1 Hors reports 2001.

2 Utilisée déjà, il est vrai, lors de la présentation du projet de budget pour 1998, pour « faire passer » l'encoche créée par la revue de programmes.

3 Chiffres retenus dans la présentation du document de presse.

4 Accord signé le 11 juillet 2001.

5 Cette hypothèse est cohérente avec les chiffres avancés par le chef d'Etat-major des Armées et le Délégué général de l'armement, qui évaluent à 10,4 milliards d'euros l'insuffisance cumulée des crédits d'équipement fin 2001.

cf. Audition du Général Jean-Pierre Kelche, chef d'Etat-major des Armées (Commission de la défense et des forces armées de l'Assemblée nationale - 2 octobre 2001)

cf. Audition de M. Yves Gleizes, Délégué général pour l'armement (ibid - 18 octobre 2001)

6 En l'état actuel des informations disponibles, les chiffres commentés correspondent aux « crédits disponibles » présentés par le Gouvernement, c'est-à-dire aux crédits nouveaux 2002 majorés des reports autorisés 2001.

7 De l'ordre de 1,25illiard de francs.

8 De l'ordre de 1 milliard de francs.

9 Soit, en 2002, 152 millions d'euros (997 millions de francs) en autorisations de programme et 94 millions d'euros (617 millions de francs) en crédits de paiement.

10 Soit, en 2002, 191 millions d'euros (1,25 milliard de francs) en autorisations de programme et en crédits de paiement.

11 Soit, en 2002, 26,6 millions d'euros (175,5 millions de francs) en autorisations de programme et en crédits de paiement.

12 L'évolution sensible du contexte stratégique depuis la fin de la guerre froide doit également être pris en compte : un passage du concept de « pure dissuasion » à celui de « frappe éventuelle » ne doit pas être totalement exclu.

13 L'Espace a souvent été une victime de choix pour les annulations de crédits...

14 Les déclarations d'intention allemande et italienne restent toujours à confirmer