BARBIER (M. PIERRE) [Nièvre].

Question orale avec débat : M. Pierre Barbier expose à M. le ministre de l'éducation nationale que le nombre anormalement élevé des professeurs auxiliaires des C.E.S. et des C.E.G., ainsi que la situation précaire qui leur est faite, ne lui paraissent compatibles ni avec les espérances de débouchés et de recrutement que peuvent attendre les étudiants préparant le C.A.P.E.S. ou l'agrégation, ni avec l'équité et la logique puisque ces professeurs peuvent être renvoyés sans préavis et sans indemnité par le ministre dans le même temps où le Gouvernement s'apprête à déposer un projet de loi contre les licenciements abusifs. Il lui demande quelles mesures il compte prendre pour mettre fin à cette situation anormale, d'abord pour arriver à la suppression de l'auxiliariat dans le corps enseignant, ensuite pour préserver de la façon la plus humaine possible l'avenir des professeurs auxiliaires qui, par les services rendus, méritent autre chose que la menace d'une mise à pied brutale et un traitement au rabais [17 mai 1973] n° 36). - Discussion [27 juin 1973] (p. 1004 à 1040).

Interventions :

Est entendu au cours du débat sur sa question orale ayant pour objet l'éducation et l'enseignement ( cf. supra ) [27 juin 1973] (p. 1015). - Intervient dans la suite de la discussion du projet de loi de finances pour 1974, adopté par l'Assemblée nationale [3 décembre 1973]. - DEUXIÈME PARTIE. - MOYENS DES SERVICES ET DISPOSITIONS SPÉCIALES. - TRAVAIL ET SANTÉ PUBLIQUE.- III. - SANTÉ PUBLIQUE ET SÉCURITÉ SOCIALE. - Discussion générale. - Observations ayant porté essentiellement sur les revendications des différents syndicats nées de la situation actuelle de l'Institut Pasteur (p. 2332, 2333).