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Programmation des finances publiques pour les années 2023 à 2027 (PJL)

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Texte promulgué
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Projet de loi de programmation des finances publiques pour les années 2023 à 2027

Projet de loi de programmation des finances publiques pour les années 2023 à 2027

Projet de loi de programmation des finances publiques pour les années 2023 à 2027

Projet de loi de programmation des finances publiques pour les années 2023 à 2027

Projet de loi de programmation des finances publiques pour les années 2023 à 2027

Projet de loi de programmation des finances publiques pour les années 2023 à 2027

Projet de loi de programmation des finances publiques pour les années 2023 à 2027

Projet de loi de programmation des finances publiques pour les années 2023 à 2027

Loi  2023‑1195 du 18 décembre 2023 de programmation des finances publiques pour les années 2023 à 2027


TITRE Ier

ORIENTATIONS PLURIANNUELLES DES FINANCES PUBLIQUES

TITRE Ier

ORIENTATIONS PLURIANNUELLES DES FINANCES PUBLIQUES

TITRE Ier

ORIENTATIONS PLURIANNUELLES DES FINANCES PUBLIQUES

TITRE Ier

ORIENTATIONS PLURIANNUELLES DES FINANCES PUBLIQUES

TITRE Ier

ORIENTATIONS PLURIANNUELLES DES FINANCES PUBLIQUES

TITRE Ier

ORIENTATIONS PLURIANNUELLES DES FINANCES PUBLIQUES

TITRE Ier

ORIENTATIONS PLURIANNUELLES DES FINANCES PUBLIQUES

TITRE Ier

ORIENTATIONS PLURIANNUELLES DES FINANCES PUBLIQUES

TITRE Ier

ORIENTATIONS PLURIANNUELLES DES FINANCES PUBLIQUES


Article 1er

Article 1er

(Non modifié)

Article 1er

(Non modifié)

Article 1er

Article 1er

(Non modifié)

Article 1er

(Non modifié)

Article 1er

(Non modifié)

Article 1er

Article 1er


Est approuvé le rapport annexé à la présente loi, prévu à l’article 1 E de la loi organique  2001‑692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances.



Est approuvé le rapport annexé à la présente loi, prévu à l’article 1er E de la loi organique  2001‑692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances.




Est approuvé le rapport annexé à la présente loi, prévu à l’article 1er E de la loi organique  2001‑692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances.

Est approuvé le rapport annexé à la présente loi, prévu à l’article 1er E de la loi organique  2001‑692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances.


Chapitre Ier

Le cadre financier pluriannuel de l’ensemble des administrations publiques

Chapitre Ier

Le cadre financier pluriannuel de l’ensemble des administrations publiques

Chapitre Ier

Le cadre financier pluriannuel de l’ensemble des administrations publiques

Chapitre Ier

Le cadre financier pluriannuel de l’ensemble des administrations publiques

Chapitre Ier

Le cadre financier pluriannuel de l’ensemble des administrations publiques

Chapitre Ier

Le cadre financier pluriannuel de l’ensemble des administrations publiques

Chapitre Ier

Le cadre financier pluriannuel de l’ensemble des administrations publiques

Chapitre Ier

Le cadre financier pluriannuel de l’ensemble des administrations publiques

Chapitre Ier

Le cadre financier pluriannuel de l’ensemble des administrations publiques


Article 2

Article 2

Article 2

Article 2

Article 2

(Non modifié)

Article 2

Article 2

(Non modifié)

Article 2

Article 2


L’objectif à moyen terme des administrations publiques mentionné au b du 1 de l’article 3 du traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance au sein de l’Union économique et monétaire, signé à Bruxelles le 2 mars 2012, est fixé à ‑0,4 % du produit intérieur brut potentiel.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)


(Alinéa sans modification)


L’objectif à moyen terme des administrations publiques mentionné au b du 1 de l’article 3 du traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance au sein de l’Union économique et monétaire, signé à Bruxelles le 2 mars 2012, est fixé à ‑0,4 % du produit intérieur brut potentiel.

L’objectif à moyen terme des administrations publiques mentionné au b du 1 de l’article 3 du traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance au sein de l’Union économique et monétaire, signé à Bruxelles le 2 mars 2012, est fixé à ‑0,4 % du produit intérieur brut potentiel.

Dans le contexte macroéconomique et selon les hypothèses et les méthodes retenues pour établir la programmation sur la période 2023‑2027, décrits dans le rapport mentionné à l’article 1er de la présente loi, l’objectif d’évolution du solde structurel des administrations publiques, défini au rapport annexé à la présente loi, s’établit comme suit :

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)


(Alinéa sans modification)


Dans le contexte macroéconomique et selon les hypothèses et les méthodes retenues pour établir la programmation sur la période 2023‑2027, décrits dans le rapport mentionné à l’article 1er de la présente loi, l’objectif d’évolution du solde structurel des administrations publiques, défini au rapport annexé à la présente loi, s’établit comme suit :

Dans le contexte macroéconomique et selon les hypothèses et les méthodes retenues pour établir la programmation sur la période 2023‑2027, décrits dans le rapport mentionné à l’article 1er de la présente loi, l’objectif d’évolution du solde structurel des administrations publiques, défini au rapport annexé à la présente loi, s’établit comme suit :

(En points de produit intérieur brut potentiel)
202220232024202520262027
Solde structurel-4,2-4,0-3,7-3,4-3,1-2,8
Ajustement structurel0,90,20,30,30,30,3


(En points de produit intérieur brut potentiel)
202220232024202520262027
Solde structurel-4,2-3,6-3,6-2,5-2,2-1,7
Ajustement structurel0,90,701,10,40,4

Amdt COM‑94


(En points de produit intérieur brut potentiel)

202220232024202520262027
Solde structurel-4,2-3,6-3,6-2,5-2,2-1,7
Ajustement structurel0,90,701,10,40,4


(En points de produit intérieur brut potentiel)
20232024202520262027
Solde structurel-4,1-3,7-3,3-2,9-2,7
Ajustement structurel0,10,50,40,30,2

Amdt  CF167


(En points de produit intérieur brut potentiel)
20232024202520262027
Solde structurel-4,1-3,7-3,3-2,9-2,7
Ajustement structurel0,10,50,40,30,2


(En points de produit intérieur brut potentiel)
20232024202520262027
Solde structurel-4,1-3,6-2,5-1,9-1,7
Ajustement structurel0,10,51,10,60,3

Amdt COM‑15


(En points de produit intérieur brut potentiel)
20232024202520262027
Solde structurel-4,1-3,6-2,5-1,9-1,7
Ajustement structurel0,10,51,10,60,3


(En points de produit intérieur brut potentiel)
20232024202520262027
Solde structurel-4,1-3,7-3,3-2,9-2,7
Ajustement structurel0,10,50,40,30,2


(En points de produit intérieur brut potentiel)
20232024202520262027
Solde structurel-4,1-3,7-3,3-2,9-2,7
Ajustement structurel0,10,50,40,30,2


Article 3

Article 3

Article 3

Article 3

Article 3

Article 3

Article 3

Article 3

Article 3


Dans le contexte macroéconomique et selon les hypothèses et les méthodes retenues pour établir la programmation mentionnée à l’article 2, la trajectoire de finances publiques sur la période de programmation s’établit au sens de la comptabilité nationale comme suit :

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Dans le contexte macroéconomique et selon les hypothèses et les méthodes retenues pour établir la programmation mentionnée à l’article 2, la trajectoire de finances publiques sur la période de programmation s’établit, au sens de la comptabilité nationale, comme suit :

Dans le contexte macroéconomique et selon les hypothèses et les méthodes retenues pour établir la programmation mentionnée à l’article 2, la trajectoire des finances publiques sur la période de programmation s’établit, au sens de la comptabilité nationale, comme suit :

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Dans le contexte macroéconomique et selon les hypothèses et les méthodes retenues pour établir la programmation mentionnée à l’article 2, la trajectoire des finances publiques sur la période de programmation s’établit, au sens de la comptabilité nationale, comme suit :

Dans le contexte macroéconomique et selon les hypothèses et les méthodes retenues pour établir la programmation mentionnée à l’article 2, la trajectoire des finances publiques sur la période de programmation s’établit, au sens de la comptabilité nationale, comme suit :

(En points de produit intérieur brut sauf mention contraire)
Ensemble des administrations publiques
202220232024202520262027
Solde structurel (1) (en points de PIB potentiel)-4,2-4,0-3,7-3,4-3,1-2,8
Solde conjoncturel (2)-0,6-0,8-0,7-0,5-0,30,0
Solde des mesures ponctuelles et temporaires (3) (en points de PIB potentiel)-0,1-0,2-0,1-0,10,00,0
Solde effectif (1+2+3)-5,0-5,0-4,5-4,0-3,4-2,9
Dépense publique57,656,655,655,054,353,8
Dépense publique (en Md€)1 5221 5641 6001 6371 6691 709
Évolution de la dépense publique en volume (%) *-1,1-1,5-0,60,30,20,6
Agrégat des dépenses d’investissement** (en Md€)-2528313335

Evolution de l’agrégat de dépenses d’investissement

en volume (%)

--7962
Taux de prélèvements obligatoires45,244,744,244,344,344,3
Dette au sens de Maastricht111,5111,2111,3111,7111,6110,9
État et organismes divers d’administration centrale
Solde effectif-5,4-5,6-5,2-4,7-4,5-4,3
Dépense publique (en Md€)629636637643655675
Évolution de la dépense publique en volume (%)*0,0-2,6-2,5-1,10,41,6
Administrations publiques locales
Solde effectif0,0-0,1-0,10,00,20,5
Dépense publique (en Md€)295305314322323326
Évolution de la dépense publique en volume (%)*0,1-0,60,10,4-1,3-1,1
Administrations de sécurité sociale
Solde effectif0,50,80,80,70,81,0
Dépense publique (en Md€)700721747772792811
Évolution de la dépense publique en volume (%)*-2,6-1,00,51,20,70,6
* Hors crédit d’impôt, hors transferts, à champ constant
** Dépenses considérées comme des dépenses d’investissement au sens du dernier alinéa de l’article 1 A et du deuxième alinéa de l’article 1 E de la loi organique n° 2001-692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances


(En points de produit intérieur brut sauf mention contraire)
Ensemble des administrations publiques
202220232024202520262027
Solde structurel (1) (en points de PIB potentiel)-4,3-3,6-3,6-2,5-2,2-1,7
Solde conjoncturel (2)-0,6-0,8-0,7-0,5-0,30,0
Solde des mesures ponctuelles et temporaires (3) (en points de PIB potentiel)-0,1-0,2-0,1-0,10,00,0
Solde effectif (1+2+3)-5,0-4,6-4,4-3,0-2,4-1,7
Dépense publique57,656,555,554,153,352,6
Dépense publique (en Md€)1 5221 5611 5951 6091 6401 674
Évolution de la dépense publique en volume (%) *-1,2-1,6-0,8-1,20,20,3
Dépense publique hors charge de la dette et hors coût des mesures engagées pour répondre à la crise sanitaire, économique et énergétique (en Md€)1 4071 4671 5131 5501 5791 608
Évolution de la dépense publique hors charge de la dette et hors coût des mesures engagées pour répondre à la crise sanitaire, économique et énergétique en volume (%)*-0,400,20,30,10
Agrégat des dépenses d’investissement** (en Md€)-2528313335

Evolution de l’agrégat de dépenses d’investissement

en volume (%)

--7962
Taux de prélèvements obligatoires45,244,744,244,344,344,3
Dette au sens de Maastricht112,5111,5110,8111110,5109,5
État et organismes divers d’administration centrale
Solde effectif-5,4-5,5-5-3,8-3,6-3,1
Dépense publique (en Md€)629632633618626638
Évolution de la dépense publique en volume (%)*0,0-3,6-2,8-4,4-0,40,2
Dépense publique hors charge de la dette et hors coût des mesures engagées pour répondre à la crise sanitaire, économique et énergétique (en Md€)531547557565571578
Évolution de la dépense publique hors charge de la dette et hors coût des mesures engagées pour répondre à la crise sanitaire, économique et énergétique en volume (%)*-1,1-0,5-0,5-0,5-0,5-0,5
Administrations publiques locales
Solde effectif0,0-0,1-0,10,10,20,4
Dépense publique (en Md€)295306313319323328
Évolution de la dépense publique en volume (%)*0-0,5-0,7-0,2-0,6-0,2
Dépense publique hors charge de la dette et hors coût des mesures engagées pour répondre à la crise sanitaire, économique et énergétique (en Md€)294304311316320325
Évolution de la dépense publique hors charge de la dette et hors coût des mesures engagées pour répondre à la crise sanitaire, économique et énergétique en volume (%)*0,1-0,5-0,5-0,5-0,5-0,5
Administrations de sécurité sociale
Solde effectif0,50,80,80,70,81
Dépense publique (en Md€)700721747772792811
Évolution de la dépense publique en volume (%)*-2,8-1,00,51,20,70,6
Dépense publique hors charge de la dette et hors coût des mesures engagées pour répondre à la crise sanitaire, économique et énergétique (en Md€)659684704726740753
Évolution de la dépense publique hors charge de la dette et hors coût des mesures engagées pour répondre à la crise sanitaire, économique et énergétique en volume (%)*-0,20,411,20,80,6
* Hors crédit d’impôt, hors transferts, à champ constant
** Dépenses considérées comme des dépenses d’investissement au sens du dernier alinéa de l’article 1 A et du deuxième alinéa de l’article 1 E de la loi organique n° 2001-692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances

Amdt COM‑95


(En points de produit intérieur brut sauf mention contraire)
Ensemble des administrations publiques

202220232024202520262027
Solde structurel (1) (en points de PIB potentiel)-4,3-3,6-3,6-2,5-2,2-1,7
Solde conjoncturel (2)-0,6-0,8-0,7-0,5-0,30,0
Solde des mesures ponctuelles et temporaires (3) (en points de PIB potentiel)-0,1-0,2-0,1-0,10,00,0
Solde effectif (1+2+3)-5,0-4,6-4,4-3,0-2,4-1,7
Dépense publique57,656,555,554,153,352,6
Dépense publique (en Md€)1 5221 5611 5951 6091 6401 674
Évolution de la dépense publique en volume (%) *-1,2-1,6-0,8-1,20,20,3
Dépense publique hors charge de la dette et hors coût des mesures engagées pour répondre à la crise sanitaire, économique et énergétique (en Md€)1 4071 4671 5131 5501 5791 608
Évolution de la dépense publique hors charge de la dette et hors coût des mesures engagées pour répondre à la crise sanitaire, économique et énergétique en volume (%)*-0,400,20,30,10
Agrégat des dépenses d’investissement** (en Md€)-2528313335

Évolution de l’agrégat de dépenses d’investissement

en volume (%)

--7962
Taux de prélèvements obligatoires45,244,744,244,344,344,3
Dette au sens de Maastricht111,5110,9111,1110,5109,5107,9
État et organismes divers d’administration centrale
Solde effectif-5,4-5,5-5-3,8-3,6-3,1
Dépense publique (en Md€)629632633618626638
Évolution de la dépense publique en volume (%)*0,0-3,6-2,8-4,4-0,40,2
Dépense publique hors charge de la dette et hors coût des mesures engagées pour répondre à la crise sanitaire, économique et énergétique (en Md€)531547557565571578
Évolution de la dépense publique hors charge de la dette et hors coût des mesures engagées pour répondre à la crise sanitaire, économique et énergétique en volume (%)*-1,1-0,5-0,5-0,5-0,5-0,5
Administrations publiques locales
Solde effectif0,0-0,1-0,10,10,20,4
Dépense publique (en Md€)295306313319323328
Évolution de la dépense publique en volume (%)*0-0,5-0,7-0,2-0,6-0,2
Dépense publique hors charge de la dette et hors coût des mesures engagées pour répondre à la crise sanitaire, économique et énergétique (en Md€)294304311316320325
Évolution de la dépense publique hors charge de la dette et hors coût des mesures engagées pour répondre à la crise sanitaire, économique et énergétique en volume (%)*0,1-0,5-0,5-0,5-0,5-0,5
Administrations de sécurité sociale
Solde effectif0,50,80,80,70,81
Dépense publique (en Md€)700721747772792811
Évolution de la dépense publique en volume (%)*-2,8-1,00,51,20,70,6
Dépense publique hors charge de la dette et hors coût des mesures engagées pour répondre à la crise sanitaire, économique et énergétique (en Md€)659684704726740753
Évolution de la dépense publique hors charge de la dette et hors coût des mesures engagées pour répondre à la crise sanitaire, économique et énergétique en volume (%)*-0,20,411,20,80,6
* Hors crédit d’impôt, hors transferts, à champ constant.
** Dépenses considérées comme des dépenses d’investissement au sens du dernier alinéa de l’article 1 A et du deuxième alinéa de l’article 1 E de la loi organique n° 2001-692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances.

Amdt  77


(En points de produit intérieur brut, sauf mention contraire)
Ensemble des administrations publiques
202220232024202520262027
Solde structurel (1) (en points de PIB potentiel)-4,2-4,1-3,7-3,3-2,9-2,7
Solde conjoncturel (2)-0,5-0,7-0,6-0,4-0,20,0
Solde des mesures ponctuelles et temporaires (3) (en points de PIB potentiel)-0,1-0,1-0,1-0,10,00,0
Solde effectif (1+2+3)-4,8-4,9-4,4-3,7-3,2-2,7
Dépense publique57,755,955,355,054,453,8
Dépense publique (en milliards d’euros)152315751622166817051744
Évolution de la dépense publique en volume ( %)*-1,1-1,30,50,80,50,5
Agrégat des dépenses d’investissement** (en milliards d’euros)-2530343536
Évolution de l’agrégat de dépenses d’investissement en volume ( %)--151011
Taux de prélèvements obligatoires (y.c UE nets des CI)45,444,044,144,444,444,4
Taux de prélèvements obligatoires corrigé des effets du bouclier tarifaire45,644,444,444,444,444,4
Dette au sens de Maastricht111,8109,7109,7109,6109,1108,1
État et organismes divers d’administration centrale
Solde effectif-5,2-5,4-4,7-4,3-4,2-4,1
Dépense publique (en milliards d’euros)625631639658678696
Évolution de la dépense publique en volume ( %)*-0,1-3,6-1,41,91,51,2
Administrations publiques locales
Solde effectif0,0-0,3-0,3-0,20,20,4
Dépense publique (en milliards d’euros)295312322329329331
Évolution de la dépense publique en volume ( %)*0,11,00,90,2-1,9-1,0
Administrations de sécurité sociale
Solde effectif0,40,70,60,70,91,0
Dépense publique (en milliards d’euros)704730761779798817
Évolution de la dépense publique en volume ( %)*-2,4-0,51,70,30,70,6

* Hors crédit d’impôt, hors transferts, à champ constant

** Dépenses considérées comme des dépenses d’investissement au sens du dernier alinéa de l’article 1er A et au 2° de l’article 1er E de la loi organique n° 2001-692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances.

Amdt  CF168


(En points de produit intérieur brut,
sauf mention contraire)
202220232024202520262027
Ensemble des administrations publiques
Solde structurel (1) (en points de PIB potentiel). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-4,2-4,1-3,7-3,3-2,9-2,7
Solde conjoncturel (2). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-0,5-0,7-0,6-0,4-0,20,0
Solde des mesures ponctuelles et temporaires (3) (en points de PIB potentiel). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-0,1-0,1-0,1-0,10,00,0
Solde effectif (1+2+3). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-4,8-4,9-4,4-3,7-3,2-2,7
Dépense publique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .57,755,955,355,054,453,8
Dépense publique (en milliards d’euros). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .1 5231 5751 6221 6681 7051 744
Évolution de la dépense publique en volume (en %) *. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-1,1-1,30,50,80,50,5
Agrégat des dépenses d’investissement ** (en milliards d’euros). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-2530343536
Évolution de l’agrégat de dépenses d’investissement en volume (en %). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .--151011
Taux de prélèvements obligatoires (y compris Union européenne, nets des crédits d’impôt). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .45,444,044,144,444,444,4
Taux de prélèvements obligatoires corrigé des effets du bouclier tarifaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .45,644,444,444,444,444,4
Dette au sens de Maastricht. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .111,8109,7109,7109,6109,1108,1
État et organismes divers d’administration centrale
Solde effectif. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-5,2-5,4-4,7-4,3-4,2-4,1
Dépense publique (en milliards d’euros). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .625631639658678696
Évolution de la dépense publique en volume (en %) *. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-0,1-3,6-1,41,91,51,2
Administrations publiques locales
Solde effectif. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .0,0-0,3-0,3-0,20,20,4
Dépense publique (en milliards d’euros). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .295312322329329331
Évolution de la dépense publique en volume (en %) *. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .0,11,00,90,2-1,9-1,0
Administrations de sécurité sociale
Solde effectif. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .0,40,70,60,70,91,0
Dépense publique (en milliards d’euros). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .704730761779798817
Évolution de la dépense publique en volume (en %) *. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-2,4-0,51,70,30,70,6

* Hors crédits d’impôt, hors transferts, à champ constant

** Dépenses considérées comme des dépenses d’investissement au sens du dernier alinéa de l’article 1er A et du 2° de l’article 1er E de la loi organique n° 2001-692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances


(En points de produit intérieur brut, sauf mention contraire)
202220232024202520262027
Ensemble des administrations publiques
Solde structurel (1) (en points de PIB potentiel). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-4,2-4,1-3,6-2,5-1,9-1,7
Solde conjoncturel (2). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-0,5-0,7-0,6-0,4-0,20,0
Solde des mesures ponctuelles et temporaires (3) (en points de PIB potentiel). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-0,1-0,1-0,1-0,10,00,0
Solde effectif (1+2+3). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-4,8-4,9-4,3-3,0-2,1-1,7
Dépense publique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .57,755,955,354,253,452,8
Dépense publique (en milliards d’euros). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .1 5231 5751 6201 6431 6751 711
Évolution de la dépense publique en volume (en %)*. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-1,1-1,30,30,50,20,4
Dépense publique hors charge de la dette et hors coût des mesures engagées pour répondre à la crise sanitaire, économique et énergétique (en Md€)1 4011 4801 5431 5761 6021 630
Évolution de la dépense publique hors charge de la dette et hors coûts des mesures engagées pour répondre à la crise sanitaire, économique et énergétique en volume (%)*-0,80,81,80,1-0,10,0
Agrégat des dépenses d’investissement** (en milliards d’euros). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-2530343536
Évolution de l’agrégat de dépenses d’investissement en volume (en %). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .--151011
Taux de prélèvements obligatoires (y compris Union européenne, nets des crédits d’impôt). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .45,444,044,144,444,444,4
Taux de prélèvements obligatoires corrigé des effets du bouclier tarifaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .45,644,444,444,444,444,4
Dette au sens de Maastricht. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .111,8109,7109,6109,0107,5105,7
État et organismes divers d’administration centrale
Solde effectif. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-5,2-5,4-4,6-3,5-3,2-3,1
Dépense publique (en milliards d’euros). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .625631637634648663
Évolution de la dépense publique en volume (en %)*. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-0,1-3,6-1,8-2,00,70,8
Dépense publique hors charge de la dette et hors coût des mesures engagées pour répondre à la crise sanitaire, économique et énergétique (en Md€)522544567573582588
Évolution de la dépense publique hors charge de la dette et hors coûts des mesures engagées pour répondre à la crise sanitaire, économique et énergétique en volume (%)*-3,4-0,1-0,3-0,6-0,5-0,6
Administrations publiques locales
Solde effectif. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .0,0-0,3-0,3-0,20,20,4
Dépense publique (en milliards d’euros). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .295312322329329331
Évolution de la dépense publique en volume (en %)*. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .0,11,00,80,1-1,9-0,9
Dépense publique hors charge de la dette et hors coût des mesures engagées pour répondre à la crise sanitaire, économique et énergétique (en Md€)294310320326326328
Évolution de la dépense publique hors charge de la dette et hors coûts des mesures engagées pour répondre à la crise sanitaire, économique et énergétique en volume (%)*-2,20,70,8-0,2-1,9-0,9
Administrations de sécurité sociale
Solde effectif. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .0,40,70,60,70,91,0
Dépense publique (en milliards d’euros). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .704730761779798817
Évolution de la dépense publique en volume (en %)*. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-2,4-0,51,70,30,70,6
Dépense publique hors charge de la dette et hors coût des mesures engagées pour répondre à la crise sanitaire, économique et énergétique (en Md€)687723757775795814
Évolution de la dépense publique hors charge de la dette et hors coûts des mesures engagées pour répondre à la crise sanitaire, économique et énergétique en volume (%)*-0,11,22,00,30,90,6
* Hors crédits d’impôt, hors transferts, à champ constant

Amdt COM‑16


(En points de produit intérieur brut, sauf mention contraire)
202220232024202520262027
Ensemble des administrations publiques
Solde structurel (1) (en points de PIB potentiel). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-4,2-4,1-3,6-2,5-1,9-1,7
Solde conjoncturel (2). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-0,5-0,7-0,6-0,4-0,20,0
Solde des mesures ponctuelles et temporaires (3) (en points de PIB potentiel). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-0,1-0,1-0,1-0,10,00,0
Solde effectif (1+2+3). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-4,8-4,9-4,3-3,0-2,1-1,7
Dépense publique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .57,755,955,354,253,452,8
Dépense publique (en milliards d’euros). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .1 5231 5751 6201 6431 6751 711
Évolution de la dépense publique en volume (en %)*. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-1,1-1,30,30,50,20,4
Dépense publique hors charge de la dette et hors coût des mesures engagées pour répondre à la crise sanitaire, économique et énergétique (en Md€)1 4011 4801 5431 5761 6021 630
Évolution de la dépense publique hors charge de la dette et hors coûts des mesures engagées pour répondre à la crise sanitaire, économique et énergétique en volume (%)*-0,80,81,80,1-0,10,0
Agrégat des dépenses d’investissement** (en milliards d’euros). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-2530343536
Évolution de l’agrégat de dépenses d’investissement en volume (en %). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .--151011
Taux de prélèvements obligatoires (y compris Union européenne, nets des crédits d’impôt). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .45,444,044,144,444,444,4
Taux de prélèvements obligatoires corrigé des effets du bouclier tarifaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .45,644,444,444,444,444,4
Dette au sens de Maastricht. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .111,8109,7109,6109,0107,5105,7
État et organismes divers d’administration centrale
Solde effectif. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-5,2-5,4-4,6-3,5-3,2-3,1
Dépense publique (en milliards d’euros). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .625631637634648663
Évolution de la dépense publique en volume (en %)*. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-0,1-3,6-1,8-2,00,70,8
Dépense publique hors charge de la dette et hors coût des mesures engagées pour répondre à la crise sanitaire, économique et énergétique (en Md€)522544567573582588
Évolution de la dépense publique hors charge de la dette et hors coûts des mesures engagées pour répondre à la crise sanitaire, économique et énergétique en volume (%)*-3,4-0,1-0,3-0,6-0,5-0,6
Administrations publiques locales
Solde effectif. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .0,0-0,3-0,3-0,20,20,4
Dépense publique (en milliards d’euros). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .295312322329329331
Évolution de la dépense publique en volume (en %)*. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .0,11,00,80,1-1,9-0,9
Dépense publique hors charge de la dette et hors coût des mesures engagées pour répondre à la crise sanitaire, économique et énergétique (en Md€)294310320326326328
Évolution de la dépense publique hors charge de la dette et hors coûts des mesures engagées pour répondre à la crise sanitaire, économique et énergétique en volume (%)*-2,20,70,8-0,2-1,9-0,9
Administrations de sécurité sociale
Solde effectif. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .0,40,70,60,70,91,0
Dépense publique (en milliards d’euros). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .704730761779798817
Évolution de la dépense publique en volume (en %)*. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-2,4-0,51,70,30,70,6
Dépense publique hors charge de la dette et hors coût des mesures engagées pour répondre à la crise sanitaire, économique et énergétique (en Md€)687723757775795814
Évolution de la dépense publique hors charge de la dette et hors coûts des mesures engagées pour répondre à la crise sanitaire, économique et énergétique en volume (%)*-0,11,22,00,30,90,6

* Hors crédits d’impôt, hors transferts, à champ constant

** Dépenses considérées comme des dépenses d’investissement au sens du dernier alinéa de l’article 1er A et du 2° de l’article 1er E de la loi organique n° 2001-692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances


(En points de produit intérieur brut,
sauf mention contraire)
202220232024202520262027
Ensemble des administrations publiques
Solde structurel (1) (en points de PIB potentiel). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-4,2-4,1-3,7-3,3-2,9-2,7
Solde conjoncturel (2). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-0,5-0,7-0,6-0,4-0,20,0
Solde des mesures ponctuelles et temporaires (3) (en points de PIB potentiel). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-0,1-0,1-0,1-0,10,00,0
Solde effectif (1+2+3). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-4,8-4,9-4,4-3,7-3,2-2,7
Dépense publique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .57,755,955,355,054,453,8
Dépense publique (en milliards d’euros). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .1 5231 5751 6221 6681 7051 744
Évolution de la dépense publique en volume (en %) *. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-1,1-1,30,50,80,50,5
Agrégat des dépenses d’investissement ** (en milliards d’euros). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-2530343536
Évolution de l’agrégat de dépenses d’investissement en volume (en %). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .--151011
Taux de prélèvements obligatoires (y compris Union européenne, nets des crédits d’impôt). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .45,444,044,144,444,444,4
Taux de prélèvements obligatoires corrigé des effets du bouclier tarifaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .45,644,444,444,444,444,4
Dette au sens de Maastricht. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .111,8109,7109,7109,6109,1108,1
État et organismes divers d’administration centrale
Solde effectif. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-5,2-5,4-4,7-4,3-4,2-4,1
Dépense publique (en milliards d’euros). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .625631639658678696
Évolution de la dépense publique en volume (en %) *. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-0,1-3,6-1,41,91,51,2
Administrations publiques locales
Solde effectif. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .0,0-0,3-0,3-0,20,20,4
Dépense publique (en milliards d’euros). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .295312322329329331
Évolution de la dépense publique en volume (en %) *. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .0,11,00,90,2-1,9-1,0
Administrations de sécurité sociale
Solde effectif. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .0,40,70,60,70,91,0
Dépense publique (en milliards d’euros). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .704730761779798817
Évolution de la dépense publique en volume (en %) *. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-2,4-0,51,70,30,70,6

* Hors crédits d’impôt, hors transferts, à champ constant

** Dépenses considérées comme des dépenses d’investissement au sens du dernier alinéa de l’article 1er A et du 2° de l’article 1er E de la loi organique n° 2001-692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances


(En points de produit intérieur brut,
sauf mention contraire)
202220232024202520262027
Ensemble des administrations publiques
Solde structurel (1) (en points de PIB potentiel). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-4,2-4,1-3,7-3,3-2,9-2,7
Solde conjoncturel (2). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-0,5-0,7-0,6-0,4-0,20,0
Solde des mesures ponctuelles et temporaires (3) (en points de PIB potentiel). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-0,1-0,1-0,1-0,10,00,0
Solde effectif (1+2+3). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-4,8-4,9-4,4-3,7-3,2-2,7
Dépense publique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .57,755,955,355,054,453,8
Dépense publique (en milliards d’euros). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .1 5231 5751 6221 6681 7051 744
Évolution de la dépense publique en volume (en %) *. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-1,1-1,30,50,80,50,5
Agrégat des dépenses d’investissement ** (en milliards d’euros). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-2530343536
Évolution de l’agrégat de dépenses d’investissement en volume (en %). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .--151011
Taux de prélèvements obligatoires (y compris Union européenne, nets des crédits d’impôt). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .45,444,044,144,444,444,4
Taux de prélèvements obligatoires corrigé des effets du bouclier tarifaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .45,644,444,444,444,444,4
Dette au sens de Maastricht. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .111,8109,7109,7109,6109,1108,1
État et organismes divers d’administration centrale
Solde effectif. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-5,2-5,4-4,7-4,3-4,2-4,1
Dépense publique (en milliards d’euros). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .625631639658678696
Évolution de la dépense publique en volume (en %) *. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-0,1-3,6-1,41,91,51,2
Administrations publiques locales
Solde effectif. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .0,0-0,3-0,3-0,20,20,4
Dépense publique (en milliards d’euros). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .295312322329329331
Évolution de la dépense publique en volume (en %) *. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .0,11,00,90,2-1,9-1,0
Administrations de sécurité sociale
Solde effectif. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .0,40,70,60,70,91,0
Dépense publique (en milliards d’euros). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .704730761779798817
Évolution de la dépense publique en volume (en %) *. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-2,4-0,51,70,30,70,6

* Hors crédits d’impôt, hors transferts, à champ constant

** Dépenses considérées comme des dépenses d’investissement au sens du dernier alinéa de l’article 1er A et du 2° de l’article 1er E de la loi organique n° 2001-692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances


Article 4

Article 4

Article 4

Article 4

Article 4

Article 4

Article 4

Article 4

Article 4


L’objectif d’effort structurel des administrations publiques s’établit comme suit :

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

L’objectif d’effort structurel des administrations publiques s’établit comme suit :

L’objectif d’effort structurel des administrations publiques s’établit comme suit :

(En points de produit intérieur brut potentiel)
202220232024202520262027
Effort structurel-0,21,30,30,40,50,3
Dont :
Contribution des mesures nouvelles en prélèvements obligatoires

-0,3

0,0

-0,5

-0,1

0,0

0,0

Effort en dépense (y compris crédits d’impôt)0,11,30,80,50,50,3


(En points de produit intérieur brut potentiel)
202220232024202520262027
Effort structurel-0,21,40,41,20,50,5
…dont contribution des mesures nouvelles en prélèvements obligatoires (inchangée)

-0,3

0,0

-0,5

-0,1

0,0

0,0

…dont effort en dépense0,11,40,91,30,50,5

Amdt COM‑96


(En points de produit intérieur brut potentiel)

202220232024202520262027
Effort structurel-0,21,40,41,20,50,5
Dont contribution des mesures nouvelles en prélèvements obligatoires (inchangée)

-0,3

0,0

-0,5

-0,1

0,0

0,0

Dont effort en dépense0,11,40,91,30,50,5


(En points de produit intérieur brut potentiel)
20232024202520262027
Effort structurel1,70,50,40,40,3
- dont contribution des mesures nouvelles en prélèvements obligatoires-0,30,00,20,10,0
- dont effort en dépense (y compris crédits d’impôt)2,10,50,20,30,3

Amdt  CF169


(En points de produit intérieur brut potentiel)
20232024202520262027
Effort structurel. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .1,70,50,40,40,3
- dont contribution des mesures nouvelles en prélèvements obligatoires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-0,30,00,20,10,0
- dont effort en dépense (y compris crédits d’impôt). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .2,10,50,20,30,3


(En points de produit intérieur brut potentiel)
20232024202520262027
Effort structurel. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .1,70,51,30,50,4
- dont contribution des mesures nouvelles en prélèvements obligatoires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-0,30,00,20,10,0
- dont effort en dépense (y compris crédits d’impôt). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .0,00,51,10,40,4

Amdt COM‑17


(En points de produit intérieur brut potentiel)
20232024202520262027
Effort structurel. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .1,70,51,30,50,4
- dont contribution des mesures nouvelles en prélèvements obligatoires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-0,30,00,20,10,0
- dont effort en dépense (y compris crédits d’impôt). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .0,00,51,10,40,4


(En points de produit intérieur brut potentiel)
20232024202520262027
Effort structurel. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .1,70,50,40,40,3
- dont contribution des mesures nouvelles en prélèvements obligatoires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-0,30,00,20,10,0
- dont effort en dépense (y compris crédits d’impôt). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .2,10,50,20,30,3


(En points de produit intérieur brut potentiel)
20232024202520262027
Effort structurel. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .1,70,50,40,40,3
- dont contribution des mesures nouvelles en prélèvements obligatoires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-0,30,00,20,10,0
- dont effort en dépense (y compris crédits d’impôt). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .2,10,50,20,30,3








. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .


. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .




Article 5

Article 5

Article 5

Article 5

(Non modifié)

Article 5

(Conforme)



Article 5

Article 5


I. – Lorsque des écarts importants, au sens de l’article 62 de la loi organique  2001‑692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances, sont constatés par le Haut Conseil des finances publiques entre l’exécution de l’année écoulée et la trajectoire de solde structurel décrite à l’article 2 de la présente loi, le Gouvernement, lors de l’examen du projet de loi relatif aux résultats de la gestion et portant approbation des comptes de l’année par chaque assemblée et conformément à ses engagements tels qu’ils résultent du traité mentionné au même article 2 :

I. – (Non modifié)

I. – (Alinéa sans modification)





I. – Lorsque des écarts importants, au sens de l’article 62 de la loi organique  2001‑692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances, sont constatés par le Haut Conseil des finances publiques entre l’exécution de l’année écoulée et la trajectoire de solde structurel décrite à l’article 2 de la présente loi, le Gouvernement, lors de l’examen du projet de loi relatif aux résultats de la gestion et portant approbation des comptes de l’année par chaque assemblée et conformément à ses engagements tels qu’ils résultent du traité mentionné au même article 2 :

I. – Lorsque des écarts importants, au sens de l’article 62 de la loi organique  2001‑692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances, sont constatés par le Haut Conseil des finances publiques entre l’exécution de l’année écoulée et la trajectoire de solde structurel décrite à l’article 2 de la présente loi, le Gouvernement, lors de l’examen du projet de loi relatif aux résultats de la gestion et portant approbation des comptes de l’année par chaque assemblée et conformément à ses engagements tels qu’ils résultent du traité mentionné au même article 2 :

1° Expose les raisons de ces écarts appréciés dans le cadre d’une évaluation prenant pour référence le solde structurel et comprenant une analyse de l’effort structurel sous‑jacent défini dans le rapport mentionné à l’article 1er de la présente loi ;


1° Expose les raisons de ces écarts appréciés dans le cadre d’une évaluation prenant pour référence le solde structurel et comprenant une analyse de l’effort structurel sous‑jacent défini dans le rapport mentionné à l’article 1er ;





1° Expose les raisons de ces écarts, appréciés dans le cadre d’une évaluation prenant pour référence le solde structurel et comprenant une analyse de l’effort structurel sous‑jacent défini dans le rapport mentionné à l’article 1er ;

1° Expose les raisons de ces écarts, appréciés dans le cadre d’une évaluation prenant pour référence le solde structurel et comprenant une analyse de l’effort structurel sous‑jacent défini dans le rapport mentionné à l’article 1er ;

2° Indique les mesures de correction envisagées, dont il est tenu compte dans le prochain projet de loi de finances de l’année et dans le prochain projet de loi de financement de la sécurité sociale de l’année. Ces mesures de correction permettent de retourner à la trajectoire de solde structurel décrite à l’article 2 de la présente loi dans un délai maximal de deux ans à compter de la fin de l’année au cours de laquelle les écarts ont été constatés. Elles portent sur l’ensemble des administrations publiques.


2° Indique les mesures de correction envisagées, dont il est tenu compte dans le prochain projet de loi de finances de l’année et dans le prochain projet de loi de financement de la sécurité sociale de l’année. Ces mesures de correction permettent de retourner à la trajectoire de solde structurel décrite à l’article 2 dans un délai maximal de deux ans à compter de la fin de l’année au cours de laquelle les écarts ont été constatés. Elles portent sur l’ensemble des administrations publiques.





2° Indique les mesures de correction envisagées, dont il est tenu compte dans le prochain projet de loi de finances de l’année et dans le prochain projet de loi de financement de la sécurité sociale de l’année. Ces mesures de correction permettent de retourner à la trajectoire de solde structurel décrite à l’article 2 dans un délai maximal de deux ans à compter de la fin de l’année au cours de laquelle les écarts ont été constatés. Elles portent sur l’ensemble des administrations publiques.

2° Indique les mesures de correction envisagées, dont il est tenu compte dans le prochain projet de loi de finances de l’année et dans le prochain projet de loi de financement de la sécurité sociale de l’année. Ces mesures de correction permettent de retourner à la trajectoire de solde structurel décrite à l’article 2 dans un délai maximal de deux ans à compter de la fin de l’année au cours de laquelle les écarts ont été constatés. Elles portent sur l’ensemble des administrations publiques.

II. – Les obligations prévues au 2° du I ne s’appliquent pas :

II. – (Alinéa sans modification)

II. – (Alinéa sans modification)





II. – Les obligations prévues au 2° du I ne s’appliquent pas :

II. – Les obligations prévues au 2° du I ne s’appliquent pas :

 lorsque le Haut Conseil des finances publiques estime, dans son avis prévu au I de l’article 62 de la loi organique  2001‑692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances, que des circonstances exceptionnelles au sens du b) du 3 de l’article 3 du traité mentionné à l’article 2 sont de nature à justifier les écarts constatés ;

 Lorsque le Haut Conseil des finances publiques estime, dans son avis prévu au I de l’article 62 de la loi organique  2001‑692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances, que des circonstances exceptionnelles au sens du b) du 3 de l’article 3 du traité mentionné à l’article 2 de la présente loi sont de nature à justifier les écarts constatés ;

1° Lorsque le Haut Conseil des finances publiques estime, dans son avis prévu au I de l’article 62 de la loi organique  2001‑692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances, que des circonstances exceptionnelles au sens du b du 3 de l’article 3 du traité mentionné à l’article 2 de la présente loi sont de nature à justifier les écarts constatés ;





1° Lorsque le Haut Conseil des finances publiques estime, dans son avis prévu au I de l’article 62 de la loi organique  2001‑692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances, que des circonstances exceptionnelles, au sens du b du 3 de l’article 3 du traité mentionné à l’article 2 de la présente loi, sont de nature à justifier les écarts constatés ;

1° Lorsque le Haut Conseil des finances publiques estime, dans son avis prévu au I de l’article 62 de la loi organique  2001‑692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances, que des circonstances exceptionnelles, au sens du b du 3 de l’article 3 du traité mentionné à l’article 2 de la présente loi, sont de nature à justifier les écarts constatés ;

 lorsque le Haut Conseil des finances publiques n’a pas constaté, sur demande du Gouvernement ou dans son avis mentionné à l’alinéa précédent, que ces circonstances exceptionnelles ont cessé de l’être.

 Lorsque le Haut Conseil des finances publiques n’a pas constaté, sur demande du Gouvernement ou dans son avis mentionné au 1° du présent II, que ces circonstances exceptionnelles ont cessé de l’être.

2° (Non modifié)





2° Lorsque le Haut Conseil des finances publiques n’a pas constaté, sur demande du Gouvernement ou dans son avis mentionné au 1° du présent II, que ces circonstances exceptionnelles ont cessé de l’être.

2° Lorsque le Haut Conseil des finances publiques n’a pas constaté, sur demande du Gouvernement ou dans son avis mentionné au 1° du présent II, que ces circonstances exceptionnelles ont cessé de l’être.

Article 6

Article 6

(Non modifié)

Article 6

Article 6

Article 6

Article 6

Article 6

(Conforme)

Article 6

Article 6


L’incidence des mesures afférentes aux prélèvements obligatoires adoptées par le Parlement ou prises par le Gouvernement par voie réglementaire à compter du 1er juillet 2022 ne peut être inférieure aux montants suivants, exprimés en milliards d’euros courants :


(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)


L’incidence des mesures afférentes aux prélèvements obligatoires adoptées par le Parlement ou prises par le Gouvernement par voie réglementaire à compter du 1er juillet 2022 ne peut être inférieure aux montants suivants, exprimés en milliards d’euros courants :

L’incidence des mesures afférentes aux prélèvements obligatoires adoptées par le Parlement ou prises par le Gouvernement par voie réglementaire à compter du 1er juillet 2022 ne peut être inférieure aux montants suivants, exprimés en milliards d’euros courants :

20232024202520262027
Incidence de l’ensemble des mesures-7-5-1,5

-1,5

-1,5

dont incidence relative aux dépenses fiscales-100

0

0

dont incidence relative aux exonérations, abattements d’assiette et réductions de taux applicables aux cotisations sociales-100

0

0


20232024202520262027
Incidence de l’ensemble des mesures-7-5-1,5

-1,5

-1,5

dont incidence relative aux dépenses fiscales-100

0

0

dont incidence relative aux exonérations, abattements d’assiette et réductions de taux applicables aux cotisations sociales-100

0

0



20232024202520262027
Incidence de l’ensemble des mesures-7-5-1,5-1,5-1,5
Dont incidence relative aux dépenses fiscales-10000
Dont incidence relative aux exonérations, abattements d’assiette et réductions de taux applicables aux cotisations sociales-10000


20232024202520262027
Incidence de l’ensemble des mesures-5,0-2,0-3,0-2,0-3,0
- dont incidence relative aux dépenses fiscales-0,5-0,5-0,5-0,5-1,0
- dont incidence relative aux exonérations, abattements d’assiette et réductions de taux applicables aux cotisations sociales-1,00,00,00,00,0

Amdt  CF170


20232024202520262027
Incidence de l’ensemble des mesures. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-5,0-2,0-3,0-2,0-3,0
- dont incidence relative aux dépenses fiscales. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-0,5-0,5-0,5-0,5-1,0
- dont incidence relative aux exonérations, abattements d’assiette et réductions de taux applicables aux cotisations sociales. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-1,00,00,00,00,0


20232024202520262027
Incidence de l’ensemble des mesures. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-5,0-2,0-3,0-2,0-3,0
- dont incidence relative aux dépenses fiscales. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-0,5-0,5-0,5-0,5-1,0
- dont incidence relative aux exonérations, abattements d’assiette et réductions de taux applicables aux cotisations sociales. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-1,00,00,00,00,0



20232024202520262027
Incidence de l’ensemble des mesures. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-5,0-2,0-3,0-2,0-3,0
- dont incidence relative aux dépenses fiscales. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-0,5-0,5-0,5-0,5-1,0
- dont incidence relative aux exonérations, abattements d’assiette et réductions de taux applicables aux cotisations sociales. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-1,00,00,00,00,0


20232024202520262027
Incidence de l’ensemble des mesures. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-5,0-2,0-3,0-2,0-3,0
- dont incidence relative aux dépenses fiscales. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-0,5-0,5-0,5-0,5-1,0
- dont incidence relative aux exonérations, abattements d’assiette et réductions de taux applicables aux cotisations sociales. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-1,00,00,00,00,0


L’incidence mentionnée au premier alinéa est appréciée, pour une année donnée, au regard de la situation de l’année précédente.


(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)


L’incidence mentionnée au premier alinéa est appréciée, pour une année donnée, au regard de la situation de l’année précédente.

L’incidence mentionnée au premier alinéa est appréciée, pour une année donnée, au regard de la situation de l’année précédente.

Article 7

Article 7

Article 7

(Non modifié)

Article 7

Article 7

Article 7

(Non modifié)

Article 7

(Conforme)

Article 7

Article 7


Lorsqu’elles ont un caractère incitatif ou constituent une aide sectorielle, les dépenses fiscales instituées par un texte promulgué à compter du 1er janvier 2023 sont applicables pour une durée précisée par le texte qui les institue et qui ne peut excéder quatre ans. Les dépenses fiscales ne peuvent être prorogées que pour une période maximale de quatre ans.

Lorsqu’elles ont un caractère incitatif ou constituent une aide sectorielle, les dépenses fiscales instituées par une loi promulguée à compter du 1er janvier 2023 sont applicables pour une durée précisée par la loi qui les institue et qui ne peut excéder trois ans. Les dépenses fiscales ne peuvent être prorogées que pour une période maximale de trois ans à condition d’avoir fait l’objet d’une évaluation, présentée par le Gouvernement au Parlement, des principales caractéristiques des bénéficiaires de la mesure, qui précise l’efficacité et le coût de celle‑ci.

Amdts COM‑97, COM‑3, COM‑49


Les dépenses fiscales instituées par une loi promulguée après le 1er janvier 2023 sont applicables pour une durée précisée par la loi qui les institue et qui ne peut excéder trois ans. Les dépenses fiscales ne peuvent être prorogées que pour une période maximale de trois ans à condition d’avoir fait l’objet d’une évaluation, présentée par le Gouvernement au Parlement, des principales caractéristiques des bénéficiaires de la mesure, qui précise l’efficacité et le coût de celle‑ci.

Amdt  CF82

Les dépenses fiscales instituées par une loi promulguée après le 1er janvier 2024 sont applicables pour une durée qui est précisée par la loi les instituant et qui ne peut excéder trois ans. Les dépenses fiscales ne peuvent être prorogées que pour une période maximale de trois ans et à la condition d’avoir fait l’objet d’une évaluation, présentée par le Gouvernement au Parlement, des principales caractéristiques des bénéficiaires des mesures, qui précise l’efficacité et le coût de celles‑ci.

Amdt  111



Les dépenses fiscales instituées par une loi promulguée après le 1er janvier 2024 sont applicables pour une durée qui est précisée par la loi les instituant et qui ne peut excéder trois ans. Les dépenses fiscales ne peuvent être prorogées que pour une période maximale de trois ans et à la condition d’avoir fait l’objet d’une évaluation, présentée par le Gouvernement au Parlement, des principales caractéristiques des bénéficiaires des mesures, qui précise l’efficacité et le coût de celles‑ci.

Les dépenses fiscales instituées par une loi promulguée après le 1er janvier 2024 sont applicables pour une durée qui est précisée par la loi les instituant et qui ne peut excéder trois ans. Les dépenses fiscales ne peuvent être prorogées que pour une période maximale de trois ans et à la condition d’avoir fait l’objet d’une évaluation, présentée par le Gouvernement au Parlement, des principales caractéristiques des bénéficiaires des mesures, qui précise l’efficacité et le coût de celles‑ci.


Article 8

Article 8

Article 8

(Non modifié)

Article 8

Article 8

(Non modifié)

Article 8

Article 8

(Non modifié)

Article 8

Article 8


Les impositions de toutes natures affectées à des tiers autres que les collectivités territoriales, les établissements publics de coopération intercommunale et les organismes de sécurité sociale font, sauf dérogation justifiée, l’objet d’un plafonnement conformément au mécanisme prévu à l’article 46 de la loi  2011‑1977 du 28 décembre 2011 de finances pour 2012.

Les impositions de toutes natures affectées à des tiers autres que les collectivités territoriales, les établissements publics de coopération intercommunale et les organismes de sécurité sociale font, sauf dérogation justifiée, l’objet d’un plafonnement dans les conditions prévues à l’article 46 de la loi  2011‑1977 du 28 décembre 2011 de finances pour 2012.

Amdts COM‑98, COM‑51


(Alinéa sans modification)


Les impositions de toutes natures affectées à des tiers autres que les collectivités territoriales, les établissements publics de coopération intercommunale et les organismes de sécurité sociale font, sauf dérogation justifiée, l’objet d’un plafonnement dans les conditions prévues par les lois de finances initiales.

Amdt COM‑18


Les impositions de toutes natures affectées à des tiers autres que les collectivités territoriales, les établissements publics de coopération intercommunale et les organismes de sécurité sociale font, sauf dérogation justifiée, l’objet d’un plafonnement dans les conditions prévues par les lois de finances initiales.

Amdt  11

Les impositions de toutes natures affectées à des tiers autres que les collectivités territoriales, les établissements publics de coopération intercommunale et les organismes de sécurité sociale font, sauf dérogation justifiée, l’objet d’un plafonnement dans les conditions prévues par les lois de finances initiales.

Le niveau du plafond, résultant de la loi de finances initiale de l’année, d’une imposition de toutes natures affectée à des tiers autres que les collectivités territoriales, les établissements publics de coopération intercommunale et les organismes de sécurité sociale, ne peut excéder de plus de 5 % le rendement de l’imposition prévu à l’annexe mentionnée au 4° de l’article 51 de la loi organique  2001‑692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances pour l’année considérée.

(Alinéa sans modification)


Le niveau du plafond, résultant de la loi de finances de l’année, d’une imposition de toutes natures affectée à des tiers autres que les collectivités territoriales, les établissements publics de coopération intercommunale et les organismes de sécurité sociale ne peut excéder de plus de 5 % le rendement de l’imposition prévu à l’annexe mentionnée au 4° de l’article 51 de la loi organique  2001‑692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances pour l’année considérée.


(Alinéa sans modification)


Le niveau du plafond, résultant de la loi de finances de l’année, d’une imposition de toutes natures affectée à des tiers autres que les collectivités territoriales, les établissements publics de coopération intercommunale et les organismes de sécurité sociale ne peut excéder de plus de 5 % le rendement de l’imposition prévu à l’annexe mentionnée au 4° de l’article 51 de la loi organique  2001‑692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances pour l’année considérée.

Le niveau du plafond, résultant de la loi de finances de l’année, d’une imposition de toutes natures affectée à des tiers autres que les collectivités territoriales, les établissements publics de coopération intercommunale et les organismes de sécurité sociale ne peut excéder de plus de 5 % le rendement de l’imposition prévu à l’annexe mentionnée au 4° de l’article 51 de la loi organique  2001‑692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances pour l’année considérée.




Chaque année, en vue d’éclairer la préparation du projet de loi de finances, le Gouvernement remet au Parlement la liste des impositions de toutes natures non plafonnées affectées à des tiers autres que les collectivités territoriales, les établissements publics de coopération intercommunale et les organismes de sécurité sociale, ainsi que les motivations ayant présidé à l’absence de plafonnement.

Amdt  CF155


Chaque année, en vue d’éclairer la préparation du projet de loi de finances, le Gouvernement remet au Parlement, au plus tard le 1er avril, la liste des impositions de toutes natures non plafonnées affectées à des tiers autres que les collectivités territoriales, les établissements publics de coopération intercommunale et les organismes de sécurité sociale, ainsi que les motivations ayant présidé à l’absence de plafonnement.

Amdt COM‑19


Chaque année, en vue d’éclairer la préparation du projet de loi de finances, le Gouvernement remet au Parlement la liste des impositions de toutes natures non plafonnées affectées à des tiers autres que les collectivités territoriales, les établissements publics de coopération intercommunale et les organismes de sécurité sociale, ainsi que les motivations ayant présidé à l’absence de plafonnement.

Chaque année, en vue d’éclairer la préparation du projet de loi de finances, le Gouvernement remet au Parlement la liste des impositions de toutes natures non plafonnées affectées à des tiers autres que les collectivités territoriales, les établissements publics de coopération intercommunale et les organismes de sécurité sociale, ainsi que les motivations ayant présidé à l’absence de plafonnement.



Article 8 bis (nouveau)

Article 8 bis

Article 8 bis

Article 8 bis

(Non modifié)

Article 8 bis

Article 9

Article 9




Le I de l’article L. 100‑1 A du code de l’énergie est complété par un 7° ainsi rédigé :

Amdt  17

L’article L. 100‑1 A du code de l’énergie est ainsi modifié :

(Alinéa sans modification)


(Alinéa sans modification)

L’article L. 100‑1 A du code de l’énergie est ainsi modifié :

L’article L. 100‑1 A du code de l’énergie est ainsi modifié :




1° Le I est complété par un 7° ainsi rédigé :

1° (Non modifié)


1° (Alinéa sans modification)

1° Le I est complété par un 7° ainsi rédigé :

1° Le I est complété par un 7° ainsi rédigé :



« 7° Les moyens financiers nécessaires à l’atteinte des objectifs mentionnés aux 1° à 6° du présent I. »

Amdt  17

« 7° La programmation des moyens financiers nécessaires à l’atteinte des objectifs mentionnés aux 1° à 6° du présent I. » ;



« 7° Les moyens financiers publics, en précisant la répartition entre l’État et les collectivités territoriales, nécessaires à l’atteinte des objectifs mentionnés aux 1° à 6° du présent I, selon une logique de répartition planifiée annuelle. » ;

Amdt  3

« 7° La programmation des moyens financiers nécessaires à l’atteinte des objectifs mentionnés aux 1° à 6° du présent I. » ;

« 7° La programmation des moyens financiers nécessaires à l’atteinte des objectifs mentionnés aux 1° à 6° du présent I. » ;




2° (nouveau) Après le I, il est inséré un I bis ainsi rédigé :

 (nouveau) Après le même I, il est inséré un I bis ainsi rédigé :


2° (Non modifié)

 Après le même I, il est inséré un I bis ainsi rédigé :

 Après le même I, il est inséré un I bis ainsi rédigé :




« I bis. – Le Gouvernement transmet chaque année au Parlement, avant le début de la session ordinaire, une stratégie pluriannuelle qui définit les financements de la transition écologique et de la politique énergétique nationale. Cette stratégie est compatible avec les objectifs mentionnés aux 1° à 6° du I du présent article ainsi qu’avec la programmation des moyens financiers mentionnée au 7° du I. Elle peut donner lieu à un débat à l’Assemblée nationale et au Sénat. »

Amdt  CF165

« I bis. – Le Gouvernement transmet chaque année au Parlement, avant le début de la session ordinaire, une stratégie pluriannuelle qui définit les financements de la transition écologique et de la politique énergétique nationale. Cette stratégie est compatible avec les objectifs mentionnés aux 1° à 6° du I du présent article ainsi qu’avec la programmation des moyens financiers mentionnée au 7° du même I. Elle peut donner lieu à un débat à l’Assemblée nationale et au Sénat. »



« I bis. – Le Gouvernement transmet chaque année au Parlement, avant le début de la session ordinaire, une stratégie pluriannuelle qui définit les financements de la transition écologique et de la politique énergétique nationale. Cette stratégie est compatible avec les objectifs mentionnés aux 1° à 6° du I du présent article ainsi qu’avec la programmation des moyens financiers mentionnée au 7° du même I. Elle peut donner lieu à un débat à l’Assemblée nationale et au Sénat. »

« I bis. – Le Gouvernement transmet chaque année au Parlement, avant le début de la session ordinaire, une stratégie pluriannuelle qui définit les financements de la transition écologique et de la politique énergétique nationale. Cette stratégie est compatible avec les objectifs mentionnés aux 1° à 6° du I du présent article ainsi qu’avec la programmation des moyens financiers mentionnée au 7° du même I. Elle peut donner lieu à un débat à l’Assemblée nationale et au Sénat. »

Chapitre II

Le cadre financier pluriannuel des administrations publiques centrales

Chapitre II

Le cadre financier pluriannuel des administrations publiques centrales

Chapitre II

Le cadre financier pluriannuel des administrations publiques centrales

Chapitre II

Le cadre financier pluriannuel des administrations publiques centrales

Chapitre II

Le cadre financier pluriannuel des administrations publiques centrales

Chapitre II

Le cadre financier pluriannuel des administrations publiques centrales

Chapitre II

Le cadre financier pluriannuel des administrations publiques centrales

Chapitre II

Le cadre financier pluriannuel des administrations publiques centrales

Chapitre II

Le cadre financier pluriannuel des administrations publiques centrales


Article 9

Article 9

Article 9

Article 9

Article 9

(Non modifié)

Article 9

(Non modifié)

Article 9

Article 10

Article 10


I. – L’agrégat « Périmètre des dépenses de l’État » est composé :

I. – (Alinéa sans modification)

I. – (Alinéa sans modification)

I. – (Alinéa sans modification)



I. – (Alinéa sans modification)

I. – L’agrégat « Périmètre des dépenses de l’État » est composé :

I. – L’agrégat « Périmètre des dépenses de l’État » est composé :

1° Des crédits du budget général hors dépenses de contribution aux pensions civiles et militaires, charge de la dette, amortissement de la dette de l’État liée à la covid‑19 et remboursements et dégrèvements ;

1° (Non modifié)

1° (Non modifié)

1° Des crédits du budget général, hors dépenses de contribution aux pensions civiles et militaires, hors charge de la dette, hors amortissement de la dette de l’État liée à la covid‑19 et hors remboursements et dégrèvements d’impôts ;

Amdt  CF173



1° (Non modifié)

1° Des crédits du budget général, hors dépenses de contribution aux pensions civiles et militaires, hors charge de la dette, hors amortissement de la dette de l’État liée à la covid‑19 et hors remboursements et dégrèvements d’impôts ;

1° Des crédits du budget général, hors dépenses de contribution aux pensions civiles et militaires, hors charge de la dette, hors amortissement de la dette de l’État liée à la covid‑19 et hors remboursements et dégrèvements d’impôts ;

2° Des impositions de toutes natures plafonnées conformément au mécanisme prévu à l’article 46 de la loi  2011‑1977 du 28 décembre 2011 de finances pour 2012 ;

2° Des impositions de toutes natures plafonnées dans les conditions prévues à l’article 46 de la loi  2011‑1977 du 28 décembre 2011 de finances pour 2012 ;

Amdts COM‑99, COM‑53

2° (Non modifié)

2° (Non modifié)



2° Des impositions de toutes natures plafonnées dans les conditions prévues à l’article 46 de la loi  2011‑1977 du 28 décembre 2011 de finances pour 2012 et dans la loi de finances de l’année ;

Amdt  62

2° Des impositions de toutes natures plafonnées dans les conditions prévues à l’article 46 de la loi  2011‑1977 du 28 décembre 2011 de finances pour 2012 et par la loi de finances de l’année ;

Amdt  13

2° Des impositions de toutes natures plafonnées dans les conditions prévues à l’article 46 de la loi  2011‑1977 du 28 décembre 2011 de finances pour 2012 et par la loi de finances de l’année ;

3° Des budgets annexes ;

3° (Non modifié)

3° (Non modifié)

3° (Non modifié)



3° (Non modifié)

3° Des budgets annexes ;

3° Des budgets annexes ;

4° Des dépenses des comptes d’affectation spéciale hors compte d’affectation spéciale « Désendettement de l’État », compte d’affectation spéciale « Participations financières de l’État » et compte d’affectation spéciale « Pensions militaires d’invalidité et des victimes de guerre et autres pensions » ;

4° Des dépenses des comptes d’affectation spéciale hors compte d’affectation spéciale « Participations financières de l’État », programme « Désendettement de l’État » du compte d’affectation spéciale « Contrôle de la circulation et du stationnement routiers » et programme « Pensions militaires d’invalidité et des victimes de guerre et autres pensions » du compte d’affectation spéciale « Pensions » ;

Amdt COM‑100

4° Des dépenses des comptes d’affectation spéciale hors compte d’affectation spéciale « Participations financières de l’État », du programme « Désendettement de l’État » du compte d’affectation spéciale « Contrôle de la circulation et du stationnement routiers » et du programme « Pensions militaires d’invalidité et des victimes de guerre et autres pensions » du compte d’affectation spéciale « Pensions » ;

4° Des dépenses des comptes d’affectation spéciale, hors programme « Contribution des cessions immobilières au désendettement de l’État » du compte d’affectation spéciale « Gestion du patrimoine immobilier de l’État », hors compte d’affectation spéciale « Participations financières de l’État », hors programme « Désendettement de l’État » du compte d’affectation spéciale « Contrôle de la circulation et du stationnement routiers » et hors programme « Pensions militaires d’invalidité et des victimes de guerre et autres pensions » du compte d’affectation spéciale « Pensions » ;

Amdt  CF177



4° (Non modifié)

4° Des dépenses des comptes d’affectation spéciale, hors programme « Contribution des cessions immobilières au désendettement de l’État » du compte d’affectation spéciale « Gestion du patrimoine immobilier de l’État », hors compte d’affectation spéciale « Participations financières de l’État », hors programme « Désendettement de l’État » du compte d’affectation spéciale « Contrôle de la circulation et du stationnement routiers » et hors programme « Pensions militaires d’invalidité et des victimes de guerre et autres pensions » du compte d’affectation spéciale « Pensions » ;

4° Des dépenses des comptes d’affectation spéciale, hors programme « Contribution des cessions immobilières au désendettement de l’État » du compte d’affectation spéciale « Gestion du patrimoine immobilier de l’État », hors compte d’affectation spéciale « Participations financières de l’État », hors programme « Désendettement de l’État » du compte d’affectation spéciale « Contrôle de la circulation et du stationnement routiers » et hors programme « Pensions militaires d’invalidité et des victimes de guerre et autres pensions » du compte d’affectation spéciale « Pensions » ;

5° Des dépenses du compte de concours financier « Avances à l’audiovisuel public » ;

5° (Non modifié)

5° (Non modifié)

5° (Non modifié)



5° (Non modifié)

5° Des dépenses du compte de concours financier « Avances à l’audiovisuel public » ;

5° Des dépenses du compte de concours financier « Avances à l’audiovisuel public » ;

6° Du prélèvement sur recettes au profit de l’Union européenne ;

6° (Non modifié)

6° (Non modifié)

6° (Non modifié)



6° (Non modifié)

6° Du prélèvement sur recettes au profit de l’Union européenne ;

6° Du prélèvement sur recettes au profit de l’Union européenne ;

7° Des prélèvements sur recettes au profit des collectivités territoriales ;

7° (Non modifié)

7° (Non modifié)

7° (Non modifié)



7° (Non modifié)

7° Des prélèvements sur recettes au profit des collectivités territoriales ;

7° Des prélèvements sur recettes au profit des collectivités territoriales ;

8° Des retraitements de flux internes au budget de l’État.

8° (Non modifié)

8° (Non modifié)

8° (Non modifié)



8° (Non modifié)

8° Des retraitements de flux internes au budget de l’État.

8° Des retraitements de flux internes au budget de l’État.

II. – Les dépenses de ce périmètre sont fixées, en euros courants, à 480 milliards d’euros en 2023, 485 milliards d’euros en 2024, 496 milliards d’euros en 2025, 501 milliards d’euros en 2026 et 509 milliards d’euros en 2027.

II. – Les dépenses relevant du périmètre mentionné au I sont au plus égales, en euros courants, à 480 milliards d’euros en 2023, 485 milliards d’euros en 2024, 496 milliards d’euros en 2025, 501 milliards d’euros en 2026 et 509 milliards d’euros en 2027.

Amdts COM‑101, COM‑102, COM‑54

II. – (Non modifié)

II. – Les dépenses relevant du périmètre mentionné au I sont au plus égales, en euros courants, à 496 milliards d’euros en 2023, à 491 milliards d’euros en 2024, à 505 milliards d’euros en 2025, à 512 milliards d’euros en 2026 et à 519 milliards d’euros en 2027.

Amdt  CF171



II. – (Non modifié)

II. – Les dépenses relevant du périmètre mentionné au I sont au plus égales, en euros courants, à 496 milliards d’euros en 2023, à 491 milliards d’euros en 2024, à 505 milliards d’euros en 2025, à 512 milliards d’euros en 2026 et à 519 milliards d’euros en 2027.

II. – Les dépenses relevant du périmètre mentionné au I sont au plus égales, en euros courants, à 496 milliards d’euros en 2023, à 491 milliards d’euros en 2024, à 505 milliards d’euros en 2025, à 512 milliards d’euros en 2026 et à 519 milliards d’euros en 2027.



III. – Le Gouvernement transmet chaque année au Parlement une présentation précise et détaillée du périmètre des dépenses de l’État dans l’exposé général des motifs du projet de loi de finances.

III. – Le Gouvernement transmet chaque année au Parlement une présentation précise et détaillée du périmètre des dépenses de l’État dans l’exposé général des motifs du projet de loi de finances. Cette présentation indique la décomposition du périmètre des dépenses de l’État selon les composantes définies au I.

Amdt COM‑103

III. – (Non modifié)

III. – (Non modifié)



III. – (Non modifié)

III. – Le Gouvernement transmet chaque année au Parlement une présentation précise et détaillée du périmètre des dépenses de l’État dans l’exposé des motifs du projet de loi de finances. Cette présentation indique la décomposition du périmètre des dépenses de l’État selon les composantes définies au I.

III. – Le Gouvernement transmet chaque année au Parlement une présentation précise et détaillée du périmètre des dépenses de l’État dans l’exposé des motifs du projet de loi de finances. Cette présentation indique la décomposition du périmètre des dépenses de l’État selon les composantes définies au I.



Article 10

Article 10

Article 10

Article 10

Article 10

(Non modifié)

Article 10

Article 10

(Non modifié)

Article 11

Article 11


L’objectif d’exécution des schémas d’emploi de 2023 à 2027 pour l’État et ses opérateurs est la stabilité globale des emplois exprimés en équivalents temps plein.

L’objectif d’exécution des schémas d’emploi de 2023 à 2027 pour l’État et ses opérateurs est au plus la stabilité globale des emplois exprimés en équivalents temps plein.

Amdt COM‑104

L’objectif d’exécution des schémas d’emploi de 2023 à 2027 pour l’État et ses opérateurs est, au plus, une réduction de 5 % des emplois exprimés en équivalents temps plein.

Amdt  54 rect.

L’objectif d’exécution des schémas d’emploi de 2023 à 2027 pour l’État et ses opérateurs est, au plus, la stabilité globale des emplois exprimés en équivalents temps plein.

Amdt  CF152


L’objectif d’exécution des schémas d’emploi de 2023 à 2027 pour l’État et ses opérateurs est, au plus, la réduction de 5 % des emplois exprimés en équivalents temps plein.

Amdts COM‑10 rect. bis, COM‑20


L’objectif d’exécution des schémas d’emploi de 2023 à 2027 pour l’État et ses opérateurs est, au plus, la stabilité globale des emplois exprimés en équivalents temps plein.

L’objectif d’exécution des schémas d’emploi de 2023 à 2027 pour l’État et ses opérateurs est, au plus, la stabilité globale des emplois exprimés en équivalents temps plein.








. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .


. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .




Article 11

Article 11

Article 11

(Non modifié)

Article 11

(Non modifié)

Article 11

(Conforme)



Article 12

Article 12


I. – Le plafond des autorisations d’emplois de l’État prévu en loi de finances initiale, spécialisé par ministère, ne peut excéder de plus de 1 % la consommation d’emplois constatée dans la dernière loi relative aux résultats de la gestion et portant approbation des comptes de l’année, corrigée de l’incidence des schémas d’emplois, des mesures de transfert et des mesures de périmètre intervenus ou prévus.

I. – (Non modifié)






I. – Le plafond des autorisations d’emplois de l’État prévu en loi de finances de l’année, spécialisé par ministère, ne peut excéder de plus de 1 % la consommation d’emplois constatée dans la dernière loi relative aux résultats de la gestion et portant approbation des comptes de l’année, corrigée de l’incidence des schémas d’emplois, des mesures de transfert et des mesures de périmètre intervenus ou prévus.

I. – Le plafond des autorisations d’emplois de l’État prévu en loi de finances de l’année, spécialisé par ministère, ne peut excéder de plus de 1 % la consommation d’emplois constatée dans la dernière loi relative aux résultats de la gestion et portant approbation des comptes de l’année, corrigée de l’incidence des schémas d’emplois, des mesures de transfert et des mesures de périmètre intervenus ou prévus.

II. – Le plafond des autorisations d’emplois des opérateurs de l’État prévu en loi de finances initiale, spécialisé par mission, ne peut excéder de plus de 5 % la consommation d’emplois constatée dans la dernière loi relative aux résultats de la gestion et portant approbation des comptes de l’année, corrigée de l’incidence des schémas d’emplois, des mesures de transfert et des mesures de périmètre intervenus ou prévus.

II. – Le plafond des autorisations d’emplois des opérateurs de l’État prévu en loi de finances initiale, spécialisé par mission, ne peut excéder de plus de 5 % en 2024, 4 % en 2025 et 2026 et 3 % en 2027, la consommation d’emplois constatée dans la dernière loi relative aux résultats de la gestion et portant approbation des comptes de l’année, corrigée de l’incidence des schémas d’emplois, des mesures de transfert et des mesures de périmètre intervenus ou prévus.

Amdt COM‑55






II. – Le plafond des autorisations d’emplois des opérateurs de l’État prévu en loi de finances de l’année, spécialisé par mission, ne peut excéder de plus de 5 % en 2024, de 4 % en 2025 et 2026 et de 3 % en 2027 la consommation d’emplois constatée dans la dernière loi relative aux résultats de la gestion et portant approbation des comptes de l’année, corrigée de l’incidence des schémas d’emplois, des mesures de transfert et des mesures de périmètre intervenus ou prévus.

II. – Le plafond des autorisations d’emplois des opérateurs de l’État prévu en loi de finances de l’année, spécialisé par mission, ne peut excéder de plus de 5 % en 2024, de 4 % en 2025 et 2026 et de 3 % en 2027 la consommation d’emplois constatée dans la dernière loi relative aux résultats de la gestion et portant approbation des comptes de l’année, corrigée de l’incidence des schémas d’emplois, des mesures de transfert et des mesures de périmètre intervenus ou prévus.

Article 12

Article 12

(Non modifié)

Article 12

Article 12

Article 12

Article 12

Article 12

(Conforme)

Article 13

Article 13


En 2023, 2024 et 2025, les plafonds de crédits alloués aux missions du budget général de l’État, hors contribution du budget général au compte d’affectation spéciale « Pensions », hors charges de la dette et hors remboursements et dégrèvements, ne peuvent, à périmètre constant, excéder les montants suivants, exprimés en milliards d’euros courants :


(Alinéa sans modification)

I. – En 2024, 2025 et 2026, les plafonds de crédits alloués aux missions du budget général de l’État, hors contribution du budget général au compte d’affectation spéciale « Pensions », hors charges de la dette et hors remboursements et dégrèvements, ne peuvent, à périmètre constant, excéder les montants suivants, exprimés en milliards d’euros courants :

Amdt  CF175

I. – (Alinéa sans modification)

I. – (Alinéa sans modification)


I. – En 2024, 2025 et 2026, les plafonds de crédits alloués aux missions du budget général de l’État, hors contribution du budget général au compte d’affectation spéciale « Pensions », hors charges de la dette et hors remboursements et dégrèvements, ne peuvent, à périmètre constant, excéder les montants suivants, exprimés en milliards d’euros courants :

I. – En 2024, 2025 et 2026, les plafonds de crédits alloués aux missions du budget général de l’État, hors contribution du budget général au compte d’affectation spéciale « Pensions », hors charges de la dette et hors remboursements et dégrèvements, ne peuvent, à périmètre constant, excéder les montants suivants, exprimés en milliards d’euros courants :

Crédits de paiementLFI 2022

LFI 2022Format

2023

202320242025
Action extérieure de l’État2,92,93,13,13,1
Administration générale et territoriale de l’État3,63,63,74,14,5
Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales2,83,13,63,63,6
Aide publique au développement5,15,15,96,37,0
Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation2,12,11,91,91,8
Cohésion des territoires17,217,217,818,318,5
Conseil et contrôle de l’État0,60,60,70,70,7
Crédits non répartis0,50,51,90,91,4
Culture3,33,33,53,63,7
Défense40,940,943,947,050,0
Direction de l’action du Gouvernement0,90,90,90,90,9
Écologie, développement et mobilité durables20,420,626,524,624,6
dont programme 355 « Charge de la dette de SNCF Réseau reprise par l’État »0,80,80,90,80,7
dont programme 345 « Service public de l’énergie »8,48,412,010,010,0
Mission « Écologie, développement et mobilité durables » hors P345 et P35511,111,313,613,713,9
Économie3,84,13,74,04,2
Engagements financiers de l’État44,344,360,255,458,8
dont programme 117 « Charge de la dette et trésorerie de l’État » et 369 « Amortissement de la dette de l’État liée à la COVID-19 »40,540,557,453,457,4
dont autres programmes3,83,82,82,01,4
Enseignement scolaire56,556,560,262,062,8
Gestion des finances publiques7,47,48,08,08,1
Immigration, asile et intégration1,91,92,02,12,1
Investir pour la France de 20307,07,06,17,18,5
Justice8,98,99,610,110,7
Médias, livre et industries culturelles0,70,70,70,70,7
Outre-mer2,42,12,42,52,5
Plan de relance13,013,04,42,50,6
Plan d’urgence face à la crise sanitaire0,20,2---
Pouvoirs publics1,01,01,11,11,1
Recherche et enseignement supérieur29,029,130,631,331,9
Régimes sociaux et de retraite6,16,06,16,26,3
Relations avec les collectivités territoriales4,34,34,44,34,2
Santé1,31,33,42,62,1
dont programme 379 « Compensations à la Sécurité sociale (FRR et dons de vaccins) »--1,91,00,5
dont autres programmes1,31,31,41,51,6
Sécurités14,714,715,816,316,8
Solidarité, insertion et égalité des chances27,627,729,830,331,1
Sport, jeunesse et vie associative1,71,71,81,61,5
Transformation et fonction publiques0,80,81,10,80,6
Travail et emploi14,514,520,716,916,2


Crédits de paiementLFI 2022

LFI 2022Format

2023

202320242025
Action extérieure de l’État2,92,93,13,13,1
Administration générale et territoriale de l’État3,63,63,74,14,5
Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales2,83,13,63,63,6
Aide publique au développement5,15,15,96,37,0
Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation2,12,11,91,91,8
Cohésion des territoires17,217,217,818,318,5
Conseil et contrôle de l’État0,60,60,70,70,7
Crédits non répartis0,50,51,90,91,4
Culture3,33,33,53,63,7
Défense40,940,943,947,050,0
Direction de l’action du Gouvernement0,90,90,90,90,9
Écologie, développement et mobilité durables20,420,626,524,624,6
dont programme 355 « Charge de la dette de SNCF Réseau reprise par l’État »0,80,80,90,80,7
dont programme 345 « Service public de l’énergie »8,48,412,010,010,0
Mission « Écologie, développement et mobilité durables » hors P345 et P35511,111,313,613,713,9
Économie3,84,13,74,04,2
Engagements financiers de l’État44,344,360,255,458,8
dont programme 117 « Charge de la dette et trésorerie de l’État » et 369 « Amortissement de la dette de l’État liée à la COVID-19 »40,540,557,453,457,4
dont autres programmes3,83,82,82,01,4
Enseignement scolaire56,556,560,262,062,8
Gestion des finances publiques7,47,48,08,08,1
Immigration, asile et intégration1,91,92,02,12,1
Investir pour la France de 20307,07,06,17,18,5
Justice8,98,99,610,110,7
Médias, livre et industries culturelles0,70,70,70,70,7
Outre-mer2,42,12,42,52,5
Plan de relance13,013,04,42,50,6
Plan d’urgence face à la crise sanitaire0,20,2---
Pouvoirs publics1,01,01,11,11,1
Recherche et enseignement supérieur29,029,130,631,331,9
Régimes sociaux et de retraite6,16,06,16,26,3
Relations avec les collectivités territoriales4,34,34,44,34,2
Santé1,31,33,42,62,1
dont programme 379 « Compensations à la Sécurité sociale (FRR et dons de vaccins) »--1,91,00,5
dont autres programmes1,31,31,41,51,6
Sécurités14,714,715,816,316,8
Solidarité, insertion et égalité des chances27,627,729,830,331,1
Sport, jeunesse et vie associative1,71,71,81,61,5
Transformation et fonction publiques0,80,81,10,80,6
Travail et emploi14,514,520,716,916,2


Crédits de paiementLFI 2022LFI 2022
Format 2023
202320242025
Action extérieure de l’État2,92,93,13,13,1
Administration générale et territoriale de l’État3,63,63,74,14,5
Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales2,83,13,63,63,6
Aide publique au développement5,15,15,96,37,0
Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation2,12,11,91,91,8
Cohésion des territoires17,217,217,818,318,5
Conseil et contrôle de l’État0,60,60,70,70,7
Crédits non répartis0,50,51,90,91,4
Culture3,33,33,53,63,7
Défense40,940,943,947,050,0
Direction de l’action du Gouvernement0,90,90,90,90,9
Écologie, développement et mobilité durables20,420,626,524,624,6
Dont programme 355 « Charge de la dette de SNCF Réseau reprise par l’État »0,80,80,90,80,7
Dont programme 345 « Service public de l’énergie »8,48,412,010,010,0
Écologie, développement et mobilité durables (hors P345 et P355)11,111,313,613,713,9
Économie3,84,13,74,04,2
Engagements financiers de l’État44,344,360,255,458,8
Dont programme 117 « Charge de la dette et trésorerie de l’État » et 369 « Amortissement de la dette de l’État liée à la covid-19 »40,540,557,453,457,4
Dont autres programmes3,83,82,82,01,4
Enseignement scolaire56,556,560,262,062,8
Gestion des finances publiques7,47,48,08,08,1
Immigration, asile et intégration1,91,92,02,12,1
Investir pour la France de 20307,07,06,17,18,5
Justice8,98,99,610,110,7
Médias, livre et industries culturelles0,70,70,70,70,7
Outre-mer2,42,12,42,52,5
Plan de relance13,013,04,42,50,6
Plan d’urgence face à la crise sanitaire0,20,2---
Pouvoirs publics1,01,01,11,11,1
Recherche et enseignement supérieur29,029,130,631,331,9
Régimes sociaux et de retraite6,16,06,16,26,3
Relations avec les collectivités territoriales4,34,34,44,34,2
Santé1,31,33,42,62,1
Dont programme 379 « Compensations à la Sécurité sociale (FRR et dons de vaccins) »--1,91,00,5
Dont autres programmes1,31,31,41,51,6
Sécurités14,714,715,816,316,8
Solidarité, insertion et égalité des chances27,627,729,830,331,1
Sport, jeunesse et vie associative1,71,71,81,61,5
Transformation et fonction publiques0,80,81,10,80,6
Travail et emploi14,514,520,716,916,2


(En milliards d’euros)
Crédits de paiementLoi de finances pour 2023 (format 2023)Loi de finances pour 2023 (format 2024)202420252026
Action extérieure de l’État3,13,13,33,43,4
Administration générale et territoriale de l’État3,73,53,94,34,6
Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales3,63,64,54,54,6
Aide publique au développement5,95,95,96,46,9
Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation1,91,91,91,81,7
Cohésion des territoires17,917,919,419,720,2
Conseil et contrôle de l’État0,70,70,70,70,7
Crédits non répartis1,21,20,50,20,2
Culture3,53,53,73,83,8
Défense43,943,947,250,553,7
Direction de l’action du Gouvernement0,90,91,01,01,0
Écologie, développement et mobilité durables36,635,720,725,626,3
- dont Programme 345 « Service public de l’énergie » et indemnité exceptionnelle carburant21,721,75,59,89,9
- hors Programme 345 et indemnité exceptionnelle carburant14,914,015,215,816,4
Économie7,77,74,13,93,9
Engagements financiers de l’État*60,361,260,866,071,0
Enseignement scolaire60,360,364,265,165,4
Gestion des finances publiques8,08,08,38,48,3
Immigration, asile et intégration2,02,02,22,22,3
Investir pour la France de 20306,16,17,78,57,7
Justice9,69,610,110,710,7
Médias, livre et industries culturelles0,70,70,70,70,7
Outre-mer2,52,52,62,62,6
Plan de relance4,44,41,40,70,6
Pouvoirs publics1,11,11,11,11,2
Recherche et enseignement supérieur30,630,631,632,132,7
Régimes sociaux et de retraite6,16,26,26,46,4
Relations avec les collectivités territoriales4,54,54,34,24,2
- dont dispositifs exceptionnels0,40,40,10,00,0
- hors dispositifs exceptionnels4,14,14,24,24,2
Santé3,43,42,31,92,0
- dont Programme 379 « Compensation à la Sécurité sociale du coût des dons de vaccins à des pays tiers et reversement des recettes de la Facilité pour la relance et la résilience »1,91,90,90,40,5
- dont autres programmes1,41,41,41,51,5
Sécurités15,816,116,517,017,5
Solidarité, insertion et égalité des chances29,429,430,731,832,9
Sport, jeunesse et vie associative1,81,81,81,61,6
Transformation et fonction publiques1,21,11,10,80,8
Travail et emploi20,720,722,422,421,6
*Le programme 355 est rattaché à la mission « Engagements financiers de l’État » à compter du projet de loi de i finances pour 2024.

Amdt  CF175


(En milliards d’euros)
Crédits de paiementLoi de finances pour 2023 (format 2023)Loi de finances pour 2023 (format 2024)202420252026
Action extérieure de l’État3,13,13,33,43,4
Administration générale et territoriale de l’État3,73,53,94,34,6
Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales3,63,64,54,54,6
Aide publique au développement5,95,95,96,46,9
Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation1,91,91,91,81,7
Cohésion des territoires17,917,919,419,720,2
Conseil et contrôle de l’État0,70,70,70,70,7
Crédits non répartis1,21,20,50,20,2
Culture3,53,53,73,83,8
Défense43,943,947,250,553,7
Direction de l’action du Gouvernement0,90,91,01,01,0
Écologie, développement et mobilité durables36,635,720,725,626,3
- dont programme 345 “Service public de l’énergie” et indemnité exceptionnelle carburant21,721,75,59,89,9
- hors programme 345 et indemnité exceptionnelle carburant14,914,015,215,816,4
Économie7,77,74,13,93,9
Engagements financiers de l’État*60,361,260,866,071,0
Enseignement scolaire60,360,364,265,165,4
Gestion des finances publiques8,08,08,38,48,3
Immigration, asile et intégration2,02,02,22,22,3
Investir pour la France de 20306,16,17,78,57,7
Justice9,69,610,110,710,7
Médias, livre et industries culturelles0,70,70,70,70,7
Outre-mer2,52,52,62,62,6
Plan de relance4,44,41,40,70,6
Pouvoirs publics1,11,11,11,11,2
Recherche et enseignement supérieur30,630,631,632,132,7
Régimes sociaux et de retraite6,16,26,26,46,4
Relations avec les collectivités territoriales4,54,54,34,24,2
- dont dispositifs exceptionnels0,40,40,10,00,0
- hors dispositifs exceptionnels4,14,14,24,24,2
Santé3,43,42,31,92,0
- dont programme 379 “Compensation à la Sécurité sociale du coût des dons de vaccins à des pays tiers et reversement des recettes de la Facilité pour la relance et la résilience”1,91,90,90,40,5
- dont autres programmes1,41,41,41,51,5
Sécurités15,816,116,517,017,5
Solidarité, insertion et égalité des chances29,429,430,731,832,9
Sport, jeunesse et vie associative1,81,81,81,61,6
Transformation et fonction publiques1,21,11,10,80,8
Travail et emploi20,720,722,422,421,6
*Le programme 355 est rattaché à la mission « Engagements financiers de l’État » à compter du projet de loi de finances pour 2024.


(En milliards d’euros)
Crédits de paiementLoi de finances pour 2023 (format 2023)Loi de finances pour 2023 (format 2024)202420252026
Action extérieure de l’État3,13,13,33,43,4
Administration générale et territoriale de l’État3,73,53,94,34,6
Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales3,63,64,54,54,6
Aide publique au développement5,95,95,96,46,9
Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation1,91,91,91,81,7
Cohésion des territoires17,917,919,419,720,2
Conseil et contrôle de l’État0,70,70,70,70,7
Crédits non répartis1,21,20,50,20,2
Culture3,53,53,73,83,8
Défense43,943,947,250,553,7
Direction de l’action du Gouvernement0,90,91,01,01,0
Écologie, développement et mobilité durables36,635,720,725,626,3
- dont programme 345 “Service public de l’énergie” et indemnité exceptionnelle carburant21,721,75,59,89,9
- hors programme 345 et indemnité exceptionnelle carburant14,914,015,215,816,4
Économie7,77,74,13,93,9
Engagements financiers de l’État*60,361,260,866,071,0
Enseignement scolaire60,360,364,265,165,4
Gestion des finances publiques8,08,08,38,48,3
Immigration, asile et intégration2,02,02,22,22,3
Investir pour la France de 20306,16,17,78,57,7
Justice9,69,610,110,710,7
Médias, livre et industries culturelles0,70,70,70,70,7
Outre-mer2,52,52,62,62,6
Plan de relance4,44,41,40,70,6
Pouvoirs publics1,11,11,11,11,2
Recherche et enseignement supérieur30,630,631,632,132,7
Régimes sociaux et de retraite6,16,26,26,46,4
Relations avec les collectivités territoriales4,54,54,34,24,2
- dont dispositifs exceptionnels0,40,40,10,00,0
- hors dispositifs exceptionnels4,14,14,24,24,2
Santé3,43,42,31,92,0
- dont programme 379 “Compensation à la Sécurité sociale du coût des dons de vaccins à des pays tiers et reversement des recettes de la Facilité pour la relance et la résilience”1,91,90,90,40,5
- dont autres programmes1,41,41,41,51,5
Sécurités15,816,116,517,017,5
Solidarité, insertion et égalité des chances29,429,430,731,832,9
Sport, jeunesse et vie associative1,81,81,81,61,6
Transformation et fonction publiques1,21,11,10,80,8
Travail et emploi20,720,722,422,421,6
*Le programme 355 est rattaché à la mission « Engagements financiers de l’État » à compter du projet de loi de finances pour 2024.



(En milliards d’euros)
Crédits de paiementLoi de finances pour 2023 (format 2023)Loi de finances pour 2023 (format 2024)202420252026
Action extérieure de l’État3,13,13,33,43,4
Administration générale et territoriale de l’État3,73,53,94,34,6
Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales3,63,64,54,54,6
Aide publique au développement5,95,95,96,46,9
Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation1,91,91,91,81,7
Cohésion des territoires17,917,919,419,720,2
Conseil et contrôle de l’État0,70,70,70,70,7
Crédits non répartis1,21,20,50,20,2
Culture3,53,53,73,83,8
Défense43,943,947,250,553,7
Direction de l’action du Gouvernement0,90,91,01,01,0
Écologie, développement et mobilité durables36,635,720,725,626,3
- dont programme 345 “Service public de l’énergie” et indemnité exceptionnelle carburant21,721,75,59,89,9
- hors programme 345 et indemnité exceptionnelle carburant14,914,015,215,816,4
Économie7,77,74,13,93,9
Engagements financiers de l’État*60,361,260,866,071,0
Enseignement scolaire60,360,364,265,165,4
Gestion des finances publiques8,08,08,38,48,3
Immigration, asile et intégration2,02,02,22,22,3
Investir pour la France de 20306,16,17,78,57,7
Justice9,69,610,110,710,7
Médias, livre et industries culturelles0,70,70,70,70,7
Outre-mer2,52,52,62,62,6
Plan de relance4,44,41,40,70,6
Pouvoirs publics1,11,11,11,11,2
Recherche et enseignement supérieur30,630,631,632,132,7
Régimes sociaux et de retraite6,16,26,26,46,4
Relations avec les collectivités territoriales4,54,54,34,24,2
- dont dispositifs exceptionnels0,40,40,10,00,0
- hors dispositifs exceptionnels4,14,14,24,24,2
Santé3,43,42,31,92,0
- dont programme 379 “Compensation à la Sécurité sociale du coût des dons de vaccins à des pays tiers et reversement des recettes de la Facilité pour la relance et la résilience”1,91,90,90,40,5
- dont autres programmes1,41,41,41,51,5
Sécurités15,816,116,517,017,5
Solidarité, insertion et égalité des chances29,429,430,731,832,9
Sport, jeunesse et vie associative1,81,81,81,61,6
Transformation et fonction publiques1,21,11,10,80,8
Travail et emploi20,720,722,422,421,6
*Le programme 355 est rattaché à la mission « Engagements financiers de l’État » à compter du projet de loi de finances pour 2024.


(En milliards d’euros)
Crédits de paiementLoi de finances pour 2023 (format 2023)Loi de finances pour 2023 (format 2024)202420252026
Action extérieure de l’État3,13,13,33,43,4
Administration générale et territoriale de l’État3,73,53,94,34,6
Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales3,63,64,54,54,6
Aide publique au développement5,95,95,96,46,9
Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation1,91,91,91,81,7
Cohésion des territoires17,917,919,419,720,2
Conseil et contrôle de l’État0,70,70,70,70,7
Crédits non répartis1,21,20,50,20,2
Culture3,53,53,73,83,8
Défense43,943,947,250,553,7
Direction de l’action du Gouvernement0,90,91,01,01,0
Écologie, développement et mobilité durables36,635,720,725,626,3
- dont programme 345 “Service public de l’énergie” et indemnité exceptionnelle carburant21,721,75,59,89,9
- hors programme 345 et indemnité exceptionnelle carburant14,914,015,215,816,4
Économie7,77,74,13,93,9
Engagements financiers de l’État*60,361,260,866,071,0
Enseignement scolaire60,360,364,265,165,4
Gestion des finances publiques8,08,08,38,48,3
Immigration, asile et intégration2,02,02,22,22,3
Investir pour la France de 20306,16,17,78,57,7
Justice9,69,610,110,710,7
Médias, livre et industries culturelles0,70,70,70,70,7
Outre-mer2,52,52,62,62,6
Plan de relance4,44,41,40,70,6
Pouvoirs publics1,11,11,11,11,2
Recherche et enseignement supérieur30,630,631,632,132,7
Régimes sociaux et de retraite6,16,26,26,46,4
Relations avec les collectivités territoriales4,54,54,34,24,2
- dont dispositifs exceptionnels0,40,40,10,00,0
- hors dispositifs exceptionnels4,14,14,24,24,2
Santé3,43,42,31,92,0
- dont programme 379 “Compensation à la Sécurité sociale du coût des dons de vaccins à des pays tiers et reversement des recettes de la Facilité pour la relance et la résilience”1,91,90,90,40,5
- dont autres programmes1,41,41,41,51,5
Sécurités15,816,116,517,017,5
Solidarité, insertion et égalité des chances29,429,430,731,832,9
Sport, jeunesse et vie associative1,81,81,81,61,6
Transformation et fonction publiques1,21,11,10,80,8
Travail et emploi20,720,722,422,421,6
*Le programme 355 est rattaché à la mission « Engagements financiers de l’État » à compter du projet de loi de finances pour 2024.





II (nouveau). – Des économies à hauteur de 6 milliards d’euros par an pour les années 2025 à 2027, issues notamment du dispositif de revue de dépenses instauré par l’article 167 de la loi  2022‑1726 du 30 décembre 2022 de finances pour 2023 et par l’article 21 de la présente loi sont pour partie imputées sur les plafonds de crédits prévus au présent article. L’ensemble de ces économies est réalisé sur le périmètre des dépenses de l’État défini à l’article 9.

Amdt  CF175

II (nouveau). – Des économies à hauteur de 6 milliards d’euros par an pour les années 2025 à 2027, issues notamment du dispositif de revue de dépenses instauré par l’article 167 de la loi  2022‑1726 du 30 décembre 2022 de finances pour 2023 et par l’article 21 de la présente loi sont pour partie imputées sur les plafonds de crédits prévus au présent article. L’ensemble de ces économies est réalisé sur le périmètre des dépenses de l’État défini à l’article 9.

II. – (Non modifié)


II. – Des économies à hauteur de 6 milliards d’euros par an pour les années 2025 à 2027, issues notamment du dispositif de revue de dépenses instauré par l’article 167 de la loi  2022‑1726 du 30 décembre 2022 de finances pour 2023 et par l’article 22 de la présente loi sont pour partie imputées sur les plafonds de crédits prévus au présent article. L’ensemble de ces économies est réalisé sur le périmètre des dépenses de l’État défini à l’article 10.

II. – Des économies à hauteur de 6 milliards d’euros par an pour les années 2025 à 2027, issues notamment du dispositif de revue de dépenses instauré par l’article 167 de la loi  2022‑1726 du 30 décembre 2022 de finances pour 2023 et par l’article 22 de la présente loi sont pour partie imputées sur les plafonds de crédits prévus au présent article. L’ensemble de ces économies est réalisé sur le périmètre des dépenses de l’État défini à l’article 10.

Article 13

Article 13

Article 13

Article 13

Article 13

Article 13

Article 13

(Conforme)

Article 14

Article 14


I. – L’ensemble des concours financiers de l’État aux collectivités territoriales, exprimés en milliards d’euros courants, est évalué comme suit, à périmètre constant :

I. – (Alinéa sans modification)

I. – (Alinéa sans modification)

I. – L’ensemble des concours financiers de l’État aux collectivités territoriales, exprimés en millions d’euros courants, est évalué comme suit, à périmètre constant :

Amdt  CF174

I. – (Alinéa sans modification)

I. – (Alinéa sans modification)


I. – L’ensemble des concours financiers de l’État aux collectivités territoriales, exprimés en millions d’euros courants, est évalué comme suit, à périmètre constant :

I. – L’ensemble des concours financiers de l’État aux collectivités territoriales, exprimés en millions d’euros courants, est évalué comme suit, à périmètre constant :

20232024202520262027
Total des concours financiers de l’État aux collectivités territoriales53,1553,3153,8954,3754,57
Fonds de compensation pour la taxe sur la valeur ajoutée6,707,007,307,507,40
Autres concours46,4546,3146,5946,8747,17


20232024202520262027
Total des concours financiers de l’État aux collectivités territoriales53,1553,3153,8954,3754,57
Fonds de compensation pour la taxe sur la valeur ajoutée6,707,007,307,507,40
Taxe sur la valeur ajoutée affectée aux régions5,095,245,405,565,73
Autres concours41,3641,0741,1941,3141,44

Amdt COM‑105



20232024202520262027
Total des concours financiers de l’État aux collectivités territoriales53,1553,3153,8954,3754,57
Fonds de compensation pour la taxe sur la valeur ajoutée6,707,007,307,507,40
Taxe sur la valeur ajoutée affectée aux régions5,095,245,405,565,73
Autres concours41,3641,0741,1941,3141,44


Trajectoire des concours financiers de l’État aux collectivités territoriales à périmètre constant
Loi de finances pour 2023Projet de loi de finances pour 2024202520262027
Total des concours financiers de l’État aux collectivités territoriales*54 95354 39154 95955 66656 043
Total des concours financiers de l’État aux collectivités territoriales hors mesures exceptionnelles52 84753 98054 94155 66156 043
- dont fonds de compensation pour la taxe sur la valeur ajoutée6 7007 1047 6257 8847 786
- dont total mission « Relations avec les collectivités territoriales » (hors mesures exceptionnelles)4 0964 1514 1514 1724 172
- dont total Prélèvement sur les recettes de l’État au profit des collectivités territoriales (hors mesures exceptionnelles)36 96037 34737 58537 82438 075
- dont taxe sur la valeur ajoutée affectée aux régions (ex-DGF)5 0905 3785 5795 7806 011
*Hors dotation de soutien à l’investissement local exceptionnelle (périmètre du présent article).

Amdt  CF174


Trajectoire des concours financiers de l’État aux collectivités territoriales
à périmètre constant
Loi de finances pour 2023Projet de loi de finances pour 2024202520262027
Total des concours financiers de l’État aux collectivités territoriales *. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .54 95354 39154 95955 66656 043
Total des concours financiers de l’État aux collectivités territoriales hors mesures exceptionnelles. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .52 84753 98054 94155 66156 043
- dont fonds de compensation pour la taxe sur la valeur ajoutée. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .6 7007 1047 6257 8847 786
- dont total mission “Relations avec les collectivités territoriales” (hors mesures exceptionnelles). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .4 0964 1514 1514 1724 172
- dont prélèvement sur les recettes de l’État au profit des collectivités territoriales (hors mesures exceptionnelles). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .36 96037 34737 58537 82438 075
- dont taxe sur la valeur ajoutée affectée aux régions (ex-DGF). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .5 0905 3785 5795 7806 011
* Hors dotation de soutien à l’investissement local exceptionnelle (périmètre du présent article)


Trajectoire des concours financiers de l’État aux collectivités territoriales à périmètre constant
Loi de finances pour 2023Projet de loi de finances pour 2024202520262027
Total des concours financiers de l’État aux collectivités territoriales *. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .54 95354 39154 95955 66656 043
Total des concours financiers de l’État aux collectivités territoriales hors mesures exceptionnelles. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .52 84753 98054 94155 66156 043
- dont fonds de compensation pour la taxe sur la valeur ajoutée. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .6 7007 1047 6257 8847 786
- dont total mission “Relations avec les collectivités territoriales” (hors mesures exceptionnelles). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .4 0964 1514 1514 1724 172
- dont prélèvement sur les recettes de l’État au profit des collectivités territoriales (hors mesures exceptionnelles). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .36 96037 34737 58537 82438 075
- dont taxe sur la valeur ajoutée affectée aux régions (ex-DGF). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .5 0905 3785 5795 7806 011
* Hors dotation de soutien à l’investissement local exceptionnelle (périmètre du présent article)



Trajectoire des concours financiers de l’État aux collectivités territoriales
à périmètre constant
Loi de finances pour 2023Projet de loi de finances pour 2024202520262027
Total des concours financiers de l’État aux collectivités territoriales *. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .54 95354 39154 95955 66656 043
Total des concours financiers de l’État aux collectivités territoriales hors mesures exceptionnelles. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .52 84753 98054 94155 66156 043
- dont fonds de compensation pour la taxe sur la valeur ajoutée. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .6 7007 1047 6257 8847 786
- dont total mission “Relations avec les collectivités territoriales” (hors mesures exceptionnelles). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .4 0964 1514 1514 1724 172
- dont prélèvement sur les recettes de l’État au profit des collectivités territoriales (hors mesures exceptionnelles). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .36 96037 34737 58537 82438 075
- dont taxe sur la valeur ajoutée affectée aux régions (ex-DGF). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .5 0905 3785 5795 7806 011
* Hors dotation de soutien à l’investissement local exceptionnelle (périmètre du présent article)


Trajectoire des concours financiers de l’État aux collectivités territoriales
à périmètre constant
Loi de finances pour 2023Projet de loi de finances pour 2024202520262027
Total des concours financiers de l’État aux collectivités territoriales *. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .54 95354 39154 95955 66656 043
Total des concours financiers de l’État aux collectivités territoriales hors mesures exceptionnelles. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .52 84753 98054 94155 66156 043
- dont fonds de compensation pour la taxe sur la valeur ajoutée. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .6 7007 1047 6257 8847 786
- dont total mission “Relations avec les collectivités territoriales” (hors mesures exceptionnelles). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .4 0964 1514 1514 1724 172
- dont prélèvement sur les recettes de l’État au profit des collectivités territoriales (hors mesures exceptionnelles). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .36 96037 34737 58537 82438 075
- dont taxe sur la valeur ajoutée affectée aux régions (ex-DGF). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .5 0905 3785 5795 7806 011
* Hors dotation de soutien à l’investissement local exceptionnelle (périmètre du présent article)


II. – Cet ensemble est constitué par :

II. – (Alinéa sans modification)

II. – (Non modifié)

II. – (Non modifié)

II. – (Non modifié)

II. – (Non modifié)


II. – Cet ensemble est constitué par :

II. – Cet ensemble est constitué par :

1° Les prélèvements sur recettes de l’État établis au profit des collectivités territoriales ;

1° (Non modifié)






1° Les prélèvements sur recettes de l’État établis au profit des collectivités territoriales ;

1° Les prélèvements sur recettes de l’État établis au profit des collectivités territoriales ;

2° Les crédits du budget général relevant de la mission « Relations avec les collectivités territoriales » à l’exclusion de ceux prévus au titre des paiements liés aux autorisations d’engagement ouvertes dans le cadre de la loi  2020‑935 du 30 juillet 2020 de finances rectificative pour 2020 ;

2° (Non modifié)






2° Les crédits du budget général relevant de la mission « Relations avec les collectivités territoriales », à l’exclusion de ceux prévus au titre des paiements liés aux autorisations d’engagement ouvertes dans le cadre de la loi  2020‑935 du 30 juillet 2020 de finances rectificative pour 2020 ;

2° Les crédits du budget général relevant de la mission « Relations avec les collectivités territoriales », à l’exclusion de ceux prévus au titre des paiements liés aux autorisations d’engagement ouvertes dans le cadre de la loi  2020‑935 du 30 juillet 2020 de finances rectificative pour 2020 ;

3° Le produit de l’affectation de la taxe sur la valeur ajoutée aux régions, au département de Mayotte et aux collectivités territoriales de Corse, de Martinique et de Guyane prévue à l’article 149 de la loi  2016‑1917 du 29 décembre 2016 de finances pour 2017.

3° Le produit de l’affectation de la taxe sur la valeur ajoutée aux régions, au département de Mayotte, à la collectivité de Corse et aux collectivités territoriales de Martinique et de Guyane prévue à l’article 149 de la loi  2016‑1917 du 29 décembre 2016 de finances pour 2017.

Amdt COM‑56






3° Le produit de l’affectation de la taxe sur la valeur ajoutée aux régions, au Département de Mayotte, à la collectivité de Corse et aux collectivités territoriales de Martinique et de Guyane prévue à l’article 149 de la loi  2016‑1917 du 29 décembre 2016 de finances pour 2017.

3° Le produit de l’affectation de la taxe sur la valeur ajoutée aux régions, au Département de Mayotte, à la collectivité de Corse et aux collectivités territoriales de Martinique et de Guyane prévue à l’article 149 de la loi  2016‑1917 du 29 décembre 2016 de finances pour 2017.

III. – Pour la durée de la programmation, l’ensemble des concours financiers autres que le fonds de compensation pour la taxe sur la valeur ajoutée prévu à l’article L. 1615‑1 du code général des collectivités territoriales, intégrant le produit de l’affectation de la taxe sur la valeur ajoutée aux régions, au département de Mayotte et aux collectivités territoriales de Corse, de Martinique et de Guyane prévue à l’article 149 de la loi  2016‑1917 du 29 décembre 2016 précitée, est plafonné, à périmètre constant, aux montants du tableau du I du présent article.

III. – Pour la durée de la programmation, l’ensemble des concours financiers autres que le fonds de compensation pour la taxe sur la valeur ajoutée prévu à l’article L. 1615‑1 du code général des collectivités territoriales et que le produit de l’affectation de la taxe sur la valeur ajoutée aux régions, au département de Mayotte et aux collectivités territoriales de Corse, de Martinique et de Guyane prévue à l’article 149 de la loi  2016‑1917 du 29 décembre 2016 précitée est plafonné, à périmètre constant, aux montants du tableau du I du présent article.

Amdt COM‑105

III. – (Non modifié)

III. – (Non modifié)

III. – Pour la durée de la programmation, l’ensemble des concours financiers autres que le fonds de compensation pour la taxe sur la valeur ajoutée prévu à l’article L. 1615‑1 du code général des collectivités territoriales et que le produit de l’affectation de la taxe sur la valeur ajoutée aux régions, au Département de Mayotte, à la collectivité de Corse et aux collectivités territoriales de Martinique et de Guyane prévue à l’article 149 de la loi  2016‑1917 du 29 décembre 2016 précitée est plafonné, à périmètre constant, aux montants prévus au tableau du I du présent article.

Amdt  97

III. – (Non modifié)


III. – Pour la durée de la programmation, l’ensemble des concours financiers autres que le fonds de compensation pour la taxe sur la valeur ajoutée prévu à l’article L. 1615‑1 du code général des collectivités territoriales et que le produit de l’affectation de la taxe sur la valeur ajoutée aux régions, au Département de Mayotte, à la collectivité de Corse et aux collectivités territoriales de Martinique et de Guyane prévue à l’article 149 de la loi  2016‑1917 du 29 décembre 2016 précitée est plafonné, à périmètre constant, aux montants prévus au tableau du I du présent article.

III. – Pour la durée de la programmation, l’ensemble des concours financiers autres que le fonds de compensation pour la taxe sur la valeur ajoutée prévu à l’article L. 1615‑1 du code général des collectivités territoriales et que le produit de l’affectation de la taxe sur la valeur ajoutée aux régions, au Département de Mayotte, à la collectivité de Corse et aux collectivités territoriales de Martinique et de Guyane prévue à l’article 149 de la loi  2016‑1917 du 29 décembre 2016 précitée est plafonné, à périmètre constant, aux montants prévus au tableau du I du présent article.

Article 14

Article 14

Article 14

(Non modifié)

Article 14

Article 14

Article 14

(Non modifié)

Article 14

(Conforme)

Article 15

Article 15


Le ratio entre, d’une part, les dépenses considérées comme défavorables au sens du rapport sur l’impact environnemental du budget, mentionné au 6° de l’article 179 de la loi  2019‑1479 du 28 décembre 2019 de finances pour 2020, et d’autre part, les dépenses considérées comme favorables et mixtes au sens de ce même rapport, diminue de 10 % entre la loi de finances pour l’année 2022 et le projet de loi de finances pour 2027.

Le ratio entre, d’une part, les dépenses considérées comme défavorables et mixtes au sens du rapport sur l’impact environnemental du budget, mentionné au 6° de l’article 179 de la loi  2019‑1479 du 28 décembre 2019 de finances pour 2020 et, d’autre part, les dépenses considérées comme favorables au sens de ce même rapport, diminue de 20 % entre la loi de finances pour l’année 2022 et le projet de loi de finances pour 2027.

Amdts COM‑31, COM‑87 rect., COM‑29


En excluant les dépenses liées aux mesures de relance, le ratio entre, d’une part, les dépenses considérées comme défavorables au sens du rapport sur l’impact environnemental du budget, prévu au 6° du I de l’article 179 de la loi  2019‑1479 du 28 décembre 2019 de finances pour 2020 et, d’autre part, les dépenses considérées comme favorables et mixtes au sens de ce même rapport diminue au moins de 30 % entre la loi  2021‑1900 du 30 décembre 2021 de finances pour l’année 2022 et le projet de loi de finances pour 2027.

