I. RÉPONSES DE L'AMBASSADE DE FRANCE EN SUÈDE

En Suède, le système éducatif sera réformé en profondeur en 2011 avec une évaluation des résultats introduite dès le collège et la création de filières professionnelles dès l'entrée au lycée afin de répondre aux défis du marché du travail. En revanche, la structure du collège unique n'est pas remise en cause car dans la culture suédoise, l'égalité des chances concerne tous les élèves allant à l'école obligatoire entre 7 et 16 ans (troncs communs). On ne redouble pas dans ce système égalitaire et l'accent est mis davantage sur les compétences sociales des individus que sur leurs performances scolaires. Il existe en revanche des opérations visant à davantage intéresser les jeunes entre 11 et 16 ans à la culture, mais ces actions n'interviennent pas dans le rythme scolaire à proprement parler.

1) Architecture du système d'enseignement secondaire en Suède

Le système éducatif suédois est décentralisé, ce qui signifie que les 290 communes existantes et les écoles prennent part au processus de décision aux côtés de l'État (39 % du personnel communal s'occupe des tâches scolaires). Le ministère de l'éducation, Utbildningsdepartementet, (dont le ministre actuel se nomme Jan Bjôrklund) et les secrétaires d'État qui y sont reliés ont une responsabilité globale sur le système éducatif et donnent leurs instructions à la Direction nationale des établissements scolaires (Statens Skolverk) qui joue un rôle central dans le fonctionnement du système éducatif suédois. La Direction nationale des établissements scolaires a pour mission de définir le cadre de l'enseignement public en établissant les objectifs et les règles que devront suivre les écoles, elle décide du programme général de l'enseignement et des critères d'évaluation. Skolverket est responsable du suivi national des établissements et doit s'assurer que les communes respectent les règles fixées par la loi. Elle participe à l'évolution du système scolaire en suscitant des propositions de développement et d'amélioration.

Les communes disposent d'une grande autonomie dans le domaine de l'enseignement pré-universitaire car l'éducation est placée sous la tutelle des autorités locales. Chaque conseil communal désigne un ou plusieurs comité(s) constitué(s) de représentants publics élus, chargés de garantir la conduite des activités éducatives. Ces comités sont responsables de la construction des infrastructures, de la coordination des écoles et du recrutement des enseignants et du personnel. La commune distribue les ressources et les subventions, et décide, en tenant compte des particularités locales, de la manière dont seront atteints les objectifs fixés par l'État, elle rédige pour cela un plan scolaire propre à la commune (Lokal skolplan).

Chaque école doit élaborer un plan de travail (Lokal arbetsplan) qui repose sur les lois nationales, le programme et les priorités locales. La loi sur l'enseignement scolaire indique que les enseignants, les élèves et les parents d'élèves ont un droit de regard sur les décisions et l'organisation de l'école aux côtés du chef d'établissement, mais le pouvoir de ces derniers varie selon les communes et les écoles.

Il existe en Suède trois types de régimes gouvernant l'École : elle peut être publique (Offentliga skolviisendet), autonome (Friskola ou Fristâende skola) ou privée. Les écoles autonomes se caractérisent par le fait qu'elles ne soient pas organisées par la commune, ni par l'État mais par une autre personne physique ou morale. Ces établissements doivent être validés par la Direction nationale (Skolverket) suivant les mêmes lois nationales que les établissements publics (Skollag, Liiroplan). Depuis 1992, ces écoles sont financées par des ressources publiques, il leur est interdit de toucher des frais de scolarité. Depuis la réforme de 1991-1992, le nombre d'établissements indépendants a augmenté, passant de 238 an 1995 à 625 en 2007. Aujourd'hui 10 % des élèves de l'école obligatoire (Grundskolan) et 20 % des lycéens fréquentent un établissement autonome ; 10 % de ces écoles ont une orientation confessionnelle et 6 % suivent la méthode pédagogique Steiner-Waldorf. Parallèlement aux établissements publics et autonomes, il existe des écoles privées financées par des frais de scolarité, par des donations etc., ces écoles ne sont pas contrôlées de la même façon que les écoles publiques ou autonomes. Ces établissements sont parfois des internats (Riksinternatskolor).

