Le résumé

Vos rapporteurs sont parfaitement conscients que la transition est loin d'être terminée en Roumanie et qu'elle progresse lentement en Bulgarie. Les liens historiques qui lient la France à ces deux pays ne doivent pas nous interdire d'être lucides. Pour le bien de la Roumanie et de la Bulgarie comme pour celui de l'Europe, la vigilance doit se poursuivre. Nos amis roumains ne nous ont ils pas dit eux-mêmes que sans la pression de l'Europe, il n'y aurait pas eu les mêmes réformes ?

Plus de vingt ans se sont écoulés depuis le retour à la liberté et il ne nous est pas agréable de devoir reconnaître que la transition est inachevée et que l'Etat de droit n'est pas parfait. Mais l'Europe peut toutefois se féliciter d'avoir contribué à amorcer cette transition et la France d'avoir toujours été aux côtés de la Roumanie et de la Bulgarie.

Car ces deux pays confrontés à bien des difficultés doivent pouvoir d'abord trouver chez leurs partenaires européens un esprit de solidarité et de coopération.

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