ANNEXE N° 3 :

LES TÉLÉVISIONS LOCALES TEMPORAIRES42 ( * )

LA PROCÉDURE D'AUTORISATION DES TÉLÉVISIONS LOCALES TEMPORAIRES

La loi du 1 er février 1994 dispense le Conseil supérieur de l'audiovisuel de recourir à la procédure d'appel aux candidatures pour les expériences temporaires de télévision.

L'article 28-3 de la loi n° 86-1067 du 30 septembre 1986 relative à la liberté de communication précise que le CSA peut délivrer des autorisations temporaires pour une durée n'excédant pas neuf mois. En effet, la loi n° 2000-719 du 1 er août 2000 modifiant la loi du 30 septembre 1986 précitée a porté la durée d'autorisation de six à neuf mois ; elle a aussi étendu la possibilité de créer un service de télévision locale aux associations qui en font la demande.

Dans les faits, la durée de l'autorisation est liée à la nature de la manifestation locale qui motive la création de la télévision temporaire. La demande d'autorisation doit être adressée au président du CSA. L'instruction de la demande nécessite notamment une expertise technique de la ressource en fréquences. Pour ces raisons, il est recommandé au candidat d'adresser directement sa demande au moins trois mois avant la date prévue pour le démarrage du service.

Après instruction de la demande par les services du CSA réunis au sein du groupe de travail télévision locale, le collège du CSA réuni en assemblée plénière examine le dossier d'autorisation et décide de la suite à réserver à cette demande.

En période électorale, la délivrance d'une autorisation temporaire s'apprécie, avant tout au regard de la thématique, de la nature et de la durée du programme.

En cas de réponse négative, le CSA informe le demandeur des motifs de rejet de la candidature

La décision d'autorisation est subordonnée à la signature d'une convention entre le demandeur et le CSA. Elle fait l'objet d'une publication au Journal officiel sous la forme simplifiée d'un extrait de délibération.

Au terme de l'autorisation, le titulaire dresse un bilan de l'exercice du service de télévision temporaire qu'il adresse au CSA.

L'autorisation délivrée au titre de l'article 28-3 de la loi du 30 septembre 1986 précitée pour une télévision temporaire ne peut faire l'objet d'une prolongation. Dans le cas d'une nouvelle demande présentée par l'opérateur, un délai raisonnable devra être respecté entre les deux autorisations temporaires successives, pendant lequel un bilan de l'expérience précédente devra être transmis au Conseil.

La conclusion de la convention

La convention fixe la durée de l'autorisation et le terme auquel elle vient à échéance. Elle fixe également les obligations du titulaire de l'autorisation, notamment le respect des grands principes inscrits dans la loi du 30 septembre 1986 précitée (dignité de la personne humaine, protection de l'enfance et de l'adolescence, honnêteté et pluralisme de l'information, responsabilité éditoriale), le respect des textes législatifs et réglementaires notamment en ce qui concerne la publicité et le parrainage, les modalités du contrôle et les sanctions légales et contractuelles. En annexes à cette convention figurent une annexe technique, une grille de programmation et un bilan prévisionnel.

Le contenu du dossier de candidature pour une télévision locale temporaire

Les éléments suivants doivent figurer dans le dossier adressé au CSA :

Objet du projet ;

Forme juridique de la structure (statuts et composition du bureau pour une association, extrait du formulaire K bis pour une société), récépissé de déclaration auprès de la préfecture pour les associations ;

Conditions techniques de diffusion : site de diffusion, puissance du diagramme de rayonnement, hauteur d'antenne, zone de couverture souhaitée ;

Programmation : grille détaillée de programmes hebdomadaire type précisant la durée et le genre des émissions qui doivent être diffusées durant la période envisagée ;

Financement : budget prévisionnel complet faisant apparaître l'origine des recettes et la nature des dépenses couvrant la période de diffusion envisagée.

LES TÉLÉVISIONS TEMPORAIRES DE 1996 À 2004

A l'origine, le CSA, depuis 1989, a régulièrement autorisé des expériences temporaires de télévisions locales. Jusqu'à l'entrée en vigueur de la loi n° 94-88 du 1 er février 1994 modifiant la loi du 30 septembre 1986 relative à la liberté de communication, ces expériences ne s'inscrivaient dans aucun cadre juridique. Il s'agissait pour le CSA de permettre, en les encadrant strictement, un certain nombre d'expérimentations, hors procédure d'appel aux candidatures, dès lors qu'elles étaient réalisées à l'occasion d'une manifestation locale (quelle que soit sa nature, culturelle, sportive ...) et qu'elles étaient de courte durée.

Télévisions temporaires (rapport d'activité 1996)

En 1996, le CSA a de nouveau constaté une forte réduction du nombre de demandes d'autorisation de télévision temporaire. Il n'a reçu que cinq demandes d'autorisation temporaires d'utilisation de fréquences hertziennes pour la diffusion d'un programme local de télévision.

Autorisations

Le CSA a autorisé quatre projets de télévisions temporaires. Toutefois en l'absence de financement suffisant les projets de Saint Etienne Première Télévision et de Corsaire Télévision n'ont pas vu le jour.

