B. DES PROBLÈMES RÉCURRENTS

1. Un endettement problématique
a) Une situation financière on ne peut plus fragile

L'année 2015 a été particulièrement difficile pour l'AFP , avec un niveau de chiffre d'affaires, hors dotation de l'État, plus faible qu'envisagé (172 millions d'euros de produits commerciaux contre 174,2 millions d'euros en 2014) et une marge d'exploitation en recul de 1,3 million d'euros à 12,8 millions d'euros. Le résultat net, négatif pour la troisième année consécutive, s'établit à 4,9 millions d'euros . Le contrat d'objectifs et de moyens est, sur ce point, loin d'être rempli.

Ce résultat est le reflet de l' attrition inévitable du chiffre d'affaires réalisé en France compte tenu de l'érosion constante du marché de la presse, accentué en 2015 par la perte du contrat photographique avec Le Point pour 400 000 euros.

La majorité des clients traditionnels de l'Agence que sont les éditeurs de presse, qui représentent 31 % de son chiffre d'affaires, rencontrent de graves difficultés économiques en raison de l'érosion continue du marché de l'information et des recettes publicitaires afférentes. Dès lors, comme le déplorait Emmanuel Hoog, président-directeur général de l'AFP lors de son audition, la paupérisation généralisée de la presse entraîne des négociations contractuelles de moins en moins favorables aux fournisseurs de contenus , agences de presse en tête : les délais de paiement s'allongent et les nouveaux contrats se négocient à la baisse ou prévoient, à coût constant, la fourniture de services supplémentaires. Or, le fil français en France représente, pour l'Agence, le seul créneau d'activité non concurrentiel.

Les perspectives sont également incertaines pour la production francophone hors de France , qui a enregistrée une diminution de chiffre d'affaires de 7 % en 2015, dont - 11 % pour le texte et - 12 % pour les contenus en ligne, heureusement contrebalancé par une croissance de 36 % de la vidéo, portée notamment par le développement de la TNT en Afrique.

Chiffre d'affaires des produits en français
(texte, vidéo, infographie, vidéographie) hors de France

Source : Rapport d'activité 2015 du conseil supérieur de l'AFP

La forte décroissance sur le texte en français est expliquée en grande partie par la perte, fin 2014, d'un contrat important avec l'Agence italienne ANSA, qui lui a préféré Reuters. Des contrats avec Bloomberg et le Dow Jones ont également été perdus par l'Agence, pour un total d'environ 1,5 million d'euros.

En revanche, les chaînes de télévision (29 % du chiffre d'affaires) demeurent un segment dynamique grâce au développement de l'offre vidéo de l'Agence. C'est également le cas des médias numériques (16 % du chiffre d'affaires).

L'année 2016 devait permettre à l'Agence de retrouver une trajectoire financière plus dynamique, en profitant en particulier du caractère exceptionnel d'une année cumulant l'Euro de football en France et les jeux olympiques à Rio . Lors de la construction du budget 2016, la direction avait ainsi anticipé une croissance de 3 % des produits d'exploitation tirés par les événements sportifs susmentionnés et par le développement commercial, porté par la vidéo et par l'international.

Il semblerait à ce jour qu' il n'en soit rien : le contrat prévu avec le portail chinois Sina n'a pas été signé, celui avec l'agence australienne a été perdu (900 000 euros) et l'espoir d'une récupération d'une partie des revenus du contrat avec Le Point s'est éloigné. Les plus pessimistes imaginent même un résultat négatif de 8,3 millions d'euros, compte tenu de la perte de 4,7 millions d'euros enregistrée sur les six premiers mois de l'année.

Les mauvais résultats commerciaux et l'augmentation limitée de la dotation de l'État ont pour conséquence, malgré les efforts réalisés sur les charges d'exploitation, un endettement inquiétant de l'Agence, dont la dette consolidée s'élevait à 71,5 millions d'euros en 2015 , crédit-bail sur le siège social et filiale AFP Blue compris. Le découvert ne cesse de croître pour atteindre 18,7 millions d'euros en 2015.

