*
Voir en annexe la définition de
l'
« aide publique au développement ».
1
L'aide aux Territoires d'outre-mer est demeurée, elle,
constante
: de 4,7 milliards de francs en 1996 à
4,9 milliards de francs en 1999, soit
le quart du total de l'aide
bilatérale
.
2
Jaune annexé au PLF 2002. Etat récapitulatif des
crédits concernant à la coopération avec les Etats en
développement.
3
De ce fait, seuls les chiffres 2001 seront analysés ici.
4
La quote-part française au FED -24,3 %- est
très supérieure à la contribution au budget de l'Union
-17 %-. Mais c'est le prix qu'il a fallu payer pour obtenir l'augmentation
du FED.
5
On évoquera ici le contre-exemple de l'administration
centrale britannique, qui a envoyé à 50 de ses
fonctionnaires à Bruxelles une note intitulée
«
Comment influencer l'aide européenne
»,
accompagnée de demandes de renseignements et de propositions...
6
OCDE - Coopération pour le développement - Rapport
annuel du CAD - Juin 2001.
7
qui témoigne ainsi, dans ce secteur comme dans d'autres,
d'une claire volonté politique de jouer un rôle accru sur la
scène internationale.
8
Les Etats-Unis, eux, étant bons derniers...
9
Lequel, en sens inverse de l'évolution française, a
acquis récemment son autonomie par rapport au Foreign Office.
10
3,3 milliards d'euros en autorisations de programme
0,22 milliard d'euros en crédits de paiement.
11
Votre Rapporteur avait adressé en juillet un questionnaire
spécifique à chacun de ces trois ministères relatif
à l'utilisation des ces crédits « concourant à
la coopération avec les Etats en développement ». Le 15
novembre il n'avait toujours reçu aucune réponse.
12
On ne peut que citer à nouveau la formule selon laquelle,
désormais, l'assistance technique en matière de
coopération au développement doit être
considérée comme
« une parenthèse dans un
parcours professionnel »
...
13
Cf. l'analyse développée par J. Chaumont,
rapporteur spécial du budget des affaires étrangères.
14
Dont le quart, soit 2,92 millions d'euros, pour les 18 centres
installés en Allemagne.
15
Actuellement au nombre de 26.
16
Placé auprès du Premier ministre, le HCCI ne
relève pas de la tutelle du ministère des Affaires
étrangères. De fait,
votre rapporteur estime que ses moyens
devraient être inscrits au budget des Services Généraux du
Premier ministre
.
17
Le HCCI bénéficie par ailleurs de 3 postes mis
à dispositions par le ministère de l'Économie,
1 poste mis à disposition par l'Education nationale et 1 poste par
la Défense.
18
La réponse précise toutefois que « [
le
HCCI] ne semble pas pour autant reconnu comme leur porte-parole par l'ensemble
des acteurs non gouvernementaux, qui préfèrent un dialogue direct
et opérationnel avec l'administration et les
ministres
» !...
19
Charles Josselin, ministre délégué
chargé de la Coopération.
Commission des Finances de l'Assemblée nationale - 18 octobre 2001.
20
dont 18 millions de francs sur la coopération
culturelle, 67 millions de francs sur la coopération technique et
40 millions de francs sur la coopération militaire.
21
dont 50 millions de francs sur le FSP et 50 millions
de francs sur l'AFD.
22
23 millions de francs sur un total de 30 millions de francs.
23
En 2000, la Force de protection au Kosovo a
bénéficié de 0,40 M€.
24
En 2000, l'UNWRA a bénéficié de 0,84 M€.
25
Essentiellement Education nationale, Agriculture et pêche,
Equipement, transports et logement, et Economie, finances et industrie.
26
Page 74 du bleu 2001.
27
La qualité et le volume des réponses
apportées par Bercy doivent être soulignées, et constituent
un progrès considérable par rapport à l'exercice
précédent, même si leur réception un peu tardive ne
laisse pas tout le temps nécessaire à leur bonne exploitation.
28
Non encore en vigueur, puisque l'accord de Cotonou n'a pas encore
été ratifié par tous les partenaires,
notamment pas par
la France
.
29
Cette politique doit être soulignée. Elle se traduit
en effet par un renforcement des effectifs des délégations
locales, avec le redéploiement progressif sur le terrain de
400 personnes en deux ou trois ans
. Soit un mouvement exactement
inverse de celui que nous pratiquons avec l'assistance technique
française
.
30
Dans le cadre des orientations définies par le CICID,
« l'Etat ne conserve la gestion directe que des crédits d'aide
au secteur de souveraineté (justice, état de droit,
défense, police) ».
31
Aux termes duquel le FSP «
peut financer, à
titre exceptionnel, des opérations d'aide et de coopération
situées, le cas échéant, hors de la ZSP
»
(décret n° 2000-880).
32
Un des facteurs tient notamment à un décalage
parfois supérieur à 1 an entre la date de passage en Conseil de
surveillance et la date de signature de la convention avec le partenaire. Quel
est véritablement l'intérêt de faire passer au Conseil des
projets si manifestement prématurés ?
33
Votre Rapporteur conteste évidemment la suggestion faite
par la Cour des comptes de « sortir » la
représentation parlementaire du Conseil de surveillance de l'AFD. Il
craint de penser qu'il s'agit-là d'une sorte de
« réaction » à un échange un peu vif
qu'il eut un jour avec un membre de la Cour des comptes représentant
l'Etat au Conseil, au cours duquel il s'était étonné du
montant de certains frais administratifs de la Cour...
34
L'AFD lève auprès des marchés financiers des
emprunts et reçoit du Trésor une subvention au gré des
échéances de ces emprunts sous forme de bonifications
d'intérêt.
35
30 ans dont 10 ans de différé à 0,25 %.
36
De fait, cette estimation était encore inférieure
à la réalité. Le collectif de fin d'année qui vient
d'être déposé par le Gouvernement prévoit une
ouverture de 196,8 millions de francs pour « ajustement des
crédits de l'AFD ».
37
Jean-Michel Severino, par ailleurs rapporteur des travaux du
groupe de travail présidé par Jean-Louis Bianco sur
« Globalisation, gouvernance et
développement » :
«
Un autre monde est possible
» - Fondation Jean
Jaurès - (2 tomes) - mars et août 2001.
38
Source : réponse au questionnaire budgétaire.
39
Danton a dit en son temps : « Après la
faim, l'éducation est le premier besoin du
Peuple ».