Images du Luberon

du 12/06 au 2/08/1996

Pays d'Apt

Festival « les traiteaux de nuit »

Télé 102

du 20/10/96 au 31/03/1997

Sables-d'Olonnes

Vendée Globe Challenge

Saint Etienne Première TV

Non diffusé

Saint Etienne

Foire économique

Corsaire Télévision

Non diffusé

Saint-Vaast

Festival en Cotentin

Refus

Par décision du 4 juin 1996, le CSA n'a pas réservé une suite favorable à la demande d'autorisation temporaire formulée par l'association Festif Organisation à l'occasion du festival international des films et feuilletons de télévision en raison de l'absence de précisions sur les conditions techniques de diffusion ainsi que sur la nature de la programmation.

Télévisions temporaires (rapport d'activité 1997)

En application de l'article 28-3 de la loi précitée, le CSA, au cours de l'année 1997, a délivré sept autorisations temporaires pour la diffusion de programmes locaux.

Nom

Période

Zone de diffusion

Télé 102

du 20 octobre au 31 mars 1997

Sables d'Olonne

Télé 102

du 1 er juin au 30 septembre 1997

Sables d'Olonne

Saint Etienne Première

du 15 mars au 20 juillet 1997

Saint Etienne

TVM Bordeaux

du 12 avril au 29 juin 1997

Bordeaux

Images du Lubéron

du 9 mai au 4 août 1997

Pays d'Apt

Salon du Bourget

du 14 au 22 juin 1997

Le Bourget

SudCom

du 20 juin au 31 août 1997

Bassin d'Arcachon

Les télévisions temporaires (rapport d'activité 1998)

En 1998, le CSA a constaté une augmentation du nombre de demandes d'autorisation de télévision temporaire, qui s'est élevé à treize.

Autorisations

Le CSA a délivré neuf autorisations temporaires pour la diffusion de programmes locaux en 1998. Toutefois la société Sud Télévision a informé le CSA qu'elle n'était pas en mesure de diffuser son programme pendant l'été 1998.

Nom

Période (année 1998)

Zone de diffusion

TLI Auvergne

du 21 janvier au 31 mai

Clermont-Ferrand

Vision 24

Du 28 janvier au 1 er février

Chamonix

Pic TV

du 7 au 11 avril

Tarbes

Télé 102

du 11 avril au 30 septembre

Sables d'Olonnes

TV Céreste

du 15 juin au 15octobre

Lubéron

Canal Cap

du 15 juin au 15 septembre

Cap d'Agde

Ondes Sans Frontières

du 3 juin au 3 juillet et du 1 er octobre 1998 au 31 mars 1999

Est Parisien

Space Lab

le 15 novembre de 8 heures à 16 heures

Marigot à laMartinique

Sud Télévision

Non diffusé (15 juin au 31 août)

Bassin d'Arcachon

Refus

En 1998 le CSA a refusé trois demandes d'autorisations temporaires.

Par décision du 3 mars 1998, le CSA n'a pas réservé une suite favorable à la demande d'autorisation temporaire formulée par la société FGB'a, en vue de la diffusion d'un programme local de télévision du 16 au 23 mars 1998 à l'occasion de l'élection du Président du Conseil régional du Nord-Pas-de-Calais en raison de la concomitance de la période envisagée avec les élections cantonales. Au regard des dispositions de l'article L.52-1 du Code électoral, cette demande n'a pu être agréée.

Par décision du 15 juillet 1998, le CSA n'a pas réservé une suite favorable à la demande d'autorisation temporaire formulée par le groupe Centre France La Montagne pour la période du 7 septembre 1998 au 4 février 1999 présentée à l'occasion de la Foire Exposition 1998 et du Festival du Court Métrage 1999 à Clermont-Ferrand, le CSA ayant arrêté le principe d'un appel aux candidatures en vue de l'autorisation d'une chaîne de télévision locale dans cette zone.

Par décision du 5 octobre 1998, le CSA n'a pas réservé une suite favorable à la demande d'autorisation temporaire formulée par la société EDEPIS pour la période du 1 er octobre 1998 au 31 mars 1999 présentée à l'occasion des événements culturels du bassin de Clermont-Ferrand, le CSA ayant, le 15 juillet 1998, arrêté le principe d'un appel aux candidatures en vue de l'autorisation d'une chaîne de télévision locale dans cette zone.

Les autorisations temporaires (rapport d'activité 1999)

- A l'occasion de la course automobile Les 24 heures sur glace de Chamonix, la société Chamonix Défi Organisation a été autorisée à mettre en place une télévision temporaire, du 28 au 31 janvier 1999.

- A La Martinique : l'association Club TV Moun Matinik à été autorisée pour 6 mois à compter du 11 mai 1999.

