B. UNE RELANCE DE LA VACCINATION QUI RENCONTRE DES LIMITES

L'annonce de ces mesures lors de l'allocution du Président de la République a contribué, dans une certaine mesure, à relancer le rythme des vaccinations contre la covid-19 au cours de la seconde moitié du mois de juillet 2021. Entre les 13 et 21 juillet 2021, le nombre moyen d'injections quotidiennes réalisées a ainsi augmenté de 17 %. Toutefois, après avoir atteint un pic avoisinant les 700 000 doses injectées le 21 juillet 2021, le nombre moyen d'injections quotidiennes a régulièrement baissé pour atteindre un niveau inférieur à 175 000 doses au 26 septembre 6 ( * ) .

1. Un rythme de vaccinations qui ne permet pas d'atteindre l'immunité collective à court terme

Depuis la fin du mois de juillet, le nombre de premières doses injectées diminue de façon quasi constante, si bien que le dynamisme de la vaccination est désormais essentiellement alimenté par l'administration des deuxièmes doses et, dans une moindre mesure, des troisièmes doses . Les troisièmes injections de rappel ont débuté à la fin du mois d'août et leur administration dans les Ehpad s'est accélérée à compter du 13 septembre 2021. Dans ces conditions, le Gouvernement n'a pu remplir à la fin du mois d'août 2021 l'objectif qu'il s'était fixé d'atteindre 50 millions de primo-vaccinés : ce chiffre n'a finalement été atteint que le 17 septembre 2021 7 ( * ) .

Au 5 octobre 2021, le nombre de personnes ayant reçu au moins une dose s'est élevé à 50 449 214 et le nombre de personnes entièrement vaccinées à 48 848 474, soit une couverture vaccinale rapportée à la population totale de 74,8 % de primo-vaccinés et de 72,4 % de schémas vaccinaux complets 8 ( * ) . Rapportée à la population éligible, c'est-à-dire âgée de plus de 12 ans, la couverture vaccinale atteint, le 5 octobre 2021, 84,7 % de schémas vaccinaux complets 9 ( * ) .

Évolution du nombre moyen d'injections quotidiennes de vaccin

Source : Covidtracker, à partir des données du ministère des solidarités et de la santé

Alors que le taux d'immunité - estimé à plus de 90 % de la population totale face à des variants d'une transmissibilité comparable au variant Delta - n'est toujours pas atteint, les premières doses ne représentent plus qu'une part minoritaire, qui ne cesse de diminuer, dans la moyenne des injections quotidiennes . Elles n'ont en effet représenté qu'à peine plus d'un cinquième 10 ( * ) du total des doses injectées au 26 septembre 2021 et ont même été dépassées en valeur absolue, à compter du 23 septembre 2021, par les troisièmes doses 11 ( * ) . Si le nombre moyen d'injections de premières doses se maintenait à 35 500 par jour - ce qui n'est pas garanti compte tenu de la tendance baissière observée depuis fin juillet -, la part de la population totale ayant été partiellement vaccinée atteindrait 90 % autour du 15 juillet 2022 et 95 % autour du 23 octobre 2022 .

Les couverture et dynamique vaccinales au 6 octobre 2021

- 91 %

15
juillet
2022

de primo-vaccinés
dans la population totale

de schémas vaccinaux complets dans la population totale

Diminution du nombre moyen d'injections quotidiennes de premières doses depuis
le 31 juillet 2021
12 ( * )

Date théorique pour atteindre 90 % de Français partiellement vaccinés au rythme actuel 13 ( * )

2. La permanence d'inégalités préoccupantes dans la diffusion de la vaccination
a) Selon les classes d'âge

Dans une note d'alerte en date du 20 août 2021 14 ( * ) , le conseil scientifique regrette une proportion de personnes vaccinées parmi les personnes âgées de plus de 60 ans encore « insuffisante, de l'ordre de 85 % » . La couverture vaccinale des plus de 80 ans, qui constituent la population la plus vulnérable au risque d'hospitalisation, reste ainsi le principal « talon d'Achille » 15 ( * ) de la campagne vaccinale en France. Au 29 septembre 2021, 84 % des personnes de plus de 80 ans étaient entièrement vaccinées, contre 96 % chez les 70-79 ans et 88 % chez les 60-69 ans 16 ( * ) . Cette situation tranche avec d'autres pays comme l'Espagne, le Danemark, l'Irlande ou Malte où la part des personnes vaccinées chez les plus de 80 ans atteint 100 %, ou encore le Portugal où cette part s'élève à 98 %.

