1
Articles 3, 4, 7, 12, 13, 15, 18, 23,
27, 46,
47, 48, 49, 53, 54, 55, 56, 57, 58, 59, 60, 61 et 66, paragraphe I.
2
Devenue loi n° 2000-628 du 7 juillet 2000 (article 3).
3
Devenu loi n° 2001-2 du 3 janvier 2001 (article 24).
4
Devenu loi n° 2000-1353 du 30 décembre 2000 (article
60).
5
Devenu loi n° 2000-1257 du 23 décembre 2000 (article
40).
6
Cf. à titre d'exemple, lettre rectificative au projet de
loi relatif à la répartition des compétences entre les
communes, les départements, les régions et l'Etat,
présentée par M. Pierre Mauroy, Premier ministre
(Sénat, n° 516, 4
ème
session extraordinaire de
1981-1982) et lettre rectificative au projet de loi de finances pour 1991
présenté par M. Michel Rocard, Premier ministre (Assemblée
nationale, n° 1627, 1
ère
session ordinaire 1990-1991).
7
Mme Elisabeth Guigou, ministre de l'Emploi et de la
Solidarité - audition devant votre commission.
8
DMOS : diverses mesures d'ordre social. Tel est bien
le sentiment du Conseil d'Etat, dans son rapport public 2001 (Etudes et
documents n° 52 - La documentation française), qui souligne,
qu'au-delà de son titre officiel, le présent projet de loi
" porte en réalité diverses dispositions à
caractère social ".
9
Attendu pour début février 2000 pour une discussion
mi-mars 2000, le projet de loi n'a été déposé que
le 24 mai 2000 et n'a été discuté à
l'Assemblée nationale qu'en janvier 2001. Mais dès octobre 1998,
Mme Martine Aubry annonçait " un DMOS qui sera examiné au
début de l'année 1999 " (JO débat AN
2
ème
séance du 28 octobre 1998 p. 7528).
10
Projet de loi Sénat n° 461 (1999-2000)
déposé le 29 juin 2000.
11
Rapport précité p. 121.
12
M. Claude Huriet.
13
Le projet de loi initial modifiait le code de la santé
publique dans sa version antérieure à l'ordonnance
n° 2000-548 du 15 juin 2000 relative à la partie
Législative du code de la santé publique. Le texte adopté
par l'Assemblée nationale a substitué aux
références à l'ancien code les références
aux articles du nouveau code. Dans un souci de faciliter la
compréhension par le lecteur, la présentation du dispositif
proposé fait référence à la numérotation du
nouveau code.
14
Article l. 714-11 de l'ancien code de la santé
publique.
15
A l'exception des pensionnés, les expatriés
adhérant à la Caisse des Français de l'étranger
sont répartis en trois catégorie de cotisation, en fonction de
leurs ressources.
16
Compte tenu de l'éloignement géographique, de
la difficulté, pour les administrations compétentes, de
connaître la situation exacte de leurs fonctionnaires
détachés à l'étranger, et de l'ignorance des
règles en vigueur par les intéressés, cette règle
du non-cumul des pensions française et étrangère a
été appliquée de manière aléatoire. Il en
résulte parfois, parmi les fonctionnaires français
détachés à l'étranger, un sentiment de frustration,
sinon d'injustice, ainsi que la conviction, erronée mais largement
répandue, que le cumul de ces deux pensions est actuellement
possible
.
17
Dans l'hypothèse où la liquidation de la
pension française interviendrait avant celle de la pension
étrangère, et selon les informations communiquées à
votre rapporteur, la pension française serait d'abord liquidée
à taux plein. Quand l'intéressé remplira ensuite les
conditions lui permettant de bénéficier de sa retraite
étrangère, sa pension française sera alors
révisée en conséquence.
18
Sauf pour Paris et les villes divisées en arrondissements
ou en cantons qui ne comprennent pas de communes suburbaines : les premier et
troisième collèges élisent directement des
délégués cantonaux.
