1
Décision du Conseil
européen
d'Helsinki du 10 et 11 décembre 1999.
2
Une fois l'adhésion décidée par un Conseil
des ministres de l'Union européenne, il faut encore que tous les pays
membres ratifient la décision, ce qui repousse de plusieurs mois
l'entrée en vigueur de l'acte d'adhésion (probablement, de
l'ordre d'un an et demi).
3
Décision d'ouverture des négociations en vue de
l'adhésion lors du Conseil européen d'Helsinki du 10 et 11
décembre 1999.
4
Bulgarie, Estonie, Hongrie, Lettonie, Lituanie, Pologne,
République tchèque, Roumanie, Slovaquie, Slovénie.
5
Albanie, Bosnie-Herzégovine, Croatie, Ancienne
république yougoslave de Macédoine, Moldavie, RFY.
6
Arménie, Azerbaïdjan, Bélarus, Géorgie,
Kazakhstan, Kirghizstan, Ouzbékistan, Russie, Tadjikistan,
Turkménistan, Ukraine.
7
La Lettre d'Egide n°18 : "
L'expertise
administrative française dans les programmes communautaires
".
8
Cité dans un article de " the Economist " du 24
février 2001, "
The Cyprus conundrum
".
9
In JO Sénat du 6 avril 2000, page 1236.
10
Une action intégrée est un projet bilatéral
de recherche, proposé conjointement par une équipe
française et une équipe d'un autre pays auquel les
autorités compétentes françaises et leurs homologues du
pays partenaire accordent, après une double expertise, une
reconnaissance officielle. Dans le cas des programmes d'actions
intégrées (PAI), cette reconnaissance se traduit
concrètement par l'apport de soutiens financiers des ministères
des Affaires étrangères et de la Recherche. Chaque programme
s'articule avec la politique de coopération bilatérale et doit
contribuer à faciliter et à amplifier ces relations
bilatérales dans les domaines scientifiques et techniques. Les soutiens
alloués sont destinés à financer le " surcoût
international " des projets, c'est-à-dire les frais de transport et
de séjours des chercheurs, à l'exclusion de toute
rémunération de personnel et dépense de fonctionnement ou
investissement. Les programmes d'actions intégrées sont
accordés pour une durée de deux années. Certains
programmes permettent, au cas par cas, le financement d'une troisième
année après réexamen du dossier.
11
réponse publiée au Journal Officiel du 3 août
2000.
12
cité par le Figaro, in "
le complexe
slovène du premier de la classe
", article paru lundi 24 juillet
2000.
13
Ces montants ne tiennent toutefois pas compte des investissements
directs par filiales interposées, qui pourraient modifier sensiblement
les parts relatives de chacun des pays.
La France et le défi de l'élargissement de l'Union européenne
Rapports d'information
Rapport d'information n° 102 (2000-2001), déposé le