Amdts  CF151,  CF180(s/amdt),  CF117

(Alinéa sans modification)



En excluant les dépenses liées aux mesures de relance, le ratio entre, d’une part, les dépenses considérées comme défavorables au sens du rapport sur l’impact environnemental du budget, prévu au 6° du I de l’article 179 de la loi  2019‑1479 du 28 décembre 2019 de finances pour 2020 et, d’autre part, les dépenses considérées comme favorables et mixtes au sens de ce même rapport diminue au moins de 30 % entre la loi  2021‑1900 du 30 décembre 2021 de finances pour l’année 2022 et le projet de loi de finances pour 2027.

En excluant les dépenses liées aux mesures de relance, le ratio entre, d’une part, les dépenses considérées comme défavorables au sens du rapport sur l’impact environnemental du budget, prévu au 6° du I de l’article 179 de la loi  2019‑1479 du 28 décembre 2019 de finances pour 2020 et, d’autre part, les dépenses considérées comme favorables et mixtes au sens de ce même rapport diminue au moins de 30 % entre la loi  2021‑1900 du 30 décembre 2021 de finances pour l’année 2022 et le projet de loi de finances pour 2027.




Durant cette période, le Gouvernement procède à une évaluation des dépenses budgétaires et fiscales aujourd’hui neutres ou non cotées.

Amdt  CF156

Durant cette période, le Gouvernement procède à une évaluation des dépenses budgétaires et fiscales neutres ou non cotées.

Amdt  94



Durant cette période, le Gouvernement procède à une évaluation des dépenses budgétaires et fiscales neutres ou non cotées.

Durant cette période, le Gouvernement procède à une évaluation des dépenses budgétaires et fiscales neutres ou non cotées.

Article 15

Article 15

Article 15

Article 15

Article 15

Article 15

Article 15

Article 16

Article 16


I. – Les créations, extensions ou prolongations d’un dispositif d’aides aux entreprises instaurées après le 1er janvier 2023, ne sont applicables que pour une durée précisée par le texte qui les institue, dans la limite de cinq ans.

I. – Les créations, extensions ou prolongations d’un dispositif d’aides aux entreprises instaurées par l’État après le 1er janvier 2023 ne sont applicables que pour une durée précisée par le texte qui les institue, dans la limite de cinq ans.

Amdt COM‑106

I. – (Non modifié)

I. – Les créations, les extensions ou les prolongations d’un dispositif d’aides aux entreprises instaurées après le 1er janvier 2023 ne sont applicables que pour une durée précisée par le texte qui les institue, dans la limite de trois ans.

Amdts  CF164,  CF21,  CF110

I. – Les créations, les extensions ou les prolongations d’un dispositif d’aides aux entreprises instaurées après le 1er janvier 2024 ne sont applicables que pour une durée précisée par le texte qui les institue, dans la limite de trois ans.

Amdt  45

I. – Les créations, les extensions ou les prorogations d’un dispositif d’aides aux entreprises instaurées par l’État après le 1er janvier 2024 ne sont applicables que pour une durée précisée par le texte qui les institue, dans la limite de cinq ans.

Amdts COM‑21, COM‑11 rect. bis, COM‑22

I. – (Non modifié)

I. – Les créations, les extensions ou les prolongations d’un dispositif d’aides aux entreprises instaurées par l’État après le 1er janvier 2024 ne sont applicables que pour une durée précisée par le texte qui les institue, dans la limite de trois ans.

Amdt  12

I. – Les créations, les extensions ou les prolongations d’un dispositif d’aides aux entreprises instaurées par l’État après le 1er janvier 2024 ne sont applicables que pour une durée précisée par le texte qui les institue, dans la limite de trois ans.

II. – Pour toute mesure d’extension ou de prolongation d’un dispositif d’aides aux entreprises instaurée par un texte postérieur au 1er janvier 2023, le Gouvernement présente au Parlement une évaluation de celle‑ci, au plus tard le 1er avril de l’année au cours de laquelle le dispositif d’aide prend fin. Cette évaluation présente notamment les principales caractéristiques des bénéficiaires de la mesure et apporte des précisions sur son efficacité et son coût.

II. – Pour toute mesure d’extension ou de prolongation d’un dispositif d’aides aux entreprises instaurée par l’État par un texte postérieur au 1er janvier 2023, le Gouvernement présente au Parlement une évaluation de celle‑ci, au plus tard le 1er avril de l’année au cours de laquelle le dispositif d’aide prend fin. Cette évaluation présente notamment les principales caractéristiques des bénéficiaires de la mesure et apporte des précisions sur son efficacité et son coût.

Amdt COM‑106

II. – (Non modifié)

II. – Pour toute mesure d’extension ou de prolongation d’un dispositif d’aides aux entreprises instaurée par un texte postérieur au 1er janvier 2023, le Gouvernement présente au Parlement une évaluation de cette mesure, au plus tard le 1er avril de l’année au cours de laquelle le dispositif d’aide prend fin. Cette évaluation présente notamment les principales caractéristiques des bénéficiaires de la mesure et apporte des précisions sur l’efficacité et le coût de celle‑ci.

Amdt  CF164

II. – Pour toute mesure d’extension ou de prolongation d’un dispositif d’aides aux entreprises instaurée par un texte postérieur au 1er janvier 2024, le Gouvernement présente au Parlement une évaluation de cette mesure, au plus tard le 1er avril de l’année au cours de laquelle le dispositif d’aide prend fin. Cette évaluation présente notamment les principales caractéristiques des bénéficiaires de la mesure et apporte des précisions sur l’efficacité et le coût de celle‑ci.

Amdt  46

II. – Pour toute mesure d’extension ou de prorogation d’un dispositif d’aides aux entreprises instaurée par l’État par un texte postérieur au 1er janvier 2024, le Gouvernement présente au Parlement une évaluation de cette mesure, au plus tard le 1er avril de l’année au cours de laquelle le dispositif d’aide prend fin. Cette évaluation présente notamment les principales caractéristiques des bénéficiaires de la mesure et apporte des précisions sur l’efficacité et le coût de celle‑ci.

Amdt COM‑21

II. – Pour toute mesure d’extension ou de prorogation d’un dispositif d’aides aux entreprises instaurée par l’État par un texte postérieur au 1er janvier 2024, le Gouvernement présente au Parlement une évaluation de cette mesure, au plus tard le 1er avril de l’année au cours de laquelle le dispositif d’aide prend fin. Cette évaluation présente notamment l’impact écologique et les principales caractéristiques des bénéficiaires de la mesure et apporte des précisions sur l’efficacité et le coût de celle‑ci.

Amdt  51 rect.

II. – Pour toute mesure d’extension ou de prolongation d’un dispositif d’aides aux entreprises instaurée par l’État par un texte postérieur au 1er janvier 2024, le Gouvernement présente au Parlement une évaluation de cette mesure, au plus tard le 1er avril de l’année au cours de laquelle le dispositif d’aide prend fin. Cette évaluation présente notamment l’impact écologique et les principales caractéristiques des bénéficiaires de la mesure et apporte des précisions sur l’efficacité et le coût de celle‑ci.

Amdts  12,  14

II. – Pour toute mesure d’extension ou de prolongation d’un dispositif d’aides aux entreprises instaurée par l’État par un texte postérieur au 1er janvier 2024, le Gouvernement présente au Parlement une évaluation de cette mesure, au plus tard le 1er avril de l’année au cours de laquelle le dispositif d’aide prend fin. Cette évaluation présente notamment l’impact écologique et les principales caractéristiques des bénéficiaires de la mesure et apporte des précisions sur l’efficacité et le coût de celle‑ci.


III. – Un arrêté du ministre chargé du budget, mis à jour au moins annuellement, établit la liste des dispositifs d’aides aux entreprises dont les extensions ou prolongations sont soumises aux I et II.

Amdt COM‑107

III (nouveau). – Un arrêté du ministre chargé du budget, mis à jour au moins annuellement, établit la liste des dispositifs d’aides aux entreprises dont les extensions ou prolongations sont soumises aux I et II.

III. – Le ministre chargé du budget publie, au moins annuellement, la liste des dispositifs d’aides aux entreprises dont les extensions ou prolongations sont soumises aux I et II.

Amdt  CF150

III. – (Non modifié)

III. – Le ministre chargé du budget publie, au moins annuellement, la liste des dispositifs d’aides aux entreprises dont les extensions ou prorogations sont soumises aux I et II.

III. – (Non modifié)

III. – Le ministre chargé du budget publie, au moins annuellement, la liste des dispositifs d’aides aux entreprises dont les extensions ou prolongations sont soumises aux I et II.

III. – Le ministre chargé du budget publie, au moins annuellement, la liste des dispositifs d’aides aux entreprises dont les extensions ou prolongations sont soumises aux I et II.

Chapitre III

Le cadre financier pluriannuel des administrations publiques locales

Chapitre III

Le cadre financier pluriannuel des administrations publiques locales

Chapitre III

Le cadre financier pluriannuel des administrations publiques locales

Chapitre III

Le cadre financier pluriannuel des administrations publiques locales

Chapitre III

Le cadre financier pluriannuel des administrations publiques locales

Chapitre III

Le cadre financier pluriannuel des administrations publiques locales

Chapitre III

Le cadre financier pluriannuel des administrations publiques locales

Chapitre III

Le cadre financier pluriannuel des administrations publiques locales

Chapitre III

Le cadre financier pluriannuel des administrations publiques locales


Article 16

Article 16

Article 16

Article 16

(Supprimé)

Article 16

Amdt  96

Article 16

(Non modifié)

Article 16

Article 17

Article 17


I. – Les collectivités territoriales contribuent à l’effort de réduction du déficit public et de maîtrise de la dépense publique, selon des modalités à l’élaboration desquelles elles sont associées.

I. – (Non modifié)

I. – (Non modifié)


I. – (Non modifié)


I. – (Non modifié)

I. – Les collectivités territoriales contribuent à l’effort de réduction du déficit public et de maîtrise de la dépense publique, selon des modalités à l’élaboration desquelles elles sont associées.

I. – Les collectivités territoriales contribuent à l’effort de réduction du déficit public et de maîtrise de la dépense publique, selon des modalités à l’élaboration desquelles elles sont associées.

II. – A l’occasion du débat sur les orientations budgétaires, chaque collectivité territoriale ou groupement de collectivités territoriales présente son objectif concernant l’évolution de ses dépenses réelles de fonctionnement, exprimées en valeur, en comptabilité générale de sa section de fonctionnement.

II. – À l’occasion du débat sur les orientations budgétaires, chaque collectivité territoriale ou groupement de collectivités territoriales présente son objectif concernant l’évolution de ses dépenses réelles de fonctionnement, exprimées en valeur, en comptabilité générale de sa section de fonctionnement.

II. – (Non modifié)


II. – (Non modifié)


II. – (Non modifié)

II. – À l’occasion du débat sur les orientations budgétaires, chaque collectivité territoriale ou groupement de collectivités territoriales présente son objectif concernant l’évolution de ses dépenses réelles de fonctionnement, exprimées en valeur, en comptabilité générale de sa section de fonctionnement.

II. – À l’occasion du débat sur les orientations budgétaires, chaque collectivité territoriale ou groupement de collectivités territoriales présente son objectif concernant l’évolution de ses dépenses réelles de fonctionnement, exprimées en valeur, en comptabilité générale de sa section de fonctionnement.

Ces éléments sont présentés, d’une part, pour les budgets principaux et, d’autre part, pour chacun des budgets annexes.

(Alinéa sans modification)






Ces éléments sont présentés, d’une part, pour les budgets principaux et, d’autre part, pour chacun des budgets annexes.

Ces éléments sont présentés, d’une part, pour les budgets principaux et, d’autre part, pour chacun des budgets annexes.

III. – Au niveau national, l’objectif d’évolution des dépenses réelles de fonctionnement, exprimé en pourcentage, en valeur et à périmètre constant, prévu au II s’établit comme suit :

III. – (Non modifié)

III. – (Non modifié)


III. – Au niveau national, l’objectif d’évolution des dépenses réelles de fonctionnement prévu au II, exprimé en pourcentage, en valeur et à périmètre constant, s’établit comme suit :


III. – (Non modifié)

III. – Au niveau national, l’objectif d’évolution des dépenses réelles de fonctionnement prévu au II, exprimé en pourcentage, en valeur et à périmètre constant, s’établit comme suit :

III. – Au niveau national, l’objectif d’évolution des dépenses réelles de fonctionnement prévu au II, exprimé en pourcentage, en valeur et à périmètre constant, s’établit comme suit :

Collectivités territoriales et groupements à fiscalité propre20232024202520262027
Dépenses de fonctionnement3,82,51,61,31,3


Collectivités territoriales et groupements à fiscalité propre20232024202520262027
Dépenses de fonctionnement3,82,51,61,31,3


Collectivités territoriales et groupements à fiscalité propre20232024202520262027
Dépenses de fonctionnement3,82,51,61,31,3



Collectivités territoriales et groupements à fiscalité propre
20232024202520262027
Dépenses de fonctionnement4,82,01,51,31,3


Collectivités territoriales et groupements à fiscalité propre
20232024202520262027
Dépenses de fonctionnement4,82,01,51,31,3



Collectivités territoriales et groupements à fiscalité propre
20232024202520262027
Dépenses de fonctionnement4,82,01,51,31,3


Collectivités territoriales et groupements à fiscalité propre
20232024202520262027
Dépenses de fonctionnement4,82,01,51,31,3




IV (nouveau). – Pour l’application du III, les dépenses réelles de fonctionnement sont retraitées des dépenses exposées au titre du revenu de solidarité active, de l’allocation personnalisée d’autonomie et de la prestation de compensation du handicap, définies respectivement aux articles L. 262‑24, L. 232‑1 et L. 245‑1 du code de l’action sociale et des familles.

Amdts  25 rect.,  40,  76 rect.


IV. – Pour l’application du III, les dépenses réelles de fonctionnement sont retraitées des dépenses exposées au titre du revenu de solidarité active, de l’allocation personnalisée d’autonomie et de la prestation de compensation du handicap, définies respectivement aux articles L. 262‑24, L. 232‑1 et L. 245‑1 du code de l’action sociale et des familles, ainsi que des dépenses exposées au titre de l’aide sociale à l’enfance, définies à l’article L. 222‑1 du même code.


IV. – Pour l’application du III, les dépenses réelles de fonctionnement sont retraitées des dépenses exposées au titre du revenu de solidarité active, de l’allocation personnalisée d’autonomie et de la prestation de compensation du handicap, définies respectivement aux articles L. 262‑24, L. 232‑1 et L. 245‑1 du code de l’action sociale et des familles, des dépenses supplémentaires exposées par les collectivités territoriales et leurs groupements dans le cadre d’un contrat avec l’État, dans la limite du financement apporté par l’État, ainsi que des dépenses exposées au titre de l’aide sociale à l’enfance, définies à l’article L. 222‑1 du même code. Sont également retraitées les contributions versées par les communes de la métropole du Grand Paris au fonds de compensation des charges transférées dans les conditions prévues au XI de l’article L. 5219‑5 du code général des collectivités territoriales.

Amdts  45 rect. ter,  50 rect.,  54 rect.,  67(s/amdt)

IV. – Pour l’application du III, les dépenses réelles de fonctionnement sont retraitées des dépenses exposées au titre du revenu de solidarité active, de l’allocation personnalisée d’autonomie et de la prestation de compensation du handicap, définies respectivement aux articles L. 262‑24, L. 232‑1 et L. 245‑1 du code de l’action sociale et des familles, ainsi que des dépenses exposées au titre de l’aide sociale à l’enfance, définies à l’article L. 222‑1 du même code.

IV. – Pour l’application du III, les dépenses réelles de fonctionnement sont retraitées des dépenses exposées au titre du revenu de solidarité active, de l’allocation personnalisée d’autonomie et de la prestation de compensation du handicap, définies respectivement aux articles L. 262‑24, L. 232‑1 et L. 245‑1 du code de l’action sociale et des familles, ainsi que des dépenses exposées au titre de l’aide sociale à l’enfance, définies à l’article L. 222‑1 du même code.



Les modalités de retraitement de ces dépenses sont précisées par décret.

Amdts  25 rect.,  40,  76 rect.


Les conditions d’application du présent IV sont précisées par décret.


(Alinéa sans modification)

Les conditions d’application du présent IV sont précisées par décret.

Les conditions d’application du présent IV sont précisées par décret.

Chapitre IV

Le cadre financier pluriannuel des administrations de sécurité sociale

Chapitre IV

Le cadre financier pluriannuel des administrations de sécurité sociale

Chapitre IV

Le cadre financier pluriannuel des administrations de sécurité sociale

Chapitre IV

Le cadre financier pluriannuel des administrations de sécurité sociale

Chapitre IV

Le cadre financier pluriannuel des administrations de sécurité sociale

Chapitre IV

Le cadre financier pluriannuel des administrations de sécurité sociale

Chapitre IV

Le cadre financier pluriannuel des administrations de sécurité sociale

Chapitre IV

Le cadre financier pluriannuel des administrations de sécurité sociale

Chapitre IV

Le cadre financier pluriannuel des administrations de sécurité sociale


Article 17

Article 17

Article 17

Article 17

Article 17

Article 17

Article 17

(Conforme)

Article 18

Article 18


I. – L’objectif de dépenses des régimes obligatoires de base de sécurité sociale et des organismes concourant à leur financement ne peut, à périmètre constant, excéder les montants suivants, exprimés en pourcentage du produit intérieur brut et en milliards d’euros courants :

I. – (Alinéa sans modification)

I. – (Alinéa sans modification)

I. – (Alinéa sans modification)

I. – (Alinéa sans modification)

I. – (Non modifié)


I. – L’objectif de dépenses des régimes obligatoires de base de sécurité sociale et des organismes concourant à leur financement ne peut, à périmètre constant, excéder les montants suivants, exprimés en pourcentage du produit intérieur brut et en milliards d’euros courants :

I. – L’objectif de dépenses des régimes obligatoires de base de sécurité sociale et des organismes concourant à leur financement ne peut, à périmètre constant, excéder les montants suivants, exprimés en pourcentage du produit intérieur brut et en milliards d’euros courants :

ROBSS +FSV202320242025
En % du PIB21,821,821,8
En milliards d’euros courants601,8627,3650,3


Montant maximal de l’objectif de dépenses des régimes obligatoires de base de sécurité sociale et du fonds de solidarité vieillesse2023202420252026
En % du PIB21,821,821,821,8
En milliards d’euros courants601,8627,3650,3669

Amdts COM‑44, COM‑93, COM‑58


Montant maximal de l’objectif de dépenses des régimes obligatoires de base de sécurité sociale et du fonds de solidarité vieillesse2023202420252026
En % du PIB21,821,821,821,8
En milliards d’euros courants601,8627,3650,3669


Montant maximal de l’objectif de dépenses des régimes obligatoires de base de sécurité sociale et du Fonds de solidarité vieillesse
20232024202520262027
En % du produit intérieur brut21,721,921,921,921,8
En milliards d’euros courants610,9641,8665,2685,8705,4

Amdt  CF166


Montant maximal de l’objectif de dépenses des régimes obligatoires de base de sécurité sociale et du Fonds de solidarité vieillesse
20232024202520262027
En % du produit intérieur brut21,721,921,921,921,8
En milliards d’euros courants610,9641,8665,2685,8705,4


Montant maximal de l’objectif de dépenses des régimes obligatoires de base de sécurité sociale et du Fonds de solidarité vieillesse
20232024202520262027
En % du produit intérieur brut21,721,921,921,921,8
En milliards d’euros courants610,9641,8665,2685,8705,4



Montant maximal de l’objectif de dépenses des régimes obligatoires de base de sécurité sociale et du Fonds de solidarité vieillesse
20232024202520262027
En % du produit intérieur brut21,721,921,921,921,8
En milliards d’euros courants610,9641,8665,2685,8705,4


Montant maximal de l’objectif de dépenses des régimes obligatoires de base de sécurité sociale et du Fonds de solidarité vieillesse
20232024202520262027
En % du produit intérieur brut21,721,921,921,921,8
En milliards d’euros courants610,9641,8665,2685,8705,4


II. – L’objectif national de dépenses d’assurance maladie de l’ensemble des régimes obligatoires de base de sécurité sociale ne peut, à périmètre constant, conformément à la méthodologie décrite dans le rapport annexé à la présente loi, excéder les montants suivants, exprimés en milliards d’euros courants :

II. – (Alinéa sans modification)

II. – (Alinéa sans modification)

II. – L’objectif national de dépenses d’assurance maladie (ONDAM) de l’ensemble des régimes obligatoires de base de sécurité sociale ne peut, à périmètre constant, conformément à la méthodologie décrite dans le rapport annexé à la présente loi, excéder les montants suivants, exprimés en milliards d’euros courants :

II. – (Non modifié)

II. – (Non modifié)


II. – L’objectif national de dépenses d’assurance maladie (ONDAM) de l’ensemble des régimes obligatoires de base de sécurité sociale ne peut, à périmètre constant, conformément à la méthodologie décrite dans le rapport annexé à la présente loi, excéder les montants suivants, exprimés en milliards d’euros courants :

II. – L’objectif national de dépenses d’assurance maladie (ONDAM) de l’ensemble des régimes obligatoires de base de sécurité sociale ne peut, à périmètre constant, conformément à la méthodologie décrite dans le rapport annexé à la présente loi, excéder les montants suivants, exprimés en milliards d’euros courants :

ONDAM202320242025
En milliards d’euros courants244,1249,7256,4


20232024202520262027
En milliards d’euros courants244,1249,7256,4263,1269,9

Amdts COM‑45, COM‑59



20232024202520262027
En milliards d’euros courants244,1249,7256,4263,1269,9


(En milliards d’euros courants)
20232024202520262027
247,6254262,5270,1278,0

Amdt  CF166


(En milliards d’euros courants)
20232024202520262027
247,6254262,5270,1278,0


(En milliards d’euros courants)
20232024202520262027
247,6254262,5270,1278,0



(En milliards d’euros courants)
20232024202520262027
247,6254262,5270,1278,0


(En milliards d’euros courants)
20232024202520262027
247,6254262,5270,1278,0


III. – Les taux annuels d’évolution des sous‑objectifs de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie ne peuvent, à périmètre constant, excéder les taux suivants :

III. – (Non modifié)

III. – (Non modifié)

III. – (Alinéa sans modification)

III. – (Alinéa sans modification)

III. – (Alinéa sans modification)


III. – Les taux annuels d’évolution des sous‑objectifs de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie ne peuvent, à périmètre constant, excéder les taux suivants :

III. – Les taux annuels d’évolution des sous‑objectifs de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie ne peuvent, à périmètre constant, excéder les taux suivants :

Sous-objectifs ONDAM (en % )202320242025
Soins de ville2,9 %2,3 %2,3 %
Établissements de santé4,1 %2,9 %2,8 %
Établissements et services pour personnes âgées5,1 %4,8 %4,8 %
Établissements et services pour personnes handicapées5,2 %3,1 %3,1 %
Fonds d’intervention régional et soutien national à l’investissement1,7 %2,0 %2,0 %
Autres prises en charge3,9 %3,2 %3,2 %


Sous-objectifs ONDAM (en % )202320242025
Soins de ville2,9 %2,3 %2,3 %
Établissements de santé4,1 %2,9 %2,8 %
Établissements et services pour personnes âgées5,1 %4,8 %4,8 %
Établissements et services pour personnes handicapées5,2 %3,1 %3,1 %
Fonds d’intervention régional et soutien national à l’investissement1,7 %2,0 %2,0 %
Autres prises en charge3,9 %3,2 %3,2 %


Sous-objectifs ONDAM (en % )202320242025
Soins de ville2,9 %2,3 %2,3 %
Établissements de santé4,1 %2,9 %2,8 %
Établissements et services pour personnes âgées5,1 %4,8 %4,8 %
Établissements et services pour personnes handicapées5,2 %3,1 %3,1 %
Fonds d’intervention régional et soutien national à l’investissement1,7 %2,0 %2,0 %
Autres prises en charge3,9 %3,2 %3,2 %


(en %)
Sous-objectifs de l’ONDAM20232024202520262027
Soins de ville3,73,53,02,72,7
Établissements de santé5,23,22,62,72,8
Établissements et services pour personnes âgées6,74,64,84,54,2
Établissements et services pour personnes handicapées6,53,43,13,13,1
Fonds d’intervention régional et soutien national à l’investissement6,5-4,73,43,43,4
Autres prises en charge10,24,64,94,94,9

Amdt  CF166


(En %)
Sous-objectifs de l’ONDAM20232024202520262027
Soins de ville3,73,53,02,72,7
Établissements de santé5,23,22,62,72,8
Établissements et services pour personnes âgées6,74,64,84,54,2
Établissements et services pour personnes handicapées6,53,43,13,13,1
Fonds d’intervention régional et soutien national à l’investissement6,5-4,73,43,43,4
Autres prises en charge10,24,64,94,94,9


(En %)
Sous-objectifs de l’ONDAM20232024202520262027
Soins de ville3,73,53,02,72,7
Établissements de santé5,23,22,62,72,8
Établissements et services pour personnes âgées6,74,64,84,54,2
Établissements et services pour personnes handicapées6,53,43,13,13,1
Fonds d’intervention régional et soutien national à l’investissement6,5-4,73,43,43,4
Autres prises en charge10,24,64,94,94,9



(En %)
Sous-objectifs de l’ONDAM20232024202520262027
Soins de ville3,73,53,02,72,7
Établissements de santé5,23,22,62,72,8
Établissements et services pour personnes âgées6,74,64,84,54,2
Établissements et services pour personnes handicapées6,53,43,13,13,1
Fonds d’intervention régional et soutien national à l’investissement6,5-4,73,43,43,4
Autres prises en charge10,24,64,94,94,9


(En %)
Sous-objectifs de l’ONDAM20232024202520262027
Soins de ville3,73,53,02,72,7
Établissements de santé5,23,22,62,72,8
Établissements et services pour personnes âgées6,74,64,84,54,2
Établissements et services pour personnes handicapées6,53,43,13,13,1
Fonds d’intervention régional et soutien national à l’investissement6,5-4,73,43,43,4
Autres prises en charge10,24,64,94,94,9


Le taux d’évolution annuel est calculé, pour une année donnée, au regard de la situation de l’année précédente.



(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)


Le taux d’évolution annuel est calculé, pour une année donnée, au regard de la situation de l’année précédente.

Le taux d’évolution annuel est calculé, pour une année donnée, au regard de la situation de l’année précédente.




IV (nouveau). – Des économies issues du dispositif de revue de dépenses instauré par l’article 167 de la loi  2022‑1726 du 30 décembre 2022 de finances pour 2023 et par l’article 21 de la présente loi représentent 6 milliards d’euros par an pour les années 2025 à 2027 et sont réparties entre les dépenses des administrations de sécurité sociale.

Amdt  CF176

IV (nouveau). – Des économies issues du dispositif de revue de dépenses instauré par l’article 167 de la loi  2022‑1726 du 30 décembre 2022 de finances pour 2023 et par l’article 21 de la présente loi représentent 6 milliards d’euros par an pour les années 2025 à 2027 et sont réparties entre les dépenses des administrations de sécurité sociale.

IV. – (Non modifié)


IV. – Des économies issues du dispositif de revue de dépenses instauré par l’article 167 de la loi  2022‑1726 du 30 décembre 2022 de finances pour 2023 et par l’article 22 de la présente loi représentent 6 milliards d’euros par an pour les années 2025 à 2027 et sont réparties entre les dépenses des administrations de sécurité sociale.

IV. – Des économies issues du dispositif de revue de dépenses instauré par l’article 167 de la loi  2022‑1726 du 30 décembre 2022 de finances pour 2023 et par l’article 22 de la présente loi représentent 6 milliards d’euros par an pour les années 2025 à 2027 et sont réparties entre les dépenses des administrations de sécurité sociale.







. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .


. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .




Article 18

Article 18

Article 18

Article 18

(Non modifié)

Article 18

(Conforme)



Article 19

Article 19


À périmètre constant, les dépenses de gestion administrative prévues par les conventions d’objectifs et de gestion signées à compter du 1er octobre 2022 entre l’État et les régimes obligatoires de sécurité sociale ainsi que celles de l’établissement de retraite additionnelle de la fonction publique sont stables, en valeur et en moyenne, sur la période 2023‑2027.

À périmètre constant, les dépenses de gestion administrative prévues par les conventions d’objectifs et de gestion signées à compter du 1er octobre 2022 entre l’État et les régimes obligatoires de sécurité sociale ainsi que celles de l’établissement de retraite additionnelle de la fonction publique n’augmentent ni en valeur ni en moyenne annuelle sur la période 2023‑2027.

Amdt COM‑46

À périmètre constant, les dépenses de gestion administrative prévues par les conventions d’objectifs et de gestion signées à compter du 1er octobre 2022 entre l’État et les régimes obligatoires de sécurité sociale ainsi que celles de l’établissement de retraite additionnelle de la fonction publique n’augmentent pas, en valeur et en moyenne, sur la période 2023‑2027.

Amdt  71





À périmètre constant, les dépenses de gestion administrative prévues par les conventions d’objectifs et de gestion signées à compter du 1er octobre 2022 entre l’État et les régimes obligatoires de sécurité sociale ainsi que celles de l’établissement de retraite additionnelle de la fonction publique n’augmentent pas, en valeur et en moyenne, sur la période 2023‑2027.

À périmètre constant, les dépenses de gestion administrative prévues par les conventions d’objectifs et de gestion signées à compter du 1er octobre 2022 entre l’État et les régimes obligatoires de sécurité sociale ainsi que celles de l’établissement de retraite additionnelle de la fonction publique n’augmentent pas, en valeur et en moyenne, sur la période 2023‑2027.


Article 19

Article 19

Article 19

Article 19

Article 19

Article 19

Article 19

(Non modifié)

Article 20

Article 20


À compter du 1er janvier 2023, une fraction représentant au moins 0,3 % du montant de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie de l’ensemble des régimes obligatoires de base de sécurité sociale mentionnés à l’article L.O. 111‑3‑5 du code de la sécurité sociale est mise en réserve au début de chaque exercice.

À compter du 1er janvier 2023, une fraction représentant 0,3 % du montant de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie de l’ensemble des régimes obligatoires de base de sécurité sociale est mise en réserve au début de chaque exercice.

Amdt COM‑47

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

À compter du 1er janvier 2024, une fraction représentant 0,3 % du montant de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie de l’ensemble des régimes obligatoires de base de sécurité sociale est mise en réserve au début de chaque exercice.

Amdt  98

(Alinéa sans modification)


À compter du 1er janvier 2024, une fraction représentant 0,3 % du montant de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie de l’ensemble des régimes obligatoires de base de sécurité sociale est mise en réserve au début de chaque exercice.

À compter du 1er janvier 2024, une fraction représentant 0,3 % du montant de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie de l’ensemble des régimes obligatoires de base de sécurité sociale est mise en réserve au début de chaque exercice.



Cette mise en réserve s’applique de manière uniforme à chacun des sous‑objectifs de l’objectif national mentionné au précédent alinéa.

Amdt COM‑47

Cette mise en réserve s’applique de manière uniforme à chacun des sous‑objectifs de l’objectif national mentionné au premier alinéa.

(Alinéa supprimé)

Amdt  CF149


Cette mise en réserve s’applique de manière uniforme à chacun des sous‑objectifs de l’objectif national mentionné au premier alinéa.

Amdt COM‑23





Article 20

Article 20

(Non modifié)

Article 20

(Non modifié)

Article 20

(Non modifié)

Article 20

Article 20

(Non modifié)

Article 20

(Conforme)

Article 21

Article 21


I. – Les créations ou extensions d’exonérations ou d’abattements d’assiette et de réductions de taux s’appliquant aux cotisations et contributions de sécurité sociale affectées aux régimes obligatoires de base de sécurité sociale ou aux organismes concourant à leur financement, instaurées par un texte promulgué à compter du 1er janvier 2023 ne sont applicables que pour une durée maximale de trois ans, précisée par le texte qui les institue. Les prorogations d’exonérations ou d’abattements d’assiette et de réductions de taux s’appliquant aux cotisations et contributions de sécurité sociale affectées aux régimes obligatoires de base de sécurité sociale ou aux organismes concourant à leur financement qui interviennent après le 1er janvier 2023 ne sont applicables que pour une durée maximale de trois ans.




I. – Les créations ou les extensions d’exonérations ou d’abattements d’assiette et de réductions de taux s’appliquant aux cotisations et contributions de sécurité sociale affectées aux régimes obligatoires de base de sécurité sociale ou aux organismes concourant à leur financement qui sont instaurées par un texte promulgué à compter du 1er janvier 2024 ne sont applicables que pour une durée maximale de trois ans, précisée par le texte qui les institue. Les prorogations d’exonérations ou d’abattements d’assiette et de réductions de taux s’appliquant aux cotisations et contributions de sécurité sociale affectées aux régimes obligatoires de base de sécurité sociale ou aux organismes concourant à leur financement qui interviennent après le 1er janvier 2024 ne sont applicables que pour une durée maximale de trois ans et à la condition d’avoir fait l’objet d’une évaluation, présentée par le Gouvernement au Parlement, des principales caractéristiques des bénéficiaires des mesures, qui précise l’efficacité et le coût de celles‑ci.

Amdts  113,  71,  120(s/amdt)



I. – Les créations ou les extensions d’exonérations ou d’abattements d’assiette et de réductions de taux s’appliquant aux cotisations et contributions de sécurité sociale affectées aux régimes obligatoires de base de sécurité sociale ou aux organismes concourant à leur financement qui sont instaurées par un texte promulgué à compter du 1er janvier 2024 ne sont applicables que pour une durée maximale de trois ans, précisée par le texte qui les institue. Les prorogations d’exonérations ou d’abattements d’assiette et de réductions de taux s’appliquant aux cotisations et contributions de sécurité sociale affectées aux régimes obligatoires de base de sécurité sociale ou aux organismes concourant à leur financement qui interviennent après le 1er janvier 2024 ne sont applicables que pour une durée maximale de trois ans et à la condition d’avoir fait l’objet d’une évaluation, présentée par le Gouvernement au Parlement, des principales caractéristiques des bénéficiaires des mesures, qui précise l’efficacité et le coût de celles‑ci.

I. – Les créations ou les extensions d’exonérations ou d’abattements d’assiette et de réductions de taux s’appliquant aux cotisations et contributions de sécurité sociale affectées aux régimes obligatoires de base de sécurité sociale ou aux organismes concourant à leur financement qui sont instaurées par un texte promulgué à compter du 1er janvier 2024 ne sont applicables que pour une durée maximale de trois ans, précisée par le texte qui les institue. Les prorogations d’exonérations ou d’abattements d’assiette et de réductions de taux s’appliquant aux cotisations et contributions de sécurité sociale affectées aux régimes obligatoires de base de sécurité sociale ou aux organismes concourant à leur financement qui interviennent après le 1er janvier 2024 ne sont applicables que pour une durée maximale de trois ans et à la condition d’avoir fait l’objet d’une évaluation, présentée par le Gouvernement au Parlement, des principales caractéristiques des bénéficiaires des mesures, qui précise l’efficacité et le coût de celles‑ci.

II. – Le rapport entre, d’une part, le montant annuel des exonérations ou d’abattements d’assiette et de réductions de taux s’appliquant aux cotisations et contributions de sécurité sociale affectées aux régimes obligatoires de base ou aux organismes concourant à leur financement et, d’autre part, la somme des recettes des régimes obligatoires de base de sécurité sociale et des organismes concourant à leur financement et des exonérations de cotisations sociales non compensées par crédit budgétaire ne peut excéder 14 % pour chacune des années de la période 2023‑2027.




II. – (Non modifié)



II. – Le rapport entre, d’une part, le montant annuel des exonérations ou abattements d’assiette et des réductions de taux s’appliquant aux cotisations et contributions de sécurité sociale affectées aux régimes obligatoires de base ou aux organismes concourant à leur financement et, d’autre part, la somme des recettes des régimes obligatoires de base de sécurité sociale et des organismes concourant à leur financement et des exonérations de cotisations sociales non compensées par crédits budgétaires ne peut excéder 14 % pour chacune des années de la période 2023‑2027.

II. – Le rapport entre, d’une part, le montant annuel des exonérations ou abattements d’assiette et des réductions de taux s’appliquant aux cotisations et contributions de sécurité sociale affectées aux régimes obligatoires de base ou aux organismes concourant à leur financement et, d’autre part, la somme des recettes des régimes obligatoires de base de sécurité sociale et des organismes concourant à leur financement et des exonérations de cotisations sociales non compensées par crédits budgétaires ne peut excéder 14 % pour chacune des années de la période 2023‑2027.

TITRE II

DISPOSITIONS RELATIVES À LA GESTION DES FINANCES PUBLIQUES ET À L’INFORMATION ET AU CONTRÔLE DU PARLEMENT

TITRE II

DISPOSITIONS RELATIVES À LA GESTION DES FINANCES PUBLIQUES ET À L’INFORMATION ET AU CONTRÔLE DU PARLEMENT

TITRE II

DISPOSITIONS RELATIVES À LA GESTION DES FINANCES PUBLIQUES ET À L’INFORMATION ET AU CONTRÔLE DU PARLEMENT

TITRE II

DISPOSITIONS RELATIVES À LA GESTION DES FINANCES PUBLIQUES ET À L’INFORMATION ET AU CONTRÔLE DU PARLEMENT

TITRE II

DISPOSITIONS RELATIVES À LA GESTION DES FINANCES PUBLIQUES ET À L’INFORMATION ET AU CONTRÔLE DU PARLEMENT

TITRE II

DISPOSITIONS RELATIVES À LA GESTION DES FINANCES PUBLIQUES ET À L’INFORMATION ET AU CONTRÔLE DU PARLEMENT

TITRE II

DISPOSITIONS RELATIVES À LA GESTION DES FINANCES PUBLIQUES ET À L’INFORMATION ET AU CONTRÔLE DU PARLEMENT

TITRE II

DISPOSITIONS RELATIVES À LA GESTION DES FINANCES PUBLIQUES ET À L’INFORMATION ET AU CONTRÔLE DU PARLEMENT

TITRE II

DISPOSITIONS RELATIVES À LA GESTION DES FINANCES PUBLIQUES ET À L’INFORMATION ET AU CONTRÔLE DU PARLEMENT


Chapitre IER

Ensemble des administrations publiques

Chapitre IER

Ensemble des administrations publiques

Chapitre IER

Ensemble des administrations publiques

Chapitre IER

Ensemble des administrations publiques

Chapitre IER

Ensemble des administrations publiques

Chapitre IER

Ensemble des administrations publiques

Chapitre IER

Ensemble des administrations publiques

Chapitre IER

Ensemble des administrations publiques

Chapitre IER

Ensemble des administrations publiques


Article 21

Article 21

Article 21

Article 21

Article 21

Article 21

Article 21

(Non modifié)

Article 22

Article 22


En vue d’éclairer la préparation du projet de loi de finances et du projet de loi de financement de la sécurité sociale, sont conduites des évaluations de la qualité de l’action publique, dont les conclusions sont transmises au Parlement au plus tard le 1er avril de chaque année. Ces évaluations peuvent porter sur l’ensemble des dépenses et des moyens des administrations publiques ou des entités bénéficiant de fonds publics ainsi que sur les crédits d’impôt, les dépenses fiscales et les exonérations ou abattements d’assiette et les réductions de taux s’appliquant aux cotisations et contributions de sécurité sociale affectées aux régimes obligatoires de base et aux organismes concourant à leur financement. Ces évaluations identifient, notamment, des mesures d’amélioration de l’efficacité, de l’efficience et des coûts des politiques et des structures évaluées.

I. – En vue d’éclairer la préparation du projet de loi de finances et du projet de loi de financement de la sécurité sociale, sont conduites des évaluations de la qualité de l’action publique, dont les conclusions sont transmises au Parlement au plus tard le 1er avril de chaque année. Ces évaluations peuvent porter sur l’ensemble des dépenses et des moyens des administrations publiques ou des entités bénéficiant de fonds publics ainsi que sur les crédits d’impôt, les dépenses fiscales et les exonérations ou abattements d’assiette et les réductions de taux s’appliquant aux cotisations et contributions de sécurité sociale affectées aux régimes obligatoires de base et aux organismes concourant à leur financement. Ces évaluations identifient, notamment, des mesures d’amélioration de l’efficacité, de l’efficience et des coûts des politiques et des structures évaluées.

I. – (Non modifié)

I. – En vue d’éclairer la préparation du projet de loi de finances et du projet de loi de financement de la sécurité sociale, sont conduites des évaluations de la qualité de l’action publique, dont les conclusions sont transmises au Parlement au plus tard le 1er avril de chaque année. Ces évaluations peuvent porter sur l’ensemble des dépenses et des moyens des administrations publiques ou des entités bénéficiant de fonds publics ainsi que sur les crédits d’impôt, les dépenses fiscales et les exonérations ou abattements d’assiette et les réductions de taux s’appliquant aux cotisations et contributions de sécurité sociale affectées aux régimes obligatoires de base et aux organismes concourant à leur financement. Ces évaluations identifient, notamment, des mesures d’amélioration de l’efficacité, de l’efficience et des coûts des politiques et des structures évaluées. Elles dressent la liste des doublons de compétences et de missions entre les administrations publiques.

Amdt  CF124

I. – En vue d’éclairer la préparation du projet de loi de finances et du projet de loi de financement de la sécurité sociale, sont conduites des évaluations de la qualité de l’action publique, dont les conclusions sont transmises au Parlement au plus tard le 1er avril de chaque année. Ces évaluations peuvent porter sur l’ensemble des dépenses et des moyens des administrations publiques ou des entités bénéficiant de fonds publics ainsi que sur les crédits d’impôt, les dépenses fiscales et les exonérations ou abattements d’assiette et les réductions de taux s’appliquant aux cotisations et contributions de sécurité sociale affectées aux régimes obligatoires de base de sécurité sociale et aux organismes concourant à leur financement. Ces évaluations identifient, notamment, des mesures d’amélioration de l’efficacité, de l’efficience et des coûts des politiques et des structures évaluées. Elles dressent la liste des doublons de compétences et de missions entre les administrations publiques.

Amdt  119

I. – (Non modifié)


I. – En vue d’éclairer la préparation du projet de loi de finances et du projet de loi de financement de la sécurité sociale, sont conduites des évaluations de la qualité de l’action publique, dont les conclusions sont transmises au Parlement au plus tard le 1er avril de chaque année. Ces évaluations peuvent porter sur l’ensemble des dépenses et des moyens des administrations publiques ou des entités bénéficiant de fonds publics ainsi que sur les crédits d’impôt, les dépenses fiscales et les exonérations ou abattements d’assiette et les réductions de taux s’appliquant aux cotisations et contributions de sécurité sociale affectées aux régimes obligatoires de base de sécurité sociale et aux organismes concourant à leur financement. Ces évaluations identifient, notamment, des mesures d’amélioration de l’efficacité, de l’efficience et des coûts des politiques et des structures évaluées. Elles dressent la liste des doublons de compétences et de missions entre les administrations publiques.

I. – En vue d’éclairer la préparation du projet de loi de finances et du projet de loi de financement de la sécurité sociale, sont conduites des évaluations de la qualité de l’action publique, dont les conclusions sont transmises au Parlement au plus tard le 1er avril de chaque année. Ces évaluations peuvent porter sur l’ensemble des dépenses et des moyens des administrations publiques ou des entités bénéficiant de fonds publics ainsi que sur les crédits d’impôt, les dépenses fiscales et les exonérations ou abattements d’assiette et les réductions de taux s’appliquant aux cotisations et contributions de sécurité sociale affectées aux régimes obligatoires de base de sécurité sociale et aux organismes concourant à leur financement. Ces évaluations identifient, notamment, des mesures d’amélioration de l’efficacité, de l’efficience et des coûts des politiques et des structures évaluées. Elles dressent la liste des doublons de compétences et de missions entre les administrations publiques.




Chaque année, en vue d’éclairer la préparation du projet de loi de finances, le Gouvernement remet au Parlement la liste des trente dépenses fiscales les plus coûteuses arrivant à échéance à la fin de l’année en cours ainsi que l’évaluation des trente dépenses fiscales les plus coûteuses non bornées dans le temps et celle des trente dépenses fiscales les plus coûteuses dont les bénéficiaires sont limités.

Amdts  CF153,  CF179(s/amdt)

(Alinéa sans modification)



Chaque année, en vue d’éclairer la préparation du projet de loi de finances, le Gouvernement remet au Parlement la liste des trente dépenses fiscales les plus coûteuses arrivant à échéance à la fin de l’année en cours ainsi que l’évaluation des trente dépenses fiscales les plus coûteuses non bornées dans le temps et celle des trente dépenses fiscales les plus coûteuses dont les bénéficiaires sont limités.

Chaque année, en vue d’éclairer la préparation du projet de loi de finances, le Gouvernement remet au Parlement la liste des trente dépenses fiscales les plus coûteuses arrivant à échéance à la fin de l’année en cours ainsi que l’évaluation des trente dépenses fiscales les plus coûteuses non bornées dans le temps et celle des trente dépenses fiscales les plus coûteuses dont les bénéficiaires sont limités.




Chaque année, en vue d’éclairer la préparation du projet de loi de finances et du projet de loi de financement de la sécurité sociale, le Gouvernement remet au Parlement la liste des exonérations ou des abattements d’assiette et des réductions de taux s’appliquant aux cotisations et aux contributions de sécurité sociale affectées aux régimes obligatoires de base de la sécurité sociale et aux organismes concourant à leur financement arrivant à échéance à la fin de l’année en cours.

Amdts  CF154,  CF182(s/amdt)

Chaque année, en vue d’éclairer la préparation du projet de loi de finances et du projet de loi de financement de la sécurité sociale, le Gouvernement remet au Parlement la liste des exonérations ou des abattements d’assiette et des réductions de taux s’appliquant aux cotisations et aux contributions de sécurité sociale affectées aux régimes obligatoires de base de sécurité sociale et aux organismes concourant à leur financement arrivant à échéance à la fin de l’année en cours.



Chaque année, en vue d’éclairer la préparation du projet de loi de finances et du projet de loi de financement de la sécurité sociale, le Gouvernement remet au Parlement la liste des exonérations ou des abattements d’assiette et des réductions de taux s’appliquant aux cotisations et aux contributions de sécurité sociale affectées aux régimes obligatoires de base de sécurité sociale et aux organismes concourant à leur financement arrivant à échéance à la fin de l’année en cours.

Chaque année, en vue d’éclairer la préparation du projet de loi de finances et du projet de loi de financement de la sécurité sociale, le Gouvernement remet au Parlement la liste des exonérations ou des abattements d’assiette et des réductions de taux s’appliquant aux cotisations et aux contributions de sécurité sociale affectées aux régimes obligatoires de base de sécurité sociale et aux organismes concourant à leur financement arrivant à échéance à la fin de l’année en cours.


II. – La liste des évaluations devant être réalisées en application du I est arrêtée par le Gouvernement au plus tard l’année précédant leur restitution au Parlement. Elle fait l’objet d’une information au Parlement lors du dépôt du projet de loi de finances initiale.

Amdt COM‑108

II (nouveau). – La liste des évaluations devant être réalisées en application du I est arrêtée par le Gouvernement au plus tard l’année précédant leur restitution au Parlement. Elle fait l’objet d’une information au Parlement lors du dépôt du projet de loi de finances initiale.

II. – (Non modifié)

II. – (Non modifié)

II. – (Non modifié)


II. – La liste des évaluations devant être réalisées en application du I est arrêtée par le Gouvernement au plus tard l’année précédant leur restitution au Parlement. Elle fait l’objet d’une information au Parlement lors du dépôt du projet de loi de finances initiale.

II. – La liste des évaluations devant être réalisées en application du I est arrêtée par le Gouvernement au plus tard l’année précédant leur restitution au Parlement. Elle fait l’objet d’une information au Parlement lors du dépôt du projet de loi de finances initiale.


III. – Les évaluations devant être réalisées en application du I comportent :

Amdt COM‑108

III (nouveau). – Les évaluations devant être réalisées en application du I comportent :

III. – (Supprimé)

Amdt  CF148

III. – (Supprimé)

III. – Les évaluations devant être réalisées en application du I comportent :






1° une liste des personnes physiques ou morales, privées ou publiques, entendues ou ayant participé directement ou indirectement à la réalisation des travaux ;

Amdt COM‑108

1° (Non modifié)



1° (Non modifié)






2° une réponse adressée, le cas échéant, par les personnes ou organismes concernés par les observations ou les conclusions des travaux d’évaluation.

Amdt COM‑108

2° (Non modifié)



2° (Non modifié)

Amdt COM‑24






IV. – À l’exclusion de celles qui relèvent du secret professionnel, médical, fiscal ou de l’instruction ou de celles qui touchent à la défense nationale ou à la sécurité intérieure ou extérieure de l’État, l’ensemble des données utilisées pour la réalisation des évaluations sont mises à la disposition du public dans un format numérique largement réutilisable.

Amdt COM‑108

IV (nouveau). – À l’exclusion de celles qui relèvent du secret professionnel, médical, fiscal ou de l’instruction ou de celles qui touchent à la défense nationale ou à la sécurité intérieure ou extérieure de l’État, l’ensemble des données utilisées pour la réalisation des évaluations sont mises à la disposition du public dans un format numérique largement réutilisable.

IV. – (Supprimé)

Amdt  CF148

IV. – (Supprimé)

IV. – À l’exclusion de celles qui relèvent du secret professionnel, médical, fiscal ou de l’instruction ou de celles qui touchent à la défense nationale ou à la sécurité intérieure ou extérieure de l’État, l’ensemble des données utilisées pour la réalisation des évaluations sont mises à la disposition du public dans un format numérique largement réutilisable.

Amdt COM‑24





Chapitre II

Administrations publiques centrales

Chapitre II

Administrations publiques centrales

Chapitre II

Administrations publiques centrales

Chapitre II

Administrations publiques centrales

Chapitre II

Administrations publiques centrales

Chapitre II

Administrations publiques centrales

Chapitre II

Administrations publiques centrales

Chapitre II

Administrations publiques centrales

Chapitre II

Administrations publiques centrales


Article 22

Article 22

Article 22

(Non modifié)

Article 22

(Non modifié)

Article 22

(Conforme)


. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .


. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Article 23

Article 23


I. – Nonobstant toute disposition contraire des textes qui leur sont applicables, ne peuvent contracter auprès d’un établissement de crédit ou d’une société de financement un emprunt dont le terme est supérieur à douze mois, ni émettre un titre de créance dont le terme excède cette durée les organismes français relevant de la catégorie des administrations publiques centrales, au sens du règlement relatif au système européen des comptes nationaux et régionaux en vigueur, autres que l’État, la Caisse d’amortissement de la dette sociale, la Caisse de la dette publique, le fonds de garantie des dépôts et de résolution, la Société anonyme de gestion de stocks de sécurité et la Société de prises de participation de l’État. Un arrêté du ministre chargé du budget établit la liste des organismes auxquels s’applique cette interdiction.

I. – (Alinéa sans modification)






I. – Nonobstant toute disposition contraire des textes qui leur sont applicables, ne peuvent contracter auprès d’un établissement de crédit ou d’une société de financement un emprunt dont le terme est supérieur à douze mois, ni émettre un titre de créance dont le terme excède cette durée les organismes français relevant de la catégorie des administrations publiques centrales, au sens du règlement relatif au système européen des comptes nationaux et régionaux en vigueur, autres que l’État, la Caisse d’amortissement de la dette sociale, la Caisse de la dette publique, le fonds de garantie des dépôts et de résolution, la Société anonyme de gestion de stocks de sécurité et la Société de prise de participation de l’État. Un arrêté du ministre chargé du budget établit la liste des organismes auxquels s’applique cette interdiction.

I. – Nonobstant toute disposition contraire des textes qui leur sont applicables, ne peuvent contracter auprès d’un établissement de crédit ou d’une société de financement un emprunt dont le terme est supérieur à douze mois, ni émettre un titre de créance dont le terme excède cette durée les organismes français relevant de la catégorie des administrations publiques centrales, au sens du règlement relatif au système européen des comptes nationaux et régionaux en vigueur, autres que l’État, la Caisse d’amortissement de la dette sociale, la Caisse de la dette publique, le fonds de garantie des dépôts et de résolution, la Société anonyme de gestion de stocks de sécurité et la Société de prise de participation de l’État. Un arrêté du ministre chargé du budget établit la liste des organismes auxquels s’applique cette interdiction.

Pour tout organisme nouvellement entrant dans la liste mentionnée au premier alinéa, l’interdiction s’applique un an après la publication de l’arrêté modifiant ladite liste.

Pour tout organisme nouvellement entrant dans la liste mentionnée au premier alinéa du présent I, l’interdiction s’applique un an après la publication de l’arrêté modifiant ladite liste.






Pour tout organisme nouvellement entrant dans la liste mentionnée au premier alinéa du présent I, l’interdiction s’applique un an après la publication de l’arrêté modifiant ladite liste.

Pour tout organisme nouvellement entrant dans la liste mentionnée au premier alinéa du présent I, l’interdiction s’applique un an après la publication de l’arrêté modifiant ladite liste.

II. – Le présent article ne s’applique pas aux emprunts contractés auprès de la Banque européenne d’investissement et de la Banque de développement du Conseil de l’Europe.

II. – (Non modifié)






II. – Le I ne s’applique pas aux emprunts contractés auprès de la Banque européenne d’investissement et de la Banque de développement du Conseil de l’Europe.

II. – Le I ne s’applique pas aux emprunts contractés auprès de la Banque européenne d’investissement et de la Banque de développement du Conseil de l’Europe.

Chapitre III

ADMINISTRATIONS PUBLIQUES LOCALES

Chapitre III

Administrations publiques locales

Chapitre III

Administrations publiques locales

Chapitre III

Administrations publiques locales

Chapitre III

Administrations publiques locales

Chapitre III

Administrations publiques locales

Chapitre III

Administrations publiques locales

Chapitre III

Administrations publiques locales



Article 23

Article 23

(Supprimé)

Amdts COM‑109, COM‑81, COM‑17, COM‑23, COM‑90 rect.

Article 23

(Supprimé)

Article 23

(Suppression maintenue)

Article 23

(Suppression conforme)


. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .


. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .




I. – Entre 2023 et 2027, chacune des catégories suivantes de collectivités territoriales et d’établissements publics de coopération intercommunale fait l’objet d’un suivi national spécifique de l’objectif d’évolution de leurs dépenses réelles de fonctionnement prévu au 1° du III de l’article 14 :










– les régions, la collectivité de Corse, la collectivité territoriale de Guyane, la collectivité territoriale de Martinique et le département de Mayotte ;










– les départements ainsi que la métropole de Lyon ;










– les communes, les établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre et les établissements publics territoriaux dont les dépenses réelles de fonctionnement constatées dans le compte de gestion du budget principal au titre de l’année 2022 sont supérieures à 40 millions d’euros, et la ville de Paris.










L’objectif annuel d’évolution des dépenses réelles de fonctionnement pour chaque catégorie de collectivités territoriales et d’établissements publics de coopération intercommunale est fixé annuellement sur le fondement de l’hypothèse des prix à la consommation hors tabac associée au projet de loi de finances de l’année concernée par arrêté conjoint des ministres chargés des collectivités territoriales et du budget. Lorsqu’en cours d’année, dans le cadre d’une nouvelle loi de finances, ou du programme de stabilité transmis à la Commission européenne en application de l’article 121 du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne, et au moins tous les six mois, cette hypothèse fait l’objet d’une réévaluation de plus de 0,5 point, un arrêté modificatif conjoint des ministres chargés des collectivités territoriales et du budget peut fixer un nouvel objectif, correspondant à cette nouvelle hypothèse minorée de 0,5 point, dans les conditions déterminées par décret.










II. – Les dépenses réelles de fonctionnement s’entendent comme le total des charges nettes de l’exercice entraînant des mouvements réels au sein de la section de fonctionnement des collectivités territoriales ou établissements concernés. Elles correspondent aux opérations budgétaires comptabilisées dans les comptes de classe 6, à l’exception des opérations d’ordre budgétaire, et excluent en totalité les valeurs comptables des immobilisations cédées, les différences sur réalisations positives transférées en investissement et les dotations aux amortissements et provisions.










Pour l’application de l’alinéa précédent aux communes membres de la métropole du Grand Paris, les dépenses réelles de fonctionnement sont minorées des contributions au fonds de compensation des charges territoriales.










Pour les collectivités territoriales ou établissements publics de coopération intercommunale ayant fait l’objet d’une création, d’une fusion, d’une extension ou de toute autre modification de périmètre, les comparaisons sont effectuées sur le périmètre ou la structure en vigueur au 1er janvier de l’année concernée.










III. – A. – À compter de 2023, il est constaté chaque année la différence entre le niveau des dépenses réelles de fonctionnement exécuté à l’échelle nationale, pour chacune des catégories de collectivités territoriales et d’établissements publics de coopération intercommunale mentionnées au I du présent article, et l’objectif annuel de dépenses réelles de fonctionnement fixé au même I pour chacune de ces catégories, en tenant compte des dépenses retraitées fixées par décret. Cette différence est appréciée sur le fondement des derniers comptes de gestion disponibles.










Dans le cas où cette différence est positive pour une catégorie dans son ensemble, et uniquement pour les collectivités territoriales et établissements publics de coopération intercommunale au sein de cette catégorie pour lesquels cette différence est positive, il est appliqué une exclusion de l’octroi des dotations prévues aux articles L. 2334‑40, L. 2334‑42 et L. 3334‑10 du code général des collectivités territoriales ainsi que des crédits du fonds de transition écologique prévu à l’article XX de la loi  2022‑XX du XX décembre 2022 de finances pour 2023 dans les conditions fixées par décret en Conseil d’État. Ce décret précise notamment les conditions d’exclusion de l’octroi des dotations et des crédits du fonds de transition écologique, ainsi que les modalités de suivi de retour à la trajectoire des finances publiques par ces collectivités territoriales et établissements publics de coopération intercommunale.










Dans le cas où cette différence est positive pour une catégorie dans son ensemble, l’exclusion de l’octroi des dotations mentionnée au deuxième alinéa du présent A ne s’applique pas lorsqu’au titre d’un exercice, l’évolution, à l’échelle nationale, des dépenses réelles de fonctionnement constatées aux comptes de gestion des budgets principaux de chacune des catégories de collectivités territoriales et d’établissements publics de coopération intercommunale mentionnées au I est inférieure à l’indice des prix à la consommation hors tabac constatée au titre de ce même exercice, minoré de 0,5 point.










B. – Dans le cas où l’exclusion de l’octroi des dotations est appliquée conformément au A du présent III, un accord de retour à la trajectoire est conclu à l’issue d’un dialogue entre le représentant de l’État et les seules collectivités et établissements publics de coopération intercommunale de la catégorie concernée par cette exclusion.










C. – À cette fin, l’accord de retour à la trajectoire détermine, sur le périmètre du budget principal de la collectivité ou de l’établissement :










1° Un objectif annuel d’évolution des dépenses réelles de fonctionnement déterminé sur la base de l’objectif annuel de dépense fixé au I du présent article ;










2° Un objectif d’amélioration du besoin de financement. Le besoin de financement est égal aux emprunts souscrits au titre d’un exercice, minorés des remboursements de dette au cours de ce même exercice ;










3° un objectif d’amélioration de la durée de désendettement, définie par le rapport entre le montant total de la dette et l’épargne brute constatée au titre de l’exécution, pour les collectivités dont le ratio dépasse les seuils suivants :










– neuf ans pour les régions, la collectivité de Corse, la collectivité territoriale de Guyane, la collectivité territoriale de Martinique et le département de Mayotte ;










– dix ans pour les départements et la métropole de Lyon ;










– douze ans pour les communes, les établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre et les établissements publics territoriaux dont les dépenses réelles de fonctionnement constatées dans le compte de gestion du budget principal au titre de l’année 2022 sont supérieures à 40 millions d’euros, et la ville de Paris.










D. – L’accord de retour à la trajectoire est conclu au plus tard le 1er octobre de l’exercice suivant le dépassement des dépenses réelles de fonctionnement constaté. Sa durée court jusqu’à l’exercice 2027 inclus.










E. – L’objectif annuel d’évolution des dépenses réelles de fonctionnement prévu au 1° du C peut être modulé à la hausse ou à la baisse en tendant compte des trois critères suivants dans la limite maximale de 0,15 point chacun :










1° La population de la collectivité territoriale ou de l’établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre a connu entre le 1er janvier 2018 et le 1er janvier 2023 une évolution annuelle supérieure d’au moins 0,75 point à la moyenne nationale ;










2° Le revenu moyen par habitant de la collectivité territoriale ou de l’établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre est inférieur de plus de 15 % au revenu moyen par habitant de l’ensemble des collectivités ou, pour les communes et les établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre, la proportion de population résidant dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville est supérieure à 25 % ;










3° Les dépenses réelles de fonctionnement de la collectivité territoriale ou de l’établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre ont connu une évolution inférieure d’au moins 1,5 point à l’évolution moyenne constatée pour les collectivités de la même catégorie entre 2019 et 2021.










IV. – Il est constaté chaque année la différence entre le niveau des dépenses réelles de fonctionnement exécuté par la collectivité territoriale ou l’établissement et l’objectif annuel de dépenses fixé dans l’accord de retour à la trajectoire. Cette différence est appréciée sur la base des derniers comptes de gestion disponibles.










Dans le cas où cette différence est positive, il est appliqué une reprise financière dont le montant est égal à 75 % de l’écart constaté. Le montant de cette reprise ne peut excéder 2 % des recettes réelles de fonctionnement du budget principal de l’année considérée.










Le niveau des dépenses réelles de fonctionnement considéré pour l’application du premier alinéa du présent IV prend en compte les éléments susceptibles d’affecter leur comparaison sur plusieurs exercices, et notamment les changements de périmètre et les transferts de charges entre collectivités et établissements à fiscalité propre ou la survenance d’éléments exceptionnels affectant significativement le résultat. Ces éléments sont précisés par décret en Conseil d’État.










Le représentant de l’État propose, s’il y a lieu, le montant de la reprise financière. La collectivité territoriale ou l’établissement public de coopération intercommunale dispose d’un mois pour adresser au représentant de l’État ses observations. Si la collectivité territoriale ou l’établissement public de coopération intercommunale présente des observations, le représentant de l’État, s’il y a lieu, arrête le montant de la reprise financière. Il en informe la collectivité ou l’établissement en assortissant cette décision d’une motivation explicite.










Si la collectivité territoriale ou l’établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre ne s’est pas prononcé dans le délai prescrit, le représentant de l’État arrête le montant de la reprise financière.










La collectivité territoriale ou l’établissement public de coopération intercommunale est exonéré du paiement de la reprise financière si, au titre de l’exercice considéré, les collectivités territoriales de la catégorie à laquelle elle appartient en application du I du présent article ont respecté le niveau maximal des dépenses réelles de fonctionnement prévu au même I du présent article.










V. – Pour les collectivités territoriales et établissements de coopération intercommunale à fiscalité propre entrant dans le champ du B du III du présent article et n’ayant pas signé un accord de retour à la trajectoire, le représentant de l’État leur notifie un niveau maximal annuel des dépenses réelles de fonctionnement qui évolue comme l’objectif fixé au I, en tenant compte des critères prévus au E du III du présent article.










Ces collectivités et établissements se voient appliquer une reprise financière si l’évolution de leurs dépenses annuelles réelles de fonctionnement dépasse le niveau annuel arrêté par le représentant de l’État. Le montant de cette reprise est égal à 100 % du dépassement constaté. Le montant de cette reprise ne peut excéder 2 % des recettes réelles de fonctionnement du budget principal.










La collectivité territoriale ou l’établissement public de coopération intercommunale est exonéré du paiement de la reprise financière si, au titre de l’exercice considéré, les collectivités territoriales de la catégorie à laquelle elle appartient en application du I du présent article ont respecté le niveau maximal des dépenses réelles de fonctionnement dans les conditions fixées au même I du présent article.










VI. – Le Gouvernement remet au Parlement, au plus tard le 1er septembre 2027, un rapport sur le bilan et les modalités d’application du dispositif prévu au présent article. Le Gouvernement remet un rapport d’étape au Parlement au plus tard le 1er septembre 2025.










Chapitre IV

Administrations de sécurité sociale

Chapitre IV

Administrations de sécurité sociale

Chapitre IV

Administrations de sécurité sociale

Chapitre IV

Administrations de sécurité sociale

Chapitre IV

Administrations de sécurité sociale

Chapitre IV

Administrations de sécurité sociale

Chapitre IV

Administrations de sécurité sociale

Chapitre IV

Administrations de sécurité sociale

Chapitre IV

Administrations de sécurité sociale








. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .


. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .




Article 24

Article 24

Article 24

(Non modifié)

Article 24

(Non modifié)

Article 24

(Conforme)



Article 24

Article 24


Le Gouvernement transmet chaque année au Parlement, avant le 15 octobre, une décomposition du solde du sous‑secteur des administrations de sécurité sociale entre les régimes obligatoires de base et les organismes concourant à leur financement, les organismes concourant à l’amortissement de leur dette ou à la mise en réserve de recettes à leur profit, les autres régimes d’assurance sociale et les organismes divers de sécurité sociale.

Le Gouvernement transmet chaque année au Parlement, au plus tard le premier mardi doctobre, une décomposition, exprimée en pourcentage du produit intérieur brut et en milliards d’euros courants, du solde du sous‑secteur des administrations de sécurité sociale entre les régimes obligatoires de base de sécurité sociale et les organismes concourant à leur financement, les organismes concourant à l’amortissement de leur dette ou à la mise en réserve de recettes à leur profit, les autres régimes d’assurance sociale et les organismes divers de sécurité sociale, pour l’année en cours et l’année à venir.

Amdt COM‑48






Le Gouvernement transmet chaque année au Parlement, au plus tard le premier mardi d’octobre, une décomposition, exprimée en pourcentage du produit intérieur brut et en milliards d’euros courants, du solde du sous‑secteur des administrations de sécurité sociale entre les régimes obligatoires de base de sécurité sociale et les organismes concourant à leur financement, les organismes concourant à l’amortissement de leur dette ou à la mise en réserve de recettes à leur profit, les autres régimes d’assurance sociale et les organismes divers de sécurité sociale, pour l’année en cours et l’année à venir.

Le Gouvernement transmet chaque année au Parlement, au plus tard le premier mardi d’octobre, une décomposition, exprimée en pourcentage du produit intérieur brut et en milliards d’euros courants, du solde du sous‑secteur des administrations de sécurité sociale entre les régimes obligatoires de base de sécurité sociale et les organismes concourant à leur financement, les organismes concourant à l’amortissement de leur dette ou à la mise en réserve de recettes à leur profit, les autres régimes d’assurance sociale et les organismes divers de sécurité sociale, pour l’année en cours et l’année à venir.


Le Gouvernement transmet chaque année au Parlement, au plus tard le 1er juin, cette même décomposition du solde du sous‑secteur des administrations de sécurité sociale pour l’exercice clos.

Amdt COM‑48






Le Gouvernement transmet chaque année au Parlement, au plus tard le 1er juin, cette même décomposition du solde du sous‑secteur des administrations de sécurité sociale pour l’exercice clos.

Le Gouvernement transmet chaque année au Parlement, au plus tard le 1er juin, cette même décomposition du solde du sous‑secteur des administrations de sécurité sociale pour l’exercice clos.

Chapitre IV

Autres dispositions

Chapitre V

Autres dispositions

Chapitre V

Autres dispositions

Chapitre V

Autres dispositions

Chapitre V

Autres dispositions

Chapitre V

Autres dispositions

Chapitre V

Autres dispositions

Chapitre V

Autres dispositions

Chapitre V

Autres dispositions


Article 25

Article 25

Article 25

(Non modifié)

Article 25

(Non modifié)

Article 25

(Conforme)


. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .


. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Article 25

Article 25


Le Gouvernement transmet chaque année au Parlement un bilan des lois de programmation des finances publiques en vigueur. Ce bilan est rendu public en même temps que le projet de loi relatif aux résultats de la gestion et portant approbation des comptes de l’année.

Le Gouvernement transmet chaque année au Parlement un bilan de la mise en œuvre de la présente loi et des articles en vigueur des précédentes lois de programmation des finances publiques. Ce bilan, décliné par sous‑secteurs des administrations publiques, indique en particulier les données d’exécution, le cas échéant à périmètre constant, des objectifs et orientations prévus aux articles 2 à 4 et 6 à 20 de la présente loi. Il présente également une justification des éventuels écarts constatés entre les engagements pris dans le dernier programme de stabilité transmis à la Commission européenne et les prévisions de la présente loi.

Amdt COM‑110






Le Gouvernement transmet chaque année au Parlement un bilan de la mise en œuvre de la présente loi et des articles en vigueur des précédentes lois de programmation des finances publiques. Ce bilan, décliné par sous‑secteurs des administrations publiques, indique en particulier les données d’exécution, le cas échéant à périmètre constant, des objectifs et orientations prévus aux articles 2 à 4 et 6 à 21 de la présente loi. Il présente également une justification des éventuels écarts constatés entre les engagements pris dans le dernier programme de stabilité transmis à la Commission européenne et les prévisions de la présente loi.

Le Gouvernement transmet chaque année au Parlement un bilan de la mise en œuvre de la présente loi et des articles en vigueur des précédentes lois de programmation des finances publiques. Ce bilan, décliné par sous‑secteurs des administrations publiques, indique en particulier les données d’exécution, le cas échéant à périmètre constant, des objectifs et orientations prévus aux articles 2 à 4 et 6 à 21 de la présente loi. Il présente également une justification des éventuels écarts constatés entre les engagements pris dans le dernier programme de stabilité transmis à la Commission européenne et les prévisions de la présente loi.


Ce bilan est rendu public en même temps que le projet de loi relative aux résultats de la gestion et portant approbation des comptes de l’année.

Amdt COM‑110






Ce bilan est rendu public en même temps que le projet de loi relative aux résultats de la gestion et portant approbation des comptes de l’année.

Ce bilan est rendu public en même temps que le projet de loi relative aux résultats de la gestion et portant approbation des comptes de l’année.

Article 26

Article 26

Article 26

Article 26

(Non modifié)

Article 26

(Conforme)


. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .


Article 26

Article 26


Sont abrogés :

I. – Sont abrogés :

I. – (Non modifié)





I. – Sont abrogés :

I. – Sont abrogés :

1° La loi  2010‑1645 du 28 décembre 2010 de programmation des finances publiques pour les années 2011 à 2014 ;

1° (Non modifié)






1° La loi  2010‑1645 du 28 décembre 2010 de programmation des finances publiques pour les années 2011 à 2014 ;

1° La loi  2010‑1645 du 28 décembre 2010 de programmation des finances publiques pour les années 2011 à 2014 ;

2° L’article 20 de la loi  2012‑1558 du 31 décembre 2012 de programmation des finances publiques pour les années 2012 à 2017 ;

2° (Non modifié)






2° L’article 20 de la loi  2012‑1558 du 31 décembre 2012 de programmation des finances publiques pour les années 2012 à 2017 ;

2° L’article 20 de la loi  2012‑1558 du 31 décembre 2012 de programmation des finances publiques pour les années 2012 à 2017 ;

3° Les articles 12, 26, 28, 30 et 32 de la loi  2014‑1653 du 29 décembre 2014 de programmation des finances publiques pour les années 2014 à 2019 ;

3° (Non modifié)






3° Les articles 12, 26, 28, 30 et 32 de la loi  2014‑1653 du 29 décembre 2014 de programmation des finances publiques pour les années 2014 à 2019 ;

3° Les articles 12, 26, 28, 30 et 32 de la loi  2014‑1653 du 29 décembre 2014 de programmation des finances publiques pour les années 2014 à 2019 ;

4° La loi  2018‑32 du 22 janvier 2018 de programmation des finances publiques pour les années 2018 à 2022.

4° (Non modifié)






4° La loi  2018‑32 du 22 janvier 2018 de programmation des finances publiques pour les années 2018 à 2022.

4° La loi  2018‑32 du 22 janvier 2018 de programmation des finances publiques pour les années 2018 à 2022.


II. – À l’article 34 de la loi  2014‑1653 du 29 décembre 2014 de programmation des finances publiques pour les années 2014 à 2019, les mots : « au I de l’article 12 de la loi  2010‑1645 du 28 décembre 2010 de programmation des finances publiques pour les années 2011 à 2014 » sont remplacés par les mots : « au I de l’article 22 de la loi        du       de programmation des finances publiques pour les années 2023 à 2027 ».

Amdt COM‑111

II (nouveau). – À l’article 34 de la loi  2014‑1653 du 29 décembre 2014 de programmation des finances publiques pour les années 2014 à 2019, les mots : « 12 de la loi  2010‑1645 du 28 décembre 2010 de programmation des finances publiques pour les années 2011 à 2014 » sont remplacés par les mots : « 22 de la loi        du       de programmation des finances publiques pour les années 2023 à 2027 ».





II. – À l’article 34 de la loi  2014‑1653 du 29 décembre 2014 de programmation des finances publiques pour les années 2014 à 2019, les mots : « 12 de la loi  2010‑1645 du 28 décembre 2010 de programmation des finances publiques pour les années 2011 à 2014 » sont remplacés par les mots : « 23 de la loi        du       de programmation des finances publiques pour les années 2023 à 2027 ».

II. – À l’article 34 de la loi  2014‑1653 du 29 décembre 2014 de programmation des finances publiques pour les années 2014 à 2019, les mots : « 12 de la loi  2010‑1645 du 28 décembre 2010 de programmation des finances publiques pour les années 2011 à 2014 » sont remplacés par les mots : « 23 de la loi  2023‑1195 du 18 décembre 2023 de programmation des finances publiques pour les années 2023 à 2027 ».









La présente loi sera exécutée comme loi de l’État.


RAPPORT ANNEXÉ

RAPPORT ANNEXÉ

RAPPORT ANNEXÉ

RAPPORT ANNEXÉ

RAPPORT ANNEXÉ

RAPPORT ANNEXÉ

RAPPORT ANNEXÉ

RAPPORT ANNEXÉ

RAPPORT ANNEXÉ


I. – La France conserverait une croissance robuste en sortie de crise grâce aux réformes mises en place

I. – (Non modifié)

I. – (Alinéa sans modification)

I. – Après avoir résisté aux crises, l’économie française retrouverait de l’élan

I. – (Alinéa sans modification)

I. – (Alinéa sans modification)

I. – (Alinéa sans modification)

I. – Après avoir résisté aux crises, l’économie française retrouverait de l’élan

I. – Après avoir résisté aux crises, l’économie française retrouverait de l’élan

A. – Les perspectives à court terme (2022‑2023).


A. – (Alinéa sans modification)

A. – Les perspectives à court terme (2023‑2024)

A. – (Non modifié)

A. – (Non modifié)

A. – (Non modifié)

A. – Les perspectives à court terme (2023‑2024)

A. – Les perspectives à court terme (2023‑2024)

Après un rebond de l’économie particulièrement marqué en 2021, qui a fait de la France le grand pays de la zone euro où le niveau d’activité a le plus vite rattrapé son niveau d’avant la crise sanitaire, l’invasion russe de l’Ukraine et ses conséquences ont assombri les perspectives de reprise à partir de fin février 2022 en entraînant une forte hausse des prix des matières premières, un rebond des tensions d’approvisionnement et une augmentation de l’incertitude.


(Alinéa sans modification)

L’année 2022 a vu la poursuite du rebond post‑covid se heurter aux conséquences de l’invasion russe de l’Ukraine. La croissance en moyenne annuelle est restée élevée (+2,5 %) malgré le rebond des tensions d’approvisionnement, le climat d’incertitude et la hausse des prix des matières premières qui ont engendré une dynamique heurtée de l’activité et une inflation élevée pesant sur la consommation des ménages.




L’année 2022 a vu la poursuite du rebond post‑covid se heurter aux conséquences de l’invasion russe de l’Ukraine. La croissance en moyenne annuelle est restée élevée (+2,5 %) malgré le rebond des tensions d’approvisionnement, le climat d’incertitude et la hausse des prix des matières premières qui ont engendré une dynamique heurtée de l’activité et une inflation élevée pesant sur la consommation des ménages.

L’année 2022 a vu la poursuite du rebond post‑covid se heurter aux conséquences de l’invasion russe de l’Ukraine. La croissance en moyenne annuelle est restée élevée (+2,5 %) malgré le rebond des tensions d’approvisionnement, le climat d’incertitude et la hausse des prix des matières premières qui ont engendré une dynamique heurtée de l’activité et une inflation élevée pesant sur la consommation des ménages.

Face à ces chocs, l’économie française a montré sa capacité de résilience : après un recul au 1er trimestre 2022 (‑0,2 %) en lien avec une nouvelle vague épidémique, l’activité a fortement progressé au 2e trimestre (+0,5 %), soutenue par les échanges de services, y compris le retour des touristes internationaux, le rebond de la consommation et l’investissement des entreprises qui continue de progresser. De même, le marché du travail continue d’être très dynamique : près de 200 000 emplois ont été créés au 1er semestre 2022 et le taux de chômage s’établit à 7,4 % de la population active, soit 0,8 point sous son niveau de fin 2019. Pris globalement, les derniers indicateurs conjoncturels indiquent une activité toujours bien orientée, quoiqu’en ralentissement : en août, si le PMI indiquait une activité en ralentissement, le climat des affaires de l’Insee était stable et supérieur à sa moyenne de longue période, suggérant une croissance toujours dynamique. La croissance resterait ainsi solide au 3e trimestre, la consommation bénéficiant des mesures de soutien au pouvoir d’achat. L’activité devrait être davantage freinée au 4e trimestre, du fait des difficultés d’approvisionnement sur le gaz. En moyenne annuelle, l’activité progresserait de +2,7 % en 2022. L’inflation en glissement annuel se maintiendrait à un niveau proche de 6 % jusqu’à la fin de l’année, la baisse de l’inflation énergétique étant compensée par une diffusion de la hausse passée des matières premières aux prix des produits alimentaires et manufacturés et à une inflation dynamique dans les services du fait de la hausse des salaires.


(Alinéa sans modification)

L’économie française n’a cependant jamais cessé de croître et les effets négatifs de ces chocs se dissipent progressivement. Les prix des matières premières se sont largement détendus, l’inflation a amorcé son reflux et l’activité a retrouvé de l’élan au deuxième trimestre 2023 (+0,5 %). Les parts de marchés à l’exportation, qui avaient été affectées par les conséquences de la crise sanitaire, rebondissent. Le marché de l’emploi reste également bien orienté, avec un taux de chômage à 7,2 % au deuxième trimestre 2023, un niveau historiquement bas. Pour la seconde moitié de l’année 2023, les derniers indicateurs conjoncturels, pris globalement, indiquent une activité toujours bien orientée. Le principal facteur freinant l’activité serait désormais la hausse des taux d’intérêts. Elle affecterait en particulier l’investissement des ménages, qui se replierait après deux années de forte croissance. L’investissement des entreprises ralentirait à partir du second semestre, mais resterait très dynamique en moyenne en 2023. En moyenne annuelle, la croissance du PIB serait de +1,0 %, une prévision inchangée par rapport au programme de stabilité.




L’économie française n’a cependant jamais cessé de croître et les effets négatifs de ces chocs se dissipent progressivement. Les prix des matières premières se sont largement détendus, l’inflation a amorcé son reflux et l’activité a retrouvé de l’élan au deuxième trimestre 2023 (+0,5 %). Les parts de marchés à l’exportation, qui avaient été affectées par les conséquences de la crise sanitaire, rebondissent. Le marché de l’emploi reste également bien orienté, avec un taux de chômage à 7,2 % au deuxième trimestre 2023, un niveau historiquement bas. Pour la seconde moitié de l’année 2023, les derniers indicateurs conjoncturels, pris globalement, indiquent une activité toujours bien orientée. Le principal facteur freinant l’activité serait désormais la hausse des taux d’intérêts. Elle affecterait en particulier l’investissement des ménages, qui se replierait après deux années de forte croissance. L’investissement des entreprises ralentirait à partir du second semestre, mais resterait très dynamique en moyenne en 2023. En moyenne annuelle, la croissance du PIB serait de +1,0 %, une prévision inchangée par rapport au programme de stabilité.

L’économie française n’a cependant jamais cessé de croître et les effets négatifs de ces chocs se dissipent progressivement. Les prix des matières premières se sont largement détendus, l’inflation a amorcé son reflux et l’activité a retrouvé de l’élan au deuxième trimestre 2023 (+0,5 %). Les parts de marchés à l’exportation, qui avaient été affectées par les conséquences de la crise sanitaire, rebondissent. Le marché de l’emploi reste également bien orienté, avec un taux de chômage à 7,2 % au deuxième trimestre 2023, un niveau historiquement bas. Pour la seconde moitié de l’année 2023, les derniers indicateurs conjoncturels, pris globalement, indiquent une activité toujours bien orientée. Le principal facteur freinant l’activité serait désormais la hausse des taux d’intérêts. Elle affecterait en particulier l’investissement des ménages, qui se replierait après deux années de forte croissance. L’investissement des entreprises ralentirait à partir du second semestre, mais resterait très dynamique en moyenne en 2023. En moyenne annuelle, la croissance du PIB serait de +1,0 %, une prévision inchangée par rapport au programme de stabilité.




L’inflation (au sens de l’indice des prix à la consommation [IPC]) baisserait légèrement en 2023, à +4,9 % en moyenne annuelle (après +5,2 % en 2022). Elle est toujours atténuée par les mesures prises par le Gouvernement pour protéger les Français face à la hausse des prix. Le bouclier tarifaire sur les tarifs réglementés permettrait ainsi de réduire le niveau général des prix d’environ 2 points en 2023. La composition de l’inflation évoluerait toutefois sensiblement : après une première phase d’inflation énergétique, suivie par la hausse des prix alimentaires et manufacturés, l’inflation des services prendrait progressivement le relais, dans le sillage des salaires mais sans risque d’emballement.




L’inflation (au sens de l’indice des prix à la consommation [IPC]) baisserait légèrement en 2023, à +4,9 % en moyenne annuelle (après +5,2 % en 2022). Elle est toujours atténuée par les mesures prises par le Gouvernement pour protéger les Français face à la hausse des prix. Le bouclier tarifaire sur les tarifs réglementés permettrait ainsi de réduire le niveau général des prix d’environ 2 points en 2023. La composition de l’inflation évoluerait toutefois sensiblement : après une première phase d’inflation énergétique, suivie par la hausse des prix alimentaires et manufacturés, l’inflation des services prendrait progressivement le relais, dans le sillage des salaires mais sans risque d’emballement.

L’inflation (au sens de l’indice des prix à la consommation [IPC]) baisserait légèrement en 2023, à +4,9 % en moyenne annuelle (après +5,2 % en 2022). Elle est toujours atténuée par les mesures prises par le Gouvernement pour protéger les Français face à la hausse des prix. Le bouclier tarifaire sur les tarifs réglementés permettrait ainsi de réduire le niveau général des prix d’environ 2 points en 2023. La composition de l’inflation évoluerait toutefois sensiblement : après une première phase d’inflation énergétique, suivie par la hausse des prix alimentaires et manufacturés, l’inflation des services prendrait progressivement le relais, dans le sillage des salaires mais sans risque d’emballement.

En 2023, la croissance de l’activité serait ramenée à +1,0 %, pénalisée par la normalisation de la politique monétaire, l’impact des prix élevés du gaz et des efforts nécessaires pour réduire notre dépendance. Par rapport à 2019, l’activité dépasserait malgré tout son niveau d’avant‑crise de 2 points, soit le chiffre le plus élevé des grandes économies européennes. Elle serait principalement soutenue par la consommation, qui bénéficierait des mesures de soutien au pouvoir d’achat, de l’accélération des salaires et de la normalisation très progressive du taux d’épargne. L’investissement des entreprises serait légèrement moins allant que l’activité : il serait pénalisé par l’incertitude et la hausse des taux mais resterait soutenu par le taux de marge élevé des entreprises. L’investissement des ménages reculerait, affecté lui aussi par la hausse des taux et surtout par un effet de contrecoup après la très forte progression des transactions immobilières en 2021. Les échanges décélèreraient en lien avec le ralentissement de l’économie mondiale ; la contribution du commerce extérieur à la croissance serait nulle. L’inflation serait encore élevée en début d’année et refluerait progressivement au cours de l’année, en lien avec le reflux de l’inflation en produits alimentaires et manufacturés. La hausse des prix de l’énergie resterait limitée par le bouclier tarifaire. En moyenne annuelle, l’inflation s’établirait à 4,2 %.


En 2023, la croissance de l’activité serait ramenée à +1,0 %, pénalisée par la normalisation de la politique monétaire, l’impact des prix élevés du gaz et des efforts nécessaires pour réduire notre dépendance. Par rapport à 2019, l’activité dépasserait malgré tout son niveau d’avant‑crise de 2 points, soit le chiffre le plus élevé des grandes économies européennes. Elle serait principalement soutenue par la consommation, qui bénéficierait des mesures de soutien au pouvoir d’achat, de l’accélération des salaires et de la normalisation très progressive du taux d’épargne. L’investissement des entreprises serait légèrement moins allant que l’activité : il serait pénalisé par l’incertitude et la hausse des taux mais resterait soutenu par le taux de marge élevé des entreprises. L’investissement des ménages reculerait, affecté lui aussi par la hausse des taux et surtout par un effet de contrecoup après la très forte progression des transactions immobilières en 2021. Les échanges décéléreraient en lien avec le ralentissement de l’économie mondiale ; la contribution du commerce extérieur à la croissance serait nulle. L’inflation serait encore élevée en début d’année et refluerait progressivement au cours de l’année, en lien avec le reflux de l’inflation en produits alimentaires et manufacturés. La hausse des prix de l’énergie resterait limitée par le bouclier tarifaire. En moyenne annuelle, l’inflation s’établirait à 4,2 %.

En 2024, la croissance serait de +1,4 %, un rythme proche de la tendance de long terme de l’économie française. Le principal soutien à l’activité serait le rebond progressif de la consommation des ménages, grâce à la décrue de l’inflation. Les exportations seraient également bien orientées, profitant d’un rebond du commerce mondial et d’une poursuite du rattrapage des pertes de performances, en particulier dans l’aéronautique. La contribution du commerce extérieur serait ainsi légèrement positive, les importations étant elles aussi plus dynamiques du fait du rebond de la consommation. En revanche, l’investissement pâtirait progressivement de la hausse des taux d’intérêts réels. Si celui des ménages continuerait de reculer, celui des entreprises ralentirait sans baisser, notamment grâce aux baisses des impôts de production et aux besoins toujours importants associés à la double transition écologique et numérique.




En 2024, la croissance serait de +1,4 %, un rythme proche de la tendance de long terme de l’économie française. Le principal soutien à l’activité serait le rebond progressif de la consommation des ménages, grâce à la décrue de l’inflation. Les exportations seraient également bien orientées, profitant d’un rebond du commerce mondial et d’une poursuite du rattrapage des pertes de performances, en particulier dans l’aéronautique. La contribution du commerce extérieur serait ainsi légèrement positive, les importations étant elles aussi plus dynamiques du fait du rebond de la consommation. En revanche, l’investissement pâtirait progressivement de la hausse des taux d’intérêts réels. Si celui des ménages continuerait de reculer, celui des entreprises ralentirait sans baisser, notamment grâce aux baisses des impôts de production et aux besoins toujours importants associés à la double transition écologique et numérique.

En 2024, la croissance serait de +1,4 %, un rythme proche de la tendance de long terme de l’économie française. Le principal soutien à l’activité serait le rebond progressif de la consommation des ménages, grâce à la décrue de l’inflation. Les exportations seraient également bien orientées, profitant d’un rebond du commerce mondial et d’une poursuite du rattrapage des pertes de performances, en particulier dans l’aéronautique. La contribution du commerce extérieur serait ainsi légèrement positive, les importations étant elles aussi plus dynamiques du fait du rebond de la consommation. En revanche, l’investissement pâtirait progressivement de la hausse des taux d’intérêts réels. Si celui des ménages continuerait de reculer, celui des entreprises ralentirait sans baisser, notamment grâce aux baisses des impôts de production et aux besoins toujours importants associés à la double transition écologique et numérique.




L’inflation (au sens de l’IPC) diminuerait sensiblement en 2024, à +2,6 %. La normalisation de l’inflation reposerait largement sur le ralentissement des prix alimentaires et manufacturés, déjà entamé à l’été 2023. La contribution énergétique resterait quant à elle limitée. Les services deviendraient ainsi les principaux contributeurs à l’inflation, en particulier ceux réagissant le plus aux dynamiques salariales (hôtellerie‑restauration, services aux ménages, etc.), sans toutefois remettre en cause la normalisation progressive de l’inflation.




L’inflation (au sens de l’IPC) diminuerait sensiblement en 2024, à +2,6 %. La normalisation de l’inflation reposerait largement sur le ralentissement des prix alimentaires et manufacturés, déjà entamé à l’été 2023. La contribution énergétique resterait quant à elle limitée. Les services deviendraient ainsi les principaux contributeurs à l’inflation, en particulier ceux réagissant le plus aux dynamiques salariales (hôtellerie‑restauration, services aux ménages, etc.), sans toutefois remettre en cause la normalisation progressive de l’inflation.

L’inflation (au sens de l’IPC) diminuerait sensiblement en 2024, à +2,6 %. La normalisation de l’inflation reposerait largement sur le ralentissement des prix alimentaires et manufacturés, déjà entamé à l’été 2023. La contribution énergétique resterait quant à elle limitée. Les services deviendraient ainsi les principaux contributeurs à l’inflation, en particulier ceux réagissant le plus aux dynamiques salariales (hôtellerie‑restauration, services aux ménages, etc.), sans toutefois remettre en cause la normalisation progressive de l’inflation.

L’incertitude autour de cette prévision est élevée, avec l’aléa majeur que représente l’évolution du conflit en Ukraine et ses conséquences. Le scénario intègre l’effet négatif sur l’activité de prix de gros de l’énergie (pétrole, gaz, électricité) restant à des niveaux exceptionnellement élevés en 2022 comme en 2023, de l’impact de la sobriété nécessaire et d’une incertitude élevée ; il n’intègre pas de rupture majeure d’approvisionnement en énergie à l’hiver 2022‑2023, en France et à l’étranger. Il repose sur un scénario international d’atterrissage sans heurt pour la majorité des grands pays partenaires de la France, hormis le Royaume‑Uni. Cette prévision est partagée par les organisations internationales et confortée par la baisse des tensions d’approvisionnement et des prix des matières premières, hors gaz, sur les derniers mois ; mais un scénario de ralentissement plus marqué demeure possible, notamment pour les pays plus fortement dépendants du gaz russe. À l’inverse, la prévision repose sur certaines hypothèses laissant la place à des aléas positifs, comme la baisse très progressive du taux d’épargne des ménages, qui serait encore largement au‑dessus de son niveau d’avant‑crise en 2023 ou le rattrapage seulement très limité des pertes de performance à l’export qu’a connues la France en 2020 et 2021.


(Alinéa sans modification)

Les aléas autour de ce scénario demeurent élevés mais sont équilibrés et l’incertitude s’est fortement réduite par rapport à la fin de l’année 2022 ou au début de l’année 2023. En particulier, l’incertitude entourant la prévision d’inflation s’est nettement réduite, les chiffres des derniers mois étant globalement en ligne avec la prévision du programme de stabilité. Par ailleurs, les risques sur l’approvisionnement énergétique pour l’hiver 2023‑2024 ont fortement diminué, grâce à la reconstitution rapide des stocks de gaz, des économies d’énergie qui semblent durables et du fort rebond de la production électrique. Enfin, les turbulences dans le secteur bancaire aux États‑Unis et en Suisse en mars et avril n’ont pas pesé sur le fonctionnement des marchés financiers et sur le financement de l’économie.




Les aléas autour de ce scénario demeurent élevés mais sont équilibrés et l’incertitude s’est fortement réduite par rapport à la fin de l’année 2022 ou au début de l’année 2023. En particulier, l’incertitude entourant la prévision d’inflation s’est nettement réduite, les chiffres des derniers mois étant globalement en ligne avec la prévision du programme de stabilité. Par ailleurs, les risques sur l’approvisionnement énergétique pour l’hiver 2023‑2024 ont fortement diminué, grâce à la reconstitution rapide des stocks de gaz, des économies d’énergie qui semblent durables et du fort rebond de la production électrique. Enfin, les turbulences dans le secteur bancaire aux États‑Unis et en Suisse en mars et avril n’ont pas pesé sur le fonctionnement des marchés financiers et sur le financement de l’économie.

Les aléas autour de ce scénario demeurent élevés mais sont équilibrés et l’incertitude s’est fortement réduite par rapport à la fin de l’année 2022 ou au début de l’année 2023. En particulier, l’incertitude entourant la prévision d’inflation s’est nettement réduite, les chiffres des derniers mois étant globalement en ligne avec la prévision du programme de stabilité. Par ailleurs, les risques sur l’approvisionnement énergétique pour l’hiver 2023‑2024 ont fortement diminué, grâce à la reconstitution rapide des stocks de gaz, des économies d’énergie qui semblent durables et du fort rebond de la production électrique. Enfin, les turbulences dans le secteur bancaire aux États‑Unis et en Suisse en mars et avril n’ont pas pesé sur le fonctionnement des marchés financiers et sur le financement de l’économie.




Le principal aléa concerne désormais le rythme et l’ampleur de la transmission du resserrement monétaire à l’activité. Le scénario du Gouvernement repose sur des taux qui atteindraient leur pic début 2024 avant de baisser progressivement.




Le principal aléa concerne désormais le rythme et l’ampleur de la transmission du resserrement monétaire à l’activité. Le scénario du Gouvernement repose sur des taux qui atteindraient leur pic début 2024 avant de baisser progressivement.

Le principal aléa concerne désormais le rythme et l’ampleur de la transmission du resserrement monétaire à l’activité. Le scénario du Gouvernement repose sur des taux qui atteindraient leur pic début 2024 avant de baisser progressivement.




L’évolution de l’activité en Chine est aussi un aléa pour la croissance et le commerce mondial. Le scénario intègre un ralentissement économique, qui pourrait être plus ou moins marqué en fonction de l’ampleur et de la contagion des difficultés du secteur immobilier et de la réponse des autorités chinoises.




L’évolution de l’activité en Chine est aussi un aléa pour la croissance et le commerce mondial. Le scénario intègre un ralentissement économique, qui pourrait être plus ou moins marqué en fonction de l’ampleur et de la contagion des difficultés du secteur immobilier et de la réponse des autorités chinoises.

L’évolution de l’activité en Chine est aussi un aléa pour la croissance et le commerce mondial. Le scénario intègre un ralentissement économique, qui pourrait être plus ou moins marqué en fonction de l’ampleur et de la contagion des difficultés du secteur immobilier et de la réponse des autorités chinoises.



B. – Les perspectives à moyen terme (2024‑2027).


B. – (Alinéa sans modification)

B. – Les perspectives à moyen terme (2025‑2027)

B. – (Alinéa sans modification)

B. – (Alinéa sans modification)

B. – (Alinéa sans modification)

B. – Les perspectives à moyen terme (2025‑2027)

B. – Les perspectives à moyen terme (2025‑2027)



Principales hypothèses du scénario macroéconomique 2022-2027*
202220232024202520262027
PIB (*)2,71,01,61,71,71,8
Déflateur de PIB2,83,62,41,81,61,6
IPCHT5,44,33,02,11,751,75
Masse salariale privée (**)8,65,03,93,63,43,4
Croissance potentielle1,351,351,351,351,351,35
PIB potentiel (en Md€ 2010)2 3902 4222 4542 4882 5212 555
Écart de production (en % du PIB)-1,1-1,4-1,2-0,8-0,50,0
Note : Données exprimées en taux d’évolution annuelle, sauf précision contraire

(*) Données corrigées des jours ouvrables.

(**) Branches marchandes non-agricoles


Principales hypothèses du scénario macroéconomique 2022-2027*
202220232024202520262027
PIB (*)2,71,01,61,71,71,8
Déflateur de PIB2,83,62,41,81,61,6
IPCHT5,44,33,02,11,751,75
Masse salariale privée (**)8,65,03,93,63,43,4
Croissance potentielle1,351,351,351,351,351,35
PIB potentiel (en Md€ 2010)2 3902 4222 4542 4882 5212 555
Écart de production (en % du PIB)-1,1-1,4-1,2-0,8-0,50,0
Note : Données exprimées en taux d’évolution annuelle, sauf précision contraire

(*) Données corrigées des jours ouvrables.

(**) Branches marchandes non-agricoles


Principales hypothèses du scénario macroéconomique 2022-2027*
202220232024202520262027
PIB (*)2,71,01,61,71,71,8
Déflateur de PIB2,83,62,41,81,61,6
IPCHT5,44,33,02,11,751,75
Masse salariale privée (**)8,65,03,93,63,43,4
Croissance potentielle1,351,351,351,351,351,35
PIB potentiel (en Md€ 2010)2 3902 4222 4542 4882 5212 555
Écart de production (en % du PIB)-1,1-1,4-1,2-0,8-0,50,0
Note : Données exprimées en taux d’évolution annuelle, sauf précision contraire

(*) Données corrigées des jours ouvrables.

(**) Branches marchandes non agricoles


20232024202520262027
PIB (*)1,01,41,71,71,8
Déflateur de PIB5,72,51,81,61,6
Indice des prix à la consommation hors tabac4,82,52,01,751,75
Masse salariale privée (**)6,53,63,43,43,4
Croissance potentielle1,351,351,351,351,35
Écart de production (en % du PIB)-1,2-1,1-0,8-0,40,0

Note : Données exprimées en taux d’évolution annuelle, sauf précision contraire.

(*) Données corrigées des jours ouvrables.

(**) Branches marchandes non-agricoles.


20232024202520262027
PIB (*)1,01,41,71,71,8
Déflateur de PIB5,72,51,81,61,6
Indice des prix à la consommation hors tabac4,82,52,01,751,75
Masse salariale privée (**)6,53,63,43,43,4
Croissance potentielle1,351,351,351,351,35
Écart de production (en % du PIB)-1,2-1,1-0,8-0,40,0

Note : Données exprimées en taux d’évolution annuelle, sauf précision contraire.

(*) Données corrigées des jours ouvrables.

(**) Branches marchandes non-agricoles.


20232024202520262027
PIB (*)1,01,41,71,71,8
Déflateur de PIB5,72,51,81,61,6
Indice des prix à la consommation hors tabac4,82,52,01,751,75
Masse salariale privée (**)6,53,63,43,43,4
Croissance potentielle1,351,351,351,351,35
Écart de production (en % du PIB)-1,2-1,1-0,8-0,40,0

Note : Données exprimées en taux d’évolution annuelle, sauf précision contraire.

(*) Données corrigées des jours ouvrables.

(**) Branches marchandes non-agricoles.


20232024202520262027
PIB (*)1,01,41,71,71,8
Déflateur de PIB5,72,51,81,61,6
Indice des prix à la consommation hors tabac4,82,52,01,751,75
Masse salariale privée (**)6,53,63,43,43,4
Croissance potentielle1,351,351,351,351,35
Écart de production (en % du PIB)-1,2-1,1-0,8-0,40,0

Note : Données exprimées en taux d’évolution annuelle, sauf précision contraire.

(*) Données corrigées des jours ouvrables.

(**) Branches marchandes non-agricoles.


20232024202520262027
PIB (*)1,01,41,71,71,8
Déflateur de PIB5,72,51,81,61,6
Indice des prix à la consommation hors tabac4,82,52,01,751,75
Masse salariale privée (**)6,53,63,43,43,4
Croissance potentielle1,351,351,351,351,35
Écart de production (en % du PIB)-1,2-1,1-0,8-0,40,0

Note : Données exprimées en taux d’évolution annuelle, sauf précision contraire.

(*) Données corrigées des jours ouvrables.

(**) Branches marchandes non-agricoles.


20232024202520262027
PIB (*)1,01,41,71,71,8
Déflateur de PIB5,72,51,81,61,6
Indice des prix à la consommation hors tabac4,82,52,01,751,75
Masse salariale privée (**)6,53,63,43,43,4
Croissance potentielle1,351,351,351,351,35
Écart de production (en % du PIB)-1,2-1,1-0,8-0,40,0

Note : Données exprimées en taux d’évolution annuelle, sauf précision contraire.

(*) Données corrigées des jours ouvrables.

(**) Branches marchandes non-agricoles.




Les données détaillées disponibles sur les années 2020 et 2021 permettent d’affiner le chiffrage de l’impact durable de la crise covid sur le potentiel de l’économie. Cet impact serait limité au vu de l’ampleur de la chute de l’activité en 2020 et transiterait essentiellement par un choc négatif temporaire sur la productivité globale des facteurs. L’emploi a en effet peu baissé durant la crise et est désormais nettement au‑dessus de son niveau d’avant crise, ce qui suggère l’absence d’effet de long terme de la crise sur le facteur travail. L’investissement n’a pas reculé davantage que l’activité en 2020, contrairement à ce qui est le cas d’ordinaire et a fortement rebondi en 2021 : l’impact durable de la crise sur le facteur capital serait donc très réduit et se limiterait à l’effet du moindre investissement en 2020. La PGF serait un peu plus touchée : la mise à l’arrêt de l’économie a pu en effet empêcher un certain nombre d’innovations, a compliqué la formation professionnelle des salariés et entraîné des réorganisations des processus de production (par exemple par la hausse durable des stocks pour faire face à des risques d’approvisionnement plus clairement identifiés ou la modification pérenne de certains processus pour tenir compte des risques sanitaires). Cette perte serait néanmoins limitée : contrairement aux crises précédentes, la crise de 2020 n’a en effet pas été révélatrice de déséquilibres macroéconomiques préexistants dont la correction pénaliserait durablement la croissance. En outre, le financement de l’économie n’a pas été affecté, grâce en particulier à la meilleure capitalisation du secteur bancaire en entrée de crise. Au total, la perte pérenne de crise serait de ‑¾ pt de PIB, un chiffre revu à la baisse par rapport aux précédentes estimations du Gouvernement : cet impact contenu reflète la nature exogène et temporaire de la crise et l’efficacité des mesures de soutien mises en place pour préserver le capital humain et productif.


(Alinéa sans modification)

Le scénario potentiel est peu modifié par rapport à celui présenté en première lecture en septembre 2022. La perte pérenne de PIB potentiel en 2020‑2022 est revue légèrement à la hausse. Cela reflète une perte de productivité globale des facteurs un peu plus forte qu’estimé en septembre dernier et un rebond un peu plus tardif, en lien avec l’enchaînement de la crise de la covid et des conséquences de l’invasion de l’Ukraine (modification des comportements des ménages et des entreprises en raison de la hausse de l’incertitude et de la hausse des prix de l’énergie). Au total, la perte pérenne liée à la succession des crises sanitaire et énergétique, précédemment estimée à un peu moins d’un point, serait révisée à la hausse à un peu plus d’un point (révision de ‑0,5 point, de ‑1,25 point PIB au lieu de ‑0,75 point précédemment).

Le scénario potentiel est peu modifié par rapport à celui présenté en première lecture en septembre 2022. La perte pérenne de PIB potentiel en 2020‑2022 est revue légèrement à la hausse. Cela reflète une perte de productivité globale des facteurs un peu plus forte qu’estimé en septembre dernier et un rebond un peu plus tardif, en lien avec l’enchaînement de la crise de la covid et des conséquences de l’invasion de l’Ukraine (modification des comportements des ménages et des entreprises en raison de la hausse de l’incertitude et de la hausse des prix de l’énergie). Au total, la perte pérenne liée à la succession des crises sanitaire et énergétique, précédemment estimée à un peu moins d’un point, serait révisée à la hausse à un peu plus d’un point (révision de ‑0,5 point, à ‑1,25 point de PIB au lieu de ‑0,75 point précédemment).

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Le scénario potentiel est peu modifié par rapport à celui présenté en première lecture en septembre 2022. La perte pérenne de PIB potentiel en 2020‑2022 est revue légèrement à la hausse. Cela reflète une perte de productivité globale des facteurs un peu plus forte qu’estimé en septembre dernier et un rebond un peu plus tardif, en lien avec l’enchaînement de la crise de la covid et des conséquences de l’invasion de l’Ukraine (modification des comportements des ménages et des entreprises en raison de la hausse de l’incertitude et de la hausse des prix de l’énergie). Au total, la perte pérenne liée à la succession des crises sanitaire et énergétique, précédemment estimée à un peu moins d’un point, serait révisée à la hausse à un peu plus d’un point (révision de ‑0,5 point, à ‑1,25 point de PIB au lieu de ‑0,75 point précédemment).

Le scénario potentiel est peu modifié par rapport à celui présenté en première lecture en septembre 2022. La perte pérenne de PIB potentiel en 2020‑2022 est revue légèrement à la hausse. Cela reflète une perte de productivité globale des facteurs un peu plus forte qu’estimé en septembre dernier et un rebond un peu plus tardif, en lien avec l’enchaînement de la crise de la covid et des conséquences de l’invasion de l’Ukraine (modification des comportements des ménages et des entreprises en raison de la hausse de l’incertitude et de la hausse des prix de l’énergie). Au total, la perte pérenne liée à la succession des crises sanitaire et énergétique, précédemment estimée à un peu moins d’un point, serait révisée à la hausse à un peu plus d’un point (révision de ‑0,5 point, à ‑1,25 point de PIB au lieu de ‑0,75 point précédemment).



À partir de 2022, la croissance potentielle s’établirait à 1,35 %, un niveau identique à celui prévu dans la LPFP 2018‑2022, la capacité productive de l’économie étant soutenue par les réformes du Gouvernement. Ces dernières contribueraient notamment à accroître l’offre de travail et parvenir au plein emploi à l’horizon 2027 : il s’agit en particulier de la réforme des retraites, de la réforme du RSA, de la réforme de contra‑cyclicité de l’assurance chômage, de l’amélioration de l’accompagnement des demandeurs d’emploi (transformation de Pôle Emploi en France Travail), de l’élargissement au lycée professionnel du succès de l’apprentissage et de la mise en place d’un service public de la petite enfance.


(Alinéa sans modification)

À partir de 2023, la croissance potentielle s’établirait à 1,35 %, la capacité productive de l’économie étant soutenue par les réformes du Gouvernement. Ces dernières contribueraient notamment à accroître l’offre de travail et à parvenir au plein emploi à l’horizon 2027 : il s’agit en particulier de la réforme des retraites, de la réforme de l’assurance chômage, de l’amélioration de l’accompagnement des demandeurs d’emploi (transformation de Pôle Emploi en France Travail), de la réforme du revenu de solidarité active, de la réforme du lycée professionnel, du succès de l’apprentissage et de la mise en place d’un service public de la petite enfance. La contribution du capital à la croissance serait également soutenue par les mesures du Gouvernement, passées (baisse de l’impôts sur les sociétés, plan France relance) et futures (France 2030, suppression de la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises – CVAE).

À partir de 2023, la croissance potentielle s’établirait à 1,35 %, la capacité productive de l’économie étant soutenue par les réformes du Gouvernement. Ces dernières contribueraient notamment à accroître l’offre de travail et à parvenir au plein emploi à l’horizon 2027 : il s’agit en particulier de la réforme des retraites, de la réforme de l’assurance chômage, de l’amélioration de l’accompagnement des demandeurs d’emploi (transformation de Pôle Emploi en France Travail), de la réforme du revenu de solidarité active, de la réforme du lycée professionnel, du succès de l’apprentissage et de la mise en place d’un service public de la petite enfance. La contribution du capital à la croissance serait également soutenue par les mesures du Gouvernement, passées (baisse de l’impôts sur les sociétés, plan France relance) et futures (France 2030, suppression de la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises [CVAE]).

(Alinéa sans modification)

À partir de 2023, la croissance potentielle s’établirait à 1,35 %, la capacité productive de l’économie étant soutenue par les réformes du Gouvernement. Ces dernières contribueraient notamment à accroître l’offre de travail et à parvenir au plein emploi à l’horizon 2027 : il s’agit en particulier de la réforme des retraites, de la réforme de l’assurance chômage, de l’amélioration de l’accompagnement des demandeurs d’emploi (transformation de Pôle emploi en France Travail), de la réforme du revenu de solidarité active, de la réforme du lycée professionnel, du succès de l’apprentissage et de la mise en place d’un service public de la petite enfance. La contribution du capital à la croissance serait également soutenue par les mesures du Gouvernement, passées (baisse de l’impôt sur les sociétés, plan France relance) et futures (France 2030, suppression de la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises [CVAE]).

