Défense : exposé d'ensemble et dépenses en capital

Défense : exposé d'ensemble et dépenses en capital

Maurice BLIN

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Table des matières

• I. PRESENTATION GENERALE
  • 1. Evolution générale des crédits
  • 2. L'effort français de défense
  • 3. Structure du budget militaire
  • 4. Les principales évolutions du budget 2002
    • a) La priorité donnée à la condition militaire
    • b) Le sacrifice confirmé des crédits du titre V
    • c) Le poids croissant de la Gendarmerie
  • 5. Bilan de la loi de programmation militaire 1997-2002
    • a) Titre III : un objectif globalement atteint en termes d'emplois budgétaires, pour un coût sensiblement supérieur au calibrage initial
    • b) Titre V : une année de crédits en moins au terme de la loi de programmation
  • 6. Eléments de comparaison internationale
    • a) Effort global de défense
    • b) Dépenses de fonctionnement
    • c) Dépenses d'équipement
• II. DÉPENSES D'ÉQUIPEMENT66 En l'état actuel des informations disponibles, les chiffres commentés correspondent aux « crédits disponibles » présentés par le Gouvernement, c'est-à-dire aux crédits nouveaux 2002 majorés des reports autorisés 2001.
  • 1. Analyse générale
    • a) Une nouvelle encoche forte par rapport à l'actuelle loi de programmation et une jonction difficile avec la prochaine loi de programmation
    • b) Poursuite du « bourrage d'enveloppe »
  • 2. Répartition par armée et service
  • 3. Évolution par domaine
  • 4. Evolution par catégorie de dépenses
• III. LES GRANDS PROGRAMMES
  • 1. Le nucléaire
  • 2. L'Espace
  • 3. Les forces classiques
    • a) l'armée de Terre
    • b) La Marine
    • c) - L'armée de l'Air
• PRINCIPALES OBSERVATIONS
  • 1. En 2002, le budget de la défense confirme son rôle de variable d'ajustement privilégiée de l'équilibre budgétaire général
  • 2. Le sacrifice constant de l'équipement militaire tout au long de la législature handicape la réalisation du « modèle d'armée 2015 »
  • 3. L'adaptation du secteur public de nos industries d'armement n'a pas été menée à terme
  • 4. La dérive française s'inscrit dans le cadre d'une évolution européenne fragilisée
  • 5. Conclusion : un « état des lieux » préoccupant