1
Redevance pour les services terminaux
de la
circulation aérienne
2
Les montants indiqués de 1994 à 1998 concernent la
taxe de sécurité et de sûreté (TSS), et, à
compter de 1999, la part de la taxe d'aviation civile affectée au BAAC.
3
Il s'agit ici de la subvention d'exploitation effectivement
versée.
4
On rappellera que la taxe d'aviation civile, dont les tarifs sont
acquittés par les compagnies aériennes en fonction du nombre de
passagers et du fret transporté, les taux étant modulés en
fonction de la destination, finance les dépenses nécessaires
à la sécurité du transport aérien et au
développement des infrastructures aéroportuaires.
5
La répartition de ces 11 % est la suivante :
1,9 % pour 2001 ; 6,0 % pour 2002 (dont 2,3 % de rattrapage
pour 2001) et 3,1 % pour 2003.
6
Certains corps, pour lesquels le protocole d'accord du 7
décembre 2000 ne prévoit pas de créations d'emplois, ne
sont pas indiqués dans ce tableau, ce qui explique pourquoi le total des
emplois budgétaires de la DGAC est supérieur à la somme
des emplois détaillés plus haut.
7
On rappellera que participation de chaque Etat au budget de
l'agence est définie par une clé de répartition
intégrant le PNB et le volume national d'activité de
contrôle aérien. Ainsi, en 2001, la contribution française
s'établit à 17,7 % du total des contributions des Etats
contractants.
8
Lors de la discussion du projet de loi de finances initiale pour
2001, le Parlement avait adopté un amendement présenté par
le président de la commission des finances de l'Assemblée
nationale, tendant à rendre systématique, à l'expiration
d'un délai de trois mois, la transmission des
référés du président de la Cour des comptes aux
commissions des finances des deux assemblées.
9
Hors crédits fournisseurs et divers