2. Des crédits vulnérables
a) La récurrence des annulations de crédits
                                            Comme par le passé, l'année 1997 a donné
de nouveau l'exemple d'annulations ou de gels de crédits. Les
régularisations ont porté sur 4,3 % des crédits
d'équipement (soit un montant de 93 millions de francs) et 4,4 % des
autorisations de programmes.
                                            
                                            
                                            Ces annulations se traduisent immédiatement par l'arrêt des
programmes d'équipement ou de rénovation.
                                        
b) Les conséquences des mesures de régulation budgétaire
                                            Il convient ainsi de citer au chapitre des fabrications qui
supportent
                                            
                                                une annulation de 49 milliards de francs,
                                            
                                            la remise en cause
des programmes suivants :
                                            
                                            
                                            - 188 véhicules de brigade et de police de route
                                            
                                            
                                            - 1 vedette de 11 mètres
                                            
                                            
                                            - 30 PABX (autocommutateurs) de moyennes et grandes capacités
                                            
                                            
                                            - sécurisation de 60 serveurs de communication
                                            
                                            
                                            - 480 configurations de bureautique des unités.
                                            
                                            
                                            
                                                L'annulation de 44 millions de francs
                                            
                                            au chapitre des infrastructures
conduira par ailleurs à arrêter ou différer plusieurs
opérations suivantes :Versailles-Satory : construction d'un collectif de
6 logements, Paris Ecole militaire : restructuration du centre d'enseignement
supérieur de la gendarmerie, etc).
                                        
 
                                                             
                                                             
                                                             
                                                             
                                                             
                                                             
                                                            