Évolution de l'encours des dettes financières de l'AFP à fin d'année

(en millions d'euros)

Source : AFP - Synthèse de l'expert-comptable auprès du comité d'entreprise - Sept. 2016

Votre rapporteur pour avis estime que la dégradation prévisible de la trésorerie, compte tenu des remboursements d'emprunts à réaliser - chaque année, l'AFP rembourse 3,7 millions d'euros d'emprunt et 1,2 million d'euros d'intérêts -, nécessite une renégociation des échéanciers , notamment au regard des sommes importantes à rembourser au début de l'année 2018 (plus de 8 millions d'euros au titre de l'emprunt d'AFP Blue auprès d'une banque privée), puis, plus tardivement en 2027 avec l'arrivée à l'échéance de la dotation de l'État, devenue prêt de la Caisse des Dépôts et Consignations, de 20 millions d'euros accordée pour la première phase de déploiement d'Iris.

À cet état des lieux financièrement douteux s'ajoute un risque juridico-fiscal préoccupant . Si l'Agence s'est fort heureusement lancée depuis 2010 dans une démarche de régularisation de ses personnels à l'étranger au regard des législations locales, un risque social et fiscal coûteux demeure au titre des années passées, notamment en Israël, en Russie, en Grande-Bretagne, en Inde et sur le continent latino-américain. Le résultat net de l'AFP est ainsi grevé depuis plusieurs années par des provisions pour risques exceptionnels (1,9 million d'euros en 2015 par exemple).

Cette situation a conduit la direction de l'Agence à communiquer sur le sujet au conseil d'administration du 2 février 2016. Un montant de 6 millions d'euros a été évoqué comme coût supplémentaire annuel de la régularisation. En réalité, il semblerait que ce chiffre soit plus proche de 10 à 12 millions d'euros , sans préjudice d'éventuels contentieux, comme l'admet le conseil supérieur de l'Agence lui-même dans son rapport au Parlement en date du 30 juin 2016. Des avocats ont été engagés par l'Agence afin de chiffrer plus précisément le risque encouru, qui devrait courir sur dix à quinze ans.

En tout état de cause, il apparaît à votre rapporteur pour avis que, si le coût des régularisations devenait financièrement insupportable pour l'Agence au point de mettre en péril la mise en oeuvre de ses missions, l'État serait forcé d'intervenir en soutien.

b) Le choix risqué de la filialisation

Compte tenu de son statut juridique sui generis , sans capitaux et sans actionnaire , l'AFP ne peut se financer sur les marchés, ce qui obère sa politique d'investissement.

La constitution, le 1 er janvier 2015, de sa filiale de droit privé AFP Blue a permis de contourner cette difficulté, comme le préconisait Michel Françaix en 2014 dans les conclusions de son rapport au Gouvernement sur l'avenir de l'AFP.

Société par actions simplifiée unipersonnelle, au capital social de 33.1 millions d'euros, AFP Blue est une filiale à 100% de l'AFP. Elle a été dotée en capital par apports en nature composés d'actifs matériels et immatériels correspondant d'une part à divers équipements et d'autre part à des licences de logiciels et des développements informatiques externes et internes relatifs à la gestion commerciale et au nouveau système rédactionnel de l'AFP (projet Iris).

Deux contrats entre l'AFP et sa filiale, valables dix ans, ont été signés le 8 janvier 2015 afin de formaliser l'ensemble des obligations et services attendus des parties.

Les engagements d'AFP Blue ont été précisés dans un contrat de prestation de services , couvrant notamment la mise à disposition d'applications informatiques et de moyens techniques opérés ou gérés par la filiale dans le domaine du numérique. Afin qu'AFP Blue puisse remplir pleinement sa mission et garantir l'exploitation des systèmes et matériels qui lui ont été cédés, un contrat d'assistance et de gestion traite, pour sa part, de la fourniture de prestations d'assistance et de gestion selon des modalités techniques et financières précises.

