois manquants du fait des heures supplémentaires, pas de signature d’accords de branche. La CGT estime ainsi les pertes de salaires à près de 10 % sur la dernière décennie. Dans le même temps, EDF continue à accumuler les bénéfices (4,1 milliards d’euros en 2021).

Mais si le Gouvernement souhaite faire du nucléaire une filière d’avenir, il devrait avant tout garantir des conditions de travail dignes aux salariés du secteur. Ces travailleurs sont en grande majorité des sous-traitants. Ceux-ci réalisent 80 % des activités de maintenance et reçoivent également 80 % des doses radioactives constatées.

Il apparaît également essentiel que les travailleurs sous-traitants intervenant sur les diverses installations nucléaires, disposent d’un suivi médical identique à celui des agents statutaires des exploitants du secteur nucléaire.

Cet amendement vise donc à ne pas appliquer la réforme du décalage de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans aux travailleurs victimes d'affections provoquées par les rayonnements ionisants.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4426 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 3

Compléter cet alinéa par les mots :

sauf pour les assurés du territoire de la Martinique pour qui l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la présente loi s’applique

Objet

Cet amendement vise à ne pas appliquer la réforme du décalage de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans au territoire de la Martinique. 

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4545

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. FERNIQUE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les professeurs des écoles ou les instituteurs, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement  du Groupe Écologiste - Solidarité & Territoires vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les professeurs des écoles ou les instituteurs.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4546

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. GONTARD, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les ingénieurs et cadres d’étude et développement de l’agriculture, la pêche, les eaux et forêts, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement des groupes parlementaires écologistes vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres d’étude et développement de l’agriculture, la pêche, les eaux et forêts.

Les écologistes sont opposés à l’article 7, qui est au cœur de la présente réforme. À rebours de tout progrès social, le Gouvernement prévoit ses économies exclusivement sur le départ différé en retraite des travailleurs et sur l’allongement de notre temps de travail.

Les gains en espérance de vie ont déjà été consommés par les réformes précédentes. Ils seront à présent rattrapés par l’augmentation du temps passé au travail : la retraite n’est plus un horizon libérateur, mais un temps de déclassement social pour des corps abîmés par de longues années passées au travail.

Nous contestons le choix idéologique de toucher au temps de travail plutôt qu’à d’autres leviers de financement, choix déconnecté de la réalité du travail et notamment des métiers les plus pénibles.

Nous contestons le choix de toucher à l’âge légal de départ, qui est le paramètre le plus injuste faisant peser l’essentiel de l’effort sur celles et ceux qui ont des carrières longues et hachées, alors qu’ils sont généralement ceux qui ont les métiers les plus pénibles. Ce report à 64 ans repousse l’accès à la retraite à taux plein au-delà de l’espérance de vie en bonne santé sans incapacité, qui est de 63,7 ans pour les hommes en 2019. Le report de l’âge va aggraver les inégalités sociales face à la mort. Aujourd’hui, les plus pauvres passent en moyenne 7 années de moins à la retraite que les plus aisés.

A défaut de parvenir à supprimer cet âge légal pour toutes et tous, cet amendement de repli vise au moins à exempter les ingénieurs et cadres d’étude et développement de l’agriculture, la pêche, les eaux et forêts. Ces salariés assument de très larges responsabilités et sont soumis à une grande pression liée à leurs objectifs. Ils effectuent le plus souvent des horaires étendus et de nombreux déplacement professionnels entrainant fatigue et éloignement de leur famille et de leurs proches. Ils sont exposés à toutes les pathologies causées par le stress. Il n’est donc pas juste de demander à ces salariés de travailler deux ans de plus.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4577

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. FERNIQUE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les ouvriers agricoles sans spécialisation particulière, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du Groupe Écologiste - Solidarité & Territoires vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ouvriers agricoles sans spécialisation particulière.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4578

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. FERNIQUE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les ouvriers de l’exploitation forestière ou de la sylviculture, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du Groupe Écologiste - Solidarité & Territoires vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ouvriers de l'exploitation forestière ou de la sylviculture.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4579

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. FERNIQUE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernées par le présent alinéa les personnels de direction de la fonction publique, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est  fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité & Territoires vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les personnels de direction de la fonction publique.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4603

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. LABBÉ, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. GONTARD, BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS et FERNIQUE, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les agriculteurs, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les agriculteurs.

Il s'agit par cet amendement d'alerter sur les conséquences de cette mesure injuste et néfaste pour les actifs de ce secteur et de refuser la brutalité de la réforme portée par un Gouvernement s’apprêtant à faire peser l’équilibre du système de retraite sur le dos des travailleurs, plutôt que sur le capital.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4604

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. LABBÉ, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. GONTARD, BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS et FERNIQUE, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les interprètes et traducteurs, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est  fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les interprètes et traducteurs.

Il s'agit par cet amendement d'alerter sur les conséquences de cette mesure injuste et néfaste pour les actifs de ce secteur et de refuser la brutalité de la réforme portée par un Gouvernement s’apprêtant à faire peser l’équilibre du système de retraite sur le dos des travailleurs, plutôt que sur le capital.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4605

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. LABBÉ, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. GONTARD, BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS et FERNIQUE, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernées par le présent alinéa les professions intermédiaires techniques des organismes de sécurité sociale, pour lesquelles l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les professions intermédiaires techniques des organismes de sécurité sociale.

Il s'agit par cet amendement d'alerter sur les conséquences de cette mesure injuste et néfaste pour les actifs de ce secteur et de refuser la brutalité de la réforme portée par un Gouvernement s’apprêtant à faire peser l’équilibre du système de retraite sur le dos des travailleurs, plutôt que sur le capital.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4606

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. LABBÉ, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. GONTARD, BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS et FERNIQUE, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les employés dans un restaurant ou un hôtel, dirigeant la totalité ou une partie du service des mets ou des boissons, sans avoir la qualité de cadre, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les employés dans un restaurant ou un hôtel, dirigeant la totalité ou une partie du service des mets ou des boissons, sans avoir la qualité de cadre.

Il s'agit par cet amendement d'alerter sur les conséquences de cette mesure injuste et néfaste pour les actifs de ce secteur et de refuser la brutalité de la réforme portée par un Gouvernement s’apprêtant à faire peser l’équilibre du système de retraite sur le dos des travailleurs, plutôt que sur le capital.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 4607

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. LABBÉ, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. GONTARD, BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS et FERNIQUE, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernées par le présent alinéa les agents administratifs des collectivités locales, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est  fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du  groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les agents administratifs des collectivités locales.

Il s'agit par cet amendement d'alerter sur les conséquences de cette mesure sur ce secteur et de refuser la brutalité de la réforme portée par un Gouvernement s’apprêtant à faire peser l’équilibre du système de retraite sur le dos des travailleur.ses, plutôt que sur le capital.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. LABBÉ, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. GONTARD, BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS et FERNIQUE, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les cadres commerciaux des petites et moyennes entreprises hors commerce, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5
Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les cadres commerciaux des petites et moyennes entreprises hors commerce.

Il s'agit par cet amendement d'alerter sur les conséquences de cette mesure injuste et néfaste pour les actifs de ce secteur et de refuser la brutalité de la réforme portée par un Gouvernement s’apprêtant à faire peser l’équilibre du système de retraite sur le dos des travailleurs, plutôt que sur le capital.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. LABBÉ, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. GONTARD, BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS et FERNIQUE, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les techniciens d’étude et de conseil en agriculture, eaux et forêt, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5
Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les techniciens d’étude et de conseil en agriculture, eaux et forêt.

Il s'agit par cet amendement d'alerter sur les conséquences de cette mesure injuste et néfaste pour les actifs de ce secteur et de refuser la brutalité de la réforme portée par un Gouvernement s’apprêtant à faire peser l’équilibre du système de retraite sur le dos des travailleurs, plutôt que sur le capital.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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AMENDEMENT

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G  
Tombé

M. LABBÉ, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. GONTARD, BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS et FERNIQUE, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les agents administratifs de la fonction publique, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les agents administratifs de la fonction publique.

Il s'agit par cet amendement d'alerter sur les conséquences de cette mesure injuste et néfaste pour les actifs de ce secteur et de refuser la brutalité de la réforme portée par un Gouvernement s’apprêtant à faire peser l’équilibre du système de retraite sur le dos des travailleurs, plutôt que sur le capital.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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1 mars 2023


 

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G  
Tombé

M. LABBÉ, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. GONTARD, BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS et FERNIQUE, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les dessinateurs en bâtiment, travaux publics, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5
Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les dessinateurs en bâtiment, travaux publics.

Il s'agit par cet amendement d'alerter sur les conséquences de cette mesure injuste et néfaste pour les actifs de ce secteur et de refuser la brutalité de la réforme portée par un Gouvernement s’apprêtant à faire peser l’équilibre du système de retraite sur le dos des travailleurs, plutôt que sur le capital.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4612

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. LABBÉ, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. GONTARD, BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS et FERNIQUE, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les artistes de la danse, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est  fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les artistes de la danse.

Il s'agit par cet amendement d'alerter sur les conséquences de cette mesure injuste et néfaste pour les actifs de ce secteur et de refuser la brutalité de la réforme portée par un Gouvernement s’apprêtant à faire peser l’équilibre du système de retraite sur le dos des travailleurs, plutôt que sur le capital.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 4613

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. LABBÉ, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. GONTARD, BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS et FERNIQUE, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les techniciens de production et de contrôle-qualité des industries de transformation, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est  fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les techniciens de production et de contrôle-qualité des industries de transformation.

Il s'agit par cet amendement d'alerter sur les conséquences de cette mesure injuste et néfaste pour les actifs de ce secteur et de refuser la brutalité de la réforme portée par un Gouvernement s’apprêtant à faire peser l’équilibre du système de retraite sur le dos des travailleurs, plutôt que sur le capital.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 4614

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. LABBÉ, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. GONTARD, BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS et FERNIQUE, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les directeurs de journaux, administrateurs de presse, directeurs d’éditions littéraire, musicale, audiovisuelle et multimédia, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est  fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les directeurs de journaux, administrateurs de presse, directeurs d’éditions littéraire, musicale, audiovisuelle et multimédia.

Il s'agit par cet amendement d'alerter sur les conséquences de cette mesure injuste et néfaste pour les actifs de ce secteur et de refuser la brutalité de la réforme portée par un Gouvernement s’apprêtant à faire peser l’équilibre du système de retraite sur le dos des travailleurs, plutôt que sur le capital.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. LABBÉ, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. GONTARD, BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS et FERNIQUE, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les techniciens de l’industrie des matériaux souples, de l’ameublement et du bois, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est  fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les techniciens de l’industrie des matériaux souples, de l’ameublement et du bois.

Il s'agit par cet amendement d'alerter sur les conséquences de cette mesure injuste et néfaste pour les actifs de ce secteur et de refuser la brutalité de la réforme portée par un Gouvernement s’apprêtant à faire peser l’équilibre du système de retraite sur le dos des travailleurs, plutôt que sur le capital.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. LABBÉ, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. GONTARD, BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS et FERNIQUE, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les bibliothécaires, archivistes, conservateurs et autres cadres du patrimoine, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est  fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour bibliothécaires, archivistes, conservateurs et autres cadres du patrimoine.

Il s'agit par cet amendement d'alerter sur les conséquences de cette mesure injuste et néfaste pour les actifs de ce secteur et de refuser la brutalité de la réforme portée par un Gouvernement s’apprêtant à faire peser l’équilibre du système de retraite sur le dos des travailleurs, plutôt que sur le capital.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4617

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. LABBÉ, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. GONTARD, BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS et FERNIQUE, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les médecins salariés non hospitaliers, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est  fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les médecins salariés non hospitaliers.

Il s'agit par cet amendement d'alerter sur les conséquences de cette mesure injuste et néfaste pour les actifs de ce secteur et de refuser la brutalité de la réforme portée par un Gouvernement s’apprêtant à faire peser l’équilibre du système de retraite sur le dos des travailleurs, plutôt que sur le capital.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4618

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. LABBÉ, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. GONTARD, BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS et FERNIQUE, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les pharmaciens salariés, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est  fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les pharmaciens salariés.

Il s'agit par cet amendement d'alerter sur les conséquences de cette mesure injuste et néfaste pour les actifs de ce secteur et de refuser la brutalité de la réforme portée par un Gouvernement s’apprêtant à faire peser l’équilibre du système de retraite sur le dos des travailleurs, plutôt que sur le capital.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4619

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. LABBÉ, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. GONTARD, BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS et FERNIQUE, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les travailleurs saisonniers, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est  fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les travailleurs saisonniers.

Il s'agit par cet amendement d'alerter sur les conséquences de cette mesure injuste et néfaste pour les actifs de ce secteur et de refuser la brutalité de la réforme portée par un Gouvernement s’apprêtant à faire peser l’équilibre du système de retraite sur le dos des travailleurs, plutôt que sur le capital.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4665

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes Mélanie VOGEL et PONCET MONGE, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par les mots :

Tant que les interruptions de carrière sont plus fréquentes pour les femmes que pour les hommes, ne sont pas concernées par le présent alinéa les femmes, pour lesquelles l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurées nées avant le 1er janvier 1955 et, pour celles nées entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

De profondes inégalités systémiques entre les genres persistent, y compris en matière de retraites. Ainsi, les femmes touchent en moyenne une retraite plus faible et partent plus tard à la retraite que les hommes, ce qui s'explique avant tout par le fait que les femmes sont souvent obligées d'interrompre leurs activités professionnelles.

D’après l’Insee, l’écart de la pension de droit direct entre les hommes et les femmes est de 39 %. Ainsi, la pension de droit direct (excluant la pension de réversion et la majoration de pension pour trois enfants ou plus) des femmes est en moyenne de 981 euros, alors qu’elle est de 1 600 euros pour les hommes. Cet écart est ainsi encore plus grand que l’écart entre les salaires, notamment parce que le montant de la retraite – un droit individuel – reflète que les femmes ont plus souvent des interruptions de carrière que des hommes pendant lesquelles elles n’ont certes pas ou peu cotisé, mais pendant lesquelles elles ont effectué d’autres tâches, souvent pour que l’homme en était libéré. Rien ne justifie que les femmes doivent porter un fardeau supplémentaire en travaillant encore plus longtemps.

De plus, les femmes partent en général plus tard à la retraite, souvent parce qu’elles ont interrompu leur activité professionnelle pour s’occuper des membres de la famille, une activité dont les hommes continuent à se dérober. La réforme portée par le Gouvernement obligerait les femmes en moyenne de travailler en moyenne neuf mois de plus, alors qu’elle obligerait les hommes à travailler cinq mois de plus. Face à cette évidence, le ministre des Relations avec le Parlement, Franck Riester, a dû reconnaître que les femmes « sont un peu pénalisées ».

Pour tirer les conséquences du constat de cette injustice, cet amendement vise à exempter les femmes du report de l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans tant que les femmes ont plus souvent des carrières hachées.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4666

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes Mélanie VOGEL et PONCET MONGE, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par les mots :

Ne sont pas concernées par le présent alinéa les les manucures et esthéticiens, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est  fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les manucures, esthéticiens et esthéticiennes.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4667

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes Mélanie VOGEL et PONCET MONGE, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par les mots :

Ne sont pas concernées par le présent alinéa les employés d’étage et employés polyvalents de l’hôtellerie, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est  fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les employés d’étage et employés polyvalents de l’hôtellerie.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4668

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes Mélanie VOGEL et PONCET MONGE, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par les mots :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les coiffeurs salariés, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les coiffeurs et coiffeuses salariés.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4669

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes Mélanie VOGEL et PONCET MONGE, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par les mots :

Ne sont pas concernées par le présent alinéa les aides à domicile, aides ménagères et travailleurs familiaux, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est  fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurées nées avant le 1er janvier 1955 et, pour celles nées entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les aides à domicile, aides ménagères, les travailleurs et travailleuses familiaux.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4670

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes Mélanie VOGEL et PONCET MONGE, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par les mots :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les employés de maison et personnels de ménage chez des particuliers, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est  fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les employés de maison et personnels de ménage chez des particuliers.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4671

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes Mélanie VOGEL et PONCET MONGE, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par les mots :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les concierges et gardiens d’immeubles, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les concierges, gardiens et gardiennes d'immeubles.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4672

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes Mélanie VOGEL et PONCET MONGE, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par les mots :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les employés du secteur du raffinage des énergies fossiles, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les employés du secteur du raffinage des énergies fossiles.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4673

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes Mélanie VOGEL et PONCET MONGE, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par les mots :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les employés du secteur de l’extraction des énergies fossiles, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les employés du secteur de l’extraction des énergies fossiles.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4674

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes Mélanie VOGEL et PONCET MONGE, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par les mots :

Ne sont pas concernées par le présent alinéa les employés du secteur du transport des énergies fossiles, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les employés du secteur du transport des énergies fossiles.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4675

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes Mélanie VOGEL et PONCET MONGE, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par les mots :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les employés du secteur de la vente des énergies fossiles, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les employés du secteur de la vente des énergies fossiles.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4676

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes Mélanie VOGEL et PONCET MONGE, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par les mots :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les assurés mariés ou ayant conclu un pacte civil de solidarité et dont le revenu annuel moyen utilisé pour le calcul de la retraite est inférieur à celui de leur partenaire, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Les inégalités systémiques entre les genres sont profondes, y compris en matière de retraites. Ainsi, les femmes touchent en moyenne une retraite plus faible et partent plus tard à la retraite que les hommes.

D’après l’Insee, l’écart de la pension de droit direct entre les hommes et les femmes est de 39 %. Ainsi, la pension de droit direct (excluant la pension de réversion et la majoration de pension pour trois enfants ou plus) des femmes est en moyenne de 981 euros, alors qu’elle est de 1 600 euros pour les hommes. Cet écart est ainsi encore plus grand que l’écart entre les salaires, notamment parce que le montant de la retraite – un droit individuel – reflète que les femmes ont plus souvent des interruptions de carrière que des hommes pendant lesquelles elles n’ont certes pas ou peu cotisé, mais pendant lesquelles elles ont effectué d’autres tâches, souvent pour que l’homme en était libéré. Rien ne justifie que les femmes doivent porter un fardeau supplémentaire en travaillant encore plus longtemps.

De plus, les femmes partent en général plus tard à la retraite, souvent parce qu’elles ont interrompu leur activité professionnelle pour s’occuper des membres de la famille, une activité dont les hommes continuent à se dérober. La réforme portée par le Gouvernement obligerait les femmes en moyenne de travailler en moyenne neuf mois de plus, alors qu’elle obligerait les hommes à travailler cinq mois de plus. Face à cette évidence, le ministre des Relations avec le Parlement, Franck Riester, a dû reconnaître que les femmes « sont un peu pénalisées ». Pour tirer les conséquences du constat de cette injustice, cet amendement vise à exempter les femmes du report de l’âge légal de départ à la retraite si le salaire annuel moyen est inférieur à celui de leur partenaire.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4726

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. GONTARD, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les ingénieurs, cadres de chantier et conducteurs de travaux cadres du bâtiment et des travaux publics, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est  fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement des groupes parlementaires écologistes, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs, cadres de chantier et conducteurs de travaux cadres du bâtiment et des travaux publics

Les écologistes sont opposés à l'article 7, qui est au cœur de la présente réforme. À rebours de tout progrès social, le Gouvernement prévoit ses économies exclusivement sur le départ différé en retraite des travailleurs et sur l’allongement de notre temps de travail.

Les gains en espérance de vie ont déjà été consommés par les réformes précédentes. Ils seront à présent rattrapés par l’augmentation du temps passé au travail : la retraite n’est plus un horizon libérateur, mais un temps de déclassement social pour des corps abîmés par de longues années passées au travail.

Nous contestons le choix idéologique de toucher au temps de travail plutôt qu’à d’autres leviers de financement, choix déconnecté de la réalité du travail et notamment des métiers les plus pénibles.

Nous contestons le choix de toucher à l’âge légal de départ, qui est le paramètre le plus injuste faisant peser l’essentiel de l’effort sur celles et ceux qui ont des carrières longues et hachées, alors qu’ils sont généralement ceux qui ont les métiers les plus pénibles. Ce report à 64 ans repousse l’accès à la retraite à taux plein au-delà de l’espérance de vie en bonne santé sans incapacité, qui est de 63,7 ans pour les hommes en 2019. Le report de l’âge va aggraver les inégalités sociales face à la mort. Aujourd'hui, les plus pauvres passent en moyenne 7 années de moins à la retraite que les plus aisés.

A défaut de parvenir à supprimer cet âge légal pour toutes et tous, cet amendement de replis vise au moins à exempter les ingénieurs, cadres de chantier et conducteurs de travaux cadres du bâtiment et des travaux publics.

Ces salariés travaillant sur des chantiers sont confrontés à des conditions de travail difficiles susceptibles d’être dangereuses pour leur santé. Premièrement, ils sont exposés aux risques du travail sur un chantier. Ils sont par exemple susceptibles de tomber lorsqu’ils travaillent en hauteur, mais ils sont également confrontés à tous les risques que provoquent l’utilisation d’engins de chantier qui restent des machines dangereuses qu’il faut utiliser avec précaution. Ils sont également exposés à d’autres nuisances importantes comme le volume sonore, qui peut avoir un impact négatif sur la santé. D’autres variables entrent également en compte, comme la gestion des équipes dont sont responsables les ingénieurs, cadres de chantier et conducteurs de travaux. Ils sont responsables du management, de la sécurité de leurs équipes mais également des délais de travaux à respecter. Cette haute responsabilité provoque un stress important chez ces salariés, qui peut entraîner des troubles psychosociaux. Ces conditions de travail difficiles ne sont pas compatibles avec la poursuite du travail jusqu’à l’âge de soixante-quatre ans.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4727

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. GONTARD, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernés par le présent alinéa les autres agents et hôtesses d’accompagnement dans les transports et le tourisme, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est  fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste vise à ne pas décaler l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les autres agents et hôtesses d'accompagnement dans les transports et le tourisme.

Les écologistes sont opposés à l'article 7, qui est au cœur de la présente réforme. À rebours de tout progrès social, le Gouvernement prévoit ses économies exclusivement sur le départ différé en retraite des travailleurs et sur l’allongement de notre temps de travail.

Les gains en espérance de vie ont déjà été consommés par les réformes précédentes. Ils seront à présent rattrapés par l’augmentation du temps passé au travail : la retraite n’est plus un horizon libérateur, mais un temps de déclassement social pour des corps abîmés par de longues années passées au travail.

Nous contestons le choix idéologique de toucher au temps de travail plutôt qu’à d’autre leviers de financement, choix déconnecté de la réalité du travail et notamment des métiers les plus pénible.

Nous contestons le choix de toucher à l’âge légal de départ, qui est le paramètre le plus injuste faisant peser l’essentiel de l’effort sur celles et ceux qui ont des carrières longues et hachées, alors qu’ils sont généralement ceux qui ont les métiers les plus pénibles. Ce report à 64 ans repousse l’accès à la retraite à taux plein au-delà de l’espérance de vie en bonne santé sans incapacité, qui est de 63,7 ans pour les hommes en 2019. Le report de l’âge va aggraver les inégalités sociales face à la mort. Aujourd'hui, les plus pauvres passent en moyenne 7 années de moins à la retraite que les plus aisés.

A défaut de parvenir à supprimer cet âge légal pour toutes et tous, cet amendement de replis vise au moins à exempter les autres agents et hôtesses d'accompagnement dans les transports et le tourisme qui exercent un métier éprouvant. En effet ces dernier.es sont soumis à un rythme de travail éreintant, à de longues périodes de travail, à un éloignement prolongé de leurs familles.

C'est également un métier où le facteur stress est important provoqué par les aléas des voyages, qu'ils soient météorologiques, techniques ou causés par l'attitude de certains passagers.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4733

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. GONTARD, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. - Alinéa 4 

Compléter cet alinéa par les mots :

Ne sont pas concernées par le présent alinéa les  ingénieurs et cadres technico-commerciaux en bâtiment, travaux publics, pour lesquels l'âge d'ouverture des droits à une pension de retraite est  fixé par décret dans la limite de l'âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1955 et, pour ceux nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1954, de manière croissante :

II. - Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement des groupes parlementaires écologistes, vise à ne pas décaler l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les ingénieurs et cadres technico- commerciaux en bâtiment, travaux publics.

Les écologistes sont opposés à l’article 7, qui est au cœur de la présente réforme. À rebours de tout progrès social, le Gouvernement prévoit ses économies exclusivement sur le départ différé en retraite des travailleurs et sur l’allongement de notre temps de travail.

Les gains en espérance de vie ont déjà été consommés par les réformes précédentes. Ils seront à présent rattrapés par l’augmentation du temps passé au travail : la retraite n’est plus un horizon libérateur, mais un temps de déclassement social pour des corps abîmés par de longues années passées au travail.

Nous contestons le choix idéologique de toucher au temps de travail plutôt qu’à d’autres leviers de financement, choix déconnecté de la réalité du travail et notamment des métiers les plus pénibles.

Nous contestons le choix de toucher à l’âge légal de départ, qui est le paramètre le plus injuste faisant peser l’essentiel de l’effort sur celles et ceux qui ont des carrières longues et hachées, alors qu’ils sont généralement ceux qui ont les métiers les plus pénibles. Ce report à 64 ans repousse l’accès à la retraite à taux plein au-delà de l’espérance de vie en bonne santé sans incapacité, qui est de 63,7 ans pour les hommes en 2019. Le report de l’âge va aggraver les inégalités sociales face à la mort. Aujourd’hui, les plus pauvres passent en moyenne 7 années de moins à la retraite que les plus aisés.

A défaut de parvenir à supprimer cet âge légal pour toutes et tous, cet amendement de repli vise au moins à exempter les ingénieurs et cadres technico - commerciaux en bâtiment, travaux publics. Ces salariés assument de très larges responsabilités et sont soumis à une grande pression liée à leurs objectifs. Ils effectuent le plus souvent des horaires étendus et de nombreux déplacement professionnels entrainant fatigue et éloignement de leur famille et de leurs proches. Ils sont exposés à toutes les pathologies causées par le stress. Il n’est donc pas juste de demander à ces salariés de travailler deux ans de plus.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4664

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes Mélanie VOGEL et PONCET MONGE, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ne sont pas concernées par le présent alinéa les personnes vivant avec le virus de l’immunodéficience humaine nées avant 1996.

Objet

Cet amendement vise à exempter les personnes vivant avec le virus de l’immunodéficience humaine nées avant l’apparition de traitements plus efficaces du recul de l’âge légal de départ à la retraite.

La hausse de l’âge légal de départ à la retraite est une mesure injuste et inutile, car de nombreuses alternatives existent. Les personnes vivant avec le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) nées avant l’apparition de traitements plus efficaces, subissent non seulement de nombreuses stigmatisations, souvent à cause de leur (supposée) orientation sexuelle, mais ont de fait également une espérance de vie plus basse que la moyenne de la population. Afin de ne pas les pénaliser encore davantage en leur demandant de travailler plus longtemps ou d’accepter des décotes importantes, il convient de les exempter du recul de l’âge de départ à la retraite.

Le choix de l’année 1996 s’explique par l’arrivée des trithérapies antirétrovirales, accessibles plus largement à partir de cette année-là. L’arrivée de cette thérapie, comme d’autres avancées médicales, a permis de mieux traiter des personnes vivant avec le VIH au point que l’infection par le VIH est désormais considérée comme une maladie chronique.

Tel n’est pas le cas pour les personnes vivant avec le VIH qui se sont infectées avant l’arrivée des trithérapies antirétrovirales. Une étude anglaise publiée en 2011 a estimé que, sur la période 1996 - 2006, l'espérance de vie d'une personne identifiée dans l’étude comme homme de 20 ans vivant avec le VIH et traité était de 39,5 ans. Elle était de 50,2 ans pour les personnes identifiées comme femme. Elle était estimée à 57,8 et 61,6 ans respectivement pour la moyenne de la population.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4140 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Objet

Par cet amendement de repli, nous refusons l’accélération de la réforme Touraine qui prévoyait l’augmentation des annuités de cotisations retraites de quatre mois par génération pour les assurés nés entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1951 et de cinq mois par génération pour les assurés nés entre le 1er janvier 1952 et le 31 décembre 1954.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3687

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 124 à 139

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035. Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.

L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.

En conséquence, cet amendement a pour objet la suppression des dispositions accélérant le calendrier d’augmentation de la durée requise pour le taux plein.

Cet amendement est issu d’une proposition de la CFDT.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4289 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 124 à 139

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les dispositions accélérant le calendrier d’augmentation de la durée requise pour le taux plein.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 293

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. FÉRAUD


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.

Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.

L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 325

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. PLA


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.
Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.
L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.
 
 
Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 354

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme BRIQUET


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.
 Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.
L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.
 
Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 379

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme FÉRET


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.

Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie, si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.

L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.

Amendement travaillé avec la CFDT. 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 462

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. FICHET


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.

Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.

L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.

Amendement communiqué par la CFDT

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 487

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme VAN HEGHE


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.

 Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.

L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.

 

 

Amendement communiqué par la CFDT

 

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 493

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme HARRIBEY


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.

Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.

L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.

Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 531

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. GILLÉ


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.

 Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.

L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.

Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 552

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. MICHAU


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.

 Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.

L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.

Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 592

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. REDON-SARRAZY


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.

Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.

L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.

 

Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 621

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. DEVINAZ


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.

 Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.

L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.

 

 

Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 639

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. CHANTREL


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.

 Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.

L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.

Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 679

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LE HOUEROU


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.

 Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.

L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.

Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 708

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme BLATRIX CONTAT


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.

 Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.

L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.

Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 739

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. Mickaël VALLET


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.

Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.

L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 789

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme de LA GONTRIE


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.

Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.

L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.

Cet amendement a été proposé par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 834

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. LOZACH


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.

 Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.

L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.

Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 874

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. DURAIN


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.

Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.

L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.

 

 

Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 891

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. TEMAL


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035. Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.

L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.

Amendement proposé par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 911

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. LUREL


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.

 Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.

L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.

 Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 954

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. CARDON


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.

Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.

L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.
Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 992

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. RAYNAL


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.

 Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.

L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.

Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1040

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme Gisèle JOURDA


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.

Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.

L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.
Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1083

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. TISSOT


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.

Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.

L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.

Amendement travaillé en commun avec la CFDT.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1109

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. ÉBLÉ


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.

 Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.

L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1138

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. HOULLEGATTE


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.
 Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.
L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.
 
 
Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1148 rect. bis

4 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.
Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.

L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.

 

 

Amendement communiqué par la CFDT



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1186

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme Sylvie ROBERT


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.


Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.


L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.
 
 
Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1218

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. MÉRILLOU


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.

Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.

L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.



NB :Amendement communiqué par la CFDT
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1257

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme JASMIN


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La réforme Touraine de 2014 prévoyait une augmentation progressive et échlonnée de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.

Cette augmentation devait se faire en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale.

L'objectif était un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite.

Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.

Or l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance proposée par le Gouvernemnt aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale.

Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966.

En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.

Et cela n'est ni juste, ni socialement acceptable.

Amendement travaillé à partir d’éléments fournis par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1279

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. JACQUIN


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.

Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.

L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.

Cet article 7 concentre toute l'injustice de cette mauvaise réforme. Plutôt que de démagogiquement tout décaler, le gouvernement serait mieux inspirer de retirer sa réforme, reprendre de véritables négociations avec les partenaires sociaux. Une bonne réforme des retraites est une réforme qui allie sauvegarde de la répartition et progrès social, pas qui stigmatise certains et qui montent les Français les uns contre les autres.

Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1302

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. MONTAUGÉ


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas. 

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.

Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.

L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1309

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme PRÉVILLE


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.

Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.

L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1350

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. MARIE


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.

Cette augmentation s'effectue en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien que l'on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.

L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1384

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. BOURGI


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.

 Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.

L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.

 

 

Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1416

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. SUEUR


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.

Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.

L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.

Cet amendement a été travaillé avec la CFDT.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1447

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. KERROUCHE


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.

Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie, si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.

L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.

 

 

Amendement communiqué par la CFDT.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1463

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. STANZIONE


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine, promulguée en 2014, prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années d'ici 2035.

Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie, si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.
L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1479

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme CONWAY-MOURET


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.

Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.

L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.

Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1515

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme Martine FILLEUL


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.

Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.

L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.
 
 
Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1539

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. TODESCHINI


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.

Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.

L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1553

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme MONIER


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

 

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.

Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.

L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.

Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1603

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. Joël BIGOT


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.


 Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.


L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1633

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme POUMIROL


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.

 Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.

L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.

 

 

Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1707

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. BOUAD


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.

Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.

L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.

 

 

Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1723

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. LECONTE


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.


Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.


L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.
 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1760

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme MEUNIER


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.

Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.

L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.

Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1800

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. JOMIER


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.

 Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.

L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.

 

 

Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1830

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. KANNER


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.

Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1857

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. ASSOULINE


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.

Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.

L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.
 
Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1872

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. COZIC


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.
Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.

L'économiste Thomas Piketty dit ainsi « l'inégalité entre classes sociales n'est pas du tout prise en compte. Tous ceux qui ont fait des études ne paieront rien de cette réforme. Tous ces milliards d'euros seront récupérés sur ceux qui n'ont pas fait d'études », c'est-à-dire ceux qui auront atteint leurs 43 ans de cotisation avant le nouvel âge légal, et qui devront continuer à travailler33.

Car l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966.

En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1920

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. Patrice JOLY


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.

 Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.

L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.

 

 

Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1984

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme ROSSIGNOL


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.

 Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.

L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.

 

Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2082

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. JEANSANNETAS


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157 

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.

Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.

L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2274

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme ESPAGNAC


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11 et 145 à 157

Supprimer ces alinéas.

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit une augmentation progressive de la durée d’assurance requise pour le taux plein en la passant de 40 années à 43 années à horizon 2035.

Cette augmentation se fait en parallèle de l’augmentation de l’espérance de vie si bien qu’on observe une stagnation de la durée passée en retraite en proportion de la durée de vie totale. Cette stagnation traduit un partage équilibré des gains d’espérance de vie entre le temps passé au travail et le temps passé en retraite. Ce résultat de la loi Touraine est la condition pour rendre l’augmentation de la durée de cotisation socialement acceptable.

L’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance requise aura pour effet de réduire pour les générations 1961 à 1972 la durée de retraite en proportion de la durée de vie totale. Et cela avec un effet particulièrement marqué pour les générations 1965 et 1966. En effet, l’accélération de l’augmentation de la durée d’assurance d’un trimestre tous les ans contre un trimestre tous les trois ans aura pour effet d’augmenter de manière inégale la durée d’assurance requise : 1 trimestre pour les générations 1961 (nées après le 1er septembre), 1962, 1970, 1971, 1972 et 1973 ; 2 trimestres pour les générations 1963, 1964, 1967, 1968 et 1969 ; 3 trimestres pour les générations 1965 et 1966.

Cet amendement a été travaillé avec la CFDT.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2193 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes Valérie BOYER, THOMAS et BELRHITI, MM. DAUBRESSE, SIDO, FRASSA et CHATILLON, Mmes GOY-CHAVENT et GARNIER, M. HINGRAY, Mmes DUMONT, LOPEZ et MICOULEAU et MM. CALVET, GREMILLET et de NICOLAY


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11

Supprimer ces alinéas.

Objet

La réforme des retraites voulue par le Gouvernement reporte l’âge légal de départ, accélère l’augmentation de la durée de cotisation et maintient l’âge d’annulation de la décote à 67 ans.

Le présent projet de loi est particulièrement injuste pour les femmes. 

Le maintien de l’âge d’annulation de la décote est très injuste pour les carrières incomplètes et pèse donc par conséquent plus sur les femmes. Cette réforme impacte négativement les femmes du fait du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans. Certaines femmes vont donc perdre le bénéfice des trimestres obtenus par enfants nés ou adoptés.

Le présent amendement a donc pour objet de revenir au droit existant sur le relèvement de la durée d’assurance.

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3582

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement du groupe Écologiste est de la supprimer.

La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger.

Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d'un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.

Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy- boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme.

Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans.

En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité).

Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu'à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité.

En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion. En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4143 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéas 6 à 11

Supprimer ces alinéas.

Objet

Le présent amendement vise à supprimer les dispositions portant accélération du relèvement de la durée de cotisation.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4144 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 7

Supprimer cet alinéa.

Objet

Par cet amendement, nous supprimons l'accélération de l'augmentation de durée de cotisation à partir de la génération née au 1er septembre 1961.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2117

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Tombé

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 7


Alinéa 7

Remplacer le nombre :

30

par le nombre :

31

Objet

Amendement de correction d'une erreur matérielle


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4288 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Après l'alinéa 12

Insérer un paragraphe ainsi rédigé :

 .... – Le I peut faire l’objet de dispositions d’adaptation en Guadeloupe, en Guyane, en Martinique, à La Réunion, à Mayotte, à Saint-Barthélemy, à Saint-Martin et à Saint-Pierre-et-Miquelon.

Objet

Par cet amendement de repli, nous souhaitons rappeler combien cette réforme et particulièrement le recul de l’âge de départ à la retraite prévu dans cet article va être délétère pour l’ensemble des territoires et départements d’Outre-mer. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3611

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 145 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4321 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéas 145 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas appliquer la réforme aux pensions civiles et militaires de retraites.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2122

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Tombé

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 7


I. – Alinéa 145

Remplacer la seconde occurrence du mot :

des

par le mot :

de

II. – Alinéa 149

Remplacer le mot :

des

par le mot :

de

Objet

Amendement rédactionnel


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2123

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Tombé

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 7


Alinéa 147

Remplacer cet alinéa par trois alinéas ainsi rédigés :

...° Entre le 1er septembre 1961 et le 31 décembre 1962, est celle prévue au 3° de l’article L. 161-17-3 du code de la sécurité sociale ;

...° En 1963, est celle prévue au 4° du même article L. 161-17-3 ;

...° En 1964, est celle prévue au 5° dudit article L. 161-17-3.

Objet

Cet amendement procède à la rectification d'une erreur de référence.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4319 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéas 160 et 161

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas reculer l'âge de départ anticipé et à supprimer la décote à 65 ans pour les fonctionnaires ayant exercé leur droit d'option.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2124

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Tombé

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 7


I. – Alinéa 160

Après les mots :

mentionnés au

insérer la référence :

b du

II. – Alinéa 161

Remplacer les mots :

mentionnées au

par les mots :

mentionnés au b du

Objet

Amendement rédactionnel


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 297 rect.

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. FÉRAUD


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à  liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques". Cet amendement vise à supprimer cet allongement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 329 rect.

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. PLA


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à  liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques". Cet amendement vise à supprimer cet allongement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 358 rect.

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme BRIQUET


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à  liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques". Cet amendement vise à supprimer cet allongement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 383 rect.

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme FÉRET


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des « corps techniques » .

Cet amendement vise donc à supprimer cet allongement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 466 rect.

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. FICHET


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à  liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques". Cet amendement vise à supprimer cet allongement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 497 rect.

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme HARRIBEY


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à  liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques". Cet amendement vise à supprimer cet allongement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 504 rect.

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme VAN HEGHE


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à  liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques". Cet amendement vise à supprimer cet allongement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 535 rect.

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. GILLÉ


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à  liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques". Cet amendement vise à supprimer cet allongement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 556 rect.

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. MICHAU


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à  liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques". Cet amendement vise à supprimer cet allongement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 596 rect.

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. REDON-SARRAZY


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à  liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques". Cet amendement vise à supprimer cet allongement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 625 rect.

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. DEVINAZ


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à  liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques". Cet amendement vise à supprimer cet allongement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 643 rect.

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. CHANTREL


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques". Cet amendement vise à supprimer cet allongement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 683 rect.

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LE HOUEROU


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques". Cet amendement vise à supprimer cet allongement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 712 rect.

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme BLATRIX CONTAT


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à  liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques". Cet amendement vise à supprimer cet allongement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 743 rect.

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. Mickaël VALLET


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à  liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques". Cet amendement vise à supprimer cet allongement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 793 rect.

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme de LA GONTRIE


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à  liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques".

Cet amendement vise à supprimer cet allongement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 958

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. CARDON


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à  liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques". Cet amendement vise à supprimer cet allongement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 838

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. LOZACH


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à  liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques". Cet amendement vise à supprimer cet allongement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 878

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. DURAIN


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à  liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques". Cet amendement vise à supprimer cet allongement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 915

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. LUREL


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à  liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques". Cet amendement vise à supprimer cet allongement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 996

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. RAYNAL


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques". Cet amendement vise à supprimer cet allongement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1042

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme Gisèle JOURDA


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques". Cet amendement vise à supprimer cet allongement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1087

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. TISSOT


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques". Cet amendement vise à supprimer cet allongement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1113

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. ÉBLÉ


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques". Cet amendement vise à supprimer cet allongement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1143

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. HOULLEGATTE


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques". Cet amendement vise à supprimer cet allongement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1170 rect. bis

4 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L'article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l'âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d'une pension à liquidation différée, s'il quitte l'institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à  liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques". Cet amendement vise à supprimer cet allongement.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1179

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme CONWAY-MOURET


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à liquidation immédiate.

Cet amendement vise à supprimer ce report de 52 à 54 ans. 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1187

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme Sylvie ROBERT


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques". Cet amendement vise à supprimer cet allongement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1222

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. MÉRILLOU


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques". Cet amendement vise à supprimer cet allongement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1258

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme JASMIN


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques". Cet amendement vise à supprimer cet allongement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1277

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. MONTAUGÉ


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas. 

Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques". Cet amendement vise à supprimer cet allongement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1282

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. JACQUIN


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques". Cet amendement vise à supprimer cet allongement.

Plus généralement l'article 7 concentre toute l'injustice de cette mauvaise réforme. Plutôt que de démagogiquement tout décaler, le gouvernement serait mieux inspirer de retirer sa réforme, reprendre de véritables négociations avec les partenaires sociaux. Une bonne réforme des retraites est une réforme qui allie sauvegarde de la répartition et progrès social, pas qui stigmatise certains et qui montent les Français les uns contre les autres.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1310

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme PRÉVILLE


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques". Cet amendement vise à supprimer cet allongement.




NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1352

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. MARIE


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques".

L'objet de cet amendement est de supprimer cet allongement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1388

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. BOURGI


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques". Cet amendement vise à supprimer cet allongement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1418

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. SUEUR


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques". Cet amendement vise à supprimer cet allongement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1451

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. KERROUCHE


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à liquidation immédiate.

Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques". Cet amendement vise à supprimer cet allongement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1465

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. STANZIONE


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l'allongement prévu à l'article 7 qui reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques".


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1519

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme Martine FILLEUL


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques".

Cet amendement vise à supprimer cet allongement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1555

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme MONIER


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques". Cet amendement vise à supprimer cet allongement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1571

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme CARLOTTI


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques". Cet amendement vise à supprimer cet allongement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1584

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. TODESCHINI


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.



Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à liquidation immédiate. 

Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques".

Cet amendement vise à supprimer cet allongement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1607

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. Joël BIGOT


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques". Cet amendement vise à supprimer cet allongement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1637

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme POUMIROL


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à  liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques". Cet amendement vise à supprimer cet allongement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1676

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme BONNEFOY


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques". Cet amendement vise à supprimer cet allongement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1711

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. BOUAD


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques". Cet amendement vise à supprimer cet allongement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1727

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. LECONTE


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à liquidation immédiate.

Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques". Cet amendement vise à supprimer cet allongement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1764

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme MEUNIER


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques". Cet amendement vise à supprimer cet allongement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1804

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. JOMIER


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques". Il s'agit en réalité d'un nivellement par le bas.

Cet amendement vise à supprimer cet allongement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1834

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. KANNER


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à  liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques". Cet amendement vise à supprimer cet allongement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1922

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. Patrice JOLY


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques". Cet amendement vise à supprimer cet allongement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1986

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme ROSSIGNOL


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques". Cet amendement vise à supprimer cet allongement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2084

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. JEANSANNETAS


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques". Cet amendement vise à supprimer cet allongement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2276

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme ESPAGNAC


ARTICLE 7


Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 7 reporte de 52 ans à 54 ans l’âge auquel un ancien militaire peut bénéficier d’une pension à liquidation différée, s’il quitte l’institution après quinze ans de service mais avant la durée de service ouvrant droit à une pension à liquidation immédiate. Cet allongement est présenté comme une mesure de fidélisation des personnels des "corps techniques". Cet amendement vise à supprimer cet allongement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2221

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. BONNEAU


ARTICLE 7


Alinéa 171

Supprimer les mots :

applicable avant l’entrée en vigueur de la présente loi

Objet

Le projet de loi, dans le recul à 54 ans du versement de la pension différée, ne distingue pas, de manière dommageable, ceux qui sont déjà partis de l'institution,et que la loi ne fidélisera pas et qui dans le présent cas travailleront 2 ans de plus dans le civil. Il pénalise des classes d'âge déjà concernées par l'allongement à 172 trimestres.

Cette suppression vise à ne pas appliquer cette disposition pour ceux qui ne sont plus dans l'institution. 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3624

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 174 à 179

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3621

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 177 à 181

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3622

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 177 à 180

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3623

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 177 et 179

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3613

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéa 177

Supprimer cet alinéa.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2125

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Tombé

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 7


Alinéa 177, première phrase

Remplacer les mots :

dont la pension entre en jouissance

par les mots :

qui entrent en jouissance de celle-ci

Objet

Amendement rédactionnel


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3619

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 179 à 181

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3620

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 179 et 180

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3618

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 180 et 181

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3616

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéa 180

Supprimer cet alinéa.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3092 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, M. TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

... – Les dispositions du a du 1° du I entrent en vigueur à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2050.

Objet

 Cet amendement du groupe SER vise à appliquer la réforme du décalage de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans au 1er janvier 2050 uniquement si le rapport annuel du Conseil d'Orientation des Retraites en démontre la nécessité.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3091 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, M. TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

... – Les dispositions du a du 1° du I entrent en vigueur à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2049.

Objet

 Cet amendement du groupe SER vise à appliquer la réforme du décalage de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans au 1er janvier 2049 uniquement si le rapport annuel du Conseil d'Orientation des Retraites en démontre la nécessité.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3090 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, M. TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

... – Les dispositions du a du 1° du I entrent en vigueur à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2048.

Objet

Cet amendement du groupe SER vise à appliquer la réforme du décalage de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans au 1er janvier 2048 uniquement si le rapport annuel du Conseil d'Orientation des Retraites en démontre la nécessité.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3089 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, M. TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

... – Les dispositions du a du 1° du I entrent en vigueur à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2046.

Objet

 Cet amendement du groupe SER vise à appliquer la réforme du décalage de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans au 1er janvier 2046 uniquement si le rapport annuel du Conseil d'Orientation des Retraites en démontre la nécessité



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3088 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, M. TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

... – Les dispositions du a du 1° du I entrent en vigueur à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2045.

Objet

Cet amendement du groupe SER vise à appliquer la réforme du décalage de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans au 1er janvier 2045 uniquement si le rapport annuel du Conseil d'Orientation des Retraites en démontre la nécessité



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3087 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, M. TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

... – Les dispositions du a du 1° du I entrent en vigueur à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2044. »

Objet

 Cet amendement du groupe SER vise à appliquer la réforme du décalage de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans au 1er janvier 2044 uniquement si le rapport annuel du Conseil d'Orientation des Retraites en démontre la nécessité



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3086 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, M. TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

... – Les dispositions du a du 1° du I entrent en vigueur à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2043.

Objet

 Cet amendement du groupe SER vise à appliquer la réforme du décalage de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans au 1er janvier 2043 uniquement si le rapport annuel du Conseil d'Orientation des Retraites en démontre la nécessité.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3085 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

... – Les dispositions du a du 1° du I entrent en vigueur à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2042.

Objet

 Cet amendement du groupe SER vise à appliquer la réforme du décalage de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans au 1er janvier 2042 uniquement si le rapport annuel du Conseil d'Orientation des Retraites en démontre la nécessité



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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présenté par

C Défavorable
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Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

... – Les dispositions du a du 1° du I entrent en vigueur à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2041.

Objet

 Cet amendement du groupe SER vise à appliquer la réforme du décalage de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans au 1er janvier 2041 uniquement si le rapport annuel du Conseil d'Orientation des Retraites en démontre la nécessité.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

... – Les dispositions du a du 1° du I entrent en vigueur à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2040. »

Objet

 Cet amendement du groupe SER vise à appliquer la réforme du décalage de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans au 1er janvier 2040 uniquement si le rapport annuel du Conseil d'Orientation des Retraites en démontre la nécessité



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

... – Les dispositions du a du 1° du I entrent en vigueur à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2039.

Objet

 Cet amendement du groupe SER vise à appliquer la réforme du décalage de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans au 1er janvier 2039 uniquement si le rapport annuel du Conseil d'Orientation des Retraites en démontre la nécessité



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

... – Les dispositions du a du 1° du I entrent en vigueur à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2038.

Objet

 Cet amendement du groupe SER vise à appliquer la réforme du décalage de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans au 1er janvier 2038 uniquement si le rapport annuel du Conseil d'Orientation des Retraites en démontre la nécessité



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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présenté par

C Défavorable
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Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

... – Les dispositions du a du 1° du I entrent en vigueur à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2037.

Objet

Cet amendement du groupe SER vise à appliquer la réforme du décalage de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans au 1er janvier 2037 uniquement si le rapport annuel du Conseil d'Orientation des Retraites en démontre la nécessité



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

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présenté par

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Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

... – Les dispositions du a du 1° du I entrent en vigueur à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2036.

Objet

 Cet amendement du groupe SER vise à appliquer la réforme du décalage de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans au 1er janvier 2036 uniquement si le rapport annuel du Conseil d'Orientation des Retraites en démontre la nécessité



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3078 rect.

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AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

... – Les dispositions du a) du 1° du I entrent en vigueur à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2035.

Objet

 Cet amendement du groupe SER vise à appliquer la réforme du décalage de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans au 1er janvier 2035 uniquement si le rapport annuel du Conseil d'Orientation des Retraites en démontre la nécessité



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3077 rect.

2 mars 2023


 

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présenté par

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Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Compléter cet article par un alinéa ainsi rédigé :

... – Les dispositions du a du 1° du I entrent en vigueur à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2034.

Objet

 Cet amendement du groupe SER vise à appliquer la réforme du décalage de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans au 1er janvier 2034 uniquement si le rapport annuel du Conseil d'Orientation des Retraites en démontre la nécessité.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3074 rect.

2 mars 2023


 

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Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

… – Les dispositions du a du 1° du I entrent en vigueur à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2033.

Objet

Cet amendement du groupe SER vise à appliquer la réforme du décalage de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans au 1er janvier 2033 uniquement si le rapport annuel du Conseil d'Orientation des Retraites en démontre la nécessité



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3073 rect.

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AMENDEMENT

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Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

… – Les dispositions du a du 1° du I entrent en vigueur à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2032.

Objet

 Cet amendement du groupe SER à appliquer la réforme du décalage de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans au 1er janvier 2032 uniquement si le rapport annuel du Conseil d'Orientation des Retraites en démontre la nécessité



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

« ... – Les dispositions du a du 1° du I entrent en vigueur à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2030.

Objet

 Cet amendement du groupe SER vise à appliquer la réforme du décalage de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans au 1er janvier 2030 uniquement si le rapport annuel du Conseil d'Orientation des Retraites en démontre la nécessité



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3075 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

... – Les dispositions du a du 1° du I entrent en vigueur à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2029.

Objet

 Cet amendement du groupe SER vise à appliquer la réforme du décalage de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans au 1er janvier 2029 uniquement si le rapport annuel du Conseil d'Orientation des Retraites en démontre la nécessité



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2842 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Compléter cet article un paragraphe ainsi rédigé :

.... – Les dispositions du a du 1° du I entrent en vigueur à une date déterminée par décret pris en Conseil d’État après concertation des organisations syndicales et patronales qui ne peut être ultérieure au 1er janvier 2028.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à appliquer la réforme du décalage de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans au 1er janvier 2028 uniquement si le rapport annuel du Conseil d'Orientation des Retraites en démontre la nécessité.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4762 rect.

8 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Favorable
Adopté

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 7


I. – Alinéas 3 à 5

Rédiger ainsi ces alinéas :

a) Le premier alinéa est complété par une phrase ainsi rédigée : « Il est porté à soixante-quatre ans pour les assurés nés à compter du 1er janvier 1968. » ;

b) Il est ajouté un alinéa ainsi rédigé :

« Cet âge est fixé par décret dans la limite de l’âge mentionné au premier alinéa pour les assurés nés avant le 1er janvier 1968 et, pour ceux nés entre le 1er septembre 1961 et le 31 décembre 1967, de manière croissante, à raison de trois mois par génération. » ;

II. – Alinéa 7

Remplacer le nombre :

30

par le nombre :

31

III. – Après l’alinéa 15

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

…° À l’article L. 444-5, les mots : « des dispositions du 3° de l’article L. 416-1 et » sont supprimés.

IV. - Après l’alinéa 20

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

…) A l’avant-dernier alinéa, les mots : « au présent article » sont remplacés par les mots : « aux alinéas précédents » ;

V. – Alinéa 30

Supprimer cet alinéa.

VI. – Alinéa 53

Remplacer les mots :

déduction faite

par les mots :

réduites, le cas échéant, de la durée

VII. – Après l’alinéa 63

Insérer quatre alinéas ainsi rédigés :

...) Après le 5°, sont insérés trois alinéas ainsi rédigés :

« Par dérogation aux 2°, 3° et 4° du présent article, l’âge avant lequel la liquidation ne peut intervenir, applicable avant l’entrée en vigueur de la loi n° ... du ... 2023 de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023, est :

« 1° Pour les militaires nés avant le 1er septembre 1971, fixé à 52 ans ;

« 2° Pour les militaires nés à compter du 1er septembre 1971, rehaussé de trois mois à compter du 1er septembre 2023 et augmente de trois mois par an à partir du 1er janvier 2024 jusqu’à atteindre l’âge de cinquante-quatre ans. »

VIII. – Alinéa 72

Après le mot :

fonctions

insérer les mots :

sans radiation des cadres préalable,

IX. – Alinéa 74

Après les mots :

maintien en fonctions

insérer les mots :

, des prolongations d’activité

X. – Alinéas 93, 97 et 115

Remplacer les mots :

des reculs et prolongations de limite d’âge

par les mots :

des reculs de limite d’âge et prolongations d’activité

XI. – Alinéas 94 et 98

Après le mot :

code

insérer les mots :

sans radiation des cadres préalable

XII. – Après l’alinéa 97

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

- les mots : « pour exercer l'une des fonctions dévolues aux premiers conseillers » sont supprimés ;

XIII. – Alinéas 101 à 103

Remplacer ces alinéas par quatre alinéas ainsi rédigés :

1° L’article 1er est ainsi rédigé :

« Art 1er. – Les agents des services actifs de police de la préfecture de police, soumis à la loi n° 48-1504 du 28 septembre 1948 relative au statut spécial des personnels de police dont la limite d’âge était, au 1er décembre 1956, égale à cinquante-cinq ans, bénéficient, à compter du 1er janvier 1957, s’ils ont droit à une pension d’ancienneté ou à une pension proportionnelle pour invalidité ou par limite d’âge, d’une bonification pour la liquidation de ladite pension, égale à un cinquième du temps qu’ils ont effectivement passé en position d’activité dans des services actifs de police. Il en est de même pour les anciens agents. Cette bonification ne pourra être supérieure à cinq annuités.

« À l’exception des contrôleurs généraux, sous-directeurs, directeurs, adjoints, chefs de service et directeurs des services actifs, le bénéfice de la bonification acquise dans les conditions définies au premier alinéa est maintenu aux fonctionnaires des services actifs de la préfecture de police également soumis aux dispositions de la loi n° 48-1504 du 28 septembre 1948 précitée et dont la limite d’âge était, au 1er décembre 1956, supérieure à cinquante-cinq ans, auxquels sont également applicables les dispositions du premier alinéa.

« Les années de services ouvrant droit au bénéfice des dispositions de l’article 17 de la loi n° 55-366 du 3 avril 1955 relative au développement des crédits affectés aux dépenses du ministère des finances et des affaires économiques pour l’exercice 1955 ne sont pas retenues pour le calcul de la bonification prévue au présent article. » ;

XIV. – Alinéa 107

Après le mot :

bonification

insérer les mots :

du cinquième

XV. – Alinéa 116

Compléter cet alinéa par les mots :

sans radiation des cadres préalable

XVI. – Alinéa 126

Compléter cet alinéa par les mots :

et les mots : « s'ils sont radiés des cadres par limite d'âge ou par invalidité, » sont remplacés par les mots : « sous réserve de vérifier la condition de durée de services mentionnée au onzième alinéa du 1° du I de l’article L. 24 du code des pensions civiles et militaires de retraite,  »

XVII. – Alinéas 128 à 130

Remplacer ces alinéas par deux alinéas ainsi rédigés :

c) Le troisième alinéa est ainsi rédigé :

« La condition de durée de services mentionnée au premier alinéa n’est pas applicable aux fonctionnaires radiés des cadres pour invalidité ou par limite d’âge. » ;

XVIII. – Alinéa 131

Rédiger ainsi cet alinéa :

2° Les III et IV sont abrogés.

XIX. – Après l’alinéa 144

Insérer un paragraphe ainsi rédigé :

... – La loi n° 2010-1330 du 9 novembre 2010 portant réforme des retraites est ainsi modifiée :

1° Au premier alinéa du I de l’article 35, les mots : « , au 1° de l’article L. 25 du même code, au 3° de l’article L. 416-1 du code des communes, au premier alinéa de l’article 2 de la loi n° 57-444 du 8 avril 1957 instituant un régime particulier de retraites en faveur des personnels actifs de police, à l’article 4 de la loi n° 89-1007 du 31 décembre 1989 relative au corps des ingénieurs du contrôle de la navigation aérienne et au troisième alinéa du II de l’article 24 de la loi n° 96-452 du 28 mai 1996 portant diverses mesures d’ordre sanitaire, social et statutaire » sont remplacés par les mots : « et au 1° de l’article L. 25 du même code » ;

2° À la seconde phrase du V de l’article 45, les mots : «, des articles L. 416-1 et L. 444-5 du code des communes, » sont remplacés par les mots : » ainsi que » et les mots : » , de l’article 2 de la loi n° 57-444 du 8 avril 1957 précitée, de l’article 4 de la loi n° 89-1007 du 31 décembre 1989 précitée et du II de l’article 24 de la loi n° 96-452 du 28 mai 1996 précitée » sont supprimés.

XX. – Alinéa 145

Remplacer la seconde occurrence du mot :

des

par le mot :

de

XXI. – Alinéa 147

Remplacer cet alinéa par trois alinéas ainsi rédigés :

...° Entre le 1er septembre 1961 et le 31 décembre 1962, est celle prévue au 3° de l’article L. 161-17-3 du code de la sécurité sociale ;

...° En 1963, est celle prévue au 4° du même article L. 161-17-3 ;

...° En 1964, est celle prévue au 5° dudit article L. 161-17-3.

XXII. – Alinéa 149

Remplacer le mot :

des

par le mot :

de

XXIII. – Alinéa 160

Après les mots :

mentionnés au

insérer la référence :

b du

XXIV. – Alinéa 161

Remplacer les mots :

mentionnées au

par les mots :

mentionnés au b du

XXV. – Alinéas 171 à 173

Supprimer ces alinéas

XXVI. – Alinéa 177, première phrase

Remplacer les mots :

dont la pension entre en jouissance

par les mots :

qui entrent en jouissance de celle-ci

XXVII. – Après l’alinéa 177

Insérer deux alinéas ainsi rédigés :

…- Avant le 1er octobre 2027, le comité mentionné à l’article 114-4 du code de la sécurité sociale, assisté de la Cour des comptes, remet au Parlement un rapport d’évaluation de la loi n° du  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 ainsi que des mesures légales et réglementaires en matière d’emploi des seniors prises depuis sa publication.

Il analyse l’évolution des différents paramètres de l’équilibre financier de l’ensemble des régimes obligatoires de base à l’horizon 2040.

XXVIII. – Alinéa 180

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Les dispositions du code de justice administrative et celles de la loi n° 86-1304 du 23 décembre 1986 relative à la limite d’âge et aux modalités de recrutement de certains fonctionnaires civils de l’État demeurent applicables dans leurs rédactions antérieures à la présente loi aux fonctionnaires qui sont déjà maintenus en activité lors de cette entrée en vigueur.

XXIX. – Après l’alinéa 180

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

... Les dispositions du 1° du I entrent en vigueur à compter du 1er septembre 2023.

XXX. – Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

…- Le présent article s’applique dans les collectivités mentionnées à l’article L. 111-2 du code de la sécurité sociale ainsi qu’à Mayotte, avec les adaptations nécessaires tenant compte des caractéristiques et des contraintes particulières de ces collectivités.

Objet

Cet amendement apporte plusieurs éléments de précision, de clarification et de sécurité juridique du présent article.

En premier lieu, tout en conservant l’objectif de porter progressivement l’âge d’ouverture des droits à 64 ans, il préserve la base légale relative à l’âge de départ des assurés nés avant le 1er septembre 1961. De même, il codifie les dispositions relatives à la montée en charge de l’âge de départ applicable aux militaires ne justifiant pas de la durée de service exemptant de condition d’âge.

En second lieu, il procède à diverses rectifications d’erreurs matérielles, coordinations ou clarifications rédactionnelles.

En troisième lieu, il précise que la mise en œuvre du nouveau dispositif de maintien en fonctions jusqu’à l’âge de 70 ans pour les fonctionnaires n’entraine pas la radiation des cadres des personnes concernées.

En quatrième lieu, il précise les modalités d’entrée en vigueur de la mesure de report de l’âge d’ouverture des droits à 64 ans ainsi que ses conditions d’application dans les collectivités d’outre-mer.

Enfin, il propose la remise au Parlement d’un rapport du comité de suivi des retraites, avec l’assistance de la Cour des comptes, dans la perspective d’une véritable « clause de revoyure » d’ici à 2027.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4765

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 4762 rect. de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Non soutenu

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéa

Alinéa 3

Remplacer la date :

1er janvier 1968

Par la date :

1er janvier 1969

Objet

Ce sous-amendement à l'amendement 4762 vise à repousser d'un an la date de naissance à partir de laquelle s'applique le a) du I.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4763

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 4762 rect. de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Retiré

M. ARTANO


ARTICLE 7


Alinéa 125

supprimer les mots

et à Saint-Pierre-et-Miquelon

Objet

ce sous-amendement propose que cet article ne s'applique pas à Saint-Pierre-et-Miquelon






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3645

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 13 à 177

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3666

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 13 à 134

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3654

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 13 à 120

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2118

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Tombé

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 7


Après l'alinéa 15

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

...° À l'article L. 444-5, les mots : « des dispositions du 3° de l'article L. 416-1 et » sont supprimés.

Objet

Amendement de coordination


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3646

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 16 à 177

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3631

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 16 à 109

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3596

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 16 à 63

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4291 rect. bis

7 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéas 16 à 63

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4753

6 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G  
Tombé

Le Gouvernement


ARTICLE 7


Après l’alinéa 20

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

…) À l’avant-dernier alinéa, les mots : « au présent article » sont remplacés par les mots : « aux alinéas précédents » ;

Objet

Amendement de précision rédactionnelle afin de maintenir inchangée la liste des bonifications de la durée de service qui permettent de porter le taux de pro-ratisation des pensions civiles et militaires de retraite à 80%.  


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4296 rect. bis

7 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 30

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement de repli vise à refuser l'ajustement de la décote au recul de l'âge légal de départ.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4754

6 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G  
Tombé

Le Gouvernement


ARTICLE 7


Alinéa 30

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement rectifie une erreur de rédaction impactant les règles de décote applicables aux militaires.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4297 rect. bis

7 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéas 31 à 63

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement s'oppose à l'application de la réforme aux agents de la fonction publique et du décalage de l'âge légal de départ à la retraite pour les catégories actives et super actives.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4301 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéas 38 à 57

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à refuser le recul de l'âge légal de départ pour les catégories actives et super actives de la fonction publique.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4755

6 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G  
Tombé

Le Gouvernement


ARTICLE 7


I. – Alinéa 53

Remplacer les mots :

déduction faite

par les mots :

réduites, le cas échéant, de la durée

II – Alinéa 126

Compléter cet alinéa par les mots :

et les mots : « s’ils sont radiés des cadres par limite d’âge ou par invalidité, » sont remplacés par les mots : « sous réserve de vérifier la condition de durée de services mentionnée au onzième alinéa du 1° du I de l’article L. 24 du code des pensions civiles et militaires de retraite, »

III – Alinéas 128 à 130

Remplacer ces alinéas par deux alinéas ainsi rédigés :

c) Le troisième alinéa du II est ainsi rédigé :

« La condition de durée de services mentionnée au premier alinéa n’est pas applicable aux fonctionnaires radiés des cadres pour invalidité ou par limite d’âge. » ;

IV – Alinéa 131

Rédiger ainsi cet alinéa :

2° Le III et le IV sont abrogés.

Objet

Amendement de coordination rédactionnelle, qui rétablit notamment la condition de durée de services nécessaire pour bénéficier de la bonification du cinquième accordée aux personnels de surveillance de l’administration pénitentiaire. 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3647

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 64 à 178

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3663

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 64 à 134

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 3632

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 64 à 99

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 3664

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

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C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 65 à 134

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3633

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 65 à 99

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3648

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 66 à 123

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3634

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 66 à 99

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3628

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 66 à 87

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3635

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 68 à 99

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3600

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 68 à 87

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4306 rect. bis

7 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéas 68 à 87

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement de repli vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires en catégorie active et super-active.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3649

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 68 à 123

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4756

6 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G  
Tombé

Le Gouvernement


ARTICLE 7


I. – Alinéa 72

Après le mot :

fonctions

insérer les mots :

sans radiation des cadres préalable,

II. – Alinéa 74

Après les mots :

ce maintien en fonctions

insérer les mots :

, des prolongations d’activité

III. – Alinéas 93, 97 et 115

Remplacer les mots :

des reculs et prolongations de limite d’âge

par les mots :

des reculs de limite d’âge et prolongations d’activité

IV. – Alinéas 94, 98 et 116

Après les mots :

L. 556-1 dudit code

insérer les mots :

sans radiation des cadres préalable

V. – Après l’alinéa 97

, insérer un alinéa ainsi rédigé :

– les mots : « pour exercer l’une des fonctions dévolues aux premiers conseillers » sont supprimés ;

VI. – Alinéa 180

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Les dispositions du code de justice administrative et celles de la loi n° 86-1304 du 23 décembre 1986 relative à la limite d’âge et aux modalités de recrutement de certains fonctionnaires civils de l’État demeurent applicables dans leurs rédactions antérieures à la présente loi aux fonctionnaires qui sont déjà maintenus en activité lors de cette entrée en vigueur.

Objet

Cet amendement précise que la mise en œuvre du nouveau dispositif de maintien en fonctions jusqu’à l’âge de 70 ans introduit par le projet de loi pour les fonctionnaires n’entraine pas la radiation des cadres des personnes concernées.

Le fonctionnaire ayant recours à ce dispositif pourra donc poursuivre le déroulement de sa carrière, les années passées en maintien en fonctions à ce titre étant prises en compte comme les autres années de services pour le calcul de la pension de retraite.

Cette précision est conforme à l’esprit de cette réforme qui vise à faciliter le maintien en activité des agents publics qui le souhaitent.

Il apporte également des dispositions de coordination rédactionnelle et de clarification des règles d’entrée en vigueur.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3655

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 88 à 177

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3656

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 88 à 176

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3636

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 88 à 99

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3657

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 89 à 176

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3653

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 89 à 123

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3629

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 89 à 109

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3601

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 89 à 99

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4307 rect. bis

7 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéas 89 à 99

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement de repli vise à ne pas appliquer la réforme aux agents de la fonction publique, du décalage de l'âge légal de départ à la retraite pour les catégories actives et super actives et des mesures liées aux limites d'âge.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4308 rect. bis

7 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 91 à 94

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas appliquer aux agents de la fonction publique, le décalage de l'âge légal de départ à la retraite pour les catégories actives et super actives et les mesures liées aux limites d'âge.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3662

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 178

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3661

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 139

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 298

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. FÉRAUD


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe Socialiste Écologiste et Républicain vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 330

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. PLA


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 359

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme BRIQUET


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 384

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme FÉRET


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer les alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 467

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. FICHET


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe Socialiste Écologiste et Républicain vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 498 rect.

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme HARRIBEY


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe Socialiste Écologiste et Républicain vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 515

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme VAN HEGHE


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe Socialiste Écologiste et Républicain vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 536

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. GILLÉ


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe Socialiste Écologiste et Républicain vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 557

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. MICHAU


ARTICLE 7


Alinéa 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe Socialiste Écologiste et Républicain vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 597

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. REDON-SARRAZY


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe Socialiste Écologiste et Républicain vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 626

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. DEVINAZ


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe Socialiste Écologiste et Républicain vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 644

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. CHANTREL


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe Socialiste Écologiste et Républicain vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 684

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LE HOUEROU


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 713

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme BLATRIX CONTAT


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe Socialiste Écologiste et Républicain vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 744

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. Mickaël VALLET


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe Socialiste Écologiste et Républicain vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 794

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme de LA GONTRIE


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 839

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. LOZACH


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe Socialiste Écologiste et Républicain vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 879

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. DURAIN


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe Socialiste Écologiste et Républicain vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 916

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. LUREL


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 959

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. CARDON


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe Socialiste Écologiste et Républicain vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 997

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. RAYNAL


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1043

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme Gisèle JOURDA


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas appliquer cette réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1088

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. TISSOT


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1114

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. ÉBLÉ


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1144 rect.

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. HOULLEGATTE


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1171 rect. bis

4 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe Socialiste Écologiste et Républicain vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1188

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme Sylvie ROBERT


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe Socialiste Écologiste et Républicain vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1223

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. MÉRILLOU


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe Socialiste Écologiste et Républicain vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1259

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme JASMIN


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe Socialiste Écologiste et Républicain vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1275

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. MONTAUGÉ


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas. 

Objet

Cet amendement du groupe Socialiste Écologiste et Républicain vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1283

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. JACQUIN


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe Socialiste Écologiste et Républicain vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.

Cet article 7 concentre toute l'injustice de cette mauvaise réforme. Plutôt que de démagogiquement tout décaler, le gouvernement serait mieux inspirer de retirer sa réforme, reprendre de véritables négociations avec les partenaires sociaux. Une bonne réforme des retraites est une réforme qui allie sauvegarde de la répartition et progrès social, pas qui stigmatise certains et qui montent les Français les uns contre les autres.

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1311

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme PRÉVILLE


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1353

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. MARIE


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ce que la réforme ne s'applique pas aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1389

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. BOURGI


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe Socialiste Écologiste et Républicain vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1419

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. SUEUR


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1452

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. KERROUCHE


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1466

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. STANZIONE


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe Socialiste Écologiste et Républicain vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1483

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme CONWAY-MOURET


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe Socialiste Écologiste et Républicain vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1520

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme Martine FILLEUL


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1557

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme MONIER


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe Socialiste Écologiste et Républicain vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1572

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme CARLOTTI


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe Socialiste Écologiste et Républicain vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 1585

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. TODESCHINI


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.




Objet


Cet amendement du groupe Socialiste Écologiste et Républicain vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1608

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. Joël BIGOT


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1638

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme POUMIROL


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1677

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme BONNEFOY


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1712

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. BOUAD


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1732

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. LECONTE


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1765

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme MEUNIER


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe Socialiste Écologiste et Républicain vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1805

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. JOMIER


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe Socialiste Écologiste et Républicain vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1835

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. KANNER


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1923

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. Patrice JOLY


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe Socialiste Écologiste et Républicain vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1987

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme ROSSIGNOL


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe Socialiste Écologiste et Républicain vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2085

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. JEANSANNETAS


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe Socialiste Écologiste et Républicain vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2275

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme ESPAGNAC


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3602

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4313 rect. bis

7 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéas 100 à 104

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas appliquer la réforme aux fonctionnaires de police.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3603

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 105 à 109

Supprimer ces alinéas.

Objet



Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.




NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4312 rect. bis

7 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéas 105 à 110

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas appliquer la réforme aux sapeurs-pompiers professionnels.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3637

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 105 à 181

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3658

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 105 à 176

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2119

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Tombé

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 7


Alinéa 107

Après le mot :

bonification

insérer les mots :

du cinquième

Objet

Amendement rédactionnel


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3650

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 110 à 140

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3630

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 110 à 123

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3639

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 111 à 181

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3668

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 111 à 144

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3605

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 111 à 120

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4314 rect. bis

7 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 111 à 120

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas appliquer la réforme à la Fonction publique.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3659

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 121 à 176

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3669

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 121 à 144

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 3640

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 121 à 134

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3607

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 124 à 131

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3642

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 124 à 179

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3660

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 124 à 144

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4320 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 130

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement vise à ne pas appliquer la réforme aux pensions civiles et militaires de retraites.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2120

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Tombé

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 7


Alinéa 131

Rédiger ainsi cet alinéa :

2° Les III et IV sont abrogés.

Objet

Amendement de coordination


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3643

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 132 à 178

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3644

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 135 à 174

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3670

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 140 à 173

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2121

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Tombé

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 7


Après l’alinéa 144

Insérer un paragraphe ainsi rédigé :

... – La loi n° 2010-1330 du 9 novembre 2010 portant réforme des retraites est ainsi modifiée :

1° Au premier alinéa du I de l’article 35, les mots : « , au 1° de l’article L. 25 du même code, au 3° de l’article L. 416-1 du code des communes, au premier alinéa de l’article 2 de la loi n° 57-444 du 8 avril 1957 instituant un régime particulier de retraites en faveur des personnels actifs de police, à l’article 4 de la loi n° 89-1007 du 31 décembre 1989 relative au corps des ingénieurs du contrôle de la navigation aérienne et au troisième alinéa du II de l’article 24 de la loi n° 96-452 du 28 mai 1996 portant diverses mesures d’ordre sanitaire, social et statutaire » sont remplacés par les mots : « et au 1° de l’article L. 25 du même code » ;

2° À la seconde phrase du V de l’article 45, les mots : «, des articles L. 416-1 et L. 444-5 du code des communes, » sont remplacés par les mots : » ainsi que » et les mots : » , de l’article 2 de la loi n° 57-444 du 8 avril 1957 précitée, de l’article 4 de la loi n° 89-1007 du 31 décembre 1989 précitée et du II de l’article 24 de la loi n° 96-452 du 28 mai 1996 précitée » sont supprimés.

Objet

Amendement de coordination


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4316 rect. bis

7 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 110

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement vise à ne pas appliquer la réforme à la Fonction publique.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1142

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Retiré

M. MENONVILLE


ARTICLE 7


Après l’alinéa 3

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

...) Le même premier alinéa est complété par les mots : « , excepté pour les femmes assurées sociales ayant eu deux enfants ou plus pour lesquelles l’âge est fixé à soixante-trois ans » ;

Objet

Cet amendement tend à maintenir la possibilité pour les femmes ayant eu au moins deux enfants de faire valoir leur droit à la retraite un an avant l'âge légal soit à 63 ans.

L'équilibre de notre système retraite repose sur l'âge de départ, sur la durée de cotisation et sur le taux de natalité.   






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2633 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


I. - Après l’alinéa 5

Insérer deux alinéas ainsi rédigés : 

...) Il est ajouté un alinéa ainsi rédigé :

« Pour les femmes assurées sociales, l’âge mentionné au premier alinéa est abaissé d’autant de trimestres qu’accordés automatiquement à la mère pour chaque enfant au titre de l’incidence sur la vie professionnelle de la maternité, dans la limite de huit trimestres. Cet âge ne peut, au titre de l’application de la phrase précédente, être inférieur à soixante-deux ans. » ;

II. – Pour compenser la perte de recettes résultant du I, compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

…. – La perte de recettes résultant pour l’État du présent article est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

III. – Pour compenser la perte de recettes résultant du I, compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

…. – La perte de recettes résultant pour les organismes de sécurité sociale du présent article est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

IV. – Pour compenser la perte de recettes résultant du I, compléter cet article par deux paragraphes ainsi rédigés :

…. – La perte de recettes résultant pour les collectivités territoriales du présent article est compensée, à due concurrence, par une majoration de la dotation globale de fonctionnement.

…. – La perte de recettes résultant pour l’État du paragraphe précédent est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

Objet

Avec la réforme portée par le présent projet de loi de finances rectificative de la sécurité sociale, les femmes perdent le bénéfice des trimestres qui leur sont alloués pour chaque enfant au titre de l’incidence sur la vie professionnelle de la maternité. Cet amendement a pour objet de conserver cet avantage acquis et et ne serait pas plus couteux qu'une surcote de 5% prévue par l'amendement n°2127 du rapporteur René Paul-Savary au présent texte. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1961 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Retiré

MM. CHASSEING, GUERRIAU et DECOOL, Mme MÉLOT, MM. LAGOURGUE, GRAND, WATTEBLED, MENONVILLE, Alain MARC et CAPUS, Mme PAOLI-GAGIN, M. LAMÉNIE, Mme THOMAS et MM. CALVET, MILON, LEVI et CHATILLON


ARTICLE 7


Après l’alinéa 5

Insérer deux alinéas ainsi rédigés : 

…) Est ajouté un alinéa ainsi rédigé :

« L’âge mentionné au premier alinéa est abaissé de six mois pour les femmes assurées sociales, pour chacun de leurs enfants, au titre de l’incidence sur la vie professionnelle de la maternité, notamment de la grossesse et de l’accouchement, dans la limite de vingt-quatre mois. Cet âge ne peut, au titre de l’application de la phrase précédente, être inférieur à soixante-deux ans. » ;

Objet

Cet amendement de repli vise à abaisser de six mois par enfant l’âge légal de départ à la retraite des mères, jusqu'à la limite de 62 ans.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2378 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Irrecevable

MM. DECOOL, WATTEBLED, CAPUS, CHASSEING et GUERRIAU, Mmes PAOLI-GAGIN et MÉLOT, M. LAGOURGUE, Mmes PETRUS et DUMONT, M. LEVI et Mme SOLLOGOUB


ARTICLE 7


Après l’alinéa 3

Insérer deux alinéas ainsi rédigés :

…) Après le même premier alinéa, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :

« Pour les assurés dont l’activité professionnelle relève de la convention collective nationale unifiée ports et manutention du 15 avril 2011, l’âge fixé au premier alinéa du présent article dans sa version antérieure à la promulgation de la loi n° du de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 s’applique. » ;

Objet

Les dockers exercent un métier présentant des contraintes physiques marquées, et ce même s'ils recourent à de nombreux engins de levage et de déplacement des charges (portique, chariot élévateur automoteur, etc.). Les opérations conduites avec ces engins peuvent entraîner différents risques : contraintes vertébrales, vibrations, traumatismes par contusions, écrasements, chutes...

De plus, certaines activités de manutention ne peuvent être mécanisées, ce qui les expose à des troubles musculo-squelettiques. Il faut également souligner les conditions de travail en extérieur (chaud et froid, vent) et/ou de nuit qui amplifient la fréquence et les risques physiques auxquels sont exposés les dockers.

Ce métier est également particulièrement dangereux. Une étude réalisée en 2014 par des sociologues et des scientifiques (« Enjeux de santé au travail et cancers : les expositions à supprimer dans les métiers portuaires. Une recherche-action sur le grand port maritime de Nantes-Saint-Nazaire ») avait estimé que près de la moitié des dockers de Nantes-Saint-Nazaire seraient atteints de cancers. Les travaux d'un médecin marseillais ont par ailleurs établi que l'espérance de vie des dockers était de dix ans inférieure à la moyenne des Français.

C’est pourquoi, cet amendement a pour objet de maintenir un âge légal de départ à la retraite fixé à soixante-deux ans pour les assurés dont l’activité professionnelle relève de la convention collective nationale unifiée ports et manutention du 15 avril 2011.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4431 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Après l'alinéa 4

Insérer deux alinéas ainsi rédigés :

...) Après le même deuxième alinéa, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :

«  Pour les fonctionnaires de l’État qui résident en Polynésie française et qui justifient de leurs intérêts matériels et moraux sur ce territoire, l’âge d’ouverture du droit à une pension de retraite est celui prévu au premier alinéa du présent article diminué de deux années. » ;

Objet

L'argument principal du Gouvernement pour justifier l'éloignement de l'âge de départ à la retraite est l'allongement de la durée de vie.

Il convient de se rappeler que sur les territoires non-métropolitains on trouve une espérance de vie à la naissance de six années inférieure à celle de métropole en moyenne. Le présent amendement vise à ce que la réforme puisse en tenir compte.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4769

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 4431 rect. de Mme ASSASSI

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Amendement n° 4431, alinéa 4

Après le mot :

territoire

insérer les mots :

depuis au moins trois mois

Objet

Cet amendement tend à fixer un délai minimal à la prise en compte des critères ouvrant droit au départ à la retraite par les fonctionnaires résidant en Polynésie française, prévus par cet amendement. Il semble préférable de prévoir un délai de 3 mois avant la prise en compte des intérêts ouvrant ce droit.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4774

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 4431 rect. de Mme ASSASSI

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Amendement, n° 4431, alinéa 4

Remplacer les mots :

de deux années

par les mots :

d'une année

Objet

Cet amendement tend à prévoir un délai de départ à la retraite, pour les fonctionnaires de l'Etat résidant en Polynésie française justifiant des intérêts requis,  inférieur à celui prévu par les auteurs de l'amendement. Le sous-amendement se propose de le  diminuer de un an  (et non de deux ans) par rapport au dispositif du projet de loi.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4775

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 4431 rect. de Mme ASSASSI

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Amendement n° 4431, alinéa 4

Remplacer les mots :

de deux années

par les mots : 

de dix-huit mois

Objet

Cet amendement tend à prévoir un délai de départ à la retraite, pour les fonctionnaires de l'Etat résidant en Polynésie française justifiant des intérêts requis,  inférieur à celui prévu par les auteurs de l'amendement. Le sous-amendement se propose de le  diminuer de dix-huit mois (et non de deux ans) par rapport au dispositif du projet de loi.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4767

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 4431 rect. de Mme ASSASSI

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Amendement n ° 4431, alinéa 4

Supprimer les mots :

et moraux

Objet

Ce sous -amendement vise à modifier le critère de prise en compte de départ à la retraite pour les fonctionnaires, résidant en Polynésie française et de ne tenir compte que de leurs intérêts matériels, la notion d' "intérêt moral" étant subjective.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4771

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 4431 rect. de Mme ASSASSI

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Amendement n° 4431 rect., alinéa 4

Après le mot :

territoire

insérer les mots :

depuis au moins cinq mois

Objet

Cet amendement tend à fixer un délai minimal à la prise en compte des critères ouvrant droit au départ à la retraite par les fonctionnaires résidant en Polynésie française, prévus par cet amendement. Il semble préférable de prévoir un délai de 5 mois avant la prise en compte des intérêts ouvrant ce droit.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4772

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 4431 rect. de Mme ASSASSI

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Amendement n° 4431 rect., alinéa 4

Après le mot :

territoire

insérer les mots :

depuis au moins six mois

Objet

Cet amendement tend à fixer un délai minimal à la prise en compte des critères ouvrant droit au départ à la retraite par les fonctionnaires résidant en Polynésie française, prévus par cet amendement. Il semble préférable de prévoir un délai de 6 mois avant la prise en compte des intérêts ouvrant ce droit.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4768

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 4431 rect. de Mme ASSASSI

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Amendement n° 4431, alinéa 4

Supprimer les mots :

matériels et

Objet

Cet amendement vise à modifier le critère s'appliquant à l'âge de départ à la retraite des fonctionnaires résidant en Polynésie française et de tenir seulement compte de leurs intérêts moraux et non de ceux matériels, ces derniers pouvant être appelés à évoluer






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4773

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 4431 rect. de Mme ASSASSI

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Amendement n° 4431 rect., alinéa 4

Remplacer les mots :

deux années

par les mots :

neuf mois

Objet

Cet amendement tend à prévoir un délai de départ à la retraite, pour les fonctionnaires de l'Etat résidant en Polynésie française justifiant des intérêts requis,  inférieur à celui prévu par les auteurs de l'amendement. Le sous-amendement se propose de le  diminuer de neuf mois (et non de deux ans) par rapport au dispositif du projet de loi.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4770

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 4431 rect. de Mme ASSASSI

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Amendement n° 4431, alinéa 4

Après le mot :

territoire

insérer les mots :

depuis au moins quatre mois

 

Objet

Cet amendement tend à fixer un délai minimal à la prise en compte des critères ouvrant droit au départ à la retraite par les fonctionnaires résidant en Polynésie française, prévus par cet amendement. Il semble préférable de prévoir un délai de 4 mois avant la prise en compte des intérêts ouvrant ce droit.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4146 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 8

Supprimer cet alinéa.

Objet

Le présent amendement vise à supprimer l'alinéa portant la durée de cotisation à 169 trimestres dès les générations 1961-1962.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4149 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 9

Supprimer cet alinéa.

Objet

Le présent amendement vise à supprimer l'alinéa portant la durée de cotisation à 170 trimestres dès la génération 1963.

Fondé sur l’idée reçue que vivre plus longtemps implique de travailler plus longtemps, l’allongement du temps de travail est à rebours du progrès social, économique et écologique.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4285 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 10

Supprimer cet alinéa.

Objet

Le présent amendement vise à supprimer l'alinéa portant la durée de cotisation à 171 trimestres dès la génération 1964.

Fondé sur l’idée reçue que vivre plus longtemps implique de travailler plus longtemps, l’allongement du temps de travail est à rebours du progrès social, économique et écologique.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4286 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 11

Supprimer cet alinéa.

Objet

Le présent amendement vise à supprimer l'alinéa portant la durée de cotisation à 172 trimestres dès la génération 1965.

Fondé sur l’idée reçue que vivre plus longtemps implique de travailler plus longtemps, l’allongement du temps de travail est à rebours du progrès social, économique et écologique.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1895 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mme Nathalie DELATTRE, MM. ARTANO, BILHAC et CABANEL, Mme Maryse CARRÈRE, MM. CORBISEZ, GOLD, GUÉRINI et GUIOL, Mme PANTEL et MM. REQUIER et ROUX


ARTICLE 7


Après l’alinéa 11

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

...° Au début de l’article L. 173-7, sont insérés les mots : « À l’exception des versements mentionnés au IV de l’article L. 351-14-1, » ;

Objet

L’article L. 351-14-1 I du code de la sécurité sociale permet à certains assurés, d’effectuer un versement pour la retraite pour compléter, à raison de quatre trimestres, les années civiles qui n’ont pas pu être validées entièrement. La détermination de la valeur du trimestre de versement pour la retraite repose sur le principe de neutralité actuarielle. Ce versement est pris en compte dans le calcul de la pension, soit pour le taux seul soit pour le taux et la durée d’assurance, mais les trimestres ainsi validés ne sont retenus ni pour le début d’activité, ni pour les trimestres cotisés dans le cadre des dispositifs de retraite anticipée pour carrières longues et des retraites anticipées pour les travailleurs handicapés.

L’article 27 de la loi n° 2014-40 du 20 janvier 2014 garantissant l’avenir et la justice du système de retraites a ouvert la possibilité pour certaines catégories d’assurés de bénéficier d’une diminution du coût de leurs versements. Sont notamment concernés les périodes d’apprentissage entre le 1er juillet 1972 et le 31 décembre 2013. Ce versement pour la retraite à tarif réduit a été prévu car les apprentis cotisaient sur une assiette forfaitaire pour les périodes considérées et ne pouvaient se voir valider l’intégralité de leurs trimestres à ce titre.

Afin que ces assurés ne soient pas pénalisés par l’absence de prise en compte de ces versements dans le cadre d’un départ anticipé pour carrières longues ou en tant que travailleur handicapé, l’amendement propose que ces derniers soient désormais pris en compte dans la période cotisée et pour apprécier la condition de début d’activité au titre du dispositif de retraite pour carrières longues.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1909

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

MM. LÉVRIER, IACOVELLI, HASSANI, PATRIAT, BARGETON et BUIS, Mme CAZEBONNE, MM. DAGBERT et DENNEMONT, Mme DURANTON, M. GATTOLIN, Mme HAVET, MM. HAYE, KULIMOETOKE, LEMOYNE, MARCHAND, MOHAMED SOILIHI et PATIENT, Mme PHINERA-HORTH, MM. RAMBAUD, RICHARD et ROHFRITSCH, Mme SCHILLINGER, M. THÉOPHILE

et les membres du groupe Rassemblement des démocrates, progressistes et indépendants


ARTICLE 7


Après l’alinéa 11

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

...° Au début de l’article L. 173-7, sont ajoutés les mots : « À l’exception des versements mentionnés au IV de l’article L. 351-14-1, » ;

Objet

L’article L. 351-14-1 I du code de la sécurité sociale permet à certains assurés, d’effectuer un versement pour la retraite (VPLR) pour compléter, à raison de quatre trimestres, les années civiles qui n’ont pas pu être validées entièrement.

La détermination de la valeur du trimestre de versement pour la retraite repose sur le principe de neutralité actuarielle. Ce versement est pris en compte dans le calcul de la pension, soit pour le taux seul soit pour le taux et la durée d’assurance, mais les trimestres ainsi validés ne sont retenus ni pour le début d’activité, ni pour les trimestres cotisés dans le cadre des dispositifs de retraite anticipée pour carrières longues et des retraites anticipées pour les travailleurs handicapés.



L’article 27 de la loi n° 2014-40 du 20 janvier 2014 garantissant l’avenir et la justice du système de retraites a ouvert la possibilité pour certaines catégories d’assurés, par dérogation au principe de neutralité actuarielle, de bénéficier d’une diminution du coût de leurs versements. Sont notamment concernés les périodes d’apprentissage entre le 1er juillet 1972 et le 31 décembre 2013 (article L. 351-14-1 IV CSS). Ce versement pour la retraite à tarif réduit a été prévu car les apprentis cotisaient sur une assiette forfaitaire pour les périodes considérées et ne pouvaient se voir valider l’intégralité de leurs trimestres à ce titre.



Afin que ces assurés ne soient pas pénalisés par l’absence de prise en compte de ces versements dans le cadre d’un départ anticipé pour carrières longues ou en tant que travailleur handicapé, l’amendement propose que ces derniers soient désormais pris en compte dans la période cotisée et pour apprécier la condition de début d’activité au titre du dispositif de retraite pour carrières longues.







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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3403

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Après l’alinéa 11

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

...° Au début de l’article L. 173-7, sont insérés les mots : « À l’exception des versements mentionnés au IV de l’article L. 351-14-1, » ;

Objet

L’article L. 351-14-1 I du code de la sécurité sociale permet à certains assurés, d’effectuer un versement pour la retraite (VPLR) pour compléter, à raison de quatre trimestres, les années civiles qui n’ont pas pu être validées entièrement. La détermination de la valeur du trimestre de versement pour la retraite repose sur le principe de neutralité actuarielle. Ce versement est pris en compte dans le calcul de la pension, soit pour le taux seul soit pour le taux et la durée d’assurance, mais les trimestres ainsi validés ne sont retenus ni pour le début d’activité, ni pour les trimestres cotisés dans le cadre des dispositifs de retraite anticipée pour carrières longues et des retraites anticipées pour les travailleurs handicapés.

L’article 27 de la loi n° 2014-40 du 20 janvier 2014 garantissant l’avenir et la justice du système de retraites a ouvert la possibilité pour certaines catégories d’assurés, par dérogation au principe de neutralité actuarielle, de bénéficier d’une diminution du coût de leurs versements. Sont notamment concernés les périodes d’apprentissage entre le 1er juillet 1972 et le 31 décembre 2013 (article L. 351-14-1 IV CSS). Ce versement pour la retraite à tarif réduit a été prévu car les apprentis cotisaient sur une assiette forfaitaire pour les périodes considérées et ne pouvaient se voir valider l’intégralité de leurs trimestres à ce titre.

Afin que ces assurés ne soient pas pénalisés par l’absence de prise en compte de ces versements dans le cadre d’un départ anticipé pour carrières longues ou en tant que travailleur handicapé, cet amendement vise à ce que ces derniers soient désormais pris en compte dans la période cotisée et pour apprécier la condition de début d’activité au titre du dispositif de retraite pour carrières longues.

Par cet amendement, les sénateur.rices du groupe écologiste, solidarité et territoires souhaitent atténuer la brutalité de la réforme portée par un gouvernement s’apprêtant à faire peser l’équilibre du système de retraite sur le dos des travailleur.ses, plutôt que sur le capital.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 10 rect. quater

8 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

MM. SAVIN, DAUBRESSE, HUGONET et PELLEVAT, Mme BELRHITI, M. MILON, Mme DUMONT, MM. JOYANDET et BACCI, Mme PUISSAT, M. Cédric VIAL, Mmes DI FOLCO, BERTHET et MICOULEAU, MM. BURGOA, CADEC, PANUNZI et Daniel LAURENT, Mme Marie MERCIER, MM. MANDELLI et CHARON, Mmes JOSEPH et Laure DARCOS, MM. PIEDNOIR et BOUCHET, Mme BOURRAT, M. Bernard FOURNIER, Mme MALET, M. PACCAUD, Mme DEMAS, MM. BRISSON et ROJOUAN, Mmes DREXLER et LASSARADE, MM. CHATILLON et BELIN, Mme BORCHIO FONTIMP et MM. GENET, HUSSON et RAPIN


ARTICLE 7


I. – Après l’alinéa 12

Insérer deux alinéas ainsi rédigés :

...° Le I de l'article L. 351-14-1 est complété par un alinéa ainsi rédigé : :

« ...° Les périodes pendant lesquelles une personne a été inscrite en tant que sportif de haut niveau sur la liste mentionnée au premier alinéa de l’article L. 221-2 du code du sport et qui n’ont pas été prises en compte à un autre titre dans un régime de base. » ;

II. – Après l’alinéa 144

Insérer un paragraphe ainsi rédigé :

.... – La limite du nombre total de trimestres validés prévue au 7° de l’article L. 351-3 du code de la sécurité sociale est augmentée par décret.

Objet

Construire une nation sportive doit permettre d’améliorer la santé et le bien-être de la population. Dans cette perspective, les sportifs de haut niveau constituent des sources d’inspiration, notamment pour les plus jeunes. Ils contribuent également au rayonnement de la France à l’étranger par leur participation aux compétitions de référence. Or, cette activité impose un engagement personnel important susceptible de décaler d’autant l’entrée dans la vie professionnelle.

Afin de compenser cette situation, un dispositif de validation de trimestres financé par le ministère des Sports a été mis en place depuis 2012 pour les sportifs inscrits sur la liste des sportifs de haut niveau prévue au premier alinéa de l’article L. 221-2 du code du sport. Le nombre de trimestres maximal pouvant être ainsi acquis est limité à 16, soit quatre ans, correspondant à une olympiade.

Cet amendement vise à porter ce nombre maximal de validation de trimestres à 32, soit deux olympiades.

Par ailleurs, il ouvre la possibilité aux sportifs de haut niveau de racheter des périodes antérieures à 2012 ou des périodes postérieures à 2012 pour lesquelles l’assuré n’aurait pas été éligible aux dispositions de l’article L. 351-3 du code de la sécurité sociale pour valider des trimestres pour la retraite.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 9 rect. ter

8 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

MM. KERN et LAUGIER, Mme SOLLOGOUB, MM. LEVI et CANÉVET, Mmes HERZOG, BILLON, GUIDEZ, DINDAR et de LA PROVÔTÉ, MM. LONGEOT, DUFFOURG et PRINCE, Mme VÉRIEN, M. Jean-Michel ARNAUD, Mmes RACT-MADOUX et SAINT-PÉ, MM. DÉTRAIGNE et CHAUVET, Mme FÉRAT, M. LE NAY, Mmes DEVÉSA, JACQUEMET et MORIN-DESAILLY et M. MOGA


ARTICLE 7


I. – Après l’alinéa 12

Insérer deux alinéas ainsi rédigés :

...° Le I de l'article L. 351-14-1 est complété par un alinéa ainsi rédigé : :

« ...° Les périodes pendant lesquelles une personne a été inscrite en tant que sportif de haut niveau sur la liste mentionnée au premier alinéa de l’article L. 221-2 du code du sport et qui n’ont pas été prises en compte à un autre titre dans un régime de base. » ;

II. – Après l’alinéa 144

Insérer un paragraphe ainsi rédigé :

.... – La limite du nombre total de trimestres validés prévue au 7° de l’article L. 351-3 du code de la sécurité sociale est augmentée par décret.

Objet

Construire une nation sportive doit permettre d’améliorer la santé et le bien-être de la population.

Dans cette perspective, les sportifs de haut niveau constituent des sources d’inspiration, notamment pour les plus jeunes. Ils contribuent également au rayonnement de la France à l’étranger par leur participation aux compétitions de référence.

Or, cette activité impose un engagement personnel important susceptible de décaler d’autant l’entrée dans la vie professionnelle.

Afin de compenser cette situation, un dispositif de validation de trimestres financé par le ministère des Sports a été mis en place depuis 2012 pour les sportifs inscrits sur la liste des sportifs de haut niveau prévue au premier alinéa de l’article L. 221-2 du code du sport. Le nombre de trimestres maximal pouvant être ainsi acquis est limité à 16, soit quatre ans, correspondant à une olympiade.

Cet amendement vise à porter ce nombre maximal de validation de trimestres à 32, soit deux olympiades.

Par ailleurs, il ouvre la possibilité aux sportifs de haut niveau de racheter des périodes antérieures à 2012 ou des périodes postérieures à 2012 pour lesquelles l’assuré n’aurait pas été éligible aux dispositions de l’article L. 351-3 du code de la sécurité sociale pour valider des trimestres pour la retraite.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 141 rect. bis

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

MM. THÉOPHILE, IACOVELLI, LÉVRIER, HASSANI, PATRIAT, BARGETON et BUIS, Mme CAZEBONNE, MM. DAGBERT et DENNEMONT, Mme DURANTON, M. GATTOLIN, Mme HAVET, MM. HAYE, KULIMOETOKE, LEMOYNE, MARCHAND, MOHAMED SOILIHI et PATIENT, Mme PHINERA-HORTH, MM. RAMBAUD, RICHARD et ROHFRITSCH, Mme SCHILLINGER

et les membres du groupe Rassemblement des démocrates, progressistes et indépendants


ARTICLE 7


I. – Après l’alinéa 12

Insérer deux alinéas ainsi rédigés :

...° Le I de l’article L. 351-14-1 est complété par un alinéa ainsi rédigé :

«...° Les périodes pendant lesquelles une personne a été inscrite en tant que sportif de haut niveau sur la liste mentionnée au premier alinéa de l’article L. 221-2 du code du sport et qui n’ont pas été prises en compte à un autre titre dans un régime de base. »

II. – Après l’alinéa 144

Insérer un paragraphe ainsi rédigé :

.... – La limite du nombre total de trimestres validés prévue au 7° de l’article L. 351-3 du code de la sécurité sociale est augmentée par décret.

Objet

Construire une nation sportive doit permettre d’améliorer la santé et le bien-être de la population. Dans cette perspective, les sportifs de haut niveau constituent des sources d’inspiration, notamment pour les plus jeunes. Ils contribuent également au rayonnement de la France à l’étranger par leur participation aux compétitions de référence. Or, cette activité impose un engagement personnel important susceptible de décaler d’autant l’entrée dans la vie professionnelle.

Afin de compenser cette situation, un dispositif de validation de trimestres financé par le ministère des Sports a été mis en place depuis 2012 pour les sportifs inscrits sur la liste des sportifs de haut niveau prévue au premier alinéa de l’article L. 221-2 du code du sport. Le nombre de trimestres maximal pouvant être ainsi acquis est limité à 16, soit quatre ans, correspondant à une olympiade.

Cet amendement vise à porter ce nombre maximal de validation de trimestres à 32, soit deux olympiades. Par ailleurs, il ouvre la possibilité aux sportifs de haut niveau de racheter des périodes antérieures à 2012 ou des périodes postérieures à 2012 pour lesquelles l’assuré n’aurait pas été éligible aux dispositions de l’article L. 351-3 du code de la sécurité sociale pour valider des trimestres pour la retraite.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2298 rect. quater

8 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mmes BOULAY-ESPÉRONNIER et THOMAS


ARTICLE 7


I.– Après l’alinéa 12

Insérer deux alinéas ainsi rédigés :

...° Le I de l’article L. 351-14-1 est complété par un alinéa ainsi rédigé :

«...° Les périodes pendant lesquelles une personne a été inscrite en tant que sportif de haut niveau sur la liste mentionnée au premier alinéa de l’article L. 221-2 du code du sport et qui n’ont pas été prises en compte à un autre titre dans un régime de base. »

II. – Après l’alinéa 144

Insérer un paragraphe ainsi rédigé :

.... – La limite du nombre total de trimestres validés prévue au 7° de l’article L. 351-3 du code de la sécurité sociale est augmentée par décret.



Objet

Les sportifs de haut niveau ne sont pas seulement les auteurs d’exploits individuels, ils constituent également des forces vives de la Nation et des exemples pour tous leurs concitoyens, y compris et surtout les populations les plus jeunes.

Les manifestations sportives internationales leur donnent également l’occasion de représenter la France au plus haut niveau dans le monde entier.

C’est tout particulièrement le cas dans la perspective des Jeux Olympiques de 2024 qui se dérouleront à Paris, mais aussi dans le prolongement de toutes les manifestations sportives accueillies par la France depuis de nombreuses années.

Or, cette activité́ impose un engagement total de nos sportifs, exclusif de leurs projets professionnels parfois sacrifiés.

C’est d’autant plus le cas compte tenu des blessures qui peuvent écourter leur carrière et compromettre leur insertion professionnelle devenue tardive.

 Afin de compenser cette situation préjudiciable à nos sportifs de haut niveau, un dispositif de validation de trimestres financé par le ministère des Sports a été mis en place depuis 2012 pour les sportifs de haut niveau prévue au premier alinéa de l’article L. 221-2 du code du sport.

Toutefois, le nombre de trimestres maximal pouvant être validé est limité à 16, soit quatre ans seulement.

Cet amendement vise à permettre au pouvoir réglementaire de porter ce nombre maximal de validation de trimestres à 64, soit 16 ans, conformément aux carrières sportives de nos meilleurs compétiteurs.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2475

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

M. DOSSUS, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


I. – Après l’alinéa 12

Insérer deux alinéas ainsi rédigés :

...° Le I de l’article L. 351-14-1 est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« ...° Les périodes pendant lesquelles une personne a été inscrite en tant que sportif de haut niveau sur la liste mentionnée au premier alinéa de l’article L. 221-2 du code du sport et qui n’ont pas été prises en compte à un autre titre dans un régime de base. »

II. – Après l’alinéa 144

Insérer un paragraphe ainsi rédigé :

.... – La limite du nombre total de trimestres validés prévue au 7° de l’article L. 351-3 du code de la sécurité sociale est augmentée par décret.

Objet

Construire une nation sportive doit permettre d’améliorer la santé et le bien-être de la population. Dans cette perspective, les sportifs de haut niveau constituent des sources d’inspiration, notamment pour les plus jeunes. Ils contribuent également au rayonnement de la France à l’étranger par leur participation aux compétitions de référence. Or, cette activité impose un engagement personnel important susceptible de décaler d’autant l’entrée dans la vie professionnelle.

Afin de compenser cette situation, un dispositif de validation de trimestres financé par le ministère des Sports a été mis en place depuis 2012 pour les sportifs inscrits sur la liste des sportifs de haut niveau prévue au premier alinéa de l’article L. 221-2 du code du sport. Le nombre de trimestres maximal pouvant être ainsi acquis est limité à 16, soit quatre ans, correspondant à une olympiade.

Par cet amendement, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires souhaitent atténuer la brutalité de la réforme portée par un gouvernement s’apprêtant à faire peser l’équilibre du système de retraite sur le dos des travailleuses et travailleurs, plutôt que sur le capital.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2922 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

M. KANNER, Mmes LUBIN, CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mmes BLATRIX CONTAT et ASSASSI, M. MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


I. – Après l’alinéa 12

Insérer deux alinéas ainsi rédigés :

…° Le I de l’article L. 351-14-1 est complété par un 3° ainsi rédigé :

« 3° Les périodes pendant lesquelles une personne a été inscrite en tant que sportif de haut niveau sur la liste mentionnée au premier alinéa de l’article L. 221-2 du code du sport et qui n’ont pas été prises en compte à un autre titre dans un régime de base. »

II. – Après l’alinéa 144

Insérer un paragraphe ainsi rédigé :

…. – La limite du nombre total de trimestres validés prévue au 7° de l’article L. 351-3 du code de la sécurité sociale est augmentée par décret.

Objet

L’engagement des sportifs de haut niveau est souvent mis en avant. Ces passionnés contribuent au rayonnement et à l’image de la France à l’international. Cet engagement demande souvent de décaler l’entrée dans la vie professionnelle. Afin de compenser cette situation, un dispositif de validation de trimestres financé par le ministère des Sports a été mis en place depuis 2012 pour les sportifs inscrits sur la liste des sportifs de haut niveau prévue au premier alinéa de l’article L. 221-2 du code du sport. Le nombre de trimestres maximal pouvant être ainsi acquis est limité à 16, soit quatre ans, correspondant à une olympiade.

Cet amendement vise à porter ce nombre maximal de validation de trimestres à 32, soit deux olympiades.

Par ailleurs, il ouvre la possibilité aux sportifs de haut niveau de racheter des périodes antérieures à 2012 ou des périodes postérieures à 2012 pour lesquelles l’assuré n’aurait pas été éligible aux dispositions de l’article L. 351-3 du code de la sécurité sociale pour valider des trimestres pour la retraite.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 77 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mme Nathalie DELATTRE, MM. ARTANO, BILHAC et CABANEL, Mme Maryse CARRÈRE, MM. CORBISEZ, FIALAIRE, GOLD et GUÉRINI, Mme GUILLOTIN, M. GUIOL, Mme PANTEL et MM. REQUIER et ROUX


ARTICLE 7


Après l’alinéa 12

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

...° Au II de l’article L. 351-14-1, les mots : « au délai de présentation de la demande, fixé à dix ans à compter de la fin des études » sont remplacés par les mots : « à l’âge de l’assuré à la date de la demande, qui ne peut être inférieur à trente ans ».

Objet

La loi n°2003-775 du 21 août 2003 portant réforme des retraites a créé un dispositif de rachat à tarif réduit de trimestres au titre des périodes d’études supérieures. Ce dispositif permet aux assurés de valider plus facilement leur durée d’assurance pour atteindre le taux plein, afin d’améliorer leur pension de retraite. Sont éligibles à ce dispositif, les versements pour la retraite qui portent sur une période de formation initiale présentées au plus tard le 31 décembre de la dixième année civile suivant la fin des études auxquelles cette période se rattache et dans la limite de quatre trimestres.

Ce dispositif s’adresse à de jeunes actifs dont tous ne sont pas encore préoccupés par la constitution de leur retraite ou pleinement au fait des possibilités de rachat.

Aussi, cet amendement propose d’assouplir les conditions d’accès au rachat au titre des études supérieures en permettant que les trimestres puissent faire l’objet d’un rachat jusqu’à un âge qui sera fixé par décret, sans qu’il ne soit inférieur à 30 ans.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1914

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

MM. IACOVELLI, LÉVRIER, HASSANI, PATRIAT, BARGETON et BUIS, Mme CAZEBONNE, MM. DAGBERT et DENNEMONT, Mme DURANTON, M. GATTOLIN, Mme HAVET, MM. HAYE, KULIMOETOKE, LEMOYNE, MARCHAND, MOHAMED SOILIHI et PATIENT, Mme PHINERA-HORTH, MM. RAMBAUD, RICHARD et ROHFRITSCH, Mme SCHILLINGER, M. THÉOPHILE

et les membres du groupe Rassemblement des démocrates, progressistes et indépendants


ARTICLE 7


Après l’alinéa 12

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

...° Au II de l’article L. 351-14-1, les mots : « au délai de présentation de la demande, fixé à dix ans à compter de la fin des études» sont remplacés par les mots : « à l’âge de l’assuré à la date de la demande, qui ne peut être inférieur à trente ans ».

Objet

La loi n°2003-775 du 21 août 2003 portant réforme des retraites a créé un dispositif de rachat à tarif réduit de trimestres au titre des périodes d’études supérieures.

Ce dispositif permet aux assurés de valider plus facilement leur durée d’assurance pour atteindre le taux plein, afin d’améliorer leur pension de retraite.

Sont éligibles à ce dispositif, les versements pour la retraite qui portent sur une période de formation initiale présentées au plus tard le 31 décembre de la dixième année civile suivant la fin des études auxquelles cette période se rattache et dans la limite de quatre trimestres.

Ce dispositif s’adresse à de jeunes actifs dont tous ne sont pas encore préoccupés par la constitution de leur retraite ou pleinement au fait des possibilités de rachat. Cet amendement propose ainsi d’assouplir les conditions d’accès au rachat au titre des études supérieures en permettant que les trimestres puissent faire l’objet d’un rachat jusqu’à un âge qui sera fixé par décret, sans qu’il ne soit inférieur à 30 ans.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2021

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

M. VANLERENBERGHE

et les membres du groupe Union Centriste


ARTICLE 7


Après l’alinéa 12

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

...° Au II de l’article L. 351-14-1, les mots : « au délai de présentation de la demande, fixé à dix ans à compter de la fin des études » sont remplacés par les mots : « à l’âge de l’assuré à la date de la demande, qui ne peut être inférieur à trente ans ».

Objet

La loi n°2003-775 du 21 août 2003 portant réforme des retraites a créé un dispositif de rachat à tarif réduit de trimestres au titre des périodes d’études supérieures. Ce dispositif permet aux assurés de valider plus facilement leur durée d’assurance pour atteindre le taux plein, afin d’améliorer leur pension de retraite. Sont éligibles à ce dispositif, les versements pour la retraite qui portent sur une période de formation initiale présentées au plus tard le 31 décembre de la dixième année civile suivant la fin des études auxquelles cette période se rattache et dans la limite de quatre trimestres.

Ce dispositif s’adresse à de jeunes actifs dont tous ne sont pas encore préoccupés par la constitution de leur retraite ou pleinement au fait des possibilités de rachat. Cet amendement propose ainsi d’assouplir les conditions d’accès au rachat au titre des études supérieures en permettant que les trimestres puissent faire l’objet d’un rachat jusqu’à un âge qui sera fixé par décret, sans qu’il ne soit inférieur à 30 ans.

La recevabilité financière de cet amendement est couverte par un amendement déposé par le gouvernement à l'assemblée nationale.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3404

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéa 12

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

...° Au II de l’article L. 351-14-1, les mots : « au délai de présentation de la demande, fixé à dix ans à compter de la fin des études » sont remplacés par les mots : « à l’âge de l’assuré à la date de la demande, qui ne peut être inférieur à trente ans ».

Objet

La loi n° 2003-775 du 21 août 2003 portant réforme des retraites a créé un dispositif de rachat à tarif réduit de trimestres au titre des périodes d’études supérieures. Ce dispositif permet aux assurés de valider plus facilement leur durée d’assurance pour atteindre le taux plein, afin d’améliorer leur pension de retraite. Sont éligibles à ce dispositif, les versements pour la retraite qui portent sur une période de formation initiale présentés au plus tard le 31 décembre de la dixième année civile suivant la fin des études auxquelles cette période se rattache et dans la limite de quatre trimestres.

Ce dispositif s’adresse à de jeunes actifs dont tous ne sont pas encore préoccupés par la constitution de leur retraite ou pleinement au fait des possibilités de rachat. Cet amendement propose ainsi d’assouplir les conditions d’accès au rachat au titre des études supérieures en permettant que les trimestres puissent faire l’objet d’un rachat jusqu’à un âge qui sera fixé par décret, sans qu’il ne soit inférieur à 30 ans.

Par cet amendement, les sénateur.rices du groupe écologiste, solidarité et territoires souhaitent atténuer la brutalité de la réforme portée par un gouvernement s’apprêtant à faire peser l’équilibre du système de retraite sur le dos des travailleur.ses, plutôt que sur le capital.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2986 rect. bis

6 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Tombé

M. CARDON, Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER, ROSSIGNOL et BLATRIX CONTAT, MM. BOURGI et CHANTREL, Mme CONWAY-MOURET, MM. DURAIN et LECONTE, Mme MONIER, MM. TEMAL, TISSOT, LUREL, FÉRAUD et MARIE, Mme de LA GONTRIE, MM. RAYNAL et STANZIONE, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN, ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mme VAN HEGHE, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


I. - Après l'alinéa 12

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

...° Au II de l'article L. 351-14-1, le mot : « dix » est remplacé par le mot : « quinze ».

II. - Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

.... - La perte de recettes résultant pour les organismes de sécurité sociale du I est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

Objet

Cet amendement du Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain vise à étendre la durée durant laquelle les étudiants et anciens étudiants peuvent effectuer une demande de rachat de leurs trimestres d'études supérieures à un tarif réduit.
Actuellement fixée à 10 ans après la fin des études, la durée actuelle ne coïncide pas avec les capacités financières des jeunes salariés qui entrent dans la vie active et qui doivent composer avec d'importantes dépenses dans l'installation de leur vie professionnelle et personnelle.
C'est pourquoi, il est ici proposé de porter ce délai à 15 ans, pour permettre aux anciens étudiants de racheter leurs trimestres, plus tardivement dans leur parcours de vie.



NB :La rectification consiste en un changement de place. (d'un article additionnel après l'article 11 à un amendement à l'article 7)
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 83 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mme Nathalie DELATTRE, MM. ARTANO, BILHAC et CABANEL, Mme Maryse CARRÈRE, MM. CORBISEZ, GOLD, GUÉRINI et GUIOL, Mme PANTEL et MM. REQUIER et ROUX


ARTICLE 7


Après l’alinéa 12

Insérer deux alinéas ainsi rédigés :

...° Le 1° de l’article L. 351-17 est ainsi rédigé :

« 1° L’âge jusqu’auquel l’assuré peut présenter une demande, qui ne peut être inférieur à 25 ans ; »

Objet

La loi Touraine de 2014 prévoit la possibilité pour les étudiants de demander la prise en compte, par le régime général, des périodes de stage en entreprise, dans la limite de deux trimestres au maximum, sous réserve de versement de cotisations, à un tarif préférentiel fixé à 12 % de la valeur mensuelle du plafond de sécurité sociale en vigueur au 1er janvier de l’année au cours de laquelle la demande est effectuée.

Ce dispositif permet aux assurés de rallonger leur durée d’assurance et, dans certains cas, d’atteindre le taux plein, afin d’améliorer leur niveau de vie à la retraite. Toutefois, la demande de rachat doit être effectuée dans un délai de deux ans maximum après le stage. Le dispositif de rachat des périodes de stage à tarif préférentiel souffre néanmoins de la méconnaissance du public à son sujet.

Aussi, il est proposé d'assouplir les conditions d’accès au tarif préférentiel de rachats de trimestres de stage en permettant le rachat jusqu’à un âge qui sera défini par décret, sans pouvoir être inférieur à 25 ans.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1911

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

MM. IACOVELLI, LÉVRIER, HASSANI, PATRIAT, BARGETON et BUIS, Mme CAZEBONNE, MM. DAGBERT et DENNEMONT, Mme DURANTON, M. GATTOLIN, Mme HAVET, MM. HAYE, KULIMOETOKE, LEMOYNE, MARCHAND, MOHAMED SOILIHI et PATIENT, Mme PHINERA-HORTH, MM. RAMBAUD, RICHARD et ROHFRITSCH, Mme SCHILLINGER, M. THÉOPHILE

et les membres du groupe Rassemblement des démocrates, progressistes et indépendants


ARTICLE 7


Après l’alinéa 12

Insérer deux alinéas ainsi rédigés :

...° Le 1° de l’article L. 351-17 est ainsi rédigé :

« 1° L’âge jusqu’auquel l’assuré peut présenter une demande, qui ne peut être inférieur à 25 ans ; ».

Objet

La loi n° 2014-40 du 20 janvier 2014 garantissant l’avenir et la justice du système de retraites prévoit la possibilité pour les étudiants de demander la prise en compte, par le régime général, des périodes de stage en entreprise, dans la limite de deux trimestres au maximum, sous réserve de versement de cotisations.

Le montant du versement des cotisations, pour chaque trimestre, s’effectue à un tarif préférentiel et est fixé à 12 % de la valeur mensuelle du plafond de sécurité sociale en vigueur au 1er janvier de l’année au cours de laquelle la demande est effectuée, soit environ 440 € en 2023. Ce dispositif permet aux assurés de rallonger leur durée d’assurance et, dans certains cas, d’atteindre le taux plein, afin d’améliorer leur niveau de vie à la retraite.

Toutefois, la demande de rachat doit être effectuée dans un délai de deux ans maximum après le stage. Le dispositif de rachat des périodes de stage à tarif préférentiel souffre néanmoins de la méconnaissance du public à son sujet.

En l’état, il s’adresse à des étudiants ou de jeunes actifs qui ne sont pas pleinement au fait des possibilités de rachat que le droit prévoit et qui n’ont pas nécessairement la faculté de racheter ces périodes de stage au début de leur carrière.

 En assouplissant les conditions d’accès au tarif préférentiel de rachats de trimestres de stage, cet amendement porte l’ambition de démocratiser l’usage de ce dispositif. Désormais, les personnes concernées pourront racheter des trimestres de stage à tarif préférentiel, jusqu’à un âge qui sera défini par décret, sans pouvoir être inférieur à 25 ans.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3405

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Après l’alinéa 12

Insérer deux alinéas ainsi rédigés :

...° Le 1° de l’article L. 351-17 est ainsi rédigé :

« 1° L’âge jusqu’auquel l’assuré peut présenter une demande, qui ne peut être inférieur à 25 ans ; ».

Objet

La loi n° 2014-40 du 20 janvier 2014 garantissant l’avenir et la justice du système de retraites a prévu la possibilité pour les étudiants de demander le rachat des périodes de stage en entreprise, dans la limite de deux trimestres. Le montant du versement des cotisations pour racheter un trimestre est fixé à 12 % de la valeur mensuelle du plafond de sécurité sociale en vigueur lorsque la demande est effectuée (environ 440 € en 2023). Ce dispositif permet de valider plus facilement la durée d’assurance requise pour le taux plein et d’améliorer ainsi le niveau de la pension.

Toutefois, la demande de rachat doit aujourd’hui être effectuée dans un délai de deux ans maximum après le stage. En l’état, c’est un dispositif méconnu et qui s’adresse à de jeunes actifs qui ne sont pas pleinement en capacité de racheter ces périodes de stage en début de carrière.

Le présent amendement propose d’assouplir les conditions d’accès au tarif préférentiel de rachat de trimestres de stage. Désormais, les personnes concernées pourraient racheter des trimestres de stage à tarif préférentiel, jusqu’à un âge qui sera défini par décret, sans pouvoir être inférieur à 25 ans. Afin de lutter contre le non recours, une information sera faite aux stagiaires via la convention de stage type.

Par cet amendement, les sénateur.rices du groupe écologiste, solidarité et territoires souhaitent atténuer la brutalité de la réforme portée par un gouvernement s’apprêtant à faire peser l’équilibre du système de retraite sur le dos des travailleur.ses, plutôt que sur le capital.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3595

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 13 à 15

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4290 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéas 13 à 15

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à refuser la suppression du régime spécial de l'insalubrité pour les égoutiers.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4293 rect. bis

7 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéas 18 à 20

Supprimer ces alinéas.

Objet

Par cet amendement de repli, nous souhaitons maintenir le système de bonifications maximum pour tous les militaires qui quittent le service à cinquante-neuf ans.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4287 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 19

Supprimer cet alinéa.

Objet

Le présent amendement vise à refuser la limitation du cumul des bonifications à hauteur de 20 trimestres et à la suppression du maximum de bonifications pour les militaires quittant le service à 59 ans.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4294 rect. bis

7 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéas 21 et 22

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement de repli vise à supprimer le plafonnement du cumul de l'ensemble des bonifications à 20 trimestres. 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4295 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 24

Supprimer cet alinéa.

Objet

Par cet amendement de repli, nous proposons que le texte conserve la durée de cotisation mentionnée à l'article L13 du code des pensions civiles et militaires, soit 160 trimestres.

Nous refusons que cette dernière soit augmentée de douze trimestres pour la génération 1965.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4298 rect. bis

7 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Demande de retrait
Retiré

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 36

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement vise à ne pas refuser la suppression des conditions spécifiques permettant d’avancer l’annulation de la décote avant l’âge légal de départ du grade pour tous les militaires dont la limite d'âge est supérieure ou égale à cinquante-sept ans.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4299 rect. bis

7 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 37

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement vise à refuser le rehaussement de l’âge de départ à la retraite de 62 ans à 64 ans pour tous les fonctionnaires civils du ministère des armées.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4302 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéas 40 à 43

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à refuser le rehaussement de l’âge de départ à la retraite de 57 à 59 ans pour les fonctionnaires civils ayant servi auparavant dans l’armée d’active.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2973 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Alinéa 51

Supprimer cet alinéa.

Objet

Les cosignataires de cet amendement s’opposent à l’ensemble de cette réforme et à sa mesure de recul de l’âge de départ légal à la retraite de 62 à 64 ans.
 
Ce recul de deux ans s’appliquera également aux fonctionnaires appartenant aux catégories dites « actives » et « super actives ». Pour rappel, ces deux catégories existent depuis 1949 et nécessitent 17 à 20 ans de service pour que certains fonctionnaires puissent en bénéficier.
 
Ces catégories ne s’appliquent qu’aux seuls agents de la fonction publique exerçant des missions qui présentent « un risque particulier ou des fatigues exceptionnelles » afin de bénéficier d’un départ en retraite anticipé. Ces emplois publics concernent particulièrement les agents de la pénitentiaire, les agents de la fonction publique hospitalière, les agents de police ou encore les sapeurs-pompiers.
 
L’allongement de leur carrière de deux années supplémentaires constitue un recul social terrible pour ces femmes et ces hommes dont les métiers sont unanimement reconnus comme particulièrement difficiles et entrainent une fatigue accrue justifiant pleinement d’un départ anticipé.
 
Avec cette réforme, certes, ces agents pourraient partir en retraite plus tôt que les autres fonctionnaires n’appartenant pas aux catégories dites « actives » ou « super-actives » mais ils devront tout de même travailler deux années de plus à des taches pénibles et usantes après une carrière déjà bien longue.
 
Ainsi, ce sont 700 000 personnes qui seront touchées par cette mesure injuste si celle-ci était adoptée en l’état.
 
C’est un nouveau coup dur porté à ces fonctionnaires après celui de 2011 et la réforme Woerth qui a décalé l’âge de départ en retraite anticipée de 55 à 57 ans. Pour les catégories dites « super-actives », l’âge de départ légal sera repoussé de 50 à 52 ans alors que la pénibilité de leurs missions ne faiblit pas.
 
C’est pourquoi les auteurs de cet amendement souhaitent la suppression de cet alinéa.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4303 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéas 61 à 63

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement de repli vise à remettre en cause l'accroissement de l'âge légal de départ à la retraite de 52 à 54 ans pour les officiers de carrières, les sous-officiers et les non-officiers.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 248

24 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

M. PACCAUD


ARTICLE 7


Après l’alinéa 63

Insérer un paragraphe ainsi rédigé :

.... – L’article L. 921-4 du code de l’éducation est abrogé.

Objet

Il s'agit d'un amendement de repli au cas où la réécriture de l'article L. 921-4 du code de l'éducation ne serait pas acceptée.

Cet amendement vise à s'assurer que la règle interdisant aux enseignants du premier degré de partir en retraite en cours d'année scolaire soit supprimée.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1910

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

MM. LÉVRIER, IACOVELLI, HASSANI, PATRIAT, BARGETON et BUIS, Mme CAZEBONNE, MM. DAGBERT et DENNEMONT, Mme DURANTON, M. GATTOLIN, Mme HAVET, MM. HAYE, KULIMOETOKE, LEMOYNE, MARCHAND, MOHAMED SOILIHI et PATIENT, Mme PHINERA-HORTH, MM. RAMBAUD, RICHARD et ROHFRITSCH, Mme SCHILLINGER, M. THÉOPHILE

et les membres du groupe Rassemblement des démocrates, progressistes et indépendants


ARTICLE 7


Après l’alinéa 63

Insérer un paragraphe ainsi rédigé :

.... - L’article L. 921-4 du code de l’éducation est abrogé.

Objet

Cet amendement vise à supprimer la disposition qui oblige les enseignants du 1er degré à se maintenir en activité jusqu’à la fin de l’année scolaire lorsqu’ils ont atteint, au cours de cette même année, les conditions de départ en retraite.



Cette spécificité ne s’applique pas aux enseignants du second degré et constitue à ce titre une inégalité de traitement, régulièrement dénoncées.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2954 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mmes MONIER et LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER, ROSSIGNOL et BLATRIX CONTAT, MM. BOURGI, CARDON et CHANTREL, Mme CONWAY-MOURET, MM. DURAIN, LECONTE, TEMAL, TISSOT, LUREL, FÉRAUD et MARIE, Mme de LA GONTRIE, MM. RAYNAL et STANZIONE, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN, ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mme VAN HEGHE, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 7


Après l’alinéa 63

Insérer un paragraphe ainsi rédigé :

.... – L’article L. 921-4 du code de l’éducation est abrogé.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l'article L921-4 du code de l'éducation, qui contraint les enseignants du premier degré à se maintenir en activité jusqu’à la fin de l’année scolaire lorsqu’ils ont atteint, au cours de cette même année, les conditions de départ en retraite, une disposition qui ne s'applique pas aux enseignants du second degré.

Il vise ainsi à rétablir l'égalité de traitement entre les enseignants du premier degré et l'ensemble des autres personnels de l’Éducation nationale.
 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3747

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

M. FERNIQUE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Après l’alinéa 63

Insérer un paragraphe ainsi rédigé :

.... – L’article L. 921-4 du code de l’éducation est abrogé.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’article L. 921-4 du code de l’éducation qui prévoit que « les personnels enseignants appartenant aux corps des instituteurs et des professeurs des écoles qui remplissent, en cours d'année scolaire, les conditions d'âge pour obtenir la jouissance immédiate de leur pension sont maintenus en activité jusqu'à la fin de l'année scolaire ».

En effet, ce sont les seuls actifs à ne pas pouvoir choisir leur date de départ en retraite. Bien qu’il soit essentiel d’assurer de la stabilité et un suivi annuel du corps enseignant auprès des élèves, un changement d’enseignant en cours d’année, s’il est anticipé, ne semble pas être source d’instabilité et à l’origine des fragilités auxquelles les écoles sont soumises aujourd’hui. 

Il semble donc cohérent de proposer de rétablir une certaine équité entre les enseignants du 1er degré et tous les autres personnels de l’Éducation nationale.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4233 rect. bis

7 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Après l’alinéa 67

Insérer un paragraphe ainsi rédigé :

.... – L’article L.921-4 du code de l’éducation est abrogé.

Objet

Cet amendement vise à permettre aux enseignants du premier degré de pouvoir partir en retraite en cours d’année.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3627

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 64 et 65

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3597

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéa 64

Supprimer cet alinéa.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4304 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 64

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement vise à ne pas appliquer la réforme aux assuré·es du régime agricole.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3598

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéa 65

Supprimer cet alinéa.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3599

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 66 à 67

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4305 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéas 66 et 67

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à refuser la possibilité pour les enseignants, du premier et du second degré, les personnels d’inspection ainsi que les maitres contractuels de rester en fonction jusqu’à la fin de l’année scolaire selon les besoins du service.

Cette disposition porte atteinte aux droits à la retraite des enseignants et masque l’incapacité du gouvernement à répondre à la crise de recrutement dans le secteur de l’éducation et la nécessaire revalorisation de leurs métiers, de leurs salaires, et de leurs droits à la retraite.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4309 rect. bis

7 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéas 75 à 78

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement s'oppose à l'application de la réforme aux agents de la fonction publique, du décalage de l'âge légal de départ à la retraite pour les catégories actives et super actives et des mesures liées aux limites d'âge.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 84 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mme Nathalie DELATTRE, MM. GOLD, ARTANO, BILHAC et CABANEL, Mme Maryse CARRÈRE, MM. CORBISEZ, GUÉRINI et GUIOL, Mme PANTEL et MM. REQUIER et ROUX


ARTICLE 7


I. – Après l’alinéa 83

Insérer deux alinéas ainsi rédigés :

...° Après l’article L. 556-8, il est inséré un article L. 556-8-... ainsi rédigé :

« Art. L. 556-8-.... – La limite d’âge des fonctionnaires appartenant à l’un des cadres d’emplois de sapeurs-pompiers professionnels est fixée à soixante-deux ans. » ;

II. – Après l’alinéa 87

Insérer quatre alinéas ainsi rédigés :

5° La section 3 du chapitre VI du titre II du livre VIII est ainsi modifiée :

a) Au 3° de l’article L. 826-13, après le mot : « opérationnelle, » sont insérés les mots : « à partir de l’âge de droit au départ anticipé fixé au troisième alinéa de l’article L. 24 du code des pensions civiles et militaires de retraite diminué de cinq années, » ;

b) La sous-section 4 est complétée par un article L. 826-... ainsi rédigé :

« Art. L. 826-.... – Un décret en Conseil d’État fixe les modalités d’application de la présente section. »

III. – Alinéa 107

a) Remplacer les mots :

sapeurs-pompiers professionnels, y compris pour la durée de services accomplis sur

par les mots :

fonctionnaires occupant ou ayant occupé des emplois de sapeurs-pompiers professionnels de tous grades, y compris

b) Supprimer les mots :

de tous grades

et les mots :

à compter de l’âge de cinquante-sept ans et

IV. – Alinéa 108

Après le mot :

accordé

insérer les mots :

, sans condition de durée de service,

Objet

Cet amendement, en cohérence avec la codification des limites d’âge applicables aux fonctionnaires des catégories actives, propose d'intégrer au code général de la fonction publique la limite d’âge applicable aux sapeurs-pompiers professionnels.

Il tire également les conséquences des modifications des âges de départ aux mesures de fins de carrière des sapeurs-pompiers professionnels en décalant l’âge à partir duquel le congé pour raison opérationnelle sur la base de l’âge de départ anticipé, afin de respecter la durée maximale de 5 années de ce congé.

Enfin, en cohérence avec l’extension du bénéfice de l’âge de départ anticipé lorsque le fonctionnaire n’est plus en catégorie active et les mesures prévues pour les autres corps et cadres d’emplois concernés, il vise à étendre ce principe de portabilité à la bonification de services aux sapeurs-pompiers professionnels et expliciter l’absence de conditions de durée de service pour les personnels radiés des cadres pour invalidité imputable au service.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2606 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

MM. CAPUS, GRAND, GUERRIAU, MÉDEVIELLE, VERZELEN, CHASSEING, DECOOL et LAGOURGUE, Mmes MÉLOT et PAOLI-GAGIN et MM. WATTEBLED et MENONVILLE


ARTICLE 7


I. – Après l’alinéa 83

Insérer deux alinéas ainsi rédigés :

...° Après l’article L. 556-8, il est inséré un article L. 556-8-... ainsi rédigé :

« Art. L. 556-8-.... – La limite d’âge des fonctionnaires appartenant à l’un des cadres d’emplois de sapeurs-pompiers professionnels est fixée à soixante-deux ans. » ;

II. – Après l’alinéa 87

Insérer quatre alinéas ainsi rédigés :

5° La section 3 du chapitre VI du titre II du livre VIII est ainsi modifiée :

a) Au 3° de l’article L. 826-13, après le mot : « opérationnelle, » sont insérés les mots : « à partir de l’âge de droit au départ anticipé fixé au troisième alinéa de l’article L. 24 du code des pensions civiles et militaires de retraite diminué de cinq années, » ;

b) La sous-section 4 est complétée par un article L. 826-... ainsi rédigé :

« Art. L. 826-.... – Un décret en Conseil d’État fixe les modalités d’application de la présente section. »

III. – Alinéa 107

a) Remplacer les mots :

sapeurs-pompiers professionnels, y compris pour la durée de services accomplis sur

par les mots :

fonctionnaires occupant ou ayant occupé des emplois de sapeurs-pompiers professionnels de tous grades, y compris

b) Supprimer les mots :

de tous grades

et les mots :

à compter de l’âge de cinquante-sept ans et

IV. – Alinéa 108

Après le mot :

accordé

insérer les mots :

, sans condition de durée de service,

Objet

Le présent amendement, en cohérence avec la codification des limites d’âge applicables aux fonctionnaires des catégories actives, vient intégrer au code général de la fonction publique la limite d’âge applicable aux sapeurs-pompiers professionnels.
 
Cet amendement vient également tirer les conséquences des modifications des âges de départ aux mesures de fins de carrière des sapeurs-pompiers professionnels en décalant l’âge à partir duquel le congé pour raison opérationnelle sur la base de l’âge de départ anticipé, afin de respecter la durée maximale de 5 années de ce congé.
 
Enfin, il vient, en cohérence avec l’extension du bénéfice de l’âge de départ anticipé lorsque le fonctionnaire n’est plus en catégorie active et les mesures prévues pour les autres corps et cadres d’emplois concernés, étendre ce principe de portabilité à la bonification de services aux sapeurs-pompiers professionnels et expliciter l’absence de conditions de durée de service pour les personnels radiés des cadres pour invalidité imputable au service.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4400 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


I. – Après l’alinéa 83

Insérer deux alinéas ainsi rédigés :

...° Après le même article L. 556-8, il est inséré un article L. 556-8-1 ainsi rédigé :

« Art. L. 556-8-1. – La limite d’âge des fonctionnaires appartenant à l’un des cadres d’emplois de sapeurs-pompiers professionnels est fixée à soixante-deux ans. » ;

II. – Après l’alinéa 87

Insérer quatre alinéas ainsi rédigés :

...° La section 3 du chapitre VI du titre II du livre VIII est ainsi modifiée :

a) Au 3° de l’article L. 826-13, après le mot : « opérationnelle, » sont insérés les mots : « à partir de l’âge de droit au départ anticipé fixé au troisième alinéa de l’article L. 24 du code des pensions civiles et militaires de retraite diminué de cinq années, » ;

b) La sous-section 4 est complétée par un article L. 826-30 ainsi rédigé :

« Art. L. 826-30. – Un décret en Conseil d’État fixe les modalités d’application de la présente section. »

III. – Alinéa 107

1° Remplacer les mots :

sapeurs-pompiers professionnels, y compris pour la durée de services accomplis sur

par les mots :

fonctionnaires occupant ou ayant occupé des emplois de sapeurs-pompiers professionnels de tous grades, y compris

2° Supprimer les mots :

de tous grades

et les mots :

à compter de l’âge de cinquante-sept ans et

IV. – Alinéa 108

Après le mot :

accordé

Insérer les mots :

, sans condition de durée de service,

Objet

Cet amendement vise à intégrer les sapeurs-pompiers professionnels dans la catégorie active.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4646 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mme SCHILLINGER, MM. MOHAMED SOILIHI et MARCHAND, Mme HAVET, M. HAYE, Mme DURANTON et MM. BUIS, RAMBAUD et HASSANI


ARTICLE 7


I. – Après l’alinéa 83

Insérer deux alinéas ainsi rédigés :

…° Après l’article L. 556-8, il est inséré un article L. 556-8-… ainsi rédigé :

« Art. L. 556-8-... – La limite d’âge des fonctionnaires appartenant à l’un des cadres d’emplois de sapeurs-pompiers professionnels est fixée à soixante-deux ans. » ;

II. – Après l’alinéa 87

Insérer quatre alinéas ainsi rédigés :

5° La section 3 du chapitre VI du titre II du livre VIII est ainsi modifiée :

a) Au 3° de l’article L. 826-13, après le mot : « opérationnelle, », sont insérés les mots : « à partir de l’âge de droit au départ anticipé fixé au troisième alinéa de l’article L. 24 du code des pensions civiles et militaires de retraite diminué de cinq années, » ; 

b) La sous-section 4 est complétée par un article L. 826-… ainsi rédigé :

« Art. L. 826-... – Un décret en Conseil d’État fixe les modalités d’application de la présente section. »

III. – Alinéa 107

1° Remplacer les mots :

sapeurs-pompiers professionnels, y compris pour la durée de services accomplis sur

par les mots :

fonctionnaires occupant ou ayant occupé des emplois de sapeurs-pompiers professionnels de tous grades, y compris

2° Supprimer les mots :

de tous grades

et les mots :

à compter de l’âge de cinquante-sept ans et

IV. – Alinéa 108

Après le mot :

accordé

insérer les mots :

, sans conditions de durée de service,

 

Objet

Le présent amendement, en cohérence avec la codification des limites d’âge applicables aux fonctionnaires des catégories actives, vient intégrer au code général de la fonction publique la limite d’âge applicable aux sapeurs-pompiers professionnels.

Cet amendement vient également tirer les conséquences des modifications des âges de départ aux mesures de fins de carrière des sapeurs-pompiers professionnels en décalant l’âge à partir duquel le congé pour raison opérationnelle sur la base de l’âge de départ anticipé, afin de respecter la durée maximale de 5 années de ce congé.

Enfin, il vient, en cohérence avec l’extension du bénéfice de l’âge de départ anticipé lorsque le fonctionnaire n’est plus en catégorie active et les mesures prévues pour les autres corps et cadres d’emplois concernés, étendre ce principe de portabilité à la bonification de services aux sapeurs-pompiers professionnels et expliciter l’absence de conditions de durée de service pour les personnels radiés des cadres pour invalidité imputable au service.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3604

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéa 110

Supprimer cet alinéa.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3606

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 121 à 123

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4315 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéas 121 à 123

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas appliquer la réforme aux contrôleurs aériens.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3608

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 132 à 134

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4317 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéa 133

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement vise à ne pas appliquer la réforme à la fonction publique hospitalière.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4318 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Alinéas 135 à 139

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à ne pas augmenter le nombre de trimestres cotisés dus pour les fonctionnaires en catégorie active.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3609

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéa 140

Supprimer cet alinéa.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3610

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 141 à 144

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3612

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéas 174 à 176

Supprimer ces alinéas.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3614

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéa 178

Supprimer cet alinéa.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3615

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G Demande de retrait
Retiré

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéa 179

Supprimer cet alinéa.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3617

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 7


Alinéa 181

Supprimer cet alinéa.

Objet

Mesure la plus impactante pour la vie de nos concitoyen.nes, l’article 7 prévoit le report de deux ans de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite - soit de 62 à 64 ans - pour les salarié.es du secteur privé comme de la fonction publique, y compris pour les catégories actives, ainsi que l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisations.

