A la fin de sa vie, Victor Schoelcher, sentant ses forces diminuer, s'installe à Houilles, près de Paris, à l'écart de la vie bruyante de la capitale.

Il y séjourne pendant des périodes de plus en plus fréquentes à la fin des années 1880, avant de s'y fixer en 1891-1892 et d'y mourir en décembre 1893.

La petite ville de la banlieue parisienne voit ainsi arriver plusieurs délégations de parlementaires venus rendre visite au « vieux républicain » qui n'en continue pas moins d'écrire, de s'informer, de travailler.

La lettre illustrée ci-contre date de cette période.

On ignore qui fut cette secrétaire-copiste qu'il rémunéra pendant plusieurs mois, lui reprochant sans cesse retards et inconstance.