L'école est obligatoire en Suède entre 7 et 16 ans et le collège concerne les élèves entre 11-12 ans et 14-15 ans. Le collège dure trois ans, certaines communes comptabilisant la dernière année de primaire (mellanstadiet) comme une première année de collège. Le collège est unique, il n'existe pas de filières techniques pour les élèves rencontrant des difficultés au sein du cursus général.

Tous les élèves ayant achevé leurs neuf années d'enseignement obligatoire ont le droit d'entrer au lycée (Gymnasieskolan). Le lycée s'adresse aux jeunes gens entre 16 et 20 ans, il est gratuit et dure 3 ans. Les élèves ayant obtenu des résultats suffisants en suédois, en mathématiques et en anglais ont accès aux programmes nationaux : ils sont au nombre de 17 et combinent des cours obligatoires et facultatifs ; ces programmes peuvent préparer à un métier ou à la poursuite des études. Des programmes individuels destinés à préparer les élèves ayant pris du retard à rejoindre un programme national sont également proposés. Le troisième type de programme existant est le programme local spécial qui associe des cours de plusieurs programmes nationaux.

2) Le système d'évaluation en Suède

Le système de notation suédois ne comprend que quatre paliers d'évaluation : MVG (Mycket Viil Godkiint -- Très bien), VG ( Viil Godkiint -- Bien), G (Godkiint -- Passable) et IG (Icke Godkiint -- Insuffisant). Pendant la scolarité de base, seules les notes MVG et VG peuvent être attribuées et les élèves ne sont vraiment notés qu'à partir du collège.

Le système de notation actuel se fonde sur des objectifs définis par les autorités nationales. Les communes et les établissements scolaires sont libres de définir comment ces objectifs doivent être atteints. La question de la nécessité de mettre des notes aux élèves a fait l'objet d'un long débat en Suède, les opposants à cette mesure estimant que les notes allaient à l'encontre du développement d'un esprit solidaire entre les élèves. Le système actuel est ainsi particulièrement discret et n'établit pas de véritable classement.

Le niveau général des élèves est évalué à l'aide de tests nationaux auxquels sont soumis les élèves de 3 e e année (en suédois et en mathématiques), de 5 e année (à partir de 2009, en suédois, en mathématiques et en anglais) et de 9 e année (en suédois, en mathématiques et en anglais. De nouvelles matières telles que la chimie, la physique etc. vont être ajoutées en 2009). Il y a également des tests nationaux au lycée. Ces tests ont pour but d'encourager l'égalité dans la notation entre les différentes écoles et les différentes communes.

Le projet de réforme du gouvernement concerne également la méthode d'évaluation des élèves. Une nouvelle échelle de notes, allant de A à F, a été proposée pour faciliter la compréhension du niveau et le suivi de l'évolution des élèves. Les notes comprises entre A et E signifient que l'élève a validé la matière, le F signale que les exigences ne sont pas atteintes. Des critères seront établis pour l'obtention des notes A, C et E. Avec cette réforme, le gouvernement espère augmenter la motivation et encourager les élèves à se dépasser.

Les résultats des élèves seront mieux communiqués aux parents et tuteurs légaux grâce à des bulletins annuels. De plus, la réforme prévoit de multiplier le nombre de tests nationaux pour avoir un meilleur suivi des connaissances des élèves.

3) L'égalité des chances en Suède

Le système éducatif en vigueur en Suède est ainsi porteur de l'idéal égalitaire caractéristique de l'ensemble de la société suédoise. La loi régissant l'École (Skollagen 1985 : 1100) indique que « tous les enfants et jeunes adultes, indépendamment du genre, de l'origine et de la situation sociale, doivent avoir un accès égal à l'éducation au sein du système éducatif national. L'éducation doit être de standard identique dans toutes les écoles et sur l'ensemble du territoire ».

