LAMOUSSE (M. GEORGES) [Haute-Vienne].

Est nommé membre de la commission spéciale, chargée d'examiner le projet de loi, adopté par l'Assemblée nationale, autorisant la ratification de la convention portant création -d'un institut universitaire européen, de l'acte final joint et du protocole sur les privilèges et immunités de l'institut universitaire européen, signés à Florence le 19 avril 1972 [12 juin 1973].

Est nommé membre de la Commission nationale pour l'éducation, la science et la culture (U. N. E. S. C. O.), en application du décret du 19 septembre 1967 [3 décembre 1973].

Dépôt législatif :

Avis, présenté au nom de la commission des affaires culturelles (cinéma, théâtres nationaux), sur le projet de loi de finances pour 1974, adopté par l'Assemblée nationale [21 novembre 1973] (n° 40. - Tome II).

Interventions :

Est entendu au cours du débat sur les questions orales de M. Léon Eeckhoutte, de M. Louis Gros, de M. Georges Cogniot, de M. Pierre Barbier et de M. François Duval ayant pour l'objet l'éducation et l'enseignement [27 juin 1973] (p. 1026 à 1028). - Intervient dans la suite de la discussion du projet de loi de finances pour 1974, adopté par l'Assemblée nationale [6 -décembre 1973]. - DEUXIÈME PARTIE. - MOYENS DES SERVICES ET DISPOSITIONS SPÉCIALES. - EDUCATION NATIONALE. - Discussion générale. - Observations ayant porté essentiellement sur sa conception d'une réelle démocratisation de l'enseignement et sur l'obligation scolaire qui requiert une formation adéquate des maîtres chargés d'une véritable mission plutôt que de l'exercice d'un métier (p. 2467 à 2469 ; 2491). - Suite de la discussion [7 décembre 1973]. - AFFAIRES CULTURELLES.- Prend part, en qualité de rapporteur pour avis de la commission des affaires culturelles, à l'examen des dispositions concernant le cinéma et les théâtres nationaux. - Discussion générale.- Observations ayant porté notamment sur l'insuffisance des crédits mis à la disposition de l'Opéra, sur la disparition de fait de l'Opéra-Comique, sur la rénovation de la salle Richelieu, sur la crise que traverse le cinéma depuis de nombreuses années due pour la plus grand part à la concurrence de la télévision et aux difficultés d'exploitation, sur la censure (p. 2532, 2534).