Une part non négligeable des personnes de plus de 80 ans demeure éloignée de la vaccination, avec des situations d'isolement aggravées par des difficultés d'accès à un médecin traitant et un maillage des points d'information sur la vaccination et des centres de vaccination insuffisant dans certains territoires. Cette situation est d'autant plus préoccupante que, fin septembre 2021, l'association Les petits frères des pauvres a alerté sur l'augmentation du nombre de personnes âgées isolées, qui aurait plus que doublé en quatre ans 17 ( * ) : ces personnes se retrouvent en grande partie en situation de « mort sociale », coupées des quatre principaux cercles de socialisation que sont la famille, les amis, le voisinage et les réseaux associatifs 18 ( * ) .

Évolution de la couverture vaccinale (schémas vaccinaux complets)
par tranches d'âge chez les personnes âgées de plus de 65 ans

Source : Covidtracker, à partir des données du ministère des solidarités et de la santé

Par ailleurs, d'importantes marges de progression de la vaccination demeurent au sein des classes d'âge plus jeunes pour atteindre une couverture vaccinale complète supérieure à 90 % : la proportion de schémas vaccinaux complets atteint 80 % chez les 25-39 ans, 83 % chez les 18-24 ans et 64 % chez les 12-17 ans. Au 29 septembre 2021, le nombre de personnes éligibles non encore vaccinées pouvait être estimé à 9,2 millions, les principaux contingents de personnes non vaccinées étant à rechercher chez les 12-17 ans (environ 1,8 million de personnes), les 30-39 ans (environ 1,75 million de personnes), les 40-49 ans (environ 1,4 million de personnes) et les plus de 80 ans (plus de 660 000 personnes) 19 ( * ) .

Enfin, la vaccination des publics fragiles , présentant des comorbidités aggravant le risque de développer des formes graves ou sévères de la covid-19, reste insuffisante : au 26 septembre, 14,4 % des personnes atteintes de maladies chroniques 20 ( * ) , notamment d'obésité, de cancer, de diabète ou d'hypertension, ne justifiaient toujours pas d'un schéma vaccinal complet , alors que le taux de vaccination de ces publics avoisinerait les 100 % dans d'autres pays comme la Belgique, l'Espagne et le Portugal 21 ( * ) .

Plus de 15 % des personnes obèses n'ont toujours pas reçu une première dose de vaccin 22 ( * ) , alors que l'obésité constitue, après l'âge, le facteur de risque d'hospitalisation et de décès le plus important 23 ( * ) .

Évolution du taux de couverture vaccinale
par pathologies graves ou chroniques

Source : Caisse nationale de l'assurance maladie

b) Selon les territoires

La couverture vaccinale reste contrastée selon les territoires , tout particulièrement entre l'Hexagone et les collectivités ultramarines.

Proportion de la population ayant reçu une dose de vaccin contre la covid-19
par région au 29 septembre 2021

Source : Covidtracker, à partir des données du ministère des solidarités et de la santé

Ces écarts de couverture vaccinale sont encore plus problématiques s'agissant des résidents en établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) : la proportion de résidents présentant un schéma vaccinal complet s'établit à 22,3 % en Guadeloupe et à 17,7 % en Martinique, contre 58,6 % en Guyane et 69,7 % à La Réunion, et 99 % en Savoie, dans les Ardennes et les Pyrennées-Orientales 24 ( * ) .

