Le 18 mars 1916, Paul Doumer constate que « ... notre première position de défense était tout à fait insuffisamment organisée ; notre deuxième position était à peu près inexistante... [Le fort de Douaumont] n'était pas en état de défense quand l'attaque s'est produite... Cette incurie a failli avoir pour conséquence un véritable désastre dans les journées des 25 et 26 février. » | |
L'accélération de ce programme est pour lui une question vitale : « Nous continuons à assister à la destruction de nos hommes, de nos meilleures troupes que l'on envoie se faire tuer parce qu'au matériel perfectionné de l'ennemi, on ne sait opposer que des poitrines. » |
L'organisation défensive de Verdun
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