À partir de 2023, la croissance potentielle s’établirait à 1,35 %, la capacité productive de l’économie étant soutenue par les réformes du Gouvernement. Ces dernières contribueraient notamment à accroître l’offre de travail et à parvenir au plein emploi à l’horizon 2027 : il s’agit en particulier de la réforme des retraites, de la réforme de l’assurance chômage, de l’amélioration de l’accompagnement des demandeurs d’emploi (transformation de Pôle emploi en France Travail), de la réforme du revenu de solidarité active, de la réforme du lycée professionnel, du succès de l’apprentissage et de la mise en place d’un service public de la petite enfance. La contribution du capital à la croissance serait également soutenue par les mesures du Gouvernement, passées (baisse de l’impôt sur les sociétés, plan France relance) et futures (France 2030, suppression de la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises [CVAE]).

À partir de 2023, la croissance potentielle s’établirait à 1,35 %, la capacité productive de l’économie étant soutenue par les réformes du Gouvernement. Ces dernières contribueraient notamment à accroître l’offre de travail et à parvenir au plein emploi à l’horizon 2027 : il s’agit en particulier de la réforme des retraites, de la réforme de l’assurance chômage, de l’amélioration de l’accompagnement des demandeurs d’emploi (transformation de Pôle emploi en France Travail), de la réforme du revenu de solidarité active, de la réforme du lycée professionnel, du succès de l’apprentissage et de la mise en place d’un service public de la petite enfance. La contribution du capital à la croissance serait également soutenue par les mesures du Gouvernement, passées (baisse de l’impôt sur les sociétés, plan France relance) et futures (France 2030, suppression de la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises [CVAE]).



Cette évaluation de la croissance potentielle est proche de celle du FMI (1,3 %). L’estimation de la Commission européenne est proche sur le court terme (1,4 % en 2022) mais inférieure sur la suite de période, cf. encadré infra.


(Alinéa sans modification)

Cette évaluation de la croissance potentielle est en ligne avec celle du Fonds monétaire international et de l’Observatoire français de conjoncture économique (1,3 %). L’estimation de la Commission européenne est proche sur le court terme (1,1 % en moyenne 2022‑2024). L’estimation de l’Organisation de coopération et de développement économique est elle aussi proche, à 1,1 % sur la période 2022‑2024 (l’OCDE ne publiant pas au‑delà). Au delà de différences méthodologiques, les prévisions externes n’intègrent pas la majorité des réformes prévues par le Gouvernement qui viendraient souvenir la croissance potentielle, notamment celle des retraites, ce qui peut expliquer une partie importante des écarts.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Cette évaluation de la croissance potentielle est en ligne avec celle du Fonds monétaire international et de l’Observatoire français de conjoncture économique (1,3 %). L’estimation de la Commission européenne est proche sur le court terme (1,1 % en moyenne 2022‑2024). L’estimation de l’Organisation de coopération et de développement économique est elle aussi proche, à 1,1 % sur la période 2022‑2024 (l’OCDE ne publiant pas au‑delà). Au‑delà de différences méthodologiques, les prévisions externes n’intègrent pas la majorité des réformes prévues par le Gouvernement qui viendraient souvenir la croissance potentielle, notamment celle des retraites, ce qui peut expliquer une partie importante des écarts.

Cette évaluation de la croissance potentielle est en ligne avec celle du Fonds monétaire international et de l’Observatoire français de conjoncture économique (1,3 %). L’estimation de la Commission européenne est proche sur le court terme (1,1 % en moyenne 2022‑2024). L’estimation de l’Organisation de coopération et de développement économique est elle aussi proche, à 1,1 % sur la période 2022‑2024 (l’OCDE ne publiant pas au‑delà). Au delà de différences méthodologiques, les prévisions externes n’intègrent pas la majorité des réformes prévues par le Gouvernement qui viendraient souvenir la croissance potentielle, notamment celle des retraites, ce qui peut expliquer une partie importante des écarts.

Cette évaluation de la croissance potentielle est en ligne avec celle du Fonds monétaire international et de l’Observatoire français de conjoncture économique (1,3 %). L’estimation de la Commission européenne est proche sur le court terme (1,1 % en moyenne 2022‑2024). L’estimation de l’Organisation de coopération et de développement économique est elle aussi proche, à 1,1 % sur la période 2022‑2024 (l’OCDE ne publiant pas au‑delà). Au delà de différences méthodologiques, les prévisions externes n’intègrent pas la majorité des réformes prévues par le Gouvernement qui viendraient souvenir la croissance potentielle, notamment celle des retraites, ce qui peut expliquer une partie importante des écarts.






La croissance effective sur la période 2025‑2027 serait supérieure à son rythme potentiel de 1,35 % et l’écart de production, encore de 1,2 % en 2023, serait refermé en 2027. La croissance s’établirait ainsi à 1,7 % en moyenne sur la période 2024‑2027, avec un rythme un peu plus important en 2027 (1,8 %), reflétant la dissipation progressive des contraintes liées à la crise sanitaire et au conflit en Ukraine. Du point de vue de la demande, la croissance serait d’abord tirée par la normalisation progressive du taux d’épargne, qui tendrait vers son niveau d’avant crise en 2027. Elle profiterait aussi du rattrapage d’environ un tiers des pertes de performances à l’export observées entre 2020 et 2022 (contre un peu plus de la moitié dans les deux années ayant suivi la crise de 2009, alors que les pertes constatées étaient sensiblement moins importantes). Du point de vue de l’offre, l’activité bénéficierait des mesures de soutien prises par le Gouvernement (France 2030, baisse de la fiscalité sur la production, réformes du marché du travail), ainsi que de la dissipation des contraintes d’approvisionnement persistantes (notamment dans l’automobile et l’aéronautique). Le taux d’investissement des entreprises, qui continuerait d’être soutenu par la transition numérique et écologique et les mesures du Gouvernement (baisse de la fiscalité, notamment), serait quasi‑stable après une décennie de hausse rapide.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

La croissance effective sur la période 2025‑2027 serait supérieure à son rythme potentiel de 1,35 % et l’écart de production, encore de 1,2 % en 2023, serait refermé en 2027. La croissance s’établirait ainsi à 1,7 % en moyenne sur la période 2024‑2027, avec un rythme un peu plus important en 2027 (1,8 %), reflétant la dissipation progressive des contraintes liées à la crise sanitaire et au conflit en Ukraine. Du point de vue de la demande, la croissance serait d’abord tirée par la normalisation progressive du taux d’épargne, qui tendrait vers son niveau d’avant crise en 2027. Elle profiterait aussi du rattrapage d’environ un tiers des pertes de performances à l’export observées entre 2020 et 2022 (contre un peu plus de la moitié dans les deux années ayant suivi la crise de 2009, alors que les pertes constatées étaient sensiblement moins importantes). Du point de vue de l’offre, l’activité bénéficierait des mesures de soutien prises par le Gouvernement (France 2030, baisse de la fiscalité sur la production, réformes du marché du travail), ainsi que de la dissipation des contraintes d’approvisionnement persistantes (notamment dans l’automobile et l’aéronautique). Le taux d’investissement des entreprises, qui continuerait d’être soutenu par la transition numérique et écologique et les mesures du Gouvernement (baisse de la fiscalité, notamment), serait quasi‑stable après une décennie de hausse rapide.

La croissance effective sur la période 2025‑2027 serait supérieure à son rythme potentiel de 1,35 % et l’écart de production, encore de 1,2 % en 2023, serait refermé en 2027. La croissance s’établirait ainsi à 1,7 % en moyenne sur la période 2024‑2027, avec un rythme un peu plus important en 2027 (1,8 %), reflétant la dissipation progressive des contraintes liées à la crise sanitaire et au conflit en Ukraine. Du point de vue de la demande, la croissance serait d’abord tirée par la normalisation progressive du taux d’épargne, qui tendrait vers son niveau d’avant crise en 2027. Elle profiterait aussi du rattrapage d’environ un tiers des pertes de performances à l’export observées entre 2020 et 2022 (contre un peu plus de la moitié dans les deux années ayant suivi la crise de 2009, alors que les pertes constatées étaient sensiblement moins importantes). Du point de vue de l’offre, l’activité bénéficierait des mesures de soutien prises par le Gouvernement (France 2030, baisse de la fiscalité sur la production, réformes du marché du travail), ainsi que de la dissipation des contraintes d’approvisionnement persistantes (notamment dans l’automobile et l’aéronautique). Le taux d’investissement des entreprises, qui continuerait d’être soutenu par la transition numérique et écologique et les mesures du Gouvernement (baisse de la fiscalité, notamment), serait quasi‑stable après une décennie de hausse rapide.



La période retenue pour calculer l’écart de production a été revue afin de tenir compte des données récentes : elle couvre désormais les années 1993‑2019, pour inclure deux cycles économiques complets (du creux au pic) ainsi que les dernières années. Sur cette période, l’écart de production est par construction en moyenne égal à 0. L’écart de production ainsi calculé est de +0,9 pt en 2019, ‑1, 1 pt en 2022 et ‑1,4 pt en 2023.


(Alinéa sans modification)

L’inflation refluerait progressivement vers son niveau de long terme, estimé à 1,75 %, ce qui refléterait la fin de la transmission aux prix à la consommation des hausses passées de prix de matières premières et le ralentissement des salaires (dans le sillage de celui, déjà entamé, de l’inflation). Elle reviendrait en 2026 à +1,75 % au sens de l’IPC, un niveau cohérent avec la cible de la BCE de 2 % pour la zone euro au sens de l’indice des prix à la consommation harmonisé.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

L’inflation refluerait progressivement vers son niveau de long terme, estimé à 1,75 %, ce qui refléterait la fin de la transmission aux prix à la consommation des hausses passées de prix de matières premières et le ralentissement des salaires (dans le sillage de celui, déjà entamé, de l’inflation). Elle reviendrait en 2026 à +1,75 % au sens de l’IPC, un niveau cohérent avec la cible de la Banque centrale européenne (BCE) de 2 % pour la zone euro, au sens de l’indice des prix à la consommation harmonisé.

L’inflation refluerait progressivement vers son niveau de long terme, estimé à 1,75 %, ce qui refléterait la fin de la transmission aux prix à la consommation des hausses passées de prix de matières premières et le ralentissement des salaires (dans le sillage de celui, déjà entamé, de l’inflation). Elle reviendrait en 2026 à +1,75 % au sens de l’IPC, un niveau cohérent avec la cible de la Banque centrale européenne (BCE) de 2 % pour la zone euro, au sens de l’indice des prix à la consommation harmonisé.



Encadré : comparaison de l’estimation de croissance potentielle du Gouvernement avec celle de la Commission européenne


(Alinéa sans modification)

Comparaison de l’estimation de croissance potentielle du Gouvernement avec celle de la Commission européenne

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Comparaison de l’estimation de croissance potentielle du Gouvernement avec celle de la Commission européenne

Comparaison de l’estimation de croissance potentielle du Gouvernement avec celle de la Commission européenne



LPFP
2022 - 2027
Commission
2022 - 2026
Croissance potentielle (%)1,351,1
dont contribution du facteur travail (pt)0,3 / 0,40,4
dont contribution du facteur capital (pt)0,5 / 0,60,5
dont contribution de la productivité globale des facteurs (pt)0,4 / 0,50,2


LPFP
2022 - 2027
Commission
2022 - 2026
Croissance potentielle (%)1,351,1
dont contribution du facteur travail (pt)0,3 / 0,40,4
dont contribution du facteur capital (pt)0,5 / 0,60,5
dont contribution de la productivité globale des facteurs (pt)0,4 / 0,50,2


LPFP
2022 - 2027
Commission
2022 - 2026
Croissance potentielle (%)1,351,1
dont contribution du facteur travail (pt)0,3 / 0,40,4
dont contribution du facteur capital (pt)0,5 / 0,60,5
dont contribution de la productivité globale des facteurs (pt)0,4 / 0,50,2


LPFP
2023 - 2027
Commission
2023 - 2027
Croissance potentielle (en %)1,350,8
- dont contribution du facteur travail (en point)0,3 / 0,40,3
- dont contribution du facteur capital (en point)0,5 / 0,60,5
- dont contribution de la productivité globale des facteurs (en point)0,4 / 0,50,1


LPFP
2023 - 2027
Commission
2023 - 2027
Croissance potentielle (en %)1,350,8
- dont contribution du facteur travail (en points)0,3 / 0,40,3
- dont contribution du facteur capital (en points)0,5 / 0,60,5
- dont contribution de la productivité globale des facteurs (en points)0,4 / 0,50,1


LPFP 2023 - 2027Commission 2023 - 2027
Croissance potentielle (en %)1,350,8
- dont contribution du facteur travail (en points)0,3 / 0,40,3
- dont contribution du facteur capital (en points)0,5 / 0,60,5
- dont contribution de la productivité globale des facteurs (en points)0,4 / 0,50,1


LPFP
2023 - 2027
Commission
2023 - 2027
Croissance potentielle (en %)1,350,8
- dont contribution du facteur travail (en points)0,3 / 0,40,3
- dont contribution du facteur capital (en points)0,5 / 0,60,5
- dont contribution de la productivité globale des facteurs (en points)0,4 / 0,50,1


LPFP
2023 - 2027
Commission
2023 - 2027
Croissance potentielle (en %)1,350,8
- dont contribution du facteur travail (en points)0,3 / 0,40,3
- dont contribution du facteur capital (en points)0,5 / 0,60,5
- dont contribution de la productivité globale des facteurs (en points)0,4 / 0,50,1


LPFP
2023 - 2027
Commission
2023 - 2027
Croissance potentielle (en %)1,350,8
- dont contribution du facteur travail (en points)0,3 / 0,40,3
- dont contribution du facteur capital (en points)0,5 / 0,60,5
- dont contribution de la productivité globale des facteurs (en points)0,4 / 0,50,1




Le scénario retenu pour 2022 et 2023 est proche de celui de la Commission européenne, qui prévoit une croissance potentielle de +1,4 % par an en moyenne sur cette période dans ses prévisions de printemps 2022. À partir de 2024, la prévision de croissance potentielle de la Commission est inférieure à celle du PLPFP, à +0,9 % par an en moyenne. En moyenne sur l’horizon de prévision, la Commission prévoit une croissance de +1,1 %. Les écarts entre ces deux prévisions tiennent principalement à la prévision de productivité globale des facteurs (PGF) potentielle, et à partir de 2024, à la prévision d’emploi potentiel.


(Alinéa sans modification)

Le scénario retenu pour 2023 et 2024 est un peu supérieur à celui de la Commission européenne, qui prévoit une croissance potentielle de +1,1 % par an en moyenne sur cette période dans ses prévisions de printemps 2023. En moyenne sur l’horizon de prévision, la prévision de croissance potentielle de la Commission est plus nettement inférieure à celle du projet de loi de programmation des finances publiques pour les années 2023 à 2027, à +0,8 % par an en moyenne. Les écarts entre ces deux prévisions tiennent principalement à la prévision de productivité globale des facteurs (PGF) potentielle, qui est plus basse pour la Commission (cf. détail par composantes infra). La baisse marquée de la croissance potentielle entre 2023‑2024 et 2025‑2027 dans la méthodologie de la Commission contraste avec les projections des autres organismes et souligne l’incertitude qui entoure les estimations potentielles, faisant souvent l’objet de révisions ex post (1).

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Le scénario retenu pour 2023 et 2024 est un peu supérieur à celui de la Commission européenne, qui prévoit une croissance potentielle de +1,1 % par an en moyenne sur cette période dans ses prévisions de printemps 2023. En moyenne sur l’horizon de prévision, la prévision de croissance potentielle de la Commission est plus nettement inférieure à celle du projet de loi de programmation des finances publiques (PLPFP) pour les années 2023 à 2027, à +0,8 % par an en moyenne. Les écarts entre ces deux prévisions tiennent principalement à la prévision de productivité globale des facteurs (PGF) potentielle, qui est plus basse pour la Commission (cf. détail par composantes infra). La baisse marquée de la croissance potentielle entre 2023‑2024 et 2025‑2027 dans la méthodologie de la Commission contraste avec les projections des autres organismes et souligne l’incertitude qui entoure les estimations potentielles, faisant souvent l’objet de révisions ex post (1).

Le scénario retenu pour 2023 et 2024 est un peu supérieur à celui de la Commission européenne, qui prévoit une croissance potentielle de +1,1 % par an en moyenne sur cette période dans ses prévisions de printemps 2023. En moyenne sur l’horizon de prévision, la prévision de croissance potentielle de la Commission est plus nettement inférieure à celle du projet de loi de programmation des finances publiques (PLPFP) pour les années 2023 à 2027, à +0,8 % par an en moyenne. Les écarts entre ces deux prévisions tiennent principalement à la prévision de productivité globale des facteurs (PGF) potentielle, qui est plus basse pour la Commission (cf. détail par composantes infra). La baisse marquée de la croissance potentielle entre 2023‑2024 et 2025‑2027 dans la méthodologie de la Commission contraste avec les projections des autres organismes et souligne l’incertitude qui entoure les estimations potentielles, faisant souvent l’objet de révisions ex post (1).



L’écart de production retenu en 2021 (‑2,4 %) est relativement proche de l’estimation de la Commission européenne (‑1,7 %), dans un contexte de forte incertitude et de révisions fréquentes des estimations sur le passé.


(Alinéa sans modification)








Concernant l’emploi potentiel, les différences sont limitées en moyenne sur l’horizon, malgré des choix légèrement différents. En particulier, les hypothèses de population active sont différentes. La Commission utilise en effet l’exercice européen de projection de population à moyen terme (« Europop »), tandis que les estimations du Gouvernement s’appuient sur les projections les plus récentes de l’Insee pour la France, publiées le 30 juin 2022, auxquelles est ajouté l’effet des différentes réformes prévues par le Gouvernement pour soutenir la population active à l’horizon 2027, notamment la réforme des retraites.


(Alinéa sans modification)

Concernant la contribution du facteur travail, les différences apparaissent limitées en moyenne sur l’horizon mais ceci masque des hypothèses divergentes. De façon générale, la méthodologie de la Commission ne permettait pas encore de capter l’effet des réformes du Gouvernement sur le marché du travail au delà de 2024.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Concernant la contribution du facteur travail, les différences apparaissent limitées en moyenne sur l’horizon mais ceci masque des hypothèses divergentes. De façon générale, la méthodologie de la Commission ne permettait pas encore de capter l’effet des réformes du Gouvernement sur le marché du travail au‑delà de 2024.

Concernant la contribution du facteur travail, les différences apparaissent limitées en moyenne sur l’horizon mais ceci masque des hypothèses divergentes. De façon générale, la méthodologie de la Commission ne permettait pas encore de capter l’effet des réformes du Gouvernement sur le marché du travail au delà de 2024.

Concernant la contribution du facteur travail, les différences apparaissent limitées en moyenne sur l’horizon mais ceci masque des hypothèses divergentes. De façon générale, la méthodologie de la Commission ne permettait pas encore de capter l’effet des réformes du Gouvernement sur le marché du travail au delà de 2024.



De même, le chômage structurel (estimé comme un NAWRU, c’est‑à‑dire le taux de chômage au niveau duquel il n’y a pas d’accélération des coûts salariaux unitaires réels) diffère de celui de la Commission : le Gouvernement prend en compte une transmission plus rapide de la nette baisse observée du chômage effectif au chômage structurel, alors que la Commission n’attribue à la baisse du chômage observée ces dernières années qu’une faible part structurelle. Ainsi, alors que le taux de chômage effectif en France s’établit au 2e trimestre à 7,4 %, plus de 3 points sous le point haut atteint en 2015, le NAWRU estimé par la Commission ne baisse que de 0,5 pt sur la même période. Par ailleurs, la prévision de chômage structurel sous‑jacente au PLPFP intègre l’effet global des réformes prévues par le Gouvernement pour parvenir au plein emploi à l’horizon 2027 : réforme de contra‑cyclicité de l’assurance chômage, amélioration de l’accompagnement des demandeurs d’emploi (réforme de Pôle Emploi en France Travail), élargissement au lycée professionnel du succès de l’apprentissage et mise en place d’un service public de la petite enfance.


(Alinéa sans modification)

De même, le chômage structurel (estimé comme un NAWRU, c’est‑à‑dire le taux de chômage au niveau duquel il n’y a pas d’accélération des coûts salariaux unitaires réels) diffère de celui de la Commission : le Gouvernement prend en compte une transmission plus rapide de la nette baisse observée du chômage effectif au chômage structurel, alors que la Commission considère que la baisse du chômage observée ces dernières années est largement conjoncturelle. Ainsi, alors que le taux de chômage effectif en France s’établit au deuxième trimestre 2023 à 7,2 %, plus de 3 points sous le point haut atteint en 2015, le chômage structurel estimé par la Commission ne baisse que de moins d’un point sur la même période et se stabiliserait à partir de 2025. La prévision de chômage structurel sous‑jacente au PLPFP intègre une montée en charge progressive des réformes prévues par le Gouvernement pour parvenir au plein emploi à l’horizon 2027 (cf. supra).

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

De même, le chômage structurel (estimé comme un NAWRU, c’est‑à‑dire le taux de chômage au niveau duquel il n’y a pas d’accélération des coûts salariaux unitaires réels) diffère de celui de la Commission : le Gouvernement prend en compte une transmission plus rapide de la nette baisse observée du chômage effectif au chômage structurel, alors que la Commission considère que la baisse du chômage observée ces dernières années est largement conjoncturelle. Ainsi, alors que le taux de chômage effectif en France s’établit au deuxième trimestre 2023 à 7,2 %, plus de 3 points sous le point haut atteint en 2015, le chômage structurel estimé par la Commission ne baisse que de moins d’un point sur la même période et se stabiliserait à partir de 2025. La prévision de chômage structurel sous‑jacente au PLPFP intègre une montée en charge progressive des réformes prévues par le Gouvernement pour parvenir au plein emploi à l’horizon 2027 (cf. supra).

De même, le chômage structurel (estimé comme un NAWRU, c’est‑à‑dire le taux de chômage au niveau duquel il n’y a pas d’accélération des coûts salariaux unitaires réels) diffère de celui de la Commission : le Gouvernement prend en compte une transmission plus rapide de la nette baisse observée du chômage effectif au chômage structurel, alors que la Commission considère que la baisse du chômage observée ces dernières années est largement conjoncturelle. Ainsi, alors que le taux de chômage effectif en France s’établit au deuxième trimestre 2023 à 7,2 %, plus de 3 points sous le point haut atteint en 2015, le chômage structurel estimé par la Commission ne baisse que de moins d’un point sur la même période et se stabiliserait à partir de 2025. La prévision de chômage structurel sous‑jacente au PLPFP intègre une montée en charge progressive des réformes prévues par le Gouvernement pour parvenir au plein emploi à l’horizon 2027 (cf. supra).



Les prévisions relatives à l’accumulation du capital des scénarios du Gouvernement et de la Commission sont proches, avec une contribution de +0,5 pt en moyenne à partir de 2022. Le scénario de capital retenu par le Gouvernement repose sur un taux d’investissement par rapport au capital existant qui se maintiendrait à son niveau de 2021. Sur la période de prévision, la contribution du capital serait soutenue par les mesures du Gouvernement, passées (baisse de l’IS, plan de relance) et futures (France 2030, suppression de la CVAE).


(Alinéa sans modification)

Les prévisions relatives au facteur capital des scénarios du Gouvernement et de la Commission sont proches, avec une contribution de +0,5 point en moyenne à partir de 2023. Le scénario de capital retenu par le Gouvernement repose sur une quasi‑stabilisation du taux d’investissement après deux années, 2021 et 2022, particulièrement dynamiques. Sur la période de prévision, la contribution du capital serait soutenue par les mesures du Gouvernement.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Les prévisions relatives au facteur capital des scénarios du Gouvernement et de la Commission sont proches, avec une contribution de +0,5 point en moyenne à partir de 2023. Le scénario de capital retenu par le Gouvernement repose sur une quasi‑stabilisation du taux d’investissement après deux années, 2021 et 2022, particulièrement dynamiques. Sur la période de prévision, la contribution du capital serait soutenue par les mesures du Gouvernement.

Les prévisions relatives au facteur capital des scénarios du Gouvernement et de la Commission sont proches, avec une contribution de +0,5 point en moyenne à partir de 2023. Le scénario de capital retenu par le Gouvernement repose sur une quasi‑stabilisation du taux d’investissement après deux années, 2021 et 2022, particulièrement dynamiques. Sur la période de prévision, la contribution du capital serait soutenue par les mesures du Gouvernement.



En revanche, la Commission retient une progression de la productivité globale des facteurs (PGF) potentielle plus lente que le Gouvernement (à +0,2 % par an en moyenne contre +0,4 %/+0,5 %). Cela s’explique notamment par la façon dont est analysé et évalué le choc économique lié à la crise sanitaire. Du fait de la nature exogène et temporaire de la crise, le Gouvernement a retenu un choc en niveau sur la PGF potentielle, qui se matérialise en 2020. En particulier, il est supposé que la crise n’a pas révélé de déséquilibre préexistant et ne justifie pas de révision de la croissance potentielle sur le passé ; cette absence de déséquilibre et le fort rebond de l’économie en 2021 suggèrent également de ne pas retenir de baisse de la croissance potentielle après 2020. La Commission a traité la crise de manière différente : elle ne retient pas de choc en niveau, mais un effet lissé sur la productivité tendancielle et donc sur la croissance potentielle sur une période longue. Ainsi, dans ses dernières prévisions pré‑crise, la Commission estimait la croissance moyenne de la PGF potentielle à +0,4 % par an sur la période 2011‑2019. Elle estime aujourd’hui la croissance moyenne de la PGF potentielle à +0,2 % par an sur la même période, et prolonge donc cet effet de la crise en prévision sur l’horizon 2022‑2027. Sur la PGF, le Gouvernement retient une hypothèse légèrement inférieure à celle de la précédente LPFP du fait de l’enrichissement de la croissance en emploi, qui se traduirait par l’entrée sur le marché du travail de personnes moins qualifiées, ce qui réduit mécaniquement la progression de la PGF par un effet de composition.


En revanche, la Commission retient une progression de la productivité globale des facteurs (PGF) potentielle plus lente que le Gouvernement (à +0,2 % par an en moyenne contre +0,4 %/+0,5 %). Cela s’explique notamment par la façon dont est analysé et évalué le choc économique lié à la crise sanitaire. Du fait de la nature exogène et temporaire de la crise, le Gouvernement a retenu un choc en niveau sur la PGF potentielle, qui se matérialise en 2020. En particulier, il est supposé que la crise n’a pas révélé de déséquilibre préexistant et ne justifie pas de révision de la croissance potentielle sur le passé ; cette absence de déséquilibre et le fort rebond de l’économie en 2021 suggèrent également de ne pas retenir de baisse de la croissance potentielle après 2020. La Commission a traité la crise de manière différente : elle ne retient pas de choc en niveau, mais un effet lissé sur la productivité tendancielle et donc sur la croissance potentielle sur une période longue. Ainsi, dans ses dernières prévisions pré crise, la Commission estimait la croissance moyenne de la PGF potentielle à +0,4 % par an sur la période 2011‑2019. Elle estime aujourd’hui la croissance moyenne de la PGF potentielle à +0,2 % par an sur la même période, et prolonge donc cet effet de la crise en prévision sur l’horizon 2022‑2027. Sur la PGF, le Gouvernement retient une hypothèse légèrement inférieure à celle de la précédente LPFP du fait de l’enrichissement de la croissance en emploi, qui se traduirait par l’entrée sur le marché du travail de personnes moins qualifiées, ce qui réduit mécaniquement la progression de la PGF par un effet de composition.

La Commission retient une progression de la productivité globale des facteurs (PGF) potentielle bien plus lente que le Gouvernement (à +0,1 % par an en moyenne contre +0,4 % à +0,5 %). Cela s’explique notamment par la façon dont est analysé et évalué le choc économique lié aux conséquences successives de la crise sanitaire et de la guerre en Ukraine. Du fait de la nature exogène et temporaire de ces crises, le Gouvernement a retenu un choc en niveau sur la PGF potentielle, qui se matérialise sur la période 2020‑2022. En particulier, il est supposé que ces chocs n’ont pas révélé de déséquilibre préexistant et ne justifient pas de révision de la croissance potentielle sur le passé. Cette absence de déséquilibre et le fort rebond de l’économie dès 2021 suggèrent également de ne pas retenir de baisse de la croissance potentielle en prévision. La Commission a traité la crise de manière différente : elle ne retient pas de choc en niveau, mais un effet lissé sur la productivité tendancielle et donc sur la croissance potentielle sur une période longue. Ainsi, dans ses dernières prévisions pré‑crise, la Commission estimait la croissance moyenne de la PGF potentielle à +0,4 % par an sur la période 2011‑2019. Elle estime aujourd’hui la croissance moyenne de la PGF potentielle à +0,15 % par an sur cette même période et prolonge cet effet de la crise en prévision sur l’horizon 2022‑2027. Sur la PGF, le Gouvernement retient une hypothèse légèrement inférieure à celle de la LPFP 2018‑2022 du fait de l’enrichissement de la croissance en emploi, qui se traduirait par l’entrée sur le marché du travail de personnes moins qualifiées, ce qui réduit mécaniquement la progression de la PGF par un effet de composition.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

La Commission retient une progression de la productivité globale des facteurs (PGF) potentielle bien plus lente que le Gouvernement (à +0,1 % par an en moyenne contre +0,4 % à +0,5 %). Cela s’explique notamment par la façon dont est analysé et évalué le choc économique lié aux conséquences successives de la crise sanitaire et de la guerre en Ukraine. Du fait de la nature exogène et temporaire de ces crises, le Gouvernement a retenu un choc en niveau sur la PGF potentielle, qui se matérialise sur la période 2020‑2022. En particulier, il est supposé que ces chocs n’ont pas révélé de déséquilibre préexistant et ne justifient pas de révision de la croissance potentielle sur le passé. Cette absence de déséquilibre et le fort rebond de l’économie dès 2021 suggèrent également de ne pas retenir de baisse de la croissance potentielle en prévision. La Commission a traité la crise de manière différente : elle ne retient pas de choc en niveau, mais un effet lissé sur la productivité tendancielle et donc sur la croissance potentielle sur une période longue. Ainsi, dans ses dernières prévisions pré‑crise, la Commission estimait la croissance moyenne de la PGF potentielle à +0,4 % par an sur la période 2011‑2019. Elle estime aujourd’hui la croissance moyenne de la PGF potentielle à +0,15 % par an sur cette même période et prolonge cet effet de la crise en prévision sur l’horizon 2022‑2027. Sur la PGF, le Gouvernement retient une hypothèse légèrement inférieure à celle de la loi de programmation des finances publiques (LPFP) 2018‑2022 du fait de l’enrichissement de la croissance en emploi, qui se traduirait par l’entrée sur le marché du travail de personnes moins qualifiées, ce qui réduit mécaniquement la progression de la PGF par un effet de composition.

La Commission retient une progression de la productivité globale des facteurs (PGF) potentielle bien plus lente que le Gouvernement (à +0,1 % par an en moyenne contre +0,4 % à +0,5 %). Cela s’explique notamment par la façon dont est analysé et évalué le choc économique lié aux conséquences successives de la crise sanitaire et de la guerre en Ukraine. Du fait de la nature exogène et temporaire de ces crises, le Gouvernement a retenu un choc en niveau sur la PGF potentielle, qui se matérialise sur la période 2020‑2022. En particulier, il est supposé que ces chocs n’ont pas révélé de déséquilibre préexistant et ne justifient pas de révision de la croissance potentielle sur le passé. Cette absence de déséquilibre et le fort rebond de l’économie dès 2021 suggèrent également de ne pas retenir de baisse de la croissance potentielle en prévision. La Commission a traité la crise de manière différente : elle ne retient pas de choc en niveau, mais un effet lissé sur la productivité tendancielle et donc sur la croissance potentielle sur une période longue. Ainsi, dans ses dernières prévisions pré‑crise, la Commission estimait la croissance moyenne de la PGF potentielle à +0,4 % par an sur la période 2011‑2019. Elle estime aujourd’hui la croissance moyenne de la PGF potentielle à +0,15 % par an sur cette même période et prolonge cet effet de la crise en prévision sur l’horizon 2022‑2027. Sur la PGF, le Gouvernement retient une hypothèse légèrement inférieure à celle de la loi de programmation des finances publiques (LPFP) 2018‑2022 du fait de l’enrichissement de la croissance en emploi, qui se traduirait par l’entrée sur le marché du travail de personnes moins qualifiées, ce qui réduit mécaniquement la progression de la PGF par un effet de composition.



La croissance effective sur la période 2024‑2027 serait un peu supérieure à son rythme potentiel de 1,35 %, afin de refermer complètement l’écart de production en 2027. Du point de vue de la demande, la croissance serait tirée tout d’abord par la normalisation progressive du taux d’épargne, toujours largement supérieur à son niveau d’avant‑crise en 2023. Elle profiterait aussi du rattrapage d’une partie des pertes de performances à l’export observées entre 2020 et 2022, grâce à la normalisation partielle de la structure sectorielle du commerce et aux mesures de soutien à l’offre prises par le Gouvernement (France 2030, baisse de la fiscalité sur la production). Le taux d’investissement des entreprises, qui est soutenu par la transition numérique et écologique, resterait proche du niveau des dernières années sans toutefois prolonger la tendance haussière à l’œuvre depuis plus de 20 ans. Côté offre, l’activité serait soutenue par le rattrapage de la production des secteurs affectés par la crise covid, notamment les secteurs automobile et aéronautique, et la poursuite de la décrue déjà amorcée des tensions d’approvisionnement.


(Alinéa sans modification)

(Alinéa supprimé)







L’inflation refluerait progressivement au fur et à mesure de la fin de la transmission des hausses passées de prix de matières premières et de la dissipation progressive des tensions d’approvisionnement. Elle reviendrait en 2026 à son niveau de long terme estimé à +1,75 %, cohérent avec la cible de la BCE.


(Alinéa sans modification)

(Alinéa supprimé)







II. – Dès 2023, le Gouvernement donnera la priorité au renforcement de la qualité des dépenses, notamment des investissements indispensables pour assurer la transition écologique et numérique, favoriser de la compétitivité de nos entreprises et atteindre le plein emploi, tout en respectant nos engagements de finances publiques

II. – (Alinéa sans modification)

II. – (Alinéa sans modification)

II. – Dès 2023, le Gouvernement donnera la priorité au renforcement de la qualité des dépenses, notamment des investissements indispensables pour assurer les transitions écologique et numérique, favoriser la compétitivité de nos entreprises et atteindre le plein emploi, tout en respectant nos engagements de finances publiques

II. – (Alinéa sans modification)

II. – (Alinéa sans modification)

II. – (Alinéa sans modification)

II. – Dès 2023, le Gouvernement donnera la priorité au renforcement de la qualité des dépenses, notamment des investissements indispensables pour assurer les transitions écologique et numérique, favoriser la compétitivité de nos entreprises et atteindre le plein emploi, tout en respectant nos engagements de finances publiques

II. – Dès 2023, le Gouvernement donnera la priorité au renforcement de la qualité des dépenses, notamment des investissements indispensables pour assurer les transitions écologique et numérique, favoriser la compétitivité de nos entreprises et atteindre le plein emploi, tout en respectant nos engagements de finances publiques



A. – Conformément à nos engagements européens, la politique du Gouvernement vise un retour vers l’équilibre structurel et une réduction du ratio de dette publique

A. – (Non modifié)

A. – (Alinéa sans modification)

A. – (Alinéa sans modification)

A. – (Alinéa sans modification)

A. – (Non modifié)

A. – (Non modifié)

A. – Conformément à nos engagements européens, la politique du Gouvernement vise un retour vers l’équilibre structurel et une réduction du ratio de dette publique

A. – Conformément à nos engagements européens, la politique du Gouvernement vise un retour vers l’équilibre structurel et une réduction du ratio de dette publique



La trajectoire retenue dans la présente loi de programmation marque la volonté du Gouvernement d’un retour à des comptes publics normalisés, une fois la crise sanitaire passée. La présente loi prévoit ainsi un retour du déficit public sous le seuil des 3,0 % du PIB en 2027, grâce à un redressement du solde structurel de 1,2 point entre 2024 et 2027. Cet ajustement progressif permettra à la France de s’engager, dès 2026, sur le chemin d’une réduction du ratio de dette publique rapporté au PIB : ce dernier, après s’être établi à 112,8 % en 2021, atteindrait 111,7 % en 2025. Il baisserait ensuite, pour atteindre 110,9 % en 2027.


(Alinéa sans modification)

La trajectoire retenue dans la présente loi de programmation marque la volonté du Gouvernement d’un retour à des comptes publics normalisés, une fois les crises sanitaire et énergétique passées. La présente loi prévoit ainsi un retour du déficit public sous le seuil des 3,0 % du PIB en 2027, grâce à un redressement du solde structurel de 1,5 point entre 2023 et 2027. Cet ajustement progressif permettra à la France de s’engager, dès 2025, sur le chemin d’une réduction du ratio de dette publique rapporté au PIB : ce dernier, après s’être établi à 112,9 % en 2021, atteindrait 109,6 % en 2025. Il baisserait ensuite, pour atteindre 108,1 % en 2027.

(Alinéa sans modification)



La trajectoire retenue dans la présente loi de programmation marque la volonté du Gouvernement d’un retour à des comptes publics normalisés, une fois les crises sanitaire et énergétique passées. La présente loi prévoit ainsi un retour du déficit public sous le seuil des 3,0 % du PIB en 2027, grâce à un redressement du solde structurel de 1,5 point entre 2023 et 2027. Cet ajustement progressif permettra à la France de s’engager, dès 2025, sur le chemin d’une réduction du ratio de dette publique rapporté au PIB : ce dernier, après s’être établi à 112,9 % en 2021, atteindrait 109,6 % en 2025. Il baisserait ensuite, pour atteindre 108,1 % en 2027.

La trajectoire retenue dans la présente loi de programmation marque la volonté du Gouvernement d’un retour à des comptes publics normalisés, une fois les crises sanitaire et énergétique passées. La présente loi prévoit ainsi un retour du déficit public sous le seuil des 3,0 % du PIB en 2027, grâce à un redressement du solde structurel de 1,5 point entre 2023 et 2027. Cet ajustement progressif permettra à la France de s’engager, dès 2025, sur le chemin d’une réduction du ratio de dette publique rapporté au PIB : ce dernier, après s’être établi à 112,9 % en 2021, atteindrait 109,6 % en 2025. Il baisserait ensuite, pour atteindre 108,1 % en 2027.



La présente loi de programmation se fonde donc sur une dynamique d’amélioration du solde structurel jusqu’en 2027, en vue de converger vers l’objectif à moyen terme d’équilibre structurel des finances publiques (OMT). Comme prévu dans le traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance au sein de l’Union économique et monétaire (TSCG), l’OMT est fixé de manière spécifique par chaque État, avec une limite inférieure de ‑0,5 % de PIB potentiel pour la France. Conformément à l’article 1 A de la loi organique  2001‑692 du 1 août 2001 relative aux lois de finances (telle que modifiée par la loi organique  2021‑1836 du 28 décembre 2021 relative à la modernisation de la gestion des finances publiques), il revient à la loi de programmation des finances publiques de fixer l’OMT visé par le Gouvernement. L’article 2 de la présente loi de programmation fixe l’OMT à ‑0,4 % du PIB potentiel. L’OMT est inchangé par rapport à la précédente LPFP.


La présente loi de programmation se fonde donc sur une dynamique d’amélioration du solde structurel jusqu’en 2027, en vue de converger vers l’objectif à moyen terme d’équilibre structurel des finances publiques (OMT). Comme prévu dans le traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance au sein de l’Union économique et monétaire (TSCG), l’OMT est fixé de manière spécifique par chaque État, avec une limite inférieure de ‑0,5 % de PIB potentiel pour la France. Conformément à l’article 1 A de la loi organique  2001‑692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances (telle que modifiée par la loi organique  2021‑1836 du 28 décembre 2021 relative à la modernisation de la gestion des finances publiques), il revient à la loi de programmation des finances publiques de fixer l’OMT visé par le Gouvernement. L’article 2 de la présente loi de programmation fixe l’OMT à ‑0,4 % du PIB potentiel. L’OMT est inchangé par rapport à la précédente LPFP.

La présente loi de programmation se fonde donc sur une dynamique d’amélioration du solde structurel jusqu’en 2027, en vue de converger vers l’objectif à moyen terme d’équilibre structurel des finances publiques (OMT). Comme prévu dans le traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance au sein de l’Union économique et monétaire (TSCG), l’OMT est fixé de manière spécifique par chaque État, avec une limite inférieure de ‑0,5 % de PIB potentiel pour la France. Conformément à l’article 1er A de la loi organique  2001‑692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances (telle que modifiée par la loi organique  2021‑1836 du 28 décembre 2021 relative à la modernisation de la gestion des finances publiques), il revient à la loi de programmation des finances publiques de fixer l’OMT visé par le Gouvernement. L’article 2 de la présente loi de programmation fixe l’OMT à ‑0,4 % du PIB potentiel. L’OMT est inchangé par rapport à la précédente LPFP.

La présente loi de programmation se fonde donc sur une dynamique d’amélioration du solde structurel jusqu’en 2027, en vue de converger vers l’objectif à moyen terme d’équilibre structurel des finances publiques (OMT). Comme prévu dans le traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance au sein de l’Union économique et monétaire (TSCG), l’OMT est fixé de manière spécifique par chaque État, avec une limite inférieure de ‑0,5 % de PIB potentiel pour la France. Conformément à l’article 1er A de la loi organique  2001‑692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances (modifiée par la loi organique  2021‑1836 du 28 décembre 2021 relative à la modernisation de la gestion des finances publiques), il revient à la loi de programmation des finances publiques de fixer l’OMT visé par le Gouvernement. L’article 2 de la présente loi de programmation fixe l’OMT à ‑0,4 % du PIB potentiel. L’OMT est inchangé par rapport à la précédente LPFP.



La présente loi de programmation se fonde donc sur une dynamique d’amélioration du solde structurel jusqu’en 2027, en vue de converger vers l’objectif à moyen terme d’équilibre structurel des finances publiques (OMT). Comme prévu dans le traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance au sein de l’Union économique et monétaire (TSCG), l’OMT est fixé de manière spécifique par chaque État, avec une limite inférieure de ‑0,5 % de PIB potentiel pour la France. Conformément à l’article 1er A de la loi organique  2001‑692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances (modifiée par la loi organique  2021‑1836 du 28 décembre 2021 relative à la modernisation de la gestion des finances publiques), il revient à la loi de programmation des finances publiques de fixer l’OMT visé par le Gouvernement. L’article 2 de la présente loi de programmation fixe l’OMT à ‑0,4 % du PIB potentiel. L’OMT est inchangé par rapport à la précédente LPFP.

La présente loi de programmation se fonde donc sur une dynamique d’amélioration du solde structurel jusqu’en 2027, en vue de converger vers l’objectif à moyen terme d’équilibre structurel des finances publiques (OMT). Comme prévu dans le traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance au sein de l’Union économique et monétaire (TSCG), l’OMT est fixé de manière spécifique par chaque État, avec une limite inférieure de ‑0,5 % de PIB potentiel pour la France. Conformément à l’article 1er A de la loi organique  2001‑692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances (modifiée par la loi organique  2021‑1836 du 28 décembre 2021 relative à la modernisation de la gestion des finances publiques), il revient à la loi de programmation des finances publiques de fixer l’OMT visé par le Gouvernement. L’article 2 de la présente loi de programmation fixe l’OMT à ‑0,4 % du PIB potentiel. L’OMT est inchangé par rapport à la précédente LPFP.



Cette trajectoire de consolidation progressive des finances publiques doit s’accompagner d’un renforcement de la qualité des dépenses, notamment des investissements indispensables pour assurer les transitions écologique et numérique, atteindre le plein emploi et s’assurer de la compétitivité de nos entreprises. Ainsi, la poursuite du déploiement du plan « France 2030 » permettra de stimuler l’économie et de soutenir la croissance potentielle en accélérant la transition écologique, en favorisant l’investissement, l’innovation, la cohésion sociale et territoriale et en assurant la souveraineté numérique et industrielle. Ces différentes mesures pourront être mises en œuvre tout en garantissant la soutenabilité de nos finances publiques via une maitrise de la dépense publique dans tous les sous‑secteurs.


Cette trajectoire de consolidation progressive des finances publiques doit s’accompagner d’un renforcement de la qualité des dépenses, notamment des investissements indispensables pour assurer les transitions écologique et numérique, atteindre le plein emploi et s’assurer de la compétitivité de nos entreprises. Ainsi, la poursuite du déploiement du plan « France 2030 » permettra de stimuler l’économie et de soutenir la croissance potentielle en accélérant la transition écologique, en favorisant l’investissement, l’innovation, la cohésion sociale et territoriale et en assurant la souveraineté numérique et industrielle. Ces différentes mesures pourront être mises en œuvre tout en garantissant la soutenabilité de nos finances publiques via une maîtrise de la dépense publique dans tous les sous‑secteurs.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)



Cette trajectoire de consolidation progressive des finances publiques doit s’accompagner d’un renforcement de la qualité des dépenses, notamment des investissements indispensables pour assurer les transitions écologique et numérique, atteindre le plein emploi et s’assurer de la compétitivité de nos entreprises. Ainsi, la poursuite du déploiement du plan « France 2030 » permettra de stimuler l’économie et de soutenir la croissance potentielle en accélérant la transition écologique, en favorisant l’investissement, l’innovation, la cohésion sociale et territoriale et en assurant la souveraineté numérique et industrielle. Ces différentes mesures pourront être mises en œuvre tout en garantissant la soutenabilité de nos finances publiques via une maîtrise de la dépense publique dans tous les sous‑secteurs.

Cette trajectoire de consolidation progressive des finances publiques doit s’accompagner d’un renforcement de la qualité des dépenses, notamment des investissements indispensables pour assurer les transitions écologique et numérique, atteindre le plein emploi et s’assurer de la compétitivité de nos entreprises. Ainsi, la poursuite du déploiement du plan « France 2030 » permettra de stimuler l’économie et de soutenir la croissance potentielle en accélérant la transition écologique, en favorisant l’investissement, l’innovation, la cohésion sociale et territoriale et en assurant la souveraineté numérique et industrielle. Ces différentes mesures pourront être mises en œuvre tout en garantissant la soutenabilité de nos finances publiques via une maîtrise de la dépense publique dans tous les sous‑secteurs.



À court terme, la trajectoire des finances publiques est cependant affectée par les conséquences de la guerre en Ukraine et les tensions inflationnistes, ainsi que par la volonté du Gouvernement de prendre, face à ce contexte dégradé, des mesures pour protéger le pouvoir d’achat des Français et soutenir les entreprises. Ces mesures ont été mises en œuvre depuis l’automne 2021 et en particulier depuis le début de la nouvelle législature, avec le vote de la loi de finances rectificative du 16 août 2022 et de la loi du 16 août 2022 portant mesures d’urgence pour la protection du pouvoir d’achat. Enfin, cette trajectoire se caractérise par la sortie des dispositifs de soutien d’urgence mis en place pour faire face à la crise sanitaire : encore très soutenues en 2021 pour tenir compte du contexte sanitaire et économique, ces mesures décroissent fortement en 2022 et 2023.


(Alinéa sans modification)

À court terme, la trajectoire des finances publiques est cependant affectée par les conséquences de la guerre en Ukraine et les tensions inflationnistes, ainsi que par la volonté du Gouvernement de prendre, face à ce contexte dégradé, des mesures pour protéger le pouvoir d’achat des Français et soutenir les entreprises. Ces mesures ont été mises en œuvre depuis l’automne 2021 et en particulier depuis le début de la nouvelle législature, avec le vote de la loi  2022‑1157 du 16 août 2022 de finances rectificative pour 2022 et de la  2022‑1158 loi du 16 août 2022 portant mesures d’urgence pour la protection du pouvoir d’achat. Enfin, cette trajectoire se caractérise par la sortie des dispositifs de soutien d’urgence mis en place pour faire face à la crise sanitaire : encore très soutenues en 2021 pour tenir compte du contexte sanitaire et économique, ces mesures décroissent fortement en 2022 et 2023.

À court terme, la trajectoire des finances publiques est cependant affectée par les conséquences de la guerre en Ukraine et les tensions inflationnistes ainsi que par la volonté du Gouvernement de prendre, face à ce contexte dégradé, des mesures pour protéger le pouvoir d’achat des Français et soutenir les entreprises. Ces mesures ont été mises en œuvre depuis l’automne 2021 et en particulier depuis le début de la nouvelle législature, avec le vote de la loi  2022‑1157 du 16 août 2022 de finances rectificative pour 2022 et de la loi  2022‑1158 du 16 août 2022 portant mesures d’urgence pour la protection du pouvoir d’achat. Enfin, cette trajectoire se caractérise par la sortie des dispositifs de soutien d’urgence mis en place pour faire face à la crise sanitaire : encore très soutenues en 2021 pour tenir compte du contexte sanitaire et économique, ces mesures décroissent fortement en 2022 et 2023.



À court terme, la trajectoire des finances publiques est cependant affectée par les conséquences de la guerre en Ukraine et les tensions inflationnistes ainsi que par la volonté du Gouvernement de prendre, face à ce contexte dégradé, des mesures pour protéger le pouvoir d’achat des Français et soutenir les entreprises. Ces mesures ont été mises en œuvre depuis l’automne 2021 et en particulier depuis le début de la nouvelle législature, avec le vote de la loi  2022‑1157 du 16 août 2022 de finances rectificative pour 2022 et de la loi  2022‑1158 du 16 août 2022 portant mesures d’urgence pour la protection du pouvoir d’achat. Enfin, cette trajectoire se caractérise par la sortie des dispositifs de soutien d’urgence mis en place pour faire face à la crise sanitaire : encore très soutenues en 2021 pour tenir compte du contexte sanitaire et économique, ces mesures décroissent fortement en 2022 et 2023.

À court terme, la trajectoire des finances publiques est cependant affectée par les conséquences de la guerre en Ukraine et les tensions inflationnistes ainsi que par la volonté du Gouvernement de prendre, face à ce contexte dégradé, des mesures pour protéger le pouvoir d’achat des Français et soutenir les entreprises. Ces mesures ont été mises en œuvre depuis l’automne 2021 et en particulier depuis le début de la nouvelle législature, avec le vote de la loi  2022‑1157 du 16 août 2022 de finances rectificative pour 2022 et de la loi  2022‑1158 du 16 août 2022 portant mesures d’urgence pour la protection du pouvoir d’achat. Enfin, cette trajectoire se caractérise par la sortie des dispositifs de soutien d’urgence mis en place pour faire face à la crise sanitaire : encore très soutenues en 2021 pour tenir compte du contexte sanitaire et économique, ces mesures décroissent fortement en 2022 et 2023.



La conformité de cette trajectoire aux règles budgétaires européennes sera évaluée chaque année sur la base des données notifiées, dans le cadre d’une analyse d’ensemble de la Commission européenne, qui tient compte de la situation économique de chaque pays. En ce qui concerne les premières années de la trajectoire, la Commission européenne a estimé en mai 2022 que les conditions d’un maintien de la clause dérogatoire générale du pacte de stabilité et de croissance (activée en 2020 à la suite de la crise sanitaire) en 2023 et de sa désactivation en 2024 étaient remplies, en raison du niveau d’incertitudes et des risques importants afférents au contexte de la guerre en Ukraine. Le maintien de cette clause en 2023 permet de laisser aux politiques budgétaires nationales la marge nécessaire pour réagir rapidement en cas de besoin, tout en assurant une transition sans heurt entre le soutien généralisé apporté à l’économie pendant la pandémie et un recentrage sur des mesures temporaires et ciblées pour garantir la viabilité à moyen terme des finances publiques. Ainsi, en 2023, l’ajustement structurel serait de 0,2 point de PIB, dans un cadre macroéconomique dégradé. L’ajustement structurel serait ensuite de 0,3 point de PIB par an à compter de 2024.


(Alinéa sans modification)

La conformité de cette trajectoire aux règles budgétaires européennes sera évaluée chaque année sur la base des données notifiées, dans le cadre d’une analyse d’ensemble de la Commission européenne, qui tient compte de la situation économique de chaque pays. En ce qui concerne les premières années de la trajectoire, la Commission européenne a estimé en mai 2022 que les conditions d’un maintien de la clause dérogatoire générale du pacte de stabilité et de croissance (activée en 2020 à la suite de la crise sanitaire) en 2023 et de sa désactivation en 2024 étaient remplies, en raison du niveau d’incertitudes et des risques importants afférents au contexte de la guerre en Ukraine. Le maintien de cette clause en 2023 permet de laisser aux politiques budgétaires nationales la marge nécessaire pour réagir rapidement en cas de besoin, tout en assurant une transition sans heurt entre le soutien généralisé apporté à l’économie pendant la pandémie et un recentrage sur des mesures temporaires et ciblées pour garantir la viabilité à moyen terme des finances publiques. Ainsi, en 2023, l’ajustement structurel serait de 0,1 point de PIB, dans un cadre macroéconomique dégradé. L’ajustement structurel serait ensuite de 0,5 point de PIB en 2024, de 0,4 point de PIB en 2025, de 0,3 point de PIB en 2026 et de 0,2 point de PIB en 2027.

(Alinéa sans modification)



La conformité de cette trajectoire aux règles budgétaires européennes sera évaluée chaque année sur la base des données notifiées, dans le cadre d’une analyse d’ensemble de la Commission européenne, qui tient compte de la situation économique de chaque pays. En ce qui concerne les premières années de la trajectoire, la Commission européenne a estimé en mai 2022 que les conditions d’un maintien de la clause dérogatoire générale du pacte de stabilité et de croissance (activée en 2020 à la suite de la crise sanitaire) en 2023 et de sa désactivation en 2024 étaient remplies, en raison du niveau d’incertitudes et des risques importants afférents au contexte de la guerre en Ukraine. Le maintien de cette clause en 2023 permet de laisser aux politiques budgétaires nationales la marge nécessaire pour réagir rapidement en cas de besoin, tout en assurant une transition sans heurt entre le soutien généralisé apporté à l’économie pendant la pandémie et un recentrage sur des mesures temporaires et ciblées pour garantir la viabilité à moyen terme des finances publiques. Ainsi, en 2023, l’ajustement structurel serait de 0,1 point de PIB, dans un cadre macroéconomique dégradé. L’ajustement structurel serait ensuite de 0,5 point de PIB en 2024, de 0,4 point de PIB en 2025, de 0,3 point de PIB en 2026 et de 0,2 point de PIB en 2027.

La conformité de cette trajectoire aux règles budgétaires européennes sera évaluée chaque année sur la base des données notifiées, dans le cadre d’une analyse d’ensemble de la Commission européenne, qui tient compte de la situation économique de chaque pays. En ce qui concerne les premières années de la trajectoire, la Commission européenne a estimé en mai 2022 que les conditions d’un maintien de la clause dérogatoire générale du pacte de stabilité et de croissance (activée en 2020 à la suite de la crise sanitaire) en 2023 et de sa désactivation en 2024 étaient remplies, en raison du niveau d’incertitudes et des risques importants afférents au contexte de la guerre en Ukraine. Le maintien de cette clause en 2023 permet de laisser aux politiques budgétaires nationales la marge nécessaire pour réagir rapidement en cas de besoin, tout en assurant une transition sans heurt entre le soutien généralisé apporté à l’économie pendant la pandémie et un recentrage sur des mesures temporaires et ciblées pour garantir la viabilité à moyen terme des finances publiques. Ainsi, en 2023, l’ajustement structurel serait de 0,1 point de PIB, dans un cadre macroéconomique dégradé. L’ajustement structurel serait ensuite de 0,5 point de PIB en 2024, de 0,4 point de PIB en 2025, de 0,3 point de PIB en 2026 et de 0,2 point de PIB en 2027.



Encadré : Comparaison avec les autres États membres de l’UE


(Alinéa sans modification)

Comparaison avec les autres États membres de l’Union européenne

(Alinéa sans modification)



Comparaison avec les autres États membres de l’Union européenne

Comparaison avec les autres États membres de l’Union européenne


Selon les programmes de stabilité et de convergence 2022, le seuil de déficit public de 3 % du PIB serait respecté par neuf États membres en 2022 (Chypre, Croatie, Danemark, Finlande, Irlande, Luxembourg, Pays‑Bas, Portugal et Suède) et par l’ensemble des autres partenaires européens de la France à horizon 2025. Entre 2022 et 2025, le ratio de dette publique sur PIB diminuerait dans la plupart des États membres, notamment dans les pays les plus endettés (à hauteur de ‑34 points de PIB en Grèce, ‑15 points au Portugal et ‑6 points en Italie et en Espagne). Le solde structurel s’améliorerait dans la quasi‑totalité des États membres d’ici 2025, mais n’atteindrait pas encore l’objectif de moyen terme pour la plupart d’entre eux.


(Alinéa sans modification)

Selon les programmes de stabilité et de convergence 2023, le seuil de déficit public de 3 % du PIB serait respecté par onze États membres en 2023 (Chypre, Croatie, Danemark, Grèce, Finlande, Irlande, Lituanie, Luxembourg, Pays‑Bas, Portugal et Suède). L’ensemble des partenaires européens de la France respecterait le seuil de déficit public à l’horizon 2026, à l’exception de la Bulgarie et l’Estonie. Entre 2022 et 2026, le ratio de dette publique sur PIB diminuerait dans la plupart des États membres, notamment dans les pays les plus endettés (à hauteur de ‑36 points de PIB en Grèce, ‑18 points au Portugal, ‑6 points en Espagne et ‑4 points en Italie).

(Alinéa sans modification)



Selon les programmes de stabilité et de convergence 2023, le seuil de déficit public de 3 % du PIB serait respecté par onze États membres en 2023 (Chypre, Croatie, Danemark, Grèce, Finlande, Irlande, Lituanie, Luxembourg, Pays‑Bas, Portugal et Suède). L’ensemble des partenaires européens de la France respecterait le seuil de déficit public à l’horizon 2026, à l’exception de la Bulgarie et l’Estonie. Entre 2022 et 2026, le ratio de dette publique sur PIB diminuerait dans la plupart des États membres, notamment dans les pays les plus endettés (à hauteur de ‑36 points de PIB en Grèce, ‑18 points au Portugal, ‑6 points en Espagne et ‑4 points en Italie).

Selon les programmes de stabilité et de convergence 2023, le seuil de déficit public de 3 % du PIB serait respecté par onze États membres en 2023 (Chypre, Croatie, Danemark, Grèce, Finlande, Irlande, Lituanie, Luxembourg, Pays‑Bas, Portugal et Suède). L’ensemble des partenaires européens de la France respecterait le seuil de déficit public à l’horizon 2026, à l’exception de la Bulgarie et l’Estonie. Entre 2022 et 2026, le ratio de dette publique sur PIB diminuerait dans la plupart des États membres, notamment dans les pays les plus endettés (à hauteur de ‑36 points de PIB en Grèce, ‑18 points au Portugal, ‑6 points en Espagne et ‑4 points en Italie).


B. – Le Gouvernement poursuivra la baisse des impôts amorcée lors du quinquennat précédent, pour favoriser le pouvoir d’achat des Français, la compétitivité de nos entreprises et l’emploi

B. – (Non modifié)

B. – (Alinéa sans modification)

B. – (Alinéa sans modification)

B. – (Alinéa sans modification)

B. – (Alinéa sans modification)

B. – (Alinéa sans modification)

B. – Le Gouvernement poursuivra la baisse des impôts amorcée lors du quinquennat précédent, pour favoriser le pouvoir d’achat des Français, la compétitivité des entreprises et l’emploi

B. – Le Gouvernement poursuivra la baisse des impôts amorcée lors du quinquennat précédent, pour favoriser le pouvoir d’achat des Français, la compétitivité des entreprises et l’emploi



Sur l’ensemble du dernier quinquennat (2017‑2022), le Gouvernement a réduit de manière pérenne les prélèvements obligatoires (plus de 50 Md€, la moitié en faveur des ménages et la moitié en faveur des entreprises), afin de favoriser la croissance et l’emploi. Côté ménages, d’importantes réformes ont été menées afin d’alléger la fiscalité sur le capital productif (instauration du prélèvement forfaitaire unique, transformation de l’impôt de solidarité sur la fortune en impôt sur la fortune immobilière) et le travail (bascule CSG‑cotisations), accompagnées de mesures de simplification du système fiscal (instauration du prélèvement à la source) et en faveur du pouvoir d’achat (réforme du barème de l’impôt sur le revenu, suppression de la taxe d’habitation sur la résidence principale). Côté entreprises, les principales mesures fiscales adoptées ont permis de stimuler leur compétitivité, via une réduction des coûts des facteurs de production (capital, travail). Il s’agit notamment de la transformation du CICE (crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi) en baisse pérenne de cotisations, de la baisse du taux d’impôt sur les sociétés ou encore de la réduction des impôts de production dans le cadre du plan de relance.


(Alinéa sans modification)

Sur l’ensemble du dernier quinquennat (2017‑2022), le Gouvernement a réduit de manière pérenne les prélèvements obligatoires (plus de 50 milliards d’euros la moitié en faveur des ménages et la moitié en faveur des entreprises), afin de favoriser la croissance et l’emploi. Côté ménages, d’importantes réformes ont été menées afin d’alléger la fiscalité sur le capital productif (instauration du prélèvement forfaitaire unique, transformation de l’impôt de solidarité sur la fortune en impôt sur la fortune immobilière) et le travail (bascule contribution sociale généralisée‑cotisations), accompagnées de mesures de simplification du système fiscal (instauration du prélèvement à la source) et en faveur du pouvoir d’achat (réforme du barème de l’impôt sur le revenu, suppression de la taxe d’habitation sur la résidence principale). Côté entreprises, les principales mesures fiscales adoptées ont permis de stimuler leur compétitivité, via une réduction des coûts des facteurs de production (capital, travail). Il s’agit notamment de la transformation du crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi (CICE) en baisse pérenne de cotisations, de la baisse du taux d’impôt sur les sociétés ou encore de la réduction des impôts de production dans le cadre du plan de relance.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Sur l’ensemble du dernier quinquennat (2017‑2022), le Gouvernement a réduit de manière pérenne les prélèvements obligatoires (plus de 50 milliards d’euros la moitié en faveur des ménages et la moitié en faveur des entreprises), afin de favoriser la croissance et l’emploi. Côté ménages, d’importantes réformes ont été menées afin d’alléger la fiscalité sur le capital productif (instauration du prélèvement forfaitaire unique, transformation de l’impôt de solidarité sur la fortune en impôt sur la fortune immobilière) et le travail (bascule contribution sociale généralisée‑cotisations), accompagnées de mesures de simplification du système fiscal (instauration du prélèvement à la source) et en faveur du pouvoir d’achat (réforme du barème de l’impôt sur le revenu, suppression de la taxe d’habitation sur la résidence principale). Côté entreprises, les principales mesures fiscales adoptées ont permis de stimuler leur compétitivité, via une réduction des coûts des facteurs de production (capital, travail). Il s’agit notamment de la transformation du crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi (CICE) en baisse pérenne de cotisations, de la baisse du taux d’impôt sur les sociétés ou encore de la réduction des impôts de production dans le cadre du plan de relance.

Sur l’ensemble du dernier quinquennat (2017‑2022), le Gouvernement a réduit de manière pérenne les prélèvements obligatoires (plus de 50 milliards d’euros la moitié en faveur des ménages et la moitié en faveur des entreprises), afin de favoriser la croissance et l’emploi. Côté ménages, d’importantes réformes ont été menées afin d’alléger la fiscalité sur le capital productif (instauration du prélèvement forfaitaire unique, transformation de l’impôt de solidarité sur la fortune en impôt sur la fortune immobilière) et le travail (bascule contribution sociale généralisée‑cotisations), accompagnées de mesures de simplification du système fiscal (instauration du prélèvement à la source) et en faveur du pouvoir d’achat (réforme du barème de l’impôt sur le revenu, suppression de la taxe d’habitation sur la résidence principale). Côté entreprises, les principales mesures fiscales adoptées ont permis de stimuler leur compétitivité, via une réduction des coûts des facteurs de production (capital, travail). Il s’agit notamment de la transformation du crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi (CICE) en baisse pérenne de cotisations, de la baisse du taux d’impôt sur les sociétés ou encore de la réduction des impôts de production dans le cadre du plan de relance.



Sur le nouveau quinquennat (2022‑2027), le Gouvernement poursuivra la baisse des prélèvements obligatoires, en faveur des ménages et des entreprises. Ces baisses continueront de cibler les assiettes les plus distorsives, afin de favoriser l’activité et la compétitivité. Elles seront financées par un effort de maîtrise des dépenses, de lutte contre la fraude et de réduction des niches fiscales et sociales peu efficaces, ainsi que par le surplus d’activité et d’emploi générés.


(Alinéa sans modification)

Depuis le début du nouveau quinquennat, le Gouvernement poursuit la baisse des prélèvements obligatoires, pour les ménages comme pour les entreprises : suppression de la redevance audiovisuelle, réduction des cotisations sociales des travailleurs indépendants, poursuite de la suppression de la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE). Déjà réduite en 2023, la CVAE est amenée à disparaître complètement d’ici la fin du quinquennat. Dès 2024, la cotisation minimale à la CVAE sera supprimée ; environ 300 000 entreprises sortiraient donc dès l’année prochaine de l’imposition à la CVAE. Après la réduction pérenne des impôts de production dans le cadre de « France Relance », le Gouvernement continue ainsi d’alléger et de simplifier la fiscalité des entreprises.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Depuis le début du nouveau quinquennat, le Gouvernement poursuit la baisse des prélèvements obligatoires, pour les ménages comme pour les entreprises : suppression de la redevance audiovisuelle, réduction des cotisations sociales des travailleurs indépendants, poursuite de la suppression de la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE). Déjà réduite en 2023, la CVAE est amenée à disparaître complètement d’ici la fin du quinquennat. Dès 2024, la cotisation minimale à la CVAE sera supprimée ; environ 300 000 entreprises sortiraient donc dès l’année prochaine de l’imposition à la CVAE. Après la réduction pérenne des impôts de production dans le cadre de « France Relance », le Gouvernement continue ainsi d’alléger et de simplifier la fiscalité des entreprises.

Depuis le début du nouveau quinquennat, le Gouvernement poursuit la baisse des prélèvements obligatoires, pour les ménages comme pour les entreprises : suppression de la redevance audiovisuelle, réduction des cotisations sociales des travailleurs indépendants, poursuite de la suppression de la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE). Déjà réduite en 2023, la CVAE est amenée à disparaître complètement d’ici la fin du quinquennat. Dès 2024, la cotisation minimale à la CVAE sera supprimée ; environ 300 000 entreprises sortiraient donc dès l’année prochaine de l’imposition à la CVAE. Après la réduction pérenne des impôts de production dans le cadre de « France Relance », le Gouvernement continue ainsi d’alléger et de simplifier la fiscalité des entreprises.



Ces nouvelles baisses d’impôt ont commencé dès les premières semaines du quinquennat, avec le vote à l’été de la loi de finances rectificative du 16 août 2022 et de la loi du 16 août 2022 portant mesures d’urgence pour la protection du pouvoir d’achat : la redevance audiovisuelle a été supprimée afin d’améliorer le pouvoir d’achat des ménages. Cette mesure bénéficie à 28 millions de foyers pour un coût de 3,2 Md€ pour l’État : elle permet de supprimer un impôt anti‑redistributif car forfaitaire (138€ par foyer équipé d’un téléviseur indépendamment de ses revenus) et dont l’assiette ne tient compte que d’un seul mode de consommation de l’audiovisuel (via un téléviseur) en excluant les autres (internet en particulier). De même la réduction des cotisations sociales des travailleurs indépendants permet une progression de leur revenu annuel de 550 euros pour ceux ayant un revenu équivalent au niveau du Smic. À l’horizon du quinquennat, d’autres réformes fiscales majeures seront mises en œuvre en faveur des ménages à hauteur de 3 Md€.


(Alinéa sans modification)

(Alinéa supprimé)







Afin de renforcer la compétitivité des entreprises, l’activité et l’attractivité de l’économie française, le Gouvernement continuera d’alléger et de simplifier la fiscalité des entreprises. Après la réduction pérenne des impôts de production dans le cadre du plan « France Relance », le Gouvernement propose une suppression de la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE). Cette mesure sera mise en œuvre dans le projet de loi de finances pour 2023 en deux ans.


(Alinéa sans modification)

En outre, le Gouvernement continuera de soutenir ménages et entreprises en prolongeant la composante fiscale du bouclier tarifaire sur l’électricité (mise au plancher de la taxe sur la consommation d’électricité en 2024), dans le cadre d’une sortie progressive des boucliers sur l’énergie.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

En outre, le Gouvernement continuera de soutenir ménages et entreprises en prolongeant la composante fiscale du bouclier tarifaire sur l’électricité (mise au plancher de la taxe sur la consommation d’électricité en 2024), dans le cadre d’une sortie progressive des boucliers sur l’énergie.

En outre, le Gouvernement continuera de soutenir ménages et entreprises en prolongeant la composante fiscale du bouclier tarifaire sur l’électricité (mise au plancher de la taxe sur la consommation d’électricité en 2024), dans le cadre d’une sortie progressive des boucliers sur l’énergie.



Cette stratégie de baisse généralisée des impôts pour les ménages et les entreprises pourra s’accompagner de mesures d’efficacité comme la réduction justifiée de niches fiscales et sociales inefficientes. Ainsi, le projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2023 indexe la fiscalité sur le tabac afin d’éviter que les prix relatifs du tabac ne soient dévalués dans le contexte d’inflation actuelle.


(Alinéa sans modification)

Cette stratégie de baisse généralisée des impôts pour les ménages et les entreprises sera financée par un effort de maîtrise des dépenses publiques et de lutte contre la fraude.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Cette stratégie de baisse généralisée des impôts pour les ménages et les entreprises sera financée par un effort de maîtrise des dépenses publiques et de lutte contre la fraude.

Cette stratégie de baisse généralisée des impôts pour les ménages et les entreprises sera financée par un effort de maîtrise des dépenses publiques et de lutte contre la fraude.



Tableau : Principales mesures nouvelles en prélèvements obligatoires en 2023


(Alinéa sans modification)

Principales mesures nouvelles en prélèvements obligatoires en 2023

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Principales mesures nouvelles en prélèvements obligatoires en 2023

Principales mesures nouvelles en prélèvements obligatoires en 2023



2023
Ménages-6,0
Suppression de la taxe d’habitation sur les résidences principales-2,8
Transformation du CI SAP en dispositif contemporain-1,6
Bouclier tarifaire TICFE (part ménages)-1,0
Retour TVA du bouclier tarifaire sur la TICFE-0,2
Barème kilométrique-0,1
Baisse de cotisations des travailleurs indépendants-0,6
Harmonisation de la fiscalité sur les produits du tabac0,4
Entreprises-5,8
Baisse du taux d’IS de 33% à 25%-0,4
CICE - montée en charge et hausse de taux de 6% à 7% *0,1
Baisse des impôts de production0,1
Retour IS de la suppression des impôts de production-0,6
Bouclier tarifaire TICFE (part entreprises)-1,1
Retour IS du bouclier tarifaire sur la TICFE0,2
Suppression de la CVAE-4,1
Total hors bascule CICE et recettes de SPE-11,8
Traitement en recettes des gains sur charges de SPE9,6
Effet temporaire de la bascule CICE cotisations *5,6
Total des principales mesures nouvelles3,3
Autres mesures1,4
Total y compris autres mesures4,8
* effet sur les prélèvements obligatoires et non sur le solde public


2023
Ménages-6,0
Suppression de la taxe d’habitation sur les résidences principales-2,8
Transformation du CI SAP en dispositif contemporain-1,6
Bouclier tarifaire TICFE (part ménages)-1,0
Retour TVA du bouclier tarifaire sur la TICFE-0,2
Barème kilométrique-0,1
Baisse de cotisations des travailleurs indépendants-0,6
Harmonisation de la fiscalité sur les produits du tabac0,4
Entreprises-5,8
Baisse du taux d’IS de 33% à 25%-0,4
CICE - montée en charge et hausse de taux de 6% à 7% *0,1
Baisse des impôts de production0,1
Retour IS de la suppression des impôts de production-0,6
Bouclier tarifaire TICFE (part entreprises)-1,1
Retour IS du bouclier tarifaire sur la TICFE0,2
Suppression de la CVAE-4,1
Total hors bascule CICE et recettes de SPE-11,8
Traitement en recettes des gains sur charges de SPE9,6
Effet temporaire de la bascule CICE cotisations *5,6
Total des principales mesures nouvelles3,3
Autres mesures1,4
Total y compris autres mesures4,8
* effet sur les prélèvements obligatoires et non sur le solde public


2023
Ménages-6,0
Suppression de la taxe d’habitation sur les résidences principales-2,8
Transformation du CI SAP en dispositif contemporain-1,6
Bouclier tarifaire TICFE (part ménages)-1,0
Retour TVA du bouclier tarifaire sur la TICFE-0,2
Barème kilométrique-0,1
Baisse de cotisations des travailleurs indépendants-0,6
Harmonisation de la fiscalité sur les produits du tabac0,4
Entreprises-5,8
Baisse du taux d’IS de 33% à 25%-0,4
CICE - montée en charge et hausse de taux de 6% à 7% *0,1
Baisse des impôts de production0,1
Retour IS de la suppression des impôts de production-0,6
Bouclier tarifaire TICFE (part entreprises)-1,1
Retour IS du bouclier tarifaire sur la TICFE0,2
Suppression de la CVAE-4,1
Total hors bascule CICE et recettes de SPE-11,8
Traitement en recettes des gains sur charges de SPE9,6
Effet temporaire de la bascule CICE cotisations *5,6
Total des principales mesures nouvelles3,3
Autres mesures1,4
Total y compris autres mesures4,8
* effet sur les prélèvements obligatoires et non sur le solde public


2023
Ménages-4,5
Suppression de la taxe d’habitation sur les résidences principales-2,8
Bouclier tarifaire sur la taxe intérieure sur la consommation finale d’électricité-1,0
Barème kilométrique-0,3
Harmonisation de la fiscalité sur les produits du tabac0,2
Fiscalisation de la prime de partage de la valeur - effet sur l’impôt sur le revenu et les prélèvements sociaux0,1
Baisse de cotisations des travailleurs indépendants-0,6
Entreprises-5,1
Baisse du taux de l’impôt sur les sociétés de 33% à 25%-0,4
CICE - montée en charge et hausse de taux de 6% à 7%0,1
Baisse des impôts de production-0,5
Bouclier tarifaire sur la TICFE (part entreprises)-0,7
Suppression de moitié de la CVAE-3,7
Total des principales mesures nouvelles-9,6
Traitement en recettes des gains sur charges de service public de l’énergie-1,5
Contribution sur les rentes infra marginales1,9
Effet temporaire de la bascule CICE cotisations*5,6
Autres mesures-0,4
Total y compris autres mesures-4,0
* Effet sur les prélèvements obligatoires et non sur le solde public


2023
Ménages-4,5
Suppression de la taxe d’habitation sur les résidences principales-2,8
Bouclier tarifaire sur la taxe intérieure sur la consommation finale d’électricité-1,0
Barème kilométrique-0,3
Harmonisation de la fiscalité sur les produits du tabac0,2
Fiscalisation de la prime de partage de la valeur - effet sur l’impôt sur le revenu et les prélèvements sociaux0,1
Baisse de cotisations des travailleurs indépendants-0,6
Entreprises-5,1
Baisse du taux de l’impôt sur les sociétés de 33 % à 25 %-0,4
CICE - montée en charge et hausse de taux de 6 % à 7 %0,1
Baisse des impôts de production-0,5
Bouclier tarifaire sur la TICFE (part entreprises)-0,7
Suppression de moitié de la CVAE-3,7
Total des principales mesures nouvelles-9,6
Traitement en recettes des gains sur charges de service public de l’énergie-1,5
Contribution sur les rentes infra marginales1,9
Effet temporaire de la bascule CICE cotisations *5,6
Autres mesures-0,4
Total y compris autres mesures-4,0
* Effet sur les prélèvements obligatoires et non sur le solde public


2023
Ménages-4,5
Suppression de la taxe d’habitation sur les résidences principales-2,8
Bouclier tarifaire sur la taxe intérieure sur la consommation finale d’électricité-1,0
Barème kilométrique-0,3
Harmonisation de la fiscalité sur les produits du tabac0,2
Fiscalisation de la prime de partage de la valeur - effet sur l’impôt sur le revenu et les prélèvements sociaux0,1
Baisse de cotisations des travailleurs indépendants-0,6
Entreprises-5,1
Baisse du taux de l’impôt sur les sociétés de 33 % à 25 %-0,4
CICE - montée en charge et hausse de taux de 6 % à 7 %0,1
Baisse des impôts de production-0,5
Bouclier tarifaire sur la TICFE (part entreprises)-0,7
Suppression de moitié de la CVAE-3,7
Total des principales mesures nouvelles-9,6
Traitement en recettes des gains sur charges de service public de l’énergie-1,5
Contribution sur les rentes infra marginales1,9
Effet temporaire de la bascule CICE cotisations *5,6
Autres mesures-0,4
Total y compris autres mesures-4,0
* Effet sur les prélèvements obligatoires et non sur le solde public


2023
Ménages-4,5
Suppression de la taxe d’habitation sur les résidences principales-2,8
Bouclier tarifaire sur la taxe intérieure sur la consommation finale d’électricité-1,0
Barème kilométrique-0,3
Harmonisation de la fiscalité sur les produits du tabac0,2
Fiscalisation de la prime de partage de la valeur - effet sur l’impôt sur le revenu et les prélèvements sociaux0,1
Baisse de cotisations des travailleurs indépendants-0,6
Entreprises-5,1
Baisse du taux de l’impôt sur les sociétés de 33 % à 25 %-0,4
CICE - montée en charge et hausse de taux de 6 % à 7 %0,1
Baisse des impôts de production-0,5
Bouclier tarifaire sur la TICFE (part entreprises)-0,7
Suppression de moitié de la CVAE-3,7
Total des principales mesures nouvelles-9,6
Traitement en recettes des gains sur charges de service public de l’énergie-1,5
Contribution sur les rentes infra marginales1,9
Effet temporaire de la bascule CICE cotisations *5,6
Autres mesures-0,4
Total y compris autres mesures-4,0
* Effet sur les prélèvements obligatoires et non sur le solde public


2023
Ménages-4,5
Suppression de la taxe d’habitation sur les résidences principales-2,8
Bouclier tarifaire sur la taxe intérieure sur la consommation finale d’électricité-1,0
Barème kilométrique-0,3
Harmonisation de la fiscalité sur les produits du tabac0,2
Fiscalisation de la prime de partage de la valeur - effet sur l’impôt sur le revenu et les prélèvements sociaux0,1
Baisse de cotisations des travailleurs indépendants-0,6
Entreprises-5,1
Baisse du taux de l’impôt sur les sociétés de 33 % à 25 %-0,4
CICE - montée en charge et hausse de taux de 6 % à 7 %0,1
Baisse des impôts de production-0,5
Bouclier tarifaire sur la TICFE (part entreprises)-0,7
Suppression de moitié de la CVAE-3,7
Total des principales mesures nouvelles-9,6
Traitement en recettes des gains sur charges de service public de l’énergie-1,5
Contribution sur les rentes inframarginales1,9
Effet temporaire de la bascule CICE cotisations *5,6
Autres mesures-0,4
Total y compris autres mesures-4,0
* Effet sur les prélèvements obligatoires et non sur le solde public


2023
Ménages-4,5
Suppression de la taxe d’habitation sur les résidences principales-2,8
Bouclier tarifaire sur la taxe intérieure sur la consommation finale d’électricité-1,0
Barème kilométrique-0,3
Harmonisation de la fiscalité sur les produits du tabac0,2
Fiscalisation de la prime de partage de la valeur - effet sur l’impôt sur le revenu et les prélèvements sociaux0,1
Baisse de cotisations des travailleurs indépendants-0,6
Entreprises-5,1
Baisse du taux de l’impôt sur les sociétés de 33 % à 25 %-0,4
CICE - montée en charge et hausse de taux de 6 % à 7 %0,1
Baisse des impôts de production-0,5
Bouclier tarifaire sur la TICFE (part entreprises)-0,7
Suppression de moitié de la CVAE-3,7
Total des principales mesures nouvelles-9,6
Traitement en recettes des gains sur charges de service public de l’énergie-1,5
Contribution sur les rentes inframarginales1,9
Effet temporaire de la bascule CICE cotisations *5,6
Autres mesures-0,4
Total y compris autres mesures-4,0
* Effet sur les prélèvements obligatoires et non sur le solde public




C. – Une maîtrise de la croissance de la dépense publique à horizon 2027

C. – (Non modifié)

C. – (Alinéa sans modification)

C. – (Alinéa sans modification)

C. – (Alinéa sans modification)

C. – (Alinéa sans modification)

C. – (Alinéa sans modification)

C. – Une maîtrise de la croissance de la dépense publique à l’horizon 2027

C. – Une maîtrise de la croissance de la dépense publique à l’horizon 2027



Le retour à l’équilibre des comptes publics se fondera sur la maîtrise de la dépense. Ainsi, sur la période 2022‑2027, la croissance moyenne en volume hors effet de l’extinction des mesures d’urgence et de relance de la dépense publique (hors crédits d’impôt) est prévue à +0,6 %, ce qui constitue un effort significatif en comparaison des évolutions lors des précédents quinquennats : en effet, cette dernière a atteint +2,1 % en moyenne entre 2003 et 2007, +1,4 % entre 2008 et 2012, +1,0 % entre 2013 et 2017 puis +1,2 % entre 2018 et 2022 (hors mesures de soutien d’urgence et de relance et retraitée de l’effet de la création de France Compétences en 2019). Cette maîtrise de la dépense sera partagée par l’ensemble des administrations publiques.


(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Le retour à l’équilibre des comptes publics se fondera sur la maîtrise de la dépense. Ainsi, sur la période 2022‑2027, la croissance moyenne en volume hors effet de l’extinction des mesures d’urgence et de relance de la dépense publique (hors crédits d’impôt) est prévue à +0,6 %, ce qui constitue un effort significatif en comparaison des évolutions lors des précédents quinquennats : en effet, cette dernière a atteint +2,1 % en moyenne entre 2003 et 2007, +1,4 % entre 2008 et 2012, +1,0 % entre 2013 et 2017 puis +1,2 % entre 2018 et 2022 (hors mesures de soutien d’urgence et de relance et retraitée de l’effet de la création de France Compétences en 2019). Cette maîtrise de la dépense sera partagée par l’ensemble des administrations publiques.

Le retour à l’équilibre des comptes publics se fondera sur la maîtrise de la dépense. Ainsi, sur la période 2022‑2027, la croissance moyenne en volume hors effet de l’extinction des mesures d’urgence et de relance de la dépense publique (hors crédits d’impôt) est prévue à +0,6 %, ce qui constitue un effort significatif en comparaison des évolutions lors des précédents quinquennats : en effet, cette dernière a atteint +2,1 % en moyenne entre 2003 et 2007, +1,4 % entre 2008 et 2012, +1,0 % entre 2013 et 2017 puis +1,2 % entre 2018 et 2022 (hors mesures de soutien d’urgence et de relance et retraitée de l’effet de la création de France Compétences en 2019). Cette maîtrise de la dépense sera partagée par l’ensemble des administrations publiques.



S’agissant de la dépense des administrations centrales en comptabilité nationale, le taux d’évolution (hors CI et hors transferts, à champ constant) s’élèvera à ‑2,6 % en volume en 2023 puis à ‑0,4 % en moyenne sur la période 2024‑2027. La charge de la dette augmentera de l’ordre de 0,5 point de PIB à l’horizon 2027. Cette maîtrise de la dépense publique reposera notamment sur des mesures de transformation structurelle et une évaluation renforcée de la qualité des dépenses, qui permettront de dégager des marges de manœuvre pour mettre en œuvre les engagements du Président de la République et les priorités fixées par le Gouvernement en termes de politique publique. La maitrise des finances publiques s’accompagne d’un renforcement de la qualité des dépenses, notamment des investissements indispensables pour assurer les transitions écologique et numérique, atteindre le plein emploi et s’assurer de la compétitivité de nos entreprises. Dans ce contexte, les dépenses des plans « France Relance » et « France 2030 » se poursuivront, permettant de soutenir l’activité et le potentiel de croissance, en accélérant la transition écologique, en favorisant l’investissement, l’innovation, la cohésion sociale et territoriale et en assurant la souveraineté numérique et industrielle.


(Alinéa sans modification)

S’agissant de la dépense primaire (c’est‑à‑dire hors charges d’intérêt) des administrations centrales en comptabilité nationale, le taux d’évolution en volume (hors crédits d’impôts et hors transferts, à champ constant) s’élèvera à ‑0,9 % en moyenne sur la période 2022‑2027. La charge de la dette augmentera de l’ordre de 0,7 point de PIB entre 2022 et 2027. Cette maîtrise de la dépense publique reposera notamment sur des mesures de transformation structurelle et une évaluation renforcée de la qualité des dépenses, qui permettront de dégager des marges de manœuvre pour mettre en œuvre les engagements du Président de la République et les priorités fixées par le Gouvernement en termes de politique publique. La maîtrise des finances publiques s’accompagne d’un renforcement de la qualité des dépenses, notamment des investissements indispensables pour assurer les transitions écologique et numérique, atteindre le plein emploi et s’assurer de la compétitivité de nos entreprises. Dans ce contexte, les dépenses des plans « France Relance » et « France 2030 » se poursuivront, permettant de soutenir l’activité et le potentiel de croissance, en accélérant la transition écologique, en favorisant l’investissement, l’innovation, la cohésion sociale et territoriale et en assurant la souveraineté numérique et industrielle.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

S’agissant de la dépense primaire (c’est‑à‑dire hors charges d’intérêt) des administrations centrales en comptabilité nationale, le taux d’évolution en volume (hors crédits d’impôts et hors transferts, à champ constant) s’élèvera à ‑0,9 % en moyenne sur la période 2022‑2027. La charge de la dette augmentera de l’ordre de 0,7 point de PIB entre 2022 et 2027. La maîtrise des finances publiques s’accompagne d’un renforcement de la qualité des dépenses, notamment des investissements indispensables pour assurer les transitions écologique et numérique, atteindre le plein emploi et s’assurer de la compétitivité de nos entreprises. Dans ce contexte, les dépenses des plans « France Relance » et « France 2030 » se poursuivront, permettant de soutenir l’activité et le potentiel de croissance, en accélérant la transition écologique, en favorisant l’investissement, l’innovation, la cohésion sociale et territoriale et en assurant la souveraineté numérique et industrielle.

Amdt  34

S’agissant de la dépense primaire (c’est‑à‑dire hors charges d’intérêt) des administrations centrales en comptabilité nationale, le taux d’évolution en volume (hors crédits d’impôts et hors transferts, à champ constant) s’élèvera à ‑0,9 % en moyenne sur la période 2022‑2027. La charge de la dette augmentera de l’ordre de 0,7 point de PIB entre 2022 et 2027. Cette maîtrise de la dépense publique reposera notamment sur des mesures de transformation structurelle et une évaluation renforcée de la qualité des dépenses, qui permettront de dégager des marges de manœuvre pour mettre en œuvre les engagements du Président de la République et les priorités fixées par le Gouvernement en termes de politique publique. La maîtrise des finances publiques s’accompagne d’un renforcement de la qualité des dépenses, notamment des investissements indispensables pour assurer les transitions écologique et numérique, atteindre le plein emploi et s’assurer de la compétitivité de nos entreprises. Dans ce contexte, les dépenses des plans « France Relance » et « France 2030 » se poursuivront pour permettre de soutenir l’activité et le potentiel de croissance, en accélérant la transition écologique, en favorisant l’investissement, l’innovation, la cohésion sociale et territoriale et en assurant la souveraineté numérique et industrielle.

S’agissant de la dépense primaire (c’est‑à‑dire hors charges d’intérêt) des administrations centrales en comptabilité nationale, le taux d’évolution en volume (hors crédits d’impôts et hors transferts, à champ constant) s’élèvera à ‑0,9 % en moyenne sur la période 2022‑2027. La charge de la dette augmentera de l’ordre de 0,7 point de PIB entre 2022 et 2027. Cette maîtrise de la dépense publique reposera notamment sur des mesures de transformation structurelle et une évaluation renforcée de la qualité des dépenses, qui permettront de dégager des marges de manœuvre pour mettre en œuvre les engagements du Président de la République et les priorités fixées par le Gouvernement en termes de politique publique. La maîtrise des finances publiques s’accompagne d’un renforcement de la qualité des dépenses, notamment des investissements indispensables pour assurer les transitions écologique et numérique, atteindre le plein emploi et s’assurer de la compétitivité de nos entreprises. Dans ce contexte, les dépenses des plans « France Relance » et « France 2030 » se poursuivront pour permettre de soutenir l’activité et le potentiel de croissance, en accélérant la transition écologique, en favorisant l’investissement, l’innovation, la cohésion sociale et territoriale et en assurant la souveraineté numérique et industrielle.



La tenue de l’objectif en dépenses implique également la poursuite par les collectivités locales de leur maîtrise de leurs dépenses de fonctionnement selon des modalités en cours de concertation. En comptabilité nationale, l’objectif est une baisse de leurs dépenses de fonctionnement de ‑0,5 % en volume par an sur le quinquennat.


(Alinéa sans modification)

La tenue de l’objectif en dépenses implique également la poursuite par les collectivités territoriales de la maîtrise de leurs dépenses de fonctionnement. En comptabilité nationale, l’objectif est une baisse de leurs dépenses de fonctionnement de – 0,5 % en volume par an sur le quinquennat.

La tenue de l’objectif en dépenses implique également la poursuite par les collectivités territoriales de la maîtrise de leurs dépenses de fonctionnement. En comptabilité nationale, l’objectif est une baisse de leurs dépenses de fonctionnement de ‑0,5 % en volume par an sur le quinquennat.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

La tenue de l’objectif en dépenses implique également la poursuite par les collectivités territoriales de la maîtrise de leurs dépenses de fonctionnement. En comptabilité nationale, l’objectif est une baisse de leurs dépenses de fonctionnement de ‑0,5 % en volume par an sur le quinquennat.

La tenue de l’objectif en dépenses implique également la poursuite par les collectivités territoriales de la maîtrise de leurs dépenses de fonctionnement. En comptabilité nationale, l’objectif est une baisse de leurs dépenses de fonctionnement de ‑0,5 % en volume par an sur le quinquennat.



Enfin, les administrations de sécurité sociale, qui représentent plus de la moitié de la dépense publique, participeront également à la maitrise de l’évolution des dépenses. Cette participation sera rendue possible grâce à la réforme des retraites, la poursuite de la transformation du système de santé, engagée avec le Ségur de la santé, ainsi que le développement de la politique de prévention. Ainsi, la progression de l’ONDAM s’établira à +2,7 % sur 2024‑2025 puis 2,6 % sur 2026‑2027 (cf. infra).


(Alinéa sans modification)

Enfin, les administrations de sécurité sociale, qui représentent plus de la moitié de la dépense publique, participeront également à la maîtrise de l’évolution des dépenses. Cette participation sera rendue possible grâce à la réforme des retraites, à la réforme de l’assurance chômage, à la poursuite de la transformation du système de santé, engagée avec le Ségur de la santé, ainsi qu’au développement de la politique de prévention. Ainsi, après une hausse de 4,8 % en 2023 (hors covid), la progression de l’Ondam serait de 3,2 % en 2024, 3,0 % en 2025, puis de 2,9 % en 2026 et 2027.

Enfin, les administrations de sécurité sociale, qui représentent plus de la moitié de la dépense publique, participeront également à la maîtrise de l’évolution des dépenses. Cette participation sera rendue possible grâce à la réforme des retraites, à la réforme de l’assurance chômage, à la poursuite de la transformation du système de santé, engagée avec le « Ségur de la santé », ainsi qu’au développement de la politique de prévention. Ainsi, après une hausse de 4,8 % en 2023 (hors covid), la progression de l’ONDAM serait de 3,2 % en 2024, 3,0 % en 2025, puis de 2,9 % en 2026 et 2027.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Enfin, les administrations de sécurité sociale, qui représentent plus de la moitié de la dépense publique, participeront également à la maîtrise de l’évolution des dépenses. Cette participation sera rendue possible grâce à la réforme des retraites, à la réforme de l’assurance chômage, à la poursuite de la transformation du système de santé, engagée avec le « Ségur de la santé », ainsi qu’au développement de la politique de prévention. Ainsi, après une hausse de 4,8 % en 2023 (hors covid), la progression de l’objectif nationale de dépenses d’assurance maladie (ONDAM) serait de 3,2 % en 2024, de 3,0 % en 2025, puis de 2,9 % en 2026 et 2027.

Enfin, les administrations de sécurité sociale, qui représentent plus de la moitié de la dépense publique, participeront également à la maîtrise de l’évolution des dépenses. Cette participation sera rendue possible grâce à la réforme des retraites, à la réforme de l’assurance chômage, à la poursuite de la transformation du système de santé, engagée avec le « Ségur de la santé », ainsi qu’au développement de la politique de prévention. Ainsi, après une hausse de 4,8 % en 2023 (hors covid), la progression de l’objectif nationale de dépenses d’assurance maladie (ONDAM) serait de 3,2 % en 2024, de 3,0 % en 2025, puis de 2,9 % en 2026 et 2027.



Tableau : Croissance de la dépense publique, hors crédits d’impôts
20232024202520262027
Taux de croissance en valeur2,82,32,32,02,4
Taux de croissance en volume-1,5-0,60,30,20,6
Inflation hors tabac4,33,02,11,751,75


Tableau : Croissance de la dépense publique, hors crédits d’impôts
20232024202520262027
Taux de croissance en valeur2,82,32,32,02,4
Taux de croissance en volume-1,5-0,60,30,20,6
Inflation hors tabac4,33,02,11,751,75


Tableau : Croissance de la dépense publique, hors crédits d’impôt


20232024202520262027
Taux de croissance en valeur2,82,32,32,02,4
Taux de croissance en volume-1,5-0,60,30,20,6
Inflation hors tabac4,33,02,11,751,75


Croissance de la dépense publique, hors crédits d’impôts
20232024202520262027
Taux de croissance en valeur3,43,02,82,22,3
Taux de croissance en volume-1,30,50,80,50,5
Inflation hors tabac4,82,52,01,751,75


Croissance de la dépense publique, hors crédits d’impôts
20232024202520262027
Taux de croissance en valeur3,43,02,82,22,3
Taux de croissance en volume-1,30,50,80,50,5
Inflation hors tabac4,82,52,01,751,75


Croissance de la dépense publique, hors crédits d’impôts
20232024202520262027
Taux de croissance en valeur3,43,02,82,22,3
Taux de croissance en volume-1,30,50,80,50,5
Inflation hors tabac4,82,52,01,751,75


Croissance de la dépense publique, hors crédits d’impôts
20232024202520262027
Taux de croissance en valeur3,43,02,82,22,3
Taux de croissance en volume-1,30,50,80,50,5
Inflation hors tabac4,82,52,01,751,75


Croissance de la dépense publique, hors crédits d’impôts
20232024202520262027
Taux de croissance en valeur3,43,02,82,22,3
Taux de croissance en volume-1,30,50,80,50,5
Inflation hors tabac4,82,52,01,751,75


Croissance de la dépense publique, hors crédits d’impôts
20232024202520262027
Taux de croissance en valeur3,43,02,82,22,3
Taux de croissance en volume-1,30,50,80,50,5
Inflation hors tabac4,82,52,01,751,75




Tableau : Croissance de la dépense publique par sous-secteur, hors crédits d’impôts, à champ constant, hors transfert, en volume
20232024202520262027
APU-1,5-0,60,30,20,6
APUC-2,6-2,5-1,10,41,6
APUL-0,60,10,4-1,3-1,1
ASSO-1,00,51,20,70,6


Tableau : Croissance de la dépense publique par sous-secteur, hors crédits d’impôts, à champ constant, hors transfert, en volume
20232024202520262027
APU-1,5-0,60,30,20,6
APUC-2,6-2,5-1,10,41,6
APUL-0,60,10,4-1,3-1,1
ASSO-1,00,51,20,70,6


Tableau : Croissance de la dépense publique par sous-secteur, hors crédits d’impôt, à champ constant, hors transfert, en volume
20232024202520262027

APU-1,5-0,60,30,20,6

APUC-2,6-2,5-1,10,41,6

APUL-0,60,10,4-1,3-1,1

ASSO-1,00,51,20,70,6


Croissance de la dépense publique par sous-secteur, hors crédits d’impôts, à champ constant, hors transfert, en volume
20232024202520262027
Administrations publiques-1,30,50,80,50,5
Administrations publiques centrales-3,6-1,41,91,51,2
Administrations publiques locales1,00,90,2-1,9-1,0
Administrations de sécurité sociale-0,51,70,30,70,6


Croissance de la dépense publique par sous-secteur, hors crédits d’impôts,
à champ constant, hors transfert, en volume
20232024202520262027
Administrations publiques-1,30,50,80,50,5
Administrations publiques centrales-3,6-1,41,91,51,2
Administrations publiques locales1,00,90,2-1,9-1,0
Administrations de sécurité sociale-0,51,70,30,70,6


Croissance de la dépense publique par sous-secteur, hors crédits d’impôts, à champ constant, hors transfert, en volume
20232024202520262027
Administrations publiques-1,30,50,80,50,5
Administrations publiques centrales-3,6-1,41,91,51,2
Administrations publiques locales1,00,90,2-1,9-1,0
Administrations de sécurité sociale-0,51,70,30,70,6


Croissance de la dépense publique par sous-secteur, hors crédits d’impôts,
à champ constant, hors transfert, en volume
20232024202520262027
Administrations publiques-1,30,50,80,50,5
Administrations publiques centrales-3,6-1,41,91,51,2
Administrations publiques locales1,00,90,2-1,9-1,0
Administrations de sécurité sociale-0,51,70,30,70,6


Croissance de la dépense publique par sous-secteur, hors crédits d’impôts,
à champ constant, hors transfert, en volume
20232024202520262027
Administrations publiques-1,30,50,80,50,5
Administrations publiques centrales-3,6-1,41,91,51,2
Administrations publiques locales1,00,90,2-1,9-1,0
Administrations de sécurité sociale-0,51,70,30,70,6


Croissance de la dépense publique par sous-secteur, hors crédits d’impôts,
à champ constant, hors transfert, en volume
20232024202520262027
Administrations publiques-1,30,50,80,50,5
Administrations publiques centrales-3,6-1,41,91,51,2
Administrations publiques locales1,00,90,2-1,9-1,0
Administrations de sécurité sociale-0,51,70,30,70,6




D. – À l’horizon du quinquennat, l’effort structurel permettra la diminution du ratio de dette publique

D. – (Alinéa sans modification)

D. – (Alinéa sans modification)

D. – (Alinéa sans modification)

D. – (Alinéa sans modification)

D. – (Alinéa sans modification)

D. – (Alinéa sans modification)

D. – À l’horizon du quinquennat, l’effort structurel permettra la diminution du ratio de dette publique

D. – À l’horizon du quinquennat, l’effort structurel permettra la diminution du ratio de dette publique



Tableau : Solde public (exprimé suivant les conventions de la comptabilité nationale)
20232024202520262027
Solde public-5,0-4,5-4,0-3,4-2,9
Solde structurel (en points de PIB potentiel)-4,0-3,7-3,4-3,1-2,8
Ajustement structurel0,20,30,30,30,3


Tableau : Solde public (exprimé suivant les conventions de la comptabilité nationale)
20232024202520262027
Solde public-5,0-4,5-4,0-3,4-2,9
Solde structurel (en points de PIB potentiel)-4,0-3,7-3,4-3,1-2,8
Ajustement structurel0,20,30,30,30,3


Tableau : Solde public (exprimé suivant les conventions de la comptabilité nationale)
20232024202520262027

Solde public-5,0-4,5-4,0-3,4-2,9

Solde structurel (en points de PIB potentiel)-4,0-3,7-3,4-3,1-2,8

Ajustement structurel0,20,30,30,30,3


Solde public (exprimé suivant les conventions de la comptabilité nationale)
20232024202520262027
Solde public-4,9-4,4-3,7-3,2-2,7
Solde structurel (en points de PIB potentiel)-4,1-3,7-3,3-2,9-2,7
Ajustement structurel0,10,50,40,30,2


Solde public (exprimé suivant les conventions de la comptabilité nationale)
20232024202520262027
Solde public-4,9-4,4-3,7-3,2-2,7
Solde structurel (en points de PIB potentiel)-4,1-3,7-3,3-2,9-2,7
Ajustement structurel0,10,50,40,30,2


Solde public (exprimé suivant les conventions de la comptabilité nationale)
20232024202520262027
Solde public-4,9-4,4-3,7-3,2-2,7
Solde structurel (en points de PIB potentiel)-4,1-3,7-3,3-2,9-2,7
Ajustement structurel0,10,50,40,30,2


Solde public
(exprimé suivant les conventions de la comptabilité nationale)
20232024202520262027
Solde public-4,9-4,4-3,7-3,2-2,7
Solde structurel (en points de PIB potentiel)-4,1-3,7-3,3-2,9-2,7
Ajustement structurel0,10,50,40,30,2


Solde public
(exprimé suivant les conventions de la comptabilité nationale)
20232024202520262027
Solde public-4,9-4,4-3,7-3,2-2,7
Solde structurel (en points de PIB potentiel)-4,1-3,7-3,3-2,9-2,7
Ajustement structurel0,10,50,40,30,2


Solde public
(exprimé suivant les conventions de la comptabilité nationale)
20232024202520262027
Solde public-4,9-4,4-3,7-3,2-2,7
Solde structurel (en points de PIB potentiel)-4,1-3,7-3,3-2,9-2,7
Ajustement structurel0,10,50,40,30,2




Tableau : Dépenses et recettes (exprimé suivant les conventions de la comptabilité nationale)

202220232024202520262027
Ratio de dépenses publiques (*)57,656,655,655,054,353,8
Ratio de prélèvements obligatoires (y compris UE)45,244,744,244,344,344,3
Ratio de recettes hors prélèvements obligatoires7,47,27,17,06,86,8
Clé de crédits d’impôts0,20,00,00,00,00,0
(*) Hors crédits d’impôts


Tableau : Dépenses et recettes (exprimé suivant les conventions de la comptabilité nationale)

202220232024202520262027
Ratio de dépenses publiques (*)57,656,655,655,054,353,8
Ratio de prélèvements obligatoires (y compris UE)45,244,744,244,344,344,3
Ratio de recettes hors prélèvements obligatoires7,47,27,17,06,86,8
Clé de crédits d’impôts0,20,00,00,00,00,0
(*) Hors crédits d’impôts


Tableau : Dépenses et recettes (exprimé suivant les conventions de la comptabilité nationale)

202220232024202520262027
Ratio de dépenses publiques (*)57,656,655,655,054,353,8
Ratio de prélèvements obligatoires (y compris UE)45,244,744,244,344,344,3
Ratio de recettes hors prélèvements obligatoires7,47,27,17,06,86,8
Clé de crédits d’impôt0,20,00,00,00,00,0
(*) Hors crédits d’impôt


Dépenses et recettes (exprimé suivant les conventions de la comptabilité nationale)
202220232024202520262027
Ratio de dépenses publiques (*)57,755,955,355,054,453,8
Ratio de prélèvements obligatoires (y compris UE)45,444,044,144,444,444,4
Ratio de prélèvements obligatoires (y compris UE), corrigé des effets du bouclier tarifaire45,644,444,444,444,444,4
Ratio de recettes hors prélèvements obligatoires7,67,17,07,06,96,9
Clé de crédits d’impôts0,20,00,00,00,00,0
(*) Hors crédits d’impôts


Dépenses et recettes (exprimées suivant les conventions de la comptabilité nationale)
202220232024202520262027
Ratio de dépenses publiques (*)57,755,955,355,054,453,8
Ratio de prélèvements obligatoires (y compris UE)45,444,044,144,444,444,4
Ratio de prélèvements obligatoires (y compris UE), corrigé des effets du bouclier tarifaire45,644,444,444,444,444,4
Ratio de recettes hors prélèvements obligatoires7,67,17,07,06,96,9
Clé de crédits d’impôts0,20,00,00,00,00,0
(*) Hors crédits d’impôts


Dépenses et recettes (exprimées suivant les conventions de la comptabilité nationale)
202220232024202520262027
Ratio de dépenses publiques (*)57,755,955,355,054,453,8
Ratio de prélèvements obligatoires (y compris UE)45,444,044,144,444,444,4
Ratio de prélèvements obligatoires (y compris UE), corrigé des effets du bouclier tarifaire45,644,444,444,444,444,4
Ratio de recettes hors prélèvements obligatoires7,67,17,07,06,96,9
Clé de crédits d’impôts0,20,00,00,00,00,0
(*) Hors crédits d’impôts


Dépenses et recettes
(exprimées suivant les conventions de la comptabilité nationale)
202220232024202520262027
Ratio de dépenses publiques (*)57,755,955,355,054,453,8
Ratio de prélèvements obligatoires (y compris UE)45,444,044,144,444,444,4
Ratio de prélèvements obligatoires (y compris UE), corrigé des effets du bouclier tarifaire45,644,444,444,444,444,4
Ratio de recettes hors prélèvements obligatoires7,67,17,07,06,96,9
Clé de crédits d’impôts0,20,00,00,00,00,0
(*) Hors crédits d’impôts


Dépenses et recettes
(exprimées suivant les conventions de la comptabilité nationale)
202220232024202520262027
Ratio de dépenses publiques (*)57,755,955,355,054,453,8
Ratio de prélèvements obligatoires (y compris UE)45,444,044,144,444,444,4
Ratio de prélèvements obligatoires (y compris UE), corrigé des effets du bouclier tarifaire45,644,444,444,444,444,4
Ratio de recettes hors prélèvements obligatoires7,67,17,07,06,96,9
Clé de crédits d’impôts0,20,00,00,00,00,0
(*) Hors crédits d’impôts


Dépenses et recettes
(exprimées suivant les conventions de la comptabilité nationale)
202220232024202520262027
Ratio de dépenses publiques (*)57,755,955,355,054,453,8
Ratio de prélèvements obligatoires (y compris UE)45,444,044,144,444,444,4
Ratio de prélèvements obligatoires (y compris UE), corrigé des effets du bouclier tarifaire45,644,444,444,444,444,4
Ratio de recettes hors prélèvements obligatoires7,67,17,07,06,96,9
Clé de crédits d’impôts0,20,00,00,00,00,0
(*) Hors crédits d’impôts




1. L’effort structurel portera sur la dépense publique

1. (Alinéa sans modification)

1. (Alinéa sans modification)

1. (Alinéa sans modification)

1. (Alinéa sans modification)

1. (Alinéa sans modification)

1. (Alinéa sans modification)

1. L’effort structurel portera sur la dépense publique

1. L’effort structurel portera sur la dépense publique



L’écart de production, encore creusé en 2021 et 2022 (respectivement ‑2,4 % et ‑1,1 % du PIB potentiel) dans un contexte macroéconomique dégradé au niveau mondial, se résorberait progressivement à l’horizon 2027 : à partir de 2024, la croissance effective du PIB serait supérieure à la croissance potentielle. Ainsi, la variation conjoncturelle du solde public contribuerait au redressement des finances publiques entre 2021 et 2027 (+1,3 point de PIB).

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

L’écart de production, encore creusé à court terme dans un contexte macroéconomique dégradé au niveau mondial, se résorberait progressivement à l’horizon 2027 : à partir de 2024, la croissance effective du PIB serait supérieure à la croissance potentielle. Ainsi, la variation conjoncturelle du solde public contribuerait au redressement des finances publiques entre 2021 et 2027 (+1,2 point de PIB).

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

L’écart de production, encore creusé à court terme dans un contexte macroéconomique dégradé au niveau mondial, se résorberait progressivement à l’horizon 2027 : à partir de 2024, la croissance effective du PIB serait supérieure à la croissance potentielle. Ainsi, la variation conjoncturelle du solde public contribuerait au redressement des finances publiques entre 2021 et 2027 (+1,2 point de PIB).

L’écart de production, encore creusé à court terme dans un contexte macroéconomique dégradé au niveau mondial, se résorberait progressivement à l’horizon 2027 : à partir de 2024, la croissance effective du PIB serait supérieure à la croissance potentielle. Ainsi, la variation conjoncturelle du solde public contribuerait au redressement des finances publiques entre 2021 et 2027 (+1,2 point de PIB).



