L’assemblée générale du groupe d’amitié France-Nouvelle-Zélande s’est tenue, mardi 19 janvier 2021, sous la présidence de M. Jean-Marie Vanlerenberghe (Union Centriste – Pas-de-Calais).

Étaient également présents Mmes Catherine Procaccia (Les Républicains – Val-de-Marne) et Joëlle Garriaud-Maylam (LR – Français établis hors de France), et MM. Eric Jeansannetas (Socialiste, Écologiste et Républicain – Creuse), Didier Mandelli (LR – Vendée), Jean-Pierre Moga (UC – Lot-et-Garonne), Christian Redon-Sarrazy (SER – Haute-Vienne), Laurent Somon (LR – Somme) et Lucien Stanzione (SER – Vaucluse).

L’assemblée générale a procédé à la désignation des vice-présidents et secrétaires du groupe.

Il en ressort la composition du bureau suivante :

- Président : M. Jean-Marie Vanlerenberghe (UC) ;

- Vice-présidents :

Mme Catherine Procaccia (LR) ;

M. Eric Jeansannetas (SER) ;

Mme Valérie Létard (UC) ;

M. Teva Rohfritsch (RDPI);

M. Bernard Filiaire (RDSE);

M. Fabien Gay (CRCE) ;

- Secrétaires :

M. Didier Mandelli (LR) ;

M. Lucien Stanzione (SER).

Après que le président a réaffirmé l’importance du lien entre la France et la Nouvelle-Zélande dans la diplomatie parlementaire française, l’assemblée générale a procédé à un échange de vues sur les projets du groupe pour 2021.

Ont été notamment mis en avant la ligne politique de la Première ministre récemment reconduite, Mme Jacinda Ardern, et en particulier le « budget bien-être » mis en œuvre par son gouvernement et les suites de « l’appel de Christchurch ».

L’adaptation du pays aux changements climatiques et la mise en œuvre de l’Accord de Paris, la gestion de la crise sanitaire et la politique de lutte contre la Covid-19, ainsi que les enjeux économiques et commerciaux qui animent les relations entre nos deux pays, ont en outre été évoqués comme axes de travail.

Mme Catherine Procaccia, vice-présidente et par ailleurs présidente du groupe interparlementaire d’amitié France-Îles du Pacifique, a fait part de la mise en place d’un « corridor sanitaire » dans le Pacifique-Sud à la suite de l’épidémie de Covid-19.

Mme Garriaud-Maylam a enfin insisté sur l’importance de la défense de la langue française.

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