Question de M. HAMEL Emmanuel (Rhône - RPR) publiée le 16/11/2000
M. Emmanuel Hamel attire l'attention de Mme le secrétaire d'Etat à la santé et aux handicapés sur l'information parue à la page 30 du quotidien Le Figaro du 11 avril 1998 sous le titre " Et si trop de vitamine C nuisait ? " selon laquelle " les scientifiques du département de pathologie chimique de l'université de Leicester (Grande-Bretagne) ont démontré que l'absorption quotidienne d'un comprimé de 500 milligrammes de vitamine C peut provoquer des altérations de l'ADN, le noyau cellulaire. Un effet oxydant, au lieu de l'effet anti-oxydant protecteur de la vie cellulaire caractéristique de l'une des propriétés de la vitamine C ou acide ascorbique ". Il lui demande quelle a été sa réaction à l'encontre de telles affirmations et aimerait savoir si à ce jour une telle étude a été menée en France. Dans l'affirmative quel en est le résultat, quelles conclusions en ont été tirées. L'opinion publique doit-elle être contredite dans sa croyance que la prise de vitamine C est bénéfique pour la santé ?
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La question est caduque
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