Le nouvel « âge d'or » des fonds souverains au Moyen-Orient

Rapport d'information n° 33 (2007-2008) de MM. Jean ARTHUIS , Philippe MARINI , Aymeri de MONTESQUIOU , Philippe ADNOT , Michel MOREIGNE et Philippe DALLIER , fait au nom de la commission des finances, déposé le 17 octobre 2007

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• AVANT-PROPOS
  
• INTRODUCTION - LE NOUVEL « ÂGE D'OR » DES FONDS SOUVERAINS AU MOYEN-ORIENT
  
  • I. UNE RENTE PÉTROLIÈRE DÉTENUE PAR DES ACTEURS TRÈS HÉTÉROGÈNES...
    
    • A. DES MONARCHIES HÉRÉDITAIRES PLUS OU MOINS ABSOLUTISTES AU SEIN DESQUELLES LES PARLEMENTS N'ONT QU'UN ROLE LIMITÉ
      
      • 1. Le Royaume d'Arabie Saoudite : un pays soumis à des tensions contradictoires
        
      • 2. Le Royaume de Bahreïn : des réformes toujours fragiles
        
      • 3. La Fédération des Emirats arabes unis : dynamisme et transition
        
    • B. LA DIVERSITÉ DANS LA COMPOSITION DES POPULATIONS DES TROIS ETATS VISITÉS
      
      • 1. Le faible poids des nationaux au sein de la population
        
      • 2. Une source de faiblesses économiques et géopolitiques.
        
    • C. L'HÉTÉROGÉNÉITÉ DE LA RÉPARTITION DES MATIÈRES PREMIÈRES
      
      • 1. Une grande disparité dans les réserves pétrolières
        
      • 2. L'inégale répartition de la détention des autres matières premières
        
    • D. ENTRE LEADERSHIP RÉGIONAL ET AFFIRMATION SUR LA SCÈNE INTERNATIONALE : LA PLACE À PART DE L'ARABIE SAOUDITE.
      
      • 1. Un pôle historique régional d'équilibre
        
      • 2. Une volonté de montée en puissance sur la scène internationale
        
  • II. UN STOCK CONSIDÉRABLE DE LIQUIDITÉS EN RECHERCHE D'AFFECTATION OPTIMALE
    
    • A. UN NOUVEL « ÂGE D'OR » PÉTROLIER APRÈS LES CHOCS DE 1973 ET 1979 ET LE CONTRECHOC DES ANNÉES 1990
      
      • 1. Les deux chocs pétroliers des années 1970 et leurs répercussions
        
      • 2. Une forte diminution des prix de 1981 à 1986
        
      • 3. La situation au cours des années 1990 : des cours toujours marqués par les événements internationaux
        
      • 4. Après 2004, une envolée durable ?
        
    • B. UN « ÂGE D'OR » AUX LENDEMAINS INCERTAINS
      
      • 1. Une augmentation forte et durable des cours du pétrole
        
      • 2. Un contexte de tarissement annoncé des réserves
        
      • 3. Un niveau exceptionnel de croissance en 2006-2007 en dépit de la persistance du chômage ou de la pauvreté.
        
        • a) L'Arabie Saoudite connaît une croissance exemplaire
          
        • b) Les Emirats arabes unis doivent maîtriser les risques inflationnistes
          
        • c) Une inégale répartition des fruits de la croissance
          
    • C. À QUEL NIVEAU ESTIMER LES AVOIRS FINANCIERS ISSUS DE CES PÉTRODOLLARS ?
      
      • 1. Un recensement délicat
        
      • 2. Des avoirs chiffrables en billions de dollars
        
      • 3. La problématique des fonds souverains
        
  • III. DIVERSIFIER LES STRUCTURES DE L'ÉCONOMIE ET LA STRATÉGIE DE PLACEMENT POUR NE PAS DILAPIDER CETTE MANNE
    
    • A. UNE DIVERSIFICATION DE L'ECONOMIE VERS L'INDUSTRIE ET LES SERVICES
      
      • 1. Le Royaume d'Arabie Saoudite : à tous les niveaux sortir du « tout pétrole »
        
      • 2. Des économies déjà plus diversifiées : les Emirats arabes unis et le Royaume de Bahreïn
        
        • a) Une économie émirienne en profonde mutation
          
        • b) Bahreïn : l'économie la plus ouverte de la région ?
          
      • 3. Une condition nécessaire : la mise en place d'un cadre juridique adapté pour attirer les compétences et les investissements
        
    • B. LE RECOURS AUX MEILLEURES TECHNIQUES POUR GÉRER CES AVOIRS
      
      • 1. La mise en place de « best practices »
        
      • 2. Des stratégies d'investissement guidées par la recherche de rentabilité
        
  • IV. LA VOLONTÉ DE S'ÉRIGER EN PLACE FINANCIÈRE DE RANG MONDIAL
    
    • A. UNE SPÉCIFICITÉ : LA TECHNIQUE DE LA « BANQUE ISLAMIQUE »
      
      • 1. Conformer la finance aux principes de l'Islam
        
      • 2. Un marché en plein essor
        
    • B. L'EXISTENCE DE PLUSIEURS PÔLES FINANCIERS RÉGIONAUX
      
• CONCLUSION - QUEL RÔLE NOTRE PAYS PEUT-IL PRÉTENDRE JOUER DANS CETTE RÉGION ?
  
  • 1. Des facteurs majeurs d'instabilité dans la région
    
    • a) L'Iran, puissance régionale
      
    • b) L'Irak, un ferment de déstabilisation de la région
      
    • c) Les tensions en Palestine
      
  • 2. La France, un partenaire historique significatif
    
    • a) Une relation politique exceptionnelle par sa durée et son intensité, doublée de liens culturels forts
      
    • b) Une relation commerciale qui doit s'élever au niveau de la relation politique dans un contexte de forte demande solvable de ces pays
      
  • 3. La concurrence grandissante de l'Inde et de la Chine
    
• EXAMEN EN COMMISSION
  
• ANNEXE 1 - COMPOSITION DE LA DÉLÉGATION
  
• ANNEXE 2 - PROGRAMME DE LA MISSION
  
• ANNEXE 3 - CARTES
  
• ANNEXE 4 - PHOTOS