1. Les suppressions d'emplois

Au total, ce sont 100 emplois qui sont supprimés en 2003, pour un montant de 3,5 millions d'euros.

Selon le ministère, le choix des suppressions a été dicté par la volonté de ne pas remettre en cause les effectifs budgétaires attribués à des directions. En conséquence, les emplois supprimés correspondent à des emplois non notifiés en gestion (blocages points cabinet, emplois servant de support à des personnels mis à disposition...).

En administration centrale, il est proposé la suppression de 28 emplois, dont 23 emplois de contractuels de catégorie C correspondant à la dotation de base de la dotation cabinet.

En services déconcentrés, est proposée la suppression de 72 emplois :

• 36 emplois de catégorie A, dont 10 inspecteurs des affaires sanitaires et sociales ;

• 12 emplois de catégorie B (10 éducateurs spécialisés et 2 techniciens) ;

• 24 emplois de catégorie C (1 adjoint sanitaire et 23 adjoints administratifs).

Au total, les suppressions sont réparties équitablement : 28 % en administration centrale et 72 % en services déconcentrés ; 41 % de catégorie A, 12% de catégorie B et 47 % de catégorie C, ce qui est sans effet sur les ratios centrale/services déconcentrés et A/B/C.

2. Les créations et transformations dans le cadre de la résorption de l'emploi précaire

Il est demandé la création de 60 emplois afin de poursuivre la résorption de l'emploi précaire dans le cadre du dispositif présenté par le ministère de la fonction publique (loi n° 2001-2 du 3 janvier 2001 :

• 30 emplois sont créés par transformation de 30 emplois de contractuels de 2 ème catégorie (15 attachés en administration centrale et 15 inspecteurs des affaires sanitaires et sociales en services déconcentrés) ;

• création nette de 30 emplois, financés par un abattement des crédits du chapitre 31-96 « Autres rémunérations » à hauteur de 551 208 euros.

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