Au cours de l’année 2011, les activités du groupe d’amitié France-Indonésie, présidé par Mme Catherine Procaccia (UMP-Val-de-Marne), se sont intensifiées, contribuant ainsi au resserrement des relations avec ce pays.

Ainsi, le 8 juin, les membres du groupe ont été reçus par le nouvel ambassadeur d’Indonésie en France, M. Rezlan Ishar Jenie, pour un dîner de travail dans les locaux de sa résidence. Il a permis de procéder à un échange de vues sur la relation bilatérale entre la France et l’Indonésie. Les discussions ont également porté sur le rôle de l’Indonésie au sein de l’Association des Nations du Sud-Est asiatique (ASEAN) dont elle a assuré la présidence tournante en 2011, sur le sommet des non-alignés qui s’est tenu à Bali au mois de mai de cette même année ainsi que sur les problèmes environnementaux et de transports résultant de la croissance économique de l’Indonésie.

Par ailleurs, le 22 juin, le groupe d’amitié a rencontré au Sénat six journalistes indonésiens, en visite en France à l’invitation du Quai d’Orsay. Ces journalistes, employés par des quotidiens nationaux à grand tirage, souhaitaient obtenir des informations sur la situation politique en France et sur la relation bilatérale franco-indonésienne, afin de couvrir dans les meilleures conditions le voyage du Premier ministre François Fillon en Indonésie, prévu à la fin du mois de juin, et auquel Mme Catherine Procaccia a été conviée. Les membres du groupe d’amitié ont saisi l’occasion de cette rencontre pour insister auprès des journalistes présents sur l’importance d’une meilleure connaissance mutuelle entre les deux pays et sur la nécessité d’échanges réguliers, au plus haut niveau, entre dirigeants français et indonésiens.

Le 12 juillet, le groupe d’amitié a également reçu une délégation composée de dix-huit membres de l’assemblée régionale de Java-Est, chargée d’une étude comparée sur le fonctionnement du service public de l’éducation dans différents pays. Cette délégation était conduite par M. Sabron Djamil Pasaribu, président de la commission en charge de l’éducation. En s’appuyant sur leur expérience d’élus locaux, les sénateurs ont expliqué à leurs interlocuteurs comment était organisé le système français d’éducation, en insistant sur la répartition des compétences entre l’Etat et les collectivités territoriales et sur la nécessaire coordination de leurs actions.

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