Une meilleure répartition des richesses et l’amélioration des conditions de travail devraient être au centre du débat. Au lieu de ça, ce texte fait payer le prix fort aux travailleur.ses. Et ce, sans renforcer le système de cotisations sociales alors que nous devrions notamment débattre de comment les étendre aux revenus du capital.

Ainsi, alors que les milliardaires français ont gagné près de 220 milliards d’euros entre mars 2020 et mars 2021 et que parmi eux cinq sur six sont encore plus riches aujourd’hui qu’avant le début de la crise économique et sociale due à la pandémie de Covid-19, ce texte ne propose qu’un horizon délétère pour nos concitoyen.nes.

« Travaillez plus. Travaillez plus longtemps. À défaut vos pensions de retraite diminueront encore plus » tel est l’objet de cet article, présenté comme unique solution.

Or, il existe des alternatives socialement et écologiquement justes pour renforcer notre système de retraite, le refonder et changer le travail pour qu’il soit émancipateur : rétablissement à 60 ans de l’âge légal d’ouverture des droits à taux plein, élargissement de l’assiette des cotisations aux dividendes, augmentation des salaires, réductions des inégalités de salaires entre les femmes et les hommes, semaine de 32 heures sur 4 jours, supprimer la décote sur les pensions …

Pour renforcer les droits des travailleur.ses et financer les retraites, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour un autre projet de société.

Pour toutes ces raisons et tant d’autres, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste, solidarité et territoires défendent par cet amendement la suppression de cet article antisocial.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4322 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Irrecevable

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 7


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

..... – Le présent article ne s’applique pas aux fonctionnaires de l’État qui souffrent d’une maladie radio-induite résultant d’une exposition à des rayonnements ionisants dus aux essais nucléaires français au sens de la loi n° 2010-2 du 5 janvier 2010 relative à la reconnaissance et à l’indemnisation des victimes des essais nucléaires français.

Objet

Cet amendement de nos collègues député·es ultra-marins du groupe GDR vise à exclure du report de 2 ans de l’âge de légal de départ en retraite et de manière anticipée, les fonctionnaires qui souffrent d’une maladie radio-induite résultant d’une exposition à des rayonnements ionisants dus aux essais nucléaires français.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 136 rect. quinquies

5 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme NOËL, MM. BURGOA et JOYANDET, Mme BELRHITI, M. FRASSA, Mme DREXLER, M. SIDO et Mme BONFANTI-DOSSAT


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Après l'article 7

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Après l’article L. 556-10 du code général de la fonction publique, il est inséré un article L. 556-10-... ainsi rédigé :

« Art. L. 556-10-... – Les emplois de sapeurs-pompiers professionnels, y compris les emplois de directeur départemental, de directeur départemental adjoint et de sous-directeur des services d’incendie et de secours de tous grades, relèvent de la catégorie active.

« Tout fonctionnaire occupant ou ayant occupé un emploi de sapeur-pompier professionnel peut être admis à faire valoir ses droits à pension à partir de l’âge de cinquante-sept ans. »

Objet

Cet amendement vise à garantir le classement en catégorie active de tous les sapeurs-pompiers professionnels, quel que soit l’emploi occupé, au regard de la dangerosité et des sujétions particulières des missions d’intérêt général des services d’incendie et de secours.

En cohérence, il prévoit la possibilité de faire valoir les droits à la retraite et la liquidation de la pension à partir de l’âge de 57 ans, y compris lorsqu’un tel emploi n’est plus occupé à la date de liquidation de la pension de retraite.



NB :La rectification consiste en un changement de place (de l'article 7 vers un article additionnel après l'article 7).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 226 rect. bis

5 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. Jean-Marc BOYER, DUPLOMB, Daniel LAURENT, CUYPERS, PACCAUD et Jean Pierre VOGEL, Mmes DEMAS et PETRUS, MM. POINTEREAU et PELLEVAT, Mme CHAIN-LARCHÉ, M. BOUCHET, Mme Frédérique GERBAUD, M. CHATILLON, Mme LOPEZ, M. DECOOL, Mme THOMAS, MM. WATTEBLED, GENET, RIETMANN et PERRIN, Mmes BELLUROT, RAIMOND-PAVERO et BILLON, M. ROJOUAN et Mme RENAUD-GARABEDIAN


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Après l'article 7

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Après l’article L. 556-10 du code général de la fonction publique, il est inséré un article L. 556-10-... ainsi rédigé :

« Art. L. 556-10-... – Les emplois de sapeurs-pompiers professionnels, y compris les emplois de directeur départemental, de directeur départemental adjoint et de sous-directeur des services d’incendie et de secours de tous grades, relèvent de la catégorie active.

« Tout fonctionnaire occupant ou ayant occupé un emploi de sapeur-pompier professionnel peut être admis à faire valoir ses droits à pension à partir de l’âge de cinquante-sept ans. »

Objet

Cet amendement vise à garantir le classement en catégorie active de tous les sapeurs-pompiers professionnels, quel que soit l’emploi occupé, au regard de la dangerosité et des sujétions particulières des missions d’intérêt général des services d’incendie et de secours.

En cohérence, il prévoit la possibilité de faire valoir les droits à la retraite et la liquidation de la pension à partir de l’âge de 57 ans, y compris lorsqu’un tel emploi n’est plus occupé à la date de liquidation de la pension de retraite.



NB :La rectification consiste en un changement de place (de l'article 7 vers un article additionnel après l'article 7).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 238 rect.

5 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. SOL


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Après l'article 7

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Après l’article L. 556-10 du code général de la fonction publique, il est inséré un article L. 556-10-... ainsi rédigé :

« Art. L. 556-10-... – Les emplois de sapeurs-pompiers professionnels, y compris les emplois de directeur départemental, de directeur départemental adjoint et de sous-directeur des services d’incendie et de secours de tous grades, relèvent de la catégorie active.

« Tout fonctionnaire occupant ou ayant occupé un emploi de sapeur-pompier professionnel peut être admis à faire valoir ses droits à pension à partir de l’âge de cinquante-sept ans. »

Objet

Compte tenu de la dangerosité et des missions particulières d’intérêt général des services d’incendie et de secours, le classement en catégorie active de tous les sapeurs-pompiers professionnels, quel que soit l’emploi occupé, est nécessaire.

Ainsi, cet amendement prévoit la possibilité de faire valoir leurs droits à la retraite et la liquidation de la pension à partir de l’âge de 57 ans.



NB :La rectification consiste en un changement de place (de l'article 7 vers un article additionnel après l'article 7).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 976 rect. bis

5 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme Nathalie DELATTRE, MM. ARTANO, BILHAC et CABANEL, Mme Maryse CARRÈRE, MM. GOLD et GUÉRINI, Mme PANTEL et MM. REQUIER et ROUX


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Après l'article 7

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Après l’article L. 556-10 du code général de la fonction publique, il est inséré un article L. 556-10-... ainsi rédigé :

« Art. L. 556-10-... – Les emplois de sapeurs-pompiers professionnels, y compris les emplois de directeur départemental, de directeur départemental adjoint et de sous-directeur des services d’incendie et de secours de tous grades, relèvent de la catégorie active.

« Tout fonctionnaire occupant ou ayant occupé un emploi de sapeur-pompier professionnel peut être admis à faire valoir ses droits à pension à partir de l’âge de cinquante-sept ans. »

Objet

Cet amendement vise à garantir le classement en catégorie active de tous les sapeurs-pompiers professionnels, quel que soit l’emploi occupé, au regard de la dangerosité et des sujétions particulières des missions d’intérêt général des services d’incendie et de secours.

En cohérence, il prévoit la possibilité de faire valoir les droits à la retraite et la liquidation de la pension à partir de l’âge de 57 ans, y compris lorsqu’un tel emploi n’est plus occupé à la date de liquidation de la pension de retraite.



NB :La rectification consiste en un changement de place (de l'article 7 vers un article additionnel après l'article 7).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2317 rect. quinquies

5 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. KANNER, Mme Gisèle JOURDA, MM. MONTAUGÉ, BOURGI, FICHET, FÉRAUD, Patrice JOLY, TISSOT et MAGNER, Mmes ARTIGALAS et BONNEFOY, MM. DEVINAZ et DURAIN, Mmes CARLOTTI et VAN HEGHE, M. GILLÉ, Mmes PRÉVILLE, BRIQUET, Sylvie ROBERT, Martine FILLEUL, FÉRET et BLATRIX CONTAT, MM. MARIE, LOZACH et LUREL, Mme HARRIBEY, M. PLA, Mme MONIER, M. Mickaël VALLET, Mme ROSSIGNOL, MM. TEMAL, JOMIER et CHANTREL, Mmes ESPAGNAC et POUMIROL et MM. CARDON, REDON-SARRAZY, JACQUIN et SUEUR


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Après l'article 7

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Après l’article L. 556-10 du code général de la fonction publique, il est inséré un article L. 556-10-... ainsi rédigé :

« Art. L. 556-10-... – Les emplois de sapeurs-pompiers professionnels, y compris les emplois de directeur départemental, de directeur départemental adjoint et de sous-directeur des services d’incendie et de secours de tous grades, relèvent de la catégorie active.

« Tout fonctionnaire occupant ou ayant occupé un emploi de sapeur-pompier professionnel peut être admis à faire valoir ses droits à pension à partir de l’âge de cinquante-sept ans. »

Objet

Cet amendement vise à garantir le classement en catégorie active de tous les sapeurs- pompiers professionnels, quel que soit l’emploi occupé, au regard de la dangerosité et des sujétions particulières des missions d’intérêt général des services d’incendie et de secours.

En cohérence, il prévoit la possibilité de faire valoir les droits à la retraite et la liquidation de la pension à partir de l’âge de 57 ans, y compris lorsqu’un tel emploi n’est plus occupé à la date de liquidation de la pension de retraite.



NB :La rectification consiste en un changement de place (de l'article 7 vers un article additionnel après l'article 7).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2336 rect. sexies

5 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. STANZIONE


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Après l'article 7

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Après l’article L. 556-10 du code général de la fonction publique, il est inséré un article L. 556-10-... ainsi rédigé :

« Art. L. 556-10-... – Les emplois de sapeurs-pompiers professionnels, y compris les emplois de directeur départemental, de directeur départemental adjoint et de sous-directeur des services d’incendie et de secours de tous grades, relèvent de la catégorie active.

« Tout fonctionnaire occupant ou ayant occupé un emploi de sapeur-pompier professionnel peut être admis à faire valoir ses droits à pension à partir de l’âge de cinquante-sept ans. »

Objet

Cet amendement vise à garantir le classement en catégorie active de tous les sapeurs-pompiers professionnels, quel que soit l’emploi occupé, au regard de la dangerosité et des sujétions particulières des missions d’intérêt général des services d’incendie et de secours.

En cohérence, il prévoit la possibilité de faire valoir les droits à la retraite et la liquidation de la pension à partir de l’âge de 57 ans, y compris lorsqu’un tel emploi n’est plus occupé à la date de liquidation de la pension de retraite.

Cet amendement a été travaillé avec la Fédération Nationale des Sapeurs-Pompiers de France.



NB :La rectification consiste en un changement de place (de l'article 7 vers un article additionnel après l'article 7).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4409 rect. bis

4 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Après l'article 7

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’article L. 161-23-1 du code la sécurité sociale est ainsi rédigé :

« Art. L. 161-23-1. - Les pensions de vieillesse servies par le régime général et les régimes alignés sur lui sont revalorisées, au 31 décembre, en fonction de l’évolution de la moyenne annuelle des salaires. »

 

Objet

Cet amendement issu de la proposition de loi du groupe CRCE visant à mettre en place 50 mesures pour un véritable bouclier social prévoit que les pensions de retraites seront revalorisées en fonction de l’évolution du salaire moyen, afin de garantir dans le temps le taux de remplacement à 75 % des derniers salaires.



NB :La rectification consiste en un changement de place (de après l’article 6 à après l’article 7)





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4874

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 4409 rect. bis de Mme ASSASSI

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Amendement n° 4409, alinéa 4

Remplacer la date :

31 décembre

par la date :

1er septembre

Objet

Afin de garantir dans le temps le taux de remplacement à 75 % des derniers salaires, l'amendement du groupe CRCE prévoit que les pensions de retraite seront revalorisées chaque année en fonction de l’évolution du salaire moyen.

En effet les projections du COR montrent que les pensions des retraites décrocheront par rapport aux revenus des actifs dans les prochaines années en raison de l’indexation des retraites sur les prix, qui est moins favorable que l’indexation sur les salaires.

Notre sous-amendement vient en soutien de l'amendement du groupe CRCR et propose d'ajuster la date de prise d'effet de la revalorisation.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4873

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 4409 rect. bis de Mme ASSASSI

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Amendement n° 4409, alinéa 4

Remplacer la date :

31 décembre

par la date :

15 septembre

Objet

Afin de garantir dans le temps le taux de remplacement à 75 % des derniers salaires, l'amendement du groupe CRCE prévoit que les pensions de retraite seront revalorisées chaque année en fonction de l’évolution du salaire moyen.

En effet les projections du COR montrent que les pensions des retraites décrocheront par rapport aux revenus des actifs dans les prochaines années en raison de l’indexation des retraites sur les prix, qui est moins favorable que l’indexation sur les salaires.

Notre sous-amendement vient en soutien de l'amendement du groupe CRCR et propose d'ajuster la date de prise d'effet de la revalorisation.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4867

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 4409 rect. bis de Mme ASSASSI

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Amendement n° 4409, alinéa 4

Remplacer la date :

31 décembre

par la date :

1er octobre

Objet

Afin de garantir dans le temps le taux de remplacement à 75 % des derniers salaires, l'amendement du groupe CRCE prévoit que les pensions de retraite seront revalorisées chaque année en fonction de l’évolution du salaire moyen.

En effet les projections du COR montrent que les pensions des retraites décrocheront par rapport aux revenus des actifs dans les prochaines années en raison de l’indexation des retraites sur les prix, qui est moins favorable que l’indexation sur les salaires.

Notre sous-amendement vient en soutien de l'amendement du groupe CRCR et propose d'ajuster la date de prise d'effet de la revalorisation.






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N° 4870

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 4409 rect. bis de Mme ASSASSI

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Amendement n° 4409, alinéa 4

Remplacer la date :

31 décembre

par la date :

15 octobre

Objet

Afin de garantir dans le temps le taux de remplacement à 75 % des derniers salaires, l'amendement du groupe CRCE prévoit que les pensions de retraite seront revalorisées chaque année en fonction de l’évolution du salaire moyen.

En effet les projections du COR montrent que les pensions des retraites décrocheront par rapport aux revenus des actifs dans les prochaines années en raison de l’indexation des retraites sur les prix, qui est moins favorable que l’indexation sur les salaires.

Notre sous-amendement vient en soutien de l'amendement du groupe CRCR et propose d'ajuster la date de prise d'effet de la revalorisation.






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N° 4868

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 4409 rect. bis de Mme ASSASSI

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Amendement n° 4409, alinéa 4

Remplacer la date :

31 décembre

par la date :

1er novembre

Objet

Afin de garantir dans le temps le taux de remplacement à 75 % des derniers salaires, l'amendement du groupe CRCE prévoit que les pensions de retraite seront revalorisées chaque année en fonction de l’évolution du salaire moyen.

En effet les projections du COR montrent que les pensions des retraites décrocheront par rapport aux revenus des actifs dans les prochaines années en raison de l’indexation des retraites sur les prix, qui est moins favorable que l’indexation sur les salaires.

Notre sous-amendement vient en soutien de l'amendement du groupe CRCR et propose d'ajuster la date de prise d'effet de la revalorisation.






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N° 4871

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 4409 rect. bis de Mme ASSASSI

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Amendement n° 4409, alinéa 4

Remplacer la date :

31 décembre

par la date :

15 novembre

Objet

Afin de garantir dans le temps le taux de remplacement à 75 % des derniers salaires, l'amendement du groupe CRCE prévoit que les pensions de retraite seront revalorisées chaque année en fonction de l’évolution du salaire moyen.

En effet les projections du COR montrent que les pensions des retraites décrocheront par rapport aux revenus des actifs dans les prochaines années en raison de l’indexation des retraites sur les prix, qui est moins favorable que l’indexation sur les salaires.

Notre sous-amendement vient en soutien de l'amendement du groupe CRCR et propose d'ajuster la date de prise d'effet de la revalorisation.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4869

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 4409 rect. bis de Mme ASSASSI

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Amendement n° 4409, alinéa 4

Remplacer la date :

31 décembre

par la date :

1er décembre

Objet

Afin de garantir dans le temps le taux de remplacement à 75 % des derniers salaires, l'amendement du groupe CRCE prévoit que les pensions de retraite seront revalorisées chaque année en fonction de l’évolution du salaire moyen.

En effet les projections du COR montrent que les pensions des retraites décrocheront par rapport aux revenus des actifs dans les prochaines années en raison de l’indexation des retraites sur les prix, qui est moins favorable que l’indexation sur les salaires.

Notre sous-amendement vient en soutien de l'amendement du groupe CRCR et propose d'ajuster la date de prise d'effet de la revalorisation.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4872

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 4409 rect. bis de Mme ASSASSI

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Amendement n° 4409, alinéa 4

Remplacer la date :

31 décembre

par la date :

15 décembre

Objet

Afin de garantir dans le temps le taux de remplacement à 75 % des derniers salaires, l'amendement du groupe CRCE prévoit que les pensions de retraite seront revalorisées chaque année en fonction de l’évolution du salaire moyen.

En effet les projections du COR montrent que les pensions des retraites décrocheront par rapport aux revenus des actifs dans les prochaines années en raison de l’indexation des retraites sur les prix, qui est moins favorable que l’indexation sur les salaires.

Notre sous-amendement vient en soutien de l'amendement du groupe CRCR et propose d'ajuster la date de prise d'effet de la revalorisation.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4866

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 4409 rect. bis de Mme ASSASSI

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Amendement n° 4409, alinéa 4

Remplacer la date :

31 décembre

par la date :

1er janvier

Objet

Afin de garantir dans le temps le taux de remplacement à 75 % des derniers salaires, l'amendement du groupe CRCE prévoit que les pensions de retraite seront revalorisées chaque année en fonction de l’évolution du salaire moyen.

En effet les projections du COR montrent que les pensions des retraites décrocheront par rapport aux revenus des actifs dans les prochaines années en raison de l’indexation des retraites sur les prix, qui est moins favorable que l’indexation sur les salaires.

Notre sous-amendement vient en soutien de l'amendement du groupe CRCR et propose d'ajuster la date de prise d'effet de la revalorisation.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 608 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme CONCONNE, M. LUREL, Mmes JASMIN, LUBIN et Gisèle JOURDA et M. DURAIN


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Après l’article 7

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Dans un délai de trois mois faisant suite à la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport relatif aux conséquences de l’accélération de l’allongement de la durée de cotisation à 172 trimestres pour les assurés nés avant le 1er janvier 1973 dans les collectivités régies par l’article 73 de la Constitution. Ce rapport mettra en évidence les conséquences de ce nouveau calendrier sur l’âge effectif de départ en retraite et sur le niveau des pensions.

Objet

Le projet de loi de financement rectificatif de la sécurité sociale portant réforme du système de retraites ne contient à ce stade aucune mesure spécifique concernant la dite outre-mer. Pourtant, notre situation est très différente de celle de l’hexagone en raison de l’arrivée tardive de la sécurité sociale dans nos territoires et de la persistance, liée à notre histoire, d’une part importante de travail informel ou de défauts de déclaration.

Les carrières hachées sont, de ce fait, surreprésentées dans les outre-mer et très difficiles à reconstituer faute d’archives complètes. Il en ressort un niveau de pension de base sensiblement plus bas que dans l’hexagone et un nombre très important de retraités pauvres, voire très pauvres.

Les données « Repère » de la sécurité sociale nous donnent, à ce titre, des chiffres éclairants : l’âge moyen du départ à la retraite en Martinique est de 65,03 ans contre 62,9 ans au niveau national, en raison d’un nombre de trimestres validés plus difficile à atteindre pour les Martiniquais. Cela est confirmé par une étude menée sur la génération 61-64 par Sécurité Sociale : 6,5% des assurés de cette génération sont partis à la retraite au niveau national contre moins de 1% en Martinique ; un peu plus de 6% des assurés de cette génération sont concernés par des trous de carrière en France contre 20% en Martinique ; les validités incomplètes sont largement supérieures en Martinique. Concernant les départs anticipés, là aussi des différences sont notables : ils concernent 2% des assurés en Martinique en 2020, 1% en Guadeloupe, 3% en Guyane et à la Réunion quand ils concernent 20% des assurés au niveau national.

L’accélération du passage à 43 annuités de cotisation viendra renforcer la difficulté pour les habitants de la dite outre-mer nés dans les années 60 à atteindre le nombre de trimestres requis pour bénéficier d’une pension complète. Cela les contraindra donc à travailler jusqu’à 67 ans, l’âge du taux plein, ou à partir en retraite avec un nombre de trimestres incomplet, une décote, et donc une baisse significative de leur pension.

L'article 40  de la Constitution ne nous permet pas de sortir les collectivités d'outre-mer de l'application de ce nouveau calendrier. A défaut, cet amendement demande un rapport au Gouvernement sur les conséquences de l'accélération de l'allongement de la durée de cotisation dans la dite outre-mer.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4941

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 608 rect. bis de Mme CONCONNE

présenté par

C
G  
Retiré

M. KANNER, Mme FÉRET, MM. FICHET et JOMIER et Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Sous-amendement à l’amendement n°608

Alinéa 3

Remplacer le mot :

"trois"

par :

"douze"

 

Objet

Ce sous-amendement vise à reporter la remise de rapport de neuf mois.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4940

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 608 rect. bis de Mme CONCONNE

présenté par

C
G  
Retiré

M. KANNER, Mme FÉRET, MM. FICHET et JOMIER et Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Sous-amendement à l’amendement n°608

Alinéa 3

Remplacer le mot :

"trois"

par :

"onze"

Objet

Ce sous-amendement vise à reporter la remise de rapport de huit mois.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4939

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 608 rect. bis de Mme CONCONNE

présenté par

C
G  
Retiré

M. KANNER, Mme FÉRET, MM. FICHET et JOMIER et Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Sous-amendement à l’amendement n°608

Alinéa 3

Remplacer le mot :

"trois"

par :

"dix"

Objet

Ce sous-amendement vise à reporter la remise de rapport de sept mois.






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N° 4938

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 608 rect. bis de Mme CONCONNE

présenté par

C
G  
Retiré

M. KANNER, Mme FÉRET, MM. FICHET et JOMIER et Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Sous-amendement à l’amendement n°608

Alinéa 3

Remplacer le mot :

"trois"

par :

"neuf"

Objet

Ce sous-amendement vise à reporter la remise de rapport de six mois.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4937

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 608 rect. bis de Mme CONCONNE

présenté par

C
G  
Retiré

M. KANNER, Mme FÉRET, MM. FICHET et JOMIER et Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Sous-amendement à l’amendement n°608

Alinéa 3

Remplacer le mot :

"trois"

par :

"huit"

Objet

Ce sous-amendement vise à reporter la remise de rapport de cinq mois.






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N° 4936

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 608 rect. bis de Mme CONCONNE

présenté par

C
G  
Retiré

M. KANNER, Mme FÉRET, MM. FICHET et JOMIER et Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Sous-amendement à l’amendement n°608

Alinéa 3

Remplacer le mot :

"trois"

par :

"sept"

Objet

Ce sous-amendement vise à reporter la remise de rapport de quatre mois.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4935

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 608 rect. bis de Mme CONCONNE

présenté par

C
G  
Retiré

M. KANNER, Mme FÉRET, MM. FICHET et JOMIER et Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Sous-amendement à l’amendement n°608

Alinéa 3

Remplacer le mot :

"trois"

par :

"six"

Objet

Ce sous-amendement vise à reporter la remise de rapport de trois mois.






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N° 4934

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 608 rect. bis de Mme CONCONNE

présenté par

C
G  
Retiré

M. KANNER, Mme FÉRET, MM. FICHET et JOMIER et Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Sous-amendement à l’amendement n°608

Alinéa 3

Remplacer le mot :

"trois"

par :

"cinq"

Objet

Ce sous-amendement vise à reporter la remise de rapport de deux mois.






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N° 4933

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 608 rect. bis de Mme CONCONNE

présenté par

C
G  
Retiré

M. KANNER, Mme FÉRET, MM. FICHET et JOMIER et Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Sous-amendement à l’amendement n°608

Alinéa 3

Remplacer le mot :

"trois"

par :

"quatre"

Objet

Ce sous-amendement vise à reporter la remise de rapport d’un mois.

 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 223

24 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. CHANTREL


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Après l’article 7

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Dans l’année suivant la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport sur l’application de l’article 7 de la présente loi. Ce rapport analyse notamment les conséquences du relèvement de l’âge de la retraite à soixante-quatre ans pour les assurés établis hors de France ainsi que leur conjoint qui attestent d’une interruption d’activité professionnelle.

Objet

Cet amendement demande au Gouvernement de remettre au Parlement un rapport afin de pouvoir examiner les conséquences économiques et sociales du relèvement de l’âge de la retraite à soixante-quatre ans pour les Français établis hors de France.

Il est également important de rappeler que de nombreux compatriotes établis hors de France doivent renoncer à exercer une activité professionnelle afin de pouvoir suivre leur conjoint en poste à l’étranger, tout en faisant face à des difficultés d’embauche dans le pays de résidence.

Au-delà du fait que ce relèvement de l’âge de la retraite à soixante-quatre ans apparaît comme une énième injustice pour les Français, il est important de rappeler que ces carrières internationales, morcelées par définition, touchent majoritairement les femmes lorsque celles-ci se voient demander de suivre leur conjoint à l’étranger.

Ce rapport demandé au Gouvernement doit donc également permettre d’examiner les conséquences économiques et sociales pour les personnes subissant des carrières morcelées à l’étranger.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4677 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes Mélanie VOGEL et PONCET MONGE, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI, SALMON et LECONTE


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Après l’article 7

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Dans l’année suivant la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport sur l’application de l’article 7 de la présente loi. Ce rapport analyse notamment les conséquences du relèvement de l’âge de la retraite à soixante-quatre ans pour les assurés établis hors de France ainsi que leur conjoint qui attestent d’une interruption d’activité professionnelle.

Objet

Cet amendement demande au Gouvernement de remettre au Parlement un rapport afin de pouvoir examiner les conséquences économiques et sociales du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans pour les Françaises et Français établis hors de France.

De par le fait que les carrières professionnelles de nos compatriotes établis à l’étranger sont souvent morcelées, les Françaises et Français de l’étranger sont exposés à des conséquences particulières du relèvement de l’âge de départ. Le rapport permettra d’identifier ces conséquences, afin que des effets néfastes puissent ensuite être éliminés.

De nombreux Français et Françaises établis à l’étranger attestent non seulement d’une carrière morcelée, mais interrompent également leur activité professionnelle afin de pouvoir suivre leur conjoint dans un autre pays. Dans certains cas, cette interruption peut être liée au seul fait que les démarches administratives nécessaires à l’exercice de ladite activité professionnelle prennent du temps, comme cela peut être le cas avec la reconnaissance des diplômes. Ces personnes sont ainsi confrontées à des difficultés d’embauche dans le pays de résidence.

Le rapport demandé au Gouvernement vise à accorder une attention particulière aux conséquences du relèvement de l’âge de départ à leur situation.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5215

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 4677 rect. de Mme Mélanie VOGEL

présenté par

C
G  
Retiré

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, M. ANTISTE, Mme ARTIGALAS, MM. ASSOULINE et Joël BIGOT, Mmes BLATRIX CONTAT et BONNEFOY, MM. BOUAD et BOURGI, Mme BRIQUET, M. CARDON, Mmes CARLOTTI et CONWAY-MOURET, MM. COZIC, DEVINAZ, DURAIN et ÉBLÉ, Mme ESPAGNAC, M. FÉRAUD, Mme Martine FILLEUL, M. GILLÉ, Mme HARRIBEY, MM. HOULLEGATTE, JACQUIN, JEANSANNETAS et Patrice JOLY, Mme Gisèle JOURDA, M. KERROUCHE, Mme de LA GONTRIE, MM. LOZACH, LUREL, MAGNER, MARIE, MÉRILLOU et MICHAU, Mme MONIER, MM. MONTAUGÉ et PLA, Mme PRÉVILLE, MM. RAYNAL et REDON-SARRAZY, Mme Sylvie ROBERT, MM. ROGER, STANZIONE, SUEUR, TEMAL, TISSOT, TODESCHINI, Mickaël VALLET et VALLINI, Mme VAN HEGHE et M. VAUGRENARD


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


À l’amendement 4677

Les mots « hors de France » sont remplacés par les mots : « au Vietnam »

Objet

Compte tenu des enjeux qu’entrainera la réforme des retraites sur tous les Françaises et les Français, y compris celles et ceux établies hors de France, il est proposé par les sénatrices et sénateurs du groupe socialiste, écologiste et républicain de présenter un rapport spécifique à nos compatriotes établis au Vietnam.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5216

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 4677 rect. de Mme Mélanie VOGEL

présenté par

C
G  
Retiré

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, M. ANTISTE, Mme ARTIGALAS, MM. ASSOULINE et Joël BIGOT, Mmes BLATRIX CONTAT et BONNEFOY, MM. BOUAD et BOURGI, Mme BRIQUET, M. CARDON, Mmes CARLOTTI et CONWAY-MOURET, MM. COZIC, DEVINAZ, DURAIN et ÉBLÉ, Mme ESPAGNAC, M. FÉRAUD, Mme Martine FILLEUL, M. GILLÉ, Mme HARRIBEY, MM. HOULLEGATTE, JACQUIN, JEANSANNETAS et Patrice JOLY, Mme Gisèle JOURDA, M. KERROUCHE, Mme de LA GONTRIE, MM. LOZACH, LUREL, MAGNER, MARIE, MÉRILLOU et MICHAU, Mme MONIER, MM. MONTAUGÉ et PLA, Mme PRÉVILLE, MM. RAYNAL et REDON-SARRAZY, Mme Sylvie ROBERT, MM. ROGER, STANZIONE, SUEUR, TEMAL, TISSOT, TODESCHINI, Mickaël VALLET et VALLINI, Mme VAN HEGHE et M. VAUGRENARD


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


À l’amendement 4677

Les mots « hors de France » sont remplacés par les mots : « au Chili »

Objet

Compte tenu des enjeux qu’entrainera la réforme des retraites sur tous les Françaises et les Français, y compris celles et ceux établies hors de France, il est proposé par les sénatrices et sénateurs du groupe socialiste, écologiste et républicain de présenter un rapport spécifique à nos compatriotes établis au Chili.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5217

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 4677 rect. de Mme Mélanie VOGEL

présenté par

C
G  
Retiré

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, M. ANTISTE, Mme ARTIGALAS, MM. ASSOULINE et Joël BIGOT, Mmes BLATRIX CONTAT et BONNEFOY, MM. BOUAD et BOURGI, Mme BRIQUET, M. CARDON, Mmes CARLOTTI et CONWAY-MOURET, MM. COZIC, DEVINAZ, DURAIN et ÉBLÉ, Mme ESPAGNAC, M. FÉRAUD, Mme Martine FILLEUL, M. GILLÉ, Mme HARRIBEY, MM. HOULLEGATTE, JACQUIN, JEANSANNETAS et Patrice JOLY, Mme Gisèle JOURDA, M. KERROUCHE, Mme de LA GONTRIE, MM. LOZACH, LUREL, MAGNER, MARIE, MÉRILLOU et MICHAU, Mme MONIER, MM. MONTAUGÉ et PLA, Mme PRÉVILLE, MM. RAYNAL et REDON-SARRAZY, Mme Sylvie ROBERT, MM. ROGER, STANZIONE, SUEUR, TEMAL, TISSOT, TODESCHINI, Mickaël VALLET et VALLINI, Mme VAN HEGHE et M. VAUGRENARD


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


À l’amendement 4677

Les mots « hors de France » sont remplacés par les mots : « au Québec »

Objet

Compte tenu des enjeux qu’entrainera la réforme des retraites sur tous les Françaises et les Français, y compris celles et ceux établies hors de France, il est proposé par les sénatrices et sénateurs du groupe socialiste, écologiste et républicain de présenter un rapport spécifique à nos compatriotes établis au Québec.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5218

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 4677 rect. de Mme Mélanie VOGEL

présenté par

C
G  
Retiré

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, M. ANTISTE, Mme ARTIGALAS, MM. ASSOULINE et Joël BIGOT, Mmes BLATRIX CONTAT et BONNEFOY, MM. BOUAD et BOURGI, Mme BRIQUET, M. CARDON, Mmes CARLOTTI et CONWAY-MOURET, MM. COZIC, DEVINAZ, DURAIN et ÉBLÉ, Mme ESPAGNAC, M. FÉRAUD, Mme Martine FILLEUL, M. GILLÉ, Mme HARRIBEY, MM. HOULLEGATTE, JACQUIN, JEANSANNETAS et Patrice JOLY, Mme Gisèle JOURDA, M. KERROUCHE, Mme de LA GONTRIE, MM. LOZACH, LUREL, MAGNER, MARIE, MÉRILLOU et MICHAU, Mme MONIER, MM. MONTAUGÉ et PLA, Mme PRÉVILLE, MM. RAYNAL et REDON-SARRAZY, Mme Sylvie ROBERT, MM. ROGER, STANZIONE, SUEUR, TEMAL, TISSOT, TODESCHINI, Mickaël VALLET et VALLINI, Mme VAN HEGHE et M. VAUGRENARD


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


À l’amendement 4677

Les mots « hors de France » sont remplacés par les mots : « en Belgique »

 

Objet

Compte tenu des enjeux qu’entrainera la réforme des retraites sur tous les Françaises et les Français, y compris celles et ceux établies hors de France, il est proposé par les sénatrices et sénateurs du groupe socialiste, écologiste et républicain de présenter un rapport spécifique à nos compatriotes établis en Belgique.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5219

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 4677 rect. de Mme Mélanie VOGEL

présenté par

C
G  
Retiré

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, M. ANTISTE, Mme ARTIGALAS, MM. ASSOULINE et Joël BIGOT, Mmes BLATRIX CONTAT et BONNEFOY, MM. BOUAD et BOURGI, Mme BRIQUET, M. CARDON, Mmes CARLOTTI et CONWAY-MOURET, MM. COZIC, DEVINAZ, DURAIN et ÉBLÉ, Mme ESPAGNAC, M. FÉRAUD, Mme Martine FILLEUL, M. GILLÉ, Mme HARRIBEY, MM. HOULLEGATTE, JACQUIN, JEANSANNETAS et Patrice JOLY, Mme Gisèle JOURDA, M. KERROUCHE, Mme de LA GONTRIE, MM. LOZACH, LUREL, MAGNER, MARIE, MÉRILLOU et MICHAU, Mme MONIER, MM. MONTAUGÉ et PLA, Mme PRÉVILLE, MM. RAYNAL et REDON-SARRAZY, Mme Sylvie ROBERT, MM. ROGER, STANZIONE, SUEUR, TEMAL, TISSOT, TODESCHINI, Mickaël VALLET et VALLINI, Mme VAN HEGHE et M. VAUGRENARD


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


À l’amendement 4677

Les mots « hors de France » sont remplacés par les mots : « au Burkina Faso »

 

Objet

Compte tenu des enjeux qu’entrainera la réforme des retraites sur tous les Françaises et les Français, y compris celles et ceux établies hors de France, il est proposé par les sénatrices et sénateurs du groupe socialiste, écologiste et républicain de présenter un rapport spécifique à nos compatriotes établis au Burkina Faso.






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N° 5220

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 4677 rect. de Mme Mélanie VOGEL

présenté par

C
G  
Retiré

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, M. ANTISTE, Mme ARTIGALAS, MM. ASSOULINE et Joël BIGOT, Mmes BLATRIX CONTAT et BONNEFOY, MM. BOUAD et BOURGI, Mme BRIQUET, M. CARDON, Mmes CARLOTTI et CONWAY-MOURET, MM. COZIC, DEVINAZ, DURAIN et ÉBLÉ, Mme ESPAGNAC, M. FÉRAUD, Mme Martine FILLEUL, M. GILLÉ, Mme HARRIBEY, MM. HOULLEGATTE, JACQUIN, JEANSANNETAS et Patrice JOLY, Mme Gisèle JOURDA, M. KERROUCHE, Mme de LA GONTRIE, MM. LOZACH, LUREL, MAGNER, MARIE, MÉRILLOU et MICHAU, Mme MONIER, MM. MONTAUGÉ et PLA, Mme PRÉVILLE, MM. RAYNAL et REDON-SARRAZY, Mme Sylvie ROBERT, MM. ROGER, STANZIONE, SUEUR, TEMAL, TISSOT, TODESCHINI, Mickaël VALLET et VALLINI, Mme VAN HEGHE et M. VAUGRENARD


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


À l’amendement 4677

Les mots « hors de France » sont remplacés par les mots : « en Algérie »

Objet

Compte tenu des enjeux qu’entrainera la réforme des retraites sur tous les Françaises et les Français, y compris celles et ceux établies hors de France, il est proposé par les sénatrices et sénateurs du groupe socialiste, écologiste et républicain de présenter un rapport spécifique à nos compatriotes établis en Algérie.






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9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 4677 rect. de Mme Mélanie VOGEL

présenté par

C
G  
Retiré

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, M. ANTISTE, Mme ARTIGALAS, MM. ASSOULINE et Joël BIGOT, Mmes BLATRIX CONTAT et BONNEFOY, MM. BOUAD et BOURGI, Mme BRIQUET, M. CARDON, Mmes CARLOTTI et CONWAY-MOURET, MM. COZIC, DEVINAZ, DURAIN et ÉBLÉ, Mme ESPAGNAC, M. FÉRAUD, Mme Martine FILLEUL, M. GILLÉ, Mme HARRIBEY, MM. HOULLEGATTE, JACQUIN, JEANSANNETAS et Patrice JOLY, Mme Gisèle JOURDA, M. KERROUCHE, Mme de LA GONTRIE, MM. LOZACH, LUREL, MAGNER, MARIE, MÉRILLOU et MICHAU, Mme MONIER, MM. MONTAUGÉ et PLA, Mme PRÉVILLE, MM. RAYNAL et REDON-SARRAZY, Mme Sylvie ROBERT, MM. ROGER, STANZIONE, SUEUR, TEMAL, TISSOT, TODESCHINI, Mickaël VALLET et VALLINI, Mme VAN HEGHE et M. VAUGRENARD


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


A l'amendement 4677

Les mots "hors de France" sont remplacés par les mots "en Nouvelle-Zélande"

Objet

Compte tenu des enjeux qu'entrainera la réforme des retraites sur tous les Françaises et les Français, y compris celles et ceux établies hors de France, il est proposé par les sénatrices et sénateurs du groupe socialiste, écologiste et républicain de présenter un rapport spécifique à nos compatriotes établis en Nouvelle-Zélande.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5222

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 4677 rect. de Mme Mélanie VOGEL

présenté par

C
G  
Retiré

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, M. ANTISTE, Mme ARTIGALAS, MM. ASSOULINE et Joël BIGOT, Mmes BLATRIX CONTAT et BONNEFOY, MM. BOUAD et BOURGI, Mme BRIQUET, M. CARDON, Mmes CARLOTTI et CONWAY-MOURET, MM. COZIC, DEVINAZ, DURAIN et ÉBLÉ, Mme ESPAGNAC, M. FÉRAUD, Mme Martine FILLEUL, M. GILLÉ, Mme HARRIBEY, MM. HOULLEGATTE, JACQUIN, JEANSANNETAS et Patrice JOLY, Mme Gisèle JOURDA, M. KERROUCHE, Mme de LA GONTRIE, MM. LOZACH, LUREL, MAGNER, MARIE, MÉRILLOU et MICHAU, Mme MONIER, MM. MONTAUGÉ et PLA, Mme PRÉVILLE, MM. RAYNAL et REDON-SARRAZY, Mme Sylvie ROBERT, MM. ROGER, STANZIONE, SUEUR, TEMAL, TISSOT, TODESCHINI, Mickaël VALLET et VALLINI, Mme VAN HEGHE et M. VAUGRENARD


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


A l'amendement 4677

Les mots "hors de France" sont remplacés par les mots "au Maroc"

Objet

Compte tenu des enjeux qu'entrainera la réforme des retraites sur tous les Françaises et les Français, y compris celles et ceux établies hors de France, il est proposé par les sénatrices et sénateurs du groupe socialiste, écologiste et républicain de présenter un rapport spécifique à nos compatriotes établis au Maroc.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5223

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 4677 rect. de Mme Mélanie VOGEL

présenté par

C
G  
Retiré

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, M. ANTISTE, Mme ARTIGALAS, MM. ASSOULINE et Joël BIGOT, Mmes BLATRIX CONTAT et BONNEFOY, MM. BOUAD et BOURGI, Mme BRIQUET, M. CARDON, Mmes CARLOTTI et CONWAY-MOURET, MM. COZIC, DEVINAZ, DURAIN et ÉBLÉ, Mme ESPAGNAC, M. FÉRAUD, Mme Martine FILLEUL, M. GILLÉ, Mme HARRIBEY, MM. HOULLEGATTE, JACQUIN, JEANSANNETAS et Patrice JOLY, Mme Gisèle JOURDA, M. KERROUCHE, Mme de LA GONTRIE, MM. LOZACH, LUREL, MAGNER, MARIE, MÉRILLOU et MICHAU, Mme MONIER, MM. MONTAUGÉ et PLA, Mme PRÉVILLE, MM. RAYNAL et REDON-SARRAZY, Mme Sylvie ROBERT, MM. ROGER, STANZIONE, SUEUR, TEMAL, TISSOT, TODESCHINI, Mickaël VALLET et VALLINI, Mme VAN HEGHE et M. VAUGRENARD


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


A l'amendement 4677

Les mots " hors de France" sont remplacés par les mots "en Turquie"

Objet

Compte tenu des enjeux qu'entrainera la réforme des retraites sur tous les Françaises et les Français, y compris celles et ceux établies hors de France, il est proposé par les sénatrices et sénateurs du groupe socialiste, écologiste et républicain de présenter un rapport spécifique à nos compatriotes établis en Turquie.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5224

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 4677 rect. de Mme Mélanie VOGEL

présenté par

C
G  
Retiré

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, M. ANTISTE, Mme ARTIGALAS, MM. ASSOULINE et Joël BIGOT, Mmes BLATRIX CONTAT et BONNEFOY, MM. BOUAD et BOURGI, Mme BRIQUET, M. CARDON, Mmes CARLOTTI et CONWAY-MOURET, MM. COZIC, DEVINAZ, DURAIN et ÉBLÉ, Mme ESPAGNAC, M. FÉRAUD, Mme Martine FILLEUL, M. GILLÉ, Mme HARRIBEY, MM. HOULLEGATTE, JACQUIN, JEANSANNETAS et Patrice JOLY, Mme Gisèle JOURDA, M. KERROUCHE, Mme de LA GONTRIE, MM. LOZACH, LUREL, MAGNER, MARIE, MÉRILLOU et MICHAU, Mme MONIER, MM. MONTAUGÉ et PLA, Mme PRÉVILLE, MM. RAYNAL et REDON-SARRAZY, Mme Sylvie ROBERT, MM. ROGER, STANZIONE, SUEUR, TEMAL, TISSOT, TODESCHINI, Mickaël VALLET et VALLINI, Mme VAN HEGHE et M. VAUGRENARD


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


A l'amendement 4677

Les "hors de France" sont remplacés par les mots "en Tunisie"

Objet

Compte tenu des enjeux qu'entrainera la réforme des retraites sur tous les Françaises et les Français, y compris celles et ceux établies hors de France, il est proposé par les sénatrices et sénateurs du groupe socialiste, écologiste et républicain de présenter un rapport spécifique à nos compatriotes établis en Tunisie.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5225

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 4677 rect. de Mme Mélanie VOGEL

présenté par

C
G  
Retiré

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, M. ANTISTE, Mme ARTIGALAS, MM. ASSOULINE et Joël BIGOT, Mmes BLATRIX CONTAT et BONNEFOY, MM. BOUAD et BOURGI, Mme BRIQUET, M. CARDON, Mmes CARLOTTI et CONWAY-MOURET, MM. COZIC, DEVINAZ, DURAIN et ÉBLÉ, Mme ESPAGNAC, M. FÉRAUD, Mme Martine FILLEUL, M. GILLÉ, Mme HARRIBEY, MM. HOULLEGATTE, JACQUIN, JEANSANNETAS et Patrice JOLY, Mme Gisèle JOURDA, M. KERROUCHE, Mme de LA GONTRIE, MM. LOZACH, LUREL, MAGNER, MARIE, MÉRILLOU et MICHAU, Mme MONIER, MM. MONTAUGÉ et PLA, Mme PRÉVILLE, MM. RAYNAL et REDON-SARRAZY, Mme Sylvie ROBERT, MM. ROGER, STANZIONE, SUEUR, TEMAL, TISSOT, TODESCHINI, Mickaël VALLET et VALLINI, Mme VAN HEGHE et M. VAUGRENARD


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


A l'amendement 4677

Les mots "hors de France" sont remplacés par les mots "au Sénégal"

Objet

Compte tenu des enjeux qu'entrainera la réforme des retraites sur tous les Françaises et les Français, y compris celles et ceux établies hors de France, il est proposé par les sénatrices et sénateurs du groupe socialiste, écologiste et républicain de présenter un rapport spécifique à nos compatriotes établis au Sénégal.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5226

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 4677 rect. de Mme Mélanie VOGEL

présenté par

C
G  
Retiré

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, M. ANTISTE, Mme ARTIGALAS, MM. ASSOULINE et Joël BIGOT, Mmes BLATRIX CONTAT et BONNEFOY, MM. BOUAD et BOURGI, Mme BRIQUET, M. CARDON, Mmes CARLOTTI et CONWAY-MOURET, MM. COZIC, DEVINAZ, DURAIN et ÉBLÉ, Mme ESPAGNAC, M. FÉRAUD, Mme Martine FILLEUL, M. GILLÉ, Mme HARRIBEY, MM. HOULLEGATTE, JACQUIN, JEANSANNETAS et Patrice JOLY, Mme Gisèle JOURDA, M. KERROUCHE, Mme de LA GONTRIE, MM. LOZACH, LUREL, MAGNER, MARIE, MÉRILLOU et MICHAU, Mme MONIER, MM. MONTAUGÉ et PLA, Mme PRÉVILLE, MM. RAYNAL et REDON-SARRAZY, Mme Sylvie ROBERT, MM. ROGER, STANZIONE, SUEUR, TEMAL, TISSOT, TODESCHINI, Mickaël VALLET et VALLINI, Mme VAN HEGHE et M. VAUGRENARD


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


A l'amendement 4677

Les mots "hors de France" sont remplacés par les mots "en Inde"

Objet

Compte tenu des enjeux qu'entrainera la réforme des retraites sur tous les Françaises et les Français, y compris celles et ceux établies hors de France, il est proposé par les sénatrices et sénateurs du groupe socialiste, écologiste et républicain de présenter un rapport spécifique à nos compatriotes établis en Inde.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2017

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme CONWAY-MOURET


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Après l'article 7

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Dans un délai d’un an suivant la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport sur l’application de l’article 7 de la présente loi. Ce rapport analyse les conséquences du relèvement de l’âge de la retraite à soixante-quatre ans pour les assurés établis hors de France, ainsi que leur conjoint, qui attestent d’une interruption d’activité professionnelle.

Objet

Cet amendement demande au Gouvernement de remettre au Parlement un rapport examinant les conséquences économiques et sociales du relèvement de l’âge de la retraite à soixante-quatre ans pour les Français établis hors de France.

En effet, les carrières internationales sont par définition morcelées. De nombreux Français renoncent à exercer une activité professionnelle en France afin de suivre leur conjoint en poste à l’étranger et beaucoup sont confrontés à des difficultés d’embauche dans le pays de résidence. Les femmes accompagnant leur conjoint à l’étranger sont malheureusement les plus concernées.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2326

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. LECONTE


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Après l'article 7

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Dans l’année suivant la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport analysant les conséquences du relèvement de l’âge de la retraite à soixante-quatre ans pour les assurés établis hors de France ainsi que leur conjoint qui attestent d’une interruption d’activité professionnelle.

Objet

Cet amendement est issu des échanges que nous entretenons avec les Français établis hors de France.

Il demande au Gouvernement de remettre au Parlement un rapport afin de pouvoir examiner les conséquences économiques et sociales du relèvement de l’âge de la retraite à soixante-quatre ans pour les Français établis hors de France.

Il est également important de rappeler que de nombreux compatriotes établis hors de France doivent renoncer à exercer une activité professionnelle afin de pouvoir suivre leur conjoint en poste à l’étranger, tout en faisant face à des difficultés d’embauche dans le pays de résidence.

Au-delà du fait que ce relèvement de l’âge de la retraite à soixante-quatre ans apparaît comme une énième injustice pour les Français, il est important de rappeler que ces carrières internationales, morcelées par définition, touchent majoritairement les femmes lorsque celles-ci se voient demander de suivre leur conjoint à l’étranger.

Ce rapport demandé au Gouvernement doit donc également permettre d’examiner les conséquences économiques et sociales pour les personnes subissant des carrières morcelées à l’étranger.



NB :bl





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2392 rect. ter

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

MM. Patrice JOLY, REDON-SARRAZY, STANZIONE, MAGNER, GILLÉ, MICHAU et DURAIN, Mme Martine FILLEUL, M. Mickaël VALLET, Mmes BLATRIX CONTAT et CONWAY-MOURET, M. PLA, Mmes CONCONNE, POUMIROL et Gisèle JOURDA, MM. TEMAL et LECONTE, Mmes JASMIN et LE HOUEROU, M. CHANTREL, Mme MONIER, MM. TISSOT, DEVINAZ et JACQUIN et Mme PRÉVILLE


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Après l'article 7

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Dans un délai d’un an suivant la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet un rapport sur l’application de l’article 7 de cette loi. Ce rapport analyse les conséquences du relèvement de l’âge de la retraite à soixante-quatre pour les retraités qui vivent dans les territoires ruraux par rapport aux retraités qui vivent dans les zones urbaines et l’impact économique et financier qu’il peut avoir.

Objet

Le vieillissement démographique se confirme en France. En 2050, la part des 60 ans et plus devrait atteindre 32 % (en Europe) et la part des personnes très âgées passerait de 3% à l’heure actuelle à 10% en 2050 » (selon l’étude de Barnay & Sermet, 2007).

Ce vieillissement est hétérogène sur le territoire national, Dans les espaces ruraux, plus qu’en milieu urbain, la tendance au vieillissement s’accentue. En effet, la part des personnes âgées et très âgées parmi l’ensemble de la population ne cesse d’y croître.

Selon l’étude de l’INSEE, en France métropolitaine, la part des retraités dans la population varie du simple au double selon les régions ou les départements. Elle est minimale en Ile-de-France (15,5 % en 2011 pour la région et 13,4 % pour le département de la Seine-Saint-Denis), tandis qu’elle est maximale dans le Limousin (29,2 % pour la région et 33,5 % pour le département de la Creuse).

Outre les écarts entre régions, les retraités semblent, en proportion, plus nombreux en milieu rural isolé qu’autour des grandes villes.

Cet amendement demande donc au Gouvernement de remettre un rapport au Parlement examinant les conséquences économiques et sociales du relèvement de l’âge de la retraite à 64 ans pour les Français vivant dans les zones rurales au regard de ceux qui vivent dans les zones urbaines.

L’enjeu d’une compréhension des spécificités du vieillissement en milieu rural et de leur principe organisateur, devient essentiel pour appréhender l’aménagement des territoires, le développement de services médico-sociaux en direction de la population âgée, l’accompagnement social des parcours de vie dans la vieillesse et permettre le développement d’une action publique adéquate et pertinente. En effet, les territoires ruraux ne sont pas tous également préparés à faire face au vieillissement voire à la gérontocroissance qui les concerne et les politiques locales prennent diversement en compte ces phénomènes.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3161

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Après l’article 7

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Dans un délai de trois mois à compter de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement présente au Parlement un rapport à propos de l’impact de la présente loi de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 sur les retraites des travailleurs et travailleuses immigrés compte tenu de leurs parcours de carrières spécifiques.

Objet

Selon une étude de l’INSEE[1], 2018, si les immigré.e.s représentent un peu moins de 10 % de la population française, ils représentent près de 20 % des personnes pauvres. Le niveau de vie moyen des immigré.e.s avant versement des prestations et prélèvement des impôts est inférieur de 26 % à celui des non-immigrés.  Les immigré.e.s originaires d’Afrique, qui représentent un peu moins de la moitié de la population immigrée, disposent du niveau de vie moyen le plus faible, inférieur de 29 % à celui des immigrés européens et de 33 % à celui des non-immigrés. Or, selon une étude de l’INSEE[2], à 62 ans, 25% des personnes les plus pauvres (5 premiers centiles) sont déjà décédées. Parmi ces derniers-ères, combien de personnes immigré.e.s ?

Une part des travailleurs-euses immigré.e.s ont des carrières hachées. Notamment en raison de discriminations à l’embauche, les personnes immigrées sont plus souvent au chômage : 8,5 % en moyenne contre 4,7 % pour les non-immigrés [Insee, 2021]. Ces situations les exposent davantage à de faibles pensions de retraites. De plus, certains travailleurs-euses immigrés-es sont entrés tardivement sur le marché du travail français.

Enfin, selon un article de la CATRED (collectif des accidentés du travail, handicapés et retraités pour l'égalité des droits), « Dans leurs relevés de carrière, il manque souvent de nombreuses années non déclarées par les employeurs. Le temps ayant passé, il n’est plus possible d’y revenir et ces vieux retraités, de façon massive, paient au prix fort les pratiques illégales d’employeurs peu scrupuleux (…) »[3].

Par conséquent, du fait de carrières à faibles salaires et incomplètes, beaucoup de travailleurs immigrés vivent avec l’ASPA, s’ils y ont droit. Un des critères pour bénéficier de l’ASPA (Allocation de Solidarité aux personnes âgées) est d’avoir « de façon continue depuis au moins 10 ans un titre de séjour autorisant à travailler », ce qui exclut une partie des travailleurs-euses immigré.e.s.

Premiers-ères embauché.e.s dans les secteurs où la main d’œuvre se fait rare, il semble que les travailleurs-euses étrangers-ères pâtiront du recul de l’âge de la retraite. Nous demandons donc que le Gouvernement remette au Parlement un rapport afin de mesurer les impacts de la présente loi sur les retraites des travailleuses et travailleurs immigré.e.s compte tenu de leurs parcours de carrières spécifiques.


[1] https://www.insee.fr/fr/statistiques/5371243?sommaire=5371304

[2] https://www.insee.fr/fr/statistiques/3319895?sommaire=3311425

[3] http://www.catred.org/L-acces-des-vieux-migrants-aux.html






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3186

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Après l'article 7

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Dans un délai de six mois à compter de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport évaluant les conséquences d'un report de l'âge légal de la retraite à 64 ans et de l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisation à 43 annuités sur l’augmentation des dépenses de santé publique.

Objet

Selon une étude du Centre d’Etude de l’Emploi et du Travail en 2023, la réforme de 2010 a augmenté sensiblement le nombre d’arrêts maladies ponctuels et de longue durée chez les séniors pour un surcoût estimé à 68 millions d’euros.

Cette étude laisse à penser qu’un nouveau report de l’AOD à 64 ans, la vulnérabilité augmentant avec l’âge et où le risque d’accidents professionnels devient plus important, devrait aussi se traduire par des surcoûts pour l’assurance maladie et l’AT-MP sans que cela ne soit évalué ni dans le Rapport fourni par le gouvernement, ni dans l’étude d’impact, ni dans l’annexe du présent projet de loi.

Pourtant selon Santé Publique France en 2018 le taux de mortalité chez les hommes de 55 ans salariés en activités est de 583 pour 100 000 alors qu'il est de 414 pour 100 000 à 50 ans et de 306 pour 100 000 à 45 ans. Cela marque un accroissement des risques et une baisse du taux de résistance à ces risques au fil des années pour les travailleurs.

Toutes les catégories ne sont pas touchées de façon similaires, la même étude de Santé Publique France démontrait une surprévalence des cardiopathies et des tumeurs malignes chez les ouvriers.

Selon la DARES en 2019, les ouvriers et les employés concentrent la quasi-totalité des maladies professionnelles reconnues l’année 2016 pour les salariés hors régime agricole.

Les maladies les plus graves concernent quasi exclusivement les ouvriers. Ces ouvriers qui, exposé à des produits chimiques dangereux, vont gonfler les rangs des malades atteints de cancers une fois à leur retraite sinon bien avant. Comme le démontrait l’enquête du GISCOP 93 (Groupement d’intérêt scientifique sur les cancers d’origine professionnelle en Seine-Saint-Denis) dans les hôpitaux de Seine-Saint-Denis, « La majorité des personnes exposées aujourd’hui aux cancérogènes professionnels sont des ouvriers » et chez les hommes, neuf patients sur dix atteint d’un cancer ont été exposés à au moins un cancérogène au cours de la vie professionnelle.

Par ailleurs, de nombreuses études concluent à un effet négatif de l’allongement de la vie active sur la santé, qu’elle soit objectivement décrite ou auto-évaluée.

Ainsi, les chercheuses Hélène Blake et Clémentine Garrouste en 2019 mettent en évidence un effet négatif de la réforme de 1993 en France sur la santé perçue, aussi bien mentale que physique chez les personnes les moins diplômés. Une autre étude menée par Ori Shai de l’université de Jérusalem en 2018 examine l’effet d’une réforme adoptée en Israël en 2014 et montre que celle-ci a été préjudiciable à la santé, en particulier pour les travailleurs les moins instruits.

Une étude du King’s College menée par Ludovico Carrino, Karen Glaser et Mauricio Avendano en 2020 montrent quant à eux que la réforme adoptée au Royaume-Uni en 2010 a entraîné une augmentation de la probabilité de symptômes dépressifs, ainsi qu'une augmentation du nombre de dépressions médicalement diagnostiquées chez les femmes aux professions peu qualifiées.

L’augmentation de la prévalence des taux de dépression et des troubles mentaux par le travail n’est pas un phénomène anodin puisque selon le Baromètre Malakoff Humanis, ils sont à l’origine de 20 % des arrêts de travail. Un chiffre en constante augmentation depuis 2016.

Or selon l’Agence Européenne pour la sécurité et la santé au travail, le coût des risques psychologiques au travail était déjà évalué à 3 milliards en France par an en 2013.

Si l’on en croit les études le report de l’âge devrait inévitablement faire monter ce chiffre du fait de l’augmentation de la prévalence des dépressions et des arrêts de travail.

En conséquence, l’information est incomplète en ne prenant pas en compte les effets de la réforme envisagée du report de l’AOD sur le système de santé, du fait des coûts qu’elle entrainera forcément par l’augmentation des arrêts maladie, l’augmentation prolongée de l’exposition aux agents chimiques provoquant des maladies ultérieurement à la période de travail (préjudice d’anxiété) et enfin des répercussion de ce report de l’âge sur la santé perçue et la santé mentale comme le démontre un certain nombres d’études et dont le coût est très important.

Pour toutes ces raisons cet amendement demande un rapport évaluant les conséquences d’un report de l’âge d’ouverture des droits sur l’augmentation des dépenses de santé publique.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 300

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. FÉRAUD


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Comme nous l’avons dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.

Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.

Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.

On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles.

Cet article va les contraindre à les faire travailler plus longtemps.

C’est pourquoi les sénateurs socialistes, écologistes et républicains proposent ici de supprimer cet article 8.

Tel est l’objet du présent amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 332

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. PLA


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.
Comme nous l’avons dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.
Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.
Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.
On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles.
Cet article va les contraindre à les faire travailler plus longtemps.
C’est pourquoi l'auteur de cet amendement propose ici de supprimer cet article 8.

Tel est l’objet du présent amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 386

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme FÉRET


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer l'article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Comme nous l’avons dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.

Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.

Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une carrière longue, les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.

On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles.

Cet article 8 va les contraindre à travailler plus longtemps.

C’est pourquoi, il est proposé de le supprimer. 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 469

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. FICHET


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Comme nous l’avons dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.

Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.

Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.

On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles.

Cet article va les contraindre à les faire travailler plus longtemps.

C’est pourquoi les sénateurs socialistes et apparentés proposent ici de supprimer cet article 8.

Tel est l’objet du présent amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 500

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme HARRIBEY


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Comme nous l’avons dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.

Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.

Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.

On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles.

Cet article va les contraindre à les faire travailler plus longtemps.

C’est pourquoi les sénateurs socialistes et apparentés proposent ici de supprimer cet article 8.

Tel est l’objet du présent amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 538

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. GILLÉ


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Comme nous l’avons dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.

Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.

Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.

On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles.

Cet article va les contraindre à les faire travailler plus longtemps.

Tel est l’objet du présent amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 547

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme VAN HEGHE


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Comme nous l’avons dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.

Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.

Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.

On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles.

Cet article va les contraindre à les faire travailler plus longtemps.

C’est pourquoi les sénateurs socialistes et apparentés proposent ici de supprimer cet article 8.

Tel est l’objet du présent amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 559

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. MICHAU


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

 

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Comme nous l’avons dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.

Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.

Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.

On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles.

Cet article va les contraindre à les faire travailler plus longtemps.

C’est pourquoi les sénateurs socialistes et apparentés proposent ici de supprimer cet article 8.

Tel est l’objet du présent amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 599

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. REDON-SARRAZY


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Comme nous l’avons dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.

Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.

Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.

On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles.

Cet article va les contraindre à les faire travailler plus longtemps.

C’est pourquoi les sénateurs socialistes et apparentés proposent ici de supprimer cet article 8.

Tel est l’objet du présent amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 628

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. DEVINAZ


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Comme nous l’avons dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.

Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.

Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.

On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles.

Cet article va les contraindre à les faire travailler plus longtemps.

C’est pourquoi les sénateurs socialistes et apparentés proposent ici de supprimer cet article 8.

Tel est l’objet du présent amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 646

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. CHANTREL


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs et sénatrices socialistes écologistes et républicains vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Comme nous l’avons dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.

Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.

Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.

On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles.

Cet article va les contraindre à les faire travailler plus longtemps.

C’est pourquoi les sénateurs et sénatrices socialistes écologistes et républicains proposent ici de supprimer cet article 8.

Tel est l’objet du présent amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 686

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LE HOUEROU


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Comme nous l’avons dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.

Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.

Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.

On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles.

Cet article va les contraindre à les faire travailler plus longtemps.

C’est pourquoi nous proposons ici de supprimer cet article 8.

Tel est l’objet du présent amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 715

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme BLATRIX CONTAT


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Comme nous l’avons dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.

Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.

Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.

On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles.

Cet article va les contraindre à les faire travailler plus longtemps.

C’est pourquoi les sénateurs socialistes et apparentés proposent ici de supprimer cet article 8.

Tel est l’objet du présent amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 746

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. Mickaël VALLET


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Comme nous l’avons dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.

Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.

Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.

On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles.

Cet article va les contraindre à les faire travailler plus longtemps.

C’est pourquoi les sénateurs socialistes et apparentés proposent ici de supprimer cet article 8.

Tel est l’objet du présent amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 796

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme de LA GONTRIE


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Comme dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.

Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.

Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.

On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles.

Cet article va les contraindre à les faire travailler plus longtemps.

C’est pourquoi cet amendement vise à supprimer cet article 8.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 841

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. LOZACH


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Comme nous l’avons dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.

Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.

Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.

On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles.

Cet article va les contraindre à les faire travailler plus longtemps.

C’est pourquoi les sénateurs socialistes et apparentés proposent ici de supprimer cet article 8.

Tel est l’objet du présent amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 851

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. JACQUIN


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Comme nous l’avons dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.

Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.

Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.

On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles.

Cet article va les contraindre à les faire travailler plus longtemps.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 881

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. DURAIN


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Comme nous l’avons dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.

Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.

Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.

On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles.

Cet article va les contraindre à les faire travailler plus longtemps.

C’est pourquoi les sénateurs socialistes et apparentés proposent ici de supprimer cet article 8.

Tel est l’objet du présent amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 918

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. LUREL


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Comme nous l’avons dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.

Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.

Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.

On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles.

Cet article va les contraindre à les faire travailler plus longtemps.

C’est pourquoi les députés socialistes et apparentés proposent ici de supprimer cet article 8.

Tel est l’objet du présent amendement."

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 936

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme ARTIGALAS


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Comme nous l’avons dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.

Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.

Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.

On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles.

Cet article va les contraindre à les faire travailler plus longtemps.

C’est pourquoi les sénateurs socialistes et apparentés proposent ici de supprimer cet article 8.

Tel est l’objet du présent amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 961

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. CARDON


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Comme nous l’avons dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.

Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.

Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.

On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles.

Cet article va les contraindre à les faire travailler plus longtemps.

C’est pourquoi les sénateurs socialistes et apparentés proposent ici de supprimer cet article 8.

Tel est l’objet du présent amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 999

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. RAYNAL


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Comme nous l’avons dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.

Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.

Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.

On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles.

Cet article va les contraindre à les faire travailler plus longtemps.

C’est pourquoi cet amendement propose de supprimer cet article 8.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1045

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme Gisèle JOURDA


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.
Comme nous l’avons dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.
Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.
Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.
On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles. Cet article va les contraindre à les faire travailler plus longtemps.

C'est pourquoi nous souhaitons sa suppression.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1090

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. TISSOT


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Comme nous l’avons dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.

Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.

Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.

On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles.

Cet article va les contraindre à les faire travailler plus longtemps.

C’est pourquoi les sénateurs socialistes et apparentés proposent ici de supprimer cet article 8.

Tel est l’objet du présent amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1116

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. ÉBLÉ


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Comme nous l’avons dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.

Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.

Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.

On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles.

Cet article va les contraindre à les faire travailler plus longtemps.

C’est pourquoi les députés socialistes et apparentés proposent ici de supprimer cet article 8.

Tel est l’objet du présent amendement."


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1156 rect. bis

4 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Comme nous l'avons dénoncé à l'article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.

Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l'âge légal de départ anticipé.

Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d'activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.

On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles.

Cet article va les contraindre à les faire travailler plus longtemps.

C'est pourquoi cet amendement propose de supprimer cet article 8.

Tel est l'objet du présent amendement."

 

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1192

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme Sylvie ROBERT


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Le principal objet de cet article est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé. Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.

On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles. Cet article va les contraindre à les faire travailler plus longtemps. C’est pourquoi les députés socialistes et apparentés proposent ici de supprimer cet article 8.

Tel est l’objet du présent amendement


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1201

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. HOULLEGATTE


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet  amendement vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.
Comme nous l’avons dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.
Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.
Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.
On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles.
Cet article va les contraindre à les faire travailler plus longtemps.

C’est pourquoi il est proposé ici de supprimer cet article 8.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1225

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. MÉRILLOU


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Comme nous l’avons dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.

Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.

Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.

On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles.

Cet article va les contraindre à les faire travailler plus longtemps.

C’est pourquoi les sénateurs socialistes, écologistes et républicains proposent ici de supprimer cet article 8.

Tel est l’objet du présent amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1261

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme JASMIN


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Comme nous l’avons dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.

Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.

Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.

On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles.

Cet article va les contraindre à les faire travailler plus longtemps.

C’est pourquoi les députés socialistes et apparentés proposent ici de supprimer cet article 8.

Tel est l’objet du présent amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1293

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. MONTAUGÉ


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Comme nous l’avons dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.

Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.

Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.

On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles.

Cet article va les contraindre à les faire travailler plus longtemps.

C’est pourquoi les sénateurs du groupe socialiste, écologiste et républicain proposent ici de supprimer cet article 8.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1328

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme PRÉVILLE


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Comme nous l’avons dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.

Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.

Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.

On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles.

Cet article va les contraindre à les faire travailler plus longtemps.

C’est pourquoi les députés socialistes et apparentés proposent ici de supprimer cet article 8.

Tel est l’objet du présent amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1358

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. MARIE


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

L'objet de cet amendement est de supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Comme dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace. Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.

Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.

On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles. Cet article va les contraindre à les faire travailler plus longtemps.

C’est pourquoi il est proposé de supprimer cet article 8.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1391

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. BOURGI


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Comme nous l’avons dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.

Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.

Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.

On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles.

Cet article va les contraindre à les faire travailler plus longtemps.

C’est pourquoi les sénateurs socialistes proposent ici de supprimer cet article 8.

Tel est l’objet du présent amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1424

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. SUEUR


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Comme nous l’avons dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.

Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.

Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.

On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles.

Cet article va les contraindre à les faire travailler plus longtemps.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1454

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. KERROUCHE


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs du groupe Socialiste, écologiste et républicains vise à supprimer l'article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Comme nous l’avons dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.

Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.

Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.

On le voit, la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles.

Cet article va les contraindre à travailler plus longtemps.

C’est pourquoi les sénateurs du groupe Socialiste, écologiste et républicains proposent ici de supprimer l'article 8.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1468

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. STANZIONE


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à supprimer cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.
Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.
On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles.
Cet article va les contraindre à les faire travailler plus longtemps.
C’est pourquoi les députés socialistes et apparentés proposent ici de supprimer cet article 8, profondément injuste et injustifié.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1485

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme CONWAY-MOURET


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Comme nous l’avons dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.

Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.

Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.

On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles.

Cet article va les contraindre à les faire travailler plus longtemps.

C’est pourquoi les députés socialistes et apparentés proposent ici de supprimer cet article 8.

Tel est l’objet du présent amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1522

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme Martine FILLEUL


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.


Comme nous l’avons dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.


Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.


Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.


On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles.


Cet article va les contraindre à les faire travailler plus longtemps.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1558

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme MONIER


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Comme nous l’avons dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.

Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.

Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.

On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1574

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme CARLOTTI


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.
Comme nous l’avons dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.
Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.
Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.
On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles.
Cet article va les contraindre à les faire travailler plus longtemps.
C’est pourquoi les sénateurs socialistes écologistes et républicains proposent ici de supprimer cet article 8.
Tel est l’objet du présent amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1610

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. Joël BIGOT


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1640

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme POUMIROL


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Comme nous l’avons dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.

Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.

Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.

On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles.

Cet article va les contraindre à les faire travailler plus longtemps.

Ainsi, il convient de supprimer l'article 8.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1679

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme BONNEFOY


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1714

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. BOUAD


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Comme nous l’avons dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.

Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.

Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.

On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles.

Cet article va les contraindre à les faire travailler plus longtemps.

C’est pourquoi les sénateurs socialistes et apparentés proposent ici de supprimer cet article 8.

Tel est l’objet du présent amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1734

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. LECONTE


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Comme nous l’avons dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.


Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.


Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.


On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles.


Cet article va les contraindre à les faire travailler plus longtemps.

Il est donc proposé ici de supprimer cet article 8.

Tel est l’objet du présent amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1767

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme MEUNIER


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénatrices et sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Comme nous l’avons dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.

Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.

Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.

On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles.

Cet article va les contraindre à les faire travailler plus longtemps.

C’est pourquoi les sénatrices et sénateurs socialistes écologistes et républicains proposent ici de supprimer cet article 8.

Tel est l’objet du présent amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1780

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. TODESCHINI


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Comme nous l’avons dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.

Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.

Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.

On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles.

Cet article va les contraindre à les faire travailler plus longtemps.

C’est pourquoi les députés socialistes et apparentés proposent ici de supprimer cet article 8.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1807

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. JOMIER


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Comme nous l’avons dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.

Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.

Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.

On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles.

Cet article va les contraindre à travailler plus longtemps.

C’est pourquoi les députés socialistes et apparentés proposent ici de supprimer cet article 8.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1837

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. KANNER


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Comme nous l’avons dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.

Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1859

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. ASSOULINE


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Comme nous l’avons dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.

Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.

Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.

On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles.

Cet article va les contraindre à les faire travailler plus longtemps.

C’est pourquoi les sénateurs socialistes, écologistes et républicains proposent ici de supprimer cet article 8.

Tel est l’objet du présent amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1925

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. Patrice JOLY


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Comme nous l’avons dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.

Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.

Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.

On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles.

Cet article va les contraindre à les faire travailler plus longtemps.

C’est pourquoi les députés socialistes et apparentés proposent ici de supprimer cet article 8.

Tel est l’objet du présent amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2005

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme ROSSIGNOL


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Comme nous l’avons dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.

Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.

Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.

On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles.

Cet article va les contraindre à les faire travailler plus longtemps.

C’est pourquoi les sénateurs socialistes et apparentés proposent ici de supprimer cet article 8.

Tel est l’objet du présent amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2087

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. JEANSANNETAS


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Comme nous l’avons dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.

Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.

Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.

On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles.

Cet article va les contraindre à les faire travailler plus longtemps.

C’est pourquoi les sénateurs socialistes proposent ici de supprimer cet article 8.

Tel est l’objet du présent amendement."


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2277

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme ESPAGNAC


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à supprimer cet article 8 qui adapte les règles de départs anticipés à la suite du relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Comme nous l’avons dénoncé à l’article 7, cette réforme est profondément injuste, inutile et inefficace.

Tel est le cas également de cet article 8 dont le principal objet est de décaler de 60 à 62 ans l’âge légal de départ anticipé.

Ce sont les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH, les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d’activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle, les fonctionnaires handicapés, les fonctionnaires ayant eu une carrière longue, les titulaires d’un compte professionnel de prévention qui vont en pâtir.

On le voit : la liste est longue et touche des personnes particulièrement fragiles.

Cet article va les contraindre à les faire travailler plus longtemps.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3278

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Cet article crée une disposition générique concernant les départs anticipés à la fois pour carrière longue, pour des raisons liées à l’état de santé, au handicap, à l’incapacité permanente des assurés ou à l’invalidité/inaptitude. Les conditions de départ anticipé sont ensuite définies par décret sans que la durée d’anticipation ne puisse être inférieure à 2 ans, soit 62 ans à terme.

Les dispositions prévues par le PLFRSS maintiennent la retraite anticipée pour inaptitude ou invalidité à 62 ans et pour handicap à 55 ans.

Consulté pour avis à propos du PLFRSS pour 2023, le Conseil de la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie (CNSA) a émis un avis défavorable. Parmi les causes avancées, les mesures qui concernent les personnes en situation de handicap : « Les membres du conseil ont également exprimé de très fortes réserves sur les mesures formulées en direction des personnes invalides ou en situation de handicap. Il leur apparaît en effet contestable de présenter certaines mesures de statu quo ou de faible avancée telles que le maintien de la retraite anticipée pour inaptitude à 62 ans et pour handicap à 55 ans, ou la réduction de la durée d’assurance nécessaire pour accéder à la retraite anticipée, comme des progrès sociaux. Avec des taux de chômage et de pauvreté largement supérieurs à la moyenne nationale, une fatigabilité importante et des carrières en dents de scie, les personnes en situation de handicap sont fortement pénalisées à l’âge de la retraite. La réforme proposée n’apporte pour la majorité des membres du Conseil aucune réponse à la hauteur des enjeux et va même renforcer la précarisation de ces personnes ».

Les acteurs associatifs du secteur du Handicap se prononcent contre le projet de loi dans son ensemble

Selon le Collectif Handicaps, « Avec le projet de réforme, les situations où les personnes ne sont plus en emploi mais ne peuvent pas non plus liquider leurs droits à retraite, et vivent dans une situation de précarité et de pauvreté, vont se poursuivre et se multiplier. Pour ces publics, même 62 ans demeure un âge trop élevé » [Collectif Handicaps].

En effet, les départs anticipés à la retraite bénéficient davantage aux personnes sans incapacité. En 2018, 42 % de ces dernières sont déjà retraitées dans l’année qui précède l’âge légal minimal de droit commun, contre 19 % des personnes handicapées [DREES, 2020].

Selon le Collectif Handicap, le report de l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans va pénaliser les personnes en situation de handicap qui ne peuvent pas bénéficier des dispositifs dérogatoires (ne remplissant pas les conditions administratives) mais qui rencontrent de grandes difficultés pour se maintenir en emploi jusqu’à l’âge de départ à la retraite Les départs anticipés au titre du handicap restent très marginaux. Au cours de l’année 2021, 128 015 retraites anticipées ont été attribuées par le régime général : 125 784 au titre d’une longue carrière et 2 231 pour assurés handicapés (soit, 0,3 % des départs) [Chiffres de la CNAV].

D’après l’enquête Emploi de l’Insee, en 2018, les personnes considérées comme handicapées (car fortement limitées dans les activités de la vie quotidienne) liquident leur retraite à 62,4 ans en moyenne, soit 0,3 an de plus que les personnes sans incapacité. Étant par ailleurs moins souvent en emploi, elles passent en moyenne 8,5 années sans emploi ni retraite après 50 ans, contre 1,8 an pour les personnes sans incapacité. Cet écart s’est accru depuis 2013, sous l’effet de la réforme des retraites de 2010 [« Les personnes ayant des incapacités quittent le marché du travail plus jeunes mais liquident leur retraite plus tard », DREES, 2020]

Le collectif Handicaps exprime dans son communiqué de presse la position suivante : « Le recul de l’âge de départ à la retraite va aggraver la précarisation de tous les travailleurs qui ne bénéficient pas de dispositifs dérogatoires et qui ont déjà des difficultés d’accès à l’emploi, en plus d’avoir un impact direct sur l’état de santé des travailleurs. Il s’oppose donc à cette mesure et appelle à une meilleure prise en compte de la pénibilité et de la fatigabilité dans le calcul des droits à la retraite. Les travailleurs doivent pouvoir bénéficier de la retraite sans attendre qu’un (sur-) handicap ou une maladie survienne. Concernant les aidants, le Collectif Handicaps appelle à transformer la mesurette que contient le projet de loi en véritable progrès social, afin de mieux tenir compte des efforts qu’ils produisent au quotidien (souvent faute d’autres solutions, car la solidarité nationale ne prend pas le relais de la solidarité familiale). Enfin, l’annonce d’une pension de 1 200 euros minimum par mois ne permettra pas de sortir les travailleurs handicapés et les aidants de la précarité : en effet, seules les personnes ayant une carrière complète et un salaire moyen au niveau du SMIC en bénéficieront. Avec cette mesure, les retraités aux carrières hachées ou ayant travaillé à temps partiels ne verront pas leurs pensions augmenter, ce qui est parfaitement injuste. »

Par cet amendement, nous demandons donc une suppression de l’article 8.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4328 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 8


Supprimer cet article.

Objet

Les membres du groupe CRCE demandent la suppression de cet article 8 qui vise à adapter les règles de départ anticipé qui résulteraient de l’adoption de l’article 7. Étant farouchement opposés au report de l’âge légal de départ à la retraite, ils ne peuvent que s’opposer à cet article qui en traduit les conséquences pour certaines catégories de travailleuses et de travailleurs et ainsi, alléger quelque peu la douloureuse, tout en demandant à ceux-là de travailler deux ans de plus que dans le système actuel.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4329 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 8


Alinéas 1 à 56

Supprimer ces alinéas.

Objet

Par cet amendement, nous proposons de supprimer la limitation par décret du départ anticipé pour carrière longue, retraite progressive, handicap ou incapacité.

Certes, la réforme maintient le départ anticipé de 2 ans pour les carrières longues, le handicap ou encore l'inaptitude mais le dispositif est bien évidemment décliné pour suivre le recul de l’âge légal.

Alors que l'âge légal de départ à la retraite est reculé à 64 ans, abaisser la limitation d'anticipation n'a pour effet que de ramener l'âge de départ anticipé à 62 ans.

Ainsi, ceux qui ont commencé à travailler tôt, ont de longues durées d’assurance et qui peuvent partir dès qu’ils ont atteint l’âge légal seront pénalisés.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2863 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 8


Alinéas 1 à 42

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à supprimer le décalage à 62 ans de l'âge de départ anticipé à la retraite pour le régime des professions libérales et des travailleurs indépendants.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2127 rect.

7 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Favorable
Adopté

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 8


I. – Après l’alinéa 14

Insérer trois alinéas ainsi rédigés :

...° Après l'article L. 351-1-2 du code de la sécurité sociale, il est inséré un article L. 351-1-2-... ainsi rédigé :

« Art. L. 351-1-2-.... - Pour les assurés qui bénéficient d'au moins un trimestre de majoration de durée d'assurance au titre des articles L. 351-4, L. 351-4-1 ou L. 351-5, la durée d'assurance ayant donné lieu à cotisations à la charge de l'assuré accomplie l'année précédant l'âge mentionné à l'article L. 161-17-2 lorsque celui-ci est égal ou supérieur à soixante-trois ans et au-delà de la limite mentionnée au deuxième alinéa de l'article L. 351-1 ouvre droit à une majoration de pension dans les mêmes conditions que celles prévues au premier alinéa de l'article L. 351-1-2.

« Un décret en Conseil d’État détermine les conditions dans lesquelles le présent article s'applique aux assurés affiliés à plusieurs régimes légaux ou rendus légalement obligatoires d'assurance vieillesse, de façon à permettre la prise en compte, pour le bénéfice de la majoration de pension mentionnée au premier alinéa, des trimestres de majoration de durée d'assurance ou de bonification accordés à l'assuré au même titre que ceux mentionnés au même alinéa par les autres régimes. » ;

II. – Après l’alinéa 22

Insérer trois alinéas ainsi rédigés :

...) Le I est complété par deux alinéas ainsi rédigés :

« Pour les assurés qui bénéficient d'au moins un trimestre de majoration de durée d'assurance au titre des articles L. 351-4, L. 351-4-1 ou L. 351-5, la durée d'assurance ayant donné lieu à cotisations à la charge de l'assuré accomplie l'année précédant l'âge mentionné à l'article L. 161-17-2 lorsque celui-ci est égal ou supérieur à soixante-trois ans et au-delà de la limite mentionnée au deuxième alinéa de l'article L. 351-1 ouvre droit à une majoration de pension dans les mêmes conditions que celles prévues à la première phrase du quatrième alinéa du présent article.

« Un décret en Conseil d’État détermine les conditions dans lesquelles le présent article s'applique aux assurés affiliés à plusieurs régimes légaux ou rendus légalement obligatoires d'assurance vieillesse, de façon à permettre la prise en compte, pour le bénéfice de la majoration de pension mentionnée au cinquième alinéa, des trimestres de majoration de durée d'assurance ou de bonification accordés à l'assuré au même titre que ceux mentionnés au même alinéa par les autres régimes. » ;

III. – Après l’alinéa 32

Insérer trois alinéas ainsi rédigés :

...) Le I est complété par deux alinéas ainsi rédigés :

« Pour les assurés qui bénéficient d'au moins un trimestre de majoration de durée d'assurance au titre des articles L. 351-4, L. 351-4-1 ou L. 351-5, la durée d'assurance ayant donné lieu à cotisations à la charge de l'assuré accomplie l'année précédant l'âge mentionné à l'article L. 161-17-2 lorsque celui-ci est égal ou supérieur à soixante-trois ans et au-delà de la limite mentionnée au deuxième alinéa de l'article L. 351-1 ouvre droit à une majoration de pension dans les mêmes conditions que celles prévues à la première phrase du quatrième alinéa du présent article.

« Un décret en Conseil d’État détermine les conditions dans lesquelles le présent article s'applique aux assurés affiliés à plusieurs régimes légaux ou rendus légalement obligatoires d'assurance vieillesse, de façon à permettre la prise en compte, pour le bénéfice de la majoration de pension mentionnée au cinquième alinéa, des trimestres de majoration de durée d'assurance ou de bonification accordés à l'assuré au même titre que ceux mentionnés au même alinéa par les autres régimes. » ;

IV. – Après l’alinéa 46

Insérer deux alinéas ainsi rédigés :

...° L’article L. 14 est complété par deux alinéas ainsi rédigés :

« IV. - Pour les assurés qui bénéficient d'au moins un trimestre de majoration de durée d'assurance ou de bonification au titre des b et b bis de l'article L. 12 ou des articles L. 12 bis ou L. 12 ter, la durée d'assurance ayant donné lieu à cotisations à la charge de l'assuré accomplie l'année précédant l'âge mentionné à l'article L. 161-17-2 du code de la sécurité sociale lorsque celui-ci est égal ou supérieur à soixante-trois ans et au-delà de la limite mentionnée au premier alinéa du I de l'article L. 13 du présent code ouvre droit à une majoration de pension dans les mêmes conditions que celles prévues

« Un décret en Conseil d’État détermine les conditions dans lesquelles le présent article s'applique aux assurés affiliés à plusieurs régimes légaux ou rendus légalement obligatoires d'assurance vieillesse, de façon à permettre la prise en compte, pour le bénéfice de la majoration de pension mentionnée au premier alinéa du présent IV, des trimestres de majoration de durée d'assurance ou de bonification accordés à l'assuré au même titre que ceux mentionnés au même alinéa par les autres régimes. » ;

V. – Après l’alinéa 73

Insérer trois alinéas ainsi rédigés :

...° Après l'article L. 732-25-1, il est inséré un article L. 732-25-1-... ainsi rédigé :

« Art. L. 732-25-1-.... - Pour les assurés qui bénéficient d'au moins un trimestre de majoration de durée d'assurance au titre du premier alinéa de l'article L. 732-38, la durée d'assurance ayant donné lieu à cotisations à la charge de l'assuré accomplie l'année précédant l'âge mentionné à l'article L. 161-17-2 du code de la sécurité sociale lorsque celui-ci est égal ou supérieur à soixante-trois ans et au-delà de la durée minimale mentionnée à l'article L. 732-25 du présent code ouvre droit à une majoration de pension dans les mêmes conditions que celles prévues au premier alinéa de l'article L. 732-25-1.

« Un décret en Conseil d’État détermine les conditions dans lesquelles le présent article s'applique aux assurés affiliés à plusieurs régimes légaux ou rendus légalement obligatoires d'assurance vieillesse, de façon à permettre la prise en compte, pour le bénéfice de la majoration de pension mentionnée au premier alinéa du présent article, des trimestres de majoration de durée d'assurance ou de bonification accordés à l'assuré au même titre que ceux mentionnés au même alinéa par les autres régimes. » ;

Objet

En l’état du texte proposé par le Gouvernement, les assurés atteignant la durée d’assurance requise pour l’obtention du taux plein grâce à leurs trimestres de majoration de durée d’assurance au titre de la maternité, de l’adoption ou de l’éducation des enfants avant l’âge légal de 64 ans, c’est-à-dire essentiellement les mères de famille, cotiseraient « à perte » jusqu’à ce qu’elles atteignent cet âge.

En effet, la surcote, qui correspond à une majoration de la pension de 1,25 % par trimestre, n’est accordée qu’en contrepartie des trimestres cotisés par l’assuré au-delà de la durée requise et de l’âge légal.

Dans un souci de justice et de prise en compte des difficultés professionnelles rencontrées par les mères de famille du fait de la naissance et de l’éducation de leurs enfants, cet amendement vise à accorder le bénéfice d’une surcote de 1,25 % par trimestre supplémentaire aux assurés ayant atteint la durée d’assurance requise un an avant l’âge légal, soit 63 ans au terme de la montée en charge de la réforme, et ayant obtenu au moins un trimestre de majoration de durée d’assurance au titre de la maternité, de l’adoption ou de l’éducation des enfants dans le secteur privé ou dans la fonction publique.

Dans la mesure où la natalité constitue l’enjeu essentiel de l’équilibre financier du système de retraite à long terme, il est important de témoigner aux mères de famille la reconnaissance que leur porte la Nation.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4876

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2127 rect. de la commission des affaires sociales

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. GILLÉ


ARTICLE 8


Amendement n° 2127

1° Alinéa 4

Compléter cet alinéa par les mots :

ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à soixante-deux ans, selon des modalités fixées par décret

2° Alinéas 9, 14, 19 et 25

Après les mots :

majoration de pension

insérer les mots :

ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à soixante-deux ans

Objet

Cet amendement vise à donner le choix aux mères qui bénéficient de la durée d’assurance requise pour l’obtention du taux plein grâce à leurs trimestres de majoration de durée d’assurance au titre de la maternité mais ne peuvent pas partir à la retraite faute d’avoir atteint l’âge légal de pouvoir partir en retraite plus tôt.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4879

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2127 rect. de la commission des affaires sociales

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme VAN HEGHE


ARTICLE 8


Alinéa 4

I. Alinéa 4

Après les mots : " L. 351-1-2" ajouter les mots "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans, selon des modalités fixées par décret"

II. Alinéa 9

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

III. Alinéa 14

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

IV. Alinéa 19

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

V. Alinéa 25

"majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

 

Objet

Cet amendement vise à donner le choix aux mères qui bénéficient de la durée d’assurance requise pour l’obtention du taux plein grâce à leurs trimestres de majoration de durée d’assurance au titre de la maternité mais ne peuvent pas partir à la retraite faute d’avoir atteint l’âge légal de pouvoir partir en retraite plus tôt.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4880

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2127 rect. de la commission des affaires sociales

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. JOMIER


ARTICLE 8


I. Alinéa 4

Après les mots : " L. 351-1-2" ajouter les mots "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans, selon des modalités fixées par décret"

II. Alinéa 9

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

III. Alinéa 14

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

IV. Alinéa 19

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

V. Alinéa 25

"majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

Objet

Cet amendement vise à donner le choix aux mères qui bénéficient de la durée d’assurance requise pour l’obtention du taux plein grâce à leurs trimestres de majoration de durée d’assurance au titre de la maternité mais ne peuvent pas partir à la retraite faute d’avoir atteint l’âge légal de pouvoir partir en retraite plus tôt.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4881

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2127 rect. de la commission des affaires sociales

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme BONNEFOY


ARTICLE 8


I. Alinéa 4

Après les mots : " L. 351-1-2" ajouter les mots "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans, selon des modalités fixées par décret"

II. Alinéa 9

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

III. Alinéa 14

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

IV. Alinéa 19

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

V. Alinéa 25

"majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

Objet

Cet amendement vise à donner le choix aux mères qui bénéficient de la durée d’assurance requise pour l’obtention du taux plein grâce à leurs trimestres de majoration de durée d’assurance au titre de la maternité mais ne peuvent pas partir à la retraite faute d’avoir atteint l’âge légal de pouvoir partir en retraite plus tôt.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4883 rect.

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2127 rect. de la commission des affaires sociales

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. DURAIN


ARTICLE 8


Amendement n° 2127

I. Alinéa 4

Après les mots : " L. 351-1-2" ajouter les mots "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans, selon des modalités fixées par décret"

II. Alinéa 9

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

III. Alinéa 14

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

IV. Alinéa 19

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

V. Alinéa 25

"majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

Objet

Cet amendement vise à donner le choix aux mères qui bénéficient de la durée d’assurance requise pour l’obtention du taux plein grâce à leurs trimestres de majoration de durée d’assurance au titre de la maternité mais ne peuvent pas partir à la retraite faute d’avoir atteint l’âge légal de pouvoir partir en retraite plus tôt.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4885

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2127 rect. de la commission des affaires sociales

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. JACQUIN


ARTICLE 8


Amendement n° 2127

1° Alinéa 4

Compléter cet alinéa par les mots :

ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à soixante-deux ans, selon des modalités fixées par décret

2° Alinéas 9, 14, 19 et 25

Après les mots :

majoration de pension

insérer les mots :

ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à soixante-deux ans

Objet

Cet amendement vise à donner le choix aux mères qui bénéficient de la durée d’assurance requise pour l’obtention du taux plein grâce à leurs trimestres de majoration de durée d’assurance au titre de la maternité mais ne peuvent pas partir à la retraite faute d’avoir atteint l’âge légal de pouvoir partir en retraite plus tôt.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4890

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2127 rect. de la commission des affaires sociales

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. Joël BIGOT


ARTICLE 8


I. Alinéa 4

Après les mots : " L. 351-1-2" ajouter les mots "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans, selon des modalités fixées par décret"

II. Alinéa 9

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

III. Alinéa 14

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

IV. Alinéa 19

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

V. Alinéa 25

"majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

Objet

Cet amendement vise à donner le choix aux mères qui bénéficient de la durée d’assurance requise pour l’obtention du taux plein grâce à leurs trimestres de majoration de durée d’assurance au titre de la maternité mais ne peuvent pas partir à la retraite faute d’avoir atteint l’âge légal de pouvoir partir en retraite plus tôt.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4892

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2127 rect. de la commission des affaires sociales

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. KERROUCHE


ARTICLE 8


ARTICLE 8

Amendement n° 2127

I. Alinéa 4

Après les mots : " L. 351-1-2" ajouter les mots "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans, selon des modalités fixées par décret"

II. Alinéa 9

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

III. Alinéa 14

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

IV. Alinéa 19

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

V. Alinéa 25

"majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

Objet

Cet amendement vise à donner le choix aux mères qui bénéficient de la durée d’assurance requise pour l’obtention du taux plein grâce à leurs trimestres de majoration de durée d’assurance au titre de la maternité mais ne peuvent pas partir à la retraite faute d’avoir atteint l’âge légal de pouvoir partir en retraite plus tôt.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4887

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2127 rect. de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Non soutenu

M. FÉRAUD


ARTICLE 8


I. Alinéa 4

Après les mots : " L. 351-1-2" ajouter les mots "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans, selon des modalités fixées par décret"

II. Alinéa 9

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

III. Alinéa 14

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

IV. Alinéa 19

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

V. Alinéa 25

"majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

Objet

Cet amendement vise à donner le choix aux mères qui bénéficient de la durée d’assurance requise pour l’obtention du taux plein grâce à leurs trimestres de majoration de durée d’assurance au titre de la maternité mais ne peuvent pas partir à la retraite faute d’avoir atteint l’âge légal de pouvoir partir en retraite plus tôt.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4893

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2127 rect. de la commission des affaires sociales

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LE HOUEROU


ARTICLE 8


Article 8

I. Alinéa 4

Après les mots : " L. 351-1-2" ajouter les mots "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans, selon des modalités fixées par décret"

II. Alinéa 9

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

III. Alinéa 14

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

IV. Alinéa 19

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

V. Alinéa 25

"majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

Objet

Cet amendement vise à donner le choix aux mères qui bénéficient de la durée d’assurance requise pour l’obtention du taux plein grâce à leurs trimestres de majoration de durée d’assurance au titre de la maternité mais ne peuvent pas partir à la retraite faute d’avoir atteint l’âge légal de pouvoir partir en retraite plus tôt.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4900

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2127 rect. de la commission des affaires sociales

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme BLATRIX CONTAT


ARTICLE 8


Article 8

I. Alinéa 4

Après les mots : " L. 351-1-2" ajouter les mots "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans, selon des modalités fixées par décret"

II. Alinéa 9

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

III. Alinéa 14

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

IV. Alinéa 19

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

V. Alinéa 25

"majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

Objet

Cet amendement vise à donner le choix aux mères qui bénéficient de la durée d’assurance requise pour l’obtention du taux plein grâce à leurs trimestres de majoration de durée d’assurance au titre de la maternité mais ne peuvent pas partir à la retraite faute d’avoir atteint l’âge légal de pouvoir partir en retraite plus tôt.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4891

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2127 rect. de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Non soutenu

Mme CONCONNE


ARTICLE 8


I. Alinéa 4

Après les mots : " L. 351-1-2" ajouter les mots "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans, selon des modalités fixées par décret"

II. Alinéa 9

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

III. Alinéa 14

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

IV. Alinéa 19

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

V. Alinéa 25

"majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"



Objet

Ce sous-amendement vise à donner le choix aux mères qui bénéficient de la durée d’assurance requise pour l’obtention du taux plein grâce à leurs trimestres de majoration de durée d’assurance au titre de la maternité mais ne peuvent pas partir à la retraite faute d’avoir atteint l’âge légal de pouvoir partir en retraite plus tôt.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4909

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2127 rect. de la commission des affaires sociales

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. TISSOT


ARTICLE 8


I. Alinéa 4

Après les mots : " L. 351-1-2" ajouter les mots "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans, selon des modalités fixées par décret"

II. Alinéa 9

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

III. Alinéa 14

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

IV. Alinéa 19

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

V. Alinéa 25

"majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

Objet

Cet amendement vise à donner le choix aux mères qui bénéficient de la durée d’assurance requise pour l’obtention du taux plein grâce à leurs trimestres de majoration de durée d’assurance au titre de la maternité mais ne peuvent pas partir à la retraite faute d’avoir atteint l’âge légal de pouvoir partir en retraite plus tôt.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4911

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2127 rect. de la commission des affaires sociales

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme MONIER


ARTICLE 8


Amendement n° 2127

I. Alinéa 4

Après les mots : " L. 351-1-2" ajouter les mots "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans, selon des modalités fixées par décret"

II. Alinéa 9

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

III. Alinéa 14

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

IV. Alinéa 19

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

V. Alinéa 25

"majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

Objet

Cet amendement vise à donner le choix aux mères qui bénéficient de la durée d’assurance requise pour l’obtention du taux plein grâce à leurs trimestres de majoration de durée d’assurance au titre de la maternité mais ne peuvent pas partir à la retraite faute d’avoir atteint l’âge légal de pouvoir partir en retraite plus tôt.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4913

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2127 rect. de la commission des affaires sociales

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. Mickaël VALLET


ARTICLE 8


I. Alinéa 4

Après les mots : " L. 351-1-2" ajouter les mots "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans, selon des modalités fixées par décret"

II. Alinéa 9

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

III. Alinéa 14

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

IV. Alinéa 19

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

V. Alinéa 25

"majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

Objet

Cet amendement vise à donner le choix aux mères qui auraient atteint le nombre de trimestre avant 64 ans grâce aux trimestres de majoration de durée au titre de la maternité de choisir entre:

- le bénéfice d’une surcote de 1,25 % par trimestre supplémentaire jusqu'à 64 ans

ou

- de prétendre à un départ à la retraite anticipé sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4896

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2127 rect. de la commission des affaires sociales

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. FICHET


ARTICLE 8


Alinéa 4

I. Alinéa 4

Après les mots : " L. 351-1-2" ajouter les mots "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans, selon des modalités fixées par décret"

II. Alinéa 9

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

III. Alinéa 14

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

IV. Alinéa 19

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

V. Alinéa 25

"majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

 

Objet

Cet amendement vise à donner le choix aux mères qui bénéficient de la durée d’assurance requise pour l’obtention du taux plein grâce à leurs trimestres de majoration de durée d’assurance au titre de la maternité mais ne peuvent pas partir à la retraite faute d’avoir atteint l’âge légal de pouvoir partir en retraite plus tôt.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4915

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2127 rect. de la commission des affaires sociales

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme MEUNIER


ARTICLE 8


1° Alinéa 4

Compléter cet alinéa par les mots :

ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à soixante-deux ans, selon des modalités fixées par décret

2° Alinéas 9, 14, 19 et 25

Après les mots :

majoration de pension

insérer les mots :

ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à soixante-deux ans

Objet

Cet amendement vise à donner le choix aux mères qui bénéficient de la durée d’assurance requise pour l’obtention du taux plein grâce à leurs trimestres de majoration de durée d’assurance au titre de la maternité mais ne peuvent pas partir à la retraite faute d’avoir atteint l’âge légal de pouvoir partir en retraite plus tôt.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4898

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2127 rect. de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Non soutenu

Mme POUMIROL


ARTICLE 8


I. Alinéa 4

Après les mots : " L. 351-1-2" ajouter les mots "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans, selon des modalités fixées par décret"

II. Alinéa 9

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

III. Alinéa 14

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

IV. Alinéa 19

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

V. Alinéa 25

"majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

Objet

Cet amendement vise à donner le choix aux mères qui bénéficient de la durée d’assurance requise pour l’obtention du taux plein grâce à leurs trimestres de majoration de durée d’assurance au titre de la maternité mais ne peuvent pas partir à la retraite faute d’avoir atteint l’âge légal de pouvoir partir en retraite plus tôt.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4918

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2127 rect. de la commission des affaires sociales

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. PLA


ARTICLE 8


Article 8
I. Alinéa 4
Après les mots : " L. 351-1-2" ajouter les mots "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans, selon des modalités fixées par décret"
II. Alinéa 9
Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"
III. Alinéa 14
Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"
IV. Alinéa 19
Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"
V. Alinéa 25
"majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

Objet

Cet amendement vise à donner le choix aux mères qui bénéficient de la durée d’assurance requise pour l’obtention du taux plein grâce à leurs trimestres de majoration de durée d’assurance au titre de la maternité mais ne peuvent pas partir à la retraite faute d’avoir atteint l’âge légal de pouvoir partir en retraite plus tôt.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4920

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2127 rect. de la commission des affaires sociales

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. CARDON


ARTICLE 8


I. Alinéa 4

Après les mots : " L. 351-1-2" ajouter les mots "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans, selon des modalités fixées par décret"

II. Alinéa 9

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

III. Alinéa 14

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

IV. Alinéa 19

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

V. Alinéa 25

"majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

Objet

Cet amendement vise à donner le choix aux mères qui bénéficient de la durée d’assurance requise pour l’obtention du taux plein grâce à leurs trimestres de majoration de durée d’assurance au titre de la maternité mais ne peuvent pas partir à la retraite faute d’avoir atteint l’âge légal de pouvoir partir en retraite plus tôt.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4903

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2127 rect. de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Non soutenu

M. KANNER


ARTICLE 8


ARTICLE 8

I. Alinéa 4

Après les mots : " L. 351-1-2" ajouter les mots "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans, selon des modalités fixées par décret"

II. Alinéa 9

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

III. Alinéa 14

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

IV. Alinéa 19

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

V. Alinéa 25

"majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

Objet

Cet amendement vise à donner le choix aux mères qui bénéficient de la durée d’assurance requise pour l’obtention du taux plein grâce à leurs trimestres de majoration de durée d’assurance au titre de la maternité mais ne peuvent pas partir à la retraite faute d’avoir atteint l’âge légal de pouvoir partir en retraite plus tôt.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4922

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2127 rect. de la commission des affaires sociales

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. CHANTREL


ARTICLE 8


ARTICLE 8

Amendement n° 2127

I. Alinéa 4

Après les mots : " L. 351-1-2" ajouter les mots "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans, selon des modalités fixées par décret"

II. Alinéa 9

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

III. Alinéa 14

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

IV. Alinéa 19

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

V. Alinéa 25

"majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

Objet

Cet amendement vise à donner le choix aux mères qui bénéficient de la durée d’assurance requise pour l’obtention du taux plein grâce à leurs trimestres de majoration de durée d’assurance au titre de la maternité mais ne peuvent pas partir à la retraite faute d’avoir atteint l’âge légal de pouvoir partir en retraite plus tôt.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4907

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2127 rect. de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Non soutenu

M. LUREL


ARTICLE 8


I. Alinéa 4

Après les mots : " L. 351-1-2" ajouter les mots "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans, selon des modalités fixées par décret"

II. Alinéa 9

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

III. Alinéa 14

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

IV. Alinéa 19

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

V. Alinéa 25

"majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

 

Objet

Cet amendement vise à donner le choix aux mères qui bénéficient de la durée d’assurance requise pour l’obtention du taux plein grâce à leurs trimestres de majoration de durée d’assurance au titre de la maternité mais ne peuvent pas partir à la retraite faute d’avoir atteint l’âge légal de pouvoir partir en retraite plus tôt.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4928

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2127 rect. de la commission des affaires sociales

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. RAYNAL


ARTICLE 8


I. Alinéa 4

Après les mots : " L. 351-1-2" ajouter les mots "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans, selon des modalités fixées par décret"

II. Alinéa 9

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

III. Alinéa 14

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

IV. Alinéa 19

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

V. Alinéa 25

"majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

Objet

Cet amendement vise à donner le choix aux mères qui bénéficient de la durée d’assurance requise pour l’obtention du taux plein grâce à leurs trimestres de majoration de durée d’assurance au titre de la maternité mais ne peuvent pas partir à la retraite faute d’avoir atteint l’âge légal de pouvoir partir en retraite plus tôt.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4946

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2127 rect. de la commission des affaires sociales

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. TODESCHINI


ARTICLE 8


Article 8

I. Alinéa 4

Après les mots : " L. 351-1-2" ajouter les mots "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans, selon des modalités fixées par décret"

II. Alinéa 9

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

III. Alinéa 14

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

IV. Alinéa 19

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

V. Alinéa 25

"majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"


Objet


Cet amendement vise à donner le choix aux mères qui bénéficient de la durée d’assurance requise pour l’obtention du taux plein grâce à leurs trimestres de majoration de durée d’assurance au titre de la maternité mais ne peuvent pas partir à la retraite faute d’avoir atteint l’âge légal de pouvoir partir en retraite plus tôt.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4980

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2127 rect. de la commission des affaires sociales

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme FÉRET


ARTICLE 8


I. Alinéa 4

Après les mots : " L. 351-1-2" ajouter les mots "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans, selon des modalités fixées par décret"

II. Alinéa 9

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

III. Alinéa 14

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

IV. Alinéa 19

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

V. Alinéa 25

"majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

Objet

Cet amendement vise à donner le choix aux mères qui bénéficient de la durée d’assurance requise pour l’obtention du taux plein grâce à leurs trimestres de majoration de durée d’assurance au titre de la maternité mais ne peuvent pas partir à la retraite faute d’avoir atteint l’âge légal de pouvoir partir en retraite plus tôt.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5384

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2127 rect. de la commission des affaires sociales

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme PONCET MONGE


ARTICLE 8


Amendement n° 2127

1° Alinéa 4

Compléter cet alinéa par les mots :

ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à soixante-deux ans, selon des modalités fixées par décret

2° Alinéas 9, 14, 19 et 25

Après les mots :

majoration de pension

insérer les mots :

ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à soixante-deux ans

Objet

Cet amendement vise à donner le choix aux mères qui bénéficient de la durée d’assurance requise pour l’obtention du taux plein grâce à leurs trimestres de majoration de durée d’assurance au titre de la maternité mais ne peuvent pas partir à la retraite faute d’avoir atteint l’âge légal de pouvoir partir en retraite plus tôt.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4914

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2127 rect. de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Non soutenu

Mme LUBIN


ARTICLE 8


Sous-amendement à l’amendement n°2127 rect

I. Alinéa 4

Après les mots : " L. 351-1-2" ajouter les mots "ou à un départ à la retraite abaissé d'autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans, selon des modalités fixées par décret"

II. Alinéa 9

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d'autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

III. Alinéa 14

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d'autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

IV. Alinéa 19

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d'autant de trimestres que que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

V. Alinéa 25

"majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d'autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

Objet

Cet amendement vise à donner le choix aux mères qui bénéficient de la durée d’assurance requise pour l’obtention du taux plein grâce à leurs trimestres de majoration de durée d’assurance au titre de la maternité mais ne peuvent pas partir à la retraite faute d'avoir atteint l'âge légal de pouvoir partir en retraite plus tôt.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5385

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2127 rect. de la commission des affaires sociales

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme Mélanie VOGEL


ARTICLE 8


Amendement n° 2127

1° Alinéa 4

Compléter cet alinéa par les mots :

ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à soixante-deux ans, selon des modalités fixées par décret

2° Alinéas 9, 14, 19 et 25

Après les mots :

majoration de pension

insérer les mots :

ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à soixante-deux ans

Objet

Cet amendement vise à donner le choix aux mères qui bénéficient de la durée d’assurance requise pour l’obtention du taux plein grâce à leurs trimestres de majoration de durée d’assurance au titre de la maternité mais ne peuvent pas partir à la retraite faute d’avoir atteint l’âge légal de pouvoir partir en retraite plus tôt.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5386

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2127 rect. de la commission des affaires sociales

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. GONTARD


ARTICLE 8


Amendement n° 2127

1° Alinéa 4

Compléter cet alinéa par les mots :

ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à soixante-deux ans, selon des modalités fixées par décret

2° Alinéas 9, 14, 19 et 25

Après les mots :

majoration de pension

insérer les mots :

ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à soixante-deux ans

Objet

Cet amendement vise à donner le choix aux mères qui bénéficient de la durée d’assurance requise pour l’obtention du taux plein grâce à leurs trimestres de majoration de durée d’assurance au titre de la maternité mais ne peuvent pas partir à la retraite faute d’avoir atteint l’âge légal de pouvoir partir en retraite plus tôt.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5387

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2127 rect. de la commission des affaires sociales

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. DOSSUS


ARTICLE 8


Amendement n° 2127

1° Alinéa 4

Compléter cet alinéa par les mots :

ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à soixante-deux ans, selon des modalités fixées par décret

2° Alinéas 9, 14, 19 et 25

Après les mots :

majoration de pension

insérer les mots :

ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à soixante-deux ans

Objet

Cet amendement vise à donner le choix aux mères qui bénéficient de la durée d’assurance requise pour l’obtention du taux plein grâce à leurs trimestres de majoration de durée d’assurance au titre de la maternité mais ne peuvent pas partir à la retraite faute d’avoir atteint l’âge légal de pouvoir partir en retraite plus tôt.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5388

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2127 rect. de la commission des affaires sociales

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. FERNIQUE


ARTICLE 8


Amendement n° 2127

1° Alinéa 4

Compléter cet alinéa par les mots :

ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à soixante-deux ans, selon des modalités fixées par décret

2° Alinéas 9, 14, 19 et 25

Après les mots :

majoration de pension

insérer les mots :

ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à soixante-deux ans

Objet

Cet amendement vise à donner le choix aux mères qui bénéficient de la durée d’assurance requise pour l’obtention du taux plein grâce à leurs trimestres de majoration de durée d’assurance au titre de la maternité mais ne peuvent pas partir à la retraite faute d’avoir atteint l’âge légal de pouvoir partir en retraite plus tôt.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4926

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2127 rect. de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Non soutenu

M. COZIC


ARTICLE 8


 I. Alinéa 4
Après les mots : " L. 351-1-2" ajouter les mots "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans, selon des modalités fixées par décret"
II. Alinéa 9
Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"
III. Alinéa 14
Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"
IV. Alinéa 19
Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"
V. Alinéa 25
"majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

Objet

 Cet amendement vise à donner le choix aux mères qui bénéficient de la durée d’assurance requise pour l’obtention du taux plein grâce à leurs trimestres de majoration de durée d’assurance au titre de la maternité mais ne peuvent pas partir à la retraite faute d’avoir atteint l’âge légal de pouvoir partir en retraite plus tôt.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5389

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2127 rect. de la commission des affaires sociales

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. SALMON


ARTICLE 8


Amendement n° 2127

1° Alinéa 4

Compléter cet alinéa par les mots :

ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à soixante-deux ans, selon des modalités fixées par décret

2° Alinéas 9, 14, 19 et 25

Après les mots :

majoration de pension

insérer les mots :

ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à soixante-deux ans

Objet

Cet amendement vise à donner le choix aux mères qui bénéficient de la durée d’assurance requise pour l’obtention du taux plein grâce à leurs trimestres de majoration de durée d’assurance au titre de la maternité mais ne peuvent pas partir à la retraite faute d’avoir atteint l’âge légal de pouvoir partir en retraite plus tôt.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5390

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2127 rect. de la commission des affaires sociales

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. BREUILLER


ARTICLE 8


Amendement n° 2127

1° Alinéa 4

Compléter cet alinéa par les mots :

ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à soixante-deux ans, selon des modalités fixées par décret

2° Alinéas 9, 14, 19 et 25

Après les mots :

majoration de pension

insérer les mots :

ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à soixante-deux ans

Objet

Cet amendement vise à donner le choix aux mères qui bénéficient de la durée d’assurance requise pour l’obtention du taux plein grâce à leurs trimestres de majoration de durée d’assurance au titre de la maternité mais ne peuvent pas partir à la retraite faute d’avoir atteint l’âge légal de pouvoir partir en retraite plus tôt.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4943

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2127 rect. de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Non soutenu

M. LECONTE


ARTICLE 8


Article 8

I. Alinéa 4

Après les mots : " L. 351-1-2" ajouter les mots "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans, selon des modalités fixées par décret"

II. Alinéa 9

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

III. Alinéa 14

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

IV. Alinéa 19

Après les mots : "majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

V. Alinéa 25

"majoration de pension" ajouter les mots : "ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à 62 ans"

Objet

Cet amendement vise à donner le choix aux mères qui bénéficient de la durée d’assurance requise pour l’obtention du taux plein grâce à leurs trimestres de majoration de durée d’assurance au titre de la maternité mais ne peuvent pas partir à la retraite faute d’avoir atteint l’âge légal de pouvoir partir en retraite plus tôt.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4944

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2127 rect. de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Non soutenu

Mme PRÉVILLE


ARTICLE 8


Amendement n° 2127

1° Alinéa 4

Compléter cet alinéa par les mots :

ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à soixante-deux ans, selon des modalités fixées par décret

2° Alinéas 9, 14, 19 et 25

Après les mots :

majoration de pension

insérer les mots :

ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à soixante-deux ans

Objet

Cet amendement vise à donner le choix aux mères qui bénéficient de la durée d’assurance requise pour l’obtention du taux plein grâce à leurs trimestres de majoration de durée d’assurance au titre de la maternité mais ne peuvent pas partir à la retraite faute d’avoir atteint l’âge légal de pouvoir partir en retraite plus tôt.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4983

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2127 rect. de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Retiré

Mme PONCET MONGE, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO, MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON et Mme Mélanie VOGEL


ARTICLE 8


1° Alinéa 4

Compléter cet alinéa par les mots :

ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à soixante-deux ans, selon des modalités fixées par décret

2° Alinéas 9, 14, 19 et 25

Après les mots :

majoration de pension

insérer les mots :

ou à un départ à la retraite abaissé d’autant de trimestres que celui ou ceux accordés automatiquement sans que cet âge de départ ne puisse être inférieur à soixante-deux ans

Objet

Ce sous-amendement vise à donner le choix aux mères qui bénéficient de la durée d’assurance requise pour l’obtention du taux plein grâce à leurs trimestres de majoration de durée d’assurance au titre de la maternité mais ne peuvent pas partir à la retraite faute d’avoir atteint l’âge légal de pouvoir partir en retraite plus tôt.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2860 rect. bis

5 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 8


Alinéas 4 à 9

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à supprimer le décalage à 62 ans de l'âge de départ anticipé à la retraite pour les titulaires d’une pension d’invalidité, les travailleurs déclarés inaptes au travail, les allocataires de l’AAH.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4332 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 8


Alinéas 8 et 9

Supprimer ces alinéas. 

Objet

Cet amendement vise à supprimer la limitation de deux ans maximum du départ anticipé pour pénibilité.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3450

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 8


I - Alinéa 9

Rédiger ainsi cet alinéa : 

« Art. L. 351-1-1 A. – L’âge mentionné à l’article L. 351-1 est abaissé d’au moins deux ans, dans des conditions fixées par décret, pour les assurés mentionnés à l’article L. 161-22-1-5 et pour les assurés bénéficiaires d’un départ en retraite au titre des articles L. 351-1-1, L. 351-1-3, L. 351-1-4 et L. 351-1-5. Cette condition d’âge est abaissée d’une durée pouvant aller jusqu’à neuf ans pour les assurés mentionnés à l’article L. 351-1-3 et d’une durée ne pouvant excéder deux ans pour les assurés mentionnés à l’article L. 351-6-1.

II - Compléter cet article par deux paragraphes ainsi rédigés : 

…. – La perte de recettes résultant pour l’État du présent article est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

…. – La perte de recettes résultant pour les organismes de sécurité sociale du présent article est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

Objet

Un rapport IGAS-IGS de 2016 soulignait les spécificités des besoins des travailleurs handicapés. En effet, le rapport témoigne d’un vieillissement de la population, d’une fatigabilité accrue, d’un absentéisme plus fréquent, et de besoins d’accompagnement supplémentaires, notamment en vue de la retraite.

Le rapport pointait également une prévalence importante des maladies professionnelles chez les travailleurs handicapés, entraînant une hausse des cotisations AT-MP et des charges d’assurance-prévoyance.

Par ailleurs, un précédent rapport de la même institution, publié en 2013, indiquait que l’avancée en âge des personnes handicapées se traduisait plus souvent par la survenue de nouvelles déficiences liées à l’âge et provoquant de nouveaux handicaps comme la surdité, la cécité, la réduction de la mobilité, la dépression…, ainsi que par un possible accroissement des déficiences antérieures.

Pour ces différentes raisons, la réforme doit s’adapter aux besoins particuliers des travailleurs handicapés.

C’est pourquoi cet amendement vise à garantir que les travailleurs handicapés pourront bénéficier d’un départ anticipé à la retraite ou départ progressif à partir de 55 ans, comme il est prévu actuellement par décret.

Cet amendement est issu d’une proposition de l'Union nationale des entreprises adaptées (UNEA).






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 417 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. BENARROCHE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ et SALMON


ARTICLE 8


Alinéa 9, première phrase

1° Remplacer les mots :

d’au moins

par les mots :

d’une durée de

2° Supprimer les mots :

, dans des conditions fixées par décret,

Objet

Cet amendement du groupe écologiste vise à garantir que l'âge de départ anticipé à la retraite pour les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d'activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle sera toujours de 62 ans, et non prendre cette disposition par décret, comme cela est proposé actuellement.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2861 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 8


Alinéa 9, première phrase

Supprimer les mots :

, dans des conditions fixées par décret,

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à garantir que l'âge de départ anticipé à la retraite pour les allocataires de l’allocation de cessation anticipée d'activité, les travailleurs ayant eu une « carrière longue », les travailleurs handicapés, les travailleurs qui ont une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou une maladie professionnelle sera toujours de 62 ans, et non prendre cette disposition par décret, comme cela est proposé actuellement.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4581

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. FERNIQUE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 8


Alinéa 9, première phrase

Après le mot :

décret 

insérer les mots :

, à la suite des négociations avec les organisations syndicales et patronales représentatives au niveau national et interprofessionnel

Objet

Alors que le gouvernement limite fortement le débat parlementaire, et réduit à peu de choses la concertation avec les organisations syndicales, cet amendement du Groupe Écologiste - Solidarité & Territoires a pour objet de faire des négociations avec les partenaires sociaux un point de passage obligé, préalable au décret.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2126

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Sagesse du Sénat
Adopté

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 8


Alinéa 9, première phrase

Supprimer la référence :

, L. 351-1-4

Objet

Amendement de coordination avec l'amendement proposé à l'article 9 visant à maintenir à 60 ans l'âge de départ en retraite anticipée pour incapacité permanente.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2846 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 8


Alinéa 9, seconde phrase

Supprimer cette phrase.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à ne pas décaler de deux ans l’âge de départ anticipé pour les salariés affectés par des risques professionnels. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3374

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 8


Alinéa 9, seconde phrase

Supprimer cette phrase.

Objet

L’article précise que les départs anticipés au titre du compte professionnel de prévention (C2P) ne peuvent intervenir plus de deux ans avant l’âge de droit commun, soit 62 ans dans le futur système, contre 60 ans aujourd’hui.

Ces dispositions surviennent alors que le travail s’intensifie depuis plus de 30 ans et que les conditions de travail se dégradent. L’exposition à au moins trois contraintes physiques concerne 34% des salariés en 2016 alors qu’ils n’étaient que 12,1% en 1984 selon la Dares.. Les ouvriers et les employés sont particulièrement concernés mais le phénomène s’abat sur toutes les catégories socio-professionnelles y compris les cadres et professions intermédiaires. En 1984, 21,2% des ouvriers non qualifiés étaient exposés à au moins 3 contraintes physiques, ils sont 63,4% en 2016 ; 23,5% des ouvriers qualifiés étaient exposés à au moins 3 contraintes physiques en 1984, ils sont 60,8% en 2016 ; 13,2% des employés (commerces et services) en 1984, 46,9% en 2016 ; 2,1% des cadres en 1984 et 26,1% en 2016.

Par cet amendement, il est proposé de supprimer cette disposition, afin de maintenir la possibilité d’un départ anticipé à 60 ans, comme aujourd’hui.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4333 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 8


Alinéa 9, seconde phrase

Supprimer cette phrase.

Objet

Cet amendement vise à ne pas décaler de deux ans l’âge de départ anticipé pour les salariés affectés par des risques professionnels. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1938 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Défavorable
Adopté

M. MOUILLER, Mme Laure DARCOS, MM. FAVREAU, SOL et POINTEREAU, Mme THOMAS, M. KAROUTCHI, Mmes MICOULEAU et CANAYER, M. CUYPERS, Mme BOULAY-ESPÉRONNIER, MM. de LEGGE, PERRIN et RIETMANN, Mme DUMONT, MM. BONNE, BOULOUX, BELIN et CHAIZE, Mme Marie MERCIER, MM. SIDO, BURGOA, FRASSA et BASCHER, Mme CHAUVIN, MM. MEIGNEN et BOUCHET, Mme DEMAS, M. CAMBON, Mmes GRUNY et BOURRAT, M. SAVIN, Mme IMBERT, M. GENET, Mmes PETRUS, RICHER et JOSEPH, M. PIEDNOIR, Mme SCHALCK, M. Daniel LAURENT, Mmes BERTHET, BONFANTI-DOSSAT et JACQUES, MM. BRISSON, TABAROT et GREMILLET et Mmes LOPEZ et BORCHIO FONTIMP


ARTICLE 8


I. – Alinéa 9, seconde phrase

Après le mot :

durée

insérer les mots :

pouvant aller jusqu’à neuf ans pour les assurés mentionnés à l’article L. 351-1-3 et d’une durée

II. – Pour compenser la perte de recettes résultant du I, compléter cet article par deux paragraphes ainsi rédigé :

…. – La perte de recettes résultant pour l’État du présent article est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

…. – La perte de recettes résultant pour les organismes de sécurité sociale du présent article est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

Objet

Un rapport IGAS-IGS de 2016 soulignait les spécificités des besoins des travailleurs handicapés. En effet, le rapport témoigne d’un vieillissement de la population, d’une fatigabilité accrue, d’un absentéisme plus fréquent, et de besoins d’accompagnement supplémentaires, notamment en vue de la retraite.

Le rapport pointait également une prévalence importante des maladies professionnelles chez les travailleurs handicapés, entraînant une hausse des cotisations AT-MP et des charges d’assurance-prévoyance.

Par ailleurs, un précédent rapport de la même institution, publié en 2013, indiquait que l’avancée en âge des personnes handicapées se traduisait plus souvent par la survenue de nouvelles déficiences liées à l’âge et provoquant de nouveaux handicaps comme la surdité, la cécité, la réduction de la mobilité, la dépression…, ainsi que par un possible accroissement des déficiences antérieures.

Pour ces différentes raisons, la réforme doit s’adapter aux besoins particuliers des travailleurs handicapés.

C’est pourquoi cet amendement vise à garantir que les travailleurs handicapés pourront bénéficier d’un départ anticipé à la retraite ou départ progressif à partir de 55 ans, comme il est prévu actuellement par décret.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4334 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 8


Alinéas 11, 26, 36, 53 et 61

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer les trois bornes d'âge de départ anticipé pour les carrières longues et très longues.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3688

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 8


I. -Alinéa 11

Rédiger ainsi cet alinéa :

a) A la première phrase, les mots « au moins égale à une limite définie par décret » sont remplacés par les mots « égale à celle prévue au deuxième alinéa de l’article L. 351-1 » ;

II. - Alinéa 36 

Rédiger ainsi cet alinéa : 

- les mots : « au moins égale à une limite définie par décret » sont remplacés par les mots « égale à celle prévue au deuxième alinéa de l’article L. 351-1 »

III. - Alinéas 51 à 53 

Remplacer ces alinéas par un alinéa ainsi rédigé : 

a) A la première phrase, les mots « au moins égale à une limite définie par le même décret » sont remplacés par les mots « égale à celle prévue au deuxième alinéa de l’article L. 351-1 du même code »

IV. - Alinéa 61

Rédiger ainsi cet alinéa :

a) A la première phrase, les mots « au moins égale à un seuil défini par décret » sont remplacés par les mots « égale à celle prévue au deuxième alinéa de l’article L. 351-1 du code de la sécurité sociale » ;

Objet

Le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue est créé par l’article L 351-1-1 du code de la sécurité sociale. Il pose les principes généraux et renvoie à un décret la définition des âges anticipés et des conditions de durée requise. De ce fait, et de manière assez logique, le dispositif envisagé par le gouvernement tel qu’annoncé dans le dossier de presse du 10 janvier n’est pas repris dans le projet de loi. La seule référence au dispositif envisagé est dans le fait de remplacer les termes « les assurés qui ont commencé leur activité avant un âge (…) » par « les assurés qui ont commencé leur activité avant un des trois âges » (sous-entendu 16, 18 et 20 ans). Cette modification n’apporte rien à l’état du droit puisqu’avec la rédaction actuelle, il existe déjà quatre âges (16, 17, 18 et 20 ans). Pire, la modification envisagée vient figer les possibilités du pouvoir réglementaire en matière d’âge alors qu’il s’agit au contraire d’un paramètre sur lequel il faut trouver le plus de souplesse possible au profit de la durée d’assurance.

Le présent amendement modifie les dispositions envisagées pour le régime général, les professions libérales, les avocats et la fonction publique. Il propose de supprimer à chaque fois la référence aux trois âges et de les remplacer par une disposition précisant les conditions de durée requise.

Actuellement, le décret dispose que les assurés ayant commencé à travailler avant 20 ans doivent justifier d’une durée de cotisation équivalente à celle requise pour le taux plein. Les assurés ayant commencé à travailler avant 16 ans doivent justifier de cette durée, mais majorée de huit trimestres. Le gouvernement dans son dossier de presse prévoit d’abaisser cette condition à 4 trimestres pour les assurés ayant commencé à travailler avant 16 ans, de majorer cette durée de 4 trimestres pour ceux ayant commencé avant 18 ans, et ne prévoit pas de la majorer (comme c’est le cas aujourd’hui) pour les assurés ayant commencé avant 20 ans.

Pour éviter ces majorations, le présent amendement vient donc préciser que la durée de cotisation requise pour l’anticipation au titre de la carrière longue est égale à la durée d’assurance requise pour le taux plein. Le pouvoir réglementaire demeure compétent pour définir les conditions d’âge de début de carrière et de d’anticipation de l’âge d’ouverture des droits.

Cet amendement trouve sa cohérence avec le maintien de l’âge d’ouverture des droits à 62 ans de telle manière à ce que la priorité soit accordée aux conditions de durées, notamment du fait de la loi Touraine.

Cet amendement est issu d’une proposition de la CFDT.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2635 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 8


I. - Alinéa 11

Rédiger ainsi cet alinéa :

a) À la première phrase, les mots : « au moins égale à une limite définie par décret » sont remplacés par les mots : « égale à celle prévue au deuxième alinéa du même article L. 351-1 » ;

II. - Alinéa 36

Rédiger ainsi cet alinéa :

- les mots : « au moins égale à une limite définie par le même décret » sont remplacés par les mots : « égale à celle prévue au deuxième alinéa de l’article L. 351-1 » ;

III. - Alinéa 53

Rédiger ainsi cet alinéa :

- les mots : « au moins égale à une limite définie par le même décret » sont remplacés par les mots : « égale à celle prévue au deuxième alinéa de l’article L. 351-1 » ;

IV. - Alinéa 61

Rédiger ainsi cet alinéa :

a) À la première phrase, les mots : « au moins égale à un seuil défini par décret » sont remplacés par les mots : « égale à celle prévue au deuxième alinéa de l’article L. 351-1 » ;

Objet

Le dispositif de retraite anticipée pour carrière longue est créé par l’article L 351-1-1 du code de la sécurité sociale. Il pose les principes généraux et renvoie à un décret la définition des âges anticipés et des conditions de durée requise. De ce fait, et de manière assez logique, le dispositif envisagé par le gouvernement tel qu’annoncé dans le dossier de presse du 10 janvier n’est pas repris dans le projet de loi. La seule référence au dispositif envisagé est dans le fait de remplacer les termes « les assurés qui ont commencé leur activité avant un âge (…) » par « les assurés qui ont commencé leur activité avant un des trois âges » (sous-entendu 16, 18 et 20 ans). Cette modification n’apporte rien à l’état du droit puisqu’avec la rédaction actuelle, il existe déjà quatre âges (16, 17, 18 et 20 ans). Pire, la modification envisagée vient figer les possibilités du pouvoir règlementaire en matière d’âge alors qu’il s’agit au contraire d’un paramètre sur lequel il faut trouver le plus de souplesse possible au profit de la durée d’assurance.

Le présent amendement modifie les dispositions envisagées pour le régime général, les professions libérales, les avocats et la fonction publique. Il propose de supprimer à chaque fois la référence aux trois âges et de les remplacer par une disposition précisant les conditions de durée requise.

Actuellement, le décret dispose que les assurés ayant commencé à travailler avant 20 ans doivent justifier d’une durée de cotisation équivalente à celle requise pour le taux plein. Les assurés ayant commencé à travailler avant 16 ans doivent justifier de cette durée, mais majorée de huit trimestres. Le gouvernement dans son dossier de presse prévoit d’abaisser cette condition à 4 trimestres pour les assurés ayant commencé à travailler avant 16 ans, de majorer cette durée de 4 trimestres pour ceux ayant commencé avant 18 ans, et ne prévoit pas de la majorer (comme c’est le cas aujourd’hui) pour les assurés ayant commencé avant 20 ans.

Pour éviter ces majorations, le présent amendement vient donc préciser que la durée de cotisation requise pour l’anticipation au titre de la carrière longue est égale à la durée d’assurance requise pour le taux plein. Le pouvoir règlementaire demeure compétant pour définir les conditions d’âge de début de carrière et de d’anticipation de l’âge d’ouverture des droits.

Cet amendement trouve sa cohérence avec le maintien de l’âge d’ouverture des droits à 62 ans de telle manière à ce que la priorité soit accordée aux conditions de durées, notamment du fait de la loi Touraine.

Amendement proposé par la CFDT

 

 

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 45 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Sagesse du Sénat
G Favorable
Adopté

MM. CABANEL, ARTANO et BILHAC, Mme Maryse CARRÈRE, M. CORBISEZ, Mme Nathalie DELATTRE, MM. FIALAIRE, GOLD et GUÉRINI, Mme GUILLOTIN, M. GUIOL, Mme PANTEL et MM. REQUIER et ROUX


ARTICLE 8


Alinéas 11, 26, 36, 53 et 61

Remplacer les mots :

un des trois âges

par les mots :

un des quatre âges, dont le plus élevé ne peut excéder vingt-et-un ans

Objet

L’article 8 prévoit que l’âge de départ à la retraite pour longue carrière peut être anticipé selon trois bornes d’âge qui seront définies par décret. L’accès au dispositif est ainsi conditionné à un début d’activité avant 16 ans, avant 18 ans ou avant 20 ans.

Ce dispositif pénalise les personnes qui ont commencé à travailler entre 20 et 21 ans et qui devront partir à 64 ans.

Aussi, il est proposé d'étendre le dispositif "carrières longues" à ces personnes et de leur permettre de partir à 63 ans.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1918

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Sagesse du Sénat
G Favorable
Adopté

MM. IACOVELLI, LÉVRIER, HASSANI, PATRIAT, BARGETON et BUIS, Mme CAZEBONNE, MM. DAGBERT et DENNEMONT, Mme DURANTON, M. GATTOLIN, Mme HAVET, MM. HAYE, KULIMOETOKE, LEMOYNE, MARCHAND, MOHAMED SOILIHI et PATIENT, Mme PHINERA-HORTH, MM. RAMBAUD, RICHARD et ROHFRITSCH, Mme SCHILLINGER, M. THÉOPHILE

et les membres du groupe Rassemblement des démocrates, progressistes et indépendants


ARTICLE 8


Alinéas 11, 26, 36, 53 et 61

Remplacer les mots :

un des trois âges

par les mots :

un des quatre âges, dont le plus élevé ne peut excéder vingt-et-un ans

Objet

L’article 8 précise que l’âge de départ à la retraite pour longue carrière peut être anticipé selon trois bornes d’âge qui sont définies par décret. L’accès au dispositif est en effet conditionné à un début d’activité avant 16 ans, avant 18 ans ou avant 20 ans.

Le présent amendement a pour objet de créer une possibilité de départ anticipé pour les assurés ayant travaillé avant 21 ans en créant une 4ème borne d’âge de début d’activité, conformément aux annonces de la Première ministre du 5 février 2023. La borne d’âge fixée à 21 ans permettra aux assurés ayant réuni 4 ou 5 trimestres avant cet âge, et justifiant de leur durée d’assurance requise cotisée (172 trimestres à terme), de partir à l’âge de 63 ans. Les âges de début d’activité et l’âge de départ possible sont définis par décret.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3407

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Sagesse du Sénat
G Favorable
Adopté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 8


Alinéas 11, 26, 36, 53 et 61

Remplacer les mots :

un des trois âges

par les mots :

un des quatre âges, dont le plus élevé ne peut excéder vingt-et-un ans

Objet

L’article 8 précise que l’âge de départ à la retraite pour longue carrière peut être anticipé selon trois bornes d’âge qui sont définies par décret. L’accès au dispositif est en effet conditionné à un début d’activité avant 16 ans, avant 18 ans ou avant 20 ans.

Le présent amendement a pour objet de créer une possibilité de départ anticipé pour les assurés ayant travaillé avant 21 ans en créant une 4ème borne d’âge de début d’activité, conformément aux annonces de la Première ministre du 5 février 2023. La borne d’âge fixée à 21 ans permettra aux assurés ayant réuni 4 ou 5 trimestres avant cet âge, et justifiant de leur durée d’assurance requise cotisée (172 trimestres à terme), de partir à l’âge de 63 ans. Les âges de début d’activité et l’âge de départ possible sont définis par décret.

Conformément aux engagements de la Première ministre, un décret précisera également que, pour l’ensemble des niveaux du dispositif carrière longues, la condition de durée cotisée sera fixée conformément à la durée d’assurance requise pour le droit commun (43 annuités au terme de l’accélération du calendrier « Touraine »). Dès lors qu’il atteint l’âge anticipé de départ au titre des carrières longues, un assuré pourra donc partir à la retraite à taux plein s’il a cotisé au moins cette durée.


Par cet amendement, les sénateur.rices du groupe écologiste, solidarité et territoires souhaitent atténuer la brutalité de la réforme portée par un gouvernement s’apprêtant à faire peser l’équilibre du système de retraite sur le dos des travailleur.ses, plutôt que sur le capital.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 208 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Sagesse du Sénat
G Défavorable
Retiré

Mme MULLER-BRONN, M. Jean-Baptiste BLANC, Mme BELRHITI, MM. ROJOUAN, RAPIN, MANDELLI, PELLEVAT, PANUNZI et FRASSA, Mme THOMAS, M. CHARON, Mme BONFANTI-DOSSAT et M. GREMILLET


ARTICLE 8


Alinéas 11, 26, 36, 53

Compléter ces alinéas par les mots :

et après la seconde occurrence du mot : « décret » sont insérés les mots : « qui ne peut être supérieure à la durée d’assurance mentionnée au deuxième alinéa de l’article L. 351-1 du code de la sécurité sociale »

Objet

Le présent amendement vise à préciser les conditions de départ pour les carrières longues.

Il vise à inscrire dans la loi que, pour l’ensemble des niveaux du dispositif carrière longues, la condition de durée cotisée sera fixée conformément à la durée d’assurance requise pour le droit commun, c'est à dire 43 annuités au terme de l’accélération du calendrier « Touraine ».



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4336 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Demande de retrait
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 8


I. – Alinéas 14, 27, 37 et 55

Supprimer ces alinéas.

II. – Alinéas 28 et 38

Supprimer les mots :

et, au premier alinéa, les mots : « tout ou partie de » sont supprimés

Objet

Cet amendement proposé par le Collectif Handicap vise à maintenir la possibilité de prendre en compte des trimestres validés assimilés.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4651

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G  
Adopté

Le Gouvernement


ARTICLE 8


I. – Alinéa 14

Compléter cet alinéa par les mots :

et les périodes pendant lesquelles les fonctionnaires, magistrats et militaires vérifiaient les conditions d’affiliation à l’assurance vieillesse du régime général mentionnées à ces articles mais étaient affiliés à un régime spécial

II. – Alinéa 27

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ce décret prévoit également les conditions dans lesquelles sont réputées avoir donné lieu à versement de cotisations par l’assuré les périodes pendant les lesquelles les fonctionnaires, magistrats et militaires vérifiaient les conditions d’affiliation à l’assurance vieillesse du régime général mentionnées aux articles L. 381-1 et L. 381-2 du code précité mais étaient affiliés à un régime spécial.

III. – Alinéa 37

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ce décret prévoit également les conditions dans lesquelles sont réputées avoir donné lieu à versement de cotisations par l’assuré les périodes pendant les lesquelles les fonctionnaires, magistrats et militaires vérifiaient les conditions d’affiliation obligatoire à l’assurance vieillesse du régime général mentionnées aux articles L. 381-1 et L. 381-2 du code précité mais étaient affiliés à un régime spécial.

IV. – Alinéa 55

Compléter cet alinéa par les mots:

et des périodes pendant lesquelles les fonctionnaires, magistrats et militaires vérifiaient les conditions d’affiliation à l’assurance vieillesse du régime général mentionnées à ces articles mais étaient affiliés à un régime spécial

V. – Alinéa 64

Compléter cet alinéa par les mots:

et les périodes pendant lesquelles les fonctionnaires, magistrats et militaires vérifiaient les conditions d’affiliation à l’assurance vieillesse du régime général mentionnées à ces articles mais étaient affiliés à un régime spécial

Objet

Le présent article prévoit la prise en compte des trimestres acquis au titre de l’assurance vieillesse du parent au foyer (Avpf) et de l’assurance vieillesse des aidants (Ava) pour le bénéfice de la retraite anticipée pour carrière longue.

Le présent amendement assure la coordination de cet article pour les assurés affiliés au régime des pensions civiles et militaires de retraite ou au régime de la caisse nationale de retraite des agents des collectivités locales en qualité de fonctionnaire, militaire ou magistrat.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2128 rect.

9 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Favorable
Adopté

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 8


I. – Alinéa 27

Rédiger ainsi cet alinéa :

...) La seconde phrase du même II est complétée par les mots : « , ainsi que les périodes validées en application des articles L. 381-1 et L. 381-2 » ;

II. – Alinéa 37

Rédiger ainsi cet alinéa :

...) La seconde phrase du même II est complétée par les mots : « , ainsi que les périodes validées en application des articles L. 381-1 et L. 381-2 » ;

Objet

Cet amendement corrige une erreur matérielle qui aurait privé les professionnels libéraux et les avocats de la prise en compte des trimestres validés au titre de l'AVPF et de l'AVA comme des trimestres réputés cotisés pour le bénéfice de la retraite anticipée pour carrière longue, ce qui ne serait ni juste, ni conforme à la volonté clairement exprimée par le Gouvernement.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3580

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 8


Alinéa 36

Supprimer cet alinéa.