À cette même date, une convention de prêt a été signée avec :

- une banque commerciale pour un montant de prêt de 5 millions d'euros ;

- la Caisse des Dépôts et Consignations, au titre du programme des investissements d'avenir, pour un montant total de prêts, sur dix ans, de 16 millions d'euros débloqués en trois tirages . Un premier versement a eu lieu le 15 janvier 2015 pour un montant de 6 millions d'euros, puis un deuxième versement a été effectué le 14 avril 2016 après fourniture par AFP Blue d'un ensemble de documents conformément aux engagements contractuels ;

- BPI France pour un montant de prêt de 5 millions d'euros.

Le 11 mars 2015, Stéphane Guérillot a été nommé directeur général d'AFP Blue, puis, en mai de la même année, le comité stratégique, organe collégial interne chargé de contrôler les orientations de l'activité de la société et de veiller à leur mise en oeuvre, a été constitué.

L'année 2015 a été consacrée à l'insertion d'AFP Blue dans le fonctionnement du groupe et à la mise en place des procédures techniques et administratives permettant d'assurer la continuité de service et le lancement des développements prévus au contrat d'objectifs et de moyens :

- la définition et la mise en oeuvre des règles à observer dans les directions de l'Agence s'agissant des achats de biens et/ou de services ;

- la cession des investissements réalisés en 2014 et au début de l'année 2015 avant la mise en place des outils et procédures d'achat pour AFP Blue, et correspondant à des équipements, systèmes, licences et développements entrant dans son périmètre d'activité ;

- la gestion et l'organisation, avec les principaux éditeurs et fournisseurs concernés, de la cession et du transfert des licences logicielles et/ou des contrats de maintenance et de support des matériels apportés ou cédés à la filiale ;

- la mise en place, pour les commandes et les facturations, des règles, normes, documents et contrats nécessaires au fonctionnement de la filiale dans ses relations avec ses fournisseurs et ses clients.

Le transfert de plusieurs contrats de maintenance et de support liés à l'utilisation de licences logicielles n'a pu être effectué qu'en 2016, essentiellement pour des raisons techniques ou à cause de la complexité des opérations gérées chez les éditeurs qui, en principe, refusent le transfert des droits liés à leurs licences logicielles.

Les investissements de 2015 - 13,1 millions d'euros - ont été réalisés dans le respect des enveloppes initiales mais avec un arbitrage donnant la priorité aux investissements relatifs à la vidéo , conformément à la lettre du contrat d'objectifs et de moyens. Par ailleurs, une partie des investissements nécessaires à la couverture des événements spéciaux de l'année 2016 (Euro de football et Jeux olympiques) ont été réalisés en 2015 par anticipation.

Pour 2016, les priorités d'investissement ont été reconsidérées autour d'un double objectif : le lot 3 du système Iris avec la mise en place de la chaîne de production et de traitement vidéo et la fiabilisation d'AFP Forum, base de données en ligne, comme des outils de livraison clients.

Structure des investissements

(en %)

Source : AFP - Synthèse de l'expert-comptable auprès du comité d'entreprise - Sept. 2016

Selon les informations dont disposent votre rapporteur pour avis, les sommes d'ores et déjà dépensées par la filiale n'auraient pas toutes été consacrées à des investissements, car une partie non négligeable aurait été consacrée à des études et pré-projets.

Le conseil supérieur regrette, pour sa part, le peu d'informations disponibles , dans le rapport d'activité de l'AFP, sur les investissements réalisés par sa filiale en 2015 et sur la trajectoire envisagée pour les années à venir. Cette transparence lacunaire est d'autant plus dommageable que le plan d'affaires d'AFP Blue à l'horizon 2025 apparaît très ambitieux : 79 millions d'euros prévus mais un résultat net à l'équilibre en 2017 puis bénéficiaire à compter de 2018 jusqu'à atteindre 19 millions d'euros en 2025. Or, ces prévisions optimistes reposent sur une capacité d'autofinancement obtenue dès 2018 grâce à des recettes commerciales innovantes dont le contenu n'est nullement connu à ce jour.

