Le résumé

L'Organisation des Nations unies a reconnu officiellement le génocide arménien en 1985 suivi en 1987 par le Parlement européen. De nombreux pays ont suivi la même voie dont la France avec l'adoption, par le Parlement, de la loi n° 2001-70 du 29 janvier 2001. Mais plus d'un siècle après cette tragédie, elle demeure toujours niée par la Turquie.

Le processus de rapprochement avec l'Arménie, qui avait abouti à la signature, à Zürich, en octobre 2009, de protocoles sur le rétablissement des relations diplomatiques et l'ouverture de la frontière et qui avait suscité tant d'espoir, est malheureusement aujourd'hui au point mort.

C'est dans ce contexte que le groupe interparlementaire d'amitié France-Arménie du Sénat a organisé, le 20 janvier 2017, un colloque sur « L'engagement de la société civile turque dans la reconnaissance du génocide arménien » réunissant des personnalités de tous horizons qui militent, en Turquie, pour cette reconnaissance.

Le colloque, qui a été ouvert et animé par le président du groupe d'amitié, M. Philippe Kaltenbach, a permis de rappeler les raisons historiques et politiques de l'attitude de l'État turc et de donner la parole aux femmes et aux hommes de bonne volonté qui poursuivent, dans des conditions particulièrement difficiles, ce travail de mémoire et de réconciliation.

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