Question de M. COURTEAU Roland (Aude - Socialiste et républicain) publiée le 25/05/2017

M. Roland Courteau expose à Mme la ministre des solidarités et de la santé que depuis plusieurs mois, les injections simples contre la coqueluche, l'hépatite B, ou le BCG par exemple, sont en rupture de stock.

On peut donc légitimement s'interroger sur les raisons qui font que des vaccins de base essentiels et indispensables soient en rupture de stock, et que, par ailleurs des professionnels de santé qui ont l'obligation de se faire vacciner contre l'hépatite B ne puissent recevoir la dernière injection.
Ainsi, sont laissés démunis des milliers de patients.

D'où les deux questions suivantes. Il lui demande pourquoi les grands groupes des laboratoires ne se donnent pas les moyens d'éviter ces ruptures, et pourquoi le vaccin contre le papillomavirus, qui est très cher, n'est bizarrement pas, lui, en rupture de stock. On ne voit de ruptures de stock que sur les vaccins très classiques.

Il lui demande de bien vouloir lui faire connaître son sentiment sur cette situation et les initiatives qu'elle compte prendre pour la corriger.

- page 1896

Transmise au Ministère des solidarités et de la santé


La question est caduque

Page mise à jour le