Objet

Tel que le prévoit le Gouvernement, la détermination de trois âges, de surcroît par décret, pour permettre un départ anticipé à la retraite génère de grandes injustices pour l’ensemble des carrières longues. C’est pourquoi nous en demandons la suppression. 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2129

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Favorable
Adopté

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 8


Alinéa 55

1° Remplacer le mot :

maternité

par le mot :

temporaire

2° Remplacer les mots :

, des périodes validées

par le mot :

et

Objet

Amendement rédactionnel.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4341 rect. bis

5 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Demande de retrait
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 8


Alinéa 61

Supprimer cet alinéa.

Objet

Tel que le prévoit le Gouvernement, la détermination de trois âges, de surcroît par décret, pour permettre un départ anticipé à la retraite génère de grandes injustices pour l’ensemble des carrières longues.

C’est pourquoi nous en demandons la suppression.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2130

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Favorable
Adopté

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 8


Alinéa 61

Compléter cet alinéa par les mots :

et le mot : « déterminées » est remplacé par le mot : « déterminés » ;

Objet

Amendement rédactionnel.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3103 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Sagesse du Sénat
G Demande de retrait
Rejeté

MM. CABANEL, ARTANO et BILHAC, Mme Maryse CARRÈRE, M. CORBISEZ, Mme Nathalie DELATTRE, MM. FIALAIRE, GOLD et GUÉRINI, Mme GUILLOTIN, M. GUIOL, Mme PANTEL et MM. REQUIER et ROUX


ARTICLE 8


I. – Après l’alinéa 11

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

...) Après la deuxième occurrence du mot : « décret », sont insérés les mots : « qui ne peut être supérieure à la durée d’assurance mentionnée au deuxième alinéa de l’article L. 351-1 du code de la sécurité sociale » ;

II. – Après les alinéas 27 et 37

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

...) A la première phrase du même II, après la seconde occurrence du mot : « décret », sont insérés les mots : « qui ne peut être supérieure à la durée d’assurance mentionnée au deuxième alinéa de l’article L. 351-1 du code de la sécurité sociale » ;

III. – Après l'alinéa 48

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

...) Après la seconde occurrence du mot : « décret », sont insérés les mots : « qui ne peut être supérieure à la durée d’assurance mentionnée au deuxième alinéa de l’article L. 351-1 du code de la sécurité sociale » ;

IV. – Après l’alinéa 53

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

- après la seconde occurrence du mot : « décret », sont insérés les mots : « qui ne peut être supérieure à la durée d’assurance mentionnée au deuxième alinéa de l’article L. 351-1 du code de la sécurité sociale » ;

Objet

Cet amendement vise à garantir que, lorsque l’assuré remplit les conditions de début d’activité au titre du dispositif carrières longues et qu’il atteint l’âge de départ anticipé auquel il a droit, il pourra bénéficier d’une retraite à taux plein si sa durée de cotisations effective atteint la durée d’assurance requise pour le droit commun.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3726 rect. bis

4 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Sagesse du Sénat
G Demande de retrait
Rejeté

MM. CHASSEING, GUERRIAU et DECOOL, Mme MÉLOT, MM. LAGOURGUE, GRAND, WATTEBLED, MENONVILLE, VERZELEN, Alain MARC, CAPUS, MALHURET et MÉDEVIELLE, Mme PAOLI-GAGIN, M. CALVET, Mmes DINDAR et DUMONT et MM. LAMÉNIE et CHATILLON


ARTICLE 8


I. – Après l’alinéa 11

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

...) Après la deuxième occurrence du mot : « décret », sont insérés les mots : « qui ne peut être supérieure à la durée d’assurance mentionnée au deuxième alinéa de l’article L. 351-1 du code de la sécurité sociale » ;

II. – Après les alinéas 27 et 37

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

...) A la première phrase du même II, après la seconde occurrence du mot : « décret », sont insérés les mots : « qui ne peut être supérieure à la durée d’assurance mentionnée au deuxième alinéa de l’article L. 351-1 du code de la sécurité sociale » ;

III. – Après l'alinéa 48

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

...) Après la seconde occurrence du mot : « décret », sont insérés les mots : « qui ne peut être supérieure à la durée d’assurance mentionnée au deuxième alinéa de l’article L. 351-1 du code de la sécurité sociale » ;

IV. – Après l’alinéa 53

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

- après la seconde occurrence du mot : « décret », sont insérés les mots : « qui ne peut être supérieure à la durée d’assurance mentionnée au deuxième alinéa de l’article L. 351-1 du code de la sécurité sociale » ;

Objet

Le présent amendement garantit que, dès lors que l’assuré remplit les conditions de début d’activité au titre du dispositif carrières longues et qu’il atteint l’âge de départ anticipé auquel il a droit, il pourra bénéficier d’une retraite à taux plein si sa durée de cotisations effective atteint la durée d’assurance requise pour le droit commun.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3099 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Sagesse du Sénat
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, M. TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 8


I. – Après l’alinéa 11

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

…) Après la seconde occurrence du mot : « décret », sont insérés les mots : « qui ne peut être supérieure à la durée d’assurance mentionnée au deuxième alinéa de l’article L. 351-1 du code de la sécurité sociale » ;

II. – Après les alinéas 27 et 37

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« …) À la première phrase du même II, après la deuxième occurrence du mot : « décret », sont insérés les mots : « qui ne peut être supérieure à la durée d’assurance mentionnée au deuxième alinéa de l’article L. 351-1 du code de la sécurité sociale ». 

III. – Après l’alinéa 53

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

- après la seconde occurrence du mot : « décret », sont insérés les mots : « qui ne peut être supérieure à la durée d’assurance mentionnée au deuxième alinéa de l’article L. 351-1 du code de la sécurité sociale » ;

IV. – Après l’alinéa 61

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

…) À la même première phrase, après la seconde occurrence du mot : « décret », sont insérés les mots : « qui ne peut être supérieure à la durée d’assurance mentionnée au deuxième alinéa de l’article L. 351-1 du code de la sécurité sociale ».

Objet

Le présent amendement vise à préciser les conditions de départ pour les carrières longues.

Pour l’ensemble des niveaux du dispositif carrière longues, la condition de durée cotisée sera fixée conformément à la durée d’assurance requise pour le droit commun (43 annuités au terme de l’accélération du calendrier « Touraine »).



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3392 rect. quater

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Sagesse du Sénat
G Demande de retrait
Rejeté

MM. CAPUS, CHASSEING, MALHURET, MENONVILLE, VERZELEN, GRAND, GUERRIAU, MÉDEVIELLE, DECOOL et LAGOURGUE, Mme MÉLOT, M. WATTEBLED, Mme PAOLI-GAGIN, M. Alain MARC

et les membres du groupe Les Indépendants - République et Territoires


ARTICLE 8


I. – Après l’alinéa 11

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

…) À la première phrase, après la seconde occurrence du mot : « décret », sont insérés les mots : « qui ne peut être supérieure à la durée d’assurance mentionnée au deuxième alinéa de l’article L. 351-1 du code de la sécurité sociale » ;

II. – Après l’alinéa 28

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

…) À la première phrase du II, après la seconde occurrence du mot : « décret » sont insérés les mots : « qui ne peut être supérieure à la durée d’assurance mentionnée au deuxième alinéa de l’article L. 351-1 du code de la sécurité sociale » ;

III. – Après l’alinéa 38

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

…) À la première phrase du II, après la seconde occurrence du mot : « décret », sont insérés les mots : « qui ne peut être supérieure à la durée d’assurance mentionné au deuxième alinéa de l’article L. 351-1 du code de la sécurité sociale » ;

IV. – Après l’alinéa 53

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

…) À la première phrase, après la seconde occurrence du mot : « décret » sont insérés les mots : « qui ne peut être supérieure à la durée d’assurance mentionnée au deuxième alinéa de l’article L. 351-1 du code de la sécurité sociale ».

V. – Après l’alinéa 61

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

…) À la première phrase, après la seconde occurrence du mot : « décret », sont insérés les mots : « qui ne peut être supérieure à la durée d’assurance mentionnée au deuxième alinéa de l’article L. 351-1 du code de la sécurité sociale » ;

Objet

Le présent amendement garantit que, dès lors que l’assuré remplit les conditions de début d’activité au titre du dispositif carrières longues et qu’il atteint l’âge de départ anticipé auquel il a droit, il pourra bénéficier d’une retraite à taux plein si sa durée de cotisations effective atteint la durée d’assurance requise pour le droit commun.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3408

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Sagesse du Sénat
G Demande de retrait
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 8


I. – Après l’alinéa 11

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

…) À la première phrase, après la seconde occurrence du mot : « décret », sont insérés les mots : « qui ne peut être supérieure à la durée d’assurance mentionnée au deuxième alinéa de l’article L. 351-1 du code de la sécurité sociale » ;

II. – Après l’alinéa 28

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

…) À la première phrase du II, après la seconde occurrence du mot : « décret » sont insérés les mots : « qui ne peut être supérieure à la durée d’assurance mentionnée au deuxième alinéa de l’article L. 351-1 du code de la sécurité sociale » ;

III. – Après l’alinéa 38

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

…) À la première phrase du II, après la seconde occurrence du mot : « décret », sont insérés les mots : « qui ne peut être supérieure à la durée d’assurance mentionné au deuxième alinéa de l’article L. 351-1 du code de la sécurité sociale » ;

IV. – Après l’alinéa 53

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

…) À la première phrase, après la seconde occurrence du mot : « décret » sont insérés les mots : « qui ne peut être supérieure à la durée d’assurance mentionnée au deuxième alinéa de l’article L. 351-1 du code de la sécurité sociale ».

V. – Après l’alinéa 61

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

…) À la première phrase, après la seconde occurrence du mot : « décret », sont insérés les mots : « qui ne peut être supérieure à la durée d’assurance mentionnée au deuxième alinéa de l’article L. 351-1 du code de la sécurité sociale » ;

Objet

Le présent amendement garantit que, dès lors que l’assuré remplit les conditions de début d’activité au titre du dispositif carrières longues et qu’il atteint l’âge de départ anticipé auquel il a droit, il pourra bénéficier d’une retraite à taux plein si sa durée de cotisations effective atteint la durée d’assurance requise pour le droit commun.

Par cet amendement, les sénateur.rices du groupe écologiste, solidarité et territoires souhaitent atténuer la brutalité de la réforme portée par un gouvernement s’apprêtant à faire peser l’équilibre du système de retraite sur le dos des travailleur.ses, plutôt que sur le capital.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 113 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Retiré

MM. MENONVILLE, LEVI, GUERRIAU et WATTEBLED, Mmes HERZOG, RACT-MADOUX et MÉLOT, M. LAGOURGUE, Mme PERROT, MM. CHASSEING et CAPUS et Mme PAOLI-GAGIN


ARTICLE 8


I. – Après l’alinéa 14

Insérer deux alinéas ainsi rédigés :

...) Il est ajouté un alinéa ainsi rédigé : 

« La durée totale d’assurance et de périodes reconnues équivalentes visée à l’alinéa précédent ne peut dépasser 172 trimestres. » ;

II. – Pour compenser la perte de recettes résultant du I, compléter cet article par quatre paragraphes ainsi rédigés :

.... – La perte de recettes résultant pour l’État du présent article est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

.... – La perte de recettes résultant pour les collectivités territoriales du présent article est compensée, à due concurrence, par une majoration de la dotation globale de fonctionnement.

.... – La perte de recettes résultant pour l’État du paragraphe précédent est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

.... – La perte de recettes résultant pour les organismes de sécurité sociale du présent article est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

Objet

Cet amendement tend à prévoir une durée de cotisation maximum de 43 ans soit 172 trimestres pour toutes les personnes justifiant d'une carrière très longue.

Ce dispositif est à destination des personnes ayant commencé à travailler avant 20 ans afin qu'elles puissent partir plus tôt.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1071 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme Nathalie DELATTRE, MM. ARTANO, BILHAC et CABANEL, Mme Maryse CARRÈRE, MM. CORBISEZ, GOLD, GUÉRINI et GUIOL, Mme PANTEL et MM. REQUIER et ROUX


ARTICLE 8


I. – Après l’alinéa 14

Insérer deux alinéas ainsi rédigés :

...) Il est ajouté un alinéa ainsi rédigé : 

« La durée totale d’assurance et de périodes reconnues équivalentes visée à l’alinéa précédent ne peut dépasser 172 trimestres. » ;

II. – Pour compenser la perte de recettes résultant du I, compléter cet article par quatre paragraphes ainsi rédigés :

.... – La perte de recettes résultant pour l’État du présent article est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

.... – La perte de recettes résultant pour les collectivités territoriales du présent article est compensée, à due concurrence, par une majoration de la dotation globale de fonctionnement.

.... – La perte de recettes résultant pour l’État du paragraphe précédent est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

.... – La perte de recettes résultant pour les organismes de sécurité sociale du présent article est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

Objet

Cet amendement prévoit, pour toutes les personnes justifiant d'une carrière très longue, une durée de cotisation maximum de 172 trimestres, soit 43 ans. Il s'agit de permettre aux  personnes qui ont commencé à travailler avant 20 ans de partir plus tôt.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4647

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. FERNIQUE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 8


I. – Après l’alinéa 14

Insérer deux alinéas ainsi rédigés :

…) Il est ajouté un alinéa ainsi rédigé :

« La durée totale d’assurance et de périodes reconnues prévue au premier alinéa du présent article ne peut dépasser 172 trimestres. » ;

II. – Compléter cet article par trois paragraphes ainsi rédigés :

…. – La perte de recettes pour l’État est compensée à due concurrence par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

….. – La perte de recettes pour les collectivités territoriales est compensée à due concurrence par la majoration de la dotation globale de fonctionnement et, corrélativement pour l’État, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

….. – La perte de recettes pour les organismes de sécurité sociale est compensée à due concurrence par la majoration de l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services. »

Objet

Le projet de réforme des retraites du gouvernement prévoit que les personnes qui remplissent les conditions actuelles du dispositif carrières longues (durée d’assurance cotisée, 5 trimestres avant la fin des 20 ans) continueront de partir 2 ans avant l’âge légal, donc à 62 ans quand l’âge légal sera à 64 ans.

Les personnes qui ont eu des carrières très longues (ayant commencé à travailler avant 20 ans) pourront partir plus tôt, sous réserve d’avoir cotisé la durée d’assurance requise majorée d’une année, soit 43 ans + 1 année.

L’objet de cet amendement est de prévoir que pour toutes les personnes justifiant d’une carrière très longue, la durée de cotisation n’excèdera pas 43 ans, soit 172 trimestres.

Cette mesure d’équité est une proposition de l'U2P Bas-Rhin.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 30 rect.

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes GUIDEZ et SOLLOGOUB, M. CANÉVET, Mmes BILLON et de LA PROVÔTÉ, MM. CAPO-CANELLAS, Jean-Michel ARNAUD, BONHOMME, DÉTRAIGNE, KERN, LEVI, BELIN et CADEC, Mme CANAYER, MM. CHATILLON, CHAUVET, DECOOL, DELCROS et DUFFOURG, Mme HERZOG, M. GREMILLET, Mme MALET, MM. MANDELLI et MILON, Mmes MORIN-DESAILLY et MULLER-BRONN, M. PELLEVAT, Mme PERROT, M. PRINCE, Mme PUISSAT et MM. RAPIN, RAVIER et WATTEBLED


ARTICLE 8


Alinéas 15, 28, 38, 49 et 65

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à maintenir la possibilité de prendre en compte des trimestres validés/assimilés.

L’article 8 du projet de loi propose de ne plus retenir que l’obligation d’avoir un certain nombre de trimestres cotisés pour pouvoir bénéficier de la retraite anticipée pour les travailleurs handicapées (RATH).

Certes, cela réduit la durée totale d’assurance pour bénéficier du dispositif, mais cela risque de rendre encore plus compliqué l’accès au dispositif, car les trimestres assimilés mais non cotisés (notamment au titre du chômage, d’un arrêt maladie, d’un stage, etc.) ne sont plus pris en compte.

Si la réduction de la durée d’assurance totale exigée est bienvenue, cet amendement s’oppose à la suppression de la prise en compte des trimestres validés : c’est inacceptable pour des personnes qui sont largement touchées par un chômage de longue durée et ont un niveau élevé de fatigabilité.

Cet amendement prévoit donc de continuer à prendre en compte des trimestres validés/assimilés. Mais, cette proposition doit aller de paire avec un engagement du Gouvernement à diminuer la durée totale d’assurance et la durée incompressible de cotisation.

Cet amendement a été travaillé avec le Collectif Handicaps.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 762 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme Maryse CARRÈRE, MM. ARTANO, BILHAC, CABANEL et CORBISEZ, Mme Nathalie DELATTRE, MM. GOLD, GUÉRINI et GUIOL, Mme PANTEL et MM. REQUIER et ROUX


ARTICLE 8


Alinéas 15, 28, 38, 49 et 65

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 8 du projet de loi propose de ne plus retenir que l’obligation d’avoir un certain nombre de trimestres cotisés pour pouvoir bénéficier de la retraite anticipée pour les travailleurs handicapées (RATH).

Si cette mesure réduit la durée totale d’assurance pour bénéficier du dispositif, cela risque toutefois de rendre encore plus compliqué l’accès au dispositif, car les trimestres assimilés mais non cotisés (notamment au titre du chômage, d’un arrêt maladie, d’un stage, etc.) ne sont plus pris en compte.

Aussi, cet amendement prévoit de continuer à prendre en compte des trimestres validés/assimilés. Cette proposition doit toutefois s'accompagner d'un engagement du Gouvernement à diminuer la durée totale d’assurance et la durée incompressible de cotisation.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2866 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 8


Alinéas 15, 28, 38, 49 et 65

Supprimer ces alinéas.

Objet

"Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à maintenir la possibilité de prendre en compte des trimestres validés/assimilés.

L’article 8 du projet de loi propose de ne plus retenir que l’obligation d’avoir un certain nombre de trimestres cotisés pour pouvoir bénéficier de la retraite anticipée pour les travailleurs handicapées (RATH).

Certes, cela réduit la durée totale d’assurance pour bénéficier du dispositif, mais cela risque de rendre encore plus compliqué l’accès au dispositif, car les trimestres assimilés mais non cotisés (notamment au titre du chômage, d’un arrêt maladie, d’un stage, etc.) ne sont plus pris en compte.

Si la réduction de la durée d’assurance totale exigée est bienvenue, les auteurs de cet amendement s’oppose à la suppression de la prise en compte des trimestres validés : c’est inacceptable pour des personnes qui sont largement touchées par un chômage de longue durée et ont un niveau élevé de fatigabilité.

Cet amendement prévoit donc de continuer à prendre en compte des trimestres validés/assimilés.

Mais, cette proposition doit aller de paire avec un engagement du Gouvernement à diminuer la durée totale d’assurance et la durée incompressible de cotisation.

Cet amendement a été travaillé avec le Collectif Handicaps."



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3290

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 8


Alinéas 15, 28, 38, 49 et 65

Supprimer ces alinéas.

Objet

L’article 8 du projet de loi propose de ne plus retenir que l’obligation d’avoir un certain nombre de trimestres cotisés pour pouvoir bénéficier de la retraite anticipée pour les travailleurs handicapées (RATH).

Certes, cela réduit la durée totale d’assurance requise pour bénéficier du dispositif, mais cela risque de rendre encore plus compliqué l’accès au dispositif, car les trimestres assimilés mais non cotisés (notamment au titre du chômage, d’un arrêt maladie, d’un stage, etc.) ne sont plus pris en compte.

Si la réduction de la durée d’assurance totale exigée est bienvenue, nous nous opposons à la suppression de la prise en compte des trimestres validés : c’est inacceptable pour des personnes qui sont largement touchées par un chômage de longue durée et ont un niveau élevé de fatigabilité.

Cet amendement, proposé par le Collectif Handicaps, prévoit donc de continuer à prendre en compte les trimestres validés/assimilés.

 






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4337 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 8


Alinéas 16 et 17

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer la limitation de l'âge du départ anticipé pour invalidité et inaptitude.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3569

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 8


Alinéa 17

Après les deux occurrences du mot :

décret

insérer les mots :

en Conseil d’État

Objet

Cet amendement vise à s'assurer que l'intention du législateur sera respectée. 

Sur ce projet, après avoir refusé d’écouter les organisations syndicales, après avoir décidé d’utiliser la procédure d’examen contraint dans le temps qu’implique l’article 47-1 de la Constitution, le Gouvernement procède à de multiples recours à des décrets.

En raison notamment de l'importance du décret mentionné ici, et des difficultés de prise en compte des points de vue des acteurs concernés, il semble indispensable aux yeux des auteur.es de cet amendement que le Conseil d’État soit associé à l’écriture de ces décrets.

Par cet amendement, le Conseil d’État sera ainsi saisi du projet préparé par le Gouvernement et son avis devra être recueilli après une consultation des organismes dont l'avis est souhaité.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3568

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 8


Alinéa 17

Compléter cet alinéa par les mots :

suite à des négociations avec les organisations syndicales et patronales représentatives au niveau national et interprofessionnel 

Objet

Cet amendement vise à inscrire ce projet de réforme dans un véritable dialogue social.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 29 rect.

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

Mmes GUIDEZ et SOLLOGOUB, M. CANÉVET, Mmes BILLON et de LA PROVÔTÉ, MM. Jean-Michel ARNAUD, BONHOMME, DÉTRAIGNE, KERN, LEVI, BELIN et CADEC, Mme CANAYER, MM. CAPO-CANELLAS, CHATILLON, CHAUVET, DECOOL, DELCROS et DUFFOURG, Mme HERZOG, M. GREMILLET, Mme MALET, MM. MANDELLI et MILON, Mmes MORIN-DESAILLY et MULLER-BRONN, M. PELLEVAT, Mme PERROT, M. PRINCE, Mme PUISSAT et MM. RAPIN, RAVIER et WATTEBLED


ARTICLE 8


Alinéa 19

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cette disposition vise à supprimer la possibilité que les assurés en situation de handicap puissent bénéficier d’une retraite à taux plein, quelle que soit leur durée de cotisation, à 65 ans. Cet amendement demande le maintien de cette possibilité.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2859 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 8


Alinéa 19

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à ne pas supprimer la possibilité que les assurés en situation de handicap puissent bénéficier d’une retraite à taux plein, quelle que soit leur durée de cotisation, à 65 ans. 
 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4335 rect. bis

5 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 8


Alinéa 19

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement vise à ne pas supprimer la possibilité que les assurés en situation de handicap puissent bénéficier d’une retraite à taux plein, quelle que soit leur durée de cotisation, à 65 ans. 






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4576

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

MM. LÉVRIER, IACOVELLI, HASSANI, PATRIAT, BARGETON et BUIS, Mme CAZEBONNE, MM. DAGBERT et DENNEMONT, Mme DURANTON, M. GATTOLIN, Mme HAVET, MM. HAYE, KULIMOETOKE, LEMOYNE, MARCHAND, MOHAMED SOILIHI et PATIENT, Mme PHINERA-HORTH, MM. RAMBAUD, RICHARD et ROHFRITSCH, Mme SCHILLINGER, M. THÉOPHILE

et les membres du groupe Rassemblement des démocrates, progressistes et indépendants


ARTICLE 8


I. - Après l'alinéa 20

Insérer deux alinéas ainsi rédigés :

...) Après le 4° bis, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :

« ...° Les assurés dont l’âge mentionné au premier alinéa de l'article L. 351-1 est abaissé, dans des conditions prévues à l’article L. 351-1-1 ; »

II. - Après l'alinéa 31

Insérer deux alinéas ainsi rédigés :

...° L’article L. 643-4 est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« ...° Des assurés dont l’âge mentionné au premier alinéa de l'article L. 643-1 est abaissé dans des conditions prévues au même article ; »

III. - Après l'alinéa 41

Insérer deux alinéas ainsi rédigés :

...° L’article L. 653-4 est complété par un alinéa ainsi rédigé :

 « ...° Des assurés dont l’âge mentionné au premier alinéa de l'article L. 653-2 est abaissé dans des conditions prévues au II du même article. » ;

IV. - Après l'alinéa 46

Insérer deux alinéas ainsi rédigés :

...° Après le septième alinéa du I de l’article L. 14, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :

« Le coefficient de minoration n’est pas applicable aux assurés dont l’âge mentionné au premier alinéa de l'article L. 24 est abaissé dans les conditions prévues à l’article L. 25 bis. » ;

V. - Après l'alinéa 73

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

...° Les articles L. 732-25 et L. 781-33 sont complétés par une phrase ainsi rédigée : « Le coefficient de minoration n’est pas applicable aux assurés dont l’âge mentionné à l’article L. 732-18 est abaissé dans les conditions prévues à l’article L. 732-18-1. » ;

Objet

Cet amendement de coordination vise à permettre aux assurés nés en 1962 et 1963 de pouvoir toujours partir en retraite anticipée pour carrières longues selon les conditions actuelles, avec une pension à taux plein.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4760

7 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 4576 de M. LÉVRIER et les membres du groupe Rassemblement des démocrates, progressistes et indépendants

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 8


Amendement 4576, alinéa 8

Remplacer les mots :

L. 643-1 est abaissé dans des conditions prévues au

par la référence :

L. 643-3 est abaissé dans des conditions prévues au II du

Objet

Sous-amendement de correction d'une erreur matérielle






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4331 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 8


Alinéa 24

Après le mot :

décret

insérer les mots :

après négociation avec les organisations syndicales et patronales représentatives au niveau national et interprofessionnel

Objet

Cet amendement vise à inscrire la négociation préalable avec les organisations syndicales et patronales des conditions de départ pour carrière longue et les conditions de départ anticipé en retraite dans le texte.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3573

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 8


Alinéa 30

Après le mot :

décret 

insérer les mots :

en Conseil d’État

Objet

Cet amendement vise à s'assurer que l'intention du législateur sera respectée. 

Sur ce projet, après avoir refusé d’écouter les organisations syndicales, après avoir décidé d’utiliser la procédure d’examen contraint dans le temps qu’implique l’article 47-1 de la Constitution, le Gouvernement procède à de multiples recours à des décrets.

En raison notamment de l'importance du décret mentionné ici, et des difficultés de prise en compte des points de vue des acteurs concernés, il semble indispensable aux yeux des auteur.es de cet amendement que le Conseil d’État soit associé à l’écriture de ce décret.

Par cet amendement, le Conseil d’État sera ainsi saisi du projet préparé par le Gouvernement et son avis devra être recueilli après une consultation des organismes dont l'avis est souhaité. 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3575

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 8


Alinéa 40

Après le mot :

décret 

insérer les mots :

en Conseil d’État 

Objet

Cet amendement vise à s'assurer que l'intention du législateur sera respectée. 

Sur ce projet, après avoir refusé d’écouter les organisations syndicales, après avoir décidé d’utiliser la procédure d’examen contraint dans le temps qu’implique l’article 47-1 de la Constitution, le Gouvernement procède à de multiples recours à des décrets.

En raison notamment de l'importance du décret mentionné ici, et des difficultés de prise en compte des points de vue des acteurs concernés, il semble indispensable aux yeux des auteur.es de cet amendement que le Conseil d’État soit associé à l’écriture de ce décret.

Par cet amendement, le Conseil d’État sera ainsi saisi du projet préparé par le Gouvernement et son avis devra être recueilli après une consultation des organismes dont l'avis est souhaité.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2864 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 8


Alinéas 58 à 59

Supprimer ces alinéas.

Objet

Cet amendement vise à supprimer le décalage à 62 ans de l'âge de départ anticipé à la retraite pour les travailleurs du régime agricole ayant eu une « carrière longue »



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3584

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 8


Alinéa 59

Après le mot :

décret 

insérer les mots :

en Conseil d’État

Objet

Cet amendement vise à s'assurer que l'intention du législateur sera respectée. 

Sur ce projet, après avoir refusé d’écouter les organisations syndicales, après avoir décidé d’utiliser la procédure d’examen contraint dans le temps qu’implique l’article 47-1 de la Constitution, le Gouvernement procède à de multiples recours à des décrets.

En raison notamment de l'importance du décret mentionné ici, et des difficultés de prise en compte des points de vue des acteurs concernés, il semble indispensable aux yeux des auteur.es de cet amendement que le Conseil d’État soit associé à l’écriture de ce décret.

Par cet amendement, le Conseil d’État sera ainsi saisi du projet préparé par le Gouvernement et son avis devra être recueilli après une consultation des organismes dont l'avis est souhaité.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3579

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 8


Alinéa 67

Après les deux occurrences du mot :

décret 

insérer les mots :

en Conseil d’État

Objet

Cet amendement vise à s'assurer que l'intention du législateur sera respectée. 

Sur ce projet, après avoir refusé d’écouter les organisations syndicales, après avoir décidé d’utiliser la procédure d’examen contraint dans le temps qu’implique l’article 47-1 de la Constitution, le Gouvernement procède à de multiples recours à des décrets.

En raison notamment de l'importance du décret mentionné ici, et des difficultés de prise en compte des points de vue des acteurs concernés, il semble indispensable aux yeux des auteur.es de cet amendement que le Conseil d’État soit associé à l’écriture de ce décret.

Par cet amendement, le Conseil d’État sera ainsi saisi du projet préparé par le Gouvernement et son avis devra être recueilli après une consultation des organismes dont l'avis est souhaité. 






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3587

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 8


Alinéa 69

Compléter cet alinéa par les mots :

en Conseil d’État

Objet

Cet amendement vise à s'assurer que l'intention du législateur sera respectée. 

Sur ce projet, après avoir refusé d’écouter les organisations syndicales, après avoir décidé d’utiliser la procédure d’examen contraint dans le temps qu’implique l’article 47-1 de la Constitution, le Gouvernement procède à de multiples recours à des décrets.

En raison notamment de l'importance du décret mentionné ici, et des difficultés de prise en compte des points de vue des acteurs concernés, il semble indispensable aux yeux des auteur.es de cet amendement que le Conseil d’État soit associé à l’écriture de ce décret.

Par cet amendement, le Conseil d’État sera ainsi saisi du projet préparé par le Gouvernement et son avis devra être recueilli après une consultation des organismes dont l'avis est souhaité.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3591

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 8


Alinéa 73

Compléter cet alinéa par les mots :

en Conseil d’État

Objet

Cet amendement vise à s'assurer que l'intention du législateur sera respectée. 

Sur ce projet, après avoir refusé d’écouter les organisations syndicales, après avoir décidé d’utiliser la procédure d’examen contraint dans le temps qu’implique l’article 47-1 de la Constitution, le Gouvernement procède à de multiples recours à des décrets.

En raison notamment de l'importance du décret mentionné ici, et des difficultés de prise en compte des points de vue des acteurs concernés, il semble indispensable aux yeux des auteur.es de cet amendement que le Conseil d’État soit associé à l’écriture de ce décret.

Par cet amendement, le Conseil d’État sera ainsi saisi du projet préparé par le Gouvernement et son avis devra être recueilli après une consultation des organismes dont l'avis est souhaité.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2131

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 8


Après l’alinéa 78

Insérer un paragraphe ainsi rédigé :

...- À la seconde phrase du premier alinéa de l’article 12 de l’ordonnance n° 2002-411 du 27 mars 2002 relative à la protection sanitaire et sociale à Mayotte, la référence : « 1° ter » est remplacée par la référence : « 2° ».

Objet

Amendement de coordination.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2223 rect.

4 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

M. IACOVELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 8


Après l'article 8

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’article L. 351-4 du code de la sécurité sociale est ainsi modifié :

1° Le II est ainsi modifié :

a) Au premier alinéa, la deuxième occurrence du mot : « quatre » est remplacée par le mot : « treize » ;

b) Aux troisième et sixième alinéas, le mot : « quatrième » est remplacé par le mot : « treizième » ;

2° Au deuxième alinéa du III, le mot : « quatrième » est remplacé par le mot : « treizième » ;

3° Aux IV et V, le mot : « quatre » est remplacé par le mot : « treize ».

Objet

Actuellement les trimestres acquis pour éducation des enfants peuvent être partagés entre les parents si la demande en est faite avant le quatrième anniversaire de l’enfant. 

Afin de favoriser l’égalité femme-homme et l’implication de plus en plus importante de la part du second parent dans l’éducation de l’enfant ; cet amendement propose d’élargir l’âge de la demande, pouvant ainsi aller jusqu’au treizième anniversaire de l’enfant (âge auquel il devient responsable pénalement) et ainsi assouplir le dispositif du congé parental d’éducation.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4981

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2223 rect. de M. IACOVELLI

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Tombé

Mme PONCET MONGE, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO, MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON et Mme Mélanie VOGEL


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 8


I. Les occurrences "treize" sont remplacées par "quinze".

II. Les occurrences "treizième" sont remplacées par "quinzième".

Objet

Actuellement les trimestres acquis pour éducation des enfants peuvent être partagés entre les parents si la demande en est faite avant le quatrième anniversaire de l’enfant. 

Notre souhait est d'aller dans le sens de l'amendement et ainsi reculer l’âge de la demande jusqu’au quinzième anniversaire de l’enfant.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 6 rect. quinquies

8 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mme BILLON

et les membres du groupe Union Centriste


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 8


Après l’article 8

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. –  Le code de la sécurité sociale est ainsi modifié :

1° Le V de l’article L. 351-4 est ainsi modifié :

a) Il est ajouté une phrase ainsi rédigée :

« Ce délai n’est pas applicable en cas de perte de l’autorité parentale ou de son exercice consécutive à une condamnation pénale au titre des crimes ou délits prévus à la section 1 du chapitre Ier du titre II du livre II du code pénal, ou aux paragraphes 1 et 2 des sections 1 et 3 du chapitre II du même titre II, lorsque ces crimes ou délits ont été commis à l’encontre de l’enfant. » ;

b) Il est ajouté un alinéa ainsi rédigé :

« Lorsque la majoration a été répartie entre les parents conformément aux dispositions prévues au II, les trimestres attribués au parent condamné et dont la pension n’a pas encore été liquidée sont attribués à l’autre parent. » ;

2° L’article L. 351-12 est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« L'assuré ne peut bénéficier de la majoration prévue au premier alinéa s'il a été privé de l'exercice de l'autorité parentale ou s'est vu retirer l'autorité parentale consécutivement à une condamnation pénale au titre des crimes ou délits prévus à la section 1 du chapitre Ier du titre II du livre II du code pénal, ou aux paragraphes 1 et 2 des sections 1 et 3 du chapitre II du même titre II, lorsque ces crimes ou délits ont été commis à l’encontre d’un des enfants. »

II. – L’article L. 18 du code des pensions civiles et militaires est complété par un VI ainsi rédigé :

« VI : Le titulaire ne peut bénéficier de la majoration prévue au I s'il a été privé de l'exercice de l'autorité parentale ou s'est vu retirer l'autorité parentale consécutivement à une condamnation pénale au titre des crimes ou délits prévus à la section 1 du chapitre Ier du titre II du livre II du code pénal, ou aux paragraphes 1 et 2 des sections 1 et 3 du chapitre II du même titre II, lorsque ces crimes ou délits ont été commis à l’encontre d’un des enfants. »

III. - Les dispositions du présent article sont applicables pour les privations et retraits de l'exercice de l'autorité parentale prenant effet à compter du 1er septembre 2023.

Objet

Dans le prolongement de la loi du 28 décembre 2019, le présent amendement prévoit de priver un parent condamné pour violences et maltraitance, à l’encontre de son ou de ses enfants, du bénéfice pour le calcul de ses droits à la retraite des majorations de durée d'assurance pour éducation ou de la majoration de pension liées aux enfants.

L’ensemble de ces dispositions, applicables à compter du 1er septembre 2023, concernent les assurés du privé comme du public.

Tel est l'objet de cet amendement.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4568 rect.

4 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Adopté

Mmes ROSSIGNOL, LUBIN, POUMIROL et MEUNIER, M. MONTAUGÉ, Mmes Sylvie ROBERT, BLATRIX CONTAT, HARRIBEY, de LA GONTRIE et Martine FILLEUL, M. MICHAU, Mmes JASMIN et CONWAY-MOURET, MM. DURAIN, BOUAD, Mickaël VALLET, TEMAL, CARDON, REDON-SARRAZY et GILLÉ, Mme CONCONNE, M. TISSOT, Mme MONIER, M. STANZIONE, Mme LE HOUEROU et MM. DEVINAZ et Patrice JOLY


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 8


Après l'article 8

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le deuxième alinéa du II de l’article L. 351-4 du code de la sécurité sociale est complété par une deuxième phrase ainsi rédigée : « Le bénéfice de cette majoration en faveur de la mère assurée sociale ne peut être inférieur à deux trimestres. »

Objet

Cet amendement prévoit que la mère assurée sociale ne peut bénéficier de moins de la moitié des trimestres de majoration de durée d’assurance prévus par l’article L351-4 du code de la sécurité sociale.

Cet amendement vise à garantir une compensation minimale aux inégalités que les mères assurées connaissent durant leur carrière du fait de leur maternité. En 2015, l’INSEE publiait une étude sur « Le temps domestique et parental des hommes et des femmes : quels facteurs d’évolution en 25 ans ? » montrant qu’en 2010, 71% des tâches domestiques dans les couples hétérosexuels étaient réalisées par les femmes et 65% des tâches parentales.

De plus, les études montrent que, pour les tâches parentales, si les inégalités se réduisent ce n’est pas parce que les femmes en font moins — leur temps consacré aux tâches parentales est même en augmentation —, mais parce que les hommes ont une participation légèrement plus active.

Pour les couples ayant beaucoup d'enfants, on pourrait imaginer la mise en place de stratégies visant à répartir les trimestres de majoration alors plus nombreux, on pourrait même imaginer que ces stratégies sont justes puisque le nombre d'enfants important aurait nécessairement demandé une répartition des tâches. En réalité, l’inégale répartition des tâches entre les parents s’avère être d’autant forte dans les familles nombreuses : pour les femmes, la charge domestique augmente avec le nombre d’enfants ; pour les hommes au contraire, le travail domestique diminue quand la descendance s’accroît.

Toujours selon l’INSEE, mais cette fois-ci selon une enquête de 2022, en 2020 81% des mères en couple sont en activité, contre 96% des pères. L’enquête montre que les femmes supportent davantage le poids de la conciliation entre vie professionnelle et vie familiale que les hommes.  

 



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après 5 à un article additionnel après 8).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4570 rect.

4 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Adopté

Mmes ROSSIGNOL, LUBIN, POUMIROL et MEUNIER, M. MONTAUGÉ, Mmes Sylvie ROBERT, BLATRIX CONTAT, HARRIBEY, de LA GONTRIE et Martine FILLEUL, M. MICHAU, Mmes JASMIN et CONWAY-MOURET, MM. DURAIN, BOUAD, Mickaël VALLET, TEMAL, CARDON, REDON-SARRAZY et GILLÉ, Mme CONCONNE, M. TISSOT, Mme MONIER, M. STANZIONE, Mme LE HOUEROU et M. Patrice JOLY


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 8


Après l'article 8

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le deuxième alinéa du II de l’article L. 351-4 du code de la sécurité sociale est complété par une phrase ainsi rédigée : « Seuls les pères salariés conjoints ou concubins de la mère salariée ou les personnes salariées liée à elle par un pacte de solidarité ayant fait valoir la totalité des droits au congé prévu par les articles L. 1225-35 du code du travail et L. 331-8 du présent code peuvent bénéficier de la majoration de la durée d’assurance. »

Objet

Cet amendement restreint la possibilité de bénéficier des trimestres de majoration de la durée d’assurance, pour le parent n’étant pas la mère assurée sociale, au fait pour ce parent d’avoir pris le congé de paternité et d’accueil de l’enfant (articles L1225-35 du code du travail et L331-8 du code de la sécurité sociale).

Les trimestres de majoration de la durée d’assurance doivent compenser les effets de la parentalité sur la carrière professionnelle. Dans un monde idéal, les inégalités entre les femmes et les hommes n’existeraient pas. Les mères comme les pères seraient en mesure d’avoir les mêmes carrières, les mêmes salaires, les mêmes types de contrat. Les femmes ne subiraient pas les temps partiels, les emplois précaires, les métiers dévalorisés et sous-payés en étant dans secteurs moins rémunérateurs. Or, nous ne vivons pas dans ce monde. Les femmes n’ont pas accès de la même façon au marché du travail que les hommes, elles sont moins bien payées, elles subissent des temps partiels imposés.

Ainsi, tant que ces inégalités seront présentes, nous devons en limiter les conséquences, cela passe notamment par l’attribution des trimestres de majoration de la durée d’assurance. En 2016, selon l’enquête Conditions de travail et risques psychosociaux, parmi les personnes en emploi vivant avec au moins un enfant mineur dans le ménage, 73 % des femmes déclarent faire plus de 7 heures de tâches ménagères par semaine, contre 31 % des hommes. À temps partiel, cette part monte à 85 % pour les femmes quand au moins un enfant a moins de 3 ans et à 79 % avec des enfants plus âgés. Les femmes assurant la majeure partie des tâches parentales (65% en 2010 selon une étude INSEE de 2015), nous considérons que les trimestres ne peuvent revenir aux pères que si ces derniers sont en mesure de prouver leur implication dans l’entretien et l’éducation de l’enfant. 



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après 5 à un article additionnel après 8).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4573 rect.

4 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Adopté

Mmes ROSSIGNOL, LUBIN, POUMIROL et MEUNIER, M. MONTAUGÉ, Mmes BLATRIX CONTAT, HARRIBEY, de LA GONTRIE, Sylvie ROBERT et Martine FILLEUL, M. MICHAU, Mmes JASMIN et CONWAY-MOURET, MM. DURAIN, BOUAD, Mickaël VALLET, TEMAL, CARDON, REDON-SARRAZY et GILLÉ, Mme CONCONNE, MM. TISSOT et KERROUCHE, Mme MONIER, M. STANZIONE, Mme LE HOUEROU et M. Patrice JOLY


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 8


Après l'article 8

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

À la seconde phrase du quatrième alinéa du II de l’article L. 351-4 du code de la sécurité sociale, les mots : « partagée par moitié entre les deux parents » sont remplacés par les mots : « attribuée à la mère ».

Objet

Cet amendement prévoie qu’en cas de désaccord, la majoration de la durée d’assurance est attribuée au parent ayant assumé principalement l’accueil de l’enfant, et par défaut attribuée à la mère.

Les études montrent que les femmes assurent encore la large majorité des tâches domestiques et parentales et que si l’écart entre les pères et les mères ce n’est pas parce que ces dernières en font moins, mais parce que les pères en font légèrement plus. Ainsi, le parent considéré par défaut comme ayant assuré principalement l’accueil de l’enfant pendant sa minorité est la mère.

En effet, l’INSEE en 2022 publiait une étude montrant que l’arrivée des enfants affectait davantage les mères que les pères, en 2020 81% des mères en couple sont en activité, contre 96% des pères. Cette même étude montre que les femmes supportent davantage le poids de la conciliation entre vie professionnelle et vie familiale que les hommes.

De plus, ces inégalités croissent avec le nombre d’enfants : pour les femmes, la charge domestique augmente avec le nombre d’enfants ; pour les hommes au contraire, le travail domestique diminue quand la descendance s’accroît. En 2015, l'INSEE publiait une étude sur « Le temps domestique et parental des hommes et des femmes : quels facteurs d’évolution en 25 ans ? » montrant qu’en 2010, 71% des tâches domestiques dans les couples hétérosexuels étaient réalisées par les femmes et 65% des tâches parentales. De plus, les études montrent que, pour les tâches parentales, si les inégalités se réduisent ce n’est pas parce que les femmes en font moins — leur temps consacré aux tâches parentales est même en augmentation —, mais parce que les hommes ont une participation légèrement plus active.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après 5 à un article additionnel après 8).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4569 rect.

4 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Adopté

Mmes ROSSIGNOL, LUBIN, POUMIROL et MEUNIER, M. MONTAUGÉ, Mmes Sylvie ROBERT, BLATRIX CONTAT, de LA GONTRIE, HARRIBEY et Martine FILLEUL, M. MICHAU, Mmes JASMIN et CONWAY-MOURET, MM. DURAIN, BOUAD, Mickaël VALLET, TEMAL, CARDON, REDON-SARRAZY et GILLÉ, Mme CONCONNE, MM. TISSOT et KERROUCHE, Mme MONIER, M. STANZIONE, Mme LE HOUEROU et MM. DEVINAZ et Patrice JOLY


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 8


Après l'article 8

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Après la deuxième phrase du deuxième alinéa du III de l’article L. 351-4 du code de la sécurité sociale, est insérée une phrase ainsi rédigée : « Le bénéfice de cette majoration en faveur de la mère assurée sociale ne peut être inférieur à deux trimestres. »

Objet

Cet amendement prévoit que la mère assurée sociale d’un enfant adopté pendant sa minorité ne peut bénéficier de moins de la moitié des trimestres de majoration de durée d’assurance prévus par l’article L351-4 du code de la sécurité sociale.

Cet amendement vise à garantir une compensation minimale aux inégalités que les mères assurées connaissent durant leur carrière du fait de leur maternité. En 2015, l’INSEE publiait une étude sur « Le temps domestique et parental des hommes et des femmes : quels facteurs d’évolution en 25 ans ? » montrant qu’en 2010, 71% des tâches domestiques dans les couples hétérosexuels étaient réalisées par les femmes et 65% des tâches parentales.

De plus, les études montrent que, pour les tâches parentales, si les inégalités se réduisent ce n’est pas parce que les femmes en font moins — leur temps consacré aux tâches parentales est même en augmentation —, mais parce que les hommes ont une participation légèrement plus active. Le temps parental, contrairement au temps domestique, a augmenté pour les femmes et les hommes entre 1985 et 2010, pour les hommes il est passé de 22 à 41 minutes par jour, pour les femmes de 82 à 95 minutes par jour. Le temps que les mères allouent aux tâches parentales représente plus du double de celui consacré à ces tâches par les pères. Il faut ajouter à cela que l'arrivée des enfants augmente la charge domestique des femmes, alors que pour les hommes le travail domestique diminue quand la descendance s'accroît. 

Toujours selon l’INSEE, mais cette fois-ci selon une enquête de 2022, en 2020 81% des mères en couple sont en activité, contre 96% des pères. L’enquête montre que les femmes supportent davantage le poids de la conciliation entre vie professionnelle et vie familiale que les hommes.  

 



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après 5 à un article additionnel après 8).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4571 rect.

4 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Adopté

Mmes ROSSIGNOL, LUBIN, POUMIROL et MEUNIER, M. MONTAUGÉ, Mmes Sylvie ROBERT, BLATRIX CONTAT, HARRIBEY, de LA GONTRIE et Martine FILLEUL, M. MICHAU, Mmes JASMIN et CONWAY-MOURET, MM. DURAIN, BOUAD, Mickaël VALLET, TEMAL, CARDON, REDON-SARRAZY et GILLÉ, Mme CONCONNE, M. TISSOT, Mme MONIER, M. STANZIONE, Mme LE HOUEROU et M. Patrice JOLY


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 8


Après l'article 8

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Après la deuxième phrase du deuxième alinéa du III de l’article L351-4 du code de la sécurité sociale, est insérée une phrase ainsi rédigée : « Seuls les pères salariés conjoints ou concubins de la mère salariée ou les personnes salariées liée à elle par un pacte de solidarité ayant fait valoir la totalité des droits au congé prévu par les articles L. 1225-35 du code du travail et L. 331-8 du présent code peuvent bénéficier de la majoration de la durée d’assurance. »

Objet

Cet amendement restreint la possibilité de bénéficier des trimestres de majoration de la durée d’assurance, pour le parent d’un enfant adopté durant sa minorité n’étant pas la mère assurée sociale, au fait pour ce parent d’avoir pris le congé de paternité et d’accueil de l’enfant (articles L1225-35 du code du travail et L331-8 du code de la sécurité sociale).

Les trimestres de majoration de la durée d’assurance doivent compenser les effets de la parentalité sur la carrière professionnelle. Dans un monde idéal, les inégalités entre les femmes et les hommes n’existeraient pas. Les mères comme les pères seraient en mesure d’avoir les mêmes carrières, les mêmes salaires, les mêmes types de contrat. Les femmes ne subiraient pas les temps partiels, les emplois précaires, les métiers dévalorisés et sous-payés. Or, nous ne vivons pas dans ce monde. Les femmes n’ont pas accès de la même façon au marché du travail que les hommes, elles sont moins bien payées, elles subissent des temps partiels imposés.

Ainsi, tant que ces inégalités seront présentes, nous devons en limiter les conséquences, cela passe notamment par l’attribution des trimestres de majoration de la durée d’assurance. En 2016, selon l’enquête Conditions de travail et risques psychosociaux, parmi les personnes en emploi vivant avec au moins un enfant mineur dans le ménage, 73 % des femmes déclarent faire plus de 7 heures de tâches ménagères par semaine, contre 31 % des hommes. À temps partiel, cette part monte à 85 % pour les femmes quand au moins un enfant a moins de 3 ans et à 79 % avec des enfants plus âgés. Les femmes assurant la majeure partie des tâches parentales (65% en 2010 selon une étude INSEE de 2015), nous considérons que les trimestres ne peuvent revenir aux pères que si ces derniers sont en mesure de prouver leur implication dans l’entretien et l’éducation de l’enfant. Une étude de Delphine Roy (Paris School of Economics) montre qu'une femme célibataire effectue 16 heures de tâches domestiques par semaine, un homme 11 heures. Lors du passage en couple, la femme en réalise 23, l'homme 9. Enfin, à l'arrivée du premier enfant, les travaux montrent que la mère effectue 28 heures de tâches domestiques hebdomadaires, le père 10. 

 



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après 5 à un article additionnel après 8).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4572 rect.

4 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Adopté

Mmes ROSSIGNOL, LUBIN, POUMIROL et MEUNIER, M. MONTAUGÉ, Mmes Sylvie ROBERT, BLATRIX CONTAT, HARRIBEY et de LA GONTRIE, M. MICHAU, Mmes Martine FILLEUL, JASMIN et CONWAY-MOURET, MM. DURAIN, BOUAD et Mickaël VALLET, Mme CONCONNE, MM. CARDON, REDON-SARRAZY, GILLÉ, TEMAL, TISSOT et KERROUCHE, Mme MONIER, M. STANZIONE, Mme LE HOUEROU et M. Patrice JOLY


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 8


Après l'article 8

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

À la troisième phrase du deuxième alinéa du III de l’article L. 351-4 du code de la sécurité sociale, les mots : « est partagée par moitié entre les deux parents » sont remplacés par les mots : « attribuée à la mère ».

Objet

Cet amendement prévoie qu’en cas de désaccord, la majoration de la durée d’assurance est attribuée au parent ayant assumé principalement l’accueil de l’enfant adopté pendant sa minorité, et par défaut attribuée à la mère.

Les études montrent que les femmes assurent encore la large majorité des tâches domestiques et parentales et que si l’écart entre les pères et les mères ce n’est pas parce que ces dernières en font moins, mais parce que les pères en font légèrement plus. Ainsi, le parent considéré par défaut comme ayant assuré principalement l’accueil de l’enfant adopté pendant sa minorité est la mère.

En effet, l’INSEE en 2022 publiait une étude montrant que l’arrivée des enfants affectait davantage les mères que les pères, en 2020 81% des mères en couple sont en activité, contre 96% des pères. Cette même étude montre que les femmes supportent davantage le poids de la conciliation entre vie professionnelle et vie familiale que les hommes.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après 5 à un article additionnel après 8).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1577

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mme BILLON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 8


Après l’article 8

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le VI de l’article L. 351-4 du code de la sécurité sociale est complété par deux alinéas ainsi rédigés :

« Par dérogation au premier alinéa du présent VI, en cas de décès de l’enfant avant la fin de la quatrième année suivant sa naissance ou son adoption, la majoration prévue audit II est égale à quatre trimestres.

« En cas de condamnation définitive d’une personne pour meurtre dans les situations prévues aux 1° , 3° et 4° ter de l’article 221-4 du code pénal lorsque la victime est l’enfant ouvrant droit à la majoration prévue au II du présent article, la personne condamnée ne peut bénéficier de cette majoration. »

Objet

Cet amendement vise à attribuer une majoration de durée d’assurance au titre de l’éducation de 4 trimestres, en cas de décès de l’enfant avant la fin de la quatrième année suivant sa naissance ou son adoption.

L’article L. 351-4 du code de la sécurité sociale prévoit actuellement qu’en cas de décès de l’enfant, la majoration de durée d’assurance reste due, sous réserve de remplir les conditions au service de la majoration (durée d’assurance préalable et autorité parentale).

Le nombre de trimestres est néanmoins proportionnel au nombre d’années durant lesquelles l’assuré a résidé avec l’enfant, avant son décès.

Ainsi, cet amendement vise à attribuer un nombre de 4 trimestres à l’assuré au titre de la majoration de durée d’assurance visée au II de l’article L. 351-4 du code de la sécurité sociale, quelle que soit la durée de résidence avec l’enfant au moment du décès. L’attribution en cas de décès reste néanmoins soumise aux autres conditions requises.

Toutefois, en cas de décès de l’enfant du fait d’un des deux parents, ce dernier est privé du droit de bénéficier de la majoration éducation.

Cet amendement a été déposé, et donc couvert, par le Gouvernement à l'Assemblée nationale.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1915 rect.

4 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

MM. IACOVELLI, LÉVRIER, HASSANI, PATRIAT, BARGETON et BUIS, Mme CAZEBONNE, MM. DAGBERT et DENNEMONT, Mme DURANTON, M. GATTOLIN, Mme HAVET, MM. HAYE, KULIMOETOKE, LEMOYNE, MARCHAND, MOHAMED SOILIHI et PATIENT, Mme PHINERA-HORTH, MM. RAMBAUD, RICHARD et ROHFRITSCH, Mme SCHILLINGER, M. THÉOPHILE

et les membres du groupe Rassemblement des démocrates, progressistes et indépendants


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 8


Après l'article 8

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le VI de l’article L. 351-4 du code de la sécurité sociale est complété par deux alinéas ainsi rédigés :

« Par dérogation au premier alinéa du présent VI, en cas de décès de l’enfant avant la fin de la quatrième année suivant sa naissance ou son adoption, la majoration prévue audit II est égale à quatre trimestres.

« En cas de condamnation définitive d’une personne pour meurtre dans les situations prévues aux 1° , 3° et 4° ter de l’article 221-4 du code pénal lorsque la victime est l’enfant ouvrant droit à la majoration prévue au II du présent article, la personne condamnée ne peut bénéficier de cette majoration. »

Objet

Cet amendement vise à attribuer une majoration de durée d’assurance au titre de l’éducation de 4 trimestres, en cas de décès de l’enfant avant la fin de la quatrième année suivant sa naissance ou son adoption.


L’article L.351-4 du code de la sécurité sociale prévoit actuellement qu’en cas de décès de l’enfant, la majoration de durée d’assurance reste due, sous réserve de remplir les conditions au service de la majoration (durée d’assurance préalable et autorité parentale).
Le nombre de trimestres est néanmoins proportionnel au nombre d'années durant lesquelles l'assuré a résidé avec l'enfant, avant son décès.
Ainsi, cet amendement vise à attribuer un nombre de 4 trimestres à l’assuré au titre de la majoration de durée d’assurance visée au II de l’article L.351-4 du code de la sécurité sociale, quelle que soit la durée de résidence avec l’enfant au moment du décès.


L’attribution en cas de décès reste néanmoins soumise aux autres conditions requises.
Toutefois, en cas de décès de l’enfant du fait d’un des deux parents, ce dernier est privé du droit de bénéficier de la majoration éducation.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après l'article 7 à un article additionnel après l'article 8).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2346 rect. ter

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

MM. CAPUS, GRAND, GUERRIAU, MÉDEVIELLE, VERZELEN, CHASSEING, DECOOL et LAGOURGUE, Mmes MÉLOT et PAOLI-GAGIN et MM. WATTEBLED, MENONVILLE et MALHURET


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 8


Après l'article 8

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le VI de l’article L. 351-4 du code de la sécurité sociale est complété par deux alinéas ainsi rédigés :

« Par dérogation au premier alinéa du présent VI, en cas de décès de l’enfant avant la fin de la quatrième année suivant sa naissance ou son adoption, la majoration prévue audit II est égale à quatre trimestres.

« En cas de condamnation définitive d’une personne pour meurtre dans les situations prévues aux 1° , 3° et 4° ter de l’article 221-4 du code pénal lorsque la victime est l’enfant ouvrant droit à la majoration prévue au II du présent article, la personne condamnée ne peut bénéficier de cette majoration. »

Objet

Cet amendement vise à attribuer une majoration de durée d’assurance au titre de l’éducation de 4 trimestres, en cas de décès de l’enfant avant la fin de la quatrième année suivant sa naissance ou son adoption.

L’article L.351-4 du code de la sécurité sociale prévoit actuellement qu’en cas de décès de l’enfant, la majoration de durée d’assurance reste due, sous réserve de remplir les conditions au service de la majoration (durée d’assurance préalable et autorité parentale).

Le nombre de trimestres est néanmoins proportionnel au nombre d'années durant lesquelles l'assuré a résidé avec l'enfant, avant son décès.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3410

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 8


Après l'article 8

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le VI de l’article L. 351-4 du code de la sécurité sociale est complété par deux alinéas ainsi rédigés :

« Par dérogation au premier alinéa du présent VI, en cas de décès de l’enfant avant la fin de la quatrième année suivant sa naissance ou son adoption, la majoration prévue audit II est égale à quatre trimestres.

« En cas de condamnation définitive d’une personne pour meurtre dans les situations prévues aux 1° , 3° et 4° ter de l’article 221-4 du code pénal lorsque la victime est l’enfant ouvrant droit à la majoration prévue au II du présent article, la personne condamnée ne peut bénéficier de cette majoration. »

Objet

Cet amendement vise à attribuer une majoration de durée d’assurance au titre de l’éducation de 4 trimestres, en cas de décès de l’enfant avant la fin de la quatrième année suivant sa naissance ou son adoption.

L’article L. 351-4 du code de la sécurité sociale prévoit qu'en cas de décès de l’enfant, la majoration de durée d’assurance reste due, sous réserve de remplir les conditions au service de la majoration (durée d’assurance préalable et autorité parentale).

Le nombre de trimestres est néanmoins proportionnel au nombre d’années durant lesquelles l’assuré a résidé avec l’enfant, avant son décès.

Ainsi, cet amendement vise à attribuer un nombre de 4 trimestres à l’assuré au titre de la majoration de durée d’assurance visée au II de l’article L. 351-4 du code de la sécurité sociale, quelle que soit la durée de résidence avec l’enfant au moment du décès.

L’attribution en cas de décès reste néanmoins soumise aux autres conditions requises.

Toutefois, en cas de décès de l’enfant du fait d’un des deux parents, ce dernier est privé du droit de bénéficier de la majoration éducation.

Par cet amendement, les sénateur.rices du groupe écologiste, solidarité et territoires souhaitent atténuer la brutalité de la réforme portée par un gouvernement s’apprêtant à faire peser l’équilibre du système de retraite sur le dos des travailleur.ses, plutôt que sur le capital.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4462 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 8


Après l'article 8

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le VI de l’article L. 351-4 du code de la sécurité sociale est complété par deux alinéas ainsi rédigés :

« Par dérogation au premier alinéa du présent VI, en cas de décès de l’enfant avant la fin de la quatrième année suivant sa naissance ou son adoption, la majoration prévue audit II est égale à quatre trimestres.

« En cas de condamnation définitive d’une personne pour meurtre dans les situations prévues aux 1° , 3° et 4° ter de l’article 221-4 du code pénal lorsque la victime est l’enfant ouvrant droit à la majoration prévue au II du présent article, la personne condamnée ne peut bénéficier de cette majoration. »

Objet

Cet amendement vise à attribuer une majoration de durée d’assurance au titre de l’éducation de 4 trimestres, en cas de décès de l’enfant avant la fin de la quatrième année suivant sa naissance ou son adoption.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4948

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 4462 rect. de Mme ASSASSI

présenté par

C
G  
Retiré

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 8


Alinéa 4

 Remplacer le mot  : "quatrième"

Par le mot : "première"

Objet

Ce sous -amendement tend à prévoir une majoration de la durée d'assurance en cas de décès d'un enfant avant la fin de sa première année suivant sa naissance ou son adoption et non la quatrième année, comme le souhaitent les auteurs de l'amendement sous-amendé.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4947

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 4462 rect. de Mme ASSASSI

présenté par

C
G  
Retiré

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 8


Alinéa 4

 remplacer le mot  : "quatrième"

Par le mot : " deuxième"

C

Objet

e sous -amendement tend à prévoir une majoration de la durée d'assurance en cas de décès d'un enfant avant la fin de sa deuxième année suivant sa naissance ou son adoption et non la quatrième année, comme le souhaitent les auteurs de l'amendement sous-amendé.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4949

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 4462 rect. de Mme ASSASSI

présenté par

C
G  
Retiré

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 8


Alinéa 4

 Remplacer le mot  : "quatrième"

Par le mot : "troisième"

Objet

Ce sous -amendement tend à prévoir une majoration de la durée d'assurance en cas de décès d'un enfant avant la fin de sa troisième année suivant sa naissance ou son adoption et non la quatrième année, comme le souhaitent les auteurs de l'amendement sous-amendé.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1576

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mme BILLON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 8


Après l'article 8

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Au premier alinéa du III de l’article L. 18 du code des pensions civiles et militaires de retraite, les mots : « par faits de guerre » sont supprimés.

Objet

Cet amendement vise à faciliter l’accès à la majoration de pension de 10% pour les fonctionnaires parents de trois enfants qui ont connu le décès d’un enfant.

Actuellement, afin de bénéficier de cette majoration, il est nécessaire pour le fonctionnaire d’avoir élevé les trois enfants pendant au moins neuf ans avant l’âge où ils ont cessé d’être à charge. Cette condition de durée ne s’applique toutefois pas dans le cas où l’enfant est décédé par faits de guerre.

Le présent amendement permet la convergence du régime de la fonction publique vers le régime général en supprimant la mention du décès pour faits de guerre de l’article L. 18 du code des pensions civiles et militaires de retraite. Ainsi, la perte d’un enfant ne privera pas les parents du bénéfice de la majoration de pension.

Cet amendement a été déposé, et donc couvert, par le Gouvernement à l'Assemblée nationale.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1916

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

MM. IACOVELLI, LÉVRIER, HASSANI, PATRIAT, BARGETON et BUIS, Mme CAZEBONNE, MM. DAGBERT et DENNEMONT, Mme DURANTON, M. GATTOLIN, Mme HAVET, MM. HAYE, KULIMOETOKE, LEMOYNE, MARCHAND, MOHAMED SOILIHI et PATIENT, Mme PHINERA-HORTH, MM. RAMBAUD, RICHARD et ROHFRITSCH, Mme SCHILLINGER, M. THÉOPHILE

et les membres du groupe Rassemblement des démocrates, progressistes et indépendants


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 8


Après l'article 8

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

 Au premier alinéa du III de l’article L. 18 du code des pensions civiles et militaires de retraite, les mots : « par faits de guerre » sont supprimés.

Objet

Cet amendement vise à faciliter l’accès à la majoration de pension de 10% pour les fonctionnaires parents de trois enfants qui ont connu le décès d’un enfant.
Actuellement, afin de bénéficier de cette majoration, il est nécessaire pour le fonctionnaire d’avoir élevé les trois enfants pendant au moins neuf ans avant l’âge où ils ont cessé d’être à charge. Cette condition de durée ne s’applique toutefois pas dans le cas où l’enfant est décédé par faits de guerre.


Le présent amendement permet la convergence du régime de la fonction publique vers le régime général en supprimant la mention du décès pour faits de guerre de l’article L. 18 du code des pensions civiles et militaires de retraite. Ainsi, la perte d’un enfant ne privera pas les parents du bénéfice de la majoration de pension.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2535

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

M. GONTARD, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 8


Après l'article 8

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Au premier alinéa du III de l’article L. 18 du code des pensions civiles et militaires de retraite, les mots : « par faits de guerre » sont supprimés.

Objet

Cet amendement vise à faciliter l’accès à la majoration de pension de 10% pour les fonctionnaires parents de trois enfants qui ont connu le décès d’un enfant.

Actuellement, afin de bénéficier de cette majoration, il est nécessaire pour le fonctionnaire d’avoir élevé les trois enfants pendant au moins neuf ans avant l’âge où ils ont cessé d’être à charge. Cette condition de durée ne s’applique toutefois pas dans le cas où l’enfant est décédé par faits de guerre.

Le présent amendement permet la convergence du régime de la fonction publique vers le régime général en supprimant la mention du décès pour faits de guerre de l’article L. 18 du code des pensions civiles et militaires de retraite. Ainsi, la perte d’un enfant ne privera pas les parents du bénéfice de la majoration de pension.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4001 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 8


Après l'article 8

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Au premier alinéa du III de l’article L. 18 du code des pensions civiles et militaires de retraite, les mots : « par faits de guerre » sont supprimés.

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent garantir, par une véritable automaticité dès la naissance, la majoration de 10% dans le secteur et ce plus spécifiquement dans le cas du décès de l’enfant avant les 9 ans.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2390

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. BENARROCHE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 8


Après l'article 8

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Dans un délai de douze mois à compter de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport sur l'impact chiffré de la mise en œuvre de la politique des trois ages dans la gestion des droits pour les carrières longues.

Objet

Par cet amendement, nous souhaitons l'étude serieuse de la suppression fixation des trois bornes d’âge de départ anticipé pour les carrières longues et très longues.

Le gouvernement prétend conserver le dispositif carrières longues en l’aménageant. Parmi ces ""aménagements"", le gouvernement entend fixer trois âges, 16, 18 et 20, marquant le début d’une carrière longue ou très longue.

Ainsi, en 2030, ceux qui ont commencé à travailler avant 16 ans pourront continuer à partir à la retraite à 58 ans. Ceux qui ont commencé à travailler entre 16 et 18 ans pourront partir à 60 ans et ceux qui ont commencé entre 18 et 20 ans à 62 ans.

Le gouvernement capitalise sur ces bornes d’âge comme argument social et valorisant les longues carrières. En réalité, pour le départ à 58 ans de ceux ayant commencé à 16 ans, moins de 1% des générations touchées par la réforme est concerné.

Contrairement à ce qui est annoncé, les carrières longues et très longues vont directement payer les conséquences de la réforme. On nous assure le maintien du départ anticipé de 2 ans pour les carrières longues, mais le dispositif est bien entendu décliné pour suivre le recul de l’âge légal à 64 ans.

Nous proposons de supprimer la fixation des trois bornes d’âge, dont la mention ne garantit aucunement un départ suffisamment anticipé, à la hauteur d’une longue vie de travail et de labeur.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3691 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mmes MONIER et PRÉVILLE, M. MAGNER, Mmes de LA GONTRIE et CONCONNE, MM. TODESCHINI, MONTAUGÉ, Patrice JOLY et FÉRAUD, Mmes Gisèle JOURDA et BRIQUET, M. LUREL, Mme Sylvie ROBERT, M. JOMIER, Mme CARLOTTI, MM. CHANTREL et KERROUCHE, Mmes MEUNIER, POUMIROL et LE HOUEROU, M. TISSOT, Mme CONWAY-MOURET et MM. CARDON, STANZIONE, DEVINAZ et JACQUIN


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 8


Après l’article 8

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Dans les six mois à compter de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport évaluant l’application de l’article 74 de la loi n° 2008-1330 du 17 décembre 2008 de financement de la sécurité sociale pour 2009. Il se prononce notamment sur l’opportunité pour le Gouvernement de mettre en œuvre une harmonisation par le haut des différents régimes de pensions de réversion.

Objet

Le système de pensions de réversion, profondément modifié par l’article 74 de la loi n° 2008-1330 du 17 décembre 2008 de financement de la sécurité sociale pour 2009, présente de nombreuses disparités selon les régimes (montant, âge minimum du conjoint bénéficiaire...). Cet amendement vise donc à demander un rapport au Gouvernement sur l’application de cet article et de se prononcer notamment sur l’opportunité d’harmoniser par le haut les différents régimes de pensions de réversion.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4986

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3691 rect. de Mme MONIER

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

Mme PONCET MONGE, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO, MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON et Mme Mélanie VOGEL


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 8


Amendement N° 3691 rect.

Alinéa 3

Remplacer le mot :

"six"

par :

"trois".

Objet

Ce sous-amendement vise à avancer la remise de rapport de trois mois.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 424

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté

M. BENARROCHE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 8


Après l'article 8

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Au plus tard le 31 mars 2024, le Gouvernement remet au Parlement un rapport évaluant le nombre et la nature des recours auprès de la commission nationale chargée d’examiner les demandes relatives à la retraite anticipée des travailleurs en situation de handicap afin de mesurer les effets des dispositions du 2° du I de l’article 8 de la loi n° de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023.

Objet

Cet amendement a pour objet la demande d’un rapport évaluant le nombre et la nature des recours auprès de la commission nationale chargée d’examiner les demandes relatives à la retraite anticipée des travailleurs en situation de handicap.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 301

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. FÉRAUD


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

La deuxième partie de ce texte comprend le cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement est de la supprimer. 

La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger. 

Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d’un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.

Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy-boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme. 

Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans. 

En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité). 

Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu’à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité. 

En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion.  En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 333

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. PLA


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

La deuxième partie de ce texte comprend le cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement est de la supprimer.
La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger.
Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d’un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.
Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy-boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme.
Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans.
En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité).
Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu’à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité.
En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion.  En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 387

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme FÉRET


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

Alors que la pénibilité au travail devrait être un des sujets centraux de ce projet de loi, le Gouvernement n’y consacre qu’un seul article, très largement insuffisant.

La principale proposition du Gouvernement est de créer un « fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle ». On notera qu’il refuse toujours de parler de « pénibilité », lui préférant le terme « d’usure professionnelle », soulignant ainsi sa méconnaissance du labeur enduré par des millions de travailleurs dans notre pays.
Ce fonds sera doté d’1 milliard d’euros jusqu’en 2027, soit seulement 250 millions d’euros par an. C’est très inférieur à ce que va coûter le relèvement de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans (en rente d’invalidité, notamment). Autrement dit, les dépenses de prévention vont être largement inférieures aux dépenses de réparation de la pénibilité.
En outre, ce fonds ne financera des actions de prévention à destination des salariés exposés qu’à – seulement – 3 critères de pénibilité, et non pas aux 10 facteurs existants.

Enfin, le Gouvernement aurait pu réintégrer les 4 critères de pénibilité supprimés en 2017 par les ordonnances Pénicaud pour lesquels le salarié pouvait charger son compte pénibilité (manutentions manuelles de charges, postures pénibles, vibrations mécaniques, agents chimiques dangereux).

Pour toutes ces raisons, il est demandé la suppression de cet article.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 470

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. FICHET


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

La deuxième partie de ce texte comprend le cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement est de la supprimer. 

La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger. 

Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d’un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.

Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy-boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme. 

Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans. 

En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité). 

Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu’à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité. 

En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion.  En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite. 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 501

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme HARRIBEY


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

La deuxième partie de ce texte comprend le cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement est de la supprimer. 

La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger. 

Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d’un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.

Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy-boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme. 

Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans. 

En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité). 

Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu’à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité. 

En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion.  En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 539

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. GILLÉ


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

La deuxième partie de ce texte comprend le cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement est de la supprimer. 

La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger. 

Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d’un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.

Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy-boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme. 

Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans. 

En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité). 

Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu’à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité. 

En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion.  En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite. 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 548

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme VAN HEGHE


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

La deuxième partie de ce texte comprend le cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement est de la supprimer. 

La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger. 

Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d’un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.

Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy-boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme. 

Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans. 

En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité). 

Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu’à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité. 

En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion.  En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite. 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 600

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. REDON-SARRAZY


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

La deuxième partie de ce texte comprend le cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement est de la supprimer. 

La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger. 

Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d’un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.

Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy-boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme. 

Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans. 

En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité). 

Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu’à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité. 

En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion.  En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite. 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 629

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. DEVINAZ


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

La deuxième partie de ce texte comprend le cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement est de la supprimer. 

La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger. 

Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d’un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.

Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy-boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme. 

Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans. 

En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité). 

Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu’à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité. 

En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion.  En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 649

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. MICHAU


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

 

Objet

La deuxième partie de ce texte comprend le cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement est de la supprimer. 

La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger. 

Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d’un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.

Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy-boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme. 

Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans. 

En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité). 

Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu’à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité. 

En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion.  En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite. 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 657

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. CHANTREL


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

La deuxième partie de ce texte comprend le cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement est de la supprimer. 

La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger. 

Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d’un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.

Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy-boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme. 

Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans. 

En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité). 

Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu’à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité. 

En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion.  En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite. 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 687

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LE HOUEROU


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

La deuxième partie de ce texte comprend le cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement est de la supprimer. 

La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger. 

Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d’un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.

Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy-boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme. 

Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans. 

En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité). 

Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu’à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité. 

En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion.  En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite. 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 716

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme BLATRIX CONTAT


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

La deuxième partie de ce texte comprend le cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement est de la supprimer. 

La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger. 

Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d’un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.

Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy-boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme. 

Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans. 

En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité). 

Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu’à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité. 

En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion.  En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite. 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 747

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. Mickaël VALLET


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

La deuxième partie de ce texte comprend le cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement est de la supprimer. 

La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger. 

Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d’un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.

Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy-boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme. 

Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans. 

En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité). 

Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu’à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité. 

En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion.  En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite. 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 797

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme de LA GONTRIE


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

La deuxième partie de ce texte comprend le cœur de cette réforme injuste et brutale.

Cet article 9 présuppose le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement est donc la suppression de cet article.

La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger. 

Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d’un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.

Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy-boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme. 

Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans. 

En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité). 

Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu’à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité. 

En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion.  En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 852

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. JACQUIN


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

La deuxième partie de ce texte comprend le cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement est de la supprimer. 

La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger. 

Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d’un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.

Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy-boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme. 

Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans. 

En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité). 

Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu’à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité. 

En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion.  En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite. 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 882

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. DURAIN


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

La deuxième partie de ce texte comprend le cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement est de la supprimer. 

La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger. 

Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d’un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.

Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy-boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme. 

Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans. 

En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité). 

Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu’à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité. 

En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion.  En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 919

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. LUREL


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

Le présent amendement vise à supprimer cet article que le gouvernement s'évertue à présenter comme le volet social et humain de sa réforme.

On le constate tous, le Compte de prévention actuel ne fonctionne pas. Il fonctionne d’autant moins bien depuis 2017, date à laquelle le Gouvernement Philippe a supprimé 4 des 10 critères de pénibilité ! Si le gouvernement avait voulu favoriser une meilleure prise en compte de la pénibilité, il aurait du, au lieu de présenter cet article créant 2 nouveaux fonds de prévention, remettre en place les 4 critères de pénibilité  arbitrairement supprimés pour plaire et complaire au Medef.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 937

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme ARTIGALAS


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

La deuxième partie de ce texte comprend le cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement est de la supprimer. 

La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger. 

Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d’un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.

Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy-boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme. 

Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans. 

En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité). 

Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu’à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité. 

En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion.  En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite. 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 962

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. CARDON


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

La deuxième partie de ce texte comprend le cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement est de la supprimer.
La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger.
Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d’un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.
Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy-boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme.
Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans.
En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité).
Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu’à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité.
En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion.  En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1046

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme Gisèle JOURDA


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

La deuxième partie de ce texte comprend le cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement est de la supprimer.
La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger.
Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d’un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.
Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy-boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme.
Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans.
En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité).
Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu’à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité.
En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion.  En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1091

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. TISSOT


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

La deuxième partie de ce texte comprend le cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement est de la supprimer. 

La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger. 

Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d’un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.

Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy-boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme. 

Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans. 

En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité). 

Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu’à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité. 

En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion.  En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1117

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. ÉBLÉ


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

La deuxième partie de ce texte comprend le cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement est de la supprimer. 

La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger. 

Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d’un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.

Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy-boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme. 

Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans. 

En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité). 

Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu’à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité. 

En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion.  En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite. 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1169 rect. bis

4 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

La deuxième partie de ce texte comprend le cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement est de la supprimer. 

La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger. 

Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d'un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.

Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy-boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme. 

Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans. 

En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité). 

Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu'à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité. 

En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion.  En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite. 

Nous refusons de cautionner cette réforme du Gouvernement qui veut faire croire aux salariés que la pénibilité sera mieux prise en compte, notamment avec cet article 9. La non-reconnaissance de la pénibilité est le résultat même de la conception du travail de la majorité présidentielle. En effet, au vu des dernières déclarations du Président de la République au salon de l'agriculture, la logique de la majorité est limpide, certaines professions infligent des conditions de travail  inhumaines, mais plutôt que de les améliorer, il suffit de retirer les acquis sociaux à ceux qui travaillent dans de meilleures conditions pour que cela paraisse plus "juste".

Nous proposons donc la suppression de cet article.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1193

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme Sylvie ROBERT


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

La deuxième partie de ce texte comprend le cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement est de la supprimer.


La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger.


Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d’un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.


Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy-boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme.


Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans.
En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité).


Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu’à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité.


En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion.  En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1203

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. HOULLEGATTE


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

La deuxième partie de ce texte comprend le cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement est de la supprimer.
La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger.
Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d’un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.
Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy-boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme.
Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans.
En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité).
Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu’à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité.
En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion.  En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1226

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. MÉRILLOU


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

La deuxième partie de ce texte comprend le cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement est de la supprimer. 

Le système de retraite n’est pas structurellement en danger. 

Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d’un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.

Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy-boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme. 

Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans. 

En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité). 

Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu’à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité. 

En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion.  En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite. 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1294

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. MONTAUGÉ


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

La deuxième partie de ce texte comprend le cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement est de la supprimer. 

La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger. 

Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d’un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.

Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy-boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme. 

Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans. 

En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité). 

Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu’à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité. 

En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion.  En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite. 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1329

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme PRÉVILLE


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

La deuxième partie de ce texte comprend le cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement est de la supprimer. 

La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger. 

Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d’un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.

Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy-boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme. 

Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans. 

En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité). 

Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu’à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité. 

En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion.  En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite. 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1359

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. MARIE


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

L'objet de cet amendement et de supprimer cet article qui prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine).

La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger. 

Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d’un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.

Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy-boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme. 

Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans. 

En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64 ans), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité). 

Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu’à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité. 

En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion.  En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite. 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1392

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. BOURGI


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

La deuxième partie de ce texte comprend le cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement est de la supprimer. 

La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger. 

Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d’un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.

Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy-boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme. 

Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans. 

En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité). 

Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu’à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité. 

En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion.  En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite. 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1425

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. SUEUR


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

La deuxième partie de ce texte comprend le cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement est de la supprimer. 

La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger. 

Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d’un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.

Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy-boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme. 

Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans. 

En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité). 

Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu’à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité. 

En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion.  En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite. 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1455

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. KERROUCHE


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

La deuxième partie de ce texte comprend le cœur de cette réforme injuste et brutale.

Cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement est de la supprimer. 

La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger. 

Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d’un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.

Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy-boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme. 

Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans. 

En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité). 

Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu’à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité. 

En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion.  En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite. 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1469

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. STANZIONE


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

Comme signifié par le COR et de nombreux experts, le système de retraite n’est pas structurellement en danger. La deuxième partie de ce texte comprend le cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement est donc de la supprimer. 

Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d’un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.
Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy-boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme.
Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans.
En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité).
Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu’à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité.
En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion.  En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1486

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme CONWAY-MOURET


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

La deuxième partie de ce texte comprend le cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement est de la supprimer. 

La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger. 

Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d’un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.

Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy-boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme. 

Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans. 

En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité). 

Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu’à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité. 

En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion.  En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite. 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1523

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme Martine FILLEUL


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

La deuxième partie de ce texte comprend le cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement est de la supprimer.
La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger.
Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d’un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.
Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy-boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme.
Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans.
En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité).
Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu’à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité.
En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion. En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1559

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme MONIER


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

La deuxième partie de ce texte comprend le cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement est de la supprimer. 

La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger. 

Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d’un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.

Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy-boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme. 

Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans. 

En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité). 

Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu’à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité. 

En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion.  En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite. 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1575

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme CARLOTTI


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

La deuxième partie de ce texte comprend le cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement est de la supprimer.
La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger.
Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d’un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.
Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy-boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme.
Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans.
En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité).
Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu’à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité.
En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion.  En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1611

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. Joël BIGOT


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

La deuxième partie de ce texte comprend le cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement est de la supprimer.

La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger. Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d’un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.

Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du "papy-boom", il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme.
Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1641

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme POUMIROL


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

La deuxième partie de ce texte comprend le cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement est de la supprimer. 

La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger. 

Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d’un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.

Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy-boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme. 

Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans. 

En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité). 

Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu’à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité. 

En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion.  En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite. 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1680

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme BONNEFOY


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

La deuxième partie de ce texte comprend le cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement est de la supprimer.

La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger. Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d’un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.

Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du "papy-boom", il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme.
Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1735

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. LECONTE


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

La deuxième partie de ce texte comprend le cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement est de la supprimer.
La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger.
Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d’un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.
Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy-boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme.
Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans. 
En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité).
Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu’à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité.
En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion.  En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite. 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1768

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme MEUNIER


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

La deuxième partie de ce texte comprend le cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement est de la supprimer. 

La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger. 

Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d’un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.

Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy-boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme. 

Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans. 

En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité). 

Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu’à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité. 

En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion.  En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1781

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. TODESCHINI


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

La deuxième partie de ce texte comprend le cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement est de la supprimer.

La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger.

Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d’un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.

Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy-boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme.

Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans.

En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité).

Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu’à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité.

En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion.  En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1808

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. JOMIER


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

Le fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle prévu par cet article constitue une réponse in-aboutie et largement insuffisante à la non-prise en charge de la pénibilité.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1838

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. KANNER


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

La deuxième partie de ce texte comprend le cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement est de la supprimer. 

La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger. 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1860

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. ASSOULINE


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

La deuxième partie de ce texte comprend le cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement est de la supprimer. 

La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger. 

Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d’un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.

Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy-boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme. 

Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans. 

En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité). 

Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu’à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité. 

En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion.  En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1875

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. COZIC


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

La deuxième partie de ce texte comprend le cœur de cette réforme inique, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement est de la supprimer. 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1926

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. Patrice JOLY


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

La deuxième partie de ce texte comprend le cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement est de la supprimer. 

La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger. 

Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d’un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.

Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy-boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme. 

Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans. 

En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité). 

Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu’à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité. 

En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion.  En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite. 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2006

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme ROSSIGNOL


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

La deuxième partie de ce texte comprend le cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement est de la supprimer. 

La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger. 

Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d’un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.

Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy-boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme. 

Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans. 

En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité). 

Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu’à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité. 

En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion.  En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite. 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2088

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. JEANSANNETAS


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

La deuxième partie de ce texte comprend le cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement est de la supprimer. 

La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger. 

Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d’un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.

Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy-boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme. 

Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans. 

En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité). 

Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu’à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité. 

En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion.  En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite. 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2278

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme ESPAGNAC


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

La deuxième partie de ce texte comprend le cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement est de la supprimer. 

La réalité, c’est que le système de retraite n’est pas structurellement en danger. 

Si, entre 2022 et 2032, le COR prévoit la détérioration de la situation financière du système de retraite, il s’agirait d’un déficit qui se situerait entre 0,5 point et 0,8 point de PIB en fonction de la convention et du scénario retenu. Le déficit du système de retraite s’évalue ainsi à moins d’un point de PIB.

Enfin, le système de retraites reviendrait de manière progressive à l’équilibre à l’horizon 2070. Bien que le système soit dans les prochaines années déficitaire - notamment à cause des effets du papy-boom, il ne l’est pas au point que sa pérennité d’ici 2070 puisse être remise en question, et ce, même en l’absence de réforme. 

Cette mesure n’est pas nécessaire et son objectif est simple : faire payer le pacte de stabilité aux retraités, en créant des trappes à précarité pour les 55/65 ans. 

En reculant l’âge légal de deux ans (62 à 64), la DREES prévoit une hausse cumulée de 5 milliards d’euros de dépenses sociales : 1,3 milliard d’euros des dépenses d’assurance chômage et 3,6 milliards d’euros de prestations sociales (AAH et invalidité). 

Pourquoi ? Parce que si les seniors sont moins touchés par le chômage que les jeunes, lorsqu’ils sont au chômage, ils le restent et souvent jusqu’à l’âge légal de départ. La réalité est la même pour ceux en invalidité. 

En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne percevaient un revenu d’activité ou une pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion.  En 2019, 16% des personnes de plus de 50 ans ne sont ni en emploi ni à la retraite. 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2580

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme JASMIN


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

La deuxième partie de ce texte comprend le cœur de cette réforme injuste et brutale, cet article prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’accélération de la durée d’assurance (accélération de la réforme Touraine). L’objet du présent amendement est de la supprimer. 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3307

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

Les dispositions prévues par le texte sont loin des échanges ayant eu lieu lors de la concertation avec le ministère du travail, qui envisageait de réintégrer au C2P les anciens critères de pénibilité du C3P. Pour lutter contre la pénibilité, le Gouvernement envisage de créer un Fonds, dont la mission serait d’exercer des missions de prévention pour lutter contre l’usure professionnelle.

En 2017, près de 3 millions de salariés étaient exposés à un facteur de pénibilité ouvrant droit à un départ anticipé via le compte personnel de prévention de la pénibilité (C3P) selon l’enquête Sumer, le dispositif de l’époque, mais le ministère du Travail chiffrait à 1,3 million seulement les bénéficiaires de la mesure, les employeurs ne déclarant pas systématiquement les expositions.

Ce Fonds serait financé par une dotation de la branche AT-MP. Plutôt que de renforcer les moyens de la médecine du travail, le Gouvernement fait donc le choix de créer une instance supplémentaire financée sur les excédents de la branche AT-MP. In fine, cette opération ne donne pas de moyens supplémentaires à la médecine du travail pour exercer ses missions de prévention au sein des entreprises.

Le texte fait également évoluer la notion de pénibilité en parlant d’usure professionnelle. Plutôt que de réintégrer des critères de pénibilité, il est proposé que soit établie une liste de métiers particulièrement pénibles. Pour ces métiers, un suivi médical spécifique sera proposé. Ce suivi médical pourra permettre des départs anticipés pour inaptitude, ou bien avant, une reconversion professionnelle financée par le C2P (principale évolution). Ainsi, la prise en compte de la pénibilité servira à financer une transition professionnelle. Un salarié abimé par sa vie professionnelle, à moins d’être en inaptitude ne partira pas plus tôt, il continuera à travailler dans un métier considéré comme moins exposé aux risques professionnels. Il n’y a donc aucune évolution de la philosophie de la prise en compte de la pénibilité.

Cet article est un énième habillage du Gouvernement pour faire passer sa réforme. Il est proposé de le supprimer.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3790

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 9


Supprimer cet article.

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent la suppression de cet article qui crée « un fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle ». En se refusant de parler de pénibilité, en l’euphémisant la pénibilité devient l’usure professionnelle apparentant quitte à déshumaniser les travailleuses et les travailleurs en les apparentant à « des choses qui auraient été trop utilisées ».

Or, ce choix sémantique n’est pas neutre et traduit une sous-estimation du phénomène tant financier – le fonds serait doté d’1 milliard d’euros jusqu’en 2027, soit 250 millions d’euros par an, bien loin des 1,8 milliards d’euros qu’estiment la DREES en conséquence du relèvement de l’âge légal – que social tant l’ampleur est importante. 2 920 000 travailleuses et travailleurs sont potentiellement exposés aux facteurs de risque selon la DARES. Au 1er janvier 2022, un peu plus de 1,5 million de salariés seulement avaient ouvert leur compte. Rappelons que 61 % des salariés sont exposés à au moins un critère de pénibilité soit 13,5 millions de personnes en France métropolitaine en 2017.

En refusant de réintégrer les 4 critères de pénibilité supprimé et en sous-investissant dans celle-ci le Gouvernement feint de saisir l’enjeu, tente de réparer les effets de sa contre-réforme des retraites mais ne se montre ni à la hauteur de cet enjeu de santé publique, ni de la considération suffisante pour le monde du travail.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2132

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Défavorable
Adopté

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 9


I. – Alinéa 4, alinéa 5, deuxième phrase, et alinéa 10

Après la référence :

1° 

insérer les mots :

et au a du 2° 

II. – Alinéa 7

Remplacer les mots :

aux 1° 

par les mots :

au 1° et au a du 2° 

Objet

Les agents chimiques dangereux ont été exclus des facteurs de pénibilité pris en compte dans le cadre du compte professionnel de prévention (C2P) en 2017.

Le présent amendement vise à les inclure, au même titre que les facteurs de risques ergonomiques, parmi les facteurs pris en compte par le Fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle (FIPU) créé par l’article 9.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5500

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mme PONCET MONGE


ARTICLE 9


Amendement 2132, alinéas 5 et 10

Supprimer les mots : 

au a

Objet

Nous saluons cet amendement qui vise inclure les agents chimiques dangereux, au même titre que les facteurs de risques ergonomiques, parmi les facteurs pris en compte lors de l’établissement par les branches professionnelles de listes de métiers et activités particulièrement exposés en vue de définir les orientations du fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle.

Nous souhaiterions le renforcer en incluant également les activités exercées en milieu hyperbare, les températures extrêmes, et le bruit, qui sont les trois autres critères d’un environnement physique agressif.

Selon l’Institut national de recherche et de sécurité, « Un outil qui glisse des mains lorsqu’elles sont moites, la transpiration qui gêne la vue… : la chaleur peut ainsi entraîner des altérations fonctionnelles et générer des risques pour la sécurité. Lors de l’exposition à la chaleur, des effets psychologiques/cognitifs sont également observés comme l’augmentation du temps de réaction, des erreurs ou omissions. Il est toujours plus difficile d’effectuer une tâche demandant de la précision et plus risqué de réaliser une tâche demandant un effort physique important dans une ambiance très chaude ».

De manière générale, la pénibilité au travail est accrue en France. Selon l’agence européenne pour la sécurité et la santé au travail de l’UE, en 2022, sur les 12 derniers mois, 30% des salariés français ressentaient une fatigue générale, 24% ont eu des problèmes de maux de tête, 26% des problèmes musculaires/osseux/articulaires, et 25% sont passés par des états de stress/dépression/anxiété. Selon la Dares, l’exposition à un bruit intense connaît un accroissement pour l’ensemble des salariés, passant de 16,1% en 1984 à 18,3% en 2016.


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5501

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mme Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Amendement 2132, alinéas 5 et 10

Supprimer les mots : 

 au a

Objet

Nous saluons cet amendement qui vise inclure les agents chimiques dangereux, au même titre que les facteurs de risques ergonomiques, parmi les facteurs pris en compte lors de l’établissement par les branches professionnelles de listes de métiers et activités particulièrement exposés en vue de définir les orientations du fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle.

Nous souhaiterions le renforcer en incluant également les activités exercées en milieu hyperbare, les températures extrêmes, et le bruit, qui sont les trois autres critères d’un environnement physique agressif.

Selon l’Institut national de recherche et de sécurité, « Un outil qui glisse des mains lorsqu’elles sont moites, la transpiration qui gêne la vue… : la chaleur peut ainsi entraîner des altérations fonctionnelles et générer des risques pour la sécurité. Lors de l’exposition à la chaleur, des effets psychologiques/cognitifs sont également observés comme l’augmentation du temps de réaction, des erreurs ou omissions. Il est toujours plus difficile d’effectuer une tâche demandant de la précision et plus risqué de réaliser une tâche demandant un effort physique important dans une ambiance très chaude ».

De manière générale, la pénibilité au travail est accrue en France. Selon l’agence européenne pour la sécurité et la santé au travail de l’UE, en 2022, sur les 12 derniers mois, 30% des salariés français ressentaient une fatigue générale, 24% ont eu des problèmes de maux de tête, 26% des problèmes musculaires/osseux/articulaires, et 25% sont passés par des états de stress/dépression/anxiété. Selon la Dares, l’exposition à un bruit intense connaît un accroissement pour l’ensemble des salariés, passant de 16,1% en 1984 à 18,3% en 2016.


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5502

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mme PONCET MONGE


ARTICLE 9


Amendement 2132

Alinéas 5 et 10

Compléter ces alinéas par les mots :

ainsi que le 3

Objet

Par ce sous-amendement, le Groupe Écologiste-Solidarité et Territoires souhaite renforcer ce qui est proposé dans le présent amendement, en incluant, au même titre que les facteurs de risques ergonomiques, certains rythmes de travail, parmi les facteurs pris en compte par le Fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle (FIPU) créé par l’article 9.

Le travail en équipes successives alternantes, communément appelé travail posté (comme par exemple les 3x8 ou 2x12) est également l’un des facteurs de risques professionnels liés à certains rythmes de travail. Il implique généralement des horaires la nuit.

Depuis 2015, le travail de nuit et le travail en équipes successives alternantes sont les deux facteurs ayant conduit au plus grand nombre d’ouvertures de compte professionnel de prévention selon la Cour des Comptes.

La pénibilité du travail répétitif peut avoir des conséquences très lourdes pour le salarié. Selon le code du travail, "le travail répétitif est caractérisé par la répétition d’un même geste, à une cadence contrainte, imposé ou non par le déplacement automatique d’une pièce ou par la rémunération à la pièce, avec un temps de cycle défini".

De plus, il est important de souligner que le travail répétitif se retrouve davantage dans les métiers occupés par des femmes. Les troubles musculo-squelettiques liés au travail sont dus à des gestes répétitifs et les femmes développent deux fois plus que les hommes ces troubles car davantage exposées à des métiers répétitifs.

De plus, selon le rapport de l’Anact (Agence nationale pour l’amélioration des conditions de travail) en 2019, le secteur de la santé, de l’action sociale, du nettoyage et du travail temporaire et le secteur des services, commerces et industries de l’alimentation totalisent 59,3% des maladies professionnelles pour les femmes.


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5503

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mme Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Amendement 2132

Alinéas 5 et 10

Compléter ces alinéas par les mots :

ainsi que le 3

Objet

Par ce sous-amendement, le Groupe Écologiste-Solidarité et Territoires souhaite renforcer ce qui est proposé dans le présent amendement, en incluant, au même titre que les facteurs de risques ergonomiques, certains rythmes de travail, parmi les facteurs pris en compte par le Fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle (FIPU) créé par l’article 9.

Le travail en équipes successives alternantes, communément appelé travail posté (comme par exemple les 3x8 ou 2x12) est également l’un des facteurs de risques professionnels liés à certains rythmes de travail. Il implique généralement des horaires la nuit.

Depuis 2015, le travail de nuit et le travail en équipes successives alternantes sont les deux facteurs ayant conduit au plus grand nombre d’ouvertures de compte professionnel de prévention selon la Cour des Comptes.

La pénibilité du travail répétitif peut avoir des conséquences très lourdes pour le salarié. Selon le code du travail, "le travail répétitif est caractérisé par la répétition d’un même geste, à une cadence contrainte, imposé ou non par le déplacement automatique d’une pièce ou par la rémunération à la pièce, avec un temps de cycle défini".

De plus, il est important de souligner que le travail répétitif se retrouve davantage dans les métiers occupés par des femmes. Les troubles musculo-squelettiques liés au travail sont dus à des gestes répétitifs et les femmes développent deux fois plus que les hommes ces troubles car davantage exposées à des métiers répétitifs.

De plus, selon le rapport de l’Anact (Agence nationale pour l’amélioration des conditions de travail) en 2019, le secteur de la santé, de l’action sociale, du nettoyage et du travail temporaire et le secteur des services, commerces et industries de l’alimentation totalisent 59,3% des maladies professionnelles pour les femmes.


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5541

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

M. CHANTREL


ARTICLE 9


ARTICLE 9

Alinéa 5

Supprimer "et au a"

Objet

Cet amendement vise à intégrer tous les critères de pénibilité au 2°.


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5542 rect.

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

M. KERROUCHE


ARTICLE 9


Amendement 2132

Alinéas 5 et 10

Supprimer "et au a"

Objet

Cet amendement vise à intégrer tous les critères de pénibilité du 2°.






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N° 5543

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mme MEUNIER


ARTICLE 9


Sous amendement à l'amendement n°2132 

Alinéa 5

Supprimer "et au a"

Objet

Cet amendement vise à intégrer tous les critères de pénibilité au 2°


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5544

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

M. CHANTREL


ARTICLE 9


Sous amendement à l'amendement n°2132 

Alinéa 5

Supprimer "et au a"

Objet

Cet amendement vise à intégrer tous les critères de pénibilité au 2°


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5545

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

M. KANNER

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 9


Alinéa 5

Supprimer et au

Objet

cet amendement vise à intégrer tous les critères de pénibilité du 2°


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5546

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mme ROSSIGNOL


ARTICLE 9


Sous amendement à l'amendement n°2132 

Alinéa 5

Supprimer "et au a"

Objet

Cet amendement vise à intégrer tous les critères de pénibilité au 2°


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5548

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mme FÉRET


ARTICLE 9


Alinéa 5

Supprimer et au

Objet

cet amendement vise à intégrer tous les critères de pénibilité du 2°


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5549

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

M. FICHET


ARTICLE 9




Sous amendement à l'amendement n°2132 

Alinéa 5

Supprimer "et au a"

Objet

Cet amendement vise à intégrer tous les critères de pénibilité au 2°


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5550

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

M. DURAIN


ARTICLE 9


Alinéa 5


Supprimer les mots « et au a »

Objet

Cet amendement vise à intégrer tous les critères de pénibilité au 2°


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mme POUMIROL


ARTICLE 9


Sous amendement à l'amendement n°2132 

Alinéa 5

Supprimer "et au a"

Objet

Cet amendement vise à intégrer tous les critères de pénibilité au 2°


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mme MONIER


ARTICLE 9


Amendement 2132


Alinéa 5


Supprimer les mots « et au a »

Objet

Cet amendement vise à intégrer tous les critères de pénibilité au 2°


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5553

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SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mme LE HOUEROU


ARTICLE 9


Alinéa 5

Supprimer et au

Objet

cet amendement vise à intégrer tous les critères de pénibilité du 2°


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

M. CARDON


ARTICLE 9


Sous amendement à l'amendement n°2132 

Alinéa 5

Supprimer "et au a"

Objet

Cet amendement vise à intégrer tous les critères de pénibilité au 2°


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

M. FÉRAUD


ARTICLE 9


Sous amendement à l'amendement n°2132 

Alinéa 5

Supprimer "et au a"

Objet

Cet amendement vise à intégrer tous les critères de pénibilité au 2°


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

M. BOURGI

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 9


Alinéa 5

Supprimer et au

Objet

cet amendement vise à intégrer tous les critères de pénibilité du 2°


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5559

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

M. ASSOULINE


ARTICLE 9


Sous amendement à l'amendement n°2132 

Alinéa 5

Supprimer "et au a"

Objet

Cet amendement vise à intégrer tous les critères de pénibilité au 2°


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mme de LA GONTRIE


ARTICLE 9


Sous amendement à l'amendement n°2132 

Alinéa 5

Supprimer "et au a"

Objet

Cet amendement vise à intégrer tous les critères de pénibilité au 2°


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

M. ÉBLÉ

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 9


Alinéa 5

Supprimer et au

Objet

cet amendement vise à intégrer tous les critères de pénibilité du 2°


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mme Sylvie ROBERT


ARTICLE 9


Sous amendement à l'amendement n°2132 

Alinéa 5

Supprimer "et au a"

Objet

Cet amendement vise à intégrer tous les critères de pénibilité au 2°


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

M. ÉBLÉ


ARTICLE 9



Article 9
Amendement 2132
Alinéa 5
Supprimer "et au a"

Objet

Cet amendement vise à intégrer tous les critères de pénibilité du 2°.


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

M. DURAIN

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 9


Alinéa 5

Supprimer et au

Objet

cet amendement vise à intégrer tous les critères de pénibilité du 2°


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5566

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

M. Patrice JOLY

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 9


Alinéa 5

Supprimer et au

Objet

cet amendement vise à intégrer tous les critères de pénibilité du 2°


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5567

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

M. RAYNAL


ARTICLE 9


Sous amendement à l'amendement n°2132 

Alinéa 5

Supprimer "et au a"

Objet

Cet amendement vise à intégrer tous les critères de pénibilité au 2°


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5568

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mme PRÉVILLE


ARTICLE 9


Alinéa 5

Supprimer "et au a"

Objet

Cet amendement vise à intégrer tous les critères de pénibilités au 2°.


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5570

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mme LE HOUEROU


ARTICLE 9


Alinéa 5

Supprimer "et au a"

Objet

Cet amendement vise à intégrer tous les critères de pénibilité du 2°.


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5572

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

M. STANZIONE


ARTICLE 9


Sous amendement à l'amendement n°2132 

Alinéa 5

Supprimer "et au a"

Objet

Cet amendement vise à intégrer tous les critères de pénibilité au 2°


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5574

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mme CONWAY-MOURET

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 9


Alinéa 5

Supprimer et au

Objet

cet amendement vise à intégrer tous les critères de pénibilité du 2°


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5575

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mme BONNEFOY


ARTICLE 9


Sous amendement à l'amendement n°2132 

Alinéa 5

Supprimer "et au a"

Objet

Cet amendement vise à intégrer tous les critères de pénibilité au 2°


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5577

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

M. Joël BIGOT

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 9


Alinéa 5

Supprimer et au

Objet

cet amendement vise à intégrer tous les critères de pénibilité du 2°


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5578

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

M. MONTAUGÉ


ARTICLE 9


Sous amendement à l'amendement n°2132 

Alinéa 5

Supprimer "et au a"

Objet

Cet amendement vise à intégrer tous les critères de pénibilité au 2°


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5579

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mme ARTIGALAS

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 9


Alinéa 5

Supprimer et au

Objet

cet amendement vise à intégrer tous les critères de pénibilité du 2°


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5582

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mme VAN HEGHE

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 9


Alinéa 5

Supprimer et au

Objet

cet amendement vise à intégrer tous les critères de pénibilité du 2°


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5583

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mme PRÉVILLE


ARTICLE 9


Sous amendement à l'amendement n°2132 

Alinéa 5

Supprimer "et au a"

Objet

Cet amendement vise à intégrer tous les critères de pénibilité au 2°


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

M. KANNER


ARTICLE 9


ARTICLE 9

Alinéa 5

Supprimer "et au a"

 

Objet

Cet amendement vise à intégrer tous les critères de pénibilités au 2°.

 


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5589

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

M. KANNER


ARTICLE 9


Sous-amendement à l'amendement n°2132

Après l’alinéa 9 insérer un alinéa ainsi rédigé :

"Un décret pris en conseil d’Etat détermine les conditions d’application."

Objet

Sous amendement rédactionnel


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5591

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

M. CHANTREL


ARTICLE 9


Sous-amendement à l'amendement n°2132

Après l’alinéa 9 insérer un alinéa ainsi rédigé :

"Un décret pris en conseil d’Etat détermine les conditions d’application."

Objet

Sous amendement rédactionnel.


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5592

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mme ROSSIGNOL


ARTICLE 9


Sous-amendement à l'amendement n°2132

Après l’alinéa 9 insérer un alinéa ainsi rédigé :

"Un décret pris en conseil d’Etat détermine les conditions d’application."

Objet

Sous amendement rédactionnel


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5593

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mme de LA GONTRIE


ARTICLE 9


Sous-amendement à l'amendement n°2132

Après l’alinéa 9 insérer un alinéa ainsi rédigé :

"Un décret pris en conseil d’Etat détermine les conditions d’application."

 

Objet

Sous amendement rédactionnel


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5594

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

M. CARDON


ARTICLE 9


Sous-amendement à l'amendement n°2132

Après l’alinéa 9 insérer un alinéa ainsi rédigé :

"Un décret pris en conseil d’Etat détermine les conditions d’application."

 

Objet

Sous amendement rédactionnel


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5595

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

M. KERROUCHE


ARTICLE 9


Amendement 2132

Après l’alinéa 9

Insérer un alinéa ainsi rédigé :


"Un décret pris en conseil d’Etat détermine les conditions d’application."

Objet

Sous amendement rédactionnel.


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5596

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mme LE HOUEROU

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 9


Après l’alinéa 9insérer un alinéa ainsi rédigé :

"Un décret pris en conseil d’Etat détermine les conditions d’application."

Objet

Sous amendement rédactionnel


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5597

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mme FÉRET


ARTICLE 9


Sous-amendement à l'amendement n°2132

Après l’alinéa 9 insérer un alinéa ainsi rédigé :

"Un décret pris en conseil d’Etat détermine les conditions d’application."

Objet

Sous amendement rédactionnel


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5598

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

M. MONTAUGÉ


ARTICLE 9


Sous-amendement à l'amendement n°2132

Après l’alinéa 9 insérer un alinéa ainsi rédigé :

"Un décret pris en conseil d’Etat détermine les conditions d’application."

Objet

Sous amendement rédactionnel


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5599

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mme BLATRIX CONTAT


ARTICLE 9


Après l’alinéa 9insérer un alinéa ainsi rédigé :

"Un décret pris en conseil d’Etat détermine les conditions d’application."

Objet

Sous amendement rédactionnel


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5600

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

M. RAYNAL


ARTICLE 9


Sous-amendement à l'amendement n°2132

Après l’alinéa 9 insérer un alinéa ainsi rédigé :

"Un décret pris en conseil d’Etat détermine les conditions d’application."

Objet

Sous amendement rédactionnel


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5601

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

M. ASSOULINE


ARTICLE 9


Sous-amendement à l'amendement n°2132

Après l’alinéa 9 insérer un alinéa ainsi rédigé :

"Un décret pris en conseil d’Etat détermine les conditions d’application."

Objet

Sous amendement rédactionnel


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5602

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mme ARTIGALAS


ARTICLE 9


Sous-amendement à l'amendement n°2132

Après l’alinéa 9 insérer un alinéa ainsi rédigé :

"Un décret pris en conseil d’Etat détermine les conditions d’application."

Objet

Sous amendement rédactionnel


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5604

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mme BONNEFOY


ARTICLE 9


Après l’alinéa 9insérer un alinéa ainsi rédigé :

"Un décret pris en conseil d’Etat détermine les conditions d’application."

Objet

Sous amendement rédactionnel


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5605

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mme CONWAY-MOURET


ARTICLE 9


Sous-amendement à l'amendement n°2132

Après l’alinéa 9 insérer un alinéa ainsi rédigé :

"Un décret pris en conseil d’Etat détermine les conditions d’application."

Objet

Sous amendement rédactionnel


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5607

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mme ESPAGNAC


ARTICLE 9


Sous-amendement à l'amendement n°2132

Après l’alinéa 9 insérer un alinéa ainsi rédigé :

"Un décret pris en conseil d’Etat détermine les conditions d’application."

Objet

Sous amendement rédactionnel


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5608

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mme VAN HEGHE


ARTICLE 9


Sous-amendement à l'amendement n°2132

Après l’alinéa 9 insérer un alinéa ainsi rédigé :

"Un décret pris en conseil d’Etat détermine les conditions d’application."

Objet

Sous amendement rédactionnel


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5609

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mme MONIER


ARTICLE 9


Après l’alinéa 9insérer un alinéa ainsi rédigé :

"Un décret pris en conseil d’Etat détermine les conditions d’application."

Objet

Sous amendement rédactionnel


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5610

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SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

M. Joël BIGOT


ARTICLE 9


 

Sous-amendement à l'amendement n°2132

Après l’alinéa 9 insérer un alinéa ainsi rédigé :

"Un décret pris en conseil d’Etat détermine les conditions d’application."

Objet

Sous amendement rédactionnel


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5611

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

M. Patrice JOLY


ARTICLE 9


Sous-amendement à l'amendement n°2132

Après l’alinéa 9 insérer un alinéa ainsi rédigé :

"Un décret pris en conseil d’Etat détermine les conditions d’application."

Objet

Sous amendement rédactionnel


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5612

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

M. DURAIN


ARTICLE 9


Sous-amendement à l'amendement n°2132

Après l’alinéa 9 insérer un alinéa ainsi rédigé :

"Un décret pris en conseil d’Etat détermine les conditions d’application."

Objet

Sous amendement rédactionnel


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5613

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mme PRÉVILLE


ARTICLE 9


Sous-amendement à l'amendement n°2132

Après l’alinéa 9 insérer un alinéa ainsi rédigé :

"Un décret pris en conseil d’Etat détermine les conditions d’application."

Objet

Sous amendement rédactionnel


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5614

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

M. PLA


ARTICLE 9


Après l’alinéa 9insérer un alinéa ainsi rédigé :

"Un décret pris en conseil d’Etat détermine les conditions d’application."

Objet

Sous amendement rédactionnel


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5615

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mme Sylvie ROBERT


ARTICLE 9


Après l’alinéa 9 insérer un alinéa ainsi rédigé :

"Un décret pris en conseil d’Etat détermine les conditions d’application."

Objet

Sous amendement rédactionnel


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5616

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mme VAN HEGHE


ARTICLE 9


Sous-amendement à l'amendement n°2132

Après l’alinéa 9 insérer un alinéa ainsi rédigé :

"Un décret pris en conseil d’Etat détermine les conditions d’application."

Objet

Sous amendement rédactionnel


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5617

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mme MEUNIER


ARTICLE 9


Sous-amendement à l'amendement n°2132

Après l’alinéa 9 insérer un alinéa ainsi rédigé :

"Un décret pris en conseil d’Etat détermine les conditions d’application."

Objet

Sous amendement rédactionnel


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5618

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mme MONIER


ARTICLE 9


Après l’alinéa 9insérer un alinéa ainsi rédigé :

"Un décret pris en conseil d’Etat détermine les conditions d’application."

Objet

Sous amendement rédactionnel


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5619

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mme LUBIN


ARTICLE 9


Après l'alinéa 9, insérer un alinéa ainsi rédigé :

"Un décret pris en conseil d’État détermine les conditions d'application."

Objet

Le présent sous-amendement est de nature rédactionnelle


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5620

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

M. FICHET


ARTICLE 9


Après l’alinéa 9insérer un alinéa ainsi rédigé :

"Un décret pris en conseil d’Etat détermine les conditions d’application."

Objet

Sous amendement rédactionnel


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

M. STANZIONE


ARTICLE 9


Après l’alinéa 9insérer un alinéa ainsi rédigé :

"Un décret pris en conseil d’Etat détermine les conditions d’application."

Objet

Sous amendement rédactionnel


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5622

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mme Sylvie ROBERT


ARTICLE 9


Sous-amendement à l'amendement n°2132

Après l’alinéa 9 insérer un alinéa ainsi rédigé :

"Un décret pris en conseil d’Etat détermine les conditions d’application."

Objet

Sous amendement rédactionnel


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mme POUMIROL


ARTICLE 9


Sous-amendement à l'amendement n°2132

Après l’alinéa 9 insérer un alinéa ainsi rédigé :

"Un décret pris en conseil d’Etat détermine les conditions d’application."

Objet

Sous amendement rédactionnel


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5654

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

M. DURAIN


ARTICLE 9


Alinéa 10


Supprimer les mots « et au a »

Objet

Cet amendement vise à intégrer tous les critères de pénibilité au 2°


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mme LUBIN


ARTICLE 9


Alinéa 5

Supprimer "et au a"

Objet

Cet amendement vise à intégrer tous les critères de pénibilité au 2°


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5547

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mme MEUNIER


ARTICLE 9


Alinéa 5
Supprimer les mots « et au a »

Objet

Cet amendement vise à intégrer tous les critères de pénibilité au 2°


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5560

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mme ROSSIGNOL


ARTICLE 9


Alinéa 5

Supprimer les mots "et au a"

Objet

Cet amendement vise à intégrer tous les critères de pénibilité au 2°


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5569

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mme VAN HEGHE


ARTICLE 9


Alinéa 5

Amendement 2132

Alinéa 5

Supprimer "et au a"

Objet

Cet amendement vise à intégrer tous les critères de pénibilité du 2°.

 


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5573

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mme POUMIROL


ARTICLE 9


Alinéa 5

Supprimer les mots « et au a »

Objet

Cet amendement vise à intégrer tous les critères de pénibilité au 2°


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5576

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

M. FICHET


ARTICLE 9


Alinéa 5

Amendement 2132

Alinéa 5

Supprimer "et au a"

Objet

Cet amendement vise à intégrer tous les critères de pénibilité du 2°.

 


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5587

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

M. CARDON


ARTICLE 9


Alinéa 5

Supprimer les mots "et au a"

Objet

Cet amendement vise à intégrer tous les critères de pénibilités au 2°


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5590

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

M. FÉRAUD


ARTICLE 9


Alinéa 5

Supprimer les mots « et au a »

Objet

Cet amendement vise à intégrer tous les critères de pénibilité au 2°


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5603

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

M. BOURGI


ARTICLE 9


Après l'alinéa 9 insérer un alinéa ainsi rédigé :

"Un décret pris en conseil d’Etat détermine les conditions d’application."

Objet

Sous amendement rédactionnel


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5606

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mme LUBIN


ARTICLE 9


Après l'alinéa 9insérer un alinéa ainsi rédigé :

"Un décret pris en conseil d'Etat détermine les conditions d'application."

Objet

Sous amendement rédactionnel


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5571

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2132 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mme ESPAGNAC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 9


Alinéa 5

Supprimer et au

Objet

cet amendement vise à intégrer tous les critères de pénibilité du 2°


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 44 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

MM. CABANEL, ARTANO et BILHAC, Mme Maryse CARRÈRE, M. CORBISEZ, Mme Nathalie DELATTRE, MM. FIALAIRE, GOLD et GUÉRINI, Mme GUILLOTIN, M. GUIOL, Mme PANTEL et MM. REQUIER et ROUX


ARTICLE 9


Alinéa 4

Rédiger ainsi cet alinéa :

« II. – Le fonds a pour mission de financer des actions de prévention primaire et de prévention de l’usure professionnelle. Ces actions de prévention sont déterminées par la commission des accidents du travail et des maladies professionnelles mentionnée à l’article L. 221-5 au sein de la Caisse nationale de l’assurance maladie mentionnée à l’article L. 221-1.

Objet

L'amendement vise à prévoir que le fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle (FIPU) flèche ses missions vers les actions de prévention primaire et de prévention de l’usure professionnelles, conformément aux voeux des partenaires sociaux.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 2369 rect.

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. CANÉVET, Mmes MORIN-DESAILLY et BILLON et MM. DUFFOURG, DÉTRAIGNE, DELCROS et LEVI


ARTICLE 9


Alinéa 4

Rédiger ainsi cet alinéa :

« II. – Le fonds a pour mission de financer des actions de prévention primaire et de prévention de l’usure professionnelle. Ces actions de prévention sont déterminées par la commission des accidents du travail et des maladies professionnelles mentionnée à l’article L. 221-5 au sein de la Caisse nationale de l’assurance maladie mentionnée à l’article L. 221-1.

Objet

L’amendement a pour objectif de dédier les missions du fonds aux actions de prévention primaire et de prévention de l’usure professionnelle.

En effet, dans le cadre de la négociation en cours concernant la branche ATMP, qui s’appuie sur un diagnostic partagé à l’unanimité des partenaires sociaux, l’axe prévention, et particulièrement la prévention primaire, ainsi que la prévention de la désinsertion professionnelle et le maintien en emploi sont partagés par l’ensemble des parties. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 2637 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 9


Alinéa 4

Rédiger ainsi cet alinéa :

« II. – Le fonds a pour mission de financer des actions de prévention primaire et de prévention de l’usure professionnelle. Ces actions de prévention sont déterminées par la commission des accidents du travail et des maladies professionnelles mentionnée à l’article L. 221-5 au sein de la Caisse nationale de l’assurance maladie mentionnée à l’article L. 221-1.

Objet

L’amendement a pour objectif de dédier les missions du fonds aux actions de prévention primaire et de prévention de l’usure professionnelle. En effet, dans le cadre de la négociation en cours concernant la branche ATMP, qui s’appuie sur un diagnostic partagé à l’unanimité des partenaires sociaux, l’axe prévention, et particulièrement la prévention primaire, ainsi que la prévention de la désinsertion professionnelle et le maintien en emploi sont partagés par l’ensemble des parties. A ce titre, les partenaires sociaux ont affiché la volonté d’utiliser une part des excédents et de les flécher pour financer les actions de prévention à venir. De plus, cela s’inscrit dans la continuité de l’ANI sur la prévention en santé au travail et l’amélioration des conditions de travail ainsi que dans le Plan Santé au Travail 4. Dans la mesure où la branche est financée par la cotisation des employeurs et la commission ATMP gouvernée paritairement, il est important que les partenaires sociaux soient les décideurs.

Amendement proposé par la CFDT



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 3436 rect.

4 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Alinéa 4

Rédiger ainsi cet alinéa :

« II. – Le fonds a pour mission de financer des actions de prévention primaire et de prévention de l’usure professionnelle. Ces actions de prévention sont déterminées par la commission des accidents du travail et des maladies professionnelles mentionnée à l’article L. 221-5 au sein de la Caisse nationale de l’assurance maladie mentionnée à l’article L. 221-1.

Objet

L’amendement a pour objectif de dédier les missions du fonds aux actions de prévention primaire et de prévention de la pénibilité professionnelle. En effet, dans le cadre de la négociation en cours concernant la branche ATMP, qui s’appuie sur un diagnostic partagé à l’unanimité des partenaires sociaux, l’axe prévention, et particulièrement la prévention primaire, ainsi que la prévention de la désinsertion professionnelle et le maintien en emploi sont partagés par l’ensemble des parties.

A ce titre, les partenaires sociaux affichent la volonté d’utiliser une part des excédents et de les flécher pour financer les actions de prévention à venir.

De plus, cela s’inscrit dans la continuité de l’ANI sur la prévention en santé au travail et l’amélioration des conditions de travail ainsi que dans le Plan Santé au Travail 4. Dans la mesure où la branche est financée par la cotisation des employeurs et la commission ATMP gouvernée paritairement, il est important que les partenaires sociaux soient les décideurs.

Cet amendement est issu d’une proposition de la CFDT.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 3823

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 9


Alinéa 4

Rédiger ainsi cet alinéa :

« II. – Le fonds a pour mission de financer des actions de prévention primaire et de prévention de l’usure professionnelle. Ces actions de prévention sont déterminées par la commission des accidents du travail et des maladies professionnelles mentionnée à l’article L. 221-5 au sein de la Caisse nationale de l’assurance maladie mentionnée à l’article L. 221-1.

Objet

Les membres du groupe CRCE entendent par cet amendement de repli recentrer les missions du fonds aux actions de prévention primaire et de prévention de l’usure professionnelle.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 5556

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3823 de Mme ASSASSI

présenté par

C
G  
Tombé

Mme PONCET MONGE


ARTICLE 9


Amendement 3823, alinéa 3, première phrase

Après les mots : 

prévention primaire

Ajouter les mots : 

, de prévention secondaire

Objet

Cet amendement tente de renforcer les dispositions établies par l’amendement de notre collègue. Parmi les trois préventions, la primaire, le secondaire et la tertiaire, la primaire est assurément la plus essentielle. Lors de la prévention primaire,la médecine du travail évalue les dangers sur l’homme des ambiances de travail nocives (risque toxique, conditions d’éclairage, manutention de charges, gestes répétitifs, stress professionnel, etc) ainsi que les contraintes physiques ou mentales qui s’exercent sur lui. C’est en effet la plus importante, c’est en effet celle qui permet de prévenir l’explosion de l’intensification du travail à une époque où l’exposition à au moins 3 facteurs de pénibilité a été multiplié par trois en trente ans pour tous les salariés. 

Mais la prévention secondaire, c’est la surveillance médicale des travailleurs. C’est les visites médicales d’embauche, les visites périodiques, la visite de pré-reprise et de reprise après un arrêt du travail. C’est ce qui permet aux travailleurs de bénéficier d’une surveillance médicale renforcée en cas d’exposition à des risques particuliers (travail sur écran, travail à la chaleur ou exposé au bruit, travail de nuit, etc). L’exposition aux risques ayant précisément explosée, c’est un aspect essentiel qu’il semble important de préciser et d'ajouter à l’amendement de notre collègue. 

Bien sûr les moyens manquent, le nombre de médecins du travail est insuffisant. Mais le suivi ne devrait pas en pâtir et cet amendement tente précisément d’apporter une solution. De plus, les actions de prévention au travail souffrent plus largement d’une méconnaissance de la part de nombreux employeurs. Il en résulte dans certains cas d’une défaillance dans l’organisation générale de la prévention et l’absence de mesures particulières adaptées aux situations vécues par les salariés. Cet amendement vise à répondre à ces enjeux en renforçant les accès à la prévention primaire et secondaire.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5557

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3823 de Mme ASSASSI

présenté par

C
G  
Tombé

Mme Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Amendement 3823, alinéa 3, première phrase

Après les mots : 

prévention primaire

Ajouter les mots : 

, de prévention secondaire

Objet

Cet amendement tente de renforcer les dispositions établies par l’amendement de notre collègue. Parmi les trois préventions, la primaire, le secondaire et la tertiaire, la primaire est assurément la plus essentielle. Lors de la prévention primaire,la médecine du travail évalue les dangers sur l’homme des ambiances de travail nocives (risque toxique, conditions d’éclairage, manutention de charges, gestes répétitifs, stress professionnel, etc) ainsi que les contraintes physiques ou mentales qui s’exercent sur lui. C’est en effet la plus importante, c’est en effet celle qui permet de prévenir l’explosion de l’intensification du travail à une époque où l’exposition à au moins 3 facteurs de pénibilité a été multiplié par trois en trente ans pour tous les salariés. 

Mais la prévention secondaire, c’est la surveillance médicale des travailleurs. C’est les visites médicales d’embauche, les visites périodiques, la visite de pré-reprise et de reprise après un arrêt du travail. C’est ce qui permet aux travailleurs de bénéficier d’une surveillance médicale renforcée en cas d’exposition à des risques particuliers (travail sur écran, travail à la chaleur ou exposé au bruit, travail de nuit, etc). L’exposition aux risques ayant précisément explosée, c’est un aspect essentiel qu’il semble important de préciser et d'ajouter à l’amendement de notre collègue. 

Bien sûr les moyens manquent, le nombre de médecins du travail est insuffisant. Mais le suivi ne devrait pas en pâtir et cet amendement tente précisément d’apporter une solution. De plus, les actions de prévention au travail souffrent plus largement d’une méconnaissance de la part de nombreux employeurs. Il en résulte dans certains cas d’une défaillance dans l’organisation générale de la prévention et l’absence de mesures particulières adaptées aux situations vécues par les salariés. Cet amendement vise à répondre à ces enjeux en renforçant les accès à la prévention primaire et secondaire.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 430 rect.

6 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. BENARROCHE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Alinéa 4

Rédiger ainsi cet alinéa :

« II. – Le fonds a pour mission de financer des actions de prévention primaire et de prévention des risques de pénibilité professionnelle. Ces actions de prévention sont déterminées par la commission des accidents du travail et des maladies professionnelles mentionnée à l’article L. 221-5 au sein de la Caisse nationale de l’assurance maladie mentionnée à l’article L. 221-1.

Objet

Cet amendement, travaillé avec la CFDT, a pour objectif de dédier les missions du fonds aux actions de prévention primaire et de prévention des risques de pénibilité professionnelle. En effet, dans le cadre de la négociation en cours concernant la branche accidents du travail / maladies professionnelles (AT/MP), qui s’appuie sur un diagnostic partagé à l’unanimité des partenaires sociaux, l’axe prévention, et particulièrement la prévention primaire, ainsi que la prévention de la désinsertion professionnelle et le maintien en emploi sont partagés par l’ensemble des parties.


A ce titre, les partenaires sociaux ont affiché la volonté d’utiliser une part des excédents et de les flécher pour financer les actions de prévention à venir. De plus, cela s’inscrit dans la continuité de l’Accord National Interprofessionnel (ANI) sur la prévention en santé au travail et l’amélioration des conditions de travail ainsi que dans le Plan Santé au Travail 4. Dans la mesure où la branche est financée par la cotisation des employeurs et la commission ATMP gouvernée paritairement, il est important que les partenaires sociaux soient les décideurs.



NB :Amendement rédigé à partir des travaux de la CFDT
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 43 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

MM. CABANEL, ARTANO et BILHAC, Mme Maryse CARRÈRE, M. CORBISEZ, Mme Nathalie DELATTRE, MM. FIALAIRE, GOLD et GUÉRINI, Mme GUILLOTIN, M. GUIOL, Mme PANTEL et MM. REQUIER et ROUX


ARTICLE 9


Alinéa 5, deuxième phrase

Remplacer cette phrase par deux phrases ainsi rédigées :

Elles sont au bénéfice des travailleurs exposés aux facteurs de risques mentionnés à l’article L. 4161-1 du code du travail. Pour les travailleurs exposés aux facteurs de risques professionnels mentionnés au 1° du I du même article L. 4161-1, ces orientations se fondent sur une cartographie des métiers et activités particulièrement exposés à ces facteurs, qui s’appuie sur les listes établies, le cas échéant, par les branches professionnelles, en application de l’article L. 4163-2-1 du même code.

Objet

L’allongement de la durée des carrières ne peut pas se concevoir sans un renforcement très significatif des dispositifs de prévention et de réparation de l’usure professionnelle. S’agissant des mesures concernant l’exposition aux facteurs de risques professionnels, elles doivent être suffisamment larges pour prendre en compte toutes les situations au delà de celles résultant des trois facteurs ergonomiques.

L’amendement vise à ce que les orientations du fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelles, définies par la commission des accidents du travail et des maladies professionnelles (CAT-MP) de la Caisse nationale de l’assurance maladie (Cnam), soient élargies à l’ensemble des dix facteurs de risques professionnels.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2366 rect.

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

M. CANÉVET, Mmes MORIN-DESAILLY et BILLON et MM. DUFFOURG, DELCROS, DÉTRAIGNE, LEVI et Jean-Michel ARNAUD


ARTICLE 9


Alinéa 5, deuxième phrase

Remplacer cette phrase par deux phrases ainsi rédigées :

Elles sont au bénéfice des travailleurs exposés aux facteurs de risques mentionnés à l’article L. 4161-1 du code du travail. Pour les travailleurs exposés aux facteurs de risques professionnels mentionnés au 1° du I du même article L. 4161-1, ces orientations se fondent sur une cartographie des métiers et activités particulièrement exposés à ces facteurs, qui s’appuie sur les listes établies, le cas échéant, par les branches professionnelles, en application de l’article L. 4163-2-1 du même code.

Objet

Cet amendement vise à élargir les orientations du fond définies par la commission ATMP, aux 10 facteurs de risques professionnels. Mais en faisant en sorte, de maintenir le mécanisme de cartographie des activités et des métiers pour les 3 facteurs ergonomiques (manutention manuelle de charge, postures pénibles, vibrations mécaniques).



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2639 rect. bis

5 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 9


Alinéa 5, deuxième phrase

Remplacer cette phrase par deux phrases ainsi rédigées :

Elles sont au bénéfice des travailleurs exposés aux facteurs de risques mentionnés à l’article L. 4161-1 du code du travail. Pour les travailleurs exposés aux facteurs de risques professionnels mentionnés au 1° du I du même article L. 4161-1, ces orientations se fondent sur une cartographie des métiers et activités particulièrement exposés à ces facteurs, qui s’appuie sur les listes établies, le cas échéant, par les branches professionnelles, en application de l’article L. 4163-2-1 du même code.

Objet

L’amendement vise à ce que les orientations du fonds définies par la commission AT-MP soient élargies à l’ensemble des dix facteurs de risques professionnels tout en maintenant le mécanisme particulier de cartographie des activités et des métiers pour les trois facteurs ergonomiques (manutention manuelle de charge, postures pénibles, vibrations mécaniques).

 

Amendement communiqué par la CFDT


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3136

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Alinéa 5, deuxième phrase

Remplacer cette phrase par deux phrases ainsi rédigées :

Elles sont au bénéfice des travailleurs exposés au risque mentionnés au b du 2° du I de l’article L. 4161-1 du code du travail. Ces orientations se fondent sur une cartographie des métiers et activités particulièrement exposés à ces facteurs, qui s’appuie sur les listes établies, le cas échéant, par les branches professionnelles, en application de l’article L. 4163-2-1 du même code.

Objet

Selon l’enquête Giscop93, menée entre 2002 et 2010 dans les hôpitaux du 93, neuf patients sur dix atteint de cancer ont été exposés à au moins un cancérogène au cours de la vie professionnelle.

Selon le chercheur, Philippe Davezies, « la grande majorité des maladies professionnelles reconnues (94 %) ne relève en effet que de deux chapitres de la pathologie professionnelle : les maladies dues à l’amiante et les pathologies de l’appareil locomoteur. En arrière-fond, la majeure partie des atteintes à la santé par le travail et les problèmes qu’elles posent en matière de prévention demeurent ignorés. (…) Les données scientifiques disponibles permettent d’estimer que 8,5 % des cancers sont d’origine professionnelle. Cela représente entre 14 000 et 30 000 nouveaux cancers professionnels chaque année. Or le nombre total de cancers professionnels reconnus annuellement est inférieur à 3 000 et il s’agit en grande majorité de cancers dus à l’amiante. La mobilisation sur l’amiante masque manifestement un déficit majeur de prise en compte des autres cancers professionnels. ».

Ce déficit de reconnaissance des cancers professionnels s’explique en partie par la multiplication des restrictions pour la prise en compte de l’exposition aux agents chimiques dangereux et aux poussières qui sont les principaux responsables des épidémies de cancer dus au travail et auxquels sont inégalement exposés les travailleurs. Si 8,5% des cancers sont dus au travail, chez les ouvriers, ce sont 20% des cancers qui y sont liés selon la chercheuse Marine Cavet. Parmi les exposés à des agents chimiques dangereux, deux tiers sont des ouvriers. A titre d’exemple, 43% des travailleurs en maintenance, 32% dans le BTP, 31% dans la mécanique sont exposés à de multiples agents tous les jours.

De manière générale, le nombre de travailleurs exposés est en augmentation constante. L’enquête SUMER de 1994 pour la DARES a montré que plus d’un million de salariés du secteur privé étaient exposés à un produit chimique cancérogène, ils sont passés à 2,2 millions en 2010, soit 10% des salariés, auxquels il faut ajouter selon Marine Cavet, les 598 000 salariés exposés aux fumées de soudage, classées 2B par le CIRC et non classées par l’UE bien que le pouvoir cancérogène de ces fumées est relativement bien établi.

L’ensemble de ces données plaide pour que les fonds de prévention constitué par l’article 9 de ce Projet de loi puisse être orienté au bénéfice des travailleurs ayant été exposés à des agents chimiques dangereux ou à des poussières. C’est l’objet de cet amendement.

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5624

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3136 de Mme PONCET MONGE

présenté par

C
G  
Tombé

M. KERROUCHE


ARTICLE 9


Amendement 3136

Alinéa 3

Remplacer les mots

« au risque mentionnés au b »

par les mots

« aux risques mentionnés au b et au c »

Objet

L’article 9 propose que la commission des accidents du travail et des maladies professionnelles, qui comprend pour moitié des représentants des assurés sociaux et pour moitié des représentants des employeurs, se voit confier la gestion d'un fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle qu’il créé.

L’amendement propose que les orientations du fonds soient au bénéfice des travailleurs exposés au risque liées aux activités exercées en milieu hyperbare (b du 2° de l’article 4161-1 du code du travail), c’est à dire subaquatiques.

Le présent sous amendement propose d’étendre aux activités exercées en « températures extrêmes » (c du 2° de l’article 4161-1 du code du travail).

A partir de 200m de profondeur, la température de l’eau est en Méditerranée est de moins de 10 degrés et continue de chuter fortement, proportionnellement à la profondeur qui s’accroit. Il parait illogique de ne pas inclure l’ensemble des activités dont les conditions d’exercice se font par températures extrêmes.

C’est donc le sens de ce sous amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5646

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3136 de Mme PONCET MONGE

présenté par

C
G  
Tombé

M. CHANTREL


ARTICLE 9


Article 9

Amendement 3136

Alinéa 3

Remplacer les mots

« au risque mentionnés au b »

par les mots

« aux risques mentionnés au b et au c »

Objet

L’article 9 propose que la commission des accidents du travail et des maladies professionnelles, qui comprend pour moitié des représentants des assurés sociaux et pour moitié des représentants des employeurs, se voit confier la gestion d’un fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle qu’il créé.

 

L’amendement propose que les orientations du fonds soient au bénéfice des travailleurs exposés au risque liées aux activités exercées en milieu hyperbare (b du 2° de l’article 4161-1 du code du travail), c’est à dire subaquatiques.

 

Le présent sous amendement propose d’étendre aux activités exercées en « températures extrêmes » (c du 2° de l’article 4161-1 du code du travail).

 

A partir de 200m de profondeur, la température de l’eau est en Méditerranée est de moins de 10 degrés et continue de chuter fortement, proportionnellement à la profondeur qui s’accroit. Il parait illogique de ne pas inclure l’ensemble des activités dont les conditions d’exercice se font par températures extrêmes.

 

C’est donc le sens de ce sous amendement.

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5647

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3136 de Mme PONCET MONGE

présenté par

C
G  
Tombé

M. KANNER


ARTICLE 9


Alinéa 3

Remplacer les mots :

au risque mentionnés au b

par les mots:

aux risques mentionnés au b et au c

Objet

L’article 9 propose que la commission des accidents du travail et des maladies professionnelles, qui comprend pour moitié des représentants des assurés sociaux et pour moitié des représentants des employeurs, se voit confiée la gestion fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle qu’il créé.

L’amendement propose que les orientations du fonds soient au bénéfice des travailleurs exposés au risque liées aux activités exercées en milieu hyperbare (b du 2° de l’article 4161-1 du code du travail), c’est à dire subaquatiques.

Le présent sous amendement propose d’étendre aux activités exercées en « températures extrêmes » (c du 2° de l’article 4161-1 du code du travail).

A partir de 200m de profondeur, la température de l’eau est en Méditerranée est de moins de 10 degrés et continue de chuter fortement, proportionnellement à la profondeur qui s’accroit.

Il parait illogique de ne pas inclure l’ensemble des activités dont les conditions d’exercice se font par températures extrêmes.

C’est donc le sens de ce sous amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5648

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3136 de Mme PONCET MONGE

présenté par

C
G  
Tombé

Mme ROSSIGNOL


ARTICLE 9


Alinéa 3

Remplacer les mots :

au risque mentionnés au b

par les mots:

aux risques mentionnés au b et au c

Objet

L’article 9 propose que la commission des accidents du travail et des maladies professionnelles, qui comprend pour moitié des représentants des assurés sociaux et pour moitié des représentants des employeurs, se voit confiée la gestion fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle qu’il créé.

L’amendement propose que les orientations du fonds soient au bénéfice des travailleurs exposés au risque liées aux activités exercées en milieu hyperbare (b du 2° de l’article 4161-1 du code du travail), c’est à dire subaquatiques.

Le présent sous amendement propose d’étendre aux activités exercées en « températures extrêmes » (c du 2° de l’article 4161-1 du code du travail).

A partir de 200m de profondeur, la température de l’eau est en Méditerranée est de moins de 10 degrés et continue de chuter fortement, proportionnellement à la profondeur qui s’accroit.

Il parait illogique de ne pas inclure l’ensemble des activités dont les conditions d’exercice se font par températures extrêmes.

C’est donc le sens de ce sous amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5649

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3136 de Mme PONCET MONGE

présenté par

C
G  
Tombé

Mme MEUNIER


ARTICLE 9


Alinéa 3

Remplacer les mots :

au risque mentionnés au b

par les mots:

aux risques mentionnés au b et au c

Objet

L’article 9 propose que la commission des accidents du travail et des maladies professionnelles, qui comprend pour moitié des représentants des assurés sociaux et pour moitié des représentants des employeurs, se voit confiée la gestion fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle qu’il créé.

L’amendement propose que les orientations du fonds soient au bénéfice des travailleurs exposés au risque liées aux activités exercées en milieu hyperbare (b du 2° de l’article 4161-1 du code du travail), c’est à dire subaquatiques.

Le présent sous amendement propose d’étendre aux activités exercées en « températures extrêmes » (c du 2° de l’article 4161-1 du code du travail).

A partir de 200m de profondeur, la température de l’eau est en Méditerranée est de moins de 10 degrés et continue de chuter fortement, proportionnellement à la profondeur qui s’accroit.

Il parait illogique de ne pas inclure l’ensemble des activités dont les conditions d’exercice se font par températures extrêmes.

C’est donc le sens de ce sous amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5650

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3136 de Mme PONCET MONGE

présenté par

C
G  
Tombé

Mme ARTIGALAS


ARTICLE 9


Alinéa 3

Remplacer les mots :

au risque mentionnés au b

par les mots:

aux risques mentionnés au b et au c

Objet

L’article 9 propose que la commission des accidents du travail et des maladies professionnelles, qui comprend pour moitié des représentants des assurés sociaux et pour moitié des représentants des employeurs, se voit confiée la gestion fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle qu’il créé.

L’amendement propose que les orientations du fonds soient au bénéfice des travailleurs exposés au risque liées aux activités exercées en milieu hyperbare (b du 2° de l’article 4161-1 du code du travail), c’est à dire subaquatiques.

Le présent sous amendement propose d’étendre aux activités exercées en « températures extrêmes » (c du 2° de l’article 4161-1 du code du travail).

A partir de 200m de profondeur, la température de l’eau est en Méditerranée est de moins de 10 degrés et continue de chuter fortement, proportionnellement à la profondeur qui s’accroit.

Il parait illogique de ne pas inclure l’ensemble des activités dont les conditions d’exercice se font par températures extrêmes.

C’est donc le sens de ce sous amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5651

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3136 de Mme PONCET MONGE

présenté par

C
G  
Tombé

M. ASSOULINE


ARTICLE 9


Alinéa 3

Remplacer les mots :

au risque mentionnés au b

par les mots:

aux risques mentionnés au b et au c

Objet

L’article 9 propose que la commission des accidents du travail et des maladies professionnelles, qui comprend pour moitié des représentants des assurés sociaux et pour moitié des représentants des employeurs, se voit confiée la gestion fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle qu’il créé.

L’amendement propose que les orientations du fonds soient au bénéfice des travailleurs exposés au risque liées aux activités exercées en milieu hyperbare (b du 2° de l’article 4161-1 du code du travail), c’est à dire subaquatiques.

Le présent sous amendement propose d’étendre aux activités exercées en « températures extrêmes » (c du 2° de l’article 4161-1 du code du travail).

A partir de 200m de profondeur, la température de l’eau est en Méditerranée est de moins de 10 degrés et continue de chuter fortement, proportionnellement à la profondeur qui s’accroit.

