1
Rapport sur les orientations de la
politique
de sécurité intérieure annexé à la loi
n°2002-1094 d'orientation et de programmation pour la
sécurité intérieure.
2
« Les militaires doivent obéissance aux ordres de
leurs supérieurs... ».
3
« En plaçant la gendarmerie auprès des
diverses autorités pour assurer l'exécution des lois et
règlements émanés de l'administration publique,
l'intention du Gouvernement est que ces autorités, dans leurs relations
et dans leur correspondance avec les chefs de cette force publique,....ne
puissent, dans aucun cas, prétendre exercer un pouvoir exclusif sur
cette troupe, ni s'immiscer dans les détails intérieurs de son
service. »
4
« Une politique de gestion par objectifs sera
instaurée. Les résultats obtenus en matière de lutte
contre l'insécurité seront régulièrement
évalués et comparés aux objectifs fixés.
« Les responsables locaux de la police et de la gendarmerie rendront
compte de ces résultats, chacun pour ce qui le concerne, et il en sera
tenu compte dans leur progression de carrière. »
5
On dénombre 181 tribunaux de grande instance pour 99
départements.
6
On dénombre 7 zones de défense pour 35 Cour d'appel.
7
« La compétence territoriale des officiers de
police judiciaire sera étendue. Les officiers de police judiciaire en
fonction dans les circonscriptions de sécurité publique de la
police nationale et les brigades de la gendarmerie nationale verront leur
compétences élargies à l'ensemble du département
dans lequel ils exercent leurs attributions. Pour certains agents et militaires
spécialisés dans des missions de police judiciaire
particulières, cette compétence pourra être étendue
à la zone de défense ».
8
Décision n°94-352 DC du 18 janvier 1995.
9
Proposition de loi renforçant la lutte contre les
différentes formes de l'esclavage aujourd'hui, TA 765.
10
En réalité, cette expression est impropre. Racolage
vient du latin « ad collum », et racoler est le fait de se
jeter au cou de quelqu'un.
11
L'esclavage, en France, aujourd'hui, Rapport n° 3485
(onzième législature).
12
La loi relative à la sécurité quotidienne du
15 novembre 2001 a en revanche prévu une intervention de l'armurier dans
le cas de vente d'armes entre particuliers (
art. 2-1 du décret
de 1939
). Cette disposition n'est toutefois pas entrée en vigueur
faute de décret d'application.
13
Il s'agit de :
- toute infirmité ou mutilation ne laissant pas la
possibilité d'une action de tir à tout moment, précise et
sûre ;
- toute affection entraînant ou risquant d'entraîner des
troubles moteurs, sensitifs ou psychiques perturbant la vigilance,
l'équilibre, la coordination des
mouvements ou le
comportement ;
- toute affection entraînant ou risquant d'entraîner un
déficit visuel ou auditif susceptible de compromettre ou de limiter les
possibilités d'appréciation de l'objectif du tir et de son
environnement ;
- toute intoxication chronique ou aiguë ou tout traitement
médicamenteux dont les effets peuvent entraîner les mêmes
risques.
14
N° 324 (1994-1995).
15
N° 346 (1999-2000).
16
Ces auditions étaient ouvertes à l'ensemble des
membres de la commission.
Projet de loi pour la sécurité intérieure
Rapports législatifs
Rapport n° 36 (2002-2003), déposé le