- La société Ouest Communication en Vendée a été autorisée, du 5 au 20 mai, à diffuser un programme de télévision local aux Sables-d'Olonne ;

- Autorisée à émettre du 3 juin au 3 juillet 1998, puis du 1 er octobre 1998 au 31 mars 1999, la télévision locale associative de l'Est parisien OSF s'est vu opposer un refus à une nouvelle demande d'autorisation temporaire. Strictement délimitée par la décision du CSA constitutionnel du 21 janvier 1994, la procédure de délivrance de telles autorisations, prévue par la loi hors appel aux candidatures et pour une durée maximale de six mois, ne peut en effet, d'une part, concerner que « des expériences occasionnelles ou saisonnières » et, d'autre part, ne peut induire « un renouvellement immédiat (...), afin d'éviter qu'elle soit utilisée pour échapper à la procédure de droit commun de l'appel aux candidatures ». Le CSA a en outre estimé qu'au moment où il s'interroge sur la possibilité de lancer un appel aux candidatures pour une chaîne locale permanente à Paris, l'attribution d'une autorisation temporaire serait susceptible de porter atteinte à l'égalité de traitement entre les candidats.

- Le CSA a également opposé un refus à l'association Télé Bocal qui souhaitait diffuser par voie hertzienne un programme local de télévision dans le 20e arrondissement de Paris, du 15 mars au 15 septembre 1999.

- Au Cap-d'Agde, la chaîne de télévision locale Canal Cap à été autorisée pour la période du 15 juin au 15 septembre 1999 prochain, cette société avait déjà bénéficié d'une autorisation durant la même période en 1998.

- TV Céreste, chaîne de télévision locale implantée dans la commune de Céreste (Alpes-de-Haute-Provence), s'est vue délivrer une autorisation d'émettre du 1 er mars au 31 août 1999 ; déjà bénéficiaire en 1998 d'une autorisation de quatre mois.

En application de l'article 28-3 de la loi précitée le CSA a délivré 16 autorisations en 2000 (contre 10 en 1999).

Les télévisions temporaires (rapport d'activité 2000)

Des autorisations temporaires pour un service de télévision hertzienne privé peuvent dorénavant être délivrées par le Conseil supérieur de l'audiovisuel, hors appel aux candidatures, pour une durée n'excédant pas neuf mois depuis la loi du 1 er août 2000 (au lieu de six mois antérieurement).

En application de l'article 28-3 de la loi précitée le CSA a délivré 16 autorisations en 2000 (contre 10 en 1999). Pour partie, les autorisations ont été accordées à des opérateurs qui avaient antérieurement bénéficié d'autorisations similaires (Chamonix Défi Organisation, TV Céreste, TV Flamingo, Festival Vidéo Catalan) ; pour une autre partie, les autorisations ont été accordées à de nouveaux intervenants.

Face à l'afflux des demandes constatées dans la région parisienne et en raison de la rareté de la ressource hertzienne, le CSA a décidé de réserver le canal 36 à ces demandeurs. Au surplus, les autorisations ont été accordées sous réserve, notamment, du respect par le service de la diffusion de son programme à des plages horaires strictement délimitées. Un même canal a pu ainsi accueillir quatre services distincts (Ondes Sans Frontières, Télé Bocal, Télé Plaisance et La Locale).

Nom

Période (année 2000)

Zone de diffusion

La Locale

du 22 janvier au 21 avril

Paris (75)

Vision 24

du 24 janvier au 30 janvier

Chamonix (74)

TV Vidéo

du 21 février au 27 février

Cabestany (66)

N.T.V.

du 4 au 21février - 8 au 27 mars

16 au 27 avril - 12 au 18 mai

1 er au 17 juin

Noeux-les-Mines (62)

TV Céreste

du 1 er mars au 31 août

Lubéron (04)

FIAAD-TV

du 17 mars au 26 mars

Privas (07)

TV Flamingo

du 15 juin au 15 septembre

Cap d'Agde (34)

O.T.V.

du 1 er juillet au 1 er octobre

Orthez (64)

Télé Miroir

du 18 juillet au 30 novembre

Nîmes (30)

Festival Vidéo Catalan

du 25 juillet au 30 juillet

Estavar (66)

Télé Plaisance

du 9 juin au 9 septembre

Est parisien (75)

Plateau Télé

du 8 au 10 septembre

Marseille (13)

Aldudarrak

Bideo Elkartea

du 12 au 19 octobre

Aldudes (64)

Télé Bocal

du 16 septembre au 31 décembre

Est parisien (75)

Ondes Sans Frontières

du 1 er octobre 2000 au 1 er janvier 2001

Est Parisien (75)

TV Céreste

du 1 er octobre 2000 au 1 er janvier 2001

Lubéron (04)

A la suite des décisions prises en 2000, le CSA a réservé une suite favorable à quatre demandes d'autorisations temporaire au titre de l'année 2001 ; le 24 octobre 2000 à l'association Zaléa TV sur le canal 36 à Paris du 20 mars au 20 septembre 2001 dans la tranche horaire de 20 heures 30 à 23 heures 30 ainsi qu'à l'association TV Moun Martinik à la Martinique du 20 mars au 20 septembre 2001 ; le 12 décembre 2000 à la société TV Flamingo au Cap d'Agde du 20 mars au 20 octobre 2001 ainsi qu'à la société Mercure Image sur le Bassin d'Arcachon du 1 er juillet au 31 août 2001.

