1
Rapport d'information n° 29
(2002-2003) : « Développer la recherche pour sauver des
vies ».
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Il faut ajouter à cette somme 2,3 millions d'euros
destinés à la voirie des villes nouvelles et qui figurent
désormais à la section II. Urbanisme et logement du budget du
ministère de l'équipement.
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A cela il faut ajouter une enveloppe de 39,5 millions d'euros pour
les opérations ne relevant d'aucune de ces catégories telles que
le programme exceptionnel d'investissement en Corse (10 millions d'euros)
et le contrat triennal de Strasbourg (3,9 millions d'euros).
4
Votre rapporteur spécial souligne que l'ensemble des
informations détaillées dans le présent chapitre sont
reprises du rapport d'information de notre collègue Jacques Oudin fait
au nom de la commission des finances, à l'occasion du débat sur
les grandes infrastructures de transports ; rapport n° 303
(2002-2003) : « Refonder la politique financière des
transports ».
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Il s'agit de l'A 48 Amberieu-Bourgoin et de l'A 51
Grenoble-Sisteron.
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Il s'agit de l'A 89 Lyon-Babigny.
7
Il s'agit de l'A 24 qui doublerait l'A 1 et de l'A 32 qui
doublerait l'A 31.
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L'audit rappelle en effet qu'en vertu des concessions
déjà accordées, 290 nouveaux kilomètres
d'autoroutes sont aujourd'hui en travaux et 466 kilomètres doivent
encore être lancés. Il faut y ajouter près de 900
kilomètres d'élargissements, déjà prévus
dans les contrats de concession existants, à réaliser dans les
années à venir sans apport de fonds publics.
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En tenant compte des gels et annulations de crédits, le
taux d'exécution serait de 42,6 % fin 2003 et seulement 54,3 % fin 2004.
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Cette section était auparavant inscrite pour le printemps
2005.
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Le bénéfice de l'allongement des concessions peut
se mesurer par la valeur actualisée des cashs flows
dégagés par l'allongement de 12 ans à 15 ans de la
durée des concessions. Dans cette approche, l'allongement de la
durée des concessions aurait créé une valeur de 3,3
milliards d'euros (source : rapport n°303, 2002-2003, commission des
finances du Sénat).
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La nouvelle dénomination de ces contrats qui de «
contrats de plan » deviennent « contrats d'entreprise »
résulte des dispositions de l'article 140 de la loi du 15 mai 2001
relative aux nouvelles régulations économiques : « L'Etat
peut conclure, avec les entreprises du secteur public placées sous sa
tutelle ou celles dont il est actionnaire et qui sont chargées d'une
mission de service public, des contrats d'entreprise pluriannuels ».
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Ce montant ne comprend pas, à la différence de l'an
dernier, les crédits de personnel.
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Le chiffre pour 2003 était cependant évalué
à 13.000.
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Ces points sont développés dans le rapport
d'information n° 29 (2002-2003) : « Développer la
recherche pour sauver des vies ».
Projet de loi de finances pour 2004 : Routes et sécurité routière
Rapports législatifs
Rapport général n° 73 (2003-2004), tome III, annexe 17, déposé le