Séance du 17 mai 2000






SOUHAITS DE BIENVENUE
À UNE DÉLÉGATION PARLEMENTAIRE
D'ALGÉRIE

M. le président. Mes chers collègues, c'est avec une émotion toute particulière que je salue la présence dans notre tribune officielle d'une délégation du Conseil de la Nation d'Algérie - homologue du Sénat français - conduite par son président, M. Bachir Boumaza, que je remercie vivement d'avoir répondu à notre invitation.
Je salue également notre collègue M. Claude Estier, président du groupe d'amitié France-Algérie, qui accompagne cette délégation.
Les liens profonds et particuliers qui unissent nos deux pays fondent la qualité des relations établies entre le Sénat et le Conseil de la Nation. Ces relations - j'en ai la conviction - s'amplifieront à la suite de ce séjour, par la multiplication des échanges et des actions de coopération, pour le plus grand profit de la vitalité et de la compréhension entre nos deux peuples.
Je rappelle que, très prochainement, nous aurons l'honneur et la fierté de recevoir le président de la République d'Algérie.
Je tiens à souligner la création toute récente, au sein du Conseil de la Nation, du groupe d'amitié Algérie-France, qui, par les contacts réguliers entretenus avec son homologue du Sénat, pourra conforter la permanence et l'adéquation de ces relations.
Au nom de la Haute Assemblée, je souhaite donc à nos collègues algériens et à leur président la plus cordiale bienvenue, ici, à la Haute Assemblée de la République française, et je forme des voeux sincères pour que leur séjour en France contribue à fortifier les liens et l'amitié entre nos deux pays. (M. le secrétaire d'Etat, Mmes et MM. les sénateurs se lèvent et applaudissent.)
M. Louis Besson, secrétaire d'Etat. Je demande la parole.
M. le président. La parole est à M. le secrétaire d'Etat.
M. Louis Besson, secrétaire d'Etat. Monsieur le président, le Gouvernement s'associe au message que vous venez d'adresser à la délégation du Conseil de la Nation d'Algérie. Il partage les souhaits que vous avez émis quant à l'aspect fructueux du séjour que nos hôtes algériens pourront effectuer dans notre pays, ne doutant pas que ce séjour contribuera à aider au développement des liens d'amitié auxquels nous tenons et que vous avez rappelés, monsieur le président. (Applaudissements.)
M. le président. Je vous remercie, monsieur le secrétaire d'Etat, de vous être associé à l'accueil de nos amis algériens.
(M. Jean-Faure remplace M. Christian Poncelet au fauteuil de la présidence.)

PRÉSIDENCE DE M. JEAN FAURE
vice-président
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