19
Sur 2.034 administrateurs, 178 étaient âgés
de plus de soixante-cinq ans au 1er janvier 2000.
20
cf. JO Débats Sénat, séance du 3 novembre
1989, p. 2971-2972.
21
cf. JO Débats Assemblée nationale, 2ème
séance du 22 novembre 1989, p. 5550.
22
MSA de Loire c/URSSAF de Roanne et Jeanne Dosson.
23
Epoux Bauchau c/ MSA des Alpes.
24
La CNITAAT siège à Amiens dans la Somme.
25
Société Desroche c/ CPAM du Val de Marne, Cour de
cassation, Assemblée plénière ; (l'Assemblée
plénière a rendu le même jour cinq arrêts sur cette
question).
26
Cf. déclaration de M. Ueberschlag, JO Débats AN, p.
175.
27
Art. R. 143-8 du code de la sécurité sociale.
28
Art. R. 143-10 du code de la sécurité sociale.
29
Art. R. 143-27 du code de la sécurité
sociale.
30
" Eh bien ! moi, je vous dis ce soir que (...)
nous allons inscrire l'abrogation de la loi Thomas dans le projet de loi de
financement de la sécurité sociale ". Mme Elisabeth Guigou,
ministre de l'Emploi et de la Solidarité (JO - Débats -
Assemblée nationale - 2
e
séance du
26 octobre 2000, p. 7592).
31
Pour un rappel historique, cf. le rapport de M. Alain Vasselle
sur le projet de loi de financement de la sécurité sociale pour
2001, tome III Assurance vieillesse, p. 43.
32
JO - Lois et décrets du 24 décembre 2000,
p. 20594.
33
En 1996, 56 % des personnes agréées
étaient limitées à l'accueil d'une seule personne.
34
Le dernier alinéa de l'article 2 (cas de retrait
possible) ; article 6 (conditions du retrait) ; article 11 (retrait
obligatoire).
35
Texte adopté n° 105 (Sénat, 1998-1999),
rapport n° 287 (1998-1999) fait par M. Lucien Neuwirth au nom de la
commission des Affaires sociales.
36
Cf. le rapport de M. Lucien Neuwirth au nom de la commission
des Affaires sociales, Sénat n° 363 (1998-1999).
37
Il est noter cependant que les amendements extérieurs
étaient moins précis quant au champ des attributions des nouveaux
conseils départementaux ; ils se bornaient à indiquer que
les nouveaux conseils "
assuraient la participation des personnes
handicapées à la conception et à la mise en oeuvre des
politiques locales les concernant
".
38
6
ème
alinéa de l'article 2-2 de la loi
n° 75-535 du 30 juin 1975 codifié au dernier alinéa de
l'article L. 311-3 du code de l'action sociale et des familles.
39
La commission des Affaires culturelles, familiales et
sociales à l'Assemblée nationale s'était interrogée
sur la nature réellement législative de l'amendement inscrit
à cet article ; le Gouvernement a tranché, semble-t-il, en
ce sens en donnant un avis favorable à cet amendement.
40
Les intéressés doivent avoir exercé pendant
trois ans au moins avant le 1
er
janvier 1999 et satisfait à
des épreuves nationales d'aptitude organisées avant le 31
décembre 2001
41
Article 72 de la loi n° 84-16 du 11 janvier 1984.
42
Article 95 de la loi n° 84-53 du 26 janvier 1984.
43
Article 90 de la loi n° 86-33 du 9 janvier 1986.
44
Le fonctionnaire retraité qui viole cette interdiction
peut être sanctionné par des retenues sur pension ou la
déchéance de ses droits à pension.
45
Décret en Conseil d'Etat n° 95-168 du 17
février 1995, modifié par le décret n° 95-833 du
6 juillet 1995, relatif à l'exercice d'activités
privées par des fonctionnaires ou agents non titulaires ayant
cessé temporairement ou définitivement leurs fonctions et aux
commissions instituées par l'article 4 de la loi
n° 94-530 du 28 juin 1994.
