MARTIN (M. LOUIS) [Loire].

Réélu Sénateur le 22 septembre 1974.

Est nommé membre de la commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées [4 octobre 1974].

Dépôts législatifs :

Rapport, fait au nom de la commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées, sur le projet de loi autorisant l'approbation de la convention générale entre le Gouvernement de la République française et le Gouvernement de la République du Niger en matière de sécurité sociale, signée à Niamey le 28 mars 1973 et complétée par trois protocoles [18 juin 1974] (n° 209).

Avis, présenté au nom de la commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées (coopération), sur le projet de loi de finances pour 1975, adopté par l'Assemblée nationale [21 novembre 1974] (n° 102. - Tome III).

Interventions :

Prend part, en qualité de rapporteur de la commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées, à la discussion du projet de loi autorisant l'approbation de la convention générale entre le Gouvernement de la République française et le Gouvernement de la République du Niger en matière de sécurité sociale, signée à Niamey le 28 mars 1973 et complétée par trois protocoles [20 juin 1974]. - Discussion générale (p. 471, 472). - Intervient dans la suite de la discussion du projet de loi de finances pour 1975, adopté par l'Assemblée nationale [26 novembre 1974]. - DEUXIÈME PARTIE. - MOYENS DES SERVICES ET DISPOSITIONS SPÉCIALES. - INTÉRIEUR ET RAPATRIÉS. - Examen des crédits (section intérieur). - Etat B.- Titre III : observations sur les mesures prises dans la lutte contre la criminalité et la délinquance dites des opérations « coup de poing » qui nécessiteraient l'utilisation des chiens policiers (p. 2055, 2056). Suite de la discussion [6 décembre 1974]. - COOPÉRATION. - En qualité de rapporteur pour avis de la commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées, analyse les principaux objectifs du Gouvernement dans le domaine des interventions envisagées et insiste tout particulièrement sur la faim et le problème de l'eau qui se trouvent être les points cruciaux du développement des populations concernées ; évoque les rapports de la France avec ses partenaires européens et l'avenir de l'association euro-africaine (p. 2573 à 2575).