Dotés de moyens limités, ces différents services répondent à un besoin d'information de proximité. Même si l'audience de ces télévisions temporaires reste limitée en raison des habitudes de consommation télévisuelle et des difficultés liées à l'initialisation des antennes, il reste que la notoriété globale de ces services est croissante.

Refus

L'association Radio Télédiffusion Electronique s'est vu opposer par le CSA, le 21 mars 2000, un refus à sa demande d'autorisation temporaire pour la période du 1 er avril au 1 er juillet 2000 à Meudon-la-Forêt ; les caractéristiques techniques sollicitées étant incompatibles avec l'occupation du spectre hertzien en région parisienne et les éléments d'information communiqués n'apportant pas les assurances requises au regard de la maîtrise de l'antenne. De même, le 26 septembre 2000, il n'a pas été réservé une suite favorable à la demande présentée par l'association Proxi-TV en vue d'une autorisation temporaire d'utilisation de fréquence hertzienne du 7 octobre au 15 octobre 2000, à l'occasion de la 2 ème Biennale du Design à Saint-Etienne. Les services du CSA ont en effet procédé à un examen détaillé des disponibilités en fréquences dans cette zone qui a abouti à la conclusion qu'aucun canal analogique supplémentaire n'était disponible dans la zone de Saint-Etienne.

Les télévisions temporaires (rapport d'activité 2001)

Autorisations

Le nombre des autorisations temporaires accordées est toujours croissant. Pour l'année 2001, il s'établit à 21 au lieu de 16 en 2000 et 10 en 1999. Pour une part significative, les autorisations concernent des opérateurs expérimentés qui avaient déjà consacré leurs émissions à des événements locaux et circonstanciels (Vision 24 lors de la course automobile internationale des 24 heures sur glaces de Chamonix, Festival Vidéo d'Estavar-Llivia lors du festival international de vidéo des Pays Catalans, Télé Miroir à Nîmes afin de couvrir les manifestations taurines...), ou à l'information locale et touristique (TV Cereste, TV Flamingo...). Pour une autre part, le CSA a autorisé à de nouveaux opérateurs : Image'In à Cabestany, Festival Vidéo Caussade, Expérience TV à Marseille, TV Dax - L'image de la Féria, J'aime la télé à Montpellier, TV Bruits et Actives Vidéo à Toulouse (autorisées en temps partagé sur le même canal) et Campus 66 Production à Perpignan. S'agissant des DOM-TOM, le CSA a délivré à l'association pour le développement de techniques modernes de communication une autorisation temporaire pour la diffusion du programme Canal Martinique pour une durée de neuf mois.

En ce qui concerne la région parisienne, en raison de la multiplication des demandes et de la rareté de la ressource hertzienne, le CSA a réservé l'usage du canal 36 aux initiatives locales. Les autorisations ont été accordées sous réserve de la diffusion d'un programme local dans des plages horaires strictement délimitées en temps partagé. Ce canal a pu ainsi accueillir six services distincts (Télé Montmartre, Télé Bocal, Ondes sans Frontières, Télé Plaisance, Zaléa TV et La Locale).

Deux opérateurs, la société Mercure Image à Arcachon et l'association Club TV Moun Matinik en Martinique, qui avaient reçu l'autorisation de diffuser un service de télévision locale temporaire, ont demandé un report de leur autorisation pour l'année 2002. Compte tenu de la durée de ces reports, il leur sera demandé d'adresser au CSA un nouveau dossier de demande d'autorisation.

Refus

Le 4 avril 2001, faute de fréquences disponibles, le CSA a rejeté la demande de l'association ARECA pour la zone d'Avignon. La Sarl Production des Iles s'est vu également opposer un refus à sa demande d'autorisation temporaire pour un service de télévision dénommé Carrib'in car ce service présentait le caractère d'une télévision permanente.

En raison des élections présidentielles et législatives prévues entre avril et juin 2002, le CSA a décidé, le 15 novembre 2001, d'éviter de délivrer des autorisations au cours du premier semestre 2002 pour des projets de télévisions temporaires à caractère généraliste, comportant notamment la diffusion de magazines et de journaux d'informations. Le CSa s'est fondé sur les difficultés à assurer le contrôle de leur contenu et à prévenir d'éventuels contentieux qui pourraient naître des interdictions posées par l'article L.52-1 du code électoral. Le CSA a estimé que la délivrance d'une autorisation temporaire, en période électorale, s'apprécie avant tout au regard de la thématique, de la nature et de la durée du programme.

