1 Cf. rapport spécial de M. Jacques Pelletier, loi de finances pour 2001, n° 92 Tome III . 46-47.

2 Cf. III B

3 Montant des dépenses constatées sur le budget des charges communes

Contribuent par ailleurs à l'amélioration du parc privé les principales dépenses fiscales suivantes :

- l'application du taux réduit de TVA pour les travaux d'amélioration, de transformation, d'aménagement et d'entretien portant sur les logements achevés depuis plus de 2 ans (estimée à 3.079 millions d'euros) ;

- la déduction au titre de l'amortissement des logements neufs loués à usage d'habitation principale (« Périssol et Besson neuf » estimée à 625 millions d'euros) ;

- la déduction forfaitaire majorée sur les revenues des logements neufs et des logements loués sous condition de loyer et de ressources du locataire (estimée à 35 millions d'euros) ;

- la déduction des dépenses de grosses réparations et d'amélioration des logements loués (estimée à 823 millions d'euros).

4 Jean Louis Dumont, Assemblée nationale, débat 5 novembre 2001, JO p. 7033

5 Assemblée nationale, Débat, 3è séance du lundi 19 novembre 2001

6 Jean-Louis Dumont, Assemblée nationale, 5 novembre 2001, p. 7033.

7 Rapport de M. Jean-Louis Dumont, n° 3320, annexe 25, Assemblée nationale

8 Cour des comptes, rapport d'activité 2000, deuxième partie, chapitre V, les subventions de l'Etat pour l'amélioration de l'habitat privé.

9 Idem

10 Votre rapporteur fait particulièrement référence à la baisse de la TVA sur les travaux d'entretien.

11 Cf. I B

12 Cf. idem I B.

13 Jacques Pelletier, rapport n° 92, tome III, annexe 21, 2000-2001, p. 43

14 Jacques Bimbenet, Sénat 2000-2001, rapport n° 56, Tome IX p. 16.

15 Cour des comptes, enquêtes sur le logement, rapport au Président de la République, juin 1994 p. 37-69

16 Réponse du secrétariat d'Etat au logement au questionnaire de votre rapporteur

17 Cf. bleu Urbanisme et Logement 2001, p.11

18 Alfred Recours, Assemblée Nationale, 2è séance, 22 novembre 2001.

19 Convention du 12 octobre 2001

20 Ces subventions étaient financées jusque là par les fonds d'épargne de la Caisse des dépôts et consignations...qui par ailleurs versent une contribution annuelle à l'Etat.

21 Un investissement en fonds propres de 7 milliards de francs annuels suppose une « force de frappe » de l'ordre du triple.

22 Source : Assemblée nationale, 1999-2000, rapport n° 2108, p. 44-46

23 Rapport précité, p. 18

24 Rapport précité, p.37

25 Rapport précité, p. 37.

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