Il parait illogique de ne pas inclure l’ensemble des activités dont les conditions d’exercice se font par températures extrêmes.

C’est donc le sens de ce sous amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5652

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3136 de Mme PONCET MONGE

présenté par

C
G  
Tombé

Mme LE HOUEROU


ARTICLE 9


Alinéa 3

Remplacer les mots :

au risque mentionnés au b

par les mots:

aux risques mentionnés au b et au c

Objet

L’article 9 propose que la commission des accidents du travail et des maladies professionnelles, qui comprend pour moitié des représentants des assurés sociaux et pour moitié des représentants des employeurs, se voit confiée la gestion fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle qu’il créé.

L’amendement propose que les orientations du fonds soient au bénéfice des travailleurs exposés au risque liées aux activités exercées en milieu hyperbare (b du 2° de l’article 4161-1 du code du travail), c’est à dire subaquatiques.

Le présent sous amendement propose d’étendre aux activités exercées en « températures extrêmes » (c du 2° de l’article 4161-1 du code du travail).

A partir de 200m de profondeur, la température de l’eau est en Méditerranée est de moins de 10 degrés et continue de chuter fortement, proportionnellement à la profondeur qui s’accroit.

Il parait illogique de ne pas inclure l’ensemble des activités dont les conditions d’exercice se font par températures extrêmes.

C’est donc le sens de ce sous amendement.

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5653

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3136 de Mme PONCET MONGE

présenté par

C
G  
Tombé

Mme FÉRET


ARTICLE 9


Alinéa 3

Remplacer les mots :

au risque mentionnés au b

par les mots:

aux risques mentionnés au b et au c

 

Objet

L’article 9 propose que la commission des accidents du travail et des maladies professionnelles, qui comprend pour moitié des représentants des assurés sociaux et pour moitié des représentants des employeurs, se voit confiée la gestion fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle qu’il créé.

L’amendement propose que les orientations du fonds soient au bénéfice des travailleurs exposés au risque liées aux activités exercées en milieu hyperbare (b du 2° de l’article 4161-1 du code du travail), c’est à dire subaquatiques.

Le présent sous amendement propose d’étendre aux activités exercées en « températures extrêmes » (c du 2° de l’article 4161-1 du code du travail).

A partir de 200m de profondeur, la température de l’eau est en Méditerranée est de moins de 10 degrés et continue de chuter fortement, proportionnellement à la profondeur qui s’accroit.

Il parait illogique de ne pas inclure l’ensemble des activités dont les conditions d’exercice se font par températures extrêmes.

C’est donc le sens de ce sous amendement.

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 5655

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3136 de Mme PONCET MONGE

présenté par

C
G  
Tombé

M. FICHET


ARTICLE 9


Alinéa 3

Remplacer les mots :

au risque mentionnés au b

par les mots:

aux risques mentionnés au b et au c.

Objet

L’article 9 propose que la commission des accidents du travail et des maladies professionnelles, qui comprend pour moitié des représentants des assurés sociaux et pour moitié des représentants des employeurs, se voit confiée la gestion fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle qu’il créé.

L’amendement propose que les orientations du fonds soient au bénéfice des travailleurs exposés au risque liées aux activités exercées en milieu hyperbare (b du 2° de l’article 4161-1 du code du travail), c’est à dire subaquatiques.

Le présent sous amendement propose d’étendre aux activités exercées en « températures extrêmes » (c du 2° de l’article 4161-1 du code du travail).

A partir de 200m de profondeur, la température de l’eau est en Méditerranée est de moins de 10 degrés et continue de chuter fortement, proportionnellement à la profondeur qui s’accroit.

Il parait illogique de ne pas inclure l’ensemble des activités dont les conditions d’exercice se font par températures extrêmes.

C’est donc le sens de ce sous amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 5656

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3136 de Mme PONCET MONGE

présenté par

C
G  
Tombé

M. FICHET


ARTICLE 9


Alinéa 3

Remplacer les mots :

au risque mentionnés au b

par les mots:

aux risques mentionnés au b et au c

Objet

L’article 9 propose que la commission des accidents du travail et des maladies professionnelles, qui comprend pour moitié des représentants des assurés sociaux et pour moitié des représentants des employeurs, se voit confiée la gestion fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle qu’il créé.

L’amendement propose que les orientations du fonds soient au bénéfice des travailleurs exposés au risque liées aux activités exercées en milieu hyperbare (b du 2° de l’article 4161-1 du code du travail), c’est à dire subaquatiques.

Le présent sous amendement propose d’étendre aux activités exercées en « températures extrêmes » (c du 2° de l’article 4161-1 du code du travail).

A partir de 200m de profondeur, la température de l’eau est en Méditerranée est de moins de 10 degrés et continue de chuter fortement, proportionnellement à la profondeur qui s’accroit.

Il parait illogique de ne pas inclure l’ensemble des activités dont les conditions d’exercice se font par températures extrêmes.

C’est donc le sens de ce sous amendement.

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 5657

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3136 de Mme PONCET MONGE

présenté par

C
G  
Tombé

Mme ESPAGNAC


ARTICLE 9


Alinéa 3

Remplacer les mots :

au risque mentionnés au b

par les mots:

aux risques mentionnés au b et au c

Objet

L’article 9 propose que la commission des accidents du travail et des maladies professionnelles, qui comprend pour moitié des représentants des assurés sociaux et pour moitié des représentants des employeurs, se voit confiée la gestion fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle qu’il créé.

L’amendement propose que les orientations du fonds soient au bénéfice des travailleurs exposés au risque liées aux activités exercées en milieu hyperbare (b du 2° de l’article 4161-1 du code du travail), c’est à dire subaquatiques.

Le présent sous amendement propose d’étendre aux activités exercées en « températures extrêmes » (c du 2° de l’article 4161-1 du code du travail).

A partir de 200m de profondeur, la température de l’eau est en Méditerranée est de moins de 10 degrés et continue de chuter fortement, proportionnellement à la profondeur qui s’accroit.

Il parait illogique de ne pas inclure l’ensemble des activités dont les conditions d’exercice se font par températures extrêmes.

C’est donc le sens de ce sous amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5658

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3136 de Mme PONCET MONGE

présenté par

C
G  
Tombé

Mme de LA GONTRIE


ARTICLE 9


Alinéa 3

Remplacer les mots :

au risque mentionnés au b

par les mots:

aux risques mentionnés au b et au c

Objet

L’article 9 propose que la commission des accidents du travail et des maladies professionnelles, qui comprend pour moitié des représentants des assurés sociaux et pour moitié des représentants des employeurs, se voit confiée la gestion fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle qu’il créé.

L’amendement propose que les orientations du fonds soient au bénéfice des travailleurs exposés au risque liées aux activités exercées en milieu hyperbare (b du 2° de l’article 4161-1 du code du travail), c’est à dire subaquatiques.

Le présent sous amendement propose d’étendre aux activités exercées en « températures extrêmes » (c du 2° de l’article 4161-1 du code du travail).

A partir de 200m de profondeur, la température de l’eau est en Méditerranée est de moins de 10 degrés et continue de chuter fortement, proportionnellement à la profondeur qui s’accroit.

Il parait illogique de ne pas inclure l’ensemble des activités dont les conditions d’exercice se font par températures extrêmes.

C’est donc le sens de ce sous amendement.

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5659

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3136 de Mme PONCET MONGE

présenté par

C
G  
Tombé

M. Joël BIGOT


ARTICLE 9


Alinéa 3

Remplacer les mots :

au risque mentionnés au b

par les mots:

aux risques mentionnés au b et au c

Objet

L’article 9 propose que la commission des accidents du travail et des maladies professionnelles, qui comprend pour moitié des représentants des assurés sociaux et pour moitié des représentants des employeurs, se voit confiée la gestion fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle qu’il créé.

L’amendement propose que les orientations du fonds soient au bénéfice des travailleurs exposés au risque liées aux activités exercées en milieu hyperbare (b du 2° de l’article 4161-1 du code du travail), c’est à dire subaquatiques.

Le présent sous amendement propose d’étendre aux activités exercées en « températures extrêmes » (c du 2° de l’article 4161-1 du code du travail).

A partir de 200m de profondeur, la température de l’eau est en Méditerranée est de moins de 10 degrés et continue de chuter fortement, proportionnellement à la profondeur qui s’accroit.

Il parait illogique de ne pas inclure l’ensemble des activités dont les conditions d’exercice se font par températures extrêmes.

C’est donc le sens de ce sous amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5660

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3136 de Mme PONCET MONGE

présenté par

C
G  
Tombé

Mme BLATRIX CONTAT


ARTICLE 9


Alinéa 3

Remplacer les mots :

au risque mentionnés au b

par les mots:

aux risques mentionnés au b et au c

Objet

L’article 9 propose que la commission des accidents du travail et des maladies professionnelles, qui comprend pour moitié des représentants des assurés sociaux et pour moitié des représentants des employeurs, se voit confiée la gestion fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle qu’il créé.

L’amendement propose que les orientations du fonds soient au bénéfice des travailleurs exposés au risque liées aux activités exercées en milieu hyperbare (b du 2° de l’article 4161-1 du code du travail), c’est à dire subaquatiques.

Le présent sous amendement propose d’étendre aux activités exercées en « températures extrêmes » (c du 2° de l’article 4161-1 du code du travail).

A partir de 200m de profondeur, la température de l’eau est en Méditerranée est de moins de 10 degrés et continue de chuter fortement, proportionnellement à la profondeur qui s’accroit.

Il parait illogique de ne pas inclure l’ensemble des activités dont les conditions d’exercice se font par températures extrêmes.

C’est donc le sens de ce sous amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5661

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3136 de Mme PONCET MONGE

présenté par

C
G  
Tombé

Mme VAN HEGHE


ARTICLE 9


Alinéa 3

Remplacer les mots :

au risque mentionnés au b

par les mots:

aux risques mentionnés au b et au c

Objet

L’article 9 propose que la commission des accidents du travail et des maladies professionnelles, qui comprend pour moitié des représentants des assurés sociaux et pour moitié des représentants des employeurs, se voit confiée la gestion fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle qu’il créé.

L’amendement propose que les orientations du fonds soient au bénéfice des travailleurs exposés au risque liées aux activités exercées en milieu hyperbare (b du 2° de l’article 4161-1 du code du travail), c’est à dire subaquatiques.

Le présent sous amendement propose d’étendre aux activités exercées en « températures extrêmes » (c du 2° de l’article 4161-1 du code du travail).

A partir de 200m de profondeur, la température de l’eau est en Méditerranée est de moins de 10 degrés et continue de chuter fortement, proportionnellement à la profondeur qui s’accroit.

Il parait illogique de ne pas inclure l’ensemble des activités dont les conditions d’exercice se font par températures extrêmes.

C’est donc le sens de ce sous amendement.

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5662

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3136 de Mme PONCET MONGE

présenté par

C
G  
Tombé

M. CARDON


ARTICLE 9


Alinéa 3

Remplacer les mots :

au risque mentionnés au b

par les mots:

aux risques mentionnés au b et au c

Objet

L’article 9 propose que la commission des accidents du travail et des maladies professionnelles, qui comprend pour moitié des représentants des assurés sociaux et pour moitié des représentants des employeurs, se voit confiée la gestion fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle qu’il créé.

L’amendement propose que les orientations du fonds soient au bénéfice des travailleurs exposés au risque liées aux activités exercées en milieu hyperbare (b du 2° de l’article 4161-1 du code du travail), c’est à dire subaquatiques.

Le présent sous amendement propose d’étendre aux activités exercées en « températures extrêmes » (c du 2° de l’article 4161-1 du code du travail).

A partir de 200m de profondeur, la température de l’eau est en Méditerranée est de moins de 10 degrés et continue de chuter fortement, proportionnellement à la profondeur qui s’accroit.

Il parait illogique de ne pas inclure l’ensemble des activités dont les conditions d’exercice se font par températures extrêmes.

C’est donc le sens de ce sous amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5663

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3136 de Mme PONCET MONGE

présenté par

C
G  
Tombé

M. ASSOULINE


ARTICLE 9


Alinéa 3

Remplacer les mots :

au risque mentionnés au b

par les mots:

aux risques mentionnés au b et au c

 

Objet

L’article 9 propose que la commission des accidents du travail et des maladies professionnelles, qui comprend pour moitié des représentants des assurés sociaux et pour moitié des représentants des employeurs, se voit confiée la gestion fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle qu’il créé.

L’amendement propose que les orientations du fonds soient au bénéfice des travailleurs exposés au risque liées aux activités exercées en milieu hyperbare (b du 2° de l’article 4161-1 du code du travail), c’est à dire subaquatiques.

Le présent sous amendement propose d’étendre aux activités exercées en « températures extrêmes » (c du 2° de l’article 4161-1 du code du travail).

A partir de 200m de profondeur, la température de l’eau est en Méditerranée est de moins de 10 degrés et continue de chuter fortement, proportionnellement à la profondeur qui s’accroit.

Il parait illogique de ne pas inclure l’ensemble des activités dont les conditions d’exercice se font par températures extrêmes.

C’est donc le sens de ce sous amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5664

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3136 de Mme PONCET MONGE

présenté par

C
G  
Tombé

Mme PRÉVILLE


ARTICLE 9


Alinéa 3

Remplacer les mots :

au risque mentionnés au b

par les mots:

aux risques mentionnés au b et au c

Objet

L’article 9 propose que la commission des accidents du travail et des maladies professionnelles, qui comprend pour moitié des représentants des assurés sociaux et pour moitié des représentants des employeurs, se voit confiée la gestion fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle qu’il créé.

L’amendement propose que les orientations du fonds soient au bénéfice des travailleurs exposés au risque liées aux activités exercées en milieu hyperbare (b du 2° de l’article 4161-1 du code du travail), c’est à dire subaquatiques.

Le présent sous amendement propose d’étendre aux activités exercées en « températures extrêmes » (c du 2° de l’article 4161-1 du code du travail).

A partir de 200m de profondeur, la température de l’eau est en Méditerranée est de moins de 10 degrés et continue de chuter fortement, proportionnellement à la profondeur qui s’accroit.

Il parait illogique de ne pas inclure l’ensemble des activités dont les conditions d’exercice se font par températures extrêmes.

C’est donc le sens de ce sous amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5665

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3136 de Mme PONCET MONGE

présenté par

C
G  
Tombé

M. Joël BIGOT


ARTICLE 9


Alinéa 3

Remplacer les mots :

au risque mentionnés au b

par les mots:

aux risques mentionnés au b et au c

Objet

L’article 9 propose que la commission des accidents du travail et des maladies professionnelles, qui comprend pour moitié des représentants des assurés sociaux et pour moitié des représentants des employeurs, se voit confiée la gestion fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle qu’il créé.

L’amendement propose que les orientations du fonds soient au bénéfice des travailleurs exposés au risque liées aux activités exercées en milieu hyperbare (b du 2° de l’article 4161-1 du code du travail), c’est à dire subaquatiques.

Le présent sous amendement propose d’étendre aux activités exercées en « températures extrêmes » (c du 2° de l’article 4161-1 du code du travail).

A partir de 200m de profondeur, la température de l’eau est en Méditerranée est de moins de 10 degrés et continue de chuter fortement, proportionnellement à la profondeur qui s’accroit.

Il parait illogique de ne pas inclure l’ensemble des activités dont les conditions d’exercice se font par températures extrêmes.

C’est donc le sens de ce sous amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3136 de Mme PONCET MONGE

présenté par

C
G  
Tombé

M. BOURGI


ARTICLE 9


Alinéa 3

Remplacer les mots :

au risque mentionnés au b

par les mots:

aux risques mentionnés au b et au c

Objet

L’article 9 propose que la commission des accidents du travail et des maladies professionnelles, qui comprend pour moitié des représentants des assurés sociaux et pour moitié des représentants des employeurs, se voit confiée la gestion fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle qu’il créé.

L’amendement propose que les orientations du fonds soient au bénéfice des travailleurs exposés au risque liées aux activités exercées en milieu hyperbare (b du 2° de l’article 4161-1 du code du travail), c’est à dire subaquatiques.

Le présent sous amendement propose d’étendre aux activités exercées en « températures extrêmes » (c du 2° de l’article 4161-1 du code du travail).

A partir de 200m de profondeur, la température de l’eau est en Méditerranée est de moins de 10 degrés et continue de chuter fortement, proportionnellement à la profondeur qui s’accroit.

Il parait illogique de ne pas inclure l’ensemble des activités dont les conditions d’exercice se font par températures extrêmes.

C’est donc le sens de ce sous amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5667

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3136 de Mme PONCET MONGE

présenté par

C
G  
Tombé

Mme POUMIROL


ARTICLE 9


Alinéa 3

Remplacer les mots :

au risque mentionnés au b

par les mots:

aux risques mentionnés au b et au c

Objet

L’article 9 propose que la commission des accidents du travail et des maladies professionnelles, qui comprend pour moitié des représentants des assurés sociaux et pour moitié des représentants des employeurs, se voit confiée la gestion fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle qu’il créé.

L’amendement propose que les orientations du fonds soient au bénéfice des travailleurs exposés au risque liées aux activités exercées en milieu hyperbare (b du 2° de l’article 4161-1 du code du travail), c’est à dire subaquatiques.

Le présent sous amendement propose d’étendre aux activités exercées en « températures extrêmes » (c du 2° de l’article 4161-1 du code du travail).

A partir de 200m de profondeur, la température de l’eau est en Méditerranée est de moins de 10 degrés et continue de chuter fortement, proportionnellement à la profondeur qui s’accroit.

Il parait illogique de ne pas inclure l’ensemble des activités dont les conditions d’exercice se font par températures extrêmes.

C’est donc le sens de ce sous amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5668

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3136 de Mme PONCET MONGE

présenté par

C
G  
Tombé

Mme LUBIN


ARTICLE 9


Alinéa 3

Remplacer les mots :

au risque mentionnés au b

par les mots:

aux risques mentionnés au b et au c

Objet

L’article 9 propose que la commission des accidents du travail et des maladies professionnelles, qui comprend pour moitié des représentants des assurés sociaux et pour moitié des représentants des employeurs, se voit confiée la gestion fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle qu’il créé.

L’amendement propose que les orientations du fonds soient au bénéfice des travailleurs exposés au risque liées aux activités exercées en milieu hyperbare (b du 2° de l’article 4161-1 du code du travail), c’est à dire subaquatiques.

Le présent sous amendement propose d’étendre aux activités exercées en « températures extrêmes » (c du 2° de l’article 4161-1 du code du travail).

A partir de 200m de profondeur, la température de l’eau est en Méditerranée est de moins de 10 degrés et continue de chuter fortement, proportionnellement à la profondeur qui s’accroit.

Il parait illogique de ne pas inclure l’ensemble des activités dont les conditions d’exercice se font par températures extrêmes.

C’est donc le sens de ce sous amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5669

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3136 de Mme PONCET MONGE

présenté par

C
G  
Tombé

M. PLA


ARTICLE 9


Alinéa 3

Remplacer les mots :

au risque mentionnés au b

par les mots:

aux risques mentionnés au b et au c

Objet

L’article 9 propose que la commission des accidents du travail et des maladies professionnelles, qui comprend pour moitié des représentants des assurés sociaux et pour moitié des représentants des employeurs, se voit confiée la gestion fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle qu’il créé.

L’amendement propose que les orientations du fonds soient au bénéfice des travailleurs exposés au risque liées aux activités exercées en milieu hyperbare (b du 2° de l’article 4161-1 du code du travail), c’est à dire subaquatiques.

Le présent sous amendement propose d’étendre aux activités exercées en « températures extrêmes » (c du 2° de l’article 4161-1 du code du travail).

A partir de 200m de profondeur, la température de l’eau est en Méditerranée est de moins de 10 degrés et continue de chuter fortement, proportionnellement à la profondeur qui s’accroit.

Il parait illogique de ne pas inclure l’ensemble des activités dont les conditions d’exercice se font par températures extrêmes.

C’est donc le sens de ce sous amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5696

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3136 de Mme PONCET MONGE

présenté par

C
G  
Tombé

M. ÉBLÉ


ARTICLE 9


Alinéa 3

Remplacer les mots :

au risque mentionnés au b

par les mots:

aux risques mentionnés au b et au c

Objet

L’article 9 propose que la commission des accidents du travail et des maladies professionnelles, qui comprend pour moitié des représentants des assurés sociaux et pour moitié des représentants des employeurs, se voit confiée la gestion fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle qu’il créé.

L’amendement propose que les orientations du fonds soient au bénéfice des travailleurs exposés au risque liées aux activités exercées en milieu hyperbare (b du 2° de l’article 4161-1 du code du travail), c’est à dire subaquatiques.

Le présent sous amendement propose d’étendre aux activités exercées en « températures extrêmes » (c du 2° de l’article 4161-1 du code du travail).

A partir de 200m de profondeur, la température de l’eau est en Méditerranée est de moins de 10 degrés et continue de chuter fortement, proportionnellement à la profondeur qui s’accroit.

Il parait illogique de ne pas inclure l’ensemble des activités dont les conditions d’exercice se font par températures extrêmes.

C’est donc le sens de ce sous amendement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3922 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 9


Alinéa 7

Supprimer les mots :

1° du

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent étendre les bénéficiaires potentiels du nouveau fonds d'usure professionnelle à l'ensemble des salariés exposés aux facteurs de pénibilité.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.
La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3308

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


I. - Alinéas 3, première phrase, 53, 58 et 60

Remplacer les mots :

l’usure professionnelle

par les mots :

la pénibilité au travail

II. - Alinéa 61

Remplacer les mots : 

d’usure professionnelle

par les mots :

de pénibilité au travail

 

Objet

Cet amendement vise à rétablir la notion de pénibilité dans la loi en général, et dans les codes de la sécurité sociale et du travail en particulier.

L’ordonnance n° 2017-1389 du 23 septembre 2017 a supprimé le terme « pénibilité » du Code du travail, le remplaçant par les mots « facteurs de risques professionnels ». Dans la continuité des réserves émises par les organisations patronales autour du fait d’associer travail et pénibilité, Emmanuel Macron, lors d’une concertation citoyenne à l’occasion de son précédent projet de réforme du système de retraites, avait déclaré qu’il “n’ador[ait] pas le mot pénibilité, car ça donne le sentiment que le travail serait pénible”.

Ce glissement sémantique n’est pas neutre. Quand on parle d’usure, ce sont les corps qui s’usent par le travail, ce qui renvoie à une réalité individuelle constatée donc curative, alors que quand on parle de pénibilité, ce sont les métiers qui sont pénibles, d’où une présomption « d’usure » et une notion préventive.

Il est d’autant plus urgent que soit réhabilitée cette notion et ne pas l’escamoter dans le contexte d’amoindrissements de la protection de la santé des salariés et de sécurisation de leurs parcours professionnels et des conséquences négatives de la suppression des CHSCT

En témoigne la suppression par le gouvernement d’Emmanuel Macron en 2017 de quatre facteurs de pénibilité du dispositif du compte professionnel de prévention (manutentions manuelles de charges, postures pénibles, vibrations mécaniques et risques chimiques). De plus, de nombreux chercheurs et chercheuses en santé au travail déplorent la prévalence de la réparation de la santé au détriment de politiques ambitieuses de prévention.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2971 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. CARDON, Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER, ROSSIGNOL et BLATRIX CONTAT, MM. BOURGI et DURAIN, Mme CONWAY-MOURET, MM. CHANTREL et LECONTE, Mme MONIER, MM. TEMAL, TISSOT, LUREL, FÉRAUD et MARIE, Mme de LA GONTRIE, MM. RAYNAL et STANZIONE, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN, ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mme VAN HEGHE, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 9


I. –  Alinéa 3, première phrase, et alinéas 53, 58 et 60

Remplacer les mots :

l'usure professionnelle

par les mots :

la pénibilité

II. – Alinéa 61

Remplacer les mots :

d'usure professionnelle

par les mots :

de la pénibilité

Objet

Cet amendement vise à réinstaurer la notion de pénibilité dans la loi en général, et dans les codes de la sécurité  sociale et du travail en particulier.
L’ ordonnance n 2017 1389 du 23 septembre 2017 a supprimé le terme « pénibilité » du Code du travail, le remplaçant par les mots « facteurs de risques professionnels »
Dans la continuité des réserves émises par les organisations patronales autour du fait d’associer travail et pénibilité, Emmanuel Macron avait déclaré qu'il "n'ador[ait] pas le mot pénibilité, car ça donne le sentiment que le travail serait pénible".

Il est d'autant plus urgent que soit réhabilitée cette définition dans un contexte de réduction du champ de la pénibilité, d'amoindrissement de la protection de la santé des salariés et de sécurisation et sécurisation de leurs parcours professionnels. En témoigne la suppression par le gouvernement d'Emmanuel Macron en 2017 de quatre facteurs de pénibilité du dispositif du compte professionnel de prévention (manutentions manuelles de charges, de postures pénibles, vibrations mécaniques et risques chimiques).



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3801

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 9


I. – Alinéa 3, première phrase, alinéas 53, 58 et 60

Remplacer les mots :

l’usure professionnelle

par les mots : 

la pénibilité

II. – Alinéa 61

Remplacer les mots :

d’usure professionnelle

par les mots :

de la pénibilité

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent remplacer toutes les occurrences au mot « usure » par le mot « pénibilité » pour nous le plus adéquat pour décrire les modalités de travail de certaines activités qui nécessitent en contrepartie d’avoir des droits d’accès à la retraite facilités.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4692

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes Mélanie VOGEL et PONCET MONGE, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Alinéa 60

Après le mot :

professionnelle

insérer les mots :

, y compris celle causée ou renforcée par les effets du changement climatique,

Objet

Cet amendement vise à clarifier que les actions de sensibilisation et de prévention de l’usure professionnelle qui seront financées par le fonds pour la prévention de l’usure professionnelle pourront aussi être utilisées pour mener des actions de sensibilisation et de prévention sur les effets d’usure causés ou renforcés par les effets des changements climatiques.

En effet, les conséquences des changements climatiques sur le monde du travail sont irréfutables et vont malheureusement encore gagner en ampleur dans le futur. Dans un rapport exhaustif de 2018, l’Agence nationale de la sécurité sociale (Anses) a identifié trois principaux facteurs augmentant les risques professionnels : la hausse des températures, l’évolution de l’environnement biologique et chimique, la modification de la fréquence et de l’intensité de certains aléas climatiques.

Parmi ces aléas climatiques figurent notamment les canicules, phénomènes observés avec une fréquence et une intensité croissante en France. Alors que la Confédération européenne des syndicats rappelle que la température optimale au travail se situe entre 16 et 24 ° C en fonction des activités, les phénomènes de température extrêmes renforcent la pénibilité du travail et contribuent à l’usure professionnelle.

De plus, les conséquences du changement climatique ne sont pas seulement dangereuses pour les travailleurs et travailleuses, mais entraînent également des conséquences néfastes pour l’ensemble de l’activité économique. Une étude scientifique publiée dans le journal scientifique “The Lancet” en 2017, année avec un été particulièrement chaud, a démontré que la chaleur a fait perdre 153 milliards d’heures de travail à travers le monde. Cette perte était 60 % plus élevée que ce qui a été observé pour l’année 2000, ce qui indique que la productivité au travail souffre des impacts des changements climatiques.

À ce jour, le code du travail ne tient pas compte des impacts du changement climatique sur les activités professionnelles. Cet amendement vise à y intégrer un des impacts avec l’objectif d’en améliorer la prise en compte et de réduire la pénibilité au travail. Ceci est d’autant plus important pour contrebalancer la mesure prévue à l’article 7 par le Gouvernement de reporter une nouvelle fois l’âge légal de départ à la retraite, ce qui expose les Françaises et Français mécanisme encore plus aux risques professionnels et à l’usure au travail – y compris ceux causés par les changements climatiques.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 425

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. BENARROCHE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


I. – Alinéa 3, seconde phrase

Remplacer les mots :

fixé chaque année par arrêté

par les mots :

déterminé chaque année par la commission des accidents du travail et des maladies professionnelles et approuvé par arrêté

II. – Alinéa 10

Remplacer les mots

précisés par décret en Conseil d'État

par les mots :

déterminés par la commission mentionnée à l’article L 221-5

Objet

La commission des accidents du travail/maladies professionnelles (AT/MP) est gouvernée paritairement et le financement de la branche s’appuie sur la cotisation des employeurs uniquement, cela étant issu du compromis social historique et fondateur de 1898 de la branche ATMP entre les partenaires sociaux et l’État. Les partenaires sociaux, en lien avec la direction des risques professionnels sont garants de l’équilibre financier de la branche par les actions menées en matière de prévention et de réparation. C’est grâce à cette gouvernance paritaire que la branche assure ses missions et son équilibre financier. C’est pourquoi l’amendement prévoit de laisser prioritairement la main à celle-ci pour proposer le montant de la dotation.

L’amendement, travaillé avec la CFDT, prévoit également que les modalités de fonctionnement du fonds et les conditions dans lesquelles il finance les actions prévues sont déterminées par les partenaires sociaux siégeant à la CATMP. La branche ATMP étant financeur du fonds de prévention de l’usure professionnelle via une partie de ses excédents, il appartient aux partenaires sociaux de déterminer les financements accordés en lien avec les politiques de prévention primaire, de désinsertion professionnelle et de maintien en emploi.

Amendements rédigé à partir des travaux de la CFDT






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2364 rect.

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. CANÉVET, Mmes MORIN-DESAILLY et BILLON et MM. DUFFOURG, DELCROS et DÉTRAIGNE


ARTICLE 9


I. – Alinéa 3, seconde phrase

Remplacer les mots :

fixé chaque année par arrêté

par les mots :

déterminé chaque année par la commission des accidents du travail et des maladies professionnelles et approuvé par arrêté

II. – Alinéa 10

Remplacer le mot :

précisés

par les mots :

déterminés par la commission mentionnée à l’article L. 221-5 et approuvés

Objet

Cet amendement prévoit de laisser prioritairement la main à la branche Accidents du travail et maladies professionnelles (ATMP) du régime général, pour proposer le montant de sa dotation

Cet amendement prévoit également que le fonctionnement du fonds de prévention de l'usure professionnelle et les conditions dans lesquelles il finance les actions prévues, soient déterminées par les partenaires sociaux siégeant à la CATMP.

La branche ATMP étant financeur de ce fonds, il est légitime que les partenaires sociaux déterminent les financements accordés en lien avec les politiques de prévention primaire, de désertion professionnelle et de maintien en emploi.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2638 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 9


I. – Alinéa 3, seconde phrase

Remplacer les mots :

fixé chaque année par arrêté

par les mots :

déterminé chaque année par la commission des accidents du travail et des maladies professionnelles et approuvé par arrêté

II. – Alinéa 10

Remplacer le mot :

précisés

par les mots :

déterminés par la commission mentionnée à l’article L. 221-5 et approuvés

Objet

La commission ATMP est gouvernée paritairement et le financement de la branche s’appuie sur la cotisation des employeurs uniquement, cela étant issu du compromis social historique et fondateur de 1898 de la branche ATMP entre les partenaires sociaux et l’Etat. Les partenaires sociaux, en lien avec la direction des risques professionnels sont garants de l’équilibre financier de la branche par les actions menées en matière de prévention et de réparation. C’est grâce à cette gouvernance paritaire que la branche assure ses missions et son équilibre financier. C’est pourquoi l’amendement prévoit de laisser prioritairement la main à celle-ci pour proposer le montant de la dotation.

L’amendement prévoit également que les modalités de fonctionnement du fonds et les conditions dans lesquelles il finance les actions prévues sont déterminées par les partenaires sociaux siégeant à la CATMP. La branche ATMP étant financeur du fonds de prévention de l’usure professionnelle via une partie de ses excédents, il appartient aux partenaires sociaux de déterminer les financements accordés en lien avec les politiques de prévention primaire, de désinsertion professionnelle et de maintien en emploi.

Amendement proposé par la CFDT



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3372

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


I. – Alinéa 3, seconde phrase

Remplacer les mots :

fixé chaque année par arrêté

par les mots :

déterminé chaque année par la commission des accidents du travail et des maladies professionnelles et approuvé par arrêté

II. – Alinéa 10

Remplacer le mot :

précisés

par les mots :

déterminés par la commission mentionnée à l’article L. 221-5 et approuvés

Objet

Cet amendement, travaillé avec la CFDT, prévoit, dans un premier temps, de laisser prioritairement la main à la commission ATMP pour proposer le montant de la dotation du futur fonds d'investissement dans la prévention de l'usure professionnelle.

La commission ATMP est gouvernée paritairement et le financement de la branche s’appuie sur la cotisation des employeurs uniquement, cela étant issu du compromis social historique et fondateur de 1898 de la branche ATMP entre les partenaires sociaux et l’Etat. Les partenaires sociaux, en lien avec la direction des risques professionnels sont garants de l’équilibre financier de la branche par les actions menées en matière de prévention et de réparation. C’est grâce à cette gouvernance paritaire que la branche assure ses missions et son équilibre financier.

Par ailleurs, l’amendement prévoit que les modalités de fonctionnement du fonds et les conditions dans lesquelles il finance les actions prévues sont déterminées par les partenaires sociaux siégeant à la commission ATMP. La branche ATMP étant financeur du fonds de prévention de l’usure professionnelle via une partie de ses excédents, il appartient aux partenaires sociaux de déterminer les financements accordés en lien avec les politiques de prévention primaire, de désinsertion professionnelle et de maintien en emploi.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3827

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 9


I. – Alinéa 3, seconde phrase

Remplacer les mots :

fixé chaque année par arrêté

par les mots :

déterminé chaque année par la commission des accidents du travail et des maladies professionnelles et approuvé par arrêté

II. – Alinéa 10

Remplacer le mot :

précisés

par les mots :

déterminés par la commission mentionnée à l’article L. 221-5 et approuvés

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent renforcer le paritarisme dans la gouvernance du mal-nommé fonds de prévention de l’usure professionnelle.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3319

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Alinéa 3, seconde phrase

Compléter cette phrase par les mots :

après avis de ladite commission des accidents du travail et des maladies professionnelles

Objet

Le présent amendement vise à associer les partenaires sociaux à la définition des moyens alloués à ce fonds de prévention de la pénibilité.

La Commission des accidents du travail/maladies professionnelles est parfaitement paritaire, avec 5 membres représentant les employeurs et 5 membres représentant les salariés (plus autant de suppléants). Elle se réunit 10 fois par an.

Afin de répondre véritablement aux enjeux, au plus proche du terrain, les organisations syndicales et patronales doivent jouer un rôle primordial dans le choix des montants alloués par ce fonds. 

La commission des accidents du travail/maladies professionnelles peut alors rendre un avis au gouvernement chaque année, afin d’informer, d’indiquer, et flécher le montant nécessaire au fonds pour répondre au plus près de la réalité du travail.

Il s’agit ici de réinvestir les corps intermédiaires, notamment les syndicats de salariés, non écoutés lors du quinquennat précédent. Le président Macron parlait alors d’une « forme de dialogue social nouvelle » pour ce nouveau mandat. Voici une proposition visant ainsi associer les partenaires sociaux.

 






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3796

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 9


Alinéa 3, seconde phrase

Compléter cette phrase par les mots :

, après concertation avec les organisations syndicales représentatives

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent, par cet amendement de repli, conditionner le décret concernant le montant du futur Fonds professionnel de prévention à une concertation préalable avec les organisations syndicales représentatives.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5580

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3796 de Mme ASSASSI

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme PONCET MONGE


ARTICLE 9


Amendement 3796, alinéa 3

Remplacer le mot : 

concertation” 

Par le mot : 

négociation

Objet

L’amendement de nos collègues du groupe CRCE est le bienvenu. Il vise à conditionner le décret concernant le montant de la dotation de la branche Accidents du travail et maladies professionnelles du régime général au futur Fonds professionnel de prévention à une concertation préalable avec les organisations syndicales représentatives.

Nous proposons de renforcer cet amendement en remplaçant cette concertation par une négociation.

Hubert Touzard, professeur émérite de psychologie sociale explique : « L’étymologie du terme « concertation » nous éclaire sur l’objectif visé : concertation vient du vieux mot « concert », accord de personnes qui poursuivent un même but ; « se concerter : s’entendre pour agir de concert ». Ce qui apparaît au cœur de la définition c’est donc bien l’action collective en vue d’un accord, d’un but commun ».

Quant à la négociation, selon ce même auteur : « A la différence de la concertation, le conflit est à la source de la négociation et le pouvoir des acteurs fait partie intégrante des processus en jeu dans l’élaboration d’une solution. Même s’ils ne sont pas radicalement opposés les objectifs, les intérêts des uns et des autres sont très différents et ce sont ces différences qui créent le conflit ».

Or, nous nous trouvons dans un véritable conflit social, un combat de classe, où les partenaires sociaux ne sont pas écoutés. Alors même que pour une partie d’entre eux, ils représentent les travailleuses et les travailleurs que cette réforme va impacter. Le fonds est une des mesures d’atténuation de la brutalité de la réforme. Elle ne suffit pas. Et, a minima, il s’agirait que les partenaires sociaux soient pleinement intégrés à cette mesure…






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5581

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3796 de Mme ASSASSI

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Amendement 3796, alinéa 3

Remplacer le mot : 

concertation” 

Par le mot : 

négociation

Objet

L’amendement de nos collègues du groupe CRCE est le bienvenu. Il vise à conditionner le décret concernant le montant de la dotation de la branche Accidents du travail et maladies professionnelles du régime général au futur Fonds professionnel de prévention à une concertation préalable avec les organisations syndicales représentatives.

Nous proposons de renforcer cet amendement en remplaçant cette concertation par une négociation.

Hubert Touzard, professeur émérite de psychologie sociale explique : « L’étymologie du terme « concertation » nous éclaire sur l’objectif visé : concertation vient du vieux mot « concert », accord de personnes qui poursuivent un même but ; « se concerter : s’entendre pour agir de concert ». Ce qui apparaît au cœur de la définition c’est donc bien l’action collective en vue d’un accord, d’un but commun ».

Quant à la négociation, selon ce même auteur : « A la différence de la concertation, le conflit est à la source de la négociation et le pouvoir des acteurs fait partie intégrante des processus en jeu dans l’élaboration d’une solution. Même s’ils ne sont pas radicalement opposés les objectifs, les intérêts des uns et des autres sont très différents et ce sont ces différences qui créent le conflit ».

Or, nous nous trouvons dans un véritable conflit social, un combat de classe, où les partenaires sociaux ne sont pas écoutés. Alors même que pour une partie d’entre eux, ils représentent les travailleuses et les travailleurs que cette réforme va impacter. Le fonds est une des mesures d’atténuation de la brutalité de la réforme. Elle ne suffit pas. Et, a minima, il s’agirait que les partenaires sociaux soient pleinement intégrés à cette mesure…






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3524

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Alinéa 3

Après cet alinéa

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« Les actions financées par le fonds relèvent au moins, pour la moitié de leur montant, d’actions de prévention primaire, définies comme des mesures consistant à combattre le risque à sa source et centrées sur le travail et son organisation, renvoyant à une prévention collective des risques.

Objet

Le présent amendement vise à prioriser les actions en faveur de la prévention primaire. Les actions de prévention au travail souffrent d’une méconnaissance de la part de nombreux employeurs. Il en résulte dans certains cas une défaillance dans l’organisation générale de la prévention, parfois jugée optionnelle, et l’absence de mesures particulières adaptées aux situations vécues par les salariés.

Le rapport de la Cour des comptes pour améliorer l'efficacité des politiques publiques en matière de prévention des risques professionnels met en lumière les défauts de l’action publique dans le champ de la santé au travail. Selon ce même rapport, les actions de prévention ne font pas partie du quotidien de tous les salariés et de nombreuses entreprises reconnaissent ne pas être impliquées.

De plus, depuis 2013 la fréquence des accidents du travail ne diminue plus, et le risque des maladies professionnelles reste stable.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2427

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. SALMON, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et M. PARIGI


ARTICLE 9


Alinéa 4

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Les actions financées par le fonds relèvent au moins, pour la moitié de leur montant, d’actions de prévention primaire, définies comme des mesures consistant à combattre le risque à sa source et centrées sur le travail et son organisation, renvoyant à une prévention collective des risques.

Objet

Le présent amendement vise à prioriser les actions en faveur de la prévention primaire. Les actions de prévention au travail souffrent d’une méconnaissance de la part de nombreux employeurs. Il en résulte dans certains cas une défaillance dans l’organisation générale de la prévention, parfois jugée optionnelle, et l’absence de mesures particulières adaptées aux situations vécues par les salariés. 

Le rapport de la Cour des comptes pour améliorer l'efficacité des politiques publiques en matière de prévention des risques professionnels met en lumière les défauts de l’action publique dans le champ de la santé au travail. Selon ce même rapport, les actions de prévention ne font pas partie du quotidien de tous les salariés et de nombreuses entreprises reconnaissent ne pas être impliquées. 

De plus, depuis 2013 la fréquence des accidents du travail ne diminue plus, et le risque de maladies professionnelles reste stable.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2133

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Favorable
Adopté - vote unique

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 9


Alinéa 5, première phrase

Remplacer le mot :

ressources

par le mot :

financements

Objet

Rédactionnel.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3113 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. ASSOULINE, Mme de LA GONTRIE, MM. CHANTREL, MAGNER, FÉRAUD, CARDON et MARIE, Mmes MONIER et Sylvie ROBERT, MM. PLA et STANZIONE et Mmes LE HOUEROU, MEUNIER et BRIQUET


ARTICLE 9


Alinéa 5, première phrase

Compléter cette phrase par les mots :

et du Comité national consultatif des personnes handicapées

Objet

Le présent amendement vise à ce qu’en complément du Conseil d’Orientation des conditions de travail, le Comité National Consultatif des personnes handicapées puisse également donner un avis. Comme dans le reste de cette réforme injuste, les personnes en situation de Handicap sont les grandes oubliées et il est nécessaire que le Comité puisse donner un avis.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3872 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 9


Alinéa 5, première phrase

Compléter cette phrase par les mots :

et du Comité national consultatif des personnes handicapées

Objet

Les membres du groupe CRCE, par cet amendement, visent à prévoir la consultation du Comité national consultatif des personnes handicapées sur les orientations stratégiques du fonds d'investissement dans la prévention de l'usure professionnelle dans un délai de 6 mois suivant la promulgation de la présente loi.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3831

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 9


Alinéa 5, première phrase

Compléter cette phrase par les mots :

et de l’Agence nationale pour la formation professionnelle des adultes

Objet

Les membres du groupe CRCE, par cet amendement, visent à prévoir la consultation de l'Agence nationale pour la formation professionnelle des adultes sur les orientations stratégiques du fonds d'investissement dans la prévention de l'usure professionnelle dans un délai de 6 mois suivant la promulgation de la présente loi.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3834

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 9


Alinéa 5, première phrase

Compléter cette phrase par les mots :

et de l'Association nationale pour l’amélioration des conditions de travail

Objet

Les membres du groupe CRCE, par cet amendement, visent à prévoir la consultation de l'Association nationale pour l’amélioration des conditions de travail sur les orientations stratégiques du fonds d'investissement dans la prévention de l'usure professionnelle dans un délai de 6 mois suivant la promulgation de la présente loi.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3835

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 9


Alinéa 5, première phrase

Compléter cette phrase par les mots :

et de Cap emploi

Objet

Les membres du groupe CRCE, par cet amendement, visent à prévoir la consultation de Cap emploi sur les orientations stratégiques du fonds d'investissement dans la prévention de l'usure professionnelle dans un délai de 6 mois suivant la promulgation de la présente loi.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3839

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 9


Alinéa 5, première phrase

Compléter cette phrase par les mots :

et du Centre d'animation et de ressources d’information sur la formation

Objet

Les membres du groupe CRCE, par cet amendement, visent à prévoir la consultation du Centre animation ressources d’information sur la formation sur les orientations stratégiques du fonds d'investissement dans la prévention de l'usure professionnelle dans un délai de 6 mois suivant la promulgation de la présente loi.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3841

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 9


Alinéa 5, première phrase

Compléter cette phrase par les mots :

et des chambres de commerce et d’industrie

Objet

Les membres du groupe CRCE, par cet amendement, visent à prévoir la consultation des Chambres de commerce et d’industrie sur la formation sur les orientations stratégiques du fonds d'investissement dans la prévention de l'usure professionnelle dans un délai de 6 mois suivant la promulgation de la présente loi.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3843

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 9


Alinéa 5, première phrase

Compléter cette phrase par les mots :

et des chambres d’agriculture

Objet

Les membres du groupe CRCE, par cet amendement, visent à prévoir la consultation des Chambres d’agriculture sur la formation sur les orientations stratégiques du fonds d'investissement dans la prévention de l'usure professionnelle dans un délai de 6 mois suivant la promulgation de la présente loi.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3845

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 9


Alinéa 5, première phrase

Compléter cette phrase par les mots :

et des chambres des métiers et de l’artisanat

Objet

Les membres du groupe CRCE, par cet amendement, visent à prévoir la consultation chambres des métiers et de l’artisanat sur les orientations stratégiques du fonds d'investissement dans la prévention de l'usure professionnelle dans un délai de 6 mois suivant la promulgation de la présente loi.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3847

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 9


Alinéa 5, première phrase

Compléter cette phrase par les mots :

et des directions départementales de l'emploi, du travail et des solidarités

Objet

Les membres du groupe CRCE, par cet amendement, visent à prévoir la consultation des Directions départementales de l'emploi, du travail et des solidarités sur les orientations stratégiques du fonds d'investissement dans la prévention de l'usure professionnelle dans un délai de 6 mois suivant la promulgation de la présente loi.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3849 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 9


Alinéa 5, première phrase

Compléter cette phrase par les mots :

et des directions régionales de l'économie, de l'emploi, du travail et des solidarités

Objet

Les membres du groupe CRCE, par cet amendement, visent à prévoir la consultation des directions régionales de l'économie, de l'emploi, du travail et des solidarités sur les orientations stratégiques du fonds d'investissement dans la prévention de l'usure professionnelle dans un délai de 6 mois suivant la promulgation de la présente loi.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3851 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 9


Alinéa 5, première phrase

Compléter cette phrase par les mots :

et de l’établissement pour l’insertion dans l’emploi

Objet

Les membres du groupe CRCE, par cet amendement, visent à prévoir la consultation de l’établissement pour l’insertion dans l’emploi sur les orientations stratégiques du fonds d'investissement dans la prévention de l'usure professionnelle dans un délai de 6 mois suivant la promulgation de la présente loi.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3854 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 9


Alinéa 5, première phrase

Compléter cette phrase par les mots :

et des maisons de l’emploi

Objet

Les membres du groupe CRCE, par cet amendement, visent à prévoir la consultation des maisons de l’emploi sur les orientations stratégiques du fonds d'investissement dans la prévention de l'usure professionnelle dans un délai de 6 mois suivant la promulgation de la présente loi.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 3856 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 9


Alinéa 5, première phrase

Compléter cette phrase par les mots :

et des missions locales pour l’insertion professionnelle et sociale des jeunes

Objet

Les membres du groupe CRCE, par cet amendement, visent à prévoir la consultation des missions locales pour l'insertion professionnelle et sociale des jeunes sur les orientations stratégiques du fonds d'investissement dans la prévention de l'usure professionnelle dans un délai de 6 mois suivant la promulgation de la présente loi.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3858 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 9


Alinéa 5, première phrase

Compléter cette phrase par les mots :

et de Pôle emploi

Objet

Les membres du groupe CRCE, par cet amendement, visent à prévoir la consultation de Pôle emploi sur les orientations stratégiques du fonds d'investissement dans la prévention de l'usure professionnelle dans un délai de 6 mois suivant la promulgation de la présente loi.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 3861 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 9


Alinéa 5, première phrase

Compléter cette phrase par les mots :

et du service de renseignement en droit du travail

Objet

Les membres du groupe CRCE, par cet amendement, visent à prévoir la consultation du Service de renseignement en droit du travail sur les orientations stratégiques du fonds d'investissement dans la prévention de l'usure professionnelle dans un délai de 6 mois suivant la promulgation de la présente loi.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 3863 rect.

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AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 9


Alinéa 5, première phrase

Compléter cette phrase par les mots :

et de France compétences

Objet

Les membres du groupe CRCE, par cet amendement, visent à prévoir la consultation de France compétences sur les orientations stratégiques du fonds d'investissement dans la prévention de l'usure professionnelle dans un délai de 6 mois suivant la promulgation de la présente loi.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3866 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 9


Alinéa 5, première phrase

Compléter cette phrase par les mots :

et de l'Unédic

Objet

Les membres du groupe CRCE, par cet amendement, visent à prévoir la consultation de l'Unédic sur les orientations stratégiques du fonds d'investissement dans la prévention de l'usure professionnelle dans un délai de 6 mois suivant la promulgation de la présente loi.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3868 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 9


Alinéa 5, première phrase

Compléter cette phrase par les mots :

et du conseil national des politiques de lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale

Objet

Les membres du groupe CRCE, par cet amendement, visent à prévoir la consultation du Conseil national des politiques de lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale sur les orientations stratégiques du fonds d'investissement dans la prévention de l'usure professionnelle dans un délai de 6 mois suivant la promulgation de la présente loi.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3869 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 9


Alinéa 5, première phrase

Compléter cette phrase par les mots :

et du Haut Conseil de la famille, de l’enfance et de l’âge

Objet

Les membres du groupe CRCE, par cet amendement, visent à prévoir la consultation du Haut Conseil de la famille, de l’enfance et de l’âge sur les orientations stratégiques du fonds d'investissement dans la prévention de l'usure professionnelle dans un délai de 6 mois suivant la promulgation de la présente loi.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3874 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 9


Alinéa 5, première phrase

Compléter cette phrase par les mots :

et du Défenseur des droits

Objet

Les membres du groupe CRCE, par cet amendement, visent à prévoir la consultation du Défenseur des droits sur les orientations stratégiques du fonds d'investissement dans la prévention de l'usure professionnelle dans un délai de 6 mois suivant la promulgation de la présente loi.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3875 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 9


Alinéa 5, première phrase

Compléter cette phrase par les mots :

et de la Caisse nationale d’assurance vieillesse des travailleurs salariés

Objet

Les membres du groupe CRCE, par cet amendement, visent à prévoir la consultation de la Caisse nationale d'assurance vieillesse sur les orientations stratégiques du fonds d'investissement dans la prévention de l'usure professionnelle dans un délai de 6 mois suivant la promulgation de la présente loi.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3877 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 9


Alinéa 5, première phrase

Compléter cette phrase par les mots :

et de la Mutualité sociale agricole

Objet

Les membres du groupe CRCE, par cet amendement, visent à prévoir la consultation de la Mutualité sociale agricole sur les orientations stratégiques du fonds d'investissement dans la prévention de l'usure professionnelle dans un délai de 6 mois suivant la promulgation de la présente loi.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3879 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 9


Alinéa 5, première phrase

Compléter cette phrase par les mots :

et de l’association générale des institutions de retraite des cadres et l’association des régimes de retraite complémentaire

Objet

Les membres du groupe CRCE, par cet amendement, visent à prévoir la consultation de l'Association générale des institutions de retraite des cadres et l'Association des régimes de retraite complémentaire sur les orientations stratégiques du fonds d'investissement dans la prévention de l'usure professionnelle dans un délai de 6 mois suivant la promulgation de la présente loi.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3881 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 9


Alinéa 5, première phrase

Compléter cette phrase par les mots :

et du Conseil d’orientation des retraites

Objet

Les membres du groupe CRCE, par cet amendement, visent à prévoir la consultation du Conseil d'orientation des retraites sur les orientations stratégiques du fonds d'investissement dans la prévention de l'usure professionnelle dans un délai de 6 mois suivant la promulgation de la présente loi.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 3884 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 9


Alinéa 5, première phrase

Compléter cette phrase par les mots :

et du Comité de suivi des retraites

Objet

Les membres du groupe CRCE, par cet amendement, visent à prévoir la consultation du Comité de suivi des retraites sur les orientations stratégiques du fonds d'investissement dans la prévention de l'usure professionnelle dans un délai de 6 mois suivant la promulgation de la présente loi.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3887 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 9


Alinéa 5, première phrase

Compléter cette phrase par les mots :

et du Fonds de solidarité vieillesse

Objet

Les membres du groupe CRCE, par cet amendement, visent à prévoir la consultation du Fonds de solidarité vieillesse sur les orientations stratégiques du fonds d'investissement dans la prévention de l'usure professionnelle dans un délai de 6 mois suivant la promulgation de la présente loi.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3888 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 9


Alinéa 5, première phrase

Compléter cette phrase par les mots :

et du Fonds de réserve des retraites

Objet

Les membres du groupe CRCE, par cet amendement, visent à prévoir la consultation du Fonds de réserve des retraites sur les orientations stratégiques du fonds d'investissement dans la prévention de l'usure professionnelle dans un délai de 6 mois suivant la promulgation de la présente loi.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 3890 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 9


Alinéa 5, première phrase

Compléter cette phrase par les mots :

et de la caisse de prévoyance et de retraite de la SNCF

Objet

Les membres du groupe CRCE, par cet amendement, visent à prévoir la consultation de la Caisse de prévoyance et de retraite de la SNCF sur les orientations stratégiques du fonds d'investissement dans la prévention de l'usure professionnelle dans un délai de 6 mois suivant la promulgation de la présente loi.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3892 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 9


Alinéa 5, première phrase

Compléter cette phrase par les mots :

et de la caisse de retraite du personnel de la régie autonome des transports parisiens

Objet

Les membres du groupe CRCE, par cet amendement, visent à prévoir la consultation de la Caisse de Retraite du Personnel de la RATP sur les orientations stratégiques du fonds d'investissement dans la prévention de l'usure professionnelle dans un délai de 6 mois suivant la promulgation de la présente loi.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 3893 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 9


Alinéa 5, première phrase

Compléter cette phrase par les mots :

et de l’Établissement national des invalides de la marine

Objet

Les membres du groupe CRCE, par cet amendement, visent à prévoir la consultation de l'Etablissement National des Invalides de la Marine sur les orientations stratégiques du fonds d'investissement dans la prévention de l'usure professionnelle dans un délai de 6 mois suivant la promulgation de la présente loi.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 3895 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 9


Alinéa 5, première phrase

Compléter cette phrase par les mots :

et de la Caisse nationale des industries électriques et gazières

Objet

Les membres du groupe CRCE, par cet amendement, visent à prévoir la consultation de la Caisse Nationale des Industries Électriques et Gazières sur les orientations stratégiques du fonds d'investissement dans la prévention de l'usure professionnelle dans un délai de 6 mois suivant la promulgation de la présente loi.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 3896 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 9


Alinéa 5, première phrase

Compléter cette phrase par les mots :

et de la caisse d’assurance vieillesse et maladie des cultes

Objet

Les membres du groupe CRCE, par cet amendement, visent à prévoir la consultation de la Caisse d’Assurance Vieillesse et Maladie des Cultes sur les orientations stratégiques du fonds d'investissement dans la prévention de l'usure professionnelle dans un délai de 6 mois suivant la promulgation de la présente loi.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3897 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 9


Alinéa 5, première phrase

Compléter cette phrase par les mots :

et de la Caisse des dépôts et consignations

Objet

Les membres du groupe CRCE, par cet amendement, visent à prévoir la consultation de la Caisse des Dépôts et Consignations sur les orientations stratégiques du fonds d'investissement dans la prévention de l'usure professionnelle dans un délai de 6 mois suivant la promulgation de la présente loi.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3900 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 9


Alinéa 5, première phrase

Compléter cette phrase par les mots :

et du Conseil économique, social et environnemental

Objet

Les membres du groupe CRCE, par cet amendement, visent à prévoir la consultation du Conseil économique, social et environnemental sur les orientations stratégiques du fonds d'investissement dans la prévention de l'usure professionnelle dans un délai de 6 mois suivant la promulgation de la présente loi.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3902 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 9


Alinéa 5, première phrase

Compléter cette phrase par les mots :

et du Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes

Objet

Les membres du groupe CRCE, par cet amendement, visent à prévoir la consultation du Haut Conseil à l'Egalité entre les Femmes et les Hommes sur les orientations stratégiques du fonds d'investissement dans la prévention de l'usure professionnelle dans un délai de 6 mois suivant la promulgation de la présente loi.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2134

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Favorable
Adopté - vote unique

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 9


Alinéa 5, troisième phrase

Remplacer les mots :

de conventions

par les mots :

d’accord mentionné au même article L. 4163-2-1

Objet

Amendement de coordination.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 429

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. BENARROCHE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Alinéa 5, dernière phrase

Compléter cette phrase par les mots :

en Conseil d’État

Objet

Cet amendement vise à s'assurer que l'intention du législateur sera respectée. En raison de l'importance du décret mentionné ici, il est en effet indispensable que le Conseil d'Etat soit associé. Le Conseil d'Etat sera ainsi saisi du projet préparé par le Gouvernement et son avis devra être recueilli après une consultation des organismes dont l'avis est souhaité.

Cet amendement vise donc à ce que le décret ne soit pas un décret simple qui ne serait pas soumis à l'examen du Conseil d'Etat.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 427

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. BENARROCHE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Alinéa 5, dernière phrase

Compléter cette phrase par les mots :

suite à des négociations avec les organisations syndicales et patronales représentatives au niveau national et interprofessionnel

Objet

Alors que le gouvernement ne souhaite pas débattre avec les parlementaires, pas davantage qu’avec les organisations syndicales, cet amendement a pour objet d’inscrire ce projet de réforme dans un véritable dialogue social.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4680

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes Mélanie VOGEL et PONCET MONGE, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Alinéa 5

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée : 

En tout état de cause, la commission s’assure que la cartographie prend en compte les facteurs de risques professionnels rencontrés dans les métiers majoritairement exercés par des femmes.

Objet

Cet amendement vise à assurer une perspective genrée des listes de métiers ou d’activités exposés à des facteurs de risques professionnels dressées par les branches.

La nécessité de cette prise en compte découle en première ligne de la ségrégation genrée persistante des professions. Les femmes actives sont nettement concentrées parmi les employés et les professions intermédiaires, et exercent majoritairement au contact du public, par exemple dans les soins médicaux et paramédicaux ou la prise en charge des enfants, des aides à domicile et des assistantes et assistants maternels, des aides-soignantes et aides-soignants, des infirmières et infirmiers et des enseignantes et enseignants.

En même temps, plus d’hommes que de femmes travaillent la nuit ; selon la DARES, trois quarts des travailleuses et travailleurs de nuit sont des hommes. 

Dans ce cadre s’inscrivent des constats préoccupants de risques professionnels pour les femmes. Pour ne nommer qu’un exemple, les femmes sont surexposées aux troubles musculosquelettiques (TMS), car parmi les cas reconnus cumulant un certain nombre de facteurs de risques de TMS dans leur travail se trouvent 58 % de femmes.

De plus, les femmes sont plus fréquemment exposées à certains facteurs de risques psychosociaux. Elles sont plus nombreuses à subir de pression et à devoir se dépêcher, elles manquent d’autonomie et de marge de manœuvre. Enfin, 33 % des femmes déclarent devoir cacher leurs émotions ou faire semblant d’être de bonne humeur, contre 22 % des hommes.

Pour ces raisons, il convient d’intégrer une perspective genrée de la pénibilité, point de départ pour assurer une meilleure prise en compte des métiers à forte représentation de femmes.

Tel est l'objectif de cet amendement.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2136

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Favorable
Adopté - vote unique

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 9


I. – Alinéa 7

Après le mot :

entreprises

insérer les mots :

identifiées par les caisses d’assurance retraite et de la santé au travail

II. – Alinéa 8

1° Rédiger ainsi le début de cet alinéa :

« 2° Des institutions concourant à l’organisation de la prévention, y compris les organismes de branche...

2° Remplacer le mot :

et

par le signe :

,

Objet

L’article 9 crée un nouveau Fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle (FIPU) sans préciser comment ses actions s’articuleront avec les outils existants en matière de prévention des risques professionnels.

Le présent amendement prévoit que les caisses d'assurance retraite et de la santé au travail (Carsat) interviendront en identifiant les entreprises auxquelles pourront être allouées les ressources du FIPU.

De plus, il élargit le champ des destinataires des ressources du fonds aux institutions concourant à l’organisation de la prévention afin de pouvoir y inclure des acteurs tels que l’Agence nationale pour l’amélioration des conditions de travail (Anact), le réseau des Aract et l’ Institut national de recherche et de sécurité pour la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles (INRS).






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4761

7 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2136 de la commission des affaires sociales

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté - vote unique

Le Gouvernement


ARTICLE 9


Amendement n° 2136

I. – Alinéa 5

1° Avant le mot :

identifiées

insérer les mots :

, notamment celles

2° Compléter cet alinéa par les mots :

mentionnées à l’article L. 215-1 du code de la sécurité sociale,

II. – Alinéas 7 à 12

Remplacer ces alinéas par deux alinéas ainsi rédigés :

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ces organismes peuvent faire appel à des organismes nationaux de prévention des risques professionnels.

Objet

L’objet de ce sous-amendement est de prévoir que le fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle puisse financer des actions de prévention et de formation notamment et non exclusivement en direction des entreprises identifiées par les CARSAT. En effet, le Gouvernement souhaite laisser la liberté aux partenaires sociaux de fixer les orientations des fonds, et ne souhaite pas restreindre de la sorte le périmètre des entreprises qui pourraient bénéficier de financements du Fonds.

Par ailleurs, nous proposons que le Fonds puisse également financer les organismes de prévention de branches qui ont conventionné avec des organismes nationaux de prévention tels que l’ANACT, plutôt que de prévoir que le fonds finance des institutions nationales de prévention qui sont déjà financées par ailleurs (à titre d’exemple l’INRS est essentiellement financé par le fonds national de prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles (FNPAT)).






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5496

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2136 de la commission des affaires sociales

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté - vote unique

Mme Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


I. – Alinéa 5

1° Avant le mot :

identifiées

insérer les mots :

, notamment celles

2° Compléter cet alinéa par les mots :

mentionnées à l’article L. 215-1 du code de la sécurité sociale,

II. – Alinéas 7 à 12

Remplacer ces alinéas par deux alinéas ainsi rédigés :

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ces organismes peuvent faire appel à des organismes nationaux de prévention des risques professionnels.

Objet

Cet amendement propose que les fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle puissent bénéficier à d’autres entreprises que celles identifiées par les CARSAT.

L’amendement vise à agrandir le périmètre des entreprises pouvant bénéficier de financements du Fonds, en permettant ainsi de laisser les partenaires sociaux la liberté de fixer les orientations du Fonds.

Par ailleurs, cet amendement propose que le Fonds puisse également financer les organismes de prévention de branches qui ont conventionné avec des organismes nationaux de prévention. En effet, les organismes de prévention par branches sont spécialisés dans leur domaine d'activité, ce qui leur permet de fournir des conseils et des formations adaptés aux risques et aux enjeux spécifiques à chaque profession.

Les organismes de prévention par branches ont également une meilleure compréhension des pratiques et des évolutions de chaque secteur, ainsi que des contraintes auxquelles ils sont confrontés. Ils peuvent donc proposer des solutions pratiques et adaptées aux réalités de chaque branche, ce qui peut améliorer leur acceptabilité et leur efficacité.

Permettre de les financer directement permet d’agir au plus près du terrain.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5741

10 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2136 de la commission des affaires sociales

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté - vote unique

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 9


Sous-amendement à l'amendement 2136

I. – Alinéa 5

1° Avant le mot :

identifiées

insérer les mots :

, notamment celles

2° Compléter cet alinéa par les mots :

mentionnées à l’article L. 215-1 du code de la sécurité sociale,

II. – Alinéas 7 à 12

Remplacer ces alinéas par deux alinéas ainsi rédigés :

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Ces organismes peuvent faire appel à des organismes nationaux de prévention des risques professionnels.

Objet

Cet amendement propose que les fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle puissent bénéficier à d’autres entreprises que celles identifiées par les CARSAT.

L’amendement vise à agrandir le périmètre des entreprises pouvant bénéficier de financements du Fonds, en permettant ainsi de laisser les partenaires sociaux la liberté de fixer les orientations du Fonds.

Par ailleurs, cet amendement propose que le Fonds puisse également financer les organismes de prévention de branches qui ont conventionné avec des organismes nationaux de prévention. En effet, les organismes de prévention par branches sont spécialisés dans leur domaine d'activité, ce qui leur permet de fournir des conseils et des formations adaptés aux risques et aux enjeux spécifiques à chaque profession.

Les organismes de prévention par branches ont également une meilleure compréhension des pratiques et des évolutions de chaque secteur, ainsi que des contraintes auxquelles ils sont confrontés. Ils peuvent donc proposer des solutions pratiques et adaptées aux réalités de chaque branche, ce qui peut améliorer leur acceptabilité et leur efficacité.

Permettre de les financer directement permet d’agir au plus près du terrain.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2135

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Favorable
Adopté - vote unique

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 9


Alinéa 7

Après les mots :

prévention des

insérer les mots :

effets de l’exposition aux facteurs de

Objet

Rédactionnel.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2137

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Favorable
Adopté - vote unique

M. SAVARY

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 9


Alinéa 9

Remplacer les mots :

L’organisme mentionné

par les mots :

L’institution nationale mentionnée

Objet

Rédactionnel.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2104 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme GUILLOTIN, MM. ARTANO, BILHAC et CABANEL, Mme Maryse CARRÈRE, M. CORBISEZ, Mme Nathalie DELATTRE, MM. FIALAIRE, GOLD, GUÉRINI et GUIOL, Mme PANTEL et MM. REQUIER et ROUX


ARTICLE 9


Après l’alinéa 9

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« ...° Des travailleurs non-salariés en vue de soutenir une affiliation à une offre spécifique de services en matière de prévention des risques professionnels, de suivi individuel et de prévention de la désinsertion professionnelle.

Objet

Cet amendement vise à intégrer les travailleurs indépendants, et notamment les professionnels de santé, dans les dispositifs de prévention et de réparation de l’usure professionnelle.

Plusieurs études font état d’un niveau de pénibilité physique et psychologique important et croissant dans les métiers du soin.

La loi du 2 août 2021 pour renforcer la prévention en santé au travail prévoit que les travailleurs indépendants relevant du livre VI du code de la sécurité sociale peuvent s'affilier au service de prévention et de santé au travail interentreprises de leur choix et qu’ils bénéficient d'une offre spécifique de services en matière de prévention des risques professionnels, de suivi individuel et de prévention de la désinsertion professionnelle.

Cependant, ces mesures sont trop peu ambitieuses par rapport à l’ampleur du besoin de suivi de ces professionnels. Elles font peser la charge de l’affiliation sur les professionnels, souvent déjà débordés de tâches administratives et ne connaissant pas l’existence de cette possibilité.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2428

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. SALMON, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et M. PARIGI


ARTICLE 9


Alinéa 10

Après le mot :

gestion

insérer les mots : 

, de contrôle

Objet

Le présent amendement vise à mettre en place des modalités de contrôle de l’utilisation de ce fonds de prévention de la pénibilité. Ces modalités sont définies par décret en Conseil d’État. Il est important que l’utilisation par les entreprises des moyens alloués dans le cadre de ce fonds fassent l’objet d’un contrôle afin de s’assurer qu’ils ont bien été utilisés conformément à leur objet initial.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3525 rect.

4 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Alinéa 10
Après le mot :
gestion
insérer les mots :
, de supervision

Objet

Le présent amendement vise à mettre en place des modalités de supervision de l’utilisation de ce fonds de prévention de la pénibilité. Ces modalités sont définies par décret en Conseil d’Etat. Il est important que l’utilisation par les entreprises des moyens alloués dans le cadre de ce fonds fassent l’objet d’une supervision afin de s’assurer qu’ils ont bien été utilisés conformément à leur objet initial.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 432 rect.

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. BENARROCHE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Alinéa 10

Compléter cet alinéa par les mots :

suite à des négociations avec les organisations syndicales et patronales représentatives au niveau national et interprofessionnel

Objet

Alors que le gouvernement ne souhaite pas débattre avec les parlementaires, pas davantage qu’avec les organisations syndicales, cet amendement a pour objet d’inscrire ce projet de réforme dans un véritable dialogue social.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3803

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 9


Alinéa 10

Compléter cet alinéa par les mots :

après avis des organisations syndicales représentatives

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent conditionner le décret d’application portant création, missions et modalités de fonctionnement du futur Fonds professionnel de prévention à l’organisation de concertations préalables avec les organisations syndicales représentatives.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3904 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 9


Alinéa 10

Compléter cet alinéa par les mots :

après avis de l’Association pour l’emploi des cadres

Objet

Les membres du groupe CRCE, par cet amendement, visent à prévoir la consultation de l'Association pour l'emploi des cadres avant qu'un décret ne précise le fonctionnement du fonds d'investissement dans la prévention de l'usure professionnelle.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3907 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 9


Alinéa 10

Compléter cet alinéa par les mots :

après avis de l’Association nationale pour l’amélioration des conditions de travail

Objet

Les membres du groupe CRCE, par cet amendement, visent à prévoir la consultation de l'Association nationale pour l’amélioration des conditions de travail avant qu'un décret ne précise le fonctionnement du fonds d'investissement dans la prévention de l'usure professionnelle.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5493

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3907 rect. de Mme ASSASSI

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme PONCET MONGE


ARTICLE 9


Amendement 3907, Alinéa 3

Compléter cet alinéa par la phrase suivante : 

et après négociations avec les organisations syndicales et les organisations patronales.

Objet

Cet amendement de nos collègues du CRCE que nous saluons vise à prévoir la consultation de l'Association nationale pour l’amélioration des conditions de travail avant qu'un décret ne précise le fonctionnement du fonds d'investissement dans la prévention de l'usure professionnelle. Nous souhaiterions également que les négociations avec les partenaires sociaux participent à l’édiction du fonctionnement du Fonds, et des modalités d’identification des métiers et activités exposants aux facteurs pénibles.

Si le Gouvernement entend faire de la concertation le grand principe qui devra guider la construction de ses politiques publiques, le droit du travail ne peut entrer dans cette philosophie qui déséquilibre le dialogue social. Les partenaires sociaux ne sont pas des instances à seulement consulter, ce sont les interlocuteurs privilégiés de la négociation collective, garante du paritarisme, d’une connexion réelle avec les personnes concernées et la protection des droits des travailleuses et des travailleurs.

En s’autorisant à définir par décret, sans réelle négociation avec les partenaires sociaux, les modalités de fonctionnement du Fonds, le gouvernement peut facilement outrepasser les oppositions à sa lettre de cadrage ou à son support de concertation et imposer une réforme qui ne respecte pas les principes du débat démocratique et du dialogue social.

La prise en compte de la voix des travailleuses et des travailleurs est pourtant primordiale pour garantir qu’une mesure soit en phase avec le terrain et protectrice.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5494

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3907 rect. de Mme ASSASSI

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Amendement 3907, Alinéa 3

Compléter cet alinéa par la phrase suivante : 

et après négociations avec les organisations syndicales et les organisations patronales.

Objet

Cet amendement de nos collègues du CRCE que nous saluons vise à prévoir la consultation de l'Association nationale pour l’amélioration des conditions de travail avant qu'un décret ne précise le fonctionnement du fonds d'investissement dans la prévention de l'usure professionnelle. Nous souhaiterions également que les négociations avec les partenaires sociaux participent à l’édiction du fonctionnement du Fonds, et des modalités d’identification des métiers et activités exposants aux facteurs pénibles.

Si le Gouvernement entend faire de la concertation le grand principe qui devra guider la construction de ses politiques publiques, le droit du travail ne peut entrer dans cette philosophie qui déséquilibre le dialogue social. Les partenaires sociaux ne sont pas des instances à seulement consulter, ce sont les interlocuteurs privilégiés de la négociation collective, garante du paritarisme, d’une connexion réelle avec les personnes concernées et la protection des droits des travailleuses et des travailleurs.

En s’autorisant à définir par décret, sans réelle négociation avec les partenaires sociaux, les modalités de fonctionnement du Fonds, le gouvernement peut facilement outrepasser les oppositions à sa lettre de cadrage ou à son support de concertation et imposer une réforme qui ne respecte pas les principes du débat démocratique et du dialogue social.

La prise en compte de la voix des travailleuses et des travailleurs est pourtant primordiale pour garantir qu’une mesure soit en phase avec le terrain et protectrice.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2138

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Défavorable
Adopté

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 9


I. – Alinéa 12

Rédiger ainsi cet alinéa :

a) Au I, les mots : « , dans des conditions fixées par décret, » sont remplacés par les mots : « à soixante ans » ;

II. – Alinéas 13 à 15

Supprimer ces alinéas.

III. – Alinéa 20

Rédiger ainsi cet alinéa :

1° Au I, les mots : « , dans les conditions fixées par décret, » sont remplacés par les mots : « à soixante ans » ;

IV. – Alinéas 21 à 23

Supprimer ces alinéas.

Objet

Le dispositif de retraite anticipée pour incapacité permanente ouvre droit à un départ à la retraite à taux plein dès 60 ans aux victimes d’une maladie professionnelle ou d’un accident du travail ayant soit un taux d’incapacité permanente supérieur ou égal à 20 %, soit un taux compris entre 10 % et 19 % en remplissant des conditions de durée minimum d’exposition à des facteurs de risques professionnels et de lien direct entre cette exposition et leur incapacité permanente.

L’article 9 du projet de loi prévoit plusieurs assouplissements visant à simplifier l’accès au dispositif de manière à accroître le nombre de bénéficiaires : la suppression de la condition d’identité des lésions avec celles d’une maladie professionnelle, pour les incapacités permanentes consécutives à un accident du travail, et la dispense du passage devant une commission pluridisciplinaire, pour les incapacités permanentes résultant d’une maladie professionnelle. En outre, le seuil d’exposition aux facteurs de risques professionnels permettant de bénéficier du dispositif à partir de 10 % d’incapacité serait abaissé par décret de 17 à 5 ans. Le Gouvernement propose par ailleurs de repousser par voie réglementaire, parallèlement au report de deux ans de l’âge légal de départ à la retraite, l’âge de départ anticipé pour incapacité permanente de 60 à 62 ans.

Afin d’assurer une juste réparation des dommages subis par les assurés exposés à la pénibilité au cours de leur carrière, le présent amendement propose de maintenir à 60 ans l’âge minimum de départ en retraite anticipée pour incapacité permanente en fixant cette condition d’âge dans la loi.

Pour garantir la recevabilité financière de l’amendement, il est proposé de supprimer les assouplissements, de portée plus marginale, proposés à l’article 9 du projet de loi.

Il convient de rappeler que les dépenses liées au dispositif de retraite anticipée pour incapacité permanente ne pèsent pas sur l’équilibre de la branche vieillesse : en application des conditions actuelles de financement du dispositif, ces dépenses sont couvertes par la branche AT-MP.






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N° 5726

10 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2138 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mmes APOURCEAU-POLY et ASSASSI, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 9


Alinéa 3,

Après les mots : "soixante ans"

Insérer les mots : "notamment pour les professeurs des écoles"

Objet

Sous amendement de précision


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5727

10 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2138 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mmes APOURCEAU-POLY et ASSASSI, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 9


Alinéa 3,

Après les mots : "soixante ans"

Insérer les mots : "notamment pour les professeurs de lycée professionnel"

Objet

Objet

Sous amendement de précision


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5728

10 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2138 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mmes APOURCEAU-POLY et ASSASSI, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 9


Alinéa 3,

Compléter par les mots : "notamment pour les maîtres auxiliaires et professeurs contractuels de l’enseignement secondaire "

Objet

Sous amendement de précision


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5730

10 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2138 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mmes APOURCEAU-POLY et ASSASSI, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 9


Alinéa 3,

Compléter par les mots : "notamment pour les maîtres auxiliaires et professeurs contractuels de l’enseignement secondaire"

Objet

Sous amendement de précision


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5731

10 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2138 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mmes APOURCEAU-POLY et ASSASSI, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 9


Alinéa 3,

Compléter par les mots : " notamment pour les conseillers principaux d’éducation "

Objet

Sous amendement de précision


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5732

10 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2138 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mmes APOURCEAU-POLY et ASSASSI, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 9


Alinéa 3,

Compléter l'alinéa par les mots : "pour les moniteurs d’école de conduite "

Objet

Sous amendement de précision


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5733

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SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2138 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mmes APOURCEAU-POLY et ASSASSI, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 9


Alinéa 3,

compléter par les mots : "notamment pour les formateurs et animateurs de formation "

Objet

Sous amendement de précision


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5734

10 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2138 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mmes APOURCEAU-POLY et ASSASSI, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 9


Alinéa 3,

Compléter par les mots : "pour les moniteurs et éducateurs sportifs, sportifs professionnels "

Objet

Sous amendement de précision


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 5735

10 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2138 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mmes APOURCEAU-POLY et ASSASSI, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 9


Alinéa 3,

Compléter l'alinéa par les mots : "pour les sous-bibliothécaires et les cadres intermédiaires du patrimoine "

Objet

Sous amendement de précision


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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10 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2138 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mmes APOURCEAU-POLY et ASSASSI, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 9


Alinéa 3,

Compléter l'alinéa par les mots : "notamment pour les cadres infirmiers et assimilés"

Objet

Sous amendement de précision


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5737

10 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2138 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Irrecevable art. 44, al. 2 C

Mmes APOURCEAU-POLY et ASSASSI, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 9


Alinéa 3,

Compléter par les mots : "notamment pour les infirmiers psychiatriques"

Objet

Sous amendement de précision.


    Déclaré irrecevable au titre de l'article 44, alinéa 2 de la Constitution par le Président du Sénat





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N° 4681

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

Mmes Mélanie VOGEL et PONCET MONGE, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Alinéa 18

Après les deux occurrences du mot :

décret

insérer les mots :

en Conseil d’État

Objet

Cet amendement vise à s'assurer que l'intention du législateur sera respectée. En raison de l'importance du décret mentionné ici, il est en effet indispensable que le Conseil d'Etat soit associé. Le Conseil d'Etat sera ainsi saisi du projet préparé par le Gouvernement et son avis devra être recueilli après une consultation des organismes dont l'avis est souhaité.

Cet amendement vise donc à ce que le décret ne soit pas un décret simple qui ne serait pas soumis à l'examen du Conseil d'Etat.






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N° 2139

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Favorable
Adopté - vote unique

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 9


Alinéa 18

Supprimer les mots :

du bénéfice

Objet

Rédactionnel.






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N° 5412

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2141 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 9


Sous-amendement à l’amendement n°2141

Alinéa 3

Après les mots :

" métiers ou d’activités…"

Insérer les mots :

"dont, les professions de dockers "

Objet

Ce sous-amendement vise à préciser la liste des professions devant figurer dans la négociation de listes de métiers exposés par les branches.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 5414

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2141 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. KERROUCHE, JACQUIN, CHANTREL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 9


Amendement n°2141

Alinéa 3

Après les mots :

" métiers ou d’activités"

Insérer les mots :

"dont, les ouvriers qualifiés des traitements thermiques et de surface sur métaux"

Objet

Ce sous-amendement vise à préciser la liste des professions devant figurer dans la négociation de listes de métiers exposés par les branches.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 5415

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2141 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. KERROUCHE, JACQUIN, CHANTREL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 9


Amendement n°2141

Alinéa 3

Après les mots :

" métiers ou d’activités"

Insérer les mots :

"dont, les pilotes d'installation lourde des industries de transformation agroalimentaires, chimie, plasturgie, énergie"

Objet

Ce sous-amendement vise à préciser la liste des professions devant figurer dans la négociation de listes de métiers exposés par les branches.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2141 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. KERROUCHE, JACQUIN, CHANTREL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 9


Amendement n°2141

Alinéa 3

Après les mots :

" métiers ou d’activités"

Insérer les mots :

"dont, les autres opérateurs et ouvriers qualifiés : métallurgie, production verrière, matériaux de construction "

Objet

Ce sous-amendement vise à préciser la liste des professions devant figurer dans la négociation de listes de métiers exposés par les branches.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2141 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. KERROUCHE, JACQUIN, CHANTREL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 9


Amendement n°2141

Alinéa 3

Après les mots :

" métiers ou d’activités"

Insérer les mots :

"dont, les ouvriers non qualifiés de montage, contrôle en mécanique et travail des métaux"

Objet

Ce sous-amendement vise à préciser la liste des professions devant figurer dans la négociation de listes de métiers exposés par les branches.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2141 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. KERROUCHE, JACQUIN, CHANTREL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 9


Amendement n°2141

Alinéa 3

Après les mots :

" métiers ou d’activités"

Insérer les mots :

"dont, les ouvriers de production non qualifiés de la transformation des viandes"

Objet

Ce sous-amendement vise à préciser la liste des professions devant figurer dans la négociation de listes de métiers exposés par les branches.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 5419

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2141 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. KERROUCHE, JACQUIN, CHANTREL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 9


Amendement n°2141

Alinéa 3

Après les mots :

" métiers ou d’activités"

Insérer les mots :

"dont, les ouvriers non qualifiés divers de type industriel"

Objet

Ce sous-amendement vise à préciser la liste des professions devant figurer dans la négociation de listes de métiers exposés par les branches.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 5420

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2141 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. KERROUCHE, JACQUIN, CHANTREL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 9


Amendement n°2141

Alinéa 3

Après les mots :

" métiers ou d’activités"

Insérer les mots :

"dont, les ouvriers non qualifiés de l'assainissement et du traitement des déchets"

Objet

Ce sous-amendement vise à préciser la liste des professions devant figurer dans la négociation de listes de métiers exposés par les branches


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5421

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2141 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. KERROUCHE, JACQUIN, CHANTREL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 9


Amendement n°2141

Alinéa 3

Après les mots :

" métiers ou d’activités"

Insérer les mots :

"dont, les aides à domicile, aides ménagères et travailleuses familiales"

Objet

Ce sous-amendement vise à préciser la liste des professions devant figurer dans la négociation de listes de métiers exposés par les branches.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 5498

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2141 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mme PONCET MONGE


ARTICLE 9


Amendement 2141, alinéa 3 

Remplacer les mots : 

peut établir

Par les mots : 

établit

Objet

Cet amendement vise à ce qu’un accord de branche établisse les listes de métiers ou d’activités particulièrement exposés aux trois facteurs de pénibilité du travail, manutentions manuelles de charges, postures pénibles et vibrations mécaniques, dont les actions de prévention seront financées par le fonds créé par l’article 9 du présent projet de loi.

Ce sous-amendement vise à rendre cette négociation obligatoire. Il faut que chaque branche professionnelle identifie les métiers et activités exposant aux facteurs mentionnés au 1° du I de l’article L. 4161-1 du code du travail.

En effet, on constate des écarts très importants entre les salariés déclarés et salariés exposés à la pénibilité. Selon l’assurance vieillesse, en 2016-2017, en moyenne 759 060 salariés ont été déclarés par leur employeur comme étant exposés à des facteurs de pénibilité du travail, tous risques confondus. Pourtant, selon la DARES, en 2016-2017, 2 920 000 ont été potentiellement exposés, tous risques confondus.

Par conséquent, nous souhaitons, par ce sous-amendement, inscrire l’obligation, pour chaque branche professionnelle, de mener une négociation afin d’identifier les métiers et activités exposant aux facteurs mentionnés précédemment.

Cette négociation pourrait ainsi viser à préciser les métiers et activités pénibles à prendre en compte dans le cadre du compte professionnel de prévention (C2P) ainsi que dans le cadre du « fonds pour la prévention de l’usure professionnelle ».


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5499

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2141 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mme Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Amendement 2141, alinéa 3 

Remplacer les mots : 

peut établir

Par les mots : 

établit

Objet

Cet amendement vise à ce qu’un accord de branche établisse les listes de métiers ou d’activités particulièrement exposés aux trois facteurs de pénibilité du travail, manutentions manuelles de charges, postures pénibles et vibrations mécaniques, dont les actions de prévention seront financées par le fonds créé par l’article 9 du présent projet de loi.

Ce sous-amendement vise à rendre cette négociation obligatoire. Il faut que chaque branche professionnelle identifie les métiers et activités exposant aux facteurs mentionnés au 1° du I de l’article L. 4161-1 du code du travail.

En effet, on constate des écarts très importants entre les salariés déclarés et salariés exposés à la pénibilité. Selon l’assurance vieillesse, en 2016-2017, en moyenne 759 060 salariés ont été déclarés par leur employeur comme étant exposés à des facteurs de pénibilité du travail, tous risques confondus. Pourtant, selon la DARES, en 2016-2017, 2 920 000 ont été potentiellement exposés, tous risques confondus.

Par conséquent, nous souhaitons, par ce sous-amendement, inscrire l’obligation, pour chaque branche professionnelle, de mener une négociation afin d’identifier les métiers et activités exposant aux facteurs mentionnés précédemment.

Cette négociation pourrait ainsi viser à préciser les métiers et activités pénibles à prendre en compte dans le cadre du compte professionnel de prévention (C2P) ainsi que dans le cadre du « fonds pour la prévention de l’usure professionnelle ».


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 5699

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2141 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mme PONCET MONGE


ARTICLE 9


Amendement 2141, alinéa 3

Après les mots :

métiers ou d’activité

Insérer les mots :

dont, les aides à domicile, aides ménagères et travailleuses familiales

Objet

Ce sous-amendement vise à préciser la liste des professions devant figurer dans la négociation de listes de métiers exposés par les branches.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 5700

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2141 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mme Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Amendement 2141, alinéa 3

Après les mots :

métiers ou d’activité

Insérer les mots :

dont, les aides à domicile, aides ménagères et travailleuses familiales

Objet

Ce sous-amendement vise à préciser la liste des professions devant figurer dans la négociation de listes de métiers exposés par les branches.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 5701

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2141 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mme PONCET MONGE


ARTICLE 9


Amendement 2141, Alinéa 3

Après les mots :

métiers ou d’activités

Insérer les mots :

dont, les ouvriers non qualifiés de l'assainissement et du traitement des déchets

Objet

Ce sous-amendement vise à préciser la liste des professions devant figurer dans la négociation de listes de métiers exposés par les branches


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2141 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mme Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Amendement 2141, Alinéa 3

Après les mots :

métiers ou d’activités

Insérer les mots :

dont, les ouvriers non qualifiés de l'assainissement et du traitement des déchets

Objet

Ce sous-amendement vise à préciser la liste des professions devant figurer dans la négociation de listes de métiers exposés par les branches.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2141 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mme PONCET MONGE


ARTICLE 9


Amendement 2141, Alinéa 3

Après les mots :

Métiers ou d’activités

Insérer les mots :

dont, les ouvriers non qualifiés divers de type industriel

Objet

Ce sous-amendement vise à préciser la liste des professions devant figurer dans la négociation de listes de métiers exposés par les branches.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 5705

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2141 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mme Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Amendement 2141, alinéa 3

Après les mots :

métiers ou d’activités

Insérer les mots :

dont, les ouvriers non qualifiés divers de type industriel

Objet

Ce sous-amendement vise à préciser la liste des professions devant figurer dans la négociation de listes de métiers exposés par les branches.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5708

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2141 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mme PONCET MONGE


ARTICLE 9


Amendement 2141, alinéa 3

Après les mots :

métiers ou d’activités

Insérer les mots :

dont, les ouvriers non qualifiés de montage, contrôle en mécanique et travail des métaux

Objet

Ce sous-amendement vise à préciser la liste des professions devant figurer dans la négociation de listes de métiers exposés par les branches.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5709

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2141 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mme Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Amendement 2141, alinéa 3

Après les mots :

métiers ou d’activités

Insérer les mots :

dont, les ouvriers non qualifiés de montage, contrôle en mécanique et travail des métaux

Objet

Ce sous-amendement vise à préciser la liste des professions devant figurer dans la négociation de listes de métiers exposés par les branches.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5712

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2141 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mme PONCET MONGE


ARTICLE 9


Amendement 2141, alinéa 3

Après les mots :

métiers ou d’activités

Insérer les mots :

dont, les autres opérateurs et ouvriers qualifiés : métallurgie, production verrière, matériaux de construction

Objet

Ce sous-amendement vise à préciser la liste des professions devant figurer dans la négociation de listes de métiers exposés par les branches.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5713

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2141 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mme Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Amendement 2141, alinéa 3

Après les mots :

métiers ou d’activités

Insérer les mots :

dont, les autres opérateurs et ouvriers qualifiés : métallurgie, production verrière, matériaux de construction

Objet

Ce sous-amendement vise à préciser la liste des professions devant figurer dans la négociation de listes de métiers exposés par les branches.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5716

10 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2141 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mme PONCET MONGE


ARTICLE 9


Amendement 2141, Alinéa 3

Après les mots :

métiers ou d’activités…

Insérer les mots :

dont, les professions de dockers

Objet

Ce sous-amendement vise à préciser la liste des professions devant figurer dans la négociation de listes de métiers exposés par les branches.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5717

10 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2141 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mme Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Amendement 2141, alinéa 3

Après les mots :

métiers ou d’activités…

Insérer les mots :

dont, les professions de dockers

Objet

Ce sous-amendement vise à préciser la liste des professions devant figurer dans la négociation de listes de métiers exposés par les branches.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5759

10 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2141 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes APOURCEAU-POLY et ASSASSI, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 9


Alinéa 3,

Compléter l'alinéa par les mots : "notamment les professions intermédiaires administratives de France Télécom de statut public "

Objet

Sous amendement de précision.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5760

10 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2141 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes APOURCEAU-POLY et ASSASSI, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 9


Alinéa 3,

Compléter par les mots: "notamment pour les contrôleurs des impôts, du Trésor, des douanes et assimilés "

Objet

Sous amendement de précision


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5761

10 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2141 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes APOURCEAU-POLY et ASSASSI, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 9


Alinéa 3,

Compléter l'alinéa par les mots : " notamment pour les ingénieurs du contrôle de la navigation aérienne "

Objet

Sous amendement de précision.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5762

10 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2141 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes APOURCEAU-POLY et ASSASSI, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 9


Alinéa 3,

Compléter l'alinéa par les mots : "notamment pour les autres personnels administratifs de catégorie B de l’État hors enseignement, patrimoine, impôts, Trésor, douanes"

Objet

Sous amendement de précision.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5763

10 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2141 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes APOURCEAU-POLY et ASSASSI, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 9


Alinéa 3,

Compléter par les mots : "notamment pour les professions intermédiaires administratives des hôpitaux"

Objet

Sous amendement de précision


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5764

10 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2141 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes APOURCEAU-POLY et ASSASSI, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 9


Alinéa 3,

Compléter par les mots: "notamment pour les inspecteurs et officiers de police"

Objet

Sous amendement de précision


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5765

10 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2141 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes APOURCEAU-POLY et ASSASSI, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 9


Alinéa 3,

Compléter par les mots : "notamment pour les animateurs commerciaux des magasins de vente, marchandiseurs non cadres"

Objet

Sous amendement de précision.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5766

10 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2141 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes APOURCEAU-POLY et ASSASSI, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 9


Alinéa 3,

Compléter par les mots : "notamment pour les sergents et sous-officiers de grade équivalent des armées sauf pompiers militaires "

Objet

Sous amendement de précision


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5767

10 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2141 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes APOURCEAU-POLY et ASSASSI, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 9


Alinéa 3,

Compléter par les mots : "notamment pour les hommes du rang sauf pompiers militaires "

Objet

Sous amendement de précision.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5768

10 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2141 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes APOURCEAU-POLY et ASSASSI, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 9


Alinéa 3,

Compléter l'alinéa par les mots : "notamment pour les pompiers et pompiers militaires "

Objet

Sous amendement de précision.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2876 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 9


Alinéa 27

Remplacer les mots :

peuvent établir

par les mots :

établissent dans les six mois suivant la promulgation de la loi n°  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à donner un objectif calendaire aux branches professionnelles pour établir les listes de métiers et d’activités particulièrement exposés aux facteurs de risques professionnels, plutôt que leur en laisser la simple possibilité.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3811

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 9


Alinéa 27

Remplacer les mots :

peuvent établir

par les mots :

établissent dans les six mois suivant la promulgation de la loi n°  de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023

Objet

Les membres du groupe CRCE proposent, par cet amendement, de donner un objectif calendaire aux branches professionnelles pour établir les listes de métiers et d’activités exposés aux facteurs de risques professionnels.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5474

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2142 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mme PONCET MONGE


ARTICLE 9


Amendement 2142, alinéa 5

Après les mots : 

et au a 

Ajouter les mots : 

, b, c, d 

Objet

Nous saluons cet amendement qui vise inclure les agents chimiques dangereux, au même titre que les facteurs de risques ergonomiques, parmi les facteurs pris en compte lors de l’établissement par les branches professionnelles de listes de métiers et activités particulièrement exposés en vue de définir les orientations du fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle.

En 2017, 2,7 millions de salariés sont exposés à au moins un produit chimique cancérogène au cours de la semaine précédant l’enquête, soit 11 % de l’ensemble des salariés du secteur public et privé en France entière selon la Dares. Rappelons qu’en 1996, l’Inserm estimait à cent mille le nombre de Français qui devraient mourir d’ici 2025 d’avoir inhalé l’amiante, cette fibre cancérigène dont on connaissait pourtant la toxicité dès le début des années soixante.

Rappelons-nous le formidable travail du lobbying du Comité permanent amiante, devenu en 1995 quand le scandale a éclaté le premier importateur et transformateur d’amiante en Europe... Devant les ravages de cette fibre, sept pays de la Communauté avaient, à l’époque, déjà interdit le "magic mineral", mais la France pesant de tout son poids à Bruxelles contre une interdiction totale avait influé "…sur le processus décisionnaire politique en France et en Europe".

De nombreuses années plus tard, le procès pénal du scandale sanitaire de l’amiante devrait s’ouvrir à la fin de 2023, vingt-six ans après la première plainte. Celui-ci devrait donner à ceux qui en doutent encore une idée plus précise de ce que représente le danger de l’exposition à des agents chimiques toxiques pour les travailleurs et du retard criminel à le prendre en compte.

Par ce sous amendement nous permettons aux négociations de porter sur l’ensemble des facteurs du 2 de l’article L4161-1 incluant donc le a) portant sur les agents chimiques.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5475

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2142 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mme Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Amendement 2142, alinéa 5

Après les mots : 

et au a 

Ajouter les mots : 

, b, c, d

Objet

Nous saluons cet amendement qui vise inclure les agents chimiques dangereux, au même titre que les facteurs de risques ergonomiques, parmi les facteurs pris en compte lors de l’établissement par les branches professionnelles de listes de métiers et activités particulièrement exposés en vue de définir les orientations du fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle.

En 2017, 2,7 millions de salariés sont exposés à au moins un produit chimique cancérogène au cours de la semaine précédant l’enquête, soit 11 % de l’ensemble des salariés du secteur public et privé en France entière selon la Dares. Rappelons qu’en 1996, l’Inserm estimait à cent mille le nombre de Français qui devraient mourir d’ici 2025 d’avoir inhalé l’amiante, cette fibre cancérigène dont on connaissait pourtant la toxicité dès le début des années soixante.

Rappelons-nous le formidable travail du lobbying du Comité permanent amiante, devenu en 1995 quand le scandale a éclaté le premier importateur et transformateur d’amiante en Europe... Devant les ravages de cette fibre, sept pays de la Communauté avaient, à l’époque, déjà interdit le "magic mineral", mais la France pesant de tout son poids à Bruxelles contre une interdiction totale avait influé "…sur le processus décisionnaire politique en France et en Europe".

De nombreuses années plus tard, le procès pénal du scandale sanitaire de l’amiante devrait s’ouvrir à la fin de 2023, vingt-six ans après la première plainte. Celui-ci devrait donner à ceux qui en doutent encore une idée plus précise de ce que représente le danger de l’exposition à des agents chimiques toxiques pour les travailleurs et du retard criminel à le prendre en compte.

Par ce sous amendement nous permettons aux négociations de porter sur l’ensemble des facteurs du 2 de l’article L4161-1 incluant donc le a) portant sur les agents chimiques.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5476

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2142 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mme PONCET MONGE


ARTICLE 9


Amendement 2142, alinéa 5

Après les mots : 

 et au a du 2°

Ajouter les mots : 

ainsi que le 3°

Objet

Par ce sous-amendement, le Groupe Écologiste-Solidarité et Territoires souhaite permettre aux négociations de porter également sur le 3° de l’Article 4161-1, à savoir certains rythmes de travail. 

Le travail en équipes successives alternantes, communément appelé travail posté (comme par exemple les 3x8 ou 2x12) est également l’un des facteurs de risques professionnels liés à certains rythmes de travail. Il implique généralement des horaires la nuit.

Depuis 2015, le travail de nuit et le travail en équipes successives alternantes sont les deux facteurs ayant conduit au plus grand nombre d’ouvertures de compte professionnel de prévention selon la Cour des Comptes.

La pénibilité du travail répétitif peut avoir des conséquences très lourdes pour le salarié. Selon le code du travail, "le travail répétitif est caractérisé par la répétition d’un même geste, à une cadence contrainte, imposé ou non par le déplacement automatique d’une pièce ou par la rémunération à la pièce, avec un temps de cycle défini".

De plus, il est important de souligner que le travail répétitif se retrouve davantage dans les métiers occupés par des femmes. Les troubles musculo-squelettiques liés au travail sont dus à des gestes répétitifs et les femmes développent deux fois plus que les hommes ces troubles car davantage exposées à des métiers répétitifs.

De plus, selon le rapport de l’Anact (Agence nationale pour l’amélioration des conditions de travail) en 2019, le secteur de la santé, de l’action sociale, du nettoyage et du travail temporaire et le secteur des services, commerces et industries de l’alimentation totalisent 59,3% des maladies professionnelles pour les femmes.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5477

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2142 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mme Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Amendement 2142, alinéa 5

Après les mots : 

 et au a du 2°

Ajouter les mots : 

ainsi que le 3°

Objet

Par ce sous-amendement, le Groupe Écologiste-Solidarité et Territoires souhaite permettre aux négociations de porter également sur le 3° de l’Article 4161-1, à savoir certains rythmes de travail. 

Le travail en équipes successives alternantes, communément appelé travail posté (comme par exemple les 3x8 ou 2x12) est également l’un des facteurs de risques professionnels liés à certains rythmes de travail. Il implique généralement des horaires la nuit.

Depuis 2015, le travail de nuit et le travail en équipes successives alternantes sont les deux facteurs ayant conduit au plus grand nombre d’ouvertures de compte professionnel de prévention selon la Cour des Comptes.

La pénibilité du travail répétitif peut avoir des conséquences très lourdes pour le salarié. Selon le code du travail, "le travail répétitif est caractérisé par la répétition d’un même geste, à une cadence contrainte, imposé ou non par le déplacement automatique d’une pièce ou par la rémunération à la pièce, avec un temps de cycle défini".

De plus, il est important de souligner que le travail répétitif se retrouve davantage dans les métiers occupés par des femmes. Les troubles musculo-squelettiques liés au travail sont dus à des gestes répétitifs et les femmes développent deux fois plus que les hommes ces troubles car davantage exposées à des métiers répétitifs.

De plus, selon le rapport de l’Anact (Agence nationale pour l’amélioration des conditions de travail) en 2019, le secteur de la santé, de l’action sociale, du nettoyage et du travail temporaire et le secteur des services, commerces et industries de l’alimentation totalisent 59,3% des maladies professionnelles pour les femmes.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5748

10 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2142 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

M. KERROUCHE


ARTICLE 9


Amendement n°2142, alinéa 5

Après les mots:

et au a

Ajouter les mots:

,b, c, d

Objet

L'amendement 2142 vise à inclure les agents chimiques dangereux dans les facteurs de pénibilité pris en compte dans le cadre du compte professionnel de prévention (C2P) en 2017.

Selon la DARES, en 2017, 2,7 millions de salariés sont exposés à au moins un produit chimique cancérogène au cours de la semaine précédant l’enquête, soit 11 % de l’ensemble des salariés du secteur public et privé en France entière. En 1996, l’Inserm estimait à cent mille le nombre de Français qui devraient mourir d’ici 2025 d’avoir inhalé l’amiante.

Par ce sous-amendement nous permettons aux négociations de porter sur l’ensemble des facteurs du 2° de l’article L4161-1 du code du travail liés à un environnement agressif physique agressif, incluant donc le a) portant sur les agents chimiques, mais également :

- le bruit qui constitue une nuisance majeure dans le milieu professionnel. Il peut provoquer des surdités mais aussi gêne fatigue cognitive et stress qui, à la longue, ont des conséquences sur la santé du salarié et la qualité de son travail.

- les activités en milieu hyperbare. En effet, avec la répétition des expositions et incidents, en général après plusieurs mois de travail régulier en hyperbarie, certains troubles peuvent devenir permanents : baisse irréversible de l’audition, vertiges, dégradation osseuse au niveau des articulations...


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2143

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Favorable
Adopté - vote unique

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 9


Alinéa 31

Après le mot :

est

Rédiger ainsi la fin de cet alinéa :

supprimé ;

Objet

Rédactionnel.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3815 rect.

5 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 9


Alinéas 32 et 33

Supprimer ces alinéas.

Objet

Les membres du groupe CRCE s’opposent pour plusieurs raisons aux alinéas prévoyant que l’utilisation des points acquis au titre de la pénibilité permettent de financer un projet de reconversion professionnelle. Cela parait redondant étant donné que l’article L 4163-7 du code du travail prévoit déjà que tout ou partie des points collectés peuvent servir à financer une action de formation professionnelle continue en vue d’accéder à un emploi non exposé ou moins exposé.

Avec la réforme, le C2P permettra de financer des actions de formation, un bilan de compétences ou un VAE. L’apport est donc tout relatif et l’on peut s’interroger sur le fait que c’est au salarié de financer les conditions de sa reconversion, d’autant qu’un fonds doté d’1 milliard est créé à cet effet. De surcroît, dans ce cadre, le C2P sera monétisé pour abonder le CPF ou participer au financement de la rémunération du congé de reconversion.

 Pour toutes ces raisons, les auteurs de cet amendement suppriment cette disposition.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5393

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3815 rect. de Mme ASSASSI

présenté par

C
G  
Non soutenu

Mme LUBIN


ARTICLE 9


Sous-amendement à l'amendement n°3815

Alinéa 1

Remplacer le nombre :

"33"

par le nombre :

"35"

Objet

Les membres du groupe CRCE ont proposé une suppression des alinéas prévoyant que l’utilisation des points acquis au titre de la pénibilité permettent de financer un projet de reconversion professionnelle. Cela parait redondant étant donné que l’article L 4163-7 du code du travail prévoit déjà que tout ou partie des points collectés peuvent servir à financer une action de formation professionnelle continue en vue d’accéder à un emploi non exposé ou moins exposé.

Ce sous-amendement propose la suppression des alinéas 34 et 35 prévoyant une action de communication sur le dispositif à l'égard des employeurs.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5489

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2145 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mme PONCET MONGE


ARTICLE 9


Amendement 2145, alinéa 5

Après les mots : 

et des bénéficiaires

Ajouter les mots : 

notamment lorsqu’ils ont atteint leur cinquantième anniversaire

Objet

Ce sous-amendement renforce les dispositions rédactionnelles établies par le rapporteur sans aller à leur encontre. Certes, certains salariés de 50 ans ou plus sont plutôt bien informés des dispositions du C2P. Mais ce n’est malheureusement pas le cas de tous et les écarts entre les catégories socioprofessionnelles varient très fortement. Il existe ainsi des écarts très importants entre les salariés déclarés et les salariés potentiellement exposés à la pénibilité. Selon l’assurance vieillesse, en 2016-2017, en moyenne 1,3 millions salariés avaient été déclarés par leur employeur comme étant exposés à des facteurs de pénibilité à l’époque du C3P. Pourtant, selon la Dares, à la même période en 2016-2017, 2 920 000 étaient exposés à des facteurs de pénibilité ce qui semble démontrer que les salariés pâtissent d’une forte sous-déclaration de certains employeurs. Selon la Cour des Comptes dans un rapport sur la question en 2022 : « Les différences de méthode, limitées, ne suffisent pas à expliquer les écarts observés. L’ampleur des écarts, au moins en ce qui concerne certains critères, montre une appropriation très en-deçà des objectifs du dispositif par les employeurs concernés, malgré l’absence de coût pour ces derniers, rendant nécessaire la mise en œuvre d’actions de sensibilisation et de contrôle.». La Cour ajoute : « Le dispositif n’a plus aucune vertu de prévention ». Il n’est pas « à la hauteur des objectifs qui lui étaient assignés, dans un contexte où l’âge de départ en retraite recule par ailleurs ». Selon les chiffres de l’assurance vieillesse, seules 3 300 personnes ont ainsi pu partir plus tôt grâce au compte professionnel de prévention (C2P, incapacité permanente) en 2021, soit 0,5 % des départs. Quand par ailleurs plus de 100 000 nouveaux retraités continuent chaque année de liquider leur retraite au titre de l’invalidité et de l’inaptitude. 

A ce manque de communication, de déclaration et donc d’utilisation du C2P, se combine un accroissement de la vulnérabilité des seniors à la pénibilité au fil du temps et un taux de séparation des entreprises qui atteint des sommets à 59 et 60 ans. 

En termes d’utilisation du C2P cela varie grandement entre les catégories socio-professionnelle. Ainsi, 37% des ouvriers seulement sont suffisamment informés concernant les possibilités offertes par le C2P aux d’accès à la formation contre 68% des cadres. 34% des salariés des petites entreprises de moins de 10 salariés, contre 65% dans les entreprises de plus de 250 salariés. 56% dans les services contre 37% dans la construction. Plus la pénibilité est forte dans l’entreprise, le corps de métier ou la catégorie socio-professionnelle, moins l’information est bonne. 

Nous proposons en conséquence d’aller dans le sens du rapporteur et de renforcer la communication concernant le C2P notamment pour les bénéficiaires seniors.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5490

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2145 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mme Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Amendement 2145, alinéa 5

Après les mots : 

et des bénéficiaires

Ajouter les mots : 

notamment lorsqu’ils ont atteint leur cinquantième anniversaire

Objet

Ce sous-amendement renforce les dispositions rédactionnelles établies par le rapporteur sans aller à leur encontre. Certes, certains salariés de 50 ans ou plus sont plutôt bien informés des dispositions du C2P. Mais ce n’est malheureusement pas le cas de tous et les écarts entre les catégories socioprofessionnelles varient très fortement. Il existe ainsi des écarts très importants entre les salariés déclarés et les salariés potentiellement exposés à la pénibilité. Selon l’assurance vieillesse, en 2016-2017, en moyenne 1,3 millions salariés avaient été déclarés par leur employeur comme étant exposés à des facteurs de pénibilité à l’époque du C3P. Pourtant, selon la Dares, à la même période en 2016-2017, 2 920 000 étaient exposés à des facteurs de pénibilité ce qui semble démontrer que les salariés pâtissent d’une forte sous-déclaration de certains employeurs. Selon la Cour des Comptes dans un rapport sur la question en 2022 : « Les différences de méthode, limitées, ne suffisent pas à expliquer les écarts observés. L’ampleur des écarts, au moins en ce qui concerne certains critères, montre une appropriation très en-deçà des objectifs du dispositif par les employeurs concernés, malgré l’absence de coût pour ces derniers, rendant nécessaire la mise en œuvre d’actions de sensibilisation et de contrôle.». La Cour ajoute : « Le dispositif n’a plus aucune vertu de prévention ». Il n’est pas « à la hauteur des objectifs qui lui étaient assignés, dans un contexte où l’âge de départ en retraite recule par ailleurs ». Selon les chiffres de l’assurance vieillesse, seules 3 300 personnes ont ainsi pu partir plus tôt grâce au compte professionnel de prévention (C2P, incapacité permanente) en 2021, soit 0,5 % des départs. Quand par ailleurs plus de 100 000 nouveaux retraités continuent chaque année de liquider leur retraite au titre de l’invalidité et de l’inaptitude. 

A ce manque de communication, de déclaration et donc d’utilisation du C2P, se combine un accroissement de la vulnérabilité des seniors à la pénibilité au fil du temps et un taux de séparation des entreprises qui atteint des sommets à 59 et 60 ans. 

En termes d’utilisation du C2P cela varie grandement entre les catégories socio-professionnelle. Ainsi, 37% des ouvriers seulement sont suffisamment informés concernant les possibilités offertes par le C2P aux d’accès à la formation contre 68% des cadres. 34% des salariés des petites entreprises de moins de 10 salariés, contre 65% dans les entreprises de plus de 250 salariés. 56% dans les services contre 37% dans la construction. Plus la pénibilité est forte dans l’entreprise, le corps de métier ou la catégorie socio-professionnelle, moins l’information est bonne. 

Nous proposons en conséquence d’aller dans le sens du rapporteur et de renforcer la communication concernant le C2P notamment pour les bénéficiaires seniors.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5769

10 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2145 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes APOURCEAU-POLY et ASSASSI, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 9


Alinéa 4,

Compléter l'alinéa par les mots : "notamment pour les employés non qualifiés des services comptables ou financiers"

Objet

Sous amendement de précision


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5770

10 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2145 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes APOURCEAU-POLY et ASSASSI, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 9


Alinéa 4,

Compléter par les mots : "notamment pour les employés administratifs non qualifiés"

Objet

Sous amendement de précision.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5771

10 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2145 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes APOURCEAU-POLY et ASSASSI, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 9


Alinéa 4,

Compléter l'alinéa par les mots : "notamment pour les employés et opérateurs d’exploitation en informatique"

Objet

Sous amendement de précision


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 5772

10 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2145 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes APOURCEAU-POLY et ASSASSI, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 9


Alinéa 4,

Compléter par les mots : "notamment pour les employés administratifs des services techniques de la banque "

Objet

Sous amendement de précision.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3912 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 9


Alinéa 35

Après le mot :

employeurs

insérer les mots :

et des assurés

Objet

Les membres du groupe CRCE entendent, par cet amendement, élargir la mission de communication sur le C2P non seulement aux employeurs mais aussi aux salariés.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 5486

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3912 rect. de Mme ASSASSI

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme PONCET MONGE


ARTICLE 9


Amendement 3912, alinéa 5

Après les mots : 

 et les assurés

Ajouter les mots : 

notamment à l’atteinte de leur cinquantième anniversaire

Objet

De nombreuses sources l’ont démontré, le nombre de rupture de contrat à 59 et 60 ans est très important. L’Unédic l’a observé dans sa dernière étude. A 59 ans, l’étude démontre l’existence d’une nette hausse des ruptures conventionnelles à 59 ans. Au total, 17 % des ouvertures de droit au chômage à 56 ans le sont à la suite d’une rupture, ce chiffre grimpe à 25 % à 59 ans. Et ces séniors, bien plus souvent, au chômage de longue durée, vont pâtir de la réforme de l’assurance chômage qui ramène leur durée d’indemnisation à vingt-sept mois au lieu de trente-six pour les plus de 55 ans. Selon la DARES, 68% des seniors durablement exposés à un facteur de pénibilité sont en emploi contre 75% pour ceux qui n’ont pas été exposés. Et plus la pénibilité augmente et plus le taux d’emploi décroît : 66% des seniors qui ont deux facteurs de pénibilité sont en emploi et 62% s’ils ont trois facteurs. Ceci s’explique très simplement, c’est que dès qu’un métier est pénible, dès que le corps est usé, dès que la vulnérabilité de ce sénior est consumé, l’entreprise se sépare de lui au lieu de faire ce qui est écrit et dit dans la loi, c’est-à-dire proposer une requalification, offrir un poste moins pénible, offrir des droits à la formation. 

Selon la DARES, l’accès à la formation décroît avec l’âge. À caractéristiques d’emploi identiques, les plus de 50 ans se forment moins que leurs cadets, leur taux d’accès fléchissant nettement après 55 ans. 62% des salariés de moins de 50 ans ont accès à une formation, et à peine 40% pour les plus de 55 ans. Cela montre bien qu’il se passe quelque chose à 55 ans. Cela montre bien que l’information est importante, qu’elle devrait même être obligatoire et que c’est cette information qui pourra peut-être permettre de maintenir les séniors en emploi, notamment les plus précaires, les ouvriers et les employés dont on connait le très faible taux d’emploi à l’approche de la soixantaine.

Notre amendement est un amendement qui renforce celui de notre collègue et va dans le sens d’un renforcement du bon usage du C2P.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5487

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3912 rect. de Mme ASSASSI

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Amendement 3912, alinéa 5

Après les mots : 

 et les assurés

Ajouter les mots : 

notamment à l’atteinte de leur cinquantième anniversaire

Objet

De nombreuses sources l’ont démontré, le nombre de rupture de contrat à 59 et 60 ans est très important. L’Unédic l’a observé dans sa dernière étude. A 59 ans, l’étude démontre l’existence d’une nette hausse des ruptures conventionnelles à 59 ans. Au total, 17 % des ouvertures de droit au chômage à 56 ans le sont à la suite d’une rupture, ce chiffre grimpe à 25 % à 59 ans. Et ces séniors, bien plus souvent, au chômage de longue durée, vont pâtir de la réforme de l’assurance chômage qui ramène leur durée d’indemnisation à vingt-sept mois au lieu de trente-six pour les plus de 55 ans. Selon la DARES, 68% des seniors durablement exposés à un facteur de pénibilité sont en emploi contre 75% pour ceux qui n’ont pas été exposés. Et plus la pénibilité augmente et plus le taux d’emploi décroît : 66% des seniors qui ont deux facteurs de pénibilité sont en emploi et 62% s’ils ont trois facteurs. Ceci s’explique très simplement, c’est que dès qu’un métier est pénible, dès que le corps est usé, dès que la vulnérabilité de ce sénior est consumé, l’entreprise se sépare de lui au lieu de faire ce qui est écrit et dit dans la loi, c’est-à-dire proposer une requalification, offrir un poste moins pénible, offrir des droits à la formation. 

Selon la DARES, l’accès à la formation décroît avec l’âge. À caractéristiques d’emploi identiques, les plus de 50 ans se forment moins que leurs cadets, leur taux d’accès fléchissant nettement après 55 ans. 62% des salariés de moins de 50 ans ont accès à une formation, et à peine 40% pour les plus de 55 ans. Cela montre bien qu’il se passe quelque chose à 55 ans. Cela montre bien que l’information est importante, qu’elle devrait même être obligatoire et que c’est cette information qui pourra peut-être permettre de maintenir les séniors en emploi, notamment les plus précaires, les ouvriers et les employés dont on connait le très faible taux d’emploi à l’approche de la soixantaine.

Notre amendement est un amendement qui renforce celui de notre collègue et va dans le sens d’un renforcement du bon usage du C2P.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5588

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3912 rect. de Mme ASSASSI

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme PONCET MONGE


ARTICLE 9


Amendement 3912, alinéa 5
Après les mots :
et les assurés
Ajouter les mots :
notamment à l’atteinte de leur cinquantième anniversaire

Objet

De nombreuses sources l’ont démontré, le nombre de rupture de contrat à 59 et 60 ans est très important. L’Unédic l’a observé dans sa dernière étude. A 59 ans, l’étude démontre l’existence d’une nette hausse des ruptures conventionnelles à 59 ans. Au total, 17 % des ouvertures de droit au chômage à 56 ans le sont à la suite d’une rupture, ce chiffre grimpe à 25 % à 59 ans. Et ces séniors, bien plus souvent, au chômage de longue durée, vont pâtir de la réforme de l’assurance chômage qui ramène leur durée d’indemnisation à vingt-sept mois au lieu de trente-six pour les plus de 55 ans. Selon la DARES, 68% des seniors durablement exposés à un facteur de pénibilité sont en emploi contre 75% pour ceux qui n’ont pas été exposés. Et plus la pénibilité augmente et plus le taux d’emploi décroît : 66% des seniors qui ont deux facteurs de pénibilité sont en emploi et 62% s’ils ont trois facteurs. Ceci s’explique très simplement, c’est que dès qu’un métier est pénible, dès que le corps est usé, dès que la vulnérabilité de ce sénior est consumé, l’entreprise se sépare de lui au lieu de faire ce qui est écrit et dit dans la loi, c’est-à-dire proposer une requalification, offrir un poste moins pénible, offrir des droits à la formation.

Selon la DARES, l’accès à la formation décroît avec l’âge. À caractéristiques d’emploi identiques, les plus de 50 ans se forment moins que leurs cadets, leur taux d’accès fléchissant nettement après 55 ans. 62% des salariés de moins de 50 ans ont accès à une formation, et à peine 40% pour les plus de 55 ans. Cela montre bien qu’il se passe quelque chose à 55 ans. Cela montre bien que l’information est importante, qu’elle devrait même être obligatoire et que c’est cette information qui pourra peut-être permettre de maintenir les séniors en emploi, notamment les plus précaires, les ouvriers et les employés dont on connait le très faible taux d’emploi à l’approche de la soixantaine.

Notre amendement est un amendement qui renforce celui de notre collègue et va dans le sens d’un renforcement du bon usage du C2P.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2144

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Favorable
Adopté - vote unique

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 9


I. – Après l’alinéa 33

Insérer quatre alinéas ainsi rédigés :

…) Le II est ainsi modifié :

- la première phrase du premier alinéa est ainsi rédigée :

« La demande d’utilisation des points peut intervenir à tout moment de la carrière du titulaire du compte pour les utilisations mentionnées au 2° et au 4° du I et, que celui-ci soit salarié ou demandeur d’emploi, pour la prise en charge d’une ou plusieurs actions de formation professionnelle dans le cadre des utilisations mentionnées au 1° et au 4° du même I. » ;

- au second alinéa, les mots : « et 2°  » sont remplacés par les mots : « , 2° et 4°  » ;

II. – Alinéa 39

1° Remplacer le mot :

son

par le mot :

un

2° Compléter cet alinéa par les mots :

mentionné à l’article L. 4163-8-4

III. – Après l’alinéa 41

Insérer deux alinéas ainsi rédigés :

« Art. L. 4163-8-4. – Le salarié titulaire du compte professionnel de prévention peut demander à son employeur, dans des conditions précisées par décret, un congé de reconversion professionnelle afin de suivre tout ou partie des actions de formation incluses dans son projet de reconversion professionnelle.

« Art. L. 4163-8-5. – La durée du congé de reconversion professionnelle est assimilée à une période de travail effectif pour la détermination des droits que le salarié tient de son ancienneté. Le salarié conserve le bénéfice de tous les avantages qu’il avait acquis avant le début du congé. » ;

Objet

Le compte professionnel de prévention (C2P) permet aux salariés exposés à certains facteurs de risques professionnels d’acquérir des droits pour leur permettre de sortir de la pénibilité, soit en suivant une formation professionnelle, soit en accédant à du temps partiel sans perte de rémunération, soit en partant à la retraite de manière anticipée.

L’article 9 crée une nouvelle possibilité d’utilisation du C2P : la prise en charge d’un projet de reconversion professionnelle en vue d’accéder à un emploi non exposé aux facteurs de pénibilité.

Les points C2P mobilisés seraient alors convertis en euros afin, d’une part, de financer les coûts pédagogiques afférents à des actions de formation et, d’autre part, d’assurer la rémunération du salarié pendant un congé de reconversion professionnelle qu’il prendrait sur son temps de travail.

Il paraît cependant nécessaire d’encadrer plus précisément les modalités de ce projet de reconversion professionnelle afin d’apporter davantage de garanties aux utilisateurs.

Le présent amendement précise donc que le C2P pourra être mobilisé à tout moment de la carrière du salarié pour un projet de reconversion professionnelle et que la prise en charge dans ce cadre d’actions de formation sera ouverte aux demandeurs d’emploi.

En outre, cet amendement garantit les droits du salarié en congé de reconversion professionnelle en prévoyant l’assimilation de sa durée à une période de travail effectif pour la détermination des droits que l’intéressé tient de son ancienneté. Il renvoie à un décret les conditions dans lesquelles le salarié titulaire d’un C2P pourra demander ce congé à son employeur.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5491

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2144 de la commission des affaires sociales

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme PONCET MONGE


ARTICLE 9


Amendement 2144, Alinéa 5 

Compléter cet alinéa par la phrase suivante :

 L’employeur ne peut s’opposer à cette demande.

Objet

Ce sous-amendement renforce les dispositions établies par le rapporteur concernant le C2P sans aller à leur encontre. Le C2P est un dispositif extrêmement important permettant aux employés de faire valoir un départ en retraite anticipée, un passage en temps partiel ou la validation d’une formation. Néanmoins, les écarts entre les travailleurs effectivement déclarés par les employeurs et les travailleurs soumis à des facteurs de pénibilité laisse la Cour des Comptes dubitatives sur l’usage qui est faite du dispositif par certains employeurs. Selon la Cour : « L’ampleur des écarts, au moins en ce qui concerne certains critères, montre une appropriation très en-deçà des objectifs du dispositif par les employeurs concernés, malgré l’absence de coût pour ces derniers, rendant nécessaire la mise en œuvre d’actions de sensibilisation et de contrôle.». La Cour ajoute : « Le dispositif n’a plus aucune vertu de prévention ». Il n’est pas « à la hauteur des objectifs qui lui étaient assignés, dans un contexte où l’âge de départ en retraite recule par ailleurs ». Selon les chiffres de l’assurance vieillesse, seules 3 300 personnes ont ainsi pu partir plus tôt grâce au compte professionnel de prévention (C2P, incapacité permanente) en 2021, soit 0,5 % des départs. Quand par ailleurs plus de 100 000 nouveaux retraités continuent chaque année de liquider leur retraite au titre de l’invalidité et de l’inaptitude. 

Ce faible taux de départ est potentiellement imputable en partie à l’augmentation en parallèle des ruptures de contrat à l’approche de la soixantaine. Laissant ainsi à penser que certains employeurs préfèrent se séparer de leurs salariés plutôt que de leur permettre d’activer leur C2P. Il est important de lutter contre ce phénomène et c’est précisément ce que tente de faire l’amendement du rapporteur. Mais il semble important d’ajouter une protection supplémentaire aux bénéficiaires en empêchant les employeurs de refuser ou de contourner l’activation du C2P. 

Cet amendement tente de proposer une solution en actant que l’employeur ne peut opposer un refus à son salarié qui souhaiterait utiliser ces points. Mais il est aussi un amendement d’appel pour alerter sur le mauvais usage du C2P, le manque d’information, le manque de communication et le manque plus global d’activation des bénéfices du C2P. Cette préoccupation est, nous l’espérons, celle de toutes et tous.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5492

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2144 de la commission des affaires sociales

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Amendement 2144, Alinéa 5 

Compléter cet alinéa par la phrase suivante :

 L’employeur ne peut s’opposer à cette demande.

Objet

Ce sous-amendement renforce les dispositions établies par le rapporteur concernant le C2P sans aller à leur encontre. Le C2P est un dispositif extrêmement important permettant aux employés de faire valoir un départ en retraite anticipée, un passage en temps partiel ou la validation d’une formation. Néanmoins, les écarts entre les travailleurs effectivement déclarés par les employeurs et les travailleurs soumis à des facteurs de pénibilité laisse la Cour des Comptes dubitatives sur l’usage qui est faite du dispositif par certains employeurs. Selon la Cour : « L’ampleur des écarts, au moins en ce qui concerne certains critères, montre une appropriation très en-deçà des objectifs du dispositif par les employeurs concernés, malgré l’absence de coût pour ces derniers, rendant nécessaire la mise en œuvre d’actions de sensibilisation et de contrôle.». La Cour ajoute : « Le dispositif n’a plus aucune vertu de prévention ». Il n’est pas « à la hauteur des objectifs qui lui étaient assignés, dans un contexte où l’âge de départ en retraite recule par ailleurs ». Selon les chiffres de l’assurance vieillesse, seules 3 300 personnes ont ainsi pu partir plus tôt grâce au compte professionnel de prévention (C2P, incapacité permanente) en 2021, soit 0,5 % des départs. Quand par ailleurs plus de 100 000 nouveaux retraités continuent chaque année de liquider leur retraite au titre de l’invalidité et de l’inaptitude. 

Ce faible taux de départ est potentiellement imputable en partie à l’augmentation en parallèle des ruptures de contrat à l’approche de la soixantaine. Laissant ainsi à penser que certains employeurs préfèrent se séparer de leurs salariés plutôt que de leur permettre d’activer leur C2P. Il est important de lutter contre ce phénomène et c’est précisément ce que tente de faire l’amendement du rapporteur. Mais il semble important d’ajouter une protection supplémentaire aux bénéficiaires en empêchant les employeurs de refuser ou de contourner l’activation du C2P. 

Cet amendement tente de proposer une solution en actant que l’employeur ne peut opposer un refus à son salarié qui souhaiterait utiliser ces points. Mais il est aussi un amendement d’appel pour alerter sur le mauvais usage du C2P, le manque d’information, le manque de communication et le manque plus global d’activation des bénéfices du C2P. Cette préoccupation est, nous l’espérons, celle de toutes et tous.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2146

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Favorable
Adopté - vote unique

M. SAVARY

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 9


Alinéa 36

Remplacer cet alinéa par trois alinéas ainsi rédigés :

5° Après la sous-section 1 de la section 3 du chapitre III du titre VI du livre Ier, il est inséré une sous-section 1 bis ainsi rédigée :

« Sous-section 1 bis

« Utilisation du compte pour un projet de reconversion professionnelle

Objet

Coordination au sein du code du travail.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2147

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Favorable
Adopté - vote unique

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 9


Alinéa 40

Remplacer les mots :

l’organisme mentionné

par les mots :

l’institution mentionnée

Objet

Rédactionnel.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4685

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes Mélanie VOGEL et PONCET MONGE, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Alinéa 41

Compléter cet alinéa par les mots :

en Conseil d’État

Objet

Cet amendement vise à s'assurer que l'intention du législateur sera respectée. En raison de l'importance du décret mentionné ici, il est en effet indispensable que le Conseil d'Etat soit associé. Le Conseil d'Etat sera ainsi saisi du projet préparé par le Gouvernement et son avis devra être recueilli après une consultation des organismes dont l'avis est souhaité.

Cet amendement vise donc à ce que le décret ne soit pas un décret simple qui ne serait pas soumis à l'examen du Conseil d'Etat.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4683

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes Mélanie VOGEL et PONCET MONGE, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Alinéa 41

Compléter cet alinéa par les mots :

suite à des négociations avec les organisations syndicales et patronales représentatives au niveau national et interprofessionnel

Objet

La réforme prévoit confie à des commissions paritaires interprofessionnelles l’instruction et la prise en charge administrative et financière des projets de reconversion professionnelle, mais prévoit que le déroulé précis de cette procédure soit défini par décret.

Alors que le Gouvernement limite drastiquement le débat parlementaire et tente d’ignorer l’opposition franche des syndicats à son projet de réforme injuste, cet amendement vise à renforcer le dialogue social en permettant aux organisations syndicales de négocier les contours de cette procédure.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2148

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Favorable
Adopté - vote unique

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 9


Après l’alinéa 41

Insérer deux alinéas ainsi rédigés :

…° L’article L. 4163-9 est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« Avant le soixantième anniversaire du salarié, l’utilisation de points pour un passage à temps partiel est limité à un plafond fixé par décret. » ;

Objet

Afin de faciliter les transitions entre emploi et retraite des salariés âgés, le présent amendement vise à encourager l’utilisation du C2P pour passer à temps partiel à partir de l’âge de 60 ans en limitant cette possibilité d’utilisation avant le 60e anniversaire du salarié à un nombre maximum de points fixé par décret.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2149

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 9


Alinéas 43 à 49

Supprimer ces alinéas.

Objet

Le présent amendement vise à supprimer les dispositions de l’article 9 prévoyant la mise en place d’un suivi médical spécifique pour les salariés exposés à certains facteurs de risques professionnels.

En effet, ces dispositions n’ont pas leur place dans une loi de financement de la sécurité sociale, les services de prévention et de santé au travail étant directement financés par les employeurs.

Sur le fond, elles n’ont qu’une très faible valeur ajoutée par rapport au cadre existant. Le médecin du travail a déjà la possibilité d’adapter le suivi médical en fonction des risques et des expositions des salariés et il ne semble pas souhaitable de prévoir un suivi spécifique par catégorie d’expositions.

Enfin, l’empilement de dispositifs en matière de santé au travail, alors que les mesures de la loi du 2 août 2021 sont à peine entrées en application, semble avoir pour vocation de masquer la pénurie de professionnels de santé au travail et le recul du suivi médical des salariés.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3270

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Alinéas 44 à 48

Remplacer ces alinéas par quatre alinéas ainsi rédigés :

« Art. L. 4624-2-1-1. – L’ensemble des salariés disposent d’un suivi individuel spécifique défini comme suit :

« 1° Chaque salarié bénéficie d’examens médicaux périodiques, au moins tous les vingt-quatre mois, en vue de s’assurer du maintien de son aptitude au poste de travail occupé. Le premier de ces examens a lieu dans les deux mois qui suivent l’embauche ;

« 2° Les examens périodiques pratiqués dans le cadre de la surveillance médicale renforcée définie à l’article R. 4624-18 sont renouvelés au moins annuellement ;

« 3° Tout salarié bénéficie d’un examen médical à la demande de l’employeur ou à sa demande. Cette dernière demande ne peut motiver une sanction. »

Objet

Le présent amendement a pour but de restaurer la visite médicale obligatoire à l'embauche et périodique pour l'ensemble des salariés, dont ceux particulièrement exposés aux facteurs mentionnés au 1° du I de l’article L. 4161-1.

La loi dite El Khomri a rendu particulièrement ineffective la mission de prévention assurée par la médecine du travail et à la charge de l’employeur. En démantelant l’obligation de visite médicale et la vérification de l’aptitude, par un médecin du travail, puis la visite périodique tous les deux ans, cette réforme met concrètement en danger l’ensemble des travailleuses et travailleurs concernés.

Le raisonnement au terme duquel seule une liste limitative d’emplois spécifiques, exposés à un risque particulier, justifierait le maintien d’un examen obligatoire d’aptitude ne tient aucun compte des réalités sociales et médicales. Des millions d’employés se trouvent ainsi livrés à des risques médicaux et psycho-sociaux que seule la compétence médicale est à même de prévenir. Ces dispositions menacent donc la santé des travailleuses et travailleurs de ce pays en même temps qu’elles exposent inutilement les employeurs à méconnaitre les risques encourus par leurs employés.

Le rapport de la Cour des comptes sur les politiques de prévention en santé au travail dans les entreprises publié en décembre 2022 critique le manque d’ambition de la politique publique en matière de santé au travail et de prévention des risques professionnels, et l’absence de contraintes qui pèsent sur les entreprises.

Hors période Covid, les accidents du travail se maintiennent ainsi à un niveau très élevé ; ne pas mettre en œuvre tous les moyens disponibles pour enrayer ce phénomène massif est simplement inacceptable.

Cet amendement vise donc à rétablir l’obligation de visite médicale d’embauche et périodique telle qu’établie par les dispositions législatives en vigueur avant le 1er janvier 2017.






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N° 3917 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 9


Alinéas 44 à 47

Rédiger ainsi ces alinéas :

« Art. L. 4624-2-1-1. – L’ensemble des salariés disposent d’un suivi individuel spécifique défini comme suit :

« 1° Chaque salarié bénéficie d’examens médicaux périodiques, au moins tous les vingt-quatre mois, en vue de s’assurer du maintien de son aptitude au poste de travail occupé. Le premier de ces examens a lieu dans les deux mois qui suivent l’embauche ;

« 2° Les examens périodiques pratiqués dans le cadre de la surveillance médicale renforcée définie à l’article R. 4624-18 sont renouvelés au moins annuellement ;

« 3° Tout salarié bénéficie d’un examen médical à la demande de l’employeur ou à sa demande. Cette dernière demande ne peut motiver une sanction.

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent restaurer la visite médicale obligatoire à l'embauche et périodique pour l'ensemble des salariés, dont ceux particulièrement exposés aux facteurs mentionnés, soit les contraintes physiques marquées et l’exposition au bruit.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4954

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3917 rect. de Mme ASSASSI

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 9


Alinéa 4

Dans la première phrase, remplacer les mots : "vingt-quatre"

Par les mots "dix-huit"

Objet

L'amendement du CRCE vise à rétablir une visite médicale obligatoire à l'embauche et, ensuite, à une périodicité de 24 mois. Cette périodicité nous semble  trop longue notamment pour les salariés assumant des métiers  à la pénibilité avérée ou exposés à des tâches nocives pour leur santé. Les auteurs du sous-amendement préfèrent prévoir la périodicité de cette visite médicale tous les 18 mois.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4955

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3917 rect. de Mme ASSASSI

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 9


Alinéa 4

Dans la première phrase, remplacer les mots : "vingt-quatre"

Par le mot "douze"

Objet

L'amendement du CRCE vise à rétablir une visite médicale obligatoire à l'embauche et, ensuite, à une périodicité de 24 mois. Cette périodicité nous semble  trop longue notamment pour les salariés assumant des métiers  à la pénibilité avérée ou exposés à des tâches nocives pour leur santé. Les auteurs du sous-amendement préfèrent prévoir la périodicité de cette visite médicale tous les 12 mois.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4956

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3917 rect. de Mme ASSASSI

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 9


Alinéa 4

Dans la deuxième phrase, remplacer les mots : "les deux mois qui suivent"

Par les mots : " le mois qui suit"

Objet

L'amendement du CRCE vise à rétablir une visite médicale obligatoire dans les deux mois suivant l'embauche (puis  à une périodicité de 24 mois). Il nous semble préférable de prévoir la première visite dès le premier mois suivant l'embauche (et non dans les deux mois) afin de s'assurer que le nouvel embauché peut parfaitement assumer les taches qui lui seront confiées sans exposer sa santé ou risquer un accident. Cette exigence vaut plus particulièrement pour les salariés assumant des métiers  à la pénibilité avérée ou exposés à des tâches nocives pour la santé. 






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5719

10 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3917 rect. de Mme ASSASSI

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme PONCET MONGE


ARTICLE 9


Amendement 3917, alinéa 4, première phrase

Remplacer les mots :

vingt-quatre

Par le mot :

douze

Objet

L'amendement du CRCE vise à rétablir une visite médicale obligatoire à l'embauche et, ensuite, à une périodicité de 24 mois. Cette périodicité nous semble  trop longue notamment pour les salariés assumant des métiers  à la pénibilité avérée ou exposés à des tâches nocives pour leur santé. Les auteurs du sous-amendement préfèrent prévoir la périodicité de cette visite médicale tous les 12 mois.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5720

10 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3917 rect. de Mme ASSASSI

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Amendement 3917, alinéa 4, première phrase

Remplacer les mots :

vingt-quatre

Par le mot :

douze

Objet

L'amendement du CRCE vise à rétablir une visite médicale obligatoire à l'embauche et, ensuite, à une périodicité de 24 mois. Cette périodicité nous semble  trop longue notamment pour les salariés assumant des métiers  à la pénibilité avérée ou exposés à des tâches nocives pour leur santé. Les auteurs du sous-amendement préfèrent prévoir la périodicité de cette visite médicale tous les 12 mois.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3910 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 9


I. – Alinéa 44

Après le mot :

salariés

insérer les mots : 

et travailleurs non-salariés

II. – Alinéa 45

1° Première phrase

Après le mot :

salarié

insérer les mots :

ou de l’indépendant

2° Troisième phrase

Après le mot :

salarié

insérer les mots :

ou l’indépendant

3° Dernière phrase

Après le mot :

salarié

insérer le mot :

ou le travailleur non-salarié

III. – Alinéa 46

Après le mot :

salarié

insérer les mots :

et du travailleur non-salarié

IV. – Alinéa 47

1° Première phrase

Compléter cette phrase par les mots :

ou du travailleur non-salarié

2° Compléter cet alinéa par les mots :

ou du travailleur non-salarié

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent étendre le suivi individuel spécifique à l'ensemble des travailleurs et des travailleuses exposés aux facteurs de pénibilité.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2103 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme GUILLOTIN, MM. ARTANO, BILHAC et CABANEL, Mme Maryse CARRÈRE, M. CORBISEZ, Mme Nathalie DELATTRE, MM. FIALAIRE, GOLD, GUÉRINI et GUIOL, Mme PANTEL et MM. REQUIER et ROUX


ARTICLE 9


I. – Alinéa 44

Après le mot :

salariés

insérer les mots :

et travailleurs non-salariés

II. – Alinéas 45, première, troisième et dernière phrases et 47, première, deuxième et dernière phrases

Après le mot :

salarié

insérer les mots :

ou travailleur non-salarié

Objet

Cet amendement vise à intégrer les travailleurs indépendants, et notamment les professionnels de santé, dans les dispositifs de prévention et de réparation de l’usure professionnelle.

Plusieurs études font état d’un niveau de pénibilité physique et psychologique important et croissant dans les métiers du soin.

La loi du 2 août 2021 pour renforcer la prévention en santé au travail prévoit que les travailleurs indépendants relevant du livre VI du code de la sécurité sociale peuvent s'affilier au service de prévention et de santé au travail interentreprises de leur choix et qu’ils bénéficient d'une offre spécifique de services en matière de prévention des risques professionnels, de suivi individuel et de prévention de la désinsertion professionnelle.

Cependant, ces mesures sont trop peu ambitieuses par rapport à l’ampleur du besoin de suivi de ces professionnels. Elles font peser la charge de l’affiliation sur les professionnels, souvent déjà débordés de tâches administratives et ne connaissant pas l’existence de cette possibilité.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3799

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 9


Alinéa 44

Après le mot :

définie

insérer les mots :

, après consultation des organisations syndicales et patronales,

Objet

Les membres du groupe CRCE entendent, par cet amendement de repli, associer les organisations syndicales et patronales à la définition d'une durée de travail minimale ouvrant droit à un suivi individuel spécifique en matière de santé au travail.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 49 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Retiré

MM. CABANEL, ARTANO et BILHAC, Mme Maryse CARRÈRE, MM. CORBISEZ, FIALAIRE, GOLD et GUÉRINI, Mme GUILLOTIN, M. GUIOL, Mme PANTEL et MM. REQUIER et ROUX


ARTICLE 9


Alinéa 45, première phrase

Après la référence :

L. 4624-2-2

insérer les mots :

et tous les deux ans à partir du cinquante-cinquième anniversaire du salarié

Objet

Cet amendement vise à instaurer une visite médicale tous les deux ans à partir de 55 ans pour les salariés exposés aux facteurs mentionnés au 1° du I de l’article L. 4161-1 du code du travail.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3137

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Alinéa 45, deuxième et dernière phrases

Remplacer ces phrases par neuf phrases ainsi rédigées :

Cette visite vise un état des lieux sur les perspectives d’évolution professionnelle du salarié et ne porte pas sur l’évaluation de son travail. Elle permet le recours à des mesures visant à sécuriser le parcours professionnel du salarié notamment à travers des actions de formation, de validation des acquis de l’expérience et la réalisation d’un bilan de compétence mentionné à l’article L. 6313-10. Pour les salariés mentionnés à l’article L. 4624-2-1, cette visite comporte également des informations relatives au compte personnel de prévention mentionné à l’article L. 4163-4. Dans ce cadre, l’employeur prend en compte les propositions formulées par le professionnel de santé à l’issue de la visite prévue à l’article L. 4624-2-2. À l’issue de cette visite, un abondement du compte personnel de formation peut être envisagé. Le bilan de compétence est intégralement financé par l’employeur à la demande du salarié. Un compte rendu écrit est remis au salarié. Par dérogation à l’article L. 2211-1, le présent article est applicable aux employeurs de droit privé ainsi qu’à leurs salariés. Le professionnel de santé au travail peut également orienter le salarié, le cas échéant, vers la cellule pluridisciplinaire de prévention de la désinsertion professionnelle prévue à l’article L. 4622-8-1 et vers les dispositifs prévus aux 1° et 2° de l’article L. 323-3-1 du code de la sécurité sociale.