Tableau récapitulatif : les télévisions temporaires autorisées en 2001

Nom

Période

Zone de diffusion

Vision 24

du 26 au 28 janvier

Chamonix (74)

TV Image'in

du 6 au 11 février

Cabestany (66)

Festival Vidéo Caussade

du 21 au 25 février

Caussade (82)

Zaléa TV

du 20 mars au 20 septembre

Paris (75)

Télé Montmartre

du 1 er avril au 30 juin

Paris (75)

Télé Bocal

du 1 er avril au 30 octobre

Est parisien (75)

Ondes sans Frontières

du 1 er avril au 30 septembre

Est parisien (75)

Télé Plaisance

du 1 er avril au 1 er juillet

Est parisien (75)

La Locale

du 1 er avril au 1 er octobre

Paris (75)

TV Flamingo

du 20 mars au 20 octobre

Cap d'Agde (34)

NTV

du 8 mai au 16 juillet et

du 18 septembre au 18 décembre

Noeux-les-Mines (62)

TV Cereste

du 10 mai au 31 décembre

Cereste (04)

Expérience TV

du 19 au 20 mai

Marseille (13)

TV Dax - L'image de la féria

du 1 er au 16 août

Dax (40)

Télé Miroir

du 1 er juillet 2001 au 1 er mars 2002

Nîmes (30)

Festival Vidéo d'Estavar-Llivia

du 24 au 29 juillet

Estavar (66)

Canal Martinique

du 30 septembre 2001 au 30 juin 2002

Martinique

J'aime la télé

du 1 er octobre au 31 décembre

Montpellier (34)

TV Bruits

du 8 novembre au 7 décembre

Toulouse (31)

Active Vidéo

du 1 er novembre au 31 décembre

Toulouse (31)

Campus 66 production

du 17 au 24 novembre

Perpignan (66)

Les télévisions temporaires (rapport d'activité 2002)

Autorisations

Comme les dernières années passées, le nombre d'autorisations temporaires délivrées par le CSA a augmenté significativement. En 2002, 28 autorisations ont été accordées ( cf annexe) au lieu de 21 pour l'année 2001 et de 16 en 2000. Elles concernent pour une grande part des opérateurs qui avaient déjà bénéficié d'autorisations les années précédentes et qui consacrent leurs émissions à un événement local ou circonstanciel. Parmi ces opérateurs on retrouve : Vision 24 pour les 24 heures sur glace de Chamonix, TV Imagin'In pour les rencontres vidéo de Cabestany, Festival Video Caussade, TV Cereste, TV Flamingo, Télé Miroir à Nîmes, TV Dax - l'image de la Féria, J'aime la télé à Montpellier.

A Toulouse, suite à l'expérience initiée par les deux associations Active et TV Bruits pour la diffusion d'un programme local de télévision en mode partagé sur un même canal, elles ont bénéficié d'une seconde autorisation au cours de l'année 2002 pour la diffusion de leur programme de télévision en mode partagé sur le canal 50 sur l'agglomération de Toulouse.

De nouveaux opérateurs ont été autorisés par le CSA : La Maison des Lycéens de Moutiers à l'occasion de la journée portes-ouvertes du lycée Ambroise-Croizat, Proxi TV à Saint-Etienne à l'occasion de la biennale internationale du design, ARECA dans le cadre du festival d'Avignon, Ma télé multimédi@ consacrée au festival Danses et Musiques du Monde à Felletin, l'association Solidarité Sida à l'occasion du festival Solidays à l'Hippodrome de Longchamp et Canal Cité à Carcassonne.

Suite à l'avis de sélection de projets expérimentaux lancé le 30 avril 2002 par le CSA en vue de la diffusion de services de télévision temporaires de proximité ou de la réalisation d'expérimentations techniques sur le canal 35 sur Paris et la région parisienne, le CSA a autorisé 11 opérateurs dont 6 nouveaux (Scopapresse, Actor Market, Lemers, VO'TV, Githec et Ciné Plume) et 5 opérateurs ayant déjà bénéficié d'autorisations temporaires pour la diffusion de services de télévision de proximité sur Paris et la région parisienne (Zalea TV, Télé Plaisance, ILM La Locale, Onde Sans Frontière, Télé Bocal).

Refus

Le CSA a estimé que la délivrance d'une autorisation temporaire, en période électorale, s'apprécie avant tout au regard de la thématique, de la nature et de la durée du programme. Aussi, au cours du premier semestre 2002, le CSA a décidé d'éviter de délivrer des autorisations temporaires pour des projets de télévisions temporaires à caractère généraliste comportant notamment la diffusion de magazines et de journaux d'informations en se fondant sur les difficultés à assurer le contrôle de leur contenu et la nécessité de prévenir d'éventuels contentieux qui pourraient naître des interdictions posées par l'article L52-1 du code électoral.

Ainsi le CSA a décidé, le 29 janvier 2002, de refuser le projet de Télé Plaisance en raison du caractère général du service de télévision proposé comportant notamment la diffusion de magazines et de journaux d'informations ne permettant pas de garantir le respect des obligations fixées par l'article L52-1 du code électoral.

Le 15 octobre 2002, faute de fréquences disponibles, le CSA, a rejeté la demande de l'association Aldudarrak Bideo pour la zone de Saint Jean-Pied-de-Port.

