Question de M. VOILQUIN Albert (Vosges - U.R.E.I.) publiée le 01/09/1988

M. Albert Voilquin demande à M. le ministre de la défense les circonstances dans lesquelles un gendarme auxiliaire a pu être abattu à Amiens (semble-t-il), lors de la recherche et de l'arrestation de malfaiteurs, et si les règles concernant leur utilisation ont bien été respectées. Il attire son attention sur le fait qu'il est préférable, dans les circonstances actuelles, de créer des emplois de gendarmes, en raison de l'augmentation des tâches qui leur sont imparties.

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Réponse du ministère : Défense publiée le 20/10/1988

Réponse. - Lors des faits évoqués par l'honorable parlementaire, le jeune gendarme auxiliaire affecté à Chamonix était en permission au domicile de ses parents à Amiens. Il fut témoin involontaire d'une rixe armée et n'a, à aucun moment, cherché à intervenir en sa qualité de gendarme auxiliaire. Aucun lien ne peut donc être établi entre cette affaire dramatique et les règles générales d'emploi des militaires effectuant leur service national dans la gendarmerie.

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