Objet

L’article 9 du présent projet de loi dispose que les branches professionnelles engagent des négociations permettant un recensement des métiers les plus exposés aux facteurs de risques retenus par le Code du Travail depuis les modifications de 2017, et que ces négociations servent de base au renforcement de la visite médicale de mi-carrière instaurée par la loi du 2 août 2021. Ces dispositions sont en effet bienvenues compte tenu de l’intensification très importante du travail depuis plus de 30 ans. Selon la DARES, l’exposition à au moins trois contraintes physiques concerne 34% des salariés en 2016 alors qu’ils n’étaient que 12,1% en 1984. Les ouvriers et les employés sont particulièrement concernés. En 1984, 21,2% des ouvriers non qualifiés étaient exposés à au moins 3 contraintes physiques, ils sont 63,4% en 2016 ; 23,5% des ouvriers qualifiés étaient exposés à au moins 3 contraintes physiques en 1984, ils sont 60,8% en 2016 ; 13,2% des employés en 1984 étaient exposés à au moins 3 contraintes physiques, ils sont 46,9% en 2016 …

Et pour n’en retenir qu’une parmi toutes ces contraintes, en 2019, 71,5% des salariés de tous les secteurs étaient soumis à des contraintes posturales et articulaires. 

Se maintenir dans l’emploi en fin de carrière se prépare en amont. Cette visite médicale doit donc être le lieu où il convient de proposer un ensemble de leviers à disposition des personnes pour réunir les conditions d’une deuxième partie de carrière en tenant compte de l’accroissement de la vulnérabilité en fonction de l’âge et des rythmes de travail.

L’objet de cet amendement est donc de systématiser le « rendez-vous professionnel des 45 ans » prévu par le présent projet de loi en créant un entretien professionnel renforcé devant avoir lieu entre le quarante-cinquième et quarante septième anniversaire du salarié, dont la réalisation d’un bilan de compétences tel que prévu dans le Code du travail afin de permettre aux travailleurs d'analyser leurs compétences professionnelles et personnelles ainsi que leurs aptitudes et leurs motivations en vue de la réalisation d’un projet professionnel et, le cas échéant, un projet de formation.

Cet amendement donne ainsi les moyens aux entreprises et aux travailleurs de préparer comme il se doit la seconde partie de leur carrière en prévoyant l’ensemble des adaptations nécessaires.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3368

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Alinéa 47, première et dernière phrase

Remplacer le mot :

médicale

par les mots :

d’inaptitude

Objet

Cet amendement vise à supprimer l’expression « visite médicale » et la remplacer par le terme « visite d’inaptitude ». La visite médicale organisée entre le soixantième et soixante-et-unième anniversaire du /de la salarié·e dans le cadre du contrôle médical dit « renforcé » n’en est en réalité pas une. Il s’agit d’un aiguillage qui permet d’identifier si les travailleurs et travailleuses ne sont plus aptes à travailler, le cas échéant cela permettrait l’octroi d’une pension pour inaptitude.

Selon la Dares à 61 ans, au porte de la retraite, seulement 42,3 % des séniors sont en emploi à temps plein. Les proportions diffèrent selon les catégories socioprofessionnelles, les ouvriers ne sont que 28 % en emploi à 61 ans. La Drees chiffre à 1,4 million le nombre d’individus âgés de 53 à 69 ans qui ne sont ni en emploi, ni en retraite, dont une majorité de femmes. Plus de 60 % sont des anciens ouvriers et employés et un tiers est en situation de pauvreté. Âgés de 58 ans en moyenne, 29 % déclarent un mauvais ou très mauvais état de santé, contre 11 % des personnes de cette tranche d’âge. Si les personnes se retrouvent dans cette situation, c’est que le travail et les conditions de travail ne cessent de s’intensifier.  Selon la DARES, l’exposition à au moins trois contraintes physiques concerne 34% des salariés en 2016 alors qu’ils n’étaient que 12,1% en 1984. Les ouvriers et les employés sont particulièrement concernés. En 1984, 21,2% des ouvriers non qualifiés étaient exposés à au moins 3 contraintes physiques, ils sont 63,4% en 2016 ; 23,5% des ouvriers qualifiés étaient exposés à au moins 3 contraintes physiques en 1984, ils sont 60,8% en 2016 ; 13,2% des employés en 1984 étaient exposés à au moins 3 contraintes physiques, ils sont 46,9% en 2016 … Et pour n’en retenir qu’une parmi toutes ces contraintes, en 2019, 71,5% des salariés de tous les secteurs étaient soumis à des contraintes posturales et articulaires. 

Si donc les dispositions de l’article 9 sont en effet les bienvenus compte tenu de l’intensification très importante du travail depuis plus de 30 ans. Il semble néanmoins que la mise en place de ce dispositif n’est pas à la hauteur de l’enjeu de la santé au travail et de la prévention pour les travailleurs et travailleuses. De plus, au regard de la crise qui perdure dans le recrutement des médecins du travail cette création de mesure ne semble pas réalisable.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3918 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 9


Alinéa 47

1° Première phrase

Remplacer les mots :

entre le soixantième et le soixante-et-unième anniversaire du salarié

par les mots :

tous les 24 mois à partir de la visite de mi-carrière citée au 1°

2° Deuxième phrase

Remplacer les mots :

la pension pour inaptitude prévue

par les mots :

dispositifs de reconversion ou d’un départ anticipé prévu

Objet

Les membres du groupe CRCE proposent, par cet amendement de repli, de transformer la visite médicale à 61 ans en visite périodique organisée tous les deux ans dès la mi-carrière pour les salariés touchés par les contraintes physiques marquées.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4957

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3918 rect. de Mme ASSASSI

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 9


Alinéa 6

remplacer le nombre : "24"

par le nombre : "18"

Objet

Les auteurs de l'amendement n°3918 souhaitent transformer la visite médicale des 61 ans en visite périodique, et, ce, à bon escient. Il est effectivement irresponsable que des salariés exposés, soit à la pénibilité de leurs tâches, soit au stress créé par des objectifs à atteindre ou des responsabilités lourdes, ne puissent pas bénéficier d'une visite médicale pour vérifier leur aptitude à assumer leurs fonctions, avant l'âge de 61 ans. Les auteurs du sous-amendement souscrivent donc à la proposition de l'amendement de prévoir une visite périodique à partir de la mi-carrière mais souhaitent qu'elle soit organisée plus fréquemment que tous les 24 mois, comme souhaité par les auteurs de l'amendement. Aussi ce sous-amendement prévoit  d'organiser cette visite médicale à une fréquence de 18 mois.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4958

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3918 rect. de Mme ASSASSI

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 9


Alinéa 6

remplacer le nombre : "24"

par le nombre : "12"

Objet

Les auteurs de l'amendement n°3918 souhaitent transformer la visite médicale des 61 ans en visite périodique, et, ce, à bon escient. Il est effectivement irresponsable que des salariés exposés, soit à la pénibilité de leurs tâches, soit au stress créé par des objectifs à atteindre ou des responsabilités lourdes, ne puissent pas bénéficier d'une visite médicale pour vérifier leur aptitude à assumer leurs fonctions, avant l'âge de 61 ans. Les auteurs du sous-amendement souscrivent donc à la proposition de l'amendement de prévoir une visite périodique à partir de la mi-carrière mais souhaitent qu'elle soit organisée plus fréquemment que tous les 24 mois, comme souhaité par les auteurs de l'amendement. Aussi ce sous-amendement prévoit  d'organiser cette visite médicale à une fréquence de 12 mois.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 434 rect.

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. BENARROCHE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Alinéa 47, première phrase

Remplacer les mots :

soixantième et soixante-et-unième

par les mots :

cinquante-sept et cinquante-huitième

Objet

Cet amendement vise à avancer l’âge de la visite médicale prévue initialement à 61 ans.

Au regard de l’état de santé des travailleurs et des travailleuses, il paraît urgent d’avancer l’âge de cette consultation à 58 ans. En effet, selon l’enquête Santé, Travail et vieillissement (ESTEV) dès 37 ans, 39% des hommes et 26% des femmes souffrent de douleurs lombaires. Le pourcentage est beaucoup plus important dans des professions plus pénibles comme les ouvriers du bâtiment et les personnels des hôpitaux



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 426

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. BENARROCHE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Alinéa 47, première phrase

Remplacer les mots :

soixantième et le soixante-et-unième

par les mots :

cinquante-huit et le cinquante-neuvième

Objet

Amendement de repli

Cet amendement vise à avancer l’âge de la visite médicale prévue initialement à 61 ans.

Au regard de l’état de santé des travailleurs et des travailleuses, il paraît urgent d’avancer l’âge de cette consultation à 59 ans. En effet, selon l’enquête Santé, Travail et vieillissement (ESTEV) dès 37 ans, 39% des hommes et 26% des femmes souffrent de douleurs lombaires. Le pourcentage est beaucoup plus important dans des professions plus pénibles comme les ouvriers du bâtiment et les personnels des hôpitaux






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5482

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2151 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mme PONCET MONGE


ARTICLE 9


Amendement 2151, alinéa 5

Après les mots :  

et au a

Ajouter les mots : 

, b, c, d

Objet

Nous saluons cet amendement qui vise inclure les agents chimiques dangereux, au même titre que les facteurs de risques ergonomiques, parmi les facteurs pris en compte lors de l’établissement par les branches professionnelles de listes de métiers et activités particulièrement exposés en vue de définir les orientations du fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle.

Nous souhaiterions le renforcer en incluant également les activités exercées en milieu hyperbare, les températures extrêmes, et le bruit, qui sont les trois autres critères d’un environnement physique agressif.

Sur le site du Ministère du travail, on peut lire : « Le travail en hyperbarie peut entraîner des accidents : barotraumatismes par surpression aux niveaux des poumons, des oreilles, des sinus ou des dents mal soignées, du tube digestif ; intoxications dues aux gaz inhalés ; accidents de décompression lié à des emboles gazeux ou créations de bulles d’air. Ces accidents sont susceptibles d’engendrer des effets plus ou moins graves sur la santé, de la simple gêne au niveau des oreilles au décès. Leur survenue répétée ou leur non-traitement peut concourir à la survenue des effets chroniques observés lors du travail en milieu hyperbare : surdité, vertiges, ostéonécrose des articulations pouvant se compliquer d’arthrose. (…) Les conditions de travail en milieu hostile (milieu aqueux, souterrain, respiration de gaz comprimés…) peuvent également entraîner des effets qui leur sont propres ».


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5483

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2151 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mme Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Amendement 2151, alinéa 5

Après les mots :  

et au a

Ajouter les mots : 

, b, c, d 

Objet

Nous saluons cet amendement qui vise inclure les agents chimiques dangereux, au même titre que les facteurs de risques ergonomiques, parmi les facteurs pris en compte lors de l’établissement par les branches professionnelles de listes de métiers et activités particulièrement exposés en vue de définir les orientations du fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle.

Nous souhaiterions le renforcer en incluant également les activités exercées en milieu hyperbare, les températures extrêmes, et le bruit, qui sont les trois autres critères d’un environnement physique agressif.

Sur le site du Ministère du travail, on peut lire : « Le travail en hyperbarie peut entraîner des accidents : barotraumatismes par surpression aux niveaux des poumons, des oreilles, des sinus ou des dents mal soignées, du tube digestif ; intoxications dues aux gaz inhalés ; accidents de décompression lié à des emboles gazeux ou créations de bulles d’air. Ces accidents sont susceptibles d’engendrer des effets plus ou moins graves sur la santé, de la simple gêne au niveau des oreilles au décès. Leur survenue répétée ou leur non-traitement peut concourir à la survenue des effets chroniques observés lors du travail en milieu hyperbare : surdité, vertiges, ostéonécrose des articulations pouvant se compliquer d’arthrose. (…) Les conditions de travail en milieu hostile (milieu aqueux, souterrain, respiration de gaz comprimés…) peuvent également entraîner des effets qui leur sont propres ».


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5484

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2151 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mme PONCET MONGE


ARTICLE 9


Amendement 2151, alinéa 5

Après les mots : 

et au a du 2°

Ajouter les mots : 

 ainsi que le 3°

Objet

Par ce sous-amendement, le Groupe Écologiste-Solidarité et Territoires souhaite renforcer cet amendement, en incluant également, en plus des agents chimiques dangereux, certains rythmes de travail, parmi les facteurs pris en compte pour le financement de projets de transition professionnelle par le Fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle (FIPU).

Le travail en équipes successives alternantes, communément appelé travail posté (comme par exemple les 3x8 ou 2x12) est également l’un des facteurs de risques professionnels liés à certains rythmes de travail. Il implique généralement des horaires la nuit.

Depuis 2015, le travail de nuit et le travail en équipes successives alternantes sont les deux facteurs ayant conduit au plus grand nombre d’ouvertures de compte professionnel de prévention selon la Cour des Comptes.

La pénibilité du travail répétitif peut avoir des conséquences très lourdes pour le salarié. Selon le code du travail, "le travail répétitif est caractérisé par la répétition d’un même geste, à une cadence contrainte, imposé ou non par le déplacement automatique d’une pièce ou par la rémunération à la pièce, avec un temps de cycle défini".

De plus, il est important de souligner que le travail répétitif se retrouve davantage dans les métiers occupés par des femmes. Les troubles musculo-squelettiques liés au travail sont dus à des gestes répétitifs et les femmes développent deux fois plus que les hommes ces troubles car davantage exposées à des métiers répétitifs.

De plus, selon le rapport de l’Anact (Agence nationale pour l’amélioration des conditions de travail) en 2019, le secteur de la santé, de l’action sociale, du nettoyage et du travail temporaire et le secteur des services, commerces et industries de l’alimentation totalisent 59,3% des maladies professionnelles pour les femmes.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5485

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2151 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mme Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Amendement 2151, alinéa 5

Après les mots : 

et au a du 2°

Ajouter les mots : 

ainsi que le 3°

Objet

Par ce sous-amendement, le Groupe Écologiste-Solidarité et Territoires souhaite renforcer cet amendement, en incluant également, en plus des agents chimiques dangereux, certains rythmes de travail, parmi les facteurs pris en compte pour le financement de projets de transition professionnelle par le Fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle (FIPU).

Le travail en équipes successives alternantes, communément appelé travail posté (comme par exemple les 3x8 ou 2x12) est également l’un des facteurs de risques professionnels liés à certains rythmes de travail. Il implique généralement des horaires la nuit.

Depuis 2015, le travail de nuit et le travail en équipes successives alternantes sont les deux facteurs ayant conduit au plus grand nombre d’ouvertures de compte professionnel de prévention selon la Cour des Comptes.

La pénibilité du travail répétitif peut avoir des conséquences très lourdes pour le salarié. Selon le code du travail, "le travail répétitif est caractérisé par la répétition d’un même geste, à une cadence contrainte, imposé ou non par le déplacement automatique d’une pièce ou par la rémunération à la pièce, avec un temps de cycle défini".

De plus, il est important de souligner que le travail répétitif se retrouve davantage dans les métiers occupés par des femmes. Les troubles musculo-squelettiques liés au travail sont dus à des gestes répétitifs et les femmes développent deux fois plus que les hommes ces troubles car davantage exposées à des métiers répétitifs.

De plus, selon le rapport de l’Anact (Agence nationale pour l’amélioration des conditions de travail) en 2019, le secteur de la santé, de l’action sociale, du nettoyage et du travail temporaire et le secteur des services, commerces et industries de l’alimentation totalisent 59,3% des maladies professionnelles pour les femmes.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2150

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Favorable
Adopté - vote unique

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 9


Alinéa 53

Remplacer les mots :

au titre

par les mots :

dans le cadre des interventions

Objet

Rédactionnel.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2425 rect.

6 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. SALMON, Mme Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et M. PARIGI


ARTICLE 9


Alinéa 53

Compléter cet alinéa par les mots :

en Conseil d'État

Objet

Cet amendement vise à s'assurer que l'intention du législateur sera respectée. 

Sur ce projet, après avoir refusé d’écouter les organisations syndicales, après avoir décidé d’utiliser la procédure d’examen contraint dans le temps qu’implique l’article 47-1 de la Constitution, le Gouvernement a à de multiples fois recours à des décrets.

En raison notamment de l'importance du décret mentionné ici, et des difficultés de prise en compte des points de vue des acteurs concernés, il semble indispensable aux yeux des auteur.es de cet amendement que le Conseil d’État soit associé à l’écriture de ce décret.

Par cet amendement, le Conseil d’État sera ainsi saisi du projet préparé par le Gouvernement et son avis devra être recueilli après une consultation des organismes dont l'avis est souhaité



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3521 rect. bis

6 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme PONCET MONGE


ARTICLE 9


Alinéa 53

Compléter cet alinéa par les mots :

en Conseil d'État

Objet

Cet amendement vise à s'assurer que l'intention du législateur sera respectée. 

Sur ce projet, après avoir refusé d’écouter les organisations syndicales, après avoir décidé d’utiliser la procédure d’examen contraint dans le temps qu’implique l’article 47-1 de la Constitution, le Gouvernement a à de multiples recours à des décrets.

En raison notamment de l'importance du décret mentionné ici, et des difficultés de prise en compte des points de vue des acteurs concernés, il semble indispensable aux yeux des auteur.es de cet amendement que le Conseil d'Etat soit associé à l’écriture de ce décret.

Par cet amendement, le Conseil d'Etat sera ainsi saisi du projet préparé par le Gouvernement et son avis devra être recueilli après une consultation des organismes dont l'avis est souhaité.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4687

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Non soutenu

Mmes Mélanie VOGEL et PONCET MONGE, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Alinéa 53

Compléter cet alinéa par les mots :

suite à des négociations avec les organisations syndicales et patronales représentatives au niveau national et interprofessionnel

Objet

Alors que le Gouvernement limite drastiquement la durée du débat parlementaire, empêchant ainsi une discussion approfondie de ce texte important et tente d’ignorer l’opposition franche des syndicats à son projet de réforme injuste, cet amendement vise à renforcer le dialogue social en permettant aux organisations syndicales de négocier les contours de cette procédure.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2152

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Favorable
Adopté - vote unique

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 9


Alinéa 55, première phrase

Remplacer les mots :

financé par le

par les mots :

dans le cadre des interventions du

Objet

Rédactionnel.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3523

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Alinéa 55, seconde phrase
Après le mot :
décret
insérer les mots :
en Conseil d’État

Objet

Cet amendement vise à s'assurer que l'intention du législateur sera respectée. 

Sur ce projet, après avoir refusé d’écouter les organisations syndicales, après avoir décidé d’utiliser la procédure d’examen contraint dans le temps qu’implique l’article 47-1 de la Constitution, le Gouvernement a à de multiples recours à des décrets.

En raison notamment de l'importance du décret mentionné ici, et des difficultés de prise en compte des points de vue des acteurs concernés, il semble indispensable aux yeux des auteur.es de cet amendement que le Conseil d'Etat soit associé à l’écriture de ce décret.

Par cet amendement, le Conseil d'Etat sera ainsi saisi du projet préparé par le Gouvernement et son avis devra être recueilli après une consultation des organismes dont l'avis est souhaité.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5478

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2153 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mme PONCET MONGE


ARTICLE 9


Amendement 2153, alinéa 5

Après les mots :  

et au a

Ajouter les mots : 

, b, c, d

Objet

Nous saluons cet amendement qui vise inclure les agents chimiques dangereux, au même titre que les facteurs de risques ergonomiques, parmi les facteurs pris en compte lors de l’établissement par les branches professionnelles de listes de métiers et activités particulièrement exposés en vue de définir les orientations du fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle.

Nous souhaiterions le renforcer en incluant également les activités exercées en milieu hyperbare, les températures extrêmes, et le bruit, qui sont les trois autres critères d’un environnement physique agressif.

Selon l’Institut national de recherche et de sécurité, « Un outil qui glisse des mains lorsqu’elles sont moites, la transpiration qui gêne la vue… : la chaleur peut ainsi entraîner des altérations fonctionnelles et générer des risques pour la sécurité. Lors de l’exposition à la chaleur, des effets psychologiques/cognitifs sont également observés comme l’augmentation du temps de réaction, des erreurs ou omissions. Il est toujours plus difficile d’effectuer une tâche demandant de la précision et plus risqué de réaliser une tâche demandant un effort physique important dans une ambiance très chaude ».

De manière générale, la pénibilité au travail est accrue en France. Selon l’agence européenne pour la sécurité et la santé au travail de l’UE, en 2022, sur les 12 derniers mois, 30% des salariés français ressentaient une fatigue générale, 24% ont eu des problèmes de maux de tête, 26% des problèmes musculaires/osseux/articulaires, et 25% sont passés par des états de stress/dépression/anxiété. Selon la Dares, l’exposition à un bruit intense connaît un accroissement pour l’ensemble des salariés, passant de 16,1% en 1984 à 18,3% en 2016.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5479

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2153 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mme Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Amendement 2153, alinéa 5

Après les mots :  

et au a

Ajouter les mots : 

, b, c, d 

Objet

Nous saluons cet amendement qui vise inclure les agents chimiques dangereux, au même titre que les facteurs de risques ergonomiques, parmi les facteurs pris en compte lors de l’établissement par les branches professionnelles de listes de métiers et activités particulièrement exposés en vue de définir les orientations du fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle.

Nous souhaiterions le renforcer en incluant également les activités exercées en milieu hyperbare, les températures extrêmes, et le bruit, qui sont les trois autres critères d’un environnement physique agressif.

Selon l’Institut national de recherche et de sécurité, « Un outil qui glisse des mains lorsqu’elles sont moites, la transpiration qui gêne la vue… : la chaleur peut ainsi entraîner des altérations fonctionnelles et générer des risques pour la sécurité. Lors de l’exposition à la chaleur, des effets psychologiques/cognitifs sont également observés comme l’augmentation du temps de réaction, des erreurs ou omissions. Il est toujours plus difficile d’effectuer une tâche demandant de la précision et plus risqué de réaliser une tâche demandant un effort physique important dans une ambiance très chaude ».

De manière générale, la pénibilité au travail est accrue en France. Selon l’agence européenne pour la sécurité et la santé au travail de l’UE, en 2022, sur les 12 derniers mois, 30% des salariés français ressentaient une fatigue générale, 24% ont eu des problèmes de maux de tête, 26% des problèmes musculaires/osseux/articulaires, et 25% sont passés par des états de stress/dépression/anxiété. Selon la Dares, l’exposition à un bruit intense connaît un accroissement pour l’ensemble des salariés, passant de 16,1% en 1984 à 18,3% en 2016.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5480

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2153 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mme PONCET MONGE


ARTICLE 9


Amendement 2153, alinéa 5

Après les mots : 

 et au a du 2°

Ajouter les mots : 

 ainsi que le 3°

Objet

Par ce sous-amendement, le groupe Écologiste - Solidarité et Territoires souhaite que la négociation périodique sur les métiers ou activités particulièrement exposés aux facteurs de pénibilité prévue par cet amendement soit étendue au 3° de l’Article 4161-1, à savoir certains rythmes de travail.

Le travail de nuit est un facteur de risque pour les travailleurs, détaille l’INRS. En effet, l’organisme est soumis à un rythme dit circadien, programmé par des horloges internes, et qui agissent sur de nombreuses activités physiologiques dont la prise alimentaire, les sécrétions hormonales et l’alternance de la veille et du sommeil.

Selon la DARES (étude « Le travail de nuit » publiée en août 2014), le travail de nuit a doublé en 20 ans. En 2012, il concernait 15,4 % des salariés (environ 20 % des hommes et 10 % des femmes) soit 3,5 millions de personnes, principalement dans le tertiaire.

Le travail posté et/ou de nuit est souvent associé à une diminution de la durée du sommeil ce qui aboutit à un déficit chronique de sommeil (réduction de 1 à 2 heures de sommeil par jour). Le sommeil en journée est de moins bonne qualité (plus court, morcelé, perturbé par des éléments extérieurs comme le bruit par exemple) et donc moins réparateur. Les troubles du sommeil se traduisent par une somnolence, et une diminution de la vigilance pouvant être à l’origine d’accidents survenant la nuit. Ces derniers sont plus importants lors du trajet « aller » avant le poste du matin, et lors du trajet « retour » après le poste de nuit. Les accidents du travail sont plus nombreux lors du travail de nuit.

Il est également important de notifier que 759 000 femmes travaillent la nuit, ce qui augmente la prévalence des cancers du sein.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5481

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2153 de la commission des affaires sociales

présenté par

C
G  
Tombé

Mme Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Amendement 2153, alinéa 5

Après les mots : 

 et au a du 2°

Ajouter les mots : 

 ainsi que le 3°

Objet

Par ce sous-amendement, le groupe Écologiste - Solidarité et Territoires souhaite que la négociation périodique sur les métiers ou activités particulièrement exposés aux facteurs de pénibilité prévue par cet amendement soit étendue au 3° de l’Article 4161-1, à savoir certains rythmes de travail.

Le travail de nuit est un facteur de risque pour les travailleurs, détaille l’INRS. En effet, l’organisme est soumis à un rythme dit circadien, programmé par des horloges internes, et qui agissent sur de nombreuses activités physiologiques dont la prise alimentaire, les sécrétions hormonales et l’alternance de la veille et du sommeil.

Selon la DARES (étude « Le travail de nuit » publiée en août 2014), le travail de nuit a doublé en 20 ans. En 2012, il concernait 15,4 % des salariés (environ 20 % des hommes et 10 % des femmes) soit 3,5 millions de personnes, principalement dans le tertiaire.

Le travail posté et/ou de nuit est souvent associé à une diminution de la durée du sommeil ce qui aboutit à un déficit chronique de sommeil (réduction de 1 à 2 heures de sommeil par jour). Le sommeil en journée est de moins bonne qualité (plus court, morcelé, perturbé par des éléments extérieurs comme le bruit par exemple) et donc moins réparateur. Les troubles du sommeil se traduisent par une somnolence, et une diminution de la vigilance pouvant être à l’origine d’accidents survenant la nuit. Ces derniers sont plus importants lors du trajet « aller » avant le poste du matin, et lors du trajet « retour » après le poste de nuit. Les accidents du travail sont plus nombreux lors du travail de nuit.

Il est également important de notifier que 759 000 femmes travaillent la nuit, ce qui augmente la prévalence des cancers du sein.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4691

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes Mélanie VOGEL et PONCET MONGE, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Alinéa 57, première phrase

Après la référence :

L. 4161-1

insérer les mots : 

et aux conséquences du changement climatique

Objet

Cet amendement vise à ce que les branches professionnelles engagent, dans les deux mois suivant la promulgation de la présente loi, une négociation en vue d’aboutir à l’établissement des listes de métiers ou d’activités particulièrement exposés aux conséquences des changements climatiques.

En effet, les conséquences des changements climatiques sur le monde du travail sont irréfutables et vont malheureusement encore gagner en ampleur dans le futur. Dans un rapport exhaustif de 2018, l’Agence nationale de la sécurité sociale (Anses) a identifié trois principaux facteurs augmentant les risques professionnels : la hausse des températures, l’évolution de l’environnement biologique et chimique, la modification de la fréquence et de l’intensité de certains aléas climatiques.

Parmi ces aléas climatiques figurent notamment les canicules, phénomènes observés avec une fréquence et une intensité croissante en France. Alors que la Confédération européenne des syndicats rappelle que la température optimale au travail se situe entre 16 et 24 °C en fonction des activités, les phénomènes de température extrêmes renforcent la pénibilité du travail et contribuent à l’usure professionnelle.

De plus, les conséquences du changement climatique ne sont pas seulement dangereuses pour les travailleurs et travailleuses, mais entraînent également des conséquences néfastes pour l’ensemble de l’activité économique. Une étude scientifique publiée dans le journal scientifique “The Lancet” en 2017, année avec un été particulièrement chaud, a démontré que la chaleur a fait perdre 153 milliards d’heures de travail à travers le monde. Cette perte était 60 % plus élevée que ce qui a été observé pour l’année 2000, ce qui indique que la productivité au travail souffre des impacts des changements climatiques.

À ce jour, le Code du travail ne tient pas compte des impacts du changement climatique sur les activités professionnelles. Cet amendement vise à y intégrer un des impacts avec l’objectif d’en améliorer la prise en compte et de réduire la pénibilité au travail. Ceci est d’autant plus important pour contrebalancer la mesure prévue à l’article 7 par le Gouvernement de reporter une nouvelle fois l’âge légal de départ à la retraite, ce qui expose les Françaises et Français mécanisme encore plus aux risques professionnels et à l’usure au travail – y compris ceux causés par les changements climatiques.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4682

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes Mélanie VOGEL et PONCET MONGE, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Alinéa 57, première phrase

Compléter cette phrase par les mots : 

 dans un délai maximum d’une année

Objet

Cet amendement vise à sécuriser le bon déroulé du processus de négociation pour l'établissement des listes des professions et métiers particulièrement exposés à certains risques professionnels prévu par la réforme en inscrivant une date butoir pour l’aboutissement de ces négociations.

S’il est précisé dans le texte que les négociations doivent être engagées dans un délai de deux mois à compter de la promulgation, ces dernières doivent aboutir dans un délai d’un an.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3314

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Après l'alinéa 61

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

3° Des actions de sensibilisation et de prévention des pathologies et affections psychiques en lien avec les syndromes d’épuisement professionnel.

Objet

La souffrance au travail est un problème réel dont l’importance est de plus en plus reconnue. L’épuisement professionnel, communément appelé « burn-out » peut concourir à de véritables souffrances psychologiques allant de la dépression au suicide. 

Les chiffres de cette épidémie silencieuse sont alarmants : l'institut de veille sanitaire évaluait en 2015 à près de 500 000 le nombre de salariés en souffrance psychologique liée au travail dont 7% environ en "burn-out" ou épuisement professionnel.

Les troubles psychologiques et l’épuisement professionnel sont à l’origine de 20% des arrêts (11% en 2016) dépassant les troubles musculo-squelettiques qui représentent 16% des arrêts en 2022.

Ce sont environ 3,2 millions d’actifs (soit près de 12 % de la population active) qui risquent un épuisement professionnel au travail. Les cas d’épuisement professionnel touchent les salarié·es dans toutes sortes d’activités, qu’ils ou elles soient employé·es, cadres, artisans ou agriculteur·trices.

Les risques psycho-sociaux sont analysés selon six dimensions : les exigences du travail, les exigences émotionnelles, l’autonomie et les marges de manœuvre, les rapports sociaux et relations de travail, les conflits de valeur, l’insécurité socio-économique.

Ce sont 16 % des salariés qui sont confrontés à de fortes exigences émotionnelles liées au contact avec le public, 15 % qui sont exposés à un travail exigeant et intensif, 13 % qui déclarent à la fois un manque de reconnaissance professionnelle et des relations de travail difficiles, et 9 % qui peuvent être qualifiés de surexposés car ils cumulent plusieurs facteurs de risque selon la Dares en 2016.

L’épuisement professionnel s’accompagne souvent de sorties ou des parenthèses dans la vie active des personnes touchées.

Selon l’agence européenne pour la sécurité et la santé au travail de l’UE, le coût du stress au travail est évalué entre 1,9 et 3 milliards en France par an.

Pour le groupe écologiste, il est important de reconnaître ces situations d’épuisement professionnel et le fonds de prévention doit pouvoir concourir à prévenir et résorber ces situations.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5413

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3314 de Mme PONCET MONGE

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. KERROUCHE, JACQUIN, CHANTREL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 9


Sous-amendement à l'amendement n°3314

Alinéa 3

Après les mots :

"affections psychiques"

Insérer les mots :

"dont les affections provoquées par les rayonnements ionisants"

Objet

Les risques pour la santé des rayonnements ionisants sont nombreux et importants.

Ils sont susceptibles de provoquer notamment des anémie, leucopénie, thrombopénie ou syndrome hémorragique consécutifs à une irradiation aiguë ou chronique.

Les principaux travaux concernés sont ceux exposant à l’action des rayons X ou des substances radioactives naturelles ou artificielles, ou à toute autre source d’émission corpusculaire, notamment :
– extraction et traitement des minerais radioactifs ; préparation des substances radioactives ;
– préparation de produits chimiques et pharmaceutiques radioactifs ;
– préparation et application de produits luminescents radifères ;
– recherches ou mesures sur les substances radioactives et les rayons X dans les laboratoires;
– fabrication d’appareils pour radiothérapie et d’appareils à rayons X ;
– travaux exposant les travailleurs au rayonnement dans les hôpitaux, les sanatoriums, les cliniques, les dispensaires, les cabinets médicaux, les cabinets dentaires et radiologiques, dans les maisons de santé et les centres anticancéreux ;
– travaux dans toutes les industries ou commerces utilisant les rayons X, les substances radioactives, les substances ou dispositifs émettant les rayonnements indiqués ci-dessus.

Nous pensons en premier lieu au secteur nucléaire ou médical  en ter me de secteurs professionnels concernés mais tous les secteurs industriels (contrôle par radiographie de soudure, jauges et traceurs, stérilisation par irradiation, conservation des aliments, chimie sous rayonnement, détection de masses métalliques dans les aéroports…) le sont.

Toutes les applications impliquant des matières contenant des substances radioactives d’origine naturelle (traitement de terres rares, production d’engrais phosphatés, production pétrolière, industrie des céramiques réfractaires…) sont aussi concernées par la prévention des risques liés aux rayonnements ionisants.

Or l'information et la sensibilisation ne sont pas développées dans tous ces secteurs concernés : il est essentiel que le fonds de prévention de l'usure développent des actions de sensibilisation et de prévention sur les affections provoquées par les rayonnements ionisants.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5422

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3314 de Mme PONCET MONGE

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. KERROUCHE, JACQUIN, CHANTREL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 9


Alinéa 3

Après les mots :

"affections psychiques"

Insérer les mots :

"dont les affections provoquées par les maladies  chroniques respiratoires comme la bronchopneumopathie chronique obstructive,

Objet

Les maladies respiratoires chroniques et systémiques qui affectent les bronches et les poumons sont des maladies qui augmentent régulièrement depuis plusieurs décennies dans les pays développés.

Elles sont aujourd’hui la troisième cause de décès dans le monde. En 2019, ce ne sont pas moins de 3,29 millions de décès qui ont été causés par ce type de maladies.

Les scientifiques pensent que la bronchopneumopathie chronique obstructive serait l’une des causes possibles de la « mort subite de l’adulte ».

En cause, après le tabac, la pollution de l’air liée à nos modes de production fortement émetteurs de gaz à effet de serre et de particules toxiques qui provoque ces maladies respiratoires.

Cette pollution de l’air provoquée par la combustion d’hydrocarbures, l’utilisation intensive de pesticides, de méthane est un facteur fortement aggravant causant l’accroissement de ce type de maladies dans nos sociétés.

Par ailleurs, on estime qu’environ 15 à 20% de ces maladies peuvent être attribuées aux expositions professionnelles à diverses forme de pollution de l’air.

Ce type de maladies respiratoires, qui peuvent donc être aussi d’origine professionnelle, sont graves et raccourcissent l’espérance de vie des personnes qui en sont atteintes.

Les symptômes de ces maladies qui obstruent progressivement les voies respiratoires sont par ailleurs particulièrement anxiogènes.

Or l'information et la sensibilisation des salariés concernés ne sont pas forcément développées. Il est donc essentiel que le fonds de prévention de l'usure développe des actions de sensibilisation et de prévention sur ce type d’affections respiratoires.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5423

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3314 de Mme PONCET MONGE

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. KERROUCHE, JACQUIN, CHANTREL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 9


Sous-amendement à l'amendement n°3314

Alinéa 3

Après les mots :

"affections psychiques"

Insérer les mots :

"dont les cancers de la prostate provoqués par les pesticides"

Objet

Est il encore besoin dans cet hémicycle de convaincre de la dangerosité des pesticides. Le groupe socialiste, écologiste et républicain se mobilise et alerte, notamment grâce à l'engagement constant de Nicole Bonnefoy, sur le danger de ces substances pour la santé et l'environnement.

Dès 2012, à la suite d'alertes et d'études sur l'état de santé d'agriculteurs malades des pesticides, notre groupe a usé de son droit de tirage pour demander la création d'une mission commune d'information sur les impacts des pesticides sur la santé et l'environnement.

La mission a limité son champ d'investigation à l'impact des pesticides sur la santé de leurs fabricants et de leurs utilisateurs (agriculteurs, épandeurs professionnels, personnels des sites de stockage, paysagistes, collectivités territoriales, particuliers...), des familles de ces personnes et des riverains de ces activités.

Tout le rapport a été abordé sous l'angle de la santé, qu'il s'agisse des maladies causées par les pesticides, du cadre juridique de l'autorisation de mise sur le marché de ces produits, de leur évaluation par les agences, de leur commercialisation et de leur utilisation au quotidien par les professionnels comme par les particuliers.

Après avoir cerné les limites des modèles comme des pratiques industrielles, commerciales et agricoles actuels, la mission a constaté que les dangers et les risques présentés par les pesticides étaient sous-évalués et que la protection contre les pesticides n'était pas proportionnée aux dommages éventuels, d'où la centaine de recommandations, adoptées à l'unanimité par la mission, concernant aussi bien les industriels, les agences d'évaluation, les coopératives et le négoce, les agriculteurs, les professionnels de la santé, les collectivités territoriales que les particuliers et proposant des solutions pour améliorer notamment la procédure d'autorisation de mise sur le marché des pesticides, la vigilance sanitaire, ainsi que la recherche, la formation et l'information relatives à ces produits et à leurs impacts sur la santé.

C'est dans cette dynamique que notre collègue Nicolas Bonnefoy avait déposé en 2016 une proposition de loi portant création d'un fonds d'indemnisation des victimes des produits phytopharmaceutiques, inscrite dans notre niche du 1er février 2018, et adoptée par le Sénat.
Dans le cadre de cette réforme des retraites et du fonds de prévention créé par cet article 9, il nous parait tout à fait pertinent d'ajouter cette composante sur les cancers de la prostate provoqués par les pesticides en ce qu'il serait complémentaire du fonds d'indemnisation que nous appelons de nos voeux.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5424

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3314 de Mme PONCET MONGE

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. KERROUCHE, JACQUIN, CHANTREL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 9


Sous-amendement à l'amendement n°3314

Alinéa 3

Après les mots :

"affections psychiques"

Insérer les mots :

"dont les vibrations et chocs transmis au système main/bras"

Objet

Les conditions de travail et la pénibilité du travail que le Président Macron voudrait rayer du vocabulaire sont un des angles morts de votre réforme. Elles auraient dû être au fondement d'une loi travail avant toute réforme des retraites, nous ne le répèterons jamais assez.

D'ailleurs le Président Macron refuse tellement de reconnaître la pénibilité du travail qu'une des ses premières mesures de son premier quinquennat a été de supprimer des critères de pénibilité dont les vibrations.

Pourtant, les maladies provoquées par les vibrations sont invalidantes.

 Ces maladies et chocs transmis au système main/bras sont essentiellement des affections ostéo-articulaires confirmées par des examens radiologiques :

– arthrose du coude comportant des signes radiologiques d’ostéophytoses

– ostéonécrose du semi-lunaire (maladie de Kienböck)

- ostéonécrose du scaphoïde carpien (maladie de Kölher)

- Troubles angioneurotiques de la main, prédominant à l’index et au médius, pouvant s’accompagner de crampes de la main et de troubles prolongés de la sensibilité et confirmés par des épreuves fonctionnelles objectivant le phénomène de Raynaud.

Travaux exposant habituellement aux vibrations transmises par :
a) Les machines-outils tenues à la main, notamment :
– les machines percutantes, telles que les marteaux piqueurs, les burineurs, les bouchardeuses et les fouloirs ;
– les machines rotopercutantes, telles que les marteaux perforateurs, les perceuses à percussion et les clés à choc ;
– les machines rotatives, telles que les polisseuses, les meuleuses, les scies à chaîne, les tronçonneuses et les débroussailleuses ;
– les machines alternatives, telles que les ponceuses et les scies sauteuses.
b) Les outils tenus à la main associés à certaines machines précitées, notamment dans des travaux de burinage ;
c) Les objets tenus à la main en cours de façonnage, notamment dans les travaux de meulage et de polissage et les travaux sur machine à rétreindre.

Ce sont donc les métiers du bâtiment qui sont prioritairement concernés.

Il est essentiel que le fonds de prévention de l'usure ait des actions prioritaires de sensibilisation et de prévention sur les maladies professionnelles induites par les vibrations et ce d'autant pus que ce critère de pénibilité n'est pas reconnu.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5425

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3314 de Mme PONCET MONGE

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 9


Sous-amendement à l'amendement n°3314

Alinéa 3

Après les mots :

"affections psychiques"

Insérer les mots :

"dont les affections provoquées par les vibrations et chocs transmis par certaines machines-outils, outils et objets et par les chocs itératifs du talon de la main sur des éléments fixes"

Objet

Arthrose du coude comportant des signes radiologiques d'ostéophytose

Maladie de Kienböck

Maladie de Kölher

Troubles angioneurotiques de la main, prédominant à l'index et au médius, pouvant s'accompagner de crampes de la main et de troubles prolongés de la sensibilité et confirmés par des épreuves fonctionnelles

Syndrome du marteau hypothénar

Voici cher-es collègues une partie des symptômes d'épuisement physique auxquels sont exposés des milliers de travailleurs qui seront victimes de votre réforme. Certains ont des durées de prise en charge allant jusqu'à 5 ans, preuve de la gravité des situations.

Face à cela qu'avez vous fait ces dernières années ? supprimer des critères de pénibilité introduits dans la réforme Touraine que vous louez tant aujourd'hui ! dont celui sur les vibrations. C'est incompréhensible, injuste et grave.

Peut-on laisser, sans reconnaissance, sans compensation, tant de mains et de bras brisés de travailleurs face à la vieillesse après une vie de travail difficile et souvent en extérieur.

Pour toutes ces raisons, et d'autres, les syndicats réclament le rétablissement de tous les critères depuis leur suppression. Le gouvernement semble enfin avoir compris son erreur mais nous attendons toujours un vrai mea culpa et surtout la correction de cette erreur.

Nous avons la possibilité de le faire aujourd'hui. Saisissons là. Pour les travailleurs !






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5426

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3314 de Mme PONCET MONGE

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. KERROUCHE, JACQUIN, CHANTREL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 9


Sous-amendement à l'amendement n°3314

Alinéa 3

Après les mots :

"affections psychiques"

Insérer les mots :

"dont les brucelloses professionnelles"

Objet

Les risques pour la santé des brucelloses professionnelles sont nombreux et importants.

La brucellose est reconnue comme maladie professionnelles en France et constitue une maladie d’expression très polymorphe, appelée même maladie aux cents visages, ce qui ne permet pas toujours de la diagnostiquer suffisamment à temps. Elle est de longue durée et évoluant par poussées successives. Elle est susceptible de provoquer, des septicémies en  premier lieu,  Très insidieuse, cette maladie peut également provoquer des maladies secondaires à foyers multiples ostéoarticulaires (75 %), neurologiques, hépatiques, génitaux ou cardiaques (mortels dans 80 % des cas) et provoquer des pneumopathies, des arthrites, des hépatites, phlébites, diverses méningites et dépressions et la liste est encore longue.

Sont concernés les agriculteurs, les éleveurs, les bergers, le personnel des abattoirs qui sont en contact permanent avec les caprins, ovins, bovins, porcins et avec leurs produits ou déjections. Mais les brucelloses professionnelles concernent également les salariés travaillant dans les laboratoires servant au diagnostic de la Brucellose, ainsi que dans les laboratoires vétérinaires. Elle est de déclaration obligatoire.

Malgré tout, l'information et la sensibilisation ne sont pas suffisamment développées. Plusieurs cas sont encore signalés par an. Il est essentiel que le fonds de prévention de l'usure développent des actions de sensibilisation et de prévention sur les affections provoquées par les brucelloses professionnelles dont les séquelles s'avèrent souvent multiples, y compris psychologiques. les risques d'exposition restent ainsi très important d'autant que le vaccin pour l'homme n'est plus utilisé depuis 1992 et que la vaccination des animaux est interdite.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5427

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3314 de Mme PONCET MONGE

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. KERROUCHE, JACQUIN, CHANTREL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 9


Sous-amendement à l'amendement n°3314

Alinéa 3

Après les mots :

"affections psychiques"

Insérer les mots :

"dont l'ankylostomose professionnelle "

Objet

Pour celles et ceux qui l’ignorent, l'ankylostome est un ver parasite dont la manifestation la plus caractéristique est l’anémie.

La présence d’ankylostome a principalement affecté les mineurs lorsque l’exploitation des mines s’est développée avec l’industrialisation. Elle atteint également les travailleurs agricoles, en particulier ceux qui exercent leur profession dans les marais ou dans les champignonnières à des température de plus de 20 degrés.

En raison du réchauffement climatique que nous observons, ce risque ne doit pas être minoré. La prévalence de l’infection risque de se maintenir non seulement pour la populations des travailleurs concernés mais également pour celles et ceux que ces travailleurs sont amenés à côtoyer dans leur environnement professionnel.

L’amendement n° 3314 de Mme Poncet Monge a raison d’insister sur les situations d’épuisement professionnel que le fond de prévention doit pouvoir concourir à prévenir.

Le problème est que la plupart des individus infectés par l'ankylostome qui a été reconnue maladie professionnel sont asymptomatiques ce qui ne permet pas de le déceler alors qu’il provoque une anémie qui participe aux situations d’épuisement professionnel sur lequel l’amendement entend mettre l’accent.

Il nous a paru utile de compléter cet amendement sur ce point d’autant que, dans la majorité des secteurs endémiques, les femmes adultes sont les plus sévèrement affectées par l'anémie, essentiellement parce qu'elles ont des besoins physiologiques bien plus élevés en fer (menstruations, grossesses…).






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N° 5428

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SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3314 de Mme PONCET MONGE

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. KERROUCHE, JACQUIN, CHANTREL

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ARTICLE 9


Sous-amendement à l'amendement n°3314

Alinéa 3

Après les mots :

"affections psychiques"

Insérer les mots :

"dont les affections causées par les ciments"

Objet

Les ciments représentent des matériaux qui ne sont pas sans risque pour les professionnels du secteur de la construction, des travaux publics et de l’industrie qui les manipulent afin de fabriquer ou mettre en œuvre des bétons, colles et mortiers. Bien que les chiffres soient en nette diminution, il s’agit toujours d'une des principales causes d’eczéma de contact pour les yeux et la peau.

Les professions les plus exposées sont celles ayant à appliquer d’une façon manuelle ces matériaux comme les carreleurs, les maçons, les chapistes…

Les risques liés aux ciments peuvent provoquer des maladies dont certaines se révèlent invalidantes pour les travailleurs si l’on ajoute les facteurs environnementaux (froid, sueur, manipulation de parpaings, lavage avec des produits agressifs…) qui aggravent les symptômes.

Les pathologies provoquées par les ciments peuvent être reconnue comme maladie professionnelle au titre du tableau 8 des maladies professionnelles du régime général de la sécurité sociale ou au titre du tableau 14 du régime agricole de la sécurité sociale.

En conséquence, il nous paraît important de compléter l’amendement de nos collègues compte tenu du nombre important de risques causés par les ciments.

Cet ajout permettra d’inscrire la prévention des risques liés à ces matériaux pouvant conduire à des syndrome d’épuisement professionnel parmi les actions de sensibilisation permises par le fonds de prévention.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5429

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3314 de Mme PONCET MONGE

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. KERROUCHE, JACQUIN, CHANTREL

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ARTICLE 9


Alinéa 3

Après les mots :

"affections psychiques"

Insérer les mots :

"dont les affections professionnelles dues aux amibes

Objet

Les risques pour la santé de la contamination par des amibes sont nombreux et très conséquents.

La contamination par des amibes ne s'effectue pas seulement, comme on pourrait le croire, lors de voyages dans des pays tropicaux envahis par les eaux stagnantes. Je rappelle qu'une amibe  est un parasite circulant librement dans l’environnement et en particulier dans les eaux souillées chaudes d'une température entre 25° et 40°. Une partie d’entre-elles prolifère dans le tube digestif de l’Homme. Si la majorité des amibes sont inoffensives, certaines sont à l’origine de maladies parfois graves.

Certaines professions sont exposées à la contamination par les amibes. Les eaux chaudes rejetées en aval des installations industrielles, notamment des centrales électriques,  peuvent être porteuses d'amibes. Il suffit dès lors de les inhaler pour être contaminé.  Quand on sait que les personnels des industries électriques et gazières vont déjà perdre le bénéfice de leur régime spécial, par cette réforme, il convient d'être d'autant plus vigilant sur les risques de pathologie auxquels ils sont exposés.

Certaines amibes sont inoffensives mais d'autres extrêmement pathogènes  et peuvent provoquer les maladies suivantes : amibiase, méningite, encéphalite, kératite, pneumo-bronchite, etc., ces pathologies peuvent être causées par des amibes le plus souvent présentes dans des eaux  souillées. Ces pathologies même si elles ne sont pas extrêmement fréquentes existent et  sont souvent graves . Les plus connus sont l’amibiase intestinale, la méningo-encéphalite par Naegleria Fowleri et la kératite à Acanthamoeba.

Je précise un peu les conséquences entrainées par ces maladies : L’amibiase est l’une des trois principales maladies parasitaires responsables de morbidité dans le monde (après le paludisme et la bilharziose). La contamination à la méningo-encéphalite à Naegleria Fowleriest s’effectue par simple inhalation d’eaux contaminées, notamment par les eaux chaudes rejetées en aval d’installations industrielles  - au premier chef desquelles les centrales électriques- qui sont particulièrement à risque ( lors d'une intervention sur le site d'une centrale par exemple). L’amibe pénètre à travers la muqueuse nasale pour atteindre le cerveau puis s’y développe. La maladie provoquée par Naegleria Fowleri se traduit par une inflammation du cerveau (méningo-encéphalite). Les symptômes les plus courants sont : des maux de tête ;des malaises ;des convulsions ;une somnolence ;parfois une agitation anormale. La maladie peut être mortelle en l’absence de diagnostic.

Les diagnostics de ces pathologie sont délicates à effectuer. Pour l'amibiase intestinale, après examen clinique, il faut procéder à un examen microscopique des selles et un dosage immunoenzymatique dans les selles ; à une recherche de l'ADN du parasite dans les selles et/ou les tests sérologiques et en cas d'infection extra-intestinale, à une IRM  et à des tests sérologiques ou à l'essai thérapeutique d'un amébicide.

Pour diagnostiquer la méningo-encéphalite à Naegleria Fowleriest, outre l'examen clinique, il faut procéder à  des examens d’imagerie, comme une tomodensitométrie (TDM) et une imagerie par résonance magnétique (IRM) qui sont réalisés pour exclure d’autres causes éventuelles de l’infection cérébrale, mais ils ne peuvent pas confirmer que les amibes sont responsables ; à une ponction lombaire et à l' analyse du liquide céphalorachidien permettent de confirmer le diagnostic ;D’autres techniques peuvent être effectuées dans des laboratoires spécialisés et sont plus susceptibles de détecter les amibes. C'est le cas par exemple de la biopsie de tissu cérébral.

Des examens très lourds...

Quant aux traitements, ces pathologies causées par les amibes nécessitent généralement une prise en charge rapide afin d'éviter les complications. Les traitements sont généralement médicamenteux (antiamibiens, antifongiques, antibiotiques, ...et parfois chirurgicaux. Pour l'amibiase intestinale, le traitement consiste en l’administration d’un antiamibien diffusible et d’un antiamibien « de contact ». La prévention contre l’amibiase repose essentiellement sur la mise en place de règle d’hygiène individuelle et collective. En l’absence de prise en charge, le pronostic reste sombre. Quant à la méningo-encéphalite à Naegleria Fowleriest, cette affection est le plus souvent fatale. Les médecins utilisent généralement une association de plusieurs médicaments, notamment : Miltéfosine et un ou plusieurs des médicaments suivants : amphotéricine B, rifampicine , fluconazole ou des médicaments apparentés tels que voriconazole, kétoconazole, itraconazole, azithromycine, etc.

Je pense que vous aurez pris la mesure du handicap que peuvent constituer ces pathologies liées aux amibes pour les travailleurs exposés. Il semble donc essentiel que le fonds de prévention de l'usure développe des actions de sensibilisation et de prévention sur les affections provoquées par les amibes dans le cadre professionnel.



NB :a





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N° 5430

9 mars 2023


 

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à l'amendement n° 3314 de Mme PONCET MONGE

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
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Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. KERROUCHE, JACQUIN, CHANTREL

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Sous-amendement à l'amendement 3314

Alinéa 3

Après les mots :

"affections psychiques"

Insérer les mots :

"dont les affections liées aux travaux en pression supérieure à la pression atmosphérique"

Objet

Certaines lésions sont provoqués sur les salariés effectuant des travaux dans les milieux où la pression est supérieure à la pression atmosphérique. Ces conditions peuvent se rencontrer, par exemple, dans certains travaux publics sous-marins, des travaux pétroliers, le percement de tunnels, le travail en caisson hyperbare. Les conditions de travail en milieu hostile (milieu aqueux, souterrain, respiration de gaz comprimés…) peuvent également entraîner des effets qui leur sont propres.

Une pression supérieure à la pression atmosphérique peut entraîner :

- une perte de la vue

- une insuffisance rénale

- moins de sang circulant vers le cerveau

 - une ostéonécrose avec ou sans atteinte articulaire intéressant l’épaule, la hanche et le genou

-  une perte d'audition par lésion cochléaire irréversible.

Bien sûr les travaux en milieu hyperbare ne concernent pas le tout venant des salariés.

Mais justement nous sommes ici face à des risques spécifiques qui, normalement exige une surveillance médicale renforcée par la médecine du travail, mais nous savons tous que la médecine du travail est tellement exsangue que le gouvernement a souhaité la renforcer par la médecine de ville qui est elle-même en sous effectifs chroniques.

D'autant que certaines affections, telles que l’ostéonécrose dysbarique peut survenir en absence de signe précurseur et avec une grande latence après l’exposition. 

C'est pourquoi il convient que le fonds d'usure professionnelle ait une action spécifique envers ces travaux soumis à de nombreuses normes particulières et qui restent sources de nombreux traumatismes irréversibles.






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N° 5431

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Sous-amendement à l'amendement n°3314

Alinéa 3

Après les mots :

"affections psychiques"

Insérer les mots :

"dont les maladies résultant de l’exposition aux dérivés nitrés des glycols et du glycérol"

Objet

Le glycol et glycérol peuvent être à l’origine de nombreux problèmes de santé causés aux salariés dès lors qu’ils travaillent quotidiennement avec les dérivés nitrés de ces produits, par exemple dans le cadre de la fabrication et du conditionnement de la nitroglycérine et du nitroglycol dans l’industrie des explosifs.

L’effet indésirable principal fréquent est la survenue de céphalées, et d’hypotension artérielle.

Nous souhaitons compléter cet amendement afin de renforcer les actions de sensibilisation et de prévention des pathologies professionnelles.

Quand on fait le compte, nous passons un nombre d’heures colossal de notre vie au travail. C’est pourquoi, nous sommes conduits à nous intéresser à ce qui se passe dans notre vie professionnelle afin de nous protéger et protéger notre santé.

Cette protection commence par faire de la prévention pour réduire les risques liés à cette activité professionnelle.

Le bénéfice de la prévention est évident : on réduit le nombre et l'intensité des accidents du travail et des maladies professionnelles.

Nous savons bien que ces problèmes de santé représentent un coût pour les entreprises et pour le système de protection sociale.  La prévention assurée aujourd'hui représente la promesse d'économies de demain.

Tel est le sens de notre sous-amendement à l’amendement de notre collègue Madame Poncet Monge.






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N° 5432

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présenté par

C Défavorable
G Défavorable
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Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. KERROUCHE, JACQUIN, CHANTREL

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ARTICLE 9


Alinéa 3

Après les mots :

"affections psychiques"

Insérer les mots :

"dont les atteintes auditives provoquées par les bruits lésionnels"

Objet

Les atteintes auditives visées par les auteurs du sous-amendement correspondent à une surdité professionnelle résultant d’une exposition prolongée à un bruit intense. De ce fait, cette surdité provoquée par le bruit entraîne une diminution des facultés auditives.

Cette pathologie est visée dans le tableau 42 des maladies professionnelles prévues par l'article R461-3 du code de l'a sécurité sociale. La liste des tâches exposant aux bruits lésionnels est citée in extenso par ce tableau 42. Elle est trop longue pour être ici exposée mais pas moins de 25 activités sont répertoriées : 1 - travaux sur métaux par percussion, abrasion ou projection tels que  le décolletage, le broyage, le fraisage, le martelage, le burinage, le rivetage, le laminage, l'étirage, l , le découpage, le sciage, le cisaillage, le tronçonnage... ; 2 - Le câblage, le toronnage, le bobinage de fils d'acier ; 3 - L'utilisation de marteaux et perforateurs pneumatiques. 4. La manutention mécanisée de récipients métalliques. 5. Les travaux de verrerie à proximité des fours, machines de fabrication, broyeurs et concasseurs ; l'embouteillage. 6. Le tissage sur métiers ou machines à tisser, les travaux sur peigneuses, machines à filer incluant le passage sur bancs à broches, retordeuses, moulineuses, bobineuses de fibres textiles. 7. La mise au point, les essais et l'utilisation des propulseurs, réacteurs, moteurs thermiques, groupes électrogènes, groupes hydrauliques, installations de compression ou de détente fonctionnant à des pressions différentes de la pression atmosphérique, ainsi que des moteurs électriques de puissance comprise entre 11 kW et 55 kW s'ils fonctionnent à plus de 2 360 tours par minute, de ceux dont la puissance est comprise entre 55 kW et 220 kW s'ils fonctionnent à plus de 1 320 tours par minute et de ceux dont la puissance dépasse 220 kW. 8. L'emploi ou la destruction de munitions ou d'explosifs. 9. L'utilisation de pistolets de scellement. 10. Le broyage, le concassage, le criblage, le sablage manuel, le sciage, l'usinage de pierres et de produits minéraux. 11. Les procédés industriels de séchage de matières organiques par ventilation. 12. L'abattage, le tronçonnage, l'ébranchage mécanique des arbres. 13. L'emploi des machines à bois en atelier : scies circulaires de tous types, scies à ruban, dégauchisseuses, raboteuses, toupies, machines à fraiser, tenonneuses, mortaiseuses, moulurières, plaqueuses de chants intégrant des fonctions d'usinage, défonceuses, ponceuses, clouteuses. 14. L'utilisation d'engins de chantier : bouteurs, décapeurs, chargeuses, moutons, pelles mécaniques, chariots de manutention tous terrains. 15. Le broyage, l'injection, l'usinage des matières plastiques et du caoutchouc. 16. Le travail sur les rotatives dans l'industrie graphique. 17. La fabrication et le conditionnement mécanisé du papier et du carton. 18. L'emploi du matériel vibrant pour l'élaboration de produits en béton et de produits réfractaires. 19. Les travaux de mesurage des niveaux sonores et d'essais ou de réparation des dispositifs d'émission sonore. 20. Les travaux de moulage sur machines à secousses et décochage sur grilles vibrantes. 21. La fusion en four industriel par arcs électriques. 22. Les travaux sur ou à proximité des aéronefs dont les moteurs sont en fonctionnement dans l'enceinte d'aérodromes et d'aéroports. 23. L'exposition à la composante audible dans les travaux de découpe, de soudage et d'usinage par ultrasons des matières plastiques. 24. Les travaux suivants dans l'industrie agroalimentaire : - l'abattage et l'éviscération des volailles, des porcs et des bovins ; - le plumage de volailles ; - l'emboîtage de conserves alimentaires ; - le malaxage, la coupe, le sciage, le broyage, la compression des produits alimentaires. 25. Moulage par presse à injection de pièces en alliages métalliques.

Les conséquences, pour les très nombreux travailleurs ainsi exposés, consistent en une hypoacousie de perception par lésion cochléaire irréversible, accompagnée ou non d'acouphènes ; cette hypoacousie est caractérisée par un déficit audiométrique bilatéral, le plus souvent symétrique et affectant préférentiellement les fréquences élevées.

Le diagnostic, ici encore, peut s'avérer délicat ; il est réalisé après une cessation d'exposition au bruit lésionnel d'au moins 3 jours et doit faire apparaître sur la meilleure oreille un déficit d'au moins 35 dB. Ce déficit est la moyenne des déficits mesurés sur les fréquences 500, 1000, 2000 et 4000 Hertz. :  il est établi, par examen en cabine insonorisée avec un audiomètre calibré. Après une audiométrie tonale liminaire et une audiométrie vocale qui doivent être concordantes et, en cas de non-concordance, par une impédancemétrie et recherche du réflexe stapédien ou, à défaut, par l'étude du suivi audiométrique professionnel. 

Le déficit audiométrique bilatéral par lésion cochléaire irréversible constaté est considéré comme maladie professionnelle.

La lourdeur de cette pathologie ainsi que le nombre multiple de situations professionnelles pouvant la provoquer conduisent les auteurs du sous-amendement à demander que le fonds de  prévention de l'usure développe des actions de sensibilisation et de prévention aux pathologies provoquées par les atteintes auditives dues aux bruits lésionnels.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3347

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Demande de retrait
G  
Retiré

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Après l’alinéa 61

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

...° Des facteurs mentionnés au 1°, 2° et 3° du I de l’article L. 4161-1 du code du travail dont les modalités de gestion et d’affectation de ses ressources sont précisées par décret en Conseil d’État.

Objet

Cet amendement vise à prendre en considération l’ensemble des facteurs de risques professionnels et à les élargir quant aux critères d’accès au fonds mis en place.

Il s’agit d’étendre les risques professionnels mentionnés dans le Code du travail à savoir l’environnement physique agressif (agents chimiques, poussières, fumées, les activités exercées en milieu hyperbare, les températures extrêmes, le bruit) ainsi que certains rythmes de travail (le travail de nuit, le travail en équipes successives alternantes et le travail répétitif).

Les mesures de prévention doivent concerner l’ensemble des métiers qui sont concernés par les risques professionnels existants. Il n’y a aucune justification aujourd’hui à délaisser un certain nombre de métiers. 

L’enquête SUMER (Surveillance médicale des risques professionnels) de 2017, déclare qu’environ 4,1 millions de personnes travaillent dans un environnement agressif. Plus précisément, cette enquête souligne “qu’un salarié sur trois est concerné par une exposition à au moins un produit chimique” et “qu’un salarié sur dix est concerné par une exposition à au moins un produit cancérogène”.

Le risque chimique est la deuxième cause de maladies professionnelles en France : 1800 cancers professionnels ont été détectés à cause de ces risques, chiffre largement sous-évalué par les non déclarations. En France, actuellement, 2,2 millions de salariés, soit 10% des travailleuses et travailleurs sont exposés à au moins un agent chimique cancérogène, 598 000 sont exposés aux fumées métalliques de soudage, 259 000 à la radioactivité et 759 000 femmes travaillent la nuit ce qui augmente la prévalence des cancers du sein.

De plus, il est important de souligner que le travail répétitif se retrouve davantage dans les métiers occupés par des femmes. Les troubles musculo-squelettiques liés au travail sont dus à des gestes répétitifs et les femmes développent deux fois plus que les hommes ces troubles car davantage exposées à des métiers répétitifs.

De plus, selon le rapport de l’Anact (Agence nationale pour l’amélioration des conditions de travail) en 2019, le secteur de la santé, de l’action sociale, du nettoyage et du travail temporaire et le secteur des services, commerces et industries de l’alimentation totalisent 59,3% des maladies professionnelles pour les femmes.

Dans les secteurs de la santé, du social, du nettoyage et de l’intérim, du commerce et de l’alimentation, qui concernent en particulier les femmes, les risques professionnels sont sous-qualifiés et sous-évalués.

​​

 






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3528

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Alinéa 62
Compléter cet alinéa par les mots :
en Conseil d’État 

Objet

Cet amendement vise à s'assurer que l'intention du législateur sera respectée. 

Sur ce projet, après avoir refusé d’écouter les organisations syndicales, après avoir décidé d’utiliser la procédure d’examen contraint dans le temps qu’implique l’article 47-1 de la Constitution, le Gouvernement a à de multiples recours à des décrets.

En raison notamment de l'importance du décret mentionné ici, et des difficultés de prise en compte des points de vue des acteurs concernés, il semble indispensable aux yeux des auteur.es de cet amendement que le Conseil d'Etat soit associé à l’écriture de ce décret.

Par cet amendement, le Conseil d'Etat sera ainsi saisi du projet préparé par le Gouvernement et son avis devra être recueilli après une consultation des organismes dont l'avis est souhaité. 






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3526

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 9


Alinéa 62

Compléter cet alinéa par les mots :

suite à des négociations avec les organisations syndicales et patronales représentatives au niveau national et interprofessionnel

Objet

Alors que le gouvernement ne souhaite pas débattre avec les parlementaires pas davantage qu’avec les organisations syndicales, cet amendement a pour objet d’inscrire ce projet de réforme dans un véritable dialogue social.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3821

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE 9


Alinéa 62

Compléter cet alinéa par les mots :

en y intégrant une perspective genrée

Objet

Les membres du groupe CRCE alertent, par cet amendement, sur l’intégration d’une réflexion sur la pénibilité différenciée entre les hommes et les femmes. En effet, il réside dans la distinction de genre une pénibilité particulière, souvent ignorée, à laquelle sont confrontées les femmes, notamment dans les métiers du soin et du lien où elles sont largement majoritaires. Les auteurs de cet amendement croient qu’il est temps, d’une part, d’étendre la compréhension du phénomène de pénibilité à sa dimension psychologique et d’autre part d’entamer un travail de revalorisation et de reconnaissance de ces métiers féminisés.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3529

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 9


Après l'article 9

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le Gouvernement remet au Parlement, dans un délai de trois ans à compter de la promulgation de la présente loi, un rapport sur l’utilisation du fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle mentionné au I de l’article 9.

Objet

Ce nouveau fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle vient s’ajouter à d’autres fonds de prévention sans qu’une évaluation de l’utilisation de ces fonds ne soit réellement effectuée. Les actions de prévention des risques professionnels souffrent d’une méconnaissance de la part de nombreux employeurs. Il en résulte dans certains cas une défaillance dans l’organisation générale de la prévention, parfois jugée optionnelle, et l’absence de mesures particulières adaptées aux situations vécues par les salariés. Le rapport de la Cour des comptes pour améliorer l'efficacité des politiques publiques en matière de prévention des risques professionnels met en lumière les défauts de l’action publique dans le champ de la santé au travail. Le présent amendement est une demande de rapport pour évaluer l’efficacité de ce nouveau dispositif dans la réduction des risques professionnels liés à la pénibilité au travail. 






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5721

10 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3529 de Mme PONCET MONGE

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 9


Alinéa 3

Le mot « trois »

Est remplacé par le mot : « deux »

Objet

 Le rapport proposé par nos collègues sur l’utilisation du nouveau fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle est essentiel.

Les fonds de prévention existants ont manqué d’évaluation dans le temps et surtout des ajustements qui auraient été nécessaires pour donner une réelle impulsion aux actions de préventions encore trop inefficaces, voir inadaptées aux situations des salariés concernés.

Le compte personnel de prévention de la pénibilité a déjà été modifié et transformé en compte professionnel de prévention (C2P).

Mais le rapport de la cour des comptes de décembre 2022 est un nouveau constat d’échec. Elle dresse un bilan sévère du C2P qu’elle juge « sans ambition et non contrôlé ». La Cour souligne en particulier une faible appropriation du dispositif par les employeurs concernés et regrette la disparition en 2017 de tout mécanisme d'incitation financière à la prévention.

La prévention de l’usure professionnelle reste encore bien trop peu développée. Et pourtant, les salariés que leur domaine d’activité a exposé à des fonctions pénibles, qu’elles soient reconnues en tant que telles ou non au titre de la pénibilité, peuvent se trouver progressivement incités à cesser leur activité professionnelle, ou à devoir chercher à se reconvertir au sein de l’entreprise ou en dehors, sans nécessairement que leur situation relève de l’inaptitude au sens médical ou de la maladie professionnelle.

La réalité des efforts consentis pour répondre aux enjeux de l’usure professionnelle et de la pénibilité, de la sinistralité parmi les salariés n’est toujours pas à la hauteur des enjeux.

Il convient de mieux veiller à l’adéquation des mesures mises en place au regard des actions réellement engagées et des priorités affichées.

Il faut donc s’assurer rapidement que la mise en œuvre de ce nouveau fond s’accompagne effectivement d’une prise de conscience au sein des entreprises pour engager une réelle politique de prévention.

Aussi, le groupe socialiste, écologiste et républicain propose que le rapport proposé par nos collègues intervienne dans des délais plus contraints.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5722

10 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3529 de Mme PONCET MONGE

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 9


Alinéa 3

Le mot « trois »

Est remplacé par le mot : « 18 mois »

 

Objet

Le rapport proposé par nos collègues sur l’utilisation du nouveau fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle est essentiel.

Les fonds de prévention existants ont manqué d’évaluation dans le temps et surtout des ajustements qui auraient été nécessaires pour donner une réelle impulsion aux actions de préventions encore trop inefficaces, voir inadaptées aux situations des salariés concernés.

Le compte personnel de prévention de la pénibilité a déjà été modifié et transformé en compte professionnel de prévention (C2P).

Mais le rapport de la cour des comptes de décembre 2022 est un nouveau constat d’échec. Elle dresse un bilan sévère du C2P qu’elle juge « sans ambition et non contrôlé ». La Cour souligne en particulier une faible appropriation du dispositif par les employeurs concernés et regrette la disparition en 2017 de tout mécanisme d'incitation financière à la prévention.

La prévention de l’usure professionnelle reste encore bien trop peu développée. Et pourtant, les salariés que leur domaine d’activité a exposé à des fonctions pénibles, qu’elles soient reconnues en tant que telles ou non au titre de la pénibilité, peuvent se trouver progressivement incités à cesser leur activité professionnelle, ou à devoir chercher à se reconvertir au sein de l’entreprise ou en dehors, sans nécessairement que leur situation relève de l’inaptitude au sens médical ou de la maladie professionnelle.

La réalité des efforts consentis pour répondre aux enjeux de l’usure professionnelle et de la pénibilité, de la sinistralité parmi les salariés n’est toujours pas à la hauteur des enjeux.

Il convient de mieux veiller à l’adéquation des mesures mises en place au regard des actions réellement engagées et des priorités affichées.

Il faut donc s’assurer rapidement que la mise en œuvre de ce nouveau fond s’accompagne effectivement d’une prise de conscience au sein des entreprises pour engager une réelle politique de prévention.

Aussi, le groupe socialiste, écologiste et républicain propose que le rapport proposé par nos collègues intervienne dans des délais plus contraints.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5723

10 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3529 de Mme PONCET MONGE

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 9


Le mot « trois »

Est remplacé par le mot : « un »

Objet

Le rapport proposé par nos collègues sur l’utilisation du nouveau fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle est essentiel.

Les fonds de prévention existants ont manqué d’évaluation dans le temps et surtout des ajustements qui auraient été nécessaires pour donner une réelle impulsion aux actions de préventions encore trop inefficaces, voir inadaptées aux situations des salariés concernés.

Le compte personnel de prévention de la pénibilité a déjà été modifié et transformé en compte professionnel de prévention (C2P).

Mais le rapport de la cour des comptes de décembre 2022 est un nouveau constat d’échec. Elle dresse un bilan sévère du C2P qu’elle juge « sans ambition et non contrôlé ». La Cour souligne en particulier une faible appropriation du dispositif par les employeurs concernés et regrette la disparition en 2017 de tout mécanisme d'incitation financière à la prévention.

La prévention de l’usure professionnelle reste encore bien trop peu développée. Et pourtant, les salariés que leur domaine d’activité a exposé à des fonctions pénibles, qu’elles soient reconnues en tant que telles ou non au titre de la pénibilité, peuvent se trouver progressivement incités à cesser leur activité professionnelle, ou à devoir chercher à se reconvertir au sein de l’entreprise ou en dehors, sans nécessairement que leur situation relève de l’inaptitude au sens médical ou de la maladie professionnelle.

La réalité des efforts consentis pour répondre aux enjeux de l’usure professionnelle et de la pénibilité, de la sinistralité parmi les salariés n’est toujours pas à la hauteur des enjeux.

Il convient de mieux veiller à l’adéquation des mesures mises en place au regard des actions réellement engagées et des priorités affichées.

Il faut donc s’assurer rapidement que la mise en œuvre de ce nouveau fond s’accompagne effectivement d’une prise de conscience au sein des entreprises pour engager une réelle politique de prévention.

Aussi, le groupe socialiste, écologiste et républicain prévoit que le rapport proposé par nos collègues intervienne dans des délais plus contraints.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4635

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. LABBÉ, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. GONTARD, BENARROCHE, BREUILLER, DOSSUS et FERNIQUE, Mme de MARCO et MM. PARIGI, SALMON et DANTEC


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 9


Après l'article 9

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Dans un délai de six mois à compter de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet un rapport au Parlement faisant le bilan de l’application de l’article 9 de la présente loi. Ce rapport analyse la pertinence, le coût et la faisabilité de l’élargissement aux salariés exposés à l'ensemble les facteurs de risques professionnels du bénéfice des actions de prévention de la pénibilité financées par le fonds d’investissement de prévention de la pénibilité créé par ce même article.

Objet

Cet amendement vise à permettre au Parlement de disposer d'un rapport sur l’élargissement aux salariés exposés à l’ensemble des facteurs de risques professionnels et non seulement à des 3 facteurs de risques comme prévu par l’article le bénéfice des actions de prévention de la pénibilité financées par le fonds d’investissement de prévention de la pénibilité créé par cet article 9.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3237 rect.

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 9


Après l'article 9

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Après le troisième alinéa de l’article L. 461-2 du code de la sécurité sociale, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :

« Un tableau spécial énumère les pathologies psychiques relevant de l’épuisement professionnel et les conditions dans lesquelles elles sont présumées avoir une origine professionnelle lorsque les victimes ont été exposées d’une façon habituelle à des facteurs limitativement énumérés par ce tableau. »

Objet

Décrit comme un syndrome résultant d’un stress chronique au travail, le burn out est un processus de dégradation du rapport subjectif de l’individu à son activité. Depuis le 1er janvier 2022, il est intégré par l’OMS dans la nouvelle classification internationale des maladies comme un « phénomène lié au travail ».

En France, selon les chiffres d’une enquête menée par OpinionWay en 2021, 2,5 millions de salariés seraient actuellement touchés par un syndrome de burn out et deux salariés sur dix seraient en arrêt maladie pour des raisons psychologiques ayant trait à la fatigue professionnelle. Ces chiffres en constante augmentation sont en concordance avec l’imposition de plus en plus intense des nouvelles pratiques de management dans les entreprises qui usent et abusent de l’engagement psychique et physique de leurs salariés. La perte de solidarité entre les salariés liée à la fragilisation des collectifs de travail et l’augmentation de la charge de travail minent la santé mentale de nombreux travailleurs sous le coup d’injonctions paradoxales.

Pourtant, le burn out n’est toujours pas reconnu comme maladie professionnelle. Un « phénomène lié au travail » touchant autant de travailleurs doit pouvoir être reconnu par les pouvoirs publics afin d’être dûment pris en charge et que les salariés ne soient plus seuls face à ce mal en progression.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après l'article 2 à un article additionnel après l'article 9).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5703

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3237 rect. de Mme PONCET MONGE

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. KERROUCHE


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 9


Amendement 3237

Alinéa 4

Après les mots

"épuisements professionnels"

Ajouter les mots

" ou du stress chronique au travail"

Objet

Selon les résultats du 11ème baromètre du cabinet Empreinte humaine publiés le 9 mars 2023, la santé mentale des salariés demeure très dégradée en France : 44% des salariés sont exposés à la détresse psychologique. Les femmes, les jeunes et les managers sont particulièrement concernés.

L'enquête souligne également que 7 salariés sur 10 ont peur de ne pas pouvoir tenir avec le recul de l'âge de départ. La même proportion déclare que la perspective de travailler plus longtemps les angoisse.

Depuis le 1er janvier 2022, le burn out est intégré par l'OMS dans la nouvelle classification internationale des maladies comme "un phénomène lié au travail".

La prévention de ce phénomène qui s'amplifie devient une nécessité. Le burn out doit être mieux repéré et mieux pris en charge.

Cette prise en charge devrait permettre de mieux traiter le trouble identifié et d'agir sur le contexte socio-professionnel à l'origine du trouble. Cela passe par une véritable reconnaissance de ce trouble.

Notre sous-amendement propose de compléter explicitement l'amendement 3237 par le syndrome résultant d'un stress chronique au travail, à savoir le brun out.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5706

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3237 rect. de Mme PONCET MONGE

présenté par

C
G  
Non soutenu

M. ÉBLÉ


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 9


Amendement 3237
Alinéa 4
Après les mots « épuisement professionnel »
Ajouter les mots : « ou du stress chronique au travail »

Objet


Selon les résultats du 11e baromètre du cabinet Empreinte humaine publiés le 9 mars 2023, la santé mentale des salariés demeure très dégradée en France : 44 % des salariés sont exposés à la détresse psychologique. Les femmes, les jeunes et les managers sont particulièrement concernés.
L’enquête souligne également que 7 salariés sur 10 ont peur de ne pas pouvoir tenir avec le recul de l’âge de départ. La même proportion déclare que la perspective de travailler plus longtemps les angoisse.
Depuis le 1er janvier 2022, le burn out est intégré par l’OMS dans la nouvelle classification internationale des maladies comme un « phénomène lié au travail ».
La prévention de ce phénomène qui s’amplifie devient une nécessité. Le burn out doit être mieux repéré et mieux pris en charge.
Cette prise en charge devrait permettre de mieux traiter le trouble identifié et d’agir sur le contexte socioprofessionnel à l’origine du trouble. Cela passe par une véritable reconnaissance de ce trouble.
Notre sous-amendement propose de compléter explicitement l’amendement 3237 par le syndrome résultant d’un stress chronique au travail, à savoir le burn out.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5707

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3237 rect. de Mme PONCET MONGE

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 9


Amendement 3237

Alinéa 4

Après les mots « épuisement professionnel »

Ajouter les mots : « ou du stress chronique au travail »

Objet

Selon les résultats du 11e baromètre du cabinet Empreinte humaine publiés le 9 mars 2023, la santé mentale des salariés demeure très dégradée en France : 44 % des salariés sont exposés à la détresse psychologique. Les femmes, les jeunes et les managers sont particulièrement concernés.

L’enquête souligne également que 7 salariés sur 10 ont peur de ne pas pouvoir tenir avec le recul de l’âge de départ. La même proportion déclare que la perspective de travailler plus longtemps les angoisse.

Depuis le 1er janvier 2022, le burn out est intégré par l’OMS dans la nouvelle classification internationale des maladies comme un « phénomène lié au travail ».

La prévention de ce phénomène qui s’amplifie devient une nécessité. Le burn out doit être mieux repéré et mieux pris en charge.

Cette prise en charge devrait permettre de mieux traiter le trouble identifié et d’agir sur le contexte socioprofessionnel à l’origine du trouble. Cela passe par une véritable reconnaissance de ce trouble.

Notre sous-amendement propose de compléter explicitement l’amendement 3237 par le syndrome résultant d’un stress chronique au travail, à savoir le burn out.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5711

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3237 rect. de Mme PONCET MONGE

présenté par

C
G  
Non soutenu

M. ASSOULINE


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 9


Alinéa 4
Après les mots « épuisement professionnel »


Ajouter les mots : « ou du stress chronique au travail »

Objet

Selon les résultats du 11e baromètre du cabinet Empreinte humaine publiés le 9 mars 2023, la santé mentale des salariés demeure très dégradée en France : 44 % des salariés sont exposés à la détresse psychologique. Les femmes, les jeunes et les managers sont particulièrement concernés.


L’enquête souligne également que 7 salariés sur 10 ont peur de ne pas pouvoir tenir avec le recul de l’âge de départ. La même proportion déclare que la perspective de travailler plus longtemps les angoisse.


Depuis le 1er janvier 2022, le burn out est intégré par l’OMS dans la nouvelle classification internationale des maladies comme un « phénomène lié au travail ».


La prévention de ce phénomène qui s’amplifie devient une nécessité. Le burn out doit être mieux repéré et mieux pris en charge.
Cette prise en charge devrait permettre de mieux traiter le trouble identifié et d’agir sur le contexte socioprofessionnel à l’origine du trouble. Cela passe par une véritable reconnaissance de ce trouble.


Notre sous-amendement propose de compléter explicitement l’amendement 3237 par le syndrome résultant d’un stress chronique au travail, à savoir le burn out.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5715

10 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3237 rect. de Mme PONCET MONGE

présenté par

C
G  
Non soutenu

Mme VAN HEGHE


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 9


Après l'article 9

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Alinéa 4
Après les mots « épuisement professionnel »
Ajouter les mots : « ou du stress chronique au travail »

Objet

Selon les résultats du 11e baromètre du cabinet Empreinte humaine publiés le 9 mars 2023, la santé mentale des salariés demeure très dégradée en France : 44 % des salariés sont exposés à la détresse psychologique. Les femmes, les jeunes et les managers sont particulièrement concernés.
L’enquête souligne également que 7 salariés sur 10 ont peur de ne pas pouvoir tenir avec le recul de l’âge de départ. La même proportion déclare que la perspective de travailler plus longtemps les angoisse.
Depuis le 1er janvier 2022, le burn out est intégré par l’OMS dans la nouvelle classification internationale des maladies comme un « phénomène lié au travail ».
La prévention de ce phénomène qui s’amplifie devient une nécessité. Le burn out doit être mieux repéré et mieux pris en charge.
Cette prise en charge devrait permettre de mieux traiter le trouble identifié et d’agir sur le contexte socioprofessionnel à l’origine du trouble. Cela passe par une véritable reconnaissance de ce trouble.
Notre sous-amendement propose de compléter explicitement l’amendement 3237 par le syndrome résultant d’un stress chronique au travail, à savoir le burn out.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5718

10 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3237 rect. de Mme PONCET MONGE

présenté par

C
G  
Non soutenu

M. DURAIN


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 9


Alinéa 4

Après les mots « épuisement professionnel »

Ajouter les mots : « ou du stress chronique au travail »

Objet

Selon les résultats du 11e baromètre du cabinet Empreinte humaine publiés le 9 mars 2023, la santé mentale des salariés demeure très dégradée en France : 44 % des salariés sont exposés à la détresse psychologique. Les femmes, les jeunes et les managers sont particulièrement concernés.

L’enquête souligne également que 7 salariés sur 10 ont peur de ne pas pouvoir tenir avec le recul de l’âge de départ. La même proportion déclare que la perspective de travailler plus longtemps les angoisse.

Depuis le 1er janvier 2022, le burn out est intégré par l’OMS dans la nouvelle classification internationale des maladies comme un « phénomène lié au travail ».

La prévention de ce phénomène qui s’amplifie devient une nécessité. Le burn out doit être mieux repéré et mieux pris en charge.

Cette prise en charge devrait permettre de mieux traiter le trouble identifié et d’agir sur le contexte socioprofessionnel à l’origine du trouble. Cela passe par une véritable reconnaissance de ce trouble.

Notre sous-amendement propose de compléter explicitement l’amendement 3237 par le syndrome résultant d’un stress chronique au travail, à savoir le burn out.






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N° 5710

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3237 rect. de Mme PONCET MONGE

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. FÉRAUD


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 9


Alinéa 4

Après les mots « épuisement professionnel »

Ajouter les mots : « ou du stress chronique au travail »

Objet

Selon les résultats du 11e baromètre du cabinet Empreinte humaine publiés le 9 mars 2023, la santé mentale des salariés demeure très dégradée en France : 44 % des salariés sont exposés à la détresse psychologique. Les femmes, les jeunes et les managers sont particulièrement concernés.

L’enquête souligne également que 7 salariés sur 10 ont peur de ne pas pouvoir tenir avec le recul de l’âge de départ. La même proportion déclare que la perspective de travailler plus longtemps les angoisse.

Depuis le 1er janvier 2022, le burn out est intégré par l’OMS dans la nouvelle classification internationale des maladies comme un « phénomène lié au travail ».

La prévention de ce phénomène qui s’amplifie devient une nécessité. Le burn out doit être mieux repéré et mieux pris en charge.

Cette prise en charge devrait permettre de mieux traiter le trouble identifié et d’agir sur le contexte socioprofessionnel à l’origine du trouble. Cela passe par une véritable reconnaissance de ce trouble.

Notre sous-amendement propose de compléter explicitement l’amendement 3237 par le syndrome résultant d’un stress chronique au travail, à savoir le burn out.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5714

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3237 rect. de Mme PONCET MONGE

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. CARDON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 9


Alinéa 4

Après les mots « épuisement professionnel »

Ajouter les mots : « ou du stress chronique au travail »

Objet

Selon les résultats du 11e baromètre du cabinet Empreinte humaine publiés le 9 mars 2023, la santé mentale des salariés demeure très dégradée en France : 44 % des salariés sont exposés à la détresse psychologique. Les femmes, les jeunes et les managers sont particulièrement concernés.

L’enquête souligne également que 7 salariés sur 10 ont peur de ne pas pouvoir tenir avec le recul de l’âge de départ. La même proportion déclare que la perspective de travailler plus longtemps les angoisse.

Depuis le 1er janvier 2022, le burn out est intégré par l’OMS dans la nouvelle classification internationale des maladies comme un « phénomène lié au travail ».

La prévention de ce phénomène qui s’amplifie devient une nécessité. Le burn out doit être mieux repéré et mieux pris en charge.

Cette prise en charge devrait permettre de mieux traiter le trouble identifié et d’agir sur le contexte socioprofessionnel à l’origine du trouble. Cela passe par une véritable reconnaissance de ce trouble.

Notre sous-amendement propose de compléter explicitement l’amendement 3237 par le syndrome résultant d’un stress chronique au travail, à savoir le burn out.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 155 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. LUREL et Mmes CONCONNE, LE HOUEROU, Gisèle JOURDA et JASMIN


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 9


Après l’article 9

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Dans un délai de six mois à compter de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet un rapport au Parlement faisant le bilan de l’application de l’article 70 de la loi n° 2019-1146 du 24 décembre 2019 de financement de la sécurité sociale pour 2020.

Ce rapport analyse plus largement l’opportunité, la faisabilité et le coût de l’élargissement aux assurés victimes de l’exposition au chlordécone des dispositions de l’article 9 de la présente loi.

Objet

Cet amendement vise à remettre un rapport sur l'élargissement des fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle aux assurés victimes de l'exposition au chlordécone.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5448 rect.

10 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 155 rect. bis de M. LUREL

présenté par

C
G  
Non soutenu

M. JOMIER et Mme BONNEFOY


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 9


Alinéa 3

Remplacer le mot : « six »

Par le mot : « douze »

Objet

L'absence de rétablissement par le Gouvernement des polluants chimiques au sein de la liste des facteurs de pénibilité constituant un angle mort persistant, cet amendement vise tout particulièrement à laisser davantage de temps au Gouvernement afin d’éclairer les travaux du Parlement avec des éléments de la meilleure qualité sur cette question cruciale qu’est l'élargissement du fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle aux assurés victimes de l'exposition au chlordécone.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2394 rect. ter

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

MM. Patrice JOLY, REDON-SARRAZY, STANZIONE, MAGNER, GILLÉ, MICHAU et DURAIN, Mmes Martine FILLEUL, BLATRIX CONTAT et CONWAY-MOURET, M. PLA, Mmes CONCONNE, POUMIROL et Gisèle JOURDA, MM. TEMAL, KERROUCHE et LECONTE, Mmes JASMIN, LE HOUEROU et MONIER, MM. TISSOT, LOZACH et CHANTREL, Mme DEVÉSA, M. JACQUIN et Mme PRÉVILLE


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 9


Après l'article 9

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Dans un délai d'un an à compter de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport un rapport relatif à l’application de l’article 9 de la loi de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 en indiquant le nombre de bénéficiaires dans les territoires ruraux, sa durée moyenne, ventilés par sexe de la majoration d’assurance vieillesse pour pénibilité prévue à l’article L351-6-1 du code de la sécurité sociale. Il décrit également les impacts environnementaux, économiques et  géographiques liés aux territoires ruraux sur l’état de santé des salariés issus dus secteur agricole, de l' artisanat, commercial et industriel.

Objet

Le présent amendement vise à proposer un rapport visant à évaluer les critères d’exposition aux facteurs de risques. Il apparaît en effet indispensable d’accompagner une meilleure prise en compte de l’usure professionnelle que génèrent certains métiers ou postes de travail au regard des spécificités, environnementales, économiques, sociales, géographiques et climatiques des territoires ruraux

En effet, certains salariés ainsi que des professions entières sont exposés à de la pénibilité au travail, notamment ceux issus du secteur de l’artisanat, agricole, commercial ainsi des secteurs industriels qui constituent des part importantes voire  essentiel de l’économie rurale.

Or, pour lutter activement contre les mécanismes d’usure au travail et les prévenir, il est important de mettre en place des politiques de prévention et de recenser les disparités selon les territoires, leurs géographies, leurs développement économiques et  leurs expositions aux aléas climatiques et environnementaux d'où la demande d'un tel rapport au Gouvernement dans les un an à compter de la promulgation de la loi.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4535 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 9


Après l'article 9

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Dans un délai de six mois après la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet un rapport au Parlement visant à évaluer l’opportunité d’abroger l’ordonnance n° 2017-1389 du 22 septembre 2017 relative à la prévention et à la prise en compte des effets de l'exposition à certains facteurs de risques professionnels et au compte professionnel de prévention.

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent par le biais de ce rapport montrer l’opportunité que représenterait pour les salarié.e.s l’abrogation d’une des cinq ordonnances Pénicaud de 2017 qui a mis à mal quatre critères de pénibilité sur dix donnant droit à un départ anticipé à la retraite.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5724

10 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 4535 rect. de Mme ASSASSI

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. JACQUIN, Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 9


Sous-amendement à l'amendement 4535

Alinéa 3

A la fin de la phrase, ajouter les mots « , et tout particulièrement de son article 1 »

Objet

« Modifier, à des fins de simplification, de sécurisation juridique et de prévention, les règles de prise en compte de la pénibilité au travail, en adaptant les facteurs de risques professionnels, les obligations de déclaration de ceux-ci, les conditions d’appréciation de l’exposition à certains de ces facteurs, les modes de prévention, les modalités de reconnaissance et de compensation de la pénibilité ainsi que les modalités de financement des dispositifs correspondants. »

Tel était selon son exposé des motifs, l’objectif des ordonnances Pénicaud de 2017.

Déjà le double langage. Le vrai "en même temps".

Loin de sécuriser, ces ordonnances ont abrogé des critères de pénibilité introduits par la réforme Touraine que la majorité sénatoriale loue tant aujourd’hui. Avec l’article 9, la droite qui avait soutenu ce texte se rend enfin compte de son erreur. Nous ne nous privons pas de saluer cette évolution.

Dès lors nous pensons que le rapport demandé par nos collègues du groupe communiste, républicain, citoyen et écologiste sur cette ordonnance, est utile et nécessaire et jugeons même qu’il serait tout à fait opportun de préciser qu’il doit se concentrer tout particulièrement sur l’article 1.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3397

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


TITRE II : RENFORCER LA SOLIDARITÉ DE NOTRE SYSTÈME DE RETRAITE


Rédiger ainsi cet intitulé :

Quelques mesures atténuant à peine les effets délétères du présent projet de loi

Objet

Cette partie du texte comportes quelques rares mesures d’atténuation de la brutalité de la réforme.

Par souci de clarté et de transparence, l'objet de cet amendement du groupe écologiste est de le spécifier clairement.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4718 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

MM. PATIENT, DENNEMONT, HAYE et MOHAMED SOILIHI, Mmes PHINERA-HORTH et SCHILLINGER et M. THÉOPHILE


ARTICLE ADDITIONNEL AVANT ARTICLE 10


Avant l'article 10

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le troisième alinéa du II de l'article L. 111-2-1 du code de la sécurité sociale est complété par les mots : « qui en tout état de cause ne pourra être inférieur au seuil de pauvreté ».

Objet

Dans le dernier rapport du COR de septembre 2022, le taux de pauvreté chez les retraités bien que plus faible que dans l'ensemble de la population est estimé à 9,5% en 2019, en légère hausse sur un an.

La loi de janvier 2014 de réforme du système des retraites a précisé que celui-ci devait assurer un niveau de vie satisfaisant à tous les retraités. Force est de constater que pour près de 10% de la population des retraités, cet objectif n'est pas atteint.

Cet amendement vient préciser qu'un niveau de vie satisfaisant ne peut être inférieur au seuil de pauvreté.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3677

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 10


Supprimer cet article.

Objet

« Conformément à l’engagement présidentiel, le Gouvernement souhaite procéder à une revalorisation significative de la pension minimale afin que les salariés ayant effectué une carrière complètement cotisée sur la base d’un SMIC puissent partir en retraite avec une pension d’au moins 85 % du SMIC net, soit près de 1 200 € à compter du 1er septembre 2023. »

Tel est l'objectif affiché par le gouvernement.

À mille lieux de ça, cet article, en lui-même, ne garantit en rien une retraite minimum de 1 200 € par mois.

Après plusieurs rebondissements entre annonces floues et erronées de ministres - notamment le ministre du travail -, travail d'enquête du député socialiste Jérôme Guedj, lettre de rectificative du ministre Olivier Dussopt, il s'avère que les chiffrages annoncés sont loin, très loin de la portée réelle que pourrait avoir l'article.

En effet, ce serait seulement 10 000 à 20 000 nouveaux retraité.es (2,5 %) qui atteindraient les 1 200 € brut de pension. Uniquement 250 000 parmi les retraité.es actuel.les, soit 1,5 %. Selon la fourchette d'estimation basse ou haute ce serait respectivement 10 % ou 20 % qui seraient concerné.es par une revalorisation de 0 à 100 € par mois. Enfin, ils resteraient 4,75 millions de retraité.es sous le seuil de 1 200 €.

En raison du caractère mensonger et de l’imposture que cet article représente, les sénatrices et sénateurs du groupe écologiste appellent à l’instauration d’un véritable minimum contributif à hauteur de 100 % du SMIC à taux plein, et portent cet amendement que vise à supprimer l’article 10 du présent projet de loi.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2566 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. LUREL et Mmes CONCONNE, LE HOUEROU et JASMIN


ARTICLE 10


Après l’alinéa 2

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

…) Le 3° du II est complété par les mots : « et à ceux résidant dans les territoires régis par les articles 73 et 74 de la Constitution et la Nouvelle-Calédonie ».

Objet

Le présent amendement propose de préciser que l’avis annuel rendu par le comité de suivi des retraites sur l'évolution du pouvoir d'achat des retraités analyse plus spécifiquement celui des assurés résidant dans les outre-mer qui sont frappés par l’effet conjugué de pensions nettement inférieures au niveau national et de la cherté de la vie.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2154

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Favorable
Adopté - vote unique

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 10


Alinéa 4

1° Remplacer le mot :

Analysant

par le mot :

Examinant

2° Remplacer les mots :

à l’article L. 311-2

par les mots :

aux articles L. 311-2 et L. 631-1

3° Après le mot :

servir

insérer les mots :

par les régimes légaux ou rendus légalement obligatoires, de base et complémentaires

4° Supprimer les mots :

, par les régimes légaux ou rendus légalement obligatoires, de base et complémentaires,

Objet

Amendement rédactionnel.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2229

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. LUREL


ARTICLE 10


Après l’alinéa 4

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« …° Analysant la situation comparée des Français du territoire européen de la France et des Français des collectivités régies par l’article 73 de la Constitution, en tenant compte des différences de montants de pension, de la durée d’assurance respective, de l’impact des écarts de niveaux du salaire minimum de croissance et des années de cotisations des travailleurs indépendants en particulier les artisans et commerçants sur les écarts de pensions. » ;

Objet

Cet amendement propose donc que le comité de suivi des retraites chargé de rendre un avis annuel et public accorde une place spécifique aux problématiques ultramarines en vue de réduire les inégalités avec l’Hexagone.

Certaines spécificités aux Outre-mer concourent à de fortes disparités de niveau de pension entre Français, qu’ils aient pu cotiser en France hexagonale ou dans les territoires ultramarins.
Le montant du SMIC dans les Outre-mer n'a été aligné avec le niveau hexagonal qu'en 1996. De même dans les DROM, le régime de prestations familiales ne fut véritablement appliqué qu’à partir des années 1970 et seulement pour certaines catégories de salariés. Jusqu’à la suppression définitive du FASSO en 1993, le versement des allocations familiales dans les DOM ne s’est jamais effectué dans les mêmes conditions qu’en métropole et les barèmes appliqués dans les DOM ont toujours été moins avantageux.

Il est donc demandé d’apporter une attention particulière à l’existence de ces inégalités afin de ne pas les reproduire dans l’évaluation du montant des retraites des salariés ayant exercé en Outre-mer.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2564 rect. quater

5 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes DINDAR, MALET, FÉRAT et PERROT, M. HINGRAY, Mmes GACQUERRE, RACT-MADOUX et BENBASSA, MM. LAUGIER, FOLLIOT, GREMILLET et MOGA, Mme PHINERA-HORTH et M. MENONVILLE


ARTICLE 10


Après l’alinéa 4

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« …° Analysant la situation comparée des Français du territoire européen de la France et des Français des collectivités régies par l’article 73 de la Constitution, en tenant compte des différences de montants de pension, de la durée d’assurance respective, de l’impact des écarts de niveaux du salaire minimum de croissance et des années de cotisations des travailleurs indépendants en particulier les artisans et commerçants sur les écarts de pensions. »

Objet

Cet amendement vise à proposer une demande de rapport annuel dans les territoires ultramarins où le marché du travail est marqué par la précarité de l'emploi.

Les femmes, les artisans, les commerçants, exploitants-agricoles sont particulièrement touchés…

En effet la structure des emplois dans les DOM entretient la précarité depuis de nombreuses décennies avec des conséquences délétères sur les carrières et de facto sur les retraites.

A signaler le cas particulier de la Réunion, où la précarité des emplois (un actif sur dix travaille sous contrat temporaire) est la cause principale d'entrée au chômage (45,9 % des demandeurs d'emplois). 
Le marché du travail dans les DOM se caractérise également par l'importance des emplois à temps partiel, surtout en Guadeloupe (plus d'un actif sur cinq). Plus importante qu'en métropole, cette forme d'occupation n'épargne pas les emplois publics (Etat et collectivités territoriales). Par rapport à l'Hexagone, ces emplois continuent d'ailleurs de tenir une part très élevés: jusqu'à 35,8 % de la population active guyanaise (22,1 % en métropole) – Insee

Les contrats aidés toujours à durée limitée ont entretenu cette discrimination, de la même façon que pour le travail à mi-temps.

La précarité, vécue ou potentielle, peut être définie comme des situations d’instabilité, et de discontinuité ; imposées ou « choisies » sous contrainte. Ce sont les ruptures de parcours, professionnels, et personnels qui créent la précarité ou son risque.

Pour rappel, le régime des cotisations des commerçants et artisans ultramarins a fait l’objet d’une situation particulière jusqu’en l’an 2000, dès lors un nombre important d’entre eux ne peuvent prétendre qu’à 33 années de cotisation en fin de carrière alors que même dans l’hexagone ils pourraient prétendre à 42/43 annuités.

Prétendre à une carrière pleine (172 trimestres ou 43 annuités) sans décote est quasi impossible pour beaucoup de salariés domiens.

Les ultramarins sont donc condamnés à ne pas valider une carrière complète sans compter qu'une pension de retraites pour un réunionnais s'élève à 1160 euros brut en moyenne par mois, la plus faible des régions françaises (28% de moins que l’Hexagone).

Cet amendement propose donc que le comité de suivi des retraites chargé de rendre un avis annuel et public accorde une place spécifique aux problématiques ultramarines en vue de réduire les inégalités avec l’Hexagone.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après l'article 10 à l'article 10).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2578 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes JASMIN et LUBIN, M. RAYNAL, Mmes LE HOUEROU et POUMIROL, M. TISSOT, Mme PRÉVILLE, M. FÉRAUD, Mme CONWAY-MOURET et MM. PLA, GILLÉ, Patrice JOLY, CARDON et BOURGI


ARTICLE 10


Après l’alinéa 4

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« …° Analysant la situation comparée des Français du territoire européen de la France et des Français des collectivités régies par l’article 73 de la Constitution, en tenant compte des différences de montants de pension, de la durée d’assurance respective, de l’impact des écarts de niveaux du salaire minimum de croissance et des années de cotisations des travailleurs indépendants en particulier les artisans et commerçants sur les écarts de pensions. » ;

Objet

Si de nombreux paramètres portent atteinte au calcul du montant des pensions de retraites des salariés et travailleurs ultramarins.Certaines modalités spécifiques aux Outre-mer concourent fortement à de fortes disparités de niveau de pension entre Français, qu’ils aient pu cotiser en France hexagonale ou dans les territoires ultramarins.

Le montant du SMIC dans les Outre-mer n’a pas toujours été égal au montant du SMIC de la France hexagonale. Le niveau et le traitement des cotisations des artisans et commerçants ont également été différents.

Par exemple, à La Réunion, le SMIC n’a été aligné sur le montant national qu’en 1996. Par ailleurs, dans les DOM, le régime de prestations familiales ne fut véritablement appliqué qu’à partir des années 1970 et seulement pour certaines catégories de salariés.

Jusqu’à la suppression définitive du FASSO en 1993, le versement des allocations familiales dans les DOM ne s’est jamais effectué dans les mêmes conditions qu’en métropole et les barèmes appliqués dans les DOM ont toujours été moins avantageux (Terral, Roméo. « Soixante ans d’extension de la législation sociale dans les DOM : l’exemple de la Guadeloupe aux Antilles françaises (1946-2006) », Revue française des affaires sociales, no. 4, 2014, pp. 12-27.) Il est donc demandé d’apporter une attention particulière à l’existence de ces inégalités afin de ne pas les reproduire dans l’évaluation du montant des retraites des salariés ayant exercé en Outre-mer.

Par ailleurs, le régime de cotisation des artisans et commerçants ultramarins a également fait l’objet d’une situation spécifique durant de nombreuses années, et ce jusqu’en 2000. Dès lors, un nombre important d’entre ne peuvent prétendre qu’à 33 années de cotisations alors même que dans l’Hexagone, ils pourraient prétendre à 42 ou 43 annuités.

Cet amendement propose donc que le comité de suivi des retraites chargé de rendre un avis annuel et public accorde une place spécifique aux problématiques ultramarines en vue de réduire les inégalités avec l’Hexagone.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 613

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes CONCONNE, LUBIN et Gisèle JOURDA et M. DURAIN


ARTICLE 10


Après l’alinéa 4

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« …° Analysant la situation comparée en France hexagonale et dans les collectivités régies par l’article 73 de la Constitution en tenant compte des différences de montants de pension, de la durée d’assurance respective et de l’impact des spécificités de carrière dans les collectivités visées sur les écarts de pension et d’âge effectif de départ en retraite. » ;

Objet

Le présent projet de loi de financement rectificatif de la sécurité sociale portant réforme du système de retraites ne contient à ce stade aucune mesure spécifique concernant la dite outre-mer. Pourtant, la situation y est très différente de celle de l’hexagone en raison de l’arrivée tardive de la sécurité sociale dans ces territoires et de la persistance, liée à l'histoire, d’une part importante de travail informel ou de défauts de déclaration.

Les carrières hachées sont, de ce fait, surreprésentées dans les outre-mer et très difficiles à reconstituer faute d’archives complètes. Il en ressort un niveau de pension de base sensiblement plus bas que dans l’hexagone et un nombre très important de retraités pauvres, voire très pauvres.

Il apparaît donc important que le comité de suivi des retraites puisse analyser ces spécificités et en assurer le suivi dans le cadre de ses missions. C’est l’objet de cet amendement.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3941 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 10


Après l'alinéa 4

Insérer deux alinéas ainsi rédigés :

« 5° Analysant la situation comparée des pensions de retraite perçues dans l’hexagone et dans les départements et régions d’outre-mer, et examinant la situation du système de retraite appliqué dans lesdits départements et régions d’outre-mer au regard, en particulier, de l’impact de l’économie informelle, des taux de chômage et de la non intégration de la majoration de traitement perçue par les fonctionnaires en service dans le calcul des retraites. » ;

 ...) Au cinquième alinéa du II, les mots : « le cas prévu au 1°» sont remplacés par les mots : « les cas prévus aux 1° et 5° » ;

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent élargir les indicateurs de suivi du Comité de suivi des retraites pour une prise en compte à part entière des éléments structurels et conjoncturels caractérisant les territoires d’outre-mer.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4959

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3941 rect. de Mme ASSASSI

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 10


Alinéa 3

après les mots : "des taux de chômage"

Insérer les mots " de l'impact exceptionnel de la crise sanitaire"

Objet

Ce sous amendement insère un critère supplémentaire au titre des indicateurs s'appliquant à l'Outre-mer, prévus par les auteurs de l'amendement pour  être pris en compte par le Comité de suivi des retraites. Nous souhaitons que la question de l'impact de la crise sanitaire outre-mer soit également appréhendée par cet organisme. Ces départements et territoires ont eu des difficultés particulières à endiguer la pandémie, l'état d'urgence a du être prolongé, avec des conséquences avérées sur le travail et donc un impact sur les retraites.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3949 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 10


Après l’alinéa 4

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« …° Analysant le temps passé à la retraite et le temps passé à la retraite en bonne santé, tenant compte de l’évolution de l’espérance de vie et de l’espérance de vie en bonne santé des retraités, en tenant compte des différences liées au genre et aux catégories socio-professionnelles. » ;

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent intégrer dans les prérogatives d’analyse du Comité de Suivi des retraites, afin de renforcer son avis annuel sur l’évolution du système de retraite, la prise en compte d’une donnée essentielle, celle de l’espérance de vie et plus particulièrement de l’espérance de vie en bonne santé.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4595

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. LABBÉ, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. GONTARD, BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS et FERNIQUE, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 10


Après l'alinéa 4

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« ...° Analysant le temps passé à la retraite et le temps passé à la retraite en bonne santé, tenant compte de l’évolution de l’espérance de vie et de l’espérance de vie en bonne santé des retraités, en tenant compte des différences liées au genre et aux catégories socio-professionnelles. » ;

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires propose que l'avis annuel et public du COR prévu à l'article  L'article L. 114-4 du code de la sécurité sociale analyse le temps passé à la retraite et le temps passé à la retraite en bonne santé, tenant compte de l’évolution de l’espérance de vie et de l’espérance de vie en bonne santé des retraités, en tenant compte des différences liées au genre et aux catégories socio-professionnelles.

En effet, 5% des travailleurs meurent avant d'arriver à la retraite, ce sont majoritairement des hommes très modestes. Si le présent projet de loi était adopté, ce risque augmenterait en passant à 6,5% : ce seraient donc, à minima 9 000 personnes supplémentaires chaque année qui mourraient avant d'avoir touché leur retraite.

De plus, selon le COR, même sans nouvelle réforme des retraites, pour toutes les personnes nées entre 1950 et 1975, « les gains d’espérance de vie seraient entièrement consacrés à allonger la durée d’activité après 60 ans ».

Ce constat est particulièrement vrai pour les femmes pour qui l’espérance de vie à 60 ans progresserait moins que pour les hommes. Ainsi, avec la proposition de réforme des retraites présentée dans le présent projet de loi, les génération 50 à 75 auront une durée de retraite moins longue, que ce soit en année ou en pourcentage de la vie, et cela concernera a fortiori les femmes.

Pour un homme, l’âge moyen de départ à la retraite est de 62 ans. L’espérance de vie est de 79,4 ans et l’espérance de vie en bonne santé est de 64,4 ans. En moyenne, hors distinction selon les CSP, un homme passe donc environ deux ans à la retraite en pleine santé. En reportant l’âge légal de 62 à 64 ans, un homme passerait en moyenne 4 mois de sa retraite en pleine santé.

Pour une femme, l’âge moyen de départ à la retraite est de 62,6 ans. L’espérance de vie est de 85,5 ans et l’espérance de vie en bonne santé est de 65,9 ans. En moyenne, hors distinction selon les CSP, les femmes passent 3,3 ans de leur retraite en bonne santé. En reportant l’âge légal de 62 à 64 ans, une femme passera moins de deux ans de sa retraite en pleine santé.

Les inégalités d'espérance de vie à la retraite sont également liées aux catégories socio-professionnelles : l’espérance de vie à la naissance des hommes est en moyenne de 84,4 ans pour les 5% les plus riches contre seulement 71,7 ans pour les 5% les plus pauvres, soit un écart de 13 ans.

En moyenne, hors distinction de genre ou de catégorie socioprofessionnelle, la présente réforme des retraites viendra réduire, pour toutes et tous, le temps passé au repos en bonne santé.

Par cet amendement, le groupe Écologiste Solidarité et Territoire souhaite donc alerter sur le caractère injuste et brutal du présent projet de loi, et proposer que les dimensions d'analyse de l'évolution de l'espérance de vie en bonne santé soient analysées dans le rapport annuel du Conseil d'orientation des retraites, avec une attention particulières pour les inégalités liés au genre, et au CSP.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5725

10 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 4595 de M. LABBÉ

présenté par

C
G  
Non soutenu

M. KERROUCHE


ARTICLE 10


Amendement n°4595

Alinéa 3

Après le mot « santé », ajouter les mots « et les incidences sur la vie et les activités quotidiennes », et après les mots « au genre », insérer les mots : «, au niveau de vie »

Objet

L’espérance de vie en bonne santé et un indicateur de santé publique qui mesure le nombre d’années que peut espérer vivre une personne sans être limitée dans ses activités quotidiennes par un problème de santé.

L’espérance de vie à la naissance s’allonge régulièrement, mais ces années supplémentaires de vie ne sont cependant pas toutes nécessairement vécues « en bonne santé ».

 En 2021, les hommes âgés de 65 ans, peuvent espérer vivre 11,3 ans.   

Les femmes âgées de 65 ans, peuvent espérer vivre 12,6 ans.

Derrière cette moyenne se cachent cependant d’énormes disparités : si l’espérance de vie en bonne santé a augmenté dans tous les groupes socioprofessionnels, l’écart entre ouvriers et cadres reste le même.

Une étude a montré que les ouvriers vivent moins longtemps que les cadres, et qu’ils passent plus de temps qu’eux, avec des incapacités et des handicaps.

Une analyse fine et précise de l’espérance de vie sans incapacité des différentes catégories socioprofessionnelles est donc essentielle pour traiter la question des retraites avec plus de justice et d’égalité.

Ce sous-amendement propose de compléter l’analyse prévue par l’amendement n°4595 de nos collègues, des incidences de cette espérance de « santé » sur la vie et les activités quotidiennes des personnes et au regard de leur niveau de vie.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5729

10 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 4595 de M. LABBÉ

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme MEUNIER


ARTICLE 10


Alinéa 3

Après le mot « santé », ajouter les mots « et les incidences sur la vie et les activités quotidiennes », et après les mots « au genre », insérer les mots : «, au niveau de vie »

Objet

L’espérance de vie en bonne santé est un indicateur de santé publique qui mesure le nombre d’années que peut espérer vivre une personne sans être limitée dans ses activités quotidiennes par un problème de santé.

L’espérance de vie à la naissance s’allonge régulièrement, mais ces années supplémentaires de vie ne sont cependant pas toutes nécessairement vécues « en bonne santé ».

 En 2021, les hommes âgés de 65 ans, peuvent espérer vivre 11,3 ans.   

Les femmes âgées de 65 ans, peuvent espérer vivre 12,6 ans.

Derrière cette moyenne se cachent cependant d’énormes disparités : si l’espérance de vie en bonne santé a augmenté dans tous les groupes socioprofessionnels, l’écart entre ouvriers et cadres reste le même.

Une étude a montré que les ouvriers vivent moins longtemps que les cadres, et qu’ils passent plus de temps qu’eux, avec des incapacités et des handicaps.

Une analyse fine et précise de l’espérance de vie sans incapacité des différentes catégories socioprofessionnelles est donc essentielle pour traiter la question des retraites avec plus de justice et d’égalité.

Notre sous-amendement propose de compléter l’analyse prévue par l’amendement n°4595 de nos collègues, des incidences de cette espérance de « santé » sur la vie et les activités quotidiennes des personnes et au regard de leur niveau de vie.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5738

10 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 4595 de M. LABBÉ

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. FICHET


ARTICLE 10


Alinéa 3

Alinéa 3

Après le mot « santé », ajouter les mots « et les incidences sur la vie et les activités quotidiennes », et après les mots « au genre », insérer les mots : «, au niveau de vie »

Objet

L’espérance de vie en bonne santé est un indicateur de santé publique qui mesure le nombre d’années que peut espérer vivre une personne sans être limitée dans ses activités quotidiennes par un problème de santé.

L’espérance de vie à la naissance s’allonge régulièrement, mais ces années supplémentaires de vie ne sont cependant pas toutes nécessairement vécues « en bonne santé ».

 En 2021, les hommes âgés de 65 ans, peuvent espérer vivre 11,3 ans.   

Les femmes âgées de 65 ans, peuvent espérer vivre 12,6 ans.

Derrière cette moyenne se cachent cependant d’énormes disparités : si l’espérance de vie en bonne santé a augmenté dans tous les groupes socioprofessionnels, l’écart entre ouvriers et cadres reste le même.

Une étude a montré que les ouvriers vivent moins longtemps que les cadres, et qu’ils passent plus de temps qu’eux, avec des incapacités et des handicaps.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5739

10 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 4595 de M. LABBÉ

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. FÉRAUD


ARTICLE 10


Alinéa 3

Après le mot « santé », ajouter les mots « et les incidences sur la vie et les activités quotidiennes », et après les mots « au genre », insérer les mots : «, au niveau de vie »

Objet

L’espérance de vie en bonne santé est un indicateur de santé publique qui mesure le nombre d’années que peut espérer vivre une personne sans être limitée dans ses activités quotidiennes par un problème de santé.

L’espérance de vie à la naissance s’allonge régulièrement, mais ces années supplémentaires de vie ne sont cependant pas toutes nécessairement vécues « en bonne santé ».

 En 2021, les hommes âgés de 65 ans, peuvent espérer vivre 11,3 ans.   

Les femmes âgées de 65 ans, peuvent espérer vivre 12,6 ans.

Derrière cette moyenne se cachent cependant d’énormes disparités : si l’espérance de vie en bonne santé a augmenté dans tous les groupes socioprofessionnels, l’écart entre ouvriers et cadres reste le même.

Une étude a montré que les ouvriers vivent moins longtemps que les cadres, et qu’ils passent plus de temps qu’eux, avec des incapacités et des handicaps.

Une analyse fine et précise de l’espérance de vie sans incapacité des différentes catégories socioprofessionnelles est donc essentielle pour traiter la question des retraites avec plus de justice et d’égalité.

Notre sous-amendement propose de compléter l’analyse prévue par l’amendement n°4595 de nos collègues, des incidences de cette espérance de « santé » sur la vie et les activités quotidiennes des personnes et au regard de leur niveau de vie.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5740

10 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 4595 de M. LABBÉ

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LE HOUEROU


ARTICLE 10


Alinéa 3

Après le mot « santé », ajouter les mots « et les incidences sur la vie et les activités quotidiennes », et après les mots « au genre », insérer les mots : «, au niveau de vie »




Objet

L’espérance de vie en bonne santé est un indicateur de santé publique qui mesure le nombre d’années que peut espérer vivre une personne sans être limitée dans ses activités quotidiennes par un problème de santé.

L’espérance de vie à la naissance s’allonge régulièrement, mais ces années supplémentaires de vie ne sont cependant pas toutes nécessairement vécues « en bonne santé ».

En 2021, les hommes âgés de 65 ans, peuvent espérer vivre 11,3 ans.   

Les femmes âgées de 65 ans, peuvent espérer vivre 12,6 ans.

Derrière cette moyenne se cachent cependant d’énormes disparités : si l’espérance de vie en bonne santé a augmenté dans tous les groupes socioprofessionnels, l’écart entre ouvriers et cadres reste le même.

Une étude a montré que les ouvriers vivent moins longtemps que les cadres, et qu’ils passent plus de temps qu’eux, avec des incapacités et des handicaps.

Une analyse fine et précise de l’espérance de vie sans incapacité des différentes catégories socioprofessionnelles est donc essentielle pour traiter la question des retraites avec plus de justice et d’égalité.

Notre sous-amendement propose de compléter l’analyse prévue par l’amendement n°4595 de nos collègues, des incidences de cette espérance de « santé » sur la vie et les activités quotidiennes des personnes et au regard de leur niveau de vie.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5742

10 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 4595 de M. LABBÉ

présenté par

C
G  
Non soutenu

M. ÉBLÉ


ARTICLE 10


Article 10

Alinéa 3

Après le mot « santé », ajouter les mots « et les incidences sur la vie et les activités quotidiennes », et après les mots « au genre », insérer les mots : «, au niveau de vie »

Objet

L’espérance de vie en bonne santé est un indicateur de santé publique qui mesure le nombre d’années que peut espérer vivre une personne sans être limitée dans ses activités quotidiennes par un problème de santé.
L’espérance de vie à la naissance s’allonge régulièrement, mais ces années supplémentaires de vie ne sont cependant pas toutes nécessairement vécues « en bonne santé ».
En 2021, les hommes âgés de 65 ans, peuvent espérer vivre 11,3 ans.
Les femmes âgées de 65 ans, peuvent espérer vivre 12,6 ans.
Derrière cette moyenne se cachent cependant d’énormes disparités : si l’espérance de vie en bonne santé a augmenté dans tous les groupes socioprofessionnels, l’écart entre ouvriers et cadres reste le même.
Une étude a montré que les ouvriers vivent moins longtemps que les cadres, et qu’ils passent plus de temps qu’eux, avec des incapacités et des handicaps.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5743

10 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 4595 de M. LABBÉ

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme ROSSIGNOL


ARTICLE 10


Amendement n° 4595, alinéa 3

1° Après le mot :

santé

insérer les mots :

et les incidences sur la vie et les activités quotidiennes

2° Après les mots :

au genre

insérer les mots :

au niveau de vie

Objet

L’espérance de vie en bonne santé est un indicateur de santé publique qui mesure le nombre d’années que peut espérer vivre une personne sans être limitée dans ses activités quotidiennes par un problème de santé.

L’espérance de vie à la naissance s’allonge régulièrement, mais ces années supplémentaires de vie ne sont cependant pas toutes nécessairement vécues « en bonne santé ».

 En 2021, les hommes âgés de 65 ans, peuvent espérer vivre 11,3 ans.   

Les femmes âgées de 65 ans, peuvent espérer vivre 12,6 ans.

Derrière cette moyenne se cachent cependant d’énormes disparités : si l’espérance de vie en bonne santé a augmenté dans tous les groupes socioprofessionnels, l’écart entre ouvriers et cadres reste le même.

Une étude a montré que les ouvriers vivent moins longtemps que les cadres, et qu’ils passent plus de temps qu’eux, avec des incapacités et des handicaps.

Une analyse fine et précise de l’espérance de vie sans incapacité des différentes catégories socioprofessionnelles est donc essentielle pour traiter la question des retraites avec plus de justice et d’égalité.

Notre sous-amendement propose de compléter l’analyse prévue par l’amendement n°4595 de nos collègues, des incidences de cette espérance de « santé » sur la vie et les activités quotidiennes des personnes et au regard de leur niveau de vie.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5744

10 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 4595 de M. LABBÉ

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. MÉRILLOU


ARTICLE 10


Amendement n° 4595, alinéa 3

1° Après le mot :

santé

insérer les mots :

et les incidences sur la vie et les activités quotidiennes

2° Après les mots :

au genre

insérer les mots :

au niveau de vie

Objet

L’espérance de vie en bonne santé est un indicateur de santé publique qui mesure le nombre d’années que peut espérer vivre une personne sans être limitée dans ses activités quotidiennes par un problème de santé.

L’espérance de vie à la naissance s’allonge régulièrement, mais ces années supplémentaires de vie ne sont cependant pas toutes nécessairement vécues « en bonne santé ».

 En 2021, les hommes âgés de 65 ans, peuvent espérer vivre 11,3 ans.   

Les femmes âgées de 65 ans, peuvent espérer vivre 12,6 ans.

Derrière cette moyenne se cachent cependant d’énormes disparités : si l’espérance de vie en bonne santé a augmenté dans tous les groupes socioprofessionnels, l’écart entre ouvriers et cadres reste le même.

Une étude a montré que les ouvriers vivent moins longtemps que les cadres, et qu’ils passent plus de temps qu’eux, avec des incapacités et des handicaps.

Une analyse fine et précise de l’espérance de vie sans incapacité des différentes catégories socioprofessionnelles est donc essentielle pour traiter la question des retraites avec plus de justice et d’égalité.

Notre sous-amendement propose de compléter l’analyse prévue par l’amendement n°4595 de nos collègues, des incidences de cette espérance de « santé » sur la vie et les activités quotidiennes des personnes et au regard de leur niveau de vie.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5745

10 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 4595 de M. LABBÉ

présenté par

C
G  
Non soutenu

Mme VAN HEGHE


ARTICLE 10


Alinéa 3

Alinéa 3

Après le mot « santé », ajouter les mots « et les incidences sur la vie et les activités quotidiennes », et après les mots « au genre », insérer les mots : «, au niveau de vie »

Objet

L’espérance de vie en bonne santé est un indicateur de santé publique qui mesure le nombre d’années que peut espérer vivre une personne sans être limitée dans ses activités quotidiennes par un problème de santé.

L’espérance de vie à la naissance s’allonge régulièrement, mais ces années supplémentaires de vie ne sont cependant pas toutes nécessairement vécues « en bonne santé ».

 En 2021, les hommes âgés de 65 ans, peuvent espérer vivre 11,3 ans.   

Les femmes âgées de 65 ans, peuvent espérer vivre 12,6 ans.

Derrière cette moyenne se cachent cependant d’énormes disparités : si l’espérance de vie en bonne santé a augmenté dans tous les groupes socioprofessionnels, l’écart entre ouvriers et cadres reste le même.

Une étude a montré que les ouvriers vivent moins longtemps que les cadres, et qu’ils passent plus de temps qu’eux, avec des incapacités et des handicaps.

Une analyse fine et précise de l’espérance de vie sans incapacité des différentes catégories socioprofessionnelles est donc essentielle pour traiter la question des retraites avec plus de justice et d’égalité.

Notre sous-amendement propose de compléter l’analyse prévue par l’amendement n°4595 de nos collègues, des incidences de cette espérance de « santé » sur la vie et les activités quotidiennes des personnes et au regard de leur niveau de vie.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5746

10 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 4595 de M. LABBÉ

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. TISSOT


ARTICLE 10


Alinéa 3

Après le mot « santé », ajouter les mots « et les incidences sur la vie et les activités quotidiennes », et après les mots « au genre », insérer les mots : «, au niveau de vie »

Objet

L’espérance de vie en bonne santé est un indicateur de santé publique qui mesure le nombre d’années que peut espérer vivre une personne sans être limitée dans ses activités quotidiennes par un problème de santé.

L’espérance de vie à la naissance s’allonge régulièrement, mais ces années supplémentaires de vie ne sont cependant pas toutes nécessairement vécues « en bonne santé ».

En 2021, les hommes âgés de 65 ans, peuvent espérer vivre 11,3 ans.   

Les femmes âgées de 65 ans, peuvent espérer vivre 12,6 ans.

Derrière cette moyenne se cachent cependant d’énormes disparités : si l’espérance de vie en bonne santé a augmenté dans tous les groupes socioprofessionnels, l’écart entre ouvriers et cadres reste le même.

Une étude a montré que les ouvriers vivent moins longtemps que les cadres, et qu’ils passent plus de temps qu’eux, avec des incapacités et des handicaps.

Une analyse fine et précise de l’espérance de vie sans incapacité des différentes catégories socioprofessionnelles est donc essentielle pour traiter la question des retraites avec plus de justice et d’égalité.

Notre sous-amendement propose de compléter l’analyse prévue par l’amendement n°4595 de nos collègues, des incidences de cette espérance de « santé » sur la vie et les activités quotidiennes des personnes, au regard de leur niveau de vie.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5747

10 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 4595 de M. LABBÉ

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. CARDON


ARTICLE 10


Alinéa 3

Après le mot « santé », ajouter les mots « et les incidences sur la vie et les activités quotidiennes », et après les mots « au genre », insérer les mots : «, au niveau de vie »

Objet

L’espérance de vie en bonne santé est un indicateur de santé publique qui mesure le nombre d’années que peut espérer vivre une personne sans être limitée dans ses activités quotidiennes par un problème de santé.

L’espérance de vie à la naissance s’allonge régulièrement, mais ces années supplémentaires de vie ne sont cependant pas toutes nécessairement vécues « en bonne santé ».

 En 2021, les hommes âgés de 65 ans, peuvent espérer vivre 11,3 ans.   

Les femmes âgées de 65 ans, peuvent espérer vivre 12,6 ans.

Derrière cette moyenne se cachent cependant d’énormes disparités : si l’espérance de vie en bonne santé a augmenté dans tous les groupes socioprofessionnels, l’écart entre ouvriers et cadres reste le même.

Une étude a montré que les ouvriers vivent moins longtemps que les cadres, et qu’ils passent plus de temps qu’eux, avec des incapacités et des handicaps.

Une analyse fine et précise de l’espérance de vie sans incapacité des différentes catégories socioprofessionnelles est donc essentielle pour traiter la question des retraites avec plus de justice et d’égalité.

Notre sous-amendement propose de compléter l’analyse prévue par l’amendement n°4595 de nos collègues, des incidences de cette espérance de « santé » sur la vie et les activités quotidiennes des personnes et au regard de leur niveau de vie.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4699 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes Mélanie VOGEL et PONCET MONGE, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI, SALMON, CHANTREL et LECONTE


ARTICLE 10


Après l’alinéa 4

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« …° Analysant les conséquences des évolutions législatives et de la situation économique survenues depuis son dernier rapport annuel sur les retraites des Françaises et Français établis à l’étranger » ;

Objet

De par leur situation particulière et notamment de par le fait qu’ils effectuent souvent une partie de leur carrière professionnelle à l’étranger, les Françaises et Français établis à l’étranger ne peuvent souvent pas bénéficier des avantages des réformes du système des retraites.

Pour ne nommer qu’un exemple, la réforme actuelle prévoit de majorer le Minimum Contributif majoré (MICO majoré). Or, pour être éligible au MICO majoré, il faut avoir cotisé au moins 120 trimestres en France. Ce qui peut paraître comme une évidence si uniquement les carrières entièrement effectuées en France sont considérées. Cependant, les personnes qui n’ont pas effectué leur carrière entière en France ne touchent souvent pas une retraite française à taux plein. Même si elles touchent à la place une retraite d’un pays tiers, voire de plusieurs pays tiers, le montant total de leur retraite peut être peu élevé dans certains cas. Une des manières pour y remédier serait de verser le MICO majoré au prorata des années travaillées en France.

Cet amendement vise à élargir le champ du rapport annuel du Comité de suivi des retraites pour qu’il porte une attention particulière à ces effets indésirables.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2059 rect. ter

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté - vote unique

MM. RETAILLEAU, MOUILLER, ANGLARS, BABARY, BACCI, BAS, BASCHER, BAZIN et BELIN, Mmes BELLUROT, BELRHITI et BERTHET, MM. Étienne BLANC et Jean-Baptiste BLANC, Mme BONFANTI-DOSSAT, MM. BONHOMME, BONNE et BONNUS, Mme BORCHIO FONTIMP, MM. BOUCHET et BOULOUX, Mme BOURRAT, MM. BRISSON, BURGOA, CADEC, CALVET et CAMBON, Mme CANAYER, M. CARDOUX, Mme CHAIN-LARCHÉ, MM. CHAIZE, CHARON et CHEVROLLIER, Mmes de CIDRAC et Laure DARCOS, MM. DARNAUD et DAUBRESSE, Mmes DELMONT-KOROPOULIS, DEMAS, DESEYNE, DI FOLCO, DUMAS, DUMONT, ESTROSI SASSONE et EUSTACHE-BRINIO, MM. FAVREAU, Bernard FOURNIER, FRASSA et FROGIER, Mme GARNIER, M. GENET, Mmes Frédérique GERBAUD et GOSSELIN, M. GREMILLET, Mme GRUNY, MM. GUENÉ, GUERET, HUGONET et HUSSON, Mmes IMBERT, JACQUES et JOSEPH, MM. JOYANDET et KAROUTCHI, Mme LASSARADE, M. Daniel LAURENT, Mme LAVARDE, MM. LEFÈVRE, de LEGGE, Henri LEROY et LE RUDULIER, Mme MALET, MM. MANDELLI et MEIGNEN, Mme MICOULEAU, M. MILON, Mme MULLER-BRONN, M. de NICOLAY, Mme NOËL, MM. NOUGEIN, PANUNZI, PERRIN et PIEDNOIR, Mme PLUCHET, M. POINTEREAU, Mmes PRIMAS, PUISSAT et RAIMOND-PAVERO, MM. RAPIN et REGNARD, Mmes RENAUD-GARABEDIAN et RICHER, MM. RIETMANN, ROJOUAN, SAURY, SAUTAREL et SAVIN, Mme SCHALCK, MM. SEGOUIN, SIDO, SOL, SOMON et TABAROT, Mmes THOMAS et VENTALON et MM. Cédric VIAL et Jean Pierre VOGEL


ARTICLE 10


I. – Après l’alinéa 10

Insérer quinze alinéas ainsi rédigés :

2° bis Le titre V du livre III est complété par un chapitre VIII ainsi rédigé :

« Chapitre VIII

« Pension d’orphelin

« Art. L. 358-1. – En cas de décès, de disparition ayant entraîné une déclaration judiciaire de décès en application de l’article 88 du code civil ou d’absence telle que définie aux articles 112 et 122 du même code, de l’ensemble des personnes avec lesquelles il entretient un lien de filiation au sens des articles 310-1, 356 et 358 dudit code, l’orphelin a droit à une pension pour chaque assuré décédé, disparu ou absent.

« La pension d’orphelin est égale à un pourcentage fixé par décret de la pension principale dont bénéficiait ou aurait bénéficié chaque assuré décédé, disparu ou absent au régime général. Lorsque l’assuré concerné n’a pas atteint l’âge fixé à l’article L. 161-17-2 du présent code, les modalités de calcul de la pension principale sont précisées par décret.

« Art. L. 358-2. – La somme des pensions d’orphelins versées au titre de l’article L. 358-1 au titre d’un assuré décédé, disparu ou absent ne peut excéder la pension principale dont bénéficiait ou aurait bénéficié cet assuré au régime général. Le cas échéant, la pension principale est répartie à parts égales entre les orphelins ayant demandé à bénéficier de la prestation.

« En cas d’ouverture d’un nouveau droit pour un nouveau bénéficiaire, le montant des pensions d’orphelin des autres bénéficiaires est révisé.

« Art L. 358-3. – Sans préjudice des dispositions du premier alinéa de l’article L. 358-2, la pension d’orphelin ne peut être inférieure à un montant minimum fixé par décret.

« Art. L. 358-4. – La pension est versée sur le compte de dépôt mentionné à l’article L. 312-1 du code monétaire et financier personnel de l’orphelin.

« Art. L. 358-5. – La pension d’orphelin est due jusqu’à un âge prévu par décret. Cet âge est majoré d’un nombre d’années déterminé par décret si les revenus d’activité éventuels du bénéficiaire n’excèdent pas un plafond dans des conditions prévues par décret.

« La pension d’orphelin est due sans condition d’âge aux bénéficiaires qui, à l’âge non majoré prévu au premier alinéa du présent article, justifient d’une incapacité permanente au moins égale au pourcentage prévu au premier alinéa de l’article L. 821-1, et sous réserve que leurs revenus d’activité éventuels, prévus au premier alinéa du présent article, n’excèdent pas le plafond mentionné au même premier alinéa.

« Art. L. 358-6. – La pension prend définitivement fin :

« 1° En cas d’adoption plénière de l’orphelin ou lorsque le parent absent ou disparu reparaît au lieu de son domicile ;

« 2° Lorsque la condition de revenus mentionnée à l’article L. 358-5 n’est plus remplie.

« Art. L. 358-7. – Les bénéficiaires de la pension d’orphelin ou, lorsqu’ils sont mineurs non émancipés, leurs tuteurs sont tenus de déclarer à l’organisme qui leur sert cette pension tout changement survenu dans leurs liens de filiation et, à compter de l’âge non majoré mentionné au premier alinéa de l’article L. 358-5, tout changement survenu dans leurs revenus d’activité. Ils sont tenus de déclarer au même organisme tout changement au regard de l’incapacité permanente des bénéficiaires mentionnés au second alinéa du même article L. 358-5. » ;

II. – Alinéa 40

Après le mot :

insérer les mots :

et le 4°

III. – Après l’alinéa 42

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

Le 2° bis du I s’applique aux décès, disparitions et absences survenus à compter du 1er septembre 2023.

Objet

Les enfants devenus orphelins ne peuvent prétendre à aucune pension au titre du régime général. Or, leurs parents ont doublement contribué à l’équilibre du système d’assurance vieillesse par leurs cotisations et par leur contribution au renouvellement des générations.

En revanche, le régime de la fonction publique propose le versement d’une pension d’orphelin versée aux enfants jusqu’à leurs 21 ans. Ce même régime prévoit également le versement de la pension de réversion du parent décédé aux orphelins.

Cet amendement entend corriger cette inégalité de traitement. Il vise à faire bénéficier les enfants dont les parents étaient affiliés au régime général d’une pension d’orphelin. En outre, les orphelins souffrant d’un handicap supérieur à 80% avant 21 ans pourront bénéficier d’une pension de réversion quel que soit leur âge sous condition de revenus.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2569

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté - vote unique

Le Gouvernement


ARTICLE 10


I. – Après l’alinéa 10

Insérer quinze alinéas ainsi rédigés :

2° bis Le titre V du livre III est complété par un chapitre VIII ainsi rédigé :

« Chapitre VIII

« Pension d’orphelin

« Art. L. 358-1. – En cas de décès, de disparition ayant entraîné une déclaration judiciaire de décès en application de l’article 88 du code civil ou d’absence telle que définie aux articles 112 et 122 du même code, de l’ensemble des personnes avec lesquelles il entretient un lien de filiation au sens des articles 310-1, 356 et 358 dudit code, l’orphelin a droit à une pension pour chaque assuré décédé, disparu ou absent.

« La pension d’orphelin est égale à un pourcentage fixé par décret de la pension principale dont bénéficiait ou aurait bénéficié chaque assuré décédé, disparu ou absent au régime général. Lorsque l’assuré concerné n’a pas atteint l’âge fixé à l’article L. 161-17-2 du présent code, les modalités de calcul de la pension principale sont précisées par décret.

« Art. L. 358-2. – La somme des pensions d’orphelins versées au titre de l’article L. 358-1 au titre d’un assuré décédé, disparu ou absent ne peut excéder la pension principale dont bénéficiait ou aurait bénéficié cet assuré au régime général. Le cas échéant, la pension principale est répartie à parts égales entre les orphelins ayant demandé à bénéficier de la prestation.

« En cas d’ouverture d’un nouveau droit pour un nouveau bénéficiaire, le montant des pensions d’orphelin des autres bénéficiaires est révisé.

« Art L. 358-3. – Sans préjudice des dispositions du premier alinéa de l’article L. 358-2, la pension d’orphelin ne peut être inférieure à un montant minimum fixé par décret.

« Art. L. 358-4. – La pension est versée sur le compte de dépôt mentionné à l’article L. 312-1 du code monétaire et financier personnel de l’orphelin.

« Art. L. 358-5. – La pension d’orphelin est due jusqu’à un âge prévu par décret. Cet âge est majoré d’un nombre d’années déterminé par décret si les revenus d’activité éventuels du bénéficiaire n’excèdent pas un plafond dans des conditions prévues par décret.

« La pension d’orphelin est due sans condition d’âge aux bénéficiaires qui, à l’âge non majoré prévu au premier alinéa du présent article, justifient d’une incapacité permanente au moins égale au pourcentage prévu au premier alinéa de l’article L. 821-1, et sous réserve que leurs revenus d’activité éventuels, prévus au premier alinéa du présent article, n’excèdent pas le plafond mentionné au même premier alinéa.

« Art. L. 358-6. – La pension prend définitivement fin :

« 1° En cas d’adoption plénière de l’orphelin ou lorsque le parent absent ou disparu reparaît au lieu de son domicile ;

« 2° Lorsque la condition de revenus mentionnée à l’article L. 358-5 n’est plus remplie.

« Art. L. 358-7. – Les bénéficiaires de la pension d’orphelin ou, lorsqu’ils sont mineurs non émancipés, leurs tuteurs sont tenus de déclarer à l’organisme qui leur sert cette pension tout changement survenu dans leurs liens de filiation et, à compter de l’âge non majoré mentionné au premier alinéa de l’article L. 358-5, tout changement survenu dans leurs revenus d’activité. Ils sont tenus de déclarer au même organisme tout changement au regard de l’incapacité permanente des bénéficiaires mentionnés au second alinéa du même article L. 358-5. » ;

II. – Alinéa 40

Après le mot :

insérer les mots :

et le 4°

III. – Après l’alinéa 42

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

Le 2° bis du I s’applique aux décès, disparitions et absences survenus à compter du 1er septembre 2023.

Objet

La perte, pour un enfant, de ses deux parents, outre qu’elle constitue un drame, peut-être une source d’importante iniquité dans les années suivantes et peut s’accompagner d’une précarité financière importante. Or, les parents ont doublement contribué à l’équilibre du système d’assurance vieillesse par leurs cotisations et leur contribution au renouvellement des générations. C’est pourquoi le Gouvernement souhaite que l’assurance vieillesse verse, jusqu’à l’âge de leur autonomie, une pension d’orphelin.