Selon l'OCDE, il existe une incidence réelle du milieu social sur les performances scolaires de l'élève. Par exemple, en 2006, la Suède se classait au 8e rang en ce qui concerne l'équilibre entre le milieu socio-économique et les résultats scolaires : un élève de faible statut socio-économique avait ainsi trois fois plus de chances d'avoir des résultats scolaires médiocres en mathématiques 23 ( * ) . L'OCDE recommandait de ne pas encourager l'orientation précoce en filières et d'éviter une sélection uniquement par les résultats afin de ne pas menacer l'égalité des chances à l'école. La Suède apparaissait en revanche comme l'un des rares pays où l'indice de ségrégation était relativement faible, d'où peu de réformes concernant l'égalité des chances au collège.

4) Propositions d'insertion professionnelle et sociale

Le collège unique n'est pour l'instant pas remis en cause. Les autorités politiques souhaitent garantir ce tronc commun sans créer de filières professionnelles concrètes. Le gouvernement prévoit de créer des filières d'élite au niveau du collège avec un renforcement de certaines matières (les filières d'élite existent depuis 2009 dans les lycées). Pour les élèves en décrochage scolaire, les communes ont la possibilité d'avoir un soutien pédagogique supplémentaire afin de les intégrer davantage à la classe. Les effectifs sont dédoublés pour les classes de collèges des zones urbaines sensibles.

Comme on ne redouble pas dans le système suédois et que la discrimination est un sujet tabou, il est peu probable que les gouvernements introduisent des filières professionnelles dès le collège. En revanche, des politiques publiques d'insertion sont mises en place pour aider certaines communes où des difficultés sociales sont repérées. L'idée est de proposer une offre de loisirs culturels adaptée aux jeunes et aux familles. Le cas de Tom Tit Experiment est à ce titre remarquable. Créé en 1987 dans une commune à forte population étrangère (Siidertâlje), ce centre de loisirs à visée scientifique propose aux enfants et aux parents une série d'expérimentations et d'ateliers. En 1996, une formation des professeurs de l'école de base a été initiée à Tom Tit pour les niveaux 1 à 7 (école primaire et première année de collège). En 2004, Tom Tit a même lancé une crèche éducative (60 enfants) et est devenue membre du consortium Telge (opérateur immobilier de Siidertâlje). Il existe environ 600 expériences à Tom Tit permettant d'éveiller la curiosité scientifique et technologique des jeunes. Des ateliers réguliers sont proposés aux collégiens.

5) Éducation prioritaire

Tout au long du XX e siècle, les communes ont vu leurs compétences élargies sur le plan de l'intégration de la jeunesse. Elles avaient également en charge la gestion des activités de loisir des jeunes. Dans les années 1940, des comités de soin de la jeunesse (Ungdomsvârdkommittéer) furent installés dans les différentes communes. La jeunesse devenait alors l'objet de politiques publiques spécifiques et ne dépendait pas seulement du bon vouloir associatif et de l'action de bénévoles. Les premiers parcs communaux pour la jeunesse ont ouvert à Giiteborg et à Sundsvall en 1936. Au cours des années soixante, les acteurs de l'éducation populaire reçurent un soutien des communes pour l'intégration des jeunes. Cela coïncide avec l'expansion de l'État-Providence suédois entre les années 1950 et 1980. La première administration communale consacrée aux loisirs des jeunes est née en 1956 à Norrkiiping. Ce modèle s'est par la suite à un certain nombre de communes dans les années 1960 et 1970. Durant ces années, ces maisons de la jeunesse ont abordé les sujets touchant le mal-être des jeunes en particulier dans les zones urbaines déclassées (drogue...). À Linkiiping, la méthode « filière ouverte » (Oppna linjen) a été conçue pour proposer des activités de loisir et des équipements à une partie de la jeunesse non rattachée au tissu associatif. La notion de parcs d'activités fut alors développée ; au milieu des années 1970, le débat a porté sur l'idée d'affronter les problèmes de drogue et d'alcool survenant dans ces parcs. Le changement est intervenu dans les années 1990 avec une baisse de soutien aux politiques publiques de la jeunesse et de la prévention de la délinquance. Entre 1990 et 2000, environ 300 à 400 parcs de loisirs ont disparu en Suède soit une diminution de 17 %. Depuis les années 2 000, 130 maisons des jeunes ont été recensées avec des structures adaptées pour les publics scolaires en difficulté (13-16 ans). On estime ce chiffre à 150-200 dans les communes suédoises si l'on se fie aux sites internet des administrations communales.

