L'Égypte, la Libye et la Tunisie un an après les « printemps arabes »
4 juillet 2012 :
L'Égypte, la Libye et la Tunisie un an après les « printemps arabes »
( rapport d'information )
- Par MM. Philippe MARINI, Yvon COLLIN, Aymeri de MONTESQUIOU, Roland du LUART, Michel BERSON et Jean-Vincent PLACÉ
au nom de la commission des finances - Notice du document
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Rapport d'information n° 636 (2011-2012) de MM. Philippe MARINI, Yvon COLLIN, Aymeri de MONTESQUIOU, Roland du LUART, Michel BERSON et Jean-Vincent PLACÉ, fait au nom de la commission des finances, déposé le 4 juillet 2012
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- I. ÉGYPTE : DES INCERTITUDES POLITIQUES
NE PERMETTANT PAS D'ÉCLAIRCIR LES PERSPECTIVES ÉCONOMIQUES
À COURT TERME
- A. UN AVENIR INSTITUTIONNEL INCERTAIN
- 1. Une scène politique pluraliste, mais
dominée par le PLJ des Frères musulmans et marquée par le
poids de l'armée
- a) Les élections législatives :
une nette prédominance des différentes formations
islamistes
- (1) Les élections à
l'Assemblée du peuple
- (2) Les élections à la Choura
- b) L'élection présidentielle :
la victoire de Mohamed Morsi dans un contexte de bras-de-fer avec les
militaires
- (1) Une procédure de sélection des
candidats longue et controversée
- (2) Des candidatures reflétant l'ensemble du
spectre politique
- (3) La surprise du premier tour : un duel
Mohamed Morsi - Ahmed Chafik
- (4) Tensions et coups de théâtre de
l'entre-deux-tours
- (5) La victoire de Mohamed Morsi au second
tour de l'élection présidentielle
- c) L'Assemblée constituante et la nouvelle
Constitution
- a) Les élections législatives :
une nette prédominance des différentes formations
islamistes
- 2. Vers des infléchissements des
orientations de politique étrangère ?
- 1. Une scène politique pluraliste, mais
dominée par le PLJ des Frères musulmans et marquée par le
poids de l'armée
- B. UNE ÉCONOMIE TOUJOURS SOUMISE À UN
RISQUE DE CRISE FINANCIÈRE
- 1. Une dynamique de croissance interrompue
- 2. Des indicateurs budgétaires et financiers
toujours dans le rouge
- 3. Les fragilités du secteur bancaire,
entre nécessaire restructuration et développement de la finance
islamique
- 4. Le rôle indispensable de l'aide
internationale : en attendant les prêts du FMI et de la Banque
mondiale
- 5. Des échanges économiques
bilatéraux franco-égyptiens à conforter
- 6. Les prises de position des partis politiques et
des candidats sur les questions économiques
- 1. Une dynamique de croissance interrompue
- A. UN AVENIR INSTITUTIONNEL INCERTAIN
- II. LA FRANCE AUX CÔTÉS DE LA
NOUVELLE LIBYE
- A. LE LONG PROCESSUS DE MISE EN PLACE DE NOUVELLES
INSTITUTIONS DÉMOCRATIQUES
- B. ÉCONOMIE : VERS UN RETOUR À
LA NORMALE
- A. LE LONG PROCESSUS DE MISE EN PLACE DE NOUVELLES
INSTITUTIONS DÉMOCRATIQUES
- III. LES PROMESSES ET LES INCERTITUDES DU
PRINTEMPS TUNISIEN
- A. UN PAYS BIEN ENGAGÉ SUR LA VOIE DE LA
TRANSITION DÉMOCRATIQUE
- B. UNE ÉCONOMIE BÉNÉFICIANT
DE BONS FONDAMENTAUX, FORTEMENT TOURNÉE VERS LA FRANCE
- 1. Un cycle de croissance économique
interrompu
- a) Une croissance inégalitaire sous
l'ère Ben Ali
- b) Une reprise qui tarde dans un contexte social
tendu
- c) Des déséquilibres
monétaires et financiers croissants
- (1) Un recours accru au déficit public dans
un contexte de retour de la croissance économique (plus de 2 % en
2012)
- (2) 78 milliards d'euros d'investissements publics
prioritaires
- (3) Des indicateurs monétaires et
financiers dont l'évolution explique la dégradation de la note
tunisienne
- d) Des réformes structurelles
renvoyées à une échéance plus lointaine
- e) Quelles ressources complémentaires
provenant des biens confisqués ?
- a) Une croissance inégalitaire sous
l'ère Ben Ali
- 2. Des liens économiques
privilégiés avec la France
- 1. Un cycle de croissance économique
interrompu
- A. UN PAYS BIEN ENGAGÉ SUR LA VOIE DE LA
TRANSITION DÉMOCRATIQUE