CONCLUSION

Avec l'avènement du Roi MOHAMMED VI, le Maroc s'est engagé sur la voie de la modernisation politique, économique et sociale.

Le pays s'est ainsi doté d'institutions politiques modernes, avec la Constitution de 2011 adoptée par référendum, de structures économiques performantes, comme Tanger Med ou le TGV Rabat Casablanca, ainsi que de réformes sociales, telles que le nouveau code de la famille. Ainsi s'explique sans doute le fait que la Maroc n'ait pas connu de " Printemps arabe ", des réformes ayant été mises en place antérieurement.

Au cours de ce déplacement, la délégation du groupe d'amitié a pu mesurer tout à la fois l'exceptionnelle qualité des relations franco-marocaines et les changements profonds qu'a connus le pays depuis sa dernière mission en 2010. Les deux thèmes de travail - la gestion de l'eau et la politique dans le domaine de l'énergie solaire - sont l'illustration de ces mutations et de la volonté du Maroc d'entrer dans le XXI e siècle en élaborant des politiques innovantes dans ces deux domaines.

Dans une région qui connait de grands bouleversements et qui est marquée par les menaces de déstabilisation de tous ordres, le Maroc apparait ainsi comme une chance pour la construction d'un Maghreb pacifique et prospère grâce à la voie originale et efficace qu'il a choisie pour se transformer.

ANNEXE - REVUE DE PRESSE

REVUE DE PRESSE

AVRIL - MAI 2013

AMBASSADE DE FRANCE AU MAROC

Le 30/04/2013

http://www.ambafrance-ma.org/Visite-d-une-delegation

Visite d'une délégation sénatoriale du groupe d'amitié France-Maroc (1er au 5 mai)

L'objectif de ce déplacement consiste pour les sénateurs à s'informer de l'avancement des projets lancés par le Royaume en matière d'énergies renouvelables ainsi que d'étudier les enjeux auxquels fait face le Maroc en matière d'approvisionnement en eau.

La délégation sénatoriale sera composée de :

M. Christian CAMBON, Sénateur, Président du groupe d'amitié France-Maroc,

Mme Isabelle PASQUET, Sénatrice,

M. Jackie PIERRE, Sénateur,

M. Jean-Claude PEYRONNET, Sénateur,

M. Hervé MARSEILLE, Sénateur

Les sénateurs auront une série d'entretiens politiques à Rabat avec les présidents des deux chambres du Parlement, le ministre de l'Énergie, des Mines, de l'Eau et de l'Environnement et le ministre de l'Intérieur. Ils rencontreront également une série de responsables dans le domaine de l'environnement et visiteront le projet de centrale solaire d'Ouarzazate, composante du plan solaire national.

Ces déplacements interviennent dans le cadre d'une série de visites d'information sur le Maroc, à l'initiative du groupe interparlementaire d'amitié France-Maroc. Créé en 1963, ce groupe est l'un des plus anciens du Sénat français et des plus nombreux, puisqu'il comprend près de 80 membres.

Le Sénat français comprend actuellement 78 groupes interparlementaires d'amitié le liant aux institutions politiques et parlementaires de 184 États. Instruments privilégiés de la coopération bilatérale entre les Parlements, ces groupes sont devenus des acteurs de premier ordre de la diplomatie parlementaire.

Une délégation de sénateurs français au Maroc pour s'informer de l'avancement des projets des énergies renouvelables

Le 30/04/2013

http://www.atlasinfo.fr/Une-delegation-de-senateurs-francais-attendue-mercredi-au-Maroc_a41964.html

Une délégation de sénateurs français attendue mercredi au Maroc

Une délégation de sénateurs français, toutes sensibilités confondues, est attendue mercredi au Maroc pour une visite de cinq jours, destinée à s'informer de l'avancement des projets lancés par le Royaume pour le développement des énergies renouvelables, a annoncé à la MAP le chef de la mission, le sénateur Christian Cambon.

" C'est une grande joie de partir de nouveau en mission officielle au Maroc. Nous avons souhaité donné un contenu concret à ce déplacement, puisqu'il sera orienté vers les énergies nouvelles, notamment solaire ", a souligné M. CAMBON, également Président du groupe d'amitié France-Maroc au Sénat français.

Les sénateurs, dont également Hervé MARSEILLE, Isabelle PASQUET, Jean-Claude PEYRONNET et Jackie PIERRE, devront notamment visiter le projet emblématique du plan solaire national, à savoir la centrale solaire d'Ouarzazate.

Ce déplacement est également axé sur les enjeux d'approvisionnement en eau, une thématique " particulièrement chère " au sénateur CAMBON eu égard à ses responsabilités en matière de distribution de l'eau en île de France (région parisienne).

" Le problème de l'eau tend d'être réglé au Maroc, de gros efforts ont été fait mais il reste encore un bout de chemin à parcourir ", a-t-il constaté.