Ces disparités territoriales de couverture vaccinale se recoupent aisément avec les écarts observés entre régions en matière d'hospitalisations pour formes sévères de covid-19. Les deux régions affichant la couverture vaccinale la plus élevé, à savoir la Bretagne et la Normandie, présentent des taux d'occupation des lits de réanimation faibles, respectivement à 16 % et 13 %, quand les régions métropolitaines les moins vaccinées que sont la Corse et Provence-Alpes-Côte d'Azur, affichent des taux d'occupation de 33 % et 58 % 25 ( * ) . La saturation des capacités hospitalières est significativement plus importante dans les collectivités ultramarines qui présentent les taux de vaccination les plus faibles : la Martinique affiche un taux d'occupation de ses lits de réanimation de 319 % au 29 septembre 2021, la Guadeloupe 103 % et la Guyane 84 % .

Par ailleurs, les personnes vivant dans les territoires les plus défavorisés présentent les taux de vaccination les moins élevées . Les taux de vaccination par indice de défavorisation publiés par l'assurance maladie au 26 septembre 2021 montrent ainsi que, chez les moins de 20 ans, la proportion de personnes entièrement vaccinées chez les personnes résidant dans les communes du dernier décile regroupant les 10 % de la population française les plus défavorisés est de plus de cinq points inférieure à celle observée chez les personnes résidant dans les communes du premier décile regroupant les 10 % de la population française les plus favorisés. Cet écart est supérieur à 14 points chez les 20-39 ans et à 8 points chez les 40-54 ans.

Taux de vaccination (en %)
par indice de défavorisation au 26 septembre 2021

Sens de lecture de gauche à droite : chaque couple de barres correspond à un décile de défavorisation, le premier couple de barres à gauche représentant le taux de vaccination chez les résidents des communes du premier décile (les plus favorisées) et le dernier couple de barres à droite le taux de vaccination chez les résidents des communes du dernier décile (les plus défavorisées)

Source : Assurance maladie ( https://datavaccin-covid.ameli.fr/pages/synthese/ )

3. Des actions d'« aller-vers » encourageantes mais encore insuffisantes

Les agences régionales de santé (ARS), les collectivités territoriales et les associations ont engagé, dans le cadre de stratégies d'« aller-vers » , des opérations destinées à sensibiliser les personnes les plus éloignées de la vaccination à l'intérêt de se faire vacciner. Ces actions sont particulièrement précieuses pour inclure dans la campagne vaccinale les populations isolées et rencontrant des difficultés d'accès au système de santé de par leur âge ou en raison de facteurs de précarité, tout particulièrement les publics ne disposant pas de médecins traitants , dont des personnes âgées, des personnes défavorisées sur le plan socioéconomique et des personnes issues de l'immigration clandestine.

Dans un certain nombre de territoires marqués par d'importantes inégalités sociales et économiques, les ARS ont veillé à assurer un maillage dense en centres de vaccination , comme en Seine-Saint-Denis, certains centres ayant été dédiés aux publics âgés et précaires. Des barnums et bus de vaccination ont également été mis en place, bien souvent avec l'appui des conseils départementaux et des centres communaux d'action sociale (CCAS). Plusieurs ARS ont également déployé sur leurs territoires des médiateurs de lutte anti-covid , chargés d'organiser des opérations de dépistage et de prévention dans le cadre de la stratégie « Tester - Alerter
- Protéger » et de sensibiliser la population à la vaccination. Dans la même logique, le département de la Seine-Saint-Denis et d'autres collectivités en France ont mobilisé des « ambassadeurs » de la vaccination . De plus, la caisse nationale de l'assurance maladie (CNAM) a recruté 700 personnes en contrat à durée déterminée pour assurer les campagnes d'« aller-vers » liées à la vaccination.

Synthèse des opérations d'« aller-vers » dans le cadre de la campagne
de vaccination contre la covid-19

Les dispositifs d'« aller-vers » ont été déployés très tôt pendant la campagne de vaccination contre la covid-19 afin de permettre la vaccination :

• des personnes éloignées du système de soin (personnes en situation précaire, en hébergement d'urgence, en squat ou bidonville...) ;

• des personnes touchées par la fracture numérique ne pouvant prendre rendez-vous en ligne (notamment les personnes âgées isolées à domicile) ;

• des personnes hébergées en collectivité avec des difficultés ou une impossibilité de se déplacer (personnes en situation de handicap en foyer d'accueil médicalisé ou maison d'accueil spécialisée, travailleurs migrants en foyer de travailleurs migrants, personnes détenues...).

