État civil :
Né le 30 juin 1840
Décédé le 1er octobre 1916
Département :
Vendée
IIIème République

Ancien sénateur de la IIIe République

Elu le 2 mai 1886
Elu le 4 janvier 1891
Elu le 28 janvier 1900
Elu le 3 janvier 1909
Fin de mandat le 1er octobre 1916 ( Décédé )

avant 1889  (Extrait du «Robert et Cougny»)
1889-1940  (Extrait du «Jean Jolly»)

avant 1889

BÉJARRY (AMÉDÉE-PAUL-ARMAND DE), membre du Sénat, né à Saint-Vincent-Puymaufrais, (Vendée), le 30 juin 1840, fut élu, le 2 mai 1886, sénateur monarchiste de la Vendée par 465 suffrages sur 853 votants et 855 inscrits, contre 383 voix données à M. Daniel-Lacombe, candidat républicain. Il s'agissait de remplacer M. de Cornulier également monarchiste, décédé. M. de Cornulier, aux élections sénatoriales précédentes (janvier 1882), avait été élu premier de la liste conservatrice par 200 voix seulement. Depuis, est intervenue la loi du 9 décembre 1884, qui augmenta dans une assez forte proportion le nombre des électeurs sénatoriaux. Au Sénat, M. de Béjarry siège à droite : il a voté notamment, dans la dernière session, contre le rétablissement du scrutin uninominal (13 février 1889), contre le projet de loi Lisbonne restrictif de la liberté de la presse (18 février), contre le projet de loi réglant la procédure à suivre devant le Sénat pour juger les attentats contre la sûreté l'Etat (affaire Boulanger, 29 mars).

Extrait du « Dictionnaire des Parlementaires français », Robert et Cougny (1889)

1889-1940

BÉJARRY (AMÉDÉE, PAUL, ARMAND de), né le 30 juin 1840 à Saint-Vincent-Puymaufrais (Vendée), mort le 1" octobre 1916 à Saint-Vincent-Puymaufrais.

Sénateur de la Vendée de 1886 à 1916. (Voir première partie de la biographie dans ROBERT ET COUGNY, Dictionnaire des: Parlementaires, t. 1, p. 239.)

Il fut réélu aux renouvellements des 4 janvier 1891, 28 janvier 1900 et 3.janvier 1909. Il représenta la Vendée à la Haute-Assemblée pendant trente année consécutives. Sa mort, le 1er octobre 1916, mit fin à son mandat.

Il fut membre de plusieurs commissions, déposa un certain nombre de pétitions, mais n'intervint pas à la tribune.. Le Président Antonin Dubost prononça son éloge funèbre à la séance du 12 octobre 1916.

Il s'était toujours posé en défenseur de la monarchie, de la religion et de la liberté.

Extrait du « Dictionnaire des Parlementaires français », Jean Jolly (1960/1977)

Extrait de la table nominative

Résumé de l'ensemble des travaux parlementaire
de Amédée de BEJARRY

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