Monnaies et médailles
Bertrand AUBAN
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Table des matières
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I. EXAMEN DES CRÉDITS
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A. UNE RÉELLE MARGE DE MANoeUVRE SUR UN
QUART SEULEMENT DES RECETTES D'EXPLOITATION
- 1. La cession au Trésor des monnaies françaises
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2. Un effort de sincérité dans
le chiffrage des recettes commerciales, mais celles-ci demeurent
surévaluées
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a) Les secteurs les plus lourds font l'objet
de prévisions trop confiantes
- (1) La vente des « produits parisiens » hors monnaies de collection : médailles, décorations, fontes, jetons, bijoux et autres objets
- (2) Les monnaies de collection françaises
- (3) Les monnaies de collection étrangères
- (4) Les monnaies courantes étrangères
- (5) Monnaies courantes pour les TOM
- (6) Les fabrications annexes
- b) La politique commerciale à l'exportation se doit d'être plus offensive
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a) Les secteurs les plus lourds font l'objet
de prévisions trop confiantes
- 3. Les autres recettes chutent avec la disparition de prestations de services liées à l'euro
- B. DÉPENSES : DES ÉCONOMIES IMPOSÉES PAR UN CONTEXTE MOINS PORTEUR
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A. UNE RÉELLE MARGE DE MANoeUVRE SUR UN
QUART SEULEMENT DES RECETTES D'EXPLOITATION
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II. PRINCIPALES OBSERVATIONS
- 1. Production, conditionnement, stockage des pièces en euros sont assurés dans de bonnes conditions
- 2. En 2001, une activité plus soutenue que prévu permet à la Monnaie de Paris de se passer de la subvention de l'Etat qui avait été prévue
- 3. Pour 2002, un équilibre budgétaire fragile
- 4. Pour améliorer sa rentabilité, la Monnaie de Paris s'éloigne de sa mission de service public
- 5. La maîtrise des dépenses, et notamment des achats, est très attendue
- 6. De nombreuses incertitudes planent sur l'avenir du site parisien
- 7. La nécessaire rentabilisation des installations modernes de l'établissement de Pessac
- 8. La monnaie métallique circulera-t-elle beaucoup et longtemps ?