Mercredi 21 juillet 2021, Thomas GASSILLOUD, député, et Stéphane PIEDNOIR, sénateur, ont présenté à la presse les conclusions de leur rapport sur L'énergie nucléaire du futur et les conséquences de l'abandon du projet de réacteur nucléaire de 4e génération "Astrid", fait au nom de l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques, présidé par Cédric VILLANI, député, président, et Gérard LONGUET, sénateur, premier vice-président.

Conférence de presse (21 juillet 2021)

Mercredi 21 juillet 2021, Thomas GASSILLOUD, député, et Stéphane PIEDNOIR, sénateur, ont présenté à la presse les conclusions de leur rapport sur L'énergie nucléaire du futur et les conséquences de l'abandon du projet de réacteur nucléaire de 4e génération "Astrid", fait au nom de l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques, présidé par Cédric VILLANI, député, président, et Gérard LONGUET, sénateur, premier vice-président.

 Comprendre les enjeux

Dans un contexte déjà difficile pour la filière nucléaire, l’annonce en août 2019 du report de la construction du réacteur de 4e génération Astrid à la fin du siècle a provoqué un vif émoi et de nombreuses réactions.

Quels étaient les principaux objectifs de ce projet lancé dix ans auparavant ? Dans quelles conditions a-t-il été développé et à quel coût ? Quelle est la pertinence des justifications avancées pour son report ou son abandon ? Quelles sont les conséquences de cette décision sur l’avenir de la filière nucléaire française ? Quelles sont les nouvelles pistes technologiques pour le nucléaire de demain ? Comment redonner une perspective de long terme à la recherche française sur le nucléaire avancé ?

Telles sont quelques-unes des questions auxquelles les rapporteurs ont cherché à apporter des réponses et qui les conduisent à proposer de relancer le débat démocratique sur ce sujet central pour l’indépendance et la souveraineté de la France.

En savoir plus :

Photo ©