Cependant, la stratégie de retour à l’équilibre des finances publiques s’appuiera avant tout sur une amélioration structurelle et donc pérenne : après la crise sanitaire, la guerre en Ukraine et les tensions inflationnistes, la France doit retrouver des comptes publics normalisés. Ainsi, le solde structurel, qui s’établit à ‑5,1 % de PIB potentiel en 2021, se redressera à ‑2,8 % en 2027 : cela permettra de garantir la soutenabilité de la dette publique et de rapprocher le solde structurel de l’objectif européen de moyen terme (OMT), fixé à ‑0,4 % du PIB par la présente loi. L’ajustement structurel sera de +0,3 point de PIB potentiel par an à compter de 2024. Au total, il sera de +2,3 points de PIB potentiel entre 2021 et 2027.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Cependant, la stratégie de retour à l’équilibre des finances publiques s’appuiera avant tout sur une amélioration structurelle et donc pérenne : après la crise sanitaire, la guerre en Ukraine et les tensions inflationnistes, la France doit retrouver des comptes publics normalisés. Ainsi, le solde structurel, qui s’établit à ‑5,2 % de PIB potentiel en 2021, se redressera à ‑2,7 % en 2027 : cela permettra de garantir la soutenabilité de la dette publique et de rapprocher le solde structurel de l’objectif européen de moyen terme (OMT), fixé à ‑0,4 % du PIB par la présente loi. L’ajustement structurel sera de +0,5 point de PIB potentiel en 2024, de +0,4 point de PIB potentiel en 2025, de +0,3 point de PIB potentiel en 2026 et de +0,2 point de PIB potentiel en 2027. Au total, il sera de +2,5 points de PIB potentiel entre 2021 et 2027.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Cependant, la stratégie de retour à l’équilibre des finances publiques s’appuiera avant tout sur une amélioration structurelle et donc pérenne : après la crise sanitaire, la guerre en Ukraine et les tensions inflationnistes, la France doit retrouver des comptes publics normalisés. Ainsi, le solde structurel, qui s’établit à ‑5,2 % de PIB potentiel en 2021, se redressera à ‑2,7 % en 2027 : cela permettra de garantir la soutenabilité de la dette publique et de rapprocher le solde structurel de l’objectif européen de moyen terme (OMT), fixé à ‑0,4 % du PIB par la présente loi. L’ajustement structurel sera de +0,5 point de PIB potentiel en 2024, de +0,4 point de PIB potentiel en 2025, de +0,3 point de PIB potentiel en 2026 et de +0,2 point de PIB potentiel en 2027. Au total, il sera de +2,5 points de PIB potentiel entre 2021 et 2027.

Cependant, la stratégie de retour à l’équilibre des finances publiques s’appuiera avant tout sur une amélioration structurelle et donc pérenne : après la crise sanitaire, la guerre en Ukraine et les tensions inflationnistes, la France doit retrouver des comptes publics normalisés. Ainsi, le solde structurel, qui s’établit à ‑5,2 % de PIB potentiel en 2021, se redressera à ‑2,7 % en 2027 : cela permettra de garantir la soutenabilité de la dette publique et de rapprocher le solde structurel de l’objectif européen de moyen terme (OMT), fixé à ‑0,4 % du PIB par la présente loi. L’ajustement structurel sera de +0,5 point de PIB potentiel en 2024, de +0,4 point de PIB potentiel en 2025, de +0,3 point de PIB potentiel en 2026 et de +0,2 point de PIB potentiel en 2027. Au total, il sera de +2,5 points de PIB potentiel entre 2021 et 2027.



Cet ajustement sera entièrement porté par un effort structurel en dépense : ce dernier sera de 3,4 points de PIB potentiel entre 2022 et 2027, grâce à une progression des dépenses publiques hors effet de l’extinction des mesures d’urgence et de relance en volume limitée à +0,6 % entre 2022 et 2027, nettement inférieure à la croissance potentielle de l’activité (1,35 %). Cette maitrise de la dépense permettra au Gouvernement d’améliorer la position structurelle des finances publiques françaises et de poursuivre, tout en poursuivant sa politique de réduction des prélèvements obligatoires, afin de renforcer la compétitivité des entreprises et soutenir le pouvoir d’achat des Français. Les mesures de réduction des prélèvements obligatoires contribueront à l’ajustement structurel pour ‑0,6 point de PIB potentiel sur la période. Au total, l’effort structurel, c’est‑à‑dire l’effet des mesures discrétionnaires, permettra d’améliorer le solde structurel de 2,9 points de PIB potentiel sur la période considérée.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Cet ajustement sera entièrement porté par un effort structurel en dépense : ce dernier sera de 3,3 points de PIB potentiel entre 2022 et 2027, grâce à une progression des dépenses publiques hors effet de l’extinction des mesures d’urgence et de relance en volume limitée à +0,6 % entre 2022 et 2027, nettement inférieure à la croissance potentielle de l’activité (1,35 %). Cette maîtrise de la dépense permettra au Gouvernement d’améliorer la position structurelle des finances publiques françaises tout en consolidant la baisse de la fiscalité engagée sous le mandat précédent et depuis le début du mandat actuel. Elle sera répartie entre tous les sous‑secteurs des administrations publiques, l’État supportant de surcroît les effets de la hausse des taux sur la charge de la dette dans la mesure où il en concentre la majeure partie de la dette des administrations publiques. Au total, l’effort structurel, c’est‑à‑dire l’effet des mesures discrétionnaires, permettra d’améliorer le solde structurel de 3,3 points de PIB potentiel sur la période considérée, les mesures nouvelles en prélèvements obligatoires ne contribuant quasiment pas à la variation de solde structurel sur l’ensemble de la trajectoire.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Cet ajustement sera entièrement porté par un effort structurel en dépense : ce dernier sera de 3,3 points de PIB potentiel entre 2022 et 2027, grâce à une progression des dépenses publiques, hors effet de l’extinction des mesures d’urgence et de relance en volume, limitée à +0,6 % entre 2022 et 2027, nettement inférieure à la croissance potentielle de l’activité (1,35 %). Cette maîtrise de la dépense permettra au Gouvernement d’améliorer la position structurelle des finances publiques françaises tout en consolidant la baisse de la fiscalité engagée sous le mandat précédent et depuis le début du mandat actuel. Elle sera répartie entre tous les sous‑secteurs des administrations publiques, l’État supportant de surcroît les effets de la hausse des taux sur la charge de la dette dans la mesure où il en concentre la majeure partie de la dette des administrations publiques. Au total, l’effort structurel, c’est‑à‑dire l’effet des mesures discrétionnaires, permettra d’améliorer le solde structurel de 3,3 points de PIB potentiel sur la période considérée, les mesures nouvelles en prélèvements obligatoires ne contribuant quasiment pas à la variation de solde structurel sur l’ensemble de la trajectoire.

Cet ajustement sera entièrement porté par un effort structurel en dépense : ce dernier sera de 3,3 points de PIB potentiel entre 2022 et 2027, grâce à une progression des dépenses publiques, hors effet de l’extinction des mesures d’urgence et de relance en volume, limitée à +0,6 % entre 2022 et 2027, nettement inférieure à la croissance potentielle de l’activité (1,35 %). Cette maîtrise de la dépense permettra au Gouvernement d’améliorer la position structurelle des finances publiques françaises tout en consolidant la baisse de la fiscalité engagée sous le mandat précédent et depuis le début du mandat actuel. Elle sera répartie entre tous les sous‑secteurs des administrations publiques, l’État supportant de surcroît les effets de la hausse des taux sur la charge de la dette dans la mesure où il en concentre la majeure partie de la dette des administrations publiques. Au total, l’effort structurel, c’est‑à‑dire l’effet des mesures discrétionnaires, permettra d’améliorer le solde structurel de 3,3 points de PIB potentiel sur la période considérée, les mesures nouvelles en prélèvements obligatoires ne contribuant quasiment pas à la variation de solde structurel sur l’ensemble de la trajectoire.



Enfin, les mesures exceptionnelles et temporaires prévisibles dans le cadre du présent rapport affecteront transitoirement la trajectoire de réduction du solde public. En particulier, les transformations des crédits d’impôt « Service à la personne » et « Garde d’enfants hors du domicile » en dispositifs contemporains entraîneront un double coût temporaire pour les finances publiques, considéré comme une mesure exceptionnelle et temporaire et dont l’impact sur le solde structurel est par conséquent neutralisé. L’effet attendu de ces mesures identifiées en amont de la programmation est toutefois limité, contrairement à la précédente loi de programmation qui avait été marquée en particulier par la transformation du CICE en allègements de cotisations en 2019 (prévue en amont de la programmation) et par le coût des mesures de soutien d’urgence en 2020 en réponse à la crise sanitaire.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Enfin, les mesures exceptionnelles et temporaires prévisibles dans le cadre du présent rapport affecteront transitoirement la trajectoire de réduction du solde public. L’effet attendu de ces mesures identifiées en amont de la programmation est toutefois limité, contrairement à la précédente loi de programmation qui avait été marquée en particulier par la transformation du CICE en allègements de cotisations en 2019 (prévue en amont de la programmation) et par le coût des mesures de soutien d’urgence en 2020 en réponse à la crise sanitaire.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Enfin, les mesures exceptionnelles et temporaires prévisibles dans le cadre du présent rapport affecteront transitoirement la trajectoire de réduction du solde public. L’effet attendu de ces mesures identifiées en amont de la programmation est toutefois limité, contrairement à la précédente loi de programmation qui avait été marquée en particulier par la transformation du CICE en allègements de cotisations en 2019 (prévue en amont de la programmation) et par le coût des mesures de soutien d’urgence en 2020 en réponse à la crise sanitaire.

Enfin, les mesures exceptionnelles et temporaires prévisibles dans le cadre du présent rapport affecteront transitoirement la trajectoire de réduction du solde public. L’effet attendu de ces mesures identifiées en amont de la programmation est toutefois limité, contrairement à la précédente loi de programmation qui avait été marquée en particulier par la transformation du CICE en allègements de cotisations en 2019 (prévue en amont de la programmation) et par le coût des mesures de soutien d’urgence en 2020 en réponse à la crise sanitaire.



Tableau : Mesures exceptionnelles et temporaires 2022‑2027

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Mesures exceptionnelles et temporaires 2022‑2027

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Mesures exceptionnelles et temporaires 2022‑2027

Mesures exceptionnelles et temporaires 2022‑2027



(Md€)20232024202520262027
Mesures en recettes-0,3-0,3-0,30,00,0
Dont :
Contentieux OPCVM-0,8-0,8-0,80,00,0
Crise sanitaire - primes PGE0,50,50,50,00,0
Mesures en dépense4,83,92,21,00,2
Dont :
Intérêts des contentieux0,20,20,20,00,0
Contemporanéisation CISAP2,01,50,30,10,0
Contemporanéisation CI-GEHD0,00,30,50,20,0
Sinistralité PGE 20212,11,61,00,50,1
Sinistralité BEI 20210,50,30,20,20,1


(Md€)20232024202520262027
Mesures en recettes-0,3-0,3-0,30,00,0
Dont :
Contentieux OPCVM-0,8-0,8-0,80,00,0
Crise sanitaire - primes PGE0,50,50,50,00,0
Mesures en dépense4,83,92,21,00,2
Dont :
Intérêts des contentieux0,20,20,20,00,0
Contemporanéisation CISAP2,01,50,30,10,0
Contemporanéisation CI-GEHD0,00,30,50,20,0
Sinistralité PGE 20212,11,61,00,50,1
Sinistralité BEI 20210,50,30,20,20,1


(Md€)20232024202520262027
Mesures en recettes-0,3-0,3-0,30,00,0
Dont :
Contentieux OPCVM-0,8-0,8-0,80,00,0
Crise sanitaire - primes PGE0,50,50,50,00,0
Mesures en dépense4,83,92,21,00,2
Dont :
Intérêts des contentieux0,20,20,20,00,0
Contemporanéisation CISAP2,01,50,30,10,0
Contemporanéisation CI-GEHD0,00,30,50,20,0
Sinistralité PGE 20212,11,61,00,50,1
Sinistralité BEI 20210,50,30,20,20,1


(En milliards d’euros)
20232024202520262027
Mesures en recettes-0,4-0,3-0,3-0,40,0
Dont :
- Contentieux OPCVM-0,9-0,8-0,8-0,60,0
- Crise sanitaire - primes (prêts garantis par l’État)0,50,50,50,20,0
Mesures en dépense2,51,91,30,80,3
Dont :
- Intérêts des contentieux0,10,20,20,20,0
- Sinistralité PGE2,11,61,10,60,3
- Sinistralité BEI0,30,20,00,00,0


(En milliards d’euros)
20232024202520262027
Mesures en recettes-0,4-0,3-0,3-0,40,0
Dont :
- Contentieux OPCVM-0,9-0,8-0,8-0,60,0
- Crise sanitaire - primes (prêts garantis par l’État)0,50,50,50,20,0
Mesures en dépense2,51,91,30,80,3
Dont :
- Intérêts des contentieux0,10,20,20,20,0
- Sinistralité PGE2,11,61,10,60,3
- Sinistralité BEI0,30,20,00,00,0


(En milliards d’euros)
20232024202520262027
Mesures en recettes-0,4-0,3-0,3-0,40,0
Dont :
- Contentieux OPCVM-0,9-0,8-0,8-0,60,0
- Crise sanitaire - primes (prêts garantis par l’État)0,50,50,50,20,0
Mesures en dépense2,51,91,30,80,3
Dont :
- Intérêts des contentieux0,10,20,20,20,0
- Sinistralité PGE2,11,61,10,60,3
- Sinistralité BEI0,30,20,00,00,0


(En milliards d’euros)
20232024202520262027
Mesures en recettes-0,4-0,3-0,3-0,40,0
Dont :
- Contentieux OPCVM-0,9-0,8-0,8-0,60,0
- Crise sanitaire - primes (prêts garantis par l’État)0,50,50,50,20,0
Mesures en dépense2,51,91,30,80,3
Dont :
- Intérêts des contentieux0,10,20,20,20,0
- Sinistralité PGE2,11,61,10,60,3
- Sinistralité BEI0,30,20,00,00,0


(En milliards d’euros)
20232024202520262027
Mesures en recettes-0,4-0,3-0,3-0,40,0
Dont :
- Contentieux OPCVM-0,9-0,8-0,8-0,60,0
- Crise sanitaire - primes (prêts garantis par l’État)0,50,50,50,20,0
Mesures en dépense2,51,91,30,80,3
Dont :
- Intérêts des contentieux0,10,20,20,20,0
- Sinistralité PGE2,11,61,10,60,3
- Sinistralité BEI0,30,20,00,00,0


(En milliards d’euros)
20232024202520262027
Mesures en recettes-0,4-0,3-0,3-0,40,0
Dont :
- Contentieux OPCVM-0,9-0,8-0,8-0,60,0
- Crise sanitaire - primes (prêts garantis par l’État)0,50,50,50,20,0
Mesures en dépense2,51,91,30,80,3
Dont :
- Intérêts des contentieux0,10,20,20,20,0
- Sinistralité PGE2,11,61,10,60,3
- Sinistralité BEI0,30,20,00,00,0




Tableau : Variation du solde structurel 2022‑2027

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Variation du solde structurel 2022‑2027

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Variation du solde structurel 2022‑2027

Variation du solde structurel 2022‑2027



202220232024202520262027
Variation du solde structurel (ajustement structurel)0,90,20,30,30,30,3
Effort structurel-0,21,30,30,40,50,3
Contribution des mesures nouvelles en prélèvements obligatoires-0,30,0-0,5-0,10,00,0
Effort en dépense (y compris crédits d’impôt)0,11,30,80,50,50,3
Composante non discrétionnaire1,0-1,1-0,1-0,1-0,10,0


202220232024202520262027
Variation du solde structurel (ajustement structurel)0,90,20,30,30,30,3
Effort structurel-0,21,30,30,40,50,3
Contribution des mesures nouvelles en prélèvements obligatoires-0,30,0-0,5-0,10,00,0
Effort en dépense (y compris crédits d’impôt)0,11,30,80,50,50,3
Composante non discrétionnaire1,0-1,1-0,1-0,1-0,10,0


202220232024202520262027
Variation du solde structurel (ajustement structurel)0,90,20,30,30,30,3
Effort structurel-0,21,30,30,40,50,3
Contribution des mesures nouvelles en prélèvements obligatoires-0,30,0-0,5-0,10,00,0
Effort en dépense (y compris crédits d’impôt)0,11,30,80,50,50,3
Composante non discrétionnaire1,0-1,1-0,1-0,1-0,10,0


202220232024202520262027
Variation du solde structurel (ajustement structurel)1,00,10,50,40,30,2
Effort structurel-0,41,70,50,40,40,3
- Contribution des mesures nouvelles en prélèvements obligatoires-0,4-0,30,00,20,10,0
- Effort en dépense (y compris crédits d’impôt)0,02,10,50,20,30,3
Composante non discrétionnaire1,4-1,70,00,0-0,1-0,1


202220232024202520262027
Variation du solde structurel (ajustement structurel)1,00,10,50,40,30,2
Effort structurel-0,41,70,50,40,40,3
- Contribution des mesures nouvelles en prélèvements obligatoires-0,4-0,30,00,20,10,0
- Effort en dépense (y compris crédits d’impôt)0,02,10,50,20,30,3
Composante non discrétionnaire1,4-1,70,00,0-0,1-0,1


202220232024202520262027
Variation du solde structurel (ajustement structurel)1,00,10,50,40,30,2
Effort structurel-0,41,70,50,40,40,3
- Contribution des mesures nouvelles en prélèvements obligatoires-0,4-0,30,00,20,10,0
- Effort en dépense (y compris crédits d’impôt)0,02,10,50,20,30,3
Composante non discrétionnaire1,4-1,70,00,0-0,1-0,1


202220232024202520262027
Variation du solde structurel (ajustement structurel)1,00,10,50,40,30,2
Effort structurel-0,41,70,50,40,40,3
- Contribution des mesures nouvelles en prélèvements obligatoires-0,4-0,30,00,20,10,0
- Effort en dépense (y compris crédits d’impôt)0,02,10,50,20,30,3
Composante non discrétionnaire1,4-1,70,00,0-0,1-0,1


202220232024202520262027
Variation du solde structurel (ajustement structurel)1,00,10,50,40,30,2
Effort structurel-0,41,70,50,40,40,3
- Contribution des mesures nouvelles en prélèvements obligatoires-0,4-0,30,00,20,10,0
- Effort en dépense (y compris crédits d’impôt)0,02,10,50,20,30,3
Composante non discrétionnaire1,4-1,70,00,0-0,1-0,1


202220232024202520262027
Variation du solde structurel (ajustement structurel)1,00,10,50,40,30,2
Effort structurel-0,41,70,50,40,40,3
- Contribution des mesures nouvelles en prélèvements obligatoires-0,4-0,30,00,20,10,0
- Effort en dépense (y compris crédits d’impôt)0,02,10,50,20,30,3
Composante non discrétionnaire1,4-1,70,00,0-0,1-0,1




Tableau : Élasticité des prélèvements obligatoires 2022‑2027

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Élasticité des prélèvements obligatoires 2022‑2027

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Élasticité des prélèvements obligatoires 2022‑2027

Élasticité des prélèvements obligatoires 2022‑2027



202220232024202520262027
Elasticité des prélèvements obligatoires (hors UE)1,50,61,01,01,01,0


202220232024202520262027
Elasticité des prélèvements obligatoires (hors UE)1,50,61,01,01,01,0



202220232024202520262027
Élasticité des prélèvements obligatoires (hors UE)1,50,61,01,01,01,0


202220232024202520262027
Élasticité des prélèvements obligatoires (hors UE)1,60,61,11,01,01,0


202220232024202520262027
Élasticité des prélèvements obligatoires (hors UE)1,60,61,11,01,01,0


202220232024202520262027
Élasticité des prélèvements obligatoires (hors UE)1,60,61,11,01,01,0


202220232024202520262027
Élasticité des prélèvements obligatoires (hors UE)1,60,61,11,01,01,0


202220232024202520262027
Élasticité des prélèvements obligatoires (hors UE)1,60,61,11,01,01,0


202220232024202520262027
Élasticité des prélèvements obligatoires (hors UE)1,60,61,11,01,01,0




Tableau : Décomposition structurelle par sous‑secteur 2022‑2027

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Décomposition structurelle par sous‑secteur 2022‑2027

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Décomposition structurelle par sous‑secteur 2022‑2027

Décomposition structurelle par sous‑secteur 2022‑2027





2022

2023

2024

2025

2026

2027


Solde effectif

-5,0

-5,0

-4,5

-4,0

-3,4

-2,9

APU

Solde conjoncturel

-0,6

-0,8

-0,7

-0,5

-0,3

0,0


Solde structurel

-4,2

-4,0

-3,7

-3,4

-3,1

-2,8


Solde des one-offs

-0,1

-0,2

-0,1

-0,1

0,0

0,0


Solde effectif

-5,4

-5,6

-5,2

-4,7

-4,5

-4,3

APUC

Solde conjoncturel

-0,3

-0,4

-0,3

-0,2

-0,1

0,0


Solde structurel

-5,0

-5,0

-4,7

-4,3

-4,3

-4,3


Solde des one-offs

-0,1

-0,2

-0,1

-0,1

0,0

0,0


Solde effectif

0,0

-0,1

-0,1

0,0

0,2

0,5

APUL

Solde conjoncturel

-0,1

-0,1

-0,1

0,0

0,0

0,0


Solde structurel

0,0

0,0

0,0

0,0

0,2

0,5


Solde des one-offs

0,0

0,0

0,0

0,0

0,0

0,0


Solde effectif

0,5

0,8

0,8

0,7

0,8

1,0

ASSO

Solde conjoncturel

-0,2

-0,3

-0,3

-0,2

-0,1

0,0


Solde structurel

0,7

1,1

1,1

0,9

0,9

1,0


Solde des one-offs

0,0

0,0

0,0

0,0

0,0

0,0




2022

2023

2024

2025

2026

2027


Solde effectif

-5,0

-5,0

-4,5

-4,0

-3,4

-2,9

APU

Solde conjoncturel

-0,6

-0,8

-0,7

-0,5

-0,3

0,0


Solde structurel

-4,2

-4,0

-3,7

-3,4

-3,1

-2,8


Solde des one-offs

-0,1

-0,2

-0,1

-0,1

0,0

0,0


Solde effectif

-5,4

-5,6

-5,2

-4,7

-4,5

-4,3

APUC

Solde conjoncturel

-0,3

-0,4

-0,3

-0,2

-0,1

0,0


Solde structurel

-5,0

-5,0

-4,7

-4,3

-4,3

-4,3


Solde des one-offs

-0,1

-0,2

-0,1

-0,1

0,0

0,0


Solde effectif

0,0

-0,1

-0,1

0,0

0,2

0,5

APUL

Solde conjoncturel

-0,1

-0,1

-0,1

0,0

0,0

0,0


Solde structurel

0,0

0,0

0,0

0,0

0,2

0,5


Solde des one-offs

0,0

0,0

0,0

0,0

0,0

0,0


Solde effectif

0,5

0,8

0,8

0,7

0,8

1,0

ASSO

Solde conjoncturel

-0,2

-0,3

-0,3

-0,2

-0,1

0,0


Solde structurel

0,7

1,1

1,1

0,9

0,9

1,0


Solde des one-offs

0,0

0,0

0,0

0,0

0,0

0,0




2022

2023

2024

2025

2026

2027

APU

Solde effectif

-5,0

-5,0

-4,5

-4,0

-3,4

-2,9

Solde conjoncturel

-0,6

-0,8

-0,7

-0,5

-0,3

0,0

Solde structurel

-4,2

-4,0

-3,7

-3,4

-3,1

-2,8

Solde des one-offs

-0,1

-0,2

-0,1

-0,1

0,0

0,0

APUC

Solde effectif

-5,4

-5,6

-5,2

-4,7

-4,5

-4,3

Solde conjoncturel

-0,3

-0,4

-0,3

-0,2

-0,1

0,0

Solde structurel

-5,0

-5,0

-4,7

-4,3

-4,3

-4,3

Solde des one-offs

-0,1

-0,2

-0,1

-0,1

0,0

0,0

APUL

Solde effectif

0,0

-0,1

-0,1

0,0

0,2

0,5

Solde conjoncturel

-0,1

-0,1

-0,1

0,0

0,0

0,0

Solde structurel

0,0

0,0

0,0

0,0

0,2

0,5

Solde des one-offs

0,0

0,0

0,0

0,0

0,0

0,0

ASSO

Solde effectif

0,5

0,8

0,8

0,7

0,8

1,0

Solde conjoncturel

-0,2

-0,3

-0,3

-0,2

-0,1

0,0

Solde structurel

0,7

1,1

1,1

0,9

0,9

1,0

Solde des one-offs

0,0

0,0

0,0

0,0

0,0

0,0


202220232024202520262027
APUSolde effectif-4,8-4,9-4,4-3,7-3,2-2,7
Solde conjoncturel-0,5-0,7-0,6-0,4-0,20,0
Solde structurel-4,2-4,1-3,7-3,3-2,9-2,7
Solde des one-offs-0,1-0,1-0,1-0,10,00,0
APUCSolde effectif-5,4-5,4-4,7-4,3-4,2-4,1
Solde conjoncturel-0,3-0,4-0,3-0,2-0,10,0
Solde structurel-4,9-4,9-4,3-4,0-4,0-4,1
Solde des one-offs-0,1-0,1-0,1-0,10,00,0
APULSolde effectif0,0-0,3-0,3-0,20,20,4
Solde conjoncturel-0,1-0,1-0,10,00,00,0
Solde structurel0,1-0,2-0,2-0,10,20,4
Solde des one-offs0,00,00,00,00,00,0
ASSOSolde effectif0,40,70,60,70,91,0
Solde conjoncturel-0,2-0,3-0,3-0,2-0,10,0
Solde structurel0,61,00,80,90,91,0
Solde des one-offs0,00,00,00,00,00,0


202220232024202520262027
APUSolde effectif-4,8-4,9-4,4-3,7-3,2-2,7
Solde conjoncturel-0,5-0,7-0,6-0,4-0,20,0
Solde structurel-4,2-4,1-3,7-3,3-2,9-2,7
Solde des one-offs-0,1-0,1-0,1-0,10,00,0
APUCSolde effectif-5,2-5,4-4,7-4,3-4,2-4,1
Solde conjoncturel-0,3-0,4-0,3-0,2-0,10,0
Solde structurel-4,9-4,9-4,3-4,0-4,0-4,1
Solde des one-offs-0,1-0,1-0,1-0,10,00,0
APULSolde effectif0,0-0,3-0,3-0,20,20,4
Solde conjoncturel-0,1-0,1-0,10,00,00,0
Solde structurel0,1-0,2-0,2-0,10,20,4
Solde des one-offs0,00,00,00,00,00,0
ASSOSolde effectif0,40,70,60,70,91,0
Solde conjoncturel-0,2-0,3-0,3-0,2-0,10,0
Solde structurel0,61,00,80,90,91,0
Solde des one-offs0,00,00,00,00,00,0

Amdt  116


202220232024202520262027
APUSolde effectif-4,8-4,9-4,4-3,7-3,2-2,7
Solde conjoncturel-0,5-0,7-0,6-0,4-0,20,0
Solde structurel-4,2-4,1-3,7-3,3-2,9-2,7
Solde des one-offs-0,1-0,1-0,1-0,10,00,0
APUCSolde effectif-5,2-5,4-4,7-4,3-4,2-4,1
Solde conjoncturel-0,3-0,4-0,3-0,2-0,10,0
Solde structurel-4,9-4,9-4,3-4,0-4,0-4,1
Solde des one-offs-0,1-0,1-0,1-0,10,00,0
APULSolde effectif0,0-0,3-0,3-0,20,20,4
Solde conjoncturel-0,1-0,1-0,10,00,00,0
Solde structurel0,1-0,2-0,2-0,10,20,4
Solde des one-offs0,00,00,00,00,00,0
ASSOSolde effectif0,40,70,60,70,91,0
Solde conjoncturel-0,2-0,3-0,3-0,2-0,10,0
Solde structurel0,61,00,80,90,91,0
Solde des one-offs0,00,00,00,00,00,0


202220232024202520262027
APUSolde effectif-4,8-4,9-4,4-3,7-3,2-2,7
Solde conjoncturel-0,5-0,7-0,6-0,4-0,20,0
Solde structurel-4,2-4,1-3,7-3,3-2,9-2,7
Solde des one-offs-0,1-0,1-0,1-0,10,00,0
APUCSolde effectif-5,2-5,4-4,7-4,3-4,2-4,1
Solde conjoncturel-0,3-0,4-0,3-0,2-0,10,0
Solde structurel-4,9-4,9-4,3-4,0-4,0-4,1
Solde des one-offs-0,1-0,1-0,1-0,10,00,0
APULSolde effectif0,0-0,3-0,3-0,20,20,4
Solde conjoncturel-0,1-0,1-0,10,00,00,0
Solde structurel0,1-0,2-0,2-0,10,20,4
Solde des one-offs0,00,00,00,00,00,0
ASSOSolde effectif0,40,70,60,70,91,0
Solde conjoncturel-0,2-0,3-0,3-0,2-0,10,0
Solde structurel0,61,00,80,90,91,0
Solde des one-offs0,00,00,00,00,00,0


202220232024202520262027
APUSolde effectif-4,8-4,9-4,4-3,7-3,2-2,7
Solde conjoncturel-0,5-0,7-0,6-0,4-0,20,0
Solde structurel-4,2-4,1-3,7-3,3-2,9-2,7
Solde des one-offs-0,1-0,1-0,1-0,10,00,0
APUCSolde effectif-5,2-5,4-4,7-4,3-4,2-4,1
Solde conjoncturel-0,3-0,4-0,3-0,2-0,10,0
Solde structurel-4,9-4,9-4,3-4,0-4,0-4,1
Solde des one-offs-0,1-0,1-0,1-0,10,00,0
APULSolde effectif0,0-0,3-0,3-0,20,20,4
Solde conjoncturel-0,1-0,1-0,10,00,00,0
Solde structurel0,1-0,2-0,2-0,10,20,4
Solde des one-offs0,00,00,00,00,00,0
ASSOSolde effectif0,40,70,60,70,91,0
Solde conjoncturel-0,2-0,3-0,3-0,2-0,10,0
Solde structurel0,61,00,80,90,91,0
Solde des one-offs0,00,00,00,00,00,0


202220232024202520262027
APUSolde effectif-4,8-4,9-4,4-3,7-3,2-2,7
Solde conjoncturel-0,5-0,7-0,6-0,4-0,20,0
Solde structurel-4,2-4,1-3,7-3,3-2,9-2,7
Solde des one-offs-0,1-0,1-0,1-0,10,00,0
APUCSolde effectif-5,2-5,4-4,7-4,3-4,2-4,1
Solde conjoncturel-0,3-0,4-0,3-0,2-0,10,0
Solde structurel-4,9-4,9-4,3-4,0-4,0-4,1
Solde des one-offs-0,1-0,1-0,1-0,10,00,0
APULSolde effectif0,0-0,3-0,3-0,20,20,4
Solde conjoncturel-0,1-0,1-0,10,00,00,0
Solde structurel0,1-0,2-0,2-0,10,20,4
Solde des one-offs0,00,00,00,00,00,0
ASSOSolde effectif0,40,70,60,70,91,0
Solde conjoncturel-0,2-0,3-0,3-0,2-0,10,0
Solde structurel0,61,00,80,90,91,0
Solde des one-offs0,00,00,00,00,00,0




Tableau : Effort structurel par sous‑secteur 2022‑2027

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Effort structurel par sous‑secteur 2022‑2027

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Effort structurel par sous‑secteur 2022‑2027

Effort structurel par sous‑secteur 2022‑2027





2022

2023

2024

2025

2026

2027


Variation du solde structurel

0,9

0,2

0,3

0,3

0,3

0,3

APU

Dont effort structurel

-0,2

1,3

0,3

0,4

0,5

0,3


Effort en recettes

-0,3

0,0

-0,5

-0,1

0,0

0,0


Effort en dépense

0,1

1,3

0,8

0,5

0,5

0,3


Variation du solde structurel

0,1

-0,1

0,3

0,4

0,1

0,0

APUC

Dont effort structurel

-0,4

0,7

0,0

0,4

0,1

-0,1


Effort en recettes

-0,2

0,0

-0,7

-0,1

0,0

0,0


Effort en dépense

-0,1

0,8

0,7

0,5

0,1

-0,1


Variation du solde structurel

-0,1

-0,1

0,0

0,0

0,2

0,2

APUL

Dont effort structurel

-0,1

0,1

0,1

0,1

0,3

0,3


Effort en recettes

0,0

0,0

0,0

0,0

0,0

0,0


Effort en dépense

-0,1

0,1

0,1

0,1

0,3

0,2


Variation du solde structurel

0,9

0,4

0,0

-0,1

0,0

0,0

ASSO

Dont effort structurel

0,3

0,4

0,3

0,0

0,1

0,1


Effort en recettes

0,0

0,0

0,2

0,0

0,0

0,0


Effort en dépense

0,3

0,4

0,1

0,0

0,1

0,1




2022

2023

2024

2025

2026

2027


Variation du solde structurel

0,9

0,2

0,3

0,3

0,3

0,3

APU

Dont effort structurel

-0,2

1,3

0,3

0,4

0,5

0,3


Effort en recettes

-0,3

0,0

-0,5

-0,1

0,0

0,0


Effort en dépense

0,1

1,3

0,8

0,5

0,5

0,3


Variation du solde structurel

0,1

-0,1

0,3

0,4

0,1

0,0

APUC

Dont effort structurel

-0,4

0,7

0,0

0,4

0,1

-0,1


Effort en recettes

-0,2

0,0

-0,7

-0,1

0,0

0,0


Effort en dépense

-0,1

0,8

0,7

0,5

0,1

-0,1


Variation du solde structurel

-0,1

-0,1

0,0

0,0

0,2

0,2

APUL

Dont effort structurel

-0,1

0,1

0,1

0,1

0,3

0,3


Effort en recettes

0,0

0,0

0,0

0,0

0,0

0,0


Effort en dépense

-0,1

0,1

0,1

0,1

0,3

0,2


Variation du solde structurel

0,9

0,4

0,0

-0,1

0,0

0,0

ASSO

Dont effort structurel

0,3

0,4

0,3

0,0

0,1

0,1


Effort en recettes

0,0

0,0

0,2

0,0

0,0

0,0


Effort en dépense

0,3

0,4

0,1

0,0

0,1

0,1




2022

2023

2024

2025

2026

2027

APU

Variation du solde structurel

0,9

0,2

0,3

0,3

0,3

0,3

Dont effort structurel

-0,2

1,3

0,3

0,4

0,5

0,3

Effort en recettes

-0,3

0,0

-0,5

-0,1

0,0

0,0

Effort en dépense

0,1

1,3

0,8

0,5

0,5

0,3

APUC

Variation du solde structurel

0,1

-0,1

0,3

0,4

0,1

0,0

Dont effort structurel

-0,4

0,7

0,0

0,4

0,1

-0,1

Effort en recettes

-0,2

0,0

-0,7

-0,1

0,0

0,0

Effort en dépense

-0,1

0,8

0,7

0,5

0,1

-0,1

APUL

Variation du solde structurel

-0,1

-0,1

0,0

0,0

0,2

0,2

Dont effort structurel

-0,1

0,1

0,1

0,1

0,3

0,3

Effort en recettes

0,0

0,0

0,0

0,0

0,0

0,0

Effort en dépense

-0,1

0,1

0,1

0,1

0,3

0,2

ASSO

Variation du solde structurel

0,9

0,4

0,0

-0,1

0,0

0,0

Dont effort structurel

0,3

0,4

0,3

0,0

0,1

0,1

Effort en recettes

0,0

0,0

0,2

0,0

0,0

0,0

Effort en dépense

0,3

0,4

0,1

0,0

0,1

0,1


202220232024202520262027
APUVariation du solde structurel1,00,10,50,40,30,2
Dont effort structurel-0,41,70,50,40,40,3
Effort en recettes-0,4-0,30,00,20,10,0
Effort en dépense0,02,10,50,20,30,3
APUCVariation du solde structurel0,2-0,10,60,30,0-0,1
Dont effort structurel-0,50,90,40,1-0,1-0,1
Effort en recettes-0,4-0,3-0,10,20,0-0,1
Effort en dépense-0,21,20,5-0,2-0,10,0
APULVariation du solde structurel0,0-0,30,00,10,30,2
Dont effort structurel-0,10,20,10,10,30,2
Effort en recettes0,00,00,00,00,00,0
Effort en dépense-0,10,10,00,10,30,2
ASSOVariation du solde structurel0,80,4-0,20,10,00,1
Dont effort structurel0,30,70,00,20,10,1
Effort en recettes0,00,00,10,00,00,0
Effort en dépense0,30,7-0,10,20,10,1


202220232024202520262027
APUVariation du solde structurel1,00,10,50,40,30,2
Dont effort structurel-0,41,70,50,40,40,3
Effort en recettes-0,4-0,30,00,20,10,0
Effort en dépense0,02,10,50,20,30,3
APUCVariation du solde structurel0,2-0,10,60,30,0-0,1
Dont effort structurel-0,50,90,40,1-0,1-0,1
Effort en recettes-0,4-0,3-0,10,20,0-0,1
Effort en dépense-0,21,20,5-0,2-0,10,0
APULVariation du solde structurel0,0-0,30,00,10,30,2
Dont effort structurel-0,10,20,10,10,30,2
Effort en recettes0,00,00,00,00,00,0
Effort en dépense-0,10,10,00,10,30,2
ASSOVariation du solde structurel0,80,4-0,20,10,00,1
Dont effort structurel0,30,70,00,20,10,1
Effort en recettes0,00,00,10,00,00,0
Effort en dépense0,30,7-0,10,20,10,1


202220232024202520262027
APUVariation du solde structurel1,00,10,50,40,30,2
Dont effort structurel-0,41,70,50,40,40,3
Effort en recettes-0,4-0,30,00,20,10,0
Effort en dépense0,02,10,50,20,30,3
APUCVariation du solde structurel0,2-0,10,60,30,0-0,1
Dont effort structurel-0,50,90,40,1-0,1-0,1
Effort en recettes-0,4-0,3-0,10,20,0-0,1
Effort en dépense-0,21,20,5-0,2-0,10,0
APULVariation du solde structurel0,0-0,30,00,10,30,2
Dont effort structurel-0,10,20,10,10,30,2
Effort en recettes0,00,00,00,00,00,0
Effort en dépense-0,10,10,00,10,30,2
ASSOVariation du solde structurel0,80,4-0,20,10,00,1
Dont effort structurel0,30,70,00,20,10,1
Effort en recettes0,00,00,10,00,00,0
Effort en dépense0,30,7-0,10,20,10,1


202220232024202520262027
APUVariation du solde structurel1,00,10,50,40,30,2
Dont effort structurel-0,41,70,50,40,40,3
Effort en recettes-0,4-0,30,00,20,10,0
Effort en dépense0,02,10,50,20,30,3
APUCVariation du solde structurel0,2-0,10,60,30,0-0,1
Dont effort structurel-0,50,90,40,1-0,1-0,1
Effort en recettes-0,4-0,3-0,10,20,0-0,1
Effort en dépense-0,21,20,5-0,2-0,10,0
APULVariation du solde structurel0,0-0,30,00,10,30,2
Dont effort structurel-0,10,20,10,10,30,2
Effort en recettes0,00,00,00,00,00,0
Effort en dépense-0,10,10,00,10,30,2
ASSOVariation du solde structurel0,80,4-0,20,10,00,1
Dont effort structurel0,30,70,00,20,10,1
Effort en recettes0,00,00,10,00,00,0
Effort en dépense0,30,7-0,10,20,10,1


202220232024202520262027
APUVariation du solde structurel1,00,10,50,40,30,2
Dont effort structurel-0,41,70,50,40,40,3
Effort en recettes-0,4-0,30,00,20,10,0
Effort en dépense0,02,10,50,20,30,3
APUCVariation du solde structurel0,2-0,10,60,30,0-0,1
Dont effort structurel-0,50,90,40,1-0,1-0,1
Effort en recettes-0,4-0,3-0,10,20,0-0,1
Effort en dépense-0,21,20,5-0,2-0,10,0
APULVariation du solde structurel0,0-0,30,00,10,30,2
Dont effort structurel-0,10,20,10,10,30,2
Effort en recettes0,00,00,00,00,00,0
Effort en dépense-0,10,10,00,10,30,2
ASSOVariation du solde structurel0,80,4-0,20,10,00,1
Dont effort structurel0,30,70,00,20,10,1
Effort en recettes0,00,00,10,00,00,0
Effort en dépense0,30,7-0,10,20,10,1


202220232024202520262027
APUVariation du solde structurel1,00,10,50,40,30,2
Dont effort structurel-0,41,70,50,40,40,3
Effort en recettes-0,4-0,30,00,20,10,0
Effort en dépense0,02,10,50,20,30,3
APUCVariation du solde structurel0,2-0,10,60,30,0-0,1
Dont effort structurel-0,50,90,40,1-0,1-0,1
Effort en recettes-0,4-0,3-0,10,20,0-0,1
Effort en dépense-0,21,20,5-0,2-0,10,0
APULVariation du solde structurel0,0-0,30,00,10,30,2
Dont effort structurel-0,10,20,10,10,30,2
Effort en recettes0,00,00,00,00,00,0
Effort en dépense-0,10,10,00,10,30,2
ASSOVariation du solde structurel0,80,4-0,20,10,00,1
Dont effort structurel0,30,70,00,20,10,1
Effort en recettes0,00,00,10,00,00,0
Effort en dépense0,30,7-0,10,20,10,1




2. Le ratio de dette des administrations publiques amorcera sa décrue en 2026

2. (Alinéa sans modification)

2. (Alinéa sans modification)

2. Le ratio de dette des administrations publiques amorcera sa décrue en 2025

2. (Alinéa sans modification)

2. (Alinéa sans modification)

2. (Alinéa sans modification)

2. Le ratio de dette des administrations publiques amorcera sa décrue en 2025

2. Le ratio de dette des administrations publiques amorcera sa décrue en 2025



L’effort de maîtrise des dépenses publiques, objectif nécessaire une fois la crise sanitaire passée et le contexte macro‑économique stabilisé, permettra la réduction du ratio de dette publique à partir de 2026, tout en laissant au Gouvernement des marges de manœuvre pour poursuivre la mise en œuvre de la baisse des prélèvements obligatoires.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

L’effort de maîtrise des dépenses publiques, objectif nécessaire une fois la crise sanitaire passée et le contexte macro‑économique stabilisé, permettra la réduction du ratio de dette publique à partir de 2025, tout en laissant au Gouvernement des marges de manœuvre pour consolider la baisse de fiscalité engagée sous le mandat précédent et depuis le début du mandat actuel.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

L’effort de maîtrise des dépenses publiques, objectif nécessaire une fois la crise sanitaire passée et le contexte macroéconomique stabilisé, permettra la réduction du ratio de dette publique à partir de 2025, tout en laissant au Gouvernement des marges de manœuvre pour consolider la baisse de fiscalité engagée sous le mandat précédent et depuis le début du mandat actuel.

L’effort de maîtrise des dépenses publiques, objectif nécessaire une fois la crise sanitaire passée et le contexte macroéconomique stabilisé, permettra la réduction du ratio de dette publique à partir de 2025, tout en laissant au Gouvernement des marges de manœuvre pour consolider la baisse de fiscalité engagée sous le mandat précédent et depuis le début du mandat actuel.

L’effort de maîtrise des dépenses publiques, objectif nécessaire une fois la crise sanitaire passée et le contexte macroéconomique stabilisé, permettra la réduction du ratio de dette publique à partir de 2025, tout en laissant au Gouvernement des marges de manœuvre pour consolider la baisse de fiscalité engagée sous le mandat précédent et depuis le début du mandat actuel.



En 2021, le ratio d’endettement s’inscrirait à 112,8 % du PIB selon les chiffres publiés par l’Insee le 31 août 2022. Il connaitrait une première baisse en 2022 et 2023 (à 111,5 % puis 111,2 % respectivement), en raison notamment de la vigueur de la croissance nominale en 2022 et sous l’effet des flux de créances venant réduire le ratio.

(Alinéa sans modification)

En 2021, le ratio d’endettement s’inscrirait à 112,8 % du PIB selon les chiffres publiés par l’Insee le 31 août 2022. Il connaîtrait une première baisse en 2022 et 2023 (à 111,5 % puis 111,2 % respectivement), en raison notamment de la vigueur de la croissance nominale en 2022 et sous l’effet des flux de créances venant réduire le ratio.

En 2021, le ratio d’endettement s’inscrirait à 112,9 % selon les chiffres publiés par l’Insee le 31 août 2023. Il connaîtrait une première baisse en 2022 et 2023 (respectivement à 111,8 % puis 109,7 %), en raison notamment de la vigueur de la croissance nominale en 2022 et 2023.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

En 2021, le ratio d’endettement s’inscrirait à 112,9 % selon les chiffres publiés par l’INSEE le 31 août 2023. Il connaîtrait une première baisse en 2022 et 2023 (respectivement à 111,8 % puis à 109,7 %), en raison notamment de la vigueur de la croissance nominale en 2022 et 2023.

En 2021, le ratio d’endettement s’inscrirait à 112,9 % selon les chiffres publiés par l’INSEE le 31 août 2023. Il connaîtrait une première baisse en 2022 et 2023 (respectivement à 111,8 % puis à 109,7 %), en raison notamment de la vigueur de la croissance nominale en 2022 et 2023.



Il recommencerait à croitre légèrement en 2024 et 2025, année où il atteindrait 111,7 % du PIB, puis amorcerait sa décrue pour s’établir à 110,9 % en 2027. Cette trajectoire s’explique principalement par l’écart du solde public à son niveau stabilisant le ratio de dette. En effet, compte tenu le scénario de croissance de moyen terme, le solde stabilisant le ratio de dette se situerait à compter de 2024 entre ‑4,4 % et ‑3,6 % du PIB : ainsi, en 2024 et 2025, le ratio de dette continuerait d’augmenter car le solde public se situerait encore en‑dessous de ce niveau, toutes choses égales par ailleurs s’agissant des flux de créances. En 2026 et 2027 en revanche, le solde public dépasserait le niveau stabilisant le ratio de dette et ce dernier commencerait donc à refluer. Les flux de créances contribueraient marginalement à la hausse de la dette à moyen terme, en raison de l’étalement des primes à l’émission passées.

(Alinéa sans modification)

Il recommencerait à croître légèrement en 2024 et 2025, année où il atteindrait 111,7 % du PIB, puis amorcerait sa décrue pour s’établir à 110,9 % en 2027. Cette trajectoire s’explique principalement par l’écart du solde public à son niveau stabilisant le ratio de dette. En effet, compte tenu le scénario de croissance de moyen terme, le solde stabilisant le ratio de dette se situerait à compter de 2024 entre ‑4,4 % et ‑3,6 % du PIB : ainsi, en 2024 et 2025, le ratio de dette continuerait d’augmenter car le solde public se situerait encore en dessous de ce niveau, toutes choses égales par ailleurs s’agissant des flux de créances. En 2026 et 2027 en revanche, le solde public dépasserait le niveau stabilisant le ratio de dette et ce dernier commencerait donc à refluer. Les flux de créances contribueraient marginalement à la hausse de la dette à moyen terme, en raison de l’étalement des primes à l’émission passées.

Il serait stable en 2024, puis poursuivrait sa décrue dès 2025 pour s’établir à 108,1 % en 2027. Cette trajectoire s’explique principalement par l’écart du solde public à son niveau stabilisant le ratio de dette. En effet, compte tenu du scénario de croissance de moyen terme, le solde stabilisant le ratio de dette se situerait à compter de 2025 entre – 3,8 % et ‑3,6 % du PIB. Ainsi, à partir de 2025, le solde public dépasserait le niveau stabilisant le ratio de dette chaque année et ce dernier commencerait donc à refluer. Les flux de créances contribueraient marginalement à la baisse de la dette à moyen terme, en raison notamment du décalage comptable sur les recettes issues du financement européen du plan relance.

Il serait stable en 2024, puis poursuivrait sa décrue dès 2025 pour s’établir à 108,1 % en 2027. Cette trajectoire s’explique principalement par l’écart du solde public à son niveau stabilisant le ratio de dette. En effet, compte tenu du scénario de croissance de moyen terme, le solde stabilisant le ratio de dette se situerait à compter de 2025 entre ‑3,8 % et ‑3,6 % du PIB. Ainsi, à partir de 2025, le solde public dépasserait le niveau stabilisant le ratio de dette chaque année et ce dernier commencerait donc à refluer. Les flux de créances contribueraient marginalement à la baisse de la dette à moyen terme, en raison notamment du décalage comptable sur les recettes issues du financement européen du plan relance.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Il serait stable en 2024, puis poursuivrait sa décrue dès 2025 pour s’établir à 108,1 % en 2027. Cette trajectoire s’explique principalement par l’écart du solde public à son niveau stabilisant le ratio de dette. En effet, compte tenu du scénario de croissance de moyen terme, le solde stabilisant le ratio de dette se situerait à compter de 2025 entre ‑3,8 % et ‑3,6 % du PIB. Ainsi, à partir de 2025, le solde public dépasserait le niveau stabilisant le ratio de dette chaque année et ce dernier commencerait donc à refluer. Les flux de créances contribueraient marginalement à la baisse de la dette à moyen terme, en raison notamment du décalage comptable sur les recettes issues du financement européen du plan relance.

Il serait stable en 2024, puis poursuivrait sa décrue dès 2025 pour s’établir à 108,1 % en 2027. Cette trajectoire s’explique principalement par l’écart du solde public à son niveau stabilisant le ratio de dette. En effet, compte tenu du scénario de croissance de moyen terme, le solde stabilisant le ratio de dette se situerait à compter de 2025 entre ‑3,8 % et ‑3,6 % du PIB. Ainsi, à partir de 2025, le solde public dépasserait le niveau stabilisant le ratio de dette chaque année et ce dernier commencerait donc à refluer. Les flux de créances contribueraient marginalement à la baisse de la dette à moyen terme, en raison notamment du décalage comptable sur les recettes issues du financement européen du plan relance.



Tableau : Dette par sous‑secteur 2021‑2027

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Dette par sous‑secteur 2021‑2027

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Dette par sous‑secteur 2021‑2027

Dette par sous‑secteur 2021‑2027



2021202220232024202520262027
Dette publique (en points de PIB)112,8111,5111,2111,3111,7111,6110,9
Contribution des APUC92,092,293,294,696,397,899,0
Contribution des APUL9,89,49,18,98,68,17,4
Contribution des ASSO11,09,98,97,76,75,74,5


2021202220232024202520262027
Dette publique (en points de PIB)112,8111,5111,2111,3111,7111,6110,9
Contribution des APUC92,092,293,294,696,397,899,0
Contribution des APUL9,89,49,18,98,68,17,4
Contribution des ASSO11,09,98,97,76,75,74,5


2021202220232024202520262027
Dette publique (en points de PIB)112,8111,5111,2111,3111,7111,6110,9
Contribution des APUC92,092,293,294,696,397,899,0
Contribution des APUL9,89,49,18,98,68,17,4
Contribution des ASSO11,09,98,97,76,75,74,5


(En points de PIB)
202220232024202520262027
Dette publique111,8109,7109,7109,6109,1108,1
- contribution des APUC92,291,692,493,594,595,4
- contribution des APUL9,39,08,98,88,37,6
- contribution des ASSO10,29,18,47,46,35,1


(En points de PIB)
202220232024202520262027
Dette publique111,8109,7109,7109,6109,1108,1
- contribution des APUC92,291,692,493,594,595,4
- contribution des APUL9,39,08,98,88,37,6
- contribution des ASSO10,29,18,47,46,35,1


(En points de PIB)
202220232024202520262027
Dette publique111,8109,7109,7109,6109,1108,1
- contribution des APUC92,291,692,493,594,595,4
- contribution des APUL9,39,08,98,88,37,6
- contribution des ASSO10,29,18,47,46,35,1


(En points de PIB)
202220232024202520262027
Dette publique111,8109,7109,7109,6109,1108,1
- contribution des APUC92,291,692,493,594,595,4
- contribution des APUL9,39,08,98,88,37,6
- contribution des ASSO10,29,18,47,46,35,1


(En points de PIB)
202220232024202520262027
Dette publique111,8109,7109,7109,6109,1108,1
- contribution des APUC92,291,692,493,594,595,4
- contribution des APUL9,39,08,98,88,37,6
- contribution des ASSO10,29,18,47,46,35,1


(En points de PIB)
202220232024202520262027
Dette publique111,8109,7109,7109,6109,1108,1
- contribution des APUC92,291,692,493,594,595,4
- contribution des APUL9,39,08,98,88,37,6
- contribution des ASSO10,29,18,47,46,35,1




Tableau : écart au solde stabilisant, flux de créances et variation du ratio d’endettement

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Écart au solde stabilisant, flux de créances et variation du ratio d’endettement

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Écart au solde stabilisant, flux de créances et variation du ratio d’endettement

Écart au solde stabilisant, flux de créances et variation du ratio d’endettement



202220232024202520262027
Variation du ratio d’endettement (1 + 2)-1,4-0,30,10,4-0,1-0,7
Ecart au solde stabilisant (1) = (a -b)-1,10,10,10,2-0,1-0,8
Solde stabilisant la dette (a)-6,0-4,9-4,4-3,8-3,6-3,7
Pm. Croissance nominale5,64,64,13,53,33,4
Solde public au sens de Maastricht (b)-5,0-5,0-4,5-4,0-3,4-2,9
Flux de créances (2)-0,3-0,40,00,20,10,1


202220232024202520262027
Variation du ratio d’endettement (1 + 2)-1,4-0,30,10,4-0,1-0,7
Ecart au solde stabilisant (1) = (a -b)-1,10,10,10,2-0,1-0,8
Solde stabilisant la dette (a)-6,0-4,9-4,4-3,8-3,6-3,7
Pm. Croissance nominale5,64,64,13,53,33,4
Solde public au sens de Maastricht (b)-5,0-5,0-4,5-4,0-3,4-2,9
Flux de créances (2)-0,3-0,40,00,20,10,1


202220232024202520262027
Variation du ratio d’endettement (1 + 2)-1,4-0,30,10,4-0,1-0,7
Écart au solde stabilisant (1) = (a -b)-1,10,10,10,2-0,1-0,8
Solde stabilisant la dette (a)-6,0-4,9-4,4-3,8-3,6-3,7
Pm. Croissance nominale5,64,64,13,53,33,4
Solde public au sens de Maastricht (b)-5,0-5,0-4,5-4,0-3,4-2,9
Flux de créances (2)-0,3-0,40,00,20,10,1


202220232024202520262027
Variation du ratio d’endettement (1 + 2)-1,1-2,10,1-0,1-0,6-1,0
Écart au solde stabilisant (1) = (a - b)-1,1-2,20,20,0-0,4-0,9
- Solde stabilisant la dette (a)-5,9-7,1-4,2-3,8-3,5-3,6
- Pm. croissance nominale5,56,84,03,63,33,4
Solde public au sens de Maastricht (b)-4,8-4,9-4,4-3,7-3,2-2,7
Flux de créances (2)0,00,1-0,10,0-0,2-0,1


202220232024202520262027
Variation du ratio d’endettement (1 + 2)-1,1-2,10,1-0,1-0,6-1,0
Écart au solde stabilisant (1 = a - b)-1,1-2,20,20,0-0,4-0,9
- Solde stabilisant la dette (a)-5,9-7,1-4,2-3,8-3,5-3,6
- Pm. croissance nominale5,56,84,03,63,33,4
Solde public au sens de Maastricht (b)-4,8-4,9-4,4-3,7-3,2-2,7
Flux de créances (2)0,00,1-0,10,0-0,2-0,1


202220232024202520262027
Variation du ratio d’endettement (1 + 2)-1,1-2,10,1-0,1-0,6-1,0
Écart au solde stabilisant (1 = a - b)-1,1-2,20,20,0-0,4-0,9
- Solde stabilisant la dette (a)-5,9-7,1-4,2-3,8-3,5-3,6
- Pm. croissance nominale5,56,84,03,63,33,4
Solde public au sens de Maastricht (b)-4,8-4,9-4,4-3,7-3,2-2,7
Flux de créances (2)0,00,1-0,10,0-0,2-0,1


202220232024202520262027
Variation du ratio d’endettement (1 + 2)-1,1-2,10,1-0,1-0,6-1,0
Écart au solde stabilisant (1 = a - b)-1,1-2,20,20,0-0,4-0,9
- Solde stabilisant la dette (a)-5,9-7,1-4,2-3,8-3,5-3,6
- Pm. croissance nominale5,56,84,03,63,33,4
Solde public au sens de Maastricht (b)-4,8-4,9-4,4-3,7-3,2-2,7
Flux de créances (2)0,00,1-0,10,0-0,2-0,1


202220232024202520262027
Variation du ratio d’endettement (1 + 2)-1,1-2,10,1-0,1-0,6-1,0
Écart au solde stabilisant (1 = a - b)-1,1-2,20,20,0-0,4-0,9
- Solde stabilisant la dette (a)-5,9-7,1-4,2-3,8-3,5-3,6
- Pm. croissance nominale5,56,84,03,63,33,4
Solde public au sens de Maastricht (b)-4,8-4,9-4,4-3,7-3,2-2,7
Flux de créances (2)0,00,1-0,10,0-0,2-0,1


202220232024202520262027
Variation du ratio d’endettement (1 + 2)-1,1-2,10,1-0,1-0,6-1,0
Écart au solde stabilisant (1 = a - b)-1,1-2,20,20,0-0,4-0,9
- Solde stabilisant la dette (a)-5,9-7,1-4,2-3,8-3,5-3,6
- Pm. croissance nominale5,56,84,03,63,33,4
Solde public au sens de Maastricht (b)-4,8-4,9-4,4-3,7-3,2-2,7
Flux de créances (2)0,00,1-0,10,0-0,2-0,1




Tableau : Charge d’intérêts et solde primaire 2022‑2027

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Charge d’intérêts et solde primaire 2022‑2027

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Charge d’intérêts et solde primaire 2022‑2027

Charge d’intérêts et solde primaire 2022‑2027



202220232024202520262027
Solde public-5,0-5,0-4,5-4,0-3,4-2,9
Charge d’intérêt1,81,61,81,92,02,1
Solde primaire-3,2-3,4-2,7-2,1-1,5-0,8


202220232024202520262027
Solde public-5,0-5,0-4,5-4,0-3,4-2,9
Charge d’intérêt1,81,61,81,92,02,1
Solde primaire-3,2-3,4-2,7-2,1-1,5-0,8


202220232024202520262027
Solde public-5,0-5,0-4,5-4,0-3,4-2,9
Charge d’intérêt1,81,61,81,92,02,1
Solde primaire-3,2-3,4-2,7-2,1-1,5-0,8


202220232024202520262027
Solde public-4,8-4,9-4,4-3,7-3,2-2,7
Charge d’intérêt1,91,71,92,22,42,6
Solde primaire-2,9-3,3-2,4-1,6-0,8-0,1


202220232024202520262027
Solde public-4,8-4,9-4,4-3,7-3,2-2,7
Charge d’intérêt1,91,71,92,22,42,6
Solde primaire-2,9-3,3-2,4-1,6-0,8-0,1


202220232024202520262027
Solde public-4,8-4,9-4,4-3,7-3,2-2,7
Charge d’intérêt1,91,71,92,22,42,6
Solde primaire-2,9-3,3-2,4-1,6-0,8-0,1


202220232024202520262027
Solde public-4,8-4,9-4,4-3,7-3,2-2,7
Charge d’intérêt1,91,71,92,22,42,6
Solde primaire-2,9-3,3-2,4-1,6-0,8-0,1


202220232024202520262027
Solde public-4,8-4,9-4,4-3,7-3,2-2,7
Charge d’intérêt1,91,71,92,22,42,6
Solde primaire-2,9-3,3-2,4-1,6-0,8-0,1


202220232024202520262027
Solde public-4,8-4,9-4,4-3,7-3,2-2,7
Charge d’intérêt1,91,71,92,22,42,6
Solde primaire-2,9-3,3-2,4-1,6-0,8-0,1







Engagements contingents

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Engagements contingents

Engagements contingents






20212022
Dette garantie par l’État (en % du PIB)12,811,4


(En % du PIB)
20212022
Dette garantie par l’État12,811,4


(En % du PIB)
20212022
Dette garantie par l’État12,811,4


(En % du PIB)
20212022
Dette garantie par l’État12,811,4


(En % du PIB)
20212022
Dette garantie par l’État12,811,4


(En % du PIB)
20212022
Dette garantie par l’État12,811,4




Encadré : Scénario de taux et choc de taux

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Scénario de taux et choc de taux

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Scénario de taux et choc de taux

Scénario de taux et choc de taux



La forte hausse des inflations (France et zone euro) déjà constatée depuis début 2022, ainsi que le début de la normalisation de la politique monétaire de la Banque centrale européenne, ont entraîné une accélération de la remontée des taux.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Le choc d’inflation observé en 2022 a provoqué une normalisation accélérée de la politique monétaire de la Banque centrale européenne (BCE), entraînant une rapide remontée des taux.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Le choc d’inflation observé en 2022 a provoqué une normalisation accélérée de la politique monétaire de la Banque centrale européenne (BCE), entraînant une rapide remontée des taux.

Le choc d’inflation observé en 2022 a provoqué une normalisation accélérée de la politique monétaire de la Banque centrale européenne (BCE), entraînant une rapide remontée des taux.



Le profil de taux sous‑jacent à la prévision de charge de la dette repose d’une part sur l’hypothèse d’une poursuite de la hausse des taux directeurs de la BCE engagée en juillet puis en septembre 2022, en cohérence avec la mission de la BCE de maintien de la stabilité des prix, et d’autre part sur les autres hypothèses macroéconomiques retenues dans la LPFP.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Le profil de taux sous‑jacent à la prévision de charge de la dette repose, d’une part, sur l’hypothèse, correspondant aux anticipations de marché actuelles, d’une légère détente des taux directeurs de la BCE courant 2024, puis d’une stabilisation à un niveau cohérent avec les autres hypothèses macroéconomiques retenues dans la LPFP.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Le profil de taux sous‑jacent à la prévision de charge de la dette repose, d’une part, sur l’hypothèse, correspondant aux anticipations de marché actuelles, d’une légère détente des taux directeurs de la BCE courant 2024, puis d’une stabilisation à un niveau cohérent avec les autres hypothèses macroéconomiques retenues dans la présente loi de programmation.

Le profil de taux sous‑jacent à la prévision de charge de la dette repose, d’une part, sur l’hypothèse, correspondant aux anticipations de marché actuelles, d’une légère détente des taux directeurs de la BCE courant 2024, puis d’une stabilisation à un niveau cohérent avec les autres hypothèses macroéconomiques retenues dans la présente loi de programmation.



Le scénario retenu pour la fin 2022 et pour 2023 retient l’hypothèse d’une remontée des taux longs : le taux à 10 ans s’élèverait alors à 2,50 % fin 2022 et à 2,60 % fin 2023. Les taux à 10 ans convergeraient à moyen terme vers 3 %. S’agissant des taux courts, le taux à 3 mois serait à 1,20 % fin 2022 et 2,10 % fin 2023.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Le scénario retenu pour la fin 2023 et pour 2024 retient l’hypothèse d’une stabilité globale des taux longs dans ce contexte, qui augmenteraient cependant légèrement sous l’effet de la politique de resserrement quantitatif (baisse des achats voire ventes de titres) de la BCE : le taux à 10 ans s’élèverait alors à 3,40 % fin 2023 et à 3,50 % fin 2024 puis à 3,60% à partir de fin 2025. S’agissant des taux courts, le taux à 3 mois qui atteindrait 3,90 % fin 2023 baisserait à 3,50 % fin 2024, puis se maintiendrait à ce niveau.

Le scénario retenu pour la fin 2023 et pour 2024 retient l’hypothèse d’une stabilité globale des taux longs dans ce contexte, qui augmenteraient cependant légèrement sous l’effet de la politique de resserrement quantitatif (baisse des achats voire ventes de titres) de la BCE : le taux à 10 ans s’élèverait alors à 3,40 % fin 2023 et à 3,50 % fin 2024 puis à 3,60 % à partir de fin 2025. S’agissant des taux courts, le taux à 3 mois qui atteindrait 3,90 % fin 2023 baisserait à 3,50 % fin 2024, puis se maintiendrait à ce niveau.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Le scénario retenu pour la fin 2023 et pour 2024 retient dans ce contexte l’hypothèse d’une stabilité globale des taux longs, qui augmenteraient cependant légèrement sous l’effet de la politique de resserrement quantitatif (baisse des achats voire ventes de titres) de la BCE : le taux à 10 ans s’élèverait alors à 3,40 % fin 2023 et à 3,50 % fin 2024 puis à 3,60 % à partir de fin 2025. S’agissant des taux courts, le taux à 3 mois qui atteindrait 3,90 % fin 2023 baisserait à 3,50 % fin 2024, puis se maintiendrait à ce niveau.

Le scénario retenu pour la fin 2023 et pour 2024 retient dans ce contexte l’hypothèse d’une stabilité globale des taux longs, qui augmenteraient cependant légèrement sous l’effet de la politique de resserrement quantitatif (baisse des achats voire ventes de titres) de la BCE : le taux à 10 ans s’élèverait alors à 3,40 % fin 2023 et à 3,50 % fin 2024 puis à 3,60 % à partir de fin 2025. S’agissant des taux courts, le taux à 3 mois qui atteindrait 3,90 % fin 2023 baisserait à 3,50 % fin 2024, puis se maintiendrait à ce niveau.



Tableau : Hypothèses de taux en fin d’année

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Hypothèses de taux en fin d’année

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Hypothèses de taux en fin d’année

Hypothèses de taux en fin d’année



Niveaux en fin d’année (hypothèses)202220232024202520262027

Taux courts

(BTF 3 mois)

1,20 %2,10 %2,30 %2,40 %2,50 %2,60 %

Taux longs

(OAT à 10 ans)

2,50 %2,60 %2,70 %2,80 %2,90 %3,00 %


Niveaux en fin d’année (hypothèses)202220232024202520262027

Taux courts

(BTF 3 mois)

1,20 %2,10 %2,30 %2,40 %2,50 %2,60 %

Taux longs

(OAT à 10 ans)

2,50 %2,60 %2,70 %2,80 %2,90 %3,00 %


Niveaux en fin d’année (hypothèses)202220232024202520262027

Taux courts

(BTF 3 mois)

1,20 %2,10 %2,30 %2,40 %2,50 %2,60 %

Taux longs

(OAT à 10 ans)

2,50 %2,60 %2,70 %2,80 %2,90 %3,00 %



20232024202520262027

Taux courts

(BTF 3 mois)

3,90 %3,50 %3,50 %3,50 %3,50 %

Taux longs

(OAT à 10 ans)

3,40 %3,50 %3,60 %3,60 %3,60 %


20232024202520262027
Taux courts (BTF 3 mois)3,90 %3,50 %3,50 %3,50 %3,50 %
Taux longs (OAT à 10 ans)3,40 %3,50 %3,60 %3,60 %3,60 %


20232024202520262027
Taux courts (BTF 3 mois)3,90 %3,50 %3,50 %3,50 %3,50 %
Taux longs (OAT à 10 ans)3,40 %3,50 %3,60 %3,60 %3,60 %


20232024202520262027
Taux courts (BTF 3 mois)3,90 %3,50 %3,50 %3,50 %3,50 %
Taux longs (OAT à 10 ans)3,40 %3,50 %3,60 %3,60 %3,60 %


20232024202520262027
Taux courts (BTF 3 mois)3,90 %3,50 %3,50 %3,50 %3,50 %
Taux longs (OAT à 10 ans)3,40 %3,50 %3,60 %3,60 %3,60 %


20232024202520262027
Taux courts (BTF 3 mois)3,90 %3,50 %3,50 %3,50 %3,50 %
Taux longs (OAT à 10 ans)3,40 %3,50 %3,60 %3,60 %3,60 %




Une remontée durable des taux d’intérêt au‑dessus de ces hypothèses constituerait un facteur d’augmentation progressive de la charge de la dette par rapport à la prévision de la LPFP. Un choc pérenne de taux d’intérêt supplémentaire d’1 point par rapport au scénario de référence entrainerait une hausse de la charge de la dette en comptabilité maastrichtienne de 2,5 Md€ supplémentaires la première année, 6 Md€ supplémentaires la deuxième année, 10 Md€ supplémentaires la troisième année et près de 17 Md€ supplémentaires à l’horizon 2027. À l’inverse, si la trajectoire de remontée des taux était plus basse de 1 point que le scénario central, cela entrainerait une baisse de la charge de la dette symétrique.

(Alinéa sans modification)

Une remontée durable des taux d’intérêt au‑dessus de ces hypothèses constituerait un facteur d’augmentation progressive de la charge de la dette par rapport à la prévision de la LPFP. Un choc pérenne de taux d’intérêt supplémentaire de 1 point par rapport au scénario de référence entraînerait une hausse de la charge de la dette en comptabilité maastrichtienne de 2,5 Md€ supplémentaires la première année, 6 Md€ supplémentaires la deuxième année, 10 Md€ supplémentaires la troisième année et près de 17 Md€ supplémentaires à l’horizon 2027. À l’inverse, si la trajectoire de remontée des taux était plus basse de 1 point que le scénario central, cela entraînerait une baisse de la charge de la dette symétrique.

Une remontée durable des taux d’intérêt au‑dessus de ces hypothèses constituerait un facteur d’augmentation progressive de la charge de la dette par rapport à la prévision de la présente loi. Un choc pérenne de taux d’intérêt supplémentaire d’un point sur l’ensemble de la courbe par rapport au scénario de référence entraînerait une hausse de la charge de la dette en comptabilité maastrichtienne de 2,6 milliards d’euros supplémentaires la première année, 6,6 milliards d’euros supplémentaires la deuxième année, 10,3 milliards d’euros supplémentaires la troisième année et près de 13,9 milliards d’euros supplémentaires à l’horizon 2027. À l’inverse, si la trajectoire de remontée des taux était plus basse d’un point que le scénario central, cela entraînerait une baisse de la charge de la dette symétrique.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Une remontée durable des taux d’intérêt au‑dessus de ces hypothèses constituerait un facteur d’augmentation progressive de la charge de la dette par rapport à la prévision de la présente loi. Un choc pérenne de taux d’intérêt supplémentaire d’un point sur l’ensemble de la courbe par rapport au scénario de référence entraînerait une hausse de la charge de la dette en comptabilité maastrichtienne de 2,6 milliards d’euros supplémentaires la première année, 6,6 milliards d’euros supplémentaires la deuxième année, 10,3 milliards d’euros supplémentaires la troisième année et près de 13,9 milliards d’euros supplémentaires à l’horizon 2027. À l’inverse, si la trajectoire de remontée des taux était plus basse d’un point que le scénario central, cela entraînerait une baisse de la charge de la dette symétrique.

Une remontée durable des taux d’intérêt au‑dessus de ces hypothèses constituerait un facteur d’augmentation progressive de la charge de la dette par rapport à la prévision de la présente loi. Un choc pérenne de taux d’intérêt supplémentaire d’un point sur l’ensemble de la courbe par rapport au scénario de référence entraînerait une hausse de la charge de la dette en comptabilité maastrichtienne de 2,6 milliards d’euros supplémentaires la première année, 6,6 milliards d’euros supplémentaires la deuxième année, 10,3 milliards d’euros supplémentaires la troisième année et près de 13,9 milliards d’euros supplémentaires à l’horizon 2027. À l’inverse, si la trajectoire de remontée des taux était plus basse d’un point que le scénario central, cela entraînerait une baisse de la charge de la dette symétrique.



Tableau : Évaluation minimaliste, moyenne et maximaliste de l’évolution des taux d’intérêt et de son impact sur les comptes de l’État (en Md€, en comptabilité nationale)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Évaluation minimaliste, moyenne et maximaliste de l’évolution des taux d’intérêt et de son impact sur les comptes de l’État

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Évaluation minimaliste, moyenne et maximaliste de l’évolution des taux d’intérêt et de son impact sur les comptes de l’État

Évaluation minimaliste, moyenne et maximaliste de l’évolution des taux d’intérêt et de son impact sur les comptes de l’État



202220232024202520262027

Scénario minimaliste

(-2 points sur toute la trajectoire)

-32,732,330,529,130,2
Scénario central42,237,544,148,753,660,6

Scénario maximaliste

(+2 points sur toute la trajectoire)

-42,456,267,879,993,9


202220232024202520262027

Scénario minimaliste

(-2 points sur toute la trajectoire)

-32,732,330,529,130,2
Scénario central42,237,544,148,753,660,6

Scénario maximaliste

(+2 points sur toute la trajectoire)

-42,456,267,879,993,9



202220232024202520262027

Scénario minimaliste

(-2 points sur toute la trajectoire)

-32,732,330,529,130,2
Scénario central42,237,544,148,753,660,6

Scénario maximaliste

(+2 points sur toute la trajectoire)

-42,456,267,879,993,9



20232024202520262027

Scénario minimaliste

(-2 points sur toute la trajectoire)

-43,043,944,546,7
Scénario central38,648,157,165,274,4

Scénario maximaliste

(+2 points sur toute la trajectoire)

-53,270,285,8102,1


(En milliards d’euros, en comptabilité nationale)
20232024202520262027
Scénario minimaliste (- 2 points sur toute la trajectoire)-43,043,944,546,7
Scénario central38,648,157,165,274,4
Scénario maximaliste (+2 points sur toute la trajectoire)-53,270,285,8102,1


(En milliards d’euros, en comptabilité nationale)
20232024202520262027
Scénario minimaliste (- 2 points sur toute la trajectoire)-43,043,944,546,7
Scénario central38,648,157,165,274,4
Scénario maximaliste (+2 points sur toute la trajectoire)-53,270,285,8102,1


(En milliards d’euros, en comptabilité nationale)
20232024202520262027
Scénario minimaliste (- 2 points sur toute la trajectoire)-43,043,944,546,7
Scénario central38,648,157,165,274,4
Scénario maximaliste (+2 points sur toute la trajectoire)-53,270,285,8102,1


(En milliards d’euros, en comptabilité nationale)
20232024202520262027
Scénario minimaliste (- 2 points sur toute la trajectoire)-43,043,944,546,7
Scénario central38,648,157,165,274,4
Scénario maximaliste (+2 points sur toute la trajectoire)-53,270,285,8102,1


(En milliards d’euros, en comptabilité nationale)
20232024202520262027
Scénario minimaliste (- 2 points sur toute la trajectoire)-43,043,944,546,7
Scénario central38,648,157,165,274,4
Scénario maximaliste (+2 points sur toute la trajectoire)-53,270,285,8102,1




NB : si rien ne peut garantir que la trajectoire future des taux s’inscrive entre ces bornes, les scénarios dits « minimaliste » et « maximaliste » ont été dimensionnés pour correspondre aux scénarios extrêmes de taux observés depuis le passage à l’euro. L’application dès l’an prochain d’un choc de 200 points de base à la baisse ou à la hausse par rapport au scénario de référence, aboutit respectivement à un scénario « minimaliste » qui correspondrait à un retour brutal à l’environnement de taux très bas des dernières années, et à un scénario « maximaliste » où les taux longs retrouveraient le niveau d’environ 5 % qu’ils avaient au tout début du siècle.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

NB : Ce tableau est établi en application du 4° de l’article 1er E (4°) de la loi organique relative aux lois de finances. Si rien ne peut garantir que la trajectoire future des taux s’inscrive entre ces bornes, les scénarios dits « minimaliste » et « maximaliste » reprennent l’amplitude retenue l’an passé et qui avait été dimensionnée pour correspondre à celle observée depuis le passage à l’euro. L’application dès l’an prochain d’un choc de 200 points de base à la baisse ou à la hausse par rapport au scénario de référence aboutit respectivement à un scénario « minimaliste » qui correspondrait à une inversion brutale de la politique monétaire par exemple pour faire face à une forte récession et à un scénario « maximaliste » où les taux longs atteindraient leurs niveaux extrêmes depuis la création de l’euro par exemple si s’installait un niveau élevé d’inflation dans la durée.

NB : Ce tableau est établi en application du 4° de l’article 1er E de la loi organique relative aux lois de finances. Si rien ne peut garantir que la trajectoire future des taux s’inscrive entre ces bornes, les scénarios dits « minimaliste » et « maximaliste » reprennent l’amplitude retenue l’an passé et qui avait été dimensionnée pour correspondre à celle observée depuis le passage à l’euro. L’application dès l’an prochain d’un choc de 200 points de base à la baisse ou à la hausse par rapport au scénario de référence aboutit respectivement à un scénario « minimaliste » qui correspondrait à une inversion brutale de la politique monétaire par exemple pour faire face à une forte récession et à un scénario « maximaliste » où les taux longs atteindraient leurs niveaux extrêmes depuis la création de l’euro par exemple si s’installait un niveau élevé d’inflation dans la durée.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

NB : Ce tableau est établi en application du 4° de l’article 1er E de la loi organique relative aux lois de finances. Si rien ne peut garantir que la trajectoire future des taux s’inscrive entre ces bornes, les scénarios dits « minimaliste » et « maximaliste » reprennent l’amplitude retenue l’an passé et qui avait été dimensionnée pour correspondre à celle observée depuis le passage à l’euro. L’application dès l’an prochain d’un choc de 200 points de base à la baisse ou à la hausse par rapport au scénario de référence aboutit respectivement à un scénario « minimaliste » qui correspondrait à une inversion brutale de la politique monétaire par exemple pour faire face à une forte récession et à un scénario « maximaliste » où les taux longs atteindraient leurs niveaux extrêmes depuis la création de l’euro par exemple si s’installait un niveau élevé d’inflation dans la durée.

Nota. – Ce tableau est établi en application du 4° de l’article 1er E de la loi organique relative aux lois de finances. Si rien ne peut garantir que la trajectoire future des taux s’inscrive entre ces bornes, les scénarios dits « minimaliste » et « maximaliste » reprennent l’amplitude retenue l’an passé et qui avait été dimensionnée pour correspondre à celle observée depuis le passage à l’euro. L’application dès l’an prochain d’un choc de 200 points de base à la baisse ou à la hausse par rapport au scénario de référence aboutit respectivement à un scénario « minimaliste » qui correspondrait à une inversion brutale de la politique monétaire par exemple pour faire face à une forte récession et à un scénario « maximaliste » où les taux longs atteindraient leurs niveaux extrêmes depuis la création de l’euro par exemple si s’installait un niveau élevé d’inflation dans la durée.



E. Une gouvernance rénovée des finances publiques renforcera le pilotage de la dépense

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

E Une gouvernance rénovée des finances publiques renforcera le pilotage de la dépense

E. – (Alinéa sans modification)

E. – (Non modifié)

E. – (Alinéa sans modification)

E. – Une gouvernance rénovée des finances publiques renforcera le pilotage de la dépense

E. – Une gouvernance rénovée des finances publiques renforcera le pilotage de la dépense



1. Le nouveau cadre organique renforce la stratégie pluriannuelle des finances publiques.

1. (Non modifié)

1. (Alinéa sans modification)

1. (Alinéa sans modification)

1. (Alinéa sans modification)


1. (Alinéa sans modification)

1. Le nouveau cadre organique renforce la stratégie pluriannuelle des finances publiques.

1. Le nouveau cadre organique renforce la stratégie pluriannuelle des finances publiques.



À la suite des travaux de la mission d’information relative à la mise en œuvre de la loi organique relative aux lois de finances (LOLF), l’Assemblée nationale et le Sénat ont adopté fin 2021 une loi modernisant le cadre organique des lois de finances. Ainsi la loi organique  2021‑1836 du 28 décembre 2021 relative à la modernisation de la gestion des finances publiques porte‑t‑elle plusieurs évolutions majeures.


(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)


(Alinéa sans modification)

À la suite des travaux de la mission d’information relative à la mise en œuvre de la loi organique relative aux lois de finances (LOLF), l’Assemblée nationale et le Sénat ont adopté fin 2021 une loi modernisant le cadre organique des lois de finances. Ainsi la loi organique  2021‑1836 du 28 décembre 2021 relative à la modernisation de la gestion des finances publiques porte‑t‑elle plusieurs évolutions majeures.

À la suite des travaux de la mission d’information relative à la mise en œuvre de la loi organique relative aux lois de finances (LOLF), l’Assemblée nationale et le Sénat ont adopté fin 2021 une loi modernisant le cadre organique des lois de finances. Ainsi la loi organique  2021‑1836 du 28 décembre 2021 relative à la modernisation de la gestion des finances publiques porte‑t‑elle plusieurs évolutions majeures.



Elle contribue d’abord au renforcement du pilotage pluriannuel des finances publiques, notamment par l’intégration dans la loi de finances, au niveau de l’article liminaire, d’un nouveau suivi de l’évolution de la dépense publique en volume et en milliards d’euros (pour l’année sur laquelle porte la loi de finances, l’année en cours et l’année écoulée), qui pourra être lue en écart à la trajectoire de référence définie par la présente loi de programmation des finances publiques. Cette trajectoire d’évolution est désormais déclinée par sous‑secteur des administrations publiques pour en faire un réel outil de pilotage. Pour le budget de l’État, les projets annuels de performances doivent présenter chaque année des plafonds de dépenses pour trois ans au niveau du programme.


(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)


(Alinéa sans modification)

Elle contribue d’abord au renforcement du pilotage pluriannuel des finances publiques, notamment par l’intégration dans la loi de finances, au niveau de l’article liminaire, d’un nouveau suivi de l’évolution de la dépense publique en volume et en milliards d’euros (pour l’année sur laquelle porte la loi de finances, l’année en cours et l’année écoulée), qui pourra être lue en écart à la trajectoire de référence définie par la présente loi de programmation des finances publiques. Cette trajectoire d’évolution est désormais déclinée par sous‑secteur des administrations publiques pour en faire un réel outil de pilotage. Pour le budget de l’État, les projets annuels de performances doivent présenter chaque année des plafonds de dépenses pour trois ans au niveau du programme.

Elle contribue d’abord au renforcement du pilotage pluriannuel des finances publiques, notamment par l’intégration dans la loi de finances, au niveau de l’article liminaire, d’un nouveau suivi de l’évolution de la dépense publique en volume et en milliards d’euros (pour l’année sur laquelle porte la loi de finances, l’année en cours et l’année écoulée), qui pourra être lue en écart à la trajectoire de référence définie par la présente loi de programmation des finances publiques. Cette trajectoire d’évolution est désormais déclinée par sous‑secteur des administrations publiques pour en faire un réel outil de pilotage. Pour le budget de l’État, les projets annuels de performances doivent présenter chaque année des plafonds de dépenses pour trois ans au niveau du programme.



Les lois de programmation des finances publiques sont aussi renforcées par le nouveau cadre organique. Celles‑ci doivent désormais présenter une trajectoire en niveau et en évolution des dépenses des administrations publiques considérées comme des dépenses d’investissement. Les principales dépenses de cette trajectoire – compte tenu de leur contribution à la croissance potentielle du produit intérieur brut, à la transformation structurelle du pays et à son développement social et environnemental à long terme – doivent par ailleurs faire l’objet d’une présentation détaillé en annexe de ces lois.


Les lois de programmation des finances publiques sont aussi renforcées par le nouveau cadre organique. Celles‑ci doivent désormais présenter une trajectoire en niveau et en évolution des dépenses des administrations publiques considérées comme des dépenses d’investissement. Les principales dépenses de cette trajectoire – compte tenu de leur contribution à la croissance potentielle du produit intérieur brut, à la transformation structurelle du pays et à son développement social et environnemental à long terme – doivent par ailleurs faire l’objet d’une présentation détaillée en annexe de ces lois.

Les lois de programmation des finances publiques sont également renforcées par le nouveau cadre organique. Celles‑ci doivent désormais présenter une trajectoire en niveau et en évolution des dépenses des administrations publiques considérées comme des dépenses d’investissement. Les principales dépenses de cette trajectoire – compte tenu de leur contribution à la croissance potentielle du produit intérieur brut, à la transformation structurelle du pays et à son développement social et environnemental à long terme – doivent par ailleurs faire l’objet d’une présentation détaillée en annexe de ces lois.

Les lois de programmation des finances publiques sont également renforcées par le nouveau cadre organique. Elles doivent désormais présenter une trajectoire en niveau et en évolution des dépenses des administrations publiques considérées comme des dépenses d’investissement. Les principales dépenses de cette trajectoire – compte tenu de leur contribution à la croissance potentielle du produit intérieur brut, à la transformation structurelle du pays et à son développement social et environnemental à long terme – doivent par ailleurs faire l’objet d’une présentation détaillée en annexe de ces lois.


(Alinéa sans modification)

Les lois de programmation des finances publiques sont également renforcées par le nouveau cadre organique. Elles doivent désormais présenter une trajectoire en niveau et en évolution des dépenses des administrations publiques considérées comme des dépenses d’investissement. Les principales dépenses de cette trajectoire – compte tenu de leur contribution à la croissance potentielle du produit intérieur brut, à la transformation structurelle du pays et à son développement social et environnemental à long terme – doivent par ailleurs faire l’objet d’une présentation détaillée en annexe de ces lois.

Les lois de programmation des finances publiques sont également renforcées par le nouveau cadre organique. Elles doivent désormais présenter une trajectoire en niveau et en évolution des dépenses des administrations publiques considérées comme des dépenses d’investissement. Les principales dépenses de cette trajectoire – compte tenu de leur contribution à la croissance potentielle du produit intérieur brut, à la transformation structurelle du pays et à son développement social et environnemental à long terme – doivent par ailleurs faire l’objet d’une présentation détaillée en annexe de ces lois.



Le nouveau cadre organique renforce par ailleurs le rôle du Haut Conseil des finances publiques dont le mandat est étendu. Le HCFP sera dorénavant compétent, au‑delà de l’examen de la cohérence des textes financiers annuels au regard des objectifs de dépense prévus en LPFP, pour contrôler la cohérence des lois de programmation sectorielles ayant un impact sur les finances publiques avec les LPFP.


(Alinéa sans modification)

Le nouveau cadre organique renforce par ailleurs le rôle du Haut Conseil des finances publiques (HCFP) dont le mandat est étendu. Le HCFP sera dorénavant compétent, au delà de l’examen de la cohérence des textes financiers annuels au regard des objectifs de dépense prévus en LPFP, pour contrôler la cohérence des lois de programmation sectorielles ayant un impact sur les finances publiques avec les LPFP.

(Alinéa sans modification)


Le nouveau cadre organique renforce par ailleurs le rôle du Haut Conseil des finances publiques (HCFP) dont le mandat est étendu. Le HCFP sera dorénavant compétent, au‑delà de l’examen de la cohérence des textes financiers annuels au regard des objectifs de dépense prévus en LPFP, pour contrôler la cohérence des lois de programmation sectorielles ayant un impact sur les finances publiques avec les LPFP.

Le nouveau cadre organique renforce par ailleurs le rôle du Haut Conseil des finances publiques (HCFP) dont le mandat est étendu. Le HCFP sera dorénavant compétent, au delà de l’examen de la cohérence des textes financiers annuels au regard des objectifs de dépense prévus en LPFP, pour contrôler la cohérence des lois de programmation sectorielles ayant un impact sur les finances publiques avec les LPFP.

Le nouveau cadre organique renforce par ailleurs le rôle du Haut Conseil des finances publiques (HCFP) dont le mandat est étendu. Le HCFP sera dorénavant compétent, au delà de l’examen de la cohérence des textes financiers annuels au regard des objectifs de dépense prévus en LPFP, pour contrôler la cohérence des lois de programmation sectorielles ayant un impact sur les finances publiques avec les LPFP.



Dans le cadre de l’élaboration du budget, la loi organique vise à améliorer la qualité de l’information transmise au Parlement et son rôle dans l’examen de la dépense : les annexes au PLF sont notamment enrichies en matière de dépenses fiscales. Par ailleurs, l’articulation du calendrier budgétaire avec le calendrier européen est améliorée : l’examen du programme de stabilité par le Parlement pourra être associé à la lecture des résultats de l’exercice précédent. Les débats parlementaires seront enrichis, notamment d’une capacité d’amendement et de vote sur le dispositif de performance. Ils pourront en outre s’appuyer sur une présentation budgétaire clarifiée distinguant l’investissement et le fonctionnement, permettant une appréhension de la dépense publique sous un prisme renouvelé. Cette présentation, conjuguée à l’aménagement d’un temps de débat spécifique consacré à la dette publique, vise à initier une réflexion sur les choix de long terme, en matière de dépenses comme en matière d’endettement.


(Alinéa sans modification)

Dans le cadre de l’élaboration du budget, la loi organique vise à améliorer la qualité de l’information transmise au Parlement et son rôle dans l’examen de la dépense : les annexes au projet de loi de finances sont notamment enrichies en matière de dépenses fiscales. Par ailleurs, l’articulation du calendrier budgétaire avec le calendrier européen est améliorée : l’examen du programme de stabilité par le Parlement pourra être associé à la lecture des résultats de l’exercice précédent. Les débats parlementaires seront enrichis, notamment d’une capacité d’amendement et de vote sur le dispositif de performance. Ils pourront en outre s’appuyer sur une présentation budgétaire clarifiée distinguant l’investissement et le fonctionnement, permettant une appréhension de la dépense publique sous un prisme renouvelé. Cette présentation, conjuguée à l’aménagement d’un temps de débat spécifique consacré à la dette publique, vise à initier une réflexion sur les choix de long terme, en matière de dépenses comme en matière d’endettement.

(Alinéa sans modification)


(Alinéa sans modification)

Dans le cadre de l’élaboration du budget, la loi organique vise à améliorer la qualité de l’information transmise au Parlement et son rôle dans l’examen de la dépense : les annexes au projet de loi de finances sont notamment enrichies en matière de dépenses fiscales. Par ailleurs, l’articulation du calendrier budgétaire avec le calendrier européen est améliorée : l’examen du programme de stabilité par le Parlement pourra être associé à la lecture des résultats de l’exercice précédent. Les débats parlementaires seront enrichis, notamment d’une capacité d’amendement et de vote sur le dispositif de performance. Ils pourront en outre s’appuyer sur une présentation budgétaire clarifiée distinguant l’investissement et le fonctionnement, permettant une appréhension de la dépense publique sous un prisme renouvelé. Cette présentation, conjuguée à l’aménagement d’un temps de débat spécifique consacré à la dette publique, vise à initier une réflexion sur les choix de long terme, en matière de dépenses comme en matière d’endettement.

Dans le cadre de l’élaboration du budget, la loi organique vise à améliorer la qualité de l’information transmise au Parlement et son rôle dans l’examen de la dépense : les annexes au projet de loi de finances sont notamment enrichies en matière de dépenses fiscales. Par ailleurs, l’articulation du calendrier budgétaire avec le calendrier européen est améliorée : l’examen du programme de stabilité par le Parlement pourra être associé à la lecture des résultats de l’exercice précédent. Les débats parlementaires seront enrichis, notamment d’une capacité d’amendement et de vote sur le dispositif de performance. Ils pourront en outre s’appuyer sur une présentation budgétaire clarifiée distinguant l’investissement et le fonctionnement, permettant une appréhension de la dépense publique sous un prisme renouvelé. Cette présentation, conjuguée à l’aménagement d’un temps de débat spécifique consacré à la dette publique, vise à initier une réflexion sur les choix de long terme, en matière de dépenses comme en matière d’endettement.



La nouvelle loi organique permet également de réduire la fragmentation de la dépense et d’améliorer la lisibilité du budget de l’État. L’encadrement des recettes affectées à des personnes morales autres que l’État est renforcé : l’affectation de recettes relève dorénavant du domaine exclusif des lois de finances et obéit à des critères plus précis. De plus, la transparence du budget est renforcée par la présentation en annexe du PLF, pour chaque mission, de l’ensemble des moyens de financement de la politique publique concernée : crédits budgétaires, taxes affectées et dépenses fiscales.


(Alinéa sans modification)

La nouvelle loi organique permet également de réduire la fragmentation de la dépense et d’améliorer la lisibilité du budget de l’État. L’encadrement des recettes affectées à des personnes morales autres que l’État est renforcé : l’affectation de recettes relève dorénavant du domaine exclusif des lois de finances et obéit à des critères plus précis. De plus, la transparence du budget est renforcée par la présentation en annexe du projet de loi de finances, pour chaque mission, de l’ensemble des moyens de financement de la politique publique concernée : crédits budgétaires, taxes affectées et dépenses fiscales.

(Alinéa sans modification)


(Alinéa sans modification)

La nouvelle loi organique permet également de réduire la fragmentation de la dépense et d’améliorer la lisibilité du budget de l’État. L’encadrement des recettes affectées à des personnes morales autres que l’État est renforcé : l’affectation de recettes relève dorénavant du domaine exclusif des lois de finances et obéit à des critères plus précis. De plus, la transparence du budget est renforcée par la présentation en annexe du projet de loi de finances, pour chaque mission, de l’ensemble des moyens de financement de la politique publique concernée : crédits budgétaires, taxes affectées et dépenses fiscales.

La nouvelle loi organique permet également de réduire la fragmentation de la dépense et d’améliorer la lisibilité du budget de l’État. L’encadrement des recettes affectées à des personnes morales autres que l’État est renforcé : l’affectation de recettes relève dorénavant du domaine exclusif des lois de finances et obéit à des critères plus précis. De plus, la transparence du budget est renforcée par la présentation en annexe du projet de loi de finances, pour chaque mission, de l’ensemble des moyens de financement de la politique publique concernée : crédits budgétaires, taxes affectées et dépenses fiscales.



2. L’évaluation de la qualité de la dépense publique permettra d’évaluer l’efficacité des politiques publiques et de documenter des économies.

2. (Non modifié)

2. (Non modifié)

2. (Alinéa sans modification)

2. (Alinéa sans modification)


2. (Non modifié)

2. L’évaluation de la qualité de la dépense publique permettra d’évaluer l’efficacité des politiques publiques et de documenter des économies.

2. L’évaluation de la qualité de la dépense publique permettra d’évaluer l’efficacité des politiques publiques et de documenter des économies.



Le projet de loi de programmation des finances publiques 2023‑2027 prévoit un nouveau dispositif d’évaluation de la qualité de la dépense publique, conformément aux engagements européens pris par la France dans le cadre du Plan national de relance et de résilience (PNRR).



Le projet de loi de programmation des finances publiques pour les années 2023 à 2027 prévoit un nouveau dispositif d’évaluation de la qualité de la dépense publique, conformément aux engagements européens pris par la France dans le cadre du plan national de relance et de résilience (PNRR).

(Alinéa sans modification)



Le projet de loi de programmation des finances publiques pour les années 2023 à 2027 prévoit un nouveau dispositif d’évaluation de la qualité de la dépense publique, conformément aux engagements européens pris par la France dans le cadre du plan national de relance et de résilience (PNRR).

Le projet de loi de programmation des finances publiques pour les années 2023 à 2027 prévoit un nouveau dispositif d’évaluation de la qualité de la dépense publique, conformément aux engagements européens pris par la France dans le cadre du plan national de relance et de résilience (PNRR).



Il permettra au Gouvernement d’identifier les dépenses les moins efficaces et de prendre à la suite des mesures d’économies, sur la base d’un programme de travail annuel qui fait l’objet d’une présentation au Parlement. Le dispositif s’inspire des meilleures pratiques étrangères ayant démontré leur efficacité dans la maîtrise de la dépense publique, verra ses conclusions partagées avec le Parlement, afin d’alimenter la phase parlementaire dédiée à l’examen des résultats de la gestion et de la performance de la dépense, le « printemps de l’évaluation ».



Il permettra au Gouvernement d’identifier les dépenses les moins efficaces et de prendre à la suite des mesures d’économies, sur la base d’un programme de travail annuel qui fait l’objet d’une présentation au Parlement. Le dispositif s’inspire des meilleures pratiques étrangères ayant démontré leur efficacité dans la maîtrise de la dépense publique verra ses conclusions partagées avec le Parlement, afin d’alimenter la phase parlementaire dédiée à l’examen des résultats de la gestion et de la performance de la dépense, le « printemps de l’évaluation ».

Il permettra au Gouvernement d’identifier les dépenses les moins efficaces et de prendre à la suite des mesures d’économies, sur la base d’un programme de travail annuel qui fait l’objet d’une présentation au Parlement. Le dispositif s’inspire des meilleures pratiques étrangères ayant démontré leur efficacité dans la maîtrise de la dépense publique et verra ses conclusions partagées avec le Parlement, afin d’alimenter la phase parlementaire dédiée à l’examen des résultats de la gestion et de la performance de la dépense, le « printemps de l’évaluation ».



Il permettra au Gouvernement d’identifier les dépenses les moins efficaces et de prendre à la suite des mesures d’économies, sur la base d’un programme de travail annuel qui fait l’objet d’une présentation au Parlement. Le dispositif s’inspire des meilleures pratiques étrangères ayant démontré leur efficacité dans la maîtrise de la dépense publique et verra ses conclusions partagées avec le Parlement, afin d’alimenter la phase parlementaire d’examen des résultats de la gestion et de la performance de la dépense, le « printemps de l’évaluation ».

Il permettra au Gouvernement d’identifier les dépenses les moins efficaces et de prendre à la suite des mesures d’économies, sur la base d’un programme de travail annuel qui fait l’objet d’une présentation au Parlement. Le dispositif s’inspire des meilleures pratiques étrangères ayant démontré leur efficacité dans la maîtrise de la dépense publique et verra ses conclusions partagées avec le Parlement, afin d’alimenter la phase parlementaire d’examen des résultats de la gestion et de la performance de la dépense, le « printemps de l’évaluation ».



L’association du Parlement constitue un des axes les plus importants de ce dispositif qui sera pleinement articulé avec la procédure budgétaire, afin que les évaluations soient suivies de mesures concrètes le plus rapidement possible. L’évaluation deviendra ainsi une pratique régulière avec un calendrier précis et des objets d’évaluation ciblés en fonction des enjeux en termes d’amélioration de la qualité de la dépense et de redressement des comptes publics.



L’association du Parlement constitue un des axes les plus importants de ce dispositif, qui sera pleinement articulé avec la procédure budgétaire, afin que les évaluations soient suivies de mesures concrètes le plus rapidement possible. L’évaluation deviendra ainsi une pratique régulière avec un calendrier précis et des objets d’évaluation ciblés en fonction des enjeux en termes d’amélioration de la qualité de la dépense et de redressement des comptes publics.

(Alinéa sans modification)



L’association du Parlement constitue un des axes les plus importants de ce dispositif, qui sera pleinement articulé avec la procédure budgétaire, afin que les évaluations soient suivies de mesures concrètes le plus rapidement possible. L’évaluation deviendra ainsi une pratique régulière avec un calendrier précis et des objets d’évaluation ciblés en fonction des enjeux en termes d’amélioration de la qualité de la dépense et de redressement des comptes publics.

L’association du Parlement constitue un des axes les plus importants de ce dispositif, qui sera pleinement articulé avec la procédure budgétaire, afin que les évaluations soient suivies de mesures concrètes le plus rapidement possible. L’évaluation deviendra ainsi une pratique régulière avec un calendrier précis et des objets d’évaluation ciblés en fonction des enjeux en termes d’amélioration de la qualité de la dépense et de redressement des comptes publics.






Un premier exercice de revues de dépenses pour la période 2023‑2027 s’est déroulé au premier semestre 2023. Il s’est appuyé sur les travaux de douze missions. Un rapport sur l’évaluation de la qualité de l’action publique a été remis par le Gouvernement au Parlement en juillet 2023.

(Alinéa sans modification)



Un premier exercice de revues de dépenses pour la période 2023‑2027 s’est déroulé au premier semestre 2023. Il s’est appuyé sur les travaux de douze missions. Un rapport sur l’évaluation de la qualité de l’action publique a été remis par le Gouvernement au Parlement en juillet 2023.

Un premier exercice de revues de dépenses pour la période 2023‑2027 s’est déroulé au premier semestre 2023. Il s’est appuyé sur les travaux de douze missions. Un rapport sur l’évaluation de la qualité de l’action publique a été remis par le Gouvernement au Parlement en juillet 2023.



3. La LPFP met en place des outils de maîtrise des dépenses de l’État

3. (Non modifié)

3. (Alinéa sans modification)

3. (Alinéa sans modification)

3. (Alinéa sans modification)


3. (Alinéa sans modification)

3. La loi de programmation des finances publiques met en place des outils de maîtrise des dépenses de l’État

3. La loi de programmation des finances publiques met en place des outils de maîtrise des dépenses de l’État



d) La LPFP définit une nouvelle norme de pilotage des dépenses de l’État.


d) (Non modifié)

a) La LPFP définit une nouvelle norme de pilotage des dépenses de l’État

a) (Non modifié)


a) (Non modifié)

a) La loi de programmation des finances publiques définit une nouvelle norme de pilotage des dépenses de l’État

a) La loi de programmation des finances publiques définit une nouvelle norme de pilotage des dépenses de l’État



La présente LPFP définit un système rénové d’agrégat unique des dépenses de l’État en remplacement de l’ancienne norme à deux niveaux (norme de dépenses pilotables – NDP – et l’objectif de dépenses totales de l’État – ODETE).



La présente LPFP définit un système rénové d’agrégat unique des dépenses de l’État en remplacement de l’ancienne norme à deux niveaux (norme de dépenses pilotables [NDP] et l’objectif de dépenses totales de l’État [ODETE]).




La présente loi de programmation définit un système rénové d’agrégat unique des dépenses de l’État en remplacement de l’ancienne norme à deux niveaux (norme de dépenses pilotables [NDP] et objectif de dépenses totales de l’État [ODETE]).

La présente loi de programmation définit un système rénové d’agrégat unique des dépenses de l’État en remplacement de l’ancienne norme à deux niveaux (norme de dépenses pilotables [NDP] et objectif de dépenses totales de l’État [ODETE]).



Ces outils permettent d’assurer directement le suivi d’un périmètre plus exhaustif de la dépense du budget de l’État et indirectement celui de la dépense des opérateurs et établissements constituant le champ des ODAC. L’élargissement de cet agrégat vise à faire entrer la quasi‑totalité des dépenses de l’État dans le champ des dépenses pour lesquelles le Gouvernement se fixe un objectif de maîtrise et de pilotage.



Ces outils permettent d’assurer directement le suivi d’un périmètre plus exhaustif de la dépense du budget de l’État et indirectement celui de la dépense des opérateurs et établissements constituant le champ des organismes divers d’administration centrale. L’élargissement de cet agrégat vise à faire entrer la quasi‑totalité des dépenses de l’État dans le champ des dépenses pour lesquelles le Gouvernement se fixe un objectif de maîtrise et de pilotage.




Ces outils permettent d’assurer directement le suivi d’un périmètre plus exhaustif de la dépense du budget de l’État et indirectement celui de la dépense des opérateurs et établissements constituant le champ des organismes divers d’administration centrale. L’élargissement de cet agrégat vise à faire entrer la quasi‑totalité des dépenses de l’État dans le champ des dépenses pour lesquelles le Gouvernement se fixe un objectif de maîtrise et de pilotage.

Ces outils permettent d’assurer directement le suivi d’un périmètre plus exhaustif de la dépense du budget de l’État et indirectement celui de la dépense des opérateurs et établissements constituant le champ des organismes divers d’administration centrale. L’élargissement de cet agrégat vise à faire entrer la quasi‑totalité des dépenses de l’État dans le champ des dépenses pour lesquelles le Gouvernement se fixe un objectif de maîtrise et de pilotage.



Le nouveau périmètre des dépenses de l’État inclut :



(Alinéa sans modification)




Le nouveau périmètre des dépenses de l’État inclut :

Le nouveau périmètre des dépenses de l’État inclut :



– l’ensemble des dépenses du budget général, c’est‑à‑dire la totalité des missions budgétaires, y compris les missions qui n’ont pas vocation à être pérennes telles que « Investir pour la France de 2030 » ou encore la mission « Plan de Relance », ainsi que des dotations qui visent à porter des investissements en capital, comme l’abondement du budget général au compte d’affectation spéciale (CAS) des participations financières de l’État (PFE) ;



(Alinéa sans modification)




– l’ensemble des dépenses du budget général, c’est‑à‑dire la totalité des missions budgétaires, y compris les missions qui n’ont pas vocation à être pérennes telles que « Investir pour la France de 2030 » ou encore la mission « Plan de Relance », ainsi que des dotations qui visent à porter des investissements en capital, comme l’abondement du budget général au compte d’affectation spéciale (CAS) des participations financières de l’État (PFE) ;

– l’ensemble des dépenses du budget général, c’est‑à‑dire la totalité des missions budgétaires, y compris les missions qui n’ont pas vocation à être pérennes telles que « Investir pour la France de 2030 » ou encore la mission « Plan de Relance », ainsi que des dotations qui visent à porter des investissements en capital, comme l’abondement du budget général au compte d’affectation spéciale (CAS) des participations financières de l’État (PFE) ;



– les prélèvements sur recettes au profit des collectivités territoriales et de l’Union européenne. Il s’agit de prendre en compte la dynamique de ces contributions de l’État dans le pilotage d’ensemble de la dépense ;



(Alinéa sans modification)




– les prélèvements sur recettes au profit des collectivités territoriales et de l’Union européenne. Il s’agit de prendre en compte la dynamique de ces contributions de l’État dans le pilotage d’ensemble de la dépense ;

– les prélèvements sur recettes au profit des collectivités territoriales et de l’Union européenne. Il s’agit de prendre en compte la dynamique de ces contributions de l’État dans le pilotage d’ensemble de la dépense ;



– les budgets annexes, l’essentiel des comptes d’affectation spéciale et le compte de concours financiers « Avances à l’audiovisuel public » ;



(Alinéa sans modification)




– les budgets annexes, l’essentiel des comptes d’affectation spéciale et le compte de concours financiers « Avances à l’audiovisuel public » ;

– les budgets annexes, l’essentiel des comptes d’affectation spéciale et le compte de concours financiers « Avances à l’audiovisuel public » ;



– les taxes affectées plafonnées à des tiers autres que les collectivités territoriales, leurs établissements et la sécurité sociale.



(Alinéa sans modification)




– les taxes affectées plafonnées à des tiers autres que les collectivités territoriales, leurs établissements et la sécurité sociale.

– les taxes affectées plafonnées à des tiers autres que les collectivités territoriales, leurs établissements et la sécurité sociale.



Le nouveau périmètre des dépenses de l’État n’inclut pas en revanche les dépenses dédiées au traitement de la dette (programme 117 « Charge de la dette et trésorerie de l’État » mais aussi programme 355 « Charge de la dette de SNCF Réseau reprise par l’État » et programme 369 « Amortissement de la dette de l’État liée à la covid‑19 »). Cet agrégat n’est en effet pas pilotable à court terme et dépend dans une large mesure de la conjoncture. Son évolution est structurante pour l’évolution de la dépense totale de l’État, mais sa dynamique doit être appréciée de façon distincte. Les crédits de contribution aux pensions civiles et militaires positionnés sur le budget général alimentant en recettes le Compte d’affectation spéciale « Pensions » sont également exclus.



(Alinéa sans modification)




Le nouveau périmètre des dépenses de l’État n’inclut pas en revanche les dépenses affectées au traitement de la dette (programme 117 « Charge de la dette et trésorerie de l’État » mais aussi programme 355 « Charge de la dette de SNCF Réseau reprise par l’État » et programme 369 « Amortissement de la dette de l’État liée à la covid‑19 »). Cet agrégat n’est en effet pas pilotable à court terme et dépend dans une large mesure de la conjoncture. Son évolution est structurante pour l’évolution de la dépense totale de l’État, mais sa dynamique doit être appréciée de façon distincte. Les crédits de contribution aux pensions civiles et militaires positionnés sur le budget général alimentant en recettes le compte d’affectation spéciale « Pensions » sont également exclus.

Le nouveau périmètre des dépenses de l’État n’inclut pas en revanche les dépenses affectées au traitement de la dette (programme 117 « Charge de la dette et trésorerie de l’État » mais aussi programme 355 « Charge de la dette de SNCF Réseau reprise par l’État » et programme 369 « Amortissement de la dette de l’État liée à la covid‑19 »). Cet agrégat n’est en effet pas pilotable à court terme et dépend dans une large mesure de la conjoncture. Son évolution est structurante pour l’évolution de la dépense totale de l’État, mais sa dynamique doit être appréciée de façon distincte. Les crédits de contribution aux pensions civiles et militaires positionnés sur le budget général alimentant en recettes le compte d’affectation spéciale « Pensions » sont également exclus.



Concernant les comptes d’affectation spéciale (CAS), les dépenses réalisées à partir du CAS « Participations financières de l’État » ne sont pas intégrées au périmètre des dépenses de l’État, ni celles du programme 755 « Désendettement de l’État » du CAS « Contrôle de la circulation et du stationnement routiers » ni du programme 743 « Pensions militaires d’invalidité et des victimes de guerre et autres pensions » du CAS « Pensions ».