46
Est assimilée à une entreprise privée toute
entreprise publique exerçant son activité dans un secteur
concurrentiel et conformément au droit privé.
47
Loi n° 93-122 du 29 janvier 1993 relative
à la prévention de la corruption et à la transparence de
la vie économique et des procédures publiques, dite " loi
Sapin ".
48
Loi n° 94-530 du 28 juin 1994 relative à
certaines modalités de nomination dans la fonction publique de l'Etat et
aux modalités d'accès de certains fonctionnaires ou anciens
fonctionnaires à des fonctions privées.
49
Conseil d'Etat, 27 janvier 1969, ministre du Travail contre
Syndicat national des cadres des organismes sociaux. Conseil d'Etat,
Assemblée, 6 décembre 1996, Société Lambda.
50
La circonstance que les dispositions de l'article 72 de la
loi du 11 janvier 1984 relative à la fonction publique de l'Etat ne
s'appliquent pas aux fonctionnaires détachés est sans influence
sur l'application des dispositions de l'article 432-13 du code
pénal.
51
Le
détachement
est la position du fonctionnaire
placé hors de son corps d'origine mais continuant à
bénéficier, dans ce corps, de ses droits à l'avancement et
à la retraite (art. 45 de la loi n° 84-16, art. 64 de la loi
n° 84-53, art. 51 de la loi n° 86-33).
52
La
position hors cadres
est celle dans laquelle un
fonctionnaire remplissant les conditions pour être détaché
auprès d'une administration ou d'une entreprise publique, dans un emploi
ne conduisant pas à pension du régime général de
retraite, peut être placé sur sa demande pour servir dans cette
administration ou entreprise ou dans cet organisme (art. 49 de la loi
n° 84-16, art. 70 de la loi n° 84-53, art. 60 de la loi
n° 86-33).
53
La
mise à disposition
est la situation du
fonctionnaire qui demeure dans son corps d'origine, est réputé
occuper son emploi, continue à percevoir la rémunération
correspondante, mais qui effectue son service dans une autre administration que
la sienne (art. 41 de la loi n° 84-16, art. 61 de la loi
n° 84-53, art. 48 de la loi n° 86-33).
54
L'
exclusion temporaire de fonctions
n'est pas une position
du fonctionnaire mais une sanction disciplinaire privative de toute
rémunération qui peut durer jusqu'à deux ans (sanction du
premier au troisième groupe - article 66 de la loi n° 84-16,
art. 89 de la loi n° 84-33).
55
Rapport n° 351 (Sénat, 1993-1994) fait par
M. François Blaizot au nom de la commission des Lois.
56
Article 25 de la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983
portant droits et obligations des fonctionnaires (applicable aux trois
fonctions publiques).
57
Décret n° 85-986 du 16 septembre 1985 relatif au
régime particulier de certaines positions des fonctionnaires de l'Etat
et à certaines modalités de cessation définitive de
fonctions.
58
Décret n° 86-68 du 13 janvier 1986 relatif aux
positions de détachement, hors cadres, de disponibilité et de
congé parental des fonctionnaires territoriaux.
59
Décret n° 85-1081 du 8 octobre 1985 relatif au
régime de la mise à disposition des fonctionnaires territoriaux.
60
Rapport 1999 au Premier ministre.
61
La commission de déontologie de la fonction publique de
l'Etat suggère l'augmentation du nombre de rapporteurs, l'institution
d'une suppléance pour tous les membres (afin de limiter les cas
où le quorum n'est pas atteint) et l'instauration d'une
procédure simplifiée
permettant de régler certaines
affaires simples sans réunir la commission en formation
collégiale, ni recourir à l'avis tacite (le silence gardé
pendant un mois vaut avis de compatibilité).
62
Rapport d'information n° 451 (1999-2000), la
Bibliothèque nationale de France :un chantier inachevé (MM.