Ces dispositifs d'« aller-vers » ont été très variés, déployés en coordination avec de nombreux acteurs selon les publics concernés (ARS, préfets, caisses primaires d'assurance maladie, collectivités territoriales, associations de protection civile...) et adaptés à chaque territoire.

Un premier bilan, partiel par définition compte tenu de la difficulté de remonter les informations, fait état de :

• 1,2 millions de patients vaccinés dans des dispositifs d'« aller-vers » ;

• 96 % d'établissements cibles où des actions d'« aller-vers » ont été proposées ;

• 3 915 opérations ciblées sur les personnes précaires, soit une progression de 85% par rapport au 19 juillet 2021 ;

• 2 683 opérations ciblées sur les territoires sous-vaccinés, soit une progression de 88 % par rapport au 19 juillet 2021.

D'autres opérations ont été menées ou sont en passe de monter en charge, notamment :

• des opérations à destination des publics précaires sous diverses formes (maraudes, établissements d'accueil...). Ils sont la principale cible des opérations d'« aller-vers », soit en établissements d'accueil, soit en permanence d'accès aux soins de santé (PASS). Les fiches explicatives sur la vaccination et les questionnaires pré-vaccinaux ont été traduits dans plus de vingt langues pour faciliter le travail des équipes ;

• des opérations de vaccination des personnes détenues depuis le printemps 2021 et une systématisation à l'été 2021 (tous les établissements pénitenciers ont proposé la vaccination à leurs personnes détenues) ;

• des opérations d'information et de vaccination vers les personnes atteintes de comorbidités (listes des patients concernés non-vaccinés pour les médecins traitants, 600 000 appels sortants de la caisse nationale de l'assurance maladie depuis fin juillet...) ;

• des opérations de vaccination en entreprise par la médecine du travail (volume croissant à partir des mois de mai/juin puis stable les mois suivants) ;

• des opérations de vaccination en milieu scolaire ( a minima 30 000 injections au mois de septembre et en montée en charge) ;

• des opérations de vaccination en milieu universitaire (le volume modeste car il s'agit d'une population déjà largement vaccinée mais service apprécié ; les services de santé universitaire pourront bientôt commander des vaccins en plus grand volume) ;

• des opérations en cours (expérimentations de convocation à la vaccination et de porte-à-porte ciblé) ou en développement vers les personnes très âgées en proposant la vaccination plus systématiquement à domicile.

Source : Éléments transmis par la « task force vaccination » du ministère des solidarités et de la santé

Le ministère de l'éducation nationale a invité, pour sa part, les enseignants à poursuivre leurs actions pédagogiques pour sensibiliser les élèves à la vaccination et une campagne de vaccination a été lancée à la rentrée dans les collèges et lycées . Pour rappel, conformément à l'article premier de la loi du 5 août 2021 précitée, les mineurs de 12 à 15 ans n'ont besoin de l'autorisation que d'un seul de leurs parents pour se faire vacciner et les mineurs de plus de 16 ans sont exemptés d'obtenir l'autorisation d'un parent pour se faire vacciner.

La médecine de ville a également été mobilisée pour étendre la vaccination. Un décret du 14 juillet 2021 26 ( * ) a ainsi ouvert la possibilité pour les médecins traitants de recevoir la liste de ses patients non vaccinés afin de favoriser l'accompagnement à la vaccination des personnes présentant des vulnérabilités de santé particulières. Afin d'augmenter la vaccination pendant l'été, a été autorisée à la mi-juillet la mise à disposition de flacons du vaccin Pfizer-BioNTech non utilisés par les centres de vaccination au profit de professionnels de santé libéraux habilités à en commander sur un portail de télédéclaration 27 ( * ) .

Si les dispositifs d'« aller-vers » sont incontournables pour sensibiliser des personnes éloignées de la vaccination, ils demeurent insuffisants pour atteindre le taux de protection collective recherché à court terme.