Concernant les comptes d’affectation spéciale, les dépenses réalisées à partir du CAS « Participations financières de l’État » ne sont pas intégrées au périmètre des dépenses de l’État, ni celles du programme 755 « Désendettement de l’État » du CAS « Contrôle de la circulation et du stationnement routiers », ni celles du programme 743 « Pensions militaires d’invalidité et des victimes de guerre et autres pensions » du CAS « Pensions », ni celles du programme « Contribution des cessions immobilières au désendettement de l’État » de la mission « Gestion du patrimoine immobilier de l’État ».




Concernant les comptes d’affectation spéciale, ne sont pas intégrées au périmètre des dépenses de l’État les dépenses réalisées à partir du CAS « Participations financières de l’État », ni celles du programme 755 « Désendettement de l’État » du CAS « Contrôle de la circulation et du stationnement routiers », ni celles du programme 743 « Pensions militaires d’invalidité et des victimes de guerre et autres pensions » du CAS « Pensions », ni celles du programme « Contribution des cessions immobilières au désendettement de l’État » de la mission « Gestion du patrimoine immobilier de l’État ».

Concernant les comptes d’affectation spéciale, ne sont pas intégrées au périmètre des dépenses de l’État les dépenses réalisées à partir du CAS « Participations financières de l’État », ni celles du programme 755 « Désendettement de l’État » du CAS « Contrôle de la circulation et du stationnement routiers », ni celles du programme 743 « Pensions militaires d’invalidité et des victimes de guerre et autres pensions » du CAS « Pensions », ni celles du programme « Contribution des cessions immobilières au désendettement de l’État » de la mission « Gestion du patrimoine immobilier de l’État ».



Les autres comptes spéciaux, de commerce, d’opérations monétaires et de concours financiers ne font pas partie du périmètre des dépenses de l’État, compte tenu de la nature spécifique des opérations qu’ils retracent.



(Alinéa sans modification)




Les autres comptes spéciaux, de commerce, d’opérations monétaires et de concours financiers ne font pas partie du périmètre des dépenses de l’État, compte tenu de la nature spécifique des opérations qu’ils retracent.

Les autres comptes spéciaux, de commerce, d’opérations monétaires et de concours financiers ne font pas partie du périmètre des dépenses de l’État, compte tenu de la nature spécifique des opérations qu’ils retracent.



Ce périmètre de dépenses élargi vise à faciliter la compréhension et le suivi de l’évolution des dépenses de l’État par le Parlement et les organismes de contrôle et prévenir le traitement dans un champ distinct de dépenses de l’État qualifiées d’exceptionnelles.



(Alinéa sans modification)




Ce périmètre de dépenses élargi vise à faciliter la compréhension et le suivi de l’évolution des dépenses de l’État par le Parlement et les organismes de contrôle et prévenir le traitement dans un champ distinct de dépenses de l’État qualifiées d’exceptionnelles.

Ce périmètre de dépenses élargi vise à faciliter la compréhension et le suivi de l’évolution des dépenses de l’État par le Parlement et les organismes de contrôle et prévenir le traitement dans un champ distinct de dépenses de l’État qualifiées d’exceptionnelles.



Sur la base de la loi de finances pour 2023, ce nouveau périmètre correspond à un montant de crédits de 480 Md€.



Sur la base de la loi de finances pour 2023, ce nouveau périmètre correspond à un montant de crédits de 496 milliards d’euros.




Sur la base de la loi  2022‑1726 du 30 décembre 2022 de finances pour 2023, ce nouveau périmètre correspond à un montant de crédits de 496 milliards d’euros.

Sur la base de la loi  2022‑1726 du 30 décembre 2022 de finances pour 2023, ce nouveau périmètre correspond à un montant de crédits de 496 milliards d’euros.



e) Une évaluation dans la durée des dépenses fiscales, sociale et des aides aux entreprises.


e) Une évaluation dans la durée des dépenses fiscales, sociales et des aides aux entreprises.

b) Une évaluation dans la durée des dépenses fiscales, sociale et des aides aux entreprises.

b) (Non modifié)


b) Une évaluation dans la durée des dépenses fiscales, sociales et des aides aux entreprises.

b) Une évaluation dans la durée des dépenses fiscales et sociales et des aides aux entreprises.

b) Une évaluation dans la durée des dépenses fiscales et sociales et des aides aux entreprises.



La loi de programmation des finances publiques pour 2023 à 2027 prévoit des mécanismes pour mieux encadrer les dépenses fiscales et sociales ainsi que les aides aux entreprises afin d’évaluer dans la durée la qualité de ces dépenses. Ce suivi permettra de renforcer les dispositifs les plus efficaces et de revoir les mécanismes les moins efficients au regard des politiques publiques portées.


(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)



(Alinéa sans modification)

La présente loi de programmation prévoit des mécanismes pour mieux encadrer les dépenses fiscales et sociales ainsi que les aides aux entreprises afin d’évaluer dans la durée la qualité de ces dépenses. Ce suivi permettra de renforcer les dispositifs les plus efficaces et de revoir les mécanismes les moins efficients au regard des politiques publiques portées.

La présente loi de programmation prévoit des mécanismes pour mieux encadrer les dépenses fiscales et sociales ainsi que les aides aux entreprises afin d’évaluer dans la durée la qualité de ces dépenses. Ce suivi permettra de renforcer les dispositifs les plus efficaces et de revoir les mécanismes les moins efficients au regard des politiques publiques portées.



Les dépenses fiscales, les dépenses sociales et les aides aux entreprises font ainsi l’objet d’une limitation dans le temps. Les dépenses fiscales incitatives, les dépenses sociales et les aides aux entreprises ne peuvent être instaurées que pour une durée limitée allant jusqu’à 5 ans pour les aides aux entreprises. Cette limitation permet, à l’expiration de ce délai, qu’une évaluation de ces dépenses soit menée avant une éventuelle prorogation.


(Alinéa sans modification)

Les dépenses fiscales, les dépenses sociales et les aides aux entreprises font ainsi l’objet d’une limitation dans le temps. Les dépenses fiscales incitatives, les dépenses sociales et les aides aux entreprises ne peuvent être instaurées que pour une durée limitée allant jusqu’à cinq ans pour les aides aux entreprises. Cette limitation permet, à l’expiration de ce délai, qu’une évaluation de ces dépenses soit menée avant une éventuelle prorogation.



(Alinéa sans modification)

Les dépenses fiscales, les dépenses sociales et les aides aux entreprises font ainsi l’objet d’une limitation dans le temps. Les dépenses fiscales incitatives, les dépenses sociales et les aides aux entreprises ne peuvent être instaurées que pour une durée limitée allant jusqu’à cinq ans pour les aides aux entreprises. Cette limitation permet, à l’expiration de ce délai, qu’une évaluation de ces dépenses soit menée avant une éventuelle prorogation.

Les dépenses fiscales, les dépenses sociales et les aides aux entreprises font ainsi l’objet d’une limitation dans le temps. Les dépenses fiscales incitatives, les dépenses sociales et les aides aux entreprises ne peuvent être instaurées que pour une durée limitée allant jusqu’à cinq ans pour les aides aux entreprises. Cette limitation permet, à l’expiration de ce délai, qu’une évaluation de ces dépenses soit menée avant une éventuelle prorogation.



Par ailleurs, les dépenses sociales font l’objet d’un encadrement de leur part dans les recettes des régimes obligatoires de base de sécurité sociale et des organismes concourant à leur financement afin d’inciter à la maîtrise des exonérations et à la régulation des niches sociales les moins efficientes.


(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)



(Alinéa sans modification)

Par ailleurs, les dépenses sociales font l’objet d’un encadrement de leur part dans les recettes des régimes obligatoires de base de sécurité sociale et des organismes concourant à leur financement afin d’inciter à la maîtrise des exonérations et à la régulation des niches sociales les moins efficientes.

Par ailleurs, les dépenses sociales font l’objet d’un encadrement de leur part dans les recettes des régimes obligatoires de base de sécurité sociale et des organismes concourant à leur financement afin d’inciter à la maîtrise des exonérations et à la régulation des niches sociales les moins efficientes.



f) Une gestion plus précise des emplois de l’État et de ses opérateurs.


f) (Non modifié)

c) Une gestion plus précise des emplois de l’État et de ses opérateurs

c) (Alinéa sans modification)


c) (Alinéa sans modification)

c) Une gestion plus précise des emplois de l’État et de ses opérateurs

c) Une gestion plus précise des emplois de l’État et de ses opérateurs



Jusqu’à l’exercice 2018, les plafonds d’emplois inscrits en loi de finances initiale (LFI) étaient construits chaque année en ajoutant au plafond de la LFI de l’année précédente l’effet des créations ou suppressions nettes d’emplois prévues ainsi que des éventuelles mesures d’ajustement (mesures de périmètre, de transfert et corrections techniques…), sans prendre en compte la consommation effective d’ETPT constatée dans la dernière loi de règlement. Cette modalité de calcul conduisait ainsi à reconduire d’année en année des plafonds d’emplois surestimés.


(Alinéa sans modification)

Jusqu’à l’exercice 2018, les plafonds d’emplois inscrits en loi de finances initiale (LFI) étaient construits chaque année en ajoutant au plafond de la LFI de l’année précédente l’effet des créations ou suppressions nettes d’emplois prévues ainsi que des éventuelles mesures d’ajustement (mesures de périmètre, de transfert et corrections techniques…), sans prendre en compte la consommation effective d’équivalents temps plein travaillé constatée dans la dernière loi de règlement. Cette modalité de calcul conduisait ainsi à reconduire d’année en année des plafonds d’emplois surestimés.

(Alinéa sans modification)


(Alinéa sans modification)

Jusqu’à l’exercice 2018, les plafonds d’emplois inscrits en loi de finances initiale (LFI) étaient construits chaque année en ajoutant au plafond de la LFI de l’année précédente l’effet des créations ou suppressions nettes d’emplois prévues ainsi que des éventuelles mesures d’ajustement (mesures de périmètre, de transfert et corrections techniques…), sans prendre en compte la consommation effective d’équivalents temps plein travaillé constatée dans la dernière loi de règlement. Cette modalité de calcul conduisait ainsi à reconduire d’année en année des plafonds d’emplois surestimés.

Jusqu’à l’exercice 2018, les plafonds d’emplois inscrits en loi de finances initiale (LFI) étaient construits chaque année en ajoutant au plafond de la LFI de l’année précédente l’effet des créations ou suppressions nettes d’emplois prévues ainsi que des éventuelles mesures d’ajustement (mesures de périmètre, de transfert et corrections techniques…), sans prendre en compte la consommation effective d’équivalents temps plein travaillé constatée dans la dernière loi de règlement. Cette modalité de calcul conduisait ainsi à reconduire d’année en année des plafonds d’emplois surestimés.



Afin de donner plus de sens à l’autorisation d’emplois votée par le Parlement et à son caractère limitatif, l’article 11 de la LPFP 2018‑2022 a introduit, à compter du PLF 2019, un nouveau mode de calcul du plafond d’emplois qui permet de contenir la hausse du plafond à +1 % de la consommation d’emplois « constatée dans la dernière loi de règlement, corrigée de l’incidence des schémas d’emplois, des mesures de transfert et des mesures de périmètre intervenus ou prévus ». Ainsi, par application de ce dispositif, le plafond d’emplois a baissé de 10 805 ETPT au PLF 2019, 7 178 ETPT au PLF 2020 et 427 ETPT au PLF 2021 diminuant mécaniquement et significativement la vacance sous plafond qui se limite à fin 2021 à 21 099 ETPT (contre 33 491 ETPT en 2017) ce qui représente 1,08 % du plafond d’emploi voté en LFI 2021.


(Alinéa sans modification)

Afin de donner plus de sens à l’autorisation d’emplois votée par le Parlement et à son caractère limitatif, l’article 11 de la LPFP 2018‑2022 a introduit, à compter du PLF 2019, un nouveau mode de calcul du plafond d’emplois qui permet de contenir la hausse du plafond à +1 % de la consommation d’emplois « constatée dans la dernière loi de règlement, corrigée de l’incidence des schémas d’emplois, des mesures de transfert et des mesures de périmètre intervenus ou prévus ». Ainsi, par application de ce dispositif, le plafond d’emplois a baissé de 10 805 ETPT au PLF 2019, 7 178 ETPT au PLF 2020 et 427 ETPT au PLF 2021, diminuant mécaniquement et significativement la vacance sous plafond qui se limite à fin 2021 à 21 099 ETPT (contre 33 491 ETPT en 2017) ce qui représente 1,08 % du plafond d’emploi voté en LFI 2021.

(Alinéa sans modification)


(Alinéa sans modification)

Afin de donner plus de sens à l’autorisation d’emplois votée par le Parlement et à son caractère limitatif, l’article 11 de la LPFP 2018‑2022 a introduit, à compter du projet de loi de finances (PLF) pour 2019, un nouveau mode de calcul du plafond d’emplois qui permet de contenir la hausse du plafond à +1 % de la consommation d’emplois « constatée dans la dernière loi de règlement, corrigée de l’incidence des schémas d’emplois, des mesures de transfert et des mesures de périmètre intervenus ou prévus ». Ainsi, par application de ce dispositif, le plafond d’emplois a baissé de 10 805 ETPT au PLF pour 2019, de 7 178 ETPT au PLF pour 2020 et de 427 ETPT au PLF pour 2021, diminuant mécaniquement et significativement la vacance sous plafond qui se limite à fin 2021 à 21 099 ETPT (contre 33 491 ETPT en 2017) ce qui représente 1,08 % du plafond d’emploi voté en LFI 2021.

Afin de donner plus de sens à l’autorisation d’emplois votée par le Parlement et à son caractère limitatif, l’article 11 de la LPFP 2018‑2022 a introduit, à compter du projet de loi de finances (PLF) pour 2019, un nouveau mode de calcul du plafond d’emplois qui permet de contenir la hausse du plafond à +1 % de la consommation d’emplois « constatée dans la dernière loi de règlement, corrigée de l’incidence des schémas d’emplois, des mesures de transfert et des mesures de périmètre intervenus ou prévus ». Ainsi, par application de ce dispositif, le plafond d’emplois a baissé de 10 805 ETPT au PLF pour 2019, de 7 178 ETPT au PLF pour 2020 et de 427 ETPT au PLF pour 2021, diminuant mécaniquement et significativement la vacance sous plafond qui se limite à fin 2021 à 21 099 ETPT (contre 33 491 ETPT en 2017) ce qui représente 1,08 % du plafond d’emploi voté en LFI 2021.



Compte tenu de l’efficacité du dispositif, la présente LPFP étend ce mécanisme d’abattement automatique aux opérateurs au sein desquels est constatée une vacance sous plafond structurelle de plus de 5 % des plafonds votés en LFI (22 298 ETPT en moyenne sur la période 2018‑2021), soit bien au‑delà d’une vacance frictionnelle. Ainsi, comme pour l’État, la diminution progressive de cette vacance permettra une meilleure maîtrise de l’évolution des effectifs des opérateurs et un renforcement de la portée du vote parlementaire.


(Alinéa sans modification)

Compte tenu de l’efficacité du dispositif, la présente LPFP étend ce mécanisme d’abattement automatique aux opérateurs au sein desquels est constatée une vacance sous plafond structurelle de plus de 5 % des plafonds votés en LFI en 2024, 4 % en 2025 et 2026, et 3% en 2027, soit bien au delà d’une vacance frictionnelle. Ainsi, comme pour l’État, la diminution progressive de cette vacance permettra une meilleure maîtrise de l’évolution des effectifs des opérateurs et un renforcement de la portée du vote parlementaire.

Compte tenu de l’efficacité du dispositif, la présente LPFP étend ce mécanisme d’abattement automatique aux opérateurs au sein desquels est constatée une vacance sous plafond structurelle de plus de 5 % des plafonds votés en LFI en 2024, 4 % en 2025 et 2026, et 3 % en 2027, soit bien au delà d’une vacance frictionnelle. Ainsi, comme pour l’État, la diminution progressive de cette vacance permettra une meilleure maîtrise de l’évolution des effectifs des opérateurs et un renforcement de la portée du vote parlementaire.


Compte tenu de l’efficacité du dispositif, la présente LPFP étend ce mécanisme d’abattement automatique aux opérateurs au sein desquels est constatée une vacance sous plafond structurelle de plus de 5 % des plafonds votés en LFI en 2024, 4 % en 2025 et 2026, et 3 % en 2027, soit bien au‑delà d’une vacance frictionnelle. Ainsi, comme pour l’État, la diminution progressive de cette vacance permettra une meilleure maîtrise de l’évolution des effectifs des opérateurs et un renforcement de la portée du vote parlementaire.

Compte tenu de l’efficacité du dispositif, la présente loi de programmation étend ce mécanisme d’abattement automatique aux opérateurs au sein desquels est constatée une vacance sous plafond structurelle de plus de 5 % des plafonds votés en LFI en 2024, 4 % en 2025 et 2026, et 3 % en 2027, soit bien au delà d’une vacance frictionnelle. Ainsi, comme pour l’État, la diminution progressive de cette vacance permettra une meilleure maîtrise de l’évolution des effectifs des opérateurs et un renforcement de la portée du vote parlementaire.

Compte tenu de l’efficacité du dispositif, la présente loi de programmation étend ce mécanisme d’abattement automatique aux opérateurs au sein desquels est constatée une vacance sous plafond structurelle de plus de 5 % des plafonds votés en LFI en 2024, 4 % en 2025 et 2026, et 3 % en 2027, soit bien au delà d’une vacance frictionnelle. Ainsi, comme pour l’État, la diminution progressive de cette vacance permettra une meilleure maîtrise de l’évolution des effectifs des opérateurs et un renforcement de la portée du vote parlementaire.



7. Les collectivités territoriales contribueront à l’effort de maîtrise de la dépense publique tout en étant soutenues dans leurs investissements.

7. (Non modifié)

7. (Non modifié)

4. Les collectivités territoriales contribueront à l’effort de maîtrise de la dépense publique tout en étant soutenues dans leurs investissements

4. (Alinéa sans modification)


4. (Non modifié)

4. Les collectivités territoriales contribueront à l’effort de maîtrise de la dépense publique tout en étant soutenues dans leurs investissements

4. Les collectivités territoriales contribueront à l’effort de maîtrise de la dépense publique tout en étant soutenues dans leurs investissements



Les collectivités territoriales contribueront à l’effort de réduction du déficit public et de maîtrise de la dépense publique. Les modalités concrètes selon lesquelles les collectivités sont associées à cet effort sont en cours d’élaboration en concertation avec elles afin d’en partager pleinement les enjeux.



Les collectivités territoriales contribueront à l’effort de réduction du déficit public et de maîtrise de la dépense publique. Les modalités concrètes selon lesquelles les collectivités sont associées à cet effort sont en cours d’élaboration en concertation avec elles afin d’en partager pleinement les enjeux. La création d’un Haut Conseil des finances publiques locales permettra le suivi de la mise en œuvre annuelle des objectifs des lois de programmation des finances publiques (LPFP) et du programme de stabilité, ainsi que de l’examen des initiatives visant au respect de ces objectifs en particulier la proposition de revues de dépenses dans le champ des administrations publiques locales.

Les collectivités territoriales contribueront à l’effort de réduction du déficit public et de maîtrise de la dépense publique. Les modalités concrètes selon lesquelles les collectivités sont associées à cet effort sont en cours d’élaboration en concertation avec elles afin d’en partager pleinement les enjeux. La création d’un Haut Conseil des finances publiques locales permettra le suivi de la mise en œuvre annuelle des objectifs des lois de programmation des finances publiques (LPFP) et du programme de stabilité ainsi que de l’examen des initiatives visant au respect de ces objectifs en particulier la proposition de revues de dépenses dans le champ des administrations publiques locales.



Les collectivités territoriales contribueront à l’effort de réduction du déficit public et de maîtrise de la dépense publique. Les modalités concrètes selon lesquelles les collectivités sont associées à cet effort sont en cours d’élaboration en concertation avec elles afin d’en partager pleinement les enjeux. La création d’un Haut Conseil des finances publiques locales permettra le suivi de la mise en œuvre annuelle des objectifs des lois de programmation des finances publiques et du programme de stabilité ainsi que de l’examen des initiatives visant au respect de ces objectifs en particulier la proposition de revues de dépenses dans le champ des administrations publiques locales.

Les collectivités territoriales contribueront à l’effort de réduction du déficit public et de maîtrise de la dépense publique. Les modalités concrètes selon lesquelles les collectivités sont associées à cet effort sont en cours d’élaboration en concertation avec elles afin d’en partager pleinement les enjeux. La création d’un Haut Conseil des finances publiques locales permettra le suivi de la mise en œuvre annuelle des objectifs des lois de programmation des finances publiques et du programme de stabilité ainsi que de l’examen des initiatives visant au respect de ces objectifs en particulier la proposition de revues de dépenses dans le champ des administrations publiques locales.



La contribution à la maîtrise de la dépense publique qui est demandée aux collectivités ne repose pas sur une baisse programmée des concours de l’État sur la période – lesquels au contraire progresseront entre 2023 et 2027 afin de renforcer notamment leurs moyens pour qu’elles investissent et participent à la transition écologique – mais sur la maîtrise de la progression de leurs dépenses de fonctionnement.



(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)



La contribution à la maîtrise de la dépense publique qui est demandée aux collectivités ne repose pas sur une baisse programmée des concours de l’État sur la période – lesquels au contraire progresseront entre 2023 et 2027 afin de renforcer notamment leurs moyens pour qu’elles investissent et participent à la transition écologique – mais sur la maîtrise de la progression de leurs dépenses de fonctionnement.

La contribution à la maîtrise de la dépense publique qui est demandée aux collectivités ne repose pas sur une baisse programmée des concours de l’État sur la période – lesquels au contraire progresseront entre 2023 et 2027 afin de renforcer notamment leurs moyens pour qu’elles investissent et participent à la transition écologique – mais sur la maîtrise de la progression de leurs dépenses de fonctionnement.



Le projet de loi de programmation comporte ainsi des objectifs relatifs aux dépenses réelles de fonctionnement, à l’instar des dispositions prévues dans la dernière LPFP. Ces objectifs d’évolution aideront les élus et les gestionnaires de collectivités à se positionner en apportant des éléments d’objectivation et de comparaison sur l’évolution de leurs dépenses de fonctionnement.



La présente loi de programmation comporte ainsi une trajectoire des concours financiers de l’État aux collectivités ainsi que des objectifs relatifs à leurs dépenses réelles de fonctionnement. Ces derniers aideront les élus et les gestionnaires de collectivités à se positionner en apportant des éléments d’objectivation et de comparaison sur l’évolution de leurs dépenses de fonctionnement. La modération de celles‑ci renforcera de surcroît la capacité d’autofinancement des collectivités, et par là même leurs investissements dans des priorités comme la transition écologique des territoires.

(Alinéa sans modification)



La présente loi de programmation comporte ainsi une trajectoire des concours financiers de l’État aux collectivités ainsi que des objectifs relatifs à leurs dépenses réelles de fonctionnement. Ces derniers aideront les élus et les gestionnaires de collectivités à se positionner en apportant des éléments d’objectivation et de comparaison sur l’évolution de leurs dépenses de fonctionnement. La modération de celles‑ci renforcera de surcroît la capacité d’autofinancement des collectivités, et par là même leurs investissements dans des priorités comme la transition écologique des territoires.

La présente loi de programmation comporte ainsi une trajectoire des concours financiers de l’État aux collectivités ainsi que des objectifs relatifs à leurs dépenses réelles de fonctionnement. Ces derniers aideront les élus et les gestionnaires de collectivités à se positionner en apportant des éléments d’objectivation et de comparaison sur l’évolution de leurs dépenses de fonctionnement. La modération de celles‑ci renforcera de surcroît la capacité d’autofinancement des collectivités, et par là même leurs investissements dans des priorités comme la transition écologique des territoires.



Ces objectifs s’inscrivent également dans les engagements budgétaires européens de la France et enrichissent le dialogue et la concertation entre l’État et les collectivités locales.



Ces objectifs s’inscrivent également dans les engagements budgétaires européens de la France et enrichissent le dialogue et la concertation entre l’État et les collectivités territoriales.

(Alinéa sans modification)



Ces objectifs s’inscrivent également dans les engagements budgétaires européens de la France et enrichissent le dialogue et la concertation entre l’État et les collectivités territoriales.

Ces objectifs s’inscrivent également dans les engagements budgétaires européens de la France et enrichissent le dialogue et la concertation entre l’État et les collectivités territoriales.



La modération des dépenses de fonctionnement permettra aux collectivités de renforcer leur capacité d’autofinancement et ainsi d’investir pour conduire la transition écologique dans les territoires.



(Alinéa supprimé)







8. Les administrations de sécurité sociale font aussi l’objet d’un encadrement plus précis qui permet de financer l’évolution nécessaire du système social français.

8. (Non modifié)

8. (Alinéa sans modification)

5. Les administrations de sécurité sociale font aussi l’objet d’un encadrement plus précis qui permet de financer l’évolution nécessaire du système social français

5. (Non modifié)


5. (Non modifié)

5. Les administrations de sécurité sociale font aussi l’objet d’un encadrement plus précis qui permet de financer l’évolution nécessaire du système social français

5. Les administrations de sécurité sociale font aussi l’objet d’un encadrement plus précis qui permet de financer l’évolution nécessaire du système social français



Le projet de loi de programmation reconduit le ratio de 14 % entre le montant annuel des exonérations, abattements et réduction de taux et les recettes du champ des régimes obligatoires de base de sécurité sociale et du fonds de solidarité vieillesse. Ce mécanisme permet d’inciter à la maîtrise des exonérations et à la régulation des niches sociales les moins efficientes.


Le projet de loi de programmation reconduit le ratio de 14 % entre le montant annuel des exonérations, abattements et réductions de taux et les recettes du champ des régimes obligatoires de base de sécurité sociale et du fonds de solidarité vieillesse. Ce mécanisme permet d’inciter à la maîtrise des exonérations et à la régulation des niches sociales les moins efficientes.

Le projet de loi de programmation reconduit le ratio de 14 % entre le montant annuel des exonérations, des abattements et des réductions de taux et les recettes du champ des régimes obligatoires de base de sécurité sociale et du fonds de solidarité vieillesse. Ce mécanisme permet d’inciter à la maîtrise des exonérations et à la régulation des niches sociales les moins efficientes.




Le projet de loi de programmation reconduit le ratio de 14 % entre le montant annuel des exonérations, des abattements et des réductions de taux et les recettes du champ des régimes obligatoires de base de sécurité sociale et du Fonds de solidarité vieillesse. Ce mécanisme permet d’inciter à la maîtrise des exonérations et à la régulation des niches sociales les moins efficientes.

Le projet de loi de programmation reconduit le ratio de 14 % entre le montant annuel des exonérations, des abattements et des réductions de taux et les recettes du champ des régimes obligatoires de base de sécurité sociale et du Fonds de solidarité vieillesse. Ce mécanisme permet d’inciter à la maîtrise des exonérations et à la régulation des niches sociales les moins efficientes.



Les dépenses sociales font aussi l’objet dorénavant d’un plafonnement dans la durée (trois ans), à l’instar du mécanisme mis en place pour les niches fiscales et les aides aux entreprises ; ce délai permettra qu’une évaluation régulière de ces dépenses soit menée avant une éventuelle prorogation.


(Alinéa sans modification)

Les niches sociales font aussi l’objet dorénavant d’un plafonnement dans la durée (trois ans), à l’instar du mécanisme mis en place pour les niches fiscales et les aides aux entreprises ; ce délai permettra qu’une évaluation régulière de ces dépenses soit menée avant une éventuelle prorogation.




Les niches sociales font aussi l’objet dorénavant d’un plafonnement dans la durée (trois ans), à l’instar du mécanisme mis en place pour les niches fiscales et les aides aux entreprises ; ce délai permettra qu’une évaluation régulière de ces dépenses soit menée avant une éventuelle prorogation.

Les niches sociales font aussi l’objet dorénavant d’un plafonnement dans la durée (trois ans), à l’instar du mécanisme mis en place pour les niches fiscales et les aides aux entreprises ; ce délai permettra qu’une évaluation régulière de ces dépenses soit menée avant une éventuelle prorogation.



Conformément au cadre organique défini par la loi organique relative aux lois de finances du 1er août 2001, le projet de LPFP 2023‑2027 détermine l’objectif de dépenses des régimes obligatoires de base de sécurité sociale et des organismes concourant à leur financement. Selon les modifications apportées à loi organique relative aux lois de finances par la loi organique relative à la modernisation de la gestion des finances publiques, la LPFP définit en plus de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie (ONDAM) de l’ensemble de ses régimes, le taux d’évolution de ses sous‑objectifs. La LPFP permet de cette manière de mieux suivre l’évolution des dépenses des sous‑objectifs de l’ONDAM et donc d’orienter plus précisément les politiques publiques vers les sous‑secteurs qui le nécessitent le plus. Par ailleurs, le dispositif de mise en réserve de l’ONDAM à 0,3 % est reconduit.


(Alinéa sans modification)

Conformément au cadre organique défini par la loi organique du 1er août 2001 relative aux lois de finances, le projet de LPFP 2023‑2027 détermine l’objectif de dépenses des régimes obligatoires de base de sécurité sociale et des organismes concourant à leur financement. Selon les modifications apportées à loi organique relative aux lois de finances par la loi organique relative à la modernisation de la gestion des finances publiques, la LPFP définit, en plus de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie (ONDAM) de l’ensemble de ses régimes, le taux d’évolution de ses sous‑objectifs. La LPFP permet de cette manière de mieux suivre l’évolution des dépenses des sous‑objectifs de l’ONDAM et donc d’orienter plus précisément les politiques publiques vers les sous‑secteurs qui le nécessitent le plus. Par ailleurs, le dispositif de mise en réserve de l’ONDAM à 0,3 % est reconduit.




Conformément au cadre organique défini par la loi organique du 1er août 2001 relative aux lois de finances, la présente loi de programmation détermine l’objectif de dépenses des régimes obligatoires de base de sécurité sociale et des organismes concourant à leur financement. Selon les modifications apportées à loi organique relative aux lois de finances par la loi organique relative à la modernisation de la gestion des finances publiques, la LPFP définit, en plus de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie (ONDAM) de l’ensemble de ses régimes, le taux d’évolution de ses sous‑objectifs. La LPFP permet de cette manière de mieux suivre l’évolution des dépenses des sous‑objectifs de l’ONDAM et donc d’orienter plus précisément les politiques publiques vers les sous‑secteurs qui le nécessitent le plus. Par ailleurs, le dispositif de mise en réserve de l’ONDAM à 0,3 % est reconduit.

Conformément au cadre organique défini par la loi organique du 1er août 2001 relative aux lois de finances, la présente loi de programmation détermine l’objectif de dépenses des régimes obligatoires de base de sécurité sociale et des organismes concourant à leur financement. Selon les modifications apportées à loi organique relative aux lois de finances par la loi organique relative à la modernisation de la gestion des finances publiques, la LPFP définit, en plus de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie (ONDAM) de l’ensemble de ses régimes, le taux d’évolution de ses sous‑objectifs. La LPFP permet de cette manière de mieux suivre l’évolution des dépenses des sous‑objectifs de l’ONDAM et donc d’orienter plus précisément les politiques publiques vers les sous‑secteurs qui le nécessitent le plus. Par ailleurs, le dispositif de mise en réserve de l’ONDAM à 0,3 % est reconduit.



Selon les dispositions de la LPFP 2018‑2022, les dépenses de gestion administrative exécutées dans le cadre des conventions d’objectifs et gestion (COG) signées à compter du 1er janvier 2018 entre l’État et les régimes obligatoires de sécurité sociale devaient diminuer globalement d’au moins 1,5 % en moyenne annuelle sur la période 2018‑2022, à champ constant. Cette disposition, ayant montré leur efficacité dans la maîtrise des dépenses de gestion administrative, est reconduite dans le projet de loi de programmation avec un objectif de stabilité conformément à l’article 18. Ce mécanisme de stabilité s’applique aussi aux dépenses de gestion administrative exécutées par l’établissement de retraite additionnelle de la fonction publique.


(Alinéa sans modification)

Selon les dispositions de la LPFP 2018‑2022, les dépenses de gestion administrative exécutées dans le cadre des conventions d’objectifs et gestion (COG) signées à compter du 1er janvier 2018 entre l’État et les régimes obligatoires de sécurité sociale devaient diminuer globalement d’au moins 1,5 % en moyenne annuelle sur la période 2018‑2022, à champ constant. Cette disposition, ayant montré son efficacité dans la maîtrise des dépenses de gestion administrative, est reconduite dans le projet de loi de programmation avec un objectif, au plus, de non‑augmentation conformément à l’article 18. Ce mécanisme de stabilité s’applique aussi aux dépenses de gestion administrative exécutées par l’établissement de retraite additionnelle de la fonction publique.




Selon les dispositions de la LPFP 2018‑2022, les dépenses de gestion administrative exécutées dans le cadre des conventions d’objectifs et gestion (COG) signées à compter du 1er janvier 2018 entre l’État et les régimes obligatoires de sécurité sociale devaient diminuer globalement d’au moins 1,5 % en moyenne annuelle sur la période 2018‑2022, à champ constant. Cette disposition, ayant montré son efficacité dans la maîtrise des dépenses de gestion administrative, est reconduite dans le projet de loi de programmation avec un objectif, au plus, de non‑augmentation conformément à l’article 19. Ce mécanisme de stabilité s’applique aussi aux dépenses de gestion administrative exécutées par l’établissement de retraite additionnelle de la fonction publique.

Selon les dispositions de la LPFP 2018‑2022, les dépenses de gestion administrative exécutées dans le cadre des conventions d’objectifs et gestion (COG) signées à compter du 1er janvier 2018 entre l’État et les régimes obligatoires de sécurité sociale devaient diminuer globalement d’au moins 1,5 % en moyenne annuelle sur la période 2018‑2022, à champ constant. Cette disposition, ayant montré son efficacité dans la maîtrise des dépenses de gestion administrative, est reconduite dans le projet de loi de programmation avec un objectif, au plus, de non‑augmentation conformément à l’article 19. Ce mécanisme de stabilité s’applique aussi aux dépenses de gestion administrative exécutées par l’établissement de retraite additionnelle de la fonction publique.



F. Une trajectoire pluriannuelle pour bâtir la France de demain


(Alinéa sans modification)

F Une trajectoire pluriannuelle pour bâtir la France de demain

F. – (Alinéa sans modification)

F. – (Non modifié)

F. – (Alinéa sans modification)

F. – Une trajectoire pluriannuelle pour bâtir la France de demain

F. – Une trajectoire pluriannuelle pour bâtir la France de demain



1. Les dépenses d’investissement des administrations publiques.

1. (Non modifié)

1. (Alinéa sans modification)

1. (Alinéa sans modification)

1. (Alinéa sans modification)


1. (Alinéa sans modification)

1. Les dépenses d’investissement des administrations publiques.

1. Les dépenses d’investissement des administrations publiques.



La loi organique relative à la modernisation de la gestion des finances publiques du 28 décembre 2021 a inséré dans la loi organique relative aux lois de finances du 1er août 2001 (LOLF) une disposition prévoyant que la LPFP « détermine, pour l’ensemble de la période de programmation, une prévision d’évolution […] du montant des dépenses des administrations publiques considérées comme des dépenses d’investissement » (article 1er A de la LOLF).


(Alinéa sans modification)

La loi organique du 28 décembre 2021 relative à la modernisation de la gestion des finances publiques a inséré dans la loi organique du 1er août 2001 relative aux lois de finances (LOLF) une disposition prévoyant que la LPFP « détermine, pour l’ensemble de la période de programmation, une prévision d’évolution […] du montant des dépenses des administrations publiques considérées comme des dépenses d’investissement » (article 1er A de la LOLF).

(Alinéa sans modification)


(Alinéa sans modification)

La loi organique du 28 décembre 2021 relative à la modernisation de la gestion des finances publiques a inséré dans la loi organique du 1er août 2001 relative aux lois de finances (LOLF) une disposition prévoyant que la LPFP « détermine, pour l’ensemble de la période de programmation, une prévision d’évolution […] du montant des dépenses des administrations publiques considérées comme des dépenses d’investissement » (article 1er A de la LOLF).

La loi organique du 28 décembre 2021 relative à la modernisation de la gestion des finances publiques a inséré dans la loi organique du 1er août 2001 relative aux lois de finances (LOLF) une disposition prévoyant que la LPFP « détermine, pour l’ensemble de la période de programmation, une prévision d’évolution […] du montant des dépenses des administrations publiques considérées comme des dépenses d’investissement » (article 1er A de la LOLF).



La prévision retenue est construite sur l’agrégat et selon la méthodologie suivante : d’une part, les crédits budgétaires programmés sur la mission « Investir pour la France de 2030 », qui portent à la fois les mesures spécifiques de « France 2030 » et celles du 4ème Programme d’investissements d’avenir (PIA4), soit 6,1 Md€ en PLF 2023 ; d’autre part, les crédits correspondant à titre prévisionnel à des « dépenses d’investissement » au sens de l’article 5 de la loi organique relative aux lois de finances, soit les crédits dits de « titre 5 » dans la nomenclature des charges budgétaires.


(Alinéa sans modification)

La prévision retenue est construite sur l’agrégat et selon la méthodologie suivante : d’une part, les crédits budgétaires programmés sur la mission « Investir pour la France de 2030 », qui portent à la fois les mesures spécifiques de « France 2030 » et celles du quatrième programme d’investissements d’avenir (PIA4), soit 6,1 milliards en LFI 2023 ; d’autre part, les crédits correspondant à titre prévisionnel à des « dépenses d’investissement » au sens de l’article 5 de la loi organique relative aux lois de finances, soit les crédits dits de « titre 5 » dans la nomenclature des charges budgétaires.

La prévision retenue est construite sur l’agrégat et selon la méthodologie suivante : d’une part, les crédits budgétaires programmés sur la mission « Investir pour la France de 2030 », qui portent à la fois les mesures spécifiques de « France 2030 » et celles du quatrième programme d’investissements d’avenir (PIA4), soit 6,1 milliards en loi de finances pour 2023 ; d’autre part, les crédits correspondant à titre prévisionnel à des « dépenses d’investissement » au sens de l’article 5 de la loi organique relative aux lois de finances, soit les crédits dits de « titre 5 » dans la nomenclature des charges budgétaires.


(Alinéa sans modification)

La prévision retenue est construite sur l’agrégat et selon la méthodologie suivante : d’une part, les crédits budgétaires programmés sur la mission « Investir pour la France de 2030 », qui portent à la fois les mesures spécifiques de « France 2030 » et celles du quatrième programme d’investissements d’avenir (PIA4), soit 6,1 milliards en loi de finances pour 2023 ; d’autre part, les crédits correspondant à titre prévisionnel à des « dépenses d’investissement » au sens de l’article 5 de la loi organique relative aux lois de finances, soit les crédits dits de « titre 5 » dans la nomenclature des charges budgétaires.

La prévision retenue est construite sur l’agrégat et selon la méthodologie suivante : d’une part, les crédits budgétaires programmés sur la mission « Investir pour la France de 2030 », qui portent à la fois les mesures spécifiques de « France 2030 » et celles du quatrième programme d’investissements d’avenir (PIA4), soit 6,1 milliards en loi de finances pour 2023 ; d’autre part, les crédits correspondant à titre prévisionnel à des « dépenses d’investissement » au sens de l’article 5 de la loi organique relative aux lois de finances, soit les crédits dits de « titre 5 » dans la nomenclature des charges budgétaires.



En effet, le plan « France 2030 » a vocation à contribuer à la croissance potentielle du produit intérieur brut et à accélérer la transformation structurelle du pays. Il fixe ainsi dix objectifs afin de répondre aux grands défis de notre temps, de faire émerger les futurs champions technologiques de demain et d’accompagner les transitions de nos secteurs d’excellence : énergie, automobile, aéronautique ou encore espace. La transition écologique est au cœur du plan « France 2030 » dont les crédits seront en grande partie consacrés à sa mise en œuvre.


(Alinéa sans modification)

En effet, le plan « France 2030 » a vocation à contribuer à la croissance potentielle du produit intérieur brut et à accélérer la transformation structurelle du pays. Il fixe ainsi dix objectifs afin de répondre aux grands défis de notre temps, de faire émerger les futurs champions technologiques de demain et d’accompagner les transitions de nos secteurs d’excellence : énergie, automobile, aéronautique ou encore espace. La transition écologique est au cœur du plan « France 2030 », dont les crédits seront en grande partie consacrés à sa mise en œuvre.

(Alinéa sans modification)


(Alinéa sans modification)

En effet, le plan « France 2030 » a vocation à contribuer à la croissance potentielle du produit intérieur brut et à accélérer la transformation structurelle du pays. Il fixe ainsi dix objectifs afin de répondre aux grands défis de notre temps, de faire émerger les futurs champions technologiques de demain et d’accompagner les transitions de nos secteurs d’excellence : énergie, automobile, aéronautique ou encore espace. La transition écologique est au cœur du plan « France 2030 », dont les crédits seront en grande partie consacrés à sa mise en œuvre.

En effet, le plan « France 2030 » a vocation à contribuer à la croissance potentielle du produit intérieur brut et à accélérer la transformation structurelle du pays. Il fixe ainsi dix objectifs afin de répondre aux grands défis de notre temps, de faire émerger les futurs champions technologiques de demain et d’accompagner les transitions de nos secteurs d’excellence : énergie, automobile, aéronautique ou encore espace. La transition écologique est au cœur du plan « France 2030 », dont les crédits seront en grande partie consacrés à sa mise en œuvre.



Les dépenses portées par la mission « Investir pour la France de 2030 » représentent un montant de 54 Md€ dont quasiment 22 milliards d’euros seront engagés sur la période 2023‑2024.


(Alinéa sans modification)

(Alinéa supprimé)







France 2030 intègre les ambitions du PIA4, qui combine deux logiques d’intervention : des investissements stratégiques et prioritaires ; des financements pérennes pour l’enseignement supérieur, la recherche et l’innovation. Le PIA permet d’accélérer le développement de technologies d’avenir portant sur marchés stratégiques et le développement de secteurs tels que les technologies vertes et numériques, la recherche médicale et les industries de la santé, les villes de demain, l’adaptation au changement climatique ou encore l’enseignement numérique. Les financements pérennes du PIA4 pour l’enseignement supérieur, la recherche et l’innovation ont pour ambition de pérenniser et amplifier l’efficacité des écosystèmes d’enseignement supérieur et de recherche créées par les précédents PIA mais aussi d’accompagner les entreprises innovantes.


France 2030 intègre les ambitions du PIA4, qui combine deux logiques d’intervention : des investissements stratégiques et prioritaires ; des financements pérennes pour l’enseignement supérieur, la recherche et l’innovation. Le PIA permet d’accélérer le développement de technologies d’avenir portant sur marchés stratégiques et le développement de secteurs tels que les technologies vertes et numériques, la recherche médicale et les industries de la santé, les villes de demain, l’adaptation au changement climatique ou encore l’enseignement numérique. Les financements pérennes du PIA4 pour l’enseignement supérieur, la recherche et l’innovation ont pour ambition de pérenniser et amplifier l’efficacité des écosystèmes d’enseignement supérieur et de recherche créés par les précédents PIA mais aussi d’accompagner les entreprises innovantes.

France 2030 intègre les ambitions du PIA4, qui combine deux logiques d’intervention : des investissements stratégiques et prioritaires ; des financements pérennes pour l’enseignement supérieur, la recherche et l’innovation. Le PIA permet d’accélérer le développement de technologies d’avenir portant sur des marchés stratégiques et le développement de secteurs tels que les technologies vertes et numériques, la recherche médicale et les industries de la santé, les villes de demain, l’adaptation au changement climatique ou encore l’enseignement numérique. Les financements pérennes du PIA4 pour l’enseignement supérieur, la recherche et l’innovation ont pour ambition de pérenniser et d’amplifier l’efficacité des écosystèmes d’enseignement supérieur et de recherche créés par les précédents PIA mais aussi d’accompagner les entreprises innovantes.

(Alinéa sans modification)


(Alinéa sans modification)

France 2030 intègre les ambitions du PIA4, qui combine deux logiques d’intervention : des investissements stratégiques et prioritaires ; des financements pérennes pour l’enseignement supérieur, la recherche et l’innovation. Le PIA permet d’accélérer le développement de technologies d’avenir portant sur des marchés stratégiques et le développement de secteurs tels que les technologies vertes et numériques, la recherche médicale et les industries de la santé, les villes de demain, l’adaptation au changement climatique ou encore l’enseignement numérique. Les financements pérennes du PIA4 pour l’enseignement supérieur, la recherche et l’innovation ont pour ambition de pérenniser et d’amplifier l’efficacité des écosystèmes d’enseignement supérieur et de recherche créés par les précédents PIA mais aussi d’accompagner les entreprises innovantes.

France 2030 intègre les ambitions du PIA4, qui combine deux logiques d’intervention : des investissements stratégiques et prioritaires ; des financements pérennes pour l’enseignement supérieur, la recherche et l’innovation. Le PIA permet d’accélérer le développement de technologies d’avenir portant sur des marchés stratégiques et le développement de secteurs tels que les technologies vertes et numériques, la recherche médicale et les industries de la santé, les villes de demain, l’adaptation au changement climatique ou encore l’enseignement numérique. Les financements pérennes du PIA4 pour l’enseignement supérieur, la recherche et l’innovation ont pour ambition de pérenniser et d’amplifier l’efficacité des écosystèmes d’enseignement supérieur et de recherche créés par les précédents PIA mais aussi d’accompagner les entreprises innovantes.



Au‑delà des investissements initiés dans le cadre du PIA4, plus de 8 milliards d’euros seront investis pour atteindre les trois premiers objectifs du plan France 2030 : l’émergence de réacteurs nucléaires de petite taille, l’hydrogène vert et la décarbonation de l’industrie française. Le plan « France 2030 » fixe également comme objectifs le développement des transports du futur, tels que la production du premier avion bas‑carbone et l’accélération de la production de véhicules électriques et hybrides ; l’investissement dans de nouveaux modes de production alimentaires plus sains, durables et traçables ; la production de biomédicaments et la création de dispositifs médicaux d’avenir. Le plan France 2030 financera enfin les ambitions de la France en matière spatiale ainsi que dans la poursuite de l’exploration des fonds marins.


(Alinéa sans modification)

Au delà des investissements initiés dans le cadre du PIA4, près de 30 milliards d’euros seront investis sur la période 2024‑2027 pour atteindre les trois premiers objectifs du plan France 2030 : l’émergence de réacteurs nucléaires de petite taille, l’hydrogène vert et la décarbonation de l’industrie française. Le plan « France 2030 » fixe également comme objectifs le développement des transports du futur, tels que la production du premier avion bas‑carbone et l’accélération de la production de véhicules électriques et hybrides, l’investissement dans de nouveaux modes de production alimentaires plus sains, durables et traçables, la production de biomédicaments et la création de dispositifs médicaux d’avenir. Le plan France 2030 financera enfin les ambitions de la France en matière spatiale ainsi que dans la poursuite de l’exploration des fonds marins.

(Alinéa sans modification)


Au‑delà des investissements initiés dans le cadre du PIA4, près de 30 milliards d’euros seront investis sur la période 2024‑2027 pour atteindre les trois premiers objectifs du plan France 2030 : l’émergence de réacteurs nucléaires de petite taille, l’hydrogène vert et la décarbonation de l’industrie française. Le plan « France 2030 » fixe également comme objectifs le développement des transports du futur, tels que la production du premier avion bas‑carbone et l’accélération de la production de véhicules électriques et hybrides, l’investissement dans de nouveaux modes de production alimentaires plus sains, durables et traçables, la production de biomédicaments et la création de dispositifs médicaux d’avenir. Le plan France 2030 financera enfin les ambitions de la France en matière spatiale ainsi que dans la poursuite de l’exploration des fonds marins.

Au delà des investissements initiés dans le cadre du PIA4, près de 30 milliards d’euros seront investis sur la période 2024‑2027 pour atteindre les trois premiers objectifs du plan France 2030 : l’émergence de réacteurs nucléaires de petite taille, l’hydrogène vert et la décarbonation de l’industrie française. Le plan « France 2030 » fixe également comme objectifs le développement des transports du futur, tels que la production du premier avion bas‑carbone et l’accélération de la production de véhicules électriques et hybrides, l’investissement dans de nouveaux modes de production alimentaires plus sains, durables et traçables, la production de biomédicaments et la création de dispositifs médicaux d’avenir. Le plan France 2030 financera enfin les ambitions de la France en matière spatiale ainsi que dans la poursuite de l’exploration des fonds marins.

Au delà des investissements initiés dans le cadre du PIA4, près de 30 milliards d’euros seront investis sur la période 2024‑2027 pour atteindre les trois premiers objectifs du plan France 2030 : l’émergence de réacteurs nucléaires de petite taille, l’hydrogène vert et la décarbonation de l’industrie française. Le plan « France 2030 » fixe également comme objectifs le développement des transports du futur, tels que la production du premier avion bas‑carbone et l’accélération de la production de véhicules électriques et hybrides, l’investissement dans de nouveaux modes de production alimentaires plus sains, durables et traçables, la production de biomédicaments et la création de dispositifs médicaux d’avenir. Le plan France 2030 financera enfin les ambitions de la France en matière spatiale ainsi que dans la poursuite de l’exploration des fonds marins.



En dehors de l’effort exceptionnel d’investissement engagé dans la transformation du pays, l’ensemble des ministères portent des dépenses qu’il est proposé de retenir dans l’agrégat de dépenses retracées au titre des dépenses considérées comme des dépenses d’investissement. La prévision présentée dans le projet de loi de programmation est ainsi fondée sur la trajectoire prévisionnelle de dépenses d’investissement comptabilisées en titre 5, qui représente quant à elle 19 Md€ en PLF 2023, et qui fera l’objet d’un suivi renforcé aux termes de la nouvelle loi organique, avec une identification spécifique de ces crédits au sein même des lois de finances. Ces dépenses sont essentiellement portées par la dynamique d’investissement du ministère des armées, contribuant au soutien de l’industrie et de l’innovation, par les dépenses immobilières, avec une priorité à la rénovation des bâtiments dans le cadre de la transition écologique et énergétique, et par l’investissement dans les systèmes d’information.


(Alinéa sans modification)

En dehors de l’effort exceptionnel d’investissement engagé dans la transformation du pays, l’ensemble des ministères portent des dépenses qu’il est proposé de retenir dans l’agrégat de dépenses retracées au titre des dépenses considérées comme des dépenses d’investissement. La prévision présentée dans le projet de loi de programmation est ainsi fondée sur la trajectoire prévisionnelle de dépenses d’investissement comptabilisées en titre 5, qui représente quant à elle plus de 19 milliards d’euros en LFI 2023, et qui fera l’objet d’un suivi renforcé aux termes de la nouvelle loi organique, avec une identification spécifique de ces crédits au sein même des lois de finances. Ces dépenses sont essentiellement portées par la dynamique d’investissement du ministère des armées, contribuant au soutien de l’industrie et de l’innovation, par les dépenses immobilières, avec une priorité à la rénovation des bâtiments dans le cadre de la transition écologique et énergétique, et par l’investissement dans les systèmes d’information.

En dehors de l’effort exceptionnel d’investissement engagé dans la transformation du pays, l’ensemble des ministères portent des dépenses qu’il est proposé de retenir dans l’agrégat de dépenses retracées au titre des dépenses considérées comme des dépenses d’investissement. La prévision présentée dans le projet de loi de programmation est ainsi fondée sur la trajectoire prévisionnelle de dépenses d’investissement comptabilisées en titre 5, qui représente quant à elle plus de 19 milliards d’euros en loi de finances pour 2023 et qui fera l’objet d’un suivi renforcé aux termes de la nouvelle loi organique, avec une identification spécifique de ces crédits au sein même des lois de finances. Ces dépenses sont essentiellement portées par la dynamique d’investissement du ministère des armées, contribuant au soutien de l’industrie et de l’innovation, par les dépenses immobilières, avec une priorité à la rénovation des bâtiments dans le cadre de la transition écologique et énergétique, et par l’investissement dans les systèmes d’information.


(Alinéa sans modification)

En dehors de l’effort exceptionnel d’investissement engagé dans la transformation du pays, l’ensemble des ministères portent des dépenses qu’il est proposé de retenir dans l’agrégat de dépenses retracées au titre des dépenses considérées comme des dépenses d’investissement. La prévision présentée dans le projet de loi de programmation est ainsi fondée sur la trajectoire prévisionnelle de dépenses d’investissement comptabilisées en titre 5, qui représente quant à elle plus de 19 milliards d’euros en loi de finances pour 2023 et qui fera l’objet d’un suivi renforcé aux termes de la nouvelle loi organique, avec une identification spécifique de ces crédits au sein même des lois de finances. Ces dépenses sont essentiellement portées par la dynamique d’investissement du ministère des armées, contribuant au soutien de l’industrie et de l’innovation, par les dépenses immobilières, avec une priorité à la rénovation des bâtiments dans le cadre de la transition écologique et énergétique, et par l’investissement dans les systèmes d’information.

En dehors de l’effort exceptionnel d’investissement engagé dans la transformation du pays, l’ensemble des ministères portent des dépenses qu’il est proposé de retenir dans l’agrégat de dépenses retracées au titre des dépenses considérées comme des dépenses d’investissement. La prévision présentée dans le projet de loi de programmation est ainsi fondée sur la trajectoire prévisionnelle de dépenses d’investissement comptabilisées en titre 5, qui représente quant à elle plus de 19 milliards d’euros en loi de finances pour 2023 et qui fera l’objet d’un suivi renforcé aux termes de la nouvelle loi organique, avec une identification spécifique de ces crédits au sein même des lois de finances. Ces dépenses sont essentiellement portées par la dynamique d’investissement du ministère des armées, contribuant au soutien de l’industrie et de l’innovation, par les dépenses immobilières, avec une priorité à la rénovation des bâtiments dans le cadre de la transition écologique et énergétique, et par l’investissement dans les systèmes d’information.



2. Le « budget vert », un outil de maîtrise de l’impact carbone du budget.

2. (Non modifié)

2. (Alinéa sans modification)

2. Le « budget vert », un outil de maîtrise de l’impact environnemental du budget

2. (Alinéa sans modification)


2. (Non modifié)

2. Le « budget vert », un outil de maîtrise de l’impact environnemental du budget

2. Le « budget vert », un outil de maîtrise de l’impact environnemental du budget



En 2017, lors du One planet summit, organisé en collaboration avec l’OCDE, la France a fait le choix de mettre en place une « budgétisation verte », afin d’évaluer l’adéquation du budget de l’État avec ses engagements environnementaux, dont l’Accord de Paris. La France est ainsi devenue, en 2020, le premier État à concrétiser cet exercice de cotation environnementale innovant, témoignant d’une volonté politique forte. Correspondant à la première partie du rapport sur l’impact environnemental du budget de l’État, le budget vert est publié chaque année en annexe du projet de loi de finances.


(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)



En 2017, lors du One Planet Summit, organisé en collaboration avec l’OCDE, la France a fait le choix de mettre en place une « budgétisation verte », afin d’évaluer l’adéquation du budget de l’État avec ses engagements environnementaux, dont l’accord de Paris. La France est ainsi devenue, en 2020, le premier État à concrétiser cet exercice de cotation environnementale innovant, témoignant d’une volonté politique forte. Correspondant à la première partie du rapport sur l’impact environnemental du budget de l’État, le budget vert est publié chaque année en annexe du projet de loi de finances.

En 2017, lors du One Planet Summit, organisé en collaboration avec l’OCDE, la France a fait le choix de mettre en place une « budgétisation verte », afin d’évaluer l’adéquation du budget de l’État avec ses engagements environnementaux, dont l’accord de Paris. La France est ainsi devenue, en 2020, le premier État à concrétiser cet exercice de cotation environnementale innovant, témoignant d’une volonté politique forte. Correspondant à la première partie du rapport sur l’impact environnemental du budget de l’État, le budget vert est publié chaque année en annexe du projet de loi de finances.



Depuis sa première édition annexée au PLF 2021, le budget vert présente la cotation favorable, défavorable, mixte ou neutre de l’ensemble des dépenses de l’État. La méthode de classification établie par la France permet de rendre compte de l’impact multidimensionnel des dépenses sur l’environnement, établi en fonction de six objectifs – la lutte et l’adaptation au changement climatique, la gestion des ressources en eau, la gestion des déchets, la lutte contre les pollutions et la prévention de la biodiversité eux‑mêmes inspirés de la taxonomie des activités au niveau européen. Le périmètre d’analyse des dépenses de l’État est par ailleurs ambitieux, puisque le Budget vert analyse l’ensemble des dépenses de l’État et toutes les dépenses fiscales.


(Alinéa sans modification)

Depuis sa première édition annexée au PLF pour 2021, le budget vert présente la cotation favorable, défavorable, mixte ou neutre de l’ensemble des dépenses de l’État. La méthode de classification établie par la France permet de rendre compte de l’impact multidimensionnel des dépenses sur l’environnement, établi en fonction de six objectifs – la lutte et l’adaptation au changement climatique, la gestion des ressources en eau, la gestion des déchets, la lutte contre les pollutions et la prévention de la biodiversité, eux‑mêmes inspirés de la taxonomie des activités au niveau européen. Le périmètre d’analyse des dépenses de l’État est par ailleurs ambitieux, puisque le budget vert analyse l’ensemble des dépenses de l’État et toutes les dépenses fiscales.

Depuis sa première édition annexée au projet de loi de finances (PLF) pour 2021, le budget vert présente la cotation favorable, défavorable, mixte ou neutre de l’ensemble des dépenses de l’État. La méthode de classification établie par la France permet de rendre compte de l’impact multidimensionnel des dépenses sur l’environnement, établi en fonction de six objectifs – la lutte et l’adaptation au changement climatique, la gestion des ressources en eau, la gestion des déchets, la lutte contre les pollutions et la prévention de la biodiversité, eux‑mêmes inspirés de la taxonomie des activités au niveau européen. Le périmètre d’analyse des dépenses de l’État est par ailleurs ambitieux, puisque le budget vert analyse l’ensemble des dépenses de l’État et toutes les dépenses fiscales.



Depuis sa première édition annexée au PLF pour 2021, le budget vert présente la cotation favorable, défavorable, mixte ou neutre de l’ensemble des dépenses de l’État. La méthode de classification établie par la France permet de rendre compte de l’impact multidimensionnel des dépenses sur l’environnement, établi en fonction de six objectifs – la lutte et l’adaptation au changement climatique, la gestion des ressources en eau, la gestion des déchets, la lutte contre les pollutions et la prévention de la biodiversité, eux‑mêmes inspirés de la taxonomie des activités au niveau européen. Le périmètre d’analyse des dépenses de l’État est par ailleurs ambitieux, puisque le budget vert analyse l’ensemble des dépenses de l’État et toutes les dépenses fiscales.

Depuis sa première édition annexée au PLF pour 2021, le budget vert présente la cotation favorable, défavorable, mixte ou neutre de l’ensemble des dépenses de l’État. La méthode de classification établie par la France permet de rendre compte de l’impact multidimensionnel des dépenses sur l’environnement, établi en fonction de six objectifs – la lutte et l’adaptation au changement climatique, la gestion des ressources en eau, la gestion des déchets, la lutte contre les pollutions et la prévention de la biodiversité, eux‑mêmes inspirés de la taxonomie des activités au niveau européen. Le périmètre d’analyse des dépenses de l’État est par ailleurs ambitieux, puisque le budget vert analyse l’ensemble des dépenses de l’État et toutes les dépenses fiscales.



Chaque édition du budget vert enrichit le périmètre des cotations et les informations disponibles dans le rapport. Pour le PLF 2022 les dépenses favorables à l’environnement ont été estimées à 32,5 Md€, les dépenses défavorables à l’environnement à 10,8 Md€ et les dépenses mixtes à 4,5 Md€. La troisième édition du budget vert, qui sera annexée au PLF 2023, est actuellement en préparation, et contient notamment la cotation du prélèvement sur recettes en faveur de l’Union européenne ainsi que la cotation du plan France 2030 pour l’année 2023.


(Alinéa sans modification)

Chaque édition du budget vert enrichit le périmètre des cotations et les informations disponibles dans le rapport. La troisième édition du budget vert, annexée au PLF 2023, a notamment intégré la cotation du prélèvement sur recettes en faveur de l’Union européenne ainsi que la cotation du plan France 2030 pour l’année 2023. Pour le PLF pour 2023, hors relance et hors dispositifs de soutien pour faire face à la hausse des prix de l’énergie, les dépenses favorables à l’environnement ont ainsi été estimées à 33,9 milliards d’euros les dépenses défavorables à l’environnement à 10,7 milliards d’euros et les dépenses mixtes à 2,3 Md€. Pour le PLF pour 2024, l’ensemble des explications relatives aux cotations des dépenses favorables, mixtes et défavorables sera publié en annexe du budget vert.

Chaque édition du budget vert enrichit le périmètre des cotations et les informations disponibles dans le rapport. La troisième édition du budget vert, annexée au PLF pour 2023, a notamment intégré la cotation du prélèvement sur recettes en faveur de l’Union européenne ainsi que la cotation du plan France 2030 pour l’année 2023. Pour le PLF pour 2023, hors relance et hors dispositifs de soutien pour faire face à la hausse des prix de l’énergie, les dépenses favorables à l’environnement ont ainsi été estimées à 33,9 milliards d’euros les dépenses défavorables à l’environnement à 10,7 milliards d’euros et les dépenses mixtes à 2,3 milliards d’euros. Pour le PLF pour 2024, l’ensemble des explications relatives aux cotations des dépenses favorables, mixtes et défavorables sera publié en annexe du budget vert.



Chaque édition du budget vert enrichit le périmètre des cotations et les informations disponibles dans le rapport. La troisième édition du budget vert, annexée au PLF pour 2023, a notamment intégré la cotation du prélèvement sur recettes en faveur de l’Union européenne ainsi que la cotation du plan France 2030 pour l’année 2023. Pour le PLF pour 2023, hors relance et hors dispositifs de soutien pour faire face à la hausse des prix de l’énergie, les dépenses favorables à l’environnement ont ainsi été estimées à 33,9 milliards d’euros, les dépenses défavorables à l’environnement à 10,7 milliards d’euros et les dépenses mixtes à 2,3 milliards d’euros. Pour le PLF pour 2024, l’ensemble des explications relatives aux cotations des dépenses favorables, mixtes et défavorables sera publié en annexe du budget vert.

Chaque édition du budget vert enrichit le périmètre des cotations et les informations disponibles dans le rapport. La troisième édition du budget vert, annexée au PLF pour 2023, a notamment intégré la cotation du prélèvement sur recettes en faveur de l’Union européenne ainsi que la cotation du plan France 2030 pour l’année 2023. Pour le PLF pour 2023, hors relance et hors dispositifs de soutien pour faire face à la hausse des prix de l’énergie, les dépenses favorables à l’environnement ont ainsi été estimées à 33,9 milliards d’euros, les dépenses défavorables à l’environnement à 10,7 milliards d’euros et les dépenses mixtes à 2,3 milliards d’euros. Pour le PLF pour 2024, l’ensemble des explications relatives aux cotations des dépenses favorables, mixtes et défavorables sera publié en annexe du budget vert.



Le budget vert permet de répondre à la demande d’une plus grande transparence de l’information en matière environnementale, émanant à la fois du Parlement, de la société civile et des citoyens. Déjà utilisé en 2021 et 2022 pour éclairer les négociations gouvernementales pour préparer le budget de l’État et les négociations entre ministères lors des conférences de budgétisation, il sert de fondement à une règle de gouvernance budgétaire instaurée par la LPFP, instaurant un objectif de baisse de 10% du ratio entre les dépenses brunes d’une part et les dépenses vertes et mixtes d’autre part, à l’horizon 2027 par rapport au niveau de la loi de finances initiales de 2022.


Le budget vert permet de répondre à la demande d’une plus grande transparence de l’information en matière environnementale, émanant à la fois du Parlement, de la société civile et des citoyens. Déjà utilisé en 2021 et 2022 pour éclairer les négociations gouvernementales pour préparer le budget de l’État et les négociations entre ministères lors des conférences de budgétisation, il sert de fondement à une règle de gouvernance budgétaire instaurée par la LPFP, instaurant un objectif de baisse de 10% du ratio entre les dépenses brunes d’une part et les dépenses vertes et mixtes d’autre part, à l’horizon 2027 par rapport au niveau de la loi de finances initiale de 2022.

Le budget vert permet de répondre à la demande d’une plus grande transparence de l’information en matière environnementale, émanant à la fois du Parlement, de la société civile et des citoyens. Désormais utilisé pour éclairer les négociations gouvernementales pour préparer le budget de l’État et les négociations entre ministères lors des conférences de budgétisation, il sert de fondement à une règle de gouvernance budgétaire instaurée par la présente loi, instaurant un objectif de baisse de 20 % du ratio entre les dépenses brunes d’une part et les dépenses vertes et mixtes d’autre part, à l’horizon 2027 par rapport au niveau de la loi de finances initiale de 2022.

(Alinéa sans modification)



Le budget vert permet de répondre à la demande d’une plus grande transparence de l’information en matière environnementale, émanant à la fois du Parlement, de la société civile et des citoyens. Désormais utilisé pour éclairer les négociations gouvernementales pour préparer le budget de l’État et les négociations entre ministères lors des conférences de budgétisation, il sert de fondement à une règle de gouvernance budgétaire instaurée par la présente loi, instaurant un objectif de baisse de 20 % du ratio entre les dépenses brunes, d’une part, et les dépenses vertes et mixtes, d’autre part, à l’horizon 2027 par rapport au niveau de la loi de finances initiale pour 2022.

Le budget vert permet de répondre à la demande d’une plus grande transparence de l’information en matière environnementale, émanant à la fois du Parlement, de la société civile et des citoyens. Désormais utilisé pour éclairer les négociations gouvernementales pour préparer le budget de l’État et les négociations entre ministères lors des conférences de budgétisation, il sert de fondement à une règle de gouvernance budgétaire instaurée par la présente loi, instaurant un objectif de baisse de 20 % du ratio entre les dépenses brunes, d’une part, et les dépenses vertes et mixtes, d’autre part, à l’horizon 2027 par rapport au niveau de la loi de finances initiale pour 2022.



III. – L’effort sera équitablement réparti entre les sous‑secteurs des administrations publiques

III. – (Alinéa sans modification)

III. – (Alinéa sans modification)

III. – (Alinéa sans modification)

III. – (Alinéa sans modification)

III. – (Alinéa sans modification)

III. – (Alinéa sans modification)

III. – L’effort sera équitablement réparti entre les sous‑secteurs des administrations publiques

III. – L’effort sera équitablement réparti entre les sous‑secteurs des administrations publiques



A. – La trajectoire de l’État

A. – (Non modifié)

A. – (Alinéa sans modification)

A. La trajectoire de l’État

A. – La trajectoire de l’État

A. – (Alinéa sans modification)

A. – (Alinéa sans modification)

A. – La trajectoire de l’État

A. – La trajectoire de l’État



Tableau : Dépenses, recettes et solde de l’État au sens de Maastricht (en points de PIB)


(Alinéa sans modification)

Dépenses, recettes et solde de l’État au sens de Maastricht

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Dépenses, recettes et solde de l’État au sens de Maastricht

Dépenses, recettes et solde de l’État au sens de Maastricht



202220232024202520262027
Dépenses totales État22,821,820,820,119,819,8
Recettes totales État17,316,315,815,615,515,6
Solde État au sens de Maastricht-5,5-5,4-5,0-4,5-4,3-4,2


202220232024202520262027
Dépenses totales État22,821,820,820,119,819,8
Recettes totales État17,316,315,815,615,515,6
Solde État au sens de Maastricht-5,5-5,4-5,0-4,5-4,3-4,2



202220232024202520262027
Dépenses totales État22,821,820,820,119,819,8
Recettes totales État17,316,315,815,615,515,6
Solde État au sens de Maastricht-5,5-5,4-5,0-4,5-4,3-4,2


(En points de PIB)
202220232024202520262027
Dépenses totales de l’État23,121,320,620,620,520,4
Recettes totales de l’État17,416,016,116,316,416,3
Solde de l’État au sens de Maastricht-5,7-5,3-4,6-4,2-4,1-4,0


(En points de PIB)
202220232024202520262027
Dépenses totales de l’État23,121,320,620,620,520,4
Recettes totales de l’État17,416,016,116,316,416,3
Solde de l’État au sens de Maastricht-5,7-5,3-4,6-4,2-4,1-4,0


(En points de PIB)
202220232024202520262027
Dépenses totales de l’État23,121,320,620,620,520,4
Recettes totales de l’État17,416,016,116,316,416,3
Solde de l’État au sens de Maastricht-5,7-5,3-4,6-4,2-4,1-4,0


(En points de PIB)
202220232024202520262027
Dépenses totales de l’État23,121,320,620,620,520,4
Recettes totales de l’État17,416,016,116,316,416,3
Solde de l’État au sens de Maastricht-5,7-5,3-4,6-4,2-4,1-4,0


(En points de PIB)
202220232024202520262027
Dépenses totales de l’État23,121,320,620,620,520,4
Recettes totales de l’État17,416,016,116,316,416,3
Solde de l’État au sens de Maastricht-5,7-5,3-4,6-4,2-4,1-4,0


(En points de PIB)
202220232024202520262027
Dépenses totales de l’État23,121,320,620,620,520,4
Recettes totales de l’État17,416,016,116,316,416,3
Solde de l’État au sens de Maastricht-5,7-5,3-4,6-4,2-4,1-4,0




1. La trajectoire des dépenses et des recettes de l’État


1. (Alinéa sans modification)

1. (Alinéa sans modification)

1. (Alinéa sans modification)

1. (Alinéa sans modification)

1. (Alinéa sans modification)

1. La trajectoire des dépenses et des recettes de l’État

1. La trajectoire des dépenses et des recettes de l’État



Le périmètre des dépenses de l’État défini à l’annexe 4 évolue sur la période de programmation selon le tableau suivant.


(Alinéa sans modification)

Le périmètre des dépenses de l’État (PDE), défini à l’article 9 de la présente loi, évolue sur la période de programmation selon le tableau suivant.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Le périmètre des dépenses de l’État (PDE), défini à l’article 10 de la présente loi, évolue sur la période de programmation selon le tableau suivant.

Le périmètre des dépenses de l’État (PDE), défini à l’article 10 de la présente loi, évolue sur la période de programmation selon le tableau suivant.



En Md€20232024202520262027
Périmètre des dépenses de l’État480485496501509


En Md€20232024202520262027
Périmètre des dépenses de l’État480485496501509


En Md€20232024202520262027
Périmètre des dépenses de l’État480485496501509


(En milliards d’euros)
20232024202520262027
Périmètre des dépenses de l’État (PDE)496491505512519


(En milliards d’euros)
20232024202520262027
Périmètre des dépenses de l’État (PDE)496491505512519


(En milliards d’euros)
20232024202520262027
Périmètre des dépenses de l’État (PDE)496491505512519


(En milliards d’euros)
20232024202520262027
Périmètre des dépenses de l’État (PDE)496491505512519


(En milliards d’euros)
20232024202520262027
Périmètre des dépenses de l’État (PDE)496491505512519


(En milliards d’euros)
20232024202520262027
Périmètre des dépenses de l’État (PDE)496491505512519




2. Un budget permettant de financer les priorités du Gouvernement


2. (Alinéa sans modification)

2. (Alinéa sans modification)

2. (Alinéa sans modification)

2. (Non modifié)

2. (Alinéa sans modification)

2. Un budget permettant de financer les priorités du Gouvernement

2. Un budget permettant de financer les priorités du Gouvernement






Les budgets ministériels prévus pour 2024 s’inscrivent dans la trajectoire de rétablissement des comptes publics, dans un contexte de sortie des crises sanitaire, énergétique et de l’inflation. Les dépenses de l’État (hors CAS « Pensions ») baissent entre la LFI pour 2023 et le PLF pour 2024 afin d’engager une trajectoire résolue de désendettement et de réduction des déficits publics. Cette baisse marque un effort d’autant plus important que l’inflation devrait demeurer en 2024 à 2,6 %.

Les budgets ministériels prévus pour 2024 s’inscrivent dans la trajectoire de rétablissement des comptes publics, dans un contexte de sortie des crises sanitaire, énergétique et de l’inflation. Les dépenses de l’État (hors CAS « Pensions ») baissent entre la loi de finances pour 2023 et le PLF pour 2024 afin d’engager une trajectoire résolue de désendettement et de réduction des déficits publics. Cette baisse marque un effort d’autant plus important que l’inflation devrait demeurer en 2024 à 2,6 %.


(Alinéa sans modification)

Les budgets ministériels prévus pour 2024 s’inscrivent dans la trajectoire de rétablissement des comptes publics, dans un contexte de sortie des crises sanitaire, énergétique et de l’inflation. Les dépenses de l’État (hors CAS « Pensions ») baissent entre la loi de finances pour 2023 et le PLF pour 2024, afin d’engager une trajectoire résolue de désendettement et de réduction des déficits publics. Cette baisse marque un effort d’autant plus important que l’inflation devrait demeurer en 2024 à 2,6 %.

Les budgets ministériels prévus pour 2024 s’inscrivent dans la trajectoire de rétablissement des comptes publics, dans un contexte de sortie des crises sanitaire, énergétique et de l’inflation. Les dépenses de l’État (hors CAS « Pensions ») baissent entre la loi de finances pour 2023 et le PLF pour 2024, afin d’engager une trajectoire résolue de désendettement et de réduction des déficits publics. Cette baisse marque un effort d’autant plus important que l’inflation devrait demeurer en 2024 à 2,6 %.



Les budgets ministériels prévus pour 2023 traduisent les engagements pris durant la campagne présidentielle. Ils permettent de préparer l’avenir, avec un accroissement des dépenses consacrées à l’éducation et à la transition écologique mais aussi à l’investissement productif, au travers du plan « France 2030 » dont la mise en œuvre se poursuit. Ce budget est également celui de l’accompagnement de la France vers le plein‑emploi. Il consacre enfin le réarmement des moyens régaliens, engagés dès 2017.


(Alinéa sans modification)

Ces projets de plafonds traduisent par ailleurs la priorité donnée à la planification écologique, avec un accroissement inédit de ses moyens. Ils permettent également de préparer l’avenir par l’accroissement des moyens alloués à l’enseignement ainsi quà l’investissement productif, notamment grâce au plan « France 2030 », dont le déploiement se poursuit.

(Alinéa sans modification)


(Alinéa sans modification)

Ces projets de plafonds traduisent par ailleurs la priorité donnée à la planification écologique, avec un accroissement inédit de ses moyens. Ils permettent également de préparer l’avenir par l’accroissement des moyens alloués à l’enseignement ainsi qu’à l’investissement productif, notamment grâce au plan « France 2030 », dont le déploiement se poursuit.

Ces projets de plafonds traduisent par ailleurs la priorité donnée à la planification écologique, avec un accroissement inédit de ses moyens. Ils permettent également de préparer l’avenir par l’accroissement des moyens alloués à l’enseignement ainsi qu’à l’investissement productif, notamment grâce au plan « France 2030 », dont le déploiement se poursuit.






Ils poursuivent le réarmement des fonctions régaliennes engagé dès 2017, dans le respect des lois de programmation. Le budget 2024 sera enfin celui du plein emploi grâce au lancement de France Travail et au renforcement des services publics pour tous les Français.

(Alinéa sans modification)


(Alinéa sans modification)

Ils poursuivent le réarmement des fonctions régaliennes engagé dès 2017, dans le respect des lois de programmation. Le budget 2024 sera enfin celui du plein emploi grâce au lancement de France Travail et au renforcement des services publics pour tous les Français.

Ils poursuivent le réarmement des fonctions régaliennes engagé dès 2017, dans le respect des lois de programmation. Le budget 2024 sera enfin celui du plein emploi grâce au lancement de France Travail et au renforcement des services publics pour tous les Français.



Soutenir l’éducation et la recherche


(Alinéa sans modification)








Le Gouvernement a fait de l’éducation l’une des priorités du nouveau quinquennat. Dans les premier et second degrés, l’ambition de renforcer l’attractivité du métier d’enseignant conduit à un rehaussement des crédits du ministère chargé de l’Education nationale, permettant de poursuivre et d’amplifier la revalorisation des rémunérations des personnels enseignants dès la rentrée 2023 et d’engager le Pacte pour les enseignants. S’agissant de l’enseignement supérieur et de la recherche, une hausse de de crédits est prévue, notamment au titre de la mise en œuvre de la loi de programmation de la recherche (LPR), et au titre du financement des mesures en faveur de la vie étudiante, notamment la revalorisation des bourses sur critères sociaux à hauteur de 4 % à la rentrée 2022.


Le Gouvernement a fait de l’éducation l’une des priorités du nouveau quinquennat. Dans les premier et second degrés, l’ambition de renforcer l’attractivité du métier d’enseignant conduit à un rehaussement des crédits du ministère chargé de l’éducation nationale, permettant de poursuivre et d’amplifier la revalorisation des rémunérations des personnels enseignants dès la rentrée 2023 et d’engager le Pacte pour les enseignants. S’agissant de l’enseignement supérieur et de la recherche, une hausse de crédits est prévue, notamment au titre de la mise en œuvre de la loi de programmation de la recherche (LPR), et au titre du financement des mesures en faveur de la vie étudiante, notamment la revalorisation des bourses sur critères sociaux à hauteur de 4 % à la rentrée 2022.








Renforcer les moyens au service de la transition écologique et de sa mise en œuvre territoriale


(Alinéa sans modification)

Financer la planification écologique et accroître l’investissement productif

(Alinéa sans modification)


(Alinéa sans modification)

Financer la planification écologique et accroître l’investissement productif

Financer la planification écologique et accroître l’investissement productif



La France s’est fixée des objectifs ambitieux en matière de transition énergétique, tant au niveau national qu’au niveau européen avec l’adoption du paquet « Fit for 55 », visant une réduction de 55 % des émissions de gaz à effet de serre d’ici à 2030.


(Alinéa sans modification)

La France s’est fixée des objectifs ambitieux en matière de transition écologique, tant au niveau national qu’au niveau européen avec l’adoption du paquet « Ajustement à l’objectif 55 », visant une réduction de 55 % des émissions de gaz à effet de serre d’ici à 2030.

(Alinéa sans modification)


La France s’est fixé des objectifs ambitieux en matière de transition écologique, tant au niveau national qu’au niveau européen avec l’adoption du paquet « Ajustement à l’objectif 55 », visant une réduction de 55 % des émissions de gaz à effet de serre d’ici à 2030.

La France s’est fixé des objectifs ambitieux en matière de transition écologique, tant au niveau national qu’au niveau européen avec l’adoption du paquet « Ajustement à l’objectif 55 », visant une réduction de 55 % des émissions de gaz à effet de serre d’ici à 2030.

La France s’est fixé des objectifs ambitieux en matière de transition écologique, tant au niveau national qu’au niveau européen avec l’adoption du paquet « Ajustement à l’objectif 55 », visant une réduction de 55 % des émissions de gaz à effet de serre d’ici à 2030.



Pour l’atteinte de ces objectifs, le budget alloué à l’écologie progressera au titre notamment du dispositif MaPrimeRénov’et du bonus écologique afin de renforcer l’accompagnement des ménages dans leurs démarches de rénovation énergétique des logements et de remplacement des véhicules thermiques.


(Alinéa sans modification)

Pour l’atteinte de ces objectifs, conformément aux annonces de la Première ministre, les moyens alloués à la planification écologique progresseront de 10 milliards d’euros d’autorisations d’engagement en 2024, correspondant à une hausse de 7 milliards d’euros des décaissements en 2024 par rapport à 2023, au titre par exemple du soutien à la rénovation des logements, dont les engagements seront augmentés de 1,6 milliards d’euros sur le budget de l’Agence nationale de l’habitat (ANAH), du « fonds vert » de soutien aux collectivités territoriales, qui sera reconduit et renforcé à hauteur de 2,5 milliards d’euros en capacité d’engagement, du « fonds chaleur », dont les engagements augmenteront de près de 60 %, ou encore de la rénovation énergétique de l’immobilier de l’État.

Pour l’atteinte de ces objectifs, conformément aux annonces de la Première ministre, les moyens alloués à la planification écologique progresseront de 10 milliards d’euros d’autorisations d’engagement en 2024, correspondant à une hausse de 7 milliards d’euros des décaissements en 2024 par rapport à 2023, au titre par exemple du soutien à la rénovation des logements, dont les engagements seront augmentés de 1,6 milliard d’euros sur le budget de l’Agence nationale de l’habitat (ANAH), du « fonds vert » de soutien aux collectivités territoriales, qui sera reconduit et renforcé à hauteur de 2,5 milliards d’euros en capacité d’engagement, du « fonds chaleur », dont les engagements augmenteront de près de 60 %, ou encore de la rénovation énergétique de l’immobilier de l’État.


(Alinéa sans modification)

Pour l’atteinte de ces objectifs, conformément aux annonces de la Première ministre, les moyens alloués à la planification écologique progresseront de 10 milliards d’euros d’autorisations d’engagement en 2024, correspondant à une hausse de 7 milliards d’euros des décaissements en 2024 par rapport à 2023, au titre par exemple du soutien à la rénovation des logements, dont les engagements seront augmentés de 1,6 milliard d’euros sur le budget de l’Agence nationale de l’habitat (ANAH), du « fonds vert » de soutien aux collectivités territoriales, qui sera reconduit et renforcé à hauteur de 2,5 milliards d’euros en capacité d’engagement, du « fonds chaleur », dont les engagements augmenteront de près de 60 %, ou encore de la rénovation énergétique de l’immobilier de l’État.

Pour l’atteinte de ces objectifs, conformément aux annonces de la Première ministre, les moyens alloués à la planification écologique progresseront de 10 milliards d’euros d’autorisations d’engagement en 2024, correspondant à une hausse de 7 milliards d’euros des décaissements en 2024 par rapport à 2023, au titre par exemple du soutien à la rénovation des logements, dont les engagements seront augmentés de 1,6 milliard d’euros sur le budget de l’Agence nationale de l’habitat (ANAH), du « fonds vert » de soutien aux collectivités territoriales, qui sera reconduit et renforcé à hauteur de 2,5 milliards d’euros en capacité d’engagement, du « fonds chaleur », dont les engagements augmenteront de près de 60 %, ou encore de la rénovation énergétique de l’immobilier de l’État.






Les engagements dédiés aux mobilités, notamment à l’évolution des infrastructures de transport et au verdissement du parc automobile, augmenteront pour leur part de 1,6 milliards d’euros.

Les engagements dédiés aux mobilités, notamment à l’évolution des infrastructures de transport et au verdissement du parc automobile, augmenteront pour leur part de 1,6 milliard d’euros.


(Alinéa sans modification)

Les engagements consacrés aux mobilités, notamment à l’évolution des infrastructures de transport et au verdissement du parc automobile, augmenteront pour leur part de 1,6 milliard d’euros.

Les engagements consacrés aux mobilités, notamment à l’évolution des infrastructures de transport et au verdissement du parc automobile, augmenteront pour leur part de 1,6 milliard d’euros.






S’agissant de l’agriculture et de la forêt, ce sont 1,3 milliard d’euros d’engagements et 0,8 milliard d’euros de crédits additionnels qui sont ajoutés dans le cadre de la planification écologique. Cela permettra notamment de financer un fonds national de souveraineté alimentaire, un renforcement des moyens dédiés aux plans « haies » et « protéines », un soutien important au renouvellement forestier et à la dynamisation de la filière bois ainsi qu’un renforcement des moyens dédiés à la protection des forêts contre les incendies.

(Alinéa sans modification)


(Alinéa sans modification)

S’agissant de l’agriculture et de la forêt, ce sont 1,3 milliard d’euros d’engagements et 0,8 milliard d’euros de crédits additionnels qui sont ajoutés dans le cadre de la planification écologique. Cela permettra notamment de financer un fonds national de souveraineté alimentaire, un renforcement des moyens consacrés aux plans « haies » et « protéines », un soutien important au renouvellement forestier et à la dynamisation de la filière bois ainsi qu’un renforcement des moyens consacrés à la protection des forêts contre les incendies.

S’agissant de l’agriculture et de la forêt, ce sont 1,3 milliard d’euros d’engagements et 0,8 milliard d’euros de crédits additionnels qui sont ajoutés dans le cadre de la planification écologique. Cela permettra notamment de financer un fonds national de souveraineté alimentaire, un renforcement des moyens consacrés aux plans « haies » et « protéines », un soutien important au renouvellement forestier et à la dynamisation de la filière bois ainsi qu’un renforcement des moyens consacrés à la protection des forêts contre les incendies.



Accroître l’investissement productif


(Alinéa sans modification)

(Alinéa supprimé)







Le Gouvernement renforce son soutien à l’investissement public et à l’innovation. Le plan « France 2030 », lancé en 2022, sera doté de 6 Md€ en 2023 afin de faire face aux défis liés aux transitions écologique et numérique, et de renforcer notre souveraineté pour une économie plus résiliente.


(Alinéa sans modification)

Le Gouvernement renforce également son soutien à l’investissement public et à l’innovation. Le plan France 2030, lancé en 2021, sera doté de 7,7 milliards d’euros en 2024 afin de faire face aux défis liés aux transitions écologique et numérique et de renforcer notre souveraineté pour une économie plus résiliente. Le budget 2024 permettra également de financer les mesures du projet de loi relatif à l’industrie verte, qui a pour ambition de faire de la France son chef de file en Europe.

(Alinéa sans modification)


(Alinéa sans modification)

Le Gouvernement renforce également son soutien à l’investissement public et à l’innovation. Le plan France 2030, lancé en 2021, sera doté de 7,7 milliards d’euros en 2024 afin de faire face aux défis liés aux transitions écologique et numérique et de renforcer notre souveraineté pour une économie plus résiliente. Le budget 2024 permettra également de financer les mesures du projet de loi relatif à l’industrie verte, qui a pour ambition de faire de la France son chef de file en Europe.

Le Gouvernement renforce également son soutien à l’investissement public et à l’innovation. Le plan France 2030, lancé en 2021, sera doté de 7,7 milliards d’euros en 2024 afin de faire face aux défis liés aux transitions écologique et numérique et de renforcer notre souveraineté pour une économie plus résiliente. Le budget 2024 permettra également de financer les mesures du projet de loi relatif à l’industrie verte, qui a pour ambition de faire de la France son chef de file en Europe.






Préparer l’avenir, c’est aussi investir dans l’éducation et la recherche.

(Alinéa sans modification)


(Alinéa sans modification)

Préparer l’avenir, c’est aussi investir dans l’éducation et la recherche.

Préparer l’avenir, c’est aussi investir dans l’éducation et la recherche.






La mission « Enseignement scolaire » connaîtra une hausse historique sur deux ans, et la plus forte progression en 2024 avec une hausse de 3,9 milliards d’euros (après une hausse de 3,7 milliards d’euros en 2023). Dans les premier et second degrés, l’ambition de renforcer l’attractivité du métier d’enseignant des filières générale et professionnelle conduira à poursuivre et à amplifier la revalorisation des rémunérations des professeurs grâce à la mise en œuvre du « Pacte pour les enseignants » à compter de la rentrée 2023. Seront par ailleurs financés la revalorisation des accompagnants d’élèves en situation de handicap (AESH) initiée par le Parlement en 2023, les gratifications des stagiaires de l’enseignement professionnel, le lancement des mesures de la Conférence nationale du handicap et une première amélioration de la rémunération des personnels administratifs et techniques.

(Alinéa sans modification)


(Alinéa sans modification)

La mission « Enseignement scolaire » connaîtra une hausse historique sur deux ans, et la plus forte progression en 2024 avec une hausse de 3,9 milliards d’euros (après une hausse de 3,7 milliards d’euros en 2023). Dans les premier et second degrés, l’ambition de renforcer l’attractivité du métier d’enseignant des filières générale et professionnelle conduira à poursuivre et à amplifier la revalorisation des rémunérations des professeurs grâce à la mise en œuvre du « pacte pour les enseignants » à compter de la rentrée 2023. Seront par ailleurs financés la revalorisation des accompagnants d’élèves en situation de handicap (AESH) initiée par le Parlement en 2023, les gratifications des stagiaires de l’enseignement professionnel, le lancement des mesures de la conférence nationale du handicap et une première amélioration de la rémunération des personnels administratifs et techniques.

La mission « Enseignement scolaire » connaîtra une hausse historique sur deux ans, et la plus forte progression en 2024 avec une hausse de 3,9 milliards d’euros (après une hausse de 3,7 milliards d’euros en 2023). Dans les premier et second degrés, l’ambition de renforcer l’attractivité du métier d’enseignant des filières générale et professionnelle conduira à poursuivre et à amplifier la revalorisation des rémunérations des professeurs grâce à la mise en œuvre du « pacte pour les enseignants » à compter de la rentrée 2023. Seront par ailleurs financés la revalorisation des accompagnants d’élèves en situation de handicap (AESH) initiée par le Parlement en 2023, les gratifications des stagiaires de l’enseignement professionnel, le lancement des mesures de la conférence nationale du handicap et une première amélioration de la rémunération des personnels administratifs et techniques.






S’agissant de l’enseignement supérieur et de la recherche, une hausse d’un milliard d’euros de crédits est prévue, notamment au titre de la mise en œuvre de la loi de programmation de la recherche et au titre du financement des mesures en faveur de la vie étudiante : la revalorisation des bourses sur critères sociaux (de 37 à 127e euros par mois), le ticket‑repas universitaire à 1 euro ainsi que le gel des loyers et la réhabilitation des logements du CROUS.

S’agissant de l’enseignement supérieur et de la recherche, une hausse d’un milliard d’euros de crédits est prévue, notamment au titre de la mise en œuvre de la loi de programmation de la recherche et au titre du financement des mesures en faveur de la vie étudiante : la revalorisation des bourses sur critères sociaux (de 37 à 127 euros par mois), le ticket‑repas universitaire à 1 euro ainsi que le gel des loyers et la réhabilitation des logements du CROUS.


(Alinéa sans modification)

S’agissant de l’enseignement supérieur et de la recherche, une hausse d’un milliard d’euros de crédits est prévue, notamment au titre de la mise en œuvre de la loi de programmation de la recherche et au titre du financement des mesures en faveur de la vie étudiante : la revalorisation des bourses sur critères sociaux (de 37 à 127 euros par mois), le ticket‑repas universitaire à 1 euro ainsi que le gel des loyers et la réhabilitation des logements du centre régional des œuvres universitaires (CROUS).

S’agissant de l’enseignement supérieur et de la recherche, une hausse d’un milliard d’euros de crédits est prévue, notamment au titre de la mise en œuvre de la loi de programmation de la recherche et au titre du financement des mesures en faveur de la vie étudiante : la revalorisation des bourses sur critères sociaux (de 37 à 127 euros par mois), le ticket‑repas universitaire à 1 euro ainsi que le gel des loyers et la réhabilitation des logements du centre régional des œuvres universitaires (CROUS).






Ces crédits consolident également les moyens permettant le financement de 150 000 missions de service civique, la montée en puissance du service national universel (SNU) en 2024 afin d’impliquer 80 000 jeunes dans la vie de la Nation, de promouvoir la notion d’engagement et de favoriser un sentiment d’unité nationale autour de valeurs communes.

(Alinéa sans modification)


(Alinéa sans modification)

Ces crédits consolident également les moyens permettant le financement de 150 000 missions de service civique et la montée en puissance du service national universel (SNU) en 2024 afin d’impliquer 80 000 jeunes dans la vie de la Nation, de promouvoir la notion d’engagement et de favoriser un sentiment d’unité nationale autour de valeurs communes.

Ces crédits consolident également les moyens permettant le financement de 150 000 missions de service civique et la montée en puissance du service national universel (SNU) en 2024 afin d’impliquer 80 000 jeunes dans la vie de la Nation, de promouvoir la notion d’engagement et de favoriser un sentiment d’unité nationale autour de valeurs communes.



Accompagner la France vers le plein‑emploi


(Alinéa sans modification)








Le budget pour 2023 matérialise également l’engagement fort du Gouvernement en faveur de l’objectif d’atteinte du plein‑emploi, avec un renforcement du budget du ministère du travail, du plein emploi et de l’insertion. Cette hausse inédite résulte principalement d’un maintien, après un soutien exceptionnel en 2020 et 2021 à l’activité partielle, de l’effort soutenu en faveur de l’apprentissage, afin d’accompagner la dynamique de la population d’apprentis, et en faveur de la formation, visant à mieux accompagner les demandeurs d’emploi et la formation des salariés.


(Alinéa sans modification)








Protéger les Français et poursuivre le réarmement du régalien


(Alinéa sans modification)

Protéger les Français et poursuivre le renforcement de nos moyens de défense

(Alinéa sans modification)


(Alinéa sans modification)

Protéger les Français et poursuivre le renforcement de nos moyens de défense

Protéger les Français et poursuivre le renforcement de nos moyens de défense



Dans le respect des engagements de la loi de programmation militaire (LPM), les moyens de la mission « Défense » connaîtront une hausse en 2023, qui permettra de financer la poursuite du maintien en condition opérationnelle (MCO) des équipements, de nouveaux programmes d’armements ainsi que l’investissement en faveur de la défense (spatial, renseignement, cyber sécurité) et un renforcement des effectifs du ministère.


(Alinéa sans modification)

Dans le respect des engagements de la loi de programmation militaire (LPM) récemment votée par le Parlement, les moyens de la mission « Défense » connaîtront une hausse de 3,3 milliards d’euros en 2024, ce qui permettra de financer le maintien en condition opérationnelle des équipements, de nouveaux programmes d’armement ainsi que l’investissement en faveur de la défense spatiale, du renseignement et de la cybersécurité. Cette hausse des moyens permettra également un renforcement des effectifs du ministère des armées.

(Alinéa sans modification)


(Alinéa sans modification)

Dans le respect des engagements de la loi de programmation militaire (LPM) récemment votée par le Parlement, les moyens de la mission « Défense » connaîtront une hausse de 3,3 milliards d’euros en 2024, ce qui permettra de financer le maintien en condition opérationnelle des équipements, de nouveaux programmes d’armement ainsi que l’investissement en faveur de la défense spatiale, du renseignement et de la cybersécurité. Cette hausse des moyens permettra également un renforcement des effectifs du ministère des armées.

Dans le respect des engagements de la loi de programmation militaire (LPM) récemment votée par le Parlement, les moyens de la mission « Défense » connaîtront une hausse de 3,3 milliards d’euros en 2024, ce qui permettra de financer le maintien en condition opérationnelle des équipements, de nouveaux programmes d’armement ainsi que l’investissement en faveur de la défense spatiale, du renseignement et de la cybersécurité. Cette hausse des moyens permettra également un renforcement des effectifs du ministère des armées.



Les forces de sécurité bénéficient également d’un soutien renforcé. Un effort sans précédent sera consacré en 2023, à la fois sur les équipements, le numérique et le renforcement de la présence des policiers et gendarmes sur la voie publique, conformément à la trajectoire posée par le projet de loi d’orientation et de programmation du ministère de l’intérieur (LOPMI).


(Alinéa sans modification)

Les forces de sécurité bénéficient d’un soutien renforcé. Un effort sera fait en 2024 sur les équipements, le numérique et le renforcement de la présence des policiers et gendarmes sur la voie publique, conformément à la trajectoire prévue par la loi d’orientation et de programmation du ministère de l’Intérieur (LOPMI), à hauteur d’un milliard d’euros supplémentaires en 2024.

(Alinéa sans modification)


(Alinéa sans modification)

Les forces de sécurité bénéficient d’un soutien renforcé. Un effort sera fait en 2024 sur les équipements, le numérique et le renforcement de la présence des policiers et gendarmes sur la voie publique, conformément à la trajectoire prévue par la loi d’orientation et de programmation du ministère de l’intérieur (LOPMI), à hauteur d’un milliard d’euros supplémentaires en 2024.

Les forces de sécurité bénéficient d’un soutien renforcé. Un effort sera fait en 2024 sur les équipements, le numérique et le renforcement de la présence des policiers et gendarmes sur la voie publique, conformément à la trajectoire prévue par la loi d’orientation et de programmation du ministère de l’intérieur (LOPMI), à hauteur d’un milliard d’euros supplémentaires en 2024.



Enfin, le ministère de la justice bénéficiera d’une hausse exceptionnelle de 8 % de ses moyens, pour la troisième année consécutive, consacrant une revalorisation historique du service public de la justice au terme des États généraux de la justice. Ces moyens additionnels permettront notamment de renforcer les effectifs de magistrats et de personnels de justice, d’accroître la mise à niveau numérique des juridictions et des procédures, et de poursuivre la mise en œuvre du plan pénitentiaire prévoyant la création de 15 000 places de prisons.


(Alinéa sans modification)

À la suite des états généraux de la justice, et dans le respect de son projet de loi de programmation, le ministère de la justice bénéficiera d’une nouvelle augmentation de 0,5 milliards d’euros, soit 5 %, après trois années de hausse consécutive de 8 % de ses moyens. Ces nouveaux moyens permettront de renforcer les effectifs de magistrats et de personnels de justice, de revaloriser leurs rémunérations (surveillants pénitentiaires, magistrats, greffiers) et de poursuivre la mise en œuvre du plan pénitentiaire prévoyant la création de 18 000 places de prisons et la transformation numérique du ministère.

À la suite des états généraux de la justice, dans le respect du projet de loi de programmation du ministère de la justice, celui‑ci bénéficiera d’une nouvelle augmentation de 0,5 milliard d’euros, soit 5 %, après trois années de hausse consécutive de 8 % de ses moyens. Ces nouveaux moyens permettront de renforcer les effectifs de magistrats et de personnels de justice, de revaloriser leurs rémunérations (surveillants pénitentiaires, magistrats, greffiers) et de poursuivre la mise en œuvre du plan pénitentiaire prévoyant la création de 18 000 places de prisons et la transformation numérique du ministère.


(Alinéa sans modification)

À la suite des états généraux de la justice, dans le respect du projet de loi de programmation du ministère de la justice, celui‑ci bénéficiera d’une nouvelle augmentation de 0,5 milliard d’euros, soit 5 %, après trois années de hausse consécutive de 8 % de ses moyens. Ces nouveaux moyens permettront de renforcer les effectifs de magistrats et de personnels de justice, de revaloriser leurs rémunérations (surveillants pénitentiaires, magistrats, greffiers) et de poursuivre la mise en œuvre du plan pénitentiaire prévoyant la création de 18 000 places de prisons et la transformation numérique du ministère.

À la suite des états généraux de la justice, dans le respect du projet de loi de programmation du ministère de la justice, celui‑ci bénéficiera d’une nouvelle augmentation de 0,5 milliard d’euros, soit 5 %, après trois années de hausse consécutive de 8 % de ses moyens. Ces nouveaux moyens permettront de renforcer les effectifs de magistrats et de personnels de justice, de revaloriser leurs rémunérations (surveillants pénitentiaires, magistrats, greffiers) et de poursuivre la mise en œuvre du plan pénitentiaire prévoyant la création de 18 000 places de prisons et la transformation numérique du ministère.






Poursuivre l’objectif de plein emploi

(Alinéa sans modification)


(Alinéa sans modification)

Poursuivre l’objectif de plein emploi

Poursuivre l’objectif de plein emploi






L’atteinte du plein emploi est un horizon important de ce mandat. La feuille de route du ministère du travail, qui allie incitation à la reprise d’emploi, investissement en matière d’accompagnement et de formation ainsi que logique de droits et devoirs, s’inscrit dans cette ambition.

(Alinéa sans modification)


(Alinéa sans modification)

L’atteinte du plein emploi est un horizon important de ce mandat. La feuille de route du ministère du travail, qui allie incitation à la reprise d’emploi, investissement en matière d’accompagnement et de formation ainsi que logique de droits et devoirs, s’inscrit dans cette ambition.

L’atteinte du plein emploi est un horizon important de ce mandat. La feuille de route du ministère du travail, qui allie incitation à la reprise d’emploi, investissement en matière d’accompagnement et de formation ainsi que logique de droits et devoirs, s’inscrit dans cette ambition.






Pour y parvenir, le budget du ministère du travail continuera de financer la montée en charge de l’apprentissage, dans le but d’atteindre un million d’entrées par an d’ici 2027.

(Alinéa sans modification)


(Alinéa sans modification)

Pour y parvenir, le budget du ministère du travail continuera de financer la montée en charge de l’apprentissage, dans le but d’atteindre un million d’entrées par an d’ici 2027.

Pour y parvenir, le budget du ministère du travail continuera de financer la montée en charge de l’apprentissage, dans le but d’atteindre un million d’entrées par an d’ici 2027.






Ce budget prévoit également des moyens pour mener à bien le déploiement progressif de la réforme France Travail, qui doit permettre aux personnes les plus fragiles, hors de l’emploi depuis longtemps, de trouver ou retrouver un emploi. C’est aussi une nouvelle réponse apportée aux difficultés de recrutement des entreprises.

(Alinéa sans modification)


(Alinéa sans modification)

Ce budget prévoit également des moyens pour mener à bien le déploiement progressif de la réforme France Travail, qui doit permettre aux personnes les plus fragiles, hors de l’emploi depuis longtemps, de trouver ou retrouver un emploi. C’est aussi une nouvelle réponse apportée aux difficultés de recrutement des entreprises.

Ce budget prévoit également des moyens pour mener à bien le déploiement progressif de la réforme France Travail, qui doit permettre aux personnes les plus fragiles, hors de l’emploi depuis longtemps, de trouver ou retrouver un emploi. C’est aussi une nouvelle réponse apportée aux difficultés de recrutement des entreprises.






Enfin, le budget pour 2024 prévoit la poursuite des investissements en matière de formation des salariés de manière à anticiper et à faciliter mutations économiques et reconversions professionnelles.

(Alinéa sans modification)


(Alinéa sans modification)

Enfin, le budget pour 2024 prévoit la poursuite des investissements en matière de formation des salariés de manière à anticiper et à faciliter mutations économiques et reconversions professionnelles.

Enfin, le budget pour 2024 prévoit la poursuite des investissements en matière de formation des salariés de manière à anticiper et à faciliter mutations économiques et reconversions professionnelles.






Adapter les services publics pour mieux accompagner tous les Français

(Alinéa sans modification)


(Alinéa sans modification)

Adapter les services publics pour mieux accompagner tous les Français

Adapter les services publics pour mieux accompagner tous les Français






Le budget 2024 permettra un meilleur accompagnement de tous les usagers par le service public avec le financement de la mise en œuvre des mesures de la conférence nationale du handicap, du pacte des solidarités, du plan France ruralités, mais également de la pérennisation du pass’sport, de l’enrichissement de l’offre des maisons France services ou encore des mesures du comité interministériel des outre‑mer.

Le budget 2024 permettra un meilleur accompagnement de tous les usagers par le service public avec le financement de la mise en œuvre des mesures de la conférence nationale du handicap, du pacte des solidarités, du plan France ruralités, mais également de la pérennisation du « pass’sport », de l’enrichissement de l’offre des maisons France services ou encore des mesures du comité interministériel des outre‑mer.


(Alinéa sans modification)

Le budget 2024 permettra un meilleur accompagnement de tous les usagers par le service public avec le financement de la mise en œuvre des mesures de la conférence nationale du handicap, du pacte des solidarités, du plan France ruralités, mais également de la pérennisation du « pass’sport », de l’enrichissement de l’offre des maisons France services ou encore des mesures du comité interministériel des outre‑mer.

Le budget 2024 permettra un meilleur accompagnement de tous les usagers par le service public avec le financement de la mise en œuvre des mesures de la conférence nationale du handicap, du pacte des solidarités, du plan France ruralités, mais également de la pérennisation du « pass’sport », de l’enrichissement de l’offre des maisons France services ou encore des mesures du comité interministériel des outre‑mer.






La progression des moyens du ministère de la Culture permettra notamment de soutenir la rénovation du patrimoine de proximité, l’activité des écoles de l’enseignement supérieur artistique ou encore les initiatives de soutien à la lecture.

(Alinéa sans modification)


(Alinéa sans modification)

La progression des moyens du ministère de la culture permettra notamment de soutenir la rénovation du patrimoine de proximité, l’activité des écoles de l’enseignement supérieur artistique ou encore les initiatives de soutien à la lecture.

La progression des moyens du ministère de la culture permettra notamment de soutenir la rénovation du patrimoine de proximité, l’activité des écoles de l’enseignement supérieur artistique ou encore les initiatives de soutien à la lecture.






Le ministère des sports et des jeux Olympiques et paralympiques bénéficiera de 100 milliards d’euros de crédits en 2024 pour le soutien aux équipements sportifs de proximité, dans le prolongement du plan d’équipements sportifs 2022‑2023. Il disposera aussi de moyens exceptionnels pour porter des politiques exemplaires en cette année olympique et paralympique (insertion par le sport, sport santé, activité sportive des publics prioritaires) et préparer nos athlètes dans les meilleures conditions.

(Alinéa sans modification)


(Alinéa sans modification)

Le ministère des sports et des jeux olympiques et paralympiques bénéficiera de 100 milliards d’euros de crédits en 2024 pour le soutien aux équipements sportifs de proximité, dans le prolongement du plan d’équipements sportifs 2022‑2023. Il disposera aussi de moyens exceptionnels pour porter des politiques exemplaires en cette année olympique et paralympique (insertion par le sport, sport santé, activité sportive des publics prioritaires) et préparer nos athlètes dans les meilleures conditions.

Le ministère des sports et des jeux olympiques et paralympiques bénéficiera de 100 milliards d’euros de crédits en 2024 pour le soutien aux équipements sportifs de proximité, dans le prolongement du plan d’équipements sportifs 2022‑2023. Il disposera aussi de moyens exceptionnels pour porter des politiques exemplaires en cette année olympique et paralympique (insertion par le sport, sport santé, activité sportive des publics prioritaires) et préparer nos athlètes dans les meilleures conditions.






Des mesures importantes de revalorisation des salaires de la fonction publique sont financées pour 2,6 milliards d’euros afin de protéger le pouvoir d’achat des agents et de renforcer l’attractivité de ses métiers. Elles se traduisent par une augmentation de la valeur du point d’indice de 1,5 % depuis le 1er juillet 2023, l’attribution de 5 points d’indice à tous les agents, l’ajout de points ciblés pour les plus bas salaires dès le 1er janvier 2024 ou encore le versement d’une prime exceptionnelle de pouvoir d’achat en 2023. Des mesures complémentaires seront par ailleurs mises en œuvre pour faciliter le quotidien des agents, comme le remboursement accru par l’État du forfait de transport collectif à hauteur de 75 % (contre 50 % précédemment).

(Alinéa sans modification)


(Alinéa sans modification)

Des mesures importantes de revalorisation des salaires de la fonction publique sont financées pour 2,6 milliards d’euros afin de protéger le pouvoir d’achat des agents et de renforcer l’attractivité de ses métiers. Elles se traduisent par une augmentation de la valeur du point d’indice de 1,5 % depuis le 1er juillet 2023, l’attribution de 5 points d’indice à tous les agents, l’ajout de points ciblés pour les plus bas salaires dès le 1er janvier 2024 ou encore le versement d’une prime exceptionnelle de pouvoir d’achat en 2023. Des mesures complémentaires seront par ailleurs mises en œuvre pour faciliter le quotidien des agents, comme le remboursement accru par l’État du forfait de transport collectif à hauteur de 75 % (contre 50 % précédemment).

Des mesures importantes de revalorisation des salaires de la fonction publique sont financées pour 2,6 milliards d’euros afin de protéger le pouvoir d’achat des agents et de renforcer l’attractivité de ses métiers. Elles se traduisent par une augmentation de la valeur du point d’indice de 1,5 % depuis le 1er juillet 2023, l’attribution de 5 points d’indice à tous les agents, l’ajout de points ciblés pour les plus bas salaires dès le 1er janvier 2024 ou encore le versement d’une prime exceptionnelle de pouvoir d’achat en 2023. Des mesures complémentaires seront par ailleurs mises en œuvre pour faciliter le quotidien des agents, comme le remboursement accru par l’État du forfait de transport collectif à hauteur de 75 % (contre 50 % précédemment).






L’augmentation de 0,3 milliard d’euros des crédits de la mission « Gestion des finances publiques » permet à la direction générale des finances publiques (DGFIP) et à la direction générale des douanes et droits indirects (DGDDI) de renforcer leurs missions de recouvrement, d’accompagnement et de contrôle au service des ménages et des entreprises et de mettre en œuvre le plan de lutte contre les fraudes aux finances publiques annoncé par le Gouvernement.

(Alinéa sans modification)


(Alinéa sans modification)

L’augmentation de 0,3 milliard d’euros des crédits de la mission « Gestion des finances publiques » permet à la direction générale des finances publiques (DGFIP) et à la direction générale des douanes et droits indirects (DGDDI) de renforcer leurs missions de recouvrement, d’accompagnement et de contrôle au service des ménages et des entreprises et de mettre en œuvre le plan de lutte contre les fraudes aux finances publiques annoncé par le Gouvernement.