Tableau récapitulatif : les télévisions temporaires autorisées en 2002

Nom

Période

Zone de diffusion

Vision 24

du 25 au 27 janvier

Chamonix (74)

TV Image'in

du 8 au 17 février

Cabestany (66)

Festival Vidéo caussade

du 20 au 24 mars

Caussade (82)

Maison des Lycéens

du 21 au 25 mai

et du 4 au 6 octobre

Moutiers (73)

ARECA

du 24 juin au 24 août

Avignon (84)

Télé Locale

du 10 juin au 20 juillet

Parthenay (79)

TV Cereste

du 1 er juillet 2002 au 1 er janvier 2003

Cereste (04)

Ma Télé Multimédi@

du 1 er août au 1 er septembre

Felletin (23)

TV Flamingo

du 1 er juillet au 1 er octobre

Cap d'Agde (34)

Solidays

du 6 au 7 juillet

Longchamp (75)

Télé Miroir

du 15 juillet 2002 au 15 mars 2003

Nîmes (30)

Proxi TV

du 10 au 24 novembre

Saint-Etienne (42)

NTV

du 1 er décembre 2002 au 28 février 2003

Noeux-les-Mines (62)

canal Cité

du 1 er au 30 novembre

Carcassonne (11)

J'aime la télé

du 25 septembre au 24 décembre

Montpellier (34)

TV Bruits

du 11 octobre au 14 décembre

Toulouse (31)

Activa TV

du 9 septembre 2002 au 8 juin 2003

Toulouse (31)

Tableau récapitulatif des autorisations de Canal 35
sur Paris et la région parisienne décidées en 2002

Zalea TV

du 1 er septembre 2002 au 28 février 2003

Paris

Scopapresse

du 1 er septembre 2002 au 28 février 2003

Est parisien

Télé Plaisance

du 1 er septembre 2002 au 28 février 2003

Paris

ILM La locale

du 1 er septembre 2002 au 28 février 2003

Seine-Saint-Denis

OSF

du 23 septembre 2002 au 28 février 2003

Est parisien

Télé 91

du 23 septembre 2002 au 28 février 2003

Essonne

Télé Bocal

du 23 septembre 2002 au 28 février 2003

Est parisien

VO'TV

du 23 septembre 2002 au 28 février 2003

Val d'Oise

Lemers TSF

du 8 octobre 2002 au 28 février 2003

Seine-Saint-Denis

Githec

du 8 octobre 2002 au 23 novembre 2002

Seine-Saint-Denis

Ciné Plume

du 25 novembre 2002 au 23 décembre

Seine-Saint-Denis

Les télévisions temporaires (rapport d'activité 2003)

Autorisations

Après une croissante très forte du nombre d'autorisations temporaires délivrées par le CSA, qui est passé de 16 en 2000, à 21 en 2001 et 28 en 2002, 27 autorisations ont été accordées en 2003. Elles concernent pour leur majorité des opérateurs qui avaient déjà bénéficié d'autorisations les années précédentes. Parmi ces opérateurs, on retrouve : Vision 24 pour les 24 heures sur glace de Chamonix, TV Flamingo, Solidays pour le festival Solidays à l'Hippodrome de Longchamp, Canal cité à Carcassonne, TV Image'In pour les rencontres vidéo de Cabestany et Alégria à l'occasion de la Féria à Dax.

L'expérience initiée par les deux associations Active et TV Bruits s'est poursuivie à Toulouse pour la diffusion de programmes locaux de télévision. Elles ont bénéficié d'une troisième autorisation pour la diffusion de programmes locaux de télévision en mode partagé sur le canal 50 sur l'agglomération de Toulouse.

De nouveaux opérateurs ont été autorisés par le CSA. Parmi ces nouveaux opérateurs figurent : l'association des Equipements Collectifs d'Air Bel pour la diffusion d'un programme local à Marseille ; l'association Méridiens à Aubagne ; la société BGF Animation Communication autorisée à diffuser un programme local de télévision à l'occasion du festival mondial de théâtres de marionnettes à Charleville-Mézières ; la société Studio M pour la diffusion d'un programme local à Montpellier ; l'association SIR autorisée à exploiter un service local de télévision en mode numérique sur le canal 67 à Paris pour le SIR 2003 « 6 ème salon international de la radio - 4 ème salon de la télévision locale » et l'association 004 Télévision pour la diffusion d'un service local de télévision à Lille.

En outre, le CSA, en raison des prochaines échéances électorales prévues pour le 1 er semestre 2004, a décidé d'éviter de délivrer des autorisations pour une diffusion à partir du 15 janvier 2004, date d'entrée en vigueur de la recommandation du CSA relative aux campagnes électorales pour l'année 2004, jusqu'au 13 juin 2004 inclus, pour des projets de télévisions temporaires à caractère généraliste, comportant notamment la diffusion de magazines et de journaux d'informations. En effet, le CSA doit s'assurer que le projet présente toutes les garanties nécessaires pour éviter les éventuels contentieux qui pourraient naître des obligations fixées notamment par l'article L.52-1 du code électoral. Seuls les services de télévision de courte durée proposant une thématique précise qui sont liés à la couverture d'un événement particulier peuvent faire l'objet d'une autorisation. Le CSA a invité les opérateurs qui ont formulé des demandes d'autorisations temporaires couvrant les périodes de campagnes électorales du 1 er semestre 2004 à modifier leur demande afin de la rendre compatible avec cette décision.

