THARRADIN (M. LUCIEN) [Doubs].

Est nommé membre titulaire : de la commission de la production industrielle [6 octobre 1955] ; de la commission du travail et de la sécurité sociale ( ibid. ). - Membre suppléant : de la commission de l'éducation nationale ; de la commission de la presse, de la radio et du cinéma et de la commission de la reconstruction ( ibid. ). - Vice-président de la commission du travail.

Dépôt législatif :

Rapport fait au nom de la commission du travail et de la sécurité sociale sur le projet de loi, adopté par l'Assemblée nationale après déclaration d'urgence, portant réduction des taux d'abattement servant au calcul des prestations familiales [8 mars 1956] (I., n° 326).

Question orale :

M. Lucien Tharradin demande à M. le président du conseil comment il peut tolérer que des gouvernements étrangers, notamment des gouvernements d'Afrique et du Moyen-Orient, ainsi que la Ligue arabe, par l'intermédiaire de nombreux agents, grâce à des fonds importants, se livrent, dans la métropole, à une violente et inadmissible propagande antifrançaise, et lui demande quelles mesures il entend prendre pour mettre fin rapidement à de tels agissements [26 avril 1956] (n° 732). - Réponse [15 mai 1956] (p. 728, 729).

Interventions :

Intervient dans la discussion, en deuxième lecture, de la proposition de loi tendant à la modification de l'intitulé de la loi n° 51-538 du 14 mai 1951 [24 novembre 1955].- Discussion de l'article unique (p. 2729, 2730). - Intervient, en qualité de rapporteur de la commission du travail, dans la discussion du projet de loi portant réduction des taux d'abattement servant au calcul des prestations familiales [8 mars 1956]. - Discussion générale (p. 329, 330).- Est entendu lors de la réponse du ministre à sa question orale n° 732 ( cf. supra ) [15 mai 1956] (p. 729). - Intervient dans la discussion du projet de loi portant institution d'un fonds national de solidarité [25 mai 1956]. - Discussion des articles. Son contre-projet (p. 806, 807) ; (808, 810, 811).- Discussion de ce texte en deuxième lecture [14 juin 1956]. - Art. 5 : son amendement tendant à fixer l'allocation de façon à atteindre un minimum vital de 96.000 francs (p. 1120).