Tel est l’objet du présent amendement.

Il prévoit le versement d’une pension pour orphelin, dont le taux sera défini par décret. Afin de préserver le caractère contributif du régime, le total des pensions orphelin versées au titre d’un même assuré décédé ne pourra pas dépasser le montant de la pension principale. Toutefois, afin de limiter le risque de versement de pensions trop faibles, un niveau de pension d’orphelin minimum est prévu.

Peuvent avoir droit à une pension l’ensemble des orphelins dont l’âge sera fixé par décret à vingt-et-un an. Cet âge pourra être prolongé jusqu’à vingt-cinq ans pour les jeunes encore dans un parcours d’insertion social, apprécié sur la base d’un seuil de revenu, permettant notamment aux apprentis et aux étudiants de continuer de bénéficier de leur pension d’orphelin.

Les orphelins souffrant d’un handicap supérieur à 80% avant 21 ans pourront bénéficier d’une pension d’orphelin quel que soit leur âge sous condition de revenus.

La pension est versée tant qu’il n’existe plus de lien de filiation et disparait en cas de reconstitution d’un tel lien, soit par la réapparition d’une personne absente, soit par adoption plénière.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4736

3 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté - vote unique

Mme DOINEAU et M. SAVARY

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 10


I. – Après l’alinéa 10

Insérer quinze alinéas ainsi rédigés :

2° bis Le titre V du livre III est complété par un chapitre VIII ainsi rédigé :

« Chapitre VIII

« Pension d’orphelin

« Art. L. 358-1. – En cas de décès, de disparition ayant entraîné une déclaration judiciaire de décès en application de l’article 88 du code civil ou d’absence telle que définie aux articles 112 et 122 du même code, de l’ensemble des personnes avec lesquelles il entretient un lien de filiation au sens des articles 310-1, 356 et 358 dudit code, l’orphelin a droit à une pension pour chaque assuré décédé, disparu ou absent.

« La pension d’orphelin est égale à un pourcentage fixé par décret de la pension principale dont bénéficiait ou aurait bénéficié chaque assuré décédé, disparu ou absent au régime général. Lorsque l’assuré concerné n’a pas atteint l’âge fixé à l’article L. 161-17-2 du présent code, les modalités de calcul de la pension principale sont précisées par décret.

« Art. L. 358-2. – La somme des pensions d’orphelins versées au titre de l’article L. 358-1 au titre d’un assuré décédé, disparu ou absent ne peut excéder la pension principale dont bénéficiait ou aurait bénéficié cet assuré au régime général. Le cas échéant, la pension principale est répartie à parts égales entre les orphelins ayant demandé à bénéficier de la prestation.

« En cas d’ouverture d’un nouveau droit pour un nouveau bénéficiaire, le montant des pensions d’orphelin des autres bénéficiaires est révisé.

« Art L. 358-3. – Sans préjudice des dispositions du premier alinéa de l’article L. 358-2, la pension d’orphelin ne peut être inférieure à un montant minimum fixé par décret.

« Art. L. 358-4. – La pension est versée sur le compte de dépôt mentionné à l’article L. 312-1 du code monétaire et financier personnel de l’orphelin.

« Art. L. 358-5. – La pension d’orphelin est due jusqu’à un âge prévu par décret. Cet âge est majoré d’un nombre d’années déterminé par décret si les revenus d’activité éventuels du bénéficiaire n’excèdent pas un plafond dans des conditions prévues par décret.

« La pension d’orphelin est due sans condition d’âge aux bénéficiaires qui, à l’âge non majoré prévu au premier alinéa du présent article, justifient d’une incapacité permanente au moins égale au pourcentage prévu au premier alinéa de l’article L. 821-1, et sous réserve que leurs revenus d’activité éventuels, prévus au premier alinéa du présent article, n’excèdent pas le plafond mentionné au même premier alinéa.

« Art. L. 358-6. – La pension prend définitivement fin :

« 1° En cas d’adoption plénière de l’orphelin ou lorsque le parent absent ou disparu reparaît au lieu de son domicile ;

« 2° Lorsque la condition de revenus mentionnée à l’article L. 358-5 n’est plus remplie.

« Art. L. 358-7. – Les bénéficiaires de la pension d’orphelin ou, lorsqu’ils sont mineurs non émancipés, leurs tuteurs sont tenus de déclarer à l’organisme qui leur sert cette pension tout changement survenu dans leurs liens de filiation et, à compter de l’âge non majoré mentionné au premier alinéa de l’article L. 358-5, tout changement survenu dans leurs revenus d’activité. Ils sont tenus de déclarer au même organisme tout changement au regard de l’incapacité permanente des bénéficiaires mentionnés au second alinéa du même article L. 358-5. » ;

II. – Alinéa 40

Après le mot :

insérer les mots :

et le 4°

III. – Après l’alinéa 42

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

Le 2° bis du I s’applique aux décès, disparitions et absences survenus à compter du 1er septembre 2023.

Objet

Le présent amendement prévoit le versement d’une pension pour orphelin, dont le taux sera défini par décret. Afin de préserver le caractère contributif du régime, le total des pensions orphelin versées au titre d’un même assuré décédé ne pourra pas dépasser le montant de la pension principale. Toutefois, afin de limiter le risque de versement de pensions trop faibles, un niveau de pension d’orphelin minimum est prévu.

Pourront avoir droit à une pension l’ensemble des orphelins dont l’âge sera fixé par décret à vingt-et-un an. Cet âge pourra être prolongé jusqu’à vingt-cinq ans pour les jeunes dont les revenus n’excèdent pas un plafond.

Les orphelins souffrant d’un handicap supérieur à 80% avant 21 ans pourront bénéficier d’une pension d’orphelin, quel que soit leur âge, sous condition de revenus.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4650

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté - vote unique

Le Gouvernement


ARTICLE 10


I. – Alinéa 8

Après la référence :

L. 381-2

insérer les mots :

ou des périodes pendant lesquelles les fonctionnaires, magistrats et militaires vérifiaient les conditions d’affiliation à l’assurance vieillesse du régime général mentionnées à ces articles mais étaient affiliés à un régime spécial

II. – Après l’alinéa 28

Insérer un paragraphe ainsi rédigé :

…. – Le dernier de l’article L. 17 du code des pensions civiles et militaires de retraite est ainsi rédigé :

« Un décret en Conseil d’État détermine les conditions dans lesquelles les périodes validées en application des articles L. 381-1 et L. 381-2 du code de la sécurité sociale ou les périodes pendant lesquelles les fonctionnaires, magistrats et militaires vérifiaient les conditions d’affiliation obligatoire à l’assurance vieillesse du régime général mentionnées à ces articles mais étaient affiliés à un régime spécial sont considérées comme des périodes de services effectifs pour l’application du présent article. »

Objet

L’article 10 organise la prise en compte des périodes au cours desquelles l’assuré était affilié au régime général au titre de l’assurance vieillesse du parent au foyer ou de l’assurance vieillesse des aidants pour le calcul du minimum contributif majoré, par dérogation à la règle selon laquelle sont prises en compte les périodes qui ont donné lieu à cotisations de la part de l’assuré.

Le présent amendement complète ce dispositif en prenant également en compte les périodes au cours desquelles les assurés étaient aidants ou parents au foyer mais affiliés au régime du code des pensions civiles et militaires de l’Etat ou de la Caisse nationale de retraite des agents des collectivités locales.

L’amendement prévoit également que les périodes accomplies comme proche aidant ou parent au foyer dans ces deux régimes ainsi qu’au régime général soient prises en compte pour le calcul du minimum garanti prévu par le code des pensions civiles et militaires de retraite.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2155

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté - vote unique

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 10


Alinéa 10

Remplacer les mots :

majoré prévu à la seconde phrase du premier alinéa est revalorisé

par les mots :

prévu à la première phrase du premier alinéa et celui du minimum majoré prévu à la seconde phrase du même alinéa sont revalorisés

Objet

Amendement rédactionnel.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2058 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté - vote unique

MM. RETAILLEAU, ANGLARS, BABARY, BACCI, BAS, BASCHER, BAZIN et BELIN, Mmes BELLUROT, BELRHITI et BERTHET, MM. Étienne BLANC et Jean-Baptiste BLANC, Mme BONFANTI-DOSSAT, MM. BONHOMME, BONNE et BONNUS, Mme BORCHIO FONTIMP, MM. BOUCHET, BOULOUX, Jean-Marc BOYER et CHATILLON, Mme DI FOLCO, MM. Jean Pierre VOGEL et Cédric VIAL, Mmes VENTALON et THOMAS, MM. TABAROT, SOMON, SOL, SIDO et SEGOUIN, Mme SCHALCK, MM. SAVIN, SAUTAREL, SAURY, ROJOUAN et RIETMANN, Mme RICHER, MM. REGNARD et RAPIN, Mmes RAIMOND-PAVERO et PUISSAT, M. POINTEREAU, Mme PLUCHET, MM. PIEDNOIR, PERRIN, PANUNZI et NOUGEIN, Mme NOËL, M. de NICOLAY, Mme MULLER-BRONN, MM. MOUILLER, MILON, MEIGNEN et MANDELLI, Mmes MALET et MICOULEAU, MM. LE RUDULIER, de LEGGE, Henri LEROY et LEFÈVRE, Mme LAVARDE, M. Daniel LAURENT, Mme LASSARADE, MM. KAROUTCHI et JOYANDET, Mmes JOSEPH, JACQUES et IMBERT, MM. HUGONET, GUERET et GUENÉ, Mme GRUNY, M. GREMILLET, Mmes GOY-CHAVENT, GOSSELIN et Frédérique GERBAUD, M. GENET, Mme GARNIER, MM. FROGIER, FRASSA, Bernard FOURNIER et FAVREAU, Mmes EUSTACHE-BRINIO, ESTROSI SASSONE, DUMONT, DUMAS, DESEYNE et DELMONT-KOROPOULIS, MM. DAUBRESSE et DARNAUD, Mmes Laure DARCOS et de CIDRAC, MM. CHEVROLLIER, CHARON et CHAIZE, Mme CHAIN-LARCHÉ, M. CARDOUX, Mme CANAYER, MM. CAMBON, CALVET, CADEC, BURGOA et BRISSON et Mme BOURRAT


ARTICLE 10


I. – Après l’alinéa 10

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

2° bis. Le second alinéa de l’article L. 815-1 est complété par les mots : « sa durée ne pouvant être inférieure à neuf mois par année civile ».

II. – Alinéa 42

Remplacer les mots :

Le 2° des I et II s’applique

par les mots :

Les 2° et le 2° bis du I ainsi que les 1° bis, 2° et 2° bis du II s’appliquent

Objet

L’allocation de solidarité aux personnes âgées (ASPA) ou minimum vieillesse est versée aux retraités justifiant de faibles ressources et résidant sur le territoire français. La prestation n’est pas exportable. L’assuré doit justifier qu’il réside six mois en France au cours de l’année civile pour bénéficier de cette prestation.

Cet amendement prévoit que cette condition de résidence soit portée à 9 mois pour les allocations prenant effet à compter du 1er septembre 2023, en cohérence avec la règle applicable pour le bénéfice du revenu de solidarité active (RSA).



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3951 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 10


I. – Alinéas 11 à 13

Supprimer ces alinéas.

II. – Pour compenser la perte de recettes résultant du I, compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

…. – La perte de recettes résultant pour l’État du présent article est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent déconditionner l’allocation de solidarité aux personnes âgées (Aspa) à son remboursement par les héritiers. Les auteurs de cet amendement considérent que cela n’est pas aux enfants dont les parents avaient de très faibles revenus de rembourser cette allocation. En effet cela entraine pour beaucoup d’entre eux la perte de leur héritage. Cette allocation de solidarité doit l’être véritablement, sans recouvrement des sommes allouées.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 778 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme Maryse CARRÈRE, MM. ARTANO, BILHAC, CABANEL et CORBISEZ, Mme Nathalie DELATTRE, MM. GOLD et GUIOL, Mme PANTEL et M. ROUX


ARTICLE 10


I. - Alinéas 11 à 13

Remplacer ces alinéas par un alinéa ainsi rédigé :

3° L’article L. 815-13 est abrogé.

II. - Pour compenser la perte de recettes résultant du I, compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

…. – La perte de recettes résultant pour les organismes de sécurité sociale du présent article est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services. 

Objet

Cet amendement propose de supprimer la récupération sur succession de l’ASPA, qui pénalise l'accès à cette allocation.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3689 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

MM. BOUAD, MONTAUGÉ, MICHAU et BOURGI, Mme BLATRIX CONTAT, M. PLA, Mme POUMIROL, MM. STANZIONE, TEMAL et KERROUCHE, Mme JASMIN, MM. REDON-SARRAZY et TISSOT, Mme LE HOUEROU et MM. MÉRILLOU, CARDON, Patrice JOLY et FÉRAUD


ARTICLE 10


I. – Alinéas 11 à 13

Remplacer ces alinéas par un alinéa ainsi rédigé :

...° L’article L. 815-13 est abrogé ;

II. – Pour compenser la perte de recettes résultant du I, compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

…. – La perte de recettes résultant pour les organismes de sécurité sociale du présent article est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services

Objet

En France métropolitaine 1 067 000 personnes âgées de plus de 65 ans vivent sous le seuil de pauvreté selon l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE).

Dans ce contexte, l'ASPA représente un outil indispensable afin de garantir un revenu minimum décent aux personnes de plus de 65 ans. Si cette allocation est un pilier de notre modèle social, on peut néanmoins s'inquiéter du taux de non-recours.

Selon une étude de la direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (DREES) seulement 50 % des bénéficiaires potentiels perçoivent effectivement l'ASPA. Au total, cela représente 790 millions d'euros qui n'ont pas été versés à des retraités aux revenus très modestes et qui en auraient eu besoin pour leurs consommations du quotidien.

Le rapport de l'Assemblée nationale sur l'évaluation des politiques publiques en faveur de l'accès aux droits sociaux présenté le 26 octobre 2016 identifiait la reprise de cette prestation au moment de la succession comme une cause majeure du non-recours notamment au sein des territoires ruraux.

Afin de lutter contre le non recours, cet amendement prévoit de supprimer la possibilité de reprise de l’ASPA lors des successions.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3324

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 10


I. – Alinéa 11 à 13

Remplacer ces alinéas par deux alinéas ainsi rédigés :

3° L’article L. 815-13 est ainsi rédigé :                                              

« Art. L.815-13.– Le versement de l’allocation ne donne lieu à aucun recouvrement sur les successions après le décès du bénéficiaire. »                                    

II. – Pour compenser la perte de recettes résultant du I, compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

…. – La perte de recettes résultant pour l’État du présent article est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

 

Objet

Par cet amendement, nous demandons la suppression de la règle de récupération sur succession de l’ASPA.                                                              

La récupération sur succession de l’ASPA, est d’autant scandaleuse qu’elle produit du non-recours et qu’elle est bien une taxation sur succession réservé aux plus modestes alors que fleurissent les contournements de la taxation des gros patrimoines.

L’ASPA est une prestation de solidarité qui assure un revenu minimum aux plus âgées.

Selon la DRESS, en 2016, selon l’EIR (échantillon interrégimes de retraités) apparié aux données fiscales, 646 800 personnes seules de 65 ans ou plus ou inaptes dont l’âge est supérieur à l’âge d’ouverture des droits vérifient la condition de ressources pour une personne seule fin 2016 (les « éligibles »). Parmi elles, seules 325 700 personnes (50 %) perçoivent effectivement le minimum vieillesse. Ainsi, 321 200 personnes se situent sous le plafond de ressources pour une personne seule (et sont donc éligibles selon les données fiscales) mais n’ont pas recours au minimum vieillesse, soit un taux de non-recours estimé à 50 %.

Deux explications sont souvent avancées pour expliquer l’importance du non-recours au minimum vieillesse : l’ignorance du dispositif et la récupération sur succession.

Par cet amendement, nous demandons que le versement de l’allocation ne donne lieu à aucun recouvrement sur les successions après le décès du bénéficiaire.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4597

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. LABBÉ, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. GONTARD, BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS et FERNIQUE, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 10


I.- Alinéa 11 à 13

Remplacer ces alinéas par deux alinéas ainsi rédigés :

3° Le deuxième alinéa de l'article L. 815-13 est ainsi rédigé : 

« Toutefois, la récupération n'est opérée que sur la fraction de l'actif net qui excède un seuil dont le montant, revalorisé dans les mêmes conditions que celles prévues au même article L. 816-2, est fixé par décret, et ne peut être inférieur à 300 000 euros. » ;

II. – Pour compenser la perte de recettes résultant du I, compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

... –La perte de recettes résultant pour les organismes de sécurité sociale du présent article est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

Objet

Par cet amendement de repli, le Groupe Écologiste Solidarité et Territoires propose d’augmenter le seuil de recouvrement sur succession de l’ASPA à un montant minimal de 300 000 euros.

Pour rappel, l’aide versée peut en effet être reprise sur la succession du bénéficiaire après son décès sur la fraction de l’actif net qui excède 39 000 €, un montant porté à 100 000 euros pour les Outre-mer. 

Le Gouvernement s'est engagé par ce projet de loi à porter, par décret, ce montant à 100 000 euros.

Si le Groupe Écologiste, Solidarité et Territoires souhaite la suppression de la règle de récupération sur succession de l’ASPA, il propose, par cet amendement de repli, de fixer dans la loi, un réhaussement du seuil de recouvrement pour la métropole et les Outre-mer, à un niveau de 300 000 euros.
          
La récupération sur succession de l’ASPA, en effet scandaleuse, car elle est bien une taxation sur succession réservé aux plus modestes alors que fleurissent les contournements de la taxation des gros patrimoines.

Il a de plus été montré que cette récupération était d’une des raisons importantes du non recours à l’ASPA : Selon la DRESS, en 2016, sur 646 800 personnes éligibles, seules 50 % d’entre elles percevaient effectivement ce minimum vieillesse – l’autre moitié n’ayant pas faite la demande.

Certes une partie de ce non recours s’explique par la non-connaissance du dispositif. Si cette allocation est connue de 62 % des Français, seuls 19 % d'entre eux savent assez précisément qui peut en bénéficier. Dans un rapport d’octobre 2021, la Cour des comptes soulignait le taux élevé de non-recours en pointant la complexité du dispositif. Elle soulignait également les résultats d’une enquête de 2018, réalisée par la CCMSA auprès de plusieurs caisses de son réseau. Ses résultats ont  confirmé la nécessité d’une information sur le minimum vieillesse plus systématique auprès des personnes éligibles, afin de diminuer le taux de non recours.

Ceci pose, une fois de plus, la question des inégalités face aux services publics et aux systèmes d’aide d’Etat : les inégalités se cumulent, et crée un système qui rend plus difficile la sortie de la précarité. Une personne en situation de précarité aura bien moins de ressources pour accéder à la connaissance des aides, et pour en effectuer la demande, qu’un ménage aisé, qui pourra bénéficier d’aide et de conseil pour bénéficier de nombreux dispositifs fiscaux et sociaux. De même, pour effectuer la demande d’aide, les personnes précaires et âgées sont plus en difficulté pour effectuer les démarches en ligne, du fait de problèmes plus fréquents d 'illectronisme. Elles seront aussi plus en difficulté pour avoir les moyens de se déplacer en mairie, a fortiori dans les territoires ruraux, quand on sait que la précarité économique est le plus souvent liée à des problèmes de santé, qui ne facilitent pas la mobilité. 

Mais, au-delà de cette non connaissance du dispositif, la crainte d'une récupération sur succession est également un facteur important de non-recours.

Il est certain que le fait que cette prestation ne soit en réalité qu’une avance qui doive être remboursée au moment du décès de la personne aidée a un effet dissuasif auprès des personnes âgées.

En effet, ce montant n'était jusqu'ici pas indexé sur une grandeur économique et n'a pas évolué depuis 1982. Il était donc complètement déconnecté des réalités actuelles. Ainsi, une personne âgée ayant très peu de revenus, mais un minimum de bien, qui peut donc rester dans une situation de précarité, craignant que ses descendants aient à rembourser le montant de son ASPA. 

Si la mesure proposée ici par le texte semble aller dans le bon sens, nous estimons en revanche qu'il faut fixer dans la loi un seuil de recouvrement de l'ASPA qui permette d'éviter le non-recours, et une taxation du patrimoine des plus modestes.

Enfin, le groupe Écologiste, Solidarité et Territoires tient à rappeler que, si l'objectif de diminution du non recours à l’ASPA est louable, son montant reste inférieur au seuil de pauvreté, et n’apporte donc pas de garantie suffisante pour les personnes concernées. Avec ce projet de réforme des retraites, les retraités les plus modestes seront donc contraints de rester dans la précarité.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4598

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. LABBÉ, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. GONTARD, BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS et FERNIQUE, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 10


I. - Alinéa 11 à 13

Remplacer ces alinéas par deux alinéas ainsi rédigés :

3° Le deuxième alinéa de l'article L. 815-13 est ainsi rédigé : 

« Toutefois, la récupération n'est opérée que sur la fraction de l'actif net qui excède un seuil dont le montant, revalorisé dans les mêmes conditions que celles prévues au même article L. 816-2, est fixé par décret,  et ne peut être inférieur à 200 000 euros. » ;

II. – Pour compenser la perte de recettes résultant du I, compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

....– La perte de recettes pour les organismes de sécurité sociale est compensée à due concurrence par la majoration de l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

Objet

Cet amendement de repli vise à augmenter le seuil de recouvrement de l’ASPA à 200 000 euros.

Pour rappel, l’ASPA peut être reprise sur la succession du bénéficiaire après son décès sur la fraction de l’actif net qui excède 39 000 €, un montant porté à 100 000 euros pour les Outre-mer. 

Le Gouvernement s'est engagé dans le cadre de ce projet de loi à porter, par décret, ce montant à 100 000 euros, mesure largement insuffisante.

Si le Groupe Écologiste, Solidarité et Territoires souhaite la suppression de la règle de récupération sur succession de l’ASPA, il propose, par cet amendement de repli, de fixer dans la loi, un rehaussement du seuil de recouvrement pour la métropole et les Outre-mer, à un niveau de 200 000 euros.
          
La récupération sur succession de l’ASPA, en effet scandaleuse, car elle est bien une taxation sur succession réservé aux plus modestes alors que fleurissent les contournements de la taxation des gros patrimoines.

Il a de plus été montré que ce recouvrement était d’une des raisons importantes du non recours à l’ASPA : Selon la DRESS, en 2016, sur 646 800 personnes éligibles, seules 50 % d’entre elles percevaient effectivement ce minimum vieillesse – l’autre moitié n’ayant pas faite la demande.

Certes une partie de ce non recours s’explique par la non-connaissance du dispositif. Mais la crainte d'une récupération sur succession est également un facteur important de non-recours. Il est certain que le fait que cette prestation ne soit en réalité qu’une avance qui doive être remboursée au moment du décès de la personne aidée a un effet dissuasif auprès des personnes âgées.

Notamment, le seuil de recouvrement n'était jusqu'ici pas indexé sur une grandeur économique et n'a pas évolué depuis 1982. Il était donc complètement déconnecté des réalités actuelles. Ainsi, une personne âgée ayant très peu de revenus, mais un minimum de bien, qui peut donc rester dans une situation de précarité, craignant que ses descendants aient à rembourser le montant de son ASPA. 

Si la mesure proposée ici par le texte semble aller dans le bon sens, nous estimons en revanche qu'il faut fixer dans la loi un seuil de recouvrement de l'ASPA qui permette d'éviter le non-recours, et une taxation du patrimoine des plus modestes. C'est pour cela que cet amendement propose de le porter à 200 000 euros, en métropole comme dans les Outre-mer.

Enfin, le groupe Ecologiste, Solidarité et Territoire tient à rappeler que, si l'objectif de diminution du non recours à l’ASPA est louable, son montant reste inférieur au seuil de pauvreté, et n’apporte donc pas de garantie suffisante pour les personnes concernées. Avec ce projet de réforme des retraites, les retraités les plus modestes seront donc contraints de rester dans la précarité.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 159 rect.

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. LUREL et Mmes CONCONNE et LE HOUEROU


ARTICLE 10


I. – Alinéas 11 à 13

Remplacer ces alinéas par un alinéa ainsi rédigé :

3° Au deuxième alinéa de l’article L. 815-13, les mots : « par décret. Dans les collectivités régies par l’article 73 de la Constitution, ce seuil est de 100 000 euros jusqu’au 31 décembre 2026 » sont remplacés par les mots : « à 100 000 euros et revalorisé dans les mêmes conditions que celles prévues à l’article L. 816-2 » ;

II. – Pour compenser la perte de recettes résultant du I, compléter cet article par deux paragraphes ainsi rédigés :

…. – La perte de recettes résultant pour les organismes de sécurité sociale du présent article est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

…. – La perte de recettes résultant pour l’État du présent article est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

Objet

Sur le modèle de l’expérimentation en vigueur dans les DROM, le présent amendement vise à étendre le relèvement du seuil de récupération sur succession à 100 000 euros à l’ensemble du territoire national et à prévoir sa revalorisation périodique.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2912 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 10


Alinéa 12

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à supprimer la fixation du seuil de succession de l'ASPA minimum vieillesse par décret, pour le graver dans le marbre de la loi dans la mesure où le Gouvernement s'est engagé à le porter à 100 000 euros (contre 39 000 euros aujourd'hui).



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2156

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté - vote unique

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 10


Alinéa 12

Rédiger ainsi cet alinéa :

...) À la première phrase, les mots : « par décret » sont remplacés par les mots : « à 100 000 euros au 1er septembre 2023 et revalorisé dans les mêmes conditions que celles prévues au même article L. 816-2 » ;

Objet

Cet amendement vise à garantir que le seuil de récupération sur succession des sommes versées au titre de l'allocation de solidarité aux personnes âgées sera fixé à 100 000 euros au 1er septembre 2023, plutôt que d'en renvoyer la fixation au décret.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2499

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté - vote unique

M. LUREL et Mmes CONCONNE, Gisèle JOURDA et LE HOUEROU


ARTICLE 10


Alinéa 12

Rédiger ainsi cet alinéa :

...) À la première phrase, les mots : « par décret » sont remplacés par les mots : « à 100 000 euros au 1er septembre 2023 et revalorisé dans les mêmes conditions que celles prévues au même article L. 816-2 » ;

Objet

Cet amendement vise à étendre le seuil de récupération sur succession des sommes versées au titre de l'ASPA fixé à 100 000 euros  dans les DROM à l'ensemble du territoire national à compter du 1er septembre 2023.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2574 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté - vote unique

Mmes JASMIN et LE HOUEROU, M. ÉBLÉ, Mmes BLATRIX CONTAT et PRÉVILLE, M. TISSOT, Mme POUMIROL, MM. FÉRAUD, BOURGI et Patrice JOLY, Mme CONWAY-MOURET et MM. PLA, GILLÉ et CARDON


ARTICLE 10


Alinéa 12

Rédiger ainsi cet alinéa :

...) À la première phrase, les mots : « par décret » sont remplacés par les mots : « à 100 000 euros au 1er septembre 2023 et revalorisé dans les mêmes conditions que celles prévues au même article L. 816-2 » ;

Objet

Cet amendement vise à pérenniser dans la loi le montant du seuil de récupération sur succession des sommes versées au titre de l'allocation de solidarité aux personnes âgées en Outre-mer.

Cette avancée incontestable de la loi n° 2017-256 du 28 février 2017 de programmation relative à l’égalité réelle outre-mer, parue au journal officiel du 1er mars 2017, qui a permis de relever le plafond de récupération sur succession de l’ASPA à 100 000 euros dans les outre-mer jusqu’au 31 décembre 2026, peut ainsi être généralisée à tous dès septembre 2023.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3960 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 10


Alinéa 12

Compléter cet alinéa par les mots :

qui ne peut être inférieur à 300 000 euros

II. – Pour compenser la perte de recettes résultant du I, compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

…. – La perte de recettes résultant pour l’État du présent article est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

Objet

Les membres du groupe CRCE par cet amendement de repli entendent porter l’actif successoral en deçà duquel les sommes servies au titre de minimum vieillesse ne sont plus dues par l’héritier à un montant minimal de 300 000 euros.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 157 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. LUREL et Mmes LE HOUEROU et JASMIN


ARTICLE 10


Alinéa 13

Supprimer cet alinéa.

 

Objet

Cet amendement propose d’empêcher la suppression envisagée par cet article du dispositif mis en place par la loi Egalité réelle Outre-mer de 2017 permettant de relever le seuil de recouvrement à 100 000 euros de l’ASPA dans les départements et régions d’outre-mer.

Pour rappel, l’ASPA constitue un montant minimum de pension de vieillesse accordé, sous condition de ressources, aux personnes n’ayant pas suffisamment cotisé aux régimes de retraite pour pouvoir bénéficier d’un revenu d’existence décent à l’âge de la retraite. La particularité de cette prestation tient au fait qu’à la mort du bénéficiaire ses héritiers doivent rembourser à l’Etat les sommes perçues par le défunt de son vivant au-delà d’un seuil fixé à 39.000 euros. Comme l’atteste la plupart des rapports sur le sujet, cette récupération sur succession l’une des raisons principales expliquant le non-recours considérable au bénéfice de l’ASPA.

C’est ainsi que la loi du 28 février 2017 relative à l’égalité réelle dans les outre-mer a porté le seuil du relèvement du seuil de récupération sur succession, de 39 000 à 100 000 euros pour les seuls DROM. Un assouplissement manifeste du dispositif inscrit dans la loi que le Gouvernement propose aujourd’hui de supprimer pour le renvoyer à un décret.

Préférant se fier à une loi qu’à une disposition réglementaire voire à un engagement pris dans un dossier de presse gouvernemental, cet amendement propose ainsi de conserver les avancées votées en 2017 pour les pensionnés des outre-mer.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 610

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes CONCONNE, LUBIN et Gisèle JOURDA et M. DURAIN


ARTICLE 10


Alinéa 13

Supprimer cet alinéa.

Objet

Cet amendement de repli vise à maintenir le seuil de 100 000 euros établi pour les collectivités d'outre-mer en dessous duquel les sommes versées au titre de l'allocation de solidarité aux personnes âgées (ASPA) ne sont pas récupérables. En effet, la récupération sur héritage est extrêmement dissuasive et explique en partie le faible taux de recours à cette allocation en outre-mer alors même que de nombreux retraités sont en situation de grande pauvreté.

Dans les collectivités d'outre-mer, en effet, il existe un grand nombre de retraités qui, bien que vivant sous le seuil de grande pauvreté, sont propriétaires de leur logement. Cela s'explique notamment par l'importance historique de l'habitat spontané qui a été largement régularisé au cours de la fin du XXeme siècle. Ces retraités ne souhaitent pas priver leurs enfants de leur héritage.

Le présent projet de loi prévoit la suppression de la mention de ce seuil à 100.000€ pour les outre-mer dans le code de la sécurité sociale, le seuil devant être harmonisé à 100.000€ sur l’ensemble du territoire national. Cette harmonisation est renvoyée à un décret et ne dépendra donc plus que du Gouvernement qui ne sera tenu par aucune obligation légale et qui pourra modifier les montants du seuil très facilement, sans débat parlementaire.

Il importe donc de conserver ce seuil de 100.000€ dans la loi. Une réflexion doit, par ailleurs, être engagée sur l’évolution du dispositif qui pourrait consister à déconjugaliser l’ASPA et à sortir la résidence principale de la récupération successorale afin d’augmenter le taux de recours.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3966 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 10


Alinéa 13

Supprimer cet alinéa.

Objet

Les membres du groupe CRCE s’interrogent sur la rédaction du présent alinéa qui viserait à supprimer le seuil spécifique de 100 000 euros pour les allocataires de l’ASPA, soit le minimum vieillesse, au-dessus duquel est due par l’héritier une reprise sur la succession. Or, le Gouvernement en s’engageant à rehausser ce seuil à 100 000 euros pour l’ensemble de nos compatriotes, ne semblent pas avoir l’intention de porter un seuil dérogatoire pour les outres-mers ce qui ne correspond en rien à l’objectif d’équité que portent les auteurs de cet amendement.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3953 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 10


I. – Alinéa 13

Rédiger ainsi cet alinéa :

b) La seconde phrase est ainsi rédigée : « Dans les collectivités régies par l’article 73 de la Constitution, ce seuil est supprimé. »

II. – Pour compenser la perte de recettes résultant du I, compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

…. – La perte de recettes résultant pour l’État du présent article est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent par cet amendement de repli supprimer le seuil de 100 000 euros qui constituent l’actif successoral au-dessus duquel le minimum vieillesse est récupérable au bénéficiaire de la succession.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2230

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. LUREL


ARTICLE 10


I. – Alinéa 13

Rédiger ainsi cet alinéa :

b) Après les mots : « de la Constitution, », la fin de la seconde phrase est ainsi rédigée : « la récupération ne peut être opérée sur la résidence principale du bénéficiaire de l’allocation. »

II. – Pour compenser la perte de recettes résultant du I, compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

…. – La perte de recettes résultant pour les organismes de sécurité sociale du présent article est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

Objet

Cet amendement propose d’exclure du montant de récupération la résidence principale du bénéficiaire de l'ASPA dans les Outre-mer.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2579 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes JASMIN, LE HOUEROU et POUMIROL, M. TISSOT, Mme PRÉVILLE, M. FÉRAUD, Mme CONWAY-MOURET, MM. CARDON, GILLÉ et PLA, Mme MONIER et MM. BOURGI et Patrice JOLY


ARTICLE 10


I. – Alinéa 13

Rédiger ainsi cet alinéa :

b) Après les mots : « de la Constitution, », la fin de la seconde phrase est ainsi rédigée : « la récupération ne peut être opérée sur la résidence principale du bénéficiaire de l’allocation. »

II. – Pour compenser la perte de recettes résultant du I, compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

…. – La perte de recettes résultant pour les organismes de sécurité sociale du présent article est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

Objet

Cet amendement vise à conserver la différenciation opérée depuis plusieurs années pour les retraités vivant dans les territoires ultramarins ayant droit à l’allocation de solidarité aux personnes âgées (ASPA).

En effet, depuis la Loi n° 2017-256 du 28 février 2017 de programmation relative à l’égalité réelle outre-mer et portant autres dispositions en matière sociale et économique, le montant de non récupération de cette allocation est de 39 000 euros sur le territoire européen de la France et de 100 000 euros dans les collectivités régies par l’article 73 de la Constitution.

Le Gouvernement souhaite renvoyer à un décret la fixation du seuil de récupération sur la succession de cette allocation, ce afin de lutter contre son non-recours. Il indique dans le dossier de presse vouloir fixer ce seuil à 100 000 euros contre 39 000 euros aujourd’hui. Il entend relever le montant prévu dans l’Hexagone au niveau de celui prévu spécifiquement pour les Outre-mer, mais il faudrait également exclure la résidence principale du bénéficiaire du montant de récupération.

En effet, comme l'indique le rapport de la délégation Outre-mer de l'Assemblée nationale , la situation dans les outre-mer est très différente de celle du reste du pays. En effet, alors que la plupart des agriculteurs hexagonaux sont propriétaires de leurs moyens de production, c’est rarement le cas dans certains les outre-mer où la terre appartient à de riches propriétaires terriens .

Une majorité des agriculteurs ultra-marins ne sont souvent que des ouvriers agricoles utilisant les moyens de production de leur employeur. La disposition excluant ces biens de la récupération sur succession ne leur est donc d’aucun secours.

Le plus souvent, le seul bien que possèdent ces personnes est leur logement. Or les agriculteurs vivant dans l’hexagone habitent le plus souvent dans leur ferme, considérée comme faisant partie des moyens de production et donc exclue du processus de récupération sur succession.

Ce n’est pas le cas les agriculteurs ultra-marins qui vivent le plus souvent au bourg, hors de l’exploitation agricole, surtout s’ils sont simples ouvriers agricoles. Leur logement est donc susceptible d’être récupéré par l’administration à leur décès, ce qui est
vécu comme une véritable injustice.

Dans la continuité des demandes effectuées par les sénateurs, notamment socialistes,  cet amendement propose d’exclure la résidence principale du bénéficiaire du montant de récupération.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 614

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes CONCONNE, LUBIN et Gisèle JOURDA et M. DURAIN


ARTICLE 10


I. – Alinéa 13

Rédiger ainsi cet alinéa :

b) À la seconde phrase, les mots : « ce seuil est de 100 000 euros jusqu’au 31 décembre 2026 » sont remplacés par les mots : « la récupération ne peut être opérée sur la résidence principale, telle que mentionnée à l’article 10 du code général des impôts, du bénéficiaire de l’allocation ».

II. – Pour compenser la perte de recettes résultant du I, compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

…. – La perte de recettes résultant pour les organismes de sécurité sociale du présent article est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

Objet

Dans les collectivités dites d'outre-mer, il existe un grand nombre de retraités qui, bien que vivant sous le seuil de grande pauvreté, sont propriétaires de leur logement. Cela s’explique notamment par l’importance historique de l’habitat spontané qui a été largement régularisé au cours de la fin du XXeme siècle. Ces retraités ne souhaitent pas priver leurs enfants d'héritage et renoncent donc, pour beaucoup, à recourir à l'allocation de solidarité pour les personnes âgées (ASPA) à laquelle ils auraient pourtant légitimement droit.

Le seuil de 100.000 euros qui a été fixé pour l'outre-mer en 2017 dans la loi EROM, en-deçà duquel la récupération des sommes versées au titre de l'ASPA ne peut avoir lieu, a constitué un progrès mais il reste insuffisant pour améliorer significativement le taux de recours à l'ASPA. En effet, le seuil établi ne couvre pas la valeur d'une résidence. Il serait donc plus opportun de substituer à ce seuil l'exonération de la résidence principale de la récupération successorale. Cet amendement vise donc à sortir la résidence principale du dispositif de récupération successorale en outre-mer.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2500

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. LUREL et Mmes CONCONNE, LE HOUEROU et Gisèle JOURDA


ARTICLE 10


I. – Alinéa 13

Rédiger ainsi cet alinéa :

b) À la fin de la seconde phrase, les mots : « 100 000 euros jusqu’au 31 décembre 2026 » sont remplacés par le montant : « 250 000 euros ».

II – Pour compenser la perte de recettes résultant du I, compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

…. – La perte de recettes résultant pour les organismes de sécurité sociale du présent article est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

Objet

Le présent amendement vise à prendre en compte le relèvement du seuil de récupération sur succession de l’ASPA de 39 000 à 100 000 euros proposé par le Gouvernement et de proposer ainsi aux bénéficiaires dans les DROM de conserver l'avantage différentiel dont ils avaient droit depuis la loi Egalité réelle de 2017. 

Considérant les spécificités de ces territoires il est donc proposé de relever le seuil de récupération de l'ASPA dans les collectivités régies par l’article 73 de la Constitution dans les mêmes proportions que précédemment, soit 2,5 fois le montant proposé par la présente loi (donc 250 000 euros) et de supprimer l’échéance de 2026.

 






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 106 rect. quater

10 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes MALET et DINDAR, MM. MOUILLER et BASCHER, Mmes Marie MERCIER et BELRHITI, M. PACCAUD, Mmes MULLER-BRONN, PETRUS, JACQUES et BILLON, M. PELLEVAT, Mme LASSARADE, MM. FAVREAU et GENET, Mme GUIDEZ et MM. Daniel LAURENT, CHARON, FRASSA, LAGOURGUE et DENNEMONT


ARTICLE 10


Alinéa 13

I. – Rédiger ainsi cet alinéa :

b) À la fin de la seconde phrase, les mots : « 100 000 euros jusqu’au 31 décembre 2026 » sont remplacés par le montant : « 150 000 euros ».

II – Pour compenser la perte de recettes résultant du I, compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

…. – La perte de recettes résultant pour les organismes de sécurité sociale du présent article est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

Objet

La loi du 28 février 2017 relative à l’égalité réelle dans les outre-mer a porté le seuil du relèvement du seuil de récupération sur succession, de 39 000 à 100 000 euros dans les collectivités régies par l’article 73 de la constitution. Ce relèvement, qui prendra fin le 1er janvier 2027, devait réduire le non-recours à l’Allocation de Solidarité aux Personnes Agées dans les outre-mer. Cinq ans après son adoption, force est de constater que cette modification n’a pas eu l’effet escompté.

A La Réunion, l’observatoire des transactions foncières relève qu’en 2021, le prix médian des ventes de maison par microrégion se situe au plus bas à 115 000 euros. Ce qui signifie qu’un actif net en héritage qui, dans les familles les plus modestes, n’est généralement constitué que du seul patrimoine habitable partagé, pourrait être vendu s’il y avait remboursement des sommes perçues au titre de l’ASPA Ce non recours à l’ASPA a été signalé dans les observations de la chambre régionale des comptes sur la gestion du RSA, avant sa recentralisation au 1er janvier 2020.

En réponse, le Département s’est engagé dans une action volontariste visant à accompagner les personnes âgées de plus de 62 ans vers les droits à la retraite et l’allocation de solidarité aux personnes âgées. Cet accompagnement est d’autant plus justifié qu’en choisissant de rester au RSA, les personnes âgées de plus de 65 ans pénalisent sensiblement leur revenu, le montant de l’ASPA étant largement supérieur à celui du RSA.

A titre d’exemple, les montants 2022, perçus pour une personne seule sont les suivants : 575,22 euros par mois pour le RSA et 976,78 euros par mois pour l’ASPA.

Le bilan des accompagnements engagés confirme la difficulté à les orienter vers leurs droits. La raison invoquée réside principalement dans les dispositions de l’article L815-13 du code de la sécurité sociale qui prévoient que les sommes versées au titre de l’ASPA peuvent être récupérées après le décès du bénéficiaire sur la succession.

La conséquence directe de ce non recours est un maintien dans la précarité et les seniors ne sont pas épargnés par la pauvreté : La Réunion compte 100 000 personnes âgées de + de 65 ans et le taux de pauvreté y est de 38 %. Il peut donc être considéré que dans cette tranche d’âge, environ 38 000 personnes sont éligibles à l’ASPA. Or en 2020, les bénéficiaires de cette allocation ne sont que 25 000.

Dans un contexte où près de 40 % des ménages pauvres sont propriétaires occupants non accédant, contre 25 % en métropole et où les solidarités intergénérationnelles sont essentielles pour garantir la cohésion sociale, le risque de récupération sur succession des sommes versées dissuade la personne âgée de solliciter l’ASPA. Ces ménages aux revenus limités, sont deux fois plus nombreux qu’en métropole, à être devenus propriétaire par héritage ou transmission. Pour autant, leurs descendants restent parmi les ménages les plus pauvres et la famille ne prend pas le risque de gager le capital immobilier familial. Cette solidarité intergénérationnelle fait partie des fondamentaux de la société créole ; dans un territoire où le taux de chômage est chroniquement au-dessus des 18 % et dont le taux d’emploi des jeunes est un des plus faibles de France.

Dans beaucoup de familles pauvres, la personne âgée contribue au fonctionnement familial par l’apport de la propriété du logement et les enfants l’accompagne au moment de sa perte d’autonomie. Cet accompagnement à domicile porté par des proches aidants est essentiel. Il vient en complément des politiques publiques de solidarité et il participe aux solutions de recours face au manque criant de structures d’accueil et d’hébergement pour les personnes âgées dépendantes.

Aussi, ce capital immobilier représente la seule « richesse économique » partagée de la famille. 

Le principe de récupération de l’Allocation de Solidarité aux Personnes Agées sur l’actif net au moment de la succession constitue donc pour ces ménages, un frein insurmontable. 

Face au constat du niveau de ressources dramatiquement bas des personnes âgées les plus pauvres, à La Réunion et plus largement dans les Outre-mer, situation encore une fois soulignée par l’INSEE, dans sa dernière étude, il est proposé de relever le seuil de récupération de l ‘ASPA et de supprimer l’échéance de 2026. 

Tel est l’objet de l’amendement qui s’inscrit en cohérence avec la mesure d’assouplissement proposée dans le présent PLFRSS






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 612 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme CONCONNE, M. LUREL, Mmes JASMIN, LUBIN et Gisèle JOURDA et M. DURAIN


ARTICLE 10


I. – Alinéa 13

Rédiger ainsi cet alinéa :

b) À la seconde phrase, les mots : « jusqu’au 31 décembre 2026 » sont supprimés.

II. – Pour compenser la perte de recettes résultant du I, compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

…. – La perte de recettes résultant pour les organismes de sécurité sociale du présent article est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

Objet

Cet amendement vise à pérenniser le seuil de 100 000 euros établi pour les collectivités d’outre-mer en dessous duquel les sommes versées au titre de l’allocation de solidarité aux personnes âgées (ASPA) ne sont pas récupérables. En effet, la récupération sur héritage est extrêmement dissuasive et explique en partie le faible taux de recours à cette allocation en outre-mer alors même que de nombreux retraités sont en situation de grande pauvreté.

Dans les collectivités d’outre-mer, en effet, il existe un grand nombre de retraités qui, bien que vivant sous le seuil de grande pauvreté, sont propriétaires de leur logement. Cela s’explique notamment par l’importance historique de l’habitat spontané qui a été largement régularisé au cours de la fin du XXeme siècle. Ces retraités ne souhaitent pas priver leurs enfants de leur héritage.

Le seuil de 100 000 euros doit s’éteindre en 2026. Le présent projet de loi prévoit la suppression de la mention de ce seuil à 100.000€ pour les outre-mer dans le code de la sécurité sociale, le seuil devant être harmonisé à 100.000€ sur l’ensemble du territoire national. Cette harmonisation est renvoyée à un décret et ne dépendra donc plus que du Gouvernement qui ne sera tenu par aucune obligation légale et qui pourra modifier les montants du seuil très facilement, sans débat parlementaire.

Il importe donc de pérenniser ce seuil de 100.000€ dans la loi et de l'harmoniser à l'ensemble du territoire.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 158 rect. bis

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. LUREL et Mmes CONCONNE, LE HOUEROU et JASMIN


ARTICLE 10


I. – Alinéa 13

Rédiger ainsi cet alinéa :

b) À la seconde phrase, l’année : « 2026 » est remplacée par l’année : « 2036 ».

II. – Pour compenser la perte de recettes résultant du I, compléter cet article par deux paragraphes ainsi rédigés :

…. – La perte de recettes résultant pour les organismes de sécurité sociale du présent article est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

…. – La perte de recettes résultant pour l’État du présent article est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

Objet

Cet amendement propose d’empêcher la suppression envisagée par cet article du dispositif mis en place par la loi Egalité réelle Outre-mer de 2017 permettant de relever le seuil de recouvrement à 100 000 euros de l’ASPA dans les départements et régions d’outre-mer et de prolonger le dispositif jusqu’en 2036.

Ce prolongement nous parait justifié puisque ce relèvement de seuil a montré son efficacité. Selon les données recueillies auprès de la Caisse générale de Sécurité sociale de Guadeloupe, cet assouplissement a en effet permis de faire passer le nombre de bénéficiaires de l’ASPA de 6 327 en 2017 à 10 272 personnes en 2022. Un succès dû, d’une part, à une formidable campagne de communication et de proximité opérée par la CGSS sur les médias locaux ou par contact direct avec les assurés et encouragé, d’autre part, par ce relèvement du montant du seuil de la récupération.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3955 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 10


I. - Après l’alinéa 13

Insérer deux alinéas ainsi rédigés :

…° Après le même deuxième alinéa, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :

« Dans les collectivités régies par l’article 73, la résidence principale n’est pas prise en compte pour l’application du deuxième alinéa du présent article. »

II. – Pour compenser la perte de recettes résultant du I, compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

…. – La perte de recettes résultant pour l’État du présent article est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent par cet amendement de repli que la résidence principale, ne soit pas intégrée au calcul de l’actif successoral dont le seuil est relevé à 100 000 euros par le présent article et qui constituent le montant au-dessus duquel le minimum vieillesse est récupérable au bénéficiaire de la succession.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4700 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes Mélanie VOGEL et PONCET MONGE, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI, SALMON, CHANTREL et LECONTE


ARTICLE 10


Après l’alinéa 13

Insérer un paragraphe ainsi rédigé : 

....- Au plus tard six mois après la promulgation de la présente loi, le Conseil d’orientation des retraites remet au Parlement un rapport sur le profil des personnes ne bénéficiant pas de l’augmentation du minimum contributif majoré et sur les possibilités de verser ce minimum contributif majoré au personnes ayant effectué qu’une partie de leur carrière en France au prorata des trimestres cotisés en France.

Objet

Le minimum contributif (MICO) vise à garantir une retraite plus élevée aux personnes qui autrement n’auraient qu’une retraite très faible. Pour une personne ayant cotisé au moins 120 trimestres, le MICO s’élève actuellement à 684,13 euros brut par mois. Or, le versement du MICO est conditionné à trois critères restrictifs, laissant de côté de nombreux pensionnaires.

Alors que le Gouvernement se vante de l’augmentation du MICO comme une mesure de progrès social, cet amendement demande au Conseil d’orientation des retraites d’étudier la question plus en détail pour identifier le profil des personnes qui ne bénéficient pas de cette augmentation.

Il est d’ores et déjà évident que de nombreuses Françaises et de nombreux Français ayant une carrière internationale n’ont pas droit au minimum contributif et, par ricochet, ne profitent pas de son augmentation. En effet, seules peuvent actuellement bénéficier du versement du MICO les personnes dont le montant total des pensions et retraites ne dépasse pas 1 322,87 euros mensuellement. Ce plafond peut pénaliser les Françaises et Français avec une carrière internationale, Français·es de l’étranger, car toute retraite versée par un pays tiers est également prise en compte dans le calcul du seuil. Ainsi, malgré une retraite française qui peut être très faible, ils peuvent dépasser le plafond parce que la pension qu’ils peuvent toucher grâce à leurs activités professionnelles à l’étranger est prise en compte.

Cette situation pénalise ainsi les personnes touchant une faible retraite et n’ayant travaillé qu’une partie de leur vie en France. N’ayant pas le droit au MICO, le montant de leur retraite est moins élevé que celui d’une personne qui n’est pas partie à l’étranger. Autrement dit, pour les mêmes cotisations en France, la retraite est moins élevée.

Cet effet serait encore renforcé si le MICO est augmenté de 25 euros et si le MICO majoré est augmenté de 75 euros comme le prévoit le présent projet de loi, car cette revalorisation ne bénéficie pas aux Françaises et Français avec une carrière internationale. Comme l'a proposé proposé dans sa question du 14 février 2023 le conseiller à l’Assemblée des Français de l’étranger Monsieur Benoit Marin-Cudraz, le plafond de 1 322,87 euros pourrait être proratisé en fonction du nombre des trimestres cotisés en France, pour permettre aux Françaises et Français ayant une carrière internationale et une retraite française faible, de toucher quand même le MICO. Cela leur permettrait également de profiter de l’augmentation de celui-ci.

A cette fin, cet amendement vise à demander au Conseil d’orientation des retraites d’établir un rapport sur les possibilités de verser ce minimum contributif majoré aux personnes ayant effectué qu’une partie de leur carrière en France au prorata des trimestres cotisés en France.

Il s’inscrit ainsi dans la ligne des amendements qui visent à rappeler au Gouvernement les particularités du régime des retraites des Françaises et Français établis hors de France afin qu’elles soient mieux prises en compte.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3507

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 10


Alinéa 16

Après le mot :

décret

insérer les mots :

en Conseil d’État

Objet

Cet amendement vise à s'assurer que l'intention du législateur sera respectée. 

Sur ce projet, après avoir refusé d’écouter les organisations syndicales, après avoir décidé d’utiliser la procédure d’examen contraint dans le temps qu’implique l’article 47-1 de la Constitution, le gouvernement a à de multiples recours à des décrets.

En raison notamment de l'importance du décret mentionné ici, et des difficultés de prise en compte des points de vue des acteurs concernés, il semble indispensable aux yeux des auteur.es de cet amendement que le Conseil d'Etat soit associé à l’écriture de ce décret.

Par cet amendement, le Conseil d'Etat sera ainsi saisi du projet préparé par le gouvernement et son avis devra être recueilli après une consultation des organismes dont l'avis est souhaité.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2052

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté - vote unique

Mme SOLLOGOUB, M. DUFFOURG

et les membres du groupe Union Centriste


ARTICLE 10


I. – Après l’alinéa 15

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

1° bis La seconde phrase du second alinéa de l’article L. 732-54-2 est remplacée par deux phrases ainsi rédigées : « Le montant minimum est revalorisé, au 1er janvier de chaque année, d’un taux au moins égal à l’évolution, depuis le 1er janvier précédent, du salaire minimum de croissance mentionné à l’article L. 3231-2 du code du travail. La majoration de pension servie à l’assuré est revalorisée dans les conditions prévues à l’article L. 161-23-1 du code de la sécurité sociale. »

II. – Après l’alinéa 16

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

2° bis À la fin du troisième alinéa de l’article L. 732-54-3, les mots : « dans les conditions prévues à l’article L. 161-23-1 du code de la sécurité sociale » sont remplacés par les mots : « dans des conditions fixées par décret ».

III. – Alinéa 42

Remplacer les mots :

Le 2° des I et II s'applique

par les mots :

Les 2° et le 2° bis du I ainsi que les 1° bis, 2° et 2° bis du II s’appliquent

Objet

Les pensions minimales, telle que la pension majorée de référence (PMR) pour les non-salariés agricoles, visent à valoriser la carrière de ceux qui, bien qu’ayant travaillé un grand nombre d’années, n’obtiennent qu’une faible retraite, notamment à cause de rémunérations peu élevées. Au régime des non-salariés agricoles, 11 % des nouveaux retraités percevaient une pension complétée de la PMR.

Dans le cadre du présent projet de loi, il est prévu que, lors de la liquidation de la pension de retraite, le minimum de pension majoré (MICO majoré) applicable aux régimes alignés (régime des salariés, des salariés agricoles et des indépendants) ne soient plus indexés sur l’inflation mais au moins sur l’évolution de la valeur du SMIC. Par ailleurs, le plafond du MICO majoré est déjà indexé sur l’évolution de la valeur du SMIC (article D173-21-4 du code de la sécurité sociale).

Par mesure d’équité pour les non-salariés agricoles, le présent amendement propose de transposer ces modalités de revalorisation au montant et au plafond de la PMR.

Les mesures prévues par cet amendement s’appliquent aux pensions prenant effet à compter du 1er septembre 2023.

La recevabilité financière de cet amendement est assurée par le dépôt d’un amendement identique du Gouvernement lors de l’examen à l’Assemblée nationale.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2060 rect. bis

6 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté - vote unique

MM. RETAILLEAU, DUPLOMB, ANGLARS, BABARY, BACCI, BAS, BASCHER, BAZIN et BELIN, Mmes BELLUROT, BELRHITI et BERTHET, MM. Étienne BLANC et Jean-Baptiste BLANC, Mme BONFANTI-DOSSAT, MM. BONHOMME, BONNE et BONNUS, Mme BORCHIO FONTIMP, MM. BOUCHET et BOULOUX, Mme BOURRAT, MM. BRISSON, BURGOA, CADEC, CALVET et CAMBON, Mme CANAYER, M. CARDOUX, Mme CHAIN-LARCHÉ, MM. CHAIZE, CHARON et CHEVROLLIER, Mmes de CIDRAC et Laure DARCOS, MM. DARNAUD et DAUBRESSE, Mmes DELMONT-KOROPOULIS, DEMAS, DESEYNE, DI FOLCO, DUMAS, DUMONT, ESTROSI SASSONE et EUSTACHE-BRINIO, MM. FAVREAU, Bernard FOURNIER, FRASSA et FROGIER, Mme GARNIER, M. GENET, Mmes Frédérique GERBAUD, GOSSELIN et GOY-CHAVENT, M. GREMILLET, Mme GRUNY, MM. GUENÉ, GUERET, HUGONET et HUSSON, Mmes IMBERT, JACQUES et JOSEPH, MM. JOYANDET et KAROUTCHI, Mme LASSARADE, M. Daniel LAURENT, Mme LAVARDE, MM. LEFÈVRE, de LEGGE, Henri LEROY et LE RUDULIER, Mme MALET, M. MANDELLI, Mme MICOULEAU, MM. MILON et MOUILLER, Mme MULLER-BRONN, M. de NICOLAY, Mme NOËL, MM. NOUGEIN, PANUNZI, PERRIN et PIEDNOIR, Mme PLUCHET, M. POINTEREAU, Mmes PRIMAS, PUISSAT et RAIMOND-PAVERO, MM. RAPIN et REGNARD, Mmes RENAUD-GARABEDIAN et RICHER, MM. RIETMANN, ROJOUAN, SAURY, SAUTAREL et SAVIN, Mme SCHALCK, MM. SEGOUIN, SIDO, SOL, SOMON et TABAROT, Mmes THOMAS et VENTALON et MM. Cédric VIAL et Jean Pierre VOGEL


ARTICLE 10


I. – Après l'alinéa 15

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

1° bis La seconde phrase du second alinéa de l’article L. 732-54-2 est remplacée par deux phrases ainsi rédigées : « Le montant minimum est revalorisé, au 1er janvier de chaque année, d’un taux au moins égal à l’évolution, depuis le 1er janvier précédent, du salaire minimum de croissance mentionné à l’article L. 3231-2 du code du travail. La majoration de pension servie à l’assuré est revalorisée dans les conditions prévues à l’article L. 161-23-1 du code de la sécurité sociale. » ;

II. – Après l'alinéa 16

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

2° bis À la fin du troisième alinéa du même article L. 732-54-3, les mots : « dans les conditions prévues à l’article L. 161-23-1 du code de la sécurité sociale » sont remplacés par les mots : « dans des conditions fixées par décret » ;

III. – Alinéa 42

Remplacer les mots :

Le 2° des I et II s’applique

par les mots :

Les 2° et le 2° bis du I ainsi que les 1° bis, 2° et 2° bis du II s’appliquent

Objet

Cet amendement prévoit que, comme celui du minimum contributif des régimes alignés, le montant de la pension majorée de référence des non-salariés agricoles soit revalorisé chaque année sur la base de l’évolution du SMIC, et non plus sur celle de l’inflation constatée. Il en irait de même de son seuil d’écrêtement, au même titre que celui du minimum contributif.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3389

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté - vote unique

MM. RAMBAUD, IACOVELLI, LÉVRIER, HASSANI, PATRIAT, BARGETON et BUIS, Mme CAZEBONNE, MM. DAGBERT et DENNEMONT, Mme DURANTON, M. GATTOLIN, Mme HAVET, MM. HAYE, KULIMOETOKE, LEMOYNE, MARCHAND, MOHAMED SOILIHI et PATIENT, Mme PHINERA-HORTH, MM. RICHARD et ROHFRITSCH, Mme SCHILLINGER, M. THÉOPHILE

et les membres du groupe Rassemblement des démocrates, progressistes et indépendants


ARTICLE 10


I. – Après l'alinéa 15

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

1° bis La seconde phrase du second alinéa de l’article L. 732-54-2 est remplacée par deux phrases ainsi rédigées : « Le montant minimum est revalorisé, au 1er janvier de chaque année, d’un taux au moins égal à l’évolution, depuis le 1er janvier précédent, du salaire minimum de croissance mentionné à l’article L. 3231-2 du code du travail. La majoration de pension servie à l’assuré est revalorisée dans les conditions prévues à l’article L. 161-23-1 du code de la sécurité sociale. » ;

II. – Après l'alinéa 16

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

2° bis À la fin du troisième alinéa du même article L. 732-54-3, les mots : « dans les conditions prévues à l’article L. 161-23-1 du code de la sécurité sociale » sont remplacés par les mots : « dans des conditions fixées par décret » ;

III. – Alinéa 42

Remplacer les mots :

Le 2° des I et II s’applique

par les mots :

Les 2° du I, le 1° bis, le 2° et le 2° bis du II s’appliquent

Objet

Les pensions minimales, telle que la pension majorée de référence (PMR) pour les non-salariés agricoles, visent à valoriser la carrière de ceux qui, bien qu’ayant travaillé un grand nombre d’années, n’obtiennent qu’une faible retraite, notamment à cause de rémunérations peu élevées. Au régime des non-salariés agricoles, 11 % des nouveaux retraités percevaient une pension complétée de la PMR.

Dans le cadre du présent projet de loi, il est prévu que, lors de la liquidation de la pension de retraite, le minimum de pension majoré (MICO majoré) applicable aux régimes alignés (régime des salariés, des salariés agricoles et des indépendants) ne soient plus indexés sur l’inflation mais au moins sur l’évolution de la valeur du SMIC. Par ailleurs, le plafond du MICO majoré est déjà indexé sur l’évolution de la valeur du SMIC (article D173-21-4 du code de la sécurité sociale).

Par mesure d’équité pour les non-salariés agricoles, le présent amendement propose de transposer ces modalités de revalorisation au montant et au plafond de la PMR.

Les mesures prévues par cet amendement s’appliquent aux pensions prenant effet à compter du 1er septembre 2023.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4602

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté - vote unique

M. LABBÉ, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE et GONTARD, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 10


I. – Après l'alinéa 15

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

1° bis La seconde phrase du second alinéa de l’article L. 732-54-2 est remplacée par deux phrases ainsi rédigées : « Le montant minimum est revalorisé, au 1er janvier de chaque année, d’un taux au moins égal à l’évolution, depuis le 1er janvier précédent, du salaire minimum de croissance mentionné à l’article L. 3231-2 du code du travail. La majoration de pension servie à l’assuré est revalorisée dans les conditions prévues à l’article L. 161-23-1 du code de la sécurité sociale. » ;

II. – Après l'alinéa 16

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

2° bis À la fin du troisième alinéa du même article L. 732-54-3, les mots : « dans les conditions prévues à l’article L. 161-23-1 du code de la sécurité sociale » sont remplacés par les mots : « dans des conditions fixées par décret » ;

III. – Alinéa 42

Remplacer les mots :

Le 2° des I et II s’applique

par les mots :

Les 2° du I, le 1° bis, le 2° et le 2° bis du II s’appliquent

Objet

Les pensions minimales, telle que la pension majorée de référence (PMR) pour les non-salariés agricoles, visent à valoriser la carrière de ceux qui, bien qu’ayant travaillé un grand nombre d’années, n’obtiennent qu’une faible retraite, notamment à cause de rémunérations peu élevées. 

Au régime des non-salariés agricoles, 11 % des nouveaux retraités percevaient une pension complétée de la PMR, malgré des pensions très faibles.

Dans le cadre du présent projet de loi, il est prévu que, lors de la liquidation de la pension de retraite, le minimum de pension majoré (MICO majoré) applicable aux régimes alignés (régime des salariés, des salariés agricoles et des indépendants) ne soient plus indexés sur l’inflation mais au moins sur l’évolution de la valeur du SMIC. 

Par ailleurs, le plafond du MICO majoré est déjà indexé sur l’évolution de la valeur du SMIC (article D173-21-4 du code de la sécurité sociale).

Par mesure d’équité pour les non-salariés agricoles, le présent amendement propose de transposer ces modalités de revalorisation au montant et au plafond de la PMR.

Les mesures prévues par cet amendement s’appliquent aux pensions prenant effet à compter du 1er septembre 2023.

Par cet amendement, les sénateur.rices du groupe écologiste, solidarité et territoires souhaitent atténuer la brutalité de la réforme portée par un Gouvernement s’apprêtant à faire peser l’équilibre du système de retraite sur le dos des travailleur.ses, plutôt que sur le capital.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2157

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté - vote unique

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 10


Alinéa 26

Compléter cet alinéa par les mots :

et les mots : « II, III, V et VI du même article » sont remplacés par les mots : « mêmes II, III, V et VI »

Objet

Amendement rédactionnel.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4698

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes Mélanie VOGEL et PONCET MONGE, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 10


Alinéa 29

Après le mot :

décret

insérer les mots :

en Conseil d’État

Objet

Cet amendement vise à s'assurer que l'intention du législateur sera respectée. En raison de l'importance du décret mentionné ici, il est en effet indispensable que le Conseil d'Etat soit associé. Le Conseil d'Etat sera ainsi saisi du projet préparé par le Gouvernement et son avis devra être recueilli après une consultation des organismes dont l'avis est souhaité.

Cet amendement vise donc à ce que le décret ne soit pas un décret simple qui ne serait pas soumis à l'examen du Conseil d'Etat.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 443

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. BENARROCHE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 10


Alinéa 29

Après le mot :

décret

insérer les mots :

pris après avis du Défenseur des droits

Objet

Cet amendement du groupe des sénateur.rices du groupe écologiste, solidarité et territoires vise à prendre le décret qui définira le montant du minimum contributif après consultation du Défenseur des droits .






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 444

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. BENARROCHE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 10


Alinéa 29

Après le mot :

décret

insérer les mots :

pris après avis de la Caisse nationale d’assurance vieillesse

 

Objet

Cet amendement du groupe des sénateur.rices du groupe écologiste, solidarité et territoires vise à prendre le décret qui définira le montant du minimum contributif après consultation de la Caisse nationale d'assurance vieillesse.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 445

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. BENARROCHE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 10


Alinéa 29

Après le mot :

décret

insérer les mots :

pris après avis de la Mutualité sociale agricole

Objet

Cet amendement du groupe  des sénateur.rices du groupe écologiste, solidarité et territoires vise à prendre le décret qui définira le montant du minimum contributif après consultation de la Mutualité sociale agricole.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 446

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. BENARROCHE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 10


Alinéa 29

Après le mot :

décret

insérer les mots :

pris après avis de l’Association générale des institutions de retraite des cadres et l’Association des régimes de retraite complémentaire

Objet

Cet amendement du groupe  des sénateur.rices du groupe écologiste, solidarité et territoires vise à prendre le décret qui définira le montant du minimum contributif après consultation de l'Association générale des institutions de retraite des cadres et l'Association des régimes de retraite complémentaire






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 447

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. BENARROCHE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 10


Alinéa 29

Après le mot :

décret

insérer les mots :

pris après avis du Conseil d’orientation des retraites

Objet

Cet amendement du groupe  des sénateur.rices du groupe écologiste, solidarité et territoires vise à prendre le décret qui définira le montant du minimum contributif après consultation du Conseil d'orientation des retraites.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3958 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 10


Alinéa 29

Après le mot :

décret

insérer les mots :

pris après avis du conseil d’orientation des retraites

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent prévoir que le décret fixant la majoration du minimum contributif pour les personnes déjà à la retraite soit pris après avis du COR.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4960

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3958 rect. de Mme ASSASSI

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 10


Alinéa 5

compléter cet alinéa par les mots suivants : " et du comité de suivi des retraites"

Objet

Les auteurs de l'amendement souhaitent que le conseil d'orientation des retraites se prononce sur le contenu du décret fixant la majoration du minimum contributif pour les personnes déjà retraitées. Il s'agit d'un avis opportun. Néanmoins nous souhaitons que le comité de suivi des retraites se prononce aussi sur ce décret : cet organisme dispose d'une compétence propositionnelle sur l'évolution des retraites. Son avis, complémentaire de celui du COR, sera donc très utile.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2429

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. SALMON, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et M. PARIGI


ARTICLE 10


Alinéa 29

Après le mot :

décret 

insérer les mots :

pris après avis de l’Établissement pour l’insertion dans l’emploi

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, vise à consulter l'Etablissement pour l'insertion dans l'emploi avant de prendre le décret qui définira le montant du minimum contributif.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2431

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. SALMON, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et M. PARIGI


ARTICLE 10


Alinéa 29

Après le mot :

décret 

insérer les mots :

pris après avis de l'union nationale des missions locales

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, vise à consulter l'union nationale des missions locales avant de prendre le décret qui définira le montant du minimum contributif.






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N° 2432

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. SALMON, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et M. PARIGI


ARTICLE 10


Alinéa 29

Après le mot :

décret 

insérer les mots :

pris après avis de Pôle emploi

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, vise à consulter Pôle Emploi avant de prendre le décret qui définira le montant du minimum contributif.






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N° 2430

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. SALMON, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et M. PARIGI


ARTICLE 10


Alinéa 29

Après le mot :

décret 

insérer les mots :

pris après avis des maisons de l’emploi

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, vise à consulter les Maisons de l'emploi avant de prendre le décret qui définira le montant du minimum contributif.






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N° 2433

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. SALMON, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et M. PARIGI


ARTICLE 10


Alinéa 29

Après le mot :

décret 

insérer les mots :

pris après avis de l’Union nationale interprofessionnelle pour l’emploi dans l’industrie et le commerce

Objet

Cet amendement du groupe Écologiste - Solidarité et Territoires, vise à consulter l'Unédic avant de prendre le décret qui définira le montant du minimum contributif.






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N° 3508

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 10


Alinéa 29

Après le mot : 

décret

insérer les mots :

pris après avis de l’Agence nationale pour la formation professionnelle des adultes

Objet

Cet amendement vise à prendre le décret qui définira le montant du minimum contributif après consultation de l'Agence nationale pour la formation professionnelle des adultes.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3509

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 10


Alinéa 29

Après le mot : 

décret

insérer les mots :

pris après avis de l’Association pour l’emploi des cadres

Objet

Cet amendement vise à prendre le décret qui définira le montant du minimum contributif après consultation de l'Association pour l'emploi des cadres.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3510

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 10


Alinéa 29

Après le mot : 

décret

insérer les mots :

pris après avis de l’Association nationale pour l’amélioration des conditions de travail

Objet

Cet amendement vise à prendre le décret qui définira le montant du minimum contributif après consultation de l'Association nationale pour l’amélioration des conditions de travail.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3511

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 10


Alinéa 29

Après le mot : 

décret

insérer les mots :

pris après avis de Cap emploi

Objet

Cet amendement vise à prendre le décret qui définira le montant du minimum contributif après consultation de Cap emploi.






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N° 3512

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 10


Alinéa 29

Après le mot : 

décret

insérer les mots :

pris après avis du Centre animation ressources d’information sur la formation

Objet

Cet amendement vise à prendre le décret qui définira le montant du minimum contributif après consultation du Centre animation ressources d’information sur la formation.






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N° 3513

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 10


Alinéa 29

Après le mot : 

décret

insérer les mots :

pris après avis des Chambres de commerce et d’industrie

Objet

Cet amendement vise à prendre le décret qui définira le montant du minimum contributif après consultation des Chambres de commerce et d’industrie.






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N° 3514

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 10


Alinéa 29

Après le mot :

décret

insérer les mots :

pris après avis du Comité de suivi des retraites

Objet

Cet amendement vise à prendre le décret qui définira le montant du minimum contributif après consultation du Comité de suivi des retraites.






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N° 3515

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 10


Alinéa 29

Après le mot :

décret

insérer les mots :

pris après avis du Fonds de solidarité vieillesse

Objet

Cet amendement vise à prendre le décret qui définira le montant du minimum contributif après consultation du Fonds de solidarité vieillesse .






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N° 3516

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 10


Alinéa 29

Après le mot :

décret

insérer les mots :

pris après avis du Fonds de réserve des retraites

Objet

Cet amendement vise à prendre le décret qui définira le montant du minimum contributif après consultation du Fonds de réserve des retraites.






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1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 10


Alinéa 29

Après le mot :

décret

insérer les mots :

pris après avis de la Caisse de prévoyance et de retraite de la Société nationale des chemins de fer français

Objet

Cet amendement vise à prendre le décret qui définira le montant du minimum contributif après consultation de la Caisse de prévoyance et de retraite de la SNCF.






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1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 10


Alinéa 29

Après le mot :

décret

insérer les mots :

pris après avis de la Caisse de retraite du personnel de la Régie autonome des transports parisiens

Objet

Cet amendement vise à prendre le décret qui définira le montant du minimum contributif après consultation de la Caisse de Retraite du Personnel de la RATP.






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N° 3519

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 10


Alinéa 29

Après le mot :

décret

insérer les mots :

pris après avis de la Caisse des dépôts et consignations

Objet

Cet amendement vise à prendre le décret qui définira le montant du minimum contributif après consultation de la Caisse des Dépôts et Consignations.






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N° 4584

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. FERNIQUE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 10


Alinéa 29

Après le mot :

décret

insérer les mots :

pris après avis des chambres des métiers et de l’artisanat

Objet

Cet amendement vise à garantir davantage de dialogue social, et ainsi, à prendre le décret qui définit le montant du minimum contributif après consultation des Chambres des métiers et de l'artisanat.






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N° 4693

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes Mélanie VOGEL et PONCET MONGE, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 10


Alinéa 29

Après le mot :

décret

insérer les mots :

pris après avis du Conseil national des politiques de lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale

Objet

Cet amendement vise à renforcer les consultations préalables en spécifiant que le montant du minimum contributif ne pourra être défini sans consultation du Conseil national des politiques de lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale.

Renforcer les consultations est d’autant plus nécessaire que le projet de loi tel qu’il a été présenté par le Gouvernement prévoit trop souvent que des éléments importants sont définis par simple décret, limitant les pouvoirs du Parlement et privant des instances bien informées de faire valoir leurs connaissances de terrain ou leur expertise.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4694

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes Mélanie VOGEL et PONCET MONGE, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 10


Alinéa 29

Après le mot :

décret

insérer les mots :

pris après avis du Haut Conseil de la famille, de l’enfance et de l’âge

Objet

Cet amendement vise à renforcer les consultations préalables en spécifiant que le montant du minimum contributif ne pourra être défini sans consultation du Haut Conseil de la famille.

Renforcer les consultations est d’autant plus nécessaire que le projet de loi tel qu’il a été présenté par le Gouvernement prévoit trop souvent que des éléments importants sont définis par simple décret, limitant les pouvoirs du Parlement et privant des instances bien informées de faire valoir leurs connaissances de terrain ou leur expertise.






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N° 4695

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes Mélanie VOGEL et PONCET MONGE, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 10


Alinéa 29

Après le mot :

décret

insérer les mots :

pris après avis du Comité national consultatif des personnes handicapées

Objet

Cet amendement vise à renforcer les consultations préalables en spécifiant que le montant du minimum contributif ne pourra être défini sans consultation du Comité national consultatif des personnes handicapées.

Renforcer les consultations est d’autant plus nécessaire que le projet de loi tel qu’il a été présenté par le Gouvernement prévoit trop souvent que des éléments importants sont définis par simple décret, limitant les pouvoirs du Parlement et privant des instances bien informées de faire valoir leurs connaissances de terrain ou leur expertise.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4696

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes Mélanie VOGEL et PONCET MONGE, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 10


Alinéa 29

Après le mot :

décret

insérer les mots :

pris après avis du Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes

Objet

Cet amendement vise à renforcer les consultations préalables en spécifiant que le montant du minimum contributif ne pourra être défini sans consultation du Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes.

Renforcer les consultations est d’autant plus nécessaire que le projet de loi tel qu’il a été présenté par le Gouvernement prévoit trop souvent que des éléments importants sont définis par simple décret, limitant les pouvoirs du Parlement et privant des instances bien informées de faire valoir leurs connaissances de terrain ou leur expertise.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4697

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes Mélanie VOGEL et PONCET MONGE, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 10


Alinéa 29

Après le mot :

décret

insérer les mots :

pris après avis de la Fédération nationale Solidarité femmes

Objet

Cet amendement vise à renforcer les consultations préalables en spécifiant que le montant du minimum contributif ne pourra être défini sans consultation de la Fédération nationale Solidarité femmes.

Renforcer les consultations est d’autant plus nécessaire que le projet de loi tel qu’il a été présenté par le Gouvernement prévoit trop souvent que des éléments importants sont définis par simple décret, limitant les pouvoirs du Parlement et privant des instances bien informées de faire valoir leurs connaissances de terrain ou leur expertise.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2911 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 10


Alinéa 31

Après le mot :

décret

insérer les mots :

pris après avis du Conseil d'orientation des retraites

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste républicain vise à prévoir que le décret fixant la majoration du minimum contributif pour les personnes déjà à la retraite soit pris après avis du Comité d'Orientation des Retraites.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4583

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. FERNIQUE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 10


Alinéa 31

Après le mot :

décret

insérer les mots :

pris après avis des chambres d’agriculture

Objet

Cet amendement vise à assurer davantage de dialogue social, et ainsi, à prendre le décret qui définit le montant du minimum contributif après consultation des Chambres de l'agriculture.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2158

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté - vote unique

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 10


Alinéa 34

Seconde phrase

Remplacer les mots :

dans la même proportion

par les mots :

à due concurrence

Objet

Amendement rédactionnel.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2159

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté - vote unique

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 10


Alinéa 35

1° Première phrase

Remplacer les mots :

, dont le maximum est fixé par décret et qui est

par les mots :

fixé par décret et

2° Seconde phrase

Rédiger ainsi cette phrase :

En cas de dépassement de ce plafond, la majoration est réduite à due concurrence du dépassement.

Objet

Amendement rédactionnel.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2160

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté - vote unique

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 10


Alinéa 36, seconde phrase

Rédiger ainsi cette phrase :

En cas de dépassement de ce plafond, la majoration est réduite à due concurrence du dépassement.

Objet

Amendement rédactionnel.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3325

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 10


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

... – Le Gouvernement remet un rapport au Parlement, dans un délai de trois mois à compter de la promulgation de la présente loi, sur l’application du présent article. Ce rapport évalue notamment le nombre de bénéficiaires concernés intégralement par la revalorisation de la pension minimale la portant à 85 % du SMIC.

Objet

L’article 10 vise à revaloriser la pension minimale afin que les salarié.e.s ayant effectué une carrière complètement cotisée sur la base d’un SMIC puissent partir en retraite avec une pension d’au moins 85 % du SMIC net.

Très peu de salarié.e.s font une carrière complète au SMIC : le groupe « d’experts » sur le SMIC indique que seulement 6 % de salariés touchant 1 ,1 fois le SMIC font une carrière complète.      

Le présent amendement se propose de demander un rapport évaluant le nombre de bénéficiaires concernés intégralement par la revalorisation de la pension minimale la portant à 85 % du SMIC.                                               

Selon la DARES, en 2019, la grande majorité des personnes ne font qu'une année ou deux au SMIC : « La majorité des salariés qui ont connu un épisode au Smic sur la période n’y sont cependant restés que de façon transitoire : les deux-tiers des périodes passées au salaire minimum n’ont duré qu’une seule année au plus. Les épisodes de Smic les plus longs se concentrent ainsi sur une part minoritaire de salariés, qui restent durablement rémunérés à ce niveau : en moyenne chaque année, seuls 2 % des salariés sont rémunérés au salaire minimum depuis au moins deux ans. Cette situation est un peu plus prégnante chez les seniors : une fois au Smic, le risque de se maintenir durablement autour de ce niveau de rémunération se fait davantage sentir après 50 ans. (....) Si l’on se concentre sur les épisodes passés au voisinage du salaire minimum – c’est-à-dire les intervalles de temps caractérisés, pour les individus observés sur la période 1995-2015, par une ou plusieurs années consécutives aux alentours du SMIC –, les deux tiers d’entre eux n’ont duré qu’une seule année au plus. Moins de 10 % des périodes rémunérées au salaire minimum durent plus de trois ans ».

Monsieur Olivier Dussopt, Ministre du Travail, du plein emploi et de l’insertion, a déclaré que 40 000 futurs retraités bénéficieront, chaque année, du minimum de 1 200 euros prévu cet article. Jérôme Guedj, député du Parti socialiste (PS), en tant que coprésident de la Mission d’évaluation et de contrôle de la Sécurité sociale, s’est rendu, à la direction de la Sécurité sociale (DSS) – une des administrations ministérielles chargées de préparer le texte – afin d’obtenir des éclaircissements. Sur la base des éléments communiqués par la DSS, les services de l’Etat ne sont « pas à l’origine » de l’estimation portant sur les 40 000 futurs bénéficiaires des 1 200 euros et « ne savent pas eux-mêmes » d’où elle vient. Ainsi, aucune étude ou donnée chiffrée ne prouve, de façon irréfutable, que 40 000 individus recevront 1 200 euros grâce à la réforme.

D’autres chiffres font état de seulement 1,7 % des nouveaux retraités de la génération 1962 qui toucheraient l’augmentation de 100 euros sans forcément atteindre 1200 euros de pension nette.

Il convient que le gouvernement communique enfin des données sincères et c’est pourquoi nous demandons ce rapport sur la mesure « sociale » phare contrepartie de deux ans de travail supplémentaire et de disposer de données chiffrées sérieuses sur le nombre de retraités – anciens et nouveaux - qui pourraient bénéficier du dispositif prévu à l’article 10.                                                         






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N° 4600

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. LABBÉ, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. GONTARD, BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS et FERNIQUE, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 10


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

....- Dans un délai de six mois à compter de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport sur l’application du présent article. Ce rapport évalue notamment les risques de retards dans les traitements des demandes d’attribution du minimum contributif, liés à la mise en place des nouvelles dispositions du présent projet de loi.

Objet

D’après un rapport de la DRESS datant de 2020, il a été constaté que les modifications des règles liées à l’attribution du minimum contributif ont entraîné des retards dans le traitement des demandes, dont l’incidence est non négligeable sur la baisse des attributions de ce minimum. En effet, son versement implique que le régime concerné connaisse l’ensemble des droits à retraite de l’assuré. Dans la pratique, cela n’est parfois le cas que tardivement, et de nombreux dossiers d’attribution de minimum contributif pour des pensions liquidées entre 2012 et 2018 n’étaient toujours pas traités en 2019.

C’est aussi le constat d’un rapport de la Cour des comptes sur l’application des lois de financement de la Sécurité sociale, publié en octobre 2020, qui constate que la grande complexité des minima de pension “conduit à ce qu’en pratique, au 31 décembre 2018, en raison d’insuffisances de coordination entre régimes de retraite, près d’un demi-million de personnes ayant pris leur retraite et éligibles potentiellement au minimum contributif servi par le régime général, voient leurs dossiers rester durablement en suspens, situation susceptible de priver certaines d’entre elles, malgré des versements d’acomptes, d’une partie d’une ressource mensuelle qui est en moyenne d’environ 130 euros.”

Les conséquences de ces retards sont problématiques, puisque le MICO concerne des personnes pour qui 130 euros constitue en proportion, une part importante de revenu. 

Autre conséquence négative pour les bénéficiaires, ces retards peuvent donner lieu à des avances, avec une régularisation potentielle a posteriori. Ainsi, alors même que le retraité concerné ne bénéficie que de revenus très modestes, rien ne lui garantit que l’avance proposée corresponde bien à ses droits et qu’il n’aura pas à en rembourser une partie, voire même l’intégralité si finalement le droit au minimum n’est pas ouvert. 

C’est une source d’insécurité supplémentaire pour des publics déjà précaires.

Ces retards semblent récurrents déjà signalés en 2014, ils sont toujours mentionnés par les syndicats en 2023. Les dispositifs censés garantir un niveau de vie minimale à des retraités modestes sont donc en retard de manière constante. 

Avec la présente réforme, jugée opaque et précipitée par de nombreux acteurs, on peut craindre que ces retards soient d’autant plus présents, venant pénaliser encore davantage des individus en situation de précarité. 

Cela vient fragiliser encore plus les dispositifs concernant le MICO prévus à l’article 10, censé améliorer les faibles pensions, mais dont la portée est déjà extrêmement réduite. 

Le présent amendement demande donc une évaluation des risques de retards que les modifications prévues à l’article 10 engendreraient.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2565

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. LUREL et Mmes CONCONNE et LE HOUEROU


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 10


Après l’article 10

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – Après le 7° de l’article L. 114-2 du code de la sécurité sociale, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :

« …° De suivre l’évolution comparée des écarts et inégalités de pensions des assurés résidant en France hexagonale et des assurés résidant dans les collectivités régies par l’article 73 de la Constitution en tenant compte des différences de montants de pension, de la durée d’assurance respective et de l’impact des écarts de niveaux du salaire minimum de croissance. » 

II. – La perte de recettes résultant pour les organismes de sécurité sociale du I est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

Objet

Le présent amendement propose que le comité d’orientation des retraites ait pour mission nouvelle de suivre l'évolution comparée des écarts et inégalités de pensions des assurés résidant en France hexagonale et dans les DROM en tenant compte des différences de montants de pension, de la durée d’assurance respective et de l’impact des écarts de niveaux du salaire minimum de croissance.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3999 rect. bis

7 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 10


Après l'article 10

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Pour les modalités de calcul de la revalorisation des pensions servies outre-mer, le Gouvernement tient compte de l’évolution de l’indice des prix propres à ces départements et collectivités, et modifie en conséquence l’article L. 161-23-1 du code de la sécurité sociale.

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent améliorer le niveau de vie des retraités d’outre-mer en tenant compte de l’inflation des prix propres à ces territoires. Cette mesure serait d’autant plus légitime que l’alignement tardif du salaire minimum en outre-mer par rapport au territoire métropolitain engendre des pensions bien plus faibles dont il est important qu’elles soient davantage revalorisées pour constituer un effet de rattrapage.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après l'article 12 vers un article additionnel après l'article 10).





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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2023

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. MARSEILLE

et les membres du groupe Union Centriste


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 10


Après l'article 10

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – Les pensions de vieillesse servies par le régime mahorais, ayant pris effet avant le 31 août 2023, sont majorées à titre exceptionnel au 1er septembre 2023 d’un montant forfaitaire fixé par décret.

II. – Lorsqu’elles ont été liquidées à taux plein, les pensions de vieillesse personnelles servies par le régime mahorais, ayant pris effet avant le 31 août 2023, sont assorties d’une majoration, dont le montant est défini par décret.

Cette majoration est versée intégralement lorsque le total des périodes d’assurance validées par l’assuré dans le régime mahorais est égal à la durée minimale d’assurance prévue au premier alinéa de l'article 6 l’ordonnance n° 2002-411 du 27 mars 2002 relative à la protection sanitaire et sociale à Mayotte. Lorsque le total est inférieur à cette limite, le montant de la majoration est réduit dans la même proportion.

La somme de la pension du régime de base mahorais et de la majoration calculée en application du deuxième alinéa du présent II ne peut pas excéder un plafond, dont le maximum est fixé par décret. En cas de dépassement, la majoration est écrêtée.

La majoration est versée sous réserve que le montant mensuel des pensions personnelles de retraite attribuées au titre d’un ou plusieurs régimes légaux ou rendus légalement obligatoires, de base et complémentaires, incluant cette majoration, n’excède pas le montant prévu à l’article L. 173-2 du code de la sécurité sociale. En cas de dépassement, la majoration est écrêtée.

La pension majorée en application des quatre premiers alinéas du présent II est ensuite revalorisée dans les conditions prévues à l’article 13 de l’ordonnance n° 2002-411 du 27 mars 2002 précitée.

La majoration prévue au présent II est due à compter du 1er septembre 2023 et versée au plus tard en septembre 2024.

III. – Le salaire de base prévu au deuxième alinéa de l’article 12 de l’ordonnance n° 2002-411 du 27 mars 2002 relative à la protection sanitaire et sociale à Mayotte est revalorisé à titre exceptionnel au 1er septembre 2023, dans des conditions fixées par décret.

IV. – Le montant maximum de l’allocation spéciale pour les personnes âgées prévu à l’article 29 de l’ordonnance n° 2002-411 du 27 mars 2002 précitée est revalorisé à titre exceptionnel à compter du 1er septembre 2023 d’un montant forfaitaire fixée par décret.

Objet

Cet amendement vise à revaloriser les retraites à Mayotte.

Aujourd’hui, la retraite moyenne s’élève à 280 euros par mois, en raison de la jeunesse du régime (créé en 1987), de la faiblesse des durées d’assurance, du faible niveau des salaires cotisés et du faible montant du plafond de sécurité sociale (convergence en 2032). Il en résulte un recours important à l’allocation spéciale pour les personnes âgées (ASPA), dont le montant est fixé à 50 % de l’ASPA métropolitain pour une personne seule (480,55 € par mois, contre 961,08 €​ € en métropole).

Les pensions liquidées à taux plein avant le 31 août 2023 seront majorées de 100 € proratisés sur la durée d’assurance.

De plus, au 1er septembre 2023, sera appliqué une revalorisation exceptionnelle d’un montant forfaitaire de 50€ par mois des pensions de retraite servies aux assurés relevant de la Caisse de sécurité sociale de Mayotte. Le champ de la mesure concerne les salariés, les agents contractuels de droit public ainsi que les travailleurs indépendants.

Cet amendement est couvert par un amendement déposé par le gouvernement à l'Assemblée nationale.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2436 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

MM. RETAILLEAU, BABARY, BACCI et BAZIN, Mme BELRHITI, MM. Jean-Baptiste BLANC et BOULOUX, Mme Valérie BOYER, MM. BRISSON, BURGOA, CALVET et CAMBON, Mme CANAYER, M. CARDOUX, Mme CHAIN-LARCHÉ, MM. CHAIZE, CHARON, CHATILLON et CHEVROLLIER, Mmes de CIDRAC, Laure DARCOS, DESEYNE, DI FOLCO, DUMONT, ESTROSI SASSONE et EUSTACHE-BRINIO, MM. FAVREAU et FRASSA, Mme Frédérique GERBAUD, M. GREMILLET, Mme GRUNY, M. HUSSON, Mmes IMBERT et JACQUES, MM. JOYANDET, KAROUTCHI et KLINGER, Mme LASSARADE, M. Daniel LAURENT, Mme LAVARDE, MM. LEFÈVRE, de LEGGE, Henri LEROY, LE GLEUT et LE RUDULIER, Mmes LOPEZ et MALET, M. MANDELLI, Mme MICOULEAU, MM. MILON, MOUILLER, PERRIN et POINTEREAU, Mmes PUISSAT et RAIMOND-PAVERO, M. RAPIN, Mme RICHER, MM. RIETMANN, SAUTAREL, SIDO, SOL et SOMON, Mme THOMAS et M. Jean Pierre VOGEL


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 10


Après l'article 10

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – Les pensions de vieillesse servies par le régime mahorais, ayant pris effet avant le 31 août 2023, sont majorées à titre exceptionnel au 1er septembre 2023 d’un montant forfaitaire fixé par décret.

II. – Lorsqu’elles ont été liquidées à taux plein, les pensions de vieillesse personnelles servies par le régime mahorais, ayant pris effet avant le 31 août 2023, sont assorties d’une majoration, dont le montant est défini par décret.

Cette majoration est versée intégralement lorsque le total des périodes d’assurance validées par l’assuré dans le régime mahorais est égal à la durée minimale d’assurance prévue au premier alinéa de l'article 6 l’ordonnance n° 2002-411 du 27 mars 2002 relative à la protection sanitaire et sociale à Mayotte. Lorsque le total est inférieur à cette limite, le montant de la majoration est réduit dans la même proportion.

La somme de la pension du régime de base mahorais et de la majoration calculée en application du deuxième alinéa du présent II ne peut pas excéder un plafond, dont le maximum est fixé par décret. En cas de dépassement, la majoration est écrêtée.

La majoration est versée sous réserve que le montant mensuel des pensions personnelles de retraite attribuées au titre d’un ou plusieurs régimes légaux ou rendus légalement obligatoires, de base et complémentaires, incluant cette majoration, n’excède pas le montant prévu à l’article L. 173-2 du code de la sécurité sociale. En cas de dépassement, la majoration est écrêtée.

La pension majorée en application des quatre premiers alinéas du présent II est ensuite revalorisée dans les conditions prévues à l’article 13 de l’ordonnance n° 2002-411 du 27 mars 2002 précitée.

La majoration prévue au présent II est due à compter du 1er septembre 2023 et versée au plus tard en septembre 2024.

III. – Le salaire de base prévu au deuxième alinéa de l’article 12 de l’ordonnance n° 2002-411 du 27 mars 2002 relative à la protection sanitaire et sociale à Mayotte est revalorisé à titre exceptionnel au 1er septembre 2023, dans des conditions fixées par décret.

IV. – Le montant maximum de l’allocation spéciale pour les personnes âgées prévu à l’article 29 de l’ordonnance n° 2002-411 du 27 mars 2002 précitée est revalorisé à titre exceptionnel à compter du 1er septembre 2023 d’un montant forfaitaire fixée par décret.

Objet

A Mayotte, l'espérance de vie est de 8 ans inférieure à la moyenne française, la pension de retraite moyenne est de 276€, l'âge moyen de départ à la retraite est de 3 ans supérieur à la moyenne métropolitaine, la retraite moyenne pour une carrière complète est de 655€ et la pension de retraite maximale pouvant être versée est limité à 955€, soit 20% en dessous du seuil de pauvreté.

De plus, le montant de l'Allocation de solidarité aux personnes âgées (ASPA) versée aux personnes âgées à Mayotte est décoté de 50% par rapport au droit commun. Pourtant l'ASPA est une prestation de solidarité versée sous conditions de ressources et d'âge sans liaison contributive en matière de cotisations et d'annuités ou autres trimestres. Cette décote est donc, de fait, une discrimination sociale.

Ainsi, la quasi-totalité des personnes âgées que compte le 101ème département vivent dans l'extrême pauvreté et un dénuement indigne de la république sociale qu'est la France.

C'est pourquoi, il est proposé d'engager l'alignement social en matière de minimum retraite et de pension de retraite en augmentant le plafond de l'ASPA à Mayotte de 150€/mois, d'augmenter toutes les pensions de retraite de 50€/mois et d'élargir l'augmentation des pensions prévue au 1er septembre en métropole à Mayotte pour un montant de 100€ proratisé à la durée de cotisation.

Cet amendement permettra une augmentation globale des ressources mensuelles 150€ au 1er septembre 2023 pour la grande majorité des 5000 retraités mahorais, ce qui représentera une augmentation moyenne de 25% des pensions de retraite et une augmentation moyenne de 31% des ressources globales (pension+ASPA) pour les retraités de Mayotte.

Cet amendement est couvert par un amendement déposé par le Gouvernement à l'Assemblée nationale.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3412

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 10


Après l'article 10

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – Les pensions de vieillesse servies par le régime mahorais, ayant pris effet avant le 31 août 2023, sont majorées à titre exceptionnel au 1er septembre 2023 d’un montant forfaitaire fixé par décret.

II. – Lorsqu’elles ont été liquidées à taux plein, les pensions de vieillesse personnelles servies par le régime mahorais, ayant pris effet avant le 31 août 2023, sont assorties d’une majoration, dont le montant est défini par décret.

Cette majoration est versée intégralement lorsque le total des périodes d’assurance validées par l’assuré dans le régime mahorais est égal à la durée minimale d’assurance prévue au premier alinéa de l'article 6 l’ordonnance n° 2002-411 du 27 mars 2002 relative à la protection sanitaire et sociale à Mayotte. Lorsque le total est inférieur à cette limite, le montant de la majoration est réduit dans la même proportion.

La somme de la pension du régime de base mahorais et de la majoration calculée en application du deuxième alinéa du présent II ne peut pas excéder un plafond, dont le maximum est fixé par décret. En cas de dépassement, la majoration est écrêtée.

La majoration est versée sous réserve que le montant mensuel des pensions personnelles de retraite attribuées au titre d’un ou plusieurs régimes légaux ou rendus légalement obligatoires, de base et complémentaires, incluant cette majoration, n’excède pas le montant prévu à l’article L. 173-2 du code de la sécurité sociale. En cas de dépassement, la majoration est écrêtée.

La pension majorée en application des quatre premiers alinéas du présent II est ensuite revalorisée dans les conditions prévues à l’article 13 de l’ordonnance n° 2002-411 du 27 mars 2002 précitée.

La majoration prévue au présent II est due à compter du 1er septembre 2023 et versée au plus tard en septembre 2024.

III. – Le salaire de base prévu au deuxième alinéa de l’article 12 de l’ordonnance n° 2002-411 du 27 mars 2002 relative à la protection sanitaire et sociale à Mayotte est revalorisé à titre exceptionnel au 1er septembre 2023, dans des conditions fixées par décret.

IV. – Le montant maximum de l’allocation spéciale pour les personnes âgées prévu à l’article 29 de l’ordonnance n° 2002-411 du 27 mars 2002 précitée est revalorisé à titre exceptionnel à compter du 1er septembre 2023 d’un montant forfaitaire fixée par décret.

Objet

Cet amendement vise à revaloriser les retraites à Mayotte.

Aujourd’hui, la retraite moyenne s’élève à 280 euros par mois, en raison de la jeunesse du régime (créé en 1987), de la faiblesse des durées d’assurance, du faible niveau des salaires cotisés et du faible montant du plafond de sécurité sociale (convergence en 2032). Il en résulte un recours important à l’allocation spéciale pour les personnes âgées (ASPA), dont le montant est fixé à 50 % de l’ASPA métropolitain pour une personne seule (480,55 € par mois, contre 961,08 € € en métropole).

Afin de valoriser l’effort contributif au regard de l’ASPA, le montant du minimum de pension mahorais a été aligné sur le montant du minimum contributif métropolitain pour une durée d’assurance complète (747, 57 € en 2022). Il a en outre été adopté un dispositif dérogatoire et temporaire d’amélioration des modalités de calcul du minimum de pension pour les assurés ayant une carrière incomplète (art. 27 de la LEROM et décret du 28 décembre 2018). L’ordonnance n° 2021-1553 du 1er décembre 2021 relative à l’extension, à l’amélioration et à l’adaptation de certaines prestations de sécurité sociale à Mayotte a enfin mis en place une mesure de validation rétroactive gratuite de périodes d’assurances.

La mesure de revalorisation proposée vise à poursuivre cette dynamique de valorisation de retraites agricoles. Les pensions liquidées à taux plein avant le 31 août 2023 seront majorées de 100 € proratisés sur la durée d’assurance.

De plus, au 1er septembre 2023, sera appliquée une revalorisation exceptionnelle d’un montant forfaitaire de 50€ par mois des pensions de retraite servies aux assurés relevant de la Caisse de sécurité sociale de Mayotte. Le champ de la mesure concerne les salariés, les agents contractuels de droit public ainsi que les travailleurs indépendants.

Par cet amendement, les sénateur.rices du groupe écologiste, solidarité et territoires souhaitent atténuer la brutalité de la réforme portée par un gouvernement s’apprêtant à faire peser l’équilibre du système de retraite sur le dos des travailleur.ses, plutôt que sur le capital.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2295 rect.

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté - vote unique

MM. MOHAMED SOILIHI, HASSANI, IACOVELLI, LÉVRIER, PATRIAT, BARGETON et BUIS, Mme CAZEBONNE, MM. DAGBERT et DENNEMONT, Mme DURANTON, M. GATTOLIN, Mme HAVET, MM. HAYE, KULIMOETOKE, LEMOYNE, MARCHAND et PATIENT, Mme PHINERA-HORTH, MM. RAMBAUD, RICHARD et ROHFRITSCH, Mme SCHILLINGER, M. THÉOPHILE

et les membres du groupe Rassemblement des démocrates, progressistes et indépendants


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 10


Après l’article 10

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – Les pensions de vieillesse servies par le régime mahorais, ayant pris effet avant le 31 août 2023, sont majorées à titre exceptionnel au 1er septembre 2023 d’un montant forfaitaire fixé par décret.

II. – Lorsqu’elles ont été liquidées à taux plein, les pensions de vieillesse personnelles servies par le régime mahorais, ayant pris effet avant le 31 août 2023, sont assorties d’une majoration, dont le montant est défini par décret.

Cette majoration est versée intégralement lorsque le total des périodes d’assurance validées par l’assuré dans le régime mahorais est égal à la durée minimale d’assurance prévue au premier alinéa de l’article 6 de l’ordonnance n° 2002-411 du 27 mars 2002 relative à la protection sanitaire et sociale à Mayotte. Lorsque le total est inférieur à cette limite, le montant de la majoration est réduit dans la même proportion.

La somme de la pension du régime de base mahorais et de la majoration calculée en application du deuxième alinéa du présent II ne peut pas excéder un plafond, dont le maximum est fixé par décret. En cas de dépassement, la majoration est écrêtée.

La majoration est versée sous réserve que le montant mensuel des pensions personnelles de retraite attribuées au titre d’un ou plusieurs régimes légaux ou rendus légalement obligatoires, de base et complémentaires, incluant cette majoration, n’excède pas le montant prévu à l’article L. 173-2 du code de la sécurité sociale. En cas de dépassement, la majoration est écrêtée.

La pension majorée en application des quatre premiers alinéas du présent II est ensuite revalorisée dans les conditions prévues à l’article 13 de l’ordonnance n° 2002-411 du 27 mars 2002 précitée.

La majoration prévue au présent du II est due à compter du 1er septembre 2023 et versée au plus tard en septembre 2024.

III. – Les salaires portés au compte avant le 1er septembre 2023 servant au calcul du salaire annuel moyen mentionné au deuxième alinéa de l’article 12 de l’ordonnance n° 2002 411 du 27 mars 2002 relative à la protection sanitaire et sociale à Mayotte sont revalorisés à titre exceptionnel pour les pensions prenant effet à compter du 1er septembre 2023, dans des conditions fixées par décret.

Objet

Cet amendement vise à revaloriser les retraites à Mayotte.

Aujourd’hui, la retraite moyenne s’élève à 280 euros par mois, en raison de la jeunesse du régime (créé en 1987), de la faiblesse des durées d’assurance, du faible niveau des salaires cotisés et du faible montant du plafond de sécurité sociale (convergence en 2032). Il en résulte un recours important à l’allocation spéciale pour les personnes âgées (ASPA), dont le montant est fixé à 50 % de l’ASPA métropolitain pour une personne seule (480,55 € par mois, contre 961,08 €​ € en métropole).

Afin de valoriser l’effort contributif au regard de l’ASPA, le montant du minimum de pension mahorais a été aligné sur le montant du minimum contributif métropolitain pour une durée d’assurance complète (747, 57 € en 2022). Il a en outre été adopté un dispositif dérogatoire et temporaire d’amélioration des modalités de calcul du minimum de pension pour les assurés ayant une carrière incomplète (art. 27 de la LEROM et décret du 28 décembre 2018). L’ordonnance n° 2021-1553 du 1er décembre 2021 relative à l’extension, à l’amélioration et à l’adaptation de certaines prestations de sécurité sociale à Mayotte a enfin mis en place une mesure de validation rétroactive gratuite de périodes d’assurances.

La mesure de revalorisation proposée vise à poursuivre cette dynamique de valorisation de retraites agricoles. Les pensions liquidées à taux plein avant le 31 août 2023 seront majorées de 100 € proratisés sur la durée d’assurance.

De plus, au 1er septembre 2023, sera appliqué une revalorisation exceptionnelle d’un montant forfaitaire de 50 € par mois des pensions de retraite servies aux assurés relevant de la Caisse de sécurité sociale de Mayotte. Le champ de la mesure concerne les salariés, les agents contractuels de droit public ainsi que les travailleurs indépendants.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2024

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté - vote unique

M. MARSEILLE

et les membres du groupe Union Centriste


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 10


Après l'article 10

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le montant maximum de l’allocation spéciale pour les personnes âgées prévu à l’article 29 de l’ordonnance n° 2002-411 du 27 mars 2002 relative à la protection sanitaire et sociale à Mayotte est revalorisé à titre exceptionnel à compter du 1er septembre 2023 d’un montant forfaitaire fixée par décret.

Objet

Aujourd’hui, la retraite moyenne s’élève à 280 euros par mois, en raison de la jeunesse du régime (créé en 1987), de la faiblesse des durées d’assurance, du faible niveau des salaires cotisés et du faible montant du plafond de sécurité sociale. Il en résulte un recours important à l’allocation spéciale pour les personnes âgées, dont le montant est fixé à 50 % de l’ASPA métropolitain pour une personne seule (480,55 € par mois, contre 961,08 € en métropole).

Afin de valoriser l’effort contributif au regard de l’ASPA, le montant du minimum de pension mahorais a été aligné sur le montant du minimum contributif métropolitain pour une durée d’assurance complète (747, 57 € en 2022). Il a en outre été adopté un dispositif dérogatoire et temporaire d’amélioration des modalités de calcul du minimum de pension pour les assurés ayant une carrière incomplète (art. 27 de la LEROM et décret du 28 décembre 2018).

Cet amendement est couvert par un amendement déposé par le gouvernement à l'Assemblée nationale.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2296

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté - vote unique

MM. MOHAMED SOILIHI, HASSANI, IACOVELLI, LÉVRIER, PATRIAT, BARGETON et BUIS, Mme CAZEBONNE, MM. DAGBERT et DENNEMONT, Mme DURANTON, M. GATTOLIN, Mme HAVET, MM. HAYE, KULIMOETOKE, LEMOYNE, MARCHAND et PATIENT, Mme PHINERA-HORTH, MM. RAMBAUD, RICHARD et ROHFRITSCH, Mme SCHILLINGER, M. THÉOPHILE

et les membres du groupe Rassemblement des démocrates, progressistes et indépendants


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 10


Après l’article 10

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le montant maximum de l’allocation spéciale pour les personnes âgées prévu à l’article 29 de l’ordonnance n° 2002-411 du 27 mars 2002 relative à la protection sociale et sanitaire à Mayotte est revalorisé à titre exceptionnel à compter du 1er septembre 2023 d’un montant forfaitaire fixée par décret.

Objet

Aujourd’hui, la retraite moyenne s’élève à 280 euros par mois, en raison de la jeunesse du régime (créé en 1987), de la faiblesse des durées d’assurance, du faible niveau des salaires cotisés et du faible montant du plafond de sécurité sociale. Il en résulte un recours important à l’allocation spéciale pour les personnes âgées, dont le montant est fixé à 50 % de l’ASPA métropolitain pour une personne seule (480,55 € par mois, contre 961,08 € en métropole).

Afin de valoriser l’effort contributif au regard de l’ASPA, le montant du minimum de pension mahorais a été aligné sur le montant du minimum contributif métropolitain pour une durée d’assurance complète (747, 57 € en 2022). Il a en outre été adopté un dispositif dérogatoire et temporaire d’amélioration des modalités de calcul du minimum de pension pour les assurés ayant une carrière incomplète (art. 27 de la LEROM et décret du 28 décembre 2018).

Cet amendement augmentera ainsi le plafond de l’ASPA à Mayotte de 150€/mois. 






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3413

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 10


Après l'article 10

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le montant maximum de l’allocation spéciale pour les personnes âgées prévu à l’article 29 de l’ordonnance n° 2002-411 du 27 mars 2002 relative à la protection sanitaire et sociale à Mayotte est revalorisé à titre exceptionnel à compter du 1er septembre 2023 d’un montant forfaitaire fixée par décret.

Objet

Aujourd’hui, la retraite moyenne s’élève à 280 euros par mois, en raison de la jeunesse du régime (créé en 1987), de la faiblesse des durées d’assurance, du faible niveau des salaires cotisés et du faible montant du plafond de sécurité sociale. Il en résulte un recours important à l’allocation spéciale pour les personnes âgées, dont le montant est fixé à 50 % de l’ASPA métropolitain pour une personne seule (480,55 € par mois, contre 961,08 € en métropole).

Afin de valoriser l’effort contributif au regard de l’ASPA, le montant du minimum de pension mahorais a été aligné sur le montant du minimum contributif métropolitain pour une durée d’assurance complète (747, 57 € en 2022). Il a en outre été adopté un dispositif dérogatoire et temporaire d’amélioration des modalités de calcul du minimum de pension pour les assurés ayant une carrière incomplète (art. 27 de la LEROM et décret du 28 décembre 2018).

Par cet amendement, les sénateur.rices du groupe écologiste, solidarité et territoires souhaitent atténuer la brutalité de la réforme portée par un gouvernement s’apprêtant à faire peser l’équilibre du système de retraite sur le dos des travailleur.ses, plutôt que sur le capital.






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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3979 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 10


Après l'article 10

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Au 2° du II de l’article L. 114-4 du code de la sécurité sociale, après le mot : « pension », sont insérés les mots : « et de métiers exercés ».

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent faire évoluer l’approche comparative genrée opérée par le Comité de Suivi des retraites dans son étude et ses avis sur l’évolution du système de retraite, en y intégrant une approche par métiers.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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Projet de loi

PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4703

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

Mmes Mélanie VOGEL et PONCET MONGE, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 10


Après l’article 10

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Au 2° du II de l’article L. 114-4 du code de la sécurité sociale, après le mot : « pension », sont insérés les mots : « et de métiers exercés ».

Objet

Tandis que l’écart salarial entre les femmes et les hommes est de 22 % d’après les dernières statistiques de l’Insee, celui entre les retraites des femmes et les retraites des hommes est encore plus élevé. En moyenne, la pension des hommes est de 39 % plus élevée que celle des femmes. Ainsi, la pension de droit direct (excluant la pension de réversion et la majoration de pension pour trois enfants ou plus) des femmes est en moyenne de 981 euros, alors qu’elle est de 1 600 euros pour les hommes. Cet écart est ainsi encore plus grand que l’écart entre les salaires, notamment parce que le montant de la retraite - un droit individuel - reflète que les femmes ont plus souvent des interruptions de carrière que des hommes pendant lesquelles elles n’ont certes pas ou peu cotisé, mais pendant lesquelles elles ont effectué d’autres tâches, souvent pour que l’homme en était libéré.

En vue de ces différences considérables persistantes, il convient d’améliorer les analyses en la matière, pour lutter contre les inégalités de genre. Plus spécifiquement, toute approche comparative genrée au regard du rapport à l’assurance vieillesse doit également prendre en compte une analyse relative aux types de métiers exercés.

Le présent amendement a pour objet de faire évoluer l’approche comparative genrée du Comité de suivi des retraites, dans le cadre de son avis annuel, afin d’y intégrer une approche par métiers.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1979 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

Mme BILLON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 10


Après l'article 10

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – Le code de la sécurité sociale est ainsi modifié :

1° Au 5° de l’article L. 223-1, les mots : « et le régime des exploitants agricoles » sont remplacés par les mots : « , le régime des exploitants agricoles, le régime d’assurance vieillesse des professions libérales et le régime d’assurance vieillesse des avocats » ;

2° À l’article L. 643-1-1, après la référence : « L. 351-4-2 », sont insérés les mots : « et L. 351-12  ».

II. – Le I entre en vigueur le 1er septembre 2023.

Objet

La majoration de 10% de la pension pour trois enfants ou plus a été instituée dès la création du régime général par l’ordonnance du 19 octobre 1945. Elle a été étendue aux artisans et commerçants en 1972.

L’objet de cet amendement est de proposer d’étendre cette majoration aux professionnels libéraux et aux avocats.

Les professionnels libéraux et les avocats ne bénéficient pas de la majoration de 10% du montant de la pension pour trois enfants ou plus. Or c’est un dispositif de solidarité essentiel dans le panorama des droits familiaux de retraite.

Le présent amendement propose que soit transposée cette disposition en équité pour les départs en retraite à compter du 1er septembre 2023.

Cet amendement reprend un dispositif déposé par le Gouvernement à l'Assemblée nationale.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après l'article 8 à un article additionnel après 10).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1981 rect. ter

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

M. CABANEL, Mme Nathalie DELATTRE, MM. ARTANO et BILHAC, Mme Maryse CARRÈRE, MM. CORBISEZ, FIALAIRE, GOLD et GUÉRINI, Mme GUILLOTIN, M. GUIOL, Mme PANTEL et MM. REQUIER et ROUX


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 10


Après l'article 10

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – Le code de la sécurité sociale est ainsi modifié :

1° Au 5° de l’article L. 223-1, les mots : « et le régime des exploitants agricoles » sont remplacés par les mots : « , le régime des exploitants agricoles, le régime d’assurance vieillesse des professions libérales et le régime d’assurance vieillesse des avocats » ;

2° À l’article L. 643-1-1, après la référence : « L. 351-4-2 », sont insérés les mots : « et L. 351-12 ».

II. – Le I entre en vigueur le 1er septembre 2023.

Objet

La majoration de 10% de la pension pour trois enfants ou plus a été instituée dès la création du régime général par l’ordonnance du 19 octobre 1945. Elle a été étendue aux artisans et commerçants en 1972. Les professionnels libéraux ne bénéficient pas de la majoration de 10% du montant de la pension pour trois enfants ou plus.

L’objet de cet amendement est de proposer d’étendre cette majoration aux professionnels libéraux et aux avocats, pour une question d’équité à l’égard de ces professions qui contribuent au financement de cet avantage, par le biais des cotisations d’allocations familiales, de la CSG et de divers impôts dont ils s’acquittent.

Le présent amendement propose que soit transposée cette disposition en équité pour les départs en retraite à compter du 1er septembre 2023.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2311

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

Mme MEUNIER


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 10


Après l'article 10

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – Le code de la sécurité sociale est ainsi modifié :

1° Au 5° de l’article L. 223-1, les mots : « et le régime des exploitants agricoles » sont remplacés par les mots : « , le régime des exploitants agricoles, le régime d’assurance vieillesse des professions libérales et le régime d’assurance vieillesse des avocats » ;

2° À l’article L. 643-1-1, après la référence : « L. 351-4-2 », sont insérés les mots : « et L. 351-12 ».

II. – Le I entre en vigueur le 1er septembre 2023.

Objet

La majoration de 10% de la pension pour trois enfants ou plus a été instituée dès la création du régime général par l’ordonnance du 19 octobre 1945. Elle a été étendue aux artisans et commerçants en 1972.

Les professionnels libéraux ne bénéficient pas de la majoration de 10% du montant de la pension pour trois enfants ou plus. Or c’est un dispositif de solidarité essentiel dans le panel des droits familiaux.

L’objet de cet amendement est de proposer d’étendre cette majoration aux professionnels libéraux et aux avocats, pour une question d’équité à l’égard de ces professions qui contribuent au financement de cet avantage, par le biais des cotisations d’allocations familiales, de la CSG et de divers impôts dont ils s’acquittent.

Le présent amendement propose que soit transposée cette disposition en équité pour les départs en retraite à compter du 1er septembre 2023.

Cet amendement a été suggéré par le conseil national des Barreaux.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1905 rect. ter

9 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme SCHILLINGER, MM. IACOVELLI, LÉVRIER, HASSANI, PATRIAT, BARGETON et BUIS, Mme CAZEBONNE, MM. DAGBERT et DENNEMONT, Mme DURANTON, M. GATTOLIN, Mme HAVET, MM. HAYE, KULIMOETOKE, LEMOYNE, MARCHAND, MOHAMED SOILIHI et PATIENT, Mme PHINERA-HORTH, MM. RAMBAUD, RICHARD, ROHFRITSCH, THÉOPHILE

et les membres du groupe Rassemblement des démocrates, progressistes et indépendants


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 10


Après l'article 10

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – Le code de la sécurité sociale est ainsi modifié :

1° Au 5° de l’article L. 223-1, les mots : « et le régime des exploitants agricoles » sont remplacés par les mots : « , le régime des non-salariés agricoles et les régimes d’assurance vieillesse de base des professions libérales et des avocats » ;

2° Aux articles L. 643-1-1 et L. 653-3,  après la référence : « L. 351-4-2 », sont insérés les mots : « et L. 351-12 ».

II. – Le I s’applique aux pensions prenant effet à compter du 1er septembre 2023.

Objet

La majoration de 10 % de la pension pour trois enfants ou plus a été instituée dès la création du régime général par l’ordonnance du 19 octobre 1945. Elle a été étendue aux artisans et commerçants en 1972.
 
L’objet de cet amendement est de proposer d’étendre cette majoration aux professionnels libéraux.
 


En effet, si les professionnels libéraux bénéficient de régimes autonomes adaptés à leurs spécificités professionnelles, ils ont bénéficié au fil du temps de l’harmonisation progressive des règles de leur régime de base avec celles du régime général. Cette harmonisation concerne notamment les règles de de durée d’assurance, les pensions de réversion ou bien les majorations de durée pour enfant.
 


Les professionnels libéraux ne bénéficient pas de la majoration de 10 % du montant de la pension pour trois enfants ou plus. Or c’est un dispositif de solidarité essentiel dans le panorama des droits familiaux de retraite. La Caisse nationale d’assurance vieillesse des professions libérales demande depuis plusieurs années que les professionnels libéraux bénéficient également de de ce dispositif.
 
Le présent amendement propose que soit transposée cette disposition en équité pour les départs en retraite à compter du 1er septembre 2023.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 48 rect. ter

9 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté - vote unique

M. CABANEL, Mme Nathalie DELATTRE, MM. ARTANO et BILHAC, Mme Maryse CARRÈRE, MM. CORBISEZ, FIALAIRE, GOLD et GUÉRINI, Mme GUILLOTIN, M. GUIOL, Mme PANTEL et MM. REQUIER et ROUX


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 10


Après l'article 10

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – Le code de la sécurité sociale est ainsi modifié :

1° Au 5° de l’article L. 223-1, les mots : « et le régime des exploitants agricoles » sont remplacés par les mots : « , le régime des non-salariés agricoles et le régime des professions libérales » ;

2° À l’article L. 643-1-1, après la référence : « L. 351-4-2 », sont insérés les mots : « et L. 351-12 ».

II. – Le I s’applique aux pensions prenant effet à compter du 1er septembre 2023.

Objet

La majoration de 10 % du montant de la pension pour 3 enfants ou plus a été instituée en faveur des salariés dès la création du régime général. Elle a par la suite été étendue aux artisans et commerçants.

Cet amendement propose d’étendre cette majoration aux professionnels libéraux.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2161 rect. bis

9 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté - vote unique

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 10


Après l’article 10

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – Le code de la sécurité sociale est ainsi modifié :

1° Au 5° de l’article L. 223-1, les mots : « et le régime des exploitants agricoles » sont remplacés par les mots : « , le régime des non-salariés agricoles et le régime des professions libérales » ;

2° À l’article L. 643-1-1, après la référence : « L. 351-4-2 », sont insérés les mots : « et L. 351-12 ».

II. – Le I s’applique aux pensions prenant effet à compter du 1er septembre 2023.

Objet

Bien que les professionnels libéraux cotisent au titre du risque famille, ceux d'entre eux qui ont eu au moins trois enfants ne bénéficient pas de la majoration de pension de 10 % attribuée aux salariés, aux travailleurs indépendants, aux non-salariés agricoles et aux fonctionnaires et financée par la Caisse nationale des allocations familiales.

Dans une logique de justice et de soutien aux familles nombreuses, cet amendement vise à ouvrir aux professionnels libéraux le bénéfice de cette majoration pour enfants.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4547

1 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2161 rect. bis de la commission des affaires sociales

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté - vote unique

Le Gouvernement


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 10


Amendement n° 2161

1° Alinéa 4

Remplacer les mots :

le régime des professions libérales

par les mots :

les régimes d’assurance vieillesse de base des professions libérales et des avocats

2° Alinéa 5

Remplacer les mots :

À l’article L. 643-1-1

par les mots :

Aux articles L. 643-1-1 et L. 653-3

Objet

L’objet de ce sous-amendement est d’étendre non seulement aux professionnels libéraux mais également aux avocats la majoration de 10 % de la pensions de retraite dès lors qu’ils ont au moins 3 enfants.

Les avocats relèvent d’un régime d’assurance vieillesse de base propre qui tient compte de leurs spécificités professionnelles. Si, comme le régime de base des professionnels libéraux, il est aligné sur le régime général pour ce qui relève notamment de la prise en compte de la durée d’assurance tous régime dans le calcul de la pension, et les majorations de durée d’assurance pour enfant, ce n’est pas le cas concernant la majoration de 10 % du montant de la pension pour 3 enfants ou plus.

Dès lors que cette majoration est étendue aux professionnels libéraux, il est plus juste de l’appliquer également aux avocats. 

Les montants versés par la Caisse nationale des barreaux français dont relèvent les avocats au titre des majorations de pensions seront remboursés par la Caisse nationale des allocations familiales, comme c’est le cas actuellement pour le régime général et les régimes agricoles.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1306 rect.

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

Mme BILLON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 10


Après l'article 10

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – Le code de la sécurité sociale est ainsi modifié :

1° Au 5° de l’article L. 223-1, les mots : « et le régime des exploitants agricoles » sont remplacés par les mots : « , le régime des exploitants agricoles et le régime d’assurance vieillesse des professions libérales » ;

2° À l’article L. 643-1-1, après la référence : « L. 351-4-2 », sont insérés les mots : « et L. 351-12 ».

II. – Le I entre en vigueur le 1er septembre 2023.

Objet

La majoration de 10% de la pension pour trois enfants ou plus a été instituée dès la création du régime général par l’ordonnance du 19 octobre 1945. Elle a été étendue aux artisans et commerçants en 1972.

L’objet de cet amendement est de proposer d’étendre cette majoration aux professionnels libéraux.

En effet, si les professionnels libéraux bénéficient de régimes autonomes adaptés à leurs spécificités professionnelles, ils ont bénéficié au fil du temps de l’harmonisation progressive des règles de leur régime de base avec celles du régime général. Cette harmonisation concerne notamment les règles de de durée d’assurance, les pensions de réversion ou bien les majorations de durée pour enfant.

Les professionnels libéraux ne bénéficient pas de la majoration de 10% du montant de la pension pour trois enfants ou plus. Or c’est un dispositif de solidarité essentiel dans le panorama des droits familiaux de retraite. La Caisse nationale d’assurance vieillesse des professions libérales demande depuis plusieurs années que les professionnels libéraux bénéficient également de de ce dispositif.

Le présent amendement propose que soit transposée cette disposition en équité pour les départs en retraite à compter du 1er septembre 2023.

Cet amendement a été déposé, et donc couvert, par le Gouvernement à l'Assemblée nationale.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après l'article 8 vers un article additionnel après l'article 10).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3409 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 10


Après l'article 10

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – Le code de la sécurité sociale est ainsi modifié :

1° Au 5° de l’article L. 223-1, les mots : « et le régime des exploitants agricoles » sont remplacés par les mots : « , le régime des exploitants agricoles et le régime d’assurance vieillesse des professions libérales » ;

2° À l’article L. 643-1-1, après la référence : « L. 351-4-2 », sont insérés les mots : « et L. 351-12 ».

II. – Le I entre en vigueur le 1er septembre 2023.

Objet

La majoration de 10% de la pension pour trois enfants ou plus a été instituée dès la création du régime général par l’ordonnance du 19 octobre 1945. Elle a été étendue aux artisans et commerçants en 1972.

L’objet de cet amendement est de proposer d’étendre cette majoration aux professionnels libéraux.

En effet, si les professionnels libéraux bénéficient de régimes autonomes adaptés à leurs spécificités professionnelles, ils ont bénéficié au fil du temps de l’harmonisation progressive des règles de leur régime de base avec celles du régime général. Cette harmonisation concerne notamment les règles de de durée d’assurance, les pensions de réversion ou bien les majorations de durée pour enfant.

Les professionnels libéraux ne bénéficient pas de la majoration de 10% du montant de la pension pour trois enfants ou plus. Or c’est un dispositif de solidarité essentiel dans le panorama des droits familiaux de retraite. La Caisse nationale d’assurance vieillesse des professions libérales demande depuis plusieurs années que les professionnels libéraux bénéficient également de ce dispositif.

Le présent amendement propose que soit transposée cette disposition en équité pour les départs en retraite à compter du 1er septembre 2023.

Par cet amendement, les sénateur.rices du groupe écologiste, solidarité et territoires souhaitent atténuer la brutalité de la réforme portée par un gouvernement s’apprêtant à faire peser l’équilibre du système de retraite sur le dos des travailleur.ses, plutôt que sur le capital.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après l'article 8 vers un article additionnel après l'article 10).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 475 rect.

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté - vote unique

Mme BILLON

et les membres du groupe Union Centriste


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 10


Après l’article 10

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – Le VI de l’article 118 de la loi n° 2010-1330 du 9 novembre 2010 portant réforme des retraites est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« Il est également applicable aux indemnités journalières d’assurance maternité versées dans le cadre des congés maternité ayant débuté avant le 1er janvier 2012. Ces indemnités sont évaluées sur une base forfaitaire, dont les modalités sont fixées par décret en tenant compte du montant dont peut bénéficier un salarié rémunéré au niveau du salaire médian l’année précédant le congé maternité. »

II. – Le présent article est applicable aux pensions liquidées à compter du 1er septembre 2023.

Objet

La loi du 9 novembre 2010 portant réforme des retraites avait proposé que les indemnités journalières versées dans le cadre des congés maternité commencés après le 1er janvier 2012, soient désormais prises en compte dans le salaire de base, et non uniquement au titre de la durée d’assurance requise, servant au calcul de la pension.

Cependant, cette réforme n’était pas allée au bout de la logique, ne s’appliquant pas aux femmes ayant eu des enfants antérieurement au 1er janvier 2012.

Le présent amendement permet d’ouvrir cette possibilité pour celles qui partent en retraite à compter du 1er septembre 2023. Si le montant d’indemnités journalières versées n’est plus connu, le calcul pourra tenir compte d’un montant forfaitaire, en rapport avec le montant des indemnités journalières dont peut bénéficier un salarié rémunéré au niveau du salaire médian l’année précédant le congé maternité.

Cet amendement a été déposé, et donc couvert, par le Gouvernement à l'Assemblée nationale.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1906

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté - vote unique

Mme SCHILLINGER, MM. IACOVELLI, LÉVRIER, HASSANI, PATRIAT, BARGETON et BUIS, Mme CAZEBONNE, MM. DAGBERT et DENNEMONT, Mme DURANTON, M. GATTOLIN, Mme HAVET, MM. HAYE, KULIMOETOKE, LEMOYNE, MARCHAND, MOHAMED SOILIHI et PATIENT, Mme PHINERA-HORTH, MM. RAMBAUD, RICHARD, ROHFRITSCH, THÉOPHILE

et les membres du groupe Rassemblement des démocrates, progressistes et indépendants


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 10


Après l'article 10

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – Le VI de l’article 118 de la loi n° 2010-1330 du 9 novembre 2010 portant réforme des retraites est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« Il est également applicable aux indemnités journalières d’assurance maternité versées dans le cadre des congés maternité ayant débuté avant le 1er janvier 2012. Ces indemnités sont évaluées sur une base forfaitaire, dont les modalités sont fixées par décret en tenant compte du montant dont peut bénéficier un salarié rémunéré au niveau du salaire médian l’année précédant le congé maternité. »

II. – Le présent I est applicable aux pensions liquidées à compter du 1er septembre 2023.

Objet

Cet amendement a pour objectif de corriger la situation des femmes dont les maternités font baisser le niveau de leur pension. C’est particulièrement sensible pour les femmes qui ont eu des rémunérations autour du SMIC et qui doivent alors, pour bénéficier d’une pension correcte, travailler plus longtemps.

En effet, lors de la loi de 2010, conscients de l’inégalité que subissent les femmes qui ont eu des enfants, le Gouvernement avait proposé que pour les congés maternité commencés après le 1er janvier 2012, le calcul de la pension - et non seulement la durée, prenne en compte les trimestres maternité. Cependant, la réforme n’était pas allée au bout de la logique, ne comptant pas les générations de femmes ayant eu des enfants antérieurement au 1er janvier 2012 et devant liquider leur pension.

La loi de 2015 n’a pas corrigé cette inégalité.

C’est pourquoi cet amendement propose, pour toutes les retraites liquidées à partir du 1er septembre 2023, de prendre en compte les congés maternité. Le présent amendement permet d’ouvrir cette possibilité pour celles qui partent en retraite à compter du 1er septembre 2023. Si le montant d’indemnités journalières versées n’est plus connu, le calcul pourra tenir compte d’un montant forfaitaire, par exemple en rapport avec le montant des indemnités journalières dont peut bénéficier un salarié rémunéré au niveau du salaire médian l’année précédant le congé maternité. C’est une mesure de justice à l’égard des femmes, particulièrement celles qui sont en bas de l’échelle des salaires et qui verront ainsi le montant de leur pension augmenter en fonction du nombre d’enfants qu’elles ont eu, les trimestres de maternité étant ainsi « neutralisés ». Cela viendra par ailleurs compenser les inégalités salariales femmes hommes subies tout au long de la carrière et qui ont un effet accentué au moment de la liquidation de la pension.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3104 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté - vote unique

MM. CABANEL, ARTANO et BILHAC, Mme Maryse CARRÈRE, M. CORBISEZ, Mme Nathalie DELATTRE, MM. FIALAIRE, GOLD et GUÉRINI, Mme GUILLOTIN, M. GUIOL, Mme PANTEL et MM. REQUIER et ROUX


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 10


Après l’article 10

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – Le VI de l’article 118 de la loi n° 2010-1330 du 9 novembre 2010 portant réforme des retraites est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« Il est également applicable aux indemnités journalières d’assurance maternité versées dans le cadre des congés maternité ayant débuté avant le 1er janvier 2012. Ces indemnités sont évaluées sur une base forfaitaire, dont les modalités sont fixées par décret en tenant compte du montant dont peut bénéficier un salarié rémunéré au niveau du salaire médian l’année précédant le congé maternité. »

II. – Le présent article est applicable aux pensions liquidées à compter du 1er septembre 2023.

Objet

La loi du 9 novembre 2010 portant réforme des retraites prévoit que les indemnités journalières versées dans le cadre des congés maternité commencés après le 1er janvier 2012 sont prises en compte dans le salaire de base, et pas seulement au titre de la durée d’assurance requise, servant au calcul de la pension. Cette réforme ne s'applique donc pas aux femmes qui ont eu des enfants avant le 1er janvier 2012.

Aussi, cet amendement propose d’ouvrir cette possibilité pour celles qui partent en retraite à compter du 1er septembre 2023. Si le montant d’indemnités journalières versées n’est plus connu, le calcul pourra tenir compte d’un montant forfaitaire, en rapport avec le montant des indemnités journalières dont peut bénéficier un salarié rémunéré au niveau du salaire médian l’année précédant le congé maternité.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3414

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 10


Après l'article 10

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – Le VI de l’article 118 de la loi n° 2010-1330 du 9 novembre 2010 portant réforme des retraites est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« Il est également applicable aux indemnités journalières d’assurance maternité versées dans le cadre des congés maternité ayant débuté avant le 1er janvier 2012. Ces indemnités sont évaluées sur une base forfaitaire, dont les modalités sont fixées par décret en tenant compte du montant dont peut bénéficier un salarié rémunéré au niveau du salaire médian l’année précédant le congé maternité. »

II. – Le présent I est applicable aux pensions liquidées à compter du 1er septembre 2023.

Objet

Prenant compte de l’inégalité que peuvent subir les femmes qui ont eu des enfants, la loi du 9 novembre 2010 portant réforme des retraites avait proposé que pour les indemnités journalières versées dans le cadre des congés maternité commencés après le 1er janvier 2012, soient désormais prises en compte dans le salaire de base, et non uniquement au titre de la durée d’assurance requise, servant au calcul de la pension.

Cependant, cette réforme n’était pas allée au bout de la logique, ne s’appliquant pas aux femmes ayant eu des enfants antérieurement au 1er janvier 2012

Le présent amendement permet d’ouvrir cette possibilité pour celles qui partent en retraite à compter du 1er septembre 2023. Si le montant d’indemnités journalières versées n’est plus connu, journalières dont peut bénéficier un salarié rémunéré au niveau du salaire médian l’année précédant le congé maternité.

Par cet amendement, les sénateur.rices du groupe écologiste, solidarité et territoires souhaitent atténuer la brutalité de la réforme portée par un gouvernement s’apprêtant à faire peser l’équilibre du système de retraite sur le dos des travailleur.ses, plutôt que sur le capital.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3343 rect.

7 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 10


Après l'article 10

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le Gouvernement remet au Parlement, dans un délai de six mois à compter de la promulgation de la présente loi, un rapport évaluant, dans les collectivités régies par les articles 73 et 74 de la Constitution, le taux de non-recours à l’allocation de solidarité aux personnes âgées (l’ASPA), les campagnes d’information et les conditions d’attribution de cette allocation.

Objet

Pour rappel, les sommes versées au titre de l’ASPA (allocation de solidarité aux personnes âgées) sont récupérées au décès de l’allocataire sur sa succession si l’actif net successoral est au moins égal au seuil de recouvrement. Ce dispositif a un effet dissuasif sur les demandes de l’ASPA.Dans le cadre d’une expérimentation menée par la CNAV en 2020 visant à contacter les personnes potentiellement éligibles à l’ASPA, les motifs de non-recours invoqués étaient la méconnaissance de la prestation et l’existence d’une récupération sur succession.

Selon une étude de la DREES parue en mai 2022, le taux de non-recours était estimé à 50% parmi les personnes seules en 2016. Malgré la loi du 17 décembre 2021 qui instituait une obligation d’information des potentiels bénéficiaires de l’ASPA par leurs caisses de retraite au cours de l’année des 64 ans, tant s’agissant des conditions d’attribution de cette allocation que des procédures de récupération auxquelles elle peut donner lieu, il semblerait que les difficultés d'informer et d'attribuer demeurent.

C’est pourquoi le présent amendement vise à comprendre les problématiques de ce dispositif et à l’améliorer.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après l'article 12 vers un article additionnel après l'article 10).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4706 rect. bis

7 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes Mélanie VOGEL et PONCET MONGE, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 10


Après l'article 10

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le Gouvernement remet au Parlement, dans un délai de huit mois à compter de la promulgation de la présente loi, un rapport évaluant, dans les collectivités régies par les articles 73 et 74 de la Constitution, le taux de non-recours à l’allocation de solidarité aux personnes âgées (l’ASPA), les campagnes d’information et les conditions d’attribution de cette allocation.

Objet

Peu de personnes potentiellement éligibles à l’allocation de solidarité aux personnes âgées (ASPA) bénéficient actuellement de cette allocation. Ainsi, une étude de la DREES parue en mai 2022 estime que seulement la moitié des personnes seules qui auraient été éligibles en 2016 ont effectivement demandé l’ASPA.

Premièrement, il semblerait que l’ASPA reste méconnu, ce qui explique pourquoi si peu de personnes la demandent. Deuxièmement, une bonne partie des personnes potentiellement éligibles sont par ailleurs réticentes à demander l’ASPA, car les sommes versées à son titre sont récupérées au décès de l’allocataire sur sa succession si l’actif net successoral est au moins égal au seuil de recouvrement. Ces deux facteurs sont en effet les deux principales causes identifiées lors d’une expérimentation menée par la CNAV en 2020 visant à contacter les personnes potentiellement éligibles à l’ASPA.

Force est de constater que le taux de non-recours à cette allocation reste trop important. C’est pourquoi le présent amendement vise à demander au Gouvernement un rapport afin d’améliorer la compréhension des problématiques de ce dispositif afin de l’améliorer.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après l'article 12 vers un article additionnel après l'article 10).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2488 rect. bis

7 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté - vote unique

Mme VERMEILLET

et les membres du groupe Union Centriste


ARTICLE 11


I.- Alinéa 1

Remplacer cet alinéa par deux alinéas ainsi rédigés :

I. – Le code de la sécurité sociale est ainsi modifié :

1° L’article L. 351-3 est complété par un 9° ainsi rédigé :

II.- Après l’alinéa 2

Insérer deux alinéas ainsi rédigés :

2° Le I de l’article L. 351-14-1 est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« … Les périodes pendant lesquelles l’assuré a été membre d’un organe délibérant d’une collectivité territoriale mentionnée à l’article 72 de la Constitution dans lesquelles s’applique le régime général de sécurité sociale, ainsi que les délégués de ces collectivités territoriales membres d’un établissement public de coopération intercommunale. »

III. – Après l’alinéa 3

Insérer un paragraphe ainsi rédigé :

II bis. – L’article L. 382-31 du code de la sécurité sociale est ainsi modifié :

a) Au deuxième alinéa, la référence : « L. 4422-22 » est remplacée par la référence : « L. 4422-19 » ;

b) Il est ajouté un alinéa ainsi rédigé :

« Les indemnités de fonction des élus des collectivités territoriales mentionnées à l’article 72 de la Constitution dans lesquelles s’applique le régime général de sécurité sociale qui ne sont pas assujetties aux cotisations de sécurité sociale en application des premiers alinéas du présent article peuvent, sur demande des élus concernés, être assujetties aux mêmes cotisations. Un décret fixe les modalités selon lesquelles cette faculté s’exerce. »

III. – Alinéa 4 

Remplacer les mentions :

I et II

par les références :

I à II bis

Objet

Notre système démocratique local repose sur l’engagement des élus, parfois au détriment de leur activité professionnelle et souvent, de la création de droits à retraite.

En effet, les élus qui perçoivent des indemnités de fonction mensuelles inférieures à la moitié du plafond de la sécurité sociale (1 833€ mensuels), et qui n’ont pas cessé toute activité professionnelle par ailleurs, ne cotisent pas au régime de base de la sécurité sociale. Ils ne valident donc pas nécessairement 4 trimestres par an et leurs indemnités n’ouvrent aucun droit à retraite au régime de base.

Plus de 80% des maires, quasi exclusivement de communes de moins 4 000 habitants, sont potentiellement concernés. De surcroît, ils sont de plus en plus nombreux à réduire leur activité professionnelle pour exercer leur mandat.

Pour leur permettre d’ouvrir des droits à retraite, cet amendement propose donc d’offrir la possibilité à ces élus locaux, d’être assujettis aux cotisations de sécurité sociale, dont la cotisation d’assurance vieillesse, sur l’indemnité de fonction qu’ils perçoivent. Cette disposition s’exerce sur l’option de l’élu, donc de manière non obligatoire.

Par ailleurs, tout assuré peut effectuer un versement pour la retraite (VPLR) au titre des années d’études supérieures et des années de cotisation incomplètes. Ces rachats de cotisations manquantes permettent de conforter et de sécuriser la pension de retraite des assurés. Ils sont limités à douze trimestres.

Or, l’actuel dispositif de rachat de trimestres est ouvert pour les années incomplètes, empêchant le rachat de trimestres pour des années au cours desquelles un élu n’en aurait validé aucun.