L’augmentation de 0,3 milliard d’euros des crédits de la mission « Gestion des finances publiques » permet à la direction générale des finances publiques (DGFIP) et à la direction générale des douanes et droits indirects (DGDDI) de renforcer leurs missions de recouvrement, d’accompagnement et de contrôle au service des ménages et des entreprises et de mettre en œuvre le plan de lutte contre les fraudes aux finances publiques annoncé par le Gouvernement.






Maîtriser les finances publiques dans la lignée du programme de stabilité et des Assises des finances publiques

(Alinéa sans modification)


(Alinéa sans modification)

Maîtriser les finances publiques dans la lignée du programme de stabilité et des Assises des finances publiques

Maîtriser les finances publiques dans la lignée du programme de stabilité et des Assises des finances publiques






La France s’est fixé un objectif de redressement progressif de ses finances publiques avec une réduction du déficit public à 2,7 % en 2027 et la réduction année après année de notre endettement en part de PIB. Dès l’année 2024, le déficit public sera réduit, passant de 4,9 % à 4,4 % du PIB.

(Alinéa sans modification)


(Alinéa sans modification)

La France s’est fixé un objectif de redressement progressif de ses finances publiques avec une réduction du déficit public à 2,7 % en 2027 et la réduction année après année de notre endettement en part de PIB. Dès l’année 2024, le déficit public sera réduit, passant de 4,9 % à 4,4 % du PIB.

La France s’est fixé un objectif de redressement progressif de ses finances publiques avec une réduction du déficit public à 2,7 % en 2027 et la réduction année après année de notre endettement en part de PIB. Dès l’année 2024, le déficit public sera réduit, passant de 4,9 % à 4,4 % du PIB.






Ces objectifs seront atteints grâce au strict respect des différentes lois de programmation, à la fin des dispositifs exceptionnels de relance et à la sortie des mesures de soutien face à la crise énergétique. Le budget 2024 respecte pleinement ces principes, et consacre ainsi la sortie progressive des boucliers tarifaires sur l’énergie, la fin des aides exceptionnelles aux entreprises et l’extinction progressive du plan de relance.

(Alinéa sans modification)


(Alinéa sans modification)

Ces objectifs seront atteints grâce au strict respect des différentes lois de programmation, à la fin des dispositifs exceptionnels de relance et à la sortie des mesures de soutien face à la crise énergétique. Le budget 2024 respecte pleinement ces principes, et consacre ainsi la sortie progressive des boucliers tarifaires sur l’énergie, la fin des aides exceptionnelles aux entreprises et l’extinction progressive du plan de relance.

Ces objectifs seront atteints grâce au strict respect des différentes lois de programmation, à la fin des dispositifs exceptionnels de relance et à la sortie des mesures de soutien face à la crise énergétique. Le budget 2024 respecte pleinement ces principes, et consacre ainsi la sortie progressive des boucliers tarifaires sur l’énergie, la fin des aides exceptionnelles aux entreprises et l’extinction progressive du plan de relance.






Ces objectifs seront également atteints par la mise en œuvre de mesures d’économies identifiées dans le cadre des revues de dépenses. Cet exercice, dont le Gouvernement rend compte en parallèle du présent rapport, vise une plus grande efficience de la dépense publique et permettra de générer des économies sur des dispositifs ciblés.

(Alinéa sans modification)


(Alinéa sans modification)

Ces objectifs seront également atteints par la mise en œuvre de mesures d’économies identifiées dans le cadre des revues de dépenses. Cet exercice, dont le Gouvernement rend compte en parallèle du présent rapport, vise une plus grande efficience de la dépense publique et permettra de générer des économies sur des dispositifs ciblés.

Ces objectifs seront également atteints par la mise en œuvre de mesures d’économies identifiées dans le cadre des revues de dépenses. Cet exercice, dont le Gouvernement rend compte en parallèle du présent rapport, vise une plus grande efficience de la dépense publique et permettra de générer des économies sur des dispositifs ciblés.



3. Trajectoire triennale 2023‑2025


3. (Alinéa sans modification)

3. Trajectoire triennale 2024‑2026

3. (Alinéa sans modification)

3. (Alinéa sans modification)

3. (Alinéa sans modification)

3. Trajectoire triennale 2024‑2026

3. Trajectoire triennale 2024‑2026



La programmation d’ensemble des finances publiques couvre cinq années (2023‑2027). Au cours de cette période, l’État fait l’objet d’une programmation plus précise qui détaille, dans le cadre du budget triennal 2023‑2025, les crédits alloués à chaque mission. Les plafonds de l’année 2023 coïncident avec ceux qui seront présentés dans le cadre du PLF.


(Alinéa sans modification)

La programmation d’ensemble des finances publiques couvre cinq années (2023‑2027). Au cours de cette période, l’État fait l’objet d’une programmation plus précise qui détaille, dans le cadre du budget triennal 2024‑2026, les crédits alloués à chaque mission. Les plafonds de l’année 2024 coïncident avec ceux qui seront présentés dans le cadre du PLF. Par ailleurs, à partir de 2025, un effort d’économie additionnel de 6 milliards d’euros est intégré dans la trajectoire de dépenses de l’État sous‑jacente au projet de loi de programmation des finances publiques. Il a vocation à être documenté notamment par le dispositif annuel de revue de dépenses prévu dans la loi de finances initiale pour 2023 et dans le projet de loi de programmation des finances publiques.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

La programmation d’ensemble des finances publiques couvre cinq années (2023‑2027). Au cours de cette période, l’État fait l’objet d’une programmation plus précise qui détaille, dans le cadre du budget triennal 2024‑2026, les crédits alloués à chaque mission. Les plafonds de l’année 2024 coïncident avec ceux qui seront présentés dans le cadre du PLF. Par ailleurs, à partir de 2025, un effort d’économie additionnel de 6 milliards d’euros est intégré dans la trajectoire de dépenses de l’État sous‑jacente au projet de loi de programmation des finances publiques. Il a vocation à être documenté notamment par le dispositif annuel de revue de dépenses prévu dans la loi de finances initiale pour 2023 et dans la présente loi de programmation.

La programmation d’ensemble des finances publiques couvre cinq années (2023‑2027). Au cours de cette période, l’État fait l’objet d’une programmation plus précise qui détaille, dans le cadre du budget triennal 2024‑2026, les crédits alloués à chaque mission. Les plafonds de l’année 2024 coïncident avec ceux qui seront présentés dans le cadre du PLF. Par ailleurs, à partir de 2025, un effort d’économie additionnel de 6 milliards d’euros est intégré dans la trajectoire de dépenses de l’État sous‑jacente au projet de loi de programmation des finances publiques. Il a vocation à être documenté notamment par le dispositif annuel de revue de dépenses prévu dans la loi de finances initiale pour 2023 et dans la présente loi de programmation.



Tableau : Évolution des plafonds de crédits de paiements par mission 2023‑2025


(Alinéa sans modification)

Évolution des plafonds de crédits de paiements par mission 2024‑2026

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Évolution des plafonds de crédits de paiements par mission 2024‑2026

Évolution des plafonds de crédits de paiements par mission 2024‑2026



Crédits de paiementLFI 2022LFI 2022
Format 2023
202320242025
Action extérieure de l’État2,92,93,13,13,1
Administration générale et territoriale de l’État3,63,63,74,14,5
Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales2,83,13,63,63,6
Aide publique au développement5,15,15,96,37,0
Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation2,12,11,91,91,8
Cohésion des territoires17,217,217,818,318,5
Conseil et contrôle de l’État0,60,60,70,70,7
Crédits non répartis0,50,51,90,91,4
Culture3,33,33,53,63,7
Défense40,940,943,947,050,0
Direction de l’action du Gouvernement0,90,90,90,90,9
Écologie, développement et mobilité durables20,420,626,524,624,6
dont programme 355 Charge de la dette de SNCF Réseau reprise par l’État0,80,80,90,80,7
dont programme 345 Service public de l’énergie8,48,412,010,010,0
Mission Écologie, développement et mobilité durables hors P345 et P35511,111,313,613,713,9
Économie3,84,13,74,04,2
Engagements financiers de l’État44,344,360,255,458,8
dont programme 117 Charge de la dette et trésorerie de l’État et 369 Amortissement de la dette de l’État liée à la COVID-1940,540,557,453,457,4
dont autres programmes3,83,82,82,01,4
Enseignement scolaire56,556,560,262,062,8
Gestion des finances publiques7,47,48,08,08,1
Immigration, asile et intégration1,91,92,02,12,1
Investir pour la France de 20307,07,06,17,18,5
Justice8,98,99,610,110,7
Médias, livre et industries culturelles0,70,70,70,70,7
Outre-mer2,42,12,42,52,5
Plan de relance13,013,04,42,50,6
Plan d’urgence face à la crise sanitaire0,20,2---
Pouvoirs publics1,01,01,11,11,1
Recherche et enseignement supérieur29,029,130,631,331,9
Régimes sociaux et de retraite6,16,06,16,26,3
Relations avec les collectivités territoriales4,34,34,44,34,2
Santé1,31,33,42,62,1
dont programme 379 « Compensations à la Sécurité sociale (FRR et dons de vaccins) »--1,91,00,5
dont autres programmes1,31,31,41,51,6
Sécurités14,714,715,816,316,8
Solidarité, insertion et égalité des chances27,627,729,830,331,1
Sport, jeunesse et vie associative1,71,71,81,61,5
Transformation et fonction publiques0,80,81,10,80,6
Travail et emploi14,514,520,716,916,2


Crédits de paiementLFI 2022LFI 2022
Format 2023
202320242025
Action extérieure de l’État2,92,93,13,13,1
Administration générale et territoriale de l’État3,63,63,74,14,5
Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales2,83,13,63,63,6
Aide publique au développement5,15,15,96,37,0
Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation2,12,11,91,91,8
Cohésion des territoires17,217,217,818,318,5
Conseil et contrôle de l’État0,60,60,70,70,7
Crédits non répartis0,50,51,90,91,4
Culture3,33,33,53,63,7
Défense40,940,943,947,050,0
Direction de l’action du Gouvernement0,90,90,90,90,9
Écologie, développement et mobilité durables20,420,626,524,624,6
dont programme 355 Charge de la dette de SNCF Réseau reprise par l’État0,80,80,90,80,7
dont programme 345 Service public de l’énergie8,48,412,010,010,0
Mission Écologie, développement et mobilité durables hors P345 et P35511,111,313,613,713,9
Économie3,84,13,74,04,2
Engagements financiers de l’État44,344,360,255,458,8
dont programme 117 Charge de la dette et trésorerie de l’État et 369 Amortissement de la dette de l’État liée à la COVID-1940,540,557,453,457,4
dont autres programmes3,83,82,82,01,4
Enseignement scolaire56,556,560,262,062,8
Gestion des finances publiques7,47,48,08,08,1
Immigration, asile et intégration1,91,92,02,12,1
Investir pour la France de 20307,07,06,17,18,5
Justice8,98,99,610,110,7
Médias, livre et industries culturelles0,70,70,70,70,7
Outre-mer2,42,12,42,52,5
Plan de relance13,013,04,42,50,6
Plan d’urgence face à la crise sanitaire0,20,2---
Pouvoirs publics1,01,01,11,11,1
Recherche et enseignement supérieur29,029,130,631,331,9
Régimes sociaux et de retraite6,16,06,16,26,3
Relations avec les collectivités territoriales4,34,34,44,34,2
Santé1,31,33,42,62,1
dont programme 379 « Compensations à la Sécurité sociale (FRR et dons de vaccins) »--1,91,00,5
dont autres programmes1,31,31,41,51,6
Sécurités14,714,715,816,316,8
Solidarité, insertion et égalité des chances27,627,729,830,331,1
Sport, jeunesse et vie associative1,71,71,81,61,5
Transformation et fonction publiques0,80,81,10,80,6
Travail et emploi14,514,520,716,916,2


Crédits de paiementLFI 2022LFI 2022
Format 2023
202320242025
Action extérieure de l’État2,92,93,13,13,1
Administration générale et territoriale de l’État3,63,63,74,14,5
Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales2,83,13,63,63,6
Aide publique au développement5,15,15,96,37,0
Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation2,12,11,91,91,8
Cohésion des territoires17,217,217,818,318,5
Conseil et contrôle de l’État0,60,60,70,70,7
Crédits non répartis0,50,51,90,91,4
Culture3,33,33,53,63,7
Défense40,940,943,947,050,0
Direction de l’action du Gouvernement0,90,90,90,90,9
Écologie, développement et mobilité durables20,420,626,524,624,6
dont programme 355 Charge de la dette de SNCF Réseau reprise par l’État0,80,80,90,80,7
dont programme 345 Service public de l’énergie8,48,412,010,010,0
Mission Écologie, développement et mobilité durables hors P345 et P35511,111,313,613,713,9
Économie3,84,13,74,04,2
Engagements financiers de l’État44,344,360,255,458,8
dont programme 117 Charge de la dette et trésorerie de l’État et 369 Amortissement de la dette de l’État liée à la COVID-1940,540,557,453,457,4
dont autres programmes3,83,82,82,01,4
Enseignement scolaire56,556,560,262,062,8
Gestion des finances publiques7,47,48,08,08,1
Immigration, asile et intégration1,91,92,02,12,1
Investir pour la France de 20307,07,06,17,18,5
Justice8,98,99,610,110,7
Médias, livre et industries culturelles0,70,70,70,70,7
Outre-mer2,42,12,42,52,5
Plan de relance13,013,04,42,50,6
Plan d’urgence face à la crise sanitaire0,20,2---
Pouvoirs publics1,01,01,11,11,1
Recherche et enseignement supérieur29,029,130,631,331,9
Régimes sociaux et de retraite6,16,06,16,26,3
Relations avec les collectivités territoriales4,34,34,44,34,2
Santé1,31,33,42,62,1
dont programme 379 « Compensations à la Sécurité sociale (FRR et dons de vaccins) »--1,91,00,5
dont autres programmes1,31,31,41,51,6
Sécurités14,714,715,816,316,8
Solidarité, insertion et égalité des chances27,627,729,830,331,1
Sport, jeunesse et vie associative1,71,71,81,61,5
Transformation et fonction publiques0,80,81,10,80,6
Travail et emploi14,514,520,716,916,2


(En milliards d’euros)
Crédits de paiementLFI 2023 (format 2023)LFI 2023
(format 2024)
202420252026
Action extérieure de l’État3,13,13,33,43,4
Administration générale et territoriale de l’État3,73,53,94,34,6
Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales3,63,64,54,54,6
Aide publique au développement5,95,95,96,46,9
Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation1,91,91,91,81,7
Cohésion des territoires17,917,919,419,720,2
Conseil et contrôle de l’État0,70,70,70,70,7
Crédits non répartis1,21,20,50,20,2
Culture3,53,53,73,83,8
Défense43,943,947,250,553,7
Direction de l’action du Gouvernement0,90,91,01,01,0
Écologie, développement et mobilité durables36,635,720,725,626,3
- dont programme 345 « Service public de l’énergie » et indemnité exceptionnelle carburant21,721,75,59,89,9
- hors programme 345 et indemnité exceptionnelle carburant14,914,015,215,816,4
Économie7,77,74,13,93,9
Engagements financiers de l’État*60,361,260,866,071,0
Enseignement scolaire60,360,364,265,165,4
Gestion des finances publiques8,08,08,38,48,3
Immigration, asile et intégration2,02,02,22,22,3
Investir pour la France de 20306,16,17,78,57,7
Justice9,69,610,110,710,7
Médias, livre et industries culturelles0,70,70,70,70,7
Outre-mer2,52,52,62,62,6
Plan de relance4,44,41,40,70,6
Pouvoirs publics1,11,11,11,11,2
Recherche et enseignement supérieur30,630,631,632,132,7
Régimes sociaux et de retraite6,16,26,26,46,4
Relations avec les collectivités territoriales4,54,54,34,24,2
- dont dispositifs exceptionnels0,40,40,10,00,0
- hors dispositifs exceptionnels4,14,14,24,24,2
Santé3,43,42,31,92,0
- dont programme 379 « Compensation à la Sécurité sociale du coût des dons de vaccins à des pays tiers et reversement des recettes de la Facilité pour la relance et la résilience »1,91,90,90,40,5
- dont autres programmes1,41,41,41,51,5
Sécurités15,816,116,517,017,5
Solidarité, insertion et égalité des chances29,429,430,731,832,9
Sport, jeunesse et vie associative1,81,81,81,61,6
Transformation et fonction publiques1,21,11,10,80,8
Travail et emploi20,720,722,422,421,6
*Le programme 355 est rattaché à compter du PLF 2024 à la mission « Engagements financiers de l’État ».


(En milliards d’euros)
Crédits de paiementLoi de finances pour 2023 (format 2023)Loi de finances pour 2023
(format 2024)
202420252026
Action extérieure de l’État3,13,13,33,43,4
Administration générale et territoriale de l’État3,73,53,94,34,6
Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales3,63,64,54,54,6
Aide publique au développement5,95,95,96,46,9
Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation1,91,91,91,81,7
Cohésion des territoires17,917,919,419,720,2
Conseil et contrôle de l’État0,70,70,70,70,7
Crédits non répartis1,21,20,50,20,2
Culture3,53,53,73,83,8
Défense43,943,947,250,553,7
Direction de l’action du Gouvernement0,90,91,01,01,0
Écologie, développement et mobilité durables36,635,720,725,626,3
- dont programme 345 “Service public de l’énergie” et indemnité exceptionnelle carburant21,721,75,59,89,9
- hors programme 345 et indemnité exceptionnelle carburant14,914,015,215,816,4
Économie7,77,74,13,93,9
Engagements financiers de l’État*60,361,260,866,071,0
Enseignement scolaire60,360,364,265,165,4
Gestion des finances publiques8,08,08,38,48,3
Immigration, asile et intégration2,02,02,22,22,3
Investir pour la France de 20306,16,17,78,57,7
Justice9,69,610,110,710,7
Médias, livre et industries culturelles0,70,70,70,70,7
Outre-mer2,52,52,62,62,6
Plan de relance4,44,41,40,70,6
Pouvoirs publics1,11,11,11,11,2
Recherche et enseignement supérieur30,630,631,632,132,7
Régimes sociaux et de retraite6,16,26,26,46,4
Relations avec les collectivités territoriales4,54,54,34,24,2
- dont dispositifs exceptionnels0,40,40,10,00,0
- hors dispositifs exceptionnels4,14,14,24,24,2
Santé3,43,42,31,92,0
- dont programme 379 “Compensation à la Sécurité sociale du coût des dons de vaccins à des pays tiers et reversement des recettes de la Facilité pour la relance et la résilience”1,91,90,90,40,5
- dont autres programmes1,41,41,41,51,5
Sécurités15,816,116,517,017,5
Solidarité, insertion et égalité des chances29,429,430,731,832,9
Sport, jeunesse et vie associative1,81,81,81,61,6
Transformation et fonction publiques1,21,11,10,80,8
Travail et emploi20,720,722,422,421,6
*Le programme 355 est rattaché à compter du PLF 2024 à la mission « Engagements financiers de l’État ».


(En milliards d’euros)
Crédits de paiementLoi de finances pour 2023 (format 2023)Loi de finances pour 2023 (format 2024)202420252026
Action extérieure de l’État3,13,13,33,43,4
Administration générale et territoriale de l’État3,73,53,94,34,6
Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales3,63,64,54,54,6
Aide publique au développement5,95,95,96,46,9
Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation1,91,91,91,81,7
Cohésion des territoires17,917,919,419,720,2
Conseil et contrôle de l’État0,70,70,70,70,7
Crédits non répartis1,21,20,50,20,2
Culture3,53,53,73,83,8
Défense43,943,947,250,553,7
Direction de l’action du Gouvernement0,90,91,01,01,0
Écologie, développement et mobilité durables36,635,720,725,626,3
- dont programme 345 “Service public de l’énergie” et indemnité exceptionnelle carburant21,721,75,59,89,9
- hors programme 345 et indemnité exceptionnelle carburant14,914,015,215,816,4
Économie7,77,74,13,93,9
Engagements financiers de l’État*60,361,260,866,071,0
Enseignement scolaire60,360,364,265,165,4
Gestion des finances publiques8,08,08,38,48,3
Immigration, asile et intégration2,02,02,22,22,3
Investir pour la France de 20306,16,17,78,57,7
Justice9,69,610,110,710,7
Médias, livre et industries culturelles0,70,70,70,70,7
Outre-mer2,52,52,62,62,6
Plan de relance4,44,41,40,70,6
Pouvoirs publics1,11,11,11,11,2
Recherche et enseignement supérieur30,630,631,632,132,7
Régimes sociaux et de retraite6,16,26,26,46,4
Relations avec les collectivités territoriales4,54,54,34,24,2
- dont dispositifs exceptionnels0,40,40,10,00,0
- hors dispositifs exceptionnels4,14,14,24,24,2
Santé3,43,42,31,92,0
- dont programme 379 “Compensation à la Sécurité sociale du coût des dons de vaccins à des pays tiers et reversement des recettes de la Facilité pour la relance et la résilience”1,91,90,90,40,5
- dont autres programmes1,41,41,41,51,5
Sécurités15,816,116,517,017,5
Solidarité, insertion et égalité des chances29,429,430,731,832,9
Sport, jeunesse et vie associative1,81,81,81,61,6
Transformation et fonction publiques1,21,11,10,80,8
Travail et emploi20,720,722,422,421,6
*Le programme 355 est rattaché à compter du PLF 2024 à la mission « Engagements financiers de l’État ».


(En milliards d’euros)
Crédits de paiementLoi de finances pour 2023 (format 2023)Loi de finances pour 2023 (format 2024)202420252026
Action extérieure de l’État3,13,13,33,43,4
Administration générale et territoriale de l’État3,73,53,94,34,6
Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales3,63,64,54,54,6
Aide publique au développement5,95,95,96,46,9
Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation1,91,91,91,81,7
Cohésion des territoires17,917,919,419,720,2
Conseil et contrôle de l’État0,70,70,70,70,7
Crédits non répartis1,21,20,50,20,2
Culture3,53,53,73,83,8
Défense43,943,947,250,553,7
Direction de l’action du Gouvernement0,90,91,01,01,0
Écologie, développement et mobilité durables36,635,720,725,626,3
- dont programme 345 “Service public de l’énergie” et indemnité exceptionnelle carburant21,721,75,59,89,9
- hors programme 345 et indemnité exceptionnelle carburant14,914,015,215,816,4
Économie7,77,74,13,93,9
Engagements financiers de l’État*60,361,260,866,071,0
Enseignement scolaire60,360,364,265,165,4
Gestion des finances publiques8,08,08,38,48,3
Immigration, asile et intégration2,02,02,22,22,3
Investir pour la France de 20306,16,17,78,57,7
Justice9,69,610,110,710,7
Médias, livre et industries culturelles0,70,70,70,70,7
Outre-mer2,52,52,62,62,6
Plan de relance4,44,41,40,70,6
Pouvoirs publics1,11,11,11,11,2
Recherche et enseignement supérieur30,630,631,632,132,7
Régimes sociaux et de retraite6,16,26,26,46,4
Relations avec les collectivités territoriales4,54,54,34,24,2
- dont dispositifs exceptionnels0,40,40,10,00,0
- hors dispositifs exceptionnels4,14,14,24,24,2
Santé3,43,42,31,92,0
- dont programme 379 “Compensation à la Sécurité sociale du coût des dons de vaccins à des pays tiers et reversement des recettes de la Facilité pour la relance et la résilience”1,91,90,90,40,5
- dont autres programmes1,41,41,41,51,5
Sécurités15,816,116,517,017,5
Solidarité, insertion et égalité des chances29,429,430,731,832,9
Sport, jeunesse et vie associative1,81,81,81,61,6
Transformation et fonction publiques1,21,11,10,80,8
Travail et emploi20,720,722,422,421,6
*Le programme 355 est rattaché à compter du PLF 2024 à la mission « Engagements financiers de l’État ».


(En milliards d’euros)
Crédits de paiementLoi de finances pour 2023 (format 2023)Loi de finances pour 2023 (format 2024)202420252026
Action extérieure de l’État3,13,13,33,43,4
Administration générale et territoriale de l’État3,73,53,94,34,6
Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales3,63,64,54,54,6
Aide publique au développement5,95,95,96,46,9
Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation1,91,91,91,81,7
Cohésion des territoires17,917,919,419,720,2
Conseil et contrôle de l’État0,70,70,70,70,7
Crédits non répartis1,21,20,50,20,2
Culture3,53,53,73,83,8
Défense43,943,947,250,553,7
Direction de l’action du Gouvernement0,90,91,01,01,0
Écologie, développement et mobilité durables36,635,720,725,626,3
- dont programme 345 “Service public de l’énergie” et indemnité exceptionnelle carburant21,721,75,59,89,9
- hors programme 345 et indemnité exceptionnelle carburant14,914,015,215,816,4
Économie7,77,74,13,93,9
Engagements financiers de l’État*60,361,260,866,071,0
Enseignement scolaire60,360,364,265,165,4
Gestion des finances publiques8,08,08,38,48,3
Immigration, asile et intégration2,02,02,22,22,3
Investir pour la France de 20306,16,17,78,57,7
Justice9,69,610,110,710,7
Médias, livre et industries culturelles0,70,70,70,70,7
Outre-mer2,52,52,62,62,6
Plan de relance4,44,41,40,70,6
Pouvoirs publics1,11,11,11,11,2
Recherche et enseignement supérieur30,630,631,632,132,7
Régimes sociaux et de retraite6,16,26,26,46,4
Relations avec les collectivités territoriales4,54,54,34,24,2
- dont dispositifs exceptionnels0,40,40,10,00,0
- hors dispositifs exceptionnels4,14,14,24,24,2
Santé3,43,42,31,92,0
- dont programme 379 “Compensation à la Sécurité sociale du coût des dons de vaccins à des pays tiers et reversement des recettes de la Facilité pour la relance et la résilience”1,91,90,90,40,5
- dont autres programmes1,41,41,41,51,5
Sécurités15,816,116,517,017,5
Solidarité, insertion et égalité des chances29,429,430,731,832,9
Sport, jeunesse et vie associative1,81,81,81,61,6
Transformation et fonction publiques1,21,11,10,80,8
Travail et emploi20,720,722,422,421,6
*Le programme 355 est rattaché à compter du PLF 2024 à la mission « Engagements financiers de l’État ».


(En milliards d’euros)
Crédits de paiementLoi de finances pour 2023 (format 2023)Loi de finances pour 2023 (format 2024)202420252026
Action extérieure de l’État3,13,13,33,43,4
Administration générale et territoriale de l’État3,73,53,94,34,6
Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales3,63,64,54,54,6
Aide publique au développement5,95,95,96,46,9
Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation1,91,91,91,81,7
Cohésion des territoires17,917,919,419,720,2
Conseil et contrôle de l’État0,70,70,70,70,7
Crédits non répartis1,21,20,50,20,2
Culture3,53,53,73,83,8
Défense43,943,947,250,553,7
Direction de l’action du Gouvernement0,90,91,01,01,0
Écologie, développement et mobilité durables36,635,720,725,626,3
- dont programme 345 “Service public de l’énergie” et indemnité exceptionnelle carburant21,721,75,59,89,9
- hors programme 345 et indemnité exceptionnelle carburant14,914,015,215,816,4
Économie7,77,74,13,93,9
Engagements financiers de l’État*60,361,260,866,071,0
Enseignement scolaire60,360,364,265,165,4
Gestion des finances publiques8,08,08,38,48,3
Immigration, asile et intégration2,02,02,22,22,3
Investir pour la France de 20306,16,17,78,57,7
Justice9,69,610,110,710,7
Médias, livre et industries culturelles0,70,70,70,70,7
Outre-mer2,52,52,62,62,6
Plan de relance4,44,41,40,70,6
Pouvoirs publics1,11,11,11,11,2
Recherche et enseignement supérieur30,630,631,632,132,7
Régimes sociaux et de retraite6,16,26,26,46,4
Relations avec les collectivités territoriales4,54,54,34,24,2
- dont dispositifs exceptionnels0,40,40,10,00,0
- hors dispositifs exceptionnels4,14,14,24,24,2
Santé3,43,42,31,92,0
- dont programme 379 “Compensation à la Sécurité sociale du coût des dons de vaccins à des pays tiers et reversement des recettes de la Facilité pour la relance et la résilience”1,91,90,90,40,5
- dont autres programmes1,41,41,41,51,5
Sécurités15,816,116,517,017,5
Solidarité, insertion et égalité des chances29,429,430,731,832,9
Sport, jeunesse et vie associative1,81,81,81,61,6
Transformation et fonction publiques1,21,11,10,80,8
Travail et emploi20,720,722,422,421,6
*Le programme 355 est rattaché à compter du PLF 2024 à la mission « Engagements financiers de l’État ».




B. – La trajectoire des organismes divers d’administration centrale

B. – (Non modifié)

B. – (Alinéa sans modification)

B. – (Alinéa sans modification)

B. – (Alinéa sans modification)

B. – (Alinéa sans modification)

B. – (Alinéa sans modification)

B. – La trajectoire des organismes divers d’administration centrale

B. – La trajectoire des organismes divers d’administration centrale



Tableau : Dépenses, recettes et solde des ODAC au sens de Maastricht (en points de PIB)
202220232024202520262027
Dépenses totales Odac4,23,93,83,73,63,5
Recettes totales Odac4,33,73,63,53,43,4
Solde Odac au sens de Maastricht0,1-0,2-0,2-0,1-0,1-0,1


Tableau : Dépenses, recettes et solde des ODAC au sens de Maastricht (en points de PIB)
202220232024202520262027
Dépenses totales Odac4,23,93,83,73,63,5
Recettes totales Odac4,33,73,63,53,43,4
Solde Odac au sens de Maastricht0,1-0,2-0,2-0,1-0,1-0,1


Tableau : Dépenses, recettes et solde des ODAC au sens de Maastricht (en points de PIB)

202220232024202520262027
Dépenses totales Odac4,23,93,83,73,63,5
Recettes totales Odac4,33,73,63,53,43,4
Solde Odac au sens de Maastricht0,1-0,2-0,2-0,1-0,1-0,1


Dépenses, recettes et solde des ODAC au sens de Maastricht
(En point de PIB)
202220232024202520262027
Dépenses totales4,24,14,14,04,03,9
Recettes totales4,74,04,03,93,93,8
Solde au sens de Maastricht0,5-0,1-0,1-0,1-0,1-0,1


Dépenses, recettes et solde des ODAC au sens de Maastricht
(En point de PIB)
202220232024202520262027
Dépenses totales4,24,14,14,04,03,9
Recettes totales4,74,04,03,93,93,8
Solde au sens de Maastricht0,5-0,1-0,1-0,1-0,1-0,1


Dépenses, recettes et solde des ODAC au sens de Maastricht
(En point de PIB)
202220232024202520262027
Dépenses totales4,24,14,14,04,03,9
Recettes totales4,74,04,03,93,93,8
Solde au sens de Maastricht0,5-0,1-0,1-0,1-0,1-0,1


Dépenses, recettes et solde des ODAC au sens de Maastricht
(En point de PIB)
202220232024202520262027
Dépenses totales4,24,14,14,04,03,9
Recettes totales4,74,04,03,93,93,8
Solde au sens de Maastricht0,5-0,1-0,1-0,1-0,1-0,1


Dépenses, recettes et solde des ODAC au sens de Maastricht
(En point de PIB)
202220232024202520262027
Dépenses totales4,24,14,14,04,03,9
Recettes totales4,74,04,03,93,93,8
Solde au sens de Maastricht0,5-0,1-0,1-0,1-0,1-0,1


Dépenses, recettes et solde des ODAC au sens de Maastricht
(En point de PIB)
202220232024202520262027
Dépenses totales4,24,14,14,04,03,9
Recettes totales4,74,04,03,93,93,8
Solde au sens de Maastricht0,5-0,1-0,1-0,1-0,1-0,1




La règle posée à l’article 12 de la loi de programmation des finances publiques 2011‑2014 interdisant aux ODAC de s’endetter auprès d’un établissement de crédit pour une période allant au‑delà d’une année a permis une plus grande maîtrise du solde des ODAC.


(Alinéa sans modification)

La règle posée à l’article 12 de la loi de programmation des finances publiques 2011‑2014 interdisant aux ODAC de s’endetter auprès d’un établissement de crédit pour une période allant au delà d’une année a permis une plus grande maîtrise du solde des ODAC. Cette règle est reconduite à l’article 22 de la présente loi et sa bonne application est nécessaire afin de contrôler les montants des dépenses totales des ODAC sur la période couverte par la loi de programmation.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

La règle posée à l’article 12 de la loi de programmation des finances publiques 2011‑2014 interdisant aux ODAC de s’endetter auprès d’un établissement de crédit pour une période allant au‑delà d’une année a permis une plus grande maîtrise du solde des ODAC. Cette règle est reconduite à l’article 22 de la présente loi et sa bonne application est nécessaire afin de contrôler les montants des dépenses totales des ODAC sur la période couverte par la loi de programmation.

La règle posée à l’article 12 de la loi de programmation des finances publiques 2011‑2014 interdisant aux ODAC de s’endetter auprès d’un établissement de crédit pour une période allant au delà d’une année a permis une plus grande maîtrise du solde des ODAC. Cette règle est reconduite à l’article 23 de la présente loi et sa bonne application est nécessaire afin de contrôler les montants des dépenses totales des ODAC sur la période couverte par la loi de programmation.

La règle posée à l’article 12 de la loi de programmation des finances publiques 2011‑2014 interdisant aux ODAC de s’endetter auprès d’un établissement de crédit pour une période allant au delà d’une année a permis une plus grande maîtrise du solde des ODAC. Cette règle est reconduite à l’article 23 de la présente loi et sa bonne application est nécessaire afin de contrôler les montants des dépenses totales des ODAC sur la période couverte par la loi de programmation.



France 2030


(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

France 2030

France 2030



Capitalisant sur les ambitions du Programme d’investissements d’avenir (PIA), qu’il intègre et dont il prolonge la démarche, France 2030 est un plan d’investissements publics de 54 Md€ destiné à accompagner la France dans sa transition écologique et numérique et lui permettre de relever les défis économiques, industriels et sociaux contemporains.


(Alinéa sans modification)

Capitalisant sur les ambitions du programme d’investissements d’avenir (PIA), qu’il intègre et dont il prolonge la démarche, France 2030 est un plan d’investissements publics de 54 milliards destiné à accompagner la France dans sa transition écologique et numérique et lui permettre de relever les défis économiques, industriels et sociaux contemporains.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Capitalisant sur les ambitions du programme d’investissements d’avenir (PIA), qu’il intègre et dont il prolonge la démarche, France 2030 est un plan d’investissements publics de 54 milliards destiné à accompagner la France dans sa transition écologique et numérique et lui permettre de relever les défis économiques, industriels et sociaux contemporains.

Capitalisant sur les ambitions du programme d’investissements d’avenir (PIA), qu’il intègre et dont il prolonge la démarche, France 2030 est un plan d’investissements publics de 54 milliards destiné à accompagner la France dans sa transition écologique et numérique et lui permettre de relever les défis économiques, industriels et sociaux contemporains.



Deux partis pris importants structurent ce plan : d’une part, 50% des crédits seront consacrés aux acteurs émergents, permettant ainsi d’accompagner la French Tech et l’écosystème français de start‑ups et de PME innovantes. D’autre part, le plan soutiendra exclusivement des projets sans impact négatif sur l’environnement et mettra l’accent sur la décarbonation de nos modes de production et l’amélioration de la qualité de vie.


(Alinéa sans modification)

Deux partis pris importants structurent ce plan : d’une part, 50 % des crédits seront consacrés aux acteurs émergents, permettant ainsi d’accompagner la French Tech et l’écosystème français de start‑ups et de petites et moyennes entreprises (PME) innovantes ; d’autre part, le plan soutiendra exclusivement des projets sans impact négatif sur l’environnement et mettra l’accent sur la décarbonation de nos modes de production et l’amélioration de la qualité de vie.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Deux partis pris importants structurent ce plan : d’une part, 50 % des crédits seront consacrés aux acteurs émergents, permettant ainsi d’accompagner la French Tech et l’écosystème français de start‑ups et de petites et moyennes entreprises (PME) innovantes ; d’autre part, le plan soutiendra exclusivement des projets sans impact négatif sur l’environnement et mettra l’accent sur la décarbonation de nos modes de production et l’amélioration de la qualité de vie.

Deux partis pris importants structurent ce plan : d’une part, 50 % des crédits seront consacrés aux acteurs émergents, permettant ainsi d’accompagner la French Tech et l’écosystème français de start‑ups et de petites et moyennes entreprises (PME) innovantes ; d’autre part, le plan soutiendra exclusivement des projets sans impact négatif sur l’environnement et mettra l’accent sur la décarbonation de nos modes de production et l’amélioration de la qualité de vie.



Le présent projet de loi de programmation des finances publiques pour les années 2023 à 2027 confirme l’ambition du Gouvernement d’une mise en œuvre rapide de France 2030. La trajectoire suivante de crédits de paiement est prévue pour la mission budgétaire « Investir pour la France de 2030 », qui porte les crédits du PIA 4 et de France 2030, pour les années 2023 à 2025 :


(Alinéa sans modification)

Le projet de loi de programmation des finances publiques pour les années 2023 à 2027 confirme l’ambition du Gouvernement d’une mise en œuvre rapide de France 2030. La trajectoire suivante de crédits de paiement est prévue pour la mission budgétaire « Investir pour la France de 2030 », qui porte les crédits du PIA 4 et de France 2030, pour les années 2023 à 2025 :

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

La présente loi de programmation confirme l’ambition du Gouvernement d’une mise en œuvre rapide de France 2030. La trajectoire suivante de crédits de paiement est prévue pour la mission budgétaire « Investir pour la France de 2030 », qui porte les crédits du PIA 4 et de France 2030, pour les années 2023 à 2025 :

La présente loi de programmation confirme l’ambition du Gouvernement d’une mise en œuvre rapide de France 2030. La trajectoire suivante de crédits de paiement est prévue pour la mission budgétaire « Investir pour la France de 2030 », qui porte les crédits du PIA 4 et de France 2030, pour les années 2023 à 2025 :



En Md€202320242025
Mission Investir pour la France de 20306,17,18,5


En Md€202320242025
Mission Investir pour la France de 20306,17,18,5


En Md€202320242025
Mission Investir pour la France de 20306,17,18,5


(En milliards d’euros)
202420252026
Mission « Investir pour la France de 2030 »7,78,57,7


(En milliards d’euros)
202420252026
Mission “Investir pour la France de 2030”7,78,57,7


(En milliards d’euros)
202420252026
Mission “Investir pour la France de 2030”7,78,57,7


(En milliards d’euros)
202420252026
Mission “Investir pour la France de 2030”7,78,57,7


(En milliards d’euros)
202420252026
Mission “Investir pour la France de 2030”7,78,57,7


(En milliards d’euros)
202420252026
Mission “Investir pour la France de 2030”7,78,57,7




C. – La trajectoire des administrations de sécurité sociale

C. – (Non modifié)

C. – (Alinéa sans modification)

C. – (Alinéa sans modification)

C. – (Alinéa sans modification)

C. – (Alinéa sans modification)

C. – (Alinéa sans modification)

C. – La trajectoire des administrations de sécurité sociale

C. – La trajectoire des administrations de sécurité sociale



Après une forte dégradation en 2020 et 2021 du fait de la crise économique et sanitaire, le solde des ASSO se redresserait, sous l’effet du rebond de l’activité économique et en raison de la diminution des dépenses de santé liées à la crise sanitaire en 2022 et 2023. À moyen terme, cette amélioration serait permise par la dynamique modérée des dépenses de la branche vieillesse, avec la mise en place d’une réforme des retraites, et par la maîtrise des dépenses d’assurance maladie : la progression de l’Ondam serait de 2,7 % en 2024 et 2025, après 3,7 % en 2023 (hors Covid), puis de 2,6 % en 2026 et 2027. L’assurance‑chômage participerait également à l’amélioration du solde : en effet, la résorption des tensions de recrutement s’inscrit dans l’objectif de retour au plein emploi du Gouvernement, qui mobilisera plusieurs leviers sur le marché du travail, à commencer par une concertation des partenaires sociaux afin d’introduire une modulation des règles d’assurance‑chômage selon la conjoncture. L’amélioration du solde serait aussi soutenue par les recettes, du fait d’une masse salariale dynamique. Enfin, les excédents de la CADES permettraient de continuer d’amortir la dette sociale.


(Alinéa sans modification)

Après une forte dégradation en 2020 et 2021 du fait de la crise économique et sanitaire, le solde des ASSO se redresserait, sous l’effet du rebond de l’activité économique et en raison de la diminution des dépenses de santé liées à la crise sanitaire en 2022 et 2023. À moyen terme, cette amélioration serait permise par la dynamique modérée des dépenses de la branche Vieillesse, avec la mise en place de la réforme des retraites en LFRSS 2023 permettant des économies à l’horizon 2027 d’environ 0,1 point de PIB en versement de pensions sur l’ensemble des régimes de retraite obligatoire, et par la maîtrise des dépenses d’assurance maladie : la progression de l’ONDAM serait de 3,2 % en 2024, après 4,8 % en 2023 (hors covid), puis de 3,0 % en 2025, 2,9 % en 2026 et 2027.

Après une forte dégradation en 2020 et 2021 du fait de la crise économique et sanitaire, le solde des ASSO se redresserait, sous l’effet du rebond de l’activité économique et en raison de la diminution des dépenses de santé liées à la crise sanitaire en 2022 et 2023. À moyen terme, cette amélioration serait permise par la dynamique modérée des dépenses de la branche Vieillesse, avec la mise en place de la réforme des retraites en loi de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 permettant des économies à l’horizon 2027 d’environ 0,1 point de PIB en versement de pensions sur l’ensemble des régimes de retraite obligatoire, et par la maîtrise des dépenses d’assurance maladie : la progression de l’ONDAM serait de 3,2 % en 2024, après 4,8 % en 2023 (hors covid), puis de 3,0 % en 2025, 2,9 % en 2026 et 2027.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Après une forte dégradation en 2020 et 2021 du fait de la crise économique et sanitaire, le solde des ASSO se redresserait, sous l’effet du rebond de l’activité économique et en raison de la diminution des dépenses de santé liées à la crise sanitaire en 2022 et 2023. À moyen terme, cette amélioration serait permise par la dynamique modérée des dépenses de la branche Vieillesse, avec la mise en place de la réforme des retraites en loi de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 permettant des économies à l’horizon 2027 d’environ 0,1 point de PIB en versement de pensions sur l’ensemble des régimes de retraite obligatoire, et par la maîtrise des dépenses d’assurance maladie : la progression de l’ONDAM serait de 3,2 % en 2024, après 4,8 % en 2023 (hors covid), puis de 3,0 % en 2025 et de 2,9 % en 2026 et 2027.

Après une forte dégradation en 2020 et 2021 du fait de la crise économique et sanitaire, le solde des ASSO se redresserait, sous l’effet du rebond de l’activité économique et en raison de la diminution des dépenses de santé liées à la crise sanitaire en 2022 et 2023. À moyen terme, cette amélioration serait permise par la dynamique modérée des dépenses de la branche Vieillesse, avec la mise en place de la réforme des retraites en loi de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 permettant des économies à l’horizon 2027 d’environ 0,1 point de PIB en versement de pensions sur l’ensemble des régimes de retraite obligatoire, et par la maîtrise des dépenses d’assurance maladie : la progression de l’ONDAM serait de 3,2 % en 2024, après 4,8 % en 2023 (hors covid), puis de 3,0 % en 2025 et de 2,9 % en 2026 et 2027.






L’assurance‑chômage participerait également à l’amélioration du solde : en effet, la résorption des tensions de recrutement s’inscrit dans l’objectif de retour au plein emploi du Gouvernement, qui mobilisera plusieurs leviers sur le marché du travail, à commencer par la réforme contracyclicité, entrée en vigueur au 1er février 2023. L’amélioration du solde serait aussi soutenue par les recettes, du fait d’une masse salariale dynamique. Enfin, les excédents de la Caisse d’amortissement de la dette sociale (CADES) permettraient de continuer d’amortir la dette sociale. Par ailleurs, en sus des trajectoires des régimes obligatoires de base de sécurité sociale, de l’Unedic et des régimes complémentaires de retraite présentées ci‑après, une économie additionnelle de 6 milliards d’euros en niveau à partir de 2025 est intégrée dans la trajectoire de dépenses de l’État sous‑jacente au présent projet de loi de programmation des finances publiques et prise en compte dans le tableau ci‑dessous. Elle a vocation à être notamment documentée par le dispositif annuel de revue de dépenses prévu dans la loi de finances initiale pour 2023 et dans la présente loi de programmation des finances publiques.

L’assurance‑chômage participerait également à l’amélioration du solde : en effet, la résorption des tensions de recrutement s’inscrit dans l’objectif de retour au plein emploi du Gouvernement, qui mobilisera plusieurs leviers sur le marché du travail, à commencer par la réforme « contracyclicité », entrée en vigueur au 1er février 2023. L’amélioration du solde serait aussi soutenue par les recettes, du fait d’une masse salariale dynamique. Enfin, les excédents de la Caisse d’amortissement de la dette sociale (CADES) permettraient de continuer d’amortir la dette sociale. Par ailleurs, en sus des trajectoires des régimes obligatoires de base de sécurité sociale, de l’Unédic et des régimes complémentaires de retraite présentées ci‑après, une économie additionnelle de 6 milliards d’euros en niveau à partir de 2025 est intégrée dans la trajectoire de dépenses de l’État sous‑jacente au présent projet de loi de programmation des finances publiques et prise en compte dans le tableau ci‑dessous. Elle a vocation à être notamment documentée par le dispositif annuel de revue de dépenses prévu dans la loi de finances initiale pour 2023 et dans la présente loi de programmation des finances publiques.

(Alinéa sans modification)

L’assurance chômage participerait également à l’amélioration du solde : en effet, la résorption des tensions de recrutement s’inscrit dans l’objectif de retour au plein emploi du Gouvernement, qui mobilisera plusieurs leviers sur le marché du travail, à commencer par la réforme « contracyclicité », entrée en vigueur au 1er février 2023. L’amélioration du solde serait aussi soutenue par les recettes, du fait d’une masse salariale dynamique. Enfin, les excédents de la Caisse d’amortissement de la dette sociale (CADES) permettraient de continuer d’amortir la dette sociale. Par ailleurs, en sus des trajectoires des régimes obligatoires de base de sécurité sociale, de l’Unédic et des régimes complémentaires de retraite présentées ci‑après, une économie additionnelle de 6 milliards d’euros en niveau à partir de 2025 est intégrée dans la trajectoire de dépenses de l’État sous‑jacente au présent projet de loi de programmation des finances publiques et prise en compte dans le tableau ci‑dessous. Elle a vocation à être notamment documentée par le dispositif annuel de revue de dépenses prévu dans la loi de finances initiale pour 2023 et dans la présente loi de programmation des finances publiques.

L’assurance chômage participerait également à l’amélioration du solde : en effet, la résorption des tensions de recrutement s’inscrit dans l’objectif de retour au plein emploi du Gouvernement, qui mobilisera plusieurs leviers sur le marché du travail, à commencer par la réforme « contracyclicité », entrée en vigueur le 1er février 2023. L’amélioration du solde serait aussi soutenue par les recettes, du fait d’une masse salariale dynamique. Enfin, les excédents de la Caisse d’amortissement de la dette sociale (CADES) permettraient de continuer d’amortir la dette sociale. Par ailleurs, en sus des trajectoires des régimes obligatoires de base de sécurité sociale, de l’UNEDIC et des régimes complémentaires de retraite présentées ci‑après, une économie additionnelle de 6 milliards d’euros en niveau à partir de 2025 est intégrée dans la trajectoire de dépenses de l’État sous‑jacente à la présente loi de programmation et prise en compte dans le tableau ci‑dessous. Elle a vocation à être notamment documentée par le dispositif annuel de revue de dépenses prévu dans la loi de finances initiale pour 2023 et dans la présente loi de programmation.

L’assurance chômage participerait également à l’amélioration du solde : en effet, la résorption des tensions de recrutement s’inscrit dans l’objectif de retour au plein emploi du Gouvernement, qui mobilisera plusieurs leviers sur le marché du travail, à commencer par la réforme « contracyclicité », entrée en vigueur le 1er février 2023. L’amélioration du solde serait aussi soutenue par les recettes, du fait d’une masse salariale dynamique. Enfin, les excédents de la Caisse d’amortissement de la dette sociale (CADES) permettraient de continuer d’amortir la dette sociale. Par ailleurs, en sus des trajectoires des régimes obligatoires de base de sécurité sociale, de l’UNEDIC et des régimes complémentaires de retraite présentées ci‑après, une économie additionnelle de 6 milliards d’euros en niveau à partir de 2025 est intégrée dans la trajectoire de dépenses de l’État sous‑jacente à la présente loi de programmation et prise en compte dans le tableau ci‑dessous. Elle a vocation à être notamment documentée par le dispositif annuel de revue de dépenses prévu dans la loi de finances initiale pour 2023 et dans la présente loi de programmation.



Tableau : Dépenses/recettes et solde des ASSO en points de PIB en comptabilité nationale


(Alinéa sans modification)

Dépenses/recettes et solde des ASSO en points de PIB en comptabilité nationale (2)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Dépenses/recettes et solde des ASSO en points de PIB en comptabilité nationale (2)

Dépenses/recettes et solde des ASSO en points de PIB en comptabilité nationale (2)



(En points de PIB)202220232024202520262027
Dépenses26,526,126,025,925,825,5
Recettes27,026,926,826,726,626,5
Solde0,50,80,80,70,81,0


(En points de PIB)202220232024202520262027
Dépenses26,526,126,025,925,825,5
Recettes27,026,926,826,726,626,5
Solde0,50,80,80,70,81,0


(En points de PIB)202220232024202520262027
Dépenses26,526,126,025,925,825,5
Recettes27,026,926,826,726,626,5
Solde0,50,80,80,70,81,0


(En points de PIB)
202220232024202520262027
Dépenses26,725,826,025,725,425,2
Recettes27,126,626,626,426,326,2
Solde0,40,70,60,70,91,0


(En points de PIB)
202220232024202520262027
Dépenses26,725,926,025,725,425,2
Recettes27,126,626,626,426,326,2
Solde0,40,70,60,70,91,0

Amdt  116


(En points de PIB)
202220232024202520262027
Dépenses26,725,926,025,725,425,2
Recettes27,126,626,626,426,326,2
Solde0,40,70,60,70,91,0


(En points de PIB)
202220232024202520262027
Dépenses26,725,926,025,725,425,2
Recettes27,126,626,626,426,326,2
Solde0,40,70,60,70,91,0


(En points de PIB)
202220232024202520262027
Dépenses26,725,926,025,725,425,2
Recettes27,126,626,626,426,326,2
Solde0,40,70,60,70,91,0


(En points de PIB)
202220232024202520262027
Dépenses26,725,926,025,725,425,2
Recettes27,126,626,626,426,326,2
Solde0,40,70,60,70,91,0




Les comptes présentés dans la loi de financement de la sécurité sociale et dans la loi de programmation des finances publiques relèvent de périmètres et de conventions comptables distinctes à double titre. D’une part, le champ des administrations de sécurité sociale couvert par la loi de programmation des finances publiques est plus étendu que celui des régimes obligatoires de base de la sécurité sociale et du fond de solidarité vieillesse couverts par la loi de financement de la sécurité sociale car il inclut notamment le régime d’indemnisation du chômage, les régimes complémentaires de retraite des salariés et les organismes dépendant des assurances sociales (principalement les hôpitaux et Pôle Emploi). D’autre part, les conventions comptables utilisées par la comptabilité nationale diffèrent du plan comptable unique des organismes de sécurité sociale. Elles excluent en particulier les dotations nettes des reprises sur provisions, les dotations aux amortissements et les plus‑values sur cessions d’immobilisations financières ou opérations de change.


Les comptes présentés dans la loi de financement de la sécurité sociale et dans la loi de programmation des finances publiques relèvent de périmètres et de conventions comptables distinctes à double titre. D’une part, le champ des administrations de sécurité sociale couvert par la loi de programmation des finances publiques est plus étendu que celui des régimes obligatoires de base de la sécurité sociale et du fonds de solidarité vieillesse couverts par la loi de financement de la sécurité sociale car il inclut notamment le régime d’indemnisation du chômage, les régimes complémentaires de retraite des salariés et les organismes dépendant des assurances sociales (principalement les hôpitaux et Pôle Emploi). D’autre part, les conventions comptables utilisées par la comptabilité nationale diffèrent du plan comptable unique des organismes de sécurité sociale. Elles excluent en particulier les dotations nettes des reprises sur provisions, les dotations aux amortissements et les plus‑values sur cessions d’immobilisations financières ou opérations de change.

Les comptes présentés dans la loi de financement de la sécurité sociale et dans la présente loi de programmation des finances publiques relèvent de périmètres et de conventions comptables distinctes à double titre. D’une part, le champ des administrations de sécurité sociale couvert par la loi de programmation des finances publiques est plus étendu que celui des régimes obligatoires de base de la sécurité sociale et du Fond de solidarité vieillesse couverts par la loi de financement de la sécurité sociale car il inclut notamment le régime d’indemnisation du chômage, les régimes complémentaires de retraite des salariés et les organismes dépendant des assurances sociales (principalement les hôpitaux et Pôle Emploi). D’autre part, les conventions comptables utilisées par la comptabilité nationale diffèrent du plan comptable unique des organismes de sécurité sociale. Elles excluent en particulier les dotations nettes des reprises sur provisions, les dotations aux amortissements et les plus‑values sur cessions d’immobilisations financières ou opérations de change.

Les comptes présentés dans la loi de financement de la sécurité sociale et dans la présente loi de programmation des finances publiques relèvent de périmètres et de conventions comptables distinctes à double titre. D’une part, le champ des administrations de sécurité sociale couvert par la loi de programmation des finances publiques est plus étendu que celui des régimes obligatoires de base de la sécurité sociale et du Fonds de solidarité vieillesse couverts par la loi de financement de la sécurité sociale car il inclut notamment le régime d’indemnisation du chômage, les régimes complémentaires de retraite des salariés et les organismes dépendant des assurances sociales (principalement les hôpitaux et Pôle Emploi). D’autre part, les conventions comptables utilisées par la comptabilité nationale diffèrent du plan comptable unique des organismes de sécurité sociale. Elles excluent en particulier les dotations nettes des reprises sur provisions, les dotations aux amortissements et les plus‑values sur cessions d’immobilisations financières ou opérations de change.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Les comptes présentés dans la loi de financement de la sécurité sociale et dans la présente loi de programmation relèvent de périmètres et de conventions comptables distinctes à double titre. D’une part, le champ des administrations de sécurité sociale couvert par la loi de programmation des finances publiques est plus étendu que celui des régimes obligatoires de base de la sécurité sociale et du Fonds de solidarité vieillesse couverts par la loi de financement de la sécurité sociale car il inclut notamment le régime d’indemnisation du chômage, les régimes complémentaires de retraite des salariés et les organismes dépendant des assurances sociales (principalement les hôpitaux et Pôle Emploi). D’autre part, les conventions comptables utilisées par la comptabilité nationale diffèrent du plan comptable unique des organismes de sécurité sociale. Elles excluent en particulier les dotations nettes des reprises sur provisions, les dotations aux amortissements et les plus‑values sur cessions d’immobilisations financières ou opérations de change.

Les comptes présentés dans la loi de financement de la sécurité sociale et dans la présente loi de programmation relèvent de périmètres et de conventions comptables distinctes à double titre. D’une part, le champ des administrations de sécurité sociale couvert par la loi de programmation des finances publiques est plus étendu que celui des régimes obligatoires de base de la sécurité sociale et du Fonds de solidarité vieillesse couverts par la loi de financement de la sécurité sociale car il inclut notamment le régime d’indemnisation du chômage, les régimes complémentaires de retraite des salariés et les organismes dépendant des assurances sociales (principalement les hôpitaux et Pôle Emploi). D’autre part, les conventions comptables utilisées par la comptabilité nationale diffèrent du plan comptable unique des organismes de sécurité sociale. Elles excluent en particulier les dotations nettes des reprises sur provisions, les dotations aux amortissements et les plus‑values sur cessions d’immobilisations financières ou opérations de change.



1. Maîtriser dans un cadre pluriannuel les dépenses d’assurance‑maladie tout en garantissant la qualité des soins et la prise en compte de la dépendance


1. (Alinéa sans modification)

1. (Alinéa sans modification)

1. Maîtriser dans un cadre pluriannuel les dépenses d’assurance maladie tout en garantissant la qualité des soins et la prise en compte de la dépendance

1. (Non modifié)

1. (Non modifié)

1. Maîtriser dans un cadre pluriannuel les dépenses d’assurance maladie tout en garantissant la qualité des soins et la prise en compte de la dépendance

1. Maîtriser dans un cadre pluriannuel les dépenses d’assurance maladie tout en garantissant la qualité des soins et la prise en compte de la dépendance



Les dépenses d’assurance maladie sous Ondam ont été marquées par trois années de crise sanitaire liée à l’épidémie de Covid‑19. Malgré cela, la transformation de notre système de santé a été initiée notamment par le Ségur de la Santé. Les mesures mises en œuvre vont transformer les métiers et revaloriser les carrières des soignants, en impulsant également une nouvelle politique d’investissement.


(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Les dépenses d’assurance maladie sous ONDAM ont été marquées par trois années de crise sanitaire liée à l’épidémie de covid‑19. Malgré cela, la transformation de notre système de santé a été initiée, notamment par le « Ségur de la santé ». Les mesures mises en œuvre vont transformer les métiers et revaloriser les carrières des soignants, en impulsant également une nouvelle politique d’investissement.



Les dépenses d’assurance maladie sous ONDAM ont été marquées par trois années de crise sanitaire liée à l’épidémie de covid‑19. Malgré cela, la transformation de notre système de santé a été initiée, notamment par le « Ségur de la santé ». Les mesures mises en œuvre vont transformer les métiers et revaloriser les carrières des soignants, en impulsant également une nouvelle politique d’investissement.

Les dépenses d’assurance maladie sous ONDAM ont été marquées par trois années de crise sanitaire liée à l’épidémie de covid‑19. Malgré cela, la transformation de notre système de santé a été initiée, notamment par le « Ségur de la santé ». Les mesures mises en œuvre vont transformer les métiers et revaloriser les carrières des soignants, en impulsant également une nouvelle politique d’investissement.



Les dépenses sous Ondam seraient encore dynamiques en 2023 et s’élèveraient à 3,7 %, une fois neutralisée les dépenses de santé directement liées à la crise sanitaire, prévues à 1 Md€ en 2023. Elles intègrent notamment l’effet année pleine de la revalorisation du point d’indice dans la fonction publique hospitalière. À partir de 2024, la progression des dépenses sous Ondam deviendrait plus modérée : ces dernières évolueraient de 2,7 % en 2024 et 2025, puis de 2,6 % en 2026 et 2027. Cette modération sera permise notamment par la maîtrise de certaines typologies de dépenses de soins de ville et de produits de santé, ainsi que le développement de la politique de prévention. Renforcer la prévention constitue en effet un levier d’efficience de la dépense et d’amélioration de l’état de santé de la population.


Les dépenses sous Ondam seraient encore dynamiques en 2023 et s’élèveraient à 3,7 %, une fois neutralisées les dépenses de santé directement liées à la crise sanitaire, prévues à 1 Md€ en 2023. Elles intègrent notamment l’effet année pleine de la revalorisation du point d’indice dans la fonction publique hospitalière. À partir de 2024, la progression des dépenses sous Ondam deviendrait plus modérée : ces dernières évolueraient de 2,7 % en 2024 et 2025, puis de 2,6 % en 2026 et 2027. Cette modération sera permise notamment par la maîtrise de certaines typologies de dépenses de soins de ville et de produits de santé, ainsi que le développement de la politique de prévention. Renforcer la prévention constitue en effet un levier d’efficience de la dépense et d’amélioration de l’état de santé de la population.

Les dépenses sous ONDAM seraient encore dynamiques en 2023 et s’élèveraient à 4,8 %, une fois neutralisées les dépenses de santé directement liées à la crise sanitaire, prévues à environ un milliard en 2023. Elles intègrent notamment l’effet en année pleine de la revalorisation du point d’indice dans la fonction publique hospitalière ainsi que les nouvelles mesures de revalorisation salariales annoncées en juin 2023. À partir de 2024, la progression des dépenses sous ONDAM deviendrait plus modérée et intégrerait des mesures d’économies : l’ONDAM évoluerait de 3,2 % en 2024, de 3,0 % en 2025, puis de 2,9 % en 2026 et 2027. Cette modération sera permise notamment par la maîtrise de certaines typologies de dépenses de soins de ville et de produits de santé ainsi que par le développement de la politique de prévention. Renforcer la prévention constitue en effet un levier d’efficience de la dépense et d’amélioration de l’état de santé de la population.

Les dépenses sous ONDAM seraient encore dynamiques en 2023 et s’élèveraient à 4,8 %, une fois neutralisées les dépenses de santé directement liées à la crise sanitaire, prévues à environ un milliard en 2023. Elles intègrent notamment l’effet en année pleine de la revalorisation du point d’indice dans la fonction publique hospitalière ainsi que les nouvelles mesures de revalorisation salariales annoncées en juin 2023. À partir de 2024, la progression des dépenses sous ONDAM deviendrait plus modérée et intégrerait des mesures d’économies : l’ONDAM évoluerait de 3,2 % en 2024, de 3,0 % en 2025 puis de 2,9 % en 2026 et 2027. Cette modération sera permise notamment par la maîtrise de certaines typologies de dépenses de soins de ville et de produits de santé ainsi que par le développement de la politique de prévention. Renforcer la prévention constitue en effet un levier d’efficience de la dépense et d’amélioration de l’état de santé de la population.



Les dépenses sous ONDAM seraient encore dynamiques en 2023 et s’élèveraient à 4,8 %, une fois neutralisées les dépenses de santé directement liées à la crise sanitaire, prévues à environ un milliard en 2023. Elles intègrent notamment l’effet en année pleine de la revalorisation du point d’indice dans la fonction publique hospitalière ainsi que les nouvelles mesures de revalorisation salariales annoncées en juin 2023. À partir de 2024, la progression des dépenses sous ONDAM deviendrait plus modérée et intégrerait des mesures d’économies : l’ONDAM évoluerait de 3,2 % en 2024, de 3,0 % en 2025 puis de 2,9 % en 2026 et 2027. Cette modération sera permise notamment par la maîtrise de certaines typologies de dépenses de soins de ville et de produits de santé ainsi que par le développement de la politique de prévention. Renforcer la prévention constitue en effet un levier d’efficience de la dépense et d’amélioration de l’état de santé de la population.

Les dépenses sous ONDAM seraient encore dynamiques en 2023 et s’élèveraient à 4,8 %, une fois neutralisées les dépenses de santé directement liées à la crise sanitaire, prévues à environ un milliard en 2023. Elles intègrent notamment l’effet en année pleine de la revalorisation du point d’indice dans la fonction publique hospitalière ainsi que les nouvelles mesures de revalorisation salariales annoncées en juin 2023. À partir de 2024, la progression des dépenses sous ONDAM deviendrait plus modérée et intégrerait des mesures d’économies : l’ONDAM évoluerait de 3,2 % en 2024, de 3,0 % en 2025 puis de 2,9 % en 2026 et 2027. Cette modération sera permise notamment par la maîtrise de certaines typologies de dépenses de soins de ville et de produits de santé ainsi que par le développement de la politique de prévention. Renforcer la prévention constitue en effet un levier d’efficience de la dépense et d’amélioration de l’état de santé de la population.



Concernant les dépenses de la branche famille, le Gouvernement s’engage pour la création d’un service public de la petite enfance avec le développement de nouvelles places en crèches, et pour l’augmentation de 50 % l’allocation de soutien familial permettant de répondre aux besoins des familles monoparentales. Le complément de libre de choix de mode de garde (CMG) sera étendu aux enfants jusqu’à 12 ans pour les familles monoparentales et le reste à charge sera aligné sur celui des crèches.


(Alinéa sans modification)

Concernant les dépenses de la branche famille, le Gouvernement s’engage pour la création d’un service public de la petite enfance avec le développement de nouvelles places en crèches et pour l’augmentation de 50 % l’allocation de soutien familial permettant de répondre aux besoins des familles monoparentales. Le complément de libre de choix de mode de garde (CMG) sera étendu aux enfants jusqu’à 12 ans pour les familles monoparentales et le reste à charge sera aligné sur celui des crèches.

(Alinéa sans modification)



Concernant les dépenses de la branche famille, le Gouvernement s’engage pour la création d’un service public de la petite enfance avec le développement de nouvelles places en crèches et pour l’augmentation de 50 % l’allocation de soutien familial permettant de répondre aux besoins des familles monoparentales. Le complément de libre de choix de mode de garde (CMG) sera étendu aux enfants jusqu’à 12 ans pour les familles monoparentales et le reste à charge sera aligné sur celui des crèches.

Concernant les dépenses de la branche famille, le Gouvernement s’engage pour la création d’un service public de la petite enfance avec le développement de nouvelles places en crèches et pour l’augmentation de 50 % l’allocation de soutien familial permettant de répondre aux besoins des familles monoparentales. Le complément de libre de choix de mode de garde (CMG) sera étendu aux enfants jusqu’à 12 ans pour les familles monoparentales et le reste à charge sera aligné sur celui des crèches.



2. Mettre en œuvre une réforme des retraites pour soutenir l’emploi


2. (Non modifié)

2. La réforme des retraites soutiendra l’emploi

2. (Alinéa sans modification)

2. (Non modifié)

2. (Alinéa sans modification)

2. La réforme des retraites soutiendra l’emploi

2. La réforme des retraites soutiendra l’emploi



Le taux d’emploi des seniors (55‑64 ans) progresse depuis 2010 mais reste plus bas que nos voisins européens (55,9 % en 2021 contre 61,0 % pour la zone euro). En effet, les Français quittent plus tôt le marché du travail : l’âge moyen de sortie du marché du travail observé par l’OCDE en France entre 2015 et 2020 était plus faible de 3,4 ans pour les hommes (60,4 ans) et 1,5 an pour les femmes (60,9) que dans la moyenne des pays de l’OCDE.



Le taux d’emploi des seniors (55‑64 ans) est en augmentation depuis 2010 mais reste faible en comparaison internationale : à 56 % en 2021 contre 61 % pour nos voisins européens, avec un écart encore plus marqué parmi les 60‑64 ans (36 % contre 47 % selon l’OCDE). Cet écart reflète principalement des différences en termes d’âge de départ à la retraite. Selon la Commission européenne, en 2019, l’âge moyen de sortie du marché du travail était de 62,3 ans en France, contre 63,8 ans en moyenne dans l’UE (65,5 ans en Italie et 64,6 ans en Allemagne).

(Alinéa sans modification)


(Alinéa sans modification)

Le taux d’emploi des seniors (55‑64 ans) est en augmentation depuis 2010 mais reste faible en comparaison internationale : à 56 % en 2021 contre 61 % pour nos voisins européens, avec un écart encore plus marqué parmi les 60‑64 ans (36 % contre 47 % selon l’OCDE). Cet écart reflète principalement des différences en termes d’âge de départ à la retraite. Selon la Commission européenne, en 2019, l’âge moyen de sortie du marché du travail était de 62,3 ans en France, contre 63,8 ans en moyenne dans l’UE (65,5 ans en Italie et 64,6 ans en Allemagne).

Le taux d’emploi des seniors (55‑64 ans) est en augmentation depuis 2010 mais reste faible en comparaison internationale : à 56 % en 2021 contre 61 % pour nos voisins européens, avec un écart encore plus marqué parmi les 60‑64 ans (36 % contre 47 % selon l’OCDE). Cet écart reflète principalement des différences en termes d’âge de départ à la retraite. Selon la Commission européenne, en 2019, l’âge moyen de sortie du marché du travail était de 62,3 ans en France, contre 63,8 ans en moyenne dans l’UE (65,5 ans en Italie et 64,6 ans en Allemagne).



Une mesure décalant l’âge de départ en retraite permet d’accroître la population active, l’emploi et donc la croissance. Cela s’inscrit dans l’objectif de plein emploi, dans le contexte actuel de fortes tensions de recrutement. Cela s’accompagnera d’une mobilisation des leviers permettant d’améliorer l’accompagnement des seniors et leur taux d’activité, en particulier concernant la prévention de l’usure professionnelle.



La réforme des retraites entrée en vigueur le 1er septembre 2023 permettra d’accroître la population active, l’emploi et donc la croissance. Elle s’inscrit dans l’objectif de plein emploi. En décalant l’âge de départ à la retraite, la réforme créerait environ 200 000 emplois en 2027, principalement parmi les 60‑64 ans dont le taux d’emploi augmenterait de 6 points à partir de 2030. Ce renforcement de la capacité productive génèrerait un surcroît de PIB de 0,7 point en 2027 qui se traduirait par des recettes supplémentaires.

(Alinéa sans modification)


(Alinéa sans modification)

La réforme des retraites entrée en vigueur le 1er septembre 2023 permettra d’accroître la population active, l’emploi et donc la croissance. Elle s’inscrit dans l’objectif de plein emploi. En décalant l’âge de départ à la retraite, la réforme créerait environ 200 000 emplois en 2027, principalement parmi les 60‑64 ans dont le taux d’emploi augmenterait de 6 points à partir de 2030. Ce renforcement de la capacité productive génèrerait un surcroît de PIB de 0,7 point en 2027 qui se traduirait par des recettes supplémentaires.

La réforme des retraites entrée en vigueur le 1er septembre 2023 permettra d’accroître la population active, l’emploi et donc la croissance. Elle s’inscrit dans l’objectif de plein emploi. En décalant l’âge de départ à la retraite, la réforme créerait environ 200 000 emplois en 2027, principalement parmi les 60‑64 ans dont le taux d’emploi augmenterait de 6 points à partir de 2030. Ce renforcement de la capacité productive génèrerait un surcroît de PIB de 0,7 point en 2027 qui se traduirait par des recettes supplémentaires.






Dépenses des régimes obligatoires de base de sécurité sociale en évolution

(Alinéa sans modification)


(Alinéa sans modification)

Dépenses des régimes obligatoires de base de sécurité sociale en évolution

Dépenses des régimes obligatoires de base de sécurité sociale en évolution



Dépenses ROBSS en évolution202320242025
Prestations famille4,7%4,7%4,2%
Prestations retraite4,4%6,3%4,5%
ONDAM3,7%2,7%2,7%


Dépenses ROBSS en évolution202320242025
Prestations famille4,7%4,7%4,2%
Prestations retraite4,4%6,3%4,5%
ONDAM3,7%2,7%2,7%


Dépenses ROBSS en évolution202320242025
Prestations famille4,7%4,7%4,2%
Prestations retraite4,4%6,3%4,5%
ONDAM3,7%2,7%2,7%


20232024202520262027
Prestations famille5,5 %3,8 %4,3 %2,7 %2,0 %
Prestations retraite4,5 %6,7 %4,1 %3,3 %3,0 %
ONDAM4,8 %3,2 %3,0 %2,9 %2,9 %


20232024202520262027
Prestations famille5,5 %3,8 %4,3 %2,7 %2,0 %
Prestations retraite4,5 %6,7 %4,1 %3,3 %3,0 %
ONDAM4,8 %3,2 %3,0 %2,9 %2,9 %


20232024202520262027
Prestations famille5,5 %3,8 %4,3 %2,7 %2,0 %
Prestations retraite4,5 %6,7 %4,1 %3,3 %3,0 %
ONDAM4,8 %3,2 %3,0 %2,9 %2,9 %


20232024202520262027
Prestations famille5,5 %3,8 %4,3 %2,7 %2,0 %
Prestations retraite4,5 %6,7 %4,1 %3,3 %3,0 %
ONDAM4,8 %3,2 %3,0 %2,9 %2,9 %


20232024202520262027
Prestations famille5,5 %3,8 %4,3 %2,7 %2,0 %
Prestations retraite4,5 %6,7 %4,1 %3,3 %3,0 %
ONDAM4,8 %3,2 %3,0 %2,9 %2,9 %


20232024202520262027
Prestations famille5,5 %3,8 %4,3 %2,7 %2,0 %
Prestations retraite4,5 %6,7 %4,1 %3,3 %3,0 %
ONDAM4,8 %3,2 %3,0 %2,9 %2,9 %




3. Régimes complémentaires de retraite


3. (Non modifié)

3. (Alinéa sans modification)

3. (Alinéa sans modification)

3. (Alinéa sans modification)

3. (Alinéa sans modification)

3. Régimes complémentaires de retraite

3. Régimes complémentaires de retraite



Les régimes de retraite complémentaire resteraient excédentaires sur la période du fait du dynamisme de leurs recettes, qui s’appuient sur la masse salariale, et de la modération de leurs dépenses, en raison des économies liées à une réforme des retraites.



Les régimes de retraite complémentaire resteraient excédentaires sur la période du fait du dynamisme de leurs recettes, qui s’appuient sur la masse salariale, et de la modération de leurs dépenses, en raison notamment des économies liées à la réforme des retraites.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Les régimes de retraite complémentaire resteraient excédentaires sur la période du fait du dynamisme de leurs recettes, qui s’appuient sur la masse salariale, et de la modération de leurs dépenses, en raison notamment des économies liées à la réforme des retraites.

Les régimes de retraite complémentaire resteraient excédentaires sur la période du fait du dynamisme de leurs recettes, qui s’appuient sur la masse salariale, et de la modération de leurs dépenses, en raison notamment des économies liées à la réforme des retraites.



En points de PIB202220232024202520262027
Dépenses3,63,73,73,73,73,7
Recettes3,93,93,93,93,93,8
Solde0,30,20,20,20,20,2


En points de PIB202220232024202520262027
Dépenses3,63,73,73,73,73,7
Recettes3,93,93,93,93,93,8
Solde0,30,20,20,20,20,2


En points de PIB202220232024202520262027
Dépenses3,63,73,73,73,73,7
Recettes3,93,93,93,93,93,8
Solde0,30,20,20,20,20,2


(En points de PIB)
202220232024202520262027
Dépenses3,63,63,63,63,63,5
Recettes3,93,93,93,83,83,8
Solde0,30,30,30,20,30,3


(En points de PIB)
202220232024202520262027
Dépenses3,63,63,63,63,63,5
Recettes3,93,93,93,83,83,8
Solde0,30,30,30,20,30,3


(En points de PIB)
202220232024202520262027
Dépenses3,63,63,63,63,63,5
Recettes3,93,93,93,83,83,8
Solde0,30,30,30,20,30,3


(En points de PIB)
202220232024202520262027
Dépenses3,63,63,63,63,63,5
Recettes3,93,93,93,83,83,8
Solde0,30,30,30,20,30,3


(En points de PIB)
202220232024202520262027
Dépenses3,63,63,63,63,63,5
Recettes3,93,93,93,83,83,8
Solde0,30,30,30,20,30,3


(En points de PIB)
202220232024202520262027
Dépenses3,63,63,63,63,63,5
Recettes3,93,93,93,83,83,8
Solde0,30,30,30,20,30,3




4. L’objectif de plein emploi contribuera au retour à l’équilibre des finances publiques


4. (Non modifié)

4. (Alinéa sans modification)

4. (Alinéa sans modification)

4. (Non modifié)

4. (Alinéa sans modification)

4. L’objectif de plein emploi contribuera au retour à l’équilibre des finances publiques

4. L’objectif de plein emploi contribuera au retour à l’équilibre des finances publiques



Le solde du régime d’indemnisation du chômage se redresserait significativement entre 2023 et 2027 grâce à un emploi dynamique et sous l’effet des mesures qui contribueraient à accroître l’offre de travail et à atteindre le plein emploi. Ces effets permettraient de diminuer progressivement les dépenses sur la période. L’amélioration du solde serait aussi soutenue par la hausse des recettes du fait du dynamisme de la masse salariale.



La dynamique du marché du travail et la montée en charge de la réforme de l’assurance chômage (2019‑2021) ont permis au régime de dégager un excédent en 2022. Le solde du régime d’indemnisation du chômage continuerait de se redresser à horizon 2027 grâce à un emploi dynamique, sous l’effet des mesures soutenant l’offre de travail en vue du plein emploi. Ces mesures permettraient de diminuer progressivement les dépenses sur la période. Dans ce contexte, le solde excédentaire du régime d’assurance chômage permettrait au régime d’augmenter sa contribution au financement des politiques de l’emploi tout en poursuivant son désendettement.

(Alinéa sans modification)


(Alinéa sans modification)

La dynamique du marché du travail et la montée en charge de la réforme de l’assurance chômage (2019‑2021) ont permis au régime de dégager un excédent en 2022. Le solde du régime d’indemnisation du chômage continuerait de se redresser à l’horizon 2027 grâce à un emploi dynamique, sous l’effet des mesures soutenant l’offre de travail en vue du plein emploi. Ces mesures permettraient de diminuer progressivement les dépenses sur la période. Dans ce contexte, le solde excédentaire du régime d’assurance chômage permettrait au régime d’augmenter sa contribution au financement des politiques de l’emploi tout en poursuivant son désendettement.

La dynamique du marché du travail et la montée en charge de la réforme de l’assurance chômage (2019‑2021) ont permis au régime de dégager un excédent en 2022. Le solde du régime d’indemnisation du chômage continuerait de se redresser à l’horizon 2027 grâce à un emploi dynamique, sous l’effet des mesures soutenant l’offre de travail en vue du plein emploi. Ces mesures permettraient de diminuer progressivement les dépenses sur la période. Dans ce contexte, le solde excédentaire du régime d’assurance chômage permettrait au régime d’augmenter sa contribution au financement des politiques de l’emploi tout en poursuivant son désendettement.



Pour résorber les tensions de recrutement, qui se situent à un plus haut niveau historique en 2022, et atteindre l’objectif de plein emploi, l’incitation au travail sera renforcée en adaptant les règles de l’assurance chômage à la situation du marché du travail. Dans cette optique, le Gouvernement engagera dès l’automne 2022 une concertation avec les partenaires sociaux sur les règles d’indemnisation, puis sur la gouvernance de l’assurance chômage. Cela s’inscrit dans une stratégie plus globale où plusieurs autres leviers seront également actionnés, dont le rapprochement de Pôle Emploi et des acteurs locaux du service public de l’emploi au sein de France Travail pour améliorer l’accompagnement des demandeurs d’emploi.



Pour résorber les tensions de recrutement encore très élevées et atteindre l’objectif de plein emploi, l’incitation au travail a été renforcée en adaptant les règles d’assurance chômage à la situation du marché du travail avec la réforme dite de la « contracyclicité » appliquée depuis le 1er février 2023. Cela s’inscrit dans une stratégie plus globale où plusieurs autres leviers sont également actionnés, notamment le déploiement de l’apprentissage, les réformes du lycée professionnel, du service public de la petite enfance, du service public de l’emploi (France Travail) ou encore des retraites.

Pour résorber les tensions de recrutement encore très élevées et atteindre l’objectif de plein emploi, l’incitation au travail a été renforcée en adaptant les règles de l’assurance chômage à la situation du marché du travail avec la réforme dite de la « contracyclicité » appliquée depuis le 1er février 2023. Cela s’inscrit dans une stratégie plus globale où plusieurs autres leviers sont également actionnés, notamment le déploiement de l’apprentissage, les réformes du lycée professionnel, du service public de la petite enfance, du service public de l’emploi (France Travail) ou encore des retraites.


(Alinéa sans modification)

Pour résorber les tensions de recrutement encore très élevées et atteindre l’objectif de plein emploi, l’incitation au travail a été renforcée en adaptant les règles de l’assurance chômage à la situation du marché du travail avec la réforme dite de la « contracyclicité » appliquée depuis le 1er février 2023. Cela s’inscrit dans une stratégie plus globale où plusieurs autres leviers sont également actionnés, notamment le déploiement de l’apprentissage, les réformes du lycée professionnel, du service public de la petite enfance, du service public de l’emploi (France Travail) ou encore des retraites.

Pour résorber les tensions de recrutement encore très élevées et atteindre l’objectif de plein emploi, l’incitation au travail a été renforcée en adaptant les règles de l’assurance chômage à la situation du marché du travail avec la réforme dite de la « contracyclicité » appliquée depuis le 1er février 2023. Cela s’inscrit dans une stratégie plus globale où plusieurs autres leviers sont également actionnés, notamment le déploiement de l’apprentissage, les réformes du lycée professionnel, du service public de la petite enfance, du service public de l’emploi (France Travail) ou encore des retraites.






La loi du 21 décembre 2022 prévoit que les règles actuelles d’assurance chômage ne s’appliquent plus à partir du 31 décembre 2023 (à l’exception du bonus‑malus). Les partenaires sociaux sont ainsi invités à négocier de nouvelles règles pour la période 2024‑2026, sur la base d’un document de cadrage transmis par le Gouvernement. La préservation des économies et la résorption des tensions de recrutement permises par les précédentes réformes de l’assurance chômage fait partie des priorités fixées par le Gouvernement.

(Alinéa sans modification)


La loi du 21 décembre 2022 prévoit que les règles actuelles d’assurance chômage ne s’appliquent plus à partir du 31 décembre 2023 (à l’exception du bonus‑malus). Les partenaires sociaux sont ainsi invités à négocier de nouvelles règles pour la période 2024‑2026, sur la base d’un document de cadrage transmis par le Gouvernement. La préservation des économies et la résorption des tensions de recrutement permises par les précédentes réformes de l’assurance chômage font partie des priorités fixées par le Gouvernement.

La loi du 21 décembre 2022 prévoit que les règles actuelles d’assurance chômage ne s’appliquent plus à partir du 31 décembre 2023 (à l’exception du bonus‑malus). Les partenaires sociaux sont ainsi invités à négocier de nouvelles règles pour la période 2024‑2026, sur la base d’un document de cadrage transmis par le Gouvernement. La préservation des économies et la résorption des tensions de recrutement permises par les précédentes réformes de l’assurance chômage font partie des priorités fixées par le Gouvernement.

La loi du 21 décembre 2022 prévoit que les règles actuelles d’assurance chômage ne s’appliquent plus à partir du 31 décembre 2023 (à l’exception du bonus‑malus). Les partenaires sociaux sont ainsi invités à négocier de nouvelles règles pour la période 2024‑2026, sur la base d’un document de cadrage transmis par le Gouvernement. La préservation des économies et la résorption des tensions de recrutement permises par les précédentes réformes de l’assurance chômage font partie des priorités fixées par le Gouvernement.



L’amélioration de la trajectoire financière de l’Unédic permettra de résorber progressivement la dette du régime, fortement creusée par la crise sanitaire en 2020 et 2021, et d’assurer sa soutenabilité.



L’amélioration de la trajectoire financière de l’Unédic permettrait de résorber progressivement la dette du régime, fortement creusée par la crise sanitaire en 2020 et 2021, et d’assurer sa soutenabilité.

(Alinéa sans modification)


(Alinéa sans modification)

L’amélioration de la trajectoire financière de l’UNEDIC permettrait de résorber progressivement la dette du régime, fortement creusée par la crise sanitaire en 2020 et 2021, et d’assurer sa soutenabilité.

L’amélioration de la trajectoire financière de l’UNEDIC permettrait de résorber progressivement la dette du régime, fortement creusée par la crise sanitaire en 2020 et 2021, et d’assurer sa soutenabilité.



Tableau : Dépenses/recettes/solde de l’Unedic en comptabilité nationale



Dépenses, recettes et solde de l’Unedic en comptabilité nationale

Dépenses, recettes et solde de l’Unédic en comptabilité nationale


(Alinéa sans modification)

Dépenses, recettes et solde de l’UNEDIC en comptabilité nationale

Dépenses, recettes et solde de l’UNEDIC en comptabilité nationale



En points de PIB202220232024202520262027
Dépenses1,51,51,41,31,31,2
Recettes1,71,71,61,61,71,7
Solde0,20,20,30,30,40,5


En points de PIB202220232024202520262027
Dépenses1,51,51,41,31,31,2
Recettes1,71,71,61,61,71,7
Solde0,20,20,30,30,40,5


En points de PIB202220232024202520262027
Dépenses1,51,51,41,31,31,2
Recettes1,71,71,61,61,71,7
Solde0,20,20,30,30,40,5


(En points de PIB)
202220232024202520262027
Dépenses1,51,51,41,31,21,1
Recettes1,61,61,51,51,51,5
Solde0,10,10,10,20,30,4


(En points de PIB)
202220232024202520262027
Dépenses1,51,51,41,31,21,1
Recettes1,61,61,51,51,51,5
Solde0,10,10,10,20,30,4


(En points de PIB)
202220232024202520262027
Dépenses1,51,51,41,31,21,1
Recettes1,61,61,51,51,51,5
Solde0,10,10,10,20,30,4


(En points de PIB)
202220232024202520262027
Dépenses1,51,51,41,31,21,1
Recettes1,61,61,51,51,51,5
Solde0,10,10,10,20,30,4


(En points de PIB)
202220232024202520262027
Dépenses1,51,51,41,31,21,1
Recettes1,61,61,51,51,51,5
Solde0,10,10,10,20,30,4


(En points de PIB)
202220232024202520262027
Dépenses1,51,51,41,31,21,1
Recettes1,61,61,51,51,51,5
Solde0,10,10,10,20,30,4




D. – La trajectoire des administrations publiques locales

D. – (Non modifié)

D. – (Alinéa sans modification)

D. – (Alinéa sans modification)

D. – (Alinéa sans modification)

D. – (Alinéa sans modification)

D. – (Alinéa sans modification)

D. – La trajectoire des administrations publiques locales

D. – La trajectoire des administrations publiques locales



Le redressement des finances publiques nécessite un effort collectif et notamment la poursuite par les administrations publiques locales de la maîtrise de leurs dépenses de fonctionnement. Dans cette perspective, la présente loi de programmation prévoit que les dépenses de fonctionnement des collectivités et de leurs groupements continuent de progresser, à un rythme toutefois inférieur de 0,5 point au taux d’inflation. Les modalités pour atteindre cet objectif feront l’objet d’une concertation avec les collectivités locales.


(Alinéa sans modification)

Le redressement des finances publiques nécessite un effort collectif notamment la poursuite par les administrations publiques locales de la maîtrise de leurs dépenses de fonctionnement. Dans cette perspective, la présente loi de programmation prévoit que les dépenses de fonctionnement des collectivités territoriales et de leurs groupements continuent de progresser, à un rythme toutefois inférieur de 0,5 point au taux d’inflation.

Le redressement des finances publiques nécessite un effort collectif, notamment la poursuite par les administrations publiques locales de la maîtrise de leurs dépenses de fonctionnement. Dans cette perspective, la présente loi de programmation prévoit que les dépenses de fonctionnement des collectivités territoriales et de leurs groupements continuent de progresser, à un rythme toutefois inférieur de 0,5 point au taux d’inflation.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Le redressement des finances publiques nécessite un effort collectif, notamment la poursuite par les administrations publiques locales de la maîtrise de leurs dépenses de fonctionnement. Dans cette perspective, la présente loi de programmation prévoit que les dépenses de fonctionnement des collectivités territoriales et de leurs groupements continuent de progresser, à un rythme toutefois inférieur de 0,5 point au taux d’inflation.

Le redressement des finances publiques nécessite un effort collectif, notamment la poursuite par les administrations publiques locales de la maîtrise de leurs dépenses de fonctionnement. Dans cette perspective, la présente loi de programmation prévoit que les dépenses de fonctionnement des collectivités territoriales et de leurs groupements continuent de progresser, à un rythme toutefois inférieur de 0,5 point au taux d’inflation.



À moyen terme, l’investissement suivrait un profil cohérent avec le cycle électoral, avec un pic en 2025 puis un fort ralentissement en 2026 et en 2027, l’année des élections municipales et l’année qui suit. Enfin, avec les perspectives d’avancées des travaux, les dépenses de la Société du Grand Paris resteraient dynamiques à l’horizon 2027.


(Alinéa sans modification)

À moyen terme, l’investissement suivrait un profil cohérent avec le cycle électoral, avec un pic en 2025 puis un fort ralentissement en 2026 et en 2027, l’année des élections municipales et l’année qui suit. Enfin, avec les perspectives d’avancées des travaux, les dépenses de la Société du Grand Paris (SGP) resteraient dynamiques à l’horizon 2027.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

À moyen terme, l’investissement suivrait un profil cohérent avec le cycle électoral, avec un pic en 2025 puis un fort ralentissement en 2026 et en 2027, l’année des élections municipales et l’année qui suit. Enfin, avec les perspectives d’avancées des travaux, les dépenses de la Société du Grand Paris (SGP) resteraient dynamiques à l’horizon 2027.

À moyen terme, l’investissement suivrait un profil cohérent avec le cycle électoral, avec un pic en 2025 puis un fort ralentissement en 2026 et en 2027, l’année des élections municipales et l’année qui suit. Enfin, avec les perspectives d’avancées des travaux, les dépenses de la Société du Grand Paris (SGP) resteraient dynamiques à l’horizon 2027.



Ainsi, le solde des APUL s’améliorerait fortement au cours des prochaines années. Sur les premières années de la trajectoire, les APUL seraient quasiment à l’équilibre et seraient même légèrement excédentaires en excluant la SGP, comme c’était le cas en 2021. À moyen terme, leur excédent augmenterait, leur solde s’établissant à 0,2 % de PIB en 2026 et 0,5 % en 2027, du fait de la maitrise des dépenses : ces dernières progresseraient en moyenne moins rapidement que les recettes. Ces dernières resteraient en effet dynamiques et les pertes de recettes provoquées par la suppression de la CVAE en deux temps (2023 et 2024) seront compensées par l’État.


Ainsi, le solde des APUL s’améliorerait fortement au cours des prochaines années. Sur les premières années de la trajectoire, les APUL seraient quasiment à l’équilibre et seraient même légèrement excédentaires en excluant la SGP, comme c’était le cas en 2021. À moyen terme, leur excédent augmenterait, leur solde s’établissant à 0,2 % de PIB en 2026 et 0,5 % en 2027, du fait de la maîtrise des dépenses : ces dernières progresseraient en moyenne moins rapidement que les recettes. Ces dernières resteraient en effet dynamiques et les pertes de recettes provoquées par la suppression de la CVAE en deux temps (2023 et 2024) seront compensées par l’État.

À moyen terme, le solde des administrations publiques locales deviendrait excédentaire, s’établissant à 0,2 % de PIB en 2026 et à 0,4 % en 2027, du fait de l’évolution des dépenses d’investissement et de la maitrise des dépenses de fonctionnement : ces dernières progresseraient en moyenne moins rapidement que les recettes. Ces dernières resteraient en effet dynamiques, tandis que les pertes de recettes de CVAE ont été compensées par l’État.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

À moyen terme, le solde des administrations publiques locales deviendrait excédentaire, s’établissant à 0,2 % de PIB en 2026 et à 0,4 % en 2027, du fait de l’évolution des dépenses d’investissement et de la maîtrise des dépenses de fonctionnement : ces dernières progresseraient en moyenne moins rapidement que les recettes. Ces dernières resteraient en effet dynamiques, tandis que les pertes de recettes de CVAE ont été compensées par l’État.

À moyen terme, le solde des administrations publiques locales deviendrait excédentaire, s’établissant à 0,2 % de PIB en 2026 et à 0,4 % en 2027, du fait de l’évolution des dépenses d’investissement et de la maîtrise des dépenses de fonctionnement : ces dernières progresseraient en moyenne moins rapidement que les recettes. Ces dernières resteraient en effet dynamiques, tandis que les pertes de recettes de CVAE ont été compensées par l’État.

À moyen terme, le solde des administrations publiques locales deviendrait excédentaire, s’établissant à 0,2 % de PIB en 2026 et à 0,4 % en 2027, du fait de l’évolution des dépenses d’investissement et de la maîtrise des dépenses de fonctionnement : ces dernières progresseraient en moyenne moins rapidement que les recettes. Ces dernières resteraient en effet dynamiques, tandis que les pertes de recettes de CVAE ont été compensées par l’État.



Tableau : Dépenses, recettes et solde des APUL au sens de Maastricht (en points de PIB)


(Alinéa sans modification)

Dépenses, recettes et solde des APUL au sens de Maastricht

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Dépenses, recettes et solde des APUL au sens de Maastricht

Dépenses, recettes et solde des APUL au sens de Maastricht



202220232024202520262027
Dépenses totales Apul11,211,010,910,810,510,2
Recettes totales Apul11,110,910,810,810,710,7
Solde Apul au sens de Maastricht0,0-0,1-0,10,00,20,5


202220232024202520262027
Dépenses totales Apul11,211,010,910,810,510,2
Recettes totales Apul11,110,910,810,810,710,7
Solde Apul au sens de Maastricht0,0-0,1-0,10,00,20,5



202220232024202520262027
Dépenses totales Apul11,211,010,910,810,510,2
Recettes totales Apul11,110,910,810,810,710,7
Solde Apul au sens de Maastricht0,0-0,1-0,10,00,20,5


(En points de PIB)
202220232024202520262027
Dépenses totales des APUL11,211,111,010,810,510,2
Recettes totales des APUL11,210,810,710,710,610,6
Solde des APUL au sens de Maastricht0,0-0,3-0,3-0,20,20,4


(En points de PIB)
202220232024202520262027
Dépenses totales des APUL11,211,111,010,810,510,2
Recettes totales des APUL11,210,810,710,710,610,6
Solde des APUL au sens de Maastricht0,0-0,3-0,3-0,20,20,4


(En points de PIB)
202220232024202520262027
Dépenses totales des APUL11,211,111,010,810,510,2
Recettes totales des APUL11,210,810,710,710,610,6
Solde des APUL au sens de Maastricht0,0-0,3-0,3-0,20,20,4


(En points de PIB)
202220232024202520262027
Dépenses totales des APUL11,211,111,010,810,510,2
Recettes totales des APUL11,210,810,710,710,610,6
Solde des APUL au sens de Maastricht0,0-0,3-0,3-0,20,20,4


(En points de PIB)
202220232024202520262027
Dépenses totales des APUL11,211,111,010,810,510,2
Recettes totales des APUL11,210,810,710,710,610,6
Solde des APUL au sens de Maastricht0,0-0,3-0,3-0,20,20,4


(En points de PIB)
202220232024202520262027
Dépenses totales des APUL11,211,111,010,810,510,2
Recettes totales des APUL11,210,810,710,710,610,6
Solde des APUL au sens de Maastricht0,0-0,3-0,3-0,20,20,4




E. – À politique inchangée (i.e. si la législation et les politiques de finances publiques n’étaient pas réformées), le déficit public se résorberait plus lentement et le ratio d’endettement continuerait d’augmenter sur le quinquennat

E. – (Alinéa sans modification)

E. – (Alinéa sans modification)

E. – À politique inchangée (c’est‑à‑dire si la législation et les politiques de finances publiques n’étaient pas réformées), le déficit public se résorberait plus lentement et le ratio d’endettement continuerait d’augmenter sur le quinquennat

E. – (Alinéa sans modification)

E. – (Alinéa sans modification)

E. – (Alinéa sans modification)

E. – À politique inchangée (c’est‑à‑dire si la législation et les politiques de finances publiques n’étaient pas réformées), le déficit public se résorberait plus lentement et le ratio d’endettement continuerait d’augmenter sur le quinquennat

E. – À politique inchangée (c’est‑à‑dire si la législation et les politiques de finances publiques n’étaient pas réformées), le déficit public se résorberait plus lentement et le ratio d’endettement continuerait d’augmenter sur le quinquennat



La trajectoire de solde public à législation et pratique inchangées, présentée ici conformément à loi organique  2001‑692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances (telle que modifiée par la loi organique  2021‑1836 du 28 décembre 2021 relative à la modernisation de la gestion des finances publiques) et à la directive de 2011 sur les cadres budgétaires, s’appuie sur les résultats obtenus ces dernières années en termes de maîtrise de la dépense publique. S’agissant de la dépense, la trajectoire contrefactuelle retient une hypothèse de croissance en volume de la dépense hors crédits d’impôt de +1,2 % par an, hors extinction des mesures d’urgence sanitaire et de relance, soit le rythme observé sur la période 2008‑2017.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

La trajectoire de solde public à législation et pratique inchangées, présentée ici conformément à loi organique  2001‑692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances (telle que modifiée par la loi organique  2021‑1836 du 28 décembre 2021 relative à la modernisation de la gestion des finances publiques) et à la directive 2011/85/UE du Conseil du 8 novembre 2011 sur les exigences applicables aux cadres budgétaires des États membres, s’appuie sur les résultats obtenus ces dernières années en termes de maîtrise de la dépense publique.

La trajectoire de solde public à législation et pratique inchangées, présentée ici conformément à loi organique  2001‑692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances (modifiée par la loi organique  2021‑1836 du 28 décembre 2021 relative à la modernisation de la gestion des finances publiques) et à la directive 2011/85/UE du Conseil du 8 novembre 2011 sur les exigences applicables aux cadres budgétaires des États membres, s’appuie sur les résultats obtenus ces dernières années en termes de maîtrise de la dépense publique.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

La trajectoire de solde public à législation et pratique inchangées, présentée ici conformément à loi organique  2001‑692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances (modifiée par la loi organique  2021‑1836 du 28 décembre 2021 relative à la modernisation de la gestion des finances publiques) et à la directive 2011/85/UE du Conseil du 8 novembre 2011 sur les exigences applicables aux cadres budgétaires des États membres, s’appuie sur les résultats obtenus ces dernières années en termes de maîtrise de la dépense publique.

La trajectoire de solde public à législation et pratique inchangées, présentée ici conformément à loi organique  2001‑692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances (modifiée par la loi organique  2021‑1836 du 28 décembre 2021 relative à la modernisation de la gestion des finances publiques) et à la directive 2011/85/UE du Conseil du 8 novembre 2011 sur les exigences applicables aux cadres budgétaires des États membres, s’appuie sur les résultats obtenus ces dernières années en termes de maîtrise de la dépense publique.



En recettes, elle se place dans un cadre dans lequel aucune des principales mesures nouvelles prises depuis le début de la nouvelle législature ou prévues à l’horizon de la trajectoire ne serait mise en œuvre : par exemple, les baisses de prélèvements obligatoires sur les ménages et les entreprises ne sont pas intégrées dans ce scénario.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

S’agissant des recettes, il est fait l’hypothèse de retenir uniquement dans cette trajectoire contrefactuelle l’effet des mesures nouvelles en prélèvements obligatoires déjà votées, par exemple la dernière étape de baisse de la taxe d’habitation sur les résidences principales ou la mise en place de la contribution sur les rentes infra‑marginales des producteurs d’électricité (CRI), alors que la trajectoire du projet de loi de programmation des finances publiques prend en compte la sortie des boucliers tarifaires. En ce qui concerne les hypothèses d’évolution spontanée des prélèvements obligatoires, elles sont identiques à celles de la prévision du projet de loi de programmation des finances publiques. De même, il n’y a pas de différence en ce qui concerne les recettes hors prélèvements obligatoires entre la trajectoire à politique inchangée et celle du projet de loi de programmation des finances publiques.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

S’agissant des recettes, il est fait l’hypothèse de retenir uniquement dans cette trajectoire contrefactuelle l’effet des mesures nouvelles en prélèvements obligatoires déjà votées, par exemple la dernière étape de baisse de la taxe d’habitation sur les résidences principales ou la mise en place de la contribution sur les rentes inframarginales des producteurs d’électricité (CRI), alors que la trajectoire de la présente loi de programmation prend en compte la sortie des boucliers tarifaires. En ce qui concerne les hypothèses d’évolution spontanée des prélèvements obligatoires, elles sont identiques à celles de la prévision du projet de loi de programmation des finances publiques. De même, il n’y a pas de différence en ce qui concerne les recettes hors prélèvements obligatoires entre la trajectoire à politique inchangée et celle de la présente loi de programmation.

S’agissant des recettes, il est fait l’hypothèse de retenir uniquement dans cette trajectoire contrefactuelle l’effet des mesures nouvelles en prélèvements obligatoires déjà votées, par exemple la dernière étape de baisse de la taxe d’habitation sur les résidences principales ou la mise en place de la contribution sur les rentes inframarginales des producteurs d’électricité (CRI), alors que la trajectoire de la présente loi de programmation prend en compte la sortie des boucliers tarifaires. En ce qui concerne les hypothèses d’évolution spontanée des prélèvements obligatoires, elles sont identiques à celles de la prévision du projet de loi de programmation des finances publiques. De même, il n’y a pas de différence en ce qui concerne les recettes hors prélèvements obligatoires entre la trajectoire à politique inchangée et celle de la présente loi de programmation.



En 2022 et en 2023, la prévision de déficit de la loi de programmation est supérieure à celle à politique inchangée du fait des mesures prises par le Gouvernement pour baisser les impôts pour les ménages (redevance audiovisuelle) et les entreprises (CVAE) et protéger le pouvoir d’achat des Français du choc inflationniste, que cela soit en dépense ou en recettes.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

S’agissant de la dépense, la trajectoire contrefactuelle retient une hypothèse de croissance en volume de +1,2 % par an hors extinction des mesures d’urgence et de relance, soit le rythme observé sur la période 2008‑2022, qui est significativement plus élevé que la maîtrise de l’augmentation de la dépense publique à l’horizon 2027 prévue par la présente loi de programmation des finances publiques (+0,6 % en volume hors urgence et relance en moyenne sur la période 2023‑2027).

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

S’agissant de la dépense, la trajectoire contrefactuelle retient une hypothèse de croissance en volume de +1,2 % par an hors extinction des mesures d’urgence et de relance, soit le rythme observé sur la période 2008‑2022, qui est significativement plus élevé que la maîtrise de l’augmentation de la dépense publique à l’horizon 2027 prévue par la présente loi de programmation (+0,6 % en volume hors urgence et relance en moyenne sur la période 2023‑2027).

S’agissant de la dépense, la trajectoire contrefactuelle retient une hypothèse de croissance en volume de +1,2 % par an hors extinction des mesures d’urgence et de relance, soit le rythme observé sur la période 2008‑2022, qui est significativement plus élevé que la maîtrise de l’augmentation de la dépense publique à l’horizon 2027 prévue par la présente loi de programmation (+0,6 % en volume hors urgence et relance en moyenne sur la période 2023‑2027).



À horizon 2027 en revanche, la trajectoire à politique inchangée est plus dégradée que la prévision de la loi de programmation. En effet, en l’absence d’une croissance maîtrisée de la dépense sur la période, le déficit se résorberait plus lentement et resterait supérieur à 4 % à l’horizon de la prévision. Ainsi, le ratio de dette continuerait de croître à l’horizon de la prévision.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Dans le scénario à politique inchangée ainsi défini, le déficit serait dégradé tous les ans par rapport à la trajectoire du projet de loi de programmation des finances publiques et serait encore de l’ordre de 4,5 % du PIB à l’horizon 2027. Le ratio de dette baisserait un peu en 2023 du fait de la croissance nominale très dynamique mais recommencerait à croitre à compter de 2024 : il s’élèverait en 2027 à 114,0 % du PIB, retrouvant ainsi un niveau proche du maximum historique atteint en 2020.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Dans le scénario à politique inchangée ainsi défini, le déficit serait dégradé tous les ans par rapport à la trajectoire du projet de loi de programmation des finances publiques et serait encore de l’ordre de 4,5 % du PIB à l’horizon 2027. Le ratio de dette baisserait un peu en 2023 du fait de la croissance nominale très dynamique mais recommencerait à croître à compter de 2024 : il s’élèverait en 2027 à 114,0 % du PIB, retrouvant ainsi un niveau proche du maximum historique atteint en 2020.

Dans le scénario à politique inchangée ainsi défini, le déficit serait dégradé tous les ans par rapport à la trajectoire de la présente loi de programmation et serait encore de l’ordre de 4,5 % du PIB à l’horizon 2027. Le ratio de dette baisserait un peu en 2023 du fait de la croissance nominale très dynamique mais recommencerait à croître à compter de 2024 : il s’élèverait en 2027 à 114,0 % du PIB, retrouvant ainsi un niveau proche du maximum historique atteint en 2020.

Dans le scénario à politique inchangée ainsi défini, le déficit serait dégradé tous les ans par rapport à la trajectoire de la présente loi de programmation et serait encore de l’ordre de 4,5 % du PIB à l’horizon 2027. Le ratio de dette baisserait un peu en 2023 du fait de la croissance nominale très dynamique mais recommencerait à croître à compter de 2024 : il s’élèverait en 2027 à 114,0 % du PIB, retrouvant ainsi un niveau proche du maximum historique atteint en 2020.



En % PIB202220232024202520262027
Solde public à législation et pratique inchangées-4,2-4,5-5,0-4,9-4,8-4,5
Dette publique à législation et pratique inchangées110,7109,9110,6112,0113,3114,2
Ecart cumulé sur les dépenses hors crédits d’impôt-0,6-0,20,71,11,61,9
Ecart cumulé sur les principales mesures annoncées en recettes-0,1-0,3-0,2-0,2-0,2-0,2
Solde public du PLPFP-5,0-5,0-4,5-4,0-3,4-2,9
Dette publique du PLPFP111,5111,2111,3111,7111,6110,9


En % PIB202220232024202520262027
Solde public à législation et pratique inchangées-4,2-4,5-5,0-4,9-4,8-4,5
Dette publique à législation et pratique inchangées110,7109,9110,6112,0113,3114,2
Ecart cumulé sur les dépenses hors crédits d’impôt-0,6-0,20,71,11,61,9
Ecart cumulé sur les principales mesures annoncées en recettes-0,1-0,3-0,2-0,2-0,2-0,2
Solde public du PLPFP-5,0-5,0-4,5-4,0-3,4-2,9
Dette publique du PLPFP111,5111,2111,3111,7111,6110,9


En % PIB202220232024202520262027
Solde public à législation et pratique inchangées-4,2-4,5-5,0-4,9-4,8-4,5
Dette publique à législation et pratique inchangées110,7109,9110,6112,0113,3114,2
Écart cumulé sur les dépenses hors crédits d’impôt-0,6-0,20,71,11,61,9
Écart cumulé sur les principales mesures annoncées en recettes-0,1-0,3-0,2-0,2-0,2-0,2
Solde public du PLPFP-5,0-5,0-4,5-4,0-3,4-2,9
Dette publique du PLPFP111,5111,2111,3111,7111,6110,9


(En points de PIB)
202220232024202520262027
Solde public à législation et pratique inchangées-4,8-5,6-5,3-5,0-4,7-4,5
Dette publique à législation et pratique inchangées111,8110,4111,3112,5113,4114,0
Ecart cumulé sur les dépenses hors crédits d’impôt0,00,70,91,01,21,6
Ecart cumulé sur les principales mesures annoncées en recettes0,00,00,10,30,30,2
Solde public du PLPFP-4,8-4,9-4,4-3,7-3,2-2,7
Dette publique du PLPFP111,8109,7109,7109,6109,1108,1


(En points de PIB)
202220232024202520262027
Solde public à législation et pratique inchangées-4,8-5,6-5,3-5,0-4,7-4,5
Dette publique à législation et pratique inchangées111,8110,4111,3112,5113,4114,0
Écart cumulé sur les dépenses hors crédits d’impôt0,00,70,91,01,21,6
Écart cumulé sur les principales mesures annoncées en recettes0,00,00,10,30,30,2
Solde public du PLPFP-4,8-4,9-4,4-3,7-3,2-2,7
Dette publique du PLPFP111,8109,7109,7109,6109,1108,1


(En points de PIB)
202220232024202520262027
Solde public à législation et pratique inchangées-4,8-5,6-5,3-5,0-4,7-4,5
Dette publique à législation et pratique inchangées111,8110,4111,3112,5113,4114,0
Écart cumulé sur les dépenses hors crédits d’impôt0,00,70,91,01,21,6
Écart cumulé sur les principales mesures annoncées en recettes0,00,00,10,30,30,2
Solde public du PLPFP-4,8-4,9-4,4-3,7-3,2-2,7
Dette publique du PLPFP111,8109,7109,7109,6109,1108,1


(En points de PIB)
202220232024202520262027
Solde public à législation et pratique inchangées-4,8-5,6-5,3-5,0-4,7-4,5
Dette publique à législation et pratique inchangées111,8110,4111,3112,5113,4114,0
Écart cumulé sur les dépenses hors crédits d’impôt0,00,70,91,01,21,6
Écart cumulé sur les principales mesures annoncées en recettes0,00,00,10,30,30,2
Solde public du PLPFP-4,8-4,9-4,4-3,7-3,2-2,7
Dette publique du PLPFP111,8109,7109,7109,6109,1108,1


(En points de PIB)
202220232024202520262027
Solde public à législation et pratique inchangées-4,8-5,6-5,3-5,0-4,7-4,5
Dette publique à législation et pratique inchangées111,8110,4111,3112,5113,4114,0
Écart cumulé sur les dépenses hors crédits d’impôt0,00,70,91,01,21,6
Écart cumulé sur les principales mesures annoncées en recettes0,00,00,10,30,30,2
Solde public du PLPFP-4,8-4,9-4,4-3,7-3,2-2,7
Dette publique du PLPFP111,8109,7109,7109,6109,1108,1


(En points de PIB)
202220232024202520262027
Solde public à législation et pratique inchangées-4,8-5,6-5,3-5,0-4,7-4,5
Dette publique à législation et pratique inchangées111,8110,4111,3112,5113,4114,0
Écart cumulé sur les dépenses hors crédits d’impôt0,00,70,91,01,21,6
Écart cumulé sur les principales mesures annoncées en recettes0,00,00,10,30,30,2
Solde public du PLPFP-4,8-4,9-4,4-3,7-3,2-2,7
Dette publique du PLPFP111,8109,7109,7109,6109,1108,1




Tableau : Indicateur de soutenabilité des finances publiques S2 (en points de PIB)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Indicateur de soutenabilité des finances publiques S2

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

Indicateur de soutenabilité des finances publiques S2

Indicateur de soutenabilité des finances publiques S2



Scénario inchangé entre 2022 et 2027Scénario LPFP
Écart de soutenabilité (indicateur S2)2,5-0,5
Dont impact de la position budgétaire initiale4,11,1
Dont impact du vieillissement (à partir de 2027)-1,6-1,6

Notes de lecture du tableau :

L’indicateur de soutenabilité (S2) à scénario inchangé est estimé sur la base d’un scénario contrefactuel dans lequel le solde structurel primaire est supposé constant à son niveau de 2021 sur la période de programmation, indépendamment de l’impact du vieillissement : il correspond à l’ajustement budgétaire pérenne qui devrait être réalisé en 2027 pour stabiliser le ratio d’endettement à très long terme (ici en 2070) compte tenu de l’impact du vieillissement à partir de 2027 ;

Le S2 du scénario de cette loi de programmation est estimé sur la base du solde structurel primaire de 2027 prévu dans la présente loi de programmation. Il correspond à l’ajustement budgétaire pérenne qui devrait être réalisé en 2027 pour stabiliser le ratio d’endettement à très long terme compte tenu de l’impact du vieillissement à partir de 2027 ;

Les chroniques de dépenses liées au vieillissement (retraites, santé, dépendance, éducation, chômage) sont celles du rapport sur le vieillissement de la Commission européenne de 2021.


