1 OMS - CIM - 10ème version - 1994.

2 DSM-IV, Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux 1994.

3 Les autres paraphilies sont le fétichisme, le transvestisme, le voyeurisme, l'exhibitionnisme, le sadisme, etc.

4 Période pendant laquelle le détenu ne peut bénéficier d'aucune mesure de suspension ou de fractionnement de la peine (permission de sortir, semi-liberté, libération conditionnelle).

5 Hors préfecture de Police de Paris.

6 Baisse de la spermatogenèse, prise de poids et asthénie à doses élevées, gynécomastie, diminution de la pilosité corporelle et du sébum.

7 Comité consultatif national d'éthique pour les sciences de la vie et de la santé -avis n° 51 du 20 décembre 1996.

8 Les dictionnaires usuels mentionnent à la fois les mots " coordonnateur " et " coordinateur ". Le terme " coordonnateur " est le plus ancien et remonte au XIXème siècle ; utilisé d'abord comme adjectif (1878), puis comme nom (av. 1892) en médecine, en parlant du système nerveux, le mot a ensuite également été employé pour parler d'une personne en termes administratifs ou politiques. Le mot " coordinateur ", utilisé pour désigner une personne au sein d'une institution ou d'une entreprise, est un anglicisme que le Petit Robert fait remonter à 1955.

9 Article L. 763-4 du code de procédure pénale ; article 5 du projet de loi.

10 Le mot " double " a été ajouté à l'Assemblée nationale en première lecture (article 131-36-1-23 du code pénal, article 1er du projet de loi).

11 Article 131-3-6-3 du code pénal, article 1er du projet de loi.

12 Aux termes de l'article 763-1 du code de procédure pénale (article 5 du projet de loi), le juge de l'application des peines peut désigner le comité de probation et d'assistance aux libérés pour veiller au respect des obligations imposées au condamné.

13 Il existe deux procédures d'hospitalisation sans consentement : l'hospitalisation sur demande d'un tiers , c'est-à-dire soit d'un membre de la famille du malade, soit d'une personne susceptible d'agir dans l'intérêt de celui-ci ; l'hospitalisation d'office sur décision du préfet pour les personnes dont les troubles mentaux compromettent l'ordre public ou la sûreté des personnes

14 L'amendement de M. Philippe Douste-Blazy prévoyait que la commission était composée du médecin traitant de l'établissement, d'un psychiatre extérieur et d'un magistrat et que l'avis de la nouvelle commission devait " préciser que l'intéressé n'était plus dangereux ni pour lui-même ni pour autrui ".

Les thèmes associés à ce dossier

Page mise à jour le

Partager cette page