1
Chiffre de l'exécution 2002.
2
Votre rapporteur spécial rappelle les précautions
méthodologiques d'usage puisqu'il s'agit d'un tableau qui compare les
aides publiques de loi de finances initiale à loi de finances initiale.
Cette comparaison n'est pas toujours pertinente, puisque des modifications
importantes interviennent en cours d'exercice, comme pour le budget 2003. De
même, s'agissant des mesures fiscales, seules les dépenses
fiscales (déductions et exonérations) sont prises en compte, et
non les alourdissements de fiscalité sur l'immobilier.
3
En 2001, 195 millions d'euros de dotations budgétaires ont
été annulées afin de résorber la trésorerie
excédentaire des caisses d'allocations familiales, trésorerie qui
n'avait pas été portée auparavant à la connaissance
du Parlement.
4
Tous les chiffres cités proviennent des statistiques
fournies par le ministère de l'équipement, des transports et du
logement. Les organismes de logements sociaux font toutefois valoir la
résorption de la vacance au cours de ces dernières années,
consécutive à ce qu'ils qualifient de
« crise » du logement.
5
Avis n° 405 (2002-2003) de notre
collègue Eric Doligé, au nom de la commission des finances
sur le projet de loi d'orientation et de programmation pour la ville et la
rénovation urbaine.
6
On rappellera à ce titre le dispositif de
fongibilité des crédits logement mis en place au sein d'un
article unique, 65.48/80, par la loi de finances pour 2003 au profit des
opérations de rénovation des quartiers classés en zone
urbaine sensible.
7
Il faut ajouter à ce titre que le projet de loi de finances
rectificative pour 2003 présenté par le gouvernement
procède à des annulations de crédits pour l'ensemble des
articles du chapitre 65-48, y compris celui concernant les opérations
locatives sociales de la politique de la ville.
8
Un arrêté vient de paraître le 16 octobre
2003 : il allonge la durée du différé de
remboursement pour les deux premières tranches du barème (revenu
fiscal de référence inférieur à
15.793,86 euros) mais raccourcit cette même période, parfois
sensiblement, pour les quatre autres tranches du barème.
9
Rapport de la Commission au Conseil et au Parlement
européen, Expérience de l'application d'un taux de TVA
réduit sur certains services à forte intensité de
main-d'oeuvre, 2 juin 2003 (SEC (2003) 622).
10
Document de travail des services de la Commission, Rapport
d'évaluation sur l'expérience de l'application d'un taux de TVA
réduit sur certains services à forte intensité de
main-d'oeuvre, 2 juin 2003 (COM (2003) 309 final.
11
Rapport d'information n° 22 (2003-2004)
« Logement, pour un retour à
l'équilibre ». Commission des affaires économiques du
Sénat.
12
Votre commission des finances avait proposé et le
Sénat avait adopté cette suppression, de manière
progressive, dans le projet de loi de finances rectificative pour 1998. La CRL
a apporté 576 millions d'euros au budget de l'Etat en 2002, ce qui en
fait une ressource importante pour le budget de l'Etat.
13
Il s'agit ici de reprendre une mesure adoptée à
l'initiative de votre commission des finances appliquée temporairement
en vertu de l'article 23 de la loi de finances rectificative pour 1995.
14
La dernière augmentation du taux de déduction
forfaitaire avait été obtenue sur l'initiative de votre
commission des finances. Depuis, aucune nouvelle augmentation
générale n'a eu lieu en raison de son coût
élevé (un point de déduction forfaitaire = 45 millions
d'euros).
15
Le commentaire détaillé de cet article figure dans
le rapport général de notre collègue Philippe Marini.
16
L'ensemble des informations du présent chapitre sont
extraites du rapport n° 31 tome I (2003-2004) de notre
collègue Jean-Pierre Schosteck, rapporteur du projet de loi relatif aux
responsabilités locales, au nom de la commission des lois.
Projet de loi de finances pour 2004 : Urbanisme et logement
Rapports législatifs
Rapport général n° 73 (2003-2004), tome III, annexe 15, déposé le