Philippe Nachbar et Philippe Richert, rapporteurs).
63
Art. 6 de la loi n° 75-534 du 30 juin
1975 d'orientation en faveur des personnes handicapées codifiée
à l'article L. 242-2 du nouveau code.
64
Art. L. 323-11 du code du travail reproduit
à l'article L. 343-11 du nouveau code.
65
JO du 18 août 1979, numéro
complémentaire, p. 2059.
66
JO - Débats Assemblée nationale -
2
e
séance du 11 janvier 2001 - p. 263.
67
Et non des compétences professionnelles et
personnelles comme, par exemple, dans le cas du bilan de compétences.
68
Voir décision n° 99-423 DC du 13
janvier 2000 sur le projet de loi relatif à la réduction
négociée du temps de travail.
69
Voir notamment à cet égard le rapport
n° 30 du Sénat (1999-2000) fait au nom de la commission des
Affaires sociales sur le projet de loi relatif à la réduction
négociée du temps de travail, M. Louis Souvet, rapporteur,
p. 276 et suivantes.
70
Selon l'arrêt de la Cour de cassation du 13
février dit " Samaritaine ".
71
Rapport n° 2809 de l'Assemblée nationale
fait au nom de la commission des affaires culturelles, familiales et sociales
sur le projet de loi de modernisation sociale, titre II " travail,
emploi et formation professionnelle ", M. Gérard Terrier,
rapport, p. 23
72
Rapport n° 2809 de l'Assemblée nationale fait au nom
de la commission des affaires culturelles, familiales et sociales sur le projet
de loi de modernisation sociale, titre II " travail, emploi et formation
professionnelle ", M. Gérard Terrier, rapport p. 26.
73
Idem.
74
JO Débats Assemblée nationale -
2
ème
séance du 11 janvier 2001, p. 275.
75
JO Débats AN - 2
ème
séance du 11
janvier 2001, p. 276.
76
M. Gérard Terrier a déclaré (cf. p. 27 du
rapport précité) que : " dans le premier cas, il est
nécessaire d'organiser une réunion du comité d'entreprise
dans les quarante-huit heures suivant l'annonce publique. "
77
Rapport n° 2809 de l'Assemblée nationale fait au
nom de la commission des affaires culturelles, familiales et sociales sur le
projet de loi de modernisation sociale, titre II " travail, emploi et
formation professionnelle ", M. Gérard Terrier, rapport,
p. 29.
78
Rapport n° 2809 de l'Assemblée nationale fait au nom
de la commission des affaires culturelles, familiales et sociales sur le projet
de loi de modernisation sociale, titre II " travail, emploi et
formation professionnelle ", M. Gérard Terrier, rapport,
p. 31.
79
Rapport n° 2809 de l'Assemblée nationale fait au nom
de la commission des affaires culturelles, familiales et sociales sur le projet
de loi de modernisation sociale, titre II " travail, emploi et
formation professionnelle ", M. Gérard Terrier, rapport,
p. 30.
80
L'article L. 321-1 du code du travail définit le
licenciement économique comme tout licenciement " effectué
par un employeur pour un ou plusieurs motifs non inhérents à la
personne du salarié résultant d'une suppression ou transformation
d'emploi ou d'une modification substantielle du contrat de travail,
consécutives notamment à des difficultés
économiques ou à des mutations technologiques ".
81
Voir l'arrêt de la Chambre sociale de la Cour de cassation
du 27 octobre 1998, Société des grands magasins de la
Samaritaine, dans lequel le juge a été amené à
préciser que l'employeur ne pouvait proposer des emplois disponibles de
catégorie inférieure qu'à la condition qu'il n'existe pas,
dans l'entreprise, d'emploi disponible de même catégorie.
82
Débats JO - Assemblée nationale -
2
e
séance du 11 janvier 2001, p. 281.
83
JO - Débats Assemblée nationale -
2
e
séance du 11 janvier 2001, p. 284.