Votre rapporteur pour avis ne peut également s'empêcher de rappeler, au regard du poids de la dette d'AFP Blue sur celle de l'Agence, combien la solution de la filialisation avait semblé dangereuse à votre commission de la culture, de l'éducation et de la communication. Philippe Bonnecarrère, son rapporteur pour la loi du 17 avril 2015 susmentionnée, avait ainsi estimé à l'époque : « il s'agit là d'une déconsolidation pure et simple de la dette. Sachant que cette filiale ne pourra compter que sur une redevance de l'AFP, il est clair que c'est l'entreprise mère qui aura à faire face aux échéances de prêts , au prix de frais de TVA supplémentaires. Voilà un choix techniquement audacieux et c'est un euphémisme » . Espérons que l'avenir le fera mentir lorsque se réaliseront les promesses du plan d'affaires.

2. Une stratégie incertaine
a) Le sport est-il vraiment le bon cheval ?

Dans le cadre de son contrat d'objectifs et de moyens pour la période 2014-2018, l'AFP s'est fixé comme objectif n° 3 « développer l'information sportive pour devenir un acteur majeur ». Il s'agit aussi bien de tirer profit d'un secteur porteur - le marché du sport a enregistré une croissance annuelle de 3,4 % sur la décennie passée - que de valoriser la production texte, vidéo et photo de l'Agence sur un créneau facilement identifiable par la clientèle. De fait, l'AFP, agence de presse généraliste, ne proposait jusqu'à présent nulle spécialisation que ses principaux concurrents avaient su de longue date offrir : l'information financière pour Reuters et l'actualité nord-américaine pour AP.

Selon le bilan de l'application du contrat d'objectifs et de moyens pour l'année 2015, le chiffre d'affaires de l'information sportive a cru de 12 % hors événements spéciaux , pour un objectif fixé de 2,5 % de croissance moyenne annuelle. Mais il ne représente toujours que 7 % du chiffre d'affaires de l'Agence.

Cette même année, un poste de coordinateur sport-vidéo et un poste de chargé de mission événements spéciaux ont été créés , sur un total de dix emplois à déployer sur le sport d'ici 2018.

Comparaison du nombre d'ETP consacrée à la mission éditoriale Sport
entre 2014 et 2015

Source : Rapport d'activité 2015 du conseil supérieur de l'AFP

L'Agence a développé des produits innovants pour consolider son offre sport : un fil vidéo sport en anglais et en français a été ouvert en avril 2016, après de lancement d'une interface de programmation dédiée en 2015. D'ici la fin de l'année 2016, une plateforme ciblant les clients hors média, en particulier l'industrie du sport, proposera des contenus publicitaires ou promotionnels diffusés via le réseau. En outre, à l'occasion des Jeux olympiques de Rio, un nouveau live multimédia, incluant textes, photos, tweets, éléments data et vidéos, a été mis en place.

Néanmoins, et votre rapporteur pour avis s'en étonne, la réalité semble bien en-deçà des effets d'annonce , comme s'en sont fait l'écho les représentants des syndicats lors de leur audition. Ainsi, alors qu'en février 2016, le conseil d'administration avait autorisé le rachat de la société Infoplum, une start-up australienne spécialisée dans l'exploitation des données numériques liées au sport présentée comme un actif stratégique pour le développement de nouveau produit, le projet a finalement été abandonné.

En outre, le traitement des Jeux olympiques s'est soldé par une déconfiture désolante avec seulement 1,3 million d'euros de recettes engrangées pour 2,8 millions d'euros investis. Pire, les photographies de l'Agence n'ont pu être distribuées aux clients pendant plusieurs heures lors de la cérémonie d'ouverture. Cet exemple malheureux confirme l'analyse livrée par Martin Ajdari, directeur général des médias et des industries culturelles au ministère de la culture et de la communication, à votre rapporteur pour avis lors de son audition : le sport est si coûteux à produire que sa rentabilité, tous médias confondus, est plus qu'incertaine.