Aussi, cet amendement propose également d’ajouter les années de mandat électoral à la liste des situations permettant le rachat de trimestres de retraite.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2505 rect. quinquies

7 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté - vote unique

M. KERROUCHE, Mme FÉRET, MM. MARIE, KANNER, BOURGI et MAGNER, Mme Martine FILLEUL, M. TODESCHINI, Mmes HARRIBEY et BLATRIX CONTAT, MM. MONTAUGÉ et DURAIN, Mme VAN HEGHE, M. FICHET, Mme ESPAGNAC, MM. Patrice JOLY et Mickaël VALLET, Mmes POUMIROL et BRIQUET, M. FÉRAUD, Mme CARLOTTI, M. Joël BIGOT, Mme MONIER, MM. REDON-SARRAZY, PLA et GILLÉ, Mme CONWAY-MOURET, MM. TISSOT, MÉRILLOU et STANZIONE, Mmes JASMIN et LE HOUEROU, MM. CHANTREL, DEVINAZ et JACQUIN, Mme MEUNIER et MM. CARDON et RAYNAL


ARTICLE 11


I.- Alinéa 1

Remplacer cet alinéa par deux alinéas ainsi rédigés :

I. – Le code de la sécurité sociale est ainsi modifié :

1° L’article L. 351-3 est complété par un 9° ainsi rédigé :

II.- Après l’alinéa 2

Insérer deux alinéas ainsi rédigés :

2° Le I de l’article L. 351-14-1 est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« … Les périodes pendant lesquelles l’assuré a été membre d’un organe délibérant d’une collectivité territoriale mentionnée à l’article 72 de la Constitution dans lesquelles s’applique le régime général de sécurité sociale, ainsi que les délégués de ces collectivités territoriales membres d’un établissement public de coopération intercommunale. »

III. – Après l’alinéa 3

Insérer un paragraphe ainsi rédigé :

II bis. – L’article L. 382-31 du code de la sécurité sociale est ainsi modifié :

a) Au deuxième alinéa, la référence : « L. 4422-22 » est remplacée par la référence : « L. 4422-19 » ;

b) Il est ajouté un alinéa ainsi rédigé :

« Les indemnités de fonction des élus des collectivités territoriales mentionnées à l’article 72 de la Constitution dans lesquelles s’applique le régime général de sécurité sociale qui ne sont pas assujetties aux cotisations de sécurité sociale en application des premiers alinéas du présent article peuvent, sur demande des élus concernés, être assujetties aux mêmes cotisations. Un décret fixe les modalités selon lesquelles cette faculté s’exerce. »

III. – Alinéa 4 

Remplacer les mentions :

I et II

par les références :

I à II bis

Objet

Afin d'améliorer l'attractivité des mandats, cet amendement vise à ouvrir aux élus locaux qui perçoivent des indemnités de fonction mensuelles inférieures à la moitié du plafond de la sécurité sociale la possibilité d’être assujettis, à leur demande, aux cotisations de sécurité sociale sur les indemnités de fonction qu'ils perçoivent.

En effet, l’article 18 de la loi n° 2012-1404 du 17 décembre 2012 de financement de la sécurité sociale (LFSS) pour 2013 affilie tous les élus locaux (percevant une indemnité de fonction ou non) au régime général de la sécurité sociale. En outre, il a également assujetti les indemnités de fonction de certains d’entre eux aux cotisations de sécurité sociale, pour l’ensemble des risques (maladie, vieillesse, accident du travail, maladies professionnelles) et ce, depuis le 1er janvier 2013. Concrètement, les indemnités de fonction de ces élus sont assujetties aux cotisations de sécurité sociale, quand, en 2023, le montant total brut est supérieur à 1 833 € par mois (moitié du plafond de la sécurité sociale) et ce, à partir du premier euro sur chacune des indemnités, en cas de cumul. Les élus, non fonctionnaires, ayant suspendu leur activité professionnelle pour se consacrer à leur mandat cotisent quant à eux au régime général de sécurité sociale, quel que soit le montant de leur(s) indemnité(s) de fonction.

En revanche, les élus dont le montant total brut des indemnités de fonction est inférieur à 1833 € par mois et ceux qui n’ont pas cessé leur activité professionnelle pour se consacrer à leur mandat ne cotisent pas au régime général sur leurs indemnités et n’acquièrent donc pas de droits à la vieillesse de base. Plus de 80% des maires, quasi exclusivement de communes de moins de 4000 habitants, sont potentiellement concernés alors que leur engagement se fait parfois au détriment de leur activité professionnelle.

Cet amendement  tend par ailleurs à étendre le rachat de trimestres de retraite aux périodes de mandat électoral, indépendamment du nombre de trimestre validé pour une même année. En effet, l'actuel dispositif de rachat de trimestres est ouvert pour les années incomplètes, empêchant le rachat de trimestre pour des années au cours desquelles un élu n'en aurait validé aucun.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2571 rect.

7 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté - vote unique

Le Gouvernement


ARTICLE 11


I.- Alinéa 1

Remplacer cet alinéa par deux alinéas ainsi rédigés :

I. – Le code de la sécurité sociale est ainsi modifié :

1° L’article L. 351-3 est complété par un 9° ainsi rédigé :

II.- Après l’alinéa 2

Insérer deux alinéas ainsi rédigés :

2° Le I de l’article L. 351-14-1 est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« … Les périodes pendant lesquelles l’assuré a été membre d’un organe délibérant d’une collectivité territoriale mentionnée à l’article 72 de la Constitution dans lesquelles s’applique le régime général de sécurité sociale, ainsi que les délégués de ces collectivités territoriales membres d’un établissement public de coopération intercommunale. »

III. – Après l’alinéa 3

Insérer un paragraphe ainsi rédigé :

II bis. – L’article L. 382-31 du code de la sécurité sociale est ainsi modifié :

a) Au deuxième alinéa, la référence : « L. 4422-22 » est remplacée par la référence : « L. 4422-19 » ;

b) Il est ajouté un alinéa ainsi rédigé :

« Les indemnités de fonction des élus des collectivités territoriales mentionnées à l’article 72 de la Constitution dans lesquelles s’applique le régime général de sécurité sociale qui ne sont pas assujetties aux cotisations de sécurité sociale en application des premiers alinéas du présent article peuvent, sur demande des élus concernés, être assujetties aux mêmes cotisations. Un décret fixe les modalités selon lesquelles cette faculté s’exerce. »

III. – Alinéa 4 

Remplacer les mentions :

I et II

par les références :

I à II bis

Objet

Notre système démocratique local repose sur l’engagement des élus, parfois au détriment de leur activité professionnelle. Si des dispositifs leur permettent à certains d’entre eux de se créer des droits dans le système d’assurance vieillesse, certains peuvent n’acquérir aucun trimestre pour une année donnée.

Or, l’actuel dispositif de rachat de trimestres est ouvert pour les années incomplètes, empêchant le rachat de trimestres pour des années au cours desquelles un élu n’en aurait validé aucun.

Aussi cet amendement propose-t-il d’étendre les rachats pour les années pendant lesquelles un assuré a été membre d’un organe délibérant, indépendamment du nombre de trimestres qu’il aurait ou non validé pour cette année.

En outre, les élus qui perçoivent des indemnités de fonction mensuelles inférieures à la moitié du plafond de la sécurité sociale (1 833€ mensuels), et qui n’ont pas cessé toute activité professionnelle par ailleurs, ne cotisent pas au régime de base de la sécurité sociale. Ils ne valident donc pas nécessairement 4 trimestres par an (si l’activité professionnelle réduite génère un salaire soumis à cotisation inférieur à environ 6000€ par an) et les indemnités n’ouvrent aucun droit à retraite au régime de base.

Plus de 80% des maires, quasi exclusivement de communes de moins 4 000 habitants, sont potentiellement concernés. De surcroît, ils sont de plus en plus nombreux à réduire leur activité professionnelle pour exercer leur mandat.

Cet amendement propose également d’offrir la possibilité à ces élus locaux, d’être assujettis aux cotisations de sécurité sociale, dont la cotisation d’assurance vieillesse, sur l’indemnité de fonction qu’ils perçoivent.

 






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4737 rect.

7 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté - vote unique

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 11


I.- Alinéa 1

Remplacer cet alinéa par deux alinéas ainsi rédigés :

I. – Le code de la sécurité sociale est ainsi modifié :

1° L’article L. 351-3 est complété par un 9° ainsi rédigé :

II.- Après l’alinéa 2

Insérer deux alinéas ainsi rédigés :

2° Le I de l’article L. 351-14-1 est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« … Les périodes pendant lesquelles l’assuré a été membre d’un organe délibérant d’une collectivité territoriale mentionnée à l’article 72 de la Constitution dans lesquelles s’applique le régime général de sécurité sociale, ainsi que les délégués de ces collectivités territoriales membres d’un établissement public de coopération intercommunale. »

III. – Après l’alinéa 3

Insérer un paragraphe ainsi rédigé :

II bis. – L’article L. 382-31 du code de la sécurité sociale est ainsi modifié :

a) Au deuxième alinéa, la référence : « L. 4422-22 » est remplacée par la référence : « L. 4422-19 » ;

b) Il est ajouté un alinéa ainsi rédigé :

« Les indemnités de fonction des élus des collectivités territoriales mentionnées à l’article 72 de la Constitution dans lesquelles s’applique le régime général de sécurité sociale qui ne sont pas assujetties aux cotisations de sécurité sociale en application des premiers alinéas du présent article peuvent, sur demande des élus concernés, être assujetties aux mêmes cotisations. Un décret fixe les modalités selon lesquelles cette faculté s’exerce. »

III. – Alinéa 4 

Remplacer les mentions :

I et II

par les références :

I à II bis

Objet

Cet amendement vise à ouvrir aux élus locaux qui perçoivent des indemnités de fonction mensuelles inférieures à la moitié du plafond de la sécurité sociale la possibilité d’être assujettis, à leur demande, aux cotisations de sécurité sociale sur les indemnités de fonction qu'ils perçoivent. Il tend par ailleurs à étendre le rachat de trimestres de retraite aux périodes de mandat électoral.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 275 rect. ter

6 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

Mme Nathalie DELATTRE, MM. ARTANO, BILHAC et CABANEL, Mme Maryse CARRÈRE, MM. FIALAIRE, GOLD et GUÉRINI, Mme GUILLOTIN, M. GUIOL, Mme PANTEL et MM. REQUIER, ROUX et Jean-Baptiste BLANC


ARTICLE 11


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

....- Le I de l’article L. 351-14-1 du code de la sécurité sociale est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« …° Les années d’exercice de fonctions électives locales. »

Objet

Avant 2013, seuls les élus locaux qui avaient suspendu leur activité professionnelle pour l’exercice du mandat cotisaient au régime général sur leurs indemnités de fonction, pour la vieillesse notamment.

Depuis 2013, les élus qui ont cessé leur activité professionnelle pour l’exercice de leur mandat mais également ceux dont les indemnités de fonction sont supérieures à 1 833 € par mois en 2023 cotisent au régime général, pour le risque vieillesse notamment.

Les cotisations ainsi versées permettent de valider quatre trimestres par an au régime général.

Au regard des conditions déclenchant l’assujettissement aux cotisations sociales, nombre d’élus n’ont pu cotiser sur leurs indemnités de fonction et donc n’ont pu valider à ce titre des trimestres au régime général.

Cette situation concerne essentiellement :
- les femmes élues, n’exerçant pas d’activité professionnelle, pour lesquelles le montant ou l’absence d’indemnités n’a pas permis de cotiser au régime général et donc de valider des trimestres
- les élus exerçant leur mandat à temps plein depuis plusieurs décennies pour lesquels, avant 2013, les cotisations n’ont pas été prélevées, en particulier par méconnaissance des textes.

Afin de valoriser l’investissement de ces élus dont l’engagement au service de leurs concitoyens entraîne autant de conséquences sur leur vie familiale et leur niveau de vie à la retraite, le présent amendement vise à leur permettre de racheter des trimestres du régime général sur leurs deniers propres.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après l'article 12 à un amendement à l'article 11).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4507 rect. ter

6 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 11


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

....- Le I de l’article L. 351-14-1 du code de la sécurité sociale est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« …° Les années d’exercice de fonctions électives locales. »

Objet

Afin de valoriser l’investissement des élus locaux dont l’engagement au service de leurs concitoyens entraîne autant de conséquences sur leur vie familiale et leur niveau de vie à la retraite, le présent amendement vise à leur permettre de racheter des trimestres du régime général.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après l'article 12 à un amendement à l'article 11





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 274 rect. ter

6 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Retiré

Mme Nathalie DELATTRE, MM. ARTANO, BILHAC, CABANEL, FIALAIRE, GOLD et GUÉRINI, Mme GUILLOTIN, M. GUIOL, Mme PANTEL et MM. REQUIER, ROUX et Jean-Baptiste BLANC


ARTICLE 11


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

.... – Le premier alinéa de l’article L. 382-31 du code de la sécurité sociale est complété par une phrase ainsi rédigée : « Lorsque leurs indemnités sont inférieures à la fraction fixée par décret, ils peuvent, à leur demande, cotiser pour le risque vieillesse. »

Objet

L’article 18 de la loi n° 2012-1404 du 17 décembre 2012 de financement de la sécurité sociale (LFSS) pour 2013 affilie tous les élus locaux (percevant une indemnité de fonction ou non) au régime général de la sécurité sociale. En outre, il a également assujetti les indemnités de fonction de certains d’entre eux aux cotisations de sécurité sociale, pour l’ensemble des risques (maladie, vieillesse, accident du travail, maladies professionnelles) et ce, depuis le 1er janvier 2013.

Concrètement, les indemnités de fonction de ces élus sont assujetties aux cotisations de sécurité sociale, quand, en 2023, le montant total brut est supérieur à 1 833 € par mois (moitié du plafond de la sécurité sociale) et ce, à partir du premier euro sur chacune des indemnités, en cas de cumul.

Les élus, non fonctionnaires, ayant suspendu leur activité professionnelle pour se consacrer à leur mandat cotisent quant à eux au régime général de sécurité sociale, quel que soit le montant de leur(s) indemnité(s) de fonction.

Sur le risque vieillesse, les cotisations versées permettent notamment de valider quatre trimestres par an au régime général.

En revanche, les élus dont le montant total brut des indemnités de fonction est inférieur à 1833 € par mois et ceux qui n’ont pas cessé leur activité professionnelle pour se consacrer à leur mandat ne cotisent pas au régime général sur leurs indemnités et n’acquièrent donc pas de droits à la vieillesse de base.

Afin d’améliorer l’attractivité du mandat, le présent amendement vise à ouvrir la possibilité à ces élus de cotiser au régime général uniquement pour la vieillesse et ce, avec la participation de la collectivité.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après l'article 11 à un amendement à l'article 11).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4506 rect. bis

6 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 11


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

.... – Le premier alinéa de l’article L. 382-31 du code de la sécurité sociale est complété par une phrase ainsi rédigée : « Lorsque leurs indemnités sont inférieures à la fraction fixée par décret, ils peuvent, à leur demande, cotiser pour le risque vieillesse. »

Objet

Cet amendement vise à améliorer l’attractivité du mandat, en ouvrant la possibilité aux élus locaux de cotiser au régime général uniquement pour la vieillesse et ce, avec la participation de la collectivité.



NB :La rectification consiste en un changement de place. (d'un article additionnel après l'article 11 à un amendement à l'article 11)





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2162

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Favorable
Adopté - vote unique

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 11


Alinéa 2

Remplacer les mots :

35 de la loi n° 84-130 du 24 février 1984 portant réforme de la formation professionnelle continue et modification corrélative du code du travail

par les mots :

L. 980-9 du code du travail, dans sa rédaction antérieure à la loi n° 91-1405 du 31 décembre 1991 relative à la formation professionnelle et à l’emploi

Objet

Amendement de précision juridique.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2214

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. BREUILLER, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, DANTEC, DOSSUS, GONTARD, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. SALMON et PARIGI


ARTICLE 11


Alinéa 2

Compléter cet alinéa par deux phrases ainsi rédigées :

La preuve de la réalisation d’une des périodes mentionnées au présent 9° peut être apportée par une attestation écrite de la structure au sein de laquelle ladite période a été réalisée. Un décret définit les conditions d’application du présent alinéa.

Objet

Cet amendement vise à faciliter la preuve de la réalisation d’un contrat d’emploi aidé par l’État français entre 1984 et 1990, Travail d’Utilité Collective dit TUC. En effet les salariés sont informés, en principe, de la nécessité de conserver leurs documents administratifs, bulletins de salaire, contrat de travail, notamment pour justifier de leurs droits à la retraite. Mais, les contrats TUC n’ouvraient aucun droit à la retraite et de plus ont été le plus souvent formalisés sur un simple formulaire Cerfa. 

Il est à craindre que de nombreuses personnes ayant bénéficié d’un contrat TUC ne soient plus en possession d’un tel document et l’on peut craindre aussi que les employeurs ne les aient pas conservés avec autant de soin des documents relatifs à leurs salariés.

Dès lors, l’objet de cet amendement est de préciser qu’une attestation de l’employeur de l’époque pourra constituer un justificatif valable.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4585

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. FERNIQUE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 11


Après l’alinéa 2

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« La preuve de la réalisation d’une des périodes mentionnées au 9° peut être apportée par une attestation écrite de la structure au sein de laquelle ladite période a été réalisée. »

Objet

Les TUC, travaux d'utilité collective, sont des emplois subventionnés dans les années 80, pour les jeunes au chômage, non pris en compte dans le calcul de la retraite.

Pour permettre leur prise en compte et faciliter l'établissement d'une preuve, il est proposé d'apporter une simple attestation écrite de la structure au sein de laquelle ces travaux ont été réalisés.

L'objet de cet amendement est donc de préciser qu'une attestation de l'employeur d'alors pourra constituer un justificatif valable.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4586

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. FERNIQUE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 11


Alinéa 3

Après le mot :

décret

insérer les mots :

en Conseil d’État

Objet

Cet amendement vise à assurer que l'intention du législateur sera respectée.

Sur ce projet, après avoir refusé d’écouter les organisations syndicales, après avoir décidé d’utiliser la procédure d’examen contraint dans le temps qu’implique l’article 47-1 de la Constitution, le Gouvernement recourt de façon excessive à des décrets.

En raison notamment de l'importance du décret mentionné ici et des difficultés de prise en compte des points de vue des acteurs concernés, il semble indispensable aux yeux des auteur.es de cet amendement que le Conseil d’État soit associé à l’écriture de ce décret.

Par cet amendement, le Conseil d’État sera ainsi saisi du projet préparé par le Gouvernement et son avis devra être recueilli après une consultation des organismes dont l'avis est souhaité.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 68 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme PANTEL, MM. ARTANO, BILHAC et CABANEL, Mme Maryse CARRÈRE, M. CORBISEZ, Mme Nathalie DELATTRE, MM. FIALAIRE, GOLD et GUÉRINI, Mme GUILLOTIN et MM. GUIOL, REQUIER et ROUX


ARTICLE 11


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

.... – Dans les douze mois suivant la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport dressant un bilan de la mise en œuvre de l’article 107 de la loi n° 2021-1754 du 23 décembre 2021 de financement de la sécurité sociale pour 2022. Ce rapport étudie plus largement l’opportunité, le coût et la faisabilité de valider rétroactivement pour le décompte de la retraite les trimestres réalisés comme apprentis avant l’entrée en vigueur de la loi n° 2014-40 du 20 janvier 2014 garantissant l’avenir et la justice du système de retraite.

Objet

Cet amendement est une demande de rapport sur l'opportunité, le coût et la faisabilité de valider rétroactivement pour le décompte de la retraite les trimestres réalisés comme apprentis avant la réforme de 2014.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2916 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 11


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

…. – Le Gouvernement remet, dans l’année suivant la promulgation de la présente loi, un rapport au Parlement faisant le bilan de l’application de l’article 107 de la loi n° 2021-1754 du 23 décembre 2021 de financement de la sécurité sociale pour 2022. Ce rapport étudie plus largement l’opportunité, le coût et la faisabilité de valider rétroactivement pour le décompte de la retraite les trimestres réalisés comme apprentis avant l’entrée en vigueur de la loi n° 2014-40 du 20 janvier 2014 garantissant l’avenir et la justice du système de retraite.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à Remettre un rapport au Parlement sur l'opportunité, le coût et la faisabilité de valider rétroactivement pour le décompte de la retraite les trimestres réalisés comme apprentis avant la réforme de 2014.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3988 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 11


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

.... Le Gouvernement remet un rapport au Parlement dans l’année suivant la promulgation de la présente loi faisant le bilan de l’application de l’article 107 de la loi n° 2021-1754 du 23 décembre 2021 de financement de la sécurité sociale pour 2022. Ce rapport étudie plus largement l’opportunité, le coût et la faisabilité de valider rétroactivement pour le décompte de la retraite les trimestres réalisés comme apprentis avant l’entrée en vigueur de la loi n° 2014-40 du 20 janvier 2014 garantissant l’avenir et la justice du système de retraite.

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent la remise d’un rapport permettant d’estimer le coût et la faisabilité de valider rétroactivement pour le décompte de la retraite les trimestres réalisés comme apprentis avant la réforme de 2014.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4962

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3988 rect. de Mme ASSASSI

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 11


Alinéa 2

Dans la première phrase, remplacer les mots : "l'année"

par les mots : " les 6 mois"

Objet

Les auteurs du sous-amendement souscrivent à l'idée des auteurs de l'amendement d'une remise d’un rapport visant à estimer le coût et la faisabilité́ de valider rétroactivement, pour le décompte de la retraite, les trimestres réalisés comme apprentis avant la réforme de 2014. Néanmoins, compte tenu de l'importance du sujet et de l'urgence pour les anciens apprentis concernés, il apparait souhaitable que le rapport soit remis avant 1 an  après la promulgation de la loi et que la date de remise soit fixée à 6 mois après cette promulgation.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4963

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3988 rect. de Mme ASSASSI

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 11


Alinéa 2

Dans la première phrase, remplacer les mots : "l'année"

par les mots : " les 7 mois"

 

Objet

Les auteurs du sous-amendement souscrivent à l'idée des auteurs de l'amendement d'une remise d’un rapport visant à estimer le coût et la faisabilité́ de valider rétroactivement, pour le décompte de la retraite, les trimestres réalisés comme apprentis avant la réforme de 2014. Néanmoins, compte tenu de l'importance du sujet et de l'urgence pour les anciens apprentis concernés, il apparait souhaitable que le rapport soit remis avant 1 an  après la promulgation de la loi et que la date de remise soit fixée à 7 mois après cette promulgation.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4964

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3988 rect. de Mme ASSASSI

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 11


Alinéa 2

Dans la première phrase, remplacer les mots : "l'année"

par les mots : " les 8 mois"

Objet

Les auteurs du sous-amendement souscrivent à l'idée des auteurs de l'amendement d'une remise d’un rapport visant à estimer le coût et la faisabilité́ de valider rétroactivement, pour le décompte de la retraite, les trimestres réalisés comme apprentis avant la réforme de 2014. Néanmoins, compte tenu de l'importance du sujet et de l'urgence pour les anciens apprentis concernés, il apparait souhaitable que le rapport soit remis avant 1 an  après la promulgation de la loi et que la date de remise soit fixée à 8 mois après cette promulgation.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4965

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3988 rect. de Mme ASSASSI

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 11


Alinéa 2

Dans la première phrase, remplacer les mots : "l'année"

par les mots : " les 9  mois"

Objet

Les auteurs du sous-amendement souscrivent à l'idée des auteurs de l'amendement d'une remise d’un rapport visant à estimer le coût et la faisabilité́ de valider rétroactivement, pour le décompte de la retraite, les trimestres réalisés comme apprentis avant la réforme de 2014. Néanmoins, compte tenu de l'importance du sujet et de l'urgence pour les anciens apprentis concernés, il apparait souhaitable que le rapport soit remis avant 1 an  après la promulgation de la loi et que la date de remise soit fixée à 9 mois après cette promulgation.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4966

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3988 rect. de Mme ASSASSI

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 11


Alinéa 2

Dans la première phrase, remplacer les mots : "l'année"

par les mots : " les 10 mois"

Objet

Les auteurs du sous-amendement souscrivent à l'idée des auteurs de l'amendement d'une remise d’un rapport visant à estimer le coût et la faisabilité́ de valider rétroactivement, pour le décompte de la retraite, les trimestres réalisés comme apprentis avant la réforme de 2014. Néanmoins, compte tenu de l'importance du sujet et de l'urgence pour les anciens apprentis concernés, il apparait souhaitable que le rapport soit remis avant 1 an  après la promulgation de la loi et que la date de remise soit fixée à 10 mois après cette promulgation.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4967

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3988 rect. de Mme ASSASSI

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 11


Dans la première phrase, remplacer les mots : "l'année"

par les mots : " les 11 mois"

 Objet

Les auteurs du sous-amendement souscrivent à l'idée des auteurs de l'amendement d'une remise d’un rapport visant à estimer le coût et la faisabilité́ de valider rétroactivement, pour le décompte de la retraite, les trimestres réalisés comme apprentis avant la réforme de 2014. Néanmoins, compte tenu de l'importance du sujet et de l'urgence pour les anciens apprentis concernés, il apparait souhaitable que le rapport soit remis avant 1 an  après la promulgation de la loi et que la date de remise soit fixée à 6 mois après cette promulgation.

Objet






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4961

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3988 rect. de Mme ASSASSI

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 11


Alinéa 2

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée : "Il fait l'objet d'un débat dans chacune des commissions compétentes du Sénat et de l'Assemblée Nationale."

Objet

Les auteurs du sous-amendement souscrivent à l'idée des auteurs de l'amendement d'une remise  d’un rapport visant à estimer le coût et la faisabilité de valider rétroactivement, pour le décompte de la retraite, les trimestres réalisés comme apprentis avant la réforme de 2014. Afin que ce rapport ne reste pas lettre morte, ils souhaitent que soit expressément prévu, aux termes de la loi, que celui-ci fasse l'objet d'un débat dans les deux commissions parlementaires des affaires sociales.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4707

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes Mélanie VOGEL et PONCET MONGE, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 11


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

.... – Dans l’année suivant la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet un rapport au Parlement faisant le bilan de l’application de l’article 107 de la loi n° 2021-1754 du 23 décembre 2021 de financement de la sécurité sociale pour 2022. Ce rapport étudie plus largement l’opportunité, le coût et la faisabilité de valider rétroactivement pour le décompte de la retraite les trimestres réalisés comme apprentis avant l’entrée en vigueur de la loi n° 2014-40 du 20 janvier 2014 garantissant l’avenir et la justice du système de retraite.

Objet

Cet amendement du groupe Ecologiste, solidarité et territoires a pour objet la demande d’un rapport au Parlement sur l'opportunité, le coût et la faisabilité de valider rétroactivement pour le décompte de la retraite les trimestres réalisés comme apprentis avant la réforme de 2014.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4588

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. FERNIQUE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 11


Compléter cet alinéa par un paragraphe ainsi rédigé :

..... – Dans l’année suivant la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport sur le taux de non-recours à la mesure du présent article ainsi que sur ses motifs et formule des recommandations afin de le réduire.

Objet

Les auteur.es de cet amendement soulignent que l’étude d’impact anticipe un taux de recours à cette mesure de seulement 10 %, ce qui est très faible. Parmi les facteurs expliquant ce chiffre, la difficulté de retrouver les pièces justificatives est mise en avant.

Or, si l'on anticipe un recours faible et insatisfaisant à ce nouveau droit, il semble indispensable d'entamer un travail pour favoriser cette mesure et faire en sorte qu'elle bénéficie au plus grand nombre.

En conséquence, cet amendement demande la remise d’un rapport sur le taux de non-recours au dispositif de l’article 11 du présent texte.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3982 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 11


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

.... – Dans la troisième année suivant la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport sur le taux de non-recours à la mesure du présent article ainsi que sur ses motifs et formule des recommandations afin de le faire diminuer.

Objet

Les membres du groupe CRCE, par cette demande de rapport s’inquiètent du taux de 10% de non-recours aux dispositions du présent article alors même que de nombreuses raisons légitimes induisent un phénomène nettement plus important. Cet amendement entend donc faire la lumière postérieurement à la mise en œuvre du projet de loi.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4970

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3982 rect. de Mme ASSASSI

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 11


Alinéa 2

Remplacer le mot " troisième"

par le mot : "première"

Objet

Les auteurs du sous-amendement souscrivent à l'idée des auteurs de l'amendement d'une remise d’un rapport visant à comprendre les raison de l'important taux de 10% de non-recours  à la validation pour la retraite de périodes assimilées pour certains stages de la formation professionnelle. Néanmoins, compte tenu de l'importance du sujet , il apparait souhaitable que le rapport soit remis durant la première année- et non dans les 3 ans,  comme le souhaitent les auteurs de l'amendement -   après la promulgation de la loi 






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4969

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3982 rect. de Mme ASSASSI

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 11


Alinéa 2

remplacer le mot "troisième"

par le mot : "deuxième" 

Objet

Les auteurs du sous-amendement souscrivent à l'idée des auteurs de l'amendement d'une remise d’un rapport visant à comprendre les raison de l'important taux de 10% de non-recours  à la validation pour la retraite de périodes assimilées pour certains stages de la formation professionnelle. Néanmoins, compte tenu de l'importance du sujet , il apparait souhaitable que le rapport soit remis dans les deux ans - et non 3 comme le souhaitent les auteurs de l'amendement -   après la promulgation de la loi 






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4968

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3982 rect. de Mme ASSASSI

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 11


Alinéa 2

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée : "Il fait l'objet d'un débat dans chacune des commissions compétentes du Sénat et de l'Assemblée Nationale."

 

Objet

Les auteurs du sous-amendement souscrivent à l'idée des auteurs de l'amendement d'une remise d’un rapport visant à comprendre les raison de l'important taux de 10% de non-recours  à la validation pour la retraite de périodes assimilées pour certains stages de la formation professionnelle. Afin que ce rapport ne reste pas lettre morte, ils souhaitent que soit expressément prévu, aux termes de la loi, que celui-ci fasse l'objet d'un débat dans les deux commissions parlementaires des affaires sociales.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2914 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 11


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

…. –  Dans un délai de six mois après la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport relatif à l’aménagement du dispositif de retraite des sportifs de haut niveau prévu par l’article 85 de la loi n° 2011-1906 du 21 décembre 2011 de financement de la sécurité sociale pour 2012. Ce rapport analyse notamment le coût, l’opportunité et la faisabilité d’une extension de la prise en charge par l’État à trente-deux trimestres non cotisés et d’une intégration rétroactive des sportifs inscrits sur les listes de haut niveau entre 1984 et 2011. 

Objet

"Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains est une demande de rapport dans l'objectif d'améliorer le dispositif de retraite pour les sportifs de haut niveau qui a été institué en 2012 et par lequel l’État compense les trimestres non cotisés par les sportifs de haut niveau (SHN) pour compléter, à hauteur de 4 trimestres par an, tous régimes de retraite de base confondus, leurs
droits à pension.

En effet, si la durée moyenne d'inscription sur la liste de haut niveau élite, pour des sports comme l'athlétisme et l'aviron se situe entre 8 et 10 ans (en 2010-2011), l'ouverture des droits sur 4 ans ne recouvre ainsi même pas la moitié d'une carrière internationale.

D'autre part, la précocité croissante des carrières sportives interroge un dispositif qui commence à 20 ans.

Dès lors, il convient a minima d'étudier les possibilités d'actualiser la loi de 2012 avec une prise en charge pouvant aller jusqu'à 32 trimestres soit 8 années en ouvrant ce droit à partir de l'âge de 20 ans.

D'autre part, dix ans après la création de ce dispositif, il semble injuste que les sportifs inscrits sur les listes de haut niveau, depuis leur création en 1984 et jusqu'en 2011, soient toujours exclus de ce dispositif.

Ils sont des centaines parmi eux à devoir travailler jusqu'à 70 ans ou plus afin de bénéficier d'une retraite à taux plein ; la Commission des athlètes de haut niveau, les Olympiens et l'Union Nationale des Sportifs de Haut Niveau sont régulièrement sollicités dans ce cadre.

En conséquence, l'évolution souhaitée de ce dispositif par les différents acteurs doit également permettre aux SHN inscrits sur les listes de haut niveau (listes concernées à définir) entre 1984 et 2011 de bénéficier des mêmes conditions que les SHN au sein du dispositif de 2012 réactualisé (allongement à 32 trimestres).
"

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3984 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Retiré

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 11


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

... - Dans un délai de six mois à compter de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport relatif à l’aménagement du dispositif de retraite des sportifs de haut niveau prévu à l’article 85 de la loi n° 2011-1906 du 21 décembre 2011 de financement de la sécurité sociale pour 2012. Ce rapport analyse notamment le coût, l’opportunité et la faisabilité d’une extension de la prise en charge par l’État à trente-deux trimestres non cotisés et d’une intégration rétroactive des sportifs inscrits sur les listes de haut niveau entre 1984 et 2011.

Objet

Les membres du groupe CRCE, souhaitent par cette demande de rapport, faire la lumière sur l'objectif d'améliorer le dispositif de retraite pour les sportifs de haut niveau qui a été institué en 2012. Il consiste à faire compenser l’État des trimestres non cotisés par les sportifs de haut niveau et ainsi compléter, à hauteur de 4 trimestres par an, tous les régimes de retraite de base confondus, leurs droits à pension.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4971

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3984 rect. de Mme ASSASSI

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 11


Alinéa 2

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée : "Il fait l'objet d'un débat dans les commissions en charge du sport et dans celles en charge  des affaires sociales du Sénat et de l'Assemblée Nationale."

Objet

Les auteurs du sous-amendement souscrivent à l'idée des auteurs de l'amendement d'une remise d’un rapport visant à faire compenser par l'Etat les trimestres non cotisés par les sportifs de haut niveau et à compléter à hauteur de 4 trimestres par an, pour tous les régimes de retraite de base, les droits à pension de ces sportifs aux carrières extrêmement courtes.  Afin que ce rapport ne reste pas lettre morte, ils souhaitent que soit expressément prévu, aux termes de la loi, que celui-ci fasse l'objet d'un débat dans les 4 commissions parlementaires des affaires sociales et des affaires culturelles.

 






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2915 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 11


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

…. – Le Gouvernement remet, dans l'année suivant la promulgation de la présente loi, au Parlement un rapport faisant le bilan de l'application du présent article sur l'âge de départ à la retraite des assurés mentionnés au I. Ce rapport étudie l'opportunité et la faisabilité de valider rétroactivement pour la retraite les travaux d'utilité collective et autres périodes assimilées à certains stages de la formation professionnelle.

Objet

Cet amendement du groupe des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à remettre un rapport au Parlement sur la possibilité de rendre rétroactif la validation comme trimestres cotisés de périodes travaillées en stage de formation professionnelle - dont celles dans le cadre de travaux d’utilité collective TUC), alors que l'article 8 ne prévoit une telle validation que pour les personnes partant à la retraite à partir du 1er septembre 2023.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3986 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 11


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

.... - Le Gouvernement remet, dans l’année suivant la promulgation de la présente loi, au Parlement un rapport faisant le bilan de l’application du présent article sur l’âge de départ à la retraite des assurés mentionnés au I du même article et sur leur pension moyenne. Ce rapport étudie l’opportunité et la faisabilité de valider rétroactivement pour la retraite les travaux d’utilité collective et autres périodes assimilées à certains stages de la formation professionnelle.

Objet

Les membres du groupe CRCE prônent la remise d’un rapport au Parlement sur la possibilité de rendre rétroactif la validation comme trimestres cotisés de périodes travaillées en stage de formation professionnelle - dont celles dans le cadre de travaux d’utilité collective, TUC), alors que l'article 8 ne prévoit une telle validation que pour les personnes partant à la retraite à partir du 1er septembre 2023.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4973

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3986 rect. de Mme ASSASSI

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 11


Alinéa 2

Dans la première phrase, remplacer les mots : "l'année"

par les mots : " les 6 mois"

Objet

Les auteurs du sous-amendement souscrivent à l'idée des auteurs de l'amendement d'une remise d’un rapport sur la possibilité de rendre rétroactive la validation, comme trimestres cotisés, des périodes travaillées en stage de formation professionnelle  dont celles effectuées dans le cadre de travaux d’utilité collective (TUC). 

Néanmoins, compte tenu de l'importance du sujet, il apparait souhaitable que le rapport soit remis avant 1 an  après la promulgation de la loi et que la date de remise soit fixée à 6 mois après cette promulgation.

 






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4972

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 3986 rect. de Mme ASSASSI

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 11


Alinéa 2

 

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée : "Il fait l'objet d'un débat dans chacune des commissions compétentes du Sénat et de l'Assemblée Nationale."

Objet

Les auteurs du sous-amendement souscrivent à l'idée des auteurs de l'amendement d'une remise d’un rapport sur la possibilité de rendre rétroactive la validation, comme trimestres cotisés, des périodes travaillées en stage de formation professionnelle  dont celles effectuées dans le cadre de travaux d’utilité collective (TUC). Afin que ce rapport ne reste pas lettre morte, ils souhaitent que soit expressément prévu, aux termes de la loi, que celui-ci fasse l'objet d'un débat dans les deux commissions parlementaires des affaires sociales.

 






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4587

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. FERNIQUE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 11


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

…. – Dans l’année suivant la promulgation de la présente loi, la caisse nationale d’assurance vieillesse remet au Parlement un rapport faisant le bilan de l’application du présent article sur l’âge de départ à la retraite des assurés mentionnés au I et leur pension moyenne. Ce rapport étudie l’opportunité et la faisabilité de valider rétroactivement pour la retraite les travaux d’utilité collective et autres périodes assimilées à certains stages de la formation professionnelle.

Objet

Cet amendement du Groupe Écologiste - Solidarité & Territoires a pour objet de demander à la CNAV un rapport sur la possibilité de rendre rétroactif la validation comme trimestres cotisés de périodes travaillées en stage de formation professionnelle - dont celles dans le cadre de travaux d’utilité collective (TUC) - alors que le texte ne prévoit une telle validation que pour les personnes partant à la retraite à partir du 1er septembre 2023.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2917 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 11


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

…. – Dans un délai de douze mois à compter de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport qui identifie les bénéficiaires assimilables des travaux d’utilité collective manquant dans la prise en compte de leurs droits à la retraite mentionnés au présent article.

Objet

Cet amendement vise à demander au Gouvernement un rapport permettant de faire un bilan sur les oublié-e-s de la retraite, les bénéficiaires des travaux d’utilité commune (TUC) et dispositifs assimilables. 


Ne nous leurrons pas, si le Gouvernement a décidé de reprendre les dispositions préconisées par la mission flash dont l’auteur de cet amendement était le co-rapporteur (avec Monsieur Paul Christophe) n’atténue en rien l’injustice de cette réforme. Si, en permettant aux bénéficiaires des TUC de faire valoir les droits à la retraite dont ils disposent, le législateur vient combler un vide juridique nécessaire, demander à ces personnes de travailler 2 ans de plus est une injustice sociale immense. 

Une proposition de loi sur le sujet des bénéficiaires des TUC était pourtant prête et pouvait être choisie comme véhicule législatif sans passer par l’injuste réforme des retraites. 


Si la rédaction de l’article 11 permet théoriquement d’intégrer l’ensemble des dispositifs des travaux d’utilité commune et assimilables, l’exposé des motifs précise que cinq types de stages sont concernés laissant penser que certaines catégories pourraient être une fois encore oubliées, et notamment les apprentis entre 1972 et 2013, qui bénéficient actuellement d’un dispositif de rachat de trimestres à tarif préférentiel, ce qui n’est pas satisfaisant. 

Il sera ainsi nécessaire de faire un point d'étape sur le dispositif. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2231

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. LUREL


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 11


Après l’article 11

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Dans un délai de six mois à compter de la publication de la présente loi, le Gouvernement remet un rapport au Parlement faisant le bilan de l’application de l’article 8 de la loi n° 2020-1576 du 14 décembre 2020 de financement de la sécurité sociale pour 2021. Ce rapport présente différentes options législatives ou réglementaires permettant la validation comme trimestres cotisés des périodes pendant lesquelles l’assuré a effectué un stage au sein du service militaire adapté.

Objet

Cet amendement vise à la remise d’un rapport permettant de considérer comme trimestres cotisés les périodes travaillées dans le cadre de stages réalisés au sein du Service militaire adapté (SMA),
dispositif d’insertion socio-professionnelle prévu exclusivement pour les jeunes de 18 à 25 ans éloignés de la qualification et l’emploi qui résident dans les Outre-mer.

Le SMA peut accueillir chaque année 6000 bénéficiaires, dont 60 % de non diplômés et environ 40 % de jeunes illettrés (selon la catégorisation de l’Agence nationale de lutte contre l’illettrisme). Il permet de suppléer au déficit de structures de la formation professionnelle des jeunes dans les Outre-mer et constitue aujourd’hui un dispositif important et reconnu par les employeurs locaux pour sa qualité et son efficacité vers une insertion professionnelle durable de ces derniers.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2577 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes JASMIN et CONCONNE, M. ANTISTE, Mmes LUBIN, LE HOUEROU et POUMIROL, MM. ÉBLÉ, RAYNAL et FÉRAUD, Mme PRÉVILLE, M. TISSOT, Mme CONWAY-MOURET et MM. Patrice JOLY, CARDON, GILLÉ, PLA et BOURGI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 11


Après l’article 11

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Dans un délai de six mois à compter de la publication de la présente loi, le Gouvernement remet un rapport au Parlement faisant le bilan de l’application de l’article 8 de la loi n° 2020-1576 du 14 décembre 2020 de financement de la sécurité sociale pour 2021. Ce rapport présente différentes options législatives ou réglementaires permettant la validation comme trimestres cotisés des périodes pendant lesquelles l’assuré a effectué un stage au sein du service militaire adapté.

Objet

"Cet amendement vise à la remise d’un rapport permettant de considérer comme trimestres cotisés les périodes travaillées dans le cadre de stages réalisés au sein du Service militaire adapté (SMA), dispositif d’insertion socio-professionnelle prévu exclusivement pour les jeunes de 18 à 25 ans éloignés de la qualification et l’emploi qui résident dans les Outre-mer.

Le SMA peut accueillir chaque année 6000 bénéficiaires, dont 60 % de non diplômés et environ 40 % de jeunes illettrés (selon la catégorisation de l’Agence nationale de lutte contre l’illettrisme). Il permet de suppléer au déficit de structures de la formation professionnelle des jeunes dans les Outre-mer et constitue aujourd’hui un dispositif important et reconnu par les employeurs locaux pour sa qualité et son efficacité vers une insertion professionnelle durable de ces derniers.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2918 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 11


Après l’article 11

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

... – Dans les six mois suivant la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport sur l’application de l’article 40 de la loi n° 2017-1836 du 30 décembre 2017 de financement de la sécurité sociale pour 2018. Ce rapport se penche plus largement sur l’impact du nouveau mode de calcul suite à la mise en place par la branche Vieillesse de la liquidation unique des régimes alignés sur les montants de pensions des travailleurs transfrontaliers. 

Objet

"Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à remettre un rapport sur l'impact de la réforme de la liquidation unique des régimes alignés sur les travailleurs transfrontaliers.

Nous sommes saisis en effet de nombreux cas d'assurés qui sont des travailleurs transfrontaliers qui se voient lésés par la mise en oeuvre de la réforme.

En effet, il semble que les caisses de retraite n'appliquent plus de prorata sur la durée d'assurance dans la sélection des meilleures années pour le calcul du salaire annuel moyen de référence, comme ce fut le cas jusqu' en juillet 2022 pour les travailleurs frontaliers.

Ceci conduit à retenir dans la formule de calcul du salaire annuel moyen de référence des années où les assurés avaient des revenus faibles et partiels, et donc à drastiquement réduire les montants de pension.

Les sénateurs signataires du présent amendement - contraints par l'article 40 de la Constitution qui les interdit de créer une dépense publique - souhaitent par cet amendement analyser les pistes de réforme pour rapidement répondre à ce problème."

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3334

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 11


Après l'article 11

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Dans un délai de trois mois à compter de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement présente au Parlement un rapport sur l’impact qu’aurait l’assimilation d’une période de trente jours réalisée à temps plein dans le cadre d'un contrat travaux d'utilité collective (TUC) à une validation d'un trimestre cotisé.

Objet

Par cet amendement, le groupe écologiste souhaite préciser qu'une période de trente jours réalisée à temps plein dans le cadre d'un contrat TUC donne droit à la validation d'un trimestre cotisé.

Depuis la loi  n° 2014-40 du 20 janvier 2014 garantissant l’avenir et la justice du système de retraites, les périodes de stages de la formation professionnelle ouvrent des droits à la retraite : une période de stage de 50 jours valide un trimestre de retraite.

Les travaux d'utilité collective (TUC) ont profité à 350 000 personnes en France entre 1984 et 1990.Les bénéficiaires de travaux d’utilité collective percevaient une rémunération composée d'une indemnité de base d’un montant de 1 250 francs par mois – soit un équivalent de 350 euros constants aujourd’hui –, pouvant être complétée par l’organisme à hauteur de 500 francs et d’avantages en nature. Compte tenu des très faibles niveaux de rémunération pratiqués par l'État dans le cadre des contrats TUC, nous proposons d'abaisser la période nécessaire afin de valider un trimestre de 50 à 30 jours. 

Cette proposition contribuera à une meilleure reconnaissance de l'engagement des “tucistes” envers l'intérêt général et les missions d'intérêt collectif. Cet amendement prend la forme d’une demande de rapport pour éviter une irrecevabilité au titre de l’article 40.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4708 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes Mélanie VOGEL et PONCET MONGE, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI, SALMON, CHANTREL et LECONTE


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 11


Après l’article 11

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le Gouvernement remet au Parlement, dans un délai de six mois à compter de la promulgation de la présente loi, un rapport évaluant le traitement inégal des personnes ayant travaillé à l’étranger et évaluant la possibilité de calculer le salaire annuel au prorata des années travaillées en France.

Objet

Cet amendement vise à mettre fin à une rupture d’égalité entre les Françaises et Français ayant effectué une partie de leur carrière à l’étranger et les Françaises et Français ayant effectué l’intégralité de leur carrière en France.

Cette rupture d’égalité est causée par une spécificité du calcul du salaire annuel moyen, dont dépend le montant de la retraite. Actuellement, ce salaire annuel moyen est calculé en tenant compte du salaire annuel moyen des 25 meilleures années travaillées en France. Or, les Français de l’étranger n’ont pas toujours travaillé 25 ans en France. De ce fait, l’intégralité de leur carrière française est prise en compte. Alors qu’une année avec des faibles revenus se voit exclue du calcul du salaire annuel moyen pour les Françaises et Français ayant travaillé uniquement en France grâce à la règle des 25 meilleures années, ce revenu annuel moyen prend en compte ces années avec une rémunération faible les personnes ayant travaillé moins de 25 années en France.

À titre d’exemple, une personne ayant travaillé dix ans en France peut être pénalisée par la méthode de calcul actuelle, si son revenu a été plus faible à certains moments en France. Ce cas est fréquent, car il suffit d’avoir eu des emplois étudiants ou d’avoir travaillé uniquement une partie d’une année, par exemple juste avant le départ à l’étranger. Ces années avec un revenu annuel particulièrement faible tirent le revenu annuel moyen vers le bas et ont in fine pour conséquence que les retraites des Françaises et Français ayant travaillé moins de 25 ans en France touchent une retraite plus faible.

De ce fait, la disposition avantageuse d’exclure du revenu annuel moyen les années les moins bien rémunérées ne s’applique pas à une grande partie des Françaises et Français avec une carrière internationale. Ils sont désormais les derniers à ne pas bénéficier de cette disposition.

Jusqu’en février 2023, la situation était encore similaire pour les non-salariés agricoles, car leur salaire annuel moyen était calculé sur la base de l’ensemble de leur carrière, et non sur la base des 25 meilleures années. Suite à la proposition de loi 353 déposée à l’Assemblée nationale le 18 octobre 2022, visant à calculer la retraite de base des non-salariés agricoles en fonction de leurs seules vingt-cinq meilleures années de revenus, les retraites des non-salariés agricoles sont également basées sur le revenu annuel moyen de leurs 25 meilleures années.

La conséquence évidente serait de mettre fin à cette rupture d’égalité désavantageant les Français avec une carrière internationale.

Ce serait rendu possible en calculant le salaire annuel moyen à partir de 60 % des “meilleures” années travaillées en France et en excluant du calcul du salaire annuel moyen toutes les années de faible salaire annuel dont la prise en compte diminue les droits à la retraite acquis pour les autres années de la carrière, quand ces années provoquent une baisse du salaire annuel moyen supérieure à l'augmentation afférente au nombre de trimestres des années concernées.

Puisqu’il est interdit aux parlementaires de proposer une hausse des dépenses publiques en vertu de l’article 40 de la Constitution, cet amendement demande à la place au Gouvernement d’étudier la question dans un rapport.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1936 rect. bis

7 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. Pascal MARTIN

et les membres du groupe Union Centriste


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 11


Après l'article 11

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Après l’article L. 173-1-4, il est inséré́ un article L. 173-1-… ainsi rédigé :

« Art L. 173-1-…. – Les sapeurs-pompiers volontaires ayant accompli dix années de service continues ou non en qualité́ de sapeur-pompier volontaire ont droit à des trimestres supplémentaires pris en compte pour la détermination du taux de calcul de la pension et la durée d’assurance dans le régime, dans des conditions et limites prévues par décret en Conseil d’État. Ce décret précise notamment le régime auquel incombe la charge de valider ces trimestres lorsque l’assuré a relevé successivement, alternativement ou simultanément de plusieurs régimes d’assurance vieillesse de base. »

Objet

Cet amendement vise à valoriser l’engagement des sapeurs-pompiers volontaires pour leur retraite. Leurs missions sont exercées dans des situations de tensions et de risques inhérents à leur activité, auxquelles viennent s’ajouter les contraintes professionnelles. A cet égard, la reconnaissance et la valorisation de leur engagement sont un devoir pour ces représentants d’une société plus solidaire et engagée.

Le présent amendement prévoit donc que leur engagement soit valorisé au bout de dix années de service par l’attribution de trimestres pris en compte dans le calcul de leur pension.

Ces trimestres ont vocation de compléter, le cas échéant, la carrière professionnelle des sapeurs-pompiers volontaires, afin de faciliter un départ à taux plein à la retraite. Les limites et conditions d’octroi de ces trimestres supplémentaires seront définies par décret en Conseil d’État. Ce décret prévoira notamment un octroi de 3 trimestres à compter de 10 années d’engagement, puis au delà 1 trimestre supplémentaire tous les 5 ans

Cette mesure vient en complément de la revalorisation de la Nouvelle Prestation de Fidélisation et de Reconnaissance (NPFR) sous la précédente législature. Celle-ci a en effet été étendue, par la création d’un nouveau seuil d’éligibilité (dès 15 ans d’engagement, au lieu de 20 ans, 10 ans en cas d’invalidité opérationnelle reconnue médicalement) et significativement revalorisée au 1er janvier 2023 (elle est aujourd’hui de 500€ à 3000€ par an, contre auparavant entre 400 à 2000€ par an, selon la durée d’engagement).



NB :La rectification consiste en un changement de place (de l'article 7 à un additionnel après l'article 11).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 85 rect. ter

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté - vote unique

Mme Nathalie DELATTRE, MM. GOLD, ARTANO, BILHAC et CABANEL, Mme Maryse CARRÈRE, MM. CORBISEZ, FIALAIRE et GUÉRINI, Mme GUILLOTIN, M. GUIOL, Mme PANTEL et MM. REQUIER et ROUX


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 11


Après l'article 11

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Après l’article 12 de la loi n° 96-370 du 3 mai 1996 relative au développement du volontariat dans les corps de sapeurs-pompiers, il est inséré un article 12-... ainsi rédigé :

« Art 12-.... – Les sapeurs-pompiers volontaires ayant accompli dix années de service en qualité de sapeur-pompier volontaire ont droit à une bonification de leur durée d’assurance de trois trimestres.

« La bonification mentionnée à l’alinéa précédent est complétée par l’attribution d’un trimestre supplémentaire tous les cinq ans au-delà de dix ans d’engagement comme sapeur-pompier volontaire.

« Cette bonification ne peut conduire à porter au-delà de quatre le nombre de trimestres validés par un assuré par année civile dans les différents régimes légaux ou rendus légalement obligatoires, de base et complémentaires, français et étrangers. »

Objet

Les sapeurs-pompiers volontaires sont indispensables à la protection des Français.

Au titre de la reconnaissance nationale pour leur engagement, cet amendement vise à instaurer une bonification sous la forme de l’attribution de trois trimestres au bout de dix ans d’engagement. Cette bonification est complétée par un trimestre supplémentaire tous les cinq ans. Elle ne pourra conduire à valider davantage que 4 trimestres par année civile.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 120 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté - vote unique

MM. LEVI, BURGOA et PACCAUD, Mme GUIDEZ, MM. LAUGIER et DUFFOURG, Mme VÉRIEN, M. CANÉVET, Mmes MALET et BILLON, MM. PELLEVAT, VERZELEN et KERN, Mme SAINT-PÉ, MM. CADEC et GUERRIAU, Mmes DREXLER et de LA PROVÔTÉ, MM. Alain MARC, CHATILLON, PANUNZI, CHAUVET et MEIGNEN, Mme PERROT, MM. DÉTRAIGNE et Jean-Michel ARNAUD, Mmes MORIN-DESAILLY, JACQUEMET, LÉTARD et VERMEILLET, MM. CHASSEING, HINGRAY et ROJOUAN et Mme RENAUD-GARABEDIAN


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 11


Après l'article 11

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Après l’article 12 de la loi n° 96-370 du 3 mai 1996 relative au développement du volontariat dans les corps de sapeurs-pompiers, il est inséré un article 12-... ainsi rédigé :

« Art 12-.... – Les sapeurs-pompiers volontaires ayant accompli dix années de service en qualité de sapeur-pompier volontaire ont droit à une bonification de leur durée d’assurance de trois trimestres.

« La bonification mentionnée à l’alinéa précédent est complétée par l’attribution d’un trimestre supplémentaire tous les cinq ans au-delà de dix ans d’engagement comme sapeur-pompier volontaire.

« Cette bonification ne peut conduire à porter au-delà de quatre le nombre de trimestres validés par un assuré par année civile dans les différents régimes légaux ou rendus légalement obligatoires, de base et complémentaires, français et étrangers. »

Objet

Cet amendement vise à prévoir une majoration de la durée d'assurance (bonification) pour la retraite des sapeurs-pompiers volontaires (3 trimestres pour 10 ans, un trimestre pour 5 années supplémentaires) au titre de la solidarité nationale, telle qu’elle avait été envisagée en juin 2020 par la PROPOSITION DE LOI n° 3162 visant à consolider notre modèle de sécurité civile et valoriser le volontariat des sapeurs-pompiers (Loi n° 2021-1520 du 25 novembre 2021) et par le Président de la République lui-même à l’occasion de plusieurs interlocutions (exemples, Rodez le 3 octobre 2019, congrès des sapeurs-pompiers de France le 16 octobre 2021 à Marseille).

Il prévoit également un droit d’option permettant aux sapeurs-pompiers volontaires concernés de choisir entre le bénéfice de cette majoration (bonification) ou celui de la prestation de fin de services en vigueur (prestation de fidélisation et de reconnaissance, nouvelle prestation de fidélisation et de reconnaissance…) à laquelle ils pourraient prétendre.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1904 rect. bis

9 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté - vote unique

Mme HAVET, MM. IACOVELLI, LÉVRIER, HASSANI, PATRIAT, BARGETON et BUIS, Mme CAZEBONNE, MM. DAGBERT et DENNEMONT, Mme DURANTON, MM. GATTOLIN, HAYE, KULIMOETOKE, LEMOYNE, MARCHAND, MOHAMED SOILIHI et PATIENT, Mme PHINERA-HORTH, MM. RAMBAUD, RICHARD et ROHFRITSCH, Mme SCHILLINGER, M. THÉOPHILE

et les membres du groupe Rassemblement des démocrates, progressistes et indépendants


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 11


Après l'article 11

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Après l’article 12 de la loi n° 96-370 du 3 mai 1996 relative au développement du volontariat dans les corps de sapeurs-pompiers, il est inséré un article 12-... ainsi rédigé :

« Art 12-.... – Les sapeurs-pompiers volontaires ayant accompli dix années de service en qualité de sapeur-pompier volontaire ont droit à une bonification de leur durée d’assurance de trois trimestres.

« La bonification mentionnée à l’alinéa précédent est complétée par l’attribution d’un trimestre supplémentaire tous les cinq ans au-delà de dix ans d’engagement comme sapeur-pompier volontaire.

« Cette bonification ne peut conduire à porter au-delà de quatre le nombre de trimestres validés par un assuré par année civile dans les différents régimes légaux ou rendus légalement obligatoires, de base et complémentaires, français et étrangers. »

Objet


Cet amendement vise à prévoir une majoration de la durée d’assurance pour la retraite des sapeurs-pompiers volontaires. La bonification se fera sous la forme de l’attribution de trois trimestres au bout de dix ans d’engagement et de 1 trimestre pour 5 années supplémentaires. Les conditions seront définies par décret.


Cet amendement vise à valoriser l’engagement des sapeurs-pompiers volontaires. La reconnaissance de leur action est un devoir au titre de la solidarité nationale.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2339 rect. quater

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté - vote unique

MM. STANZIONE, REDON-SARRAZY, MAGNER, BOURGI, JOMIER et Patrice JOLY, Mmes PRÉVILLE et POUMIROL, M. CARDON, Mme MONIER et M. CHANTREL


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 11


Après l'article 11

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Après l’article 12 de la loi n° 96-370 du 3 mai 1996 relative au développement du volontariat dans les corps de sapeurs-pompiers, il est inséré un article 12-... ainsi rédigé :

« Art 12-.... – Les sapeurs-pompiers volontaires ayant accompli dix années de service en qualité de sapeur-pompier volontaire ont droit à une bonification de leur durée d’assurance de trois trimestres.

« La bonification mentionnée à l’alinéa précédent est complétée par l’attribution d’un trimestre supplémentaire tous les cinq ans au-delà de dix ans d’engagement comme sapeur-pompier volontaire.

« Cette bonification ne peut conduire à porter au-delà de quatre le nombre de trimestres validés par un assuré par année civile dans les différents régimes légaux ou rendus légalement obligatoires, de base et complémentaires, français et étrangers. »

Objet

Cet amendement vise à prévoir une majoration de la durée d'assurance (bonification) pour la retraite des sapeurs-pompiers volontaires (3 trimestres pour 10 ans, un trimestre pour 5 années supplémentaires) au titre de la solidarité nationale, telle qu’elle avait été envisagée en juin 2020 par la PROPOSITION DE LOI n° 3162 visant à consolider notre modèle de sécurité civile et valoriser le volontariat des sapeurs-pompiers (Loi n° 2021-1520 du 25 novembre 2021) et par le Président de la République lui-même à l’occasion de plusieurs interlocutions (exemples, Rodez le 3 octobre 2019, congrès des sapeurs-pompiers de France le 16 octobre 2021 à Marseille).

Il prévoit également un droit d’option permettant aux sapeurs-pompiers volontaires concernés de choisir entre le bénéfice de cette majoration (bonification) ou celui de la prestation de fin de services en vigueur (prestation de fidélisation et de reconnaissance, nouvelle prestation de fidélisation et de reconnaissance…) à laquelle ils pourraient prétendre.

Cet amendement a été travaillé avec la Fédération Nationale des Sapeurs-Pompiers de France.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3101

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G  
Non soutenu

M. BONNEAU


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 11


Après l'article 11

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Après l’article 12 de la loi n° 96-370 du 3 mai 1996 relative au développement du volontariat dans les corps de sapeurs-pompiers, il est inséré un article 12-... ainsi rédigé :

« Art 12-.... – Les sapeurs-pompiers volontaires ayant accompli dix années de service en qualité de sapeur-pompier volontaire ont droit à une bonification de leur durée d’assurance de trois trimestres.

« La bonification mentionnée à l’alinéa précédent est complétée par l’attribution d’un trimestre supplémentaire tous les cinq ans au-delà de dix ans d’engagement comme sapeur-pompier volontaire.

« Cette bonification ne peut conduire à porter au-delà de quatre le nombre de trimestres validés par un assuré par année civile dans les différents régimes légaux ou rendus légalement obligatoires, de base et complémentaires, français et étrangers. »

Objet

Cet amendement vise à prévoir une majoration de la durée d'assurance (bonification) pour la retraite des sapeurs-pompiers volontaires (3 trimestres pour 10 ans, un trimestre pour 5 années supplémentaires) au titre de la solidarité nationale, telle qu'elle avait été envisagée en juin 2020 par la PROPOSITION DE LOI n° 3162 visant à consolider notre modèle de sécurité civile et valoriser le volontariat des sapeurs-pompiers (Loi n° 2021-1520 du 25 novembre 2021) et par le Président de la République lui-même à l'occasion de plusieurs interlocutions. 

Il prévoit également un droit d'option permettant aux sapeurs-pompiers volontaires concernés de choisir entre le bénéfice de cette majoration (bonification) ou celui de la prestation de fin de services en vigueur (prestation de fidélisation et de reconnaissance, nouvelle prestation de fidélisation et de reconnaissance..) à laquelle ils pourraient prétendre.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3415

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 11


Après l'article 11

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Après l’article 12 de la loi n° 96-370 du 3 mai 1996 relative au développement du volontariat dans les corps de sapeurs-pompiers, il est inséré un article 12-... ainsi rédigé :

« Art 12-.... – Les sapeurs-pompiers volontaires ayant accompli dix années de service en qualité de sapeur-pompier volontaire ont droit à une bonification de leur durée d’assurance de trois trimestres.

« La bonification mentionnée à l’alinéa précédent est complétée par l’attribution d’un trimestre supplémentaire tous les cinq ans au-delà de dix ans d’engagement comme sapeur-pompier volontaire.

« Cette bonification ne peut conduire à porter au-delà de quatre le nombre de trimestres validés par un assuré par année civile dans les différents régimes légaux ou rendus légalement obligatoires, de base et complémentaires, français et étrangers. »

Objet

Cet amendement vise à valoriser l’engagement des sapeurs-pompiers volontaires pour leur retraite. La reconnaissance et la valorisation de leur engagement sont un devoir pour ces représentants d’une société plus solidaire et engagée.

En ce sens, les sapeurs-pompiers volontaires bénéficient depuis cette année d’une revalorisation du barème de la nouvelle prestation de fidélisation et de reconnaissance qui permet de garantir une rente versée après sa cession d'activité pour ceux ayant accompli une durée minimale de services effectifs.

Le présent amendement prévoit l’instauration d’une bonification sous la forme de l’attribution de trois trimestres au bout de dix ans d’engagement. Cette bonification est complétée d’un trimestre tous les cinq ans. Elle ne pourra conduire à valider davantage que 4 trimestres par année civile.

Par cet amendement, les sénateur.rices du groupe écologiste, solidarité et territoires souhaitent atténuer la brutalité de la réforme portée par un gouvernement s’apprêtant à faire peser l’équilibre du système de retraite sur le dos des travailleur.ses, plutôt que sur le capital.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4732

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G  
Non soutenu

Mme GACQUERRE


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 11


Après l'article 11

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Après l’article 12 de la loi n° 96-370 du 3 mai 1996 relative au développement du volontariat dans les corps de sapeurs-pompiers, il est inséré un article 12-... ainsi rédigé :

« Art 12-.... – Les sapeurs-pompiers volontaires ayant accompli dix années de service en qualité de sapeur-pompier volontaire ont droit à une bonification de leur durée d’assurance de trois trimestres.

« La bonification mentionnée à l’alinéa précédent est complétée par l’attribution d’un trimestre supplémentaire tous les cinq ans au-delà de dix ans d’engagement comme sapeur-pompier volontaire.

« Cette bonification ne peut conduire à porter au-delà de quatre le nombre de trimestres validés par un assuré par année civile dans les différents régimes légaux ou rendus légalement obligatoires, de base et complémentaires, français et étrangers. »

Objet

Être engagé comme sapeur-pompier volontaire, c’est s’engager au service de la sécurité de tous et prendre des risques personnels. Au regard des besoins grandissants en matière de secours d’urgence, il est nécessaire de reconnaître et de favoriser cet engagement.

Le présent amendement vise à accorder aux sapeurs-pompiers volontaires qui ont effectué au moins dix années de services une bonification de la durée d'assurance pour la retraite de trois trimestres.

Il s'agit de leur accorder, au titre de la solidarité nationale, trois trimestres pour dix ans et un trimestre pour cinq années supplémentaires.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2913 rect. bis

4 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. KANNER, Mmes LUBIN, CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. BOURGI, LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, M. ASSOULINE, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 11


Après l'article 11

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le Gouvernement remet un rapport au Parlement dans l'année suivant la promulgation de la présente loi faisant le bilan de l'application de l'article 8 de la loi n° 2020-1576 du 14 décembre 2020 de financement de la sécurité sociale pour 2021. Ce rapport étudie également l'opportunité, la faisabilité et le coût de créer une bonification pour la retraite des trimestres de bénévolat des sapeurs-pompiers.

Objet

Cet amendement du groupe socialiste écologiste et républicain vise à remettre un rapport au Parlement sur l'opportunité, la faisabilité et le coût de créer une bonification pour la retraite des trimestres de bénévolat des sapeurs-pompiers.

 



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après l'article 10 à un article additionnel après l'article 11).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3748 rect.

4 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. FERNIQUE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 11


Après l'article 11

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le Gouvernement remet un rapport au Parlement dans l’année suivant la promulgation de la présente loi faisant le bilan de l’application de l’article 8 de la loi n° 2020-1576 du 14 décembre 2020 de financement de la sécurité sociale pour 2021. Ce rapport étudie notamment l’opportunité, la faisabilité et le coût d’une bonification pour la retraite des trimestres de bénévolat des sapeurs-pompiers.

Objet

A ce jour, une activité bénévole ne peut être prise en compte dans le calcul de la retraite. Les revenus qui sont versés à ce titre ne constituent pas une rémunération à proprement parler mais une indemnisation exonérée de tout prélèvement social. Les sapeurs-pompiers bénévoles ne cotisent donc pas pour leur retraite, et aucun trimestre ne peut leur être alloué à ce titre.

Pourtant, les sapeurs-pompiers volontaires tout comme les professionnels vont intervenir dans le cadre d'opérations de secours à des personnes, de protection des biens et de l'environnement, d'extinction des incendies. Cette activité de bénévolat présente de forts risques pour la sécurité et la santé des personnes qui s'y engagent.

Surtout, les Services départementaux d'incendie et de secours (SIS) seraient presque réduits à néant sans les sapeurs-pompiers volontaires. En effet, au 31 décembre 2020, on dénombrait 251 900 sapeurs-pompiers en France, dont 78 % de sapeurs-pompiers volontaires (SPV) et seulement 17 % de sapeurs-pompiers professionnels (SPP). Viennent s'ajouter les pompiers militaires qui représentent 5 % des effectifs.

Il semble donc utile d’étudier l’opportunité, la faisabilité et le coût d’une bonification pour la retraite des trimestres de bénévolat des sapeurs-pompiers.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après l'article 7 à un article additionnel après l'article 11).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2163

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Favorable
Adopté - vote unique

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 12


Alinéa 18, deuxième phrase

Remplacer la seconde occurrence du mot :

pour

par le mot :

pendant

Objet

Amendement rédactionnel






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2544

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. GONTARD, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 12


Alinéa 19, dernière phrase

Compléter cette phrase par les mots :

en Conseil d’État

Objet

Cet amendement vise à s'assurer que l'intention du législateur sera respectée. 

Sur ce projet, après avoir refusé d’écouter les organisations syndicales, après avoir décidé d’utiliser la procédure d’examen contraint dans le temps qu’implique l’article 47-1 de la Constitution, le Gouvernement a à de multiples recours à des décrets.

En raison notamment de l'importance du décret mentionné ici, et des difficultés de prise en compte des points de vue des acteurs concernés, il semble indispensable aux yeux des auteur.es de cet amendement que le Conseil d'Etat soit associé à l’écriture de ce décret.

Par cet amendement, le Conseil d'Etat sera ainsi saisi du projet préparé par le Gouvernement et son avis devra être recueilli après une consultation des organismes dont l'avis est souhaité.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2164

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Favorable
Adopté - vote unique

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 12


Alinéa 20

Remplacer les mots :

L’affiliation

par les mots :

La somme des durées d’affiliation

Objet

Précision rédactionnelle






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2546

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. GONTARD, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 12


Alinéa 22

Après le mot :

décret

insérer les mots :

en Conseil d’État

Objet

Cet amendement de repli vise à s'assurer que l'intention du législateur sera respectée. 

Sur ce projet, après avoir refusé d’écouter les organisations syndicales, après avoir décidé d’utiliser la procédure d’examen contraint dans le temps qu’implique l’article 47-1 de la Constitution, le Gouvernement a à de multiples recours à des décrets.

En raison notamment de l'importance du décret mentionné ici, et des difficultés de prise en compte des points de vue des acteurs concernés, il semble indispensable aux yeux des auteur.es de cet amendement que le Conseil d'Etat soit associé à l’écriture de ce décret.

Par cet amendement, le Conseil d'Etat sera ainsi saisi du projet préparé par le Gouvernement et son avis devra être recueilli après une consultation des organismes dont l'avis est souhaité.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4591

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. FERNIQUE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 12


Alinéa 22

Après le mot :

décret

insérer les mots :

après consultation des instances représentatives des personnes en situation de handicap

Objet

Les auteurs de cet amendement souhaitent que les décisions réglementaires en matière d'incapacité d'enfant ou d'adulte nécessitant la présence d'un aidant qui puisse avoir des droits soit accompagné d'un éclairage des instances représentatives des personnes en situation de handicap.

Selon le baromètre 2017 de la Fondation April et BVA, 11 millions d’aidants familiaux, soit un français sur six accompagnent au quotidien un proche en situation de dépendance en raison de son âge, d’une maladie ou d’un handicap. Des chiffres en constante augmentation. En 2030, un actif sur 4 serait aidant selon les projections. Cependant, selon le même baromètre 54% de ces personnes aidantes ignorent leur statut d’aidant.

L’affiliation à l’assurance vieillesse pour les aidants permet à l’aidant familial de valider des trimestres pour sa retraite sans qu’il ait besoin de verser des cotisations auprès de sa caisse de retraite. Des diagnostics largement convergents montrent qu’il est nécessaire de mettre en place un véritable statut du proche aidant, qui lui confère un certain nombre de droits, plus complets et mieux identifiés, parmi lesquels des droits revus en matière de cotisation à la retraite. Notamment, il s'agirait de revoir quel taux d'incapacité permanente d'un enfant ou d'un adulte nécessite son accompagnement au quotidien par des aidants.

C'est pourquoi, dans un souci de plus grande justice sociale concernant ces situations, les auteurs de cet amendement proposent que ces taux d'incapacité soient fixés certes par décret, mais après consultation des instances représentatives des personnes en situation de handicap.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 772 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme Maryse CARRÈRE, MM. ARTANO, BILHAC, CABANEL et CORBISEZ, Mme Nathalie DELATTRE, MM. FIALAIRE, GOLD et GUÉRINI, Mme GUILLOTIN, M. GUIOL, Mme PANTEL et MM. REQUIER et ROUX


ARTICLE 12


Alinéa 22

Supprimer les mots :

ou pour lequel elle est éligible au complément de cette allocation prévu au deuxième alinéa du même article L. 541-1

Objet

L’article 12 propose la création d’une assurance vieillesse spécifiquement dédiée aux aidants, l’AVA.

Aussi, cet amendement prévoit d’élargir les critères d’affiliation à l’AVA, en l’ouvrant à tous les parents d’enfants handicapés ayant perçu une AEEH de base.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2978

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes MEUNIER et LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, ROSSIGNOL et BLATRIX CONTAT, MM. BOURGI, CARDON et DURAIN, Mme CONWAY-MOURET, MM. CHANTREL et LECONTE, Mme MONIER, MM. TISSOT, TEMAL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 12


Alinéa 22

Supprimer les mots :

ou pour lequel elle est éligible au complément de cette allocation prévu au deuxième alinéa du même article L. 541-1

Objet

Dans le contexte actuel de pénurie de professionnels, et alors que la solidarité nationale ne relaie pas encore suffisamment la solidarité familiale, de nombreux proches deviennent aidants à défaut de meilleure solution. Il est urgent de reconnaître les efforts qu’ils fournissent au quotidien et de leur ouvrir des droits sociaux spécifiques.

À ce titre, l’élargissement de la possibilité de valider des trimestres à un plus grand nombre d’aidants – prévue à l’article 12 – est une bonne chose, mais cela reste encore trop restrictif.

Cet amendement prévoit donc d’élargir les critères d’affiliation à l’AVA, en l’ouvrant à tous les parents d’enfants handicapés ayant perçu une AEEH de base (pas seulement ceux éligibles à un complément), dans une logique de simplification des démarches et de l’accès aux droits.

Cet amendement est proposé par le Collectif Handicaps.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3326

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 12


Alinéa 22

Supprimer les mots :

ou pour lequel elle est éligible au complément de cette allocation prévu au deuxième alinéa du même article L. 541-1         

Objet

Dans le contexte actuel de pénurie de professionnels, et alors que la solidarité nationale ne relaie pas suffisamment la solidarité familiale, de nombreux proches deviennent aidants à défaut de solution alternative.

Il est urgent de reconnaître les efforts qu’ils fournissent au quotidien et de leur ouvrir des droits sociaux spécifiques.                                                            

A ce titre, l’élargissement de la possibilité de valider des trimestres à un plus grand nombre d’aidants – prévue à l’article 12 – est positive, mais cela reste encore trop restrictif.                                                              

Cet amendement prévoit donc d’élargir les critères d’affiliation à l’AVA, en l’ouvrant à tous les parents d’enfants handicapés ayant perçu une AEEH de base (pas seulement ceux éligibles à un complément), dans une logique de simplification des démarches et de l’accès aux droits.                                                               

Cet amendement est une proposition du Collectif Handicaps.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4208 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 12


Alinéa 22

Supprimer les mots :

ou pour lequel elle est éligible au complément de cette allocation prévu au deuxième alinéa du même article L. 541-1

Objet

Cette proposition d’amendement de France Asso Santé vise à garantir le bénéfice de l’AVA pour les parents d’un enfant dont le taux d’incapacité est de 50% ou éligible au complément AEEH.

Or, pour bénéficier d’un complément AEEH il est nécessaire que l’enfant justifie d’un taux d’incapacité minimal de 50%.

Il est donc proposé de supprimer la référence au complément d’AEEH pour clarifier la disposition, et permettre comme seul critère pour le bénéfice de l’AVA, la charge d’un enfant dont le taux d’incapacité est de 50% minimum.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3116 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. ASSOULINE, Mme de LA GONTRIE, MM. CHANTREL, MAGNER, FÉRAUD, CARDON et MARIE, Mmes MONIER et Sylvie ROBERT, MM. PLA et STANZIONE et Mmes LE HOUEROU, MEUNIER et BRIQUET


ARTICLE 12


Alinéa 23

Supprimer cet alinéa.

Objet

Le présent amendement vise à supprimer la décision par décret la définition du taux d’incapacité permanente pour les aidants qui justifiera le rattachement ou non au régime général.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2165

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Favorable
Adopté - vote unique

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 12


Alinéa 23

1° Supprimer les mots :

, selon des modalités définies par décret,

2° Remplacer le mot :

présence,

par les mots :

présence définies dans des conditions fixées par décret et

Objet

Précision rédactionnelle






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4592

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. FERNIQUE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 12


Alinéa 23

Après le mot :

décret

insérer les mots :

après consultation des instances représentatives des personnes en situation de handicap

Objet

Les auteurs de cet amendement souhaitent que les décisions réglementaires en matière d'incapacité d'enfant ou d'adulte nécessitant la présence d'un aidant qui puisse avoir des droits soit accompagné d'un éclairage des instances représentatives des personnes en situation de handicap.

Selon le baromètre 2017 de la Fondation April et BVA, 11 millions d’aidants familiaux, soit un français sur six accompagnent au quotidien un proche en situation de dépendance en raison de son âge, d’une maladie ou d’un handicap. Des chiffres en constante augmentation. En 2030, un actif sur 4 serait aidant selon les projections. Cependant, selon le même baromètre 54% de ces personnes aidantes ignorent leur statut d’aidant.

L’affiliation à l’assurance vieillesse pour les aidants permet à l’aidant familial de valider des trimestres pour sa retraite sans qu’il ait besoin de verser des cotisations auprès de sa caisse de retraite. Des diagnostics largement convergents montrent qu’il est nécessaire de mettre en place un véritable statut du proche aidant, qui lui confère un certain nombre de droits, plus complets et mieux identifiés, parmi lesquels des droits revus en matière de cotisation à la retraite. Notamment, il s'agirait de revoir quel taux d'incapacité permanente d'un enfant ou d'un adulte nécessite son accompagnement au quotidien par des aidants.

C'est pourquoi, dans un souci de plus grande justice sociale concernant ces situations, les auteurs de cet amendement proposent que ces taux d'incapacité soient fixés certes par décret, mais après consultation des instances représentatives des personnes en situation de handicap.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4593

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. FERNIQUE, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DOSSUS, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 12


Alinéa 32

Après le mot :

décret

insérer les mots :

en Conseil d’État 

Objet

Cet amendement vise à assurer que l'intention du législateur sera respectée.

Sur ce projet, après avoir refusé d’écouter les organisations syndicales, après avoir décidé d’utiliser la procédure d’examen contraint dans le temps qu’implique l’article 47-1 de la Constitution, le Gouvernement recourt de façon excessive à des décrets.

En raison notamment de l'importance du décret mentionné ici, et des difficultés de prise en compte des points de vue des acteurs concernés, il semble indispensable aux yeux des auteur.es de cet amendement que le Conseil d’État soit associé à l’écriture de ce décret.

Par cet amendement, le Conseil d’État sera ainsi saisi du projet préparé par le Gouvernement et son avis devra être recueilli après une consultation des organismes dont l'avis est souhaité.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2547

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. GONTARD, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 12


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

…. – Dans l’année suivant la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport sur l’application du présent article. Ce rapport portera notamment sur la lisibilité de la mesure, sur son taux de non-recours ainsi que sur ses motifs et formule des recommandations afin de le réduire.

Objet

Cet amendement demande la remise d’un rapport sur la lisibilité du système et sur le taux de non-recours au dispositif de l’article 12 de ce projet de loi.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2919 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 12


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

... – Le Gouvernement remet au Parlement, dans l’année suivant la promulgation de la présente loi, un rapport faisant le bilan de l’application du présent article. Ce rapport étudie l’opportunité, le coût et la faisabilité d’élargir les critères d’affiliation à l’assurance vieillesse pour les aidants à tous les parents d’enfants handicapés ayant perçu une allocation d’éducation de l’enfant handicapé, et non seulement son complément, dans une logique de simplification des démarches et de l’accès aux droits. 

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à remettre un rapport au Parlement sur l'extension de l’assurance vieillesse pour les aidants à tous les parents d’enfants handicapés ayant perçu une allocation d'éducation de l'enfant handicapé, et non seulement son complément, dans une logique de simplification des démarches et de l’accès aux droits.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3990 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 12


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

.... - Le Gouvernement remet un rapport au Parlement dans l’année suivant la promulgation de la présente loi faisant le bilan de l’application du présent article. Ce rapport étudie l’opportunité, le coût et la faisabilité d'élargir les critères d’affiliation à l’assurance vieillesse pour les aidants à tous les parents d’enfants handicapés ayant perçu une allocation d'éducation de l'enfant handicapé, et non seulement son complément, dans une logique de simplification des démarches et de l’accès aux droits.

Objet

Les membres du groupe CRCE demandent un rapport sur l'extension de l’assurance vieillesse pour les aidants à tous les parents d’enfants handicapés ayant perçu une allocation d'éducation de l'enfant handicapé, et non seulement son complément, dans une logique de simplification des démarches et de l’accès aux droits.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4709

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes Mélanie VOGEL et PONCET MONGE, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 12


Compléter cet article par un alinéa ainsi rédigé :

Dans un délai de six mois à compter de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport portant sur les sources d’inégalités du niveau de retraite au sein des couples avec enfants et évaluant la possibilité d’élargir l’affiliation à l’assurance vieillesse des aidants aux personnes qui se sont occupées des enfants pendant que l’autre personne dans le couple a travaillé à taux plein.

Objet

L’affiliation à l’assurance vieillesse des aidants (AVA) est gratuite pour les “aidants” qui s’occupent d’enfants en situation de handicap ou d’adultes en situation de handicap avec le grade reconnu d’au moins 80 %. Cette affiliation permet de valider des trimestres pour les droits à la retraite, même si “l’aidant” se voit contraint de réduire ou de cesser son activité professionnelle. À son article 12, le projet de réforme porté par le Gouvernement prévoit d’élargir l’AVA à d’autres situations, le projet de réforme ne tient aucunement compte des inégalités frappantes qui existent au sein de la plupart de couples hétérosexuels avec des enfants.

En effet, il n’est pas rare pour les couples hétérosexuels que la femme s’occupe des enfants ou des proches, ce qui la contraint de travailler à temps partiel ou de cesser temporairement son activité professionnelle. Parce qu’elle s’occupe de la famille, elle se voit pénalisée tout au long de la période de sa retraite ; à cause de sa carrière dite “hachée”, le montant de sa retraite a tendance à être plus faible. En moyenne, l’écart de la pension de droit direct entre les hommes et les femmes est ainsi de 39 %, selon les derniers chiffres de l’Insee qui datent de 2019.

Ces inégalités sont inadmissibles parce qu’elles rendent ensuite les femmes qui ont consacré du temps à leurs proches financièrement dépendantes de leurs conjoints.

Afin d’y remédier, cet amendement vise à demander un rapport au Gouvernement qui devrait non seulement examiner la situation plus en détail, mais qui aurait également pour objectif d’évaluer la possibilité d’élargir l’affiliation à l’assurance vieillesse des aidants aux personnes qui se sont occupées des enfants pendant que l’autre personne dans le couple a travaillé à taux plein.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4710

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes Mélanie VOGEL et PONCET MONGE, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 12


Compléter cet article par un alinéa ainsi rédigé :

Dans un délai de six mois à compter de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport portant sur les effets de l’affiliation à l’assurance vieillesse des aidants sur le revenu annuel moyen et étudiant la possibilité d’exclure les périodes concernées du calcul de cette moyenne.

Objet

Le projet de loi met en place une assurance vieillesse des aidants (ADA) à son article 12. Si cela constitue une étape dans la bonne direction, il convient d’étudier plus en détail les effets des périodes pendant lesquelles les “aidants” aident les membres de leur famille sur le calcul du revenu annuel moyen, déterminant pour leur niveau de retraite. L’expérience a montré pour d’autres cas que certaines périodes de cotisation peuvent conduire à un abaissement du revenu annuel moyen et in fine à un abaissement du niveau de la retraite. Afin d’éviter que s'occuper d'une personne de sa famille pénalise les aidants de manière disproportionnée quand ceux-ci demandent leur retraite, cet amendement vise non seulement à étudier les conséquences plus en détail, mais également à étudier la possibilité d’exclure les périodes concernées du calcul du revenu annuel moyen.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3996 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 12


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

.... – Dans les six mois après promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport sur la possibilité d’élargir la durée maximale d’affiliation à l’assurance vieillesse pour les aidants à deux ans au lieu d’un an actuellement.

Objet

Les membres du groupe CRCE proposent un rapport pouvant déboucher sur une augmentation de la durée maximale d’affiliation à l’assurance vieillesse pour les aidantes et aidants, afin de mieux tenir compte de la réalité vécue par ces hommes et surtout ces femmes. En effet, la durée d’accompagnement est en moyenne nettement supérieure à un an.

Cette proposition s’inspire du travail de nos collègues du groupe GDR de janvier 2018, traduit dans leur proposition de loi pour une reconnaissance sociale des aidants.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 86 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme Nathalie DELATTRE, MM. ARTANO, BILHAC et CABANEL, Mme Maryse CARRÈRE, MM. CORBISEZ, FIALAIRE, GOLD et GUÉRINI, Mme GUILLOTIN, M. GUIOL, Mme PANTEL et MM. REQUIER et ROUX


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 12


Après l’article 12

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Dans un délai de neuf mois à compter de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport d’évaluation sur les conséquences de son application sur les pensions de retraite des travailleurs saisonniers, au sens du 3° de l’article L. 1242-2 du code du travail, et sur l’opportunité de permettre à ces travailleurs de valider des trimestres supplémentaires durant les périodes non travaillées.

Objet

Les saisonniers sont absolument essentiels pour l’économie touristique mais également pour d’autres secteurs comme l’agriculture, afin de répondre aux besoins de main d’œuvre qui fluctuent énormément sur une année complète. Or, ce statut demeure aujourd’hui précaire, notamment du fait des périodes de chômage qui séparent nécessairement les périodes travaillées.

Cet amendement vise à demander un rapport au gouvernement pour mesurer l'impact de la réforme des retraites sur les pensions de retraites des saisonniers et sur la possibilité de mieux les protéger en leur accordant le droit à validation de trimestres supplémentaires lors des périodes non travaillées.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3398

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


TITRE III : FACILITER LES TRANSITIONS ENTRE EMPLOI ET RETRAITE


Rédiger ainsi cet intitulé :

Mesures insuffisantes pour faciliter les transitions entre emploi et retraite

Objet

Cette partie du texte porte d'insuffisantes mesures d’atténuation de la brutalité de la réforme.

L'objet de cet amendement du groupe écologiste est de clarifier.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3381

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 13


Supprimer cet article.

Objet

Les réformes des retraites s'enchaînent, obligeant toujours plus les séniors à travailler, afin de toucher une retraite décente.

L’urgence n’est pas de les faire travailler toujours plus ( pour espérer toucher une pension qui leur permettra de survivre durant leurs années de retraites ) après une vie de labeur et d’épuisement, mais d'augmenter véritablement les pensions de retraites, et de permettre de partir dès 60 ans, pour profiter d’années de repos en bonne santé.

 

En 2021, 16,7% des personnes âgées de 62 ans se retrouvaient dans un sas de précarité, “ni en emploi, ni en retraite”. Parmi elles, 3% étaient au chômage et 13,7% en inactivité, dépendants alors soit du revenu de solidarité active (RSA), soit d’une pension d’invalidité ou du revenu d’un ou d’une conjointe. Ces seniors ni en emploi, ni en retraite, sont majoritairement des femmes selon la DRESS. La situation concerne également davantage certaines catégories professionnelles : en 2019, à 61 ans, un quart des employés et un tiers des ouvriers n’étaient ainsi ni en emploi ni en retraite.

Aux portes de la retraite à 61 ans, selon la DARES seuls 42,3% des seniors sont en emploi, 4% sont au chômage, mais 24,5% sont inactifs. Si l’on affine par catégorie socio-professionnelle, on constate que les catégories populaires sont nettement plus nombreuses à être « ni en emploi, ni en retraite ». Selon Michael Zemmour : en 2019, à 61 ans le taux d’emploi des ouvriers est seulement de 28 % tandis que le taux d’ouvriers ni en emploi ni en retraite est de 35 % et 37% sont en retraite anticipée. Selon la DREES en 2015, « 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne perçoivent ni revenu d’activité ni pension  de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion.» En conséquence, ces seniors ni en emploi ni en retraite sont particulièrement touchés par la pauvreté. Avec un niveau de vie médian de 1 270 euros par mois, le taux de pauvreté des seniors ni en emploi ni en retraite atteint 32 %, contre 7 % pour les seniors en emploi ou à la retraite. A cet âge-là, les retraités ne peuvent plus continuer à travailler, ou ont été sortis du marché de l’emploi, les plongeant dans la précarité, jusqu'à qu’ils puissent prendre leur retraite, avec des délais qui ne cessent de s’allonger.

Si le gouvernement estime que la nouvelle réforme des retraites va permettre à 300 000 seniors supplémentaires de se maintenir en emploi, cet effet serait contrebalancé. À partir de travaux de la Drees et de la Dares, Michaël Zemmour estime en effet à 200 000 le nombre de personnes supplémentaires qui seraient maintenues dans le sas de précarité entre emploi et retraite en cas de report de l’âge légal de la retraite à 64 ans. Soit une hausse de 60 000 du nombre d’allocataires de minima sociaux, et de 80 000 du nombre de chômeurs indemnisés (hors effet de la nouvelle réforme de l’assurance chômage). Si l’on ajoute les personnes sans aucune prestation sociale, la réforme maintiendrait de l’ordre de 150 000 à 200 000 personnes dans le sas de précarité entre l’emploi et la retraite, pour une hausse de l’emploi des seniors estimée autour de 300 000.

Le développement de dispositifs de transition vers la retraite ne fait que pousser les travailleurs à continuer de travailler toujours, dans une logique productiviste, qui use toujours plus les corps, en faisant miroiter une meilleure retraite.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4002 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 13


Supprimer cet article.

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent la suppression de cet article qui prévoit la libéralisation du dispositif d’emploi-retraite qui vise à faire travailler les retraités en raison du montant insuffisant de leur pension de retraite.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2166

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Favorable
Adopté - vote unique

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 13


Alinéa 3

Après la référence :

L. 11 bis

insérer la référence :

, L. 84

Objet

Cet amendement vise à préciser que l'estimation indicative globale adressée tous les cinq ans aux assurés à partir de 55 ans inclut également des informations sur les règles applicables aux fonctionnaires en matière de cumul emploi-retraite.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2552

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. GONTARD, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 13


Alinéa 6

Supprimer cet alinéa.

Objet

Seules les personnes qui ont des qualifications reconnues dans le cadre de leur carrière et partent en bonne santé sont concernées par la question du cumul emploi-retraite. En lieu et place de renforcer la lutte contre les inégalités, la mesure actuelle fragilise les personnes qui vont devoir continuer de travailler. 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2951 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 13


Alinéa 6

Supprimer cet alinéa.

Objet

Seules les personnes qui ont des qualifications reconnues dans le cadre de leur carrière et partent en bonne santé sont concernées par la question du cumul emploi-retraite. En lieu et place de renforcer la lutte contre les inégalités, la mesure actuelle fragilise les personnes qui vont devoir continuer de travailler.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 4005 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 13


Alinéa 6

Supprimer cet alinéa.

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent la suppression de l’alinéa 6 de l’article 13 pour les mêmes raisons qu’ils demandaient la suppression de l’article.

Le cumul emploi-retraite est un dispositif inégalitaire car il s’adresse essentiellement aux personnes qui disposent de qualifications reconnues durant leur carrière, qui partent en bonne santé et avec des pensions correctes, et qui à ce titre peuvent reprendre plus facilement une activité.

Selon l’Insee, les bénéficiaires actuels du système du cumul emploi-retraite sont ainsi majoritairement des personnes qui ont des carrières complètes et/ou des niveaux de pensions supérieures à la moyenne.

Plutôt que de corriger les inégalités de carrières qui concernent particulièrement les femmes, cet article risque de fragiliser encore davantage les personnes qui vont devoir poursuivre une activité salariée au-delà de 64 ans.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4010 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 13


Alinéas 18 à 39

Supprimer ces alinéas.

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent s’opposer à ces dispositions injustes. Le Gouvernement propose de modifier le dispositif emploi-retraite en permettant l’acquisition de nouveaux droits à retraite lorsque le cumul est réalisé après un départ à taux plein et après liquidation de toutes les pensions. Ce dispositif crée une disposition injuste et inéquitable pour les salariés qui n’auraient pas une carrière complète, le plus souvent les femmes.

L’enjeu premier doit être d’augmenter les salaires et relever les minimums de pensions pour permettre aux salariés de bénéficier pleinement de leur retraite sans devoir recommencer à travailler.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4014 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 13


Alinéas 23 à 28

Supprimer ces alinéas.

Objet

Le cumul emploi-retraite est un dispositif profondément inégalitaire car il s’adresse essentiellement aux personnes qui disposent de qualifications reconnues durant leur carrière, qui partent en bonne santé et avec des pensions correctes, et qui à ce titre peuvent reprendre plus facilement une activité.

La priorité n’est pas d’ouvrir toujours plus le droit au cumul emploi-retraite, mais de corriger les inégalités de carrières, qui concernent particulièrement les femmes, et rehausser le montant des pensions, sans quoi le dispositif se soldera à l’avenir par une fragilisation accrue des personnes qui touchent de faibles pensions et devront par nécessité poursuivre une activité salariée au-delà de 64 ans.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4016 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 13


Alinéas 24 à 39

Supprimer ces alinéas.

Objet

Le cumul emploi-retraite est un dispositif profondément inégalitaire car il s’adresse essentiellement aux personnes qui disposent de qualifications reconnues durant leur carrière, qui partent en bonne santé et avec des pensions correctes, et qui à ce titre peuvent reprendre plus facilement une activité.

La priorité n’est pas d’ouvrir toujours plus le droit au cumul emploi-retraite, mais de corriger les inégalités de carrières, qui concernent particulièrement les femmes, et rehausser le montant des pensions, sans quoi le dispositif se soldera à l’avenir par une fragilisation accrue des personnes qui touchent de faibles pensions et devront par nécessité poursuivre une activité salariée au-delà de 64 ans.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2167

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Favorable
Adopté - vote unique

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 13


Alinéa 37, deuxième et troisième phrases

Remplacer les mots :

les dérogations. Il peut prévoir l’application rétroactive de la suspension des plafonds concernés

par les mots :

la suspension des plafonds concernés et peut en prévoir l’application rétroactive

Objet

Amendement rédactionnel






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N° 2168

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 13


I. – Alinéa 43

Remplacer les mots :

un âge, inférieur à celui mentionné à l’article L. 161-17-2, déterminé par décret

par les mots :

l’âge mentionné à l’article L. 161-17-2 diminué de quatre années sans pouvoir être inférieur à soixante ans

II. – Alinéa 44

Remplacer les mots :

deux limites définies

par les mots :

des limites variant en fonction de l’âge de l’assuré dans des conditions déterminées

III. – Alinéa 47

Remplacer les mots :

sont déterminées par décret

par les mots :

varient en fonction de l’âge de l’assuré dans des conditions déterminées par décret en Conseil d’État

IV. – Après l’alinéa 113

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« ...° Justifie d’une quotité de temps de travail comprise entre des limites variant en fonction de l’âge de l’assuré dans des conditions déterminées par décret en Conseil d’État.

Objet

En parallèle du report de l'âge d'ouverture des droits de 62 à 64 ans, le Gouvernement envisageait initialement de porter l'âge d'éligibilité à la retraite progressive de 60 à 62 ans, tout en l'ouvrant aux fonctionnaires, aux professionnels libéraux et aux assurés des régimes spéciaux.

Bien qu'encore méconnue, la retraite progressive doit constituer un instrument privilégié de prise en compte de la pénibilité du travail, de transition entre l'emploi et la retraite et de soutien à l'emploi des séniors.

Cet amendement vise donc à maintenir l'âge d'éligibilité à ce dispositif à 60 ans, tant pour ses bénéficiaires actuels, c'est-à-dire les salariés, les travailleurs indépendants et les non-salariés agricoles, que pour les assurés qui y seront rendus éligibles dans le cadre de la réforme des retraites.

À défaut d'éléments permettant d'estimer le taux de recours des publics nouvellement éligibles à la retraite progressive, notamment dans la fonction publique, il paraît néanmoins nécessaire de prévoir une diminution progressive de l'activité de l'assuré. Ainsi, entre 60 et 62 ans, la quotité de travail ne pourrait être réduite de plus de 20 % par rapport à un temps plein. À compter de 62 ans, la réduction pourrait atteindre jusqu'à 60 % de la durée de travail à temps complet, comme c'est le cas aujourd'hui dès 60 ans. Ces modalités seront déterminées par décret en Conseil d’État.






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N° 2169

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Favorable
Adopté - vote unique

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 13


I. – Alinéas 44 et 51

Après le mot :

conventionnelle

insérer les mots :

de travail

II. – Alinéa 49, première phrase

1° Remplacer la première occurrence du mot :

du

par le mot :

de

2° Remplacer le mot :

réduction

par les mots :

cessation progressive

Objet

Amendement rédactionnel






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4018 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 13


Alinéa 45

Supprimer les mots :

, n’étant pas assujetti à une durée d’activité définie par un employeur,

Objet

La retraite progressive est un dispositif encore peu utilisé mais qui permet de réduire immédiatement son temps de travail sans diminuer dans la même proportion ses ressources et en continuant d’augmenter ses droits à la retraite.

La nécessité de l’accord de l’employeur limite considérablement l’accès au dispositif de retraite progressive. L’article 13 encadre les refus de temps partiel de l’employeur lorsque la quotité de travail souhaitée est incompatible avec l’activité économique de l’entreprise.

L’appréciation de la compatibilité de la quotité de travail et des besoins de l’activité économique de l’entreprise rend de facto inapplicable l’accès à la retraite progressive. Nous estimons que la retraite progressive doit être un droit pour les travailleurs qui s’impose aux employeurs. Tel est le sens de cet amendement.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 2170

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Favorable
Adopté - vote unique

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 13


Alinéa 57, seconde phrase

Remplacer les mots :

son entrée en jouissance

par les mots :

la liquidation de celle-ci

Objet

Amendement rédactionnel






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4033 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 13


Alinéa 58

Rédiger ainsi cet alinéa :

« Tout refus de l'employeur est motivé par écrit. »

Objet

Si nous souscrivons à l’idée d’élargir le bénéfice de la retraite progressive à l’ensemble des assurés, le dispositif est vidé de sa substance par la possibilité laissée à l’employeur de refuser au salarié le bénéfice de la retraite progressive s’il juge que le temps partie demandé par le salarié est incompatible avec l’activité économique de l’entreprise.

Il faudrait faire du passage à temps partiel dans le cadre de la retraite progressive un droit opposable, faute de quoi le dispositif ne bénéficiera qu’à une poignée de salariés au risque d’alimenter une logique profondément inégalitaire.

C'est le sens de cet amendement de repli.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 4021 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 13


Alinéas 69 et 70

Supprimer ces alinéas.

Objet

Par cet amendement, les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE souhaitent supprimer l'instauration d'un seuil limitant le cumul d'une pension de retraite militaire avec une pension civile d'invalidité.

Instaurer un seuil limitant ce cumul, en renvoyant à un décret la définition des modalités de cumul et le niveau de ce seuil, sans aucune précision supplémentaire, est inacceptable.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 2171

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Favorable
Adopté - vote unique

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 13


Alinéa 70

Remplacer les mots :

peuvent être cumulées

par les mots :

peut être cumulée

Objet

Amendement rédactionnel






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N° 3118 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. ASSOULINE, Mme de LA GONTRIE, MM. CHANTREL, MAGNER, FÉRAUD, CARDON et MARIE, Mmes MONIER et Sylvie ROBERT, MM. PLA et STANZIONE et Mmes LE HOUEROU, MEUNIER et BRIQUET


ARTICLE 13


Alinéa 70

Compléter cet alinéa par les mots :

pris après avis du Comité national consultatif des personnes handicapées

Objet

Cet amendement vise à prévoir la consultation du Comité national consultatif des personnes handicapées avant que le Gouvernement ne prenne un décret sur les conditions de cumul de la pension d’invalidité avec une retraite progressive.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 2920 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 13


Alinéa 70

Compléter cet alinéa par les mots :

pris après avis de l’Agence nationale pour la formation professionnelle des adultes

Objet

Cet amendement du groupe des sénateurs socialistes et républicains vise à prévoir la consultation de l'Agence nationale pour la formation professionnelle des adultes avant que le Gouvernement ne prenne un décret sur les conditions de cumul de la pension d'invalidité avec une retraite progressive.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 2172

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Favorable
Adopté - vote unique

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 13


Après l’alinéa 76

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

...° Au premier alinéa de l’article L. 357-4, les mots : « L. 351-15 et L. 351-16 » sont remplacés par les mots : « L. 161-22-1-5 à L. 161-22-1-8 » ;

Objet

Amendement de coordination.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4757

6 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G  
Adopté - vote unique

Le Gouvernement


ARTICLE 13


I. – Alinéa 102

Après la référence :

L. 161-22-1

insérer les mots :

du code de la sécurité sociale

II. – Alinéa 116

Supprimer cet alinéa.

Objet

Par cet amendement le Gouvernement souhaite procéder à une correction rédactionnelle et à supprimer un risque d’a contrario juridique s’agissant des modalités de calcul de la pension partielle du fonctionnaire en retraite progressive.

L’alinéa 116, précise que le minimum garanti et la majoration pour trois enfants sont attribués lors de la liquidation partielle si le fonctionnaire remplit les conditions.

Cette précision n’est pas utile juridiquement puisque la pension partielle perçue pendant la période de retraite progressive est calculée et liquidée comme une pension classique. En revanche, elle induit une lecture par a contrario erronée, selon laquelle les autres accessoires de pension que ceux mentionnés à cet alinéa ne serait pas versés pendant la retraite progressive. Il est donc préférable de la supprimer.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3139

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 13


Alinéa 112

Compléter cet alinéa par les mots :

diminué de quatre années

Objet

La retraite progressive est un dispositif essentiel pour le maintien en emploi des séniors et la prise en compte de l’accroissement de leur vulnérabilité face aux risques dont les risques psychosociaux. Selon le rapport de la Commission des Affaires Sociales de l’Assemblée Nationale, le nombre de bénéficiaires du dispositif « a connu depuis 2015, une importante augmentation, ayant notamment été multiplié par 4,4 pour le régime général depuis cette date. » Selon la CNAV, le nombre de bénéficiaires a augmenté de 7% depuis 2019 et concerne 22 604 bénéficiaires en 2021. Si le gouvernement projette une augmentation du nombre de bénéficiaires pour atteindre près de 50 000 personnes en 2027, les freins à ce dispositif restent nombreux et devraient être levés pour que l’ensemble des personnes pouvant prétendre à ce dispositif puisse en être bénéficiaires.

De fait, selon les chercheurs Serge Volkoff et Corinne Gaudart « beaucoup de senior se maintiennent en activité professionnelle à condition de disposer d’aménagements du temps qui leur conviennent. La sortie d’un système contraignant d’horaires ou de rythmes est alors pour ces personnes une condition pour ne pas sortir de la vie active ».

En outre, les bénéfices pour la santé sont nombreux puisque les chercheurs notent entre autres une réduction du stress et de la fatigue, source de nombreux risques psychosociaux. Car les risques augmentent au fil de l’âge, comme le démontre la DARES qui note que 25 % des accidents du travail en France concernent les salariés de plus de 50 ans alors que ceux-ci représentent 29 % des salariés. De la même façon, 58 % des décès concernent les plus de 50 ans contre 8 % chez les moins de 30 ans.

Afin de prévenir l’augmentation des risques et de permettre à un maximum de personnes de profiter de la retraite progressive, il est important que l’âge d’accès au dispositif corresponde à un âge cohérent avec l’accroissement de la vulnérabilité.

En repoussant l’âge d’ouverture des droits de deux ans, sans modifier l’accès au dispositif qui est possible deux ans avant l’AOD, le présent projet de loi constitue un frein pour de nombreux seniors qui vont devoir attendre 62 ans pour en bénéficier. Si donc le gouvernement souhaite favoriser le maintien en emploi des seniors, l'âge d’accès au dispositif doit tenir compte de l’accroissement de leur vulnérabilité et du fait, comme souligné plus haut, que les seniors se maintiennent en activité à condition d’avoir accès à des aménagements du temps dans leur emploi.

Le présent amendement se propose en conséquence de maintenir l’accès au dispositif de retraite anticipée à 60 ans.






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N° 2173

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Favorable
Adopté - vote unique

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 13


Alinéa 115, deuxième phrase

Supprimer la première occurrence du mot :

à

Objet

Amendement rédactionnel.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2174

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Favorable
Adopté - vote unique

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 13


Après l’alinéa 122

Insérer deux alinéas ainsi rédigés :

...° Au 2° du II de l’article L. 254-1, les mots : « de l’avant-dernier alinéa » sont remplacés par les mots : « du premier alinéa du V » ;

...° À la première phrase du premier alinéa de l’article L. 411-64, après le mot : « application », sont insérés les mots : « du V » ;

Objet

Amendement de coordination.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2175

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Favorable
Adopté - vote unique

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 13


Alinéa 135

Compléter cet alinéa par les mots :

et la troisième occurrence du mot : « article » est remplacée par la référence : « III »

Objet

Amendement de coordination.






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N° 2176

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Favorable
Adopté - vote unique

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 13


Après l’alinéa 148

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

...° Le dernier alinéa de l’article L. 742-3 est supprimé.

Objet

Amendement de coordination






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N° 2177

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Favorable
Adopté - vote unique

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 13


Alinéa 157, première phrase

Après le mot :

conventionnelle

insérer les mots :

de travail

Objet

Amendement rédactionnel






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N° 40 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Avis du Gouvernement
G Favorable
Adopté - vote unique

MM. CABANEL, ARTANO et BILHAC, Mme Maryse CARRÈRE, M. CORBISEZ, Mme Nathalie DELATTRE, MM. FIALAIRE, GOLD et GUÉRINI, Mme GUILLOTIN, M. GUIOL, Mme PANTEL et MM. REQUIER et ROUX


ARTICLE 13


Alinéas 157 et 160, seconde phrase

Après le mot :

réponse

insérer les mots :

écrite et motivée

Objet

Dans le cadre du dispositif de retraite progressive, le temps partiel peut être refusé par l'employeur s'il n'est pas compatible avec l’activité économique de l’entreprise. L'employeur dispose de deux mois pour informer le salarié de son éventuel refus. L'amendement vise à préciser que cette réponse doit être écrite et motivée.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 102 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Avis du Gouvernement
G Favorable
Adopté - vote unique

M. Stéphane DEMILLY, Mmes BILLON et HAVET, M. HENNO, Mme RENAUD-GARABEDIAN, M. DUFFOURG, Mmes MULLER-BRONN, MORIN-DESAILLY, PERROT et GACQUERRE et MM. DÉTRAIGNE, LAMÉNIE, FOLLIOT et HINGRAY


ARTICLE 13


Alinéas 157 et 160, seconde phrase

Après le mot :

réponse

insérer les mots :

écrite et motivée

Objet

Cet amendement propose que l’employeur qui refuse un passage au temps partiel pour un salarié souhaitant bénéficier de la retraite progressive devra motiver ce refus par écrit.

En effet, le présent article permet aux salariés de bénéficier d’une activité à temps partiel dans le cadre de l’accès à la retraite progressive, sans que l’employeur ne puisse s’y opposer sauf si la durée souhaitée est incompatible avec l’activité économique de l’entreprise.

L’article ne précise pas que l’employeur doit motiver son refus au salarié. Or, il s’agit d’une décision professionnelle particulièrement impactante pour le salarié, ses conditions de travail et son projet de vie.

Afin que cette mesure ait une réelle effectivité en pratique, et afin de favoriser l’acceptabilité des décisions de l’employeur, il est légitime que ce dernier adresse un refus motivé au salarié en justifiant précisément de l’incompatibilité du temps partiel avec l’activité économique de l’entreprise.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2360 rect. bis

4 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Avis du Gouvernement
G Favorable
Adopté - vote unique

M. CANÉVET, Mme VERMEILLET et MM. Pascal MARTIN, DELCROS et Jean-Michel ARNAUD


ARTICLE 13


Alinéas 157 et 160, seconde phrase

Après le mot :

réponse

insérer les mots :

écrite et motivée

Objet

Cet amendement vient renforcer le dispositif d'encadrement des possibilités de refus de temps partiel, instauré par ce projet de loi, dans le cadre d'une demande de salariés voulant bénéficier de la retraite progressive.

En effet, il impose à l'employeur de bien motiver son refus au salarié par écrit. Car, en l'état actuel du texte, l'employeur pourrait refuser au salarié un temps partiel sans justifier de l'incompatibilité de la quotité de travail souhaitée avec l'activité économique de l'entreprise.

Cet amendement vise à ce que cette mesure ait une réelle efficacité en pratique.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2642 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Avis du Gouvernement
G Favorable
Adopté - vote unique

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL et ROSSIGNOL, MM. LUREL, CHANTREL et FÉRAUD, Mme MONIER, MM. MARIE, BOURGI et CARDON, Mme de LA GONTRIE, MM. TISSOT, LECONTE, RAYNAL, STANZIONE et DURAIN, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN et TEMAL, Mme BLATRIX CONTAT, MM. ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mmes VAN HEGHE et CONWAY-MOURET, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE 13


Alinéas 157 et 160, seconde phrase

Après le mot :

réponse

insérer les mots :

écrite et motivée

Objet

Le projet de loi encadre les possibilités de refus de temps partiel de l’employeur dans le cadre de demandes de salariés souhaitant bénéficier de la retraite progressive. En vertu des règles introduites, l’employeur ne pourra refuser le temps partiel que lorsque la quotité de travail souhaitée est incompatible avec l’activité économique de l’entreprise et devra adresser son refus au salarié dans les 2 mois. Or, le projet de loi ne précise pas que l’employeur doit motiver son refus au salarié. L’employeur pourrait en conséquence adresser un refus au salarié sans justifier de l’incompatibilité du temps partiel avec l’activité économique de l’entreprise, voire sans même donner de justification. Pour que la mesure introduite par le projet de loi ait une réelle efficacité en pratique, l’amendement précise que l’employeur doit motiver son refus au salarié par écrit.

 

 

 

Amendement communiqué par la CFDT



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3441

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Avis du Gouvernement
G Favorable
Adopté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 13


Alinéas 157 et 160, seconde phrase

Après le mot : 

réponse

insérer les mots :

écrite et motivée

Objet

Le projet de loi encadre les possibilités de refus de temps partiel de l’employeur dans le cadre de demandes de salariés souhaitant bénéficier de la retraite progressive. En vertu des règles introduites, l’employeur ne pourra refuser le temps partiel que lorsque la quotité de travail souhaitée est incompatible avec l’activité économique de l’entreprise et devra adresser son refus au salarié dans les 2 mois.

Or, le projet de loi ne précise pas que l’employeur doit motiver son refus au salarié. L’employeur pourrait en conséquence adresser un refus au salarié sans justifier de l’incompatibilité du temps partiel avec l’activité économique de l’entreprise, voire sans même donner de justification. Pour que la mesure introduite par le projet de loi ait une réelle efficacité en pratique, l’amendement précise que l’employeur doit motiver son refus au salarié par écrit.

Cet amendement est issu d’une proposition de la CFDT.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4030 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 13


Alinéa 158

Supprimer cet alinéa.

Objet

L’article 13 autorise les salariés ayant conclu une convention de forfait en jours à travailler à temps réduits.

 L’alinéa 160 limite considérablement la portée du dispositif si l’employeur peut refuser la retraite progressive à temps réduits en raison d’une l’incompatibilité de la durée souhaitée par le salarié avec l’activité économique de l’entreprise.

Tel est le sens de cet amendement.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4039 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 13


Alinéa 161

Supprimer cet alinéa.

Objet

L’article 13 autorise les salariés ayant atteint l’âge de 62 ans à travailler à temps partiels.

L’alinéa 161 limite considérablement la portée du dispositif si l’employeur peut refuser la retraite progressive à temps partiels en raison d’une l’incompatibilité de la durée souhaitée par le salarié avec l’activité économique de l’entreprise.

Tel est le sens de cet amendement.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4041 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 13


Ainéa 161

Rédiger ainsi cet alinéa :

« Tout refus de l'employeur est motivé par écrit. »

Objet

Si nous souscrivons à l’idée d’élargir le bénéfice de la retraite progressive à l’ensemble des assurés, le dispositif est vidé de sa substance par la possibilité laissée à l’employeur de refuser au salarié le bénéfice de la retraite progressive s’il juge que le temps partie demandé par le salarié est incompatible avec l’activité économique de l’entreprise.

Il faudrait faire du passage à temps partiel dans le cadre de la retraite progressive un droit opposable, faute de quoi le dispositif ne bénéficiera qu’à une poignée de salariés au risque d’alimenter une logique profondément inégalitaire.

C'est le sens de cet amendement de repli.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2178

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Favorable
Adopté - vote unique

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 13


Alinéa 163

Remplacer la référence :

L. 61-22-1-5

par la référence :

L. 161-22-1-5

Objet

Amendement de correction d'une erreur de référence






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2179

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Favorable
Adopté - vote unique

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 13


Après l’alinéa 163

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

...° À l’article L. 3123-16, le mot : « deux » est remplacé par le mot : « trois » ;

Objet

Amendement de coordination






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2180

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Favorable
Adopté - vote unique

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 13


Alinéa 171

Remplacer la référence :

à l’article L. 11 bis

par les références :

aux articles L. 11 bis, L. 84 et L. 89 bis

Objet

Amendement de coordination






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2181

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Favorable
Adopté - vote unique

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 13


I. – Alinéa 184

Supprimer cet alinéa.

II. – Alinéa 187

Remplacer la seconde occurrence des mots :

au premier alinéa

par les mots :

aux premier et troisième alinéas

III. – Alinéa 188

Remplacer les mots :

les mots : « à l’article L. 161-17-2 » sont remplacés par les mots : « au premier alinéa de l’article 6 de l’ordonnance n° 2002-411 du 27 mars 2002 relative à la protection sanitaire et sociale à Mayotte » 

par les mots :

après la référence : « L. 161-22-1-5 », sont insérés les mots : « du présent code »

Objet

Amendement de coordination






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2182

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Favorable
Adopté - vote unique

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 13


Alinéas 193 et 198

Remplacer le mot :

bénéficiaires

par le mot :

bénéficiant

Objet

Amendement rédactionnel






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2555

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. GONTARD, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE 13


Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

… Le Gouvernement remet un rapport au Parlement dans l’année suivant la promulgation de la présente loi sur l’application du présent article. Ce rapport présente différentes options législatives ou réglementaires permettant la diminution de la durée maximum de suspension entre la demande de liquidation et la mise en place d’un cumul emploi-retraite.

Objet

Afin de ne pas pénaliser financièrement les assurés souhaitant bénéficier du dispositif de cumul emploi-retraite, le présent amendement propose d’évaluer l’application de l’alinéa 24 de cet article, en particulier l’éventualité d’une réduction du délai de carence pour mettre en place un cumul emploi-retraite.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4929

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Amendement 2057, alinéa 3

Avant les mots :

un décret en Conseil d’Etat

Ajouter les mots : 

Après négociation avec les organisations syndicales des secteurs concernés dont la durée ne pourra être inférieure à deux mois, 

Objet

Le groupe Écologiste - Solidarité et Territoires s’oppose à la proposition du Président Retailleau, qui vise à supprimer la clause du grand-père d’ici à 2040.

Nous dénonçons la brutalité sociale de la proposition de l’auteur de l’amendement et le peu de cas que ce dernier fait du contrat social dans lequel les salariés des secteurs concernés se sont engagés en choisissant leur métier. Cette mesure unilatérale ne prévoit d’ailleurs aucune mesure de dialogue social, et ignore donc sciemment les légitimes revendications des salariés concernés par la fin brutale d’une des clauses de leur engagement dans le métier.

Le présent amendement vise donc à associer les organisations syndicales à la décision de suppression de la clause du grand-père, afin que ces dernières bénéficient d’un temps consacré pour exprimer leur position concernant cette mesure.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4974

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Alinéa 3,

après les mots:

sécurité sociale

insérer les mots:

à l'exception du régime spécial de la Banque de France

Objet

Ce sous-amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain a pour objet d'exclure le régime spécial des salariés de la Banque de France des mesures de convergence des régimes spéciaux vers les paramètres de la réforme des retraites.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4975

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Alinéa 3,

après les mots:

sécurité sociale

insérer les mots:

à l'exception du régime spécial de retraite des clercs de notaire et employés de notaire,

Objet

Ce sous-amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain a pour objet d'exclure le régime spécial des salariés des clercs de notaire et employés de notairedes mesures de convergence des régimes spéciaux vers les paramètres de la réforme des retraites.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4976

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Alinéa 3

après les mots:

sécurité sociale

insérer les mots:

à l'exception du régime spécial de la régie autonome des transports parisiens

Objet

Ce sous-amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain a pour objet d'exclure le régime spécial des salariés de la RATP des mesures de convergence des régimes spéciaux vers les paramètres de la réforme des retraites.

 Il s’agit de maintenir l'attractivité de ces professions particulièrement difficiles; en témoignent les difficultés actuelles de recrutement de la RATP.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 4977

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Alinéa 3,

après les mots:

sécurité sociale

insérer les mots:

à l'exception du régime spécial de retraite des industries électriques et gazières 

Objet

Ce sous-amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain a pour objet d'exclure le régime spécial des salariés des industries électriques et gazières des mesures de convergence des régimes spéciaux vers les paramètres de la réforme des retraites.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4978

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme JASMIN, M. JOMIER, Mmes LE HOUEROU, MEUNIER, POUMIROL, ROSSIGNOL

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Alinéa 3,

après les mots:

sécurité sociale

insérer les mots:

à l'exception du régime spécial du Conseil économique, social et environnemental

Objet

Ce sous-amendement du groupe socialiste, écologiste et républicain a pour objet d'exclure le régime spécial des salariés  du Conseil économique, social et environnemental des mesures de convergence des régimes spéciaux vers les paramètres de la réforme des retraites.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4875

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

M. JACQUIN


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Amendement n° 2057

I.- Remplacer le mot :

dès

par les mots :

à partir de

II.- Remplacer l'année :

2040

par l'année :

2066

Objet

Le groupe des sénatrices et sénateurs socialistes, écologistes et républicains s'est opposé à l'adoption de l'article 1 visant à supprimer certains régimes dits spéciaux. Maintenant qu'il est adopté, il entend protéger les travailleurs le plus longtemps possible et surtout à faire respecter le contrat que ces travailleurs ont passé avec leurs entreprises voire avec la Nation.

Le présent sous amendement propose donc que la "clause du grand père" soit effectivement respectée et que la convergence appelée de leurs voeux par les auteurs de l'amendement 2057 soit effective à partir de 2066, soit à la fin des 43 annuités dont les personnes qui commencent à travailler en 2023 devront s'acquitter.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4877

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

M. GILLÉ


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Amendement n° 2057

I.- Remplacer le mot :

dès

par les mots :

à partir de

II.- Remplacer l'année :

2040

par l'année :

2066

Objet

Le groupe des sénatrices et sénateurs socialistes, écologistes et républicains s’est opposé à l’adoption de l’article 1 visant à supprimer certains régimes dits spéciaux. Maintenant qu’il est adopté, il entend protéger les travailleurs le plus longtemps possible et surtout à faire respecter le contrat que ces travailleurs ont passé avec leurs entreprises voire avec la Nation.

Le présent sous amendement propose donc que la "clause du grand père" soit effectivement respectée et que la convergence appelée de leurs vœux par les auteurs de l’amendement 2057 soit effective en 2066, soit au terme des 43 annuités dont les personnes qui commencent à travailler en 2023 devront s’acquitter pour bénéficier d’une retraite à taux plein.

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4878

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

M. KERROUCHE


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Amendement n°2057

I.- Remplacer le mot :

dès

par les mots :

à partir de

II.- Remplacer l'année :

2040

par l'année :

2066

Objet

Le groupe des sénatrices et sénateurs socialistes, écologistes et républicains s'est opposé à l'adoption de l'article 1 visant à supprimer certains régimes dits spéciaux. Maintenant qu'il est adopté, il entend protéger les travailleurs le plus longtemps possible et surtout à faire respecter le contrat que ces travailleurs ont passé avec leurs entreprises voire avec la Nation.

Le présent sous amendement propose donc que la "clause du grand père" soit effectivement respectée et que la convergence appelée de leurs voeux par les auteurs de l'amendement 2057 soit effective à partir de 2066, soit à la fin des 43 annuités dont les personnes qui commencent à travailler en 2023 devront s'acquitter.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4882

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mme BONNEFOY


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


I. le mot "dès" est remplacé par les mots "à partir de"

II. la date "1er janvier 2040" est remplacée par la date "1er janvier 2066"

Objet

Le groupe des sénatrices et sénateurs socialistes, écologistes et républicains s’est opposé à l’adoption de l’article 1 visant à supprimer certains régimes dits spéciaux. Maintenant qu’il est adopté, il entend protéger les travailleurs le plus longtemps possible et surtout à faire respecter le contrat que ces travailleurs ont passé avec leurs entreprises voire avec la Nation.

Le présent sous amendement propose donc que la "clause du grand père" soit effectivement respectée et que la convergence appelée de leurs vœux par les auteurs de l’amendement 2057 soit effective en 2066, soit au terme des 43 annuités dont les personnes qui commencent à travailler en 2023 devront s’acquitter pour bénéficier d’une retraite à taux plein.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4884

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

M. DURAIN


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


I. le mot "dès" est remplacé par les mots "à partir de"

II. la date "1er janvier 2040" est remplacée par la date "1er janvier 2066"

Objet

Le groupe des sénatrices et sénateurs socialistes, écologistes et républicains s’est opposé à l’adoption de l’article 1 visant à supprimer certains régimes dits spéciaux. Maintenant qu’il est adopté, il entend protéger les travailleurs le plus longtemps possible et surtout à faire respecter le contrat que ces travailleurs ont passé avec leurs entreprises voire avec la Nation.

Le présent sous amendement propose donc que la "clause du grand père" soit effectivement respectée et que la convergence appelée de leurs vœux par les auteurs de l’amendement 2057 soit effective en 2066, soit au terme des 43 annuités dont les personnes qui commencent à travailler en 2023 devront s’acquitter pour bénéficier d’une retraite à taux plein.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 4886

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

M. FÉRAUD


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


I. le mot "dès" est remplacé par les mots "à partir de"

II. la date "1er janvier 2040" est remplacée par la date "1er janvier 2066"

Objet

Le groupe des sénatrices et sénateurs socialistes, écologistes et républicains s’est opposé à l’adoption de l’article 1 visant à supprimer certains régimes dits spéciaux. Maintenant qu’il est adopté, il entend protéger les travailleurs le plus longtemps possible et surtout à faire respecter le contrat que ces travailleurs ont passé avec leurs entreprises voire avec la Nation.

Le présent sous amendement propose donc que la "clause du grand père" soit effectivement respectée et que la convergence appelée de leurs vœux par les auteurs de l’amendement 2057 soit effective en 2066, soit au terme des 43 annuités dont les personnes qui commencent à travailler en 2023 devront s’acquitter pour bénéficier d’une retraite à taux plein.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 4888

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

M. JOMIER


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


I. le mot "dès" est remplacé par les mots "à partir de"

II. la date "1er janvier 2040" est remplacée par la date "1er janvier 2066"

Objet

Le Groupe des sénatrices et sénateurs socialistes, écologistes et républicains s’est opposé à l’adoption de l’article 1 visant à supprimer certains régimes dits spéciaux. Maintenant qu’il est adopté, il entend protéger les travailleurs le plus longtemps possible et surtout à faire respecter le contrat que ces travailleurs ont passé avec leurs entreprises voire avec la Nation.

Le présent sous amendement propose donc que la "clause du grand père" soit effectivement respectée et que la convergence appelée de leurs vœux par les auteurs de l’amendement 2057 soit effective en 2066, soit au terme des 43 annuités dont les personnes qui commencent à travailler en 2023 devront s’acquitter pour bénéficier d’une retraite à taux plein.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4889

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

M. Joël BIGOT


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


I. le mot "dès" est remplacé par les mots "à partir de"

II. la date "1er janvier 2040" est remplacée par la date "1er janvier 2066"

Objet

Le groupe des sénatrices et sénateurs socialistes, écologistes et républicains s’est opposé à l’adoption de l’article 1 visant à supprimer certains régimes dits spéciaux. Maintenant qu’il est adopté, il entend protéger les travailleurs le plus longtemps possible et surtout à faire respecter le contrat que ces travailleurs ont passé avec leurs entreprises voire avec la Nation.

Le présent sous amendement propose donc que la "clause du grand père" soit effectivement respectée et que la convergence appelée de leurs vœux par les auteurs de l’amendement 2057 soit effective en 2066, soit au terme des 43 annuités dont les personnes qui commencent à travailler en 2023 devront s’acquitter pour bénéficier d’une retraite à taux plein.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4894

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mme LE HOUEROU


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS L’ARTICLE 7

I.- Remplacer le mot :

dès

par les mots :

à partir de

II.- Remplacer l'année :

2040

par l'année :

2066



Objet

Le groupe des sénatrices et sénateurs socialistes, écologistes et républicains s’est opposé à l’adoption de l’article 1 visant à supprimer certains régimes dits spéciaux. Maintenant qu’il est adopté, il entend protéger les travailleurs le plus longtemps possible et surtout à faire respecter le contrat que ces travailleurs ont passé avec leurs entreprises voire avec la Nation.

Le présent sous amendement propose donc que la "clause du grand père" soit effectivement respectée et que la convergence appelée de leurs vœux par les auteurs de l’amendement 2057 soit effective en 2066, soit au terme des 43 annuités dont les personnes qui commencent à travailler en 2023 devront s’acquitter pour bénéficier d’une retraite à taux plein.




NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4895

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mme VAN HEGHE


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Après l'article 7

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. le mot "dès" est remplacé par les mots "à partir de"

II. la date "1er janvier 2040" est remplacée par la date "1er janvier 2066"

Objet

Le groupe des sénatrices et sénateurs socialistes, écologistes et républicains s’est opposé à l’adoption de l’article 1 visant à supprimer certains régimes dits spéciaux. Maintenant qu’il est adopté, il entend protéger les travailleurs le plus longtemps possible et surtout à faire respecter le contrat que ces travailleurs ont passé avec leurs entreprises voire avec la Nation.

Le présent sous amendement propose donc que la "clause du grand père" soit effectivement respectée et que la convergence appelée de leurs vœux par les auteurs de l’amendement 2057 soit effective en 2066, soit au terme des 43 annuités dont les personnes qui commencent à travailler en 2023 devront s’acquitter pour bénéficier d’une retraite à taux plein.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4897

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

M. FICHET


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Après l'article 7

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. le mot "dès" est remplacé par les mots "à partir de"

II. la date "1er janvier 2040" est remplacée par la date "1er janvier 2066"

Objet

Le groupe des sénatrices et sénateurs socialistes, écologistes et républicains s’est opposé à l’adoption de l’article 1 visant à supprimer certains régimes dits spéciaux. Maintenant qu’il est adopté, il entend protéger les travailleurs le plus longtemps possible et surtout à faire respecter le contrat que ces travailleurs ont passé avec leurs entreprises voire avec la Nation.

Le présent sous amendement propose donc que la "clause du grand père" soit effectivement respectée et que la convergence appelée de leurs vœux par les auteurs de l’amendement 2057 soit effective en 2066, soit au terme des 43 annuités dont les personnes qui commencent à travailler en 2023 devront s’acquitter pour bénéficier d’une retraite à taux plein.

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4899

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mme POUMIROL


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


I.- Remplacer le mot :

dès

par les mots :

à partir de

II.- Remplacer l'année :

2040

par l'année :

2066

Objet

Le groupe des sénatrices et sénateurs socialistes, écologistes et républicains s’est opposé à l’adoption de l’article 1 visant à supprimer certains régimes dits spéciaux. Maintenant qu’il est adopté, il entend protéger les travailleurs le plus longtemps possible et surtout à faire respecter le contrat que ces travailleurs ont passé avec leurs entreprises voire avec la Nation.

Le présent sous amendement propose donc que la "clause du grand père" soit effectivement respectée et que la convergence appelée de leurs vœux par les auteurs de l’amendement 2057 soit effective en 2066, soit au terme des 43 annuités dont les personnes qui commencent à travailler en 2023 devront s’acquitter pour bénéficier d’une retraite à taux plein.




NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4901

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mme BLATRIX CONTAT


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Article additionnel après l’article 7

I. le mot "dès" est remplacé par les mots "à partir de"

II. la date "1er janvier 2040" est remplacée par la date "1er janvier 2066"

Objet

Le groupe des sénatrices et sénateurs socialistes, écologistes et républicains s’est opposé à l’adoption de l’article 1 visant à supprimer certains régimes dits spéciaux. Maintenant qu’il est adopté, il entend protéger les travailleurs le plus longtemps possible et surtout à faire respecter le contrat que ces travailleurs ont passé avec leurs entreprises voire avec la Nation.

Le présent sous amendement propose donc que la "clause du grand père" soit effectivement respectée et que la convergence appelée de leurs vœux par les auteurs de l’amendement 2057 soit effective en 2066, soit au terme des 43 annuités dont les personnes qui commencent à travailler en 2023 devront s’acquitter pour bénéficier d’une retraite à taux plein.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4902

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

M. KANNER


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS L’ARTICLE 7

Amendement n° 2057

I.- Remplacer le mot :

dès

par les mots :

à partir de

II.- Remplacer l'année :

2040

par l'année :

2066




Objet

Le groupe des sénatrices et sénateurs socialistes, écologistes et républicains s’est opposé à l’adoption de l’article 1 visant à supprimer certains régimes dits spéciaux. Maintenant qu’il est adopté, il entend protéger les travailleurs le plus longtemps possible et surtout à faire respecter le contrat que ces travailleurs ont passé avec leurs entreprises voire avec la Nation.

Le présent sous amendement propose donc que la "clause du grand père" soit effectivement respectée et que la convergence appelée de leurs vœux par les auteurs de l’amendement 2057 soit effective en 2066, soit au terme des 43 annuités dont les personnes qui commencent à travailler en 2023 devront s’acquitter pour bénéficier d’une retraite à taux plein.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4906

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

M. LUREL


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


I. le mot "dès" est remplacé par les mots "à partir de"

II. la date "1er janvier 2040" est remplacée par la date "1er janvier 2066"

 

Objet

Le groupe des sénatrices et sénateurs socialistes, écologistes et républicains s’est opposé à l’adoption de l’article 1 visant à supprimer certains régimes dits spéciaux. Maintenant qu’il est adopté, il entend protéger les travailleurs le plus longtemps possible et surtout à faire respecter le contrat que ces travailleurs ont passé avec leurs entreprises voire avec la Nation.

Le présent sous amendement propose donc que la "clause du grand père" soit effectivement respectée et que la convergence appelée de leurs vœux par les auteurs de l’amendement 2057 soit effective en 2066, soit au terme des 43 annuités dont les personnes qui commencent à travailler en 2023 devront s’acquitter pour bénéficier d’une retraite à taux plein.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4908

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

M. TISSOT


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


I. le mot "dès" est remplacé par les mots "à partir de"

II. la date "1er janvier 2040" est remplacée par la date "1er janvier 2066"

Objet

Le groupe des sénatrices et sénateurs socialistes, écologistes et républicains s’est opposé à l’adoption de l’article 1 visant à supprimer certains régimes dits spéciaux. Maintenant qu’il est adopté, il entend protéger les travailleurs le plus longtemps possible et surtout à faire respecter le contrat que ces travailleurs ont passé avec leurs entreprises voire avec la Nation.

Le présent sous amendement propose donc que la "clause du grand père" soit effectivement respectée et que la convergence appelée de leurs vœux par les auteurs de l’amendement 2057 soit effective en 2066, soit au terme des 43 annuités dont les personnes qui commencent à travailler en 2023 devront s’acquitter pour bénéficier d’une retraite à taux plein.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4910

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mme MONIER


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Amendement n° 2057

I.- Remplacer le mot :

dès

par les mots :

à partir de

II.- Remplacer l'année :

2040

par l'année :

2066

Objet

Le groupe des sénatrices et sénateurs socialistes, écologistes et républicains s’est opposé à l’adoption de l’article 1 visant à supprimer certains régimes dits spéciaux. Maintenant qu’il est adopté, il entend protéger les travailleurs le plus longtemps possible et surtout à faire respecter le contrat que ces travailleurs ont passé avec leurs entreprises voire avec la Nation.

Le présent sous amendement propose donc que la "clause du grand père" soit effectivement respectée et que la convergence appelée de leurs vœux par les auteurs de l’amendement 2057 soit effective en 2066, soit au terme des 43 annuités dont les personnes qui commencent à travailler en 2023 devront s’acquitter pour bénéficier d’une retraite à taux plein.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4912

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

M. Mickaël VALLET


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


I.  Remplacer le mot:

dés

par les mots :

à partir de

II.- Remplacer l'année:

2040

par l'année:

2066

Objet

Le groupe des sénatrices et sénateurs socialistes, écologistes et républicains s’est opposé à l’adoption de l’article 1 visant à supprimer certains régimes dits spéciaux. Maintenant qu’il est adopté, il entend protéger les travailleurs le plus longtemps possible et surtout à faire respecter le contrat que ces travailleurs ont passé avec leurs entreprises voire avec la Nation.

Le présent sous amendement propose donc que la "clause du grand père" soit effectivement respectée et que la convergence appelée de leurs vœux par les auteurs de l’amendement 2057 soit effective en 2066, soit au terme des 43 annuités dont les personnes qui commencent à travailler en 2023 devront s’acquitter pour bénéficier d’une retraite à taux plein.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4916

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mme MEUNIER


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


I.- Remplacer le mot :

dès

par les mots :

à partir de

II.- Remplacer l'année :

2040

par l'année :

2066

Objet

Le groupe des sénatrices et sénateurs socialistes, écologistes et républicains s’est opposé à l’adoption de l’article 1 visant à supprimer certains régimes dits spéciaux. Maintenant qu’il est adopté, il entend protéger les travailleurs le plus longtemps possible et surtout à faire respecter le contrat que ces travailleurs ont passé avec leurs entreprises voire avec la Nation.

Le présent sous amendement propose donc que la "clause du grand père" soit effectivement respectée et que la convergence appelée de leurs vœux par les auteurs de l’amendement 2057 soit effective en 2066, soit au terme des 43 annuités dont les personnes qui commencent à travailler en 2023 devront s’acquitter pour bénéficier d’une retraite à taux plein.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4917

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

M. PLA


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Article additionnel après l’article 7

I. le mot "dès" est remplacé par les mots "à partir de"

II. la date "1er janvier 2040" est remplacée par la date "1er janvier 2066"

 

Objet

L'auteur de cet amendement s’est opposé à l’adoption de l’article 1 visant à supprimer certains régimes dits spéciaux. Maintenant qu’il est adopté, il entend protéger les travailleurs le plus longtemps possible et surtout à faire respecter le contrat que ces travailleurs ont passé avec leurs entreprises voire avec la Nation.

Le présent sous amendement propose donc que la "clause du grand père" soit effectivement respectée et que la convergence appelée de leurs vœux par les auteurs de l’amendement 2057 soit effective en 2066, soit au terme des 43 annuités dont les personnes qui commencent à travailler en 2023 devront s’acquitter pour bénéficier d’une retraite à taux plein.

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4919

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

M. CARDON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


I. le mot "dès" est remplacé par les mots "à partir de"
II. la date "1er janvier 2040" est remplacée par la date "1er janvier 2066"

Objet

Le groupe des sénatrices et sénateurs socialistes, écologistes et républicains s’est opposé à l’adoption de l’article 1 visant à supprimer certains régimes dits spéciaux. Maintenant qu’il est adopté, il entend protéger les travailleurs le plus longtemps possible et surtout à faire respecter le contrat que ces travailleurs ont passé avec leurs entreprises voire avec la Nation.
Le présent sous amendement propose donc que la "clause du grand père" soit effectivement respectée et que la convergence appelée de leurs vœux par les auteurs de l’amendement 2057 soit effective en 2066, soit au terme des 43 annuités dont les personnes qui commencent à travailler en 2023 devront s’acquitter pour bénéficier d’une retraite à taux plein.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4921

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

M. CHANTREL


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS L’ARTICLE 7

Amendement n° 2057


I.- Remplacer le mot :

dès

par les mots :

à partir de

II.- Remplacer l'année :

2040

par l'année :

2066

Objet

Le groupe des sénatrices et sénateurs socialistes, écologistes et républicains s’est opposé à l’adoption de l’article 1 visant à supprimer certains régimes dits spéciaux. Maintenant qu’il est adopté, il entend protéger les travailleurs le plus longtemps possible et surtout à faire respecter le contrat que ces travailleurs ont passé avec leurs entreprises voire avec la Nation.

Le présent sous amendement propose donc que la "clause du grand père" soit effectivement respectée et que la convergence appelée de leurs vœux par les auteurs de l’amendement 2057 soit effective en 2066, soit au terme des 43 annuités dont les personnes qui commencent à travailler en 2023 devront s’acquitter pour bénéficier d’une retraite à taux plein.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4923

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mme LUBIN


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


I. le mot "dès" est remplacé par les mots "à partir de"

II. la date "1er janvier 2040" est remplacée par la date "1er janvier 2066"

Objet

Le groupe des sénatrices et sénateurs socialistes, écologistes et républicains s’est opposé à l’adoption de l’article 1 visant à supprimer certains régimes dits spéciaux. Maintenant qu’il est adopté, il entend protéger les travailleurs le plus longtemps possible et surtout à faire respecter le contrat que ces travailleurs ont passé avec leurs entreprises voire avec la Nation.

Le présent sous amendement propose donc que la "clause du grand père" soit effectivement respectée et que la convergence appelée de leurs vœux par les auteurs de l’amendement 2057 soit effective en 2066, soit au terme des 43 annuités dont les personnes qui commencent à travailler en 2023 devront s’acquitter pour bénéficier d’une retraite à taux plein.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4924

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mme Sylvie ROBERT


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Amendement n° 2057

I.- Remplacer le mot :

dès

par les mots :

à partir de

II.- Remplacer l'année :

2040

par l'année :

2066

Objet

Le groupe des sénatrices et sénateurs socialistes, écologistes et républicains s'est opposé à l'adoption de l'article 1 visant à supprimer certains régimes dits spéciaux. Maintenant qu'il est adopté, il entend protéger les travailleurs le plus longtemps possible et surtout à faire respecter le contrat que ces travailleurs ont passé avec leurs entreprises voire avec la Nation.

Le présent sous amendement propose donc que la "clause du grand père" soit effectivement respectée et que la convergence appelée de leurs voeux par les auteurs de l'amendement 2057 soit effective à partir de 2066, soit à la fin des 43 annuités dont les personnes qui commencent à travailler en 2023 devront s'acquitter.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4925

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

M. COZIC


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


I. le mot "dès" est remplacé par les mots "à partir de"

II. la date "1er janvier 2040" est remplacée par la date "1er janvier 2066"

Objet

Le groupe des sénatrices et sénateurs socialistes, écologistes et républicains s’est opposé à l’adoption de l’article 1 visant à supprimer certains régimes dits spéciaux. Maintenant qu’il est adopté, il entend protéger les travailleurs le plus longtemps possible et surtout à faire respecter le contrat que ces travailleurs ont passé avec leurs entreprises voire avec la Nation.

Le présent sous amendement propose donc que la "clause du grand père" soit effectivement respectée et que la convergence appelée de leurs vœux par les auteurs de l’amendement 2057 soit effective en 2066, soit au terme des 43 annuités dont les personnes qui commencent à travailler en 2023 devront s’acquitter pour bénéficier d’une retraite à taux plein.

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4927

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

M. RAYNAL


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


I. le mot "dès" est remplacé par les mots "à partir de"

II. la date "1er janvier 2040" est remplacée par la date "1er janvier 2066"

Objet

Le groupe des sénatrices et sénateurs socialistes, écologistes et républicains s’est opposé à l’adoption de l’article 1 visant à supprimer certains régimes dits spéciaux. Maintenant qu’il est adopté, il entend protéger les travailleurs le plus longtemps possible et surtout à faire respecter le contrat que ces travailleurs ont passé avec leurs entreprises voire avec la Nation.

Le présent sous amendement propose donc que la "clause du grand père" soit effectivement respectée et que la convergence appelée de leurs vœux par les auteurs de l’amendement 2057 soit effective en 2066, soit au terme des 43 annuités dont les personnes qui commencent à travailler en 2023 devront s’acquitter pour bénéficier d’une retraite à taux plein.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4942 rect.