84
JO - Débats Assemblée nationale -
2
e
séance du 11 janvier 2001, p. 285.
85
JO - Débats Assemblée nationale -
2
e
séance du 11 janvier 2001, p. 285.
86
Au deuxième alinéa de
l'article L. 122-3-4 pour les contrats de travail à
durée déterminée et au deuxième alinéa de
l'article L. 124-4-4 pour les contrats de travail temporaire.
87
Voir à cet égard JO - Débats
Assemblée nationale - 2
e
séance du
11 janvier 2001, p. 289.
88
Voir à cet égard JO - Débats
Assemblée nationale - 2
e
séance du 4 janvier
2001, p. 289
89
En effet, l'attention de votre rapporteur a
été attirée sur le fait que, après un premier
contrat de 13 jours conclu, par exemple, du 7 au 19 février
2001, l'entreprise ne pourrait conclure un nouveau contrat avec le
salarié que 6,5 jours après (arrondis à 7), soit le
1
er
mars, alors qu'un contrat de 14 jours finissant le
20 février permettrait d'en conclure un nouveau après
seulement 4,66 jours ouvrables (arrondis à 5), soit le
28 février.
90
Il s'agit des dispositions prévues aux articles L. 124-2,
L. 124-2-1, L. 124-2-2, L. 124-2-3, L. 124-2-7 et L. 124-7
(troisième alinéa).
91
JO Débats Assemblée nationale -
2
ème
séance du 11 janvier 2001, p. 293
92
Rapport d'information " pour une sortie en bon ordre :
bilan à mi-parcours des emplois-jeunes " (n° 25, 2000-2001).
93
" Donner un nouvel élan à la formation
professionnelle ".
94
JO Débats AN - 3
ème
séance du 11
janvier 2001 - p. 306.
95
Tout comme l'article précédent, cet article
modifiait, dans sa rédaction initiale, la loi du 26 janvier 1984.
Pour le même souci de clarté, votre rapporteur commentera ici le
dispositif proposé mais sous sa forme codifiée telle
qu'adoptée par l'Assemblée nationale.
96
Cet accord prévoit un doublement de la cotisation des
employeurs.
97
Selon l'expression employée dans l'exposé sommaire
de l'amendement.
98
JO Débat AN - 3
e
séance du 11 janvier
2001 - p. 319.
99
" Le contrôle de la formation professionnelle continue
en 1997 ", La documentation française, 2000.
100
Le décret du 31 mai 2000 a toutefois prévu un
reversement avant le 30 juin de chaque année
.
101
Il pourrait être de 10 millions de francs pour
les organismes à vocation nationale et de 5 millions pour les
organismes à vocation régionale.
102
" Pour une nouvelle donne ", rapport au Premier
ministre, septembre 1999.
103
Il faut ici sans doute entendre conseil régional et
conseil économique et social régional.
104
Dans l'exposé sommaire de l'amendement qu'il a
déposé.
105
Rapport n° 174, Sénat, première session
ordinaire de 1994-1995.
106
Rapport d'information n° 1781, annexe 4, " Pour un
meilleur usage des fonds de la formation professionnelle ".
107
M. Louis Souvet, Sénat, rapport n° 155, Lutte contre
les discriminations, p. 13.
108
Troisième enquête européenne sur les
conditions de travail, décembre 2000.
109
" La violence au travail ", 1998.
110
Enquête de l'Association nationale des directeurs et
cadres de la fonction personnel (ANDCP), 2001.
111
Avis adopté par l'Assemblée
plénière le 29 juin 2000.
112
Proposition de loi n° 168 (Sénat,
2000-2001).
113
" Aucun salarié ne peut faire l'objet d'un
harcèlement par la dégradation délibérée de
ses conditions de travail ".
114
" Aucun salarié ne doit subir les agissements
répétés de harcèlement moral d'un employeur, de son
représentant ou de toute personne abusant de l'autorité que lui
confèrent ses fonctions, qui ont pour objet ou pour effet de porter
atteinte à sa dignité et de créer des conditions de
travail humiliantes ou dégradantes ".