Dans le même temps, les communes ont proposé des programmes d'insertion professionnelle mais qui visent seulement les lycéens. En 1997, des commissions pour l'emploi avaient même été instituées au niveau des districts (arbetsmarknadsneimnder). En 1999, des contrats de codéveloppement local avaient été expérimentés dans sept communes. Cofinancés par les communes, ces contrats concernaient 24 quartiers pauvres à forte densité d'immigrants.

Les responsables politiques ont lié au cours de la dernière campagne des élections législatives et communales 2010 le problème de l'emploi des jeunes à celui de la qualification et à celui de la qualité du système éducatif. L'Alliance conservatrice-libérale au pouvoir a proposé un projet de filières professionnelles afin de créer des places d'apprentis et de répondre aux défis du marché du travail en termes de diversification des compétences. Ces filières ne concernent cependant pas le collège où aucune différenciation en termes de parcours scolaire n'est envisagée à l'heure actuelle.

6) Études de prospective consacrées aux politiques visant les jeunes de 11 à 16 ans

Plusieurs projets communaux ont émergé avec comme objectif d'améliorer l'intégration des jeunes à la vie locale en Suède : en 2006, le gouvernement avait accordé une aide au conseil des jeunes (Ungdomsstyrelsen) pour qu'il propose des activités culturelles d'intégration dans quatre communes : Gôteborg, Landskrona, Uppsala et Kôping. Ces communes ont développé des projets d'intégration au sein de zones urbaines sensibles. À Landskrona, l'association des jeunes (Landskrona BoIS) a initié en 2006 des activités sportives (football) pendant le temps libre des élèves (fritid). Plusieurs écoles de Landskrona se sont associées au projet afin de construire un projet touchant les élèves livrés à eux-mêmes après le temps scolaire obligatoire. Les élèves de 13 à 16 ans en difficulté scolaire ont été touchés et ont pu s'investir dans ce projet. Une maison des jeunes (Ungdomshuset Nova) a également été créée ciblant les jeunes marginalisés socialement et scolairement.

Dans une zone sensible de la commune d'Uppsala (Gottsunda), une maison des jeunes a été créée (Lilla Veirdshuset) en 2006 en bénéficiant du soutien de plusieurs organisations : l'association arménienne, l'association des femmes somaliennes, la commune d'Uppsala, le projet Fôrsta Steget luttant contre la violence chez les Jeunes. La même démarche a été entreprise à Göteborg et à Kôping. À Göteborg, le projet teendream a été conçu en 2004 et vise à intégrer davantage les adolescents à la vie locale sociale. Ces projets concrets ont donné lieu à des études de prospective sur la manière d'intégrer les jeunes dans ces lieux pour éviter la spirale de la délinquance. Certaines zones urbaines sensibles (quartier Ronna, Sôdertâlje) ont fait l'objet de restructurations pour pouvoir proposer des équipements adaptés à la population locale. L'Institut des études du futur (Institutet fôr framtidstudier) a publié une étude sur l'investissement sur le système éducatif pour améliorer l'insertion professionnelle et sociale des jeunes (numéro 4, 2007). La revue Framtider est une revue de prospective semblable à Futuribles en France.

Conclusions

Le système éducatif suédois favorise l'égalité et la liberté de choix. C'est un système particulièrement flexible qui met l'accent sur l'éducation tout au long de la vie. Les individus ne sont amenés à choisir une orientation que tard dans la scolarité et cette orientation ne présente aucun caractère définitif, des passerelles existent entre les différents programmes. Le système éducatif suédois se fonde sur l'idée que l'école doit encourager l'apprentissage de la solidarité et nourrir la curiosité, et non pas pousser à la compétition et à la hiérarchisation des élèves. Cette philosophie de l'éducation est visible dès l'école maternelle où les enfants apprennent la socialisation et le respect des autres et de l'environnement à travers le jeu et les activités ludiques.

