1 Procédure finale de fermeture d'une exploitation avant que la responsabilité n'en revienne à l'Etat.

2 On vise ici les ressources minières proprement dites (métaux de base, métaux précieux et minerais non métalliques), et non les minéraux industriels (granulats, craie, gypse, talc, etc.).

3 Voir le rapport de la Commission des affaires économiques (n° 216 - 1996-1997) présenté par notre collègue Jean Huchon, sur le projet de loi portant extension partielle et adaptation du code minier aux départements d'outre-mer.

4 Toute exploitation minière en sous-sol doit en permanence lutter contre les eaux d'infiltration provenant des niveaux aquifères supérieurs et des nappes profondes. Pour cela, l'eau est pompée dans les galeries et envoyée en surface : ce sont les eaux d'exhaure . Lorsque la mine n'est plus exploitée, les galeries et leurs réseaux électriques, d'aérage et de pompage, ne sont plus entretenus et le niveau de ces eaux remonte progressivement : c'est l'ennoyage.

5 Cette méthode a également été utilisée dans d'autres exploitations, comme les carrières de gypse d'Ile-de-France.

6 On trouvera un exemple d'une clause de ce type à l'annexe n 3 au présent rapport.

7 Voir l'exposé général (paragraphe I, B).

8 Principe établi par l'article 2 du code civil : " la loi ne dispose que pour l'avenir, elle n'a point d'effet
rétroactif ".

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