Scénario inchangé entre 2022 et 2027Scénario LPFP
Écart de soutenabilité (indicateur S2)2,5-0,5
Dont impact de la position budgétaire initiale4,11,1
Dont impact du vieillissement (à partir de 2027)-1,6-1,6

Notes de lecture du tableau :

L’indicateur de soutenabilité (S2) à scénario inchangé est estimé sur la base d’un scénario contrefactuel dans lequel le solde structurel primaire est supposé constant à son niveau de 2021 sur la période de programmation, indépendamment de l’impact du vieillissement : il correspond à l’ajustement budgétaire pérenne qui devrait être réalisé en 2027 pour stabiliser le ratio d’endettement à très long terme (ici en 2070) compte tenu de l’impact du vieillissement à partir de 2027 ;

Le S2 du scénario de cette loi de programmation est estimé sur la base du solde structurel primaire de 2027 prévu dans la présente loi de programmation. Il correspond à l’ajustement budgétaire pérenne qui devrait être réalisé en 2027 pour stabiliser le ratio d’endettement à très long terme compte tenu de l’impact du vieillissement à partir de 2027 ;

Les chroniques de dépenses liées au vieillissement (retraites, santé, dépendance, éducation, chômage) sont celles du rapport sur le vieillissement de la Commission européenne de 2021.



Scénario inchangé entre 2022 et 2027Scénario LPFP
Écart de soutenabilité (indicateur S2)2,5-0,5
Dont impact de la position budgétaire initiale4,11,1
Dont impact du vieillissement (à partir de 2027)-1,6-1,6

Notes de lecture du tableau :

L’indicateur de soutenabilité (S2) à scénario inchangé est estimé sur la base d’un scénario contrefactuel dans lequel le solde structurel primaire est supposé constant à son niveau de 2021 sur la période de programmation, indépendamment de l’impact du vieillissement : il correspond à l’ajustement budgétaire pérenne qui devrait être réalisé en 2027 pour stabiliser le ratio d’endettement à très long terme (ici en 2070) compte tenu de l’impact du vieillissement à partir de 2027 ;

Le S2 du scénario de cette loi de programmation est estimé sur la base du solde structurel primaire de 2027 prévu dans la présente loi de programmation. Il correspond à l’ajustement budgétaire pérenne qui devrait être réalisé en 2027 pour stabiliser le ratio d’endettement à très long terme compte tenu de l’impact du vieillissement à partir de 2027 ;

Les chroniques de dépenses liées au vieillissement (retraites, santé, dépendance, éducation, chômage) sont celles du rapport sur le vieillissement de la Commission européenne de 2021.


(En points de PIB)
Scénario inchangé entre 2022 et 2027Scénario LPFP
Écart de soutenabilité (indicateur S2)1,1-1,1
Dont impact de la position budgétaire initiale2,60,4
Dont impact du vieillissement (à partir de 2027)-1,6-1,5

(*) L’indicateur de soutenabilité (S2) à scénario inchangé est estimé sur la base d’un scénario contrefactuel dans lequel le solde structurel primaire est supposé constant à son niveau de 2021 sur la période de programmation, indépendamment de l’impact du vieillissement : il correspond à l’ajustement budgétaire pérenne qui devrait être réalisé en 2027 pour stabiliser le ratio d’endettement à très long terme (ici en 2070) compte tenu de l’impact du vieillissement à partir de 2027.

Le S2 du scénario de cette loi de programmation est estimé sur la base du solde structurel primaire de 2027 prévu dans la présente loi de programmation. Il correspond à l’ajustement budgétaire pérenne qui devrait être réalisé en 2027 pour stabiliser le ratio d’endettement à très long terme compte tenu de l’impact du vieillissement à partir de 2027.

Les chroniques de dépenses liées au vieillissement (retraites, santé, dépendance, éducation, chômage) sont celles du rapport de 2021 de la Commission européenne sur le vieillissement.


(En points de PIB)
Scénario inchangé entre 2022 et 2027Scénario LPFP
Écart de soutenabilité (indicateur S2)1,1-1,1
Dont impact de la position budgétaire initiale2,60,4
Dont impact du vieillissement (à partir de 2027)-1,6-1,5

(*) L’indicateur de soutenabilité (S2) à scénario inchangé est estimé sur la base d’un scénario contrefactuel dans lequel le solde structurel primaire est supposé constant à son niveau de 2021 sur la période de programmation, indépendamment de l’impact du vieillissement : il correspond à l’ajustement budgétaire pérenne qui devrait être réalisé en 2027 pour stabiliser le ratio d’endettement à très long terme (ici en 2070) compte tenu de l’impact du vieillissement à partir de 2027.

Le S2 du scénario de cette loi de programmation est estimé sur la base du solde structurel primaire de 2027 prévu dans la présente loi de programmation. Il correspond à l’ajustement budgétaire pérenne qui devrait être réalisé en 2027 pour stabiliser le ratio d’endettement à très long terme compte tenu de l’impact du vieillissement à partir de 2027.

Les chroniques de dépenses liées au vieillissement (retraites, santé, dépendance, éducation, chômage) sont celles du rapport de 2021 de la Commission européenne sur le vieillissement.


(En points de PIB)
Scénario inchangé entre 2022 et 2027Scénario LPFP
Écart de soutenabilité (indicateur S2)1,1-1,1
Dont impact de la position budgétaire initiale2,60,4
Dont impact du vieillissement (à partir de 2027)-1,6-1,5

(*) L’indicateur de soutenabilité (S2) à scénario inchangé est estimé sur la base d’un scénario contrefactuel dans lequel le solde structurel primaire est supposé constant à son niveau de 2021 sur la période de programmation, indépendamment de l’impact du vieillissement : il correspond à l’ajustement budgétaire pérenne qui devrait être réalisé en 2027 pour stabiliser le ratio d’endettement à très long terme (ici en 2070) compte tenu de l’impact du vieillissement à partir de 2027.

Le S2 du scénario de cette loi de programmation est estimé sur la base du solde structurel primaire de 2027 prévu dans la présente loi de programmation. Il correspond à l’ajustement budgétaire pérenne qui devrait être réalisé en 2027 pour stabiliser le ratio d’endettement à très long terme compte tenu de l’impact du vieillissement à partir de 2027.

Les chroniques de dépenses liées au vieillissement (retraites, santé, dépendance, éducation, chômage) sont celles du rapport de 2021 de la Commission européenne sur le vieillissement.


(En points de PIB)
Scénario inchangé entre 2022 et 2027Scénario LPFP
Écart de soutenabilité (indicateur S2)1,1-1,1
Dont impact de la position budgétaire initiale2,60,4
Dont impact du vieillissement (à partir de 2027)-1,6-1,5

(*) L’indicateur de soutenabilité (S2) à scénario inchangé est estimé sur la base d’un scénario contrefactuel dans lequel le solde structurel primaire est supposé constant à son niveau de 2021 sur la période de programmation, indépendamment de l’impact du vieillissement : il correspond à l’ajustement budgétaire pérenne qui devrait être réalisé en 2027 pour stabiliser le ratio d’endettement à très long terme (ici en 2070) compte tenu de l’impact du vieillissement à partir de 2027.

Le S2 du scénario de cette loi de programmation est estimé sur la base du solde structurel primaire de 2027 prévu dans la présente loi de programmation. Il correspond à l’ajustement budgétaire pérenne qui devrait être réalisé en 2027 pour stabiliser le ratio d’endettement à très long terme compte tenu de l’impact du vieillissement à partir de 2027.

Les chroniques de dépenses liées au vieillissement (retraites, santé, dépendance, éducation, chômage) sont celles du rapport de 2021 de la Commission européenne sur le vieillissement.


(En points de PIB)
Scénario inchangé entre 2022 et 2027Scénario LPFP
Écart de soutenabilité (indicateur S2)1,1-1,1
Dont impact de la position budgétaire initiale2,60,4
Dont impact du vieillissement (à partir de 2027)-1,6-1,5

(*) L’indicateur de soutenabilité (S2) à scénario inchangé est estimé sur la base d’un scénario contrefactuel dans lequel le solde structurel primaire est supposé constant à son niveau de 2021 sur la période de programmation, indépendamment de l’impact du vieillissement : il correspond à l’ajustement budgétaire pérenne qui devrait être réalisé en 2027 pour stabiliser le ratio d’endettement à très long terme (ici en 2070) compte tenu de l’impact du vieillissement à partir de 2027.

Le S2 du scénario de cette loi de programmation est estimé sur la base du solde structurel primaire de 2027 prévu dans la présente loi de programmation. Il correspond à l’ajustement budgétaire pérenne qui devrait être réalisé en 2027 pour stabiliser le ratio d’endettement à très long terme compte tenu de l’impact du vieillissement à partir de 2027.

Les chroniques de dépenses liées au vieillissement (retraites, santé, dépendance, éducation, chômage) sont celles du rapport de 2021 de la Commission européenne sur le vieillissement.


(En points de PIB)
Scénario inchangé entre 2022 et 2027Scénario LPFP
Écart de soutenabilité (indicateur S2)1,1-1,1
Dont impact de la position budgétaire initiale2,60,4
Dont impact du vieillissement (à partir de 2027)-1,6-1,5

(*) L’indicateur de soutenabilité (S2) à scénario inchangé est estimé sur la base d’un scénario contrefactuel dans lequel le solde structurel primaire est supposé constant à son niveau de 2021 sur la période de programmation, indépendamment de l’impact du vieillissement : il correspond à l’ajustement budgétaire pérenne qui devrait être réalisé en 2027 pour stabiliser le ratio d’endettement à très long terme (ici en 2070) compte tenu de l’impact du vieillissement à partir de 2027.

Le S2 du scénario de cette loi de programmation est estimé sur la base du solde structurel primaire de 2027 prévu dans la présente loi de programmation. Il correspond à l’ajustement budgétaire pérenne qui devrait être réalisé en 2027 pour stabiliser le ratio d’endettement à très long terme compte tenu de l’impact du vieillissement à partir de 2027.

Les chroniques de dépenses liées au vieillissement (retraites, santé, dépendance, éducation, chômage) sont celles du rapport de 2021 de la Commission européenne sur le vieillissement.




ANNEXES

ANNEXES

ANNEXES








Annexe 1

Annexe 1
Principales définitions
(Non modifié)

Annexe 1
Principales définitions

Annexe 1
Principales définitions

Annexe 1
Principales définitions
(Non modifié)

Annexe 1
Principales définitions
(Non modifié)

Annexe 1
Principales définitions
(Non modifié)

Annexe 1
Principales définitions

Annexe 1
Principales définitions


La notion d’administrations publiques (APU) est celle définie à l’article 2 du protocole  12 sur la procédure concernant les déficits excessifs, annexé aux traités européens, c’est‑à‑dire « les administrations centrales, les autorités régionales ou locales et les fonds de sécurité sociale, à l’exclusion des opérations commerciales, telles que définies dans le système européen de comptes économiques intégrés ». La méthodologie en vigueur actuellement est celle du système européen des comptes 2010 (SEC 2010) publié dans le règlement n ° 549/2013 du Parlement européen et du Conseil du 21 mai 2013 relatif au système européen des comptes nationaux et régionaux dans l’Union européenne.


(Alinéa sans modification)

La notion d’administrations publiques (APU) est celle définie à l’article 2 du protocole  12 sur la procédure concernant les déficits excessifs, annexé aux traités européens, c’est‑à‑dire « les administrations centrales, les autorités régionales ou locales et les fonds de sécurité sociale, à l’exclusion des opérations commerciales, telles que définies dans le système européen de comptes économiques intégrés ». La méthodologie en vigueur actuellement est celle du système européen des comptes 2010 (SEC 2010) publié dans le règlement  549/2013 du Parlement européen et du Conseil du 21 mai 2013 relatif au système européen des comptes nationaux et régionaux dans l’Union européenne.




La notion d’administrations publiques (APU) est celle définie à l’article 2 du protocole  12 sur la procédure concernant les déficits excessifs, annexé aux traités européens, c’est‑à‑dire « les administrations centrales, les autorités régionales ou locales et les fonds de sécurité sociale, à l’exclusion des opérations commerciales, telles que définies dans le système européen de comptes économiques intégrés ». La méthodologie en vigueur actuellement est celle du système européen des comptes 2010 (SEC 2010) publié dans le règlement  549/2013 du Parlement européen et du Conseil du 21 mai 2013 relatif au système européen des comptes nationaux et régionaux dans l’Union européenne.

La notion d’administrations publiques (APU) est celle définie à l’article 2 du protocole  12 sur la procédure concernant les déficits excessifs, annexé aux traités européens, c’est‑à‑dire « les administrations centrales, les autorités régionales ou locales et les fonds de sécurité sociale, à l’exclusion des opérations commerciales, telles que définies dans le système européen de comptes économiques intégrés ». La méthodologie en vigueur actuellement est celle du système européen des comptes 2010 (SEC 2010) publié dans le règlement  549/2013 du Parlement européen et du Conseil du 21 mai 2013 relatif au système européen des comptes nationaux et régionaux dans l’Union européenne.

La notion de prélèvements obligatoires (PO) a été initialement proposée par l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et repose sur trois critères : les flux doivent correspondre à des versements effectifs, les destinataires de ces flux doivent être les APU et, enfin, ces versements doivent avoir un caractère « non volontaire » (absence de choix du montant et des conditions de versement, inexistence de contreparties immédiates). Au sein de l’Union européenne, les notions d’impôts et de cotisations sociales sont définies selon des critères précis et contraignants pour les États membres. En France, c’est l’Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) qui est en charge du classement d’un prélèvement dans la catégorie des PO. La notion de mesures nouvelles en prélèvements obligatoires s’entend comme les mesures sociales et fiscales nouvelles décidées ou mises en œuvre par les APU, votées par le Parlement ou prises par voie réglementaire, qui font évoluer les prélèvements obligatoires (y compris impact des crédits d’impôt).


(Alinéa sans modification)

La notion de prélèvements obligatoires (PO) a été initialement proposée par l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et repose sur trois critères : les flux doivent correspondre à des versements effectifs, les destinataires de ces flux doivent être les APU et, enfin, ces versements doivent avoir un caractère « non volontaire » (absence de choix du montant et des conditions de versement, inexistence de contreparties immédiates). Au sein de l’Union européenne, les notions d’impôts et de cotisations sociales sont définies selon des critères précis et contraignants pour les États membres. En France, c’est l’Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) qui est en charge du classement d’un prélèvement dans la catégorie des PO. La notion de mesures nouvelles en prélèvements obligatoires s’entend comme les mesures sociales et fiscales nouvelles décidées ou mises en œuvre par les APU, votées par le Parlement ou prises par voie réglementaire, qui font évoluer les prélèvements obligatoires (y compris l’impact des crédits d’impôt).




La notion de prélèvements obligatoires (PO) a été initialement proposée par l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et repose sur trois critères : les flux doivent correspondre à des versements effectifs, les destinataires de ces flux doivent être les APU et, enfin, ces versements doivent avoir un caractère « non volontaire » (absence de choix du montant et des conditions de versement, inexistence de contreparties immédiates). Au sein de l’Union européenne, les notions d’impôts et de cotisations sociales sont définies selon des critères précis et contraignants pour les États membres. En France, c’est l’Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) qui est en charge du classement d’un prélèvement dans la catégorie des PO. La notion de mesures nouvelles en prélèvements obligatoires s’entend comme les mesures sociales et fiscales nouvelles décidées ou mises en œuvre par les APU, votées par le Parlement ou prises par voie réglementaire, qui font évoluer les prélèvements obligatoires (y compris l’impact des crédits d’impôt).

La notion de prélèvements obligatoires (PO) a été initialement proposée par l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et repose sur trois critères : les flux doivent correspondre à des versements effectifs, les destinataires de ces flux doivent être les APU et, enfin, ces versements doivent avoir un caractère « non volontaire » (absence de choix du montant et des conditions de versement, inexistence de contreparties immédiates). Au sein de l’Union européenne, les notions d’impôts et de cotisations sociales sont définies selon des critères précis et contraignants pour les États membres. En France, c’est l’Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) qui est en charge du classement d’un prélèvement dans la catégorie des PO. La notion de mesures nouvelles en prélèvements obligatoires s’entend comme les mesures sociales et fiscales nouvelles décidées ou mises en œuvre par les APU, votées par le Parlement ou prises par voie réglementaire, qui font évoluer les prélèvements obligatoires (y compris l’impact des crédits d’impôt).

Afin de se prémunir des effets du cycle économique et d’éviter les effets procycliques d’un pilotage par le solde public nominal (c’est‑à‑dire éviter une politique budgétaire expansionniste lorsque la conjoncture est favorable et que les recettes fiscales sont dynamiques et inversement une politique restrictive en bas de cycle), les États de l’Union signataires du traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance au sein de l’Union économique et monétaire (TSCG) ont mis en place des règles ancrées sur le solde structurel (c’est‑à‑dire le solde public corrigé des variations conjoncturelles et net des mesures ponctuelles et temporaires – cf. infra)


(Alinéa sans modification)

Afin de se prémunir des effets du cycle économique et d’éviter les effets procycliques d’un pilotage par le solde public nominal (c’est‑à‑dire éviter une politique budgétaire expansionniste lorsque la conjoncture est favorable et que les recettes fiscales sont dynamiques et inversement une politique restrictive en bas de cycle), les États de l’Union signataires du traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance au sein de l’Union économique et monétaire (TSCG) ont mis en place des règles ancrées sur le solde structurel (c’est‑à‑dire le solde public corrigé des variations conjoncturelles et net des mesures ponctuelles et temporaires – cf. infra).




Afin de se prémunir des effets du cycle économique et d’éviter les effets procycliques d’un pilotage par le solde public nominal (c’est‑à‑dire éviter une politique budgétaire expansionniste lorsque la conjoncture est favorable et que les recettes fiscales sont dynamiques et inversement une politique restrictive en bas de cycle), les États de l’Union signataires du traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance au sein de l’Union économique et monétaire (TSCG) ont mis en place des règles ancrées sur le solde structurel (c’est‑à‑dire le solde public corrigé des variations conjoncturelles et net des mesures ponctuelles et temporaires – cf. infra).

Afin de se prémunir des effets du cycle économique et d’éviter les effets procycliques d’un pilotage par le solde public nominal (c’est‑à‑dire éviter une politique budgétaire expansionniste lorsque la conjoncture est favorable et que les recettes fiscales sont dynamiques et inversement une politique restrictive en bas de cycle), les États de l’Union signataires du traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance au sein de l’Union économique et monétaire (TSCG) ont mis en place des règles ancrées sur le solde structurel (c’est‑à‑dire le solde public corrigé des variations conjoncturelles et net des mesures ponctuelles et temporaires – cf. infra).

La règle d’équilibre est considérée comme respectée si le solde structurel annuel correspond à l’objectif à moyen terme (OMT). Chaque État membre fixe dans son programme de stabilité cet OMT, qui doit respecter une limite supérieure de déficit structurel de 0,5 %, ou de 1 % pour les États dont le ratio d’endettement est sensiblement inférieur à la valeur de référence de 60 % du produit intérieur brut (PIB) et dont les risques sur la soutenabilité des finances publiques sont faibles. En droit interne français, l’OMT est fixé par la loi de programmation des finances publiques (LPFP). Le Conseil examine l’OMT dans le cadre de l’examen du programme de stabilité ainsi que la trajectoire d’ajustement vers cet objectif. Par ailleurs, conformément à l’article 2 bis du règlement (CE)  1466/1997 du Conseil, du 7 juillet 1997, précité, l’OMT est fixé à un niveau de solde structurel qui garantit « la soutenabilité des finances publiques ou une progression rapide vers leur soutenabilité, tout en autorisant une marge de manœuvre budgétaire, en tenant compte notamment des besoins en investissements publics ». Le code de conduite pour l’application du pacte de stabilité et de croissance précise que l’objectif de moyen terme est différencié selon les États membres pour prendre en compte la diversité des situations économiques et de finances publiques et les risques liés à la soutenabilité (en particulier le niveau de la dette et l’évolution des dépenses futures liées au vieillissement). L’OMT fixé par la France dans la présente loi de programmation est défini à l’article 2 de cette même loi.


(Alinéa sans modification)

La règle d’équilibre est considérée comme respectée si le solde structurel annuel correspond à l’objectif à moyen terme (OMT). Chaque État membre fixe dans son programme de stabilité cet OMT, qui doit respecter une limite supérieure de déficit structurel de 0,5 %, ou de 1 % pour les États dont le ratio d’endettement est sensiblement inférieur à la valeur de référence de 60 % du produit intérieur brut (PIB) et dont les risques sur la soutenabilité des finances publiques sont faibles. En droit interne français, l’OMT est fixé par la loi de programmation des finances publiques (LPFP). Le Conseil examine l’OMT dans le cadre de l’examen du programme de stabilité ainsi que la trajectoire d’ajustement vers cet objectif. Par ailleurs, conformément à l’article 2 bis du règlement (CE)  1466/97 du Conseil du 7 juillet 1997 relatif au renforcement de la surveillance des positions budgétaires ainsi que de la surveillance et de la coordination des politiques économiques, l’OMT est fixé à un niveau de solde structurel qui garantit « la soutenabilité des finances publiques ou une progression rapide vers leur soutenabilité, tout en autorisant une marge de manœuvre budgétaire, en tenant compte notamment des besoins en investissements publics ». Le code de conduite pour l’application du pacte de stabilité et de croissance précise que l’objectif de moyen terme est différencié selon les États membres pour prendre en compte la diversité des situations économiques et de finances publiques et les risques liés à la soutenabilité (en particulier le niveau de la dette et l’évolution des dépenses futures liées au vieillissement). L’OMT fixé par la France dans la présente loi de programmation est défini à l’article 2 de cette même loi.




La règle d’équilibre est considérée comme respectée si le solde structurel annuel correspond à l’objectif à moyen terme (OMT). Chaque État membre fixe dans son programme de stabilité cet OMT, qui doit respecter une limite supérieure de déficit structurel de 0,5 %, ou de 1 % pour les États dont le ratio d’endettement est sensiblement inférieur à la valeur de référence de 60 % du produit intérieur brut (PIB) et dont les risques sur la soutenabilité des finances publiques sont faibles. En droit interne français, l’OMT est fixé par la loi de programmation des finances publiques (LPFP). Le Conseil examine l’OMT dans le cadre de l’examen du programme de stabilité ainsi que la trajectoire d’ajustement vers cet objectif. Par ailleurs, conformément à l’article 2 bis du règlement (CE)  1466/97 du Conseil du 7 juillet 1997 relatif au renforcement de la surveillance des positions budgétaires ainsi que de la surveillance et de la coordination des politiques économiques, l’OMT est fixé à un niveau de solde structurel qui garantit « la soutenabilité des finances publiques ou une progression rapide vers leur soutenabilité, tout en autorisant une marge de manœuvre budgétaire, en tenant compte notamment des besoins en investissements publics ». Le code de conduite pour l’application du pacte de stabilité et de croissance précise que l’objectif de moyen terme est différencié selon les États membres pour prendre en compte la diversité des situations économiques et de finances publiques et les risques liés à la soutenabilité (en particulier le niveau de la dette et l’évolution des dépenses futures liées au vieillissement). L’OMT fixé par la France dans la présente loi de programmation est défini à l’article 2.

La règle d’équilibre est considérée comme respectée si le solde structurel annuel correspond à l’objectif à moyen terme (OMT). Chaque État membre fixe dans son programme de stabilité cet OMT, qui doit respecter une limite supérieure de déficit structurel de 0,5 %, ou de 1 % pour les États dont le ratio d’endettement est sensiblement inférieur à la valeur de référence de 60 % du produit intérieur brut (PIB) et dont les risques sur la soutenabilité des finances publiques sont faibles. En droit interne français, l’OMT est fixé par la loi de programmation des finances publiques (LPFP). Le Conseil examine l’OMT dans le cadre de l’examen du programme de stabilité ainsi que la trajectoire d’ajustement vers cet objectif. Par ailleurs, conformément à l’article 2 bis du règlement (CE)  1466/97 du Conseil du 7 juillet 1997 relatif au renforcement de la surveillance des positions budgétaires ainsi que de la surveillance et de la coordination des politiques économiques, l’OMT est fixé à un niveau de solde structurel qui garantit « la soutenabilité des finances publiques ou une progression rapide vers leur soutenabilité, tout en autorisant une marge de manœuvre budgétaire, en tenant compte notamment des besoins en investissements publics ». Le code de conduite pour l’application du pacte de stabilité et de croissance précise que l’objectif de moyen terme est différencié selon les États membres pour prendre en compte la diversité des situations économiques et de finances publiques et les risques liés à la soutenabilité (en particulier le niveau de la dette et l’évolution des dépenses futures liées au vieillissement). L’OMT fixé par la France dans la présente loi de programmation est défini à l’article 2.

Le solde structurel vise à séparer la partie du solde public qui dépend directement de la conjoncture de celle qui en est indépendante. Ainsi, le calcul du solde structurel repose sur la définition du cycle économique et donc de l’écart du PIB effectif au PIB potentiel, qui, rapporté au PIB potentiel, est appelé écart de production. Chaque année, le solde public peut se décomposer en : (1) une composante conjoncturelle qui reflète donc l’impact de la position dans le cycle sur les postes de recettes et de dépenses qui en sont affectés ; (2) des mesures ponctuelles et temporaires (one‑offs), qui, parce qu’elles n’affectent pas le déficit durablement, sont exclues de l’évaluation du solde structurel (cf. annexe 3) ; et (3) de la composante structurelle.


(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)




Le solde structurel vise à séparer la partie du solde public qui dépend directement de la conjoncture de celle qui en est indépendante. Ainsi, le calcul du solde structurel repose sur la définition du cycle économique et donc de l’écart du PIB effectif au PIB potentiel, qui, rapporté au PIB potentiel, est appelé écart de production. Chaque année, le solde public peut se décomposer en : (1) une composante conjoncturelle qui reflète donc l’impact de la position dans le cycle sur les postes de recettes et de dépenses qui en sont affectés ; (2) des mesures ponctuelles et temporaires (one‑offs), qui, parce qu’elles n’affectent pas le déficit durablement, sont exclues de l’évaluation du solde structurel (cf. annexe 3) ; et (3) de la composante structurelle.

Le solde structurel vise à séparer la partie du solde public qui dépend directement de la conjoncture de celle qui en est indépendante. Ainsi, le calcul du solde structurel repose sur la définition du cycle économique et donc de l’écart du PIB effectif au PIB potentiel, qui, rapporté au PIB potentiel, est appelé écart de production. Chaque année, le solde public peut se décomposer en : (1) une composante conjoncturelle qui reflète donc l’impact de la position dans le cycle sur les postes de recettes et de dépenses qui en sont affectés ; (2) des mesures ponctuelles et temporaires (one‑offs), qui, parce qu’elles n’affectent pas le déficit durablement, sont exclues de l’évaluation du solde structurel (cf. annexe 3) ; et (3) de la composante structurelle.

Les évaluations du solde structurel et des efforts structurels nécessitent l’estimation de l’«activité potentielle » (ou PIB potentiel) de l’économie française : il s’agit du niveau d’activité qui serait observée en l’absence de tension sur l’utilisation des capacités de production et qui correspond par conséquent à une croissance tendancielle qui n’est pas sujette aux fluctuations du cycle économique. Elle est estimée à partir d’une projection des gains tendanciels de productivité et de l’offre potentielle de travail, cette dernière dépendant de la démographie, des taux d’activité et du chômage structurel. Le terme « croissance potentielle » désigne l’évolution de l’activité potentielle.


Les évaluations du solde structurel et des efforts structurels nécessitent l’estimation de l’« activité potentielle » (ou PIB potentiel) de l’économie française : il s’agit du niveau d’activité qui serait observé en l’absence de tension sur l’utilisation des capacités de production et qui correspond par conséquent à une croissance tendancielle qui n’est pas sujette aux fluctuations du cycle économique. Elle est estimée à partir d’une projection des gains tendanciels de productivité et de l’offre potentielle de travail, cette dernière dépendant de la démographie, des taux d’activité et du chômage structurel. Le terme « croissance potentielle » désigne l’évolution de l’activité potentielle.

(Alinéa sans modification)




Les évaluations du solde structurel et des efforts structurels nécessitent l’estimation de l’« activité potentielle » (ou PIB potentiel) de l’économie française : il s’agit du niveau d’activité qui serait observé en l’absence de tension sur l’utilisation des capacités de production et qui correspond par conséquent à une croissance tendancielle qui n’est pas sujette aux fluctuations du cycle économique. Elle est estimée à partir d’une projection des gains tendanciels de productivité et de l’offre potentielle de travail, cette dernière dépendant de la démographie, des taux d’activité et du chômage structurel. Le terme « croissance potentielle » désigne l’évolution de l’activité potentielle.

Les évaluations du solde structurel et des efforts structurels nécessitent l’estimation de l’« activité potentielle » (ou PIB potentiel) de l’économie française : il s’agit du niveau d’activité qui serait observé en l’absence de tension sur l’utilisation des capacités de production et qui correspond par conséquent à une croissance tendancielle qui n’est pas sujette aux fluctuations du cycle économique. Elle est estimée à partir d’une projection des gains tendanciels de productivité et de l’offre potentielle de travail, cette dernière dépendant de la démographie, des taux d’activité et du chômage structurel. Le terme « croissance potentielle » désigne l’évolution de l’activité potentielle.

L’ajustement structurel (défini comme la variation du solde structurel) n’est cependant pas entièrement de nature discrétionnaire. Certains éléments échappent en effet au contrôle direct du Gouvernement et du Parlement comme les sur‑réactions des recettes à l’évolution du PIB ainsi que l’évolution des recettes non fiscales (comme les dividendes). Dans le détail, l’ajustement structurel se décompose en un effort en recettes, un effort en dépense et une composante non discrétionnaire.


L’ajustement structurel (défini comme la variation du solde structurel) n’est cependant pas entièrement de nature discrétionnaire. Certains éléments échappent en effet au contrôle direct du Gouvernement et du Parlement comme les surréactions des recettes à l’évolution du PIB ainsi que l’évolution des recettes non fiscales (comme les dividendes). Dans le détail, l’ajustement structurel se décompose en un effort en recettes, un effort en dépense et une composante non discrétionnaire.

L’ajustement structurel (défini comme la variation du solde structurel) n’est cependant pas entièrement de nature discrétionnaire. Certains éléments échappent en effet au contrôle direct du Gouvernement et du Parlement, comme les surréactions des recettes à l’évolution du PIB ainsi que l’évolution des recettes non fiscales (comme les dividendes). Dans le détail, l’ajustement structurel se décompose en un effort en recettes, un effort en dépense et une composante non discrétionnaire.




L’ajustement structurel (défini comme la variation du solde structurel) n’est cependant pas entièrement de nature discrétionnaire. Certains éléments échappent en effet au contrôle direct du Gouvernement et du Parlement, comme les surréactions des recettes à l’évolution du PIB ainsi que l’évolution des recettes non fiscales (comme les dividendes). Dans le détail, l’ajustement structurel se décompose en un effort en recettes, un effort en dépense et une composante non discrétionnaire.

L’ajustement structurel (défini comme la variation du solde structurel) n’est cependant pas entièrement de nature discrétionnaire. Certains éléments échappent en effet au contrôle direct du Gouvernement et du Parlement, comme les surréactions des recettes à l’évolution du PIB ainsi que l’évolution des recettes non fiscales (comme les dividendes). Dans le détail, l’ajustement structurel se décompose en un effort en recettes, un effort en dépense et une composante non discrétionnaire.

L’effort en recettes est défini comme le montant des mesures nouvelles en prélèvements obligatoires (brut des crédits d’impôt, hors mesures ponctuelles et temporaires).


(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)




L’effort en recettes est défini comme le montant des mesures nouvelles en prélèvements obligatoires (brut des crédits d’impôt, hors mesures ponctuelles et temporaires).

L’effort en recettes est défini comme le montant des mesures nouvelles en prélèvements obligatoires (brut des crédits d’impôt, hors mesures ponctuelles et temporaires).

L’effort en dépense est défini comme la contribution de l’écart entre la croissance de la dépense publique réelle (y compris crédits d’impôt, hors mesures ponctuelles et temporaires et effets de la conjoncture sur les dépenses chômage) et la croissance potentielle de l’économie.


(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)




L’effort en dépense est défini comme la contribution de l’écart entre la croissance de la dépense publique réelle (y compris crédits d’impôt, hors mesures ponctuelles et temporaires et effets de la conjoncture sur les dépenses chômage) et la croissance potentielle de l’économie.

L’effort en dépense est défini comme la contribution de l’écart entre la croissance de la dépense publique réelle (y compris crédits d’impôt, hors mesures ponctuelles et temporaires et effets de la conjoncture sur les dépenses chômage) et la croissance potentielle de l’économie.

L’effort structurel est défini comme la somme de l’effort en recettes et l’effort en dépense.


(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)




L’effort structurel est défini comme la somme de l’effort en recettes et l’effort en dépense.

L’effort structurel est défini comme la somme de l’effort en recettes et l’effort en dépense.



La composante non discrétionnaire, hors de contrôle du Gouvernement, retrace l’effet du décalage observé entre les élasticités spontanées des recettes et les élasticités usuelles auquel s’ajoute un terme lié aux fluctuations du ratio des recettes hors prélèvements obligatoires.


(Alinéa sans modification)

La composante non discrétionnaire, hors de contrôle du Gouvernement, retrace l’effet du décalage observé entre les élasticités spontanées des recettes et les élasticités usuelles, auquel s’ajoute un terme lié aux fluctuations du ratio des recettes hors prélèvements obligatoires.




La composante non discrétionnaire, hors de contrôle du Gouvernement, retrace l’effet du décalage observé entre les élasticités spontanées des recettes et les élasticités usuelles, auquel s’ajoute un terme lié aux fluctuations du ratio des recettes hors prélèvements obligatoires.

La composante non discrétionnaire, hors de contrôle du Gouvernement, retrace l’effet du décalage observé entre les élasticités spontanées des recettes et les élasticités usuelles, auquel s’ajoute un terme lié aux fluctuations du ratio des recettes hors prélèvements obligatoires.



Les crédits d’impôt réduisent les prélèvements obligatoires du montant de leur impact sur les recettes fiscales (c’est‑à‑dire des imputations et restitutions effectivement consenties aux entreprises et aux ménages), mais contribuent au solde public au niveau de la créance acquise par les contribuables, suivant une logique de « droits constatés ».


(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)




Les crédits d’impôt réduisent les prélèvements obligatoires du montant de leur impact sur les recettes fiscales (c’est‑à‑dire des imputations et restitutions effectivement consenties aux entreprises et aux ménages), mais contribuent au solde public au niveau de la créance acquise par les contribuables, suivant une logique de « droits constatés ».

Les crédits d’impôt réduisent les prélèvements obligatoires du montant de leur impact sur les recettes fiscales (c’est‑à‑dire des imputations et restitutions effectivement consenties aux entreprises et aux ménages), mais contribuent au solde public au niveau de la créance acquise par les contribuables, suivant une logique de « droits constatés ».



À cet égard, la méthodologie est révisée dans la présente loi de programmation des finances publiques, afin de permettre une simplification de la lecture économique de l’ajustement structurel, sans changer le fond de l’analyse, et en cohérence avec le Système européen des comptes en vigueur (SEC 2010). La définition de l’ajustement structurel n’est pas modifiée, mais contrairement à la programmation précédente, la clé en crédits d’impôt (c’est‑à‑dire l’écart entre le coût budgétaire et le coût en comptabilité nationale des crédits d’impôt restituables et reportables) n’apparaît pas de manière isolée dans sa décomposition. Parallèlement, l’effort en recettes est mesuré en retenant les mesures sur les prélèvements obligatoires bruts des crédits d’impôt, et non plus nets, et l’effort en dépense en retenant la dépense y compris les créances acquises de crédits d’impôt. La composante non discrétionnaire de l’ajustement structurel est également légèrement modifiée car les effets d’élasticités sont appréciés sur les prélèvements obligatoires bruts et non plus nets.


(Alinéa sans modification)

À cet égard, la méthodologie est révisée dans la présente loi de programmation des finances publiques, afin de permettre une simplification de la lecture économique de l’ajustement structurel, sans changer le fond de l’analyse, et en cohérence avec le système européen des comptes en vigueur (SEC 2010). La définition de l’ajustement structurel n’est pas modifiée mais, contrairement à la programmation précédente, la clé en crédits d’impôt (c’est‑à‑dire l’écart entre le coût budgétaire et le coût en comptabilité nationale des crédits d’impôt restituables et reportables) n’apparaît pas de manière isolée dans sa décomposition. Parallèlement, l’effort en recettes est mesuré en retenant les mesures sur les prélèvements obligatoires bruts des crédits d’impôt, et non plus nets, et l’effort en dépense en retenant la dépense y compris les créances acquises de crédits d’impôt. La composante non discrétionnaire de l’ajustement structurel est également légèrement modifiée car les effets d’élasticité sont appréciés sur les prélèvements obligatoires bruts et non plus nets.




À cet égard, la méthodologie est révisée dans la présente loi de programmation, afin de permettre une simplification de la lecture économique de l’ajustement structurel, sans changer le fond de l’analyse, et en cohérence avec le système européen des comptes en vigueur (SEC 2010). La définition de l’ajustement structurel n’est pas modifiée mais, contrairement à la programmation précédente, la clé en crédits d’impôt (c’est‑à‑dire l’écart entre le coût budgétaire et le coût en comptabilité nationale des crédits d’impôt restituables et reportables) n’apparaît pas de manière isolée dans sa décomposition. Parallèlement, l’effort en recettes est mesuré en retenant les mesures sur les prélèvements obligatoires bruts des crédits d’impôt, et non plus nets, et l’effort en dépense en retenant la dépense y compris les créances acquises de crédits d’impôt. La composante non discrétionnaire de l’ajustement structurel est également légèrement modifiée car les effets d’élasticité sont appréciés sur les prélèvements obligatoires bruts et non plus nets.

À cet égard, la méthodologie est révisée dans la présente loi de programmation, afin de permettre une simplification de la lecture économique de l’ajustement structurel, sans changer le fond de l’analyse, et en cohérence avec le système européen des comptes en vigueur (SEC 2010). La définition de l’ajustement structurel n’est pas modifiée mais, contrairement à la programmation précédente, la clé en crédits d’impôt (c’est‑à‑dire l’écart entre le coût budgétaire et le coût en comptabilité nationale des crédits d’impôt restituables et reportables) n’apparaît pas de manière isolée dans sa décomposition. Parallèlement, l’effort en recettes est mesuré en retenant les mesures sur les prélèvements obligatoires bruts des crédits d’impôt, et non plus nets, et l’effort en dépense en retenant la dépense y compris les créances acquises de crédits d’impôt. La composante non discrétionnaire de l’ajustement structurel est également légèrement modifiée car les effets d’élasticité sont appréciés sur les prélèvements obligatoires bruts et non plus nets.



Annexe 2

Annexe 2
Mode de calcul du solde structurel
(Non modifié)

Annexe 2
Mode de calcul du solde structurel

Annexe 2
Mode de calcul du solde structurel

Annexe 2
Mode de calcul du solde structurel.

Annexe 2
Mode de calcul du solde structurel.
(Non modifié)

Annexe 2
Mode de calcul du solde structurel.
(Non modifié)

Annexe 2
Mode de calcul du solde structurel.

Annexe 2
Mode de calcul du solde structurel.


Le PIB potentiel correspond à la trajectoire d’activité durablement soutenable sans tension dans l’économie. L’écart entre le niveau effectif de production (PIB effectif) et le niveau potentiel, rapporté à ce niveau potentiel, est appelé « écart de production ». Celui‑ci indique la position de l’économie dans le cycle.


(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)



Le PIB potentiel correspond à la trajectoire d’activité durablement soutenable sans tension dans l’économie. L’écart entre le niveau effectif de production (PIB effectif) et le niveau potentiel, rapporté à ce niveau potentiel, est appelé « écart de production ». Celui‑ci indique la position de l’économie dans le cycle.

Le PIB potentiel correspond à la trajectoire d’activité durablement soutenable sans tension dans l’économie. L’écart entre le niveau effectif de production (PIB effectif) et le niveau potentiel, rapporté à ce niveau potentiel, est appelé « écart de production ». Celui‑ci indique la position de l’économie dans le cycle.

Le solde structurel en points de PIB potentiel est le ratio de solde public qui serait observé une fois le PIB revenu à son potentiel et après disparition des effets des mesures ponctuelles et temporaires. Ces concepts proviennent notamment des règles budgétaires européennes, du Pacte de stabilité et de croissance ainsi que du Traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance, dont la loi organique du 17 décembre 2012 relative à la programmation et à la gouvernance des finances publiques a fait application en droit interne.


(Alinéa sans modification)

Le solde structurel en points de PIB potentiel est le ratio de solde public qui serait observé une fois le PIB revenu à son potentiel et après disparition des effets des mesures ponctuelles et temporaires. Ces concepts proviennent notamment des règles budgétaires européennes, du pacte de stabilité et de croissance ainsi que du traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance, dont la loi organique  2012‑1403 du 17 décembre 2012 relative à la programmation et à la gouvernance des finances publiques a fait application en droit interne.

(Alinéa sans modification)



Le solde structurel en points de PIB potentiel est le ratio de solde public qui serait observé une fois le PIB revenu à son potentiel et après disparition des effets des mesures ponctuelles et temporaires. Ces concepts proviennent notamment des règles budgétaires européennes, du pacte de stabilité et de croissance ainsi que du traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance, dont la loi organique  2012‑1403 du 17 décembre 2012 relative à la programmation et à la gouvernance des finances publiques a fait application en droit interne.

Le solde structurel en points de PIB potentiel est le ratio de solde public qui serait observé une fois le PIB revenu à son potentiel et après disparition des effets des mesures ponctuelles et temporaires. Ces concepts proviennent notamment des règles budgétaires européennes, du pacte de stabilité et de croissance ainsi que du traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance, dont la loi organique  2012‑1403 du 17 décembre 2012 relative à la programmation et à la gouvernance des finances publiques a fait application en droit interne.

Le solde effectif (S) est donc décomposé en trois composantes : le solde structurel (SS), le solde des mesures ponctuelles et temporaires (Smpt) et le solde conjoncturel. Le solde effectif est exprimé en points de PIB effectif et le solde structurel et des mesures exceptionnelles et temporaires sont exprimés en points de PIB potentiel. Les écarts entre PIB effectif et potentiel (effet dénominateur) jouent au sein de la composante conjoncturelle, ce qui est légitime car l’écart entre ces deux grandeurs est de nature conjoncturelle.


(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)



Le solde effectif (S) est donc décomposé en trois composantes : le solde structurel (SS), le solde des mesures ponctuelles et temporaires (Smpt) et le solde conjoncturel. Le solde effectif est exprimé en points de PIB effectif et le solde structurel et des mesures exceptionnelles et temporaires sont exprimés en points de PIB potentiel. Les écarts entre PIB effectif et potentiel (effet dénominateur) jouent au sein de la composante conjoncturelle, ce qui est légitime car l’écart entre ces deux grandeurs est de nature conjoncturelle.

Le solde effectif (S) est donc décomposé en trois composantes : le solde structurel (SS), le solde des mesures ponctuelles et temporaires (Smpt) et le solde conjoncturel. Le solde effectif est exprimé en points de PIB effectif et le solde structurel et des mesures exceptionnelles et temporaires sont exprimés en points de PIB potentiel. Les écarts entre PIB effectif et potentiel (effet dénominateur) jouent au sein de la composante conjoncturelle, ce qui est légitime car l’écart entre ces deux grandeurs est de nature conjoncturelle.

On définit Ɛ comme la semi‑élasticité apparente du solde, exprimé en pourcentage du PIB, à l’écart de production, de sorte que la composante conjoncturelle soit simplement son produit avec l’écart de production. Ainsi :


(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)



On définit Ɛ comme la semi‑élasticité apparente du solde, exprimé en pourcentage du PIB, à l’écart de production, de sorte que la composante conjoncturelle soit simplement son produit avec l’écart de production. Ainsi :

On définit Ɛ comme la semi‑élasticité apparente du solde, exprimé en pourcentage du PIB, à l’écart de production, de sorte que la composante conjoncturelle soit simplement son produit avec l’écart de production. Ainsi :

(Cet alinéa comprend une formule mathématique qui ne peut pas être visualisée dans ce tableau.)


(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)



(Cet alinéa comprend une formule mathématique qui ne peut pas être visualisée dans ce tableau.)

(Cet alinéa comprend une formule mathématique qui ne peut pas être visualisée dans ce tableau.)


Dans cette équation, numérateurs et dénominateurs sont exprimés en milliards d’euros, Y* désigne le PIB potentiel en valeur, Y le PIB effectif en valeur, OG l’écart de production (OG=Y/Y*‑1) et Ɛ est la semi‑élasticité du solde à l’écart de production.


(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)



Dans cette équation, numérateurs et dénominateurs sont exprimés en milliards d’euros, Y* désigne le PIB potentiel en valeur, Y le PIB effectif en valeur, OG l’écart de production (OG=Y/Y*‑1) et Ɛ est la semi‑élasticité du solde à l’écart de production.

Dans cette équation, numérateurs et dénominateurs sont exprimés en milliards d’euros, Y* désigne le PIB potentiel en valeur, Y le PIB effectif en valeur, OG l’écart de production (OG=Y/Y*‑1) et Ɛ est la semi‑élasticité du solde à l’écart de production.

La méthodologie retenue pour calculer la décomposition du solde en ses composantes conjoncturelle et structurelle dans la présente loi de programmation se fonde sur la méthode employée par la Commission européenne : la composante conjoncturelle est égale au produit de l’écart de production par une semi‑élasticité apparente à l’écart de production fixée sur toute la période couverte par la présente loi de programmation. La valeur retenue est de 0,57 et repose sur :


(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)



La méthodologie retenue pour calculer la décomposition du solde en ses composantes conjoncturelle et structurelle dans la présente loi de programmation se fonde sur la méthode employée par la Commission européenne : la composante conjoncturelle est égale au produit de l’écart de production par une semi‑élasticité apparente à l’écart de production fixée sur toute la période couverte par la présente loi de programmation. La valeur retenue est de 0,57 et repose sur :

La méthodologie retenue pour calculer la décomposition du solde en ses composantes conjoncturelle et structurelle dans la présente loi de programmation se fonde sur la méthode employée par la Commission européenne : la composante conjoncturelle est égale au produit de l’écart de production par une semi‑élasticité apparente à l’écart de production fixée sur toute la période couverte par la présente loi de programmation. La valeur retenue est de 0,57 et repose sur :

1. Les élasticités estimées par l’OCDE :


1. (Non modifié)

1. Les élasticités estimées par l’OCDE (3) :

 Les élasticités estimées par l’OCDE (3) :



1° Les élasticités estimées par l’OCDE (3) :

1° Les élasticités estimées par l’OCDE (3) :

 Côté recettes, on suppose que tous les prélèvements obligatoires (bruts du CICE) dépendent de la conjoncture tandis que le reste des recettes est supposé être indépendant à la position de l’économie dans le cycle.



a) Côté recettes, on suppose que tous les prélèvements obligatoires (bruts du CICE) dépendent de la conjoncture tandis que le reste des recettes est supposé être indépendant de la position de l’économie dans le cycle ;

a) (Non modifié)



a) Côté recettes, on suppose que tous les prélèvements obligatoires (bruts du CICE) dépendent de la conjoncture tandis que le reste des recettes est supposé être indépendant de la position de l’économie dans le cycle ;

a) Côté recettes, on suppose que tous les prélèvements obligatoires (bruts du CICE) dépendent de la conjoncture tandis que le reste des recettes est supposé être indépendant de la position de l’économie dans le cycle ;

 Côté dépense, seules les dépenses de chômage sont supposées cycliques. Les autres dépenses sont supposées être structurelles, soit parce qu’elles sont de nature discrétionnaire, soit parce que leur lien avec la conjoncture est difficile à mesurer.



b) Côté dépense, seules les dépenses de chômage sont supposées cycliques. Les autres dépenses sont supposées être structurelles, soit parce qu’elles sont de nature discrétionnaire, soit parce que leur lien avec la conjoncture est difficile à mesurer ;

b) Côté dépenses, seules les dépenses de chômage sont supposées cycliques. Les autres dépenses sont supposées être structurelles, soit parce qu’elles sont de nature discrétionnaire, soit parce que leur lien avec la conjoncture est difficile à mesurer ;



b) Côté dépenses, seules les dépenses de chômage sont supposées cycliques. Les autres dépenses sont supposées être structurelles, soit parce qu’elles sont de nature discrétionnaire, soit parce que leur lien avec la conjoncture est difficile à mesurer ;

b) Côté dépenses, seules les dépenses de chômage sont supposées cycliques. Les autres dépenses sont supposées être structurelles, soit parce qu’elles sont de nature discrétionnaire, soit parce que leur lien avec la conjoncture est difficile à mesurer ;



4. Le poids moyen sur 2008‑2017 des impôts dans les recettes totales et celui des dépenses de chômage dans la dépense totale ainsi que les poids moyens sur la même période des recettes totales et de la dépense totale dans le PIB.


4. (Alinéa sans modification)

2. Le poids moyen sur 2008‑2017 des impôts dans les recettes totales et celui des dépenses de chômage dans la dépense totale ainsi que les poids moyens sur la même période des recettes totales et de la dépense totale dans le PIB.

 Le poids moyen sur 2008‑2017 des impôts dans les recettes totales et celui des dépenses de chômage dans la dépense totale ainsi que les poids moyens sur la même période des recettes totales et de la dépense totale dans le PIB.



2° Le poids moyen sur 2008‑2017 des impôts dans les recettes totales et celui des dépenses de chômage dans la dépense totale ainsi que les poids moyens sur la même période des recettes totales et de la dépense totale dans le PIB.

2° Le poids moyen sur 2008‑2017 des impôts dans les recettes totales et celui des dépenses de chômage dans la dépense totale ainsi que les poids moyens sur la même période des recettes totales et de la dépense totale dans le PIB.



Le calcul de la semi‑élasticité apparente de la composante conjoncturelle à l’écart de production est détaillé dans le tableau infra. La semi‑élasticité peut se décomposer en deux termes :


(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)



Le calcul de la semi‑élasticité apparente de la composante conjoncturelle à l’écart de production est détaillé dans le tableau infra. La semi‑élasticité peut se décomposer en deux termes :

Le calcul de la semi‑élasticité apparente de la composante conjoncturelle à l’écart de production est détaillé dans le tableau infra. La semi‑élasticité peut se décomposer en deux termes :



– La contribution des prélèvements obligatoires et des dépenses de chômage à travers leur élasticité respective et leur poids moyen dans le PIB ;


(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)



– la contribution des prélèvements obligatoires et des dépenses de chômage à travers leur élasticité respective et leur poids moyen dans le PIB ;

– la contribution des prélèvements obligatoires et des dépenses de chômage à travers leur élasticité respective et leur poids moyen dans le PIB ;



– Un effet dénominateur issu de l’écart entre le PIB effectif et le PIB potentiel. Ce terme est égal au solde public moyen sur la période d’estimation.


(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)



– un effet dénominateur issu de l’écart entre le PIB effectif et le PIB potentiel. Ce terme est égal au solde public moyen sur la période d’estimation.

– un effet dénominateur issu de l’écart entre le PIB effectif et le PIB potentiel. Ce terme est égal au solde public moyen sur la période d’estimation.



Tableau : Semi‑élasticité apparente de la composante conjoncturelle à l’écart de production


(Alinéa sans modification)









Elasticités à l’écart de production (a)Poids moyen dans le PIB (b)Contributions à la semi-élasticité (a*b)
Contribution des prélèvements obligatoires et des dépenses de chômage (1)

0,52
Impôt sur le revenu, CSG et CRDS1,867,5 %0,14
Impôt sur les sociétés2,761,9 %0,05
Cotisations sociales0,6316,2 %0,10
Autres prélèvements obligatoires (dont TVA)1,0018,0 %0,18
Dépenses de chômage-3,23-1,4 %0,05
Effet dénominateur (2)

-0,05



Total (1) - (2) = 0,57
Source : calculs réalisés à partir des estimations de l’OCDE, période de calibrage 2008-2017.



Elasticités à l’écart de production (a)Poids moyen dans le PIB (b)Contributions à la semi-élasticité (a*b)
Contribution des prélèvements obligatoires et des dépenses de chômage (1)

0,52
Impôt sur le revenu, CSG et CRDS1,867,5 %0,14
Impôt sur les sociétés2,761,9 %0,05
Cotisations sociales0,6316,2 %0,10
Autres prélèvements obligatoires (dont TVA)1,0018,0 %0,18
Dépenses de chômage-3,23-1,4 %0,05
Effet dénominateur (2)

-0,05



Total (1) - (2) = 0,57
Source : calculs réalisés à partir des estimations de l’OCDE, période de calibrage 2008-2017.



Élasticités à l’écart de production (a)Poids moyen dans le PIB (b)Contributions à la semi-élasticité (a*b)
Contribution des prélèvements obligatoires et des dépenses de chômage (1)

0,52
Impôt sur le revenu, CSG et CRDS1,867,5 %0,14
Impôt sur les sociétés2,761,9 %0,05
Cotisations sociales0,6316,2 %0,10
Autres prélèvements obligatoires (dont TVA)1,0018,0 %0,18
Dépenses de chômage-3,23-1,4 %0,05
Effet dénominateur (2)

-0,05



Total (1) - (2) = 0,57
Source : calculs réalisés à partir des estimations de l’OCDE, période de calibrage 2008-2017.


Semi-élasticité apparente de la composante conjoncturelle à l’écart de production
Élasticités à l’écart de production (a)Poids moyen dans le PIB (b)Contributions à la semi-élasticité (a*b)
Contribution des prélèvements obligatoires et des dépenses de chômage (1)0,52
Impôt sur le revenu, CSG et CRDS1,867,5 %0,14
Impôt sur les sociétés2,761,9 %0,05
Cotisations sociales0,6316,2 %0,10
Autres prélèvements obligatoires (dont TVA)1,0018,0 %0,18
Dépenses de chômage-3,23-1,4 %0,05
Effet dénominateur (2)-0,05
Total (1 - 2) = 0,57
Source : calculs réalisés à partir des estimations de l’OCDE, période de calibrage 2008-2017.


Semi-élasticité apparente de la composante conjoncturelle à l’écart de production
Élasticités à l’écart de production (a)Poids moyen dans le PIB (b)Contributions à la semi-élasticité (a*b)
Contribution des prélèvements obligatoires et des dépenses de chômage (1)0,52
Impôt sur le revenu, CSG et CRDS1,867,5 %0,14
Impôt sur les sociétés2,761,9 %0,05
Cotisations sociales0,6316,2 %0,10
Autres prélèvements obligatoires (dont TVA)1,0018,0 %0,18
Dépenses de chômage-3,23-1,4 %0,05
Effet dénominateur (2)-0,05
Total (1 - 2) = 0,57
Source : calculs réalisés à partir des estimations de l’OCDE, période de calibrage 2008-2017.


Semi-élasticité apparente de la composante conjoncturelle à l’écart de production
Élasticités à l’écart de production (a)Poids moyen dans le PIB (b)Contributions à la semi-élasticité (a*b)
Contribution des prélèvements obligatoires et des dépenses de chômage (1)0,52
Impôt sur le revenu, CSG et CRDS1,867,5 %0,14
Impôt sur les sociétés2,761,9 %0,05
Cotisations sociales0,6316,2 %0,10
Autres prélèvements obligatoires (dont TVA)1,0018,0 %0,18
Dépenses de chômage-3,23-1,4 %0,05
Effet dénominateur (2)-0,05
Total (1 - 2) = 0,57
Source : calculs réalisés à partir des estimations de l’OCDE, période de calibrage 2008-2017.


Semi-élasticité apparente de la composante conjoncturelle à l’écart de production
Élasticités à l’écart de production (a)Poids moyen dans le PIB (b)Contributions à la semi-élasticité (a*b)
Contribution des prélèvements obligatoires et des dépenses de chômage (1)0,52
Impôt sur le revenu, CSG et CRDS1,867,5 %0,14
Impôt sur les sociétés2,761,9 %0,05
Cotisations sociales0,6316,2 %0,10
Autres prélèvements obligatoires (dont TVA)1,0018,0 %0,18
Dépenses de chômage-3,23-1,4 %0,05
Effet dénominateur (2)-0,05
Total (1 - 2) = 0,57
Source : calculs réalisés à partir des estimations de l’OCDE, période de calibrage 2008-2017.


Semi-élasticité apparente de la composante conjoncturelle à l’écart de production
Élasticités à l’écart de production (a)Poids moyen dans le PIB (b)Contributions à la semi-élasticité (a*b)
Contribution des prélèvements obligatoires et des dépenses de chômage (1)0,52
Impôt sur le revenu, CSG et CRDS1,867,5 %0,14
Impôt sur les sociétés2,761,9 %0,05
Cotisations sociales0,6316,2 %0,10
Autres prélèvements obligatoires (dont TVA)1,0018,0 %0,18
Dépenses de chômage-3,23-1,4 %0,05
Effet dénominateur (2)-0,05
Total (1 - 2) = 0,57
Source : calculs réalisés à partir des estimations de l’OCDE, période de calibrage 2008-2017.


Semi-élasticité apparente de la composante conjoncturelle à l’écart de production
Élasticités à l’écart de production (a)Poids moyen dans le PIB (b)Contributions à la semi-élasticité (a*b)
Contribution des prélèvements obligatoires et des dépenses de chômage (1)0,52
Impôt sur le revenu, CSG et CRDS1,867,5 %0,14
Impôt sur les sociétés2,761,9 %0,05
Cotisations sociales0,6316,2 %0,10
Autres prélèvements obligatoires (dont TVA)1,0018,0 %0,18
Dépenses de chômage-3,23-1,4 %0,05
Effet dénominateur (2)-0,05
Total (1 - 2) = 0,57
Source : calculs réalisés à partir des estimations de l’OCDE, période de calibrage 2008-2017.




Par rapport à la loi  2018‑32 du 22 janvier 2018 de programmation des finances publiques pour les années 2018 à 2022, le calcul du solde structurel a été simplifié pour se rapprocher de la méthode de la Commission européenne. Alors que la méthode retenue pour la précédente loi de programmation conduisait pour chaque année à un nouveau calcul de la semi élasticité apparente du solde conjoncturel à l’écart de production, la méthode adoptée dans la présente loi de programmation fixe cette semi élasticité à une valeur moyenne, sans perdre en précision compte tenu des incertitudes entourant la mesure de l’écart de production.


(Alinéa sans modification)

Par rapport à la loi  2018‑32 du 22 janvier 2018 de programmation des finances publiques pour les années 2018 à 2022, le calcul du solde structurel a été simplifié pour se rapprocher de la méthode de la Commission européenne. Alors que la méthode retenue pour la précédente loi de programmation conduisait pour chaque année à un nouveau calcul de la semi‑élasticité apparente du solde conjoncturel à l’écart de production, la méthode adoptée dans la présente loi de programmation fixe cette semi‑élasticité à une valeur moyenne, sans perdre en précision compte tenu des incertitudes entourant la mesure de l’écart de production.

(Alinéa sans modification)



Par rapport à la loi  2018‑32 du 22 janvier 2018 de programmation des finances publiques pour les années 2018 à 2022, le calcul du solde structurel a été simplifié pour se rapprocher de la méthode de la Commission européenne. Alors que la méthode retenue pour la précédente loi de programmation conduisait pour chaque année à un nouveau calcul de la semi‑élasticité apparente du solde conjoncturel à l’écart de production, la méthode adoptée dans la présente loi de programmation fixe cette semi‑élasticité à une valeur moyenne, sans perdre en précision compte tenu des incertitudes entourant la mesure de l’écart de production.

Par rapport à la loi  2018‑32 du 22 janvier 2018 de programmation des finances publiques pour les années 2018 à 2022, le calcul du solde structurel a été simplifié pour se rapprocher de la méthode de la Commission européenne. Alors que la méthode retenue pour la précédente loi de programmation conduisait pour chaque année à un nouveau calcul de la semi‑élasticité apparente du solde conjoncturel à l’écart de production, la méthode adoptée dans la présente loi de programmation fixe cette semi‑élasticité à une valeur moyenne, sans perdre en précision compte tenu des incertitudes entourant la mesure de l’écart de production.



La valeur de la semi‑élasticité apparente retenue sera fixe sur la période de programmation et sera actualisée à la prochaine loi de programmation pour tenir compte de l’évolution des poids relatifs des différents impôts et, le cas échéant, d’une révision des élasticités estimées par impôt.


(Alinéa sans modification)

La valeur de la semi‑élasticité apparente retenue sera fixe sur la période de programmation et sera actualisée dans la prochaine loi de programmation pour tenir compte de l’évolution des poids relatifs des différents impôts et, le cas échéant, d’une révision des élasticités estimées par impôt.

(Alinéa sans modification)



La valeur de la semi‑élasticité apparente retenue sera fixe sur la période de programmation et sera actualisée dans la prochaine loi de programmation pour tenir compte de l’évolution des poids relatifs des différents impôts et, le cas échéant, d’une révision des élasticités estimées par impôt.

La valeur de la semi‑élasticité apparente retenue sera fixe sur la période de programmation et sera actualisée dans la prochaine loi de programmation pour tenir compte de l’évolution des poids relatifs des différents impôts et, le cas échéant, d’une révision des élasticités estimées par impôt.



Annexe 3

Annexe 3
Périmètre des mesures ponctuelles et temporaires à exclure de la mesure du solde structurel

Annexe 3
Périmètre des mesures ponctuelles et temporaires à exclure de la mesure du solde structurel

Annexe 3
Périmètre des mesures ponctuelles et temporaires à exclure de la mesure du solde structurel

Annexe 3
Périmètre des mesures ponctuelles et temporaires à exclure de la mesure du solde structurel

Annexe 3
Périmètre des mesures ponctuelles et temporaires à exclure de la mesure du solde structurel
(Non modifié)

Annexe 3
Périmètre des mesures ponctuelles et temporaires à exclure de la mesure du solde structurel

Annexe 3
Périmètre des mesures ponctuelles et temporaires à exclure de la mesure du solde structurel

Annexe 3
Périmètre des mesures ponctuelles et temporaires à exclure de la mesure du solde structurel


Afin de traiter des mesures ponctuelles qui modifient de manière temporaire les soldes publics, le Pacte de stabilité et de croissance a introduit, dès sa révision de 2005, la notion de mesures « ponctuelles et temporaires » (one‑off en anglais) qui n’ont pas d’impact pérenne sur le déficit public. Ce concept vise à couvrir des événements exceptionnels de très grande ampleur qui brouillent le pilotage des finances publiques. Le solde structurel est ainsi défini comme le solde public corrigé des effets du cycle économique et de ces mesures ponctuelles et temporaires.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)


(Alinéa sans modification)

Afin de traiter des mesures ponctuelles qui modifient de manière temporaire les soldes publics, le pacte de stabilité et de croissance a introduit, dès sa révision de 2005, la notion de mesures « ponctuelles et temporaires » (one‑off en anglais) qui n’ont pas d’impact pérenne sur le déficit public. Ce concept vise à couvrir des événements exceptionnels de très grande ampleur qui brouillent le pilotage des finances publiques. Le solde structurel est ainsi défini comme le solde public corrigé des effets du cycle économique et de ces mesures ponctuelles et temporaires.

Afin de traiter des mesures ponctuelles qui modifient de manière temporaire les soldes publics, le pacte de stabilité et de croissance a introduit, dès sa révision de 2005, la notion de mesures « ponctuelles et temporaires » (one‑off en anglais) qui n’ont pas d’impact pérenne sur le déficit public. Ce concept vise à couvrir des événements exceptionnels de très grande ampleur qui brouillent le pilotage des finances publiques. Le solde structurel est ainsi défini comme le solde public corrigé des effets du cycle économique et de ces mesures ponctuelles et temporaires.

I. – La définition générale des mesures ponctuelles et temporaires doit être complétée par une analyse au cas par cas

I. – (Alinéa sans modification)

I. – (Alinéa sans modification)

I. La définition générale des mesures ponctuelles et temporaires doit être complétée par une analyse au cas par cas

I. – La définition générale des mesures ponctuelles et temporaires doit être complétée par une analyse au cas par cas


I. – (Alinéa sans modification)

I. – La définition générale des mesures ponctuelles et temporaires doit être complétée par une analyse au cas par cas

I. – La définition générale des mesures ponctuelles et temporaires doit être complétée par une analyse au cas par cas

L’évolution des finances publiques résulte d’une multitude d’évènements temporaires et exceptionnels. Il est donc malaisé de distinguer ce qui peut être considéré comme un élément exceptionnel et ce qui relève du domaine de l’ordinaire. Par exemple, beaucoup d’investissements publics sont par nature des dépenses « uniques » : la construction d’une route, d’une école ou d’une ligne à grande vitesse. Pour autant, il ne serait pas envisageable d’exclure les investissements du solde structurel. Cette problématique est générale en termes de finances publiques : les coûts des opérations extérieures (guerre, opération à l’étranger), les dépenses en cas de catastrophes naturelles, le déclenchement de garanties, peuvent représenter des montants importants, parfois temporaires, qu’il est difficile de caractériser.

(Alinéa sans modification)

L’évolution des finances publiques résulte d’une multitude d’évènements temporaires et exceptionnels. Il est donc malaisé de distinguer ce qui peut être considéré comme un élément exceptionnel et ce qui relève du domaine de l’ordinaire. Par exemple, beaucoup d’investissements publics sont par nature des dépenses « uniques » : la construction d’une route, d’une école ou d’une ligne à grande vitesse. Pour autant, il ne serait pas envisageable d’exclure les investissements du solde structurel. Cette problématique est générale en termes de finances publiques : les coûts des opérations extérieures (guerre, opération à l’étranger), les dépenses en cas de catastrophes naturelles et le déclenchement de garanties peuvent représenter des montants importants, parfois temporaires, qu’il est difficile de caractériser.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)


L’évolution des finances publiques résulte d’une multitude d’événements temporaires et exceptionnels. Il est donc malaisé de distinguer ce qui peut être considéré comme un élément exceptionnel et ce qui relève du domaine de l’ordinaire. Par exemple, beaucoup d’investissements publics sont par nature des dépenses « uniques » : la construction d’une route, d’une école ou d’une ligne à grande vitesse. Pour autant, il ne serait pas envisageable d’exclure les investissements du solde structurel. Cette problématique est générale en termes de finances publiques : les coûts des opérations extérieures (guerre, opération à l’étranger), les dépenses en cas de catastrophes naturelles et le déclenchement de garanties peuvent représenter des montants importants, parfois temporaires, qu’il est difficile de caractériser.

L’évolution des finances publiques résulte d’une multitude d’événements temporaires et exceptionnels. Il est donc malaisé de distinguer ce qui peut être considéré comme un élément exceptionnel et ce qui relève du domaine de l’ordinaire. Par exemple, beaucoup d’investissements publics sont par nature des dépenses « uniques » : la construction d’une route, d’une école ou d’une ligne à grande vitesse. Pour autant, il ne serait pas envisageable d’exclure les investissements du solde structurel. Cette problématique est générale en termes de finances publiques : les coûts des opérations extérieures (guerre, opération à l’étranger), les dépenses en cas de catastrophes naturelles et le déclenchement de garanties peuvent représenter des montants importants, parfois temporaires, qu’il est difficile de caractériser.

L’évolution des finances publiques résulte d’une multitude d’événements temporaires et exceptionnels. Il est donc malaisé de distinguer ce qui peut être considéré comme un élément exceptionnel et ce qui relève du domaine de l’ordinaire. Par exemple, beaucoup d’investissements publics sont par nature des dépenses « uniques » : la construction d’une route, d’une école ou d’une ligne à grande vitesse. Pour autant, il ne serait pas envisageable d’exclure les investissements du solde structurel. Cette problématique est générale en termes de finances publiques : les coûts des opérations extérieures (guerre, opération à l’étranger), les dépenses en cas de catastrophes naturelles et le déclenchement de garanties peuvent représenter des montants importants, parfois temporaires, qu’il est difficile de caractériser.

La Commission Européenne a développé dans le rapport « Public Finance in the EMU 2015 » une doctrine concernant la classification de mesures en mesures ponctuelles et temporaires, reprise ensuite dans le « Vade Mecum on the Stability and Growth Pact » (édition 2019). La Commission Européenne donne 5 principes pour exclure une mesure du solde structurel (mesure dite one‑off) :

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

La Commission européenne a développé dans le rapport « Public Finance in the EMU 2015 » une doctrine concernant la classification de mesures en mesures ponctuelles et temporaires, reprise ensuite dans le « Vade Mecum on the Stability and Growth Pact » (édition 2019). La Commission européenne donne cinq principes pour exclure une mesure du solde structurel (mesure dite one‑off) :

(Alinéa sans modification)


(Alinéa sans modification)

La Commission européenne a développé dans le rapport « Public Finance in the EMU 2015 » une doctrine concernant la classification de mesures en mesures ponctuelles et temporaires, reprise ensuite dans le « Vade Mecum on the Stability and Growth Pact » (édition 2019). La Commission européenne donne cinq principes pour exclure une mesure du solde structurel (mesure dite one‑off) :

La Commission européenne a développé dans le rapport « Public Finance in the EMU 2015 » une doctrine concernant la classification de mesures en mesures ponctuelles et temporaires, reprise ensuite dans le « Vade Mecum on the Stability and Growth Pact » (édition 2019). La Commission européenne donne cinq principes pour exclure une mesure du solde structurel (mesure dite one‑off) :

1. La mesure est intrinsèquement non récurrente ;

1. (Alinéa sans modification)

1. (Alinéa sans modification)

1. (Alinéa sans modification)

1. (Non modifié)


1. (Non modifié)

1. La mesure est intrinsèquement non récurrente ;

1. La mesure est intrinsèquement non récurrente ;

2. Le caractère de one‑off ne peut pas être décrété par la loi ou par une décision du Gouvernement ;

2. (Alinéa sans modification)

2. (Alinéa sans modification)

2. (Alinéa sans modification)

2. (Non modifié)


2. (Non modifié)

2. Le caractère de one‑off ne peut pas être décrété par la loi ou par une décision du Gouvernement ;

2. Le caractère de one‑off ne peut pas être décrété par la loi ou par une décision du Gouvernement ;

3. Les composantes volatiles des recettes ou des dépenses ne doivent pas être considérées comme one‑offs ;

3. (Alinéa sans modification)

3. (Alinéa sans modification)

3. (Alinéa sans modification)

3. (Non modifié)


3. (Non modifié)

3. Les composantes volatiles des recettes ou des dépenses ne doivent pas être considérées comme one‑offs ;

3. Les composantes volatiles des recettes ou des dépenses ne doivent pas être considérées comme one‑offs ;

4. Les mesures discrétionnaires conduisant à creuser le déficit public ne sont pas, sauf exception, des one‑offs ;

4. (Alinéa sans modification)

4. (Alinéa sans modification)

4. (Alinéa sans modification)

4. (Non modifié)


4. (Non modifié)

4. Les mesures discrétionnaires conduisant à creuser le déficit public ne sont pas, sauf exception, des one‑offs ;

4. Les mesures discrétionnaires conduisant à creuser le déficit public ne sont pas, sauf exception, des one‑offs ;

5. Seules les mesures ayant un impact significatif sur le solde public (i.e. supérieur ou égal à 0,1 % du PIB) peuvent être traitées en one‑off.

5. (Alinéa sans modification)

5. (Alinéa sans modification)

5. Seules les mesures ayant un impact significatif sur le solde public ( c’est‑à‑dire supérieur ou égal à 0,1 % du PIB) peuvent être traitées en one‑off.

5. (Non modifié)


5. Seules les mesures ayant un impact significatif sur le solde public (c’est‑à‑dire supérieur ou égal à 0,1 % du PIB) peuvent être traitées en one‑off.

5. Seules les mesures ayant un impact significatif sur le solde public (c’est‑à‑dire supérieur ou égal à 0,1 % du PIB) peuvent être traitées en one‑off.

5. Seules les mesures ayant un impact significatif sur le solde public (c’est‑à‑dire supérieur ou égal à 0,1 % du PIB) peuvent être traitées en one‑off.

Le principe  4 introduit une asymétrie dans l’appréciation de la Commission sur les mesures one‑off. En effet, la Commission présume que les mesures qui creusent le solde public ont plus souvent un caractère permanent que celles qui l’améliorent et donc ne peuvent être exclues sauf exception de la mesure du solde structurel, sans apporter de justification de fond à cette différence. À partir de ces principes, la Commission dresse une liste non‑exhaustive de mesures pouvant être classés en one‑off, parmi lesquelles :

(Alinéa sans modification)

Le principe  4 introduit une asymétrie dans l’appréciation de la Commission sur les mesures one‑off. En effet, la Commission présume que les mesures qui creusent le solde public ont plus souvent un caractère permanent que celles qui l’améliorent et donc ne peuvent être exclues sauf exception de la mesure du solde structurel, sans apporter de justification de fond à cette différence. À partir de ces principes, la Commission dresse une liste non exhaustive de mesures pouvant être classées en one‑off, parmi lesquelles :

Le principe  4 introduit une asymétrie dans l’appréciation de la Commission sur les mesures one‑off. En effet, la Commission présume que les mesures qui creusent le solde public ont plus souvent un caractère permanent que celles qui l’améliorent et donc ne peuvent, sauf exception, être exclues de la mesure du solde structurel, sans apporter de justification de fond à cette différence. À partir de ces principes, la Commission dresse une liste non‑exhaustive de mesures pouvant être classées en one‑off, parmi lesquelles :



(Alinéa sans modification)

Le principe  4 introduit une asymétrie dans l’appréciation de la Commission sur les mesures one‑off. En effet, la Commission présume que les mesures qui creusent le solde public ont plus souvent un caractère permanent que celles qui l’améliorent et donc ne peuvent, sauf exception, être exclues de la mesure du solde structurel, sans apporter de justification de fond à cette différence. À partir de ces principes, la Commission dresse une liste non‑exhaustive de mesures pouvant être classées en one‑off, parmi lesquelles :

Le principe  4 introduit une asymétrie dans l’appréciation de la Commission sur les mesures one‑off. En effet, la Commission présume que les mesures qui creusent le solde public ont plus souvent un caractère permanent que celles qui l’améliorent et donc ne peuvent, sauf exception, être exclues de la mesure du solde structurel, sans apporter de justification de fond à cette différence. À partir de ces principes, la Commission dresse une liste non‑exhaustive de mesures pouvant être classées en one‑off, parmi lesquelles :



– Des recettes fiscales exceptionnelles liées à une mesure temporaire d’amnistie fiscale ;

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)



(Alinéa sans modification)

– des recettes fiscales exceptionnelles liées à une mesure temporaire d’amnistie fiscale ;

– des recettes fiscales exceptionnelles liées à une mesure temporaire d’amnistie fiscale ;



– Des décisions consistant à décaler de manière permanente le calendrier d’encaissement de recettes fiscales, ou de manière temporaire certaines dépenses ;

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

– des décisions consistant à décaler de manière permanente le calendrier d’encaissement de recettes fiscales ou de manière temporaire certaines dépenses ;



(Alinéa sans modification)

– des décisions consistant à décaler de manière permanente le calendrier d’encaissement de recettes fiscales ou de manière temporaire certaines dépenses ;

– des décisions consistant à décaler de manière permanente le calendrier d’encaissement de recettes fiscales ou de manière temporaire certaines dépenses ;



– Des cessions importantes d’actifs non‑financiers (immobilier par exemple) ;

(Alinéa sans modification)

– Des cessions importantes d’actifs non financiers (immobilier par exemple) ;

(Alinéa sans modification)



(Alinéa sans modification)

– des cessions importantes d’actifs non financiers (immobilier par exemple) ;

– des cessions importantes d’actifs non financiers (immobilier par exemple) ;



– Des coûts temporaires associés à la réponse à des désastres naturels majeurs ou d’autres événements exceptionnels. En tout état de cause, la Commission adopte cependant une approche au cas par cas et se réserve la décision de classer ou non une mesure donnée comme « ponctuelle et temporaire ».

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)



(Alinéa sans modification)

– des coûts temporaires associés à la réponse à des désastres naturels majeurs ou d’autres événements exceptionnels. En tout état de cause, la Commission adopte cependant une approche au cas par cas et se réserve la décision de classer ou non une mesure donnée comme « ponctuelle et temporaire ».

– des coûts temporaires associés à la réponse à des désastres naturels majeurs ou d’autres événements exceptionnels. En tout état de cause, la Commission adopte cependant une approche au cas par cas et se réserve la décision de classer ou non une mesure donnée comme « ponctuelle et temporaire ».



II. – La doctrine proposée par le Gouvernement pour la LPFP 2023‑2027

II. – (Alinéa sans modification)

II. – (Alinéa sans modification)

II. – (Alinéa sans modification)

II. – (Alinéa sans modification)


II. – (Alinéa sans modification)

II. – La doctrine proposée par le Gouvernement pour la présente loi de programmation

II. – La doctrine proposée par le Gouvernement pour la présente loi de programmation



Tout en reconnaissant que le caractère ponctuel et temporaire des mesures doit être apprécié au cas par cas le Gouvernement propose un ensemble de critères permettant de mieux appréhender la notion de one‑offs, regroupés en trois ensembles.

(Alinéa sans modification)

Tout en reconnaissant que le caractère ponctuel et temporaire des mesures doit être apprécié au cas par cas, le Gouvernement propose un ensemble de critères permettant de mieux appréhender la notion de one‑offs, regroupés en trois ensembles.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)


(Alinéa sans modification)

Tout en reconnaissant que le caractère ponctuel et temporaire des mesures doit être apprécié au cas par cas, le Gouvernement propose un ensemble de critères permettant de mieux appréhender la notion de one‑offs, regroupés en trois ensembles.

Tout en reconnaissant que le caractère ponctuel et temporaire des mesures doit être apprécié au cas par cas, le Gouvernement propose un ensemble de critères permettant de mieux appréhender la notion de one‑offs, regroupés en trois ensembles.



A. – – Premier ensemble : les mesures définies comme one‑off en amont de la programmation, au regard de leur effet ponctuel et temporaire sur les finances publiques : seules les réformes de contemporanéisation des crédits d’impôt « Service à la personne » et « Garde d’enfant hors du domicile » entrent dans cette catégorie.

A. – (Alinéa sans modification)

A. – – Premier ensemble : les mesures définies comme one‑off en amont de la programmation, au regard de leur effet ponctuel et temporaire sur les finances publiques : seules les réformes de contemporanéisation des crédits d’impôt « Service à la personne »» et « Garde d’enfant hors du domicile » entrent dans cette catégorie.

A – Premier ensemble : les mesures définies comme one‑off en amont de la programmation, au regard de leur effet ponctuel et temporaire sur les finances publiques Ces mesures sont sélectionnées à la lumière de quatre principes.

A– Premier ensemble : les mesures définies comme one‑off en amont de la programmation, au regard de leur effet ponctuel et temporaire sur les finances publiques. Ces mesures sont sélectionnées à la lumière de quatre principes


A. – (Alinéa sans modification)

A. – Premier ensemble : les mesures définies comme one‑off en amont de la programmation, au regard de leur effet ponctuel et temporaire sur les finances publiques. Ces mesures sont sélectionnées à la lumière de quatre principes

A. – Premier ensemble : les mesures définies comme one‑off en amont de la programmation, au regard de leur effet ponctuel et temporaire sur les finances publiques. Ces mesures sont sélectionnées à la lumière de quatre principes



Ces mesures sont sélectionnées à la lumière de 4 principes.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)








(1) L’événement concerné ne doit pas être récurrent

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

1. L’événement concerné ne doit pas être récurrent


1. (Non modifié)

1. L’événement concerné ne doit pas être récurrent

1. L’événement concerné ne doit pas être récurrent



Aucune catégorie d’événements récurrents ne peut être exclue par principe de la mesure du solde structurel. Par exemple, les remises de dette aux États étrangers sont fréquentes en France, notamment dans le cadre du Club de Paris et de sa politique d’aide au développement. Exclure systématiquement de telles opérations viendrait biaiser la mesure du déficit. De même, les dépenses liées aux catastrophes naturelles ou aux opérations militaires extérieures, bien qu’irrégulières, sont récurrentes. Enfin, des opérations qui relèvent de la gestion habituelle du patrimoine non financier de l’État (investissement public, cessions d’immeubles, gestion du patrimoine immatériel comme les fréquences hertziennes) n’ont pas non plus vocation à être systématiquement corrigées en one‑off. Seule une analyse ex post au cas par cas permettrait de retirer celles dont l’ampleur complique la lecture du déficit public.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)



Aucune catégorie d’événements récurrents ne peut être exclue par principe de la mesure du solde structurel. Par exemple, les remises de dette aux États étrangers sont fréquentes en France, notamment dans le cadre du Club de Paris et de sa politique d’aide au développement. Exclure systématiquement de telles opérations viendrait biaiser la mesure du déficit. De même, les dépenses liées aux catastrophes naturelles ou aux opérations militaires extérieures, bien qu’irrégulières, sont récurrentes. Enfin, des opérations qui relèvent de la gestion habituelle du patrimoine non financier de l’État (investissement public, cessions d’immeubles, gestion du patrimoine immatériel comme les fréquences hertziennes) n’ont pas non plus vocation à être systématiquement corrigées en one‑off. Seule une analyse ex post au cas par cas permettrait de retirer celles dont l’ampleur complique la lecture du déficit public.

Aucune catégorie d’événements récurrents ne peut être exclue par principe de la mesure du solde structurel. Par exemple, les remises de dette aux États étrangers sont fréquentes en France, notamment dans le cadre du Club de Paris et de sa politique d’aide au développement. Exclure systématiquement de telles opérations viendrait biaiser la mesure du déficit. De même, les dépenses liées aux catastrophes naturelles ou aux opérations militaires extérieures, bien qu’irrégulières, sont récurrentes. Enfin, des opérations qui relèvent de la gestion habituelle du patrimoine non financier de l’État (investissement public, cessions d’immeubles, gestion du patrimoine immatériel comme les fréquences hertziennes) n’ont pas non plus vocation à être systématiquement corrigées en one‑off. Seule une analyse ex post au cas par cas permettrait de retirer celles dont l’ampleur complique la lecture du déficit public.



(2) Une année donnée, le nombre de one‑offs doit être limité pour éviter de biaiser la mesure du déficit public

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

2. Une année donnée, le nombre de one‑offs doit être limité pour éviter de biaiser la mesure du déficit public


2. (Non modifié)

2. Une année donnée, le nombre de one‑offs doit être limité pour éviter de biaiser la mesure du déficit public

2. Une année donnée, le nombre de one‑offs doit être limité pour éviter de biaiser la mesure du déficit public



Ce principe pose un garde‑fou face au grand nombre de mesures ponctuelles qui rythment en pratique l’évolution du solde des administrations publiques (investissements exceptionnels par exemple), pour éviter un recours trop systématique à la classification en one‑off qui biaiserait le calcul du solde structurel.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)



Ce principe pose un garde‑fou face au grand nombre de mesures ponctuelles qui rythment en pratique l’évolution du solde des administrations publiques (investissements exceptionnels par exemple), pour éviter un recours trop systématique à la classification en one‑off qui biaiserait le calcul du solde structurel.

Ce principe pose un garde‑fou face au grand nombre de mesures ponctuelles qui rythment en pratique l’évolution du solde des administrations publiques (investissements exceptionnels par exemple), pour éviter un recours trop systématique à la classification en one‑off qui biaiserait le calcul du solde structurel.



(3) L’événement concerné doit entraîner un impact budgétaire significatif

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

3. L’événement concerné doit entraîner un impact budgétaire significatif


3. (Non modifié)

3. L’événement concerné doit entraîner un impact budgétaire significatif

3. L’événement concerné doit entraîner un impact budgétaire significatif



Il convient ainsi de n’envisager que des facteurs qui peuvent potentiellement représenter un impact budgétaire positif ou négatif important.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)



Il convient ainsi de n’envisager que des facteurs qui peuvent potentiellement représenter un impact budgétaire positif ou négatif important.

Il convient ainsi de n’envisager que des facteurs qui peuvent potentiellement représenter un impact budgétaire positif ou négatif important.



(4) Toute mesure qui améliore le solde public aujourd’hui pour le dégrader systématiquement dans le futur doit être considéré comme un one‑off

(Alinéa sans modification)

(4) Toute mesure qui améliore le solde public aujourd’hui pour le dégrader systématiquement dans le futur doit être considérée comme un one‑off

(4) Toute mesure qui améliore le solde public aujourd’hui pour le dégrader systématiquement dans le futur doit être considéré comme un one‑off

4. Toute mesure qui améliore le solde public aujourd’hui pour le dégrader systématiquement dans le futur doit être considéré comme un one‑off


4. Toute mesure qui améliore le solde public aujourd’hui pour le dégrader systématiquement dans le futur doit être considérée comme un one‑off

4. Toute mesure qui améliore le solde public aujourd’hui pour le dégrader systématiquement dans le futur doit être considérée comme un one‑off

4. Toute mesure qui améliore le solde public aujourd’hui pour le dégrader systématiquement dans le futur doit être considérée comme un one‑off



Suivant les règles du Système Européen des Comptes 1995 (SEC 95), c’était le cas des soultes liées à la reprise des obligations futures de paiement de retraite (les administrations récupèrent en une fois une compensation correspondant à la valeur actualisée des déséquilibres futurs). Néanmoins, depuis la publication des comptes suivant les règles du SEC 2010, les soultes reçues en contrepartie d’engagement de retraites n’améliorent plus le déficit en une seule fois mais sur de nombreuses années, ce qui supprime la nécessité de les classer en one‑off.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)


(Alinéa sans modification)

Suivant les règles du système européen des comptes 1995 (SEC 95), c’était le cas des soultes liées à la reprise des obligations futures de paiement de retraite (les administrations récupèrent en une fois une compensation correspondant à la valeur actualisée des déséquilibres futurs). Néanmoins, depuis la publication des comptes suivant les règles du SEC 2010, les soultes reçues en contrepartie d’engagements de retraites n’améliorent plus le déficit en une seule fois mais sur de nombreuses années, ce qui supprime la nécessité de les classer en one‑off.

Suivant les règles du système européen des comptes 1995 (SEC 95), c’était le cas des soultes liées à la reprise des obligations futures de paiement de retraite (les administrations récupèrent en une fois une compensation correspondant à la valeur actualisée des déséquilibres futurs). Néanmoins, depuis la publication des comptes suivant les règles du SEC 2010, les soultes reçues en contrepartie d’engagements de retraites n’améliorent plus le déficit en une seule fois mais sur de nombreuses années, ce qui supprime la nécessité de les classer en one‑off.



Au total, suivant ces critères, seules les réformes de contemporanéisation des crédits d’impôt « Service à la personne » et « Garde d’enfant hors du domicile », qui imposent un surcoût ponctuel et temporaire aux finances publiques, doivent être qualifiées ex ante de one‑off.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa supprimé)







Ensemble 1 : Mesures considérées comme one‑off en amont de la programmation au regard de leur impact ponctuel et temporaire

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)


(Alinéa sans modification)

Ensemble 1 : Mesures considérées comme one‑off en amont de la programmation au regard de leur impact ponctuel et temporaire

Ensemble 1 : Mesures considérées comme one‑off en amont de la programmation au regard de leur impact ponctuel et temporaire



LPFP 2014‑2017 (SEC 2010) : Aucune.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)


(Alinéa sans modification)

LPFP 2014‑2017 (SEC 2010) : aucune.

LPFP 2014‑2017 (SEC 2010) : aucune.



LPFP 2018‑2022 : Réforme du CICE.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)


(Alinéa sans modification)

LPFP 2018‑2022 : réforme du CICE.

LPFP 2018‑2022 : réforme du CICE.



LPFP 2023‑2027 : Contemporanéisations des crédits d’impôt « Service à la personne » et « Garde d’enfant hors du domicile ».

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

LPFP 2023‑2027 : aucune

LPFP 2023‑2027 : aucune.


(Alinéa sans modification)

LPFP 2023‑2027 : aucune.

LPFP 2023‑2027 : aucune.



B. – Deuxième ensemble : les événements dont l’impact budgétaire est substantiel mais dont la temporalité est incertaine.

B. – (Alinéa sans modification)

B. – (Alinéa sans modification)

B. – (Alinéa sans modification)

B. – Deuxième ensemble : les événements dont l’impact budgétaire est substantiel mais dont la temporalité est incertaine


B. – (Non modifié)

B. – Deuxième ensemble : les événements dont l’impact budgétaire est substantiel mais dont la temporalité est incertaine

B. – Deuxième ensemble : les événements dont l’impact budgétaire est substantiel mais dont la temporalité est incertaine



Au moment de la programmation pluriannuelle, il convient de traiter de manière spécifique les éléments connus ex ante, pour lesquels l’incertitude entourant les montants concernés ou les dates d’occurrence ou d’imputation est importante. Cette logique prévaut dans le traitement en one‑off des contentieux fiscaux de série (ou « de masse ») dont l’instruction est en cours ou de la sinistralité sur les garanties accordées dans le cadre de la crise de la Covid‑19. Cette incertitude ne vient pas biaiser la mesure du solde structurel, puisque les montants sont déjà provisionnés dans la trajectoire initiale.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)



Au moment de la programmation pluriannuelle, il convient de traiter de manière spécifique les éléments connus ex ante, pour lesquels l’incertitude entourant les montants concernés ou les dates d’occurrence ou d’imputation est importante. Cette logique prévaut dans le traitement en one‑off des contentieux fiscaux de série (ou « de masse ») dont l’instruction est en cours ou de la sinistralité sur les garanties accordées dans le cadre de la crise de la covid‑19. Cette incertitude ne vient pas biaiser la mesure du solde structurel, puisque les montants sont déjà provisionnés dans la trajectoire initiale.

Au moment de la programmation pluriannuelle, il convient de traiter de manière spécifique les éléments connus ex ante, pour lesquels l’incertitude entourant les montants concernés ou les dates d’occurrence ou d’imputation est importante. Cette logique prévaut dans le traitement en one‑off des contentieux fiscaux de série (ou « de masse ») dont l’instruction est en cours ou de la sinistralité sur les garanties accordées dans le cadre de la crise de la covid‑19. Cette incertitude ne vient pas biaiser la mesure du solde structurel, puisque les montants sont déjà provisionnés dans la trajectoire initiale.



Ensemble 2 : Événements importants financièrement mais incertains en termes de temporalité, considérées comme one‑off en amont des lois de programmation.

(Alinéa sans modification)

Ensemble 2 : Événements importants financièrement mais incertains en termes de temporalité, considérés comme one‑off en amont des lois de programmation.

Ensemble 2 : Événements importants financièrement mais incertains en termes de temporalité, considérés comme one‑off en amont des lois de programmation

(Alinéa sans modification)



Ensemble 2 : Événements importants financièrement mais incertains en termes de temporalité, considérés comme one‑off en amont des lois de programmation

Ensemble 2 : Événements importants financièrement mais incertains en termes de temporalité, considérés comme one‑off en amont des lois de programmation



LPFP 2014‑2017 : contentieux fiscaux de masse.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)



LPFP 2014‑2017 : contentieux fiscaux de masse.

LPFP 2014‑2017 : contentieux fiscaux de masse.



LPFP 2018‑2022 : contentieux fiscaux de masse.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)



LPFP 2018‑2022 : contentieux fiscaux de masse.

LPFP 2018‑2022 : contentieux fiscaux de masse.



LPFP 2023‑2027 : contentieux fiscaux de masse significatifs et sinistralité sur les garanties accordées dans le cadre de la crise de la Covid‑19.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)



LPFP 2023‑2027 : contentieux fiscaux de masse significatifs et sinistralité sur les garanties accordées dans le cadre de la crise de la covid‑19.

LPFP 2023‑2027 : contentieux fiscaux de masse significatifs et sinistralité sur les garanties accordées dans le cadre de la crise de la covid‑19.



C. – Troisième ensemble : dans le cadre du contrôle ex post, des événements imprévus ayant un impact unique sur le solde public peuvent être traités en one‑off.

C. – (Alinéa sans modification)

C. – (Alinéa sans modification)

C. – Troisième ensemble : dans le cadre du contrôle ex post, des événements imprévus ayant un impact unique sur le solde public peuvent être traités en one‑off

C. – (Non modifié)


C. – (Non modifié)

C. – Troisième ensemble : dans le cadre du contrôle ex post, des événements imprévus ayant un impact unique sur le solde public peuvent être traités en one‑off

C. – Troisième ensemble : dans le cadre du contrôle ex post, des événements imprévus ayant un impact unique sur le solde public peuvent être traités en one‑off



Le traitement des événements imprévus dans le cadre du contrôle ex post doit être apprécié au regard des règles organiques relatives au mécanisme de correction des écarts.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)




Le traitement des événements imprévus dans le cadre du contrôle ex post doit être apprécié au regard des règles organiques relatives au mécanisme de correction des écarts.

Le traitement des événements imprévus dans le cadre du contrôle ex post doit être apprécié au regard des règles organiques relatives au mécanisme de correction des écarts.



Si, en cours de mise en œuvre de la programmation, des événements d’impact très important sur les données prévues ou exécutées apparaissent, qui n’avaient pu être anticipés ex ante et qui ne modifient pas la trajectoire de moyen terme, il serait inutile de prendre des mesures pour corriger la déviation compte tenu de leur caractère temporaire. Du point de vue des règles organiques, il est alors pragmatique de les traiter en one‑off pour éviter de déclencher inutilement le mécanisme de correction. Les critères de taille et de non pérennité sont essentiels pour juger des mesures à inclure dans cette catégorie. Cette dernière peut également recouvrir le cas de révisions statistiques majeures entraînant un impact rétroactif exceptionnel sur le solde public, pour lesquelles le traitement en one‑off permettrait d’éviter de brouiller la relecture structurelle.

(Alinéa sans modification)

Si, en cours de mise en œuvre de la programmation, des événements d’impact très important sur les données prévues ou exécutées apparaissent, qui n’avaient pu être anticipés ex ante et qui ne modifient pas la trajectoire de moyen terme, il serait inutile de prendre des mesures pour corriger la déviation compte tenu de leur caractère temporaire. Du point de vue des règles organiques, il est alors pragmatique de les traiter en one‑off pour éviter de déclencher inutilement le mécanisme de correction. Les critères de taille et de non‑pérennité sont essentiels pour juger des mesures à inclure dans cette catégorie. Cette dernière peut également recouvrir le cas de révisions statistiques majeures entraînant un impact rétroactif exceptionnel sur le solde public, pour lesquelles le traitement en one‑off permettrait d’éviter de brouiller la relecture structurelle.

(Alinéa sans modification)




Si, en cours de mise en œuvre de la programmation, des événements d’impact très important sur les données prévues ou exécutées apparaissent, qui n’avaient pu être anticipés ex ante et qui ne modifient pas la trajectoire de moyen terme, il serait inutile de prendre des mesures pour corriger la déviation compte tenu de leur caractère temporaire. Du point de vue des règles organiques, il est alors pragmatique de les traiter en one‑off pour éviter de déclencher inutilement le mécanisme de correction. Les critères de taille et de non‑pérennité sont essentiels pour juger des mesures à inclure dans cette catégorie. Cette dernière peut également recouvrir le cas de révisions statistiques majeures entraînant un impact rétroactif exceptionnel sur le solde public, pour lesquelles le traitement en one‑off permettrait d’éviter de brouiller la relecture structurelle.

Si, en cours de mise en œuvre de la programmation, des événements d’impact très important sur les données prévues ou exécutées apparaissent, qui n’avaient pu être anticipés ex ante et qui ne modifient pas la trajectoire de moyen terme, il serait inutile de prendre des mesures pour corriger la déviation compte tenu de leur caractère temporaire. Du point de vue des règles organiques, il est alors pragmatique de les traiter en one‑off pour éviter de déclencher inutilement le mécanisme de correction. Les critères de taille et de non‑pérennité sont essentiels pour juger des mesures à inclure dans cette catégorie. Cette dernière peut également recouvrir le cas de révisions statistiques majeures entraînant un impact rétroactif exceptionnel sur le solde public, pour lesquelles le traitement en one‑off permettrait d’éviter de brouiller la relecture structurelle.



Ensemble 3 : Événements imprévus à intégrer en tant que one‑offs ex post :

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)




Ensemble 3 : Événements imprévus à intégrer en tant que one‑offs ex post :

Ensemble 3 : Événements imprévus à intégrer en tant que one‑offs ex post :



LPFP 2014‑2017 : Changement de temporalité dans l’enregistrement en comptabilité nationale des budgets rectificatifs de l’Union Européenne fin 2014.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)




LPFP 2014‑2017 : changement de temporalité dans l’enregistrement en comptabilité nationale des budgets rectificatifs de l’Union européenne fin 2014.

LPFP 2014‑2017 : changement de temporalité dans l’enregistrement en comptabilité nationale des budgets rectificatifs de l’Union européenne fin 2014.



LPFP 2018‑2022 : impact sur 2020 des mesures de soutien prises face à la crise de la Covid‑19 en 2020, changement de temporalité de l’enregistrement des cessions de licence hertziennes et conventions judiciaires d’intérêt public.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

LPFP 2018‑2022 : impact sur 2020 des mesures de soutien prises face à la crise de la covid‑19 en 2020 (4), changement de temporalité de l’enregistrement des cessions de licence hertziennes et conventions judiciaires d’intérêt public.




LPFP 2018‑2022 : impact sur 2020 des mesures de soutien prises face à la crise de la covid‑19 en 2020 (4), changement de temporalité de l’enregistrement des cessions de licence hertziennes et conventions judiciaires d’intérêt public.

LPFP 2018‑2022 : impact sur 2020 des mesures de soutien prises face à la crise de la covid‑19 en 2020 (4), changement de temporalité de l’enregistrement des cessions de licence hertziennes et conventions judiciaires d’intérêt public.



LPFP 2023‑2027 : Aucune information à ce stade. Exceptionnel et non anticipé par nature.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)




LPFP 2023‑2027 : aucune information à ce stade. Exceptionnel et non anticipé par nature.

LPFP 2023‑2027 : aucune information à ce stade. Exceptionnel et non anticipé par nature.



Annexe 4

Annexe 4

(Non modifié)

Annexe 4

Annexe 4
Précisions méthodologiques concernant le budget quinquennal

Annexe 4
Précisions méthodologiques concernant le budget quinquennal

Annexe 4
Précisions méthodologiques concernant le budget quinquennal

Annexe 4
Précisions méthodologiques concernant le budget quinquennal

Annexe 4
Précisions méthodologiques concernant le budget quinquennal

Annexe 4
Précisions méthodologiques concernant le budget quinquennal


I. – Définition du nouvel agrégat de suivi et de pilotage des dépenses de l’État


I. – (Alinéa sans modification)

I. – (Alinéa sans modification)

I. – (Alinéa sans modification)

I. – (Alinéa sans modification)

I. – (Non modifié)

I. – Définition du nouvel agrégat de suivi et de pilotage des dépenses de l’État

I. – Définition du nouvel agrégat de suivi et de pilotage des dépenses de l’État

a) La nécessité de rénover les instruments de maîtrise des dépenses de l’État


a) (Non modifié)

A. – La nécessité de rénover les instruments de maîtrise des dépenses de l’État

A. – (Alinéa sans modification)

A. – (Non modifié)


A. – La nécessité de rénover les instruments de maîtrise des dépenses de l’État

A. – La nécessité de rénover les instruments de maîtrise des dépenses de l’État

La présente LPFP définit un nouveau périmètre de dépenses qui a vocation à constituer l’outil de référence dans la construction du budget de l’État et le pilotage de l’exécution des dépenses.



La présente LPFP définit un nouveau périmètre de dépenses appelé périmètre des dépenses de l’État (PDE), qui constitue l’outil de référence dans la construction du budget de l’État et le pilotage de l’exécution des dépenses.

La présente loi de programmation définit un nouveau périmètre de dépenses appelé périmètre des dépenses de l’État (PDE), qui constitue l’outil de référence dans la construction du budget de l’État et le pilotage de l’exécution des dépenses.



La présente loi de programmation définit un nouveau périmètre de dépenses appelé périmètre des dépenses de l’État (PDE), qui constitue l’outil de référence dans la construction du budget de l’État et le pilotage de l’exécution des dépenses.

La présente loi de programmation définit un nouveau périmètre de dépenses appelé périmètre des dépenses de l’État (PDE), qui constitue l’outil de référence dans la construction du budget de l’État et le pilotage de l’exécution des dépenses.

La LPFP 2018‑2022 avait consacré l’existence de deux normes relatives aux dépenses de l’État :



(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)



La LPFP 2018‑2022 avait consacré l’existence de deux normes relatives aux dépenses de l’État :

La LPFP 2018‑2022 avait consacré l’existence de deux normes relatives aux dépenses de l’État :

– la norme de dépenses pilotables (NDP) visait à recentrer le périmètre de la norme sur les dépenses les plus pilotables de l’État. La NDP était composée des dépenses du budget général, des budgets annexes, hors remboursements, dégrèvements et investissements d’avenir, hors charge de la dette et hors contributions au compte d’affectation spéciale des pensions, ainsi que les plafonds de taxes affectées à des tiers autres que les collectivités locales, la sécurité sociale et l’Union européenne, les dépenses des budgets annexes, de certains comptes d’affectation spéciale et du compte de concours financiers « Avances à l’audiovisuel public » ;



– la norme de dépenses pilotables (NDP) visait à recentrer le périmètre de la norme sur les dépenses les plus pilotables de l’État. La NDP était composée des dépenses du budget général, des budgets annexes, hors remboursements, dégrèvements et investissements d’avenir, hors charge de la dette et hors contributions au compte d’affectation spéciale des pensions, ainsi que des plafonds de taxes affectées à des tiers autres que les collectivités territoriales, la sécurité sociale et l’Union européenne et des dépenses des budgets annexes, de certains comptes d’affectation spéciale et du compte de concours financiers « Avances à l’audiovisuel public » ;

(Alinéa sans modification)



– la norme de dépenses pilotables (NDP) visait à recentrer le périmètre de la norme sur les dépenses les plus pilotables de l’État. La NDP était composée des dépenses du budget général, des budgets annexes, hors remboursements, dégrèvements et investissements d’avenir, hors charge de la dette et hors contributions au compte d’affectation spéciale des pensions, ainsi que des plafonds de taxes affectées à des tiers autres que les collectivités territoriales, la sécurité sociale et l’Union européenne et des dépenses des budgets annexes, de certains comptes d’affectation spéciale et du compte de concours financiers « Avances à l’audiovisuel public » ;

– la norme de dépenses pilotables (NDP) visait à recentrer le périmètre de la norme sur les dépenses les plus pilotables de l’État. La NDP était composée des dépenses du budget général, des budgets annexes, hors remboursements, dégrèvements et investissements d’avenir, hors charge de la dette et hors contributions au compte d’affectation spéciale des pensions, ainsi que des plafonds de taxes affectées à des tiers autres que les collectivités territoriales, la sécurité sociale et l’Union européenne et des dépenses des budgets annexes, de certains comptes d’affectation spéciale et du compte de concours financiers « Avances à l’audiovisuel public » ;

– l’objectif de dépenses totales de l’État (ODETE) visait, quant à lui, à se rapprocher des dépenses totales des administrations publiques centrales, en intégrant également des dépenses moins pilotables. Outre la NDP, l’ODETE comprenait donc la charge de la dette, les pensions et les prélèvements sur recettes ainsi que les dépenses d’urgence, de relance et d’investissement d’avenir ainsi que les dépenses des comptes d’affectation spéciale non compris au sein de la NDP.



– l’objectif de dépenses totales de l’État (ODETE) visait, quant à lui, à se rapprocher des dépenses totales des administrations publiques centrales, en intégrant également des dépenses moins pilotables. Outre la NDP, l’ODETE comprenait donc la charge de la dette, les pensions et les prélèvements sur recettes, les dépenses d’urgence, de relance et d’investissement d’avenir ainsi que les dépenses des comptes d’affectation spéciale non compris au sein de la NDP.

(Alinéa sans modification)



– l’objectif de dépenses totales de l’État (ODETE) visait, quant à lui, à se rapprocher des dépenses totales des administrations publiques centrales, en intégrant également des dépenses moins pilotables. Outre la NDP, l’ODETE comprenait donc la charge de la dette, les pensions et les prélèvements sur recettes, les dépenses d’urgence, de relance et d’investissement d’avenir ainsi que les dépenses des comptes d’affectation spéciale non compris au sein de la NDP.

– l’objectif de dépenses totales de l’État (ODETE) visait, quant à lui, à se rapprocher des dépenses totales des administrations publiques centrales, en intégrant également des dépenses moins pilotables. Outre la NDP, l’ODETE comprenait donc la charge de la dette, les pensions et les prélèvements sur recettes, les dépenses d’urgence, de relance et d’investissement d’avenir ainsi que les dépenses des comptes d’affectation spéciale non compris au sein de la NDP.

Ces deux normes ont un bilan contrasté. En 2018 et 2019, les objectifs de NDP et d’ODETE fixés en LPFP ont été respectés. Mais la survenance de la crise sanitaire a par la suite rendu caduques les cibles fixées par l’article 8. Surtout, la mise en place de diverses mesures d’urgence et de vecteurs ad hoc de réponse à la crise a contribué à fragiliser la capacité réelle de pilotage des dépenses sous NDP, tout en menant à des retraitements qui ont progressivement brouillé la frontière entre les deux normes. Leur utilité en tant qu’outils de suivi et de pilotage en a été fortement réduite, la plus grande sophistication de cette norme à deux niveaux se faisant au détriment de sa lisibilité et de son appropriation. De surcroît, il est apparu que le périmètre le plus réduit de la NDP présentait des points de fuite sur des dépenses dont la dynamique doit être pleinement considérée pour construire une trajectoire de dépenses de l’État pleinement cohérente avec les cibles de dépenses globales et l’objectif de maîtrise et de redressement des comptes publics.