* 6 Données de Covidtracker, à partir des données du ministère de la santé ( http://covidtracker.fr/vaccintracker/ ).

* 7 LCI, « Covid-19 : l'objectif des 50 millions de primo-vaccinés atteint avec 18 jours de retard », 17 septembre 2021 ( http://www.lci.fr/societe/coronavirus-vaccin-covid-19-l-objectif-des-50-millions-de-primo-vaccines-atteint-avec-18-jours-de-retard-2196542.html ).

* 8 Covidtracker ( http://covidtracker.fr/vaccintracker/ ).

* 9 Application TousAntiCovid (au 5 octobre 2021).

* 10 36 227 premières doses au 26 septembre 2021 (Covidtracker).

* 11 39 778 troisièmes doses au 26 septembre 2021 (Covidtracker).

* 12 Selon Covidtracker, la moyenne quotidienne de premières doses injectées s'établissait à 373 381 le 31 juillet 2021.

* 13 Si le nombre quotidien de premières doses se maintient à un niveau moyen de 35 500 doses par jour (35 179 comptabilisées le 27 septembre 2021, 31 581 comptabilisées le 4 octobre 2021).

* 14 Conseil scientifique, « Fin de la période estivale et passe sanitaire - Rentrée de septembre 2021 », note d'alerte du 20 août 2021.

* 15 Delphine Roucaute, Chloé Hecketsweiler et Nathaniel Herzberg, « La vaccination des plus de 80 ans, talon d'Achille de la France », Le Monde , édition du 8 juillet 2021.

* 16 Tableau de bord de la vaccination du ministère des solidarités et de la santé ( http://solidarites-sante.gouv.fr/grands-dossiers/vaccin-covid-19/article/le-tableau-de-bord-de-la-vaccination ).

* 17 Deuxième édition du baromètre « Solitude et isolement quand on a plus de 60 ans en France en 2021 », par l'association Les petits frères des pauvres.

* 18 Agnès Leclair, « Solitude : un demi-million de personnes âgées en situation de “mort sociale” », Le Figaro , édition du 30 septembre 2021.

* 19 Estimations réalisées à partir du tableau de bord de la vaccination du ministère des solidarités et de la santé au 29 septembre 2021 ( http://solidarites-sante.gouv.fr/grands-dossiers/vaccin-covid-19/article/le-tableau-de-bord-de-la-vaccination ).

* 20 Caisse nationale de l'assurance maladie.

* 21 Grégoire Sauvage, « Covid-19 : 50 millions de Français primo-vaccinés, et maintenant ? », France 24 ( www.france24.com ) , édition du 5 septembre 2021.

* 22 Selon les données de l'assurance maladie, 15,5 % des personnes obèses ayant fait l'objet d'un séjour hospitalier par le passé n'ont reçu, au 26 septembre 2021, aucune injection de vaccin contre la covid-19.

* 23 Mélanie Faure, « Covid-19 : la mortalité largement supérieure dans les pays frappés par l'obésité », LCI ( www.lci.fr ), édition du 31 mars 2021.

* 24 Données disponibles au 29 septembre 2021 sur le site « Covidtracker », à partir des données du ministère des solidarités et de la santé.

* 25 Données disponibles au 29 septembre 2021 sur le site « Covidtracker », à partir des données du ministère des solidarités et de la santé.

* 26 Décret n° 2021-930 du 13 juillet 2021 modifiant le décret n° 2020-551 du 12 mai 2020 relatif aux systèmes d'information mentionnés à l'article 11 de la loi n° 2020-546 du 11 mai 2020 prorogeant l'état d'urgence sanitaire et complétant ses dispositions et le décret n° 2020-1690 du 25 décembre 2020 autorisant la création d'un traitement de données à caractère personnel relatif aux vaccinations contre la covid-19.

* 27 DGS-urgent n° 2021-68 du 16 juillet 2021, « Mise à disposition de flacons de vaccin Pfizer-BioNTech dans des centres de vaccination pour les professionnels de santé de ville ».

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