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

M. LECONTE


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Article additionnel après l’article 7

I.- Remplacer le mot :

dès

par les mots :

à partir de

II.- Remplacer l'année :

2040

par l'année :

2066

Objet

Je me suis opposé à l’adoption de l’article 1 visant à supprimer certains régimes dits spéciaux. Maintenant qu’il est adopté, il entend protéger les travailleurs le plus longtemps possible et surtout à faire respecter le contrat que ces travailleurs ont passé avec leurs entreprises voire avec la Nation.

Le présent sous amendement propose donc que la "clause du grand père" soit effectivement respectée et que la convergence appelée de leurs vœux par les auteurs de l’amendement 2057 soit effective en 2066, soit au terme des 43 annuités dont les personnes qui commencent à travailler en 2023 devront s’acquitter pour bénéficier d’une retraite à taux plein.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4945

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mme PRÉVILLE


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Amendement n° 2057

I.- Remplacer le mot :

dès

par les mots :

à partir de

II.- Remplacer l'année :

2040

par l'année :

2066

Objet

Le groupe des sénatrices et sénateurs socialistes, écologistes et républicains s'est opposé à l'adoption de l'article 1 visant à supprimer certains régimes dits spéciaux. Maintenant qu'il est adopté, il entend protéger les travailleurs le plus longtemps possible et surtout à faire respecter le contrat que ces travailleurs ont passé avec leurs entreprises voire avec la Nation.

Le présent sous amendement propose donc que la "clause du grand père" soit effectivement respectée et que la convergence appelée de leurs voeux par les auteurs de l'amendement 2057 soit effective à partir de 2066, soit à la fin des 43 annuités dont les personnes qui commencent à travailler en 2023 devront s'acquitter.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4979

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mme FÉRET


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


I.- Remplacer le mot :

dès

par les mots :

à partir de

II.- Remplacer l'année :

2040

par l'année :

2066

Objet

Le groupe des sénatrices et sénateurs socialistes, écologistes et républicains s’est opposé à l’adoption de l’article 1 visant à supprimer certains régimes dits spéciaux. Maintenant qu’il est adopté, il entend protéger les travailleurs le plus longtemps possible et surtout faire respecter le contrat que ces travailleurs ont passé avec leurs entreprises, voire avec la Nation.

Le présent sous amendement propose donc que la "clause du grand père" soit effectivement respectée et que la convergence appelée de leurs vœux par les auteurs de l’amendement 2057 soit effective en 2066, soit au terme des 43 annuités dont les personnes qui commencent à travailler en 2023 devront s’acquitter pour bénéficier d’une retraite à taux plein.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4930

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Amendement 2057, alinéa 3

1- Remplacer l’année : 

2023

Par les mots : 

2060 

2- Remplacer la date : 

1er janvier 2040

Par la date :

1er mai 2065

Objet

Le groupe Écologiste - Solidarité et Territoires s’oppose à la proposition du Président Retailleau, qui vise à supprimer la clause du grand-père d’ici à 2040.

Les arguments présentés par l’auteur de l’amendement sont de deux ordres. Il s’agirait d’abord d’une mesure d’économie budgétaire, car  elle permettrait de tendre vers l’équilibre du système. Il s’agirait ensuite d’une mesure de justice sociale, car elle permettrait de faire porter les efforts demandés sur l’ensemble des français.

Ces deux arguments sont particulièrement fallacieux.

D’une part, la suppression de la clause du grand-père répond difficilement à une nécessité impérieuse d’équilibre, tant le maintien des régimes spéciaux des salariés actuels pèse peu sur les comptes de la sécurité sociale. A titre d’exemple, le régime des électriciens et des gaziers est largement excédentaire : il a dégagé un résultat excédentaire de 210 millions d’euros en 2021.

D’autre part, affirmer dans l’exposé des motifs que “les efforts demandés aux français doivent être portés par tous” est d’un singulier cynisme, tant il est vrai que le report de l’âge légal de départ, que soutient pourtant ardemment l’auteur de l’amendement, ne demande strictement aucun effort aux actifs les plus aisés et les plus diplômés, et pèse uniquement sur les personnes aux carrières les plus longues, aux métiers les plus pénibles et aux salaires les plus faibles. Si l’objectif de l’auteur de l’amendement est de demander des efforts à tous les français, la cohérence commanderait donc de voter contre cette mesure d'âge.

La fin anticipée des régimes spéciaux est donc une mesure dogmatique, brutale et irrespectueuse du contrat social dans lequel se sont engagés les salariés des secteurs concernés, parfois durant toute une carrière

Le présent sous-amendement vise donc à reporter à l’année 2060 l’ouverture de la période au cours de laquelle le Gouvernement sera habilité à éteindre les régimes spéciaux pour les travailleuses et travailleurs bénéficiant de ces régimes, afin de laisser le temps à une future majorité soucieuse de préserver les droits des travailleuses et travailleurs de revenir sur la présente habilitation. 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4931

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Amendement 2057, alinéa 3

Après cet alinéa, insérer un alinéa ainsi rédigé :

Dans un délai de deux ans à compter de la promulgation du décret mentionné au premier alinéa, le Gouvernement remet au Parlement un rapport dressant le bilan des effets de la mesure de convergence des régimes spéciaux vers le régime général sur les comptes de la sécurité sociale.

Objet

Le groupe Écologiste - Solidarité et Territoires s’oppose à la proposition du Président Retailleau, qui vise à supprimer la clause du grand-père d’ici à 2040.

La suppression de la clause du grand-père répond difficilement à une nécessité impérieuse d’équilibre, tant le maintien des régimes spéciaux des salariés actuels pèse peu sur les comptes de la sécurité sociale. A titre d’exemple, le régime des électriciens et des gaziers est largement excédentaire : il a dégagé un résultat excédentaire de 210 millions d’euros en 2021.

Le présent amendement vise donc à permettre à l’Etat d’étudier l’impact de la suppression de la clause du grand-père sur les comptes de la sécurité sociale, afin de mettre en lumière le caractère significatif ou au contraire superfétatoire de la mesure au niveau budgétaire.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4932

8 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Amendement 2057, alinéa 3

Après cet alinéa, insérer un alinéa ainsi rédigé :

Dans un délai de deux ans à compter de la promulgation du décret mentionné au premier alinéa du présent article, le Gouvernement remet au Parlement un rapport dressant le bilan des effets de la mesure de convergence des régimes spéciaux vers le régime général sur les facultés de recrutement des secteurs concernés.

Objet

Le groupe Écologiste - Solidarité et Territoires s’oppose à la proposition du Président Retailleau, qui vise à supprimer la clause du grand-père d’ici à 2040.

Cette mesure va non seulement avoir pour effet de supprimer la clause du grand-père pour les régimes auxquels il est mis fin par la réforme des retraites, mais également de supprimer les régimes spéciaux que cette réforme ne vise pas. Il s’agit notamment du régime des Mines, de l’Opéra de Paris, de la Comédie Française, du Port autonome de Bordeaux et du régime des Marins.

Aussi, de la même manière que nous nous inquiétons de l’aggravation des difficultés de recrutement de la RATP par la suppression progressive du régime spécial de ses agents,  nous souhaitons que soit analysé l’impact de la fermeture de ces derniers régimes spéciaux sur chaque secteur, en particulier sur leur faculté de recrutement.

Le présent amendement vise donc à permettre à l’Etat d’évaluer l’effet de la suppression anticipée des régimes spéciaux  sur leurs facultés ou difficultés de recrutement des secteurs concernés.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4987

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mme ASSASSI

et les membres du groupe communiste républicain citoyen et écologiste


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des conducteurs de locotracteurs"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier de conducteurs de locotracteurs


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4988

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mme ASSASSI

et les membres du groupe communiste républicain citoyen et écologiste


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des chefs triage"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concernent pas le métier de chef triage.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4989

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


modifier ainsi cet amendement :

après le mots "convergent vers les paramètres"

insérer les mots à l’exception des : Emplois en services continus du domaine transverse tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et  gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régimes général  ne concerne pas les  Emplois en services continus du domaine transverse tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011. ces emplois implique une disponibilité 24 sur 24, 7 jours sur 7. Ce qui implique un impact sur le cycle de sommeil


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 4990

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mme ASSASSI

et les membres du groupe communiste républicain citoyen et écologiste


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des agents de manœuvre"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier d'agent de manœuvre.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 4991

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mme ASSASSI

et les membres du groupe communiste républicain citoyen et écologiste


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des agents de manutention"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier d'agent de manutention.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des agents de reconnaissance fret"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier d'agents de reconnaissance fret.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des agents formation des trains fret"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier d'agent formation des trains fret.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 4994

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des agents de desserte fret"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier d'agent de desserte fret"


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des coordinateurs débranchement.

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier de coordinateur débranchement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 4996

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des chefs de service formation de trains fret"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier de chef de service formation de trains fret.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 4997

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des gestionnaires d'aléas fret"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier de gestionnaire d'aléas fret.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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9 mars 2023


 

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à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des operateurs triage"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier d'operateur triage.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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9 mars 2023


 

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à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des gestionnaires de convoi fret"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier de gestionnaire de convoi fret.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5000

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des chefs d'escale fret"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier de chef d'escale fret.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des operateurs de supervision du centre national des opérations (CNO) fret"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier d'operateur de supervision du centre national des opérations (CNO) fret.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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9 mars 2023


 

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à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des chefs de la circulation"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier de chef de la circulation.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des coordonnateurs régionaux circulation"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier de coordonnateur régional circulation.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 5004

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à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
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Tombé

Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des agents circulation"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier d'agent circulation.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des aiguilleurs"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier d'aiguilleur.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des régulateurs"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier de régulateur.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des techniciens circulation"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier de technicien circulation.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des opérateurs débranchement"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier d'opérateur débranchement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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présenté par

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Tombé

Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des opérateurs de production signalisation mécanique"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier d'opérateur de production signalisation mécanique.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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présenté par

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ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des opérateurs de production signalisation/énergie"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier d'opérateurs de production signalisation/énergie.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des opérateurs de production catenaire"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier d'opérateurs de production catenaire.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des opérateurs de production voie"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier d'opérateur de production voie.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des conducteurs équipement"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier de conducteur équipement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des opérateurs soudure voie"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier d'opérateur soudure voie.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


modifier ainsi cet amendement :

après le mots "convergent vers les paramètres"

insérer les mots à l’exception des : des Services continus du domaine production tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régimes général ne concerne pas les Emplois Services continus du domaine Production tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011. Ces emplois implique une disponibilité 24 sur 24, 7 jours sur 7. Ce qui implique un impact sur le cycle de sommeil.

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
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Tombé

Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des opérateurs de production ouvrages d'art.

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier d'opérateur de production ouvrages d'art.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des techniciens de production catenaire"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier de technicien de production catenaire.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des techniciens soudure voie"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier de technicien soudure voie.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des techniciens de production voie"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier de technicien de production voie.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des techniciens production signalisation mécanique"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier de technicien production signalisation mécanique.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des régulateurs sous-stations"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier de régulateur sous-stations.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des techniciens de production signalisation/énergie"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier de technicien de production signalisation/énergie


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des opérateurs de maintenance mécanique"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier d'opérateur de maintenance mécanique.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des opérateurs aménagement intérieur"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier d'opérateurs aménagement intérieur.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des opérateurs de maintenance thermique"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier d'opérateur de maintenance thermique.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5026

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des opérateurs chaudronnerie"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier d'opérateur chaudronnerie.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 5027

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des opérateurs soudage"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier d'opérateur soudage.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 5028

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


modifier ainsi cet amendement :

après le mots "convergent vers les paramètres"

insérer les mots à l’exception « des emplois en travail de nuit du domaine de production » tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011"

 

Objet

es sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régimes général ne concerne pas les emplois en travail de nuit du domaine de production tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011. Ces emplois implique une disponibilité 24 sur 24, 7 jours sur 7. Ce qui implique un impact sur le cycle de sommeil.

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mme ASSASSI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des opérateurs peinture" 

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier d'opérateur peinture.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des opérateurs bois et autres matières"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier d'opérateur bois et autres matières.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des opérateurs visite fret"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier d'opérateur visite fret.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des opérateurs de manutention"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier d'opérateur de manutention.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des opérateurs mouvement matériel"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier d'opérateur mouvement matériel.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


modifier ainsi cet amendement :

après le mots "convergent vers les paramètres"

insérer les mots à l’exception « des emplois en Travail de nuit dans le cadre de l’horaire normal pendant au moins 270 heures par an dans le domaine transverse» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et
gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régimes général ne concerne pas les emplois en travail de nuit du domaine de transverse tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011. Ces emplois implique une disponibilité 24 sur 24, 7 jours sur 7. Ce qui implique un impact sur le cycle de sommeil.

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des opérateurs de maintenance frein"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier d'opérateur de maintenance frein.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 5036

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des agents opérationnels télésurveillance"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier d'agent opérationnel télésurveillance.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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9 mars 2023


 

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à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des permanents PC sureté"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier de permanent PC sureté.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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9 mars 2023


 

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à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des agents opérationnels surveillance générale"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier d'agent opérationnel surveillance générale.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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9 mars 2023


 

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à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
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Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des conducteurs de chiens"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier de conducteur de chiens.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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9 mars 2023


 

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à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des assistants surveillance générale (SUGE)"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier d'assistant surveillance générale (SUGE).


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des conducteurs de manœuvre et de parcours"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier de conducteur de manœuvre et de parcours.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des conducteurs de ligne"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier de conducteur de ligne.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des assistants au conducteur"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier d'assistant au conducteur.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

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N° 5044

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des conducteurs de tram-train"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier de conducteur de tram-train.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


modifier ainsi cet amendement :

après le mots "convergent vers les paramètres"

insérer les mots à l’exception  des emplois en « Travail de nuit dans le cadre de l’horaire normal pendant au moins 270 heures par an dans le domaine production» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et
gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régimes général ne concerne pas les emplois en T ravail de nuit dans le cadre de l’horaire normal pendant au moins 270 heures par an dans le domaine production tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011. Ces emplois implique une disponibilité 24 sur 24, 7 jours sur 7. Ce qui implique un impact sur le cycle de sommeil.

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des conducteurs de manœuvre et de ligne locale"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier de conducteur de manœuvre et de ligne locale.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des agents du service commercial des trains"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier d'agent du service commercial des trains.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des chefs de bord moniteur"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier de chef de bord moniteur.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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présenté par

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Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des agents d'escale et de service en gare"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier d'agent d'escale et de service en gare.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des agents du service commercial transilien"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier d'agent du service commercial transilien.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des opérateurs maintenance engins outillage mécanique"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier d'opérateur maintenance engins outillage mécanique.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des agents d'entretien levage-pesage"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier d'agent d'entretien levage-pesage.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Tombé

Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des opérateurs de production des lignes de télécoms"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier d'opérateur de production des lignes de télécoms.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
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Tombé

Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des opérateurs de production équipement d'alimentation des lignes électrifiées (EALE).

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier d'opérateur de production équipement d'alimentation des lignes électrifiées (EALE)


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des opérateurs ultrasons voie"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier d'opérateur ultrasons voie.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des techniciens de production lignes de télécoms"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier de technicien de production lignes de télécoms.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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présenté par

C
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Tombé

Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des techniciens ultrasons équipement"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier de technicien ultrasons équipement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

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Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


modifier ainsi cet amendement :

après le mots "convergent vers les paramètres"

insérer les mots à l’exception  des « Emplois d’intervention et de surveillance dans la maintenance du thermique à flamme, des parcs de turbines à combustion, et des incinérateurs et dans l’ingénierie nucléaire, avec sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %.» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régimes général ne concerne pas les « Emplois d’intervention et de surveillance dans la maintenance du thermique à flamme, des parcs de turbines à combustion, et des incinérateurs et dans l’ingénierie nucléaire, sans sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %.» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011. Ces emplois impliquent  des efforts physiques  importants, des Postures non naturelles et pénibles un Travail manuel contraint, effectué à l'extérieur et, par conséquent, exposé aux intempéries sans possibilité de s'y soustraire. Un Travail physique dans un espace clos à température extrême.

Ces emplois regroupent les activités principales suivantes, dans les domaines suivants : Mécanique Chaudronnerie Robinetterie / Electricité/ Automatisme Essais/ Génie civil/ Combustible déchets et logistique nucléaire/ chimie - Environnement/ Radio Protection/ Sécurité -prévention des risques nucléaires/ contrôle de performance essais thermiques : • Intervention de maintenance des installations de production thermique à flamme, turbines à combustion, incinérateurs • Mission de surveillance des activités sous traitées


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

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Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des techniciens maintenance engin et outillage mécanique"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier de technicien maintenance engin et outillage mécanique.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des chefs d'escale"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier de chef d'escale.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
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Tombé

Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


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Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des techniciens de production Équipement d'alimentation des Lignes Électrifiées (EALE)"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier de technicien de production Équipement d'alimentation des Lignes Électrifiées (EALE).


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des techniciens équipes mécanisés"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier de technicien équipes mécanisés.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


modifier ainsi cet amendement :

après le mots "convergent vers les paramètres"

insérer les mots à l’exception  des « Emplois d’intervention maintenance thermique diesel ou charbon en base sans sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %..» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régimes général ne concerne pas les « Emplois d’intervention maintenance thermique diesel ou charbon en base sans sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %..» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011. Ces emplois impliquent  des efforts physiques  importants, des Postures non naturelles et pénibles un Travail manuel contraint, effectué à l'extérieur et, par conséquent, exposé aux intempéries sans possibilité de s'y soustraire. Un Travail physique dans un espace clos à température extrême.

Ces emplois regroupent les activités principales suivantes : installations de  production, turbines à combustion, thermique diesel en base ou charbon en base • Mission de surveillance desactivités sous traitées • Exploitation des turbines à combustion diesel
• Dépotage combustible


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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C
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Tombé

Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des techniciens équipe bourrage"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier de technicien équipe bourrage.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des techniciens équipe désherbage"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier de technicien équipe désherbage.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des coordinateurs régularité"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier de coordinateur régularité.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des opérateurs de maintenance électrotechnique"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier de opérateur de maintenance électrotechnique.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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présenté par

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Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des opérateurs de maintenance système"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier d'opérateur de maintenance système.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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présenté par

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Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des opérateurs de maintenance dépannage"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier d'opérateur de maintenance dépannage.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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présenté par

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Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des opérateurs de maintenance climatisation"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier d'opérateur de maintenance climatisation.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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présenté par

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Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des opérateurs usinage"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier d'opérateur usinage.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des agents de flux logistique industrielle"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier d'agent de flux logistique industrielle.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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présenté par

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Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des conducteurs engins de maintenance équipement"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier de conducteur engins de maintenance équipement.


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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Mmes ASSASSI et APOURCEAU-POLY, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN, COHEN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


Modifier ainsi l'amendement,

Après les mots :

"convergent vers les paramètres"

Insérer les mots : 

"à l'exception des agents escale produit train (manœuvre-départ)"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régime général ne concerne pas le métier d'agent escale produit train (manœuvre-départ).


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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présenté par

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ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


modifier ainsi cet amendement :

après le mots "convergent vers les paramètres"

insérer les mots à l’exception  des « Emplois d’intervention maintenance thermique diesel ou charbon en base avec sollicitations et/ou sorties de nuit dans  le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %.» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régimes général ne concerne pas les « Emplois d’intervention maintenance thermique diesel ou charbon en base avec sollicitations et/ou sorties de nuit dans  le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %..» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011. Ces emplois impliquent  des efforts physiques  importants, des Postures non naturelles et pénibles un Travail manuel contraint, effectué à l'extérieur et, par conséquent, exposé aux intempéries sans possibilité de s'y soustraire. Un Travail physique dans un espace clos à température extrême.

Ces emplois regroupent les activités principales suivantes : Intervention de maintenance  des installations de production, turbines à combustion, thermique diesel en base ou charbon en base • Mission de surveillance des activités sous traitées • Exploitation des turbines à  combustion diesel • Dépotage combustible


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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présenté par

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Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


modifier ainsi cet amendement :

après le mots "convergent vers les paramètres"

insérer les mots à l’exception  des « Emplois d’intervention maintenance multi- sites sans sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %..» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régimes général ne concerne pas les « Emplois d’intervention maintenance multisites sans sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %..» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011. Ces emplois impliquent  des efforts physiques  importants, des Postures non naturelles et pénibles un Travail manuel contraint, effectué à l'extérieur et, par conséquent, exposé aux intempéries sans possibilité de s'y soustraire. Un Travail physique dans un espace clos à température extrême.

Ces emplois regroupent les activités principales suivantes : • Intervention de maintenance  spécialisée des installations de production thermique • Montage démontage ensembles industriels (dont groupes) • Interventions sur robinetterie nécessitant manipulation outillages lourds • Emplois intervenant en arrêt de tranche sur l'ensemble du parc de production thermique à flamme ou nucléaire • Maintenance de puits de stockage sur chantiers (travail au câble)


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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SOUS-AMENDEMENT

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présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


modifier ainsi cet amendement :

après le mots "convergent vers les paramètres"

insérer les mots à l’exception  des « Emplois d’intervention maintenance hydraulique - maintenance mécanique et soudage sans sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régimes général ne concerne pas les « Emplois d’intervention maintenance hydraulique - maintenance mécanique et soudage sans sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20.» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011. Ces emplois impliquent  des efforts physiques  importants (port de charges lourdes, manipulation d’outillages lourds). Des Postures non naturelles et pénibles (membres supérieurs levés, travaux en positions accroupies, allongées, port d’équipement entravant les
mouvements). un  Travail physique dans un espace clos à température extrême (groupes chauds). une  Travail manuel contraint, effectué à l'extérieur et, par conséquent, exposé aux intempéries sans possibilité de s'y soustraire.

Ces emplois regroupent les activités suivantes : • Maintenance spécialisée des  installations de production hydraulique ou en atelier• Soudage, fraisage et usinage  • Accès aux ancrages • Montage démontage groupes • Contrôles métallurgie • Câblage activité d’exploitation en usine


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5078

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


modifier ainsi cet amendement :

après le mots "convergent vers les paramètres"

insérer les mots à l’exception  des « Emplois d’intervention maintenance hydraulique - maintenance mécanique et soudage avec sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régimes général ne concerne pas les « Emplois d’intervention maintenance hydraulique - maintenance mécanique et soudage avec sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20.» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011. Ces emplois impliquent  des efforts physiques  importants (port de charges lourdes, manipulation d’outillages lourds). Des Postures non naturelles et pénibles (membres supérieurs levés, travaux en positions accroupies, allongées, port d’équipement entravant les
mouvements). un  Travail physique dans un espace clos à température extrême (groupes chauds). une  Travail manuel contraint, effectué à l'extérieur et, par conséquent, exposé aux intempéries sans possibilité de s'y soustraire.

Ces emplois regroupent les activités suivantes : • Maintenance spécialisée des  installations de production hydraulique ou en atelier• Soudage, fraisage et usinage  • Accès aux ancrages • Montage démontage groupes • Contrôles métallurgie • Câblage activité d’exploitation en usine


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5079

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


modifier ainsi cet amendement :

après le mots "convergent vers les paramètres"

insérer les mots à l’exception  des « Emplois d’intervention maintenance thermique à flamme, nucléaire et /ou d’exploitation des parcs de turbines à combustion et incinérateur sans sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %.» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régimes général ne concerne pas les « Emplois d’intervention maintenance thermique à flamme, nucléaire et /ou d’exploitation des parcs de turbines à
combustion et incinérateur sans sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %.» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011. Ces emplois impliquent  des efforts physiques  importants (port de charges lourdes, manipulation d’outillages lourds). Des Postures non naturelles et pénibles (membres supérieurs levés, travaux en positions accroupies, allongées, port d’équipement entravant les mouvements). un  Travail physique dans un espace clos à température extrême (groupes chauds). une  Travail manuel contraint, effectué à l'extérieur et, par conséquent, exposé aux intempéries sans possibilité de s'y soustraire

Ces emplois regroupent les activités suivantes : • Dans les domaines suivants :  Mécanique Chaudronnerie Robinetterie / Electricité/ Automatisme Essais/ Génie civil/ Combustible déchets et logistique nucléaire/ Chimie - Environnement/ Radio Protection/ Sécurité - prévention des risques nucléaires/ contrôle de performance essais thermique : - Maintenance des installations de production thermique - Intervention de maintenance et activités proches du process de production thermique - Missions de surveillance des activités sous traitées • Exploitation des turbines à combustion


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5080

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


modifier ainsi cet amendement :

après le mots "convergent vers les paramètres"

insérer les mots à l’exception  des « Emplois d’intervention maintenance thermique à flamme, nucléaire et /ou d’exploitation des parcs de turbines à combustion et incinérateur avec sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant
aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %.» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régimes général ne concerne pas les « Emplois d’intervention maintenance thermique à flamme, nucléaire et /ou d’exploitation des parcs de turbines à
combustion et incinérateur avec sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %.» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011. Ces emplois impliquent  des efforts physiques  importants (port de charges lourdes, manipulation d’outillages lourds). Des Postures non naturelles et pénibles (membres supérieurs levés, travaux en positions accroupies, allongées, port d’équipement entravant les mouvements). un  Travail physique dans un espace clos à température extrême (groupes chauds). une  Travail manuel contraint, effectué à l'extérieur et, par conséquent, exposé aux intempéries sans possibilité de s'y soustraire

 Ces emplois regroupent les activités suivantes : • Dans les domaines suivants :  Mécanique Chaudronnerie Robinetterie / Electricité/ Automatisme Essais/ Génie civil/ Combustible déchets et logistique nucléaire/ Chimie - Environnement/ Radio Protection/ Sécurité - prévention des risques nucléaires/ contrôle de performance essais thermique : - Maintenance des installations de production thermique - Intervention de maintenance et activités proches du process de production thermique - Missions de surveillance des activités sous traitées • Exploitation des turbines à combustion


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5081

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


modifier ainsi cet amendement :

après le mots "convergent vers les paramètres"

insérer les mots à l’exception  des « Emplois d’exploitation hydraulique avec sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %.» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011"


 

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régimes général ne concerne pas les « Emplois d’exploitation hydraulique avec sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %.» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011. Ces emplois impliquent  des efforts physiques  importants (port de charges lourdes, manipulation d’outillages lourds). Des Postures non naturelles et pénibles (membres supérieurs levés, travaux en positions accroupies, allongées, port d’équipement entravant les mouvements). un  Travail physique dans un espace clos à température extrême (groupes chauds). une  Travail manuel contraint, effectué à l'extérieur et, par conséquent, exposé aux intempéries sans possibilité de s'y soustraire

 Ces emplois regroupent les activités suivantes : • Dépannage, maintenance  courante, manoeuvre et conduite des installations de production hydraulique


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 5082

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


modifier ainsi cet amendement :

après le mots "convergent vers les paramètres"

insérer les mots à l’exception  des « Emplois d’exploitation et de maintenance installations gazières (stockage) avec sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011"

Objet

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régimes général ne concerne pas les Emplois d’exploitation et de maintenance installations gazières (stockage) avec sollicitations et/ou sorties de nuit
dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011. Ces emplois impliquent  des efforts physiques  importants (port de charges lourdes, manipulation d’outillages lourds). Des Postures non naturelles et pénibles (membres supérieurs levés, travaux en positions accroupies, allongées, port d’équipement entravant les mouvements). un  Travail physique dans un espace clos à température extrême (groupes chauds). une  Travail manuel contraint, effectué à l'extérieur et, par conséquent, exposé aux intempéries sans possibilité de s'y soustraire. horaires pouvant avoir un impact sur le cycle de sommeil

 ces emplois regroupent les activités suivantes • Dépannage, maintenance  courante, manoeuvre et conduite des installations de production hydraulique


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5083

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


modifier ainsi cet amendement :

après le mots "convergent vers les paramètres"

insérer les mots à l’exception  des « Emplois polyvalents d’exploitation et de maintenance des parcs de turbine à combustion sans sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20
%.» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régimes général ne concerne pas les « Emplois polyvalents d’exploitation et de maintenance des parcs de turbine à combustion
sans sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %..» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011. Ces emplois impliquent  des efforts physiques  importants (port de charges lourdes, manipulation d’outillages lourds). Des Postures non naturelles et pénibles (membres supérieurs levés, travaux en positions accroupies, allongées, port d’équipement entravant les mouvements). un  Travail physique dans un espace clos à température extrême (groupes chauds). une  Travail manuel contraint, effectué à l'extérieur et, par conséquent, exposé aux intempéries sans possibilité de s'y soustraire

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 5084

9 mars 2023


 

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à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


odifier ainsi cet amendement :

après le mots "convergent vers les paramètres"

insérer les mots à l’exception  des « Emplois polyvalents d’exploitation et de maintenance des parcs de turbine à combustion avec  sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20
%.» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011"

Objet

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régimes général ne concerne pas les « Emplois polyvalents d’exploitation et de maintenance des parcs de turbine à combustion
avec sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %..» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011. Ces emplois impliquent  des efforts physiques  importants (port de charges lourdes, manipulation d’outillages lourds). Des Postures non naturelles et pénibles (membres supérieurs levés, travaux en positions accroupies, allongées, port d’équipement entravant les mouvements). un  Travail physique dans un espace clos à température extrême (groupes chauds). une  Travail manuel contraint, effectué à l'extérieur et, par conséquent, exposé aux intempéries sans possibilité de s'y soustraire

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5085

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


modifier ainsi cet amendement :

après le mots "convergent vers les paramètres"

insérer les mots à l’exception  des « Emplois d’intervention manutention charbon et / ou résidus de combustion sans sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %. tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régimes général ne concerne pas les « Emplois d’intervention manutention charbon et / ou résidus de combustion sans sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %.» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011. Ces emplois impliquent  des efforts physiques  importants (port de charges lourdes, manipulation d’outillages lourds). Des Postures non naturelles et pénibles (membres supérieurs levés, travaux en positions accroupies, allongées, port d’équipement entravant les
mouvements). un  Travail physique dans un espace clos à température extrême (groupes chauds). une  Travail manuel contraint, effectué à l'extérieur et, par conséquent, exposé aux intempéries sans possibilité de s'y soustraire

 Ces emplois recoupent les activités suivantes : Intervention sur itinéraire  charbon et / ou résidus de combustion • Manipulation d’engins


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5086

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


modifier ainsi cet amendement :

après le mots "convergent vers les paramètres"

insérer les mots à l’exception  des «Emplois d’intervention manutention charbon et / ou résidus de combustion avec sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %. » tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régimes général ne concerne pas les « Emplois d’intervention manutention charbon et / ou résidus de combustion avec sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %.» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011. Ces emplois impliquent  des efforts physiques  importants (port de charges lourdes, manipulation d’outillages lourds). Des Postures non naturelles et pénibles (membres supérieurs levés, travaux en positions accroupies, allongées, port d’équipement entravant les
mouvements). un  Travail physique dans un espace clos à température extrême (groupes chauds). une  Travail manuel contraint, effectué à l'extérieur et, par conséquent, exposé aux intempéries sans possibilité de s'y soustraire

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


modifier ainsi cet amendement :

après le mots "convergent vers les paramètres"

insérer les mots à l’exception  des « Emplois de maintenance et forage sans sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %.» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011"

Objet

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régimes général ne concerne pas les « Emplois de maintenance et forage sans sollicitations et/ou sorties de nuit dans  le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %.» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011. Ces emplois impliquent  des efforts physiques  importants (port de charges lourdes, manipulation d’outillages lourds). Des Postures non naturelles et pénibles (membres supérieurs levés, travaux en positions accroupies, allongées, port d’équipement entravant les
mouvements). un  Travail physique dans un espace clos à température extrême (groupes chauds). une  Travail manuel contraint, effectué à l'extérieur et, par conséquent, exposé aux intempéries sans possibilité de s'y soustraire

 

Ces emplois recoupent les activités suivantes : • Forage sur chantiers de  stockage gaz • Maintenance de puits de stockage


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5088

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


modifier ainsi cet amendement :

après le mots "convergent vers les paramètres"

insérer les mots à l’exception  des « Emplois de préparation d’interventions maintenance thermique diesel en base avec sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux
critères ouvrant droit au forfait de 20 %.» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011"

 

Objet


Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régimes général ne concerne pas les « Emplois de préparation d’interventions maintenance thermique diesel en base avec sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %..» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011. Ces emplois impliquent  des efforts physiques  importants (port de charges lourdes, manipulation d’outillages lourds). Des Postures non naturelles et pénibles (membres supérieurs levés, travaux en positions accroupies, allongées, port d’équipement entravant les mouvements). un  Travail physique dans un espace clos à température extrême (groupes chauds). une  Travail manuel contraint, effectué à l'extérieur et, par conséquent, exposé aux intempéries sans possibilité de s'y soustraire

Ces emplois recoupent les activités suivantes : Analyse, prélèvement de fluides


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5089

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


modifier ainsi cet amendement :

après le mots "convergent vers les paramètres"

insérer les mots à l’exception  des « Emplois polyvalents de conduite  d’exploitation, d’intervention maintenance et de surveillance des installations thermique diesel et emplois polyvalents sur turbines à combustion en base
avec sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %..» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011"

Objet

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régimes général ne concerne pas les « Emplois polyvalents de conduite d’exploitation, d’intervention maintenance et de surveillance des installations thermique diesel et emplois polyvalents sur turbines à combustion en base avec sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %.» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011. Ces emplois impliquent  des efforts physiques  importants (port de charges lourdes, manipulation d’outillages lourds). Des Postures non naturelles et pénibles (membres supérieurs levés, travaux en positions accroupies, allongées, port d’équipement entravant les mouvements). un  Travail physique dans un espace clos à température extrême (groupes chauds). une  Travail manuel contraint, effectué à l'extérieur et, par conséquent, exposé aux intempéries sans possibilité de s'y soustraire

Ces emploies recoupent les actvités suivantes : • Exploitation, intervention de  maintenance sur groupes en fonctionnement, surveillance, installation et entretien des outils de production


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5090

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


modifier ainsi cet amendement :

après le mots "convergent vers les paramètres"

insérer les mots à l’exception  des « Emplois d'entrainement d'intervention et de surveillance ou de conduite nucléaire en quart dans le cadre de la force d'action rapide du nucléaire, sans sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux
critères ouvrant droit au forfait de 20 %.» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régimes général ne concerne pas les «Emplois d'entrainement d'intervention et de  surveillance ou de conduite nucléaire en quart dans le cadre de la force d'action rapide du nucléaire, sans sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %.» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011. Ces emplois impliquent  des efforts physiques  importants (port de charges lourdes, manipulation d’outillages lourds). Des Postures non naturelles et pénibles (membres supérieurs levés, travaux en positions accroupies, allongées, port d’équipement entravant les mouvements). un  Travail physique dans un espace clos à température extrême (groupes chauds). une  Travail manuel contraint, effectué à l'extérieur et, par conséquent, exposé aux intempéries sans possibilité de s'y soustraire

 Ces emplois recoupent les activités suivantes : • Maintenance nucléaire ou  appui au process ou  exploitation •Activité prépondérante  d'entrainement et activité d'intervention ou de conduite  nucléaire en quart • Préparation d'opérations de maintenance des installations  de production • Contrôle des activités • Activités d'intervention occasionnelle


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5091

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


modifier ainsi cet amendement :

après le mots "convergent vers les paramètres"

insérer les mots à l’exception  des « Emplois en services continus, 24 heures sur 24 – 7 jours sur 7, du domaine réseaux» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011"

Objet

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régimes général ne concerne pas les « Emplois en services continus (24 heures sur 24 – 7 jours sur 7) du domaine réseaux» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011. Ces emplois impliquent  des impacts sur le cycles du sommeil

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5092

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


modifier ainsi cet amendement :

après le mots "convergent vers les paramètres"

insérer les mots à l’exception  des Emplois en " Travail de nuit dans le cadre de l’horaire  normal pendant au moins 270 heures par an dans le domaine réseaux» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régimes général ne concerne pas les empois en « Travail de nuit dans le cadre de l’horaire normal pendant au moins 270 heures par an
dans le domaine réseaux» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011. Ces emplois impliquent  des impacts sur le cycles du sommeil

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5093

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


modifier ainsi cet amendement :

après le mots "convergent vers les paramètres"

insérer les mots à l’exception  des « Emplois techniques polyvalents réseaux de  distribution et clientèle avec sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %.» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régimes général ne concerne pas les « Emplois techniques polyvalents réseaux de  distribution et clientèle avec sollicitations et/ou sorties de nuit dans
le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %.» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011. Ces emplois impliquent  des efforts physiques  importants (port de charges lourdes, manipulation d’outillages lourds). Des Postures non naturelles et pénibles (membres supérieurs levés, travaux en positions accroupies, allongées, port d’équipement entravant les
mouvements). un  Travail physique dans un espace clos à température extrême (groupes chauds). une  Travail manuel contraint, effectué à l'extérieur et, par conséquent, exposé aux intempéries sans possibilité de s'y soustraire

 Ces emplois recoupent les activités suivantes : • Mise en service ou hors  service • Relevé d’index • Travaux sur comptage • Réalisation travaux/raccordements aériens et souterrains BT/HTA et gaz • Travaux postes HTA/BT et réseaux • Intervention EP


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5094

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


modifier ainsi cet amendement :

après le mots "convergent vers les paramètres"

insérer les mots à l’exception  des « Emplois techniques polyvalents réseaux de  distribution et clientèle sans sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %.» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011"


 

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régimes général ne concerne pas les « Emplois techniques polyvalents réseaux de  distribution et clientèle sans sollicitations et/ou sorties de nuit dans
le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %.» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011. Ces emplois impliquent  des efforts physiques  importants (port de charges lourdes, manipulation d’outillages lourds). Des Postures non naturelles et pénibles (membres supérieurs levés, travaux en positions accroupies, allongées, port d’équipement entravant les
mouvements). un  Travail physique dans un espace clos à température extrême (groupes chauds). une  Travail manuel contraint, effectué à l'extérieur et, par conséquent, exposé aux intempéries sans possibilité de s'y soustraire

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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N° 5095

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


modifier ainsi cet amendement :

après le mots "convergent vers les paramètres"

insérer les mots à l’exception  des « Emplois d’exploitation et maintenance réseaux sans sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %..» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011"

Objet


Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régimes général ne concerne pas les « Emplois d’exploitation et maintenance réseaux sans sollicitations et/ou sorties de nuit dans
le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %..» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011. Ces emplois impliquent  des efforts physiques  importants (port de charges lourdes, manipulation d’outillages lourds). Des Postures non naturelles et pénibles (membres supérieurs levés, travaux en positions accroupies, allongées, port d’équipement entravant les
mouvements). un  Travail physique dans un espace clos à température extrême (groupes chauds). une  Travail manuel contraint, effectué à l'extérieur et, par conséquent, exposé aux intempéries sans possibilité de s'y soustraire

 ces emplois recoupent les activités suivantes : • Travaux / Dépannage /  Manoeuvre sur le réseau et consignations • Déroulage de câbles • Travaux dans les postes • Travaux de maintenance courante ou lourde sur les plans mécaniques ou
électriques des appareils de réseau


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5096

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


odifier ainsi cet amendement :

après le mots "convergent vers les paramètres"

insérer les mots à l’exception  des « Emplois d’exploitation et maintenance réseaux avec sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %..» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011"

Objet


Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régimes général ne concerne pas les « Emplois d’exploitation et maintenance réseaux avec sollicitations et/ou sorties de nuit dans
le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %..» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011. Ces emplois impliquent  des efforts physiques  importants (port de charges lourdes, manipulation d’outillages lourds). Des Postures non naturelles et pénibles (membres supérieurs levés, travaux en positions accroupies, allongées, port d’équipement entravant les
mouvements). un  Travail physique dans un espace clos à température extrême (groupes chauds). une  Travail manuel contraint, effectué à l'extérieur et, par conséquent, exposé aux intempéries sans possibilité de s'y soustraire

 ces emplois recoupent les activités suivantes : • Travaux / Dépannage /  Manoeuvre sur le réseau et consignations • Déroulage de câbles • Travaux dans les postes • Travaux de maintenance courante ou lourde sur les plans mécaniques ou
électriques des appareils de réseau


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5097

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


modifier ainsi cet amendement :

après le mots "convergent vers les paramètres"

insérer les mots à l’exception  des « Emplois techniques de comptage, mesurage et métrologie intervenant dans des galeries avec sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %...» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011"

 

Objet


Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régimes général ne concerne pas les «Emplois techniques de comptage, mesurage
et métrologie intervenant dans des galeries avec sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %.» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011. Ces emplois impliquent  des efforts physiques  importants (port de charges lourdes, manipulation d’outillages lourds). Des Postures non naturelles et pénibles (membres supérieurs levés, travaux en positions accroupies, allongées, port d’équipement entravant les mouvements). un  Travail physique dans un espace clos à température extrême (groupes chauds). une  Travail manuel contraint, effectué à l'extérieur et, par conséquent, exposé aux intempéries sans possibilité de s'y soustraire. ces emplois recoupent les activités suivantes : • Comptage et mesures dans  des galeries • Travaux dans les galeries • Acheminement de matériel


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5098

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mme ASSASSI, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mmes VARAILLAS, COHEN et APOURCEAU-POLY


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


modifier ainsi cet amendement :

après le mots "convergent vers les paramètres"

insérer les mots à l’exception  des « Emplois de maintenance spécialisée et interventions sur réseau distribution gaz, sans sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %..» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régimes général ne concerne pas les « Emplois de maintenance spécialisée et interventions sur réseau distribution gaz, sans sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %..» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011. Ces emplois impliquent  des efforts physiques  importants (port de charges lourdes, manipulation d’outillages lourds). Des Postures non naturelles et pénibles (membres supérieurs levés, travaux en positions accroupies, allongées, port d’équipement entravant les

mouvements). un  Travail physique dans un espace clos à température extrême (groupes chauds). une  Travail manuel contraint, effectué à l'extérieur et, par conséquent, exposé aux intempéries sans possibilité de s'y soustraire.

Ces emplois comporte les activités suivantes : • Mesures de protection  cathodique • Travaux sur ouvrage • Extension, développement, maintenance des ouvrages (robinets, déplacements d’ouvrages) • Analyse et dépannage défauts

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5099

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


modifier ainsi cet amendement :

après le mots "convergent vers les paramètres"

insérer les mots à l’exception  des « Emplois de maintenance spécialisée et interventions sur réseau distribution gaz, avec sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %..» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011"


 

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régimes général ne concerne pas les « Emplois de maintenance spécialisée et interventions sur réseau distribution gaz, avce sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %..» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011. Ces emplois impliquent  des efforts physiques  importants (port de charges lourdes, manipulation d’outillages lourds). Des Postures non naturelles et pénibles (membres supérieurs levés, travaux en positions accroupies, allongées, port d’équipement entravant les

mouvements). un  Travail physique dans un espace clos à température extrême (groupes chauds). un  Travail manuel contraint, effectué à l'extérieur et, par conséquent, exposé aux intempéries sans possibilité de s'y soustraire.

Ces emplois comporte les activités suivantes : • Mesures de protection  cathodique • Travaux sur ouvrage • Extension, développement, maintenance des ouvrages (robinets, déplacements d’ouvrages) • Analyse et dépannage défauts

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


modifier ainsi cet amendement :

après le mots "convergent vers les paramètres"

insérer les mots à l’exception  des « Emplois de maintenance spécialisée et interventions sur réseau distribution gaz avec sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %.» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011"

Objet


Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régimes général ne concerne pas les « Emplois de maintenance spécialisée et interventions sur réseau distribution gaz avec sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %.» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011. Ces emplois impliquent  des efforts physiques  importants (port de charges lourdes, manipulation d’outillages lourds). Des Postures non naturelles et pénibles (membres supérieurs levés, travaux en positions accroupies, allongées, port d’équipement entravant les
mouvements). un  Travail physique dans un espace clos à température extrême (groupes chauds). une  Travail manuel contraint, effectué à l'extérieur et, par conséquent, exposé aux intempéries sans possibilité de s'y soustraire

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


modifier ainsi cet amendement :

après le mots "convergent vers les paramètres"

insérer les mots à l’exception  des «Emplois de techniciens de conduite, de maintenance et de contrôle des sous stations réseaux de chaleur sans sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %.» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régimes général ne concerne pas les «Emplois de techniciens de conduite, de maintenance et de contrôle des sous stations réseaux de chaleur sans sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011. Ces emplois impliquent  des efforts physiques  importants (port de charges lourdes, manipulation d’outillages lourds). Des Postures non naturelles et pénibles (membres supérieurs levés, travaux en positions accroupies, allongées, port d’équipement entravant les mouvements). un  Travail physique dans un espace clos à température extrême (groupes chauds). une  Travail manuel contraint, effectué à l'extérieur et, par conséquent, exposé aux intempéries sans possibilité de s'y soustraire

 ces emplois recoupent les activités suivantes : • Réalisation de manoeuvres  de conduite • Entretien et maintenance des installations • Contrôle de la performance des outils de mesure


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


modifier ainsi cet amendement :

après le mots "convergent vers les paramètres"

insérer les mots à l’exception  des «Emplois de techniciens de conduite, de maintenance et de contrôle des sous stations réseaux de chaleur avec sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %.» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régimes général ne concerne pas les «Emplois de techniciens de conduite, de maintenance et de contrôle des sous stations réseaux de chaleur avec sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011. Ces emplois impliquent  des efforts physiques  importants (port de charges lourdes, manipulation d’outillages lourds). Des Postures non naturelles et pénibles (membres supérieurs levés, travaux en positions accroupies, allongées, port d’équipement entravant les mouvements). un  Travail physique dans un espace clos à température extrême (groupes chauds). une  Travail manuel contraint, effectué à l'extérieur et, par conséquent, exposé aux intempéries sans possibilité de s'y soustraire.

 ces emplois recoupent les activités suivantes : • Réalisation de manoeuvres  de conduite • Entretien et maintenance des installations • Contrôle de la performance des outils de mesure


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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présenté par

C
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Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


odifier ainsi cet amendement :

après le mots "convergent vers les paramètres"

insérer les mots à l’exception  des «Emplois de techniciens de conduite, de maintenance et de contrôle des sous stations réseaux de chaleur avec sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %.» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011"

Objet

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régimes général ne concerne pas les «Emplois de techniciens de conduite, de maintenance et de contrôle des sous stations réseaux de chaleur avec sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011. Ces emplois impliquent  des efforts physiques  importants (port de charges lourdes, manipulation d’outillages lourds). Des Postures non naturelles et pénibles (membres supérieurs levés, travaux en positions accroupies, allongées, port d’équipement entravant les mouvements). un  Travail physique dans un espace clos à température extrême (groupes chauds). une  Travail manuel contraint, effectué à l'extérieur et, par conséquent, exposé aux intempéries sans possibilité de s'y soustraire. ces emplois recoupent les activités suivantes : • Réalisation de manoeuvres  de conduite • Entretien et maintenance des installations • Contrôle de la performance des outils de mesure


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


modifier ainsi cet amendement :

après le mots "convergent vers les paramètres"

insérer les mots à l’exception  des «Emplois d’exploitation et de maintenance installations gazières - réseau de transport / compression en ligne- avec sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux
critères ouvrant droit au forfait de 20 %.» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régimes général ne concerne pas les «Emplois d’exploitation et de maintenance installations gazières (réseau de transport / compression en ligne)
avec sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %.» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011. Ces emplois impliquent  des efforts physiques  importants (port de charges lourdes, manipulation d’outillages lourds). Des Postures non naturelles et pénibles (membres supérieurs levés, travaux en positions accroupies, allongées, port d’équipement entravant les mouvements). un  Travail physique dans un espace clos à température extrême (groupes chauds). une  Travail manuel contraint, effectué à l'extérieur et, par conséquent, exposé aux intempéries sans possibilité.

Ces emplois recoupent les activités suivantes : ces emplois recoupent les activités suivantes : • Dépannage, maintenance  réseau • Maintenance des installations de compression ligne


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
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Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


modifier ainsi cet amendement :

après le mots "convergent vers les paramètres"

insérer les mots à l’exception  des «Emplois d’intervention de maintenance sur le réseau de transport gaz avec sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %..» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régimes général ne concerne pas les «Emplois d’intervention de maintenance sur le réseau de transport gaz avec sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %..» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011. Ces emplois impliquent  des efforts physiques  importants (port de charges lourdes, manipulation d’outillages lourds). Des Postures non naturelles et pénibles (membres supérieurs levés, travaux en positions accroupies, allongées, port d’équipement entravant les mouvements). un  Travail physique dans un espace clos à température extrême (groupes chauds). une  Travail manuel contraint, effectué à l'extérieur et, par conséquent, exposé aux intempéries sans possibilité


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


modifier ainsi cet amendement :

après le mots "convergent vers les paramètres"

insérer les mots à l’exception  des « Emplois d’exploitation logistique  sans sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régimes général ne concerne pas les « Emplois d’exploitation logistique sans sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte
satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011. Ces emplois impliquent  des efforts physiques  importants (port de charges lourdes, manipulation d’outillages lourds). Des Postures non naturelles et pénibles (membres supérieurs levés, travaux en positions accroupies, allongées, port d’équipement entravant les
mouvements). un  Travail physique dans un espace clos à température extrême (groupes chauds). une  Travail manuel contraint, effectué à l'extérieur et, par conséquent, exposé aux intempéries sans possibilité de s'y soustraire

 


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


modifier ainsi cet amendement :

après le mots "convergent vers les paramètres"

insérer les mots à l’exception  des «Emplois d’exploitation logistique avec sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011"

Objet


Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régimes général ne concerne pas les «Emplois d’exploitation logistique  avec sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte
satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011. Ces emplois impliquent  des efforts physiques  importants (port de charges lourdes, manipulation d’outillages lourds). Des Postures non naturelles et pénibles (membres supérieurs levés, travaux en positions accroupies, allongées, port d’équipement entravant les mouvements). un  Travail physique dans un espace clos à température extrême (groupes chauds). une  Travail manuel contraint, effectué à l'extérieur et, par conséquent, exposé aux intempéries sans possibilité


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

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SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


modifier ainsi cet amendement :

après le mots "convergent vers les paramètres"

insérer les mots à l’exception  des « Emplois d’intervention maintenance hydraulique - maintenance mécanique et soudage sans sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011"

Objet

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régimes général ne concerne pas les « Emplois d’intervention maintenance hydraulique - maintenance mécanique et soudage sans sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20.» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011. Ces emplois impliquent  des efforts physiques  importants (port de charges lourdes, manipulation d’outillages lourds). Des Postures non naturelles et pénibles (membres supérieurs levés, travaux en positions accroupies, allongées, port d’équipement entravant les
mouvements). un  Travail physique dans un espace clos à température extrême (groupes chauds). une  Travail manuel contraint, effectué à l'extérieur et, par conséquent, exposé aux intempéries sans possibilité de s'y soustraire.

Ces emplois regroupent les activités suivantes : • Maintenance spécialisée des  installations de production hydraulique ou en atelier• Soudage, fraisage et usinage  • Accès aux ancrages • Montage démontage groupes • Contrôles métallurgie • Câblage activité d’exploitation en usine


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 5109

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


modifier ainsi cet amendement :

après le mots "convergent vers les paramètres"

insérer les mots à l’exception  des « Emplois techniques et encadrement opérationnel de chantier - courants forts et distribution gaz - avec sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %...» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011"

 

Objet


Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régimes général ne concerne pas les «Emplois techniques et encadrement  opérationnel de chantier (courants forts et distribution gaz)
avec sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %..» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011. Ces emplois impliquent  des efforts physiques  importants (port de charges lourdes, manipulation d’outillages lourds). Des Postures non naturelles et pénibles (membres supérieurs levés, travaux en positions accroupies, allongées, port d’équipement entravant les mouvements).  un  Travail manuel contraint, effectué à l'extérieur et, par conséquent, exposé aux intempéries sans possibilité de s'y soustraire.

ces emplois recoupent les activités suivantes : Activités opérationnelles de  chantiers sur les ouvrages des réseaux : • Dépannage • Maintenance • Contrôle • Mise en service • Entretien • Consignations, pose de MALT et CC •Raccordement de groupes électrogènes
•Déroulage de câbles


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5110

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


modifier ainsi cet amendement :

après le mots "convergent vers les paramètres"

insérer les mots à l’exception  des « Emploi de réalisation de convois  exceptionnels avec sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %..» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011"

 

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régimes général ne concerne pas les Emploi de réalisation de convois  exceptionnels avec sollicitations et/ou sorties de nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %..» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011. Ces emplois impliquent  des efforts physiques  importants (port de charges lourdes, manipulation d’outillages lourds). Des Postures non naturelles et pénibles (membres supérieurs levés, travaux en positions accroupies, allongées, port d’équipement entravant les mouvements).  un  Travail manuel contraint, effectué à l'extérieur et, par conséquent, exposé aux intempéries sans possibilité de s'y soustraire.

ces emplois recoupent les activités suivantes : Manipulation d’outillages  lourds • Chargement et déchargement de matériels lourds


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 5111

9 mars 2023


 

SOUS-AMENDEMENT

à l'amendement n° 2057 rect. bis de M. RETAILLEAU

présenté par

C
G  
Tombé

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, MM. OUZOULIAS et SAVOLDELLI et Mme VARAILLAS


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 7


modifier ainsi cet amendement :

après le mots "convergent vers les paramètres"

insérer les mots à l’exception  des «Emplois de mécanique automobile et engins sans sollicitations et/ou sorties de  nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %..» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011"

Objet

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE demandent de préciser que la convergence des régimes spéciaux vers le régimes général ne concerne pas les "Emplois de mécanique automobile et engins sans sollicitations et/ou sorties de  nuit dans le cadre de l’astreinte satisfaisant aux critères ouvrant droit au forfait de 20 %.. .» tel que défini par le référentiel de classement en services actifs des emplois des industries électriques et gazières, prévu par le décret n°2011-1175 du 23 septembre 2011. Ces emplois impliquent  des efforts physiques  importants (port de charges lourdes, manipulation d’outillages lourds). Des Postures non naturelles et pénibles (membres supérieurs levés, travaux en positions accroupies, allongées, port d’équipement entravant les mouvements).  un  Travail manuel contraint, effectué à l'extérieur et, par conséquent, exposé aux intempéries sans possibilité de s'y soustraire.

ces emplois recoupent les activités suivantes : Travaux de réparation et  d'entretien sur les véhicules, moteurs, engins spéciaux et de manutention, opérations de station-service • Manipulation de véhicules lourds et d’engins de levage


NB : La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).





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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1369

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Favorable
Adopté - vote unique

Mme BILLON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 13


Après l’article 13

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le deuxième alinéa du II de l’article L. 161-17 du code la sécurité sociale est complété par une phrase ainsi rédigée : « Les assurés dont la durée d’assurance est inférieure à dix années se voient proposer cet entretien dans des conditions fixées par décret. »

Objet

La loi du 09 novembre 2010 portant réforme des retraites a créé un dispositif d’information à destination des assurés : l’Entretien Information Retraite dont les modalités ont été précisées par le décret du 31 décembre 2011 relatif à la mise en œuvre des prestations du droit à l’information des assurés sur la retraite.

Ce dispositif permet aux assurés de plus de 45 ans d’obtenir, à leur demande, un entretien portant notamment sur les droits qu’ils se sont constitués dans les régimes de retraite légalement obligatoires, sur les perspectives d’évolution de ces droits, sur les possibilités de cumuler un emploi et une retraite, ou encore sur les dispositifs leur permettant d’améliorer le montant futur de leur pension de retraite.

Cependant, la plupart des assurés, en particulier les plus fragiles, ignorent ce droit.

Ainsi, selon une étude basée sur la génération 1968, parmi les affiliés aux régimes de retraite qui ont validé un droit entre 30 et 40 ans, 22% des femmes ont cotisé moins de 10 années à l’âge de 45 ans. Ce pourcentage est moindre pour les hommes (12%) mais reste préoccupant.

Comme le préconise le rapport Turquois-Causse sur les petites pensions de retraite remis le 10 mai 2021 à Laurent Pietraszewski, il est proposé d’inverser l’initiative de la rencontre en imposant aux organismes de retraite de contacter les assurés dont la durée d’assurance est inférieure à dix années et de leur proposer un entretien d’information adapté à leur situation






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1401

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme BILLON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 13


Après l'article 13

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le premier alinéa du II de l’article L. 161-17 du code de la sécurité sociale est complété par une phrase ainsi rédigée : « L’assuré est également informé de son droit à bénéficier d’un entretien dans les conditions prévues à l’alinéa suivant. »

Objet

Amendement de repli

L’entretien n’est pas rendu systématique mais une obligation d’information du dispositif EIR est rendue obligatoire à chaque nouvelle embauche.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4054 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 13


Après l'article 13

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le III de l’article L. 161-17 du code de la sécurité sociale est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« L’assuré bénéficie également d’un accès libre et gratuit à des permanences d’information non dématérialisées gérées par les caisses d’assurance retraite et de la santé au travail. Ces permanences sont en mesure de délivrer à l’assuré des informations sur ses droits ainsi qu’une assistance dans ses démarches conformément aux missions mentionnées à l’article L. 215-1 du code de la sécurité sociale. »

Objet

Les membres du groupe CRCE proposent de rendre accessibles aux assurés des points d'informations non dématérialisés afin de garantir leur bonne information concernant leurs droits de retraite.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 784 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme Maryse CARRÈRE, MM. ARTANO, BILHAC, CABANEL et CORBISEZ, Mme Nathalie DELATTRE, MM. GOLD, GUÉRINI et GUIOL, Mme PANTEL et MM. REQUIER et ROUX


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 13


Après l’article 13

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Après le sixième alinéa de l’article L. 161-22 du code de la sécurité sociale, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :

« ... À partir de l’âge prévu aux articles L. 351-1-3, L. 351-1-4 et L. 351-1-5 pour les assurés concernés. »

Objet

Actuellement, le cumul emploi-retraite est autorisé sans aucune restriction lorsque l’assuré a atteint une retraite de base du régime général à taux plein. Si un assuré ne remplit pas cette condition (nombre insuffisant de trimestres validés), le cumul emploi retraite est plafonné, ce qui pénalise les assurés titulaires d’une retraite anticipée au titre du handicap ou d’une retraite au titre de l’inaptitude au travail.

Aussi, cet amendement vise à permettre aux titulaires d’une pension liquidée au titre de l’inaptitude et aux titulaires d’une retraite anticipée de bénéficier du cumul emploi-retraite intégral.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2183

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Favorable
Adopté - vote unique

M. SAVARY et Mme DOINEAU

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 13


I. – Après l’article 13

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’article L. 161-24-1 du code de la sécurité sociale s’applique à compter du lendemain de la publication du décret mentionné aux deux dernières phrases du même article L. 161-24-1 et au plus tard le 1er septembre 2023.

II. – En conséquence, faire précéder cet article d’une division additionnelle et de son intitulé ainsi rédigés :

Titre ...

Lutter contre la fraude aux prestations sociales à l’étranger

Objet

La loi de financement de la sécurité sociale pour 2021 a permis le recours aux données biométriques pour vérifier chaque année que les personnes résidant à l'étranger et bénéficiant d'une pension servie par un régime de retraite obligatoire français sont toujours en vie.

Toutefois, la mise en œuvre cette mesure, qui doit permettre de renforcer les moyens de la lutte contre la fraude aux prestations sociales, a été plusieurs fois repoussée ces deux dernières années. À ce jour, le décret d'application n'a toujours pas été pris par le Gouvernement.

Cet amendement vise donc à assurer que le Gouvernement permette l'application des dispositions de la LFSS pour 2021 au plus tard le 1er septembre 2023.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2022 rect.

4 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Avis du Gouvernement
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme Nathalie GOULET

et les membres du groupe Union Centriste


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 13


Après l'article 13

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. – Après le 4° de l’article L. 114-12 du code de la sécurité sociale sont insérés deux alinéas ainsi rédigés :

« … – Permettent d’établir l’adresse unique de contact des personnes majeures de nationalités françaises de plus de seize ans ou ayant la qualité d’usager des administrations mentionnées au premier alinéa.

« Les règles d’opposabilité des adresses de contact communiquées sont fixés par décret en Conseil d’État, le cas échéant après avis de la Commission nationale de l’informatique et des libertés. »

II. – Après l’article L. 111-4 du code de l’action sociale et des familles, il est inséré un article L. 111-… ainsi rédigé :

« Art. L. 111-… – L’admission à une prestation d’aide sociale est subordonnée à la transmission valide d’une adresse de contact, au sens de l’article L. 114-12 de la sécurité sociale. L’invalidité de l’adresse de contact suspend le bénéfice des prestations d’aide sociale déjà attribuées jusqu’à régularisation.

« Les prestations mentionnées au premier alinéa sont les prestations prévues par le présent code ainsi que :

« – les aides personnelles au logement prévues au livre VIII du code de la construction et de l’habitation ;

 « – l’allocation de solidarité aux personnes âgées prévue au chapitre 5 du titre I du livre VIII du code de la sécurité sociale ;

« – les allocations familiales et le complément familial respectivement prévus aux chapitre 1er et 2 du titre II du livre V du code de la sécurité sociale. »

Objet

Le rapport Grandjean Goulet ainsi que d’autres travaux ont souligné l’importance des fraudes au domicile ou à la résidence

Des tentatives ont été faites pour établir un domicile social a l’instar du domicile fiscal sans que cette perspective ne puisse aboutir. Il est proposé ici d'endiguer cette fraude en prévoyant que l’assuré devra communiquer une adresse unique opposable à l’ensemble des organismes sociaux.

Tel est l'objet de cet amendement.



NB :La rectification consiste en un changement de place (d'un article additionnel après 6 à un article additionnel après 13).





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2990 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. CHANTREL, Mme LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mmes LE HOUEROU et JASMIN, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER, ROSSIGNOL et BLATRIX CONTAT, MM. BOURGI et CARDON, Mme CONWAY-MOURET, MM. DURAIN et LECONTE, Mme MONIER, MM. TEMAL, TISSOT, LUREL, FÉRAUD et MARIE, Mme de LA GONTRIE, MM. RAYNAL et STANZIONE, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN, ASSOULINE et MÉRILLOU, Mmes HARRIBEY et Gisèle JOURDA, M. DEVINAZ, Mmes Sylvie ROBERT et BRIQUET, MM. HOULLEGATTE et LOZACH, Mme VAN HEGHE, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 13


Après l’article 13

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Les bénéficiaires d’une pension de retraite versée par un organisme français et résidant hors de France doivent fournir une fois tous les deux ans au plus à leurs caisses de retraite un justificatif d’existence.

La suspension du versement de la pension de retraite, dans le cas où le bénéficiaire ne justifie pas de son existence, ne peut avoir lieu qu’à l’expiration d’un délai minimal de trois mois à compter de la date fixée par la caisse de retraite pour la réception du justificatif.

Objet

Les Français établis hors de France se trouvent face à une rupture d’égalité vis-à-vis des Français résidant sur notre territoire quant à l’accès aux versements de la pension de retraite.

Ils sont soumis à des réglementations particulières, décrites au sein de la Circulaire CNAV n°2002/47 du 25 juillet 2002. L’article 83 de la loi de financement de la sécurité sociale pour 2013 impose notamment aux Français résidant hors de France de fournir un justificatif d’existence annuellement à la Caisse nationale d’assurance vieillesse, visé par les autorités françaises, dans le délai d’un mois à compter de la date fixée par la caisse de retraite. Le non-respect de cette réglementation entraîne la rupture de versements de la pension de retraite. Dans les faits, les ruptures de versement sont fréquentes. Les Français résidant à l’étranger sont par ailleurs les seuls à devoir fournir ces justificatifs d’existence.

Ces réglementations particulières sont en effet à l’origine de nombreux préjudices causés aux Français résidant hors de France. Dans de nombreux pays, on note de très nombreux problèmes d’accès aux pensions de retraite, dus à la fois au manque d’harmonisation des pratiques, mais également à une inadéquation avec le réel, notamment le délai de la poste et autres difficultés matérielles, largement sous-estimés par les administrations.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4713 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes Mélanie VOGEL et PONCET MONGE, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI, SALMON et LECONTE


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 13


Après l’article 13

Insérer un article additionnel ainsi rédigé : 

Les bénéficiaires d’une pension de retraite versée par un organisme français et résidant hors de France doivent fournir une fois tous les deux ans au plus à leurs caisses de retraite un justificatif d’existence.

La suspension du versement de la pension de retraite, dans le cas où le bénéficiaire ne justifie pas de son existence, ne peut avoir lieu qu’à l’expiration d’un délai minimal de trois mois à compter de la date fixée par la caisse de retraite pour la réception du justificatif.

Objet

Actuellement, les bénéficiaires d’une retraite française établis à l’étranger doivent fournir un justificatif d’existence chaque année à la Caisse nationale d'assurance vieillesse. Ces Françaises et Français de l’étranger voient le versement de leur retraite suspendu s’ils ne fournissent pas un tel justificatif dans un délai d'un mois à compter de la date fixée par la caisse de retraite.

Cette obligation résulte de l’article 83 de la loi de financement de la sécurité sociale pour 2013 et s’ajoute aux conditions particulières auxquelles sont soumises les Françaises et Français de l’étranger, telles que décrites par la Circulaire CNAV n° 2002/47 du 25 juillet 2002. Puisqu’un tel justificatif ne doit pas être fourni par les bénéficiaires établis en France, il s’agit d’une rupture d’égalité.

L’obligation de fournir annuellement une telle justification entraîne de nombreuses suspensions de versements qui bousculent évidemment le quotidien des Français et Françaises de l’étranger. Ces suspensions sont trop souvent liées à de seules contraintes matérielles, largement sous-estimées par les autorités, comme les délais d’acheminement de la poste.

Cet amendement vise à assouplir ces conditions afin de mieux tenir compte des contraintes matérielles. En particulier, il vise à porter le délai avant qu’une suspension des versements n’intervienne d’un mois à trois mois. De plus, au lieu de devoir fournir un justificatif d’existence tous les ans, les bénéficiaires établis à l’étranger devraient le fournir uniquement tous les deux ans.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2556

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. GONTARD, Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER, DANTEC, DOSSUS, FERNIQUE et LABBÉ, Mme de MARCO et MM. PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 13


Après l'article 13

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Avant le 31 décembre 2023, le Gouvernement remet au Parlement un rapport analysant les impacts de la présente loi sur les obstacles à l’accès des Français et des Françaises résidant à l’étranger aux versements de leur pension de retraite.

Objet

Les expatrié-e-s se trouvent face à une rupture d’égalité vis-à-vis des Français·es résidant sur notre territoire quant à l’accès aux versements de la pension de retraite.

Ils sont soumis à des réglementations particulières, décrites au sein de la Circulaire CNAV n° 2002/47 du 25 juillet 2002. La loi de financement de la sécurité sociale pour 2013 impose notamment aux Français·es résidant hors de France de fournir un justificatif d’existence annuellement à la Caisse nationale d’assurance vieillesse, visé par les autorités françaises, dans le délai d’un mois à compter de la date fixée par la caisse de retraite. Le non-respect de cette réglementation entraîne la rupture de versement de la pension de retraite. Dans les faits, les ruptures de versement sont fréquentes.

Ces réglementations particulières sont en effet à l’origine de nombreux préjudices causés aux Français·es résidant hors de France. Ceux-ci sont notamment confrontés à des difficultés matérielles de respect des délais imposés, le délai d’un mois s’avérant trop court dans de nombreux pays dans lesquels les Français·es sont installés. 

Il serait donc utile que le Gouvernement puisse évaluer les conséquences pratiques de ces réglementations sur nos compatriotes de façon à éclairer le Parlement sur les mesures à prendre afin de faciliter la vie des Français·es résidant hors de France.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3376

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 13


Après l'article 13

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Dans un délais de six mois après la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport sur l'impact de décalage de l'âge d'ouverture des droits dans l'accès au dispositif de retraite anticipée et sur l'opportunité de maintenir l'âge d'accès au dispositif de retraite anticipée à 60 ans.

Objet

La retraite progressive est un dispositif essentiel pour le maintien en emploi des séniors et la prise en compte de l’accroissement de leur vulnérabilité face aux risques dont les risques psychosociaux. Selon le rapport de la Commission des Affaires Sociales de l’Assemblée Nationale, le nombre de bénéficiaires du dispositif « a connu depuis 2015, une importante augmentation, ayant notamment été multiplié par 4,4 pour le régime général depuis cette date. » Selon la CNAV, le nombre de bénéficiaires a augmenté de 7% depuis 2019 et concerne 22 604 bénéficiaires en 2021. Si le gouvernement projette une augmentation du nombre de bénéficiaires pour atteindre près de 50 000 personnes en 2027, les freins à ce dispositif restent nombreux et devraient être levés pour que l’ensemble des personnes pouvant prétendre à ce dispositif puisse en être bénéficiaires.

De fait, selon les chercheurs Serge Volkoff et Corinne Gaudart « beaucoup de senior se maintiennent en activité professionnelle à condition de disposer d’aménagements du temps qui leur conviennent. La sortie d’un système contraignant d’horaires ou de rythmes est alors pour ces personnes une condition pour ne pas sortir de la vie active ».

En outre, les bénéfices pour la santé sont nombreux puisque les chercheurs notent entre autres une réduction du stress et de la fatigue, source de nombreux risques psychosociaux. Car les risques augmentent au fil de l’âge, comme le démontre la DARES qui note que 25 % des accidents du travail en France concernent les salariés de plus de 50 ans alors que ceux-ci représentent 29 % des salariés. De la même façon, 58 % des décès concernent les plus de 50 ans contre 8 % chez les moins de 30 ans.

Afin de prévenir l’augmentation des risques et de permettre à un maximum de personnes de profiter de la retraite progressive, il est important que l’âge d’accès au dispositif corresponde à un âge cohérent avec l’accroissement de la vulnérabilité.

En repoussant l’âge d’ouverture des droits de deux ans, sans modifier l’accès au dispositif qui est possible deux ans avant l’AOD, le présent projet de loi constitue un frein pour de nombreux seniors qui vont devoir attendre 62 ans pour en bénéficier. Si donc le gouvernement souhaite favoriser le maintien en emploi des seniors, l'âge d’accès au dispositif doit tenir compte de l’accroissement de leur vulnérabilité et du fait, comme souligné plus haut, que les seniors se maintiennent en activité à condition d’avoir accès à des aménagements du temps dans leur emploi.

Le présent amendement se propose en conséquence de maintenir l’accès au dispositif de retraite anticipée à 60 ans.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2065 rect. bis

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

MM. CARDON et MAGNER, Mme de LA GONTRIE, MM. BOURGI, TISSOT et GILLÉ, Mme BRIQUET, MM. Patrice JOLY, MÉRILLOU et LUREL, Mme PRÉVILLE, MM. PLA, JOMIER et CHANTREL, Mme ESPAGNAC, M. KERROUCHE, Mmes POUMIROL, LE HOUEROU, Martine FILLEUL, FÉRET et BLATRIX CONTAT, MM. STANZIONE, JACQUIN et RAYNAL et Mme CONWAY-MOURET


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 13


Après l’article 13

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’article L. 124-2 du code de l’éducation est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« ...° D’informer les élèves ou les étudiants sur les possibilités et les modalités de prise en compte par le régime général de la sécurité sociale des périodes d’études et de stage respectivement prévues par les articles L. 351-14-1 et L. 351-17 du code de la sécurité sociale. »

Objet

Le rachat de trimestres de stage ou d’études permet aux assurés ne disposant pas du nombre de trimestres requis pour liquider leurs droits à taux plein de réduire la décote applicable à leur pension.

Afin de garantir l’effectivité de ce dispositif, cet amendement propose d’assigner aux établissements d’enseignement un rôle d’information auprès de leurs élèves et étudiants sur les droit qui leur sont ouverts.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3399

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, M. DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


TITRE IV : DOTATIONS ET OBJECTIFS DE DÉPENSES DES BRANCHES ET DES ORGANISMES CONCOURANT AU FINANCEMENT DES RÉGIMES OBLIGATOIRES


Supprimer cette division et son intitulé.

Objet

Le dernier titre de ce texte comprend des articles spécifiques de financement. Sans grande surprise, aucun des objectifs n’est à la hauteur.

De plus l'urgence de ce texte est plus que discutable et rien ne justifie valablement de procéder à cette réforme par un projet de loi de financement, permettant au gouvernement de museler le débat.

En conséquence, par cet amendement le groupe écologiste demande la suppression de cette partie réglementairement obligatoire pour un texte de ce type, mais discutable au regard du caractère abusif du recours à une procédure budgétaire.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2563 rect.

4 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté - vote unique

MM. MOHAMED SOILIHI, HASSANI, THÉOPHILE, IACOVELLI, LÉVRIER, PATRIAT, BARGETON et BUIS, Mme CAZEBONNE, MM. DAGBERT et DENNEMONT, Mme DURANTON, M. GATTOLIN, Mme HAVET, MM. HAYE, KULIMOETOKE, LEMOYNE, MARCHAND et PATIENT, Mme PHINERA-HORTH, MM. RAMBAUD, RICHARD et ROHFRITSCH, Mme SCHILLINGER

et les membres du groupe Rassemblement des démocrates, progressistes et indépendants


ARTICLE ADDITIONNEL AVANT ARTICLE 14


Avant l'article 14

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. - L’article 23-5 de l’ordonnance n° 2002-411 du 27 mars 2002 relative à la protection sanitaire et sociale à Mayotte est ainsi modifié :

1° Après le premier alinéa, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :

« Les résidents à Mayotte qui exercent une profession libérale mentionnée au premier alinéa de l’article L. 645-1 du code de la sécurité sociale bénéficient des régimes de prestations complémentaires de vieillesse prévus au même article » ;

2° Au second alinéa, les mots : « et complémentaire » sont remplacés par les mots : «, complémentaire et de prestations complémentaires de vieillesse ». 

II. - Le présent article entre en vigueur le 1er septembre 2023.

Objet

Le rapport sénatorial Mayotte : un système de soins en hypertension a apporté un éclairage important sur l’état des lieux de l’accès aux soins à Mayotte.  45 % des habitants de plus de 15 ans déclarent avoir dû renoncer à des soins en 2019, taux largement supérieur à l'Hexagone et aux autres départements d'outre-mer. 47 % des plus de 65 ans estiment leur état mauvais ou très mauvais. L'espérance de vie est de 75 ans, inférieure de huit ans à celle de l'Hexagone.

L’amélioration de l’accès aux soins sur le territoire doit donc demeurer une priorité.

C’est dans ce contexte que le présent amendement vise à affilier les médecins, chirurgiens-dentistes, sages-femmes et auxiliaires médicaux et les directeurs de laboratoires privés d'analyses médicales non médecins qui résident et exercent leur activité à Mayotte aux régimes de prestations complémentaires de vieillesse dont bénéficient déjà ces professionnels en métropole.

Pour bénéficier de ces régimes, les professionnels doivent être conventionnés avec l’assurance maladie. En contrepartie, l’assurance maladie prend en charge une partie des cotisations des professionnels affiliés.  Le bénéfice de ces régimes permettra ainsi aux professionnels de santé exerçants à Mayotte d’améliorer significativement leurs pensions de retraite.

Ainsi, l’application de ces régimes aux professionnels libéraux de santé à Mayotte sera un levier d’attractivité pour ce territoire, favorisant les nouvelles installations et le maintien des professionnels libéraux de santé actuellement installés.

Il est essentiel de faire de Mayotte un territoire attractif pour les professionnels libéraux de santé afin de renforcer durablement l’accès aux soins de nos concitoyens. C’est tout l’objet de cet amendement.



NB :La rectification consiste en un changement de place (de après l'article 6 à avant l'article 14)





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2570 rect.

4 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté - vote unique

Le Gouvernement


ARTICLE ADDITIONNEL AVANT ARTICLE 14


Avant l'article 14

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I.- L’article 23-5 de l’ordonnance n° 2002-411 du 27 mars 2002 relative à la protection sanitaire et sociale à Mayotte est ainsi modifié :

1° Après le premier alinéa, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :

« Les résidents à Mayotte qui exercent une profession libérale mentionnée au premier alinéa de l’article L. 645-1 du code de la sécurité sociale bénéficient des régimes de prestations complémentaires de vieillesse prévus au même article. » ;

2° Au second alinéa, les mots : « et complémentaire » sont remplacés par les mots : «, complémentaire et de prestations complémentaires de vieillesse ». 

II.- Le présent article entre en vigueur le 1er septembre 2023.

Objet

Le présent amendement vise à affilier les médecins, chirurgiens-dentistes, sages-femmes et auxiliaires médicaux et les directeurs de laboratoires privés d'analyses médicales non médecins qui résident et exercent leur activité à Mayotte aux régimes de prestations complémentaires de vieillesse dont bénéficient déjà ces professionnels en métropole.

Pour bénéficier de ces régimes, les professionnels doivent être conventionnés avec l’assurance maladie. En contrepartie, l’assurance maladie prend en charge une partie des cotisations des professionnels affiliés.

Le bénéfice de ces régimes permettra ainsi aux professionnels de santé exerçants à Mayotte d’améliorer significativement leurs pensions de retraite.

Ainsi, l’application de ces régimes aux professionnels libéraux de santé à Mayotte sera un levier d’attractivité pour ce territoire. Il favorisera les nouvelles installations et le maintien des professionnels libéraux de santé actuellement installés.



NB :La rectification consiste en un changement de place (de après l’article 6 à avant l’article 14)





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 302

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. FÉRAUD


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche maladie, maternité, invalidité et décès telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 334

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. PLA


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche maladie, maternité, invalidité et décès telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 388

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme FÉRET


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépenses de la branche maladie, maternité, invalidité et décès telle que proposée par le Gouvernement dans cet article. 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 471

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. FICHET


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche maladie, maternité, invalidité et décès telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 540

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. GILLÉ


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche maladie, maternité, invalidité et décès telle que proposée par le Gouvernement dans cet article. 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 549

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme VAN HEGHE


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche maladie, maternité, invalidité et décès telle que proposée par le Gouvernement dans cet article. 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 601

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. REDON-SARRAZY


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche maladie, maternité, invalidité et décès telle que proposée par le Gouvernement dans cet article. 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 630

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. DEVINAZ


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche maladie, maternité, invalidité et décès telle que proposée par le Gouvernement dans cet article. 






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N° 658

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. CHANTREL


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs et sénatrices socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche maladie, maternité, invalidité et décès telle que proposée par le Gouvernement dans cet article. 






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N° 688

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LE HOUEROU


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche maladie, maternité, invalidité et décès telle que proposée par le Gouvernement dans cet article. 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 717

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme BLATRIX CONTAT


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche maladie, maternité, invalidité et décès telle que proposée par le Gouvernement dans cet article. 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 748

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. Mickaël VALLET


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche maladie, maternité, invalidité et décès telle que proposée par le Gouvernement dans cet article. 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 798

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme de LA GONTRIE


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche maladie, maternité, invalidité et décès telle que proposée par le Gouvernement dans cet article. 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 853

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. JACQUIN


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche maladie, maternité, invalidité et décès telle que proposée par le Gouvernement dans cet article. 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 883

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. DURAIN


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche maladie, maternité, invalidité et décès telle que proposée par le Gouvernement dans cet article. 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 920

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. LUREL


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement  vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche maladie, maternité, invalidité et décès telle que proposée par le Gouvernement dans cet article. 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 963

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. CARDON


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche maladie, maternité, invalidité et décès telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1047

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme Gisèle JOURDA


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche maladie, maternité, invalidité et décès telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1118

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. ÉBLÉ


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche maladie, maternité, invalidité et décès telle que proposée par le Gouvernement dans cet article. 






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1161 rect. bis

4 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche maladie, maternité, invalidité et décès telle que proposée par le Gouvernement dans cet article. 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1194

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme Sylvie ROBERT


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche maladie, maternité, invalidité et décès telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1227

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. MÉRILLOU


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche maladie, maternité, invalidité et décès telle que proposée par le Gouvernement dans cet article. 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1234

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. HOULLEGATTE


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement  vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche maladie, maternité, invalidité et décès telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1295

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. MONTAUGÉ


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche maladie, maternité, invalidité et décès telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1330

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme PRÉVILLE


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche maladie, maternité, invalidité et décès telle que proposée par le Gouvernement dans cet article. 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1360

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. MARIE


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement entend rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche maladie, maternité, invalidité et décès telle que proposée par le Gouvernement dans cet article. 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1393

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. BOURGI


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche maladie, maternité, invalidité et décès telle que proposée par le Gouvernement dans cet article. 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1426

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. SUEUR


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche maladie, maternité, invalidité et décès telle que proposée par le Gouvernement dans cet article. 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1456

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. KERROUCHE


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement du groupe des sénateurs Socialistes, écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche maladie, maternité, invalidité et décès telle que proposée par le Gouvernement dans cet article. 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1470

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. STANZIONE


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche maladie, maternité, invalidité et décès proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1487

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme CONWAY-MOURET


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche maladie, maternité, invalidité et décès telle que proposée par le Gouvernement dans cet article. 






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N° 1524

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme Martine FILLEUL


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche maladie, maternité, invalidité et décès telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 1560

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme MONIER


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche maladie, maternité, invalidité et décès telle que proposée par le Gouvernement dans cet article. 






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N° 1612

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. Joël BIGOT


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche maladie, maternité, invalidité et décès telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 1642

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme POUMIROL


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche maladie, maternité, invalidité et décès telle que proposée par le Gouvernement dans cet article. 






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N° 1681

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme BONNEFOY


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche maladie, maternité, invalidité et décès telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 1715

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. BOUAD


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche maladie, maternité, invalidité et décès telle que proposée par le Gouvernement dans cet article. 






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N° 1736

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. LECONTE


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche maladie, maternité, invalidité et décès telle que proposée par le Gouvernement dans cet article. 






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N° 1769

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme MEUNIER


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche maladie, maternité, invalidité et décès telle que proposée par le Gouvernement dans cet article. 






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N° 1782

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. TODESCHINI


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche maladie, maternité, invalidité et décès telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 1809

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. JOMIER


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs Socialistes Ecologistes et Républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche maladie, maternité, invalidité et décès telle que proposée par le Gouvernement dans cet article qui demeure bien insuffisante.






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N° 1839

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. KANNER


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche maladie, maternité, invalidité et décès telle que proposée par le Gouvernement dans cet article. 






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N° 1861

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. ASSOULINE


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche maladie, maternité, invalidité et décès telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 1927

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. Patrice JOLY


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche maladie, maternité, invalidité et décès telle que proposée par le Gouvernement dans cet article. 

 






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N° 2007

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme ROSSIGNOL


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche maladie, maternité, invalidité et décès telle que proposée par le Gouvernement dans cet article. 






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N° 2089

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. JEANSANNETAS


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche maladie, maternité, invalidité et décès telle que proposée par le Gouvernement dans cet article. 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2279

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme ESPAGNAC


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche maladie, maternité, invalidité et décès telle que proposée par le Gouvernement dans cet article. 






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N° 2288

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. TISSOT


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche maladie, maternité, invalidité et décès telle que proposée par le Gouvernement dans cet article. 






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N° 3192

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

L’article 14 de ce projet de loi établit la trajectoire budgétaire de la Branche Maladie à 238,2 millions d’euros sur l’année 2023.

Cette trajectoire révisée ne tient pas compte de la montée en puissance progressive du report de l’AOD qui devrait entrer en vigueur dès cette année. Or, selon une étude du Centre d’Etude de l’Emploi et du Travail en 2023, la réforme de 2010 a augmenté drastiquement le nombre d’arrêts maladies ponctuels et de longue durée chez les séniors pour un surcoût estimé à 68 millions d’euros. Cette étude laisse à penser qu’un nouveau report de l’AOD à 64 ans, alors que la vulnérabilité s’accroit avec l’âge et alors que le risque d’accidents professionnels devient plus important, devrait aussi provoquer des surcoûts pour l’assurance maladie sans que cela ne soit pris en compte dans la trajectoire envisagée pour 2023 et pour les années suivantes.

Par ailleurs, de nombreuses études concluent à un effet négatif de l’allongement de la vie active sur la santé, qu’elle soit objectivement décrite ou auto-évaluée.

Ainsi, les chercheuses Hélène Blake et Clémentine Garrouste en 2019 mettent en évidence un effet négatif de la réforme de 1993 en France sur la santé perçue, aussi bien mentale que physique chez les personnes les moins diplômés. Une autre étude menée par Ori Shai de l’université de Jérusalem en 2018 examine l’effet d’une réforme adoptée en Israël en 2014 et montre que celle-ci a été préjudiciable à la santé, en particulier pour les travailleurs les moins instruits.

Une étude du King’s College menée par Ludovico Carrino, Karen Glaser et Mauricio Avendano en 2020 montrent quant à eux que la réforme adoptée au Royaume-Uni en 2010 a entraîné une augmentation de la probabilité de symptômes dépressifs, ainsi qu'une augmentation du nombre de dépressions médicalement diagnostiquées chez les femmes aux professions peu qualifiées.

L’augmentation de la prévalence des taux de dépression et des troubles mentaux par le travail n’est pas un phénomène anodin puisque selon le Baromètre Malakoff Humanis, ils sont à l’origine de 20 % des arrêts de travail. Un chiffre en constante augmentation depuis 2016.

Or selon l’Agence Européenne pour la sécurité et la santé au travail, le coût des risques psychologiques au travail était déjà évalué à 3 milliards en France par an en 2013.

Si l’on en croit les études le report de l’âge devrait inévitablement faire monter ce chiffre du fait de l’augmentation de la prévalence des dépressions et des arrêts de travail.

En conséquence, il semble préjudiciable de ne pas prendre en compte les effets de la réforme envisagée du report de l’AOD sur le système de santé, du fait des coûts qu’elle entrainera forcément sur l’augmentation des arrêts maladie, l’augmentation de l’exposition aux agents chimiques provoquant des maladies ultérieurement à la période de travail (et sur le préjudice d’anxiété) et enfin aux répercussions de ce report de l’âge sur la santé perçue et la santé mentale comme le démontre un certain nombres d’études et dont le coût est déjà très important.

 

Pour toutes ces raisons cet amendement se propose de supprimer l’article 14 afin d’encourager à réviser la trajectoire budgétaire au regard des réels coûts de la réforme des retraites mis en place par ce PLFRSS.






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N° 4058 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 14


Supprimer cet article.

Objet

Les membres du groupe CRCE demandent la suppression de cet article qui entérine les objectifs de dépenses de la branche maladie, maternité, invalidité et décès. En euros courants, le plafond de dépense ainsi fixé serait en baisse.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4723

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté - vote unique

Le Gouvernement


ARTICLE 14


Remplacer le nombre :

238,4

par le nombre :

239,1

Objet

Le présent amendement modifie l’objectif de dépenses de la branche maladie pour l’exercice 2023 afin de tenir compte de la rectification de l’ONDAM proposée par amendement à l’article 15.

L’augmentation de l’ONDAM 2023 de 750 M€ vise notamment à tirer les conséquences des annonces faites par le Président de la République lors de ses vœux aux acteurs de la santé le 6 janvier 2023 et qui auront un impact sur les dépenses de l’assurance maladie en 2023.

Ce rehaussement permettra de financer jusqu’à la fin de l’année, en parallèle de la poursuite des travaux sur la valorisation des sujétions à l’hôpital et la permanence des soins, la prolongation des mesures d’urgence concernant la rémunération du temps de travail de nuit dans les établissements de santé qui devaient initialement prendre fin au 31 mars 2023.

Par ailleurs, cet amendement permet de tenir compte des prévisions de dépenses supplémentaires sur l’ONDAM ville en 2023.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 303

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. FÉRAUD


ARTICLE 15


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie et sous-objectifs telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 335

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. PLA


ARTICLE 15


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie et sous-objectifs telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 389

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme FÉRET


ARTICLE 15


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie et les sous-objectifs telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 472

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. FICHET


ARTICLE 15


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie et sous-objectifs telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 541

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. GILLÉ


ARTICLE 15


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie et sous-objectifs telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 560

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme VAN HEGHE


ARTICLE 15


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie et sous-objectifs telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 602

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. REDON-SARRAZY


ARTICLE 15


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie et sous-objectifs telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 631

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. DEVINAZ


ARTICLE 15


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie et sous-objectifs telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 659

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. CHANTREL


ARTICLE 15


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie et sous-objectifs telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 689

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LE HOUEROU


ARTICLE 15


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie et sous-objectifs telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 718

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme BLATRIX CONTAT


ARTICLE 15


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie et sous-objectifs telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 749

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. Mickaël VALLET


ARTICLE 15


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie et sous-objectifs telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 799

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme de LA GONTRIE


ARTICLE 15


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie et sous-objectifs telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 854

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. JACQUIN


ARTICLE 15


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie et sous-objectifs telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 884

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. DURAIN


ARTICLE 15


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie et sous-objectifs telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 921

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. LUREL


ARTICLE 15


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement  vise à rejeter la confirmation de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie et sous-objectifs telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 964

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. CARDON


ARTICLE 15


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie et sous-objectifs telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1048

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme Gisèle JOURDA


ARTICLE 15


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie et sous-objectifs telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1119

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. ÉBLÉ


ARTICLE 15


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie et sous-objectifs telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1162 rect. bis

4 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN


ARTICLE 15


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie et sous-objectifs telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1195

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme Sylvie ROBERT


ARTICLE 15


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie et sous-objectifs telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1228

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. MÉRILLOU


ARTICLE 15


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie et sous-objectifs telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1235

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. HOULLEGATTE


ARTICLE 15


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif national de dépenses d'assurance maladie et sous-objectifs telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1296

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. MONTAUGÉ


ARTICLE 15


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie et sous-objectifs telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1331

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme PRÉVILLE


ARTICLE 15


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie et sous-objectifs telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 1394

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. BOURGI


ARTICLE 15


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie et sous-objectifs telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 1427

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. SUEUR


ARTICLE 15


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie et sous-objectifs telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 1457

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. KERROUCHE


ARTICLE 15


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement du groupe Socialistes, écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie et sous-objectifs telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 1488

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme CONWAY-MOURET


ARTICLE 15


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie et sous-objectifs telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1525

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme Martine FILLEUL


ARTICLE 15


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie et sous-objectifs telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 1531

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. STANZIONE


ARTICLE 15


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie et sous-objectifs prévue dans cet article par le Gouvernement.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1561

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme MONIER


ARTICLE 15


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie et sous-objectifs telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1613

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. Joël BIGOT


ARTICLE 15


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie et sous-objectifs telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1643

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme POUMIROL


ARTICLE 15


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie et sous-objectifs telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1682

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme BONNEFOY


ARTICLE 15


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie et sous-objectifs telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1716

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. BOUAD


ARTICLE 15


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie et sous-objectifs telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.

 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1737

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. LECONTE


ARTICLE 15


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie et sous-objectifs telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1770

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme MEUNIER


ARTICLE 15


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie et sous-objectifs telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1783

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. TODESCHINI


ARTICLE 15


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie et sous-objectifs telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 1810

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. JOMIER


ARTICLE 15


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs Socialistes Ecologistes et Républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie et sous-objectifs telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 1840

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. KANNER


ARTICLE 15


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie et sous-objectifs telle que proposée par le Gouvernement.






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N° 1862

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. ASSOULINE


ARTICLE 15


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie et sous-objectifs telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1928

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. Patrice JOLY


ARTICLE 15


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie et sous-objectifs telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 2008

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme ROSSIGNOL


ARTICLE 15


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie et sous-objectifs telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 2090

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. JEANSANNETAS


ARTICLE 15


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie et sous-objectifs telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2280

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme ESPAGNAC


ARTICLE 15


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie et sous-objectifs telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2289

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. TISSOT


ARTICLE 15


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie et des sous-objectifs, telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3195

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 15


Supprimer cet article.

Objet

Le présent amendement a pour objet de supprimer l'article 15 qui fixe l’ONDAM en conformité avec l’article 106 de la loi n° 2022-1616 du 23 décembre 2022 de financement de la sécurité sociale pour 2023.

Malgré une augmentation des moyens attribués à l’ONDAM lors du précédent PLFSS et un effort supplémentaire obtenu par les organisations syndicales et hospitalières devant l’inflation et les surcoûts énergétiques, le montant global de la dotation reste largement insuffisant car la réelle prise en compte de la structure des dépenses des établissements hospitaliers nécessiterait à elle seule un point de plus d’évolution, sans même évoquer un ONDAM qui partirait des besoins de santé des territoires. Ainsi la rectification partielle de l’ONDAM 2022 ne suffit pas à masquer un ONDAM 2023 qui ne rattrape pas le retard des budgets précédents d’autant que l’inflation persiste et pèse sur l’investissement, que le covid amène toujours près de 13 000 personnes par an dans les hôpitaux publics, et que les coûts des mesures d’urgence du rapport Braun ont été prolongées. Le président de la Fédération Hospitalière de France le soulignait à l’annonce des rallonges de l’ONDAM lancée par le Ministre de la Santé : « je veux aussi rappeler que ces annonces ne couvrent que le très court-terme : il faut que nous puissions procéder à un choc d'attractivité plus pérenne et que nous sortions de la politique de la rallonge permanente. ».

Le gouvernement tente encore de poursuivre la politique des rallonges et a déposé un amendement à l’Assemblée Nationale sur l’article liminaire pour rehausser l’ONDAM de 750 millions d’euros dont 600 millions pour les hôpitaux publics. Si cet effort supplémentaire est positif, il reste malheureusement insuffisant. Selon la FHF, « la rectification totale de l’ONDAM initial pour 2023 devrait être de 1,2 milliard d’euros pour couvrir les nouvelles dépenses. ». Dont 600 millions de plus pour couvrir les dépenses supplémentaires au titre de l’inflation. Ces financements manquants impliquent autant d’économies des établissements alors que beaucoup dans le public et le privé non lucratif sont déjà au bord de l’effondrement.

De manière générale, la comptabilisation annuelle de l’ONDAM, a fortiori lorsqu’elle ponctuée de rallonges tout aussi bienvenues qu’insuffisantes, empêche les établissements hospitaliers de se projeter dans un financement pluriannuel, capable de résister aux crises sanitaires potentielles et répondant réellement aux besoins de santé territoire par territoire. 

La fermeture des maternités de proximité, la transformation des centres hospitaliers en hôpitaux de proximité sans maternité, chirurgie et urgences, la fermeture de lits d’hospitalisation complète, la fusion d’hôpitaux, l’introduction de nouvelles formes de management centrées sur la réalisation d’économies budgétaires, résultent d’une logique comptable qui préside et oriente l’ONDAM en rupture avec les aspirations des salariés à un travail de qualité auprès des patients.

Malgré cette hausse de 750 millions inscrite dans l’article liminaire par amendement du gouvernement adopté à l’Assemblée Nationale et repris dans la version du texte au Sénat, cet article (non discuté à l’Assemblée) propose une sorte de retour en arrière qui n’a pas d’explication puisqu’il fixe l’ONDAM en conformité au PLFSS 2023.

Cet amendement se propose en conséquence de supprimer cet article qui ne correspond pas aux financement établit à l’article liminaire de la présente loi. Il permet aussi de demander à reconsidérer en profondeur les logiques austéritaires qui ont présidé à l’établissement de l’ONDAM jusqu’à présent et à un financement des établissements de santé à la hauteur des besoins (1,2 milliards supplémentaires dès à présent) procédant d’une logique des besoins des territoires de santé et non de logiques austéritaires à peine atténuées par des rallonges ponctuelles et insuffisantes.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4059 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 15


Supprimer cet article.

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent la suppression de cet article qui traduit les mesures austéritaires prévues en loi de programmation pour les finances publiques 2023-2027 pour l’objectif national des dépenses d’assurance-maladie (Ondam). Aussi, la baisse serait de d’1,2% par rapport à l’année 2023 comme le rappelle justement l’exposé des motifs rédigé par le Gouvernement pour le présent article.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4724

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Favorable
G Favorable
Adopté - vote unique

Le Gouvernement


ARTICLE 15


Rédiger ainsi cet article :

Pour l’année 2023, l’objectif national de dépenses d’assurance maladie de l’ensemble des régimes obligatoires de base et ses sous-objectifs sont fixés comme suit :

(En milliards d’euros)

Sous-objectif

Objectif de dépenses

Dépenses de soins de ville

104,0

Dépenses relatives aux établissements de santé

101,3

Dépenses relatives aux établissements et services pour personnes âgées

15,3

Dépenses relatives aux établissements et services pour personnes handicapées

14,6

Dépenses relatives au fonds d’intervention régional et au soutien national à l’investissement

6,1

Autres prises en charge

3,4

Total

244,8

Objet

Par cet amendement, le Gouvernement propose de rehausser l’ONDAM pour 2023 de 750 M€par rapport au montant figurant dans l’article 106 de la loi n° 2022-1616 du 23 décembre 2022 de financement de la sécurité sociale pour 2023 afin notamment de tirer les conséquences des annonces faites par le Président de la République lors de ses vœux aux acteurs de la santé le 6 janvier 2023 et qui auront un impact sur les dépenses de l’assurance maladie en 2023.

Ce rehaussement permettra de financer jusqu’à la fin de l’année, en parallèle de la poursuite des travaux sur la valorisation des sujétions à l’hôpital et la permanence des soins, la prolongation des mesures d’urgence concernant la rémunération du temps de travail de nuit dans les établissements de santé qui devaient initialement prendre fin au 31 mars 2023. Par ailleurs, cet amendement permet de tenir compte des prévisions de dépenses supplémentaires sur l’ONDAM ville en 2023.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2992 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes JASMIN et LUBIN, M. KANNER, Mmes CONCONNE et FÉRET, M. FICHET, Mme LE HOUEROU, M. JOMIER, Mmes POUMIROL, MEUNIER, ROSSIGNOL et BLATRIX CONTAT, MM. BOURGI, CHANTREL et CARDON, Mme CONWAY-MOURET, MM. DURAIN et LECONTE, Mme MONIER, MM. TEMAL, TISSOT, LUREL, FÉRAUD et MARIE, Mme de LA GONTRIE, MM. RAYNAL et STANZIONE, Mme CARLOTTI, M. REDON-SARRAZY, Mme ARTIGALAS, MM. JACQUIN, ASSOULINE, MÉRILLOU, HOULLEGATTE et LOZACH, Mme VAN HEGHE, M. MAGNER, Mme BONNEFOY, MM. ROGER, MONTAUGÉ, COZIC

et les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 15


Après l'article 15

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

I. Au 3° du I de l’article L. 162-22-10 du code de la sécurité sociale, après le mot : « spécifiques », sont insérés les mots : « , liés notamment à l’éloignement, à l’insularité, aux surcoûts des dépenses de personnel, de maintenance du matériel et de mise au norme des bâtiments ainsi qu’aux sur-dépenses liées à la précarité sanitaire des populations ».

II. – La perte de recettes résultant pour les organismes de sécurité sociale du I est compensée, à due concurrence, par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

Objet

La crise sanitaire a mis en lumière, les difficultés structurelles de l’offre de soin en outre-mer et la sous-dotation généralisée des établissements de santé de ces territoires.

Depuis plusieurs années, nous alertons le gouvernement sur l’urgence de revoir le financement de ces établissements et notamment par la revalorisation des coefficients géographiques.

Car dans tous les départements d’outre-mer, les hôpitaux font face à des surcoûts liés à l’insularité, aux dépenses de personnel, aux frais d’approche (transports et taxes), aux évacuations sanitaires mais également ceux liés à la mise aux normes des bâtiments en matière sismique et cycloniques.

Les coefficients géographiques appliqués dans les outre-mer par la Sécurité sociale aux tarifs nationaux, aux forfaits annuels et à la dotation complémentaire des établissements de santé, bien que majorés par rapport à l’Hexagone (26 % pour la Guadeloupe et la Martinique, 31 % pour La Réunion et la Guyane), ne compensent pas les charges pesant sur les hôpitaux.

C’est ainsi que, chaque fin d’année, une aide exceptionnelle en trésorerie est accordée a posteriori aux établissements de santé.

C’est la raison pour laquelle, en vue d’assurer un financement réaliste et adapté à la situation des Outre-mer, cet amendement du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain propose de préciser les critères sur lesquels reposent les coefficients géographiques.

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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N° 304

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. FÉRAUD


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche AT-MP telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 336

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. PLA


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche AT-MP telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 390

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme FÉRET


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche AT-MP telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 473

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. FICHET


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche AT-MP telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 542

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. GILLÉ


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche AT-MP telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 561

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme VAN HEGHE


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche AT-MP telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 603

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. REDON-SARRAZY


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche AT-MP telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 632

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. DEVINAZ


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche AT-MP telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.

 






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N° 660

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. CHANTREL


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche AT-MP telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 690

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LE HOUEROU


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche AT-MP telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 719

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme BLATRIX CONTAT


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche AT-MP telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 750

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. Mickaël VALLET


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche AT-MP telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 800

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme de LA GONTRIE


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche AT-MP telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 855

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. JACQUIN


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche AT-MP telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 885

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. DURAIN


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche AT-MP telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 922

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. LUREL


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche AT-MP telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 965

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. CARDON


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche AT-MP telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1049

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme Gisèle JOURDA


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche AT-MP telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1120

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. ÉBLÉ


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche AT-MP telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1163 rect. bis

4 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche AT-MP telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.

 



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1196

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme Sylvie ROBERT


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche AT-MP telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1229

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. MÉRILLOU


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche AT-MP telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1297

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. MONTAUGÉ


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche AT-MP telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1332

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme PRÉVILLE


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche AT-MP telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.

 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1395

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. BOURGI


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche AT-MP telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 1402

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. HOULLEGATTE


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche AT-MP telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 1428

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. SUEUR


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche AT-MP telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 1458

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. KERROUCHE


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs Socialistes, écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche AT-MP telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 1489

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme CONWAY-MOURET


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche AT-MP telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 1526

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme Martine FILLEUL


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche AT-MP telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 1532

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. STANZIONE


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche AT-MP proposée par le Gouvernement dans le présent article.
 






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N° 1562

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme MONIER


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche AT-MP telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 1614

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. Joël BIGOT


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche AT-MP telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 1644

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme POUMIROL


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche AT-MP telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.

 






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N° 1683

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme BONNEFOY


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche AT-MP telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 1717

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. BOUAD


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche AT-MP telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 1738

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. LECONTE


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche AT-MP telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 1771

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme MEUNIER


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche AT-MP telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 1784

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. TODESCHINI


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche AT-MP telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 1811

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. JOMIER


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche AT-MP telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1841

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. KANNER


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche AT-MP telle que proposée par le Gouvernement






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1863

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. ASSOULINE


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche AT-MP telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1929

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. Patrice JOLY


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement  vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche AT-MP telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.

 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2009

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme ROSSIGNOL


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche AT-MP telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.

 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2091

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. JEANSANNETAS


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche AT-MP telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2281

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme ESPAGNAC


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche AT-MP telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2290

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. TISSOT


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche AT-MP, telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3198

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

L’article 16 trace les objectifs de dépense de l’AT-MP pour 2023.

Or, les finances de l’AT-MP, excédentaires pour le moment, tiennent compte d’une diminution des cotisations assujetties de 0,12% au profit de la branche vieillesse alors même que le travail s’intensifie et que les accidents du travail augmentent.

Selon les chercheurs Nicolas Dufour, Caroline Diard et Abdel Bencheikh, le taux d’incidence des accidents mortels et non mortels a augmenté de 47% en France entre 2009 et 2017. Selon les chercheurs : « Le taux d’incidence était de 1887 accidents pour 100 000 travailleurs en 2009, il a atteint 3396 accidents par 100 000 travailleurs, soit une évolution de 47% en huit ans », faisant de la France le plus mauvais élève de l’Union Européenne concernant les accidents du travail même en prenant compte des différences de méthode de prise en compte.

Parallèlement, les morts au travail ont augmenté passant de 557 décès à 585 décès entre 2009 et 2017 soit 28 décès supplémentaires et ce alors que tous les autres pays de l’UE voyaient leur nombre de décès diminuer durant la même période. Les Pays-Bas ayant réussi à faire baisser leur taux de décès de 45% en huit ans passant de 1,07 à 0,59 décès par 100 000 travailleurs tandis que la France passait de 2,17 à 2,54 décès par 100 000 travailleurs.

Depuis 2017, le nombre de morts au travail a de nouveau grimpé passant à 719 morts.

De même, selon Santé Publique France en 2018 le taux de mortalité chez les hommes de 55 ans salariés en activités est de 583 pour 100 000 alors qu'il est de 414 pour 100 000 à 50 ans et de 306 pour 100 000 à 45 ans. Cela marque un accroissement des risques et une baisse du taux de résistance à ces risques au fil des années pour les travailleurs.

Toutes les catégories ne sont pas touchées de façon similaires, la même étude de Santé Publique France démontrait une surprévalence des cardiopathies et des tumeurs malignes chez les ouvriers.

Selon la DARES en 2019, les ouvriers et les employés concentrent la quasi-totalité des maladies professionnelles reconnues l’année 2016 pour les salariés hors régime agricole.

Les maladies les plus graves concernent quasi exclusivement les ouvriers. Ces ouvriers qui, exposé à des produits chimiques dangereux, vont gonfler les rangs des malades atteints de cancers une fois à leur retraite sinon bien avant. Comme le démontrait l’enquête du GISCOP 93 (Groupement d’intérêt scientifique sur les cancers d’origine professionnelle en Seine-Saint-Denis) dans les hôpitaux de Seine-Saint-Denis, « La majorité des personnes exposées aujourd’hui aux cancérogènes professionnels sont des ouvriers » et chez les hommes, neuf patients sur dix atteint d’un cancer ont été exposés à au moins un cancérogène au cours de la vie professionnelle.

Ces données alarmantes devraient suffire à stopper toute ponction sur l’AT-MP et à questionner en profondeur les raisons de l’excédent actuel. Elles remettent en cause la trajectoire de dépenses, même à court termes, de l’AT-MP et plaident pour une augmentation massive des actions de prévention et de réduction des risques notamment des dispositifs de prévention des risques psychosociaux. C’est pourquoi cet amendement se propose de supprimer l’article 16 du PLFRSS.






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N° 4061 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 16


Supprimer cet article.

Objet

Les membres du groupe CRCE proposent la suppression de cet article qui ne revalorise pas en 2023, le plafond de dépense de branche accidents du travail et maladies professionnelles alors même qu’une part de ses dépenses va servir à abonder le fonds d’usure professionnel créé par le présent projet de loi. La branche AT-PM serait dont ponctionnée, sans trop d’effet cette année, mais les auteurs, ne peuvent que sanctionner par cet amendement, le Gouvernement qui procède à des mouvements entre branche à défaut de trouver de nouveaux financements ou d’élargir l’assiette de financement actuel.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2184

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C
G Favorable
Adopté - vote unique

Mme DOINEAU et M. SAVARY

au nom de la commission des affaires sociales


ARTICLE 16


Compléter cet article par le mot :

sociale

Objet

Rédactionnel.






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N° 305

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. FÉRAUD


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche Famille telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 337

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. PLA


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche Famille telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 391

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme FÉRET


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche Famille telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 474

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. FICHET


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche Famille telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 543

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. GILLÉ


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche Famille telle que proposée par le Gouvernement dans cet article






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 562

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme VAN HEGHE


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche Famille telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.

 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 604

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. REDON-SARRAZY


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche Famille telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 633

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. DEVINAZ


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche Famille telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 661

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. CHANTREL


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs et sénatrices socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche Famille telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.

 






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 691

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LE HOUEROU


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche Famille telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 720

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme BLATRIX CONTAT


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche Famille telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 751

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. Mickaël VALLET


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche Famille telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 801

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme de LA GONTRIE


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche Famille telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 856

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. JACQUIN


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche Famille telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.

 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 886

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. DURAIN


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche Famille telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 923

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. LUREL


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche Famille telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 966

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. CARDON


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche Famille telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1003

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. RAYNAL


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche Famille telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1050

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme Gisèle JOURDA


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche Famille telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1121

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. ÉBLÉ


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche Famille telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1164 rect. bis

4 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme LUBIN


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche Famille telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1197

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme Sylvie ROBERT


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche Famille telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1230

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. MÉRILLOU


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche Famille telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1236

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. HOULLEGATTE


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche Famille telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1298

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. MONTAUGÉ


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche Famille telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1333

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme PRÉVILLE


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche Famille telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1396

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. BOURGI


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche Famille telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1429

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. SUEUR


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche Famille telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1459

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. KERROUCHE


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs Socialistes, écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche Famille telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1490

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme CONWAY-MOURET


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche Famille telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1527

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme Martine FILLEUL


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche Famille telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1533

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. STANZIONE


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche Famille telle que proposée dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1563

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme MONIER


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche Famille telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1615

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. Joël BIGOT


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche Famille telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1645

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme POUMIROL


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche Famille telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1684

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme BONNEFOY


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche Famille telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1718

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. BOUAD


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche Famille telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1739

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. LECONTE


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche Famille telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1772

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme MEUNIER


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche Famille telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1785

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. TODESCHINI


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche Famille telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1812

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. JOMIER


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche Famille telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1842

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. KANNER


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche Famille telle que proposée par le Gouvernement dans l'article 17 de ce projet de loi.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1864

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. ASSOULINE


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche Famille telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1930

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. Patrice JOLY


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche Famille telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2010

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme ROSSIGNOL


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche Famille telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 2092

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. JEANSANNETAS


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche Famille telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2282

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme ESPAGNAC


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche Famille telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2291

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. TISSOT


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation de l’objectif de dépense de la branche Famille, telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3209

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Cet article – obligatoire dans un budget de la Sécurité sociale rectificatif – maintient le plafond des dépenses de la branche Famille pour l’année 2023.

Nous avions déjà souligné l’urgence, durant l’examen du PLFSS pour 2023, de revaloriser les prestations de la branche famille pour une utilisation conforme aux missions de la branche.

Par cet amendement de suppression, nous souhaitons alerter sur les besoins non couverts de la branche famille.

En effet, les mesures de la branche famille devraient être justifiées par la lutte contre la pauvreté des familles et des enfants ou par la conciliation entre vie professionnelle et vie familiale. Rappelons qu’en France un enfant sur cinq – soit près de trois millions – est pauvre.

De plus, quatre enfants sur dix ne bénéficient pas d’un mode d’accueil (chiffres UNAF).

Il y a donc beaucoup de chantiers à ouvrir pour la branche famille que permettraient ses excédents sans oublier la nécessité de rouvrir des embauches pour restaurer la qualité de service dégradée par la restitution des emplois exigée par la Convention d’objectifs et de Gestion (COG) qui se termine.

De surcroît, rien n’empêche de prévoir la revalorisation du congé parental dont le forfait ridiculement bas n’a pas permis au deuxième parent – en fait le père – d’en bénéficier, générant une économie de près d’un milliard à la CNAF : il est des excédents non vertueux qui assigne encore les femmes au travail « reproductif ».

Comme d’envisager à terme une nouvelle prolongation du congé paternité car « à l’arrivée des enfants, pour concilier vie privée et vie professionnelle, les femmes sont toujours plus nombreuses que les hommes à interrompre leur activité ou à réduire leur temps de travail : en 2020, celles qui travaillent sont trois fois plus souvent à temps partiel que les hommes ».

Cet amendement de suppression vise donc à souligner l’urgence de revaloriser les prestations de la branche famille pour une utilisation conforme aux missions de la branche.






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N° 4062 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 17


Supprimer cet article.

Objet

Les membres du groupe CRCE demandent la suppression de cet article qui porte sur le plafond de dépense de la branche famille. Un rehaussement apparait absolument indispensable pour financer les droits nouveaux et non contributifs de justices sociales que les auteurs de cet amendement entendent porter dans l’ensemble du débat et notamment l’accroissement de la majoration de trimestre pour les femmes, ainsi qu’une majoration en valeur, pour chaque enfant.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 306

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. FÉRAUD


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Autonomie telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 338

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. PLA


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Autonomie telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 392

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme FÉRET


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Autonomie telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 476

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. FICHET


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Autonomie telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 544

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. GILLÉ


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Autonomie telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 563

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme VAN HEGHE


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Autonomie telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 605

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. REDON-SARRAZY


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Autonomie telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 634

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. DEVINAZ


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Autonomie telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 662

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. CHANTREL


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs et sénatrices socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Autonomie telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 692

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LE HOUEROU


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Autonomie telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 721

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme BLATRIX CONTAT


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Autonomie telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 752

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. Mickaël VALLET


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Autonomie telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 802

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme de LA GONTRIE


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Autonomie telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 857

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. JACQUIN


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Autonomie telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 887

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. DURAIN


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Autonomie telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 924

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. LUREL


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement  vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Autonomie telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 967

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. CARDON


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Autonomie telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1004

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. RAYNAL


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Autonomie telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1051

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme Gisèle JOURDA


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Autonomie telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1122

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. ÉBLÉ


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Autonomie telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1165 rect. bis

4 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Autonomie telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1198

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme Sylvie ROBERT


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Autonomie telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1231

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. MÉRILLOU


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Autonomie telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1262

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. HOULLEGATTE


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Autonomie telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1299

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. MONTAUGÉ


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Autonomie telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1334

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme PRÉVILLE


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Autonomie telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1397

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. BOURGI


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Autonomie telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1430

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. SUEUR


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Autonomie telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1491

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme CONWAY-MOURET


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Autonomie telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1528

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme Martine FILLEUL


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Autonomie telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1534

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. STANZIONE


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter le projet gouvernemental de rectification de l’objectif de dépense de la branche Autonomie tel que proposé dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1564

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme MONIER


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Autonomie telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1616

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. Joël BIGOT


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Autonomie telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1646

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme POUMIROL


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Autonomie telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1685

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme BONNEFOY


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Autonomie telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1719

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. BOUAD


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Autonomie telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1740

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. LECONTE


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Autonomie telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1773

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme MEUNIER


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Autonomie telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1786

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. TODESCHINI


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Autonomie telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1813

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. JOMIER


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs Socialistes Ecologistes et Républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Autonomie telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1843

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. KANNER


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Autonomie telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 1865

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. ASSOULINE


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Autonomie telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 1931

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. Patrice JOLY


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Autonomie telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.

 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2011

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme ROSSIGNOL


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Autonomie telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2093

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. JEANSANNETAS


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Autonomie telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2283

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme ESPAGNAC


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Autonomie telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2292

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. TISSOT


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Autonomie, telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3210

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Cet article – obligatoire dans un budget de la Sécurité sociale rectificatif – vient corriger le plafond des dépenses de la branche Autonomie pour l’année 2023. Par cet amendement, nous souhaitons signifier que le budget ici proposé est insuffisant aux besoins.

Consulté pour avis à propos du PLFRSS pour 2023, le Conseil de la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie (CNSA) a émis un avis défavorable. Selon la CNSA, « une grande loi autonomie s’avère nécessaire pour répondre aux besoins des personnes âgées, des personnes en situation de handicap et de leurs proches pour les prochaines années ».

L’accélération du vieillissement de la population est concomitante du peu de progrès pour prévenir la perte d’autonomie car si l’espérance de vie augmente, l’espérance de vie en bonne santé ne connaît que des évolutions modestes, bien qu’encore positives mais réparties très inégalement selon les catégories professionnelles et les territoires. Selon l’INSEE en 2050, 4 millions de séniors seront en situation de perte d’autonomie.

De plus, selon une étude menée par l’observatoire Evrest, spécialisé dans l’étude des évolutions et santé au travail, après 60 ans, la moitié des ouvriers et des employés doutent que leur état de santé leur permette, à horizon de deux ans, de poursuivre leur travail actuel. Et l’on sait par d’autres travaux scientifiques que ces doutes sont souvent fondés et laissent présager la survenue d’incapacités.

Dans son avis motivé, le Conseil de la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie (CNSA) souhaite alerter « sur l’impact potentiel d’un allongement de la durée du travail sur l’équilibre des autres branches, en particulier pour les professions présentant un niveau élevé de pénibilité, si cette dernière n’était pas bien prise en compte. Ils rappellent à ce titre les conclusions de l’INSEE et de l’observatoire des inégalités sur l’existence de différences d’espérance de vie en bonne santé entre les catégories sociales et la nécessité de lutter contre ces inégalités ».

Le présent projet de loi affectera particulièrement les métiers du secteur de l’autonomie. Le secteur de l’autonomie en établissement et à domicile, est particulièrement exposé à la pénibilité et à l’usure, y compris psychologique, et aux difficultés de maintien dans l’emploi pour les séniors. Les conclusions du rapport remis par Myriam El Khomri relatif au plan de mobilisation nationale en faveur de l’attractivité des métiers du grand-âge démontrent que ce secteur est affecté par la dégradation des conditions de travail et présente un taux d’accidents du travail / maladie professionnelle et d’absentéisme parmi les plus élevés. En outre, les métiers de l’autonomie sont aussi des métiers fortement féminisés et qui conduisent bien souvent à des carrières hachées et à de faibles salaires.

Enfin, dans son avis motivé, le Conseil de la CNSA explique : « Concernant le financement de l’AVA, les membres du conseil s’inquiètent de l’absence de compensation de cette réforme qui représente pour la branche un coût évalué à 140 M € par an. Ils appellent à ce que ces dépenses soient compensées par de nouvelles recettes ». 

Pour toutes ces raisons, nous proposons de supprimer cet article 18.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 4063 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 18


Supprimer cet article.

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent la suppression de cet article, qui fixe l'objectif de dépense pour la branche autonomie. Sans financement « autonome », sans ressources propres, le défi d’une véritable politique publique de la dépendance ne peut être menée notamment au regard des besoins de financement des Ehpad. Les besoins de recettes supplémentaires sont connues et documentés dans le rapport Libault rendu en 2019.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(n° 368 , 375 , 373)

N° 3242

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 18


Après l'article 18

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Dans un délai d’un an à compter de la publication de la présente loi, le Gouvernement présente au Parlement un rapport sur la trajectoire financière (dépenses / ressources) de la branche autonomie d’ici à 2030 et des propositions pour affecter progressivement de nouvelles ressources publiques au financement durable de cette branche et garantir ainsi la pérennité des financements destinés au fonctionnement et à l’investissement de l’ensemble des dispositifs/mesures du secteur médico-social.

Objet

Au-delà de l’affectation d’une part de CSG à compter de 2024, l’évolution démographique certaine liée au vieillissement de la population d’ici à 2030 (augmentation de 2,6 millions du nombre de personnes de plus 75 ans) impose de programmer l’affectation de ressources publiques nouvelles destinées à soutenir la croissance des besoins de la branche autonomie.

Le rapport de Laurent Vachey (2020) comme celui remis par la CNSA en application de l’article 33 de la loi de financement de la sécurité sociale pour 2021 ont dessiné des pistes pour permettre la programmation des ressources nouvelles nécessaires pour soutenir sur le long terme les politiques publiques en faveur de l’autonomie.

Il est donc proposé que le gouvernement remette au Parlement, dans les 12 mois de la publication de la LFSS 2022, un rapport proposant des mesures de financement pour soutenir une loi d’orientation sur le grand âge et l’autonomie et garantir un haut niveau d’investissement dans le secteur médico-social et social.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 307

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. FÉRAUD


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation des prévisions des charges des organismes concourant au financement des régimes obligatoires FSV) telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 339

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. PLA


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation des prévisions des charges des organismes concourant au financement des régimes obligatoires FSV) telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 393

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme FÉRET


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation des prévisions des charges des organismes concourant au financement des régimes obligatoires (FSV) telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 477

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. FICHET


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation des prévisions des charges des organismes concourant au financement des régimes obligatoires FSV) telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 545

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. GILLÉ


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation des prévisions des charges des organismes concourant au financement des régimes obligatoires FSV) telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 564

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme VAN HEGHE


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation des prévisions des charges des organismes concourant au financement des régimes obligatoires FSV) telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.

 






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N° 606

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. REDON-SARRAZY


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation des prévisions des charges des organismes concourant au financement des régimes obligatoires FSV) telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 635

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. DEVINAZ


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation des prévisions des charges des organismes concourant au financement des régimes obligatoires FSV) telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 663

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. CHANTREL


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs et sénatrices socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation des prévisions des charges des organismes concourant au financement des régimes obligatoires FSV) telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 693

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LE HOUEROU


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation des prévisions des charges des organismes concourant au financement des régimes obligatoires FSV) telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 722

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme BLATRIX CONTAT


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation des prévisions des charges des organismes concourant au financement des régimes obligatoires FSV) telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 753

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. Mickaël VALLET


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation des prévisions des charges des organismes concourant au financement des régimes obligatoires (FSV) telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 803

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme de LA GONTRIE


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation des prévisions des charges des organismes concourant au financement des régimes obligatoires FSV) telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 858

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. JACQUIN


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation des prévisions des charges des organismes concourant au financement des régimes obligatoires FSV) telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 888

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. DURAIN


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation des prévisions des charges des organismes concourant au financement des régimes obligatoires FSV) telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 925

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. LUREL


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement  vise à rejeter la confirmation des prévisions des charges des organismes concourant au financement des régimes obligatoires FSV) telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 968

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. CARDON


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation des prévisions des charges des organismes concourant au financement des régimes obligatoires FSV) telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1052

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme Gisèle JOURDA


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation des prévisions des charges des organismes concourant au financement des régimes obligatoires FSV) telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1123

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. ÉBLÉ


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation des prévisions des charges des organismes concourant au financement des régimes obligatoires FSV) telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1166 rect. bis

4 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme LUBIN


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation des prévisions des charges des organismes concourant au financement des régimes obligatoires (FSV) telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1199

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme Sylvie ROBERT


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation des prévisions des charges des organismes concourant au financement des régimes obligatoires FSV telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1232

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. MÉRILLOU


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation des prévisions des charges des organismes concourant au financement des régimes obligatoires FSV) telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1264

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. HOULLEGATTE


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation des prévisions des charges des organismes concourant au financement des régimes obligatoires FSV) telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1300

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. MONTAUGÉ


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation des prévisions des charges des organismes concourant au financement des régimes obligatoires FSV) telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1335

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme PRÉVILLE


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation des prévisions des charges des organismes concourant au financement des régimes obligatoires FSV) telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.








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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1398

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. BOURGI


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation des prévisions des charges des organismes concourant au financement des régimes obligatoires FSV) telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1431

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. SUEUR


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation des prévisions des charges des organismes concourant au financement des régimes obligatoires (FSV) telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1460

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. KERROUCHE


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs Socialistes, écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation des prévisions des charges des organismes concourant au financement des régimes obligatoires (FSV), telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1492

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme CONWAY-MOURET


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation des prévisions des charges des organismes concourant au financement des régimes obligatoires FSV telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1529

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme Martine FILLEUL


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation des prévisions des charges des organismes concourant au financement des régimes obligatoires FSV) telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1537

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. STANZIONE


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation des prévisions des charges des organismes concourant au financement des régimes obligatoires FSV telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1565

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme MONIER


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation des prévisions des charges des organismes concourant au financement des régimes obligatoires FSV) telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1617

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. Joël BIGOT


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation des prévisions des charges des organismes concourant au financement des régimes obligatoires FSV) telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1647

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme POUMIROL


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation des prévisions des charges des organismes concourant au financement des régimes obligatoires FSV) telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.

 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1686

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme BONNEFOY


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation des prévisions des charges des organismes concourant au financement des régimes obligatoires FSV) telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1720

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. BOUAD


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation des prévisions des charges des organismes concourant au financement des régimes obligatoires FSV telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1741

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. LECONTE


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation des prévisions des charges des organismes concourant au financement des régimes obligatoires FSV telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1774

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme MEUNIER


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation des prévisions des charges des organismes concourant au financement des régimes obligatoires FSV) telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1787

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. TODESCHINI


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation des prévisions des charges des organismes concourant au financement des régimes obligatoires FSV) telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1814

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. JOMIER


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation des prévisions des charges des organismes concourant au financement des régimes obligatoires (FSV) telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1844

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. KANNER


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation des prévisions des charges des organismes concourant au financement des régimes obligatoires FSV telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1866

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. ASSOULINE


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation des prévisions des charges des organismes concourant au financement des régimes obligatoires FSV telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1932

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. Patrice JOLY


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation des prévisions des charges des organismes concourant au financement des régimes obligatoires FSV) telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.

 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2012

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme ROSSIGNOL


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation des prévisions des charges des organismes concourant au financement des régimes obligatoires FSV) telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 2094

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. JEANSANNETAS


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la confirmation des prévisions des charges des organismes concourant au financement des régimes obligatoires FSV) telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2284

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme ESPAGNAC


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation des prévisions des charges des organismes concourant au financement des régimes obligatoires (FSV) telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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PLFRSS pour 2023

(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2293

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. TISSOT


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la confirmation des prévisions des charges des organismes concourant au financement des régimes obligatoires FSV, telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3212

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Cet article – obligatoire dans un budget de la Sécurité sociale rectificatif – maintient le plafond des dépenses du Fonds de solidarité vieillesse (FSV) pour l’année 2023.

Le Fonds de solidarité vieillesse finance notamment les dépenses liées à la prise en charge de prestations comme les allocations du minimum vieillesse aux personnes âgées, pour tous les régimes de retraite qui en assurent le service.

Selon la DREES, en 2019, les allocataires du minimum vieillesse vivent plus souvent seuls (75 %) que les personnes de 60 ans ou plus dans l’ensemble de la population (35 %). La majorité des allocataires sont des femmes (56 %). Elles sont surreprésentées dans les tranches d’âge élevées, du fait de leur longévité et de leurs pensions de retraite souvent plus faibles que celles des hommes. L’âge moyen des allocataires est de 74 ans.

Le Fonds de solidarité vieillesse finance également les dépenses liées à la prise en charge, sur des bases forfaitaires, de cotisations de retraite, au titre de la validation gratuite des périodes non travaillées en cas de chômage (principalement pour le Régime général et pour les salariés agricoles).

Le recul de l’âge de l’ouverture des droits à la retraite risque de creuser davantage les inégalités, et d’allonger le sas de précarité entre emploi et retraite. En effet, la réforme de 2010, en repoussant l’âge légal de départ à la retraite de 60 à 62 ans et l’âge du taux plein de 65 à 67 ans, a contraint de nombreuses personnes, notamment des ouvriers qui ont commencé à travailler jeunes et des femmes qui ont interrompu leur carrière, à demeurer plusieurs années au chômage avant de pouvoir prendre leur retraite. Michael Zemmour, économiste, avance que pour les ouvriers et plus encore les ouvrières, l’allongement du sas de précarité entre emploi et retraite est « l’effet le plus important de la réforme ». En 2019, à 61 ans le taux d’emploi des ouvrier.e.s est de seulement 28 % tandis que le taux d’ouvrier.e.s ni en emploi ni en retraite est de 35 %.

Selon l’INSEE, en 2017, le relèvement de 2 ans de l’AOD lors de la réforme de 2010 s’est traduit par une hausse de 14 points du taux d’emploi à 60 ans, de 13 points du taux de chômage, et de 7 points pour l’invalidité/maladie. Même les cadres ne sont pas épargnés, selon une étude de l’APEC en 2022 : 81 % des 112 000 cadres de plus de 55 ans au chômage ont été licenciés.

Ainsi, le présent projet de loi risque d’augmenter, pour le FSV, les dépenses liées à la prise en charge, sur des bases forfaitaires, de cotisations de retraite, au titre de la validation gratuite des périodes non travaillées en cas de chômage.

Par cet amendement de suppression, nous souhaitons alerter sur l’impact du présent projet de loi sur le Fonds de solidarité vieillesse.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4064 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 19


Supprimer cet article.

Objet

Les membres du groupe CRCE souhaitent s’opposer aux prévisions de charges du Fonds de solidarité vieillesse (FSV) censé traduire notamment les revalorisations du Smic par rapport à 2022 réelles, mais insuffisante selon les auteurs. Cet article tend également à mettre en exergue le coût des prestations non-contributives versées aux assurés sociaux. En effet, le travailleur au chômage est un travailleur disponible qui a cotisé et qui bénéficie de l’assurance de ce risque social. Il n’est pas en ce sens « dépendant du FSV » et ne représentent pas une « charge » pour lui, sinon à penser qu’il faut relever le niveau des cotisations…



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 308

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. FÉRAUD


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Vieillesse telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 340

26 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. PLA


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Vieillesse telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 394

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme FÉRET


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Vieillesse telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 478

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. FICHET


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Vieillesse telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 546

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. GILLÉ


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Vieillesse telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 565

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme VAN HEGHE


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Vieillesse telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.

 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 607

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. REDON-SARRAZY


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Vieillesse telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 636

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. DEVINAZ


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Vieillesse telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 664

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. CHANTREL


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Vieillesse telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 694

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LE HOUEROU


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Vieillesse telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 723

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme BLATRIX CONTAT


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Vieillesse telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 754

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. Mickaël VALLET


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Vieillesse telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 804

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme de LA GONTRIE


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Vieillesse telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 859

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. JACQUIN


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Vieillesse telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 889

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. DURAIN


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Vieillesse telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 926

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. LUREL


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Vieillesse telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 969

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. CARDON


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Vieillesse telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1053

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme Gisèle JOURDA


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Vieillesse telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1124

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. ÉBLÉ


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Vieillesse telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1167 rect. bis

4 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme LUBIN


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Vieillesse telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1200

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme Sylvie ROBERT


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Vieillesse telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1233

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. MÉRILLOU


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Vieillesse telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.

 






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1265

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. HOULLEGATTE


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Vieillesse telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1301

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. MONTAUGÉ


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Vieillesse telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1336

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme PRÉVILLE


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Vieillesse telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1399

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. BOURGI


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Vieillesse telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1432

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. SUEUR


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Vieillesse telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1461

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. KERROUCHE


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs Socialistes, écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Vieillesse telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1493

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme CONWAY-MOURET


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Vieillesse telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1530

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme Martine FILLEUL


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Vieillesse telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1536

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. STANZIONE


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter le projet de rectification de l’objectif de dépense de la branche Vieillesse tel que proposé par le Gouvernement dans le présent article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1566

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme MONIER


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Vieillesse telle que proposée par le Gouvernement dans cet article






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1618

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. Joël BIGOT


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Vieillesse telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1648

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme POUMIROL


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Vieillesse telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 1687

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme BONNEFOY


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Vieillesse telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 1721

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. BOUAD


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Vieillesse telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1742

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. LECONTE


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Vieillesse telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 1775

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mme MEUNIER


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Vieillesse telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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N° 1788

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. TODESCHINI


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Vieillesse telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1815

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. JOMIER


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Vieillesse telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 1845

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. KANNER


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche prévu à l'article 20 du projet de loi.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1867

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. ASSOULINE


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Vieillesse telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 1933

27 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. Patrice JOLY


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Vieillesse telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2013

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme ROSSIGNOL


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Vieillesse telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.

 






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(n° 368 , 375 , 373)

N° 2095

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

M. JEANSANNETAS


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement des sénateurs socialistes écologistes et républicains vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Vieillesse telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2285

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G  
Non soutenu

Mme ESPAGNAC


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Vieillesse telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 2294

28 février 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

M. TISSOT


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

Cet amendement vise à rejeter la rectification de l’objectif de dépense de la branche Vieillesse, telle que proposée par le Gouvernement dans cet article.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3199

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

L’article 20 du PLFRSS fixe la trajectoire des dépenses de la branche vieillesse à 273,2 milliards d’euros. Cette trajectoire tient compte des premiers gains attendus du report de l’AOD de 62 à 64 ans.

Pourtant, elle ne tient pas compte des externalités négatives à court terme.

Selon l’OFCE, à l’horizon de 10 ans, la réforme se traduira par une augmentation du chômage de 0,9% et une contraction des salaires de 3% et du pouvoir d’achat de 1,3% avec une baisse de l’activité de 0,1 point de PIB. La baisse des cotisations sociales qui découlera de ces externalités annulent en partie les gains attendus par le gouvernement.

L’étude d’impact, le rapport du gouvernement ou l’annexe ne tenant pas compte de ces données macroéconomiques, la trajectoire affichée semble biaisée.

De la même manière, le HCFP (Haut Conseil des finances publiques ) lui-même, qui a évalué les coûts des mesures sociales plus exactement « d’atténuation de la brutalité de la réforme des retraites » à très court terme, établit qu’elle devrait couter 600 millions d’euros. Le plus gros du montant viendrait de la hausse annoncée du minimum contributif (y compris pour les retraités actuels), estimée à 400 millions, tandis que les mesures sur la pénibilité pèseront 100 millions et celles en faveur des transitions emploi-retraite 100 millions également.

Mais le Haut Conseil a déclaré également que « Compte tenu du caractère incomplet des informations qui lui ont été transmises par le Gouvernement, le Haut Conseil n’est pas en mesure d’évaluer l’incidence de moyen terme de la réforme des retraites sur les finances publiques. ». Or le caractère incomplet des informations entoure aussi le Minimum Contributif dont il a été très difficile d’estimer les réels bénéficiaires et le montant.

Passant de 200 000 bénéficiaires des nouveaux retraités dans le Rapport remis par le gouvernement pour une revalorisation de « zéro à 100 euros » puis à 40 000 qui prétendument toucheraient plus de 70 euros en fait moins de 20 % des 200 000 puis à un peu plus de 13 000 qui auraient le jackpot des 100 euros, le nombre de bénéficiaires n’a cessé de valser et de chuter et il est dès lors très difficile de savoir qui, parmi les personnes partant à la retraite seront vraiment bénéficiaires du dispositif et pour quel montant.

Dès lors la trajectoire établit dans cet article 20 semble non fondée.

En conséquence, cet amendement se propose de supprimer l’article 20.






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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 4065 rect.

2 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes ASSASSI, APOURCEAU-POLY et COHEN, MM. BACCHI et BOCQUET, Mmes BRULIN et CUKIERMAN, M. GAY, Mme GRÉAUME, MM. LAHELLEC et Pierre LAURENT, Mme LIENEMANN, M. OUZOULIAS, Mme VARAILLAS et M. SAVOLDELLI


ARTICLE 20


Supprimer cet article.

Objet

Les membres du groupe CRCE s’opposent à la réformes des retraites et ne peuvent par cohérence que s’opposer à l’objectif de dépenses de la branche vieillesse.



NB :La présente rectification porte sur la liste des signataires.





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(1ère lecture)

(n° 368 , 375 , 373)

N° 3345

1 mars 2023


 

AMENDEMENT

présenté par

C Défavorable
G Défavorable
Rejeté - vote unique

Mmes PONCET MONGE et Mélanie VOGEL, MM. BENARROCHE, BREUILLER et DANTEC, Mme de MARCO et MM. DOSSUS, FERNIQUE, GONTARD, LABBÉ, PARIGI et SALMON


ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 20


Après l'article 20

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

La présente loi ne s’applique pas dans les collectivités d’outre-mer régies par les articles 73 et 74 de la Constitution.

Objet

Par cet amendement de repli, notre groupe entend ne pas appliquer la réforme des retraites dans les collectivités d'Outre-mer.

La réforme des retraites imposée par le Gouvernement et ses tragiques conséquences sociales auront d'autant plus d'impact pour nos concitoyens ultramarins qui sont d'ores et déjà dans une situation socio-économique inacceptable, du fait de nombreuses inégalité structurelles et structurantes. Notre opposition à l'application de cette réforme est donc d'autant plus forte dans ces collectivités.

Dans les Outre-mer, l'âge moyen de départ à la retraite est déjà plus tardif, entre 64,3 ans à La Réunion et 65 ans en Guyane, contre 62,7 ans dans l'hexagone (CNAV, 2021). Ce n'est pas pour le plaisir, mais bien pour ne pas partir avec des pensions trop faibles que ces départs sont plus tardifsdu fait de carrières moins stables que dans l'hexagone (interruptions de carrière plus nombreuses, emploi informel). L'entrée tardive en activité s'explique également par le fort taux de chômage chez les jeunes : en Guadeloupe près d'un actif de moins de 30 ans sur deux est au chômage (47%), non loin devant La Réunion (42%) selon l'INSEE en 2019.

La difficulté à accumuler le nombre de points nécessaires pour une carrière complète est d'autant plus dommageable face à la plus faible espérance de vie des populations ultra-marines. L'espérance de vie à la naissance en 2021 pour les femmes est de 73,9 ans à Mayotte, 80 en Guyane, jusqu'à 83,4 à La Réunion contre 85,5 ans dans l'hexagone. Pour les hommes, entre 68,1 ans à Wallis et Futuna, 72,9 ans en Guadeloupe et jusqu'à 76,7 ans à La Réunion, contre 79,5 ans dans l'hexagone. La faible espérance de vie à 60 ans se double d'une majorité d'années en mauvaise santé dans ces collectivités.

Suite logique, les pensions y sont plus faibles que dans l'hexagone. Un retraité ultramarin touche en moyenne une pension inférieure de 10% à 17% à un senior de l'hexagone. Cela est aussi dû au fait que les emplois y sont moins qualifiés (ouvriers et employés). Les natifs réunionnais perçoivent les pensions de retraite les plus faibles et inégalitaires de la République, 1160€ brut/mois soit 28% de moins que dans l'hexagone. Pire, les femmes réunionnaises touchent en moyenne 1060€ brut/mois.

La présente réforme des retraites va aggraver ces inégalités préexistantes entre les Outre-mer et l'hexagone. La grande pauvreté, couplant pauvreté monétaire et privations matérielles et sociales sévères, y est 5 à 15 fois plus fréquente (INSEE, 2022) et elle touche entre 9% (Martinique) et 15% (Guyane) des retraités ultra-marins contre 1% dans l'hexagone. Alors que la population y vieillit déjà plus rapidement, la présente réforme des retraites va aggraver les situations de pauvreté et de précarité des retraités ultramarins, en reculant encore l'âge de départ et la durée de cotisations.

Reculer l'âge de départ à la retraite dans ces collectivités, c'est condamner ces populations à travailler jusqu'à la mort, c'est ne leur faire rien connaître de plus que la précarité et le travail, et y aggraver la surmortalité.