Ces deux normes ont un bilan contrasté. En 2018 et 2019, les objectifs de NDP et d’ODETE fixés en LPFP ont été respectés. Mais la survenance de la crise sanitaire a par la suite rendu caduques les cibles à fixées à l’article 8. Surtout, la mise en place de diverses mesures d’urgence et de vecteurs ad hoc de réponse à la crise a contribué à fragiliser la capacité réelle de pilotage des dépenses sous NDP, tout en menant à des retraitements qui ont progressivement brouillé la frontière entre les deux normes. Leur utilité en tant qu’outils de suivi et de pilotage en a été fortement réduite, la plus grande sophistication de cette norme à deux niveaux se faisant au détriment de sa lisibilité et de son appropriation. De surcroît, il est apparu que le périmètre le plus réduit de la NDP présentait des points de fuite sur des dépenses dont la dynamique doit être pleinement considérée pour construire une trajectoire de dépenses de l’État pleinement cohérente avec les cibles de dépenses globales et l’objectif de maîtrise et de redressement des comptes publics.

Ces deux normes ont un bilan contrasté. En 2018 et 2019, les objectifs de NDP et d’ODETE fixés en LPFP ont été respectés. Mais la survenance de la crise sanitaire a par la suite rendu caduques les cibles fixées à l’article 8. Surtout, la mise en place de diverses mesures d’urgence et de vecteurs ad hoc de réponse à la crise a contribué à fragiliser la capacité réelle de pilotage des dépenses sous NDP, tout en menant à des retraitements qui ont progressivement brouillé la frontière entre les deux normes. Leur utilité en tant qu’outils de suivi et de pilotage en a été fortement réduite, la plus grande sophistication de cette norme à deux niveaux se faisant au détriment de sa lisibilité et de son appropriation. De surcroît, il est apparu que le périmètre le plus réduit de la NDP présentait des points de fuite sur des dépenses dont la dynamique doit être pleinement considérée pour construire une trajectoire de dépenses de l’État pleinement cohérente avec les cibles de dépenses globales et l’objectif de maîtrise et de redressement des comptes publics.



Ces deux normes ont un bilan contrasté. En 2018 et 2019, les objectifs de NDP et d’ODETE fixés en LPFP ont été respectés. Mais la survenance de la crise sanitaire a par la suite rendu caduques les cibles fixées à l’article 8 de la même loi. Surtout, la mise en place de diverses mesures d’urgence et de vecteurs ad hoc de réponse à la crise a contribué à fragiliser la capacité réelle de pilotage des dépenses sous NDP, tout en menant à des retraitements qui ont progressivement brouillé la frontière entre les deux normes. Leur utilité en tant qu’outils de suivi et de pilotage en a été fortement réduite, la plus grande sophistication de cette norme à deux niveaux se faisant au détriment de sa lisibilité et de son appropriation. De surcroît, il est apparu que le périmètre le plus réduit de la NDP présentait des points de fuite sur des dépenses dont la dynamique doit être pleinement considérée pour construire une trajectoire de dépenses de l’État pleinement cohérente avec les cibles de dépenses globales et l’objectif de maîtrise et de redressement des comptes publics.

Ces deux normes ont un bilan contrasté. En 2018 et 2019, les objectifs de NDP et d’ODETE fixés en LPFP ont été respectés. Mais la survenance de la crise sanitaire a par la suite rendu caduques les cibles fixées à l’article 8 de la même loi. Surtout, la mise en place de diverses mesures d’urgence et de vecteurs ad hoc de réponse à la crise a contribué à fragiliser la capacité réelle de pilotage des dépenses sous NDP, tout en menant à des retraitements qui ont progressivement brouillé la frontière entre les deux normes. Leur utilité en tant qu’outils de suivi et de pilotage en a été fortement réduite, la plus grande sophistication de cette norme à deux niveaux se faisant au détriment de sa lisibilité et de son appropriation. De surcroît, il est apparu que le périmètre le plus réduit de la NDP présentait des points de fuite sur des dépenses dont la dynamique doit être pleinement considérée pour construire une trajectoire de dépenses de l’État pleinement cohérente avec les cibles de dépenses globales et l’objectif de maîtrise et de redressement des comptes publics.

Plusieurs ajustements sont donc apparus souhaitables pour renforcer l’effectivité du pilotage de la dépense de l’État et indirectement celui de la dépense des opérateurs et établissements constituant le champ des ODAC : la simplification et l’élargissement de l’agrégat de suivi des dépenses de l’État constituent les deux principes centraux des évolutions portées par la LPFP.



(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)



Plusieurs ajustements sont donc apparus souhaitables pour renforcer l’effectivité du pilotage de la dépense de l’État et indirectement celui de la dépense des opérateurs et établissements constituant le champ des ODAC : la simplification et l’élargissement de l’agrégat de suivi des dépenses de l’État constituent les deux principes centraux des évolutions portées par la LPFP.

Plusieurs ajustements sont donc apparus souhaitables pour renforcer l’effectivité du pilotage de la dépense de l’État et indirectement celui de la dépense des opérateurs et établissements constituant le champ des ODAC : la simplification et l’élargissement de l’agrégat de suivi des dépenses de l’État constituent les deux principes centraux des évolutions portées par la LPFP.

b) Le périmètre des dépenses de l’État, un agrégat unique et élargi


b) (Alinéa sans modification)

B. – Le périmètre des dépenses de l’État, un agrégat unique et élargi

B. – (Alinéa sans modification)

B. – (Alinéa sans modification)


B. – Le périmètre des dépenses de l’État, un agrégat unique et élargi

B. – Le périmètre des dépenses de l’État, un agrégat unique et élargi

Le nouveau périmètre des dépenses de l’État (PDE) inclut :


(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)


Le nouveau périmètre des dépenses de l’État (PDE) inclut :

Le nouveau périmètre des dépenses de l’État (PDE) inclut :



– l’ensemble des crédits du budget général, hors dépenses de contribution aux pensions civiles et militaires, traitement de la dette et remboursements et dégrèvements ;


(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)


– l’ensemble des crédits du budget général, hors dépenses de contribution aux pensions civiles et militaires, traitement de la dette et remboursements et dégrèvements ;

– l’ensemble des crédits du budget général, hors dépenses de contribution aux pensions civiles et militaires, traitement de la dette et remboursements et dégrèvements ;



– les prélèvements sur recettes au profit des collectivités territoriales et de l’Union européenne ;


(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)


– les prélèvements sur recettes au profit des collectivités territoriales et de l’Union européenne ;

– les prélèvements sur recettes au profit des collectivités territoriales et de l’Union européenne ;



– les budgets annexes, l’essentiel des comptes d’affectation spéciale et le compte de concours financiers « Avances à l’audiovisuel public » ;


(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)


– les budgets annexes, l’essentiel des comptes d’affectation spéciale et le compte de concours financiers « Avances à l’audiovisuel public » ;

– les budgets annexes, l’essentiel des comptes d’affectation spéciale et le compte de concours financiers « Avances à l’audiovisuel public » ;



– les taxes affectées plafonnées à des tiers autres que les collectivités locales et la sécurité sociale.


(Alinéa sans modification)

– les taxes affectées plafonnées à des tiers autres que les collectivités territoriales et la sécurité sociale.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)


– les taxes affectées plafonnées à des tiers autres que les collectivités territoriales et la sécurité sociale.

– les taxes affectées plafonnées à des tiers autres que les collectivités territoriales et la sécurité sociale.



Le nouveau périmètre des dépenses de l’État n’inclut pas les charges liées à la dette de l’État (programme 117 « Charge de la dette et trésorerie de l’État » et programme 355 « Charge de la dette de SNCF Réseau reprise par l’État », ni les crédits résultant du mécanisme de cantonnement de la dette COVID (programme 369 « Amortissement de la dette de l’État liée à la covid‑19 »), dont la dynamique, liée directement à l’évolution pluriannuelle des recettes et à la conjoncture, ainsi que les circuits particuliers, justifient l’exclusion. Les nouvelles dispositions de la loi organique relative aux lois de finances permettront par ailleurs un suivi renforcé de la trajectoire d’endettement et de la charge de la dette, avec un rapport dédié au Parlement remis chaque année.


(Alinéa sans modification)

Le nouveau périmètre des dépenses de l’État n’inclut ni les charges liées à la dette de l’État (programme 117 « Charge de la dette et trésorerie de l’État » et programme 355 « Charge de la dette de SNCF Réseau reprise par l’État », ni les crédits résultant du mécanisme de cantonnement de la dette covid (programme 369 « Amortissement de la dette de l’État liée à la covid‑19 »), dont la dynamique, liée directement à l’évolution pluriannuelle des recettes et à la conjoncture, ainsi que les circuits particuliers justifient l’exclusion. Les nouvelles dispositions de la loi organique relative aux lois de finances permettront par ailleurs un suivi renforcé de la trajectoire d’endettement et de la charge de la dette, avec un rapport dédié au Parlement remis chaque année.

Le nouveau périmètre des dépenses de l’État n’inclut ni les charges liées à la dette de l’État (programme 117 « Charge de la dette et trésorerie de l’État » et programme 355 « Charge de la dette de SNCF Réseau reprise par l’État »), ni les crédits résultant du mécanisme de cantonnement de la dette covid (programme 369 « Amortissement de la dette de l’État liée à la covid‑19 »), dont la dynamique, liée directement à l’évolution pluriannuelle des recettes et à la conjoncture, ainsi que les circuits particuliers justifient l’exclusion. Les nouvelles dispositions de la loi organique relative aux lois de finances permettront par ailleurs un suivi renforcé de la trajectoire d’endettement et de la charge de la dette, avec un rapport dédié au Parlement remis chaque année.

(Alinéa sans modification)


Le nouveau périmètre des dépenses de l’État n’inclut ni les charges liées à la dette de l’État (programme 117 « Charge de la dette et trésorerie de l’État » et programme 355 « Charge de la dette de SNCF Réseau reprise par l’État »), ni les crédits résultant du mécanisme de cantonnement de la dette covid (programme 369 « Amortissement de la dette de l’État liée à la covid‑19 »), dont la dynamique, liée directement à l’évolution pluriannuelle des recettes et à la conjoncture, ainsi que les circuits particuliers justifient l’exclusion. Les nouvelles dispositions de la loi organique relative aux lois de finances permettront par ailleurs un suivi renforcé de la trajectoire d’endettement et de la charge de la dette, avec un rapport dédié au Parlement remis chaque année.

Le nouveau périmètre des dépenses de l’État n’inclut ni les charges liées à la dette de l’État (programme 117 « Charge de la dette et trésorerie de l’État » et programme 355 « Charge de la dette de SNCF Réseau reprise par l’État »), ni les crédits résultant du mécanisme de cantonnement de la dette covid (programme 369 « Amortissement de la dette de l’État liée à la covid‑19 »), dont la dynamique, liée directement à l’évolution pluriannuelle des recettes et à la conjoncture, ainsi que les circuits particuliers justifient l’exclusion. Les nouvelles dispositions de la loi organique relative aux lois de finances permettront par ailleurs un suivi renforcé de la trajectoire d’endettement et de la charge de la dette, avec un rapport dédié au Parlement remis chaque année.



Concernant les prélèvements sur recettes, leur réintégration se justifie par le caractère structurant de ces dépenses dans la trajectoire de dépenses de l’État. Si le prélèvement sur recettes au profit de l’Union européenne est peu pilotable en infra‑annuel, sa trajectoire n’est pas exogène et résulte de négociations dont les conséquences doivent être tirées sur le pilotage d’ensemble des dépenses de l’État. Par ailleurs, sa dynamique est à considérer dans la définition du juste niveau des crédits budgétaires ministériels, dans un contexte où la croissance de la contribution au budget de l’Union européenne offre en retour des perspectives de financement des politiques publiques qui doivent être mobilisées. Concernant les prélèvements sur recettes au profit des collectivités territoriales, leur exclusion du périmètre de la norme avait été justifiée par un mode de pilotage renouvelé des relations entre État et collectivités, ciblé sur la maîtrise des dépenses des collectivités plutôt que l’ajustement du soutien financier de l’État. Si ce mode de pilotage est reconduit et ajusté, la trajectoire des concours financiers de l’État aux collectivités doit néanmoins être prise en compte dans la construction d’une trajectoire soutenable de dépenses de l’État.


(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)


Concernant les prélèvements sur recettes, leur réintégration se justifie par le caractère structurant de ces dépenses dans la trajectoire de dépenses de l’État. Si le prélèvement sur recettes au profit de l’Union européenne est peu pilotable en infra‑annuel, sa trajectoire n’est pas exogène et résulte de négociations dont les conséquences doivent être tirées sur le pilotage d’ensemble des dépenses de l’État. Par ailleurs, sa dynamique est à considérer dans la définition du juste niveau des crédits budgétaires ministériels, dans un contexte où la croissance de la contribution au budget de l’Union européenne offre en retour des perspectives de financement des politiques publiques qui doivent être mobilisées. Concernant les prélèvements sur recettes au profit des collectivités territoriales, leur exclusion du périmètre de la norme avait été justifiée par un mode de pilotage renouvelé des relations entre État et collectivités, ciblé sur la maîtrise des dépenses des collectivités plutôt que l’ajustement du soutien financier de l’État. Si ce mode de pilotage est reconduit et ajusté, la trajectoire des concours financiers de l’État aux collectivités doit néanmoins être prise en compte dans la construction d’une trajectoire soutenable de dépenses de l’État.

Concernant les prélèvements sur recettes, leur réintégration se justifie par le caractère structurant de ces dépenses dans la trajectoire de dépenses de l’État. Si le prélèvement sur recettes au profit de l’Union européenne est peu pilotable en infra‑annuel, sa trajectoire n’est pas exogène et résulte de négociations dont les conséquences doivent être tirées sur le pilotage d’ensemble des dépenses de l’État. Par ailleurs, sa dynamique est à considérer dans la définition du juste niveau des crédits budgétaires ministériels, dans un contexte où la croissance de la contribution au budget de l’Union européenne offre en retour des perspectives de financement des politiques publiques qui doivent être mobilisées. Concernant les prélèvements sur recettes au profit des collectivités territoriales, leur exclusion du périmètre de la norme avait été justifiée par un mode de pilotage renouvelé des relations entre État et collectivités, ciblé sur la maîtrise des dépenses des collectivités plutôt que l’ajustement du soutien financier de l’État. Si ce mode de pilotage est reconduit et ajusté, la trajectoire des concours financiers de l’État aux collectivités doit néanmoins être prise en compte dans la construction d’une trajectoire soutenable de dépenses de l’État.



Compte tenu du poids des dépenses de pensions dans le budget de l’État, de leur dynamique et de leur relative rigidité, il est enfin opportun d’intégrer ce poste au périmètre de référence pour la construction et le suivi des dépenses de l’État. Les dépenses finales du CAS « Pensions » sont ainsi intégrées au périmètre des dépenses de l’État, les dépenses intermédiaires intervenant en financement du CAS Pensions (contributions au CAS Pensions) étant retraitées pour éviter tout double compte.


(Alinéa sans modification)

Compte tenu du poids des dépenses de pensions dans le budget de l’État, de leur dynamique et de leur relative rigidité, il est enfin opportun d’intégrer ce poste au périmètre de référence pour la construction et le suivi des dépenses de l’État. Les dépenses finales du CAS « Pensions » sont ainsi intégrées au périmètre des dépenses de l’État, les dépenses intermédiaires intervenant en financement du CAS « Pensions » (contributions au CAS « Pensions ») étant retraitées pour éviter tout double compte.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)


Compte tenu du poids des dépenses de pensions dans le budget de l’État, de leur dynamique et de leur relative rigidité, il est enfin opportun d’intégrer ce poste au périmètre de référence pour la construction et le suivi des dépenses de l’État. Les dépenses finales du CAS « Pensions » sont ainsi intégrées au périmètre des dépenses de l’État, les dépenses intermédiaires intervenant en financement du CAS « Pensions » (contributions au CAS « Pensions ») étant retraitées pour éviter tout double compte.

Compte tenu du poids des dépenses de pensions dans le budget de l’État, de leur dynamique et de leur relative rigidité, il est enfin opportun d’intégrer ce poste au périmètre de référence pour la construction et le suivi des dépenses de l’État. Les dépenses finales du CAS « Pensions » sont ainsi intégrées au périmètre des dépenses de l’État, les dépenses intermédiaires intervenant en financement du CAS « Pensions » (contributions au CAS « Pensions ») étant retraitées pour éviter tout double compte.



Au total, ce périmètre de dépenses élargi et unique vise à faciliter l’appropriation et la compréhension de cet outil de mesure de la dynamique des dépenses de l’État et des choix d’allocation qui doivent être réalisés en son sein pour sécuriser la trajectoire de redressement des comptes sur la sphère État. A titre indicatif, ces modifications conduisent, sur la base de la loi de finances pour 2022, à un périmètre de 456 Md€ contre 304,6 Md€ sur le périmètre de la NDP.


Au total, ce périmètre de dépenses élargi et unique vise à faciliter l’appropriation et la compréhension de cet outil de mesure de la dynamique des dépenses de l’État et des choix d’allocation qui doivent être réalisés en son sein pour sécuriser la trajectoire de redressement des comptes sur la sphère État. À titre indicatif, ces modifications conduisent, sur la base de la loi de finances pour 2022, à un périmètre de 456 Md€ contre 304,6 Md€ sur le périmètre de la NDP.

Au total, ce périmètre de dépenses élargi et unique vise à faciliter l’appropriation et la compréhension de cet outil de mesure de la dynamique des dépenses de l’État et des choix d’allocation qui doivent être réalisés en son sein pour sécuriser la trajectoire de redressement des comptes sur la sphère de l’État. À titre indicatif, ces modifications conduisent, sur la base de la loi de finances pour 2023, à un périmètre de 496 milliards d’euros contre 350,9 milliards d’euros sur le périmètre de la NDP.

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)


Au total, ce périmètre de dépenses élargi et unique vise à faciliter l’appropriation et la compréhension de cet outil de mesure de la dynamique des dépenses de l’État et des choix d’allocation qui doivent être réalisés en son sein pour sécuriser la trajectoire de redressement des comptes sur la sphère de l’État. À titre indicatif, ces modifications conduisent, sur la base de la loi de finances pour 2023, à un périmètre de 496 milliards d’euros contre 350,9 milliards d’euros sur le périmètre de la NDP.

Au total, ce périmètre de dépenses élargi et unique vise à faciliter l’appropriation et la compréhension de cet outil de mesure de la dynamique des dépenses de l’État et des choix d’allocation qui doivent être réalisés en son sein pour sécuriser la trajectoire de redressement des comptes sur la sphère de l’État. À titre indicatif, ces modifications conduisent, sur la base de la loi de finances pour 2023, à un périmètre de 496 milliards d’euros contre 350,9 milliards d’euros sur le périmètre de la NDP.



Tableau : récapitulatif des évolutions de périmètres sur les agrégats de suivi de la dépense :


(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa supprimé)






(Cet alinéa comprend une image qui ne peut pas être visualisée dans ce tableau.)


(Alinéa sans modification)

(INSERER TABLEAU)

(Alinéa supprimé)






II. – Champ constant et charte de budgétisation


II. – (Alinéa sans modification)

II. – (Alinéa sans modification)

II. – (Alinéa sans modification)

II. – (Non modifié)

II. – (Non modifié)

II. – Champ constant et charte de budgétisation

II. – Champ constant et charte de budgétisation



a) Le principe du champ constant


a) (Alinéa sans modification)

A. – Le principe du champ constant

A. – (Alinéa sans modification)



A. – Le principe du champ constant

A. – Le principe du champ constant



La réalité de la dynamique de la dépense s’apprécie, entre deux lois de finances consécutives, à périmètre ou champ constant.


(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)



La réalité de la dynamique de la dépense s’apprécie, entre deux lois de finances consécutives, à périmètre ou champ constant.

La réalité de la dynamique de la dépense s’apprécie, entre deux lois de finances consécutives, à périmètre ou champ constant.



En effet, le périmètre des dépenses de l’État peut être amené à évoluer d’une année sur l’autre, des dépenses ou recettes étant nouvellement inscrites au budget de l’État, d’autres à l’inverse étant sorties du périmètre du budget de l’État.


(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)



En effet, le périmètre des dépenses de l’État peut être amené à évoluer d’une année sur l’autre, des dépenses ou recettes étant nouvellement inscrites au budget de l’État, d’autres à l’inverse étant sorties du périmètre du budget de l’État.

En effet, le périmètre des dépenses de l’État peut être amené à évoluer d’une année sur l’autre, des dépenses ou recettes étant nouvellement inscrites au budget de l’État, d’autres à l’inverse étant sorties du périmètre du budget de l’État.



Pour apprécier la dynamique réelle de la dépense de l’État sur un champ identique, c’est à dire un champ « constant » entre deux exercices, le budget doit donc être retraité de ces modifications de périmètre. A cette fin, seuls sont intégrés au calcul du périmètre des dépenses de l’État prévu par l’article 9 de la LPFP les mouvements de dépenses et les affectations de recettes ayant pour effet d’accroître ou de diminuer le niveau de la dépense publique.


Pour apprécier la dynamique réelle de la dépense de l’État sur un champ identique, c’est‑à‑dire un champ « constant » entre deux exercices, le budget doit donc être retraité de ces modifications de périmètre. À cette fin, seuls sont intégrés au calcul du périmètre des dépenses de l’État prévu par l’article 9 de la LPFP les mouvements de dépenses et les affectations de recettes ayant pour effet d’accroître ou de diminuer le niveau de la dépense publique.

Pour apprécier la dynamique réelle de la dépense de l’État sur un champ identique, c’est‑à‑dire un champ « constant » entre deux exercices, le budget doit donc être retraité de ces modifications de périmètre. À cette fin, seuls sont intégrés au calcul du périmètre des dépenses de l’État prévu à l’article 9 de la présente loi les mouvements de dépenses et les affectations de recettes ayant pour effet d’accroître ou de diminuer le niveau de la dépense publique.

(Alinéa sans modification)



Pour apprécier la dynamique réelle de la dépense de l’État sur un champ identique, c’est‑à‑dire un champ « constant » entre deux exercices, le budget doit donc être retraité de ces modifications de périmètre. À cette fin, seuls sont intégrés au calcul du périmètre des dépenses de l’État prévu à l’article 10 de la présente loi les mouvements de dépenses et les affectations de recettes ayant pour effet d’accroître ou de diminuer le niveau de la dépense publique.

Pour apprécier la dynamique réelle de la dépense de l’État sur un champ identique, c’est‑à‑dire un champ « constant » entre deux exercices, le budget doit donc être retraité de ces modifications de périmètre. À cette fin, seuls sont intégrés au calcul du périmètre des dépenses de l’État prévu à l’article 10 de la présente loi les mouvements de dépenses et les affectations de recettes ayant pour effet d’accroître ou de diminuer le niveau de la dépense publique.



A contrario, les mouvements constituant une simple réimputation au sein du périmètre des dépenses de l’État, par exemple entre le budget général et des comptes spéciaux inclus dans ce périmètre, ou les mouvements équilibrés en recettes et en dépenses, entre ce périmètre et une autre entité (par exemple, les collectivités locales), ne doivent pas être comptabilisés dans ce calcul.


(Alinéa sans modification)

A contrario, les mouvements constituant une simple réimputation au sein du périmètre des dépenses de l’État, par exemple entre le budget général et des comptes spéciaux inclus dans ce périmètre, ou les mouvements équilibrés en recettes et en dépenses, entre ce périmètre et une autre entité (par exemple, les collectivités territoriales), ne doivent pas être comptabilisés dans ce calcul.

(Alinéa sans modification)



A contrario, les mouvements constituant une simple réimputation au sein du périmètre des dépenses de l’État, par exemple entre le budget général et des comptes spéciaux inclus dans ce périmètre, ou les mouvements équilibrés en recettes et en dépenses, entre ce périmètre et une autre entité (par exemple, les collectivités territoriales), ne doivent pas être comptabilisés dans ce calcul.

A contrario, les mouvements constituant une simple réimputation au sein du périmètre des dépenses de l’État, par exemple entre le budget général et des comptes spéciaux inclus dans ce périmètre, ou les mouvements équilibrés en recettes et en dépenses, entre ce périmètre et une autre entité (par exemple, les collectivités territoriales), ne doivent pas être comptabilisés dans ce calcul.



Ces mouvements, équilibrés en recettes et en dépenses, sont appelés : mesures de transfert quand ils ont lieu au sein du périmètre des dépenses de l’État ; mesures de périmètre quand ils ont lieu entre ce même périmètre et une autre entité. Leur prise en compte permet de passer du champ constant au champ courant, sur lequel est présenté le projet de loi de finances de l’année, mais ils doivent être neutralisés pour apprécier la dynamique réelle du budget.


(Alinéa sans modification)

Ces mouvements, équilibrés en recettes et en dépenses, sont appelés, mesures de transfert quand ils ont lieu au sein du périmètre des dépenses de l’État et mesures de périmètre quand ils ont lieu entre ce même périmètre et une autre entité. Leur prise en compte permet de passer du champ constant au champ courant, sur lequel est présenté le projet de loi de finances de l’année, mais ils doivent être neutralisés pour apprécier la dynamique réelle du budget.

Ces mouvements, équilibrés en recettes et en dépenses, sont appelés mesures de transfert quand ils ont lieu au sein du périmètre des dépenses de l’État et mesures de périmètre quand ils ont lieu entre ce même périmètre et une autre entité. Leur prise en compte permet de passer du champ constant au champ courant, sur lequel est présenté le projet de loi de finances de l’année, mais ils doivent être neutralisés pour apprécier la dynamique réelle du budget.



Ces mouvements, équilibrés en recettes et en dépenses, sont appelés mesures de transfert quand ils ont lieu au sein du périmètre des dépenses de l’État et mesures de périmètre quand ils ont lieu entre ce même périmètre et une autre entité. Leur prise en compte permet de passer du champ constant au champ courant, sur lequel est présenté le projet de loi de finances de l’année, mais ils doivent être neutralisés pour apprécier la dynamique réelle du budget.

Ces mouvements, équilibrés en recettes et en dépenses, sont appelés mesures de transfert quand ils ont lieu au sein du périmètre des dépenses de l’État et mesures de périmètre quand ils ont lieu entre ce même périmètre et une autre entité. Leur prise en compte permet de passer du champ constant au champ courant, sur lequel est présenté le projet de loi de finances de l’année, mais ils doivent être neutralisés pour apprécier la dynamique réelle du budget.



b) La charte de budgétisation


b) (Alinéa sans modification)

B. – La charte de budgétisation

B. – (Alinéa sans modification)



B. – La charte de budgétisation

B. – La charte de budgétisation



L’ensemble des règles qui suivent constituent la charte de budgétisation de l’État, qui permet, en précisant les modalités de prise en compte des modifications de champ dans le calcul du périmètre des dépenses de l’État, de déterminer l’évolution de la dépense à champ constant.


(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)



L’ensemble des règles qui suivent constituent la charte de budgétisation de l’État, qui permet, en précisant les modalités de prise en compte des modifications de champ dans le calcul du périmètre des dépenses de l’État, de déterminer l’évolution de la dépense à champ constant.

L’ensemble des règles qui suivent constituent la charte de budgétisation de l’État, qui permet, en précisant les modalités de prise en compte des modifications de champ dans le calcul du périmètre des dépenses de l’État, de déterminer l’évolution de la dépense à champ constant.



(i) Les mesures de périmètre donnent lieu à des inscriptions ou à l’inverse à des suppressions de crédits qui n’ont pas à être intégrées dans l’évolution des dépenses à champ constant.


(Alinéa sans modification)

1. Les mesures de périmètre donnent lieu à des inscriptions ou, à l’inverse, à des suppressions de crédits qui n’ont pas à être intégrées dans l’évolution des dépenses à champ constant.

1. (Non modifié)



1. Les mesures de périmètre donnent lieu à des inscriptions ou, à l’inverse, à des suppressions de crédits qui n’ont pas à être intégrées dans l’évolution des dépenses à champ constant.

1. Les mesures de périmètre donnent lieu à des inscriptions ou, à l’inverse, à des suppressions de crédits qui n’ont pas à être intégrées dans l’évolution des dépenses à champ constant.



Les mesures de périmètre ont deux caractéristiques : elles sont équilibrées en ressources et en dépenses ; elles sont pérennes et non temporaires.


(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)




Les mesures de périmètre ont deux caractéristiques : elles sont équilibrées en ressources et en dépenses ; elles sont pérennes et non temporaires.

Les mesures de périmètre ont deux caractéristiques : elles sont équilibrées en ressources et en dépenses ; elles sont pérennes et non temporaires.



Elles recouvrent les trois cas de figure dans lesquels l’État :


(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)




Elles recouvrent les trois cas de figure dans lesquels l’État :

Elles recouvrent les trois cas de figure dans lesquels l’État :



– transfère à une autre entité une dépense qu’il assumait auparavant, en transférant parallèlement les ressources d’un même montant permettant de la financer ;


(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)




– transfère à une autre entité une dépense qu’il assumait auparavant, en transférant parallèlement les ressources d’un même montant permettant de la financer ;

– transfère à une autre entité une dépense qu’il assumait auparavant, en transférant parallèlement les ressources d’un même montant permettant de la financer ;



– inscrit à son budget au sein du périmètre des dépenses de l’État une dépense nouvelle auparavant financée par une autre entité, ainsi que des recettes d’un même montant ;


(Alinéa sans modification)

– inscrit à son budget, au sein du périmètre des dépenses de l’État, une dépense nouvelle auparavant financée par une autre entité ainsi que des recettes d’un même montant ;




– inscrit à son budget, au sein du périmètre des dépenses de l’État, une dépense nouvelle auparavant financée par une autre entité ainsi que des recettes d’un même montant ;

– inscrit à son budget, au sein du périmètre des dépenses de l’État, une dépense nouvelle auparavant financée par une autre entité ainsi que des recettes d’un même montant ;



– prend en charge une dépense financée auparavant par dotations en capital ou par une entité supprimée.


(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)




– prend en charge une dépense financée auparavant par dotations en capital ou par une entité supprimée.

– prend en charge une dépense financée auparavant par dotations en capital ou par une entité supprimée.



Les mouvements liés à des transferts de compétence entre État et collectivités illustrent le premier cas de figure.


(Alinéa sans modification)

Les mouvements liés à des transferts de compétence entre État et collectivités territoriales illustrent le premier cas de figure.




Les mouvements liés à des transferts de compétence entre État et collectivités territoriales illustrent le premier cas de figure.

Les mouvements liés à des transferts de compétence entre État et collectivités territoriales illustrent le premier cas de figure.



Le deuxième correspond à des mesures de rebudgétisation, par exemple la réintégration concomitante et équilibrée au sein du budget général d’une recette affectée non plafonnée à un opérateur et des dépenses qu’elle finance, ou à la création d’un compte spécial avec intégration au sein du périmètres des dépenses de l’État d’une recette et de la dépense qu’elle finance via le compte spécial.


Le deuxième correspond à des mesures de rebudgétisation, par exemple la réintégration concomitante et équilibrée au sein du budget général d’une recette affectée non plafonnée à un opérateur et des dépenses qu’elle finance, ou à la création d’un compte spécial avec intégration au sein du périmètre des dépenses de l’État d’une recette et de la dépense qu’elle finance via le compte spécial.

(Alinéa sans modification)




Le deuxième correspond à des mesures de rebudgétisation, par exemple la réintégration concomitante et équilibrée au sein du budget général d’une recette affectée non plafonnée à un opérateur et des dépenses qu’elle finance, ou à la création d’un compte spécial avec intégration au sein du périmètre des dépenses de l’État d’une recette et de la dépense qu’elle finance via le compte spécial.

Le deuxième correspond à des mesures de rebudgétisation, par exemple la réintégration concomitante et équilibrée au sein du budget général d’une recette affectée non plafonnée à un opérateur et des dépenses qu’elle finance, ou à la création d’un compte spécial avec intégration au sein du périmètre des dépenses de l’État d’une recette et de la dépense qu’elle finance via le compte spécial.



Le troisième cas de figure, enfin, n’accroît ni la dépense publique ni le déficit public, puisque la dépense existait déjà auparavant et était financée par une recette non prise en compte dans le solde public selon les règles de la comptabilité nationale.


(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)




Le troisième cas de figure, enfin, n’accroît ni la dépense publique ni le déficit public, puisque la dépense existait déjà auparavant et était financée par une recette non prise en compte dans le solde public selon les règles de la comptabilité nationale.

Le troisième cas de figure, enfin, n’accroît ni la dépense publique ni le déficit public, puisque la dépense existait déjà auparavant et était financée par une recette non prise en compte dans le solde public selon les règles de la comptabilité nationale.



Enfin, des mesures de périmètre spécifiques aux modifications des taxes et autres recettes affectées existent également. Ces cas particuliers sont détaillés ci‑dessous.


(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)




Enfin, des mesures de périmètre spécifiques aux modifications des taxes et autres recettes affectées existent également. Ces cas particuliers sont détaillés ci‑dessous.

Enfin, des mesures de périmètre spécifiques aux modifications des taxes et autres recettes affectées existent également. Ces cas particuliers sont détaillés ci‑dessous.



(ii) Les mesures de transfert concernent des mouvements de crédits à l’intérieur du périmètre des dépenses de l’État.


(Alinéa sans modification)

2. Les mesures de transfert concernent des mouvements de crédits à l’intérieur du périmètre des dépenses de l’État.

2. (Non modifié)



2. Les mesures de transfert concernent des mouvements de crédits à l’intérieur du périmètre des dépenses de l’État.

2. Les mesures de transfert concernent des mouvements de crédits à l’intérieur du périmètre des dépenses de l’État.



Les mouvements de transferts les plus fréquents sont réalisés entre missions du budget général ; néanmoins, ils peuvent également être effectués entre crédits du budget général ou comptes spéciaux intégrés dans le périmètre des dépenses de l’État par exemple.


(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)




Les mouvements de transferts les plus fréquents sont réalisés entre missions du budget général ; néanmoins, ils peuvent également être effectués entre crédits du budget général ou comptes spéciaux intégrés dans le périmètre des dépenses de l’État par exemple.

Les mouvements de transferts les plus fréquents sont réalisés entre missions du budget général ; néanmoins, ils peuvent également être effectués entre crédits du budget général ou comptes spéciaux intégrés dans le périmètre des dépenses de l’État par exemple.



De même, la baisse du plafond d’une taxe affectée à un organisme accompagnée de la création ou d’une hausse à due concurrence d’une subvention à ce même organisme constitue une mesure de transfert.


(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)




De même, la baisse du plafond d’une taxe affectée à un organisme accompagnée de la création ou d’une hausse à due concurrence d’une subvention à ce même organisme constitue une mesure de transfert.

De même, la baisse du plafond d’une taxe affectée à un organisme accompagnée de la création ou d’une hausse à due concurrence d’une subvention à ce même organisme constitue une mesure de transfert.



(iii) Les modifications du plafonnement des taxes et autres recettes affectées peuvent recouvrir quatre situations différentes :


(Alinéa sans modification)

3. Les modifications du plafonnement des taxes et autres recettes affectées peuvent recouvrir quatre situations différentes :

3. (Alinéa sans modification)



3. Les modifications du plafonnement des taxes et autres recettes affectées peuvent recouvrir quatre situations différentes :

3. Les modifications du plafonnement des taxes et autres recettes affectées peuvent recouvrir quatre situations différentes :



1. Modification du plafond d’une taxe ou autre recette existante et déjà plafonnée en loi de finances


1. (Non modifié)

a) Modification du plafond d’une taxe ou autre recette existante et déjà plafonnée en loi de finances

a) (Non modifié)



a) Modification du plafond d’une taxe ou autre recette existante et déjà plafonnée en loi de finances

a) Modification du plafond d’une taxe ou autre recette existante et déjà plafonnée en loi de finances



La modification du plafond se traduit par une variation des ressources allouées par l’État à l’entité. La modification de plafond dans la loi de finances a le même effet que l’évolution à la baisse ou à la hausse d’une subvention pour charges de service public inscrite en dépense. Elle est donc prise en compte dans le périmètre des dépenses de l’État. Il existe trois situations :



(Alinéa sans modification)




La modification du plafond se traduit par une variation des ressources allouées par l’État à l’entité. La modification de plafond dans la loi de finances a le même effet que l’évolution à la baisse ou à la hausse d’une subvention pour charges de service public inscrite en dépense. Elle est donc prise en compte dans le périmètre des dépenses de l’État. Il existe trois situations :

La modification du plafond se traduit par une variation des ressources allouées par l’État à l’entité. La modification de plafond dans la loi de finances a le même effet que l’évolution à la baisse ou à la hausse d’une subvention pour charges de service public inscrite en dépense. Elle est donc prise en compte dans le périmètre des dépenses de l’État. Il existe trois situations :



– Le plafond est relevé : une mesure nouvelle est comptabilisée au sein du périmètre des dépenses de l’État ;



(Alinéa sans modification)




– le plafond est relevé : une mesure nouvelle est comptabilisée au sein du périmètre des dépenses de l’État ;

– le plafond est relevé : une mesure nouvelle est comptabilisée au sein du périmètre des dépenses de l’État ;



– Le plafond est abaissé : une économie est comptabilisée dans la mesure où le niveau du plafond est inférieur ou égal au rendement prévisionnel de la taxe présenté dans l’annexe « Voies et moyens » du projet de loi de finances (PLF), pour un montant correspondant à la baisse effective des ressources de l’organisme ; de la même façon, la suppression d’une taxe affectée, qui peut être assimilée à la suppression de tout ou partie des ressources allouées par l’État à l’entité, si elle n’est pas remplacée par une dotation budgétaire équivalente, est comptabilisée comme une économie au sein du périmètre des dépenses de l’État.



(Alinéa sans modification)




– le plafond est abaissé : une économie est comptabilisée dans la mesure où le niveau du plafond est inférieur ou égal au rendement prévisionnel de la taxe présenté dans l’annexe « Voies et moyens » du projet de loi de finances (PLF), pour un montant correspondant à la baisse effective des ressources de l’organisme ; de la même façon, la suppression d’une taxe affectée, qui peut être assimilée à la suppression de tout ou partie des ressources allouées par l’État à l’entité, si elle n’est pas remplacée par une dotation budgétaire équivalente, est comptabilisée comme une économie au sein du périmètre des dépenses de l’État.

– le plafond est abaissé : une économie est comptabilisée dans la mesure où le niveau du plafond est inférieur ou égal au rendement prévisionnel de la taxe présenté dans l’annexe « Voies et moyens » du projet de loi de finances (PLF), pour un montant correspondant à la baisse effective des ressources de l’organisme ; de la même façon, la suppression d’une taxe affectée, qui peut être assimilée à la suppression de tout ou partie des ressources allouées par l’État à l’entité, si elle n’est pas remplacée par une dotation budgétaire équivalente, est comptabilisée comme une économie au sein du périmètre des dépenses de l’État.



Si le plafond est abaissé mais qu’il demeure supérieur au rendement prévisionnel de la taxe, une mesure de périmètre est comptabilisée.



(Alinéa sans modification)




Si le plafond est abaissé mais qu’il demeure supérieur au rendement prévisionnel de la taxe, une mesure de périmètre est comptabilisée.

Si le plafond est abaissé mais qu’il demeure supérieur au rendement prévisionnel de la taxe, une mesure de périmètre est comptabilisée.



2. Plafonnement d’une taxe ou autre recette déjà existante mais qui n’était pas jusqu’alors plafonnée


2. (Non modifié)

b) Plafonnement d’une taxe ou autre recette déjà existante mais qui n’était pas jusqu’alors plafonnée

b) (Non modifié)



b) Plafonnement d’une taxe ou autre recette déjà existante mais qui n’était pas jusqu’alors plafonnée

b) Plafonnement d’une taxe ou autre recette déjà existante mais qui n’était pas jusqu’alors plafonnée



La mesure de plafonnement est traitée comme une mesure de périmètre pour le montant correspondant au plafond et il est décompté dans l’évolution du périmètre des dépenses de l’État. Au cas où le plafond serait fixé à un niveau inférieur à celui de l’évaluation de la recette, une mesure d’économie est décomptée à hauteur de l’écart séparant le niveau prévisionnel de la recette et le niveau du plafond introduit.



La mesure de plafonnement est traitée comme une mesure de périmètre pour le montant correspondant au plafond qui est décompté dans l’évolution du périmètre des dépenses de l’État. Au cas où le plafond serait fixé à un niveau inférieur à celui de l’évaluation de la recette, une mesure d’économie est décomptée à hauteur de l’écart séparant le niveau prévisionnel de la recette et le niveau du plafond introduit.




La mesure de plafonnement est traitée comme une mesure de périmètre pour le montant correspondant au plafond qui est décompté dans l’évolution du périmètre des dépenses de l’État. Au cas où le plafond serait fixé à un niveau inférieur à celui de l’évaluation de la recette, une mesure d’économie est décomptée à hauteur de l’écart séparant le niveau prévisionnel de la recette et le niveau du plafond introduit.

La mesure de plafonnement est traitée comme une mesure de périmètre pour le montant correspondant au plafond qui est décompté dans l’évolution du périmètre des dépenses de l’État. Au cas où le plafond serait fixé à un niveau inférieur à celui de l’évaluation de la recette, une mesure d’économie est décomptée à hauteur de l’écart séparant le niveau prévisionnel de la recette et le niveau du plafond introduit.



3. Nouvelle affectation de recette


3. (Non modifié)

c). Nouvelle affectation de recette

c) Nouvelle affectation de recette



c) Nouvelle affectation de recette

c) Nouvelle affectation de recette



Toute nouvelle affectation de recette à un organisme public autre que les administrations de sécurité sociale, les collectivités territoriales, et les établissements publics de coopération intercommunale est prise en compte intégralement en mesure nouvelle au sein du périmètre des dépenses de l’État, pour un montant égal au niveau du plafonnement. Cette mesure est en effet assimilable à l’attribution d’une subvention à un organisme.



(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)



Toute nouvelle affectation de recette à un organisme public autre que les administrations de sécurité sociale, les collectivités territoriales, et les établissements publics de coopération intercommunale est prise en compte intégralement en mesure nouvelle au sein du périmètre des dépenses de l’État, pour un montant égal au niveau du plafonnement. Cette mesure est en effet assimilable à l’attribution d’une subvention à un organisme.

Toute nouvelle affectation de recette à un organisme public autre que les administrations de sécurité sociale, les collectivités territoriales, et les établissements publics de coopération intercommunale est prise en compte intégralement en mesure nouvelle au sein du périmètre des dépenses de l’État, pour un montant égal au niveau du plafonnement. Cette mesure est en effet assimilable à l’attribution d’une subvention à un organisme.



4. Rebudgétisation d’une recette affectée plafonnée


4. (Non modifié)

d) Rebudgétisation d’une recette affectée plafonnée

d) (Non modifié)



d) Rebudgétisation d’une recette affectée plafonnée

d) Rebudgétisation d’une recette affectée plafonnée



La rebudgétisation de la recette affectée à un organisme fait l’objet d’un plafonnement en loi de finances et figure à ce titre au sein du périmètre des dépenses de l’État.



(Alinéa sans modification)




La rebudgétisation de la recette affectée à un organisme fait l’objet d’un plafonnement en loi de finances et figure à ce titre au sein du périmètre des dépenses de l’État.

La rebudgétisation de la recette affectée à un organisme fait l’objet d’un plafonnement en loi de finances et figure à ce titre au sein du périmètre des dépenses de l’État.



Si le rendement prévisionnel de la recette est supérieur ou égal au plafond de celle‑ci, la rebudgétisation constitue une mesure de transfert à hauteur du plafond. L’écart entre la subvention versée et le plafond constitue une mesure d’économie dans le cas où la subvention serait inférieure à l’ancien plafond. Il constitue une mesure nouvelle dans le cas où la subvention serait supérieure à l’ancien plafond.



(Alinéa sans modification)




Si le rendement prévisionnel de la recette est supérieur ou égal au plafond de celle‑ci, la rebudgétisation constitue une mesure de transfert à hauteur du plafond. L’écart entre la subvention versée et le plafond constitue une mesure d’économie dans le cas où la subvention serait inférieure à l’ancien plafond. Il constitue une mesure nouvelle dans le cas où la subvention serait supérieure à l’ancien plafond.

Si le rendement prévisionnel de la recette est supérieur ou égal au plafond de celle‑ci, la rebudgétisation constitue une mesure de transfert à hauteur du plafond. L’écart entre la subvention versée et le plafond constitue une mesure d’économie dans le cas où la subvention serait inférieure à l’ancien plafond. Il constitue une mesure nouvelle dans le cas où la subvention serait supérieure à l’ancien plafond.



Si le rendement prévisionnel de la recette est inférieur au plafond de celle‑ci, la rebudgétisation constitue une mesure de transfert à hauteur du rendement prévisionnel. De plus, la rebudgétisation donne également lieu à une mesure de périmètre diminuant le niveau du périmètre de dépenses pour un total égal à l’écart entre le plafond et le rendement prévisionnel. En cas d’écart entre le rendement prévisionnel de la recette ou de la taxe affectée et la subvention, il est comptabilisé au sein du périmètre des dépenses de l’État :



(Alinéa sans modification)




Si le rendement prévisionnel de la recette est inférieur au plafond de celle‑ci, la rebudgétisation constitue une mesure de transfert à hauteur du rendement prévisionnel. De plus, la rebudgétisation donne également lieu à une mesure de périmètre diminuant le niveau du périmètre de dépenses pour un total égal à l’écart entre le plafond et le rendement prévisionnel. En cas d’écart entre le rendement prévisionnel de la recette ou de la taxe affectée et la subvention, il est comptabilisé au sein du périmètre des dépenses de l’État :

Si le rendement prévisionnel de la recette est inférieur au plafond de celle‑ci, la rebudgétisation constitue une mesure de transfert à hauteur du rendement prévisionnel. De plus, la rebudgétisation donne également lieu à une mesure de périmètre diminuant le niveau du périmètre de dépenses pour un total égal à l’écart entre le plafond et le rendement prévisionnel. En cas d’écart entre le rendement prévisionnel de la recette ou de la taxe affectée et la subvention, il est comptabilisé au sein du périmètre des dépenses de l’État :



– une économie, si la subvention est inférieure aux prévisions d’affectation préexistantes à la rebudgétisation ;



– une économie, si la subvention est inférieure aux prévisions d’affectation préexistant à la rebudgétisation ;




– une économie, si la subvention est inférieure aux prévisions d’affectation préexistant à la rebudgétisation ;

– une économie, si la subvention est inférieure aux prévisions d’affectation préexistant à la rebudgétisation ;



– une dépense nouvelle si la subvention y est supérieure.



(Alinéa sans modification)




– une dépense nouvelle si la subvention y est supérieure.

– une dépense nouvelle si la subvention y est supérieure.



III. – Nature et portée des autorisations du budget pluriannuel


III. – (Alinéa sans modification)

III. – (Alinéa sans modification)

III. – (Non modifié)

III. – (Non modifié)

III. – (Alinéa sans modification)

III. – Nature et portée des autorisations du budget pluriannuel

III. – Nature et portée des autorisations du budget pluriannuel



La LPFP détermine des montants de crédits de paiement pour chaque année de la période de programmation.


(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)



(Alinéa sans modification)

La LPFP détermine des montants de crédits de paiement pour chaque année de la période de programmation.

La LPFP détermine des montants de crédits de paiement pour chaque année de la période de programmation.



(i) Elle prévoit d’abord, pour les cinq premières années de la programmation, un plafond global de crédits de paiement pour le périmètre des dépenses de l’État, selon les termes de l’article 9 de la présente loi.


(Alinéa sans modification)

1. Elle prévoit d’abord, pour les cinq premières années de la programmation, un plafond global de crédits de paiement pour le périmètre des dépenses de l’État, selon les termes de l’article 9 de la présente loi de programmation.



1. (Non modifié)

1. Elle prévoit d’abord, pour les cinq premières années de la programmation, un plafond global de crédits de paiement pour le périmètre des dépenses de l’État, selon les termes de l’article 10 de la présente loi de programmation.

1. Elle prévoit d’abord, pour les cinq premières années de la programmation, un plafond global de crédits de paiement pour le périmètre des dépenses de l’État, selon les termes de l’article 10 de la présente loi de programmation.



(ii) Elle définit ensuite un montant plafond pour les crédits alloués à chacune des missions du budget général pour les annuités 2023, 2024 et 2025 (article 12).


(Alinéa sans modification)

2. Elle définit ensuite un montant plafond pour les crédits alloués à chacune des missions du budget général pour les annuités 2023, 2024 et 2025 (article 12).



2. (Alinéa sans modification)

2. Elle définit ensuite un montant plafond pour les crédits alloués à chacune des missions du budget général pour les annuités 2023, 2024 et 2025 (article 13).

2. Elle définit ensuite un montant plafond pour les crédits alloués à chacune des missions du budget général pour les annuités 2023, 2024 et 2025 (article 13).



Pour l’année 2023, les plafonds de crédits établis au niveau des missions correspondent à ceux du PLF pour 2023.


(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)



(Alinéa sans modification)

Pour l’année 2023, les plafonds de crédits établis au niveau des missions correspondent à ceux du PLF pour 2023.

Pour l’année 2023, les plafonds de crédits établis au niveau des missions correspondent à ceux du PLF pour 2023.



Pour les années 2024 et 2025, les crédits par mission sont des plafonds limitatifs. Ils feront l’objet d’une déclinaison au niveau prévu par la loi organique (programmes, actions, titres et catégories) dans le cadre des projets de loi de finances associés.


(Alinéa sans modification)

(Alinéa sans modification)



(Alinéa sans modification)

Pour les années 2024 et 2025, les crédits par mission sont des plafonds limitatifs. Ils feront l’objet d’une déclinaison au niveau prévu par la loi organique (programmes, actions, titres et catégories) dans le cadre des projets de loi de finances associés.

Pour les années 2024 et 2025, les crédits par mission sont des plafonds limitatifs. Ils feront l’objet d’une déclinaison au niveau prévu par la loi organique (programmes, actions, titres et catégories) dans le cadre des projets de loi de finances associés.



Compte tenu des dispositions de la loi organique relative aux lois de finances modifiée, chaque prochain PLF s’accompagnera d’une présentation à titre prévisionnel, dans les documents budgétaires, de la ventilation des crédits entre programmes à un horizon de trois ans. Si des ajustements devaient intervenir dans la répartition des crédits par mission telle que prévue à l’article 12, ils auraient vocation à se faire dans le respect du montant global de dépenses fixés sur le périmètre des dépenses de l’État par l’article 9 de la présente loi de programmation.


Compte tenu des dispositions de la loi organique relative aux lois de finances modifiée, chaque prochain PLF s’accompagnera d’une présentation à titre prévisionnel, dans les documents budgétaires, de la ventilation des crédits entre programmes à un horizon de trois ans. Si des ajustements devaient intervenir dans la répartition des crédits par mission telle que prévue à l’article 12, ils auraient vocation à se faire dans le respect du montant global de dépenses fixé sur le périmètre des dépenses de l’État par l’article 9 de la présente loi de programmation.

Compte tenu des dispositions de la loi organique relative aux lois de finances modifiée, chaque prochain PLF s’accompagnera d’une présentation à titre prévisionnel, dans les documents budgétaires, de la ventilation des crédits entre programmes à un horizon de trois ans. Si des ajustements devaient intervenir dans la répartition des crédits par mission prévue à l’article 12 de la présente loi de programmation, ils auraient vocation à se faire dans le respect du montant global de dépenses fixés sur le périmètre des dépenses de l’État à l’article 9.



Compte tenu des dispositions de la loi organique relative aux lois de finances modifiée, chaque prochain PLF s’accompagnera d’une présentation à titre prévisionnel, dans les documents budgétaires, de la ventilation des crédits entre programmes à un horizon de trois ans. Si des ajustements devaient intervenir dans la répartition des crédits par mission prévue à l’article 12 de la présente loi de programmation, ils auraient vocation à se faire dans le respect du montant global de dépenses fixé sur le périmètre des dépenses de l’État à l’article 9.

Compte tenu des dispositions de la loi organique relative aux lois de finances modifiée, chaque prochain PLF s’accompagnera d’une présentation à titre prévisionnel, dans les documents budgétaires, de la ventilation des crédits entre programmes à un horizon de trois ans. Si des ajustements devaient intervenir dans la répartition des crédits par mission prévue à l’article 13 de la présente loi de programmation, ils auraient vocation à se faire dans le respect du montant global de dépenses fixé sur le périmètre des dépenses de l’État à l’article 10.

Compte tenu des dispositions de la loi organique relative aux lois de finances modifiée, chaque prochain PLF s’accompagnera d’une présentation à titre prévisionnel, dans les documents budgétaires, de la ventilation des crédits entre programmes à un horizon de trois ans. Si des ajustements devaient intervenir dans la répartition des crédits par mission prévue à l’article 13 de la présente loi de programmation, ils auraient vocation à se faire dans le respect du montant global de dépenses fixé sur le périmètre des dépenses de l’État à l’article 10.



Enfin, chaque année, le Gouvernement transmet au Parlement une présentation précise et détaillée du périmètre des dépenses de l’État, contenue dans l’exposé général des motifs du projet de loi de finances, conformément à l’article 9 de la présente loi.


(Alinéa sans modification)

Enfin, chaque année, le Gouvernement transmet au Parlement une présentation précise et détaillée du périmètre des dépenses de l’État, contenue dans l’exposé général des motifs du projet de loi de finances, conformément au même article 9.



(Alinéa sans modification)

Enfin, chaque année, le Gouvernement transmet au Parlement une présentation précise et détaillée du périmètre des dépenses de l’État, contenue dans l’exposé général des motifs du projet de loi de finances, conformément au même article 10.

Enfin, chaque année, le Gouvernement transmet au Parlement une présentation précise et détaillée du périmètre des dépenses de l’État, contenue dans l’exposé général des motifs du projet de loi de finances, conformément au même article 10.



Annexe 5

Annexe 5

(Non modifié)

Annexe 5

(Non modifié)

Annexe 5
Précisions méthodologiques concernant la mesure de la croissance des dépenses au sein de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie (ONDAM).

Annexe 5
Précisions méthodologiques concernant la mesure de la croissance des dépenses au sein de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie (ONDAM)
(Non modifié)

Annexe 5
Précisions méthodologiques concernant la mesure de la croissance des dépenses au sein de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie (ONDAM)
(Non modifié)

Annexe 5
Précisions méthodologiques concernant la mesure de la croissance des dépenses au sein de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie (ONDAM)
(Non modifié)

Annexe 5
Précisions méthodologiques concernant la mesure de la croissance des dépenses au sein de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie (ONDAM)

Annexe 5
Précisions méthodologiques concernant la mesure de la croissance des dépenses au sein de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie (ONDAM)


1. Le principe du champ constant



I. – Le principe du champ constant




I. – Le principe du champ constant

I. – Le principe du champ constant

La réalité de la dynamique de la dépense au sein de l’Ondam s’apprécie entre deux lois de financement de la sécurité sociale consécutives, à périmètre (ou champ) constant. En effet, le périmètre de l’Ondam peut être amené à évoluer d’une année sur l’autre, des dépenses ou recettes étant nouvellement intégrées dans le champ de l’objectif, d’autres à l’inverse en étant sorties. Pour apprécier la dynamique réelle de la dépense au sein de l’Ondam sur un champ identique (champ constant) entre deux exercices, l’Ondam doit en conséquence être retraité de ces modifications de périmètre, selon les règles décrites ci‑après. Les mouvements constituant une simple réimputation entre les sous‑objectifs de l’Ondam, les mouvements d’intégration ou de sortie du périmètre de l’Ondam de dépenses demeurant financées par les régimes d’assurance maladie, maternité, invalidité, décès ou les mouvements qui traduisent une évolution entre le champ des dépenses de ces régimes d’assurance et celui d’autres entités (par exemple, l’État) équilibrée par un mouvement similaire en recettes, ne doivent pas être comptabilisés dans ce calcul. Ces mouvements sont appelés mesures de transfert quand ils ont lieu entre sous‑objectifs ou mesures de périmètre quand ils ont lieu entre le périmètre de l’Ondam et une autre entité (qui peut être la sécurité sociale). Leur prise en compte permet de passer du champ constant au champ courant, sur lequel est présenté l’Ondam de l’année, mais ils sont sans influence sur l’appréciation de la dynamique de ces dépenses.



La réalité de la dynamique de la dépense au sein de l’ONDAM s’apprécie entre deux lois de financement de la sécurité sociale consécutives, à périmètre (ou champ) constant. En effet, le périmètre de l’ONDAM peut être amené à évoluer d’une année sur l’autre, des dépenses ou recettes étant nouvellement intégrées dans le champ de l’objectif, d’autres à l’inverse en étant sorties. Pour apprécier la dynamique réelle de la dépense au sein de l’ONDAM sur un champ identique (champ constant) entre deux exercices, l’ONDAM doit en conséquence être retraité de ces modifications de périmètre, selon les règles décrites ci‑après. Les mouvements constituant une simple réimputation entre les sous‑objectifs de l’ONDAM, les mouvements d’intégration ou de sortie du périmètre de l’ONDAM de dépenses demeurant financées par les régimes d’assurance maladie, maternité, invalidité et décès ou les mouvements qui traduisent une évolution entre le champ des dépenses de ces régimes d’assurance et celui d’autres entités (par exemple, l’État) équilibrée par un mouvement similaire en recettes ne doivent pas être comptabilisés dans ce calcul. Ces mouvements sont appelés mesures de transfert quand ils ont lieu entre sous‑objectifs ou mesures de périmètre quand ils ont lieu entre le périmètre de l’ONDAM et une autre entité (qui peut être la sécurité sociale). Leur prise en compte permet de passer du champ constant au champ courant, sur lequel est présenté l’ONDAM de l’année, mais ils sont sans influence sur l’appréciation de la dynamique de ces dépenses.




La réalité de la dynamique de la dépense au sein de l’ONDAM s’apprécie entre deux lois de financement de la sécurité sociale consécutives, à périmètre (ou champ) constant. En effet, le périmètre de l’ONDAM peut être amené à évoluer d’une année sur l’autre, des dépenses ou recettes étant nouvellement intégrées dans le champ de l’objectif, d’autres à l’inverse en étant sorties. Pour apprécier la dynamique réelle de la dépense au sein de l’ONDAM sur un champ identique (champ constant) entre deux exercices, l’ONDAM doit en conséquence être retraité de ces modifications de périmètre, selon les règles décrites ci‑après. Les mouvements constituant une simple réimputation entre les sous‑objectifs de l’ONDAM, les mouvements d’intégration ou de sortie du périmètre de l’ONDAM de dépenses demeurant financées par les régimes d’assurance maladie, maternité, invalidité et décès ou les mouvements qui traduisent une évolution entre le champ des dépenses de ces régimes d’assurance et celui d’autres entités (par exemple, l’État) équilibrée par un mouvement similaire en recettes ne doivent pas être comptabilisés dans ce calcul. Ces mouvements sont appelés mesures de transfert quand ils ont lieu entre sous‑objectifs ou mesures de périmètre quand ils ont lieu entre le périmètre de l’ONDAM et une autre entité (qui peut être la sécurité sociale). Leur prise en compte permet de passer du champ constant au champ courant, sur lequel est présenté l’ONDAM de l’année, mais ils sont sans influence sur l’appréciation de la dynamique de ces dépenses.

La réalité de la dynamique de la dépense au sein de l’ONDAM s’apprécie entre deux lois de financement de la sécurité sociale consécutives, à périmètre (ou champ) constant. En effet, le périmètre de l’ONDAM peut être amené à évoluer d’une année sur l’autre, des dépenses ou recettes étant nouvellement intégrées dans le champ de l’objectif, d’autres à l’inverse en étant sorties. Pour apprécier la dynamique réelle de la dépense au sein de l’ONDAM sur un champ identique (champ constant) entre deux exercices, l’ONDAM doit en conséquence être retraité de ces modifications de périmètre, selon les règles décrites ci‑après. Les mouvements constituant une simple réimputation entre les sous‑objectifs de l’ONDAM, les mouvements d’intégration ou de sortie du périmètre de l’ONDAM de dépenses demeurant financées par les régimes d’assurance maladie, maternité, invalidité et décès ou les mouvements qui traduisent une évolution entre le champ des dépenses de ces régimes d’assurance et celui d’autres entités (par exemple, l’État) équilibrée par un mouvement similaire en recettes ne doivent pas être comptabilisés dans ce calcul. Ces mouvements sont appelés mesures de transfert quand ils ont lieu entre sous‑objectifs ou mesures de périmètre quand ils ont lieu entre le périmètre de l’ONDAM et une autre entité (qui peut être la sécurité sociale). Leur prise en compte permet de passer du champ constant au champ courant, sur lequel est présenté l’ONDAM de l’année, mais ils sont sans influence sur l’appréciation de la dynamique de ces dépenses.

2. La charte relative à la détermination de l’évolution de l’Ondam



II. – La charte relative à la détermination de l’évolution de l’ONDAM




II. – La charte relative à la détermination de l’évolution de l’ONDAM

II. – La charte relative à la détermination de l’évolution de l’ONDAM

L’ensemble des règles qui suivent constituent la charte relative à la détermination de l’évolution de l’Ondam, qui permet, en précisant les modalités de prise en compte des modifications de champ dans le calcul de la norme, de déterminer l’évolution de la dépense au sein de l’Ondam à champ constant.



(Alinéa sans modification)




L’ensemble des règles qui suivent constituent la charte relative à la détermination de l’évolution de l’ONDAM, qui permet, en précisant les modalités de prise en compte des modifications de champ dans le calcul de la norme, de déterminer l’évolution de la dépense au sein de l’ONDAM à champ constant.

L’ensemble des règles qui suivent constituent la charte relative à la détermination de l’évolution de l’ONDAM, qui permet, en précisant les modalités de prise en compte des modifications de champ dans le calcul de la norme, de déterminer l’évolution de la dépense au sein de l’ONDAM à champ constant.

i) Les mesures de périmètre, qui intègrent au sein de l’Ondam, ou à l’inverse sortent de son champ, des dépenses, qui n’ont pas à être prises en compte dans le calcul du taux d’évolution de l’Ondam à champ constant, recouvrent les situations dans lesquelles :



1. Les mesures de périmètre, qui intègrent au sein de l’ONDAM, ou à l’inverse sortent de son champ, des dépenses, qui n’ont pas à être prises en compte dans le calcul du taux d’évolution de l’ONDAM à champ constant, recouvrent les situations dans lesquelles :




1. Les mesures de périmètre, qui intègrent au sein de l’ONDAM, ou à l’inverse sortent de son champ, des dépenses, qui n’ont pas à être prises en compte dans le calcul du taux d’évolution de l’ONDAM à champ constant, recouvrent les situations dans lesquelles :

1. Les mesures de périmètre, qui intègrent au sein de l’ONDAM, ou à l’inverse sortent de son champ, des dépenses, qui n’ont pas à être prises en compte dans le calcul du taux d’évolution de l’ONDAM à champ constant, recouvrent les situations dans lesquelles :

– la sécurité sociale transfère à une autre entité une dépense qu’elle assumait auparavant au sein de l’Ondam, en transférant parallèlement des recettes d’un même montant permettant de la financer ;



(Alinéa sans modification)




– la sécurité sociale transfère à une autre entité une dépense qu’elle assumait auparavant au sein de l’ONDAM, en transférant parallèlement des recettes d’un même montant permettant de la financer ;

– la sécurité sociale transfère à une autre entité une dépense qu’elle assumait auparavant au sein de l’ONDAM, en transférant parallèlement des recettes d’un même montant permettant de la financer ;

– la sécurité sociale prend en charge au sein de l’Ondam une dépense auparavant financée par une autre entité et reçoit des recettes d’un même montant permettant de la financer ;



(Alinéa sans modification)




– la sécurité sociale prend en charge au sein de l’ONDAM une dépense auparavant financée par une autre entité et reçoit des recettes d’un même montant permettant de la financer ;

– la sécurité sociale prend en charge au sein de l’ONDAM une dépense auparavant financée par une autre entité et reçoit des recettes d’un même montant permettant de la financer ;

– est intégrée dans le périmètre de l’Ondam, ou à l’inverse sortie de son champ, une dépense déjà prise en charge par la sécurité sociale dès lors que cette opération n’a pas d’impact sur son solde ;



(Alinéa sans modification)




– est intégrée dans le périmètre de l’ONDAM, ou à l’inverse sortie de son champ, une dépense déjà prise en charge par la sécurité sociale dès lors que cette opération n’a pas d’impact sur son solde ;

– est intégrée dans le périmètre de l’ONDAM, ou à l’inverse sortie de son champ, une dépense déjà prise en charge par la sécurité sociale dès lors que cette opération n’a pas d’impact sur son solde ;

– est intégrée dans le périmètre de l’Ondam une nouvelle dépense de la sécurité sociale qui reçoit en contrepartie une recette nouvelle d’un même montant.



(Alinéa sans modification)




– est intégrée dans le périmètre de l’ONDAM une nouvelle dépense de la sécurité sociale qui reçoit en contrepartie une recette nouvelle d’un même montant.

– est intégrée dans le périmètre de l’ONDAM une nouvelle dépense de la sécurité sociale qui reçoit en contrepartie une recette nouvelle d’un même montant.

Les deux premiers cas de figure correspondent essentiellement à des transferts de dépenses entre l’État et la sécurité sociale, compensés par des transferts de recettes équivalents, visant à rationaliser les financements compte tenu de la nature des dépenses. L’élargissement du champ de l’Ondam pour y intégrer des dépenses d’assurance maladie que l’on souhaite soumettre à la norme illustre le troisième cas de figure. Enfin le quatrième cas de figure comprend la création de prestations financées par un prélèvement entièrement nouveau (et non un transfert).



(Alinéa sans modification)




Les deux premiers cas de figure correspondent essentiellement à des transferts de dépenses entre l’État et la sécurité sociale, compensés par des transferts de recettes équivalents, visant à rationaliser les financements compte tenu de la nature des dépenses. L’élargissement du champ de l’ONDAM pour y intégrer des dépenses d’assurance maladie que l’on souhaite soumettre à la norme illustre le troisième cas de figure. Enfin le quatrième cas de figure comprend la création de prestations financées par un prélèvement entièrement nouveau (et non un transfert).

Les deux premiers cas de figure correspondent essentiellement à des transferts de dépenses entre l’État et la sécurité sociale, compensés par des transferts de recettes équivalents, visant à rationaliser les financements compte tenu de la nature des dépenses. L’élargissement du champ de l’ONDAM pour y intégrer des dépenses d’assurance maladie que l’on souhaite soumettre à la norme illustre le troisième cas de figure. Enfin le quatrième cas de figure comprend la création de prestations financées par un prélèvement entièrement nouveau (et non un transfert).



Ces opérations sont intégralement neutralisées dans le calcul de l’évolution de l’Ondam à périmètre constant. Dans le cas où le montant de la dépense diffère de celui de la recette perçue ou transférée en contrepartie, la différence est prise en compte dans l’Ondam en tant qu’économie dans le cas d’une diminution des dépenses nettes de la sécurité sociale (recette perçue supérieure à la dépense intégrée à l’Ondam, ou recette rendue inférieure à la dépense transférée à une autre entité) ou en tant que dépense supplémentaire dans le cas d’une augmentation.



(Alinéa sans modification)




Ces opérations sont intégralement neutralisées dans le calcul de l’évolution de l’ONDAM à périmètre constant. Dans le cas où le montant de la dépense diffère de celui de la recette perçue ou transférée en contrepartie, la différence est prise en compte dans l’ONDAM en tant qu’économie dans le cas d’une diminution des dépenses nettes de la sécurité sociale (recette perçue supérieure à la dépense intégrée à l’ONDAM, ou recette rendue inférieure à la dépense transférée à une autre entité) ou en tant que dépense supplémentaire dans le cas d’une augmentation.

Ces opérations sont intégralement neutralisées dans le calcul de l’évolution de l’ONDAM à périmètre constant. Dans le cas où le montant de la dépense diffère de celui de la recette perçue ou transférée en contrepartie, la différence est prise en compte dans l’ONDAM en tant qu’économie dans le cas d’une diminution des dépenses nettes de la sécurité sociale (recette perçue supérieure à la dépense intégrée à l’ONDAM, ou recette rendue inférieure à la dépense transférée à une autre entité) ou en tant que dépense supplémentaire dans le cas d’une augmentation.



ii) Les mesures de transfert, parce qu’elles concernent des réimputations de dépense entre sous‑objectifs de l’ONDAM, n’ont pas d’impact sur le niveau de celle‑ci. Les mouvements de transferts les plus fréquents concernent les opérations de fongibilité entre les crédits hospitaliers et médico‑sociaux.



2. Les mesures de transfert, parce qu’elles concernent des réimputations de dépense entre sous‑objectifs de l’ONDAM, n’ont pas d’impact sur le niveau de celle‑ci. Les mouvements de transferts les plus fréquents concernent les opérations de fongibilité entre les crédits hospitaliers et les crédits médico‑sociaux.




2. Les mesures de transfert, parce qu’elles concernent des réimputations de dépense entre sous‑objectifs de l’ONDAM, n’ont pas d’impact sur le niveau de celle‑ci. Les mouvements de transferts les plus fréquents concernent les opérations de fongibilité entre les crédits hospitaliers et les crédits médico‑sociaux.

2. Les mesures de transfert, parce qu’elles concernent des réimputations de dépense entre sous‑objectifs de l’ONDAM, n’ont pas d’impact sur le niveau de celle‑ci. Les mouvements de transferts les plus fréquents concernent les opérations de fongibilité entre les crédits hospitaliers et les crédits médico‑sociaux.



iii) Dès lors que l’évolution de l’ONDAM est présentée en PLFSS, les éventuelles mesures d’annulation de crédits décidées au sein des enveloppes fermées listées ci‑après et intervenant en fin de gestion [postérieurement au vote de la loi de financement de la sécurité sociale] ne sont pas prises en compte dans le calcul du taux d’évolution des dépenses de l’ONDAM dans la limite du montant de la sous‑consommation de l’ONDAM constatée, le cas échéant.



3. Dès lors que l’évolution de l’ONDAM est présentée en projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS), les éventuelles mesures d’annulation de crédits décidées au sein des enveloppes fermées listées ci‑après et intervenant en fin de gestion (après le vote de la loi de financement de la sécurité sociale) ne sont pas prises en compte dans le calcul du taux d’évolution des dépenses de l’ONDAM, dans la limite du montant de la sous‑consommation de l’ONDAM constatée, le cas échéant.




3. Dès lors que l’évolution de l’ONDAM est présentée en projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS), les éventuelles mesures d’annulation de crédits décidées au sein des enveloppes fermées listées ci‑après et intervenant en fin de gestion (après le vote de la loi de financement de la sécurité sociale) ne sont pas prises en compte dans le calcul du taux d’évolution des dépenses de l’ONDAM, dans la limite du montant de la sous‑consommation de l’ONDAM constatée, le cas échéant.

3. Dès lors que l’évolution de l’ONDAM est présentée en projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS), les éventuelles mesures d’annulation de crédits décidées au sein des enveloppes fermées listées ci‑après et intervenant en fin de gestion (après le vote de la loi de financement de la sécurité sociale) ne sont pas prises en compte dans le calcul du taux d’évolution des dépenses de l’ONDAM, dans la limite du montant de la sous‑consommation de l’ONDAM constatée, le cas échéant.



Les crédits concernés portent sur les missions d’intérêt général, les aides à la contractualisation, la dotation annuelle de financement, les mises en réserve au titre du coefficient prudentiel et la dotation au fonds d’intervention régional.



(Alinéa sans modification)




Les crédits concernés portent sur les missions d’intérêt général, les aides à la contractualisation, la dotation annuelle de financement, les mises en réserve au titre du coefficient prudentiel et la dotation au fonds d’intervention régional.

Les crédits concernés portent sur les missions d’intérêt général, les aides à la contractualisation, la dotation annuelle de financement, les mises en réserve au titre du coefficient prudentiel et la dotation au fonds d’intervention régional.



Annexe 6

Annexe 6

(Non modifié)

Annexe 6

Annexe 6
Table de passage entre les dispositions de la loi organique relative aux lois de finances et le présent rapport annexé

Annexe 6
Table de passage entre les dispositions de la loi organique relative aux lois de finances et le présent rapport annexé

Annexe 6
Table de passage entre les dispositions de la loi organique relative aux lois de finances et le présent rapport annexé

Annexe 6
Table de passage entre les dispositions de la loi organique relative aux lois de finances et le présent rapport annexé

Annexe 6
Table de passage entre les dispositions de la loi organique relative aux lois de finances et le présent rapport annexé

Annexe 6
Table de passage entre les dispositions de la loi organique relative aux lois de finances et le présent rapport annexé


LOI ORGANIQUE
relative aux lois de finances
PARTIES
correspondantes du rapport annexé
1° Les hypothèses et les méthodes retenues pour établir la programmationEnsemble du rapport, notamment la partie I
2° Une présentation, pour l’ensemble de la période de la programmation, des principales dépenses des administrations publiques considérées comme des dépenses d’investissement au sens du dernier alinéa de l’article 1er A, compte tenu de leur contribution à la croissance potentielle du produit intérieur brut, à la transformation structurelle du pays et à son développement social et environnemental à long terme. Cette présentation retrace notamment leur nature, leur montant et leurs effets attendus ;Partie II.F. : Les dépenses d’investissement des administrations publiques.
3° Pour chacun des exercices de la période de la programmation, les perspectives de recettes, de dépenses, de solde et d’endettement des administrations publiques et de chacun de leurs sous-secteurs, exprimées en valeur et selon les conventions de la comptabilité nationale ;Parties II et III : la trajectoire de finances publiques et analyse par sous-secteur
4° Pour chacun des exercices de la période de la programmation, une évaluation minimaliste, moyenne et maximaliste de l’évolution des taux d’intérêt et de son impact sur les comptes de l’État ;Partie II.D Encadré
5° Pour chacun des exercices de la période de la programmation, l’estimation des dépenses d’assurance vieillesse et des dépenses d’allocations familiales ;Parties III.C : Dépenses d’assurance vieillesse et allocations familiales
6° Pour chacun des exercices de la période de la programmation, les perspectives de recettes, de dépenses et de solde des régimes complémentaires de retraite et de l’assurance chômage, exprimées selon les conventions de la comptabilité nationale ;Partie III C : Dépenses, recettes et solde des régimes complémentaires de retraite et de l’assurance chômage
7° Les mesures de nature à garantir le respect de la programmation ;Parties II et III : la trajectoire de finances publiques et analyse par sous-secteur
8° Toute autre information utile au contrôle du respect des plafonds et objectifs mentionnés aux 2° et 3° de l’article 1er B, notamment les principes permettant de comparer les montants que la loi de programmation des finances publiques prévoit avec les montants figurant dans les lois de finances de l’année et les lois de financement de la sécurité sociale de l’année ;Partie III (la trajectoire des finances publiques par sous-secteur)
9° Les projections de finances publiques à politiques inchangées, au sens de la directive 2011/85/ UE du Conseil du 8 novembre 2011 sur les exigences applicables aux cadres budgétaires des États membres, et la description des politiques envisagées pour réaliser l’objectif à moyen terme au regard de ces projections ;Partie III E (Trajectoire des finances publiques à politique et législation inchangées)
10° Le montant et la date d’échéance des engagements financiers significatifs de l’État en cours n’ayant pas d’implication immédiate sur le solde structurel ;Partie II D Tableau « Mesures exceptionnelles et temporaires »
11° Les modalités de calcul de l’effort structurel mentionné à l’article 1er A de la présente loi organique, la répartition de cet effort entre chacun des sous-secteurs des administrations publiques et les éléments permettant d’établir la correspondance entre la notion d’effort structurel et celle de solde structurel ;Annexes 2 (Mode de calcul du solde structurel), Annexe 3 et Partie II D (Effort structurel par sous-secteur des administrations publiques.)
12° Les hypothèses de produit intérieur brut et de produit intérieur brut potentiel retenues pour la programmation des finances publiques. Le rapport présente et justifie les différences éventuelles par rapport aux estimations de la Commission européenne ;Partie I
13° Les hypothèses ayant permis l’estimation des effets de la conjoncture sur les dépenses et les recettes publiques, notamment les hypothèses d’élasticité à la conjoncture des différentes catégories de prélèvements obligatoires et des dépenses d’indemnisation du chômage. Le rapport présente et justifie les différences éventuelles par rapport aux estimations de la Commission européenne ;Annexe 2
14° Les modalités de calcul du solde structurel annuel mentionné à l’article 1er A.Annexe 2 et 3
Ce rapport présente également la situation de la France, par rapport aux États membres de l’Union européenne, au regard des objectifs stratégiques européens.Partie II. A Encadré « Comparaison avec les autres États membres de l’Union européenne »


LOI ORGANIQUE
relative aux lois de finances
PARTIES
correspondantes du rapport annexé
1° Les hypothèses et les méthodes retenues pour établir la programmationEnsemble du rapport, notamment la partie I
2° Une présentation, pour l’ensemble de la période de la programmation, des principales dépenses des administrations publiques considérées comme des dépenses d’investissement au sens du dernier alinéa de l’article 1er A, compte tenu de leur contribution à la croissance potentielle du produit intérieur brut, à la transformation structurelle du pays et à son développement social et environnemental à long terme. Cette présentation retrace notamment leur nature, leur montant et leurs effets attendus ;Partie II.F. : Les dépenses d’investissement des administrations publiques.
3° Pour chacun des exercices de la période de la programmation, les perspectives de recettes, de dépenses, de solde et d’endettement des administrations publiques et de chacun de leurs sous-secteurs, exprimées en valeur et selon les conventions de la comptabilité nationale ;Parties II et III : la trajectoire de finances publiques et analyse par sous-secteur
4° Pour chacun des exercices de la période de la programmation, une évaluation minimaliste, moyenne et maximaliste de l’évolution des taux d’intérêt et de son impact sur les comptes de l’État ;Partie II.D Encadré
5° Pour chacun des exercices de la période de la programmation, l’estimation des dépenses d’assurance vieillesse et des dépenses d’allocations familiales ;Parties III.C : Dépenses d’assurance vieillesse et allocations familiales
6° Pour chacun des exercices de la période de la programmation, les perspectives de recettes, de dépenses et de solde des régimes complémentaires de retraite et de l’assurance chômage, exprimées selon les conventions de la comptabilité nationale ;Partie III C : Dépenses, recettes et solde des régimes complémentaires de retraite et de l’assurance chômage
7° Les mesures de nature à garantir le respect de la programmation ;Parties II et III : la trajectoire de finances publiques et analyse par sous-secteur
8° Toute autre information utile au contrôle du respect des plafonds et objectifs mentionnés aux 2° et 3° de l’article 1er B, notamment les principes permettant de comparer les montants que la loi de programmation des finances publiques prévoit avec les montants figurant dans les lois de finances de l’année et les lois de financement de la sécurité sociale de l’année ;Partie III (la trajectoire des finances publiques par sous-secteur)
9° Les projections de finances publiques à politiques inchangées, au sens de la directive 2011/85/ UE du Conseil du 8 novembre 2011 sur les exigences applicables aux cadres budgétaires des États membres, et la description des politiques envisagées pour réaliser l’objectif à moyen terme au regard de ces projections ;Partie III E (Trajectoire des finances publiques à politique et législation inchangées)
10° Le montant et la date d’échéance des engagements financiers significatifs de l’État en cours n’ayant pas d’implication immédiate sur le solde structurel ;Partie II D Tableau « Mesures exceptionnelles et temporaires »
11° Les modalités de calcul de l’effort structurel mentionné à l’article 1er A de la présente loi organique, la répartition de cet effort entre chacun des sous-secteurs des administrations publiques et les éléments permettant d’établir la correspondance entre la notion d’effort structurel et celle de solde structurel ;Annexes 2 (Mode de calcul du solde structurel), Annexe 3 et Partie II D (Effort structurel par sous-secteur des administrations publiques.)
12° Les hypothèses de produit intérieur brut et de produit intérieur brut potentiel retenues pour la programmation des finances publiques. Le rapport présente et justifie les différences éventuelles par rapport aux estimations de la Commission européenne ;Partie I
13° Les hypothèses ayant permis l’estimation des effets de la conjoncture sur les dépenses et les recettes publiques, notamment les hypothèses d’élasticité à la conjoncture des différentes catégories de prélèvements obligatoires et des dépenses d’indemnisation du chômage. Le rapport présente et justifie les différences éventuelles par rapport aux estimations de la Commission européenne ;Annexe 2
14° Les modalités de calcul du solde structurel annuel mentionné à l’article 1er A.Annexe 2 et 3
Ce rapport présente également la situation de la France, par rapport aux États membres de l’Union européenne, au regard des objectifs stratégiques européens.Partie II. A Encadré « Comparaison avec les autres États membres de l’Union européenne »


LOI ORGANIQUE
relative aux lois de finances
PARTIES
correspondantes du rapport annexé
1° Les hypothèses et les méthodes retenues pour établir la programmationEnsemble du rapport, notamment la partie I
2° Une présentation, pour l’ensemble de la période de la programmation, des principales dépenses des administrations publiques considérées comme des dépenses d’investissement au sens du dernier alinéa de l’article 1er A, compte tenu de leur contribution à la croissance potentielle du produit intérieur brut, à la transformation structurelle du pays et à son développement social et environnemental à long terme. Cette présentation retrace notamment leur nature, leur montant et leurs effets attendus ;Partie II.F. : Les dépenses d’investissement des administrations publiques.
3° Pour chacun des exercices de la période de la programmation, les perspectives de recettes, de dépenses, de solde et d’endettement des administrations publiques et de chacun de leurs sous-secteurs, exprimées en valeur et selon les conventions de la comptabilité nationale ;Parties II et III : la trajectoire de finances publiques et analyse par sous-secteur
4° Pour chacun des exercices de la période de la programmation, une évaluation minimaliste, moyenne et maximaliste de l’évolution des taux d’intérêt et de son impact sur les comptes de l’État ;Partie II.D Encadré
5° Pour chacun des exercices de la période de la programmation, l’estimation des dépenses d’assurance vieillesse et des dépenses d’allocations familiales ;Parties III.C : Dépenses d’assurance vieillesse et allocations familiales
6° Pour chacun des exercices de la période de la programmation, les perspectives de recettes, de dépenses et de solde des régimes complémentaires de retraite et de l’assurance chômage, exprimées selon les conventions de la comptabilité nationale ;Partie III C : Dépenses, recettes et solde des régimes complémentaires de retraite et de l’assurance chômage
7° Les mesures de nature à garantir le respect de la programmation ;Parties II et III : la trajectoire de finances publiques et analyse par sous-secteur
8° Toute autre information utile au contrôle du respect des plafonds et objectifs mentionnés aux 2° et 3° de l’article 1er B, notamment les principes permettant de comparer les montants que la loi de programmation des finances publiques prévoit avec les montants figurant dans les lois de finances de l’année et les lois de financement de la sécurité sociale de l’année ;Partie III (la trajectoire des finances publiques par sous-secteur)
9° Les projections de finances publiques à politiques inchangées, au sens de la directive 2011/85/ UE du Conseil du 8 novembre 2011 sur les exigences applicables aux cadres budgétaires des États membres, et la description des politiques envisagées pour réaliser l’objectif à moyen terme au regard de ces projections ;Partie III E (Trajectoire des finances publiques à politique et législation inchangées)
10° Le montant et la date d’échéance des engagements financiers significatifs de l’État en cours n’ayant pas d’implication immédiate sur le solde structurel ;Partie II D Tableau « Mesures exceptionnelles et temporaires »
11° Les modalités de calcul de l’effort structurel mentionné à l’article 1er A de la présente loi organique, la répartition de cet effort entre chacun des sous-secteurs des administrations publiques et les éléments permettant d’établir la correspondance entre la notion d’effort structurel et celle de solde structurel ;Annexes 2 (Mode de calcul du solde structurel), Annexe 3 et Partie II D (Effort structurel par sous-secteur des administrations publiques.)
12° Les hypothèses de produit intérieur brut et de produit intérieur brut potentiel retenues pour la programmation des finances publiques. Le rapport présente et justifie les différences éventuelles par rapport aux estimations de la Commission européenne ;Partie I
13° Les hypothèses ayant permis l’estimation des effets de la conjoncture sur les dépenses et les recettes publiques, notamment les hypothèses d’élasticité à la conjoncture des différentes catégories de prélèvements obligatoires et des dépenses d’indemnisation du chômage. Le rapport présente et justifie les différences éventuelles par rapport aux estimations de la Commission européenne ;Annexe 2
14° Les modalités de calcul du solde structurel annuel mentionné à l’article 1er A.Annexe 2 et 3
Ce rapport présente également la situation de la France, par rapport aux États membres de l’Union européenne, au regard des objectifs stratégiques européens.Partie II. A Encadré « Comparaison avec les autres États membres de l’Union européenne »


Loi organique
relative aux lois de finances
Parties
correspondantes du rapport annexé
1° Les hypothèses et les méthodes retenues pour établir la programmationEnsemble du rapport, notamment la partie I
2° Une présentation, pour l’ensemble de la période de la programmation, des principales dépenses des administrations publiques considérées comme des dépenses d’investissement au sens du dernier alinéa de l’article 1er A, compte tenu de leur contribution à la croissance potentielle du produit intérieur brut, à la transformation structurelle du pays et à son développement social et environnemental à long terme. Cette présentation retrace notamment leur nature, leur montant et leurs effets attendus ;Partie II F : Les dépenses d’investissement des administrations publiques.
3° Pour chacun des exercices de la période de la programmation, les perspectives de recettes, de dépenses, de solde et d’endettement des administrations publiques et de chacun de leurs sous-secteurs, exprimées en valeur et selon les conventions de la comptabilité nationale ;Parties II et III : La trajectoire de finances publiques et analyse par sous-secteur
4° Pour chacun des exercices de la période de la programmation, une évaluation minimaliste, moyenne et maximaliste de l’évolution des taux d’intérêt et de son impact sur les comptes de l’État ;Partie II D : Huit derniers alinéas
5° Pour chacun des exercices de la période de la programmation, l’estimation des dépenses d’assurance vieillesse et des dépenses d’allocations familiales ;Parties III C : Dépenses d’assurance vieillesse et allocations familiales
6° Pour chacun des exercices de la période de la programmation, les perspectives de recettes, de dépenses et de solde des régimes complémentaires de retraite et de l’assurance chômage, exprimées selon les conventions de la comptabilité nationale ;Partie III C : Dépenses, recettes et solde des régimes complémentaires de retraite et de l’assurance chômage
7° Les mesures de nature à garantir le respect de la programmation ;Parties II et III : La trajectoire de finances publiques et analyse par sous-secteur
8° Toute autre information utile au contrôle du respect des plafonds et objectifs mentionnés aux 2° et 3° de l’article 1er B, notamment les principes permettant de comparer les montants que la loi de programmation des finances publiques prévoit avec les montants figurant dans les lois de finances de l’année et les lois de financement de la sécurité sociale de l’année ;Partie III : La trajectoire des finances publiques par sous-secteur
9° Les projections de finances publiques à politiques inchangées, au sens de la directive 2011/85/ UE du Conseil du 8 novembre 2011 sur les exigences applicables aux cadres budgétaires des États membres, et la description des politiques envisagées pour réaliser l’objectif à moyen terme au regard de ces projections ;Partie III E : Trajectoire des finances publiques à politique et législation inchangées
10° Le montant et la date d’échéance des engagements financiers significatifs de l’État en cours n’ayant pas d’implication immédiate sur le solde structurel ;Partie II D : Tableau « Mesures exceptionnelles et temporaires »
11° Les modalités de calcul de l’effort structurel mentionné à l’article 1er A de la présente loi organique, la répartition de cet effort entre chacun des sous-secteurs des administrations publiques et les éléments permettant d’établir la correspondance entre la notion d’effort structurel et celle de solde structurel ;Annexe 2 (Mode de calcul du solde structurel), annexe 3 et partie II D (Effort structurel par sous-secteur des administrations publiques)
12° Les hypothèses de produit intérieur brut et de produit intérieur brut potentiel retenues pour la programmation des finances publiques. Le rapport présente et justifie les différences éventuelles par rapport aux estimations de la Commission européenne ;Partie I
13° Les hypothèses ayant permis l’estimation des effets de la conjoncture sur les dépenses et les recettes publiques, notamment les hypothèses d’élasticité à la conjoncture des différentes catégories de prélèvements obligatoires et des dépenses d’indemnisation du chômage. Le rapport présente et justifie les différences éventuelles par rapport aux estimations de la Commission européenne ;Annexe 2
14° Les modalités de calcul du solde structurel annuel mentionné à l’article 1er A.Annexes 2 et 3
Ce rapport présente également la situation de la France, par rapport aux États membres de l’Union européenne, au regard des objectifs stratégiques européens.Partie II A, deux derniers alinéas : “Comparaison avec les autres États membres de l’Union européenne”

Amdt  CF178 rect.


Loi organique
relative aux lois de finances
Parties correspondantes
du rapport annexé
1° Les hypothèses et les méthodes retenues pour établir la programmationEnsemble du rapport, notamment la partie I
2° Une présentation, pour l’ensemble de la période de la programmation, des principales dépenses des administrations publiques considérées comme des dépenses d’investissement au sens du dernier alinéa de l’article 1er A, compte tenu de leur contribution à la croissance potentielle du produit intérieur brut, à la transformation structurelle du pays et à son développement social et environnemental à long terme. Cette présentation retrace notamment leur nature, leur montant et leurs effets attendus ;Partie II F : Les dépenses d’investissement des administrations publiques
3° Pour chacun des exercices de la période de la programmation, les perspectives de recettes, de dépenses, de solde et d’endettement des administrations publiques et de chacun de leurs sous-secteurs, exprimées en valeur et selon les conventions de la comptabilité nationale ;Parties II et III : La trajectoire de finances publiques et analyse par sous-secteur
4° Pour chacun des exercices de la période de la programmation, une évaluation minimaliste, moyenne et maximaliste de l’évolution des taux d’intérêt et de son impact sur les comptes de l’État ;Partie II D : Huit derniers alinéas du 2
5° Pour chacun des exercices de la période de la programmation, l’estimation des dépenses d’assurance vieillesse et des dépenses d’allocations familiales ;Parties III C : Dépenses d’assurance vieillesse et allocations familiales
6° Pour chacun des exercices de la période de la programmation, les perspectives de recettes, de dépenses et de solde des régimes complémentaires de retraite et de l’assurance chômage, exprimées selon les conventions de la comptabilité nationale ;Partie III C : Dépenses, recettes et solde des régimes complémentaires de retraite et de l’assurance chômage
7° Les mesures de nature à garantir le respect de la programmation ;Parties II et III : La trajectoire de finances publiques et analyse par sous-secteur
8° Toute autre information utile au contrôle du respect des plafonds et objectifs mentionnés aux 2° et 3° de l’article 1er B, notamment les principes permettant de comparer les montants que la loi de programmation des finances publiques prévoit avec les montants figurant dans les lois de finances de l’année et les lois de financement de la sécurité sociale de l’année ;Partie III : La trajectoire des finances publiques par sous-secteur
9° Les projections de finances publiques à politiques inchangées, au sens de la directive 2011/85/ UE du Conseil du 8 novembre 2011 sur les exigences applicables aux cadres budgétaires des États membres, et la description des politiques envisagées pour réaliser l’objectif à moyen terme au regard de ces projections ;Partie III E : Trajectoire des finances publiques à politique et législation inchangées
10° Le montant et la date d’échéance des engagements financiers significatifs de l’État en cours n’ayant pas d’implication immédiate sur le solde structurel ;Partie II D : Tableau “Mesures exceptionnelles et temporaires”
11° Les modalités de calcul de l’effort structurel mentionné à l’article 1er A de la loi organique, la répartition de cet effort entre chacun des sous-secteurs des administrations publiques et les éléments permettant d’établir la correspondance entre la notion d’effort structurel et celle de solde structurel ;Annexe 2 (Mode de calcul du solde structurel), annexe 3 et partie II D (Effort structurel par sous-secteur des administrations publiques)
12° Les hypothèses de produit intérieur brut et de produit intérieur brut potentiel retenues pour la programmation des finances publiques. Le rapport présente et justifie les différences éventuelles par rapport aux estimations de la Commission européenne ;Partie I
13° Les hypothèses ayant permis l’estimation des effets de la conjoncture sur les dépenses et les recettes publiques, notamment les hypothèses d’élasticité à la conjoncture des différentes catégories de prélèvements obligatoires et des dépenses d’indemnisation du chômage. Le rapport présente et justifie les différences éventuelles par rapport aux estimations de la Commission européenne ;Annexe 2
14° Les modalités de calcul du solde structurel annuel mentionné à l’article 1er A.Annexes 2 et 3
Ce rapport présente également la situation de la France, par rapport aux États membres de l’Union européenne, au regard des objectifs stratégiques européens.Partie II A : deux derniers alinéas (“Comparaison avec les autres États membres de l’Union européenne”)


Loi organique relative aux lois de financesParties correspondantes du rapport annexé
1° Les hypothèses et les méthodes retenues pour établir la programmationEnsemble du rapport, notamment la partie I
2° Une présentation, pour l’ensemble de la période de la programmation, des principales dépenses des administrations publiques considérées comme des dépenses d’investissement au sens du dernier alinéa de l’article 1er A, compte tenu de leur contribution à la croissance potentielle du produit intérieur brut, à la transformation structurelle du pays et à son développement social et environnemental à long terme. Cette présentation retrace notamment leur nature, leur montant et leurs effets attendus ;Partie II F : Les dépenses d’investissement des administrations publiques
3° Pour chacun des exercices de la période de la programmation, les perspectives de recettes, de dépenses, de solde et d’endettement des administrations publiques et de chacun de leurs sous-secteurs, exprimées en valeur et selon les conventions de la comptabilité nationale ;Parties II et III : La trajectoire de finances publiques et analyse par sous-secteur
4° Pour chacun des exercices de la période de la programmation, une évaluation minimaliste, moyenne et maximaliste de l’évolution des taux d’intérêt et de son impact sur les comptes de l’État ;Partie II D : Huit derniers alinéas du 2
5° Pour chacun des exercices de la période de la programmation, l’estimation des dépenses d’assurance vieillesse et des dépenses d’allocations familiales ;Parties III C : Dépenses d’assurance vieillesse et allocations familiales
6° Pour chacun des exercices de la période de la programmation, les perspectives de recettes, de dépenses et de solde des régimes complémentaires de retraite et de l’assurance chômage, exprimées selon les conventions de la comptabilité nationale ;Partie III C : Dépenses, recettes et solde des régimes complémentaires de retraite et de l’assurance chômage
7° Les mesures de nature à garantir le respect de la programmation ;Parties II et III : La trajectoire de finances publiques et analyse par sous-secteur
8° Toute autre information utile au contrôle du respect des plafonds et objectifs mentionnés aux 2° et 3° de l’article 1er B, notamment les principes permettant de comparer les montants que la loi de programmation des finances publiques prévoit avec les montants figurant dans les lois de finances de l’année et les lois de financement de la sécurité sociale de l’année ;Partie III : La trajectoire des finances publiques par sous-secteur
9° Les projections de finances publiques à politiques inchangées, au sens de la directive 2011/85/ UE du Conseil du 8 novembre 2011 sur les exigences applicables aux cadres budgétaires des États membres, et la description des politiques envisagées pour réaliser l’objectif à moyen terme au regard de ces projections ;Partie III E : Trajectoire des finances publiques à politique et législation inchangées
10° Le montant et la date d’échéance des engagements financiers significatifs de l’État en cours n’ayant pas d’implication immédiate sur le solde structurel ;Partie II D : Tableau “Mesures exceptionnelles et temporaires”
11° Les modalités de calcul de l’effort structurel mentionné à l’article 1er A de la loi organique, la répartition de cet effort entre chacun des sous-secteurs des administrations publiques et les éléments permettant d’établir la correspondance entre la notion d’effort structurel et celle de solde structurel ;Annexe 2 (Mode de calcul du solde structurel), annexe 3 et partie II D (Effort structurel par sous-secteur des administrations publiques)
12° Les hypothèses de produit intérieur brut et de produit intérieur brut potentiel retenues pour la programmation des finances publiques. Le rapport présente et justifie les différences éventuelles par rapport aux estimations de la Commission européenne ;Partie I
13° Les hypothèses ayant permis l’estimation des effets de la conjoncture sur les dépenses et les recettes publiques, notamment les hypothèses d’élasticité à la conjoncture des différentes catégories de prélèvements obligatoires et des dépenses d’indemnisation du chômage. Le rapport présente et justifie les différences éventuelles par rapport aux estimations de la Commission européenne ;Annexe 2
14° Les modalités de calcul du solde structurel annuel mentionné à l’article 1er A.Annexes 2 et 3
Ce rapport présente également la situation de la France, par rapport aux États membres de l’Union européenne, au regard des objectifs stratégiques européens.Partie II A : deux derniers alinéas (“Comparaison avec les autres États membres de l’Union européenne”)


Loi organique
relative aux lois de finances
Parties correspondantes
du rapport annexé
1° Les hypothèses et les méthodes retenues pour établir la programmationEnsemble du rapport, notamment la partie I
2° Une présentation, pour l’ensemble de la période de la programmation, des principales dépenses des administrations publiques considérées comme des dépenses d’investissement au sens du dernier alinéa de l’article 1er A, compte tenu de leur contribution à la croissance potentielle du produit intérieur brut, à la transformation structurelle du pays et à son développement social et environnemental à long terme. Cette présentation retrace notamment leur nature, leur montant et leurs effets attendus ;Partie II F : Les dépenses d’investissement des administrations publiques
3° Pour chacun des exercices de la période de la programmation, les perspectives de recettes, de dépenses, de solde et d’endettement des administrations publiques et de chacun de leurs sous-secteurs, exprimées en valeur et selon les conventions de la comptabilité nationale ;Parties II et III : La trajectoire de finances publiques et analyse par sous-secteur
4° Pour chacun des exercices de la période de la programmation, une évaluation minimaliste, moyenne et maximaliste de l’évolution des taux d’intérêt et de son impact sur les comptes de l’État ;Partie II D : Huit derniers alinéas du 2
5° Pour chacun des exercices de la période de la programmation, l’estimation des dépenses d’assurance vieillesse et des dépenses d’allocations familiales ;Parties III C : Dépenses d’assurance vieillesse et allocations familiales
6° Pour chacun des exercices de la période de la programmation, les perspectives de recettes, de dépenses et de solde des régimes complémentaires de retraite et de l’assurance chômage, exprimées selon les conventions de la comptabilité nationale ;Partie III C : Dépenses, recettes et solde des régimes complémentaires de retraite et de l’assurance chômage
7° Les mesures de nature à garantir le respect de la programmation ;Parties II et III : La trajectoire de finances publiques et analyse par sous-secteur
8° Toute autre information utile au contrôle du respect des plafonds et objectifs mentionnés aux 2° et 3° de l’article 1er B, notamment les principes permettant de comparer les montants que la loi de programmation des finances publiques prévoit avec les montants figurant dans les lois de finances de l’année et les lois de financement de la sécurité sociale de l’année ;Partie III : La trajectoire des finances publiques par sous-secteur
9° Les projections de finances publiques à politiques inchangées, au sens de la directive 2011/85/ UE du Conseil du 8 novembre 2011 sur les exigences applicables aux cadres budgétaires des États membres, et la description des politiques envisagées pour réaliser l’objectif à moyen terme au regard de ces projections ;Partie III E : Trajectoire des finances publiques à politique et législation inchangées
10° Le montant et la date d’échéance des engagements financiers significatifs de l’État en cours n’ayant pas d’implication immédiate sur le solde structurel ;Partie II D : Tableau “Mesures exceptionnelles et temporaires”
11° Les modalités de calcul de l’effort structurel mentionné à l’article 1er A de la loi organique, la répartition de cet effort entre chacun des sous-secteurs des administrations publiques et les éléments permettant d’établir la correspondance entre la notion d’effort structurel et celle de solde structurel ;Annexe 2 (Mode de calcul du solde structurel), annexe 3 et partie II D (Effort structurel par sous-secteur des administrations publiques)
12° Les hypothèses de produit intérieur brut et de produit intérieur brut potentiel retenues pour la programmation des finances publiques. Le rapport présente et justifie les différences éventuelles par rapport aux estimations de la Commission européenne ;Partie I
13° Les hypothèses ayant permis l’estimation des effets de la conjoncture sur les dépenses et les recettes publiques, notamment les hypothèses d’élasticité à la conjoncture des différentes catégories de prélèvements obligatoires et des dépenses d’indemnisation du chômage. Le rapport présente et justifie les différences éventuelles par rapport aux estimations de la Commission européenne ;Annexe 2
14° Les modalités de calcul du solde structurel annuel mentionné à l’article 1er A.Annexes 2 et 3
Ce rapport présente également la situation de la France, par rapport aux États membres de l’Union européenne, au regard des objectifs stratégiques européens.Partie II A : deux derniers alinéas (“Comparaison avec les autres États membres de l’Union européenne”)


Loi organique
relative aux lois de finances
Parties correspondantes
du rapport annexé
1° Les hypothèses et les méthodes retenues pour établir la programmationEnsemble du rapport, notamment la partie I
2° Une présentation, pour l’ensemble de la période de la programmation, des principales dépenses des administrations publiques considérées comme des dépenses d’investissement au sens du dernier alinéa de l’article 1er A, compte tenu de leur contribution à la croissance potentielle du produit intérieur brut, à la transformation structurelle du pays et à son développement social et environnemental à long terme. Cette présentation retrace notamment leur nature, leur montant et leurs effets attendus ;Partie II F : Les dépenses d’investissement des administrations publiques
3° Pour chacun des exercices de la période de la programmation, les perspectives de recettes, de dépenses, de solde et d’endettement des administrations publiques et de chacun de leurs sous-secteurs, exprimées en valeur et selon les conventions de la comptabilité nationale ;Parties II et III : La trajectoire de finances publiques et analyse par sous-secteur
4° Pour chacun des exercices de la période de la programmation, une évaluation minimaliste, moyenne et maximaliste de l’évolution des taux d’intérêt et de son impact sur les comptes de l’État ;Partie II D : Huit derniers alinéas du 2
5° Pour chacun des exercices de la période de la programmation, l’estimation des dépenses d’assurance vieillesse et des dépenses d’allocations familiales ;Parties III C : Dépenses d’assurance vieillesse et allocations familiales
6° Pour chacun des exercices de la période de la programmation, les perspectives de recettes, de dépenses et de solde des régimes complémentaires de retraite et de l’assurance chômage, exprimées selon les conventions de la comptabilité nationale ;Partie III C : Dépenses, recettes et solde des régimes complémentaires de retraite et de l’assurance chômage
7° Les mesures de nature à garantir le respect de la programmation ;Parties II et III : La trajectoire de finances publiques et analyse par sous-secteur
8° Toute autre information utile au contrôle du respect des plafonds et objectifs mentionnés aux 2° et 3° de l’article 1er B, notamment les principes permettant de comparer les montants que la loi de programmation des finances publiques prévoit avec les montants figurant dans les lois de finances de l’année et les lois de financement de la sécurité sociale de l’année ;Partie III : La trajectoire des finances publiques par sous-secteur
9° Les projections de finances publiques à politiques inchangées, au sens de la directive 2011/85/ UE du Conseil du 8 novembre 2011 sur les exigences applicables aux cadres budgétaires des États membres, et la description des politiques envisagées pour réaliser l’objectif à moyen terme au regard de ces projections ;Partie III E : Trajectoire des finances publiques à politique et législation inchangées
10° Le montant et la date d’échéance des engagements financiers significatifs de l’État en cours n’ayant pas d’implication immédiate sur le solde structurel ;Partie II D : Tableau “Mesures exceptionnelles et temporaires”
11° Les modalités de calcul de l’effort structurel mentionné à l’article 1er A de la loi organique, la répartition de cet effort entre chacun des sous-secteurs des administrations publiques et les éléments permettant d’établir la correspondance entre la notion d’effort structurel et celle de solde structurel ;Annexe 2 (Mode de calcul du solde structurel), annexe 3 et partie II D (Effort structurel par sous-secteur des administrations publiques)
12° Les hypothèses de produit intérieur brut et de produit intérieur brut potentiel retenues pour la programmation des finances publiques. Le rapport présente et justifie les différences éventuelles par rapport aux estimations de la Commission européenne ;Partie I
13° Les hypothèses ayant permis l’estimation des effets de la conjoncture sur les dépenses et les recettes publiques, notamment les hypothèses d’élasticité à la conjoncture des différentes catégories de prélèvements obligatoires et des dépenses d’indemnisation du chômage. Le rapport présente et justifie les différences éventuelles par rapport aux estimations de la Commission européenne ;Annexe 2
14° Les modalités de calcul du solde structurel annuel mentionné à l’article 1er A.Annexes 2 et 3
Ce rapport présente également la situation de la France, par rapport aux États membres de l’Union européenne, au regard des objectifs stratégiques européens.Partie II A : deux derniers alinéas (“Comparaison avec les autres États membres de l’Union européenne”)


Loi organique
relative aux lois de finances
Parties correspondantes
du rapport annexé
1° Les hypothèses et les méthodes retenues pour établir la programmationEnsemble du rapport, notamment la partie I
2° Une présentation, pour l’ensemble de la période de la programmation, des principales dépenses des administrations publiques considérées comme des dépenses d’investissement au sens du dernier alinéa de l’article 1er A, compte tenu de leur contribution à la croissance potentielle du produit intérieur brut, à la transformation structurelle du pays et à son développement social et environnemental à long terme. Cette présentation retrace notamment leur nature, leur montant et leurs effets attendus ;Partie II F : Les dépenses d’investissement des administrations publiques
3° Pour chacun des exercices de la période de la programmation, les perspectives de recettes, de dépenses, de solde et d’endettement des administrations publiques et de chacun de leurs sous-secteurs, exprimées en valeur et selon les conventions de la comptabilité nationale ;Parties II et III : La trajectoire de finances publiques et analyse par sous-secteur
4° Pour chacun des exercices de la période de la programmation, une évaluation minimaliste, moyenne et maximaliste de l’évolution des taux d’intérêt et de son impact sur les comptes de l’État ;Partie II D : Huit derniers alinéas du 2
5° Pour chacun des exercices de la période de la programmation, l’estimation des dépenses d’assurance vieillesse et des dépenses d’allocations familiales ;Parties III C : Dépenses d’assurance vieillesse et allocations familiales
6° Pour chacun des exercices de la période de la programmation, les perspectives de recettes, de dépenses et de solde des régimes complémentaires de retraite et de l’assurance chômage, exprimées selon les conventions de la comptabilité nationale ;Partie III C : Dépenses, recettes et solde des régimes complémentaires de retraite et de l’assurance chômage
7° Les mesures de nature à garantir le respect de la programmation ;Parties II et III : La trajectoire de finances publiques et analyse par sous-secteur
8° Toute autre information utile au contrôle du respect des plafonds et objectifs mentionnés aux 2° et 3° de l’article 1er B, notamment les principes permettant de comparer les montants que la loi de programmation des finances publiques prévoit avec les montants figurant dans les lois de finances de l’année et les lois de financement de la sécurité sociale de l’année ;Partie III : La trajectoire des finances publiques par sous-secteur
9° Les projections de finances publiques à politiques inchangées, au sens de la directive 2011/85/ UE du Conseil du 8 novembre 2011 sur les exigences applicables aux cadres budgétaires des États membres, et la description des politiques envisagées pour réaliser l’objectif à moyen terme au regard de ces projections ;Partie III E : Trajectoire des finances publiques à politique et législation inchangées
10° Le montant et la date d’échéance des engagements financiers significatifs de l’État en cours n’ayant pas d’implication immédiate sur le solde structurel ;Partie II D : Tableau “Mesures exceptionnelles et temporaires”
11° Les modalités de calcul de l’effort structurel mentionné à l’article 1er A de la loi organique, la répartition de cet effort entre chacun des sous-secteurs des administrations publiques et les éléments permettant d’établir la correspondance entre la notion d’effort structurel et celle de solde structurel ;Annexe 2 (Mode de calcul du solde structurel), annexe 3 et partie II D (Effort structurel par sous-secteur des administrations publiques)
12° Les hypothèses de produit intérieur brut et de produit intérieur brut potentiel retenues pour la programmation des finances publiques. Le rapport présente et justifie les différences éventuelles par rapport aux estimations de la Commission européenne ;Partie I
13° Les hypothèses ayant permis l’estimation des effets de la conjoncture sur les dépenses et les recettes publiques, notamment les hypothèses d’élasticité à la conjoncture des différentes catégories de prélèvements obligatoires et des dépenses d’indemnisation du chômage. Le rapport présente et justifie les différences éventuelles par rapport aux estimations de la Commission européenne ;Annexe 2
14° Les modalités de calcul du solde structurel annuel mentionné à l’article 1er A.Annexes 2 et 3
Ce rapport présente également la situation de la France, par rapport aux États membres de l’Union européenne, au regard des objectifs stratégiques européens.Partie II A : deux derniers alinéas (“Comparaison avec les autres États membres de l’Union européenne”)