Par ailleurs, il est regrettable que la mise en place annoncée d'un outil de suivi du chiffre d'affaires sport et des moyens qui y sont associés ait pris du retard. Sans remettre en cause la pertinence de la stratégie choisie, le conseil supérieur, dans son rapport au Parlement, indique à cet égard partager les préoccupations de la commission financière de l'Agence quant à la faiblesse des outils de pilotage et de gestion de l'entreprise.

b) Des objectifs commerciaux irréalistes ?

L'avenir de l'Agence passe également, et surtout, par la recherche de nouveaux clients. Logiquement, la direction a donc lancé en 2016 un ambitieux plan de relance commerciale sobrement intitulé « 1 000 nouveaux clients » , cet objectif devant être atteint en cinq ans. Il s'agit de se rapprocher de la puissance commerciale d'AP et de Reuters, qui comptent chacun environ 7 000 clients, contre 5 000 seulement pour l'AFP.

Ses modalités seront précisées au conseil d'administration à la fin de l'année 2016, mais il semble évident, compte tenu de l'attrition du marché de la presse française, que ces nouveaux usagers devront être recherchés, pour ce qui concerne le territoire national, auprès des médias audiovisuels et digitaux, mais également des entreprises et institutions , qui ne représentent aujourd'hui que 14 % du chiffre d'affaires de l'Agence, soit une proportion moindre que dans les autres grandes agences de presse internationales.

Répartition du chiffre d'affaires 2015 par marché

Source : AFP - Synthèse de l'expert-comptable auprès du comité d'entreprise - Sept. 2016

Les regards se tournent également vers l'étranger, où l'AFP doit maintenir son effort de développement , notamment auprès des chaînes de télévision, malgré la concurrence d'AP et de Reuters mais également de puissantes agences nationales comme Xinhua la chinoise et ses 6 000 journalistes, qui lui a récemment fait perdre de juteux contrats.

À cet égard, méritent d'être citées les inquiétudes dont le conseil supérieur de l'AFP fait état dans son rapport au Parlement en date du 30 juin 2016, et que votre rapporteur pour avis partage : « dès lors que la croissance repose désormais sur le chiffre d'affaires international, le conseil supérieur considère que le développement international doit être une des priorités absolues de la direction de l'Agence , afin notamment de développer son portefeuille de clients internationaux. Le conseil supérieur souhaite à ce titre souligner la nécessité d'un changement de culture et d'une montée en compétence des équipes commerciales , en particulier au niveau des directions régionales de l'Agence dans le monde. Il est primordial que ces équipes soient en capacité d'accroître la clientèle, rompant alors avec les habitudes du passé. Devant la nécessaire maîtrise des charges de personnel, la question d'un redéploiement d'effectifs vers la direction commerciale se doit d'être posée ».

Dans ce cadre, la création d'un poste de commercial en charge de l'Afrique francophone à Abidjan va dans le bon sens. En revanche, les crédits dévolus à la formation des 80 commerciaux, dont trente en France, - 3 566 euros en 2015 - apparaissent très largement insuffisants.

Parallèlement au plan de relance commerciale et afin de conserver son portefeuille actuel, l'Agence a lourdement investi pour améliorer le suivi et la gestion de la relation client . Un portail technique permet désormais à chaque client de suivre chaque incident et chaque intervention du service informatique (outil ITSM - information technology service management ). En outre, un outil de gestion de la relation client (CRM - customer relationship management ) sera déployé au début de l'année 2017.

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Compte tenu de ces observations, votre rapporteur pour avis propose à la commission d'émettre un avis favorable à l'adoption des crédits du programme 180 de la mission « Médias, livre et industries culturelles » du projet de loi de finances pour 2017 .

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La commission de la culture, de l'éducation et de la communication émet un avis favorable à l'adoption des crédits de la mission « Médias, livre et industries culturelles » du projet de loi de finances pour 2017 .

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