Le système éducatif suédois s'est toutefois révélé moins égalitaire en pratique. Le financement et la gestion des établissements scolaires par les communes ont entrainé une forte disparité entre les collectivités et les établissements. De plus, le manque de contrôle national a provoqué la mise en place d'une concurrence entre écoles, qui ont tendance à baisser leur exigences pour assurer des bons résultats et ainsi attirer plus d'élèves et donc plus de financements. Le gouvernement a justifié sa volonté de réformer par la baisse générale du niveau des écoliers suédois et par le nombre croissant d'élèves qui sortent du lycée sans avoir validé leurs acquis. Les jeunes suédois ne seraient, par conséquent, préparés ni à la poursuite d'études supérieures ni à l'entrée dans la vie active.

Face à ce constat, la majorité politique actuelle souhaite proposer l'évaluation des résultats scolaires dès le collège afin que les élèves puissent s'orienter par la suite plus aisément dans des filières professionnelles ou générales. La campagne des législatives 2010 a fait apparaître un consensus sur la nécessité d'avoir des notes à partir du collège 24 ( * ) 2.

La réforme du système éducatif prévue en 2011 concerne davantage le lycée : le gouvernement souhaite réformer le lycée pour offrir un enseignement de meilleure qualité et relever le niveau des élèves. Le nouveau lycée présentera plus d'exigences que le lycée actuel. Il proposera douze programmes professionnels et six programmes généraux. Un examen de fin d'études secondaires sera mis en place : les élèves ayant suivi un cursus général passeront l'examen général et ceux ayant suivi un parcours professionnel seront soumis à un examen professionnel.

Les actions mises en oeuvre en Suède au profit des zones urbaines défavorisées prennent la forme de contrats fondés sur la définition d'objectifs communs entre les partenaires et sur une logique de cofinancement. Les maisons des jeunes restent une piste privilégiée dans un pays où on pense davantage au lieu de socialisation qu'au contenu des activités proposées.

Sources bibliographiques :

- Institut Montaigne, Vaincre l'échec à l'école primaire, avril 2010.

- OCDE (2004), Apprendre aujourd'hui, réussir demain : Premiers résultats de PISA 2003, OCDE, Paris.

- OCDE (2006), Regards sur l'éducation : Les indicateurs de l'OCDE, édition 2006, OCDE, Paris.

- Rapport de la Cour des Comptes sur la politique de la ville, 2006.

- Rapport Bulletin électronique ADIT de l'ambassade de Suède sur la notion d'investissement social à l'Institut des études du futur de Stockholm, 27 juillet 2009, http://www.bulletins electroni ques.com/actualites/060/60120.htm

- Rapport de l'association des communes et des conseils généraux de Suède sur quatre projets communaux d'intégration (Sveriges Kommuner och Landsting, Ungdomsstyrelsen, 2006 ( http://www.ungdomsstyrelsen.se ).

- Site de l'Institut des études du futur : http://www.framtidstudier.se

- Skoleverket (Agence suédoise de l'éducation), Source : http://www.skolverket.se/sb/d/767 -Svenska Kommunf'rbundet, «Verksamhet utan avsikt, en debattskrift om iippen ungdomsverksamhet och kommunala prioriteringar», 2002.

- Wollmann Hellmut, Reformen in Kommunalpolitik und --verwaltung, England, Schweden, Frankreich und Deutschland im Vergleich, Wiesbaden, VS Verlag, 2008.


* 23 Ces classements s'effectuent majoritairement par les tests PISA pour le suivi des acquis des élèves. Ils donnent des indications globales, mais ne sauraient être pris pour véritables instruments de recherche.

* 24 La coalition libérale-conservatrice souhaite introduire les notes dès la classe de 6e, c'est-à-dire lorsque les élèves ont 10-11 ans tandis que l'opposition rouge-verte préférerait que l'évaluation n'intervienne qu'en classe de 7e lorsque les élèves ont 11-12 ans.

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