Canal 35 sur Paris et la région parisienne

Suite à l'avis de sélection de projets expérimentaux lancé le 30 avril 2002 et la prolongation des autorisations qui avaient été délivrées en 2002, les 11 opérateurs autorisés ont bénéficié d'une prolongation de leur autorisation, jusqu'au 31 mai 2003, pour ceux autorisés depuis le 1 er septembre 2002, et jusqu'au 22 juin 2003, pour ceux autorisés depuis le 23 septembre 2002.

A l'issue de cette expérience de 9 mois, le CSA a autorisé 12 opérateurs dont 3 nouveaux (Télessonne, TV Fil 78 et Télé Kif Cité) à diffuser des services de télévision de proximité sur Paris et la région parisienne jusqu'au 14 janvier 2004, date d'entrée en vigueur de la recommandation du CSA relative aux campagnes électorales pour l'année 2004. Les services Parisphérie, La Locale, VO'TV, Télessonne, TV Fil 78 et Ciné Plume ont démarré le 1 er octobre 2003 ; les services Télévision Sans Frontières, Ondes Sans Frontières et Télé Plaisance le 20 novembre 2003 et Télé Kif Cité le 3 décembre 2003, suite au renoncement de TV Fil 78 à bénéficier de l'autorisation temporaire qui lui avait été délivrée.

Refus

Le 18 mars 2003, le CSA rejette la demande de prolongation de l'autorisation de l'association Céreste Infos TV la considérant comme une nouvelle demande d'autorisation temporaire.

Le CSA a décidé le 21 octobre 2003, faute de fréquence disponible, de refuser le projet de Cités Télévisions à Villeurbanne.

Tableau récapitulatif : les télévisions temporaires autorisées en 2003

Nom

Période

Zone de diffusion

Vision 24

du 31 janvier au 2 février

Chamonix (74)

Canal Cité

du 1 er mars au 18 avril

Carcassonne (11)

O2 zone TV

du 19 mai au 14 juin

et du 20 octobre au 17 décembre

Marseille (13)

MD Vision

du 15 mai 2003 au 15 janvier 2004

Saint-Tropez (83)

Canal Garlaban

du 16 au 24 mai

Aubagne (13)

TV Flamingo

du 1 er mai 2003 au 31 janvier 2004

Cap d'Agde (34)

Solidays

du 5 au 6 juillet

Longchamp (75)

Alégria

du 1 er au 22 août

Dax (40)

TV Image'in

du 15 au 21 septembre

Cabestany (66)

BGF

19 au 28 septembre

Charleville-Mézières (08)

SIR 2003

du 24 au 25 septembre

Paris (75)

Studio M

du 8 octobre au 31 décembre

Montpellier (34)

TV Bruits

du 1 er octobre au 31 décembre

Toulouse (31)

Activa TV

du 1 er octobre au 31 décembre

Toulouse (31)

004 Télévision

du 1 er au 31 décembre

Lille (59)

Tableau récapitulatif des autorisations de Canal 35
sur Paris et la région parisienne pour l'année 2003

Zalea TV

du 1 er septembre 2002 au 31 mai 2003

Paris

Télé Bocal

du 23 septembre 2002 au 22 juin 2003

Est parisien

Télé 91

du 23 septembre 2002 au 22 juin 2003

Essonne

Parisphérie

du 1 er septembre 2002 au 31 mai 2003

et du 1 er octobre au 14 janvier 2004

Est parisien

ILM La locale

du 1 er septembre 2002 au 31 mai 2003

et du 1 er octobre au 31 décembre 2003

Seine-Saint-Denis

VO'TV

du 23 septembre 2002 au 22 juin 2003

et du 1 er octobre 2003 au 14 janvier 2004

Val d'Oise

Télessonne

du 10 mars au 22 juin 2003

et du 1 er octobre au 14 janvier 2004

Essonne

TV FIL 78

du 1 er octobre au 31 décembre 2003

Saint-Germain en Laye

Ciné Plume

du 1 er octobre 2003 au 14 janvier 2004

Seine-Saint-Denis

Lemers TSF

du 8 octobre 2002 au 22 juin 2003

et du 20 novembre 2003 au 14 janvier 2004

Seine-Saint-Denis

Télé Plaisance

du 1 er septembre 2002 au 31 mai 2003

et du 20 novembre 2003 au 14 janvier 2004

Paris

OSF

du 23 septembre 2002 au 22 juin 2003

et du 20 novembre 2003 au 14 janvier 2004

Est parisien

Télé Kif Cité

du 3 décembre 2003 au 14 janvier 2004

Paris - Ile de France

Les télévisions temporaires (rapport d'activité 2004)

Autorisations

Après une croissance très forte du nombre d'autorisations temporaires délivrées par le CSA, qui est passé de 16 en 2000 à 28 en 2002, 27 autorisations temporaires avaient été délivrées en 2003. Le nombre d'autorisations temporaires délivrées au cours de l'année 2004 s'établit à 15. Elles concernent pour leur majorité des opérateurs qui avaient déjà bénéficié d'autorisations les années précédentes. Parmi ces opérateurs, on retrouve : Image'In pour les rencontres vidéo de Cabestany, Solidays pour le festival Solidays à l'Hippodrome de Longchamp, et Alégria à l'occasion de la Féria à Dax.

