ANNEXE II -

ARTICLES DE PRESSE RELATIFS À LA VISITE DE LA DÉLÉGATION SÉNATORIALE EN MALAISIE

ANNEXE III -

PRÉSENTATION ET BILAN D'ACTIVITÉ
DU CENTRE FRANÇAIS DES AFFAIRES À SINGAPOUR

Après les avoir portées aux nues, faut-il désormais vouer aux gémonies les économies d'Asie du Sud-Est ?

Durant les années 1990, le parcours économique remarquable des nouveaux pays industrialisés d'Asie, les " Dragons " comme Singapour, la Corée du Sud, Taïwan ou Hong Kong, ou la deuxième vague des " Tigres " comme la Malaisie, la Thaïlande, l'Indonésie ou les Philippines, fascine économistes et politiques. Donnés en exemple pour leurs politiques publiques vertueuses, ces puissances émergentes contribuent à forger le mythe d'un miracle économique et à alimenter, en Occident, la crainte d'un déclin.

La crise financière de 1997 change la donne. Alors que les esprits sont occupés par l'essor économique du géant chinois, voire de l'Inde, et que le précurseur japonais sur la voie du développement montre des signes de faiblesse, peut-on courir le risque d'oublier l'Asie du Sud Est ? La France ne doit elle pas au contraire y consolider des positions parfois médiocres sur le plan commercial ?

C'est pour souligner le potentiel de cette région que la Commission des Affaires économiques s'est rendue à Singapour et en Malaisie, les deux premiers partenaires commerciaux de la France en Asie du Sud-Est.

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