La présidente de la délégation aux droits des femmes se réjouit de l’adoption de dispositions qui assurent une meilleure reconnaissance à la profession de sage-femme

Mme Michèle André (soc., Puy-de-Dôme), présidente de la délégation aux droits des femmes et à l’égalité des chances entre les hommes et les femmes du Sénat se réjouit de ce que, à l’occasion de la discussion du projet de loi portant réforme de l'hôpital et relatif aux patients, à la santé et aux territoires (HPST), le Sénat ait adopté plusieurs dispositions qui assurent une meilleure reconnaissance de leur profession aux sages-femmes, en leur ouvrant la possibilité d’accéder à une formation supérieure de titre universitaire et en leur attribuant de nouvelles missions en matière de suivi gynécologique, de contraception ainsi que, à titre d’expérimentation dans une région française, en matière d’interruption volontaire de grossesse par voie médicamenteuse.

Ces nouvelles compétences permettront à cette profession médicale, qui est au cœur de la problématique de la santé des femmes et qui est aussi exercée aujourd’hui par de jeunes praticiens, d’améliorer le suivi médical ou les services médicaux rendus aux femmes sur la totalité du territoire.

Contact presse : Sophie de Maistre ' 01.42.34.36.39 s.demaistre@senat.fr