L'expérience initiée par l'association Activa s'est poursuivie à Toulouse. Elle a bénéficié d'une quatrième autorisation pour la diffusion d'un programme local de télévision sur le canal 50 sur l'agglomération de Toulouse.

De nouveaux opérateurs ont été autorisés par le CSA. Parmi ces nouveaux opérateurs figurent : l'association Union des Télévisions Locales de Pays (UTLP) pour la diffusion de programmes locaux à Mandelieu-la-Napoule et à Sisteron (département des Alpes de Hautes Provence), l'association Voi Sénart pour la diffusion d'un programme local à Sénart en région parisienne, l'association Pays d'Aix TV à Aix en Provence et l'association Ecoter pour la diffusion d'un programme diffusé en mode hertzien numérique en région parisienne dans le cadre du Congrès de l'association des Maires de France.

A l'occasion du 60 ème anniversaire du débarquement en Normandie, la société LN Développement a bénéficié d'une autorisation temporaire pour la diffusion, à Caen, d'un programme intitulé « Le mois le plus long » exclusivement consacré à cet événement.

Le CSA a autorisé l'association Image'In et la société Perpignan Câble à diffuser un programme local sur le même canal, en temps partagé, du 11 au 13 février 2005, le 13 novembre 2004, le 8 janvier, le 12 mars et le 21 mai 2005 pour l'association Image'In et du 12 octobre 2004 au 11 août 2004 à l'exception du 11 au 13 février 2005, des 13 novembre 2004, 8 janvier, 12 mars et 21 mai 2005 pour la société Perpignan Câble.

La diminution importante du nombre d'autorisations temporaires délivrées au cours de l'année 2004 par rapport aux années précédentes s'explique, en partie, par les nombreux appels aux candidatures qui ont été lancés pour l'exploitation de services locaux de télévision diffusés par voie hertzienne terrestre en mode analogique. En effet, certains opérateurs qui sollicitent le CSA pour la délivrance d'autorisations temporaires ont pour objectif, à terme, de créer un service de télévision permanent. Ainsi, la société Télé Miroir, ayant déposé un dossier après le lancement de l'appel aux candidatures sur la zone de Nîmes, a été présélectionnée.

Les fréquences utilisées dans le cadre d'autorisations temporaires qui ont fait l'objet d'appels aux candidatures seront maintenant utilisées pour des services de télévision permanents. En outre, en raison du prédéploiement de la télévision numérique terrestre, certaines fréquences utilisées jusqu'alors dans le cadre d'autorisations temporaires (c'est le cas du canal 35 à Paris et la région parisienne) ne sont plus disponible pour la diffusion de programmes par voie hertzienne terrestre en mode analogique.

Refus

Le CSA a décidé le 8 juin 2004, faute de fréquence disponible, de refuser le projet de l'association Info Pro pour la diffusion du programme « Canal Midi » sur la zone de Béziers (département de l'Hérault).

Le 5 juillet 2004, le CSA rejette la demande formulée par la Sarl Overcom TV Flamingo en raison de l'indisponibilité du canal 67 demandé.

Tableau récapitulatif : les télévisions temporaires autorisées en 2004

Nom

Période

Zone de diffusion

Image'In

du 2 au 9 février

Cabestany (66)

Voi Sénart

du 26 avril au 16 mai

et du 1 er au 30 juin

du 14 juin au 14 juillet

Région parisienne

Le mois le plus long

du 1 er au 30 juin

Caen (14)

Alégria

du 18 juin au 25 octobre

Dax (40)

TV Mistral

du 15 juin au 31 décembre

Saint-Tropez (83)

Pays d'Aix TV

du 26 juin au 31 décembre

Aix en Provence (13)

TV7

le 8 juillet

Carcassonne (11)

Solidays

du 9 au 11 juillet

Longchamp (75)

Activa TV

du 1 er octobre au 31 décembre

Toulouse (31)

Marseille TV 2004

du 2 au 12 septembre

Marseille (13)

Image'In

le 13 novembre 2004 et le 8 janvier 2005

du 11 au 13 février 2005

le 12 mars et le 21 mai 2005

Cabestany (66)

Perpignan Infos

du 12 octobre 2004 au 11 août 2005 à l'exception des 13 novembre 2004, 8 janvier 2005, 11, 12 et 13 février 2005, 12 mars et 21 mai 2005

Perpignan (66)

Ecoter

du 15 au 30 novembre

Région parisienne

MLN-TV

du 1 er décembre 2004 au 31 juillet 2005

Mandelieu la Napoule (04)

MLN-TV

du 31 décembre 2004 au 31 juillet 2005

Sisteron (04)

* 42 Source : CSA.

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