BREGEGERE (MARCEL), sénateur de la Dordogne (Soc.).

NOMINATIONS

Membre de la commission des affaires économiques et du Plan.

Membre du Parlement européen.

QUESTION

Question orale :

Question n° 1823, à M. le ministre de l'agriculture, relative aux calamités agricoles (mesures en faveur des exploitants) posée le 14 juin 1976 (p. 1814). - Réponse de M. le secrétaire d'Etat aux industries alimentaires le 25 juin 1976 (p. 1963 et suiv.).

INTERVENTIONS

- Projet de loi de finances pour 1977 (n° 64 ) .

Deuxième partie :

Qualité de la vie. - I. - Environnement [1 er décembre 1976] (p. 3807) : les hommes sont constamment agressés par une civilisation qui se dégrade de jour en jour. Conserver la beauté des centres urbains et des paysages. La surpopulation de certaines régions et la désertification des zones rurales. L'endettement des centres urbains et des collectivités rurales. Définir un programme fixant des priorités. La place de la protection de l'environnement dans la politique commerciale, agricole, industrielle, sociale et régionale. Améliorer l'environnement physique, social, culturel. La lutte contre toutes les formes de pollution. Le problème de l'eau est un problème de civilisation. Le problème de l'habitat. Le budget de la qualité de la vie est un budget de misère ; (p. 3808) : la véritable espérance ne peut que reposer sur des réalités. Le groupe socialiste votera contre le budget.

Agriculture [3 décembre 1976] (p. 3907) : regrette que les équipements aient été sacrifiés. Pense que ce projet de budget est une nouvelle calamité pour l'agriculture. Les conséquences de la sécheresse tout particulièrement chez les éleveurs de bovins. Les déséquilibres constants sur le marché de la viande. S'oppose aux décisions de Bruxelles qui tendent à autoriser les importations de viande bovine dans la Communauté pour une durée de dix-huit mois. La concertation avec les représentants des organisations professionnelles. La répartition des importations de viande dans le cadre du G. A. T. T. La responsabilité dans les régions dites « défavorisées ». L'utilité d'un emprunt national pour pallier les conséquences de la sécheresse. Regrette le fossé qui s'est, creusé entre les citadins et les ruraux ; (p. 3908) : le monde paysan s'irrite de l'incompréhension dont il est l'objet. L'importance du développement de la solidarité. Les montants compensatoires mettent en jeu l'Europe verte. Le rôle de la politique agricole commune. Le développement d'une industrie alimentaire. Le système des prix garantis. Les problèmes posés par l'élargissement du Marché commun à certains pays méditerranéens. En ce qui concerne les structures, l'objectif est de mettre en place un réseau d'exploitations familiales le meilleur possible. Les conditions dans lesquelles sont indemnisées les victimes des calamités atmosphériques. L'insuffisance des crédits d'équipement, notamment en matière d'hydraulique. L'extension des périmètres irrigués est nécessaire pour assurer la sécurité des producteurs devant les irrégularités climatiques. La nécessité d'une formation professionnelle en agriculture ; la situation de certains lycées agricoles qui ne peuvent recevoir suffisamment de jeunes filles particulièrement.