115
" Malaise dans le travail - Harcèlement moral.
Démêler le vrai du faux ", Syros, 2001.
116
Directive 2000/43/CE du Conseil du 29 juin 2000
relative à la mise en oeuvre du principe de l'égalité de
traitement entre les personnes sans distinction de race ou d'origine ethnique
et directive 2000/78/CE du Conseil du 27 novembre 2000 portant
création d'un cadre général en faveur de
l'égalité de traitement en matière d'emploi et de travail.
117
Rapport n° 155 (Sénat, 2000-2001).
118
Il s'agira d'un article 6 quinquies, la
proposition de loi relative à l'égalité professionnelle
entre les hommes et les femmes actuellement en cours de discussion au Parlement
prévoyant déjà d'introduire trois articles additionnels
après cet article 6.
119
Voir le rapport n° de l'Assemblée nationale fait au
nom de la commission des affaires culturelles, familiales et sociales sur le
projet de loi de modernisation sociale, titre II " travail, emploi et
formation professionnelle ", M. Gérard Terrier, rapport, p. 83
120
Voir à cet égard le rapport du Sénat
n° 155 (2000-2001) fait au nom de la commission des Affaires Sociales, M.
Louis Souvet, rapporteur, p. 33 et suivantes.
121
Voir à cet égard le rapport du Sénat
n° 155 (2000-2001) fait au nom de la commission des Affaires Sociales sur
la proposition de loi relative à la lutte contre les discriminations, M.
Louis Souvet, rapporteur.
122
Voir le rapport n° 155 du Sénat (2000-2001) fait au
nom de la commission des Affaires Sociales sur la proposition de loi relative
à la lutte contre les discriminations, M. Louis Souvet, rapporteur, p.
33 et suivantes.
123
JO Débats Assemblée nationale -
3
ème
séance du 11 janvier 2001, p. 336.
124
Directive 98/24/CE du Conseil du 7 avril 1998 concernant la
protection de la santé et de la sécurité des travailleurs
contre les risques liés à des agents chimiques sur le lieu de
travail. Cette directive doit être transposée avant le 5 mai 2001.
125
Cf. rapport n° 446 (seconde session ordinaire de
1991-1992), rédigé par M. Jean Madelain.
126
Voir l'avenant n° 12 du 29 mars 2000 étendu le 26
juillet 2000 (JO du 22 août 2000) et les avenants n° 13 et 14 du 20
juin 2000 étendus le 12 octobre 2000 (JO du 21 octobre 2000).
127
Gérard Terrier, rapport sur le projet de loi de
modernisation sociale, titre II : travail, emploi et formation
professionnelle, n° 2809, p. 102.
128
A une exception près, pourtant d'importance, puisque
le texte initial ne faisait pas référence aux " structures
locales " des organisations syndicales.
129
JO Débats -Sénat - Séance du
11 décembre 2000, p. 7704, M. Philippe Marini, rapporteur
général.
130
Jo Débats -Sénat - Séance du
11 décembre 2000, p. 7704, propos de Mme Florence Parly,
secrétaire d'Etat au Budget.
131
Voir sa décision n° 2000-442 DC du
28 décembre 2000.
132
JO - Débats - Assemblée nationale -
3
e
séance du 11 janvier 2001, p. 343.
133
Arrêt du Tribunal administratif de Paris du
19 décembre 1997 relatif à l'attribution de subventions
à des syndicats par le Conseil municipal de Clichy-la-Garenne.
134
JO - Débats Assemblée nationale -
3
e
séance du 11 janvier 2001, p. 344.
135
" L'actionnariat salarié : vers un
véritable partenariat dans l'entreprise ", rapport d'information
n° 500 (1998-1999).
Projet de loi relatif à la modernisation sociale
Rapports législatifs
Rapport n° 275 (2000-2001), déposé le