Outre les responsables en charge de l'environnement, les membres de la délégation auront, en marge de ce déplacement, des entretiens à Rabat avec les présidents des chambres des représentants et des conseillers, Karim GHELLAB et Mohamed Cheikh BIADILLAH, ainsi qu'avec le ministre de l'Intérieur, Mohand LAENSER.

" Nous aurons notamment l'occasion de nous entretenir des derniers développements " de la question du Sahara et de ses enjeux pour la construction maghrébine et la stabilité de la région, sur fond de la montée du risque terroriste au Sahel, a indiqué M. CAMBON.

" Il y a un véritable intérêt à ce que les pays du Maghreb trouvent la voie de l'Union pour assurer un meilleur développement ", a insisté le Sénateur français qui rappelle que le non-Maghreb coûte entre 2 et 3 pc du PIB au Maroc et l'Algérie.

Dans ce contexte, il se dit " persuadé qu'un jour ou l'autre, la difficulté de construire l'Union du Maghreb l'emportera sur ce conflit et qu'une solution sera trouvée ", notant que la France, qui soutient le plan d'autonomie marocain, " doit tout faire pour faciliter ces contacts ".

M. CAMBON avait déjà conduit il y a trois ans une mission similaire dans les provinces du sud, ce qui a permis, dit-il, aux membres de sa délégation de constater de visu les efforts des autorités marocaines en faveur du développement local, notamment à Laayoune et à Dakhla.

" Nous avons été impressionnés par le travail qui a été fait en matière d'équipement, d'infrastructure hospitalière, de formation, de traitement des eaux ", a-t-il affirmé.

Ces déplacements interviennent dans le cadre d'une série de visites d'information sur les projets de développement au Maroc, à l'initiative du groupe interparlementaire d'amitié France-Maroc.

Créé en 1963, ce groupe est l'un des plus anciens du Sénat français et des plus nombreux, puisqu'il comprend près de 80 membres.

" Son histoire, sa composition et ses activités illustrent parfaitement l'ancienneté et la qualité des relations franco-marocaines auxquelles il participe pleinement par ses activités et initiatives ", assure-t-on auprès du groupe.

Le Sénat français comprend actuellement 78 groupes interparlementaires d'amitié le liant aux institutions politiques et parlementaires de 184 États.

Instruments privilégiés de la coopération bilatérale entre les Parlements, ces groupes sont devenus des " acteurs de premier ordre de la diplomatie parlementaire ".

Le 01/05/2013

http://www.maroc-hebdo.press.ma/index.php/component/content/article/59-map/6848-une-delegation-de-senateurs-francais-au-maroc-pour-sinformer-de-lavancement-des-projets-des-energies-renouvelables

Une délégation de sénateurs français au Maroc pour s'informer de l'avancement des projets des énergies renouvelables

Une délégation de sénateurs français, toutes sensibilités confondues, est attendue mercredi au Maroc pour une visite de cinq jours, destinée à s'informer de l'avancement des projets lancés par le Royaume pour le développement des énergies renouvelables, a annoncé à la MAP le chef de la mission, le sénateur Christian CAMBON.

" C'est une grande joie de partir de nouveau en mission officielle au Maroc. Nous avons souhaité donné un contenu concret à ce déplacement, puisqu'il sera orienté vers les énergies nouvelles, notamment solaire ", a souligné M. CAMBON, également président du groupe d'amitié France-Maroc au Sénat français.

Les sénateurs, dont également Hervé Marseille, Isabelle Pasquet, Jean-Jacques Peyronnet et Jackie Pierre, devront notamment visiter le projet emblématique du plan solaire national, à savoir la centrale solaire d'Ouarzazate.

Ce déplacement est également axé sur les enjeux d'approvisionnement en eau, une thématique "particulièrement chère" au sénateur Cambon eu égard à ses responsabilités en matière de distribution de l'eau en île de France (région parisienne).

"Le problème de l'eau tend d'être réglé au Maroc, de gros efforts ont été fait mais il reste encore un bout de chemin à parcourir", a-t-il constaté.

Outre les responsables en charge de l'environnement, les membres de la délégation auront, en marge de ce déplacement, des entretiens à Rabat avec les présidents des chambres des représentants et des conseillers, Karim Ghellab et Mohamed Cheikh Biadillah, ainsi qu'avec le ministre de l'Intérieur, Mohand Laenser.

"Nous aurons notamment l'occasion de nous entretenir des derniers développements" de la question du Sahara et de ses enjeux pour la construction maghrébine et la stabilité de la région, sur fond de la montée du risque terroriste au Sahel, a indiqué M. Cambon.

"Il y a un véritable intérêt à ce que les pays du Maghreb trouvent la voie de l'Union pour assurer un meilleur développement", a insisté le sénateur français qui rappelle que le non-Maghreb coûte entre 2 et 3 pc du PIB au Maroc et l'Algérie.

Dans ce contexte, il se dit "persuadé qu'un jour ou l'autre, la difficulté de construire l'Union du Maghreb l'emportera sur ce conflit et qu'une solution sera trouvée", notant que la France, qui soutient le plan d'autonomie marocain, "doit tout faire pour faciliter ces contacts".

M. Cambon avait déjà conduit il y a trois ans une mission similaire dans les provinces du sud, ce qui a permis, dit-il, aux membres de sa délégation de constater de visu les efforts des autorités marocaines en faveur du développement local, notamment à Laayoune et à Dakhla.

"Nous avons été impressionnés par le travail qui a été fait en matière d'équipement, d'infrastructure hospitalière, de formation, de traitement des eaux ", a-t-il affirmé.

Ces déplacements interviennent dans le cadre d'une série de visites d'information sur les projets de développement au Maroc, à l'initiative du groupe interparlementaire d'amitié France-Maroc.

Créé en 1963, ce groupe est l'un des plus anciens du Sénat français et des plus nombreux, puisqu'il comprend près de 80 membres.

"Son histoire, sa composition et ses activités illustrent parfaitement l'ancienneté et la qualité des relations franco-marocaines auxquelles il participe pleinement par ses activités et initiatives", assure-t-on auprès du groupe.

Le Sénat français comprend actuellement 78 groupes interparlementaires d'amitié le liant aux institutions politiques et parlementaires de 184 États.

Instruments privilégiés de la coopération bilatérale entre les Parlements, ces groupes sont devenus des "acteurs de premier ordre de la diplomatie parlementaire".

Le 01/05/2013

http://www.lematin.ma/express/Mandat-de-la-Minurso_Christian-Cambon-salue-une-resolution-qui-va-dans-le-bon-sens/181596.html

Mandat de la Minurso

Christian Cambon salue une résolution qui va dans «le bon sens»

Le président du groupe d'amitié France-Maroc au Sénat français, Christian Cambon, s'est félicité de l'adoption de la résolution du Conseil de sécurité sur le renouvellement du mandat de la Minurso sans modification, qui va dans «le bon sens», plus à même de favoriser une solution à la question du Sahara par rapport au projet initial rejeté par le Maroc.

«Je pense qu'on est revenu dans la logique et le bon sens d'une résolution modérée qui fait allusion au respect des droits de l'Homme, au Sahara et dans les camps de Tindouf. C'est satisfaisant par rapport à l'initiative qui avait été prise de manière isolée par nos amis Américains», a-t-il confié à la MAP.

Cambon, bien au fait des «progrès» accomplis par le Maroc en matière des droits de l'Homme y compris dans les provinces du Sud, un effort reconnu d'ailleurs dans la nouvelle résolution, a souligné que la France avait été «très surprise» par une telle initiative visant à inclure dans le renouvellement du mandat de la Minurso, «un paramètre relatif aux droits de l'Homme», chose qu'«elle a fait savoir par la voix de son ministre des Affaires étrangères à son homologue américain».

«Nous considérions que des initiatives non concertées notamment au sein du groupe des Amis du Sahara n'était pas la meilleure façon pour avancer» sur ce dossier, a affirmé le sénateur français qui se réjouit du retrait de la proposition américaine après «la forte réaction marocaine».

«Nous sommes satisfaits de revenir à une situation plus favorable à l'émergence d'une solution», a ajouté le sénateur français, convaincu que «les déclarations intempestives ou en tout cas non concertées ne peuvent qu'apporter de l'eau au moulin de ceux qui veulent que le Sahara devienne un conflit de niveau international».

Sur le rôle de l'Algérie, interpellée par la nouvelle résolution à s'investir de manière constructive dans le règlement de ce dossier, Cambon retient que le souci des droits de l'homme doit être mis en oeuvre de part et d'autre, ce qui sollicite «l'agrément et le soutien» de l'Algérie pour ce qui concerne les camps de Tindouf, en tant que pays hôte.

Pour ce qui est du Maroc, où il avait déjà conduit il y a trois ans une délégation de sénateurs français pour une visite d'information dans les provinces du Sud, Cambon constate que les autorités ont fait «un certain nombre de pas et d'efforts conséquents», citant notamment les procès qui ont eu lieu après les événements malheureux de Laâyoune, «sous le regard d'observateurs internationaux».

Au-delà de l'aspect des droits de l'Homme, Cambon retient également une véritable dynamique de développement économique et social dans les provinces du Sud, sans manquer de souligner la pertinence du plan d'autonomie marocain, soutenu par la France, pour le règlement de la question du Sahara.

«Nous avions constaté qu'il y avait de véritables éléments de développement apporté à la population locale, à Laâyoune comme à Dakhla. Nous avons été impressionnés par le travail qui a été fait en matière d'équipement, d'infrastructure hospitalière, de formation, de traitement des eaux», a-t-il dit.

«Nos amis marocains auraient intérêt à mieux faire connaître leurs réalisations et la situation réelle sur le terrain qui doit s'apprécier à sa juste mesure. Moi j'ai vu cette réalité et il faut pouvoir en témoigner», a-t-il conclu.

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