1
École nationale d'administration
2
Institut international d'administration publique.
3
Instituts régionaux d'administration.
4
Encore ces chiffres n'incluent-ils pas les dépenses de
personnel des établissements publics subventionnés par l'Etat.
5
Les données pour 2001 et 2002 ne sont pas encore
disponibles.
6
L'ancien ministre de l'économie, des finances et de
l'industrie, M. Christian Sautter, avait par exemple affirmé, devant la
commission des finances de l'Assemblée nationale, qu' « il
existe un risque d'hypertrophie de certaines administrations centrales que le
gouvernement entend corriger ».
7
Il convient bien de préciser qu'il s'agit de
créations nettes d'emplois, intervenant en dehors du remplacement des
60.000 fonctionnaires qui partiront à la retraite en 2002.
8
Sur la période 1997-1999, 29.895 agents ont
été titularisés dans la fonction publique d'Etat, 8.522
titularisés dans la fonction publique territoriale grâce aux 403
concours réservés, et 3.157 reçus aux concours
réservés de la fonction publique hospitalière.
9
Dans son rapport sur l'exécution des lois de finances pour
2002, la Cour des comptes note que « il avait été
prévu en 1997 que 350.000 emplois à temps plein serait
créés d'ici 2002. Selon la direction du budget, ce chiffre n'est
plus considéré comme un objectif de postes à créer
mais de jeunes à faire transiter par le dispositif ».
10
Enfin, environ 4,3 millions de personnes voient leur
pension directement indexée sur la rémunération des
fonctionnaires : 1,81 million de personnes bénéficiant
d'une pension civile ou militaire de retraite et
587.000 bénéficiaires d'une pension versée par la
CNRACL, 1,39 million de bénéficiaires du régime
de retraite complémentaire IRCANTEC ainsi que 500.000 personnes
ayant droit à une pension d'invalidité.
11
Il s'agit de l'éducation nationale (enseignement scolaire
et supérieur), de l'économie et des finances, de
l'intérieur, et de l'équipement et des transports.
12
Décret n° 2000-815 du 25 août 2000, paru au
Journal Officiel du 29 août 2000.
13
Il présentait notamment un compte simplifié du
régime vieillesse des fonctionnaires de l'Etat, c'est-à-dire ce
que serait l'équilibre emplois-ressources du régime des
fonctionnaires de l'Etat si ce dernier existait en tant que tel. Ce compte
simplifié montrait que, de 1998 à 2001, la charge
budgétaire des pensions de la fonction publique s'est accrue de
près de 3,17 milliards d'euros (20,8 milliards de francs), soit une
progression de 12 % en quatre ans. Or, l'Etat supporte l'essentiel de ce
coût : 71,5 % en 2001. Sur cette même période, les
cotisations salariales n'augmentent que de 4,5 %, tandis que le contribution de
l'Etat hors compensation progresse de 15,3 %.
14
Ce décret précise que l'Observatoire
« est chargé d'assurer la collecte, l'exploitation et la
diffusion de l'information sur l'emploi
[public]
».
15
Il convient toutefois de noter une amélioration certaine
de la présentation du site de ce ministère, qui se doit
d'être exemplaire puisqu'il promeut le développement de
l'administration électronique : désormais, un état
d'avancement de la mise en oeuvre des décisions prises par le CIRE est
présenté, chaque décision étant accompagnée
des mesures concrètes décidées pour la rendre effective.
16
« Trois leviers pour réformer
l'Etat », Le Figaro du 27 juin 2001.
17
Rapport n° 348 ; 2000-2001.
18
Rapport n° 383 ; 2000-2001.
19
Le CIRE du 12 octobre 2000 a invité chaque
ministère à définir et